Jean-Pierre Coffe : les articles le concernant dans l'Est Républicain

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Silence, on tourne !

Le fait du jour

Mystère, mystère ! Une équipe de tournage était hier à Rovilleaux-Chènes, à l’occasion de la venue de Jean-Pierre Coffe. Les journalistes suivent l’homme de télévision pour un reportage qui devrait être diffusé prochainement. Pour le reste… motus. C’est tout de même bien de proposer Roville… aux chaînes !

Les pêchés mignons de Jean-Pierre Coffe “La Lorraine doit réhabiliter l’abricotier “Pêche de Nancy” et le melon de Lunéville.” C’est le serment de Jean-Pierre Coffe présent hier à l’école d’horticulture de Roville-aux-Chênes. ean-Pierre Coffe savait en Jaux-Chênes arrivant hier matin à Rovilleque sa journée serait consacrée à l’horticulture. Celle qu’il aime, toute simple, chaleureuse, proche de la terre, à dimension humaine. Celle du jardinier qui cultive ses fruits et ses légumes au rythme des saisons. Mais le chroniqueur de France 2 n’avait pas imaginé entamer sa visite par une rencontre avec un arbre. Son arbre. Celui de sa généalogie lorraine. “Je lui ai fait la surprise de ma visite”, témoigne Suzanne Jardel, sa petite-cousine. “Nos grand-mères maternelles qui

habitaient Lunéville étaient deux sœurs. Avec Jean-Pierre, nous ne nous sommes pas revus depuis nos années d’institution. En le rencontrant aujourd’hui, j’ai retrouvé des airs de famille, des expressions verbales et notamment celles de mon oncle”, raconte encore Suzanne Jardel, dans une émotion partagée hier avec son célèbre cousin. Les retrouvailles familiales ne se sont toutefois pas éternisées. Car Jean-Pierre Coffe avait une jolie mission à accomplir. Celle de planter officiellement au cœur du verger conservatoire de l’école d’hor-

Une star cathodique à l’école : Jean-Pierre Coffe s’est montré très accessible avec les élèves.

ticulture et de paysage un abricotier “pêche de Nancy”. Une espèce ancienne et locale pour laquelle le défenseur du bon goût (encore meilleur s’il est lorrain), ne désespère d’obtenir l’AOC. “C’est une histoire de cœur”, explique Jean-Pierre Coffe. “Je suis parti de Lunéville à l’âge de 14 ans et j’ai un peu perdu ma Lorraine. Je revenais pour faire des tombes, enterrer quelqu’un”. Et puis, petit à petit, ce petit-fils de maraîcher s’est senti de plus en plus proche de ses racines. Et il a laissé vagabonder ses souvenirs gustatifs, les fameux salsifis de Lunéville, les melons, les fraises de Woippy, ou les mirabelles, dont il regrette que les producteurs ne se soient davantage mobilisés pour obtenir l’AOC. Jean-Pierre Coffe en est convaincu : “Il y a ici en Lorraine, sans se bouger un potentiel agricole”. Des propos auxquels Daniel Montcollin, le président de l’association “Excellence Lorraine”, était particulièrement sensible, lui qui milite depuis 2006 pour la conservation des patrimoines régionaux. Après les discours et les intentions, les actes. A l’image d’un essaim d’abeilles fleurant le bon nectar de Roville, une petite marée humaine a entouré l’animateur télé jusqu’au verger. Pour les élèves de l’école de Roville, c’était incontestablement l’attraction de la journée. Pour son directeur général Brice Pourchet et son directeur Bernard Boiteux, le sentiment de participer à une action

L’abricot “pêche de Nancy.”

Adorés de Stanislas La première description de l’abricot “pêche de Nancy” aurait été faite en 1755. Passionné de jardins et gourmand, Stanislas 1er Leszczynski raffolait, dit-on de ces fruits savoureux tels que l’abricot “pêche de Nancy” ou le melon de Lunéville, sa gourmandise préférée, “aux saveurs parfumées, et à la chair ferme et orangée”, qu’il se faisait régulièrement servir en son duché, “au point d’en avoir des indigestions et de créer ses propres melonneries ou qui expédiaient plusieurs tonnes de cucurbitacées par an vers Contrexéville et Plombières.”

Jean-Pierre Coffe a planté le premier arbre, bien entouré. tourisme. Rien que ça !), la conseillère générale, le maire, des représentants organismes, d’associations… Du coup, la leçon de Mario Pierrevelcin a porté ses fruits mieux que jamais. L’enseignant a expliqué avec une passion professorale louable et un effort manifeste de pédagogie, les petits détails qui font

d’importance. Quant aux professeurs de l’établissement, ils regardaient tout ce petit monde avec un faux sentiment d’exaspération. “Il y a moins de monde lorsqu’il s’agit de tondre ou tailler” : quatre vice-présidents du conseil régional avaient tenu à être là, chacun dans leur compétence (agriculture, formation, culture et

(Photo Joël Alexandre) toute la différence dans l’art de planter un arbre. Fut-il immergé dans un sol argilo-calcaire, sur la technique du portegreffe myrobolan. “Qu’il pleuve ou qu’il vente, arrose quand tu plantes”, explique le directeur Bernard Boiteau, tandis qu’une bise vivace embrasse l’assemblée. Jean-Pierre Coffe écoute, il

touche et fait une promesse, le sourire aux lèvres devant un abricotier “pêche de Nancy” qui ne demande qu’à grandir : “Allez, on se revoit dans trente ans…” Mais les premiers fruits devraient toutefois pouvoir être dégustés cette année…

Philippe CUNY

Le melon de Lunéville.

pcuny@vosgesmatin.fr

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mercredi 25 mars 2009

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La Liberté de l’Est - L’Est Républicain


NANCY COUP DE CŒUR AAAAAAAAAA

Un rêve L’association DessineMoi un Rêve vient de voir le jour. Elle a pour objectif de mener des actions afin de sensibiliser les élèves des collèges et des lycées, notamment ceux situés en zones économiques défavorisées, aux métiers de l’ingénieur, aux nouvelles technologies, et de présenter les formations permettant d’y accéder. L’association, qui repose sur la motivation de personnels de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, prône l’ouverture sociale dans l’enseignement supérieur, l’égalité des chances, la diversité culturelle et la mixité sociale.

COUP DE GRIFFE AAAAAAAAAA

Venteux La journée de samedi a été marquée par le vent. Certes, il a fait fuir la pluie, mais il a aussi causé des désagréments. Les bourrasques sont allées chercher des papiers plus ou moins gras, même dans les poubelles, et les ont promenés par les rues. Les emballages, les sachets, les canettes, ont traversé les quartiers. Les halls d’immeubles, les entrées de magasin ou de parking se sont trouvés jonchés de détritus volant. Le vent a nettoyé le ciel, mais a sali le sol !

EN BREF AAAAAAAAAA

PERMANENCES ADMD L’association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) tient désormais ses permanences ouvertes à tous le premier mardi de chaque mois, de 16 h à 17 h, au carrefour Santé, rue Saint-Thiébaut. Prochaine permanence mardi 6 mars. Renseignements au 03.83.98.05.64 ou au 03.83.31.81.43. ESPACE SAINT-JEAN L’association Espace Saint-Jean, dans le cadre du cycle de conférences sur le thème du « temps », présente son prochain rendez-vous : « Le temps de Dieu et les temps des hommes », la Bible entre mythe et histoire » sera présenté par Thomas Römer, professeur d’Ancien testament à la faculté de théologie de l’université de Lausanne, lundi 5 mars à 20 h 30 à la salle Espace Saint-Jean, place Maginot. Entrée libre, participation aux frais. RETRAITES DE LA POLICE Les adhérent(e)s de l’UNRP, les retraités et veuves de la Police nationale, sont invités à participer à l’assemblée générale de la section Meurthe-et-Moselle/ Vosges, mercredi 14 mars à 9 h, au château du Charmois à Vandœuvre. CINEMA Le Forum-IRTS de Lorraine, en partenariat avec l’Association des paralysés de France, présente le film « Nationale 7 » de Jean-Pierre Sinapi (France, 2000, 90 mn), lundi 5 mars à 20 h 30 au 201, avenue RaymondPinchard. Tarif : 3,80 . TROPHEE ESIAL L’Esial organise pour la treizième année consécutive son trophée, les 23, 24 et 25 mars au Fort Pélissier à Bainville-sur-Madon. Il s’agit d’un weekend sportif de trois jours avec au menu : acrobranches, VTT, paint ball et kayak. La bonne humeur des participants en fait l’un des événements marquants de la vie étudiante nancéienne du mois de mars.

L’émotion touristique tient salon Entre randonnées, musées ou produits du terroir, le salon « Terre d’émotions » propose un tour d’horizon du tourisme dans le département. En réservant quelques surprises. « On est surtout venu pour la rando, voir ce qui était proposé comme circuits, parcours... » Les bras chargés de documentation, Christophe écume les stands, cherche conseil, prépare ses futurs week-ends. A l’ASPTT Rando 54, le comptoir est d’ailleurs trop petit pour accueillir tous les quidams. « Ça marche très fort », confirme Michel Vernier, du club, qui constate « une grosse demande sur les randonnées à thème, culture, histoire, architecture ». Conclusion : « Les gens ne veulent plus marcher bêtement, et cherchent surtout des parcours pour tous les niveaux. Ce qu’on leur propose facilement. » Incontestablement, la marche à pied s’impose comme la véritable star de cette deuxième édition du salon « Terre d’émotions » : depuis hier, au Parc des expos, le rendezvous du tourisme en Meurtheet-Moselle fait le plein, après un tour de chauffe l’année dernière au conseil général. « Tout le monde était satisfait, mais on nous disait que c’était trop petit », justifie Véronique Facq, directrice du Comité départemental du tourisme (CDT). Un déménagement plus tard, le salon accueille désormais quatrevingt-dix stands, des produits du terroir au tourisme fluvial, du TGV Est de la SNCF aux montgolfières. Bref, on a voulu être exhaustif. « On vient de Moselle. On a voulu découvrir les métiers artisanaux, les tissus, les broderies. » Dans les allées, Christiane et Guy flânent selon l’inspiration, se penchant sur les charmes insoupçonnés du département. « C’est un bon salon, bien fait. Ça nous donne des idées, c’est le principal. » Des 6.000 visiteurs attendus (deux fois plus que l’année dernière), la grande majorité est d’ailleurs régionale. « Normal » répond Alde Harmand, président du CDT, « les Meurthe-et-Mosellans sont les premiers ambassadeurs de leur département. Quand vous recevez de la famille ou des amis, vous ne savez pas toujours ce qu’il y a dans le coin. C’est la raison d’être de ce salon. » Côté professionnels, la matinée s’est ouverte par les quatrièmes rencontres départementales du tourisme, axées sur le marketing touristique. « Ce salon permet aussi de mieux se connaître, de travailler ensemble, de donner

« Je ne savais pas que c’était à Nancy. Normalement, j’écoute l’émission dans la voiture, quand je rentre du marché : aujourd’hui, je suis resté pour la regarder. » Au premier rang, Benoît piaffe en attendant le début de l’émission. En face de lui, de-

Les bras chargés de brochures, les visiteurs découvrent les sites touristiques du département.

77, rue Jeanne d’Arc - 54170 COLOMBEY-LES-BELLES Tél. 03.83.52.00.50 - Port. 06.71.29.59.26 g.robinet@tiscali.fr

Elles vont en recevoir des fleurs, des chocolats et sur tout des bisous les mamies aujourd’hui. Parce que c’est leur jour : la fête officielle des grands mères. Cette fête se double d’ailleurs cette année d’un anniver saire. Il s’agit en effet de la vingtième édition. Vingt ans déjà qu’une célèbre marque de café en a pris l’initiative. Désormais, le succès est bien installé, même s’il n’atteint pas celui de la fête des mères. Un des indices de popularité est le cadeau réalisé à l’école. Le collier de nouilles ou le pense bête avec des pinces à linges restent l’apanage des mamans. Il est bien rare de trouver une classe qui

prenne beaucoup de temps pour les grands mères. On se contente bien souvent d’un dessin... Les fleuristes et les choco latiers seront à l’ouvrage avec grand plaisir en ce di manche. L’aspect commer cial de cette date vient s’ajouter à l’affectif. Dans les fêtes « parentales », il en manque encore une : celle des grands pères. Peut être parce qu’elle n’a pas un po tentiel suffisant. A moins que ce ne soit une question de longévité... Cadeau ou pas, pourvu qu’il y ait un geste d’amour les grands mères seront heu reuses. Bonne fête à toutes ! J. C. V.

PUBLI REPORTAGE

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« Les Mains à la Pâte » et maintenant, votre pizza livrée à domicile !

Devant un stand de randonnées, une foule compacte qui cherche à allier sport et culture.

Les Meurthe et Mosellans se sont rendus nombreux au parc des expos. Photos Dominique CHARTON

une meilleure image du département. » Entre la nature, le patrimoine ou les grands événements, « c’est le côté émotionnel que nous voulons valoriser », résume-t-on au CDT.

cutent tarifs pour des escapades en montgolfière. De ce salon « Terre d’émotions », on retiendra aussi les tendances du tourisme. A commencer par les Gîtes de France, qui semblent connaître un certain renouveau. « Les gens sont surpris de voir l’étendue de nos offres », s’enthousiasme Catherine Choné, présidente départementale de la structure. « Aujourd’hui, ils cherchent surtout le contact humain, un

Tiques Tout aussi attirantes, les viandes fumées, charcuteries, fromages de tête et pâtés lorrains de Xavier Fagnot. « Nous, on vient directement de notre ferme : pas d’inter-

médiaire, du producteur au consommateur. C’est ce que les gens cherchent, la traçabilité et l’authenticité. » Acquiescement général des clients qui dégustent. Plus loin, des petites têtes blondes ont eu le malheur de tomber sur les stands de parcs d’aventure (« on y va quand ? », répété avec insistance auprès des parents), quelques-uns s’effraient en apprenant les ravages des tiques en forêt, d’autres dis-

endroit où ils peuvent rencontrer les gens. » Avec trente-six chambres d’hôtes et cent vingt-cinq gîtes, la Meurthe-et-Moselle peut en tout cas se targuer d’offrir une vaste gamme d’hébergement de qualité. Reste à attendre les touristes qui vont avec. Paul AUBRIAT ● Salon « Terre d’émotions », aujourd’hui au Parc des expositions, de 10 h et 19 h. Entrée 3 euros.

certains l’attendaient de pied ferme, qu’ils soient cuisiniers amateurs (« Je peux vous demander comment vous cuisinez ça ? », entendu dans les allées du marché) ou pécheresses cherchant la rédemption (« Je ne sais rien faire à manger, aidez-moi ! »). Coffe le messie, donc, mais surtout le réconciliateur des générations : sous le chapiteau, des spectateurs de tous les âges se précipitent pour entendre la bonne parole gastronome, et se délecter des coups de gueule de l’homme.

La réputation des « Mains à la Pâte » n’est plus à faire. Depuis 19 ans, les gourmands disent : « Et si on allait chez Philippe ? », quand l’envie de pizza taraude les appétits. Désormais, c’est Philippe qui va chez vous, puisqu’elles peuvent vous être livrées à domicile dans un rayon de 15 km, autour du restaurant situé au cœur de la Ville Vieille à Nancy. Les atouts de la pizza de Philippe : des produits toujours frais, du jambon de qualité et une pâte

PUBLI-INFO

succulente. Des pizzas traditionnelles aux pizzas atypiques (mexicaines et montagnardes), vous ne serez jamais déçus. En ce qui concerne le restaurant, rien n’a changé, la carte est toujours aussi étoffée. De plus, « Les Mains à la Pâte » pensent aux petits budgets. La pizza est à partir de 6,50 €, le menu pour deux à 22 €, et celui pour quatre à 40 €. Avis aux amateurs ! Les Mains à la Pâte 67, Grande Rue - 54000 NANCY Tél. 03.83.17.00.17

Mincir, oui ! mais intelligemment.

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« Sur les prix, vous charriez, y a de l’abus ! » hurle Coffe en début d’émission, histoire d’annoncer la couleur. Au milieu de la foule, une habituée confirme : « Ça, c’est sûr, on ne peut pas dire que ce soit un marché populaire... » Un tourteau comme cadeau de bienvenue : quand Coffe passe aux halles, tout s’emballe. Photo Serge LALISSE vant un patchwork de produits estampillés lorrains, entre les petits pâtés, les quiches, quelques charcuteries et un verre de gris de Toul à la main, Coffe ouvre les festivités à midi. A sa table, et pendant une heure, chroniqueurs et invités déclarent la guerre aux prix chers, expliquent « la 46859

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Entreprise

Plomberie, sanitaire, chauffage, chauffe-eau, dépannage, entretien chaudière

Grands mères

CARNAVAL DU CLUB SAINT-NICOLAS Le club Saint-Nicolas organise un défilé de Carnaval mercredi 7 mars à partir de 14 h. L’organisation de cet après-midi se fera selon le programme suivant : le défilé partira à 14 h de la maison de quartier, 8, rue Jeannot, avec les enfants du club et du CLSH et la participation de la troupe L’Gamba de Paris ; il parcourra les rues du quartier Charles-III/Saint-Nicolas, passera par le parc Charles-III où il proposera un spectacle de rues et des danses ; les enfants retrouveront la maison de quartier vers 15 h où un spectacle sera donné par la même troupe, suivi d’un goûter. Cette année, les costumes ont été réalisés par l’atelier couture du club SaintNicolas sur le thème de l’Afrique.

Un petit tour, trois poignées de main, quelques produits touchés, humés, parfois même goûtés, et un satisfecit général. Quand Jean-Pierre Coffe passe au marché central un samedi matin, forcément, ça crée l’animation. « Un petit tourteau ? » par ci, quelques fruits « de saison » par là et, surtout, un dédain non-dissimulé pour « ces fruits exotiques qui n’ont rien à faire sur un étal ».

Pâté et TGV

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

À NOTER

Après un traditionnel tour des halles, Jean-Pierre Coffe animait son émission de France Inter, hier matin, depuis la place du Marché.

L’inclassable Coffe distribue les bons points, salue les copains et répond aux - rares badauds qui l’interpellent. A croire que l’homme aux grosses lunettes (bleues, cette fois-ci, toujours raccord avec la veste) impressionne et intimide. En fait, les véritables inconditionnels ont allégrement zappé l’étape marché pour aller se réfugier sous la (toute petite) tente contiguë aux halles, sous laquelle se déroulait l’émission en direct de France Inter, « Ca se bouffe pas, ça se mange ».

POINT CHAUD

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Coffe dans le poste

ROBINET GILLES

21:27 C M J N A*

Véronique Facq et Alde Harmand, du CDT : « Ce salon permet aux professionnels de mieux se connaître ».

Marketing touristique

L’hiver est là ! chaudière Pensez à l’entretien de votre

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Dimanche 4 mars 2007

façon dont sont organisés les marchés », se moquent gentiment de l’arrivée TGV. « Votre TGV, c’est bien gentil, vous nous dîtes que ça va tout changer, mais est-ce que vous croyez sérieusement que l’on va venir de Paris pour acheter un pâté lorrain ? » Dans l’assistance, certains commerçants planqués en catimini rient jaune.

« C’est pour ça que je suis venue : pour son francparler ! » acquiesce discrètement Christine, résolument fan. « Je suis lorraine, alors je suis fière qu’il soit venu ici. » Depuis 1999 qu’il anime son émission hebdomadaire, Jean-Pierre Coffe n’est passé qu’une seule fois par Nancy, à l’occasion de l’inauguration du marché. C’est dire si

Sous la pluie battante, face à des rafales de vent décoiffantes (« on n’est pas sûr de terminer l’émission »), après bon nombre d’éclats de rire et quelques conseils bien sentis, Jean-Pierre Coffe referme son panier, continue à discuter avec le public et reprend un verre. Comme un petit remontant avant sa soirée en tenue avec Michel Drucker. Paul AUBRIAT

Vous souhaitez vous sentir mieux dans votre corps et retrouver une silhouette harmonieuse pour cet été ! C’est possible dès aujourd’hui, le cabinet de diététique et d’amincissement de la rue Saint-Dizier vous aide à y parvenir. A la tête de ce cabinet, Laure Chozalski, diététicienne, a mis en place une méthode de prise en charge globale qui fait ses preuves. Loin des régimes miracles proposés par les magazines féminins, cette méthode est aussi saine que simple. Afin de préserver sa masse musculaire et de mincir durablement, il est essentiel de combiner un bon suivi diététique à des soins corporels ciblés.

Laure Chozalski et sa collaboratrice Cathy travaillent au cas par cas. Le suivi diététique est individuel et le protocole de soins est adapté à chaque silhouette. Voici enfin une méthode qui vous garantit un acompagnement personnalisé et vous aidera à maintenir une motivation constante. Soutenu et encadré, vous parviendrez à atteindre sereinement votre objectif… Cabinet de diététique et d’amincissement Laure Chozalski 20, rue Saint-Dizier 54 000 Nancy Tel. 03.83.35.38.02


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