Elan 3B - Guide - Extrait

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Livre de l’enseignant(e)

Catherine Charles - Julien Deknock Jérémy Distatte

Guide de l’enseignant(e)

Catherine Charles - Julien Deknock
Jérémy Distatte

↘ Composition d’Élan 3

Pour l’élĂšve : 2 livres-cahiers A et B

Pour l’enseignant : 2 livres de l’enseignant (comprenant le corrigĂ©)

Des documents téléchargeables disponibles sur www.wazzou.be

Les manuels numériques (A et B) disponibles sur www.wazzou.be

↘ Élan Livre de l’enseignant(e) 3B

Auteurs : Catherine Charles Julien Deknock Jérémy Distatte

Illustrations : K’ Naye – Karine NayĂ©-Roy Conception, couverture et mise en page : Kiv’LĂ ! – Softwin

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Tous droits rĂ©servĂ©s. En dehors des exceptions dĂ©finies par la loi, cet ouvrage ne peut ĂȘtre reproduit, enregistrĂ© dans un fichier informatisĂ© ou rendu public, mĂȘme partiellement, par quelque moyen que ce soit, sans l’autorisation Ă©crite de l’éditeur.

1re édition, 4e réimpression 2024

© Éditions VAN IN, Mont-Saint-Guibert – Wommelgem, 2021

ISBN 978-90-306-9848-7

D/2021/0078/46

Art. 596922/05

Chapitre 7

Table des matiĂšres

Savoirs et savoir-faire abordés

Chapitre 8 L'horoscope

Chapitre 9

Chapitre 10

Savoirs

Chapitre 11

Table des pictos

Travail individuel

Travail en duo

Travail en petits groupes

Travail en groupe-classe

Matériel à télécharger sur Wazzou et à photocopier

Les textes accompagnĂ©s de ce picto ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s en version audio et sont disponibles en tĂ©lĂ©chargement sur Wazzou. Pour une question de temps, de facilitĂ© ou pour aider Ă  la lecture, l’enseignant(e) peut donc dĂ©cider de les faire Ă©couter Ă  certains des ses Ă©lĂšves.

Question explicite

Question implicite

Introduction

Élan ! Pourquoi ce titre ?

« Prenez votre Élan ! »

Le jeu de mot est « un peu facile », mais il prend ici tout son sens. En effet, grĂące Ă  cette nouvelle mĂ©thode, nous souhaitons insuffler une dynamique Ă  l’élĂšve : qu’il s’élance en confiance sur le chemin de l’apprentissage !

Mais l’élan, c’est aussi – et surtout – cet animal majestueux et fort, dont les bois ont pour nous une signification toute particuliĂšre


Une histoire de chemins

Avez-vous remarqué que notre élan a trois bois ?

Chacun de ces bois reprĂ©sente dans notre mĂ©thode un des chemins que nous proposons Ă  l’élĂšve. En effet, notre ambition, pour que chaque Ă©lĂšve puisse construire du sens en tant que rĂ©cepteur d’un message Ă©crit, est de proposer diffĂ©rents chemins adaptĂ©s pour y parvenir, dans une logique Ă©lĂ©mentaire de diffĂ©renciation pĂ©dagogique. DĂ©couvrons ensemble de quoi il s’agit


Lire, c’est construire du sens en tant que rĂ©cepteur du message Ă©crit.

Au dĂ©part d’évaluations diagnostiques (tĂ©lĂ©chargeables grĂące au code prĂ©sent dans le guide), l’enseignant(e) peut, Ă  diffĂ©rents moments de l’annĂ©e scolaire, rĂ©partir ses Ă©lĂšves en diffĂ©rents groupes de besoin. En fonction de son groupe, chaque Ă©lĂšve reçoit un texte de mĂȘme sens − porte d’entrĂ©e de chaque chapitre − mais aux difficultĂ©s adaptĂ©es Ă  ses compĂ©tences propres.

Ainsi, parmi les trois ou quatre textes proposés, les paramÚtres suivants varient :

Æ la longueur des phrases, du texte ;

Æ la construction syntaxique des phrases ;

Æ le niveau de vocabulaire ;

Æ la prĂ©sence ou non d’indices externes (illustrations, extraits sonores...) ;

Æ la police (type de police, taille, interligne
).

Écrire, c’est produire du sens en tant qu’émetteur d’un message.

Chaque chapitre se termine par une mission d’écriture, permettant Ă  l’élĂšve lecteur de devenir un Ă©lĂšve producteur de textes. Cette Ă©tape essentielle est favorisĂ©e en amont par le travail, en contexte, des outils de langue nĂ©cessaires Ă  la production d’écrit.

Et sur le chemin lui-mĂȘme, que fait-on ?

MĂȘme si chaque Ă©lĂšve a reçu un texte adaptĂ© Ă  ses besoins en dĂ©but de chapitre, les exercices et les apprentissages sont identiques pour tous les Ă©lĂšves.

La structure des chapitres est Ă©galement commune et s’articule autour des points suivants :

Æ Je dĂ©couvre le texte

Æ Je comprends le texte (notamment au moyen de stratĂ©gies de lecture)

Æ Je dĂ©couvre le genre du texte Ă©tudiĂ© et sa superstructure

Æ Mes missions : La tĂąche finale que l’élĂšve aura Ă  produire au terme de la sĂ©quence y est dĂ©taillĂ©e.

Æ Mes outils (de langue) : L’orthographe, la grammaire, la conjugaison et le vocabulaire y sont envisagĂ©s dans une progression chronologique cohĂ©rente mais aussi et surtout travaillĂ©s de façon signifiante et contextualisĂ©e. En effet, les outils au service de la langue abordĂ©s seront ceux qui permettront Ă  l’élĂšve de produire l’écrit final.

Æ Ma production

Æ Mon Ă©valuation : L’élĂšve y a l’occasion de s’auto-Ă©valuer avant l’évaluation de l’enseignant(e).

Le « savoir parler » et le « savoir Ă©couter » ne sont pas en reste et sont travaillĂ©s rĂ©guliĂšrement dans chaque chapitre Ă  diffĂ©rents endroits de la structure proposĂ©e ci-dessus, complĂ©tant notre volontĂ© d’aborder en profondeur l’ensemble des compĂ©tences de français. Ainsi par exemple, chaque chapitre dĂ©bute par une proposition d’audio et de vidĂ©o qui contextualise le thĂšme abordĂ©. Ces entrĂ©es seront disponibles via les QR codes de la page de garde dĂšs juin 2021.

Évaluations diagnostiques et groupes de besoin

Pourquoi des groupes de besoin ?

Lors de l’apprentissage de la lecture, le travail des compĂ©tences qui l’accompagnent s’arrĂȘte souvent aprĂšs la 2e primaire.

DĂšs la 3e, le plus souvent, les Ă©lĂšves se retrouvent devant un texte avec la consigne de le lire et de rĂ©pondre Ă  une sĂ©rie de questions s’y rapportant. En faisant cela, on Ă©met le postulat que chaque Ă©lĂšve, Ă  partir de la 3e primaire, possĂšde toutes les habiletĂ©s de la lecture.

Pourtant, nous savons qu’aujourd’hui, nombreux sont ceux qui ne maitrisent pas encore la lecture. Lire un texte demande d’apprendre des stratĂ©gies, et celles-ci sont trop souvent nĂ©gligĂ©es. Dans Élan, nous avons dĂ©cidĂ© d’intĂ©grer l’apprentissage de ces stratĂ©gies dans le livre-cahier.

Bien sĂ»r, plus un Ă©lĂšve lit, meilleure sera sa lecture. Mais cela ne suffit pas. Pour comprendre un texte, l’élĂšve doit apprendre Ă  lire les syllabes, les mots, les groupes de mots par unitĂ© de sens, et mĂȘme par groupes de mots non pertinents. Il faut Ă©galement tenir compte de la fluiditĂ© de la lecture, du respect de la ponctuation, de la vitesse de lecture, de l’intonation, de la comprĂ©hension du vocabulaire
 Tout ceci contribue Ă  la comprĂ©hension du texte et est Ă©valuĂ©, dans Élan, grĂące aux Ă©valuations diagnostiques.

Trois Ă©valuations diagnostiques sont proposĂ©es. L’objectif est de mesurer la maitrise des diffĂ©rents points utiles et indispensables Ă  l’apprentissage de la lecture et surtout Ă  sa comprĂ©hension :

‱ la vitesse de lecture ;

‱ la fluiditĂ© de lecture ;

‱ la mĂ©moire de travail ;

‱ la motivation de lecture.

GrĂące Ă  ces Ă©valuations diagnostiques, l’enseignant(e) pourra crĂ©er des groupes de besoin au sein de sa classe en choisissant parmi les diffĂ©rentes versions de textes d’entrĂ©e celui qui est le plus adaptĂ© Ă  chaque Ă©lĂšve. Nous le rappelons : quel que soit le texte travaillĂ©, la totalitĂ© du cahier pourra de toute façon ĂȘtre rĂ©alisĂ©e par chaque enfant.

Le groupe de besoin a pour but de mettre chaque enfant en situation de rĂ©ussite par rapport au texte d’entrĂ©e de la sĂ©quence et par consĂ©quent dans toutes les activitĂ©s de la sĂ©quence. La production finale pourra, elle aussi, ĂȘtre modulĂ©e en fonction du groupe de besoin.

Nous insistons sur le fait qu’il s’agit d’une Ă©valuation individuelle, qui doit idĂ©alement se dĂ©rouler au cĂŽtĂ© de l’enseignant(e).

Par ailleurs, tout au long de l’annĂ©e, des exercices de lecture en tĂ©lĂ©chargement vont permettre aux Ă©lĂšves d’exercer leur fluiditĂ© de lecture, leur vitesse, leur mĂ©moire de travail. Ces exercices peuvent ĂȘtre proposĂ©s aux Ă©lĂšves au travers d’ateliers en classe ou de travail individuel Ă  domicile.

ConcrĂštement, comment crĂ©er les diffĂ©rents groupes de besoin en dĂ©but d’annĂ©e ?

Nous proposons que les groupes de besoin soient construits autour de l’apprentissage de la lecture. Ces groupes de besoin peuvent donc varier rĂ©guliĂšrement tout au long de l’annĂ©e et mĂȘme Ă  chaque nouvelle sĂ©quence. Pour aider l’enseignant(e) Ă  construire ses premiers groupes de besoin, nous proposons de faire passer Ă  chaque enfant l’évaluation diagnostique en lecture n° 1 en dĂ©but d’annĂ©e (septembre).

Pour autant, l’enseignant(e) peut aussi dĂ©cider que sa classe est assez homogĂšne pour ne crĂ©er qu’un seul groupe de besoin. Tous les Ă©lĂšves recevront alors le mĂȘme texte de dĂ©part.

Par contre, pour une gestion optimale du groupe-classe, nous vous conseillons de faire maximum 3 groupes de besoin.

Il se pourrait tout Ă  fait bien que vous n’ayez pas besoin d’évaluer vos Ă©lĂšves pour crĂ©er vos groupes de besoin, votre connaissance du groupe-classe Ă©tant toujours prĂ©dominante sur l’évaluation.

Et en cours d’annĂ©e ? Comment faire Ă©voluer les groupes de besoin ?

Les Ă©valuations diagnostiques 2 et 3 permettent Ă  l’enseignant(e) de mesurer la progression de chaque Ă©lĂšve. DĂšs lors, elles se feront au cours de l’annĂ©e Ă  l’apprĂ©ciation de l’enseignant(e) et ne doivent par ailleurs pas forcĂ©ment avoir lieu au mĂȘme moment pour tous les Ă©lĂšves, chaque Ă©lĂšve progressant Ă  des vitesses diffĂ©rentes.

Chaque Ă©volution des groupes de besoin ne doit par ailleurs pas obligatoirement passer par une Ă©valuation diagnostique. Le choix du texte peut ĂȘtre dictĂ© par le thĂšme de la sĂ©quence, par le type de texte prĂ©sentĂ© ou par l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral des Ă©lĂšves.

Comment attribuer les diffĂ©rents textes d’entrĂ©e ?

Dans le guide, Ă  chaque entrĂ©e de sĂ©quence, une explication plus dĂ©taillĂ©e des diffĂ©rents textes d’entrĂ©e vous permettra d’apprĂ©hender au mieux les diffĂ©rences entre chaque texte et de les distribuer Ă  vos groupes de besoin le mieux possible.

Un jeu de cartes : Graines de castor

Ces derniĂšres annĂ©es, de nombreuses recherches scientifiques ont dĂ©montré qu’une « évaluation » trĂšs rĂ©guliĂšre est plus profitable que la rĂ©pĂ©tition excessive du mĂȘme type d’exercice.

Conscients de la difficulté de mettre cela en place dans vos classes et attentifs à ce que cela soit le plus ludique possible, nous avons créé un jeu de cartes : Graines de castor

Mesoutils

Ce jeu de cartes reprend, par chapitre, la matiĂšre travaillĂ©e dans les outils de la langue. Des questions courtes, prĂ©cises et fermĂ©es sont proposĂ©es aux Ă©lĂšves. Les rĂ©ponses se trouvant sur les cartes, les Ă©lĂšves peuvent travailler en autonomie, sans l’enseignant(e). Les rĂšgles du jeu sont prĂ©sentĂ©es Ă  la page suivante de ce guide.

Pour que cette activitĂ© soit efficace et que les notions soient travaillĂ©es et retravaillĂ©es le plus souvent possible, la clĂ© de la rĂ©ussite, c’est la rĂ©gularitĂ©. On pourrait par exemple imaginer organiser tous les matins par groupe de 2 ou 3 une sĂ©ance de 8 minutes de ce jeu de cartes. Ce serait une maniĂšre ludique, enrichissante et intĂ©ressante de commencer la journĂ©e.

De plus, l’interaction entre Ă©lĂšves, le confrontation de leurs opinions ou de leurs rĂ©ponses est un moyen trĂšs performant d’apprentissage et de progression individuelle. En effet, toute la matiĂšre vue dans les outils de la langue sera vue, expliquĂ©e et rĂ©expliquĂ©e par les Ă©lĂšves et pour les Ă©lĂšves.

Attention, nous insistons sur le fait que mĂȘme si nous appelons cela une « évaluation », il n’est en aucun cas utile d’intervenir dans le travail des Ă©lĂšves et de noter cette activitĂ© journaliĂšre.

Conclusion

Aussi vrai que les bois de l’élan sont larges, de grande envergure et ramifiĂ©s en de nombreux cors, les chemins que l’élĂšve emprunte pour apprendre sont multiples et comportent de nombreux embranchements. Aussi il nous tient Ă  cƓur de vous proposer un manuel d’apprentissage du français qui tient compte de cette rĂ©alitĂ© pour que tous les Ă©lĂšves... prennent leur Élan !

Découvrez ici notre vidéo de présentation de la collection :

Graines de castor – Rùgles du jeu

Nombre de joueurs : 2 ou 3 élÚves

Matériel : Cartes correspondant aux différents chapitres du livre-cahier

DĂ©roulement de l’activitĂ©

Les Ă©lĂšves jouent uniquement avec les cartes correspondant au(x) chapitre(s) qu’ils ont dĂ©jĂ  travaillĂ©(s) en classe.

Avant de commencer la partie, chaque joueur choisit deux cartes au sort, faces retournées, sans les regarder.

Un des joueurs au choix est désigné maitre du jeu.

Le maitre du jeu pose les questions de ses deux cartes.

Si la réponse est bonne, il passe à la question suivante.

Si elle est fausse, il donne impérativement la bonne réponse avant de continuer.

Il est important que les élÚves ne restent pas sur une mauvaise réponse, mais entendent la réponse correcte.

Le jeu ne se termine que lorsque chaque élÚve a été au moins une fois maitre du jeu.

Nous ne souhaitons pas qu’il y ait un systĂšme de score ou de points, mais chaque enseignant(e) peut faire Ă©voluer la rĂšgle selon son organisation de classe.

Stratégies de lecture

Grammaire

L’interview x

L’horoscope x

Le schéma narratif : la situation initiale x

Le portrait x

Les rùgles d’un jeu x

Les déterminants x x

Les adjectifs qualificatifs x x

Le groupe nominal x

L’indicatif futur simple x x

L’indicatif futur simple des verbes « avoir » et « ĂȘtre » x

L’indicatif futur simple des verbes « aller » et « faire » x

L’indicatif imparfait x x

Conjugaison

L’indicatif imparfait des verbes « avoir » et « ĂȘtre » x

L’indicatif imparfait des verbes en -ger et -cer x

L’impĂ©ratif prĂ©sent x

L’impĂ©ratif prĂ©sent des verbes pronominaux, « avoir », « ĂȘtre » et « savoir » x

Le féminin des noms x x

Écrire les sons mouillĂ©s x x

Orthographe

Vocabulaire

Le pluriel des noms x x x

Les accords dans le groupe nominal x

La famille x

Les métiers x

Les animaux x

Le verbe polysémique « voir » x

Le Moyen Âge x

Le portrait x

Le verbe polysémique « dire » x

Le groupe sujet x x

Analyse

Les compléments du verbe x x

Les compléments circonstanciels x

L’interview x

Rubrique d’horoscope x

Production d’écrit

Situation initiale d’une histoire x

Le portrait x

Les rùgles d’un jeu x

Chapitre

Chapitre 7

Interview de trois stars

SAVOIRS ET SAVOIR-FAIRE ABORDÉS

Savoirs

Attendus

Orienter sa prise de parole, son Ă©coute, sa lecture, son Ă©crit

Composantes de la situation de communication.

parler Ă©couter lire

Ă©crire

Intentions de communication. lire

Ă©crire

parler Ă©couter

Correspondances graphophonétiques.

Citer les paramĂštres de la communication : Ă©nonciateur (qui ?), destinataire (Ă  qui ?), intention dominante (pour quoi ?), message (quoi ?), contexte (oĂč ? quand ?).

RepĂ©rer la diversitĂ© des interlocuteurs : – connu/inconnu ; – familier/non familier ; – un/plusieurs ; – du mĂȘme Ăąge/plus jeune/plus ĂągĂ©.

Connaitre les intentions : – informer ; – donner du plaisir/susciter des Ă©motions ; – enjoindre ; – persuader/convaincre.

Construire un message significatif

Ă©crire lire

Termes du langage technique de la lecture-Ă©criture. lire Ă©crire

Caractéristiques graphiques de la phrase. lire écrire

Lexique courant. parler Ă©couter lire Ă©crire

Termes du langage technique de la grammaire. lire Ă©crire

Classe des mots. lire Ă©crire

Connaitre l’ensemble des correspondances graphophonĂ©tiques simples ou complexes et rares.

Désigner une consonne, une voyelle, un accent aigu, un accent grave, un accent circonflexe, une cédille.

Nommer les signes de ponctuation rencontrĂ©s dans les phrases et les textes : le point, le point d’interrogation, le point d’exclamation, les guillemets, le tiret, les points de suspension.

Désigner les signes de ponctuation rencontrés dans les phrases et les textes : la virgule (dans les énumérations).

Connaitre et comprendre les mots usuels traités dans les messages oraux et dans les supports de lecture de la classe.

Connaitre les notions de classe, de fonction, d’accord, de genre, de nombre et de personne.

Connaitre les critĂšres qui permettent de dĂ©finir la classe : – du nom ; – du verbe ; – du dĂ©terminant ; – de l’adjectif.

Savoirs

Rùgles d’orthographe grammaticale. lire

Ă©crire

Attendus

Connaitre la rÚgle générale de :

– l’accord de l’adjectif en genre et en nombre ; – l’accord du dĂ©terminant en genre et en nombre ; – la formation du pluriel des noms et des adjectifs en « s » ; – la formation du fĂ©minin en « e » ;

– l’accord du verbe avec le sujet.

Savoir que les noms ont un genre et varient en nombre. Conjugaison. lire

Ă©crire

Notion de phrase simple. lire

Ă©crire

Adaptation Ă  la situation de communication.

Stratégies/habiletés de compréhension.

Ă©couter

Connaitre la conjugaison (sans découvrir son systÚme) à toutes les personnes au présent, au futur simple, au futur proche et au passé composé, des verbes fréquents et en -ER avec un radical stable.

Connaitre deux des constituants principaux de la phrase simple* : – groupe sujet ; – groupe prĂ©dicat*.

Connaitre des dĂ©marches pour s’adapter au contexte d’écoute :

– conduites sociales adĂ©quates (attente, silence, gestes, sons) ; – Ă©coute attentive.

Respecter le tour et le temps de parole.

Connaitre la façon d’intervenir Ă  la suite d’une perte de comprĂ©hension (questions, demandes de clarification).

parler Connaitre des démarches pour tenir compte des interlocuteurs :

– vigilance Ă  l’effet produit par les idĂ©es Ă©mises ;

– ajout d’élĂ©ments ou de prĂ©cisions en fonction des rĂ©actions.

Connaitre des expressions pour demander la parole, pour introduire une prise de parole spontanée.

Composantes de la production d’un message oral ou Ă©crit.

Ă©couter lire

Nommer et décrire les stratégies/habiletés de compréhension :

– se crĂ©er des images ((se) construire une reprĂ©sentation mentale du texte) ; – faire des hypothĂšses (anticipation et interprĂ©tation) et les vĂ©rifier ; – rĂ©sumer (percevoir le sens global) ; – retrouver des informations (prĂ©lever des informations explicites) ; – lire entre les lignes (Ă©laborer des infĂ©rences) ; – relier le texte et les illustrations (mettre en relation le texte et les illustrations).

Connaitre le rÎle du contrÎle de sa compréhension.

Ă©crire Maitriser les composantes de la production d’écrit : – planification ; – mise en texte ; – rĂ©vision ; – correction.

Structures textuelles dominantes. lire Ă©crire parler Ă©couter

Connaitre les caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des cinq structures textuelles : – narrative ; – argumentative ; – descriptive ; – dialoguĂ©e ; – explicative.

Savoir-faire

Attendus

Orienter sa prise de parole, son Ă©coute, sa lecture, son Ă©crit

Tenir compte des paramĂštres de la situation de communication.

Assigner un but Ă  sa lecture ou son Ă©coute.

parler Ă©couter lire Ă©crire

Utiliser l’ensemble des correspondances graphophonĂ©tiques.

Utiliser les caractéristiques graphiques de la phrase.

Ă©couter

Identifier l’énonciateur (qui), le destinataire (Ă  qui), l’intention dominante (pour quoi), le message (quoi) et le contexte (oĂč et quand) pour planifier sa prise de parole, son Ă©coute, sa lecture et son Ă©crit. S’adapter Ă  la diversitĂ© des interlocuteurs : – connu/inconnu ; – familier/non familier ; – un/plusieurs ; – du mĂȘme Ăąge/plus jeune/plus ĂągĂ©.

DĂ©terminer un but d’écoute selon l’intention prĂ©cisĂ©e et le support utilisĂ©.

Construire un message significatif/du sens

Apprendre et utiliser le code

lire

Ă©crire

DĂ©velopper une lecture fluide (fluence*).

ContrÎler sa compréhension.

(Se) Construire une représentation mentale du texte.

Émettre des hypothĂšses d’anticipation et d’interprĂ©tation puis les vĂ©rifier.

Ă©crire

Appliquer des stratégies de décodage pour accéder au sens de mots complexes ou inconnus.

Encoder des mots complexes ou inconnus : – en effectuant les conversions phonĂšme-graphĂšme ; – en utilisant sa mĂ©moire ; – en utilisant ses connaissances orthographiques.

Utiliser dans une production personnelle : le point, le point d’interrogation, le point d’exclamation, les guillemets, le tiret, les points de suspension, la virgule (dans une Ă©numĂ©ration), les deux points, l’apostrophe et les parenthĂšses.

Prélever des informations explicites.

lire

Lire avec exactitude, rapidité et expression un texte en respectant les groupes de sens.

Construire du sens Ă  l’aide de stratĂ©gies

Ă©couter lire

Ă©couter lire

Ă©couter lire

Détecter les pertes de compréhension et recourir à des stratégies pour y remédier.

Exprimer la représentation mentale du contenu du texte (entendu) par un moyen verbal ou non verbal (phrase, dessin, création
).

Formuler des hypothĂšses d’anticipation et d’interprĂ©tation et les vĂ©rifier.

Mettre en relation le sens du texte (entendu) avec son vécu.

Exprimer avec ses mots une suite plausible au récit.

Confronter les significations construites personnellement au texte (entendu) et à celles élaborées par les pairs.

Ă©couter Formuler au moins cinq informations explicites essentielles contenues dans un texte entendu.

lire

RepĂ©rer des informations essentielles contenues dans un texte sur la base d’un questionnement.

Formuler ou reformuler des informations essentielles contenues dans un texte.

Savoir-faire

Attendus

Élaborer des infĂ©rences. Ă©couter DĂ©duire des informations implicites Ă  partir des liens exprimĂ©s entre des Ă©lĂ©ments du message, de son vĂ©cu, de ses connaissances.

lire DĂ©duire des informations implicites en reliant : – des informations explicites proches ou Ă©loignĂ©es ; – des informations du texte et son vĂ©cu ou ses connaissances du monde.

Percevoir le sens global. Ă©couter Exprimer avec ses mots le sens global du message entendu Ă  l’aide d’un support proposĂ© ou choisi. Reformuler des idĂ©es essentielles contenues dans le message entendu et dĂ©gagĂ©es collectivement. Effectuer des tĂąches correspondant Ă  un enchainement de consignes entendues.

lire Formuler l’idĂ©e principale d’un texte. DĂ©crire la chronologie d’un texte simple et structurĂ©. Expliquer les liens logiques existant entre les idĂ©es du texte.

Reformuler ou exécuter un enchainement de deux consignes écrites.

Distinguer : – le rĂ©el (factuel) et l’imaginaire (fictionnel) ; – le vraisemblable et l’invraisemblable.

Adopter une lecture respectueuse du contenu du message (droits du texte).

Ă©couter lire

DĂ©gager et reformuler : – les Ă©lĂ©ments rĂ©els ; – les Ă©lĂ©ments imaginaires ; – les Ă©lĂ©ments vraisemblables ; – les Ă©lĂ©ments invraisemblables.

Ă©couter lire Construire le sens du message en restant fidĂšle au contenu lu.

Dégager et assurer la cohérence du message/texte

Identifier le genre du message entendu ou du texte lu.

Ă©couter DĂ©gager des caractĂ©ristiques du message entendu afin d’en identifier le genre.

Repérer les organisateurs textuels pour construire la cohérence.

Identifier le contenu du message et la façon dont il est organisé : – choix des idĂ©es (pertinence, suffisance) ; – organisation des idĂ©es (enchainement des propos avec ce qui prĂ©cĂšde).

lire DĂ©gager les caractĂ©ristiques de la structure textuelle dominante afin d’en dĂ©finir le genre (voir Tableau des genres proposĂ©s par structure textuelle).

Utiliser les termes du support de lecture (paratexte) : titres, sous-titres, paragraphes.

Utiliser les organisateurs textuels pour construire la cohérence.

Organiser son message selon une structure textuelle dominante en fonction de la situation de communication.

Ă©crire Organiser les Ă©lĂ©ments donnĂ©s d’un texte selon les caractĂ©ristiques de la structure dominante proposĂ©e par l’enseignant.

Utiliser des mots ou expressions qui assurent l’enchainement des phrases.

Utiliser des connecteurs de temps et d’énumĂ©ration.

Utiliser les temps appropriés en marquant le présent, le passé (passé composé), le futur (futur simple et futur proche) pour assurer la cohérence temporelle*.

Savoir-faire

Observer le fonctionnement de la langue pour dégager des régularités.

Attendus

Traiter/utiliser les unités lexicales

lire Ă©crire

Utiliser les rùgles d’orthographe lexicale pour produire du sens.

lire

Ă©crire

Repérer des différences et des similitudes morphologiques et de relations sémantiques (synonymes) entre des mots écrits.

Justifier une particularitĂ© orthographique en s’appuyant sur sa connaissance des mots.

Faire ressortir les diffĂ©rents sens d’un mot en le plaçant dans plusieurs contextes.

Relever diffĂ©rentes façons de nommer la mĂȘme rĂ©alitĂ©.

Observer les rÚgles de positions :

– c et ç ;

– g et ge ;

– g et gu ;

– s entre deux voyelles ; – m devant p, b et m.

Émettre des hypothĂšses sur le sens d’un mot inconnu Ă  partir de sa forme et le vĂ©rifier.

Émettre des hypothĂšses sur l’orthographe d’un mot inconnu et laisser une trace du doute pour la vĂ©rifier.

Verbaliser/schématiser les relations que les mots entretiennent entre eux (cartes thématiques ou constellation de mots).

Repérer les homonymes. lire écrire

Prendre appui sur le contexte pour distinguer des homophones.

Choisir la graphie correcte d’un homophone en s’appuyant sur le contexte.

Traiter/utiliser les unités grammaticales

Utiliser l’unitĂ© phrase. Ă©crire

Utiliser la notion de classe des mots. lire Ă©crire

Observer le fonctionnement de la langue. lire parler

Respecter la structure des phrases simples dans une production écrite en utilisant la ponctuation de maniÚre adéquate.

Reconnaitre dans une phrase, un texte, une production personnelle : – nom ; – verbe ; – dĂ©terminant ; – adjectif.

Repérer des différences et des similitudes de formes dans des phrases écrites (en prenant distance par rapport au contenu).

Observer les rÚgles particuliÚres de la formation du féminin.

Observer les rĂšgles particuliĂšres de la formation du pluriel des noms et des adjectifs.

Prendre appui sur les indices grammaticaux pour construire le sens d’un message entendu ou lu.

Ă©couter lire

RepĂ©rer et verbaliser les nuances apportĂ©es par les marques (audibles) nominales : – du nombre (singulier/pluriel) ; – du genre (masculin/fĂ©minin).

RepĂ©rer les marques verbales (audibles) dans le message entendu ou lu : – de personne et de nombre ; – de temps (prĂ©sent, passĂ©, futur).

Repérer les pronoms personnels.

Savoir-faire

Utiliser les rĂšgles d’orthographe grammaticale. parler Ă©crire

Conjuguer. parler Ă©crire

Respecter le systĂšme temporel choisi. parler Ă©crire

Attendus

Repérer et verbaliser les nuances apportées par les marques de la négation.

RepĂ©rer et verbaliser les nuances apportĂ©es par les marques de l’assertion, de l’interrogation, de l’injonction.

Accorder le verbe avec le sujet. Accorder les déterminants en genre et en nombre. Accorder les adjectifs en genre et en nombre.

Conjuguer des verbes fréquents et des verbes en -ER avec un radical stable au présent, au futur simple, au futur proche et au passé composé à toutes les personnes.

Utiliser les formes verbales assurant la construction grammaticale correcte des phrases et la cohérence temporelle*.

Assurer la présentation du message

Maitriser le geste graphique. Ă©crire

Interagir avec autrui.

Automatiser le tracé correct des lettres pour assurer la lisibilité et la présentation de son texte.

Apprécier, agir/réagir, réviser

parler Ă©couter

Questionner ses interlocuteurs :

– suite Ă  une difficultĂ© de comprĂ©hension ;

– pour en savoir plus sur le sujet.

RĂ©pondre Ă  des questions posĂ©es Ă  la suite d’une prise de parole prĂ©parĂ©e.

Formuler un avis Ă  propos d’une prĂ©sentation.

Revenir au sujet lorsqu’on s’en Ă©loigne.

VĂ©rifier et ajuster sa production

RĂ©viser sa production Ă©crite. Ă©crire lire

Ă©crire

Communiquer une production Ă©crite. Ă©crire lire

Relire sa production et vérifier :

– le contenu des idĂ©es ;

– leur organisation dans des phrases respectant une structure dominante choisie (Ă  l’aide d’une grille de rĂ©vision) ;

– le respect de l’intention poursuivie ;

– le respect du/des critĂšre(s) spĂ©cifique(s) dĂ©terminĂ©(s) par l’enseignant.

Ajuster sa production en fonction des pistes de rĂ©vision issues d’un Ă©change avec l’enseignant ou les pairs.

Corriger une production de son choix Ă  l’aide d’une grille de vĂ©rification et des rĂ©fĂ©rentiels de la classe en vue de la partager.

COMPÉTENCES ABORDÉES

CompĂ©tences ÉCOUTER

Attendus ÉCOUTER

Manifester sa compréhension

Manifester sa comprĂ©hension d’un message entendu dont l’intention est : – d’informer.

En répondant à des questions ou en produisant un dessin, des phrases ou une action qui donne à voir certains des éléments suivants :

– les liens Ă©tablis entre l’implicite et l’explicite ;

– les connaissances personnelles mobilisĂ©es ;

– l’intention de l’auteur ;

– les relations entre les Ă©lĂ©ments (texte-illustrations Ă©ventuelles, liens logiques).

Écouter dans une situation d’échanges

Écouter dans une situation d’échanges. Lors d’un Ă©change en groupe :

– tĂ©moigner de son Ă©coute ; – adopter une posture d’écoute attentive ;

– respecter les tours et les temps de parole.

Compétences LIRE

Manifester sa comprĂ©hension d’un document dont l’intention est :

– d’informer.

Attendus LIRE

Manifester sa compréhension

En répondant à des questions ou en produisant un dessin, quelques phrases ou une action qui donne à voir certains des éléments suivants :

– les liens Ă©tablis entre l’implicite et l’explicite ;

– les connaissances personnelles mobilisĂ©es/modifiĂ©es ;

– l’intention de l’auteur ;

– les caractĂ©ristiques de sa structure textuelle permettant d’identifier son genre ;

– les relations entre les Ă©lĂ©ments (texte-illustrations) ;

– les mots appartenant Ă  un mĂȘme champ lexical.

Expliciter sa compréhension

VĂ©rifier et justifier sa comprĂ©hension d’un document.

En répondant à des questions posées oralement, expliciter les stratégies de compréhension mobilisées :

– prĂ©lever des informations explicites ;

élaborer une inférence ;

– faire des hypothùses ;

– relier le texte et les illustrations ;

– percevoir le sens global ; – (se) construire une reprĂ©sentation mentale du texte.

Détecter une perte de compréhension et réajuster celle-ci aprÚs une confrontation avec les pairs.

CompĂ©tences ÉCRIRE

Écrire pour : – informer.

Attendus ÉCRIRE

Produire un Ă©crit

Rédiger un écrit lisible qui combine plusieurs des éléments suivants en mobilisant des ressources (référentiels) :

– en restant dans le sujet ; – en tenant compte de l’intention et du destinataire ;

– en l’organisant selon une structure textuelle simple donnĂ©e ;

– en utilisant la majuscule et le point ; – en orthographiant correctement les mots connus ; – en mobilisant les ressources de la classe (rĂ©fĂ©rentiels) ; – en utilisant les organisateurs textuels adĂ©quats ; – en utilisant les substituts lexicaux.

Expliciter les composantes de sa production

Verbaliser les composantes de la production d’écrits.

En rĂ©pondant Ă  des questions posĂ©es oralement, expliciter les composantes de la production d’écrits mises en Ɠuvre : – planification ; – mise en texte ;

rĂ©vision ; – correction.

Compétences PARLER

Prendre la parole en interagissant avec autrui.

Attendus PARLER

Interagir avec autrui

Prendre la parole dans un groupe :

– en osant s’exprimer ; – en intervenant au moment approprié ; – en questionnant ses interlocuteurs ; – en rĂ©pondant Ă  des questions ;

– en respectant les rùgles de courtoisie.

Partager ses Ă©crits rĂ©flexifs : – en cherchant Ă  prĂ©ciser sa pensĂ©e ; – en explicitant ses idĂ©es, en apportant des exemples.

SUGGESTION DE PLANIFICATION

Notes méthodologiques

Situation de départ

Interview de trois stars

Ce deuxiĂšme volet du cahier de 3e annĂ©e est un peu diffĂ©rent du premier car les stratĂ©gies, vues individuellement au cours des six chapitres du premier manuel, y sont parsemĂ©es tout au long des cinq chapitres de ce second manuel. Pour rappel, durant la premiĂšre partie, des stratĂ©gies de lecture ont Ă©tĂ© explicitĂ©es afin d’ĂȘtre mieux assimilĂ©es par les Ă©lĂšves :

Æ Chapitre 1 : L’activation des connaissances antĂ©rieures

Æ Chapitre 2 : S’aider des indices visuels

Æ Chapitre 3 : RĂ©aliser des prĂ©dictions/anticipations

Æ Chapitre 5 : La visualisation et se donner une intention de lecture

Mais Ă©galement des stratĂ©gies d’identification de la macrostructure :

Æ Chapitre 1 : Le poùme

Æ Chapitre 2 : La recette

Æ Chapitre 3 : La bande dessinĂ©e

Æ Chapitre 4 : Le texte descriptif

Æ Chapitre 5 : Le fait divers

Æ Chapitre 6 : L’affiche

Donc, ce manuel propose aux Ă©lĂšves diffĂ©rentes questions, interrogations, rĂ©flexions, exercices liĂ©s aux nombreuses stratĂ©gies de lecture qui leur permettront d’ĂȘtre actifs avant, pendant et aprĂšs leur lecture.

Lors de la dĂ©couverte du texte, une indication sera ajoutĂ©e pour chaque question relative Ă  une explicitation d’une stratĂ©gie. Ainsi, l’enseignant(e) pourra facilement insister sur certaines questions afin de continuer Ă  faire progresser ses Ă©lĂšves.

Chaque texte, aussi minuscule soit-il, recùle un nombre incalculable d’informations lorsqu’on lit attentivement les mots, entre les lignes, qu’on observe les illustrations, la structure et qu’on se pose des questions.

Information : Comme pour les autres chapitres, il est demandĂ© explicitement aux Ă©lĂšves de ne pas aller voir la page de prĂ©sentation du chapitre ni le texte car ces pages donneraient des (Ă©lĂ©ments de) rĂ©ponses aux Ă©lĂšves alors qu’ils doivent les dĂ©couvrir « par eux-mĂȘmes » lors des diffĂ©rentes questions et rĂ©flexions posĂ©es dans ce chapitre.

Ce chapitre 7 est construit autour des trois petits cochons et propose donc trois interviews : Naf-Naf, Nif-Nif et Nouf-Nouf.

L’idĂ©e de base de l’équipe d’auteurs Ă©tait de proposer un nombre de textes en fonction du chemin et donc des compĂ©tences de lecture des Ă©lĂšves :

Æ Le chemin A est donc proposĂ© avec les trois interviews.

Æ Le chemin B est proposĂ© avec deux interviews, celles de Naf-Naf et Nouf-Nouf.

Æ Le chemin C propose une interview, celle de Naf-Naf. Dans ce cas-ci, la diffĂ©renciation se rĂ©alise au niveau du nombre de textes de lecture. L’interview de Naf-Naf est le texte commun aux trois chemins et ne varie pas en fonction de ces derniers.

Étant donnĂ© qu’il existe des questionnaires pour les interviews de Nif-Nif et Nouf-Nouf, il nous semblait intĂ©ressant de proposer Ă  l’enseignant(e) diffĂ©rents choix (en fonction des Ă©lĂšves), comme expliquĂ© ci-aprĂšs.

Interview de trois stars

Colle
Colle

Je découvre le texte

↘ 1. Lequel de ces trois extraits possĂšde une structure proche de celle que t'Ă©voque le titre suivant ? Coche et entoure le mot qui justifie ce choix.

« Interview de trois stars de contes pour enfants »

- Ouille, j’ai mal aux dents. Est-ce que quelqu’un pourrait m’aider ?

- Absolument pas, si je vais voir lĂ -dedans, je ne ressortirais pas vivant !

- Et toi, le mouton ?

- Tu as tricotĂ© mon frĂšre hier, moi tu ne m’auras pas.

- Promis, je ne vous croquerai pas.

Quelqu’un frappe à la porte

Et ne dit pas un mot

Quelqu’un frappe à la porte

Et regarde par le hublot.

Quelqu’un tourne la poignĂ©e

Et donne un coup puissant

Quelqu’un tourne la poignĂ©e

Et rentre d’un pas pressant.

Qui est-il donc

Ce personnage inquiétant ?

Qui est-il donc

Ce personnage Ă  grandes dents ?

Un jour, alors que nos trois hĂ©ros s’affairaient Ă  leurs tĂąches journaliĂšres, un nouveau voisin fit son apparition. Ils connaissaient bien ce personnage et le redoutaient plus que tout. Ils l’observĂšrent, cachĂ©s derriĂšre leur fenĂȘtre et le virent dĂ©poser un magnifique panier rempli de biscuits devant chacune d’elles. Que mijotait-il ?

↘ 2. Indique la ou les raisons pour lesquelles tu as choisi cette structure.

Car j'aperçois 2-3 personnes qui parlent.

Car je vois des tirets qui indiquent que quelqu'un parle.

Car dans la lecture, je comprends qu'il y a un Ă©change, un dialogue.

↘ 3. As-tu dĂ©jĂ  vu ce genre de structure dans tes lectures ? ïŻ oui ïŻ non

Si oui, inscris oĂč tu as pu l’apercevoir.

Si non, oĂč pourrais-tu retrouver ce genre de texte (celui que tu as cochĂ©) ?

RĂ©ponses des Ă©lĂšves

↘ 4. As-tu dĂ©jĂ , dans tes lectures, lu une interview ? ïŻ oui ïŻ non

RĂ©ponses des Ă©lĂšves

Je découvre le texte

Exercice 1

Stratégie : Activer ses connaissances antérieures

Comme les autres chapitres, nous cherchons Ă  extraire et Ă  « imposer » les rĂ©flexions que les Ă©lĂšves doivent avoir lorsqu’ils se retrouvent devant une lecture, Ă  commencer par dĂ©cortiquer son titre !

Par « imposer », il faut entendre « amener les élÚves vers une réflexion et une étude plus profonde des éléments dans et entourant leur lecture ».

Le titre est donc donné : « Interview de trois stars de contes pour enfants »

Le premier élément dont nous allons nous servir est le mot « interview ».

GrĂące Ă  ce titre, les Ă©lĂšves doivent cocher la structure qui s’y raccroche.

Information : Aucun des trois textes n’est une interview mais le premier possĂšde une structure similaire Ă  cette derniĂšre, avec une structure dialoguĂ©e.

L’enseignant(e) ne donne aucun indice aux Ă©lĂšves, ils devront bien sĂ»r se baser sur les mots composant le titre pour se faire une idĂ©e du texte du chapitre.

Le mot « interview » donne l’idĂ©e de questions/rĂ©ponses et donc d’un dialogue, les Ă©lĂšves devront donc cocher la premiĂšre proposition.

Information : Les trois textes proposĂ©s font rĂ©fĂ©rence au mĂȘme sujet et Ă  ce personnage que les Ă©lĂšves devront identifier (n’hĂ©sitez pas Ă  y retourner afin d’y trouver des indices).

Conseil : Varier les lectures des diffĂ©rents textes proposĂ©s (pas seulement celui du chapitre). Ce sont des petits textes assez rapides Ă  lire, n’hĂ©sitez pas Ă  leur faire jouer le petit dialogue, Ă  leur faire lire le poĂšme avec diffĂ©rentes intonations ou Ă©motions et Ă  varier les types de lectures.

Exercice 2

Les Ă©lĂšves justifient le choix de la structure cochĂ©e Ă  l’exercice 1.

Il est important qu’ils justifient la ou les raisons pour lesquelles ils ont choisi ce texte, et Ă  l’oral dans un deuxiĂšme temps, pourquoi ils n’ont pas pris le deuxiĂšme extrait (faisant partie du genre poĂ©tique, vu au chapitre 1 du manuel 3A) ou le troisiĂšme extrait (faisant clairement rĂ©fĂ©rence Ă  un extrait d’une histoire).

L’enseignant(e) rĂ©alise un Ă©change collectif et une mise en commun des diffĂ©rentes explications des Ă©lĂšves.

Exercice 3

Stratégie : Se poser des questions et faire le lien entre ses connaissances antérieures et les nouvelles informations.

Les Ă©lĂšves indiquent, par oui ou par non, s’ils ont dĂ©jĂ  croisĂ© une structure similaire dans leurs lectures.

Pour rĂ©pondre Ă  cette question, il faut que les Ă©lĂšves aient compris qu’on recherche bien la structure et non les mots ou les phrases prĂ©sentes dans l’extrait. Il faut donc bien avoir justifiĂ© Ă  l’exercice prĂ©cĂ©dent.

Si les Ă©lĂšves ne trouvent pas, l’enseignant(e) affute leurs rĂ©flexions au travers de diffĂ©rentes questions ou rappels de ce qui a Ă©tĂ© dit lors de la mise en commun de l’exercice 2 :

Æ OĂč avez-vous dĂ©jĂ  vu des tirets en dĂ©but de phrase ?

Æ Dans quel genre de texte peut-il y avoir plusieurs personnes qui parlent ?

Æ Etc.

Si oui, ils indiquent oĂč ils ont pu voir cela. Normalement, tous les Ă©lĂšves devraient dĂ©jĂ  avoir croisĂ© un dialogue dans leurs lectures.

Ici la rĂ©ponse attendue n’est pas le titre du livre, mais le genre de texte dans lequel on peut trouver cette structure. La rĂ©ponse « dans un livre » ne sera donc pas acceptĂ©e.

L’enseignant(e) pose la question : « Quel genre de livre ? »

Conseil : L’enseignant(e) demande Ă  ses Ă©lĂšves dans quel genre de lecture cette structure ne se trouvera jamais.

L’enseignant(e) peut montrer dans un ou plusieurs des livres de la classe un extrait d’un dialogue (prĂ©sence des tirets).

Exercice

4

Stratégie : Se poser des questions et faire le lien entre ses connaissances et les nouvelles informations.

MĂȘme question, mais cette fois-ci sur l’interview.

Les Ă©lĂšves cochent oui ou non et la classe peut en discuter oralement.

Ces deux questions (3 et 4) ont pour objectif de faire remonter Ă  la conscience des Ă©lĂšves leurs lectures passĂ©es et d’associer d’anciennes connaissances aux nouvelles.

1. LECTURE

Dans cette premiÚre idée, les élÚves dont les compétences de lecture sont plus faibles ne réalisent que la découverte du texte complétée de quelques questions de compréhension.

Naf-Naf Nif-Nif Nouf-Nouf

Chemin A

Chemin B

Chemin C

Lecture + découverte du texte

Lecture + questionnaire

Lecture + découverte du texte /

Lecture + questionnaire

Lecture + questionnaire

Lecture + découverte du texte / /

2. AUDITION + TEXTE en SUPPORT

Dans cette deuxiĂšme idĂ©e, les questionnaires sont plutĂŽt Ă  rĂ©aliser lors d’une audition et les Ă©lĂšves dont les compĂ©tences de lecture sont plus faibles reçoivent les textes afin d’avoir plusieurs entrĂ©es pour rĂ©aliser les questionnaires.

Naf-Naf Nif-Nif Nouf-Nouf

Chemin A

Chemin B

Chemin C

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

3. LECTURE + TEXTE en SUPPORT

Audition + questionnaire

Lecture + audition + questionnaire

Lecture + audition + questionnaire

Audition + questionnaire

Audition + questionnaire

Lecture + audition + questionnaire

Dans cette troisiĂšme idĂ©e, tous les Ă©lĂšves reçoivent les textes mais les Ă©lĂšves avec un niveau de lecture plus fort ne peuvent lire le texte qu’une seule fois, alors que les autres groupes peuvent avoir le texte devant les yeux.

Naf-Naf Nif-Nif Nouf-Nouf

Chemin A

Chemin B

Chemin C

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture unique + questionnaire

Lectures multiples + questionnaire

Lectures multiples + questionnaire

Lecture unique + questionnaire

Lecture unique + questionnaire

Lectures multiples + questionnaire

4. AUDITION + TEXTE en SUPPORT

Dans cette quatriĂšme idĂ©e, tous les Ă©lĂšves reçoivent les textes mais les Ă©lĂšves avec un niveau de lecture plus fort ne peuvent lire le texte qu’une seule fois, alors que les autres groupes peuvent avoir le texte devant les yeux.

Naf-Naf Nif-Nif Nouf-Nouf

Chemin A

Chemin B

Chemin C

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture unique + audition + questionnaire

Lectures multiples + audition + questionnaire

Lectures multiples + audition + questionnaire

5. AUDITION (pour certains), LECTURE (pour d’autres)

Lecture unique + audition + questionnaire

Lecture unique + audition + questionnaire

Lectures multiples + audition + questionnaire

Dans cette cinquiĂšme idĂ©e, le postulat part du principe qu’il est plus simple de rĂ©pondre Ă  des questions aprĂšs une audition qu’une lecture pour les Ă©lĂšves ayant un plus faible niveau en lecture (ce qui nĂ©cessite de scinder sa classe pour que les Ă©lĂšves ayant le texte n’entendent pas l’audition).

Naf-Naf Nif-Nif Nouf-Nouf

Chemin A

Chemin B

Chemin C

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture + découverte du texte

Lecture unique ou multiple + questionnaire

Audition + questionnaire

Audition + questionnaire

Lecture unique ou multiple + questionnaire

Lecture unique ou multiple + questionnaire

Audition + questionnaire

Ces tableaux sont donnĂ©s Ă  titre indicatif. L’enseignant(e) est le/la meilleur(e) juge pour Ă©valuer les besoins de ses Ă©lĂšves et les axes dans lesquels ils doivent progresser. De toute maniĂšre, les trois interviews sont proposĂ©es Ă  la fois en texte et en audition.

Exercice 5

Lorsque les questions suivantes ont Ă©tĂ© « dĂ©battues » et que les Ă©lĂšves ont cernĂ© le principe du dialogue, ils Ă©crivent le but d’une interview.

Æ Quel est l’objectif d’une interview ?

Æ Qu’est-ce qui la diffĂ©rencie du dialogue ?

L’enseignant(e) choisit de laisser la possibilitĂ© Ă  l’élĂšve d’écrire sa dĂ©finition ou d’écrire une collective (l’exercice 6 peut alors ĂȘtre passĂ©).

Exercice 6

Stratégie : Argumenter

Les élÚves échangent avec leur voisin(e) sur leur définition et discutent durant quelques minutes.

L’objectif est de se confronter. Ce qui n’est souvent pas possible lorsque l’on se retrouve avec une mise en commun collective.

Le rĂŽle de l’enseignant(e) est de faire en sorte que chaque Ă©lĂšve puisse exprimer ses idĂ©es et puisse les confronter aux idĂ©es des autres pour deux objectifs diffĂ©rents :

‱ Par rapport Ă  soi : apprendre Ă  justifier ses choix par des arguments tangibles et rĂ©flĂ©chis, et apprendre Ă  rĂ©aliser une rĂ©flexion sur son travail via l’évaluation de ses pairs.

‱ Par rapport aux autres : apprendre Ă  Ă©couter les autres, Ă  critiquer (positivement ou nĂ©gativement) les rĂ©ponses d’autrui de maniĂšre constructive et bienveillante.

Æ À la fin de cette sĂ©rie de questions, les Ă©lĂšves ont compris que le texte Ă©tait une interview et qu’il y aurait minimum deux personnes/personnages.

Exercice 7

AprÚs quelques questions relatives au mot « interview », les élÚves vont maintenant se focaliser sur une autre partie du titre : le mot « conte ».

La question « Qu’est-ce qu’un conte ? » est posĂ©e aux Ă©lĂšves.

Information : Le conte est un récit, souvent court, de faits imaginaires.

Les contes sont un récit connu par les élÚves. Normalement, un élÚve de troisiÚme année a déjà été exposé à une multiplicité de récits, dont des contes, dans un contexte familial et/ou scolaire.

Il s’agit d’une question orale. L’enseignant(e) rĂ©colte les diffĂ©rentes propositions de dĂ©finition donnĂ©es par les Ă©lĂšves. Ensuite, les Ă©lĂšves donnent quelques noms de contes qu’ils ont dĂ©jĂ  lus, entendus et/ou vus.

Æ Les Ă©lĂšves ont compris que le texte du chapitre fait rĂ©fĂ©rence Ă  un conte, c’est-Ă -dire une histoire mettant en scĂšne des personnages et des faits imaginaires.

Exercice 8

Stratégie : Faire des hypothÚses sur le contenu du texte (personnages).

L’introduction complĂšte du texte est proposĂ©e et il est demandĂ© Ă  l’élĂšve ce que l’on dit du journaliste. En effet, l’auteur annonce que le journaliste est un peu bizarre

De cette rĂ©vĂ©lation, les Ă©lĂšves doivent expliquer la raison pour laquelle l’auteur indique que le journaliste est bizarre.

L’objectif est d’une part de proposer aux Ă©lĂšves de rĂ©aliser des hypothĂšses et d’autre part d’émettre des justifications par rapport Ă  ces hypothĂšses.

Il est fort probable que les Ă©lĂšves comprennent qu’il s’agissait du loup, les indices parsemĂ©s dans le chapitre sont assez explicites. Dans ce cas, les Ă©lĂšves devront justifier l’utilisation du mot bizarre.

Æ Le journaliste est bizarre car c’est l’ennemi des trois petits cochons, pourquoi voudraitil leur poser des questions.

Si les Ă©lĂšves n’ont aucune idĂ©e de l’identitĂ© prĂ©cise du journaliste, ils tentent de donner une explication Ă  propos de ce qualificatif.

Æ Le journaliste est bizarre car ce n’est pas un vrai journaliste, c’est pour faire une blague, c’est un inspecteur des fraudes à l’assurance, etc.

Dans cet exercice, aucun Ă©change n’est proposĂ© afin de ne pas influencer les rĂ©ponses des Ă©lĂšves.

Exercice

9

Stratégie : Se poser des questions et faire le lien entre ses connaissances et les nouvelles informations.

Dans le titre, « Interview de trois stars de contes pour enfants », les Ă©lĂšves vont maintenant s’attarder sur l’information « trois stars ».

GrĂące au titre, les Ă©lĂšves doivent rĂ©flĂ©chir Ă  l’identitĂ© des personnes interviewĂ©es. Ils savent que les personnages appartiennent Ă  un conte (qu’ils sont donc imaginaires) et le titre donne Ă©galement une information supplĂ©mentaire sur leur nombre : ils sont trois personnages principaux.

Pour cette question, il n’est pas nĂ©cessaire d’avoir la bonne rĂ©ponse, mais leur rĂ©ponse doit concorder avec les Ă©lĂ©ments rĂ©flĂ©chis et mis en avant au travers des prĂ©cĂ©dentes questions. Il faut donc qu’elle fasse rĂ©fĂ©rence Ă  un trio de personnages principaux (les 3 mousquetaires, les 3 frĂšres, les 3 plumes, les rois mages, etc.).

Une mise en commun est réalisée.

Æ À la fin de la question, il faut confirmer aux Ă©lĂšves que ce sont bien les 3 petits cochons. Indices :

‱ Ils s’appellent Naf-Naf, Nif-Nif et Nouf-Nouf.

‱ Ils possùdent chacun une maison.

‱ Ce sont des animaux de la ferme.

‱

Exercice 10

Les Ă©lĂšves Ă©crivent trois questions que le journaliste pourrait poser Ă  nos trois stars dĂ©couvertes Ă  l’exercice prĂ©cĂ©dent. Pour rappel, les Ă©lĂšves savent qu’il s’agit des trois petits cochons. Certains (la plupart) Ă©criront des questions en rapport avec l’histoire qu’ils connaissent et les autres Ă©criront des questions plus gĂ©nĂ©rales.

Cette question est donc relativement ouverte : il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises questions, il s’agit surtout de rĂ©flĂ©chir au contenu du texte et aux questions Ă©ventuelles que le journaliste pourrait poser.

Un échange est réalisé collectivement.

Exercice 11

Les Ă©lĂšves vont pouvoir parcourir le texte mais avant, ils doivent indiquer le nom du journaliste s’ils ont compris de qui il s’agissait, ou faire deux propositions s’ils n’ont pas vraiment d’idĂ©es prĂ©cises.

L’enseignant(e) peut rĂ©aliser un tour des propositions des Ă©lĂšves sans rĂ©elles idĂ©es mais ayant fait des suppositions sur la base des diffĂ©rents indices.

↘ 5. À ton avis, à quoi peut bien servir une interview ? Quel est son but ?

Le but d’une interview est

de poser des questions sur un ou plusieurs sujets et d’obtenir des rĂ©ponses de l’interlocuteur. Il s’agit gĂ©nĂ©ralement de conversations Ă  sens unique : de l’intervieweur Ă  l’interviewĂ©.

↘ 6. Échange ta rĂ©ponse avec celle de ton/ta voisin(e).

↘ 7. Dans le titre, tu peux apercevoir le mot « conte ».

Qu’est-ce qu’un conte ?

Donne différents noms de contes que tu as déjà vus, lus ou parcourus.

↘ 8. Lis l’introduction suivante.

« Ils font partie des personnages les plus connus des histoires pour enfants. Comment vivent-ils ce succĂšs qui ne s’est jamais arrĂȘtĂ© ? Un journaliste un peu bizarre leur pose la question... »

Que dit-on du journaliste ?

Qu'il est bizarre.

À ton avis, pourquoi dit-on cela du journaliste ?

ElĂšves qui savent que c’est le loup : Bizarre parce que le loup est l’ennemi des cochons, pour quelle raison voudrait-il les interviewer ? ElĂšves qui ne savent pas que c’est le loup : Bizarre parce que ce n’est peut-ĂȘtre pas un vrai journaliste, qu’il ne pose pas des questions normales...

↘ 9. À ton avis, qui sont les personnes interviewĂ©es ?

Aide-toi du titre.

Les trois petits cochons ou autre conte dans les héros sont au nombre de trois.

↘ 10. Écris trois questions que le journaliste pourrait poser aux trois hĂ©ros.

Comment vivez-vous votre succĂšs ?

Êtes-vous toujours installĂ©s dans vos maisons ?

Avez-vous envisagé de réaliser un film ? - Avez-vous toujours peur du loup ?

↘ 11. Connais-tu l'identitĂ© du journaliste ?

Si oui, indique son nom.

Si non, réfÚre-toi aux indices découverts et indique 2 propositions.

2 idées des élÚves

↘ 12. AprĂšs avoir lu l'interview de Naf-Naf, as-tu dĂ©couvert qui se cachait derriĂšre le journaliste ?

Le Loup, Le grand méchant Loup

Colorie ou entoure les éléments qui t'ont permis de trouver ou de confirmer son identité.

- L'illustration : On voit une patte qui ressemble Ă  celle d'un loup

- Canis Lupus est le nom (latin) de l'espĂšce qui comprend notamment le loup gris)

- L'intĂ©rĂȘt pour le loup dans les diffĂ©rentes questions

- Son Ă©tonnement/sa peur lorsque Naf-Naf menace le loup (Hum... vous y allez un peu fort

- Sa phrase : "Je m'en léchais les babines" qui démontre bien une envie de manger les 3 petits cochons

↘ 13. À ton avis, quel est l’objectif final du journaliste ?

Réponses acceptées :

- Il veut venir dans la maison du petit cochon

- Il veut manger le petit cochon.

↘ 14. Surligne la phrase qui t’a donnĂ© un indice sur son vĂ©ritable but. Explique

Lorsque le loup dit qu'il s'en léchait les babines, c'est en imaginant croquer le petit cochon !

↘ 15. Tu as dĂ©couvert l'intention du journaliste mais, Ă  ton avis, pourquoi met-il aussi longtemps avant de poser la question ?

RĂ©ponse des Ă©lĂšves

↘ 16. Retrouve dans le texte les synonymes des mots proposĂ©s.

‱ stupide :

‱ un derriùre :

‱ feignant :

‱ craintif :

balourd & abruti popotin paresseux méfiant

Exercice 12

Les Ă©lĂšves vont pouvoir lire l’interview de Naf-Naf dans son entiĂšretĂ© et faire coĂŻncider leur(s) hypothĂšse(s) avec les informations donnĂ©es par le texte ou Ă©liminer leurs propositions. L’enseignant(e) repose la question aux Ă©lĂšves de savoir qui se cache derriĂšre le journaliste. Ensuite, les Ă©lĂšves sont invitĂ©s Ă  retrouver toutes les phrases, les mots, les comportements, etc., qui leur ont permis de dĂ©finir l’identitĂ© du journaliste.

Information : Il y a des infos assez explicites sur la page du texte comme l’illustration et autres, oĂč il faut soit chercher plus loin, soit avoir des connaissances linguistiques.

Une mise en commun et un échange constructif sont réalisés.

Conseil : De nouveau, l’accent est mis sur les justifications des Ă©lĂšves, car certaines phrases du texte peuvent sonner diffĂ©remment en fonction des hypothĂšses que les Ă©lĂšves avaient Ă©mises.

Information : L’enseignant(e) peut demander aux Ă©lĂšves d’écrire les Ă©lĂ©ments trouvĂ©s dans l’espace sous la consigne.

Exercice 13

Dans cette interview, les Ă©lĂšves doivent retrouver le vĂ©ritable objectif du loup, qui est trĂšs diffĂ©rent de celui de l’interview de base, car ce dernier ne souhaite pas uniquement poser des questions aux trois petits cochons.

Les Ă©lĂšves inscrivent donc l’objectif du loup.

Exercice 14

Les élÚves surlignent la phrase du texte qui leur a permis de découvrir la véritable intention du loup.

Conseil : Pour ces deux exercices (13 et 14), l’enseignant(e) laisse les Ă©lĂšves relire le texte, dĂ©finir l’objectif du journaliste et retrouver la phrase.

Dans un premier temps, l’enseignant(e) interroge les Ă©lĂšves sur l’intention du loup. Les discussions doivent amener vers le fait que le loup veut manger le petit cochon.

Æ Le loup veut poser des questions à Naf-Naf.

Æ Dans quel but fait-il cela ?

Æ Le loup veut en savoir plus sur la maison de Naf-Naf.

Æ Pourquoi souhaite-t-il plus d’informations sur la maison ?

Æ Le loup veut venir dans la maison de Naf-Naf.

Æ Pour quelle raison le loup souhaite-t-il aller dans la maison ?

Ensuite, l’enseignant(e) propose aux Ă©lĂšves qui n’avaient pas trouvĂ© l’intention du loup de retourner dans le texte et d’essayer de retrouver la phrase qui justifie cette hypothĂšse.

Exercice 15

Dans le texte, le loup passe par plusieurs questions avant de demander s’il peut venir chez le petit cochon pour prendre des photos. Il est demandĂ© ici aux Ă©lĂšves de donner la ou les raisons des questions prĂ©cĂ©dentes Ă  cette derniĂšre si c’est cela son objectif de base.

Information : C’est une question relativement ouverte. Voici quelques pistes de rĂ©flexion : Æ C’est un prĂ©tendu journaliste, il doit faire semblant de s’intĂ©resser Ă  la vie du petit cochon en lui posant des questions anodines.

Æ Toutes les questions prĂ©alables servent Ă  amadouer le petit cochon pour qu’il croie qu’il s’agit de quelqu’un de bien.

Æ Il fallait une excuse au journaliste pour venir dans la maison du petit cochon et lĂ , puisque ce dernier y a mis des verrous, des barriĂšres et des camĂ©ras, le loup s’est dit qu’il pouvait se servir des nouveautĂ©s pour entrer dans la maison.

Exercice 16

Les élÚves recherchent dans le texte des synonymes des mots proposés.

Je comprends le texte :

Interview de Nouf-Nouf

Exercice 1

EX

Les élÚves retrouvent les deux mots utilisés par Nouf-Nouf pour décrire son frÚre Naf-Naf.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 2

EX

Les Ă©lĂšves cochent parmi les propositions le moment de la journĂ©e oĂč le journaliste tĂ©lĂ©phone Ă  Nouf-Nouf.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 3

EX

Les Ă©lĂšves cochent les propositions correctes, c’est-Ă -dire celles qui disent ce que NoufNouf a fait de sa fortune.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 4

IM

Les Ă©lĂšves indiquent l’excuse utilisĂ©e par le journaliste pour pouvoir venir chez le petit cochon.

Dans ce cas, il s’agit d’une question implicite puisque les Ă©lĂšves doivent comprendre que le loup n’est pas un rĂ©el journaliste et qu’il ne souhaite pas vraiment faire des photographies, car il s’agit bien d’une excuse pour rentrer dans sa maison.

DĂ©couvrir les informations implicites (Ă©laborer des significations).

Je comprends le texte : Interview de Nouf-Nouf

↘ 1. Retrouve 2 mots utilisĂ©s par Nouf-Nouf pour dĂ©crire son frĂšre Naf-Naf.

↘ 2. À quel moment de la journĂ©e le journaliste appelle-t-il Nouf-Nouf ? Coche la bonne rĂ©ponse.

ïŻ durant son petit dĂ©jeuner

ïŻ durant son programme de tĂ©lĂ©vision

ïŻ durant sa sieste

ïŻ durant ses mots croisĂ©s

↘ 3. Qu’a fait Nouf-Nouf de toute sa fortune ? Il a
 Coche la ou les bonne(s) proposition(s).

ïŻ construit des maisons en paille.

ïŻ achetĂ© des vĂȘtements de luxe.

ïŻ sĂ©curisĂ© sa maison.

ïŻ construit une cheminĂ©e de brique.

ïŻ construit une piscine de boue.

ïŻ fait des fĂȘtes avec ses frĂšres et ses amis.

↘ 4. Quelle excuse le journaliste donne-t-il pour venir chez Nouf-Nouf ? ennuyeux tĂȘtu Il demande s’il peut venir prendre des photos.

↘ 5. « Canis Lupus : (Rires) »

Pourquoi le journaliste rit-il ? Explique.

Le journaliste rit car

il est loin d’ĂȘtre devenu gentil et qu’il veut toujours autant croquer un petit bout de cochon.

↘ 6. Vrai ou faux ?

Indique la bonne réponse.

‱ Nouf-Nouf n’est pas disponible pour rencontrer le loup.

‱ Nouf-Nouf est le plus responsable des trois cochons.

‱ Nouf-Nouf n’a plus grand-chose de sa fortune.

‱ Le loup propose à Nouf-Nouf de venir le voir.

‱ Nouf-Nouf pense que le loup va revenir.

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

↘ 7. Pour quelle raison Nouf-Nouf n’a-t-il pas construit de maison en briques ?

Il n’a pas construit de maison en briques car

il pense que le loup est parti et qu’il n’était en rĂ©alitĂ© pas si mĂ©chant que cela.

↘ 8. Coche les sujets de questions rĂ©ellement posĂ©es par le journaliste.

‱ La maison de Nouf-Nouf

‱ L'argent

‱ Les relations avec ses frùres

‱ Le quotidien de Nouf-Nouf

‱ Le plaisir du succùs

‱ Les projets d'avenir de Nouf-Nouf

DĂ©chiffre le texte suivant.

ïŻ OUI ïŻ NON

ïŻ OUI ïŻ NON

ïŻ OUI ïŻ NON

ïŻ OUI ïŻ NON

ïŻ OUI ïŻ NON

ïŻ OUI ïŻ NON

Losqrue les toirs pittes cchonos qiuĂšttrent luer mmaan puor alelr costrnuire luer prrpoe maosin, Nuof-Nuof rnecnorta un hmome protnat une bttoe de plaile. Il dmeadna arols Ă  cet hmmoe de la pllaie puor cnsotriue sa miosan. Padnent qu'il btĂąitaisst sa msaoin, le luop le getuatit au brod de la frĂȘot. Le sior, le ptiet cohocn rtnera cehz lui, ftaiugĂ© d'aivor crostnuit sa moisan qnuad qequlu'un fparpa Ă  la ptroe et dit : Piett chcoon, gitnel peitt coochn, lsisae-moi etrenr !

Exercice 5

IM

Les Ă©lĂšves doivent expliquer pour quelle raison le journaliste qui n’est autre que le loup, rigole aprĂšs la phrase dite par Nouf-Nouf.

Les élÚves peuvent bien sûr retourner dans le texte pour connaitre la raison du rire du journaliste.

Le journaliste rigole car Nouf-Nouf vient de dire au journaliste (ne sachant pas en rĂ©alitĂ© qu’il parle au loup) que le loup n’était pas si mĂ©chant et qu’ils auraient pu ĂȘtre amis.

DĂ©couvrir les informations implicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 6

EX IM

Les Ă©lĂšves cochent pour indiquer si la proposition faite est vraie ou fausse. Il n’y a pas de justification Ă  donner, mĂȘme si l’enseignant(e) peut le demander oralement. Certaines propositions sont explicites (1, 3, 4, 5) et une proposition est le rĂ©sultat d’une analyse du texte et du comportement de Nouf-Nouf, qui contrairement Ă  ses frĂšres n’est pas trĂšs prudent, ni mĂȘme responsable Ă©tant donnĂ© qu’il a dĂ©pensĂ© toute sa fortune.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 7

IM

Les Ă©lĂšves Ă©crivent la raison pour laquelle Nouf-Nouf n’a pas construit de maison en briques comme son frĂšre Naf-Naf.

La question est classĂ©e sous l’icĂŽne implicite car le lien entre les deux informations n’est pas indiquĂ© clairement dans le texte.

DĂ©couvrir les informations implicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 8

EX

Les élÚves doivent retrouver les sujets mentionnés dans les questions du journaliste et non les informations données en plus par Nouf-Nouf. Ils cochent les sujets corrects.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Dans cet exercice de dépassement, un texte est proposé à la lecture. Ce texte est un peu spécial car seules les premiÚre et derniÚre lettres du mot sont à la bonne place, les autres ont été mélangées.

Une universitĂ© anglaise a prouvĂ© que l’on pouvait tout Ă  fait lire un texte dont les lettres sont mĂ©langĂ©es, du moment que la premiĂšre et la derniĂšre lettres sont Ă  la bonne place. En effet, il semblerait que le cerveau enregistre les mots comme une image globale et que le contexte permet d’établir un lien entre les lettres proposĂ©es et le mot rĂ©el. Attention, cette thĂ©orie a des limites : pour que la lecture puisse se faire aisĂ©ment, le mĂ©lange des lettres ne peut ĂȘtre excessif, les mots utilisĂ©s ne doivent pas ĂȘtre trop compliquĂ©s, ils doivent aussi correspondre au lexique liĂ© Ă  l’ñge du lecteur, et un contexte aidera au dĂ©chiffrement plus rapide du mot.

Par exemple, dans le texte proposĂ©, les Ă©lĂšves n’ont pas eu de mal Ă  lire : costrnuire car seulement quelques lettres ont Ă©tĂ© mĂ©langĂ©es. Ce mĂ©lange « crtounrsie » est beaucoup plus complexe et nettement plus difficile Ă  dĂ©chiffrer.

Conseil : Le texte proposé est assez long.

L’enseignant(e) peut proposer aux Ă©lĂšves en fonction du chemin dans lequel ils sont de ne lire qu’un des deux paragraphes.

L’exercice peut Ă©galement se faire en plusieurs fois.

Je comprends le texte : Interview de Nif-Nif

Exercice 1

EX

Les élÚves cochent parmi les propositions celle qui indique le moyen utilisé par le journaliste pour interviewer Nif-Nif.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 2

Les Ă©lĂšves ont pu dĂ©couvrir le mot « dĂ©cennies » soit Ă  l’oral, soit Ă  l’écrit.

Les Ă©lĂšves indiquent donc ce que cela signifie.

1. Ils essaient de le définir juste en lisant le mot.

2. Ils retournent dans le texte, ou l’enseignant(e) relit le passage pour s’aider du contexte.

3. Ils discutent avec leur voisin(e).

4. Ils vont voir dans le dictionnaire.

Comprendre en Ă©mettant des hypothĂšses sur le sens d’un mot en dĂ©couvrant sa signification Ă  partir du contexte (traiter des unitĂ©s lexicales).

Exercice 3

EX

Les élÚves cochent par vrai ou faux en fonction de la proposition donnée.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Exercice 4

Une expression est reprise du texte : « On fait le loup plus grand qu’il n’est ! ». Les Ă©lĂšves doivent expliquer ce que cette expression signifie. Normalement, contrairement Ă  d’autres expressions, celle-ci est assez explicite et ne devrait pas poser de problĂšme aux Ă©lĂšves.

Comprendre en Ă©mettant des hypothĂšses sur le sens d’un mot en dĂ©couvrant sa signification Ă  partir du contexte (traiter des unitĂ©s lexicales).

Exercice 5

Les Ă©lĂšves ont dĂ©couvert que le loup s’était emportĂ© quelques fois durant l’interview suite aux rĂ©vĂ©lations de Nif-Nif mais il s’est, Ă  chaque fois, repris en transformant sa rĂ©ponse. Les Ă©lĂšves sont invitĂ©s Ă  retrouver ses deux reprises de formulation.

Je comprends le texte : Interview de Nif-Nif

↘ 1. Par quel moyen le journaliste interviewe-t-il Nif-Nif ?

Coche la bonne réponse.

ïŻ par e-mail

ïŻ par vidĂ©o

ïŻ par tĂ©lĂ©phone

ïŻ en direct

↘ 2. « Cela fait des dĂ©cennies que vous ĂȘtes adorĂ©s par les enfants »

Que signifie « décennie » ?

Une décennie correspond à dix années.

↘ 3. Vrai ou faux ?

Indique la bonne réponse.

‱ Nif-Nif est d’accord de rencontrer le journaliste.

‱ Le loup interroge Nif-Nif sur sa nouvelle maison.

‱ Nif-Nif adore les enfants.

‱ Le loup demande à Nif-Nif s’il voit encore ces frùres.

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

ïŻ VRAI ïŻ FAUX

‱ Nif-Nif a utilisĂ© sa fortune pour construire une maison ïŻ VRAI ïŻ FAUX en paille un peu plus solide.

↘ 4. « On fait le loup plus grand qu’il n’est ! » À ton avis, quelle est la signification de cette phrase ?

Cela signifie que le loup n’est pas aussi grand et important qu’il n’y parait.

C’est son histoire qui lui a donnĂ© plus d’ampleur et de cĂ©lĂ©britĂ©.

↘ 5. Le journaliste s’emporte deux fois durant l’interview. Pour chaque exemple, retrouve comment il arrive Ă  ne pas se faire dĂ©masquer.

misérable

j’en avais l’eau à la bouche

c’est probable de vous parler, ça me touche !

↘ 6. Fais une croix dans la case adĂ©quate pour chaque proposition.

Le texte indique que c’est vrai.

Le texte indique que c’est faux.

Le texte ne permet pas de le savoir.

Nif-Nif n’est pas chez lui car il passe toute la semaine à la foire de Libramont.

Nif-Nif est content de faire cette interview.

Nif-Nif a utilisĂ© du bois de chĂȘne comme bois plus solide pour sa maison.

AprÚs avoir relu et/ou réécouté les textes avec ton enseignant(e), réponds aux questions suivantes :

→ 1. Quel(s) cochon(s) a (ont) compris que le journaliste Ă©tait le loup ?

ïŻ Naf-Naf

ïŻ Nif-Nif

ïŻ Nouf-Nouf

ïŻ Aucun

→ 2. Quel(s) cochon(s) va (vont) probablement se faire manger ?

ïŻ Naf-Naf

ïŻ Nif-Nif

ïŻ Nouf-Nouf

ïŻ Aucun

→ 3. Quel(s) cochon(s) a (ont) amĂ©liorĂ© sa (leur) maison ?

ïŻ Naf-Naf

ïŻ Nif-Nif

ïŻ Nouf-Nouf

ïŻ Aucun

→ 4. Quel(s) cochon(s) pense(nt) qu’ils ont mal agi par rapport au loup ?

ïŻ Naf-Naf

ïŻ Nif-Nif

ïŻ Nouf-Nouf

ïŻ Aucun

Exercice 6

EX

Les élÚves indiquent si la proposition donnée est vraie, fausse ou si le texte ne permet pas de le dire.

DĂ©couvrir les informations explicites (Ă©laborer des significations).

Quatre questions sont proposĂ©es Ă  la fin des trois lectures ou Ă©coutes. Si l’enseignant(e) a choisi de ne pas donner les lectures supplĂ©mentaires aux Ă©lĂšves ayant plus de difficultĂ©s de lecture, ces questions ne s’adresseront qu’aux Ă©lĂšves ayant reçu ou Ă©coutĂ© les trois interviews.

Ces questions ont pour objectif de rassembler les trois interviews.

La 1re question propose aux élÚves de déterminer quel(s) petit(s) cochon(s) a finalement compris qui était le journaliste.

La 2e question propose aux élÚves de déterminer quel(s) cochon(s) va (vont) probablement se faire manger par le loup.

La 3e question propose aux élÚves, sur base des informations données dans chacune des interviews, de déterminer quel(s) cochon(s) a (ont) amélioré sa (leur) maison.

La 4e question propose aux Ă©lĂšves de dire quel(s) cochon(s) pense(nt) qu’il(s) a (ont) mal agi par rapport au loup.

Je dĂ©couvre l’interview

Exercice 1

Les Ă©lĂšves dĂ©couvrent une autre sorte d’interview, l’interrogatoire.

Conseil : Étant donnĂ© qu’il y a deux personnages, l’enseignant(e) propose aux Ă©lĂšves de jouer le dialogue soit collectivement Ă  tour de rĂŽle, soit par groupe de deux.

Exercice 2

Les élÚves complÚtent les phrases en indiquant le personnage qui pose des questions et celui qui y répond.

Je retiens

Une rubrique « Je retiens » est proposĂ©e afin d’avoir le vocabulaire spĂ©cifique Ă  celui qui rĂ©pond et celui qui pose les questions.

Je dĂ©couvre l’interview

↘ 1. Lis l’interview suivante.

- La Petite SirĂšne de police : OĂč Ă©tiez-vous dans la journĂ©e du 5 fĂ©vrier ?

- Canis Lupus : Pourquoi cette question ? Vous n’ĂȘtes quand mĂȘme pas en train de m’accuser ?

- PS : Nous avons trois plaintes pour tentative de vol et entrĂ©e avec effraction. Je vous repose la mĂȘme question : oĂč Ă©tiez-vous dans l’aprĂšs-midi du 5 fĂ©vrier ?

- C.L. : J’étais chez moi en pleine lecture. Qui sont ces personnes qui racontent des mensonges ?

- PS : Il s’agit de trois petits cochons, trois frùres.

- C.L. : J’aurais dĂ» les croquer !

- PS : Pardon ?

- C.L. : Je veux dire
 je n’en crois pas mon nez !

- PS : Nous avons également plusieurs témoins qui affirment avoir vu un pelage gris cendre rÎder autour des maisons.

- C.L. : Des noms ! Que je me les mette dans mon estomac !

- PS : Excusez-moi ?

- C.L. : Nom de nom, cela ne peut ĂȘtre moi. J’étais en chemin pour aller rendre visite Ă  MĂšre-Grand.

- PS : Ils affirment Ă©galement vous avoir vu ressortir par la cheminĂ©e de la maison de Monsieur Naf-Naf. Qu’avez-vous Ă  dire pour votre dĂ©fense ?

- C.L. : Que de parler, cela donne faim


↘ 2. Aprùs cette lecture, complùte les informations suivantes :

La personne qui pose les questions est

La personne qui répond aux questions est

La Petite SirĂšne de police. Canis Lupus.

Je suis l’intervieweur/ intervieweuse, je pose des questions.

Qui est qui ? 2 1

Je suis l’interviewĂ©, je rĂ©ponds aux questions.

↘ 3. Quel est le but de cette interview ?

La policiùre veut faire avouer au Loup que c’est lui le coupable.

↘ 4. Écoute le texte : « Un travail de nains »

↘ 5. Comme pour le premier texte, complùte les informations suivantes :

La personne qui pose les questions est

Les personnes qui répondent aux questions sont

Ramzy MĂ©dia les 7 nains

↘ 6. Quel est le but de cette interview ? Coche le sujet principal.

ïŻ En savoir plus sur la vie des nains

ïŻ En savoir plus sur Blanche-Neige

ïŻ En savoir plus sur les conditions de travail des nains

ïŻ En savoir plus sur le travail des nains

Les as-tu reconnus ? Indique l’ordre dans lequel ils sont interrogĂ©s.

Grincheux

↘ 7. Relie la question Ă  sa rĂ©ponse.

Quel est le métier que tu aurais voulu faire ?

Quel est ton fruit préféré ?

Quel est l’animal qui t’effraie le plus ?

Quelle est ta couleur préférée ?

Quel est ton mois de naissance ?

Mygale Violet Avril Fraise Pompier

Exercice 3

Les Ă©lĂšves rĂ©pondent Ă  la question de l’objectif de l’interview proposĂ©e Ă  la page prĂ©cĂ©dente, car en effet, celle-ci a un rĂŽle diffĂ©rent de celle du chapitre. Comme annoncĂ© au premier exercice, l’interview est plutĂŽt un interrogatoire et ici, la Petite SirĂšne de police cherche Ă  obtenir des rĂ©ponses, des informations prĂ©cises, non pas pour en savoir plus sur la personne mais dans un cadre plus large.

Exercice 4

Une autre interview est donnĂ©e aux Ă©lĂšves mais celle-ci est proposĂ©e Ă  l’audition. Il s’agit d’une interview sur les sept nains, Ă  propos de leur travail Ă  la mine.

Exercice 5

De nouveau, il est demandé aux élÚves de déterminer le nom du personnage qui pose des questions et le nom des personnages qui y répondent.

Exercice 6

Les Ă©lĂšves cochent le but de l’interview. Celle-ci se rapproche davantage de celle du chapitre que de celle prĂ©sente Ă  la page prĂ©cĂ©dente.

Dans ce petit exercice complĂ©mentaire, il est demandĂ© aux Ă©lĂšves de retrouver l’ordre dans lequel les nains sont interrogĂ©s.

Exercice 7

À partir de l’exercice 7, il est proposĂ© aux Ă©lĂšves de rentrer dans les caractĂ©ristiques des interviews et donc de se pencher sur le jeu de questions/rĂ©ponses. Dans cet exercice, il est demandĂ© aux Ă©lĂšves de relier tout simplement la question Ă  sa rĂ©ponse.

Il a pour objectif de mettre en avant le lien entre la premiĂšre et la deuxiĂšme proposition. Si l’intervieweur(-euse) souhaite obtenir une rĂ©ponse prĂ©cise, il ou elle doit tourner sa question dans ce sens, et l’interviewĂ©(e) donne la rĂ©ponse en fonction de la question.

Exercice

8

Une question est posée aux élÚves et ils doivent sélectionner la réponse qui convient le mieux.

Il n’y a qu’une rĂ©ponse possible.

Il serait intéressant de demander aux élÚves de justifier leur choix.

Conseil : L’enseignant(e) propose aux Ă©lĂšves, Ă  l’oral et en prĂ©paration de l’exercice 10, de retrouver des questions pour les rĂ©ponses non choisies.

Exercice 9

MĂȘme exercice que le prĂ©cĂ©dent, mais avec un procĂ©dĂ© inversé : la rĂ©ponse est proposĂ©e aux Ă©lĂšves et ils doivent choisir parmi trois questions celle qui convient le mieux.

Exercice 10

Dans cet exercice, une rĂ©ponse est proposĂ©e aux Ă©lĂšves et c’est Ă  eux d’inventer et d’écrire la question.

Conseil : L’enseignant(e) propose aux Ă©lĂšves de travailler en binĂŽme.

Les réponses proposées ne sont que des propositions.

Un échange collectif est réalisé lorsque les élÚves ont trouvé toutes les questions.

↘ 8. Coche la bonne rĂ©ponse d’aprĂšs la question posĂ©e.

- Qu’est-ce qui te rend le plus triste ?

ïŻ Sans aucun doute, le bleu est la couleur de l’eau.

ïŻ Sans aucun doute, la perte d’une de mes dents lors d’une chute du toit de la maison de Naf-Naf.

ïŻ Sans aucun doute, c’est le dimanche le meilleur jour de la semaine.

- Comment décririez-vous le Chaperon Rouge ?

ïŻ Elle est trop intelligente mais un jour, je l’aurai !

ïŻ Elle est en bois, en un souffle, elle sera Ă  terre !

ïŻ Elle est remplie de sapins, quand je tombe, ça pique !

↘ 9. MĂȘme exercice, mais cette fois-ci, retrouve la bonne question.

- Je dirais courageux, beau et super beau !

ïŻ Quelles sont vos trois plus grands voyages ?

ïŻ Quelles sont vos trois plus grandes sƓurs ?

ïŻ Quelles sont vos trois plus grandes qualitĂ©s ?

- Quand je me suis déguisé en grand-mÚre !

ïŻ Quel Ă©tait votre meilleur repas ?

ïŻ Quel Ă©tait votre meilleur costume ?

ïŻ Quel Ă©tait votre meilleur voyage Ă  l’étranger ?

↘ 10. Les questions ont disparu ! RĂ©invente-les. Fais attention Ă  la relation entre la question et la rĂ©ponse.

Avez-vous beaucoup voyagé ?

- Oui, durant mes aventures, j’ai parcouru le monde entier
 à la recherche de mets à croquer !

Avez-vous une femme et des enfants ?

- Non, je vis tout seul depuis que j’ai quittĂ© la taniĂšre.

Depuis combien d’annĂ©es chassez-vous les cochons ?

- Cela fait maintenant prùs de 130 ans que j’essaie d’attraper ces maudits cochons ! Mais ils arrivent toujours à s’enfuir.

N'avez-vous jamais été blessé ?

- Je me suis fait quelques Ă©gratignures durant mes aventures, le pire c'est lorsque j'ai voulu voler une des chĂšvres de Monsieur Seguin !

J’écris

↘ À la fin de ce chapitre, ma mission sera de rĂ©diger les questions qui composeront une interview sur un des mĂ©tiers proposĂ©s :

‱ Olivia, pompier

‱ Emma, restaurateur de meubles

‱ Mila, Ă©lectromĂ©canicien

‱ Aya, tatoueur

‱ Louise, agent de police

‱ Alice, maraicher

‱ Lina, chorĂ©graphe et professeur de danse

‱ Lore, ambulancier

‱ Anna, traducteur interprùte

‱ Elena, gĂ©rant d’un magasin de vĂȘtements

‱ Yasmine, historien

Pour cette interview, il faudra :

ïź CrĂ©er entre 5 et 10 questions complexes

ïź Transposer au fĂ©minin le mĂ©tier choisi

ïź Commencer 1-2 fois par « Est-ce que »

Conseil :

Tu as dans ton entourage une personne qui fait un de ces métiers ?

N’hĂ©site pas Ă  aller lui poser tes questions !

ïź Utiliser 1-2 mots interrogatifs (qui, quoi, comment, quand, oĂč
)

ïź Écrire 1-2 questions au futur simple (verbe en -er)

ïź Écrire les verbes « ĂȘtre » et « avoir » au futur simple

ïź Utiliser des dĂ©terminants

ïź Classer les questions dans un ordre logique

ïź Écrire 1-2 questions avec une inversion du sujet et du verbe (V+S)

Mes missions

Lors de ce chapitre, les Ă©lĂšves auront parcouru quelques interviews. Pour leur mission, les Ă©lĂšves devront Ă©crire des questions relatives Ă  un mĂ©tier proposĂ©. L’enseignant(e) peut Ă  sa guise rajouter d’autres mĂ©tiers en lien avec les projets de la classe.

Les types de phrases interrogatives n’ont pas Ă©tĂ© explicitement vues dans les chapitres prĂ©cĂ©dents mais les Ă©lĂšves ont pu en parcourir un certain nombre. Ne pas hĂ©siter Ă  leur proposer de retourner dans le chapitre 4 pour retrouver des exemples.

Les élÚves avec le chemin A écrivent :

‱ 10 questions ;

‱ minimum 2 questions commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 2 questions commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 2 questions avec des verbes en -er au futur simple ;

‱ minimum 2 questions avec une inversion sujet-verbe ;

‱ les questions dans un ordre logique.

Les élÚves avec le chemin B écrivent :

‱ 7 questions ;

‱ minimum 1 question commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 1 question commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 2 questions avec des verbes en -er au futur simple ;

‱ les questions dans un ordre logique.

Les élÚves avec le chemin C écrivent :

‱ 5 questions ;

‱ minimum 1 question commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 1 question commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 1 question avec des verbes en -er au futur simple.

Les Ă©lĂšves choisissent un mĂ©tier et Ă©crivent donc des questions qu’ils seraient susceptibles de poser Ă  cette personne.

Les questions doivent ĂȘtre complexes, cela signifie qu’elles doivent contenir un nombre minimum de mots et ĂȘtre complĂštes.

Pour aider les Ă©lĂšves, l’enseignant(e) peut leur proposer des rĂ©ponses gĂ©nĂ©riques :

Æ Cela fait maintenant 15 ans que je fais ce mĂ©tier.

Æ Le travail est prenant, on ne s’ennuie jamais !

Æ C’est un travail assez solitaire.

Æ J’aime le contact avec les gens et le fait que chaque jour est diffĂ©rent.

Æ Pour ce mĂ©tier, il faut un certain courage et ĂȘtre trĂšs calme.

Æ J’ai fait 5 ans d’études et 3 ans de recherches.

Æ 


Grammaire : Les déterminants (1)

Exercice 1a

Les Ă©lĂšves lisent la phrase extraite de « l’Interview de trois stars ». Ils remarquent qu’il manque des mots. L’enseignant(e) propose de complĂ©ter les mots qui manquent Ă  l’aide du texte.

Exercice 1b

Discussion collective Ă  propos de la nature des mots manquants.

Æ Ce sont des petits compagnons du nom, des dĂ©terminants.

Exercice 2

Correction collective. Plusieurs déterminants sont possibles pour chaque nom proposé.

Exercice 3

Discussion collective lors de la correction.

Æ OĂč se place le dĂ©terminant ? Le dĂ©terminant se place toujours avant le nom. Parfois, il est sĂ©parĂ© du nom par un adjectif qualificatif.

Exercice 4

L’enseignant(e) insiste sur l’utilisation de la majuscule en dĂ©but de phrase. Plusieurs rĂ©ponses sont possibles.

Discussion collective lors de la correction.

Æ Pourquoi certaines phrases Ă©taient-elles incorrectes ? Il manquait des mots : les dĂ©terminants des noms.

Æ Est-ce que le dĂ©terminant est facultatif ? Non, le dĂ©terminant ne peut ĂȘtre ni dĂ©placĂ©, ni supprimĂ©.

Je retiens

Les Ă©lĂšves complĂštent la rubrique « Je retiens » avec les caractĂ©ristiques des dĂ©terminants qui viennent d’ĂȘtre (re)dĂ©couvertes.

Les déterminants (1)

↘ 1. Voici une phrase extraite de l’interview des stars de contes pour enfants.

(
) C’est grĂące Ă  frĂšres que je suis connu. Sans imprudence, histoire n’aurait jamais fait tour monde. simple histoire d’ loup qui se brule popotin en descendant dans cheminĂ©e, ça ne fait pas film ! (
)

→ a. Retrouve les mots qui manquent en t’aidant du texte.

→ b. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la nature de ces mots.

↘ 2. Choisis un autre dĂ©terminant pour ces noms extraits de l’interview. la / vie une / photo votre / bobine le / loup

↘ 3. Entoure chaque dĂ©terminant et relie-le Ă  son nom avec une flĂšche.

cette interview – leur imprudence – des camĂ©ras – une question – dix verrous

quelques photos – votre fortune – la simple histoire – des chemins diffĂ©rents une maison en briques – une gigantesque piscine – ce gros balourd

ïŻ a. Petit oiseau s’envole de nid.

Ces mots sont des dĂ©terminants. Le petit oiseau s’envole de son nid.

ïŻ b. Il y a plusieurs Ă©toiles filantes dans le ciel.

ïŻ c. Violent orage a abimĂ© arbres.

ïŻ d. Les Ă©lĂšves ont prĂ©parĂ© une saynĂšte rigolote.

ïŻ e. Dentiste m’a soignĂ© dents.

↘ 4. Coche la case si la phrase est correcte. Si non, recopie-la en la corrigeant

Il est toujours placĂ© le nom qu’il dĂ©termine. Il ne peut ĂȘtre ni , ni mes leur le notre du

Le dentiste m’a soignĂ© deux dents. prĂ©sente/ accompagne avant dĂ©placĂ© supprimĂ© Un violent orage a abimĂ© nos arbres.

Un déterminant est un mot qui le nom.

↘ 5. ComplĂšte le texte avec les dĂ©terminants qui conviennent. Sers-toi de l’illustration

l’ les un des des du au son sa notre deux trois cinq quelques

Deux un

L' les son sa quelques cinq des trois

Notre des du Au

automne est arrivĂ©, feuilles tombent arbres et pommes vont bientĂŽt se dĂ©tacher pommier. loin, gros nuage noir nous menace. Sarah cueille champignons et les met dans panier pendant qu’Adam joue avec balle. Ă©cureuils ramassent noisettes. chien aboie et oiseaux s’envolent.

↘ 6. Ajoute un dĂ©terminant qui convient (plusieurs rĂ©ponses sont possibles.)

a. dent est tombée pendant nuit.

b. ours blanc est animal magnifique.

c. Mets chapeau sur tĂȘte.

d. PrĂȘte-moi livre, s’il te plait.

e. Quel est programme à télévision soir ?

↘ 7. Les mots soulignĂ©s sont-ils des dĂ©terminants ? Coche.

a. Un pivert s’est posĂ© dans l’arbre. ïŻ oui ïŻ non

b. Ce concurrent a gagnĂ© la course. ïŻ oui ïŻ non

c. Mes parents sont Ă  leur cours de tango. ïŻ oui ïŻ non

d. L’écureuil vagabonde sous le noisetier. ïŻ oui ïŻ non

e. Le boulanger cuit ses baguettes. ïŻ oui ïŻ non

↘ 8. Colorie les dĂ©terminants en bleu.

surprise son noire naviguer plusieurs pétillante président

ta cravate grand Ă©tudient votre regardons question Mathieu projet quelques avec l’ courir

Exercice 5

Les Ă©lĂšves rĂ©flĂ©chissent en binĂŽme aux dĂ©terminants les plus appropriĂ©s pour complĂ©ter le texte et correspondre Ă  l’illustration. Correction collective.

Exercice 6

Une correction collective est réalisée.

Exercice 7

Lors de la correction collective, si ce n’est pas un dĂ©terminant, discuter de la nature du mot soulignĂ©.

Exercice 8

1x exercices complémentaires 1x évaluation

Orthographe : Le féminin

des noms (2)

Exercice 1

Ici débute la découverte des rÚgles du féminin des noms.

L’enseignant(e) propose de parler des filles/des femmes et de transposer les phrases au fĂ©minin.

Attention, le nombre des noms ne doit pas ĂȘtre modifiĂ©. Un nom masculin singulier deviendra fĂ©minin singulier et un nom masculin pluriel deviendra fĂ©minin pluriel.

Exercice 2

Découverte de la rÚgle générale.

Exercice 3

Exercice sur la rÚgle générale.

L’enseignant(e) insiste sur la transformation des dĂ©terminants au fĂ©minin. Si nĂ©cessaire, l’enseignant(e) prĂ©cise qu’un groupe nominal est le groupe du nom : un nom et son dĂ©terminant (auxquels on peut ajouter un adjectif).

Exercice 4

DĂ©couverte d’une autre rĂšgle de formation du fĂ©minin des noms.

Exercice 5

Découverte de la rÚgle :

Les noms qui se terminent par -er ou -ier font leur féminin en -Úre, on ajoute -e comme pour la rÚgle générale mais également un accent grave.

Exercice 6

Exercice sur cette rĂšgle.

Le féminin des noms (2)

↘ 1. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

gamine

a. Leur (gamin) est vraiment insupportable.

invitée

b. À sept heures, mon (invitĂ©) arrivera pour souper.

Ă©tudiante

c. Sacha est (étudiant) en médecine.

d. Dans cette classe, il y a beaucoup d’(absents) aujourd’hui.

↘ 2. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la rùgle à appliquer.

↘ 3. Recopie ces noms/groupes nominaux au fĂ©minin.

ce voisin →

cette voisine Pour Ă©crire les noms au fĂ©minin, j’ajoute « e ».

cet Ă©lu →

un Français → un habitant → Valentin → le candidat → un bavard → le mendiant →

cette Ă©lue

↘ 4. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

a. Notre (Ă©picier) ferme son magasin Ă  22 heures.

b. À l’hĂŽpital, Liam a Ă©tĂ© soignĂ© par l’(infirmier) .

c. Les (passagers) de ce train ont dĂ» rester debout.

d. Les (caissiers) sourient aux clients du magasin.

↘ 5. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la rùgle à appliquer.

Les noms en « -er » deviennent « -Úre ».

↘ 6. Recopie ces groupes nominaux au fĂ©minin. un ouvrier →

le prisonnier → ce cavalier →

notre boucher → le boulanger → un policier → le berger → le cuisinier → un Ă©tranger → le sorcier →

la boulangÚre une ouvriÚre épiciÚre passagÚres infirmiÚre caissiÚres la candidate la bergÚre une Française cette cavaliÚre une bavarde la cuisiniÚre Valentine une policiÚre une habitante

la prisonniĂšre

notre bouchĂšre la mendiante une Ă©trangĂšre la sorciĂšre absentes

Mesoutils

↘ 7. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

coiffeuse

a. Votre (coiffeur) crée des coiffures originales.

b. Les (promeneurs) ont affronté la pluie ce dimanche.

c. L’(organisateur) de ce voyage est trùs efficace.

d. Il y a beaucoup de (spectateurs) Ă  ce concert.

organisatrice spectatrices

↘ 8. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades des rùgles à appliquer.

Les noms en « -eur » deviennent « -euse ».

Les noms en « -teur » deviennent « -trice » ou « -teuse ».

↘ 9. Recopie ces groupes nominaux au fĂ©minin.

un joueur → le travailleur →

un acteur →

un masseur → mon facteur →

une joueuse

cet animateur → le conducteur → ce danseur → un marcheur → l’inspecteur →

↘ 10. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

a. Plus tard, je voudrais ĂȘtre (mĂ©canicien)

mécanicienne

b. Leur (patron) leur a donné une semaine de congé.

c. Vous devez obéir à votre (colonel) .

↘ 11. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la rùgle à appliquer.

Les noms en « -ien » « -on » « -el » « -et » doublent leur consonne.

↘ 12. Recopie ces groupes nominaux au fĂ©minin.

l’électricien →

un Tunisien →

le magicien →

ce citoyen →

l’électricienne

un criminel → le cadet → le baron → un champion → l’espion → un Wallon →

une Tunisienne patronne la conductrice la baronne une masseuse

d. C’est ce groupe de (poulets) qui fait ce tintamarre ?

cette citoyenne poulettes une actrice l’espionne ma factrice une criminelle l’inspectrice une Wallonne promeneuses

cette animatrice la cadette une marcheuse la magicienne colonelle cette danseuse une championne la travailleuse

Exercice 7

Exercice 8

Découverte de la rÚgle :

Les noms qui se terminent par -eur font leur fĂ©minin en -euse ; les noms qui se terminent en -teur font leur fĂ©minin en -trice ou -teuse. En 3e annĂ©e, il n’est pas nĂ©cessaire d’entrer dans les dĂ©tails et de voir toutes les exceptions ; il est plutĂŽt conseillĂ© de se baser sur l’usage oral des mots.

Voici plus de prĂ©cisions, quelques exemples et les exceptions : – Les noms terminĂ©s par -eur et -teur auxquels on peut associer un verbe formĂ© sur un radical identique Ă  celui de la forme du masculin font leur fĂ©minin en -euse : chanter Æ un chanteur Æ une chanteuse ; donner Æ un donneur Æ une donneuse


Exceptions : un serviteur Æ une servante ; un empereur Æ une impĂ©ratrice ; un ambassadeur Æ une ambassadrice

Quelques noms forment leur fĂ©minin en -eresse, notamment dans la langue juridique ou poĂ©tique : bailleur Æ bailleresse ; dĂ©fendeur Æ dĂ©fenderesse ; chasseur Æ chasseresse ; demandeur Æ demanderesse ; enchanteur Æ enchanteresse ; pĂ©cheur Æ pĂ©cheresse
 –

Les noms en -teur auxquels on ne peut pas associer de verbe formĂ© sur un radical identique font leur fĂ©minin en -trice : le verbe « rĂ©dacter » n’existe pas Æ un rĂ©dacteur Æ une rĂ©dactrice ;  le verbe « électer » n’existe pas Æ un Ă©lecteur Æ une Ă©lectrice
 Quelques rares noms en -teur rĂ©pondant Ă  ce critĂšre ont un fĂ©minin en -teuse, en dĂ©pit de la rĂšgle. Par exemple, basketteur a pour fĂ©minin basketteuse bien que le verbe « basketter » n’existe pas. Éditeur, exĂ©cuteur, inspecteur, inventeur et persĂ©cuteur font leur fĂ©minin en -trice bien qu’il existe un verbe formĂ© sur leur radical.

Au féminin, docteur fait docteur, docteure ou doctoresse.

– Les noms en -Ă©rieur prennent -e : le supĂ©rieur Æ la supĂ©rieure


Exercice 9

Exercice sur cette rĂšgle.

Exercice 10

Exercice 11

Découverte de la rÚgle :

Pour les noms qui se terminent par -ien, -on, -el ou -et, on ajoute le -e comme pour la rÚgle générale et on double la consonne.

Voici plus de précisions, quelques exemples et les exceptions :

– Les noms en -ien et -yen forment leur fĂ©minin en -ienne et -yenne : le chien Æ la chienne ; un doyen Æ une doyenne


– Les noms en -on forment leur fĂ©minin en -onne : un piĂ©ton Æ une piĂ©tonne ; un champion Æ une championne


Exceptions : un mormon Æ une mormone ; un Letton Æ une Lettone ; un compagnon Æ une compagne

– Les noms en -el forment leur fĂ©minin en -elle : un colonel Æ une colonelle ; un intellectuel Æ une intellectuelle


– Les noms en -et forment leur fĂ©minin en -ette : un minet Æ une minette ; le cadet Æ la cadette


Exception : le prĂ©fet Æ la prĂ©fĂšte

– Les noms en -an, -ain, -in, -at et -at ne doublent pas leur consonne.

Exceptions : le paysan Æ la paysanne ; Jean Æ Jeanne ; un chat Æ une chatte Notons que le fĂ©minin de copain est copine.

– Les noms en -eau forment leur fĂ©minin en -elle : un chameau Æ une chamelle ; un jouvenceau Æ une jouvencelle


Exercice 12

Exercice sur cette rĂšgle.

Exercice 13

Exercice 14

Découverte de la rÚgle :

Les noms qui se terminent par -e font leur fĂ©minin en -esse ou ne changent pas. un comte Æ une comtesse ; un abbĂ© Æ une abbesse


Les noms Ă©picĂšnes n’ont pas de formes masculines et fĂ©minines distinctes : il s’agit des noms dĂ©jĂ  terminĂ©s par -e au masculin (plus quelques exceptions). Dans ce cas, l’article porte la marque du genre : un/une camarade, un/une pianiste, un/une enfant
 Les noms Ă©picĂšnes concernent aussi des noms d’animaux qui s’emploient toujours au masculin ou toujours au fĂ©minin, quel que soit le sexe de l’animal qu’ils dĂ©signent ; leur article ne varie donc pas : un papillon, une araignĂ©e


Certains noms de mĂ©tiers, titres, grades ou fonctions autrefois rĂ©servĂ©s aux hommes ont longtemps Ă©tĂ© Ă©picĂšnes. À partir des annĂ©es 80 et dans toute la francophonie, divers textes officiels ont proposĂ© des formes fĂ©minines pour ces diffĂ©rents noms. La plupart sont aujourd’hui attestĂ©es dans les dictionnaires.

Exercice 15

Exercice sur cette rĂšgle.

Exercice 16

Exercice 17

Découverte de la rÚgle :

Certains noms changent complĂštement ou presque.

Certains noms forment leur féminin :

Æ en -esse, avec Ă©ventuellement une modification du radical du masculin : duc Æ duchesse ; prophĂšte Æ prophĂ©tesse


Æ par ajout du suffixe -ine au nom masculin : tsar Æ tsarine ; speaker Æ speakerine


Æ par disparition du suffixe du masculin : canard Æ cane ; dindon Æ dinde ; mulet Æ mule


Æ par modification du radical du masculin, principalement les noms des membres de la famille et des animaux : dieu Æ dĂ©esse ; roi Æ reine ; empereur Æ impĂ©ratrice ; neveu Æ niĂšce ; hĂ©ros Æ hĂ©roĂŻne


Exercice 18

Exercice sur cette rĂšgle, avec une attention particuliĂšre sur les membres de la famille. Il pourrait ĂȘtre intĂ©ressant de faire l’exercice oralement et collectivement au prĂ©alable.

↘ 13. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

a. Le numĂ©ro de l’(acrobate) Ă©tait spectaculaire.

acrobate

b. Dans la ville de Fort Fort Lointain, l’ñne est ami avec l’(ogre) .

c. Nous avons été bien accueillis par notre (hÎte) .

d. Votre (violoniste) est incroyable !

↘ 14. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la rùgle à appliquer.

Les noms en « -e » deviennent « -esse » ou ne changent pas.

↘ 15. Recopie ces groupes nominaux au fĂ©minin.

l’esclave →

l’artiste → le tigre →

l’esclave

cette pianiste

ce pianiste → le maitre → mon camarade → le diable → un ñne → un Belge → un prince →

↘ 16. Écris les noms entre parenthĂšses au fĂ©minin

reine ogresse

Madame hĂŽtesse

a. Leur (roi) part Ă  la rencontre des citoyens.

b. Bonjour (Monsieur) , comment allez-vous ?

c. (Papa) se repose dans sa chambre.

d. Tu nous as sauvés, tu es notre (héros) !

Maman violoniste héroïne

↘ 17. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la rùgle à appliquer.

Certains noms changent complĂštement ou presque.

↘ 18. Recopie ces groupes nominaux au fĂ©minin.

mon copain →

mon jumeau →

son compagnon → cet homme →

un garçon → mon parrain →

ma jumelle sa sƓur la tigresse la maitresse sa compagne la fille cette femme

l’artiste notre mùre la diablesse

une niĂšce une fille mon Ă©pouse une princesse

ma marraine ma camarade une Belge ma copine ta tante une Ăąnesse

notre pĂšre → ton oncle → son frĂšre → le fils → un neveu → mon Ă©poux →

↘ 19. Dans chaque sĂ©rie, colorie les paires masculin/fĂ©minin. Utilise des couleurs diffĂ©rentes.

serviteur docteur Turque servante impératrice sportif duchesse

déesse doctoresse empereur Turc duc dieu sportive

guenon chamelle louve singe dinde liĂšvre chat cane loup

↘ 20. Écris ces groupes nominaux au masculin. Ensuite, colorie la case en fonction de la rùgle qui s’applique.

rĂšgle gĂ©nĂ©rale -e → -esse -er → -Ăšre double consonne -eur → -euse ne change pas -teur → -trice ou -teuse change complĂštement ou presque

la marquise → une Portugaise → une Ă©lĂšve →

cette athlĂšte → une lectrice → l’éditrice → la femelle → ma poule →

le marquis

un Portugais

un Ă©lĂšve

cet athlĂšte

un lecteur

l’éditeur

le mĂąle

la conseillùre → la boulangùre → la professionnelle → une Italienne → une danseuse → la voyageuse → une comtesse → une traitresse →

↘ 21. Écris ces noms/groupes nominaux au fĂ©minin.

un ours →

un messager →

mon filleul →

ma dentiste → un comĂ©dien → le prĂ©sident → un employĂ© → le jongleur → un videur → Louis → ce prĂ©sentateur → un locataire → mon Ă©ducateur → le secrĂ©taire → mon enseignant → un vigneron → un violoniste → le pĂątissier →

une ourse Louise le boulanger

une messagÚre cette présentatrice le professionnel

une comédienne la secrétaire le voyageur

ma filleule une locataire un Italien le conseiller

mon dentiste mon Ă©ducatrice un danseur

la présidente mon enseignante un comte mon coq

une employée une vigneronne la jongleuse une violoniste une videuse la pùtissiÚre un traitre

Exercice 19

Cet exercice est composé de 2 séries de 7 paires.

En 3e annĂ©e, il n’est pas nĂ©cessaire de voir toutes les rĂšgles, celles-ci Ă©tant nombreuses et complexes ; il faut principalement se baser sur l’usage oral des mots.

Voici plus de précisions, quelques exemples et les exceptions :

Æ Les noms en -f ou -p ont un fĂ©minin en -ve : un veuf Æ une veuve ; un Juif Æ une Juive ; un loup Æ une louve


Æ La plupart des noms en -x ont un fĂ©minin en -se : un Ă©poux Æ une Ă©pouse ; un paresseux Æ une paresseuse


Exceptions : un roux Æ une rousse ; un vieux Æ une vieille

Exercice 20

Pour cet exercice, il est demandĂ© aux Ă©lĂšves, aprĂšs avoir transposĂ© ces groupes nominaux au masculin, de retrouver la rĂšgle du fĂ©minin qui s’applique dans chaque cas.

Si nĂ©cessaire, l’enseignant(e) donne des exemples au tableau.

Exercice 21

Exercice récapitulatif à propos de toutes les rÚgles du féminin.

1x exercices complémentaires

Conjugaison : L’indicatif futur simple (1)

Exercice 1

Rappel de ce qu’est le futur : C’est un moment du temps. Quand cela se passe-t-il ? Plus tard. Ce n’est pas encore arrivĂ©.

Les Ă©lĂšves reconnaissent et cochent les phrases qui relĂšvent du futur. S’ils/Si elles sont en difficultĂ©, l’enseignant(e) peut leur demander de lire les phrases Ă  voix haute.

Lors de la correction collective, les Ă©lĂšves justifient leur choix à l’aide d’un indicateur de temps ou d’un verbe conjuguĂ©.

Ensuite, les Ă©lĂšves soulignent les verbes conjuguĂ©s (Ă  l’indicatif futur simple) des phrases qu’ils ont cochĂ©es.

Exercice

2

AprĂšs avoir reliĂ© le pronom au reste de la phrase, quelques Ă©lĂšves lisent leurs propositions ; outre l’entrainement Ă  la lecture Ă  voix haute, l’oral permet d’amener la conjugaison de maniĂšre spontanĂ©e et de valider ou non leurs choix.

L’enseignant(e) fait entourer les terminaisons des verbes sĂ©lectionnĂ©s en rouge.

Je découvre

Les Ă©lĂšves complĂštent la rubrique « Je dĂ©couvre » avec leurs connaissances et l’enseignant(e) en profite pour approfondir les conditions d’utilisation de l’indicatif futur simple.

L’indicatif futur simple (1)

↘ 1. Coche les phrases au futur. Ensuite, souligne leur verbe conjuguĂ©

ïŻ a. Le chef d’orchestre portera un beau costume.

ïŻ b. Les souris ont peur du gros chat.

ïŻ c. Dimanche passĂ©, nous avons cuisinĂ© des crĂȘpes.

ïŻ d. Nous recevrons bientĂŽt les rĂ©sultats du concours.

ïŻ e. Les trois hommes Ă©coutent la conversation.

ïŻ f. Les chevaux tiraient courageusement la calĂšche.

ïŻ g. Je construirai un bateau avec quelques morceaux de bois.

↘ 2. Relie chaque pronom au reste de la phrase qui convient.

Vous raconterez tout. chanteront juste. cherchera partout. Elle

rĂ©parera le nichoir. fermerai la fenĂȘtre. tondras le gazon.

J’ admireras ce site. aiderai papa. apprendra vite. Ils direz la vĂ©ritĂ©. enlĂšveront la neige. pousserai un cri.

Nous visiterons le zoo. Ă©crira une lettre. ramerez ensemble. Tu me laverai les mains. se promĂšnera en ville. t’endormiras vite.

Je découvre

L’indicatif est utilisĂ© pour exprimer :

- un fait ou une qui se déroulera .

futur simple action plus tard

Ex. : Je commanderai un dessert.

- un ordre, une invitation ou un conseil

Ex. : Tu te brosseras bien les dents !

- une généralité.

Ex. : La nature sera toujours polluĂ©e par l’homme.

↘ 3. Souligne au moins 10 verbes conjuguĂ©s dans ce texte.

Nos vacances au camping.

L’annĂ©e prochaine, nous retournerons dans notre camping prĂ©fĂ©rĂ©. Le soir, mes parents se reposeront au bord de la Semois. Maman lira le roman de l’étĂ© pendant que papa terminera ses mots croisĂ©s.

Mon petit frĂšre et ma grande sƓur s’amuseront bien
 « ZĂ©lie, joueras-tu avec tes copines dans la plaine de jeux ? » « Oui ! Je glisserai plus vite qu’elles sur le toboggan ! »

Yanis s’entrainera sur ses rollers dans les allĂ©es. « Yanis, tomberas-tu encore si souvent ? »

« Non ! Et je dépasserai tout le monde ! »

Ils joueront aussi prĂšs du petit pont de bois.

« PromÚnerez-vous le chien tous les matins ? Donnerez-vous à manger aux canards ? »

« Oui et nous nous baignerons peut-ĂȘtre dans la riviĂšre pour nous rafraichir ! »

↘ 4. Cherche dans le texte pour complĂ©ter ce tableau.

1PS

Je vite !

Je tout le monde !

2PS -tu avec tes copines ? -tu encore souvent ?

3PS

1PP

infinitif terminaison

glisserai glisser -ai dépasserai dépasser -ai Joueras jouer

Tomberas tomber

Maman un roman.

Papa ses mots croisés.

Yanis sur ses rollers.

Nous dans ce camping.

Nous dans la riviĂšre.

lira lire -a terminera terminer -a s'entrainera s'entrainer -a retournerons retourner -ons nous baignerons se baigner -ons

2PP -vous le chien ?

PromĂšnerez promener -ez

3PP

Donnerez donner -ez

-vous Ă  manger aux canards ?

Mes parents le soir.

Mes frùre et sƓur bien !

Ils prĂšs du pont.

se reposeront se reposer -ont s’amuseront s’amuser -ont joueront jouer -ont

Exercice 3

Lecture Ă  voix basse et Ă  voix haute du texte pour contextualiser la recherche. Les Ă©lĂšves cherchent les verbes conjuguĂ©s du texte. Le but n’est pas de retrouver les 14 verbes conjuguĂ©s mais plutĂŽt de remarquer qu’ils sont tous conjuguĂ©s au mĂȘme temps. L’enseignant(e) peut prĂ©ciser qu’il y a parfois plusieurs verbes conjuguĂ©s par ligne du texte. Attention, quatre verbes sont pronominaux.

Æ À quel temps sont conjuguĂ©s les verbes que vous avez soulignĂ©s ? Au futur simple.

Exercice 4

AprĂšs avoir reportĂ© les verbes conjuguĂ©s dans les phrases, l’enseignant(e) fait remarquer que celles-ci sont rangĂ©es en fonction de la personne Ă  laquelle ils sont conjuguĂ©s. Les Ă©lĂšves se rappellent des abrĂ©viations des personnes de la conjugaison.

Ensemble, on trouve les infinitifs et les terminaisons des verbes. L’enseignant(e) rappelle que pour trouver l’infinitif d’un verbe, on utilise « C’est l’action de
 » ou « Il faut
 ». Les Ă©lĂšves colorient aussi les terminaisons des verbes dans les phrases. Dans ce manuel, nous avons choisi de baser la conjugaison sur les phonĂšmes, d’observer les frĂ©quences d’utilisation et de travailler sur les rĂ©gularitĂ©s, plutĂŽt que de voir les terminaisons en fonction des groupes de verbes et d’étudier les exceptions. Il est donc important de travailler Ă  l’oral et Ă  l’écrit et de mettre en Ă©vidence la conjugaison de la plupart des verbes, les verbes irrĂ©guliers Ă©tant ajoutĂ©s peu Ă  peu.

Les terminaisons de l’indicatif futur simple sont adjointes Ă  l’infinitif prĂ©sent. De cette maniĂšre, on peut insister sur le fait que tous les verbes conjuguĂ©s Ă  l’indicatif futur simple possĂšdent un R Ă  toutes les terminaisons.

Les verbes en -oir, en -re et une partie des verbes en -ir perdent la (les) voyelle(s) de la terminaison de l’infinitif : je cour(i)rai ; tu recev(oi)ras ; nous prendr(e)ons


Exercice 5

Les Ă©lĂšves colorient l’infinitif si celui-ci peut ĂȘtre conjuguĂ© Ă  l’indicatif futur simple dans la phrase. Si les Ă©lĂšves sont en difficultĂ©, l’enseignant(e) peut demander de lire les phrases Ă  voix haute.

Lors de la correction collective, les Ă©lĂšves justifient leurs choix. Plusieurs rĂ©ponses sont possibles ; le choix peut ĂȘtre discutĂ© mais l’important est que le sens de la phrase soit conservĂ©.

Exercice 6

Les phrases d, e, g acceptent le féminin et le masculin.

Exercice 7

Les Ă©lĂšves effectuent l’exercice. Ensuite, l’enseignant(e) construit le tableau rĂ©capitulatif des terminaisons des verbes Ă  l’indicatif futur simple.

1x exercices complémentaires

↘ 5. Colorie l’infinitif si on peut le conjuguer au futur simple.

a. AprĂšs la pluie, nous ramasser des escargots.

b. Hier, ils partir sans dire « au revoir ».

c. La présentatrice donner ces informations la semaine passée.

d. Écrire -tu Ă  tes parents quand tu seras en classes de dĂ©paysement ?

e. L’an prochain, tu ĂȘtre en 4e annĂ©e.

f. Ils acheter des produits biologiques depuis toujours.

g. Le chef de chantier consulter le plan avant de commencer les travaux.

h. J’ai entendu du bruit, on frapper à la porte ?

i. Il pleuvoir beaucoup, la pelouse est toute détrempée.

↘ 6. ComplĂšte avec un pronom qui convient. (Parfois, il y a plusieurs possibilitĂ©s.)

N’oublie pas la majuscule si c’est nĂ©cessaire !

a. corrigerai toutes les erreurs.

b. nous réchaufferons les mains prÚs du feu.

Je Vous

c. téléphonerez à vos grands-parents.

d. admireront la beauté du paysage.

e. Est-ce qu’ mangera à sa faim ?

f. Dessineras- les animaux de la ferme ?

Il/elle/on il/elle/on Nous

g. ne démolira pas cet ancien atelier.

h. AprÚs, débarrasseras la table !

i. Marianne et moi, ramasserons des noix.

j. Alix et toi, peindrez les sculptures en pĂąte Ă  sel.

↘ 7. Complùte avec la terminaison qui convient.

a. Je consulter le dictionnaire.

b. Tu choisir son cadeau d’anniversaire.

c. Ils organiser une fĂȘte magnifique.

d. La vague se briser sur la digue.

e. Vous escalader le Mont Blanc demain matin.

f. Le boulanger préparer de bons croissants.

g. Nous donner des conseils aux autres participants.

h. La sorciÚre préparer une potion maléfique.

ai ont ons ez as a a a ont vous

Les

terminaisons

des verbes à l’indicatif futur simple sont :

1PS : -ai

2PS : -as

3PS : -a

1PP : -ons

2PP : -ez

3PP : -ont

i. Les chats miauler pour sortir dans le jardin.

j. AprÚs le stage, les peintres ranger tout le matériel dans l'atelier.

Ils/Elles tu tu nous ont

Le futur des verbes « avoir » et « ĂȘtre »

↘ 1. Recopie le pronom et le verbe de ces phrases au bon endroit.

J’aurai bientît neuf ans. – Tu seras contente. – Elle sera coiffeuse. – Elle aura le temps. –Nous aurons notre place. – Nous serons absents. – Vous serez fiers. –Elles seront sages. – Je serai à l’heure. –Tu auras le sourire. – Vous aurez chaud. – Elles auront du courage.

Avoir

1PS

2PS

J’aurai

Tu auras

Elle aura

3PS On / Il / On / Il / 1PP

2PP

Nous aurons

Vous aurez

Être

Je serai

Tu seras

Elle sera

Nous serons

Vous serez

Elles auront

3PP Ils / Ils /

Elles seront

↘ 2. ComplĂšte avec les verbes « avoir » ou « ĂȘtre » conjuguĂ©s au futur simple.

aurons

a. Nous faim.

b. -tu vraiment le choix ?

c. Vous de la peine.

g. Tu mon coéquipier.

Auras serai

h. Je chez moi.

aurez serons

auront

d. Ils le mĂȘme sac.

e. J’ un bonnet bleu.

f. Il une récompense.

i. Nous ne pas derniers.

Seront

j. -elles chez le dentiste ?

k. Elle chez sa copine.

m. Dans vingt minutes, le rĂŽti prĂȘt.

aurons

aurons seras

l. -vous bons amis ?

n. Juliette et toi, vous toujours mes meilleures amies.

o. Quand nous de l’argent, nous une grande maison.

q. Maria une nouvelle chambre quand elle douze ans.

aurai sera sera aura aura aurai serai

s. J’espĂšre qu’elles Ă  l’heure, sinon mes parents fĂąchĂ©s.

seront seront aura serai Serez serez

r. BientĂŽt, j’ le premier prix, je en haut du podium et je fiĂšre d’avoir persĂ©vĂ©rĂ© !

Conjugaison : Le futur des verbes « avoir » et « ĂȘtre »

Exercice 1

L’enseignant(e) fait lire les phrases à voix haute.

Avant d’exĂ©cuter la consigne :

Æ Quels sont les verbes qui sont conjuguĂ©s ? Les verbes « avoir » et « ĂȘtre ».

Æ À quel temps ? À l’indicatif futur simple.

Les Ă©lĂšves recopient seulement les pronoms et les verbes en face de la bonne personne.

Si nĂ©cessaire, l’enseignant(e) rappelle les abrĂ©viations utilisĂ©es pour les personnes de la conjugaison.

Les Ă©lĂšves relisent en chorale la conjugaison de ces verbes Ă  l’indicatif futur simple.

Exercice 2

La colonne de gauche concerne le verbe « avoir » et la colonne de droite le verbe « ĂȘtre ».

La deuxiĂšme partie concerne les deux verbes.

1x exercices complémentaires

1x Ă©valuation

Analyse : Le groupe sujet (1)

Exercice 1a

Avant de dĂ©buter l’exercice, un rappel de l’histoire peut ĂȘtre nĂ©cessaire.

Les Ă©lĂšves replacent les mots ou groupes de mots dans les phrases inspirĂ©es de l’interview des stars des contes pour enfants.

Exercice 1b

Collectivement, on souligne les verbes conjuguĂ©s des phrases. Ensuite, l’enseignant(e) demande aux Ă©lĂšves de vĂ©rifier si ce qu’ils ont complĂ©tĂ© correspond bien aux verbes qu’ils ont soulignĂ©s (accord sujet/verbe, singulier/pluriel).

Dans la phrase d., la nĂ©gation peut ĂȘtre associĂ©e au verbe Ă©tant donnĂ© qu’il est conjuguĂ© au passĂ© composĂ©.

Exercice 1c

Les Ă©lĂšves inventent un groupe sujet qui convient Ă  chaque phrase. Ils peuvent s’inspirer de l’interview.

Exercice 1d

Discussion collective Ă  propos de la fonction du (groupe) sujet.

Æ C’est souvent celui qui fait l’action de la phrase, le hĂ©ros.

Æ C’est ce dont on parle, le sujet de la phrase.

Je découvre

Les élÚves complÚtent la rubrique « Je découvre ».

Le sujet est une fonction qui se définit par rapport au verbe de la phrase.

Le sujet est le plus souvent : un nom ou un groupe nominal, un pronom.

Plus rarement, le sujet peut ĂȘtre : un verbe Ă  l’infinitif, une proposition subordonnĂ©e relative (notamment dans les proverbes et les dictons), un adverbe de quantitĂ© (Ex. : Beaucoup le lui ont reprochĂ©.)

Le sujet peut toujours ĂȘtre remplacĂ© par un pronom personnel, le plus souvent « il(s) » ou « elle(s) » ou par le pronom dĂ©monstratif « cela ».

Le groupe sujet (1)

↘ 1. Voici des phrases inspirĂ©es de l’interview des stars de contes pour enfants.

→ a. Replace les mots/groupes de mots qui manquent.

Le premier petit cochon vous Les trois petits cochons Ils Un journaliste bizarre

Nouf-Nouf Les deux petits cochons Le loup

Les trois petits cochons

a. sont des personnages trĂšs connus.

b. pose des questions.

c. Est-ce que voyez toujours vos frĂšres ?

Un journaliste bizarre vous

Les deux petits cochons

d. n’ont pas retenu la leçon.

Ils

e. sont tellement paresseux.

Nouf-Nouf

f. pense surtout à s’amuser !

g. est laid et il sent du bec.

Le loup

Le premier petit cochon

h. a amélioré la sécurité de sa maison.

→ b. Souligne les verbes conjuguĂ©s des phrases prĂ©cĂ©dentes.

→ c. Trouve un mot/groupe de mots pour complĂ©ter les phrases suivantes.

Les enfants

a. adorent l’histoire des trois petits cochons.

Les cochons

b. ont pris des chemins différents.

Le journaliste

c. voudrait prendre quelques photos.

d. Heureusement, se méfie du loup.

→ d. Discute avec ton enseignant(e) et tes camarades de la fonction de ces mots/ groupes de mots. .

Ce sont des (groupes) sujets

Le (groupe) sujet représente dont on parle.

l’ĂȘtre ou la chose (le hĂ©ros)

Ex. : Le vieux meunier porte le grain. Les clowns font des cabrioles. Ils dansent

Pour cette page, chaque fois que tu as fini un exercice, souligne les (groupes) sujets en bleu et les verbes en rouge.

↘ 2. Encadre le (groupe) sujet de chaque phrase par « C’est
 qui
 ».

C’est

a. l’avion atterrira sur le tarmac de l’aĂ©roport.

b. Hier soir, Maëva a allumé un feu dans la cheminée.

↘ 3. Invente un (groupe) sujet au singulier pour chaque phrase.

a. C’est qui pratique le judo le samedi.

b. Avant-hier, c’est qui s’est Ă©chappĂ© par la fenĂȘtre.

↘ 4. Encadre le groupe sujet de chaque phrase par « Ce sont
 qui
 ».

a. les adultes boivent du café.

b. des grĂȘlons tomberont demain aprĂšs-midi.

↘ 5. Invente un (groupe) sujet au pluriel pour chaque phrase.

a. Ce matin, ce sont qui jouaient avec des billes.

b. Ce sont qui rongent des os.

↘ 6. Utilise « C’est
 qui
 » ou « Ce sont
 qui
 » pour encadrer les groupes sujets.

ce sont

a. Au printemps, les petits oiseaux chantaient.

b. Tous les dimanches, le maraicher vend ses fruits.

Ce sont mon frùre mes copains mon papa c’est

c’est qui qui

↘ 7. Invente un (groupe) sujet au singulier ou au pluriel pour chaque phrase.

a. Demain, c’est qui lavera sa voiture.

b. Ce sont qui sont rouges.

Ce sont l’oiseau les chiens les cerises qui qui qui qui

↘ 8. Recopie ces phrases en encadrant les groupes sujets par « C’est
 qui
 » ou « Ce sont
 qui
 ».

a. Une petite souris mange du fromage.

C'est une petite souris qui mange du fromage.

b. Les courgettes poussent vite dans notre potager.

Ce sont les courgettes qui poussent vite dans notre potager.

c. Mes robes ont séché dehors hier.

Ce sont mes robes qui ont séché dehors hier.

Exercice 2

Le sujet au singulier peut ĂȘtre mis en relief par l’expression prĂ©sentative « C’est
 qui »

Les Ă©lĂšves encadrent les sujets par cette expression.

Les Ă©lĂšves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

L’enseignant(e) fait relire les phrases sans l’expression et fait remarquer que tous ces sujets sont au singulier. On peut les remplacer par les pronoms « il » ou « elle ».

Exercice 3

AprÚs avoir complété les phrases, les élÚves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

Exercice 4

Le sujet au pluriel peut ĂȘtre mis en relief par l’expression prĂ©sentative « Ce sont
 qui ».

Les Ă©lĂšves encadrent les sujets par cette expression.

Les Ă©lĂšves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

L’enseignant(e) fait relire les phrases sans l’expression et fait remarquer que tous ces sujets sont au pluriel. On peut les remplacer par les pronoms « ils » ou « elles ».

Exercice 5

AprÚs avoir complété les phrases, les élÚves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

Exercice 6

AprÚs avoir complété les phrases, les élÚves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

L’enseignant(e) fait observer que les sujets sont souvent en dĂ©but de phrase, mais pas nĂ©cessairement.

Exercice 7

AprÚs avoir complété les phrases, les élÚves soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

Exercice 8

Les Ă©lĂšves recopient les phrases en mettant en emphase le sujet. Ensuite, ils soulignent les sujets en bleu et les verbes en rouge.

1x exercices complémentaires

Ma production

Lors de ce chapitre, les Ă©lĂšves auront parcouru quelques interviews. Pour leur mission, les Ă©lĂšves devront Ă©crire des questions relatives Ă  un mĂ©tier proposĂ©. L’enseignant(e) peut Ă  sa guise rajouter d’autres mĂ©tiers en lien avec les projets de la classe.

Les types de phrases interrogatives n’ont pas Ă©tĂ© explicitement vues dans les chapitres prĂ©cĂ©dents mais les Ă©lĂšves ont pu en parcourir un certain nombre.

Ne pas hésiter à leur proposer de retourner dans le chapitre 4 pour retrouver des exemples.

Les élÚves avec le chemin A écrivent :

‱ 10 questions ;

‱ minimum 2 questions commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 2 questions commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 2 questions avec des verbes en -er au futur simple ;

‱ minimum 2 questions avec une inversion sujet-verbe ;

‱ les questions dans un ordre logique.

Les élÚves avec le chemin B écrivent :

‱ 7 questions ;

‱ minimum 1 question commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 1 question commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 2 questions avec des verbes en -er au futur simple ;

‱ les questions dans un ordre logique.

Les élÚves avec le chemin C écrivent :

‱ 5 questions ;

‱ minimum 1 question commençant par « Est-ce que » ;

‱ minimum 1 question commençant par un mot interrogatif ;

‱ minimum 1 question avec des verbes en -er au futur simple.

Les Ă©lĂšves choisissent un mĂ©tier et Ă©crivent donc des questions qu’ils seraient susceptibles de poser Ă  cette personne.

Les questions doivent ĂȘtre complexes, cela signifie qu’elles doivent contenir un nombre minimum de mots et ĂȘtre complĂštes.

Pour aider les Ă©lĂšves, l’enseignant(e) peut leur proposer des rĂ©ponses gĂ©nĂ©riques :

Æ Cela fait maintenant 15 ans que je fais ce mĂ©tier.

Æ Le travail est prenant, on ne s’ennuie jamais !

Æ C’est un travail assez solitaire.

Æ J’aime le contact avec les gens et le fait que chaque jour est diffĂ©rent.

Æ Pour ce mĂ©tier, il faut un certain courage et ĂȘtre trĂšs calme.

Æ J’ai fait 5 ans d’études et 3 ans de recherches.

Æ 


J’écris

↘ Choisis un des mĂ©tiers proposĂ©s ci-dessous, puis rĂ©dige les questions qui composeront l’interview sur cette profession.

‱ Olivia, pompier

‱ Emma, restaurateur de meubles

‱ Mila, Ă©lectromĂ©canicien

‱ Aya, tatoueur

‱ Louise, agent de police

‱ Alice, maraicher

‱ Lina, chorĂ©graphe et professeur de danse

‱ Lore, ambulancier

‱ Anna, traducteur interprùte

‱ Elena, gĂ©rant d’un magasin de vĂȘtements

‱ Yasmine, historien

Monévaluation

J’écris

↘ Colorie les cases selon ton niveau de maitrise :

ïź Je maitrise. ïź Je ne maitrise pas encore suffisamment. ïź J’ai besoin d’aide. Je dois m’exercer.

ïź Transposer au fĂ©minin le mĂ©tier choisi

ïź CrĂ©er entre 5 et 10 questions complexes

ïź Commencer 1-2 fois par « Est-ce que »

ïź Utiliser 1-2 mots interrogatifs (qui, quoi, comment, quand, oĂč
)

ïź Écrire 1-2 questions avec une inversion du sujet et du verbe (V+S)

ïź Écrire 1-2 questions au futur simple (verbe en -er)

ïź Écrire le verbe ĂȘtre et avoir au futur simple

ïź Utiliser des dĂ©terminants

ïź Classer les questions dans un ordre logique

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