em numero
51 fragments de Lorenzo Calogero
49
DĂŠcembre 2010
CLXVII
et cela semble un rêve, mais je n’ai personne. Ô âme, ô mère des poètes et à ton bienveillant royaume, moi, pauvre homme, peut-être personne. Et je languis dans les ténèbres que m’a laissées ton émaillé émail ; moi deux fois, prêt, sur le point de me tuer et cela aussi m’assaille en un doute. Les ruines pourront faire de pauvres choses miraculeuses et cela monte jusqu’à mes lèvres, où j’avais un point pauvre un point pauvre de poète…
Lorenzo Calogero, da Quaderni di Villa Nuccia, 1959-60 - trad. Circe
se 2010 2011
100 anni dalla nascita
50 anni dalla morte
Lorenzo Calogero
Celebrazioni dell’anno Calogeriano
CLXVII
“Quaderni di Villanuccia”
Un projet de Nino Cannatà Texte de l’opéra “Quaderni di Villa Nuccia”, Lerici Ed., 1962 Tradution: Circe Image photo-peinture: Nino Cannatà Musique: Girolamo Deraco Supervision Multimédia: Simone Carrai Développement graphique et de montage: Vitoria Muzi En préparation: Andrea Civinini, Valentina Dugo