C’est pourquoi ce projet constitue, à mon sens, une ébauche de ce que pourraient être les stratégies à mettre en œuvre, face à cette évolution climatique.
En travaillant sur de nouvelles mobilités plus en accord avec les paysages, le corps et l’esprit, en ciblant les interventions par une réflexion sur les sites devant être protégés au regard des enjeux engagés et les sites pouvant être renaturés pour une meilleur gestion des aléas climatiques sur le territoire, l’Homme pourra ainsi s’adapter et vivre «avec» ces aléas.
Une culture du risque doit être redonnée à la population pour une prise de conscience et une action de sa part.