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BARISTA NEWS

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La DA post-Covid-19 : l’EVA fait le point

Les restrictions et les confinements à travers l’Europe ont été dévastateurs pour les secteurs du Vending et de l’OCS, comme le révèle le rapport publié par l’EVA sur l’impact de la Covid-19 sur la profession. Néanmoins, l’EVA estime qu’il existe un certain nombre d’opportunités qui pourraient aider la profession à faire face à cette crise. Le webinaire qu’elle organisait en septembre dernier démontrait notamment le rôle que pourrait jouer la DA sur les lieux de travail post-Covid.

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Rapport sur l’impact de la Covid-19 sur les secteurs Vending & OCS

Les résultats du rapport publié par l’EVA démontrent la gravité de l’impact des restrictions sur notre secteur, ainsi que les prévisions pour les mois à venir. Le rapport est basé sur les réponses de l’enquête menée auprès d’opérateurs et de fournisseurs vending (fabricants et fournisseurs d’ingrédients et de solutions de paiement) dans 13 pays européens. Ces professionnels ont répondu à une série de questions liées à leurs activités, concernant les restrictions qui étaient en vigueur de mars à mai. Ce rapport européen englobe toutes les réponses de l’enquête et inclut également les rapports individuels de 7 pays (Autriche, France, Allemagne, Italie, Roumanie, Espagne et Royaume-Uni) ainsi que les réponses spécifiques à ces marchés.

Le rapport dévoile notamment que : • 58% des opérateurs ont vu leur chiffre d’affaires diminuer en avril, entre 61 et 99% en moins par rapport à la même période en 2019. • 70% des opérateurs considèrent que la crise entraînera des changements dans les comportements de consommation des distributeurs automatiques.

• 60% des fournisseurs voient une demande accrue des paiements cashless. • Seul un fournisseur sur cinq prévoit une croissance de son chiffre d’affaires d’ici le printemps 2021, par rapport à 2019.

Les réponses à l’enquête permettent également de comprendre les raisons spécifiques pour lesquelles les entreprises ont constaté une réduction de leur chiffre d’affaires, de connaître les segments de l’industrie qui ont connu les plus fortes baisses mais elles révèlent surtout quand et dans quelle mesure les acteurs du secteur pensent que l’activité se rétablira au cours des différentes périodes de 2020 ainsi qu’au début de l’année prochaine.

Les membres de l’EVA ont un accès libre et complet au rapport et peuvent le demander directement via le secrétariat de l’EVA. Toute personne intéressée par l’achat ou l’acquisition du rapport doit contacter l’EVA par mail: vending@vending-europe.eu

De nouvelles opportunités pour le Vending

Dans un article publié sur son site fin avril, l’EVA expose les nouvelles opportunités qui se présentent pour le secteur en cette période de crise sanitaire et estime que la profession est bien armée pour en tirer profit:

-En premier lieu le changement de comportement du consommateur depuis le début de cette crise sanitaire, imposé par les nouvelles règles gouvernementales mais aussi principalement par des changements d’attitudes volontaires. Avant la crise, les consommateurs avaient une nette préférence pour les interactions ou expériences personnelles lors de l’achat d’un article, considérant la DA dépourvue de « chaleur humaine » . Mais la crise a changé la donne et les consommateurs sont plus inquiets et cherchent à avoir le moins de contacts rapprochés possibles avec d’autres personnes lors de leurs achats. Changement de comportement également vis-à-vis des paiements avec une préférence de la part des consommateurs pour les paiements électroniques qui sont parfois les seuls moyens actuellement acceptés dans certains commerces. (A noter que l’argent cash est également un moyen de paiement sûr selon l’OMS). Ce changement représente une opportunité commerciale importante pour les opérateurs et un moteur pour investir dans des solutions de paiement sans contact et mobiles. De plus, les modifications apportées par l’EVA au Multi Drop Bus - Internal Communication Protocol (MDB / ICP) au cours de l’année dernière, permettent de plus grandes fonctionnalités telles que les commandes à distance (via des applications) ou le panier de regroupement des produits; de quoi permettre aux consommateurs d’être plus confiants lors de l’utilisation des DA.

-En second lieu, l’émergence de nouvelles opportunités en matière de restauration dans les grandes entreprises où l’offre de nourriture et de boissons a été repensée depuis le retour progressif des employés. L’EVA mentionne que dans certains bâtiments, une seule et grande cantine a été remplacée par une série de distributeurs au-

tomatiques situés à différents endroits des locaux, afin de contribuer à maintenir une distanciation sociale entre le personnel. Il s’agit là d’une opportunité importante qui pourrait se présenter aux opérateurs. Les micromarchés pourraient également susciter de l’intérêt dans les grandes entreprises, du fait de la variété des produits qu’ils proposent et de l’absence de contact pendant toute la durée de l’achat et jusque dans le paiement. Une autre opportunité réside dans la vente de masques faciaux , de gels hydroalcooliques et de gants dans les DA placés sur des sites publics existants, mais aussi sur de nouveaux sites publics générant ainsi de nouveaux contrats.

-Enfin, la dernière opportunité que l’EVA mentionne est une éventuelle modification législative, notamment concernant l’interdiction et la réduction de certains articles en plastique à usage unique tels que les gobelets. Avec la Covid-19, la « réduction significative » des plastiques à usage unique devient en cette période de crise « moins significative » ou un objectif moins strict. Ce qui est justifiable sachant que même les grandes chaînes de café multinationales refusent d’accepter les gobelets réutilisables des consommateurs en raison du risque de contamination.

Webinaire de l’EVA : le rôle du vending sur les lieux de travail post-Covid

La Covid-19 a déclenché des changements inédits dans nos sociétés et nos modes de vie et la probabilité que certains de ces changements restent permanents pourrait être assez élevée. Les lieux de travail et plus généralement notre façon de travailler ont été sérieusement affectés par les restrictions de la Covid-19 ; Sachant que 80 % des machines vending et OCS sont placées dans des entreprises, les opérateurs ont

connu un énorme ralentissement de leur activité au cours des derniers mois à cause du télétravail massif des employés qui ont consommé moins sur leur lieu de travail. L’adaptation à de nouvelles situations est donc essentielle pour surmonter les défis. L’EVA estime que les opportunités pour le secteur sont bien là mais seulement si les tendances sont correctement interprétées et les modèles économiques adaptés. Pour mieux comprendre comment la crise de la Covid-19 a affecté et affectera l’environnement de travail dans de nombreuses entreprises et comment les opérateurs pourraient répondre aux nouvelles attentes des consommateurs sur les lieux de travail, l’EVA organisait le 29 septembre dernier un webinaire qui accueillait près de 100 professionnels du secteur.

Animés par le directeur général de l’EVA Erwin Wetzel, les intervenants, Aurélie Oberti (Lyreco), Fabien Claus (Banque CBC ) et Jan Marck Vrijlandt (Selecta) ont fait part de leurs expériences vécues sur le changement des habitudes de travail

Aurélie Oberti

Fabien Claus

Jan Marck Vrijlandt

depuis les restrictions liées à la Covid-19 et ont exposé les défis et les opportunités qui pourraient exister à l’heure actuelle pour les entreprises vending. Même s’il est évident que le télétravail des employés nécessite des adaptations importantes, en particulier de la part des grandes entreprises qui sont incapables d’assurer une distanciation sociale au sein de leurs bureaux, Aurélie Oberti a néanmoins souligné que cette tendance n’est pas totalement nouvelle et que la crise actuelle a plutôt accéléré (drastiquement) les tendances de travail existantes telles que le travail

flexible, le travail à distance et la numérisation. Les entreprises renouvellent encore les baux de bureaux, mais généralement pour une durée plus courte, pour voir l’évolution de la situation à moyen terme. Aurélie Oberti s’attend également à une augmentation des espaces de coworking - non seulement dans les grandes villes mais aussi dans les villes régionales- de manière à permettre à des groupes de travailleurs de se rencontrer physiquement pour des réunions rapides et productives sans avoir à subir les inconvénients des déplacements. Fabien Claus a quant à lui expliqué que la banque CBC avait déjà mis en place des possibilités de travail à domicile pour son personnel de bureau au cours des dernières années, la société ayant décentralisé son siège hors de Bruxelles. Cependant, les habitudes de travail ont du jour au lendemain changé pour les employés des succursales et l’entreprise a désormais instauré un modèle de travail hybride dans lequel le personnel est physiquement présent 2 jours par semaine au bureau avec des équipes réparties. Fabien Claus s’attend à ce que ce modèle se poursuive dans l’avenir, mais d’autres aspects tels que les formations du personnel mais aussi la possibilité d’offrir des avantages aux employés comme le café à domicile devraient être également envisagés. Enfin, Jan Marck Vrijlandt a partagé l’expérience de Selecta et exposé les opportunités qui pourraient se présenter pour le secteur. Il a expliqué que les déplacements au bureau devenant moins fréquents, les employés seraient davantage à la recherche, sur leur lieu de travail, d’une « expérience » qu’ils ne pourraient pas avoir chez eux. Cela signifie que les employés pourraient être prêts à dépenser plus et à rechercher plus de produits vending et cafés premium au bureau. À son avis, le modèle des grandes cantines assurant la restauration de nombreux salariés à la fois est révolu, ce qui pourrait donc offrir des perspectives intéressantes pour le secteur du libre-service. Les solutions cashless, les micromarchés (et petits frigos intelligents), la télémétrie et la possibilité d’offrir le café aux employés en télétravail pourraient s’avérer être des opportunités alléchantes pour les entreprises vending.

Tous les participants ont convenu qu’à long terme, ils ne s’attendaient pas à ce que les employés travaillent les 5 jours de la semaine à partir de chez eux, ni qu’ils se déplacent tous les jours au bureau, mais croient que la plupart des entreprises adopteront probablement une politique hybride de 2-3 jours par semaine au bureau, avec éventuellement des équipes tournantes.

De automatische distributie na Covid-19 : EVA maakt de balans op

De beperkingen en lockdowns in heel Europa zijn verwoestend geweest voor de vending- en OCS-sector. Dat blijkt uit het rapport dat de EVA publiceerde over de gevolgen van Covid-19 voor de industrie. Desondanks is de EVA van mening dat er een aantal mogelijkheden zijn die de industrie kunnen helpen om deze crisis het hoofd te bieden. Het webinar dat ze afgelopen september organiseerde, toonde de rol aan die automaten kunnen spelen op post-Covid-werkplekken.

Rapport over de impact van Covid-19 op de Vending & OCS-sectoren

De resultaten van het rapport van de EVA tonen de ernst van de gevolgen van de beperkingen voor onze sector, evenals de verwachtingen voor de komende maanden. Dit rapport is gebaseerd op de resultaten van het marktonderzoek uitgevoerd bij operatoren en leveranciers van verkoopautomaten (fabrikanten en leveranciers van ingrediënten en betalingsoplossingen) in 13 Europese landen. Deze professionals beantwoordden een reeks vragen met betrekking tot hun activiteiten, betreffende de beperkingen die van kracht waren van maart tot mei. Dit Europese verslag bevat alle antwoorden op de enquête alsook de individuele verslagen van 7 landen (Oostenrijk, Frankrijk, Duitsland, Italië, Roemenië, Spanje en het Verenigd Koninkrijk) en specifieke antwoorden voor deze markten.

Het rapport onthult namelijk dat :

• 58% van de operatoren hun omzet zag dalen in april, tussen 61 en 99% minder dan in dezelfde periode in 2019. • 70% van de operatoren is van mening dat de crisis zal leiden tot veranderingen in het verbruiksgedrag van automaten. • 60% van de leveranciers ziet een verhoogde vraag naar cashless betalingen. • Slechts één leverancier op vijf verwacht in het voorjaar van 2021 een stijging van de omzet ten opzichte van 2019.

De antwoorden op de enquête geven ook inzicht in de specifieke redenen waarom bedrijven een omzetdaling hebben vastgesteld, welke segmenten van de industrie de grootste dalingen hebben gekend, maar nog belangrijker is dat ze tonen wanneer en in welke mate de belanghebbenden in de sector denken dat de activiteit zich zal herstellen in de verschillende periodes in 2020 en begin volgend jaar.

EVA-leden hebben volledige en vrije toegang tot het rapport en kunnen het rechtstreeks aanvragen via het EVA-secretariaat. Iedereen die geïnteresseerd is in het verwerven van het rapport, kan contact opnemen met de EVA op het volgende e-mailadres: vending@vending-europe.eu

Nieuwe mogelijkheden voor de Vending

In een artikel dat eind april op haar website werd gepubliceerd, beschrijft de EVA de nieuwe mogelijkheden voor de sector tijdens deze gezondheidscrisis en is zij van mening dat de sector goed is uitgerust om hier gebruik van te maken:

-In de eerste plaats is er de verandering in het consumentengedrag sinds het begin van deze gezondheidscrisis, opgelegd door nieuwe overheidsregels, maar ook vooral door vrijwillige gedragsveranderingen. Voor de crisis had de consument een duidelijke voorkeur voor persoonlijke interactie of ervaringen bij het kopen van een artikel, en het is een feit dat automaten een gebrek hebben aan «menselijke warmte». Maar de crisis heeft hier verandering in gebracht en de consumenten zijn nu meer bezorgd en proberen bij het winkelen zo weinig mogelijk contact te hebben met andere mensen. Er is ook een verandering in het betalingsgedrag waarbij de consument een voorkeur heeft voor elektronische betalingen, die op dit moment in sommige bedrijven zelfs het enige geaccepteerde middel zijn. (Merk op dat cash geld volgens de WHO ook een veilig betaalmiddel is). Deze verandering vormt een belangrijke zakelijke kans voor de operatoren en een stimulans om te investeren in contactloze en mobiele betaaloplossingen. Bovendien maken de wijzigingen die de EVA het afgelopen jaar heeft aangebracht in de Multi Drop Bus - Internal Communication Protocol (MDB / ICP) een grotere functionaliteit mogelijk, zoals bediening vanop afstand (via applicaties) of het mandje met productgroepen, waardoor consumenten meer vertrouwen hebben in het gebruik van automaten.

-Daarnaast is er het ontstaan van nieuwe cateringmogelijkheden in grote bedrijven waar het aanbod van voedsel en drank sinds de geleidelijke terugkeer van de werknemers werd herbekeken. De EVA stelt dat in sommige gebouwen één enkele grote kantine werd vervangen door een reeks automaten die zijn opgesteld op verschillende plaatsen in de bedrijfsruimten, om te helpen de sociale afstand tussen het personeel te bewaren. Dit is een belangrijke kans voor de operatoren. Micromarkten kunnen ook interessant zijn voor grote bedrijven, vanwege de verscheidenheid aan producten die zij aanbieden en het gebrek aan contact gedurende het hele aankoop- en betalingsproces. Een andere mogelijkheid ligt in de verkoop van mondmaskers, hydro-alcoholische gels en handschoenen in automaten die op bestaande openbare ruimten worden geplaatst, maar ook op nieuwe openbare ruimten waardoor nieuwe contracten worden gegenereerd.

-Tot slot is de laatste opportuniteit die de EVA noemt een mogelijke wetswijziging, met name wat betreft het verbod op en de beperking van bepaalde kunststof artikelen voor eenmalig gebruik, zoals bekers. Met Covid-19 wordt de «aanzienlijke vermindering» van kunststoffen voor eenmalig gebruik in deze crisisperiode «minder belangrijk» of een minder strikte doelstelling. Dit valt te rechtvaardigen aangezien zelfs grote multinationale koffieketens weigeren herbruikbare bekers van consumenten te accepteren vanwege het risico op besmetting.

EVA webinar : de rol van verkoopautomaten in post-Covid werkplaatsen

Covid-19 heeft ongekende veranderingen teweeggebracht in onze samenleving en levenswijzen, en de kans dat sommige van deze veranderingen permanent zullen blijven kan vrij groot zijn. De werkplekken en meer specifiek de manier waarop we werken zijn ernstig getroffen door de Covid-19 beperkingen. Wetende dat 80% van de verkoopautomaten en OCS-machines in bedrijven worden geplaatst, hebben de operatoren de afgelopen maanden een enorme vertraging ondervonden in hun activiteiten als gevolg van het

Aurélie Oberti

massale telewerken van werknemers die minder hebben verbruikt op hun werkplek. Het is daarom essentieel om zich aan te passen aan deze nieuwe situaties om de uitdagingen te overwinnen. De EVA is van mening dat er kansen zijn voor de sector, maar enkel als de trends juist worden geïnterpreteerd en de bedrijfsmodellen worden aangepast.

De EVA organiseerde op 29 september een webinar om beter te begrijpen hoe de coronacrisis de werkomgeving in veel bedrijven heeft beïnvloed en nog zal beïnvloeden, én hoe operatoren kunnen inspelen op nieuwe consumentenverwachtingen op de werkplek. Dit webinar werd bijgewoond door bijna 100 professionals uit de sector en gemodereerd door EVA-directeur-generaal Erwin Wetzel.

De sprekers, Aurélie Oberti (Lyreco), Fabien Claus (CBC Bank) en Jan Marck Vrijlandt (Selecta) deelden hun ervaringen over de veranderde werkgewoontes sinds de coronabeperkingen en schetsten de uitdagingen en mogelijkheden die er op dit moment zijn voor vending bedrijven.

Hoewel het logisch is dat het telewerk van werknemers aanzienlijke aanpassingen vereist, voornamelijk voor grote bedrijven die niet in staat zijn om de sociale afstand te waarborgen binnen hun kantoren, benadrukte Aurélie Oberti dat deze trend niet volledig nieuw is en dat de huidige crisis de bestaande werktrends zoals flexibel werken, telewerken en digitalisering eerder (drastisch) versneld heeft. Bedrijven verlengen de huurcontracten voor kantoren nog steeds, maar over het algemeen voor een kortere periode, om te zien hoe de situatie zich op middellange termijn ontwikkelt.

Aurélie Oberti verwacht ook een toename van de coworking ruimtes - niet alleen in de grote steden, maar ook in de regionale steden - zodat groepen werknemers elkaar fysiek kunnen ontmoeten voor snelle en productieve ontmoetingen zonder het ongemak van reizen.

Fabien Claus

Fabien Claus legde uit dat de CBC-bank de afgelopen jaren al thuiswerkmogelijkheden voor haar kantoorpersoneel had geïntroduceerd omdat het bedrijf zijn hoofdkantoor buiten Brussel had gedecentraliseerd. De werkgewoontes van de medewerkers van de filialen zijn echter van de ene op de andere dag veranderd en het bedrijf heeft nu een hybride werkmodel geïntroduceerd waarbij het personeel 2 dagen per week fysiek op kantoor aanwezig is, in verspreide teams. Fabien Claus verwacht dat dit model in de toekomst zal worden voortgezet, maar ook andere aspecten moeten in overweging worden genomen zoals de opleiding van het personeel en ook de mogelijkheid om personeelsvoordelen aan te bieden zoals koffie thuis.

Tot slot deelde Jan Marck Vrijlandt de ervaring van Selecta en schetste hij de mogelijkheden voor de sector. Hij legde uit dat verplaatsingen naar het kantoor minder frequent worden en dat de werknemers op hun werkplek eerder op zoek zullen gaan naar een “ervaring” die ze thuis niet konden hebben. Dit betekent dat medewerkers misschien bereid zijn om meer uit te geven en op zoek gaan naar meer premium vending en koffieproducten op kantoor. Naar zijn mening behoort het model van grote kantines die veel werknemers tegelijk bedienen tot het verleden, wat dus interessante perspectieven kan bieden voor de zelfbedieningssector. Cashless oplossingen, micromarkten (en kleine slimme koelkasten), telemetrie en de mogelijkheid om koffie aan te bieden aan telewerkende medewerkers zouden aantrekkelijke mogelijkheden kunnen zijn voor verkoopautomatenbedrijven.

Alle deelnemers waren het erover eens dat ze op lange termijn niet verwachten dat medewerkers alle 5 dagen van de week van thuis uit zullen werken, noch dat ze elke dag naar kantoor zullen gaan. Ze geloven dat de meeste bedrijven waarschijnlijk een hybride beleid zullen invoeren van 2-3 dagen per week op kantoor, mogelijk met roterende teams.

Gebaseerd op de persberichten van EVA

Jan Marck Vrijlandt

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