Tip Top Tel Aviv Magazine - 55 - Juillet 2020

t i p t o p t e l a v i v. c o m

Le magazine du meilleur de la culture, des arts, de la mode et de la décoration, en France et en Israël

Juillet 2020 N o 55

EN VENTE NULLE PART

Le top des ventes de l’été 2020 !

Joël DICKER Sa nouvelle pépite littéraire

Guillaume MUSSO Sa vie est un roman

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L'ÉDITO

Il fut un temps, très éphémère semble-t-il, où le "monde d’après" était censé ralentir, voilà qu’au contraire il se réveille en surchauffe. Le monde veut "re-vivre!".

Laurent Dorf Directeur de la rédaction

Pourtant, salles de spectacle, théâtres, festivals... le rideau s’est baissé sur les lieux et manifestations culturels, anéantis par la crise sanitaire et désormais tétanisés par l’absence de perspective claire sur un calendrier de réouverture. ll faut reconnaître le caractère inédit de cette crise sanitaire et de ses conséquences. Mais, premier à avoir fermé ses portes, le secteur culturel risque fort d’être le dernier à les rouvrir.

Alors, 2021, sera l’année de reprise des tournées internationales, et des grands rassemblements.

Sandrine Houta Directrice de la publication

Pour poursuivre dans ce contexte difficile et pour vous accompagner cet été sur les plages, les livres sont désormais de retour avec de nombreuses sorties comme les nouveaux romans de nos invités dans votre magazine.

Avec Guillaume Musso et Joël Dicker en haut des ventes des livres en France, il semblait injuste de ne pas leur offrir une couverture commune.

Alors qu’il vit une catastrophe sans précédent, le monde de la culture a besoin non seulement d’une sérieuse bouée financière, mais de projets de relance concrets, imaginatifs et mobilisateurs tant pour le public que pour les artistes.

Bonne lecture et rendez-vous le mois prochain.

Comment nous trouver

SOMMAIRE INVITES 6 Guillaume MUSSO 14 Joël DICKER

CULTURE & LOISIRS 8 Musique 12 Tendances et Déco

VOS RUBRIQUES 4 Le Consulat vous informe 15 Le Dvar Torah du Rav Prosper ABITBOL

Directrice de la publication : Sandrine Houta | Rédacteur en chef : Laurent Dorf Publicité : +972 (0)54 2619741 Graphisme : Yeochoua Allia : 0584322525@bezeqint.net Courriel : Contactiptoptlv@gmail.com Délai de remise des éléments publicitaires et rédactionnels du numéro d'Août 2020 : 25 Juillet 2020 La rédaction décline toute responsabilité d’une part quant au contenu des textes, qui n’engagent que leurs auteurs et d’autre part, des annonces publicitaires (comme la cacherouth des restaurants). La direction se réserve le droit de modifier, réduire les textes proposés. TipTopTelAviv le magazine, n’accorde aucune exclusivité. Les articles et maquettes publicitaires restent la propriété exclusive de TipTopTelAviv et ne peuvent être reproduits d’aucune façon sans accord préalable écrit. Ce magazine contient des enseignements de la Torah. Mettez le dans la Gueniza après lecture et évitez de l’introduire dans les endroits incompatible à son respect.

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SERVICES

Votre Consulat Général vous informe

Aller en France cet été ? Mode dʼemploi.

Depuis le 17 mars 2020, l’Europe a fermé ses frontières extérieures afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Cette mesure est en vigueur jusqu’au 1er juillet. Il est désormais impossible pour un voyageur noneuropéen d’entrer en Europe, en France, depuis un pays noneuropéen. Consultez le site internet du consulat pour plus d’informations.

Cette règle, bien sûr, ne s’applique pas aux citoyens français et à leur famille (conjoint, enfants) qui peuvent bien sûr toujours entrer en France. Même chose pour les étrangers qui ont leur résidence en France et un titre de séjour valable.

Néanmoins, les autorités françaises en appellent au civisme et à la responsabilité de chacun pour éviter les déplacements internationaux non impératifs, pour réduire les risques de circulation du virus.

Dans cet esprit, les autorités françaises proposent à tous les voyageurs qui arrivent en France de se soumettre à une période de confinement volontaire de 14 jours à domicile.

Les personnes qui voyagent vers la France devront en outre présenter une attestation de déplacement international et une déclaration sur l’honneur de n’avoir présenté, au cours des dernières 48H, aucun symptôme de Covid-19.

Ces documents sont téléchargeables sur le site du ministère de l’Intérieur.

Le site internet du Consulat général de France à Tel Aviv est mis à jour régulièrement et vous informe sur la réglementation en vigueur, ainsi que les vols disponibles.

N’hésitez pas à consulter la Foire aux questions pour plus d’informations.

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestation-de-deplacement-et-de-voyage https://il.ambafrance.org/-Consulat-General-de-France-a-Tel-Aviv-

Besoin d’un passeport, d’une carte d’identité ?

Mesures sanitaires en vigueur au consulat général

Vous pouvez de nouveau prendre rendez-vous pour renouveler un passeport ou une carte d’identité ou effectuer une première demande. A noter : la remise de pièces d’identité se fait désormais uniquement sur rendez-vous.

Retrouvez toutes les informations utiles sur le site du Consulat Général et prenez rendez-vous en ligne : https://il.ambafrance.org/Passeport https://il.ambafrance.org/Carte-nationale-d-identite13688

Pour accéder à nos locaux, vous devrez vous munir d’un masque, de gants et d’un stylo personnel.

L’entrée n’est possible qu’après un contrôle de température et un questionnaire de santé, afin de garantir la sécurité et la santé de nos agents et de nos usagers.

Toute l’équipe consulaire vous remercie d’avance de respecter ces règles dans l’intérêt de tous.

Le Consulat général de France à Tel Aviv est à présent sur Facebook et Instagram!

N’hésitez pas à "liker" notre page officielle pour ne rien rater des dernières informations consulaires (avions confirmés vers la France depuis Israël, réouverture des différents services à la suite de la crise du Covid-19, collaboration avec les associations franco-israéliennes, aide sociale etc.).

Retrouvez-nous sur @consulatfrancetelaviv sur Facebook et Instagram !

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GUILLAUME MUSSO SA VIE EST UN ROMAN

Guillaume Musso a été l’écrivain le plus lu par les Français pendant cette période de confinement.

Et cette vague n’est pas prête de s’arrêter puisque depuis le 26 mai, les lectrices et les lecteurs peuvent tourner les pages d’un tout nouveau roman du maître des librairies : "La Vie est un roman", publié aux éditions Calmann-Lévy.

D

e quoi parle ce nouveau livre ? Carrie, 3 ans, fille de la romancière américaine Flora Conway, disparaît pendant une partie de cache-cache. Elle était seule avec sa mère dans un appartement entièrement clos. Que s’est-il passé ? Mystère... Ce début d’intrigue ressemble étrangement à un thriller à la Stephen King avec un savant mélange de terreur et de surnaturel. Mais attention, un roman peut en cacher un autre... Ce roman est construit comme une gigantesque mise en abîme où les frontières entre fiction et réalité sont plus que jamais bousculées et le destin de cette mère et d’un écrivain vont venir s’entremêler.

La Vie est un roman est aussi une histoire d’amour entre un père et son fils, un thème qui semble désormais indissociable de la plume Musso.

Une étude de l’institut GFK nous a appris que vous avez été l’auteur le plus lu pendant le confinement. Avoir ainsi par livres interposés accompagné les lecteurs pendant cette période si difficile est-ce que ça vous touché ?

Guillaume Musso. Bien sûr, beaucoup ! Je n’ai jamais reçu autant de messages de gens qui se sont mis à lire. C’est une émotion incroyable.

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"La vie est un roman" est votre nouveau livre. Suspense littéraire et amoureux, une réflexion sur le pouvoir des livres et le métier d’écrivain. Vous est-il arrivé de ne plus faire la différence entre votre vie et l’histoire que vous êtes en train d’écrire ?

GM. Ça m’arrive à peu près deux mois par an, lorsque je suis au cœur de l’écriture du roman. En fait en apparence vous continuez à mener votre vie normale, mais votre cerveau tourne complètement à 100% vers la fiction.

C’est facile à vivre cela avec la famille et les proches ?

GM. Ils se sont habitués maintenant. On ne peut pas ne pas passer par cette case là, à la fois excitante et douloureuse.

C’est aussi un signe que vous êtes au cœur d’une histoire passionnante et dont vous espérez qu’elle passionnera aussi les lecteurs.

C’est ce que votre romancier dans le livre appelle le 36e sous-sol ?

GM. Oui ! C’est une expression qui m’est venue après avoir écouté une conférence du célèbre romancier Japonais Murakami, qui disait que l’auteur est obligé de descendre au

LIVRE 2e sous sol où vous avez de la difficulté après à remonter. Et pour moi le 36e sous-sol, c’est le «lieu" où se trouvent les meilleures idées avec la quintessence de vos personnages.

Comme vous en avez l’habitude, vous ouvrez tous vos chapitres avec une citation.

Notamment celle page 41 qui dit : "lorsque vous parlez à un écrivain, vous devez toujours garder en tête que ce ne sont pas des gens normaux ". Vous confirmez ?

GM. Sans doute ! Parce que le pire pour un écrivain c’est de ne pas écrire. Il devient malheureux. Et s’il ecrit, il est tourné vers ses livres et ses personnages. Je n’ai jamais vraiment de moments de tranquillité, de répit. Je n’ai pas trouvé depuis vingt ans le moyen d’appuyer sur le bouton off !

Votre écrivain semble être lassé de son succès, d’être obligé de répondre toujours aux mêmes questions dans les interviews.

Vous aussi ?

GM. Il y a des bons et des mauvais jours. Les bons je suis très heureux de répondre aux journalistes et d’autres vous avez forcément l’impression de vous répéter.

Votre héros décide de se créer un double littéraire. Cette lassitude est-elle la vôtre parfois et avez-vous la même tentation d’un double littéraire ?

GM. Ce n’est pas la lassitude d’écrire mais celle de l’étiquetage où forcément vous arrivez ici avec un bagage. Et donc les journalistes vous posent des questions en lien avec ce que vous avez fait auparavant. Et très peu sur le livre. C’est à la fois normal et compréhensible. Et je n’ai d’autre part aucune vanité à me créer un double.

Avez-vous le sentiment qu’après chaque nouvelle sortie, il faut tout réapprendre?

réussi à écrire 15 livres que vous allez arriver à écrire le 16e. Tout ça est fragile et oui, c’est la terreur de l’écrivain de se dire, cette foisci je ne vais pas y arriver. Chaque fois je me dis que j’ai tout dit. Je ne peux que décevoir.

Je lisais les mémoires de Simenon dont les citations ouvrent et terminent le roman, et c’est amusant de voir que les génies qui ont écrit 300 ou 400 livres, étaient persuadés qu’il n’y arriverait pas.

Qu’est-ce qui pourrait vous faire arrêter d’écrire ?

GM. Ça serait quelque chose en liaison avec mes enfants. Vous savez, il y a deux choses dans ma vie : l’écriture et mes enfants de deux et six ans, qui me relient à la vie. Les enfants nécessitent une attention qui est celle du présent. Mes deux dimensions sont : le monde imaginaire et mes enfants qui m’en sortent.

L’expérience de la paternité semble être devenu indissociable de votre écriture ?

GM. C’est drôle parce que au départ je n’ai pas du tout commencé à écrire ce livre. J’étais sur un livre beaucoup plus long, avec une histoire policière. J’y ai passé six mois ! Mais un matin, je me lève et je me dis que je n’ai plus envie, d’écrire ça. J’avais envie d’écrire sur la paternité et sur les 20 ans de pratique avec certains de ces matins lorsque je me pose la question de savoir qu’est-ce que je vais bien pouvoir écrire?

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur l’adaptation télévisée de votre livre "La jeune fille et la nuit " ?

GM. C’est un projet dont l’action se situe dans le sud de la France, dans un campus international, ce qui permet de tourner en partie en anglais et en français. La série se déroule sur deux époques avec un double casting, pour les personnages une fois qu’ils ont 20 ans, et une fois qu’ils ont 40 ans.

Laurent Dorf

GM. Bien sûr, c’est à la fois l’excitation formidable de ce métier et la terreur qui va avec. Il n’y a pas de recette, contrairement à ce que l’on peut croire parfois, ce n’est pas parce que vous avez Juillet 2020

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MUSIQUE

Decouvrez les artistes Israeliens

Sheked Kumi L

e jeune artiste, révélation de la chanson en Israël, présente un album aux textes et aux compositions plus riches, depuis qu’il a rejoint le couple de producteurs Gal Joe Cohen et Eyal Yishai.

Osher Cohen N

ouvel album enfin disponible !

Après une année particulièrement réussie, et des dizaines de millions de vues sur YouTube, des centaines de milliers d’écoutes sur Spotify et Apple, et une tournée nationale, il est devenu l’un des chanteurs et créateurs les plus respectés et les plus intéressants dans le style de musiques méditerranéennes.

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Noy Fadlon E

n quelques mois, Noy Fadlon a accumulé d’énormes succès qui ont recueilli plus de 30 millions de vues sur YouTube. En un rien de temps, elle est devenue la nouvelle Star de la chanson en Israël. Elle écrit et compose ses titres et ceux de nombreux artistes: Itai Levy, Moshe Peretz, Kobi Peretz et Omar Adam.

Lee Byrne A

près le précédent single qui racontait une rupture difficile et douloureuse, arrive "Happy".

Lee est aussi comédien et a terminé le tournage du film "Lockdown" qui sortira cette année.

Moshe Ben Ari et Ninette L

a chanson était depuis plus de deux ans dans un tiroir et n’attendait que la bonne voix féminine pour transmettre l’émotion : Ninette.

La collaboration dans le studio semblait naturelle - une rencontre de créativité qui a conduit à cette belle chanson au texte doux qui incorpore des instruments classiques tels que le piano et les violons.

Sarit Haddad N

ouvelle chanson écrite et composée par les talentueux Tamar Diamond et Jonathan Klimi.

La sortie est accompagnée d’un clip magnifique. Avec plus de vingt ans de carrière et des dizaines de succès, elle est actuellement en tournée.

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©Flavien Prioreau pour Artcurial

BILLET D'ART

LE VIRTUEL VA-T-IL DÉFINITIVEMENT PRENDRE LE RELAI DE LʼEXPÉRIENCE PHYSIQUE DE LʼART ?

S PHILIPPE COHEN

uite à la crise sanitaire qui a frappé la planète, tous les pays concernés par la pandémie ont pris les mesures nécessaires pour lutter contre la propagation du COVID�19. Parmi celles-ci, la fermeture des lieux recevant du public non indispensable à la vie du pays, dont les Musées, les galeries, les maisons de vente aux enchères ainsi que le report des foires d’art comme celle d’Art Basel. Tous ont donc dû mettre en place des nouvelles stratégies, afin d’assurer, dans la mesure du possible, la poursuite de leur activité. Dans ce contexte, le numérique a pris une ampleur encore plus importante qui conduira certainement à des changements majeurs dans l’expérience de l’art ainsi que dans la création de nouveaux modèles de support économique.

L

e virtuel risque de se substituer au réel.

Si d’un côté la numérisation de l’art rend effective son universalisation, en ce qu’elle élimine les barrières de temps et d’espace en la rendant accessible à tous n’importe où dans le monde ; de l’autre on craint qu’elle puisse convertir une œuvre de l’esprit en un "objet standardisé".

Les reconstructions 3D au sein des expositions muséales et les visites virtuelles que l’on peut découvrir depuis chez soi, contribuent à la création d’un parcours immersif qui va au-delà de la simple démocratisation de l’art. Nous risquons donc de rentrer dans une époque où le virtuel va prédominer sur le réel. Cette révolution culturelle a subi une accélération lorsqu’avec l’impossibilité de sortir de chez soi, le numérique est devenu, pour les institutions culturelles comme pour les autres lieux de diffusion et de commercialisation de l’art, le moyen privilégié pour atteindre le public.

Si le cadre juridique n’est pas encore entièrement défini, les institutions qui s’engagent dans la mise en place d’un "Musée virtuel" seront confrontées à un certain nombre de questions liées à la propriété intellectuelle. La loi "Hadopi" de 2009 a mis en place un cadre contractuel réglementé dans la mise à disposition d’une œuvre sur une plateforme virtuelle (Ilaria Greta De Santis).

Le modèle économique de ces Musées virtuels doit être aussi repensé car ces plateformes ont un cout. C’est pourquoi les institutions muséales devront développer des stratégies commerciales nouvelles, en créant par exemple des nouveaux partenariats avec d’autres institutions et des sponsors. Ces questions d’ordre juridique et économique se posent moins pour les galeries d’art car les artistes sont impliqués de fait dans le besoin de céder leurs droits à l’image afin de promouvoir et vendre leurs œuvres.

Pionner du Musée privé virtuel, la collection DSL. Depuis 2005, Dominique et Sylvain Levy ont toujours été pionniers dans la présentation de leur collection d’art contemporain chinois en créant des médias numériques révolutionnaires. Cette expérience est le premier Musée privé du monde en réalité virtuelle. À travers une sélection d’une trentaine d’œuvres XXL d’exception, la DSL collection propose un voyage muséal en réa10

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Courtesy Acute Art & KAWS

lité virtuelle d’un nouveau genre. Cette expérience redéfinit la relation entre une œuvre et son spectateur, avec un souci du détail proche de la réalité.

Le projet de KAWS "Expanded holidays" avec son œuvre Compagnon KAWS superstar du marché depuis 2 ans s’est associé à la société Acute Art pour utiliser la technologie de réalité augmentée pour créer un nouveau projet intitulé "Expanded Holidays". Depuis le

12 mars 2020, ses sculptures géantes flottent au-dessus de douze sites à travers le monde, dont la Pyramide du Louvre. Ce projet a fait un buzz planétaire puisqu’il a été vu par des dizaines de millions de personnes sur les réseaux sociaux. L’utilisateur de l’application Acute Art est ainsi invité lui-même à parcourir ces différents lieux à travers une carte interactive–une première pour l’artiste qui signe ici officiellement la dématérialisation de son art. Bien que ce projet ait été imaginé avant la pandémie de Covid-19, son impact fut encore plus percutant à l’heure où de nombreux événements et expositions étaient annulés.

Pour faire l’expérience du projet de KAWS : EXANDED HOLIDAYS.téléchargez l’application Acute Art ici.

Art Basel online viewing rooms L’annulation officielle de la foire d’Art Basel Hong Kong, début février, en raison de l’épidémie de COVID-19, laissait cependant subsister une lueur d’espoir avec l’annonce de la toute première édition des Online Viewing Rooms, du 20 au 25 mars. Elle a permis de tester, à l’échelle mondiale, un modèle de survie pour les galeries à l’ère du confinement.

La foire la plus importante au monde qui attire les plus grands collectionneurs de la planète Art Basel à Bale, prévue initialement en juin a été également reportée en septembre. Reste à savoir si elle pourra être maintenue et si les grands collectionneurs américains seront prêts à traverser l’Atlantique pour assouvir leur passion. Art Basel aurait investi 2 millions d’euros pour créer une plateforme virtuelle en 3D ou chaque exposant serait autorisé à exposer 15 œuvres à la fois. Les VIP sur le même principe de la foire accèderont en priorité du 17 au 19 juin aux œuvres, puis l’accès sera ouvert au public. Nous saurons alors si l’expérience des online viewing rooms tient vraiment ses promesses dans le futur et pourront se substituer au plaisir des collectionneurs de se retrouver et vivre l’expérience physique des œuvres.

La galerie internationale Hauser & Wirth lance une plateforme de réalité virtuelle Cette méga galerie européenne vient d’annoncer mi-avril le lancement d’ArtLab, une nouvelle plateforme consacrée aux projets artistiques et technologiques. L’outil "HWVR" donne accès depuis fin avril à la première exposition modélisée en réalité́ virtuelle de la galerie. Cette technologie permet de créer un espace virtuel pixel par pixel, plutôt que par la photographie à 360 degrés. Elle s’inspire de techniques déjà̀ utilisées dans les domaines de l’architecture et de la conception de jeux vidéo.

Patrick Drahi et Sotheby’s en ordre de marche pour entamer la révolution du marché de l’art Judith Benhamou-Huet dans les échos du 22 mai analyse la stratégie de la maison de vente en train de s’opérer depuis que l’homme d’affaire franco-israélien a racheté la maison de vente le 17 juin 2019 pour un montant de 3,7 milliards de dollars. La déclaration était accompagnée d’un message rassurant du nouveau propriétaire : "nous n’anticipons aucun changement dans la stratégie de l’entreprise".

C’est mal connaitre cet homme d’affaire redoutable spécialisé dans les nouvelles technologies : en octobre 2019, il nomme Charles Stewart, un ancien d’Altice qui sépare l’activité des Beaux-Arts de celle de "Sotheby’s home" une section "lifestyle" qui englobe le design, montres, bijoux, etc. En avril 2020 pour faire face à la crise et réduire sa dette, il licencie 15% du personnel et demande à ses directeurs de département d’accepter des réductions de salaire de 30%. Toujours dans un

esprit de réduction des couts, il suspend l’impression des catalogues pour favoriser les catalogues en ligne. La grande révolution réside dans la progression des transactions privées, mais surtout dans la multiplicité des ventes en ligne, qui ont montré des résultats solides pendant le confinement et qui ont attiré 30% de nouveaux clients.

Le concurrent Christie’s propose une solution innovante en déplaçant ses ventes de prestige en juillet. "One" sa vente d’art du XXème siècle aura lieu en direct le 10 juillet depuis Hongkong, Paris, Londres et New York et combinera Art moderne, Art contemporain et design. Ce format hybride sera proposé au public en salle de vente et en ligne. L’idée est de faire fusionner les mondes virtuels et physiques, en présence surtout d’œuvres majeures comme à New York qui présentera une version des femmes d’Alger (1955) de Picasso estimée 25 à 30 millions de dollars.

La réponse de Sotheby’s à Christie's ne s’est pas fait attendre et dans un communiqué publié dans le NY times du 29 mai, Sotheby’s proposera le 29 juin une vente ou le commissaire-priseur dirigera physiquement la vente en vidéo de Londres devant des écrans ou ses collègues seront en direct de New York, Hong Kong, Londres, Genève, Milan et Paris. Les enchères seront retransmises en direct en haute définition et les enchérisseurs pourront se manifester au téléphone ou online.

Sothebys proposera dans cette vacation un triptyque de Francis Bacon garanti à 60 millions de dollars, bien au dessus du prix du Picasso proposé par Christie’s.

Conclusion À quoi ressemblera le monde de l’art après le coronavirus ? Aurons-nous encore besoin d’art ? Cela changera-t-il la pratique même de l’art? Quel devenir pour les Musées, les ventes aux enchères et les foires d’art?

Qu’est-ce que chacun de nous, en tant que participant au monde de l’art, peut essayer de faire différemment ?

Certains acteurs du monde de l’art voient dans l’impact du coronavirus une chance de ralentir le rythme effréné du marché mondial et de repenser l’ensemble de l’écosystème artistique, et créer de nouveaux champs d’expression.

Certains collectionneurs ont consacré une partie de leur collection à l’art numérique, les vidéos ou même des œuvres immatérielles. Dans ces temps incertains, nombre d’artistes vont se détacher de l’immédiateté des images qui a dominé le monde de l’art ces dernières années pour revenir à des créations plus conceptuelles, sensibles, poétiques et intimes. Ces collections innovantes pour leur époque pourront être reconsidérées davantage aujourd’hui dans un marché en berne.

Toutefois n’oublions pas que l’intelligence artificielle, les algorithmes et la réalité virtuelle sont les outils de prédilection d’une jeune génération qui s’identifie aisément par exemple à l’œuvre de KAWS ; ne perdons pas ainsi de vue que ces nouvelles tendances auront une influence certaine dans l’appréhension d’une autre manière de collectionner dans la décennie à venir.

Michel Houellebecq dans une lettre à France inter déclare avec un certain pessimisme, ne pas croire à l’avènement d’un "nouveau monde" après l’épidémie : "Toutes ces tendances, je l’ai dit, existaient déjà avant le coronavirus ; elles n’ont fait que se manifester avec une évidence nouvelle. Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire".

Finissons sur une note plus optimiste en pensant que dans "le monde d’après", nous aurons le choix d’agir sur celui-ci ou de l’ignorer.

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TENDANCES & DÉCO 12

Spour’inspis’évader rer de la déco des îles grecques sans forcément partir ! À l’heure actuelle, di�cile de projeter

ses vacances, par contre pourquoi ne pas recréer un air de vacances chez soi en changeant votre déco.

Voici les indispensables pour transformer son chez soi en maison traditionnelle méditerranéenne : N’hésitez pas à faire rentrer des objets artisanaux comme des vases en céramiques, du bois des peintures blanches ponctuées de décoration bleu (mais pas que ... le jaune aussi).

Autre aspect pour une décoration grecque, ce sont les végétaux. Agrumes, palmiers, cactus, bougainvilliers et autre succulentes seront parfaits.

Dans des pots de couleurs bleus c’est encore mieux.

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CLINIQUE DENTAIRE

Avec Dental Harmonia, Tel Aviv a désormais sa clinique dentaire francophone Doté d’une équipe de praticiens triés sur le volet et d’un équipement ultrasophistiqué, l’établissement regroupe l’ensemble des spécialités dentaires – et même plus - et combine excellence des soins et haut niveau de service. Rencontre avec son fondateur, le docteur Raphaël Abergel.

Pourquoi avoir créé une clinique dentaire et ne pas s’être contenté d’un simple cabinet ?

Nous avons souhaité regrouper l’ensemble des spécialités dentaires au sein de la clinique, tant à destination des adultes que des enfants.

Diagnostic et soins seront ainsi délivrés au sein d’un lieu unique pour rendre un service optimal à l’ensemble de nos patients, enfants comme adultes. L’équipe est composée de six praticiens qui exercent selon les spécialités suivantes : orthodontie, endodontie (soins de la racine), implantologie, parodontologie, pédodontie, esthétique dentaire et paradentaire.

Qu’en est-il du matériel utilisé ?

Depuis quelques années, la technologie a fait d’énormes progrès qui se reflètent au niveau du matériel. Afin d’assurer notre mission de santé, nous nous sommes équipés de la dernière génération d’appareils tant de diagnostic que de soins. L’outillage radiologique est composé d’un scanner 3D, d’un appareil panoramique, d’un bilan (status) dent par dent, d’une composante céphalométrique pour l’orthodontie, ainsi que de clichés interdentaires pour la détection des caries.

mis à la disposition des patients, toujours dans l’esprit d’être à leur écoute de façon quasi-permanente.

Comment la clinique aborde-t-elle la problématique du coronavirus ?

Toutes les précautions sont prises, à commencer par l’observation rigoureuse des protocoles édictés par le ministère de la Santé. Dans le même temps, j’aimerais préciser que nous n’avons pas attendu la pandémie de Covid-19 pour entamer une réflexion poussée sur les enjeux sanitaires liés à l’exercice de notre profession.

C’est pourquoi nous avons équipé Dental Harmonia d’un système d’assainissement de l’air ambiant antivirus à caractère hospitalier ; système qui a reçu naturellement l’approbation du ministère de la Santé.

La clinique propose également un certain nombre de spécialités non-dentaires. Pourquoi ce choix ?

Effectivement, la nutrition, l’allergologie, l’homéopathie, le bien-être, la lutte contre le tabagisme, l’esthétique, ont leur place au sein de notre clinique. Tout cela dans un esprit de complémentarité car la dent n’est pas une pierre inerte. C’est un élément de vie qui impacte énormément l’économie globale de la santé. C’est pourquoi nous avons décidé d’ouvrir la clinique à ces autres spécialités afin de soigner les patients dans leur globalité.

Et concernant les soins ?

La clinique est l’un des rares établissements à être équipé d’un laser et d’un microscope permettant de soigner en grande vision éclairée, sans pratiquer d’anesthésie. Mentionnons également la prise d’empreintes numériques des dents qui permet de se passer de la pâte à empreinte, trop souvent génératrice d’inconfort, voire de nausées. Au total, chez Dental Harmonia, les patients pourront trouver un accueil personnalisé avec parking à disposition, conseils, soins de qualité, service et disponibilité.

L’urgence dentaire reste, souvent, mal assurée. Qu’en est-il chez Dental Harmonia ?

La clinique est ouverte de 8h30 à 22h30, ce qui permet de gérer les urgences dentaires. D’autre part, un numéro de hot line est également

Dental Harmonia, 20 Haïm Vital, Tel Aviv Téléphone : 054 338 4720 Mail : dental.harmonia2020@gmail.com Web : dental-harmonia-tel-aviv.com Juillet 2020

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LES CONFIDENCES DE JOEL DICKER

Joël Dicker publie son 5e roman. Depuis l’immense succès de "La vérité sur l’affaire Harry Quebert", il est l’un des auteurs francophones les plus lus dans le monde. Dans "L’énigme de la chambre 622", nous sommes chez l’auteur, en Suisse, à Genève et dans la station de ski de Verbier où un jeune écrivain à succès prénommé Joël, découvre que dans le palace où il séjourne un meurtre a été commis des années plus tôt dans la chambre 622. Un meurtre jamais élucidé, sur fond de guerre de succession à la tête d’une grande banque suisse. L’écrivain reprend l’enquête.

Comment définiriez-vous votre roman ?

Joël Dicker. C’est un roman policier et d’amour à la fois. Un roman sur l’infidélité des une envers les autres, entrecoupé de récits de vie que j’ai vécu avec mon éditeur disparu récemment Bernard de Fallois.

L’histoire se déroule dans le milieu de la finance en Suisse et de façon parfois caricaturale...

JD. D’abord le choix du milieu est un hasard. Je n’avais pas prévu qu’une banque soit au centre de l’histoire. Le fait que les banques soient transmises de père en fils, avec des enjeux financiers importants, m’offrait une grande liberté. C’est peut-être en cela que c’est caricatural. Mais la banque est ici, et avant tout, un décor.

C’est le lieu de l’intrigue et on n’est pas vraiment à l’intérieur de la vie d’une banque privée.

Pourquoi situer l’action dans votre pays ?

JD. Je crois qu’il était temps pour moi de parler de la Suisse, pays où je suis né, dans lequel je vis, qui est mon identité, mais qui est peutêtre passé au second plan cette année. C’est très personnel dans la façon dont je raconte cette Suisse. C’est la description de ce que je ressens. Je voulais emmener les lecteurs dans ce pays.

Votre arrière-grand-père Jacques Dicker, étais d’origine juive comme votre héros. Pourquoi s’inspirer d’une histoire familiale ?

JD. C’est un roman très personnel sur mes racines, Sur la ville de Genève, et des endroits qui ont été importants pour moi. Les deux branches de ma famille étaient d’origines russes et juives et persécutées. Mon arrière-grand-père était révolutionnaire et du côté de ma mère était composée de Russes blancs aristocrates qui ont dû fuir leur pays. Ils sont restés apatrides un certain temps avant d’échapper aux nazis. J’ai sans doute eu besoin depuis que je suis père, de remonter le fil de mon histoire. Je ne peux pas exclure que la naissance de mon fils il y a un an, m’ait fait écrit ce livre.

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Alors que votre famille a été persécutée par les nazis, vous faites dire à l ‘un de vos personnages : "il est juif, nous ne fréquentons pas ces gens-là." Est-ce par provocation ou pour montrer que l’antisémitisme est courant ?

JD. Ni l’un, ni l’autre. Le racisme et l’antisémitisme existent toujours. Ce livre évoque de façon générale les préjugés, qu’il s’agisse de religion, d’origine, de couleur de peau ou de position sociale. Chacun s’enferme dans des rôles, dans des mensonges. J’ai voulu montrer que, derrière les préjugés, Il y a la possibilité de vivre ensemble, à condition de s’ouvrir un peu. C’est un appel à s’accepter.

Cela fait dix ans que vous écrivez et que vos romans se vendent dans le monde. Comment voyez-vous votre succès.

JD. Le succès ne veut pas dire perfection. Je suis encore au début de ma carrière et j’ai beaucoup de progrès à faire et de livres à écrire. Je suis toujours très preneur de critiques. J’espère m’améliorer avec le temps.

Laurent Dorf

TORAH

Abraham le patriarche et sa chaine cryptĂŠe !

suite page 16 Juillet 2020

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TORAH

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RESTAURATION

Meat Kitchen le plaisir de la viande casher à Tel Aviv Meat Kitchen est de retour pour le plaisir des amateurs de viande casher à Tel Aviv ! Avec Meat Kitchen ça vaut la peine de réviser ses classiques en allant déguster une viande d’un autre monde ! C’est l’un des restaurants de chef les plus côté de la ville qui ne dort jamais !

Chez Meat Kitchen c’est la promesse de déguster une excellente viande, confortée par d’immenses vitrines réfrigérées exposant des côtes de bœuf à différents stades de maturation. Les plats de viande sont très généreux : un plateau de viandes variées, des saucisses au pavé de bœuf, en passant par Ce restaurant est dirigé par le chef Elad Levy.

Une carte diversifiée basée, entre autres, sur les techniques modernes de cuisson moléculaire mais aussi de la passion de Elad acquise durant son enfance dans la cuisine de sa grand-mère.

Les diverses viandes du restaurant subissent un processus de vieillissement de 45 à 60 jours, un processus qui adoucit la viande et met en valeur ses saveurs.

Le restaurant possède une pâtisserie qui produit des desserts casher très sophistiqués et succulents.

Ce restaurant inclus dans sa carte également des plats végétariens, végétaliens et sans gluten.

En résumé c’est un restaurant frais et gourmet concentré sur des plats délicieux, généreux et bien présentés.

L’environnement face à la mer au Namal de Tel Aviv est un lieu détendu et moderne, au service très sympathique et souriant.

Le rêve d’un carnivore au cœur de Tel Aviv.

Le restaurant a une atmosphère agréable des soirées entre amis ou des occasions spéciales avec sa salle privée.

Compléter d’un verre de vin de leur cave, et découvrez leurs desserts comme la mousse au chocolat. Le meilleur restaurant de viande casher de Tel Aviv, pour les amoureux de viandes juteuses et tendres.

Yosef Tekuti’eli 4,Tel Aviv Port (face à la mer) Tel : 035364755 www.meatkitchen.co.il Juillet 2020

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RECETTES

RECET�ES FRAÎCHES D’ÉTÉ TIRAMISU AUX LÉGUMES DU SOLEIL ET AU PESTO !

Ingrédients pour 4 personnes 8 tranches Pain de mie • 1 Petit oignon • 1 Poivron rouge • 1 Poivron jaune • 2 Courgettes • 100 g Mascarpone • 50 g Fromage blanc à 0% • 2 cuil. à soupe Pesto • 2 cuil. à soupe Huile d’olive • Sel • Poivre.

Préparation A l’aide d’un emporte-pièce ou d’un verre, découpez 8 cercles dans les tranches de pain de mie, de la même taille que votre verrine.

Epluchez l’oignon et hachez-le finement.

Lavez les poivrons et les courgettes et découpez-les en petits cubes.Versez l’huile d’olive dans une poêle et faites revenir tous les légumes sur feu vif pendant 8 min. Salez et poivrez.Dans un saladier, fouettez énergiquement le mascarpone et le fromage blanc puis ajoutez le pesto.

Mélangez bien.

Dressez votre tiramisu. Disposez les deux cercles de pain de mie au fond de la verrine.

Recouvrez du mélange au mascarpone sur 1 ⁄2 cm environ. Puis ajoutez les petits légumes et ainsi de suite jusqu’à épuisement des ingrédients.

Idée : vous pouvez confectionner les tiramisus dans des bocaux et ainsi les emporter pour un pique-nique.

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VER�INES FRAICHEURS Ingédients 2/3 pommes• 2/3 surimi • 4/5 tomates • 1 blanc d’œuf • Bouquet de ciboulette • 4/5 cuillères à café de curry • 4/5 cuillères à soupe de mayonnaise • 4/5 cuillères à soupe de jus de citron.

Préparation Oter la peau de la pomme et la couper dans un saladier en petits morceaux, arroser de jus de citron.

Ajouter le surimi coupé en petits morceaux.

Enlever la chair des tomates, couper la peau dans le saladier en petits morceaux.

Garder quelques brins de ciboulette et ciseler le reste en petits bouts, et l’ajouter dans le saladier.

Ajouter la mayonnaise et le curry; mélanger.

Monter les blancs en neige et les ajouter délicatement à la préparation. Goûter et rectifier avec du curry supplémentaire, au besoin.

Disposer cette préparation dans des petits verres à alcool et terminer avec un petit bout de ciboulette qui dépasse dans chaque verre.

Placer au frais pendant au moins 4 heures.

CEVICHE AU LAIT DE COCO Ingédients • 400 g de filet Dorade ou de Loup • 1 petit piment rouge ou vert • 1 ⁄2 oignon rouge • 1 filet d’huile d’olive • 2 citrons vert bio ou non traités • 1 orange bio ou non traitée • 4 gouttes de Tabasco • 10 cl de lait de coco • 1 ⁄4 de bouquet de coriandre • sel et poivre.

Préparation Coupez le poisson en dés. Épépinez et hachez le piment. Pelez et hachez l’oignon.

Dans un cul-de-poule, mélangez le poisson, l’oignon et le piment.

Versez l’huile d’olive, le jus et le zeste des citrons et de l’orange, le Tabasco et le lait de coco. Mélangez, salez, poivrez et réservez 30 min au réfrigérateur.

Avant de servir, ajoutez la coriandre émincée.

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