N°6 ——————————————————
1€ seulement
Exclusif! Les colonnes s’ébranlent La SPA euthanasie La CAF boude la légion d’honneur L’hôpital va mal
Et si la « bonne dame de Nohant » était moins sympa que ce qu’on en dit…
Le Conseil Général se goinfre … et toujours pas mal de bêtises
Gazette de la raison sociale sur Châteauroux et ses environs à peu près...
Les Brèves Stupéfiantes Accident meurtrier sur la route ArthonArdentes : une mère et son enfant ont été tués sur le coup dans la collision de deux voitures. Plus de peur que de mal : les chasseurs ont constaté que le chevreuil qu’ils pourchassaient, traversant la route au moment de l’accident, était sain et sauf. Le bras de fer engagé entre l’Éducation Nationale et la SNCF se poursuit : à la date du 22 janvier, la première cumule 65 jours de grève depuis la rentrée de septembre, contre seulement 62 jours pour la seconde. La SNCF a cependant certifié dans un communiqué qu’elle ne comptait pas en rester là. Il ne faut jamais monter dans la même automobile qu’un aveugle. Sauf si ce n’est pas lui qui conduit. ****** Après le succès de « Albator » au cinéma, Luc Besson a déjà écrit le remake français dont l’action se déroulera en banlieue et s’intitulera simplement : « Albatar ! »
Wesh ma gueule !
Mais qui sont-ils ??? Si vous suivez un tant soit peu l’actualité castelroussine, vous n’êtes pas sans ignorer que depuis quelques mois déjà sévit un site internet qui fait trembler les politicards locaux : « Les colonnes de la République ». Visuellement sobre et attractif, il se charge de « toute l’actualité locale détournée avec humour, mauvaise foi et dérision » selon son slogan. Il se réclame également de l’esprit de Rolland Hénault et de son célèbre journal « Le Provisoire » qui défraya de nombreuses fois la chronique locale par son ton satirique et sans concession durant les années 70 et 80 principalement. Aujourd’hui, « Le Provisoire » est bien enterré mais son fondateur est toujours bien vivant. La preuve, il fait parti de l’équipe du « Petit Stupéfiant ». Ce simple fait à suffit pour certains de croire que « Les Colonnes » et le « Stup’ » étaient menés par les mêmes personnes! Alors l’équipe du journal a voulu mener l’enquête. Pour savoir si c’était nous ou pas. La tâche était d’autant plus ardue que les membres des « Colonnes » agissent dans l’anonymat et ne souhaitent pas dévoiler leur véritable identité. Ce qui est tout à fait leur droit. Bref, très vite, on a mis nos meilleurs indics sur le coup et des noms ont circulé. On a compris notamment pourquoi le site internet des « Colonnes » était aussi bien fait… et pourquoi il ressemblait visuellement à
un autre site local spécialisé dans la communication… et aussi pourquoi ils aimeraient voir Châteauroux différemment voire autrement...
Re-bref, re-très vite, on est arrivé à cette conclusion pourtant évidente si nous étions un peu moins cons : « Les Colonnes de la République », ce n’est pas nous! Par contre, ne comptez pas sur nous pour dévoiler qui ils sont! Déjà, on est amis sur Facebook. Et puis on n’est pas des balances, hé! Surtout, ils oeuvrent dans le même sens que nous, eux sur le net, nous sur du papier : la dérision et l’humour. Alors, longue vie aux « Colonnes » et, si vous le permettez, longue vie au « Stupéfiant »! Monsieur Fulgor
****** Un pied dans la tombe. La construction de 15 logements pour personnes âgées à l'entrée de Velles, côté cimetière, soulève le débat : s'agit-il là d'une extension du village ou du cimetière ?
****** Après une période de grève de 27 jours sans interruption, l’Education Nationale décide de faire une pause : les enseignants reprendront les cours le vendredi 31 janvier en attendant la prochaine grève prévue le mardi 4 février.
30 millions d’amis tués... La SPA serait-elle devenue la SDA, Société Destructrice des Animaux? Voici cidessous un tableau établi à partir des chiffres donnés par Jean Delert, Président de la SPA de l’Indre à ses adhérents lors de l’Assemblée Générale 2013. Ces chiffres ont été corroborés par un PV de constat établi par un huissier de justice car, comme tout va bien à la SPA de l’Indre, la présence d’huissiers est requise! Évidemment, des élus hauts placés de notre département ont eu l’information. Aucun commentaire de leur part à ce jour! Entrées
On dit généralement que la place du mort, c’est celle à côté du conducteur… mais alors, et dans un corbillard?
****** Karl Marx avait raison! C’est chiant les poils de barbe dans la soupe.
divagants
Total entrées
adoptions
Récupérés CHATX/ Extér.
euthanasiés
Mort naturelle
Total sorties
chiens
85
566
651
205
277
165
2
649
chats
97
1092
1189
124
37
988
19
1168
TOTAL
182
1658
1840
329
314
1153
21
1817
1,15%
100%
Année
2012
Sorties
Abandon.
18,11% 17,28 % 63,46%
À ceux qui adressent régulièrement des dons à la SPA de l’Indre, sachez (pour ceux qui l’ignoraient) que si jusqu’à maintenant votre générosité servait à financer l’injection létale, vos dons seront désormais alloués à la création d’un Jardin du Souvenir. Contact : Pompes Funèbres Canine et Féline – Rosiers – Montierchaume Tél : 02 54 34 74 27
« Touchez pas aux urines ! »
Démantèlement !
Chronique authentique d’un séjour à l’hôpital de Châteauroux
Pavillon 7 - Novembre 2013 La phrase-titre fut lancée à l’adresse d’une personne venant rendre visite à une proche hospitalisée pour une infection au rein. C’est que, à l’hôpital de Châteauroux, on ne plaisante pas. On vous fait la morale pour mettre des gants et une blouse qui vous protègent de la bête furieuse mise en quarantaine, tandis qu’au même moment, les infirmières et autres aidessoignantes intervenant dans la chambre de la malade tripotent sans vergogne (ni protection) les poignées de portes et autres objets ayant été en contact avec ladite malade (ajoutez à cela le fait que le ménage a été laissé à l’abandon trois jours d’affilée durant la semaine d’hospitalisation). De même, suivant l’heure de la journée où vous quémandez des informations (et quémander, c’est vraiment le mot, même le goutte-àgoutte de la perfusion s’écoule plus vite que les infos livrées au patient), elles ne sont pas toujours les mêmes : ainsi, en milieu d’après-midi vous conseillera-t-on de prendre vos antibiotiques en mangeant tandis que, juste avant le dîner, servi à 18 heures 10 (ou 15, suivant les soirs), on vous certifiera que le moment de la prise n’a strictement aucune importance. Autre preuve de la bonne circulation des infos et surtout, de l’économie de mots : on vous prévient le matin de l’échographie à venir, sans plus préciser qu’il faut être à jeun. Du coup, à 15 heures, vous vous inquiétez de ne pas avoir eu votre très appétissant plateau-repas (ce dernier vaudrait à lui seul, par sa description, un article entier, qui couperait l’appétit à un somalien). Quant au sympathique médecin, après son passage quotidien d’environ 3 minutes 30 dans la chambre de la malade, il conclut l’une de ses visites en signifiant que la patiente est désormais en isolement. Lorsque, bien naturellement, cette dernière demande, peu après, des précisions, le médecin fera dire par une aide-soignante qu’il a déjà passé assez de temps avec elle. Ce jour-là, il n’est pas revenu. Ceci n’est qu’un échantillon des événements farfelus qui peuvent vous arriver en cas de séjour dans ce sympathique lieu… Et il y en a encore pour s’étonner de la triste réputation de l’hôpital de Châteauroux… Candy Raton LA RUBRIQUE
érudite ARTICLE DE FOND Je l’ai retrouvé tout au fond de la boîte où je conserve mes écrits. C’est donc bien un article de fond. Et la preuve du sérieux du « Stupéfiant ». La longueur en est insuffisante ?... Mêlez-vous de ce qui vous regarde ! Et revenez pas me faire chier ! J’ai conservé une fourche des temps préhistoriques, certifiée et datée au Carbone de 1914 par Gérard Couille Longue. EXIGEONS DE VRAIS DERAILLEMENTS ! La première page de la NR du 25 sept. 2013 nous allèche avec un « déraillement » du train BuzançaisArgy. Or, il ne transportait que des marchandises, des engrais chimiques. Le bilan est trop faible pour attirer l’attention sur notre région et provoquer un afflux touristique. En effet, on ne déplore aucune victime.
Les premiers soupçons se portaient sur le conducteur du train, qui porte un nom tristement célèbre dans la Région, Villemont ! Mais il a été mis hors de cause, n’étant pas en famille avec son homonyme, qui se déplaçait toujours à vélo !
Un conseil du « P’tit Stupéfiant » : choisissez un train plus important, avec davantage de voyageurs. Nous obtiendrons aussi la gloire dans les faits divers, à partir de 30 morts et 12 blessés ont estimé les spécialistes en la matière, consultés par nos services spéciaux.
La grosse bouffe Fin novembre, au Conseil Général de l'Indre, a eu lieu une rencontre historique! Le Président Louis Pinton a reçu une délégation du Conseil Général du Cher. Pas de quoi fouetter un sénateur nous direz-vous. Sauf que la chose n'était pas arrivée depuis un sacré moment, plus précisément depuis que Alain Rafhestain avait pris la présidence du Conseil Général du Cher (de 2004 à 2013 quand même!). Car on ne peut pas dire, et ce n'est pas un secret, que c'était le grand amour entre Louis et Alain! Mais Alain a laissé sa place à Jean-Pierre Saulnier. La diplomatie entre les deux départements berrichons peut donc reprendre. A quoi ça tient la politique quand même... Bref, toujours est-il que les retrouvailles se sont déroulées autour d'un bon repas. Jugez vous-même, au menu : homard suivi de ris de veau! Aux frais du contribuable, oui, c'est ça. Entre deux plats ont quand même été évoqués quelques sujets importants : - L'aéroport de Châteauroux : si les membres présents du Cher se sentent prêts à investir de l'argent pour son expansion, Louis Pinton préfère botter en touche, estimant que ce n'est pas la priorité. - Concernant l'arrivée des chinois à Châteauroux : il est urgent d'attendre... estime de nouveau le Président de l'Indre. - Le seul consensus concerne les élèves qui habitent les frontières de deux départements et qui vont donc étudier dans le département voisin. Les élèves du Cher payent les transports scolaires pour aller étudier dans l'Indre alors que l'inverse non, vu que les transports scolaires sont gratuits dans le Cher. Pinton est d'accord pour dire que ce n'est pas juste et qu'il va y réfléchir. - Le seul point où tout le monde s'est félicité concerne le tourisme berrichon. Depuis que les deux départements font cause commune dans la promotion du Berry, on a constaté une amélioration de la fréquentation touristique. Au final, pas grand chose de neuf sous le soleil castelroussin. Juste la confirmation qu'un sénateur sait attendre le bon moment, quitte à ce qu'il n'arrive jamais. Mais ils ont bien mangé, merci pour eux.
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La bonne dame de Nohant ? C’est l’appellation par laquelle on désigne généralement George Sand. On m’assure qu’elle sera béatifiée au cours du 21ème siècle. Pour l’instant, on se contente de l’assimiler à Louise Michel, authentique révolutionnaire, qui fut impliquée dans la Commune de Paris 1871 ! Et condamnée à la déportation, en Nouvelle Calédonie, où son premier travail fut de faire l’école aux Canaques. On dit de George Sand qu’elle a été « mal conseillée » par Flaubert. Quelle idée d’interroger Flaubert, un bourgeois habitué des bordels ! Pour une sainte, l’explication est mauvaise. Nous pensons (oui, nous pensons, nous, au « Petit Stupéfiant » !) qu’on ne rend pas service à la mémoire d’un artiste par des mensonges sur sa biographie. Si on travestit la vérité, on ne peut plus apprécier l’intérêt d’un auteur ! C’est bien sérieux, ce style à la con ! Il faut d’abord préciser que si Louise Michel et George Sand ont adopté le costume masculin, c’est pour des raisons différentes. Ils le signalent dans le net. Mais ils mentent ! Nous on a le droit de mentir, mais pas eux ! Voici l’explication. Dans la Vallée Noire on se déplaçait à cheval, à cause de l’absence de chemins carrossables à la mauvaise saison, d’où le port du pantalon. Parce que même les nanas les moins finaudes, elles montaient sur le cheval, les plus connes marchaient à côté. Et ça ne produit pas les mêmes sensations.
de cette époque, seront favorables aux Versaillais, et à Mr Thiers ! Et la littérature ne doit pas être confondue avec la morale. Mais ici se pose la question essentielle : George Sand estelle reconnue comme un grand écrivain français ? À ce propos Baudelaire notait : « Elle a le fameux style coulant, cher au bourgeois… » Et cela suffit pour qu’un universitaire américain étudie « le Style Coulant ». Tout le monde sait que les universitaires américains sont des cons !
Ah, tiens, c’est marrant, j’aurai plutôt pensé que ça voulait dire « poussière »...
« À dada !… » Mais qu’elle s’habille comme bon lui semble, la Georgette ! Et même qu’elle se promène à poil si ça lui chante ! Ce qui importe, c’est déjà son surnom : « Bonne Dame ». C’est donc une Dame. Patronnesse ? On a tendance à raisonner de cette façon. Et on oublie que l’immense majorité des écrivains français ou autres ont mal jugé la « Commune de Paris 1871 ». (Nous sommes documentés au P’tit Stupéfiant, la preuve : dans les années 70, Paul Lidsky publiait un livre intitulé : aux Éditions de la Découverte.) Notons ceux qui ont pris fait et cause pour cette révolte armée. Ce sera bref : Jules Vallès, Verlaine et Rimbaud. On ajoute Victor Hugo qui a pris le risque d’accueillir chez lui, des Communards ! Ce qui lui attire de la part de George une grande animosité…Il s’en fout, il ne baise plus depuis qu’il a Zone d’influence de la Georgette abusé des ânes de Guernesey ! Et les « Amis de la Commune de Paris » estiment que l’humoriste Alphonse Allais était parti- Aujourd’hui que reste-il de Georgette ? Son style a coulé comme un fromage trop fait ! Il en demeure un souvenir érotisan de la « Commune ». que, limité à un arrondissement, celui de La Châtre. À Nohant, elle provoque des érections sacrées avec feux d’artifice. On peut « Mon mobilier est intact… » mesure le déclin de son influence en montant vers le nord du BerPour étayer ces affirmations, ajoutons que même Karl Marx ry ! Des érudits, en suant péniblement sous leur biaude, sont parn’a pas approuvé la Commune ! Mais donnons des précisions venus à tracer une carte de la zone d’influence sandienne. En extraites des « Réflexions sur la Commune » de Henri Guille- gros, dès qu’on ne dépasse plus la cote d’altitude de 250 mètres, min. George s’en donne à cœur joie : « Dieu soit loué, mon les mâles deviennent mous. On peut dresser une ligne approximamobilier est intact » (a-t-elle noté, avec bonheur, le 30 mai du- tive Saint-Amand, Lignières, Chézal-Benoît, Saint-Août et la rant la « semaine sanglante »). Car Guillemin pratique l’hu- courbe décline vite à l’ouest, vers Aigurande. mour le plus noir ! Il va donc relever à la date du 1er juin, puis du 5 juin : « on fusille beaucoup et on arrête en masse »… puis Au niveau de cette ligne, qui correspond aux courbes de niveau « les exécutions vont leur train. C’est justice et nécessité… » de 250 mètres, les érections s’abaissent, deviennent molles et l’on Elle jubile, la baronne Dudevant, qui ne néglige pas non plus n’a plus le recours à George ! Heureusement, il y en a d’autres le derrière. Le même 1er juin, George n’en croit pas ses qui sont venues la remplacer, mais sur les écrans de télévision. Je yeux : « Hugo est tout à fait toqué ». vous donne les noms ? Pour ma part, j’ai Julie Andrieu, Tania Ah ! qu’elle est bonne, la Bonne Dame, qui admire tant les Young et Juliette, pas la grosse chanteuse, celle de Roméo. « fins laboureurs » dans La Mare au Diable, en se demandant De toute façon les histoires d’amour ça finit toujours en queue de quel bœuf a la plus grosse bite ! Encore une fois, l’immense poisson, voyez les sirènes ! cohorte des « honnêtes gens », parmi les artistes contemporains Guimou De La Tronche
Pèlerinage à La bonne dame de Nohant Pour ceux qui voudraient développer leur antisémitisme, lisez « l’ABCdaire de George Sand » par Bertrand Tillier, édité chez Flammarion en mai 1999. Vous y trouverez un chapitre consacré à l’antisémitisme de George Sand, dans cette lettre à Flaubert datée du 1er mai 1870 (page 31) : « Que veux-tu ? Le juif sera toujours le juif » Car George était une petite cachotière : elle n’aimait pas les juifs mais elle ne le disait pas dans ses œuvres. Autre souvenir qui contribue à donner de George l’image d’une Sainte. Cette fois c’est à Maurice Dudevant (et non Duderrière) qu’elle s’adresse, le 19 Février 1854. Voici le texte intégral, peu étudié dans les écoles : « … je ne t’ai pas dit que le jardinier était parti. Mais le plus beau de l’affaire, qui a été révélé le lendemain, c’est que ce triple cochon avait essayé de séduire tous les garçons du pays, prenant la taille à l’un, le derrière à l’autre… mais ce que j’admire, c’est la lâcheté de tous ces gâs, qui, tout en abominant un pareil vice n’ont pas osé lui flanquer une dégelée… » Mais ce n’est pas tout. Sa tendresse pour le peuple s’exprime à la fin de la lettre : « … On m’annonce un autre jardinier. Dieu veuille que celui-là ne séduise pas les veaux et les cochons. » Et puis un pèlerinage à Nohant ne présente pas les risques d’un pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle : il n’y a pas de voie de chemin de fer ! Par contre, cette morale ne s’adresse pas aux riches. Ces détails sont vérifiables, le Stupéfiant ne stupéfie pas sans preuves ! Guimou encore...
La PIN-UP du STUPE
La Mare Au Diable décryptée pour les nuls
Le pain noir et le pain blanc Le travail des enfants est très idéalisé, dans la Mare au Diable. On peut comparer avec le « Pain Noir » de Georges Emmanuel Clancier, écrit, il est vrai dans les années 1950, mais relatant la vie quotidienne des paysans en Limousin dans la seconde moitié du 19ème siècle. On voit toute la différence. Un chapitre du Pain Noir décrit la vie d’une bergère âgée de 7 ans, sa peur et sa solitude. Même, après cette période, au début du 20ème siècle, les enfants travaillent dans l’émerveillement de leurs jeunes années, mais Raymonde Vincent évoque aussi la pauvreté, les coups de fouet, les brebis qu’on égare…la chèvre morte, qui lui fait une très forte impression. Rien de tel chez George Sand. Ici les enfants sont dans un paradis absolu : « un enfant de six à sept ans, beau comme un ange, et dont les épaules le faisaient ressembler au petit Saint Jean Baptiste Le lieu du « drame » ! des peintres de la Renaissance, marchait dans le sillon parallèle à la charrue… » Le travail de l’enfant (Petit Pierre, âgé de six à sept ans) est décrit comme « une marche égale et solennelle ». Plus loin, George Sand compare le travail de l’enfant à un exercice sportif, « un exercice de vigueur et d’activité » dit-elle et l’enfant retrouve « la sérénité des âmes simples » et d’ailleurs elle appelle Petit Pierre « le pauvret » pour ne pas avoir à dire « le simplet ». Alors que les accidents étaient fréquents dans les travaux agricoles. Il y a là une inconscience coupable de la part de l’auteur, car c’est au cours de ces travaux angéliques que les enfants étaient souvent estropiés, mais George ne voit pas la misère des enfants, ou alors elle refuse de la voir !
Les paysans ne sont pas tout à fait des bestiaux Cependant, Germain est un « fin laboureur », dont le travail n’est jamais pénible, car « il chante aux bœufs ». En fait, résume la romancière, Dieu les protège de devenir des bêtes comme les autres : « Dieu me préserve de croire qu’ils ne soient pas supérieurs aux animaux qu’ils dominent. » Cependant il existe bien des classes sociales mais elles se tiennent tranquilles. Tout juste si La Guillette ose venir chercher de la braise pour allumer son feu du matin. Cette pauvresse est estimée en fonction de ses qualités de résignation, elle a d’ailleurs acquis les vertus bourgeoises, d’ordre et de propreté : « la mère Guillette habitait une chaumière fort pauvre, à deux portées de fusil de la ferme de ses maîtres. Mais c’était une femme d’ordre et de volonté. Sa pauvre maison était pauvre et bien tenue, et ses vêtements rapiécés avec soin annonçaient le respect de soi-même au milieu de la détresse. » Elle appartient à la catégorie des bons pauvres, qui savent se tenir dans leur condition de pauvres. Rien à craindre donc, de sa part. Ah combien de fois ai-je entendu cette chansonnette à l’école primaire des années 40 : les pauvres honnêtes ont des habits rapiécés…Les mauvais pauvres sont sales, négligés. Ce n’était pourtant pas de mauvais instituteurs, ils croyaient bien faire. Mais à un niveau au-dessus, Michel Leiris a bien réussi, dans « Biffures », à faire cette distinction. Sand aurait pu la faire aussi.
Le père et la mère Maurice Je passe rapidement sur la mère Maurice, (c’est une façon de parler !) qui ne semble bonne qu’à faire sécher le linge. Accessoirement elle est la confidente de son fils, Germain le fin laboureur. D’ailleurs cette scène de labour n’est qu’un spectacle, au sens où l’emploiera plus tard Guy Debord dans la Société du Spectacle. La preuve ? Le début du second chapitre intitulé « Le Labour ». Voici les premiers mots : « Je me promenais dans la campagne, rêvant à la vie des champs et à la destinée du cultivateur. Sans doute il est lugubre de consumer ses forces et ses jours à fendre le sein de cette terre jalouse…lorsqu’un morceau de pain le plus noir et le plus grossier est, à la fin de la journée, l’unique récompense et l’unique profit attachés à un si dur labeur ». Mais ça ne fait pas d’autre effet à la Baronne ! En 1887, soit quelques décennies plus tard, Zola publiera « La Terre », qui montre effectivement, sans concessions, combien la pauvreté de la vie quotidienne transforme l’homme en créature hybride, aux réactions féroces. « La Terre » sera interdite dans les écoles. Elle montre que la misère rend méchant…Mais déjà La Bruyère s’apitoyait sur le sort des travailleurs de la campagne. Et, à la fin du 19ème siècle, Eugène Leroy écrira « Jacquou le croquant ». Les « croquants » étaient des paysans en révolte ! (Suite de l’article page 7…)
Pas très classe, la CAF ! Depuis plus de 20 ans, MarieClaude est bénévole dans le quartier Saint-Jean à Châteauroux, et plus particulièrement au centre social géré par la CAF (Caisse d’Allocations Familiales). Lorsqu’une collaboratrice de Michel Sapin, Ministre du Travail, lui annonce qu’elle va être promue au grade de chevalier de la légion d’honneur pour son investissement bénévole, Marie-Claude est tout d’abord très étonnée puis honorée. C’est donc naturellement qu’elle adresse une lettre à monsieur Guillaume Lacroix, Directeur de la CAF de l’Indre pour lui demander l’occupation d’une salle du centre social où elle a tant donné de son temps aux autres pour la remise de cette décoration. Nous avons pu récupérer la copie de la réponse qu’il lui a faite et ça vaut le détour! S’il reconnaît volontiers (et comment faire autrement?) l’engagement de Marie-Claude, essentiellement auprès de sa structure, il lui écrit aussi qu’ « il est (…) difficile pour nous de voir honorer un bénévole dans nos locaux plus qu’un autre. » Car, c’est bien connu, des bénévoles promus chevaliers de la légion d’honneur, ça court les rues! Comme si ça ne suffisait pas, et histoire de se dégager de toute responsabilité, il ajoute « D’autant que vous avez mérité cet honneur grâce à vos engagements bénévoles au-delà de votre participation aux activités du centre. » S’il est vrai que son engagement concerne l’ensemble du quartier, Marie-Claude a surtout œuvré au sein du centre social Saint-Jean où la CAF était bien contente de bénéficier de ses services gratuitement. Sympa, monsieur Lacroix invite Marie-Claude à « (se) rapprocher de la Mairie afin de demander à utiliser la salle Edith Piaf qui (…)
Andouille de quenelle! Nous n’allons pas revenir sur la polémique actuelle qui entoure ce fameux geste dit de « la quenelle »… Juste qu’il semblerait que nos contrées berrichonnes ne soient pas épargnées par le phénomène. Mathieu (nom probablement modifié) par exemple, technico-commercial dans l'éclairage à Châteauroux a confié au magasine « Les Inrockuptibles » du 10 décembre dernier (on cite) : « Je fais des quenelles avec des potes quand on a arnaqué
Deux élèves d’un lycée de Châteauroux faisant la quenelle pour leur profil Facebook...
a longtemps fait partie de notre structure ». En clair, la CAF ne prêtera pas de salle à l’une de ses plus dévouées bénévoles qui souhaitait, à travers cette récompense, mettre en avant le travail fait par les employés de la CAF! Mais il garde le meilleur pour la fin de sa réponse : « Je serai heureux le jour de cette cérémonie de compter parmi les invités présents si mes disponibilités me le permettent. » Ben oui, quoi, s’il y a la possibilité de se faire mousser à peu de frais, pourquoi se le refuser? D’autant qu’il y aura certainement des journalistes présents ce jour-là! Au final, Marie-Claude bénéficiera de la salle Alexandre Dumas, louée par une association
dont elle est adhérente. Le jour de la remise de sa décoration, dans son discours elle n’oubliera pas d’adresser un remerciement spécial « au Directeur de la CAF, grâce à qui nous n’avons pas pu avoir une salle au Centre Social, ce qui représentait pour moi tout un symbole de mon engagement bénévole. » Au fait, le Directeur de la CAF de l’Indre n’était pas présent ce jour-là. Ses disponibilités qui ne lui ont pas permis de l’être, disponible, certainement… Il faut savoir que, pas rancunière, Marie-Claude continue encore son action bénévole en faveur du quartier Saint-Jean. Où ça? Au centre social, bien sûr… Monsieur Fulgor
quelqu'un, qu'on s'est joués de lui sur une blague ». Même s'il est fier de la photo sur laquelle il pose à côté de Dieudonné, il refute être antisémite. Plus grave encore, la quenelle devient à la mode dans les lycées et les établissements castelroussins ne sont visiblement pas épargnés. Si la plupart des ados qui le pratiquent semblent ne pas connaître la réelle signification du geste, certains d'entre eux associent la pratique avec des propos antisionistes bas de gamme. Tous n'hésitent pas, dans tous les cas, à poster sur Facebook des photos d'eux-mêmes faisant le geste de la quenelle avec un sourire crétin. Oui, n'oublions pas que ce sont des ados, hein. Nous en appelons donc à la vigilance des parents qui auraient un ado qui pratique la quenelle en leur préconisant un autre geste, salvateur celui-ci, à l'efficacité notoirement reconnue : la baffe dans la gueule!
Le strip du Stup’
Par le petit David
La Mare Au Diable décryptée pour les nuls (suite et fin) On pourrait objecter que Raymonde Vincent n’a pas une enfance malheureuse à la campagne vers 1915-1920. Mais on n’oubliera pas la nouvelle oppression des filles de paysan : les ateliers de couture. En se sauvant, à moins de 18 ans, pour échapper aux ateliers de confection, Raymonde est une révoltée. Il est difficile d’imaginer ce que pouvait représenter cette fuite hors de la famille ! Sand n’est pas une révoltée, mais une fille de famille, pour qui la vie est facile. Elle est un enfant benêt qui écarquille les yeux devant les paysans !
Le père Maurice Il est le patriarche de la Mare au Diable. Ne le confondons pas avec le père de Raymonde Vincent, qui est chrétien mais ne s’intéresse pas à ses enfants. Le père Maurice veut marier son gendre veuf. C’est un mariage très calculé. Et pas question d’y échapper. La prétendante doit répondre à des critères précis. Il l’a très bien ciblée : « C’est une Léonard, veuve d’un Guérin… elle s’appelle Catherine comme ta défunte ! » Germain émet une timide révolte : « Vous avez donc arrangé tout cela ? » Le père Maurice a des principes : « Quand il s’agit d’un mariage d’amour, on perd du temps ». D’ailleurs Germain n’a pas la parole. Laissons parler le père Maurice : « la jeunesse est légère…il faut une bonne âme bien sage, bien douce et très portée sur le travail »…Quand Germain fait des suppositions : « Il y a des bonnes filles dans notre village. Il y a la Louise, la Sylvaine, la Claudie, la Marguerite »…Mais le père a déjà ses arguments : « Doucement, doucement mon garçon, toutes ces filles-là sont trop jeunes ou trop pauvres…ou trop jolies filles…une jolie femme n’est pas toujours aussi rangée qu’une autre… » On voit qu’il traite le mariage comme une affaire d’argent. Le féminisme, c’est bon pour les bourgeois, mais pas pour les paysans, selon George Sand. On voit ici l’opposition avec Raymonde Vincent, qui, bien que très croyante, n’en fait qu’à sa tête. Elle n’appartient d’ailleurs à aucun groupe féministe, elle qui s’est déplacée sur les barricades de mai 68 !
Germain le laboureur benêt
La chevauchée : À trois, et à dada sur mon bidet ! Dans l’intervalle, la bonne pauvresse, la Guillette, a osé demander un service. Germain ne pourrait-il conduire sa fille chez son nouvel employeur ? Bien entendu, on ne peut rien refuser à une pauvresse aussi obéissante. Et puis les mœurs de la campagne, vues par la Georgette, sont innocentes, et on n’imagine pas Germain se livrer à des attouchements sur une fille de 16 ans ! En chemin, on récupère Petit Pierre et les voilà chaperonnés par un troisième personnage. Ah la pauvre jument ! Elle doit être longue et solide ! Il nous faut dire quelques mots de cette nuit si dangereuse pour la vertu des jeunes filles. Bien entendu l’équipage est envoûté par une sorcière, c’est l’équivalent du philtre d’amour dans les légendes médiévales. Qu’à cela ne tienne et la vertu de la petite Marie est bien accrochée ! Tout ce petit monde résiste au Diable, grâce à la prière du soir. Citons un dialogue particulièrement fort : Le fantastique réside seulement dans la répétition de cette phrase : « Marie, tu es une vraie petite sorcière ! ». La jument ne prie pas. Ca ne servirait à rien, Dieu n’est pas un cheval ! Et une vieille qui passait par là leur prédit qu’ils n’en sortiront pas avant l’aube. Petit Pierre nous a prévenus : « Je vas dire ma prière ». « Je vas t’aider » ajoute Marie pour bien montrer qu’elle connaît le parler berrichon.
Un faux roman d’amour courtois Qu’a voulu faire exactement Georgette ? Un roman champêtre mais transposé au Moyen âge, un roman d’amour courtois. Mais George écrit trop et trop vite. Ensuite je ne suis pas sûr qu’elle aime vraiment les paysans. Il faut bien écouter, une fois encore Baudelaire, même si son style est rugueux : « Que quelques hommes aient pu s’amouracher de cette latrine, c’est bien la preuve de l’abaissement des hommes de ce siècle… » ou encore et toujours dans « Mon cœur mis à nu » : « Voyez
George Sand. Elle est surtout et plus que toute autre chose, une grosse bête. » Ce qui fait écho à la fameuse boutade de Nietzsche : « George Sand c’est une vache à écrire ». George Sand avait tous les ingrédients pour réussir un texte historique. Mais son cavalier paysan est lourd, et c’est une jument. Et ils sont à trois sur cette pauvre bête ! L’aspect diabolique est très simplifié : relisez le chapitre intitulé « La vieille ». Elle est presque comique, la mare. « C’est un mauvais endroit…Il ne faut pas en approcher sans jeter trois pierres dedans de la main gauche, en faisant le signe de la croix de la main droite : ça éloigne les esprits ». En plus, la vieille est sourde, et incapable de maintenir un dialogue. Cependant elle inquiète Germain par des phrases incompréhensibles. Extrait de ces curieux échanges verbaux : « N’avez-vous pas vu passer dans le bois une fille et un enfant ? » Réponse de la vieille : « Oui, il s’est noyé un enfant ». La connaissance qu’a George Sand est très superficielle et LouisFerdinand Céline lui fait beaucoup d’honneur en la félicitant pour un « très gros effort littéraire » à propos des manières des anciennes générations, qui seraient reprises par Marcel Proust dans la Recherche du Temps perdu. Les Editions A à Z avaient publié côte à côte la vraie Mare au Diable et ma propre version. Il avait habilement sous titré : « Deux pastiches sinon rien ». Premier pastiche, celui de George ellemême, qui ne connaît pas le monde paysan, et second pastiche, ma version personnelle. Mais combien de temps va durer cette admiration béate et un peu ridicule pour George Sand ? Alors qu’elle cache la très grande artiste Raymonde Vincent ? Que son ombre empêche de voir cet écrivain chrétien, que moi, qui suis en principe athée, suis obligé de lire pour les autres, pour mon plaisir aussi, et pour la faire découvrir au public ? Je n’ai évidemment rien de personnel contre George Sand et j’ai été un des premiers vers 1970, à faire lire « La Mare au Diable », parce que c’est une lecture pour enfants. Raymonde Vincent est un immense écrivain populaire et elle entre beaucoup plus profondément dans l’âme paysanne !
Guimou De La Tronche (toujours!!!)
LE COIN DU TORTICOLIS
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Non il n’est pas fin, le laboureur de la Mare au Diable. Il est obéissant et quelque peu benêt. « C’est entendu… » répond-il au choix de son père. George nous dit qu’il avait « toujours vécu sagement ». Est-ce de la sagesse de toujours obéir à son père dans les moindres détails ? Voici les ordres précis du père Maurice. « Tu feras ta journée de labour un peu plus courte ». (Un peu seulement). A l’objection (très faible, de Germain : « J’aimerais autant y aller à pied », le père a réponse à tout : « Oui, mais la jument est belle et un prétendu qui arrive aussi bien monté a meilleur air…Tu mettras tes habits neufs…Tu arriveras de ma part… ». Germain ne serait-il pas capable de penser tout seul à ces détails vestimentaires ? Il se montrera tout aussi infantile, dans son dialogue avec la mère Maurice : « Eh bien oui bonne mère, j’ai cette folie de m’être attaché à une jeunesse ». La mère Maurice est quand même une femme, ça existe même à la campagne ! Elle comprend le secret de Germain et elle donne sa version du philtre d’amour courtois: « Alors c’est comme un sort qu’on vous a jeté, Germain ? ». Finalement c’est le
seul personnage vraisemblable du « roman champêtre ». Elle sait parler aux amoureux en difficulté. Téléphonez à France Inter, la nuit, Macha Béranger vous conseillera utilement.
Où dîner après le spectacle ? Allant un beau jour, place Monestier, je me demande où aller déjeuner … Ça ne manque pas les restos, dans le coin ! Enfin, quant au nombre ! pour le reste... j’ai tourné les talons et virevolté avant de me diriger en sautillant vers « La dernière séance »! Ben, oui, j’ai honte , j’y suis pas encore allé manger et ce, depuis janvier 2013 que c’est ouvert avec la nouvelle équipe et le nouveau chouette patron! Mon matricule devient très très pâle, mais que diantre, ce sera chose faite , j’y vais ! Un accueil chaleureux, brûlant, par le patron, Monsieur Christophe, oui je l’appelle par son prénom ! Donc, après un verre de punch maison, histoire de bien débuter , débarque une entrée avec des saint jacques, hum, je commente pas, je savoure. Puis tajine de citron d’un coté
CONTRE LA QUENELLE...
FAÎTES DES
KNACKIS !
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ILLOGIQUE Si, dans le système capitaliste, on admet qu’un homme riche peut gagner des millions en une journée, et jarret aux choux de bruxelles de la pourquoi un pauvre n’aurait pas le jeannette, de l’autre ; et là je vois le bout de droit d’en dépenser autant sur la nez du chef de cuisine et c’est un même période? “MERCI cuistot!” qui jaillit, parce que là c’est de la cuisine, du frais , du cœur, du sang…. oui, j’arrête. Le tout accompagné, d’un bon madiran conseillé par Monsieur Christophe ! bon choix ’sieur ! Puis alors, le dessert, un pain perdu pour au moins 2 ! avec des fruits secs, du miel …tout partout ! je salive encore… Alors, vous savez ce qui vous reste à faire ? à moins que vous soyez amateurs de surgelés, produits comme clients ? Donc allez-y et buvez-y un verre de rouge à notre santé à tous (boire sans modération est signe de longue vie et de bonheur indiscible) !
Garance
COLARGOL
Le Petit Stupéfiant est édité par l’association loi 1901 « Les Éditions Stupéfiantes » /// Rédac’chef en chef : Olivier Latissiere /// Comité de rédaction en -tion : Rolland Henault, William Etiève, David Verdier, Fanette Bernaer, Sandrine Brisson /// Ont participé de gré ou de force à ce numéro : Michel Janvier, Motta, JMD, Garance /// Remerciements : tous les points de vente du Stup’ et ma mère sans qui je ne serais rien /// Les textes, dessins et photos envoyés à la rédaction ne sont ni rendus ni renvoyés. Ils sont envoyés dans l’espace par navette spatiale /// À l’intention d’un certain Ludwig Van Beethoven qui nous écrit sans arrêt : y’a pas de Elise ici, bordel /// Pour tout contact et nous envoyer de jolis articles ou dessins ou photos ni payés ni rendus : petitstupefiant@gmail.com /// IPNS /// Dépôt légal : Janvier 2014 ///
Achetez le vite avant qu’il ne soit vraiment mort !!! Format 15 x 21 cm - 360 pages – couverture couleur - Prix public : 21€