P.L.U étudiant

PLAN LOCAL D’URBANISME DE CLERMONT-FERRAND - RÈGLEMENT - PLU APPROUVÉ - 03 MARS 2019

DISPOSITIVE GÉNÉRALE

ESPRIT DE LA RÈGLE De nouveaux outils au service du renouveau des savoirs-faire, de la qualité architecturale, du cadre de vie et d’une identité régionale.

Les principaux objectifs poursuivis En lien avec le constat du diagnostic, le renouveau des savoirs-faire au service de la ville est un enjeu majeur du PLU de Clermont-Ferrand.

Cet objectif porte sur l’aménagement de l’espace public et doit aussi trouver un relais sur l’espace privé dans le cadre des constructions nouvelles pour atteindre les objectifs suivants :

.Conservation et valorisation des techniques et savoirs-faire. .Enjeux d’innovation et mise en œuvre viable économiquement. .Lutter contre une uniformisation de l’architecture à l’échelle nationale. .Lutter contre les émissions carbone.

Aussi le P.L.U met en place un Coefficient de valorisation locale (CVL) qui offre tout un panel d’options d’utilisation de la matière aux concepteurs pour inventer les réponses adaptées et contextualisées.

Le recours aux filières dîtes locales étant le dispositif le plus optimal au regard des objectifs poursuivis, le PLU impose un seuil minimal d’utilisation de ces matériaux.

Le CVL est quant à lui spatialisé et modulé pour tenir compte du contexte et des objectifs d’enrichissement de la trame urbaine, de protection de l’existant répondant aux objectifs du présent article et de la revalorisation des filières locales.

Le C.V.L a enfin pour vocation d’appuyer la création de : Systèmes innovants au niveau de la partie gros œuvre.

D’espaces identifiés favorables au lien social, à la sensibilisation à la matière et à la culture constructive.

Le Coefficient de Valorisation Locale (CVL) constitue la moyenne du Coefficient Volumique des Matériaux (CVM) et du Coefficient de Mise en œuvre Locale (CML).Celui-ci est fixé en fonction des secteurs figurant au Plan général.

CVL= (CVM + CML)/2

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1. COEFFICIENT VOLUMIQUE DES MATÉRIAUX (CVM) BAS CARBONE

Dispositions générales Un Coefficient Volumique des Matériaux (CVM) minimal est imposé et comprend une part obligatoire de volume des matériaux locaux.

Administrativement, le coefficient intervient dans deux phases distinctes du chantier: Première phase: un coefficient simplifié est à fournir avant le PC afin d’avoir un bilan général global du chantier. La non prise en compte du CVM à ce stade du projet invalide la demande de PC Deuxième phase: réalisation d’un bilan approfondi, réalisé à la livraison du chantier avec un bureau d’étude Pour mémoire,le Coefficient Volumique des Matériaux dans le cadre de rénovation ou de réhabilitation prenne en compte le CVM: la structure initiale rentre en compte dans le calcul du coefficient, mais, les ratios, tenant compte de la conservation/réhabilitation du bâti, sera valorisé à hauteur de 1 (structure porteuse) Le respect du CVM induit la possibilités de construire un niveau supplémentaire habitable.

Seuls les projets ne nécessitant pas la demande de PC (ou faisant uniquement l’objet d’une demande préalable) ne sont pas concernés par le CVL. Calcul du Coefficient Volumique des Matériaux Le Coefficient Volumique des Matériaux est calculé selon la formule suivante : CVM = Volume en matériaux bas carbone / Volume global construit

Le volume en matériaux bas carbone est la somme des volumes des matériaux mis en œuvre dans le volume global construit pondérées le cas échéant par un ratio tenant compte de leurs bilans carbone.

Calcul du Coefficient Volumique des Matériaux Les surfaces sont pondérées par les ratios suivants : Structure porteuse: ratio 0,8 Fondations: ratio 0,1 Isolation: ratio 0,1 Bonus : revêtement extérieur: ratio 0,05 Exemple : Structure porteuse: ratio 0,75 Fondations: ratio 1 Isolation: ratio 0 Bonus : revêtement extérieur: ratio 0,05 Note finale de 0,75/1

Détail dans le gros œuvre hors sol : Structure porteuse: Pierre: ratio 1 Bois: ratio 0,5 Béton/Acier: ratio 0 PLAN LOCAL D’URBANISME DE CLERMONT-FERRAND - RÈGLEMENT - PLU APPROUVÉ - 03 MARS 2019

Fondations: Bois/Béton réemploi/Brique: ratio 0,5 Béton/Acier: ratio 0,8

Détail dans le second œuvre hors sol: Isolation: Laine animale: ratio 1 Laine végétale: ratio 1 Laine de roche: ratio 0,5 Laine de verre: ratio 0 Bonus hors Coefficient hors sol : Revêtement extérieur: ratio 0,05

La défaillance dans le coefficient matériaux peut-être compensé par l’intervention d’artisans.

Règles dérogatives au CVM En cas d’impossibilité technique avérée d’atteindre les objectifs chiffrés du CVM ci-dessus exposés, justifiée par : l’existence d’un sol artificiel lié à des ouvrages publics (réseaux), la présence de galeries, de cavités souterraines, ou d’une incompatibilité des caractéristiques géophysiques du sous-sol (terrains instables), la configuration du bâti historique sur la parcelle (structure), les prescriptions liées aux zones inondables, la présence avérée d’un patrimoine archéologique, les contraintes géologiques de la parcelle, les contraintes techniques liées à la construction d’infrastructure de grande ampleur, Dans le cadre de ces constructions spécifiques, un CVM est fixé à 0,15, non-compensable par le CML.

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Constructions existantes • Les travaux de réhabilitation et les changements de destination ne sont pas soumis au CVM à l’exception des dispositions relatives aux secteurs de mutation des zones d’activités.

• Les extensions devront respecter le CVM applicable sur la parcelle.

• Dans le cas de parcelle disposant d’un CVM inférieur au minimum requis, les extensions et les aménagements ne pourront réduire le CVM existant sur -la parcelle que dans les conditions suivantes : -pour des travaux de mise aux normes d’accessibilité, -pour des travaux de mise aux normes incendies et sismiques 2. MISE EN OEUVRE ARTISANALE LOCALE Afin de favoriser l’économie locale et les comportements éco-responsables, le recours à des entreprises locales est intégré au calcul du CVL. Calcul du Coefficient de Mise en oeuvre Local CML= Coût de mise en œuvre artisanale / Coût totale de l’opération

Critères faisant la spécificité locale d’une entreprise pouvant être pris en compte : Entreprises situées à moins de 150 km du chantier.

Utilisation de matériaux régionaux issus de filière régionale Entreprise artisanale, de moins de 11 salariés Les projets de construction supérieurs à 20 logements devront comprendre un coefficient d’au moins 0,5 de mise en œuvre locale non compensable par le premier coefficient.

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1.

ORIENTATIONS DE SECTEUR

ORIENTATIONS DE SECTEUR QUARTIERS MÉTROPOLITAINS PARCS

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DISPOSITIVE GÉNÉRALE

PRÉAMBULE De nouveaux outils au service du renouveau des savoirs-faire, de la qualité architecturale, du cadre de vie et d’une identité régionale.

Les Orientations d’Aménagement et de Programmation Les OAP prévoient les actions et opérations d’aménagement à mettre en œuvre, notamment pour «mettre en valeur l’environnement, les paysages, les entrées de ville et le patrimoine, lutter contre l’insalubrité, permettre le renouvellement urbain et assurer le développement de la commune».

Elles sont établies en cohérence avec les objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD).

Le Plan Local d’Urbanisme de Clermont-Ferrand entend donner une place significative aux OAP afin d’insufler une dynamique de projet et une vision prospective de la ville autour des grands enjeux identifiés.

Un premier volet stratégique est ainsi conçu comme un outil de préfiguration urbaine à long terme et de co-production de la ville, complèmentaire au règlement et à son caractère normatif.

Il incite les porteurs de projet à s’inscrire dans une dynamique globale autour des enjeux suivants : • la nature en ville et la biodiversité • la recomposition urbaine des Quartiers Métropolitains • la constitution d’un Parc Linéaire et d’un réseau de Sentiers Urbains • les qualités urbaines et paysagères au droit des infrastructures routières et des entrées de villes • la mise en valeur des franges urbaines Ces grandes orientations stratégiques sont complétées, dans un second volet, par des orientations de secteurs portant sur des sites de projet spécifiques Les OAP de secteurs : Répondre à des enjeux fonctionnels, formels et qualitatifs sur des sites définis

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1.1 QUARTIERS MÉTROPOLITAINS

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FICHE D’IDENTITÉ

Secteur stratégique Métropôle (relatif au secteur «quartiers métropolitains») : • pincipaux sites de trasnformations urbaine • encourager une diversité des fonctions avec l’innovation et l’intensification urbaine Zonage du PLUM zone Urbaine Générale Fonction urbaines Mixité des fonctions renforcée :

• à partir de 30 logements, il est recommandé de trouver des locaux destinés à des activités • activités : bureaux, commerces, services, artisanats ou équipements d’intérêt public Mixité sociale 25% Hauteurs 28 mètres maximum • pouvant être dépassée si le projet est un amménagement d’ensemble

• dépassement de 3m si répondant à des critères spécifique (canopée habitée, enjeux écologiques...)

Végétalisation Démarche d’intensification végétale recommandée CBS=0,6 PLT=0,1

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ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

SAINT - JEAN CONTEXTE

Le secteur Saint-Jean est aujourd’hui un site peu qualitatif, concentrant les problématiques (friches, pollution, cité d’urgence, image déqualifiée, etc) mais aussi proche de territoires en développement et potentiellement impacté par des projets porteurs de développement (ligne B, TGV). Il est une composante d’un puzzle urbain en cours de recomposition et doit trouver sa bonne place dans cet ensemble afin de contribuer à ce que les autres éléments du puzzle (territoire ou projet de développement aujourd’hui sectorisés et territorialisés) prennent sens.

Il est composé d’un foncier de maîtrise publique et privée comprenant notamment :

• au nord-ouest, le site des anciens abattoirs, d’une emprise foncière de 5 ha, dont le projet d’implantation du nouveau lycée professionnel Saint-Jean a déjà été défini,

• à l’est, la Cité Herbet, propriété du bailleur public Logidôme, qui s’étend sur près de 2 ha,

• au sud, le site des Ateliers de Construction du Centre (ACC), d’une surface de 5 ha et dont l‘activité fait actuellement l’objet d’une délocalisation,

• au nord et aux abords des voies ferrées, des emprises dont il est actuellement question de requalifier.

Ce secteur constitue l’un des grands secteurs stratégiques du cœur métropolitain au regard des enjeux de la métropole clermontoise. Ce territoire d’entre-deux-villes, entre le centre ville et le centre historique de Montferrand, fait l’objet de réflexions de type projet urbain. Il est considéré comme un Espace de Valorisation et de Requalification Urbaine Prioritaire (EVRUP) contribuant fortement à la constitution de l’image métropolitaine de l’agglomération.

ORIENTATIONS • Apporter une alternative à l’étalement urbain : La proximité des services et des emplois redynamisés à la suite de l’ouverture de l’hôpital d’Estaing, ainsi que la perspective de la nouvelle ligne B de transport en commun, sont autant de critères pour améliorer l’attractivité du cœur d’agglomération.

• Développer la mixité des fonctions urbaines au sein d’une même construction (mixité verticale) ou d’un même ensemble bâti (mixité à l’îlot), notamment avec l’implantation d’une activité artisanale ou industrielle en lien avec la filière des matériaux, qui sera le support du développement d’une section au sein du nouveau lycée professionnel Saint-Jean. Les programmes secondaires et tertiaires sont amenés à se développer exclusivement en pied d’immeuble. Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

• Requalifier et créer des places urbaines structurantes, points d’attraction des différents sentiers urbains faisant l’objets de continuités interquartier. Un axe qualitatif traverse les quartiers métropolitains depuis les Pistes jusqu’au Brézet (via la place de la Rodade, l’interface Montferrand/Francs Rosiers, le parc linéaire, le parvis du lycée Saint-Jean). La pointe de l’îlot Saint-Jean sera particulièrement à développer tant il relie plusieurs sentiers urbains et continuités.

• Améliorer les liaisons du quartier à l’échelle métropolitaine : - en aménageant la continuité du parc linéaire créé en direction des Gravanches.

- en identifiant les principes de localisation des points d’accès au parc linéaire. Ces derniers seront établis au regard de la continuité avec les axes existants mais peuvent évoluer lors de la définition des projets contigus (Saint-Jean, rue Auger, etc,...). Les circulations du parc permettent ainsi de relier les différents quartiers, existants et en devenir.

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• en liant l’ensemble du quartier Saint-Jean au parc qui va constituer plusieurs principaux points d’entrées et de continuités avec la ville.

• en améliorant les traversées du faisceau ferroviaire au droit des axes existants, dans le cadre du maillage des Quartiers Métropolitains ou par la création d’ouvrages dédiés aux modes doux.

• Aménager les sentiers urbains envisagés en améliorant les traversées et continuités piétonnes entre SaintJean et le Brézet et les traversées de l’avenue de l’Agriculture. Il sera nécessaire d’améliorer le confort du cheminement piéton tout en renforçant la présence végétale. La continuité du sentier urbain créé sur le parvis du lycée devra se poursuivre de manière similaire au sein de l’îlot Saint-Jean afin de garder une cohérence paysagère.

• Redéfinir les traversées des grands aménagements routiers, notamment en créant des traversées piétonnes prioritaires, affirmées sous formes de places ou de plateaux, avec une réduction visuelle de l’emprise de la chaussée.

• Requalifier et restructurer la rue Guynemer/Pré la Reine de manière qualitative (apaisement de la circulation, amélioration des traversées, plantations en pied d’immeuble,…) qui deviendra l’interface entre le quartier SaintJean et le parc linéaire créé.

• Structurer les îlots bâtis le long du parc linéaire et la rue Guynemer :

•en laissant libre de constructions, en végétalisant les fonds de parcelles limitrophes de l’espace vert du parc (continuité de biodiversité) ou en créant des façades et toitures végétalisées.

•en réaffirmant des façades urbaines sur le nouvel aménagement de la rue Guynemer, ayant pour enjeux de créer un front urbain impliquant un certain ordonnancement des constructions projetées, et une intelligence de la conception afin d’allier densité, hauteurs, et insertion urbaine.

SCHÉMA DE PRINCIPE

UFR d’Odontologie

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ORIENTATIONS

espaces verts (sportifs, naturels, cités jardins)

grand projet de restructuration d’îlot

espaces publics à créer/valoriser

façade végétale à créer/préservé

façade urbaine à structurer

équipements

amélioration des traversées et des continuités

bâti remarquable à valoriser

tramway A

principe d’implantation des constructions implantation d’une activité artisanale ou industrielle en lien avec la filière des matériaux de constructions

sentier urbains continuités équipement métropolitain à créer

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ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

ÎLOT FRANC ROSIER CONTEXTE Ce secteur constitue un éléments fort dans la création d’un axe reliant Montferrand et l’avenue de la République au quartier Saint-Jean dans le prolongement des rues Gravières et de Braga. A plus grande échelle, ce sentier urbain vise à relier les Pistes jusqu’au Brézet. L’îlot Franc Rosier intervient le long de ce futur sentier urbain comme espace majeur à créer ou à valoriser.

Il comprend différents éléments urbains mutables ou à restructurer : • L’ancienne école chrétienne de l’ordre Lassalien qui a déménagé au 5 rue des Récollets. Bâtiment abandonné et détérioré pour sa majeure partie.

• Une politique publique de redynamisation de l’avenue de la République avec, au niveau de cet îlot, une opportunité de retravailler la façade de l’avenue.

Ce secteur bénéficie de la présence de nombreux équipements sportifs, universitaires, administratifs ainsi que du tramway. Situé entre Clermont-Ferrand et le vieux Montferrand au niveau de l’avenue de la République, on retrouve également à proximité directe le stade Marcel-Michelin, l’Aventure Michelin ainsi que la place du Premier Mai. Sa proximité avec le futur quartier Saint-Jean conforte cette position stratégique.

ORIENTATIONS • Implanter de nouvelles constructions le long de l’avenue de la République selon le principe d’alignement sur rue que l’on retrouve sur place. L’îlot Franc Rosier, de part son caractère privé, n’a pas suivi la structuration de l’avenue, l’enjeu est ici d’intégrer l’îlot à une dynamique existante en créant un front urbain en alliant densité, hauteurs et insertion urbaine.

• Penser l’ilot comme un lieu de restructuration urbaine. Le site de l’ancienne école Lassalienne étant un espace sous-occupé se situ à l’interface de grands sites de projet comme le quartier Saint-Jean. L’idée étant d’aménager l’îlot dans une optique de grande continuité inter-quartier à l’aide de continuités et de maillages urbains reprenant les principes de sentiers urbains.

• Créer des espaces publics de proximité permettant des micro-porosités dans le tissu urbain de l’avenue de la République entre différentes mobilités. Pensé le cœur d’îlot comme parc urbain profitant aux locataires de l’îlot et plus largement du quartier.

• Un édifice religieux peu mis en valeur : la chapelle des Francs Rosiers. Cet édifice est à prendre en compte lors de la réalisation des projets afin de le mettre en valeur dans une logique d’ouverture sur la ville.

• Développer une mixité des fonctions urbaines au sein d’une même construction (mixité verticale) ou d’un même ensemble bâti (mixité à l’îlot). Ils veilleront également à développer l’animation urbaine et les

services de proximité, en proposant des locaux commerciaux ou à usages collectif au sein des rez-de-chaussée (notamment sur l’axe structurant qu’est l’avenue de la République et au droit des espaces publics majeurs). Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

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SCHÉMA DE PRINCIPE

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Centre Diocésain de Pastorale

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ORIENTATIONS

espaces verts (sportifs, naturels, cités jardins)

grand projet de restructuration d’îlot

espaces publics à créer/valoriser

façade végétale à créer/préservé

bâti remarquable à valoriser

équipements

amélioration des traversées et des continuités

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1.2 PARCS

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FICHE D’IDENTITÉ

Secteur stratégique Parcs (relatif au secteur «parcs») : • axe d’entrée de la nature en vile • constitution d’un parc urbain linéaire Zonage du PLUM zone Urbaine Générale Fonction urbaines Mixité des fonctions :

• à partir de 30 logements, il est recommandé de trouver des locaux destinés à des activités • activités : bureaux, commerces, services, artisanats ou équipements d’intérêt public Mixité sociale 0% Hauteurs 22 mètres maximum • pouvant être dépassée si le projet est un amménagement d’ensemble

• dépassement de 3m si répondant à des critères spécifique (canopée habitée, enjeux écologiques...)

Végétalisation Démarche de diffusion du parc CBS=0,6 PLT=0,2

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ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

KESSLER / MURAILLE DE CHINE CONTEXTE Ce secteur représente un espace de transition entre des formes urbaines de faubourg et le tissus des grands ensemble et de pavillonnaire de Saint-Jacques. Il est marqué par un relief important qui place le plateau de Saint-Jacques à plus de 40 mètres au dessus de la place de Jaude. Le site de la Muraille de Chine qui borde le plateau au Nord est donc un site particulièrement visible depuis tout Clermont. Il est à la fois belvédère et totem. Le secteur est aussi fortement marqué par la ligne de chemin de fer qui le coupe en deux d’est en ouest. Reliant Clermont-Ferrand, Royat et Volvic, cet axe constitu une véritable barrière entre la ville historique et la ville du XXe siècle. Enfin, le Viaduc, qui permet de lier les premiers boulevards au plateau de Saint-Jacques, constitu une infrastructure efficace mais inadaptée au nouveaux modes de mobilité.

Il comprend de nombreuses emprises mutables ou à restructurer :

• les îlots en friche, situés entre les rues Kessler et Rabanesse, pour lesquels des orientations ont déjà été définies dans le cadre de l’ancienne Zone d’Aménagement Concerté Kessler Rabanesse • les grands ensembles constitués de la «Muraille de Chine» et de la barre située allée des Dômes, dont les restructurations (réhabilitation ou démolition) sont envisagées dans le cadre du NPNRU (Nouveau Programme National de Rénovation Urbaine) • les îlots situés de part et d’autre de la voie ferrée, notamment l’ancien site de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture.

Ce secteur bénéficie de la présence de nombreux équipements culturels, sportifs et universitaires ainsi que du tramway. Situé entre le centre de Clermont-Ferrand et le campus des Cézeaux, il constitue un site pivot stratégique pour le développement de la vie étudiante clermontoise (enseignement, logements, services et équipements).

ORIENTATIONS • Implanter de nouvelles constructions le long de la rue Rabanesse, selon le principe de cinq séquences homogènes d’un point de vue morphologique et architectural avec une alternance entre des éléments bas et des émergences plus hautes afin de recréer un profil urbain singulier, assurant la transition entre tissu historique et périphérique • Créer des espaces publics de proximité en relation avec chaque séquence, qui permettent des micro porosités dans le tissu urbain et l’articulation entre différentes mobilités avec notamment la rue Kessler qui devient le support d’un mail piéton et la réalisation d’une place urbaine face à l’école des Beaux-Arts en mettant en valeur le bâti patrimonial de la Tour Blaise Pascal.

• Mettre en œuvre un programme de rénovation urbaine sur la «Muraille de Chine» et la tour attenante.

En cas de démolition, de nouvelles constructions pourront être envisagées sur le site à condition de laisser des respirations et des transparences depuis le haut du coteau. Il s’agit notamment de laisser libre un espace en belvédère dans la continuité de la place George Sand et de permettre des accès vers l’espace vert du coteau. De part sa situation stratégique visible depuis tout Clermont-Ferrand, ce site devra constituer un exemple de la culture constructive Clermontoise. Il devra aussi accueillir une diversité d’usages afin d’endiguer la monofonctionnalité du quartier. Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

• Permettre la création d’une grande continuité, reprenant le principe des sentiers urbains, depuis le jardin Lecoq jusqu’à l’axe aménagé de la rue George Rissler. Il s’agit notamment d’aménager une continuité douce sur l’ancien site de l’école d’architecture, depuis le parvis des Beaux-Arts jusqu’au viaduc.

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• Améliorer le traitement et les fonctionnalités du viaduc :

• en qualifiant des espaces sous-viaduc (traitement paysager, nouvelles constructions...),

• en permettant un accès piéton depuis l’espace vert du coteau, la rue du Pont Saint- Jacques et les quais de la halte ferroviaire.

• Requalifier les accès à la halte ferroviaire et renforcer l’intermodalité autour de la station (vélos en libreservice, cheminement vers les autres transports en commun...).

• Restructurer progressivement les îlots bâtis entre les boulevards de ceinture et l’espace vert du coteau : en réaffirmant des façades urbaines sur le boulevard Côte Blatin et la rue du Pont Saint- Jacques, notamment en limitant la visibilité des stationnements • en organisant des continuités vertes et des porosités visuelles, entre l’espace vert du coteau et les voies ferrées, entre les voies ferrées et le boulevard Côte Blatin • en laissant libre de constructions ou en végétalisant les fonds de parcelles limitrophes de l’espace vert du coteau et des talus ferroviaires (continuité de biodiversité) • en réaménageant les espaces de stationnement jouxtant les lieux de nature en y accentuant la présence végétale • en insérant en plus de l’habitat des programmes valorisants les savoir faire artisanaux locaux et en décloisonnant les usages pour permettre l’avènement d’une ville productive dans les centres villes • en favorisant une architecture singulière, exemple de la diversité des modes constructifs et des filières locales.

SCHÉMA DE PRINCIPE CENTRE CLERMONT

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Maison des Sciences de l’Homme

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Maison Internationale Universitaire

Institut Universitaire Professionalisé

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QUARTIER SAINT-JACQUES

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ORIENTATIONS

espaces verts (sportifs, naturels, cités jardins)

grand projet de restructuration d’îlot

équipements

amélioration des traversées et des continuités

bâti remarquable à valoriser

principe d’implantation des constructions

sentier urbains

implantation d’une activité artisanale ou industrielle en lien avec la filière des matériaux de constructions

continuités

tramway A

façade végétale à créer/préservé

espaces publics à créer/valoriser façade urbaine à structurer

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ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

KESSLER / MURAILLE DE CHINE CONTEXTE Ce secteur représente un espace de transition entre des formes urbaines de faubourg et le tissus des grands ensemble et de pavillonnaire de Saint-Jacques. Il est marqué par un relief important qui place le plateau de Saint-Jacques à plus de 40 mètres au dessus de la place de Jaude. Le site de la Muraille de Chine qui borde le plateau au Nord est donc un site particulièrement visible depuis tout Clermont. Il est à la fois belvédère et totem. Le secteur est aussi fortement marqué par la ligne de chemin de fer qui le coupe en deux d’est en ouest. Reliant Clermont-Ferrand, Royat et Volvic, cet axe constitu une véritable barrière entre la ville historique et la ville du XXe siècle. Enfin, le Viaduc, qui permet de lier les premiers boulevards au plateau de Saint-Jacques, constitu une infrastructure efficace mais inadaptée au nouveaux modes de mobilité.

Il comprend de nombreuses emprises mutables ou à restructurer :

• les îlots en friche, situés entre les rues Kessler et Rabanesse, pour lesquels des orientations ont déjà été définies dans le cadre de l’ancienne Zone d’Aménagement Concerté Kessler Rabanesse • les grands ensembles constitués de la «Muraille de Chine» et de la barre située allée des Dômes, dont les restructurations (réhabilitation ou démolition) sont envisagées dans le cadre du NPNRU (Nouveau Programme National de Rénovation Urbaine) • les îlots situés de part et d’autre de la voie ferrée, notamment l’ancien site de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture.

Ce secteur bénéficie de la présence de nombreux équipements culturels, sportifs et universitaires ainsi que du tramway. Situé entre le centre de Clermont-Ferrand et le campus des Cézeaux, il constitue un site pivot stratégique pour le développement de la vie étudiante clermontoise (enseignement, logements, services et équipements).

ORIENTATIONS • Implanter de nouvelles constructions le long de la rue Rabanesse, selon le principe de cinq séquences homogènes d’un point de vue morphologique et architectural avec une alternance entre des éléments bas et des émergences plus hautes afin de recréer un profil urbain singulier, assurant la transition entre tissu historique et périphérique • Créer des espaces publics de proximité en relation avec chaque séquence, qui permettent des micro porosités dans le tissu urbain et l’articulation entre différentes mobilités avec notamment la rue Kessler qui devient le support d’un mail piéton et la réalisation d’une place urbaine face à l’école des Beaux-Arts en mettant en valeur le bâti patrimonial de la Tour Blaise Pascal.

• Mettre en œuvre un programme de rénovation urbaine sur la «Muraille de Chine» et la tour attenante.

En cas de démolition, de nouvelles constructions pourront être envisagées sur le site à condition de laisser des respirations et des transparences depuis le haut du coteau. Il s’agit notamment de laisser libre un espace en belvédère dans la continuité de la place George Sand et de permettre des accès vers l’espace vert du coteau. De part sa situation stratégique visible depuis tout Clermont-Ferrand, ce site devra constituer un exemple de la culture constructive Clermontoise. Il devra aussi accueillir une diversité d’usages afin d’endiguer la monofonctionnalité du quartier. Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

• Permettre la création d’une grande continuité, reprenant le principe des sentiers urbains, depuis le jardin Lecoq jusqu’à l’axe aménagé de la rue George Rissler. Il s’agit notamment d’aménager une continuité douce sur l’ancien site de l’école d’architecture, depuis le parvis des Beaux-Arts jusqu’au viaduc.

PLAN LOCAL D’URBANISME DE CLERMONT-FERRAND - RÈGLEMENT - PLU APPROUVÉ - 03 MARS 2019

ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

KESSLER / MURAILLE DE CHINE CONTEXTE Ce secteur représente un espace de transition entre des formes urbaines de faubourg et le tissus des grands ensemble et de pavillonnaire de Saint-Jacques. Il est marqué par un relief important qui place le plateau de Saint-Jacques à plus de 40 mètres au dessus de la place de Jaude. Le site de la Muraille de Chine qui borde le plateau au Nord est donc un site particulièrement visible depuis tout Clermont. Il est à la fois belvédère et totem. Le secteur est aussi fortement marqué par la ligne de chemin de fer qui le coupe en deux d’est en ouest. Reliant Clermont-Ferrand, Royat et Volvic, cet axe constitu une véritable barrière entre la ville historique et la ville du XXe siècle. Enfin, le Viaduc, qui permet de lier les premiers boulevards au plateau de Saint-Jacques, constitu une infrastructure efficace mais inadaptée au nouveaux modes de mobilité.

Il comprend de nombreuses emprises mutables ou à restructurer :

• les îlots en friche, situés entre les rues Kessler et Rabanesse, pour lesquels des orientations ont déjà été définies dans le cadre de l’ancienne Zone d’Aménagement Concerté Kessler Rabanesse • les grands ensembles constitués de la «Muraille de Chine» et de la barre située allée des Dômes, dont les restructurations (réhabilitation ou démolition) sont envisagées dans le cadre du NPNRU (Nouveau Programme National de Rénovation Urbaine) • les îlots situés de part et d’autre de la voie ferrée, notamment l’ancien site de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture.

Ce secteur bénéficie de la présence de nombreux équipements culturels, sportifs et universitaires ainsi que du tramway. Situé entre le centre de Clermont-Ferrand et le campus des Cézeaux, il constitue un site pivot stratégique pour le développement de la vie étudiante clermontoise (enseignement, logements, services et équipements).

ORIENTATIONS • Implanter de nouvelles constructions le long de la rue Rabanesse, selon le principe de cinq séquences homogènes d’un point de vue morphologique et architectural avec une alternance entre des éléments bas et des émergences plus hautes afin de recréer un profil urbain singulier, assurant la transition entre tissu historique et périphérique • Créer des espaces publics de proximité en relation avec chaque séquence, qui permettent des micro porosités dans le tissu urbain et l’articulation entre différentes mobilités avec notamment la rue Kessler qui devient le support d’un mail piéton et la réalisation d’une place urbaine face à l’école des Beaux-Arts en mettant en valeur le bâti patrimonial de la Tour Blaise Pascal.

• Mettre en œuvre un programme de rénovation urbaine sur la «Muraille de Chine» et la tour attenante.

En cas de démolition, de nouvelles constructions pourront être envisagées sur le site à condition de laisser des respirations et des transparences depuis le haut du coteau. Il s’agit notamment de laisser libre un espace en belvédère dans la continuité de la place George Sand et de permettre des accès vers l’espace vert du coteau. De part sa situation stratégique visible depuis tout Clermont-Ferrand, ce site devra constituer un exemple de la culture constructive Clermontoise. Il devra aussi accueillir une diversité d’usages afin d’endiguer la monofonctionnalité du quartier. Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

• Permettre la création d’une grande continuité, reprenant le principe des sentiers urbains, depuis le jardin Lecoq jusqu’à l’axe aménagé de la rue George Rissler. Il s’agit notamment d’aménager une continuité douce sur l’ancien site de l’école d’architecture, depuis le parvis des Beaux-Arts jusqu’au viaduc.

PLAN LOCAL D’URBANISME DE CLERMONT-FERRAND - RÈGLEMENT - PLU APPROUVÉ - 03 MARS 2019

ORIENTATIONS STRATÉGIQUES

KESSLER / MURAILLE DE CHINE CONTEXTE Ce secteur représente un espace de transition entre des formes urbaines de faubourg et le tissus des grands ensemble et de pavillonnaire de Saint-Jacques. Il est marqué par un relief important qui place le plateau de Saint-Jacques à plus de 40 mètres au dessus de la place de Jaude. Le site de la Muraille de Chine qui borde le plateau au Nord est donc un site particulièrement visible depuis tout Clermont. Il est à la fois belvédère et totem. Le secteur est aussi fortement marqué par la ligne de chemin de fer qui le coupe en deux d’est en ouest. Reliant Clermont-Ferrand, Royat et Volvic, cet axe constitu une véritable barrière entre la ville historique et la ville du XXe siècle. Enfin, le Viaduc, qui permet de lier les premiers boulevards au plateau de Saint-Jacques, constitu une infrastructure efficace mais inadaptée au nouveaux modes de mobilité.

Il comprend de nombreuses emprises mutables ou à restructurer :

• les îlots en friche, situés entre les rues Kessler et Rabanesse, pour lesquels des orientations ont déjà été définies dans le cadre de l’ancienne Zone d’Aménagement Concerté Kessler Rabanesse • les grands ensembles constitués de la «Muraille de Chine» et de la barre située allée des Dômes, dont les restructurations (réhabilitation ou démolition) sont envisagées dans le cadre du NPNRU (Nouveau Programme National de Rénovation Urbaine) • les îlots situés de part et d’autre de la voie ferrée, notamment l’ancien site de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture.

Ce secteur bénéficie de la présence de nombreux équipements culturels, sportifs et universitaires ainsi que du tramway. Situé entre le centre de Clermont-Ferrand et le campus des Cézeaux, il constitue un site pivot stratégique pour le développement de la vie étudiante clermontoise (enseignement, logements, services et équipements).

ORIENTATIONS • Implanter de nouvelles constructions le long de la rue Rabanesse, selon le principe de cinq séquences homogènes d’un point de vue morphologique et architectural avec une alternance entre des éléments bas et des émergences plus hautes afin de recréer un profil urbain singulier, assurant la transition entre tissu historique et périphérique • Créer des espaces publics de proximité en relation avec chaque séquence, qui permettent des micro porosités dans le tissu urbain et l’articulation entre différentes mobilités avec notamment la rue Kessler qui devient le support d’un mail piéton et la réalisation d’une place urbaine face à l’école des Beaux-Arts en mettant en valeur le bâti patrimonial de la Tour Blaise Pascal.

• Mettre en œuvre un programme de rénovation urbaine sur la «Muraille de Chine» et la tour attenante.

En cas de démolition, de nouvelles constructions pourront être envisagées sur le site à condition de laisser des respirations et des transparences depuis le haut du coteau. Il s’agit notamment de laisser libre un espace en belvédère dans la continuité de la place George Sand et de permettre des accès vers l’espace vert du coteau. De part sa situation stratégique visible depuis tout Clermont-Ferrand, ce site devra constituer un exemple de la culture constructive Clermontoise. Il devra aussi accueillir une diversité d’usages afin d’endiguer la monofonctionnalité du quartier. Les nouvelles constructions pressenties pour accueillir un niveau d’usage productif devront voir leur hauteur sous plafond du dis niveau être égal ou supérieur à 6m.

• Permettre la création d’une grande continuité, reprenant le principe des sentiers urbains, depuis le jardin Lecoq jusqu’à l’axe aménagé de la rue George Rissler. Il s’agit notamment d’aménager une continuité douce sur l’ancien site de l’école d’architecture, depuis le parvis des Beaux-Arts jusqu’au viaduc.

PLAN LOCAL D’URBANISME DE CLERMONT-FERRAND - RÈGLEMENT - PLU APPROUVÉ - 03 MARS 2019