TiptoptelavivMagazine28 - Fevrier2018

t i p t o p t e l a v i v. c o m

Le magazine du meilleur de la culture, des arts, de la mode et de la décoration, en France et en Israël Février 2018 • No28 EN VENTE NULLE PART

MURIEL MICHÈLE

ROBIN LAROQUE LE 28 MARS À TEL AVIV VOUS ALLEZ LES AIMER !

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mbarquement immédiat, laissez-vous guider par vos envies !

L’actualité artistique reflète les émotions, les bonheurs et parfois un peu de mélancolie grâce à ces artistes talentueux qui posent leurs valises et leurs instruments chez nous.

Ces voyageurs de l’imaginaire vont nous entrainer dans un tourbillon, entre des airs de musiques, des pas de deux, des tirades qui enrichiront ces moments précieux de partage émaillés de rires et de passion.

Nous aurons le plaisir d’accueillir le 28 mars, Muriel Robin et Michèle Laroque, pour la première fois en Israël. Les deux comédiennes qui triomphent actuellement en France avec « Elles s’aiment », nous accordent un entretien exceptionnel et sont à la « Une » de ce 27e magazine.

Mars sera le retour du printemps et un mois chargé : dès le 13 mars et jusqu’au 5 avril le Festival du Film Français proposera nouveautés et grands classiques dans de nombreuses salles du pays. Le 22 mars vous serez nombreux pour assister au « Requiem pour Johnny », un vibrant hommage à Johnny Hallyday, entre live, vidéos et anecdotes de proches de l’artiste disparu en décembre 2017. Découvrez ceux à l’initiative de cette soirée dans votre magazine.

TIPTOPTELAVIV

L'ÉDITO

Il y a un mois, elle faisait salle comble avec son nouveau One Woman Show, Judith Mergui remet ça avec « Vous auriez pu me prévenir » le 19 février à Tel Aviv ! Il ne reste déjà presque plus de places ! L’artiste est aussi dans les pages de ce numéro.

Les 25 et 26 février, petits et grands auront la chance d’applaudir « Princes et Princesses » à Tel Aviv et à Jérusalem.

Ce spectacle familial adapté de l’œuvre de Michel Ocelot, auteur de Kirikou, est un enchantement.

Ne manquez donc pas cette série de spectacles qui réchaufferont les prochains mois avec des propositions artistiques étonnantes et émouvantes.

Février sera aussi l’occasion de fêter la nouvelle semaine de la gastronomie française, « So French So Food », dans un grand nombre de restaurants du pays. Découvrez le programme dans nos pages. Bon appétit !

Tel Aviv possède la particularité d’avoir un public fidèle, curieux, habitué à rencontrer l’insolite, le décalé, l’éphémère et l’universel. Nous sommes très heureux de contribuer à vous faire savoir ce qui se passe dans la ville blanche. Tel Aviv propose également de nombreux rendez-vous conviviaux et festifs qui sont devenus au fil du temps des incontournables qui rythment notre vie locale.

Visitez Tiptoptelaviv.com et notre page sur Facebook pour tout savoir de ce qui s’y passe !

Laurent Dorf Directeur de la rédaction

Sandrine Houta Dorf Directrice de la publication

Comment nous trouver Février 2018

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SOMMAIRE

No 28 Février 2018

STARS 8 Michèle LAROQUE et Muriel ROBIN 28 Judith MERGUI

ART 12 Le Billet d’Art de Philippe COHEN 8

Michèle LAROQUE et Muriel ROBIN

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Judith MERGUI

Crédit photo Pascal Victor

CULTURE 6 Fauda, la série du moment 18 Requiem pour Johnny, Le spectacle hommage 21 L’appli du mois 22 Musique 24 High Tech 26 Agenda

MODE, DECO & ART DE VIVRE 31 34 36 46

Kikar Hamedina Les rayures Déco So French, So Food

Crédit photo Felix S

VOS RUBRIQUES 18

Requiem pour Johnny, Le spectacle hommage

15 Juridique par Catherine Meimon Nisenbaum 16 Le Dvar Torah du Rav Prosper Abitbol 38 Santé avec Laurence Nahmani Charbit 42 TipTopTelAviv Junior 50 Recettes

Directrice de la publication : Sandrine Houta Dorf | Rédacteur en chef : Laurent Dorf Publicité : +972 (0)54 2619741 / +972 (0)50 3010445 Graphisme : Yeochoua Allia : jean_a@netvision.net.il Courriel : Contactiptoptlv@gmail.com Couverture : crédit photo : Julien Vallon Bestimage Délai de remise des éléments publicitaires et rédactionnels du numéro de Mars 2018 : 25 Février 2018.

La rédaction décline toute responsabilité d’une part quant au contenu des textes, qui n’engagent que leurs auteurs et d’autre part, des annonces publicitaires (comme la cacherouth des restaurants). La direction se réserve le droit de modifier, réduire les textes proposés. TipTopTelAviv le magazine, n’accorde aucune exclusivité. Les articles et maquettes publicitaires restent la propriété exclusive de TipTopTelAviv et ne peuvent être reproduits d’aucune façon sans accord préalable écrit. Ce magazine contient des enseignements de la Torah. Mettez le dans la Gueniza après lecture et évitez de l’introduire dans les endroits incompatible à son respect.

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TELEVISION

Phénomène télévisé : "Fauda" Ou lʼarrêt dʼun pays entier !

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auda, le plus gros succès populaire de la télévision israélienne, revient pour une deuxième saison très attendue. La série, créée par le journaliste Avi Issacharoff et l’acteur Lior Raz, fut diffusée en février 2015 sur le réseau câblé YES et achetée par Netflix. Une consécration en quelque sorte ! Le succès de la série aux ÉtatsUnis a également conduit Netflix à signer un contrat avec Raz et Issacharoff pour deux autres séries originales.

La saison 2 de Fauda est en cours de diffusion en Israël depuis le 31 décembre 2017, avec toujours les mêmes ingrédients d’action et de tension. Dans la nouvelle saison de nombreux personnages reviennent : Nurit (Rona-Lee Shim’on), Naor (Tsahi Halevi) Herzel (Doron Ben-David), Eli (Yaakov Zada Daniel), Avihai Gaby (Itzik Cohen), Mickey (Yuvalsegal) et Gali (Neta Garty). À ce casting s’ajoute Firas Nassar, le nouveau méchant, membre de Daesh, à la place du Hamas (cf. Saison 1).

La nouvelle saison reprend un an ou deux après la fin de la première et il y a plus d’action dans les cinq premières minutes de la saison deux que dans n’importe quelle autre série actuelle.

Doron ne fait plus parti de l’unité antiterroriste et essaie de mener une vie tranquille dans une ferme du Néguev. Pendant ce temps, Walid (Shadi Mar’i) est devenu le chef de la cellule terroriste autrefois dirigée par l’ennemi juré de Doron, Abu Ahmad.

Alors que Doron ne peut pas rester hors du jeu, Walid doit lutter pour rester au plus haut niveau. Il doit aussi faire face à un défi personnel et a épousé Shirin, sa cousine médecin plus âgée et plus sophistiquée (l’actrice française Laëtitia Eïdo). Shirin était tombé amoureuse de Doron dans la première série et l’a quitté quand elle 6

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a appris sa véritable identité. Ayant besoin d’une protection, elle a accepté la proposition de Walid, mais elle est clairement une épouse réticente.

Gali et Doron se sont séparés et elle a un nouveau petit ami. Naor est toujours dans l’unité, et le reste des membres survivants de la première saison sont également présents. Le nouveau venu dans le casting est Al-Maqdisi (Firas Nassar), le fils de Shiekh Awadalla (Salim Dau), tué dans l’échange de prisonniers lors de la première saison.

Al-Maqdisi est en lien avec Daesh.

Bien que FAUDA soit la série dont tout le monde parle, Israël peut être fier de ses autres fictions qui pour certaines s’exportent ou sont adaptées aux USA: - "Shadow of Truth". Ce documentaire effrayant explore l’affaire du meurtre de Tair Rada, 13 ans, qui a eu lieu dans le nord d’Israël en 2006.

- " In Treatment" évoque la sphère personnelle qui se mélange au monde professionnel dans ce drame télévisé, qui tourne autour de la vie d’un psychologue et ses patients.

- "Otages". Quand une femme chirurgien dévouée, doit opérer le Premier ministre israélien et met sa famille dans une situation dangereuse.

- "Prisonniers de guerre". Connu en Amérique sous le nom de Homeland, la série israélienne originale suit deux soldats qui tentent de s’adapter à la vie civile après avoir été détenus en captivité pendant 17 ans.

Laurent Dorf

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THEATRE

Muriel Robin et Michèle Laroque

à Tel Aviv, dans un spectacle anniversaire où triomphent humour et bonheur !

Crédit photo ©Pascal Victor

Le 28 mars à Tel Aviv, Muriel Robin et Michèle Laroque présenteront pour une soirée exceptionnelle et unique la pièce à succès, actuellement en tournée dans toute la France « Elles s’aiment », créé pour fêter les 20 ans du début de l’aventure.

Les deux comédiennes interprètent avec merveille les sketchs cultes créés par le duo Laroque / Palmade. Après le succès du spectacle anniversaire de Michèle Laroque et Pierre Palmade et la création pour l’occasion de couples inédits avec Muriel Robin, les artistes prolongent l’aventure avec le couple féminin pour quelques représentations exceptionnelles et pour notre plus grand plaisir. Muriel Robin et Michèle Laroque proposent dans cette nouvelle version une sorte de « Best of » des spectacles : Ils s’aiment, Ils se sont aimés et Ils se RE-aiment.

Les comédiennes, complices, partagent les planches dans cette fine sélection de la trilogie. En attendant de les applaudir, elles se confient en exclusivité pour TipTopTelAviv, sur la pièce, le plaisir partagé de jouer ensemble et leur plaisir à venir en Israël.

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INTERVIEWS EXCLUSIVES

MURIEL ROBIN

avis ! Et puis elle est rieuse et drôle. Et un peu barrée tout le temps. Ce qui n’est pas comme moi, qui suit barrée moins souvent mais plus haut ! Je passe de l’autre côté. De je ne sais pas quoi d’ailleurs..!

Vous formez un couple de femme inédit. Et en même temps totalement dans l’air du temps. Comment l’idée est elle venue de revisiter la trilogie, en y ajoutant un couple lesbien ?

Vous allez jouer en Israël pour la première fois. Quelle est votre vision de ce pays ?

MR. Cette idée est venue de Michèle Laroque, qui désirait pour fêter les vingt ans de la trilogie, m’ajouter pour jouer, une fois avec Pierre et une autre fois avec Michèle. Ce qui en donne un couple de femme.

MR. Je suis très attirée depuis toujours par Israël. J’y suis venue il y a trente ans déjà. C’était un voyage très fort. Je n’ai pas d’autres mots à l’esprit que : attirée et fière de venir jouer à Tel Aviv et d’être accueillie dans ce pays. Tout m’y intéresse.

Pensez-vous que ce spectacle peut faire réfléchir le public sur la société multi facettes et l’acceptation de tous ?

MR. Je pense que ceux qui viennent voir ce spectacle ne doivent pas être homophobes (ndlr : rires). On voit bien sur l’affiche que nous sommes deux femmes ! Maintenant ce que l’on peut constater c’est qu’il reste encore beaucoup de choses qui doivent avancer, que l’on doit faire bouger les mentalités. On peut dire, comme on a joué avec le couple mixte et avec le couple de même sexe, que le nombre d’entrées est similaire. Donc restons positifs et disons que cela commence à bouger concernant les femmes, car je pense que ce sont des dossiers assez différents, l’homosexualité entre garçons et entre filles.

Vous mettez en scène et avez co-écrit les textes avec Pierre Palmade et Michèle Laroque. Comment se sont déroulées ces sessions d’écriture ?

MR. Comme toujours avec Pierre, vite. On écrit un tableau en une après-midi dans une sorte, oserais-je le dire, de transe ou d’état très particulier. On s’enferme dans un endroit et généralement au bout de deux jours on a tout. On se fait rire l’un l’autre et ces rires on les retrouve dans la salle avec le public.

Si vous deviez définir et décrire en quelques phrases Michèle Laroque, que diriez-vous ?

MR. Lorsque je pense à Michèle, je vois quelque chose de constant. Ce n’est pas une personne qui a des hauts et des bas.

C’est très agréable évidemment, même si on se demande ce qu’il y a derrière... Cela crée une curiosité qui ne sera pas assouvie à mon

MICHELE LAROQUE Dans cette pièce que vous allez jouer à Tel Aviv, il y a toute la gamme des sentiments. Après Pierre Palmade, comment vit-on le jeu avec Muriel Robin ?

ML. J’ai joué cette pièce depuis presque vingt ans et c’est vrai que j’adore les situations et j’adorais la jouer avec Pierre. C’est aussi un grand bonheur de la jouer avec Muriel. Mais ce qui nous cueille c’est souvent la façon dont c’est écrit parce qu’on joue de tout notre cœur.

Vous allez tourner le film, Mariage pour toutes, tiré de ce spectacle. Pouvezvous déjà nous en dire quelques mots ?

ML. On a eu envie de l’écrire à partir du moment où a joué ensemble sur scène avec Muriel Suite en page 10

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et que l’on a vu l’énergie qui se dégageait. Benjamin Morgaine et Lionel Dutemple, qui étaient aussi les co-auteurs de mon premier film « Brillantissime », qui est numéro un au box-office en France, sont aussi sur l’écriture de « Mariage pour toutes ». Le film parle d’un couple de filles qui se cachent un peu. L’une a divorcé et est maman d’une fille. Elle a du mal à assumer sa situation personnelle face à sa famille. C’est une comédie tendre et parfois avec de l’émotion, comme on les aime avec Muriel.

Fin mars 2018 vous allez jouer pour la première fois en Israël. Connaissez-vous le pays et comment allez-vous aborder cette date ?

ML. Je suis très heureuse et émue de me rendre en Israël, car c’est la première fois que je vais venir sur cette terre. J’ai très envie de connaître et de découvrir ce pays. On m’en a beaucoup parlé évidemment. J’ai beaucoup d’ami(e)s qui y vont régulièrement. Ca va être un grand moment d’émotions sur scène, même si on va tout faire pour faire rire le public des francophones israéliens.

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Que diriez-vous de votre partenaire de scène, Muriel Robin que vous connaissez si bien ?

ML. C’est une petite fille de trois ans lorsqu’elle est sur scène ! Parce que tout d’un coup nous redevenons deux enfants qui jouent aux grandes sur scène.

Laurent Dorf Remerciements particuliers à Laurie Bendenoun et Dan Lewkowicz

Réservations : TipTopTelAviv.com – Livestage.show – Tél :03-9664108 Auditorium Smolarz - Tel Aviv University porte 4 38 rehov Docteur George Wise.

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Le billet d'Art de Philippe Cohen ©Flavien Prioreau pour Artcurial

Miri Segal : le spectateur au cœur de l’œuvre Après avoir obtenu un doctorat en mathématiques à l’université de Jérusalem, Miri Segal (née en 1965) poursuit une formation en arts visuels à l’Art Institute de San Francisco.

C’est une artiste phare de la scène artistique israélienne et chaque proposition est une interrogation de notre rapport à l’espace et au temps, à la fixité comme au mouvement.

Elle sera à l’honneur au Musée d’Art Contemporain d’Herzliya à partir du 24 février en présentant son nouveau projet expérimental, Miri Segal : Miriage

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n retrouve souvent, dans son travail, sa relation aux mathématiques, discipline dont elle a hérité le goût pour les mécanismes de la perception et de la construction des illusions qui stimulent les sens. Ainsi, son médium privilégié est moins la vidéo que l’image projetée, qui donne une présence physique aux images et permet d’intégrer le corps de l’observateur au cœur du champ de projection. Comme l’a écrit Diana Gilerman à propos des travaux de l’artiste (Vidéo Art, juillet 2003), “le spectateur devient à part entière une pièce du dispositif tout en restant averti de son statut d’observateur, d’outsider”.

Elle élabore des installations vidéo, des photographies et des objets, qui engagent le visiteur dans un processus de remise en question de ce qui lui est donné à voir. Les œuvres de Segal sont à la fois succinctement descriptives et explorent les limites de la conscience, reflétant son intérêt pour les questions philosophiques sur l’existence et l’éthique technologique.

BRB (be right back) Machinima Documentary shot in Second Life, 2007, 30 min 12

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Don’t Be Evil 2010, Lettres en aluminium coloré, découpe au laser 17.5 x 130 x 5 cm

Aya Lurie, directrice du musée et commissaire de l’exposition, a sélectionné parmi les œuvres de l’artiste, de 1998 à nos jours, celles qui interagissent de diverses manières et offrent les clés du langage artistique de Miri Segal tel qu’il s’est cristallisé au cours des vingt dernières années.

Don’t Be Evil (2011), aux couleurs de Google, est l’inscription murale qui accueille les visiteurs de l’exposition. C’est une référence sarcastique de Segal à la devise du code de conduite de Google, qui a cherché pendant longtemps à se définir comme une société accessible, ouverte, libre et égalitaire - et donc morale ; une devise qui a sonné faux une fois que l’entreprise a accaparé le marché dans le domaine de la publicité sur internet. Ironiquement, ce travail de Miri Segal a lui-même été approprié des douzaines de fois par divers médias du monde entier (sans crédit à l’artiste) pour illustrer les défis éthiques dans le monde actuel.

ART Future Perfect Collaboration avec Or Even Tov 2010, Miroir en plexiglass, découpe laser et impression numérique

Au cœur de la nouvelle exposition de Miri Segal au Musée d’Herzliya, se trouve un nouveau projet essentiellement expérimental Crushed Spirits : Miro and Yoni are Dead. Les spectateurs sont invités à entrer dans un espace sombre. Ils observent et participent à une représentation théâtrale projetée sur un grand écran et présentée comme si elle était encore au stade de la répétition et de l’improvisation. C’est un travail de réflexion qui fait allusion à l’acte artistique lui-même.

Le travail de Miri Segal utilise les technologies de pointe, et parallèlement l’artiste est farouchement critique à leur égard. Ses œuvres produisent de l’émotion et le spectateur est souvent au cœur de ses créations. Lorsque l’on sort d’une de ses expositions, loin de la surtechnologie, c’est la portée artistique de ses œuvres que l’on emporte avec nous.

Miri Segal: Miriage à partir du 24 février 2018 Musée d’Art Contemporain d’Herzliya - http://www.herzliyamuseum.co.il/ Février 2018

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TRANSMISSION

YYad Vashem, dernières lettres de la shoah

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ad Vashem a célébré la récente Journée internationale du souvenir de l’Holocauste 2018, en proposant une nouvelle exposition en ligne intitulée : « Nous nous reverrons et serons heureux : dernières lettres de l’Holocauste, 1941-1942. Nous serons alors de nouveau réunis et heureux ». Cette exposition en ligne présente une sélection des derniers messages reçus par des proches de victimes de l’Holocauste, capturés dans l’enfer de l’Europe au cours des premières années de la Seconde Guerre mondiale. Les Juifs ont commencé à être cruellement persécutés: dépouillement des droits, dépossession, abus, humiliation et famine, puis en juin 1941 l’extermination calculée, systématique et totale du peuple juif, qui a conduit à la perte de six millions de vies juives à la fin de la guerre.

Les lettres affichées provenaient de France, d’Allemagne, d’Autriche, de Biélorussie, de Lettonie, des Pays-Bas, de Pologne, de Roumanie, d’Ukraine et de Yougoslavie et étaient rédigées en plusieurs langues, notamment en français, allemand, yiddish, polonais et hébreu. Certaines lettres ont été envoyées vers des destinations en dehors de l’Europe et ont donc été conservées. Dans ces écrits, les auteurs - mères, pères, 14

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et mêmes enfants - expriment leur espoir de retrouver un jour leurs êtres chers, de survivre et de vivre pleinement leur vie.

L’exposition est complétée par les histoires de fond des victimes, des photographies et d’autres documents authentiques.

Chaque lettre et carte postale, un petit nombre de milliers de lettres dans les archives de Yad Vashem, révèle le dernier fragment - physique, personnel et unique - des victimes : leur écriture. Les parents ont donné ces souvenirs précieux à Yad Vashem pour la perpétuité, avec des photographies de leurs proches.

Laurent Dorf Visitez le site : www.yadvashem.org/yv/fr/expositions/ dernieres-lettres/index.asp

JURIDIQUE

Victime en Israël, sraël, meilleure indemnisation en France Catherine MEIMON NISENBAUM, est avocat spécialisé réputé en droit du dommage corporel et en droit des assurances en France depuis plus de 25 ans.

Elle est l’auteur de l’article :"VICTIME EN ISRAEL, INDEMNISATION EN FRANCE", destiné aux Français qui vivent ou non en Israël, les Olim francophones et leurs enfants, qui sont victimes d’un accident corporel grave en Israël (accident de la route, infraction ou attentat) et qui peuvent être indemnisés beaucoup mieux en France qu’en Israël.

Pourquoi être indemniser en France ?

(L’ indemnisation peut être multipliée par plus de 2,5) c’est pourquoi les victimes de nationalité Française, les Olim francophones et leurs enfants ont intérêts quand elles le peuvent d’être indemnisées en France devant la Commission l’indemnisation des victimes d’infraction plutôt que de solliciter une réparation bien moindre en Israël.

Un handicap grave entraîne un coût financier très important pour permettre de vivre en toute sécurité et dans la dignité.

Cette indemnisation doit être la plus élevée possible pour assurer l’avenir des personnes gravement handicapées.

Que faire pour connaitre vos droits?

Cet article est diffusé sur le site internet http://www.avocat. elkyess.com de son confrère Maître Yael ELKYESS DRAÏ, avocat franco Israélien, du barreau de Netanya qui est son correspondant en Israël.

Maître Yael ELKYESS DRAÏ, Cabinet à Netanya : Kikar Haatsmaout 14.

Cabinet à Tel Aviv: Museum Tower, Rehov Berkovitch 4 Tél : 0546871047.

Maître MEIMON NISENBAUM défend exclusivement les victimes de dommage corporel grave. Son site internet très visité qui existe depuis plus de 16 ans relate les procès et articles concernant la réparation du préjudice corporel : http://www.meimonnisenbaum.com

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TORAH

Fake news et Fake Histoire de Cananéens...

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ernièrement, les dirigeants palestiniens ont rappelé à ceux qui voudraient les croire qu’ils seraient des descendants des Cananéens. Et ce n’est pas parce que ce faux récit "biblique" ne cesse de se répéter, que le mensonge devient vérité. Ces informations délibérément fausses et truquées voient le jour uniquement pour mieux influencer et berner les citoyens du monde. Les leaders arabes qui lient leurs origines Palestiniennes à l’Egypte et à la péninsule arabique tendent à l’opinion publique un piège apocryphe c’est-àdire l’a posteriori d’une histoire palestinienne inventée qui réécrit le passé selon les règles et les intentions de son présent.

Le but du récit "Cananéen", est la manipulation des esprits, selon une logique de propagande et de falsification de l’Histoire. Le récit belliqueux ne sert pas d’arbre généalogique de la pseudo ascendance des Palestiniens, mais sert de "fake news" ou plutôt de "fake histoire" aux parfaits négationnistes post shoah pour nier le récit des Juifs. Ce déni total de l’histoire juive trouve des échos dans le refus de reconnaître toute connexion du peuple juif avec Jérusalem capital éternelle du peuple juif. C’est avec ce récit Cananéen de mensonge par mythification et omission que l’on vote des résolutions honteuses à l’ONU à l’UNESCO ou aux instances européennes.

Israël a toujours fait face à l’imposture de ses ennemis, c’est-à-dire la construction délibérée d’un faux comme "Les Protocoles des Sages de Sion" qui en fait sont et restent le décalque antisémite d’un ouvrage antérieur sur "Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu ou la politique au XIXème siècle (1864)" qui met en scène le complot de Napoléon III pour dominer le monde.

Rachi dans son commentaire sur le livre de la Genèse cite un midrash Tan ‘Houma : "Rabbi Yits’hak dit : La Torah aurait dû commencer (Exode chap. 1) : "Ce mois-ci est pour vous le premier des mois", puisque c’est la première mitsva prescrite au peuple d’Israël. Pourquoi débuter avec Berechit ? D.ieu fait connaître à son peuple la puissance de Ses œuvres, afin de lui donner l’héritage des nations. Psaumes. Si les peuples du monde venaient à dire à Israël : Vous êtes des voleurs, c’est par la violence que vous avez conquis les terres des sept nations, on leur répondrait : Toute la terre appartient au Saint béni soit-Il. C’est Lui qui l’a créée et Il l’a donnée à qui bon Lui semble. Par un acte de Sa volonté ; Il l’a donnée à ces peuples, et par un acte de Sa volonté, Il l’a reprise pour nous la donner à nous."

Dans un autre midrash Raba rapporté par le rabbin philosophe et kabbaliste Moïse Nahmanide du 13eme siècle (Ramban) il y a un 16

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ajout significatif qui propose une double réponse à apporter à nos détracteurs : Une première historico-politique : "Vous êtes vousmêmes des voleurs et des pilleurs de territoires !" Les Amorrites et les Cananéens, les Gaulois, les Grecs, les Allemands, les Hongrois, les Turcs, les Ukrainiens et tant d’autres pays ou États aujourd’hui disparus que ce soit à la suite de conquête, absorption, fusion ou scission. De fait on ne trouve pas de mention à la lettre P. une tribu palestinienne qui s’identifie par ses racines au pays de Canaan. Rien n’est répertorié avant Israël dans les dictionnaires des chroniques de l’Humanité. Jamais signalé avant le retour de Sion cette population dans son ensemble n’était pas là "depuis toujours".

La deuxième réponse relève du religieux et donc de la foi. Elle s’adresse aussi bien à ceux qui crient haut et fort que D.ieu est Grand qu’ à ceux qui sans bruit se soumettent à Lui "C’est Lui qui l’a créée cette terre et c’est Lui qui l’a donnée à qui bon Lui semble. !"

Nietzsche dans sa Seconde considération inactuelle (§4), a écrit que "tout homme, tout peuple a besoin selon ses buts, ses forces, ses manques, de posséder une certaine connaissance du passé".

Ce besoin d’histoire est légitime pour ceux qui tentent en toute honnêteté de reconstruire le cours des événements humains. Mais la fin ne justifie jamais des moyens condamnables, pour réussir à atteindre son but. Dans les Proverbes Ch.12 v.19 le roi Salomon nous apprend que "La vérité est éternelle ; le mensonge dure un clin d’œil."

Nos cousins arabes descendants d’Abraham seraient plus audibles et surtout plus crédibles s’ils s’éloignaient de la fake histoire d’une rhétorique islamiste qui trompe une fois encore leur propre peuple et s’ils choisissaient un narratif fondé sur la vérité qui ne nie en rien celui de l’existence du peuple juif sur sa Terre ancestrale.

Si tous les fils d’Abraham s’entendaient pour transmettre le sens universel du message divin de l’Exode Ch.23 v.7, "Fuis la parole de mensonge et ne frappe point de mort celui qui est innocent et juste, car je n’absoudrais point le prévaricateur." Ainsi la société humaine serait enfin immunisée contre le fléau du racisme et de l’antisémitisme même quand celui-ci se cache derrière l’antisionisme.

Prosper Abraham ABITBOL Kehila francophone Torat Moshe Tel Aviv Conferences du rav tous les chabbat matins à 10h50 Beth Hahayal Weizman 58 Tel Aviv Abitbolcenter@gmail.com

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L'HOMMAGE A JOHNNY

Toute la musique quʼils aiment !

Daniel Kazado est à l’initiative d’un spectacle hommage à Johnny Hallyday, qui se déroulera le 22 mars prochain à Tel Aviv "Requiem pour Johnny" - La véritable histoire de Johnny Hallyday avec à la direction musicale et artistique Yves Galula du collectif « Paris Tel Aviv Music ».

Ensemble, le temps d’une soirée qui mélangera images d’archives, interviews, anecdotes et bien entendu musique Live, chacun pourra découvrir ou redécouvrir le meilleur de Johnny et vibrer durant deux heures.

Une date à noter dans vos agendas. Une soirée exceptionnelle en émotions.

Johnny Hallyday et vous Daniel Kazado, c’est une longue histoire ?

Daniel Kazado. La première fois que je l’ai vu, j’avais onze ans et c’était au Palais des sports de Lyon. C’était mon premier concert et à cet âge là, voir Johnny ça rentre dans la tête, surtout lorsqu’il a chanté « requiem pour un fou ». J’ai chanté du Johnny par la suite notamment dans le groupe « The Burning Foot » que j’ai créé en Israël. De plus, il y a quelques années, j’ai eu la chance de chanter deux de ses plus grands succès lors d’une soirée artistique au Bataclan à Paris.

Je suis hyper fan de l’homme tout autant que de l’artiste.

Johnny a survécu tellement de fois, alors qu’il était proche de mourir, que j’ai eu du mal à croire que cette fois-ci il etait bien parti.

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Daniel Kazado Pour réussir à créer artistiquement ce spectacle, j’ai tout de suite pensé à Yves Galula de « ParisTelAvivMusic » qui a de nombreux spectacles musicaux à son actif.

Et en ce qui vous concerne Yves, quel était votre relation à Johnny Hallyday ?

Yves Galula. J’ai joué lors d’une soirée il y a presque deux ans, dans laquelle Daniel a chanté du Johnny. En l’écoutant, je me suis dit qu’il avait vraiment de la voix et une belle énergie. J’ai réalisé aussi qu’il maîtrisait parfaitement son répertoire et qu’il est probablement un des rares à pouvoir le faire en Israël avec autant de passion, de puissance et d’authenticité. Ce n’était pourtant pas mon style de musique, à la base, Johnny ne m’intéressait pas. Mais lorsqu’il est mort, j’ai réalisé que même sans le « voir » il avait accompagné nos vies,

L'HOMMAGE A JOHNNY

midable, je ne vous oublierai jamais, ». On va montrer que nous non plus, on ne l’oubliera jamais.

Qu’allons-nous voir et entendre sur scène ?

YG. Ce spectacle raconte la vie de Johnny. On va donner aux spectateurs le plaisir de réécouter en « Live » vingt des meilleures chansons de l’artiste, de se replonger dans sa vie et de decouvrir la face cachée de l’ « humain » qu’il etait, avec des vidéos qui vont nous transporter sur plusieurs décennies. C’est donc un spectacle musical et cinematographique avec près de dix musiciens et choristes sur scène et de courtes vidéos trés pertinentes que je suis en train de trier parmi plusieurs dizaines d’heures de documents, qui viendront ponctuer la soirée dans un ordre chronologique et narratif. Les vidéos originales introduiront les séries de chansons qui suivront. Je tiens à préciser qu’en aucun cas Daniel Kazado va imiter Johnny Hallyday, et on va tout faire pour que non seulement les fans, mais aussi ceux qui ont récemment découvert la musique de Johnny, partent de la salle en se disant qu’ils ont passé un super moment, qu’ils ont appris des choses et decouvert une facette de sa personnalité qu’ils ne connaissaient pas.

Yves Galula à tous, nous les francophones.Quelque chose m’a touché, surtout en voyant la mobilisation de ces millions de personnes. J’ai commencé à regarder des émissions sur lui et j’avoue avoir été charmé autant par l’homme, sa personalité, son professionalisme, que par sa propre histoire. Maintenant je peux le dire, je suis devenu fan de Johnny Hallyday !

Quel a été le déclencheur de ce spectacle ?

DK. Je n’aurais jamais eu l’idée de faire cet hommage à Johnny s’il n’était pas venu en Israël en octobre 2012. A travers l’hommage que nous allons lui rendre, on va le remercier pour la belle image d’Israël qu’il a emmenée avec lui à son retour. Parce que Johnny Hallyday ne s’est pas contenté de venir chanter, il a visité, a parlé en bien d’Israël. On a tous en mémoire ces photos au Kotel, et cette phrase prononcée à la fin du concert, lorsqu’il a dit « Vous êtes un peuple for-

Daniel, vous allez donc interpréter Johnny, quel challenge et on imagine votre préparation...

DK. Je travaille beaucoup ma voix, à l’aide d’une coach scénique, Elysabeth Kedem, et Underground Music est mon coach vocal. J’ai aussi repris le footing (lol).

Mais en fait ma voix est un outil pour faire que les gens puissent communier ensemble en se souvenant de la carrière de l’artiste extraordinaire qu’il fût. Mais cela se fera avec toute l’humilité et le respect que l’on doit à cette icône de la chanson française. Johnny, c’est la bande son de notre enfance, de notre adolescence.

Même quelqu’un qui n’était pas fan est capable de citer au moins deux ou trois titres de son répertoire. Il est entré dans le patrimoine culturel de la scène française.

Suite page 20 Février 2018

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L'HOMMAGE A JOHNNY

Et selon vous, qu’est-ce qui serait le plus important durant ce spectacle ?

DK. Le jour de ses obsèques où un million de personnes se sont retrouvées dans la rue, tous les musiciens ont joué les chansons de Johnny et ce sont les gens dans la rue qui chantaient. Le micro était là, mais évidemment personne devant. On va espérer arriver à ce même partage afin que la salle tout entière chante avec nous. C’est notre objectif !

Au-delà des surprises prévues, vous avez obtenu la participation de Francky Perez. Quel sera son rôle ?

DK. C’est avant tout un ami que tout le monde connaît. Il habite à Los Angeles, et il a eu le bonheur et la chance de côtoyer d’un point de vue professionnel en tant que bras droit de Johnny Hallyday pendant plusieurs mois. Il s’occupait de toutes ses affaires aussi bien au niveau familial, financier, qu’artistique. Il m’a raconté un tas d’anecdotes sur Johnny. Alors lorsque nous avons avec Yves développé l’idée de cet hommage, je lui ai immédiatement parlé de Francky. Car pour moi il ne pouvait y avoir qu’un seul narrateur, capable non seulement de raconter et de faire vivre aux spectateurs la vie de Johnny. Francky Perez nous fera l’honneur d’être « la voix off » du biopic.

Daniel quel message aimeriez-vous faire passer ?

DK. Johnny était un chanteur populaire et il s’est toujours débrouillé pour faire de très gros spectacles à des prix abordables.

On a voulu respecter la mémoire de Johnny en faisant malgré nos coûts de production, un prix allant de 100 Nis à 195 Nis. J’encourage aussi vivement chaque spectateur francophone qui viendra voir le spectacle, à informer ses amis israéliens. Lors de la mort de Johnny, la presse israélienne a largement fait l’écho de ses obsèques. Je trouverai cela très sympathique de faire découvrir sa musique aux israéliens. Venez en famille, avec vos enfants, car Johnny nous touche tous et on se souviendra de lui très longtemps.

Laurent Dorf

Le spectacle sera présenté dans une des plus belles salles de Tel Aviv. C’était important ?

DK. Le « Grand City Hall » du complexe « Cinema City » de Glilot est aussi grande que belle ! Il y a un confort sonore et visuel qui est équivalent à la salle Pleyel de Paris. C’est un écrin. Tous les grands artistes israéliens aiment à s’y produire. Mais ce qui fait aussi sa spécificité c’est que c’est également une salle moderne avec un équipement cinématographique adapté. On va mettre des moyens techniques importants au niveau son et lumière pour que ce spectacle soit à la hauteur de l’artiste qu’était Johnny Hallyday. Il serait là, il n’aurait pas honte de ce que les spectateurs vont découvrir. J’aimerai préciser que le lieu se situe entre Herzlyah et Tel Aviv, dans un complexe qui permet de se garer gratuitement, de dîner et d’être accessible par « monit sherout » très facilement. Tout a été pensé pour que le spectateur passe une très belle soirée. Le 22 mars tombe un jeudi soir, quelques jours avant les vacances de Pessah. Enfin, tout ceci n’aurait pas été possible sans l’aide de Raphaël Elbaz, connu pour proposer de grands films américains en français à travers sa société « Century Max Studios ». Il est le coproducteur du spectacle et nous apporte un soutien important à tous les niveaux.

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Février 2018

Réservations : centurymax-studios.com ou 1-700 550 250 Jeudi 22 Mars Grand City Hall, Cinema City Glilot Tel Aviv

NOUVEAUTE

L'application du mois

D

epuis des années le niveau de français, culture générale et mathématiques, chez nos enfants est en baisse. Ce qui peut-être encore plus le cas lors de la montée en Israël et la perte du français, notamment en ce qui concerne les plus jeunes.

Une application ludique et gratuite vient de se faire remarquer. Sous forme de quiz "1001 lettres" propose différents thèmes, allant de la logique à la mémoire, de se familiariser avec les fractions, de comprendre les nombres relatifs, de conjuguer les verbes ou de savoir accorder les participes passés. La culture générale propose de l’histoire et de la géographie, des sports, de l’art et de la culture. 1001 Lettres by Opcalia est une application permettant de redécouvrir, de nombreuses bases de connaissances.

A titre professionnel cette application peut donner à certains une possibilité de s’engager dans des parcours professionnels qualifiants, nécessitant la maîtrise des savoirs fondamentaux ou de se donner la possibilité d’accéder à des concours administratifs.

A titre personnel, elle permettra de faciliter certaines situations du quotidien : rédiger un e-mail, converser avec sa banque, faire ses comptes, accompagner les devoirs de ses enfants, etc.

Vous souhaitez entrer dans une démarche de changement ? Réviser des savoirs oubliés ? Augmenter votre autonomie, votre adaptabilité et votre polyvalence pour répondre à des nécessités professionnelles ?

1001 Lettres vous permet de consolider des savoirs fondamentaux grâce à un programme de formation comprenant : • Un parcours Logique & Mémoire basé sur un entraînement cognitif pour s’échauffer avant de commencer les autres parcours.

• Un parcours "Chiffres" portant sur les connaissances de base des mathématiques.

• Un parcours "Lettres" portant sur les connaissances de base des règles du français.

• un parcours "Culture G" portant sur des thèmes classiques de culture générale pour mieux appréhender le monde.

L’apprentissage des savoirs s’organise autour d’une progression douce des difficultés : modules après modules, chapitres après chapitres.

Une fois l’application téléchargée, les premiers quiz commencent. Si des lacunes sont rencontrées les cours animés entrent en jeu afin d’y remédier. L’objectif ? Collecter un maximum d’étoiles représentant les quiz réussis, validant ainsi vos acquis.

1001 Lettres c’est 4 parcours de formations répartis en 38 modules, 1550 quiz et 128 cours animés. Une application que nous vous recommandons d’installer sur les tablettes ou smartphones de vos enfants, mais aussi des vôtres.

Laurent Dorf Février 2018

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LE TOP DES ARTISTES ISRAELIENS

MUSIC

TipTopTelAviv vous présente les artistes les plus programmés sur les radios en Israël.

Découvrez-les aussi sur YouTube, et devenez incollables sur les stars du moment.

Amir Dadon

Troisième album oté d’une grande voix et d’une série de tubes, Amir Dadon s’est fait un nom dans le paysage musical israélien en moins de dix ans. Il s’est établit comme interprète, producteur et compositeur en collaborant avec des artistes tels que Idan Raichel, Shlomo Artzi, Rita. Depuis Août 2016 Dadon jouer le rôle principal (Jean Valjean) dans "Les Misérables " (Théâtre Habima).

D

Adi Olmansky

a publié un single extrait de son premier album. Bombs Away, une chanson qui a reçu un accueil exceptionnel avec plus de 100 000 vues sur Youtube.

Guy Mentsh et Yael Doron David Bar David

est en préparation de son premier album, dont 2 singles ont déjà été publiés, "Flowers in your mouth" et "Your Song". Un artiste prometteur que l’on entendre, on le parie longtemps !

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Février 2018

le duo de chanteurs-créateurs, se sont imposés comme l’un des duos les plus réussis en Israël ces dernières années.

Ils ont remporté le prix ACUM Découverte de l’année, ont reçu d’excellentes critiques, et tous les billets pour leurs spectacles à travers le pays ont été vendus à l’avance. Deux ans après leur dernier album ils sortent leur quatrième disque.

Far Tassi

lauréat du prix ACUM, propose un nouvel album, "Black or White", avec 16 nouvelles chansons. Près de 100 000 exemplaires en trois albums, des concerts géants dans le monde entier (Madison Square Garden à New York, et à Paris), vainqueur de la chanson Prix ACUM de l’année (2016). Il est l’un des chanteurs et compositeurs les plus aimés en Israël.

Par Laurent Dorf

PAS DE PORTE A CEDER

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HIGH TECH

Le

CES 2018 de Las Vegas par Laurent Dorf

Le temple de l’électronique dans la ville gadget, c’est le terrain de jeu des Geek et des sociétés spécialisées dans la haute technologie. Cette année encore le CES de Las Vegas va changer nos vies et notre futur. Les temps forts en deux pages !

Plus les téléviseurs sont fins, plus leur 5 qualité sonore est mauvaise, la faute au manque d’espace pour y placer des hautparleurs dignes de ce nom. Au petit jeu de l’innovation, Sony marque des points

en proposant une barre de son compatible avec le procédé Dolby Atmos, déjà présent dans certaines salles

de cinéma. Le principe est d’ajouter une dose de verticalité à un classique système 3.1.

Les spectateurs pourront alors ressentir le son venir du plafond grâce à sa réflexion sur le plafond.

Malgré une rude concurrence, notamment 5 Samsung, voilà certainement le téléviseur

de le plus impressionnant de ce salon. Par sa taille évidemment, par la technologie de sa dalle aussi, par sa définition également, mais surtout par la combinaison des trois. Quand un téléviseur 4K plafonne à l’affichage de 8 mégapixels, ce modèle 8K

monte jusqu’à plus de 33 mégapixels. LG donne le ton des années à venir.

Avec seulement 9 millimètres d’épaisseur, c’est le PC le plus fin du moment. Malgré sa finesse, le Swift 7 d’Acer propose toutefois une architecture qui tient la route : écran Full HD 14 pouces, Core i7 de septième génération, 8 Go de RAM, SSD de 256 Go et modem 4G eSIM signé Intel.

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HIGH TECH

5

Le Kaby Lake-G

est désormais une réalité. Voir Intel et AMD s’allier sur un même processeur est un évènement en soi.

Voir ce que permet cette puce est encore plus excitant. Grâce à ces puces, la nouvelle version des NUC permet d’utiliser ce PC de poche aussi pour profiter de ses jeux, en 1080p à 60 images/seconde sur le papier.

5

Le

Galaxy A8 est un milieu de gamme de Samsung, très populaire, qui risque à nouveau de toucher juste sur un marché où les prix des smartphones haut de gamme s’envolent.

5

Avec cette nouvelle version, HTC veut encore améliorer

marché.

le meilleur casque VR du

Il a pour cela choisi un écran de meilleure qualité muni d’une définition de 615 pixels par pouces. Un module permettant de l’utiliser enfin sans fil a également été présenté pour une disponibilité en fin d’année.

5

Jusqu’à présent, les clés USB dépassant le téraoctet étaient encore encombrantes et n’affichaient pas vraiment un design compact.

Avec ce modèle SanDisk rentre dans le rang et propose un boîtier enfin équivalent aux modèles traditionnels.

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AGENDA

Dès le 8 février

HAIRSPRAY The Musical

Les 25,26,27 et 28 février à 20h.

Les Misérables

Cinema City Glilot Tel Aviv

eventim.co.il

8 février 2018 à 21h

Renaud Hantson Classic Rock Tribute à The Zone 13 rehov Ha-Rekhev - Tel Aviv

Théâtre Habima Tel Aviv

leaan.co.il

13 mars 2018

Shiri Maimon Heichal Hatarbut Tel Aviv

www.zappa-club.co.il

eventbrite.com | 053-708 4858

14 au 17/2/2018

Sarit Haddad HANGAR 11

2207.kupat.co.il | *2207

22 mars - 20h30

Requiem pour Johnny

Grand City Hall - Tel Aviv Glilot

14 février 2018

Miri Messika

Heichal hatarbut Tel Aviv à 21h

Zappa.co.il

19 février 2018

Judith Mergui "Vous auriez pu me prévenir"

au Tzavta Tel Aviv

Réservations sur judithmergui.com

www.centurymax-studio.com 1 700 550 250

28 Mars 2018

Muriel Robin et Michèle Laroque "Elles s’aiment" dans Auditorium Smolarz

Réserv. (avec assurance annulation pour réserver en toute tranquillité) livestage.show ou 03 966 41 08 tiptoptelaviv.com

1-2-3-4 avril à 20h

Whitney Houston Show Heichal Hatarbut Tel Aviv

leaan.co.il 26

Février 2018

Retrouvez plus d’événements sur tiptoptlelaviv.com et sur notre page Facebook

AGENDA

2 mai 2018

21 juin 2018 à 21h

Leib Park - Rishon Le Tsion

Ganei ATaharoukha Tel Aviv.

a-ha

Jamiroquai www.jamiroquai.co.il

eventim.co.il

23 Juin 2018 à 21 h

RINGO STARR

5 mai 2018

Heichal Hatarbut Tel Aviv

Foreigner

*2207 ou kupat.co.il

A 21h au Menora Mivtachim Arena Tel Aviv

eventim.co.il

Crédit photo Ovlac

10 avril 2018 au Théâtre Gesher Tel Aviv

16 mai 2018 à 19h

RagʼnʼBone Man

Menorah Mivtachim Arena Tel Aviv |

Elie Chouraqui met en scène une nouvelle pièce de théâtre originale :"MIROIRS". www.tmisrael.co.il

26 mai 2018

Enrico Macias

A 21h au Heichal Hatarbut Tel Aviv | leaan.co.il

Ce sera incontestablement l’un des évènements culturels les plus importants de ce printemps en Israel. Le célèbre metteur en scène, cinéaste et aujourd’hui, interviewer sur i24 News prépare dans la plus grande discrétion, une nouvelle pièce de théâtre sur le thème du préjudice et de sa réparation dans l’environnement du monde de l’art et des œuvres cotées.

Pour Elie Chouraqui, «C’est une pièce qui décrit parfaitement les ambiguïtés de la société dans laquelle nous vivons au quotidien au travers du monde de l’art. En lisant la pièce de Bernard Bitan j’ai été aussi ému et j’ai beaucoup ri ! » Il retrouve une partie de la troupe qui avait fait merveille et salles combles l’année dernière dans la pièce « Le Prénom » d’Alexandre De La Patellière et Matthieu Delaporte, dont le duo Marco Gaon et Bernard Bitan, auteur de la pièce.

La pièce a déjà prévu de se jouer en France, mais c’est bel et bien le public francophone Israélien qui en aura la primeur.

Réservations prochainement sur TipTopTelAviv.com.

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SPECTACLE

JUDITH MERGUI Vous auriez pu me prévenir !

A

près plus de dix ans en Israël te sens-tu plus israélienne que française ?

Judith Mergui : Je me sens vraiment franco-israélienne, c’està-dire que lorsque je suis en Israël je critique ce que font les israéliens et inversement lorsque je me trouve en France. Ce qui est certain, c’est que je ne me verrai pas quitter Israël.

Tu aimes ce pays plus que tout comme tu le dis souvent. Tu vis à Tel Aviv. Quels sont tes lieux préférés, le café où l’on peut te croiser ? Le restaurant que tu aimes recommander à tes amis ?

JM : C’est une ville qui mixe des énergies totalement différentes, et les lieux que j’aime sont à cette image. Je commence par le petit-déjeuner ou brunch à l’israélienne chez Delicatessen sur la rue Yehuda Halevy. J’aime bien ces brunchs où ils t’apportent tellement d’aliments que tu as l’impression que les trois repas de la journée sont servis en un seul ! J’adore aussi l’ambiance du Shouk HaCarmel où tu peux t’arrêter pour manger chez Shmouel, l’adresse incontournable pour le meilleur Kebab et kefta de la ville. Le soir direction le Pundak Deluxe à Yaffo, par contre à tous vos lecteurs s’ils vont jusqu’au bout de ma réponse, ils auront déjà pris douze kilos !

Es-tu très curieuse de cette vie à Tel Aviv depuis onze ans que tu y vis ?

JM : Complètement. J’aime observer les gens toute la journée et en même temps un humoriste, te répondra à Paris qu’il exagère ce qu’il voit. Or ici, c’est l’inverse ! Un jour, mon frère m’a dit : « Normalement un spectacle, c’est la caricature de la réalité, toi Israël, c’est la caricature de ton spectacle Inch’Alyah ». C’està-dire qu’ici pour écrire mes vannes, je suis presque obligée d’adoucir ce que je vois dans rue, car si je racontais les choses telles que je les vois, on ne me croirait pas.

Tu as fait un passage remarqué dans la série tv israélienne Zaguri. Le cinéma et la télévision ne te manquent pas ?

JM : Ce qui me manque le plus c’est le travail d’équipe. Dans le milieu du « one man », on se retrouve beaucoup plus seul.

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Dans ton spectacle actuel, tu évoques le Top 10 des grands moments de la vie. Quel est l’un des plus importants à tes yeux ?

JM : Très clairement, sans être très originale, c’est vrai que mon mariage a été un grand moment ultra-positif de ma vie. Et puis mes premiers moments sur scène sont des moments que je n’oublierai jamais.

A propos de ce nouveau « one woman », qu’est ce qui a été le déclencheur, l’idée de départ ?

JM : J’ai été marqué d’une vie chargée en émotion et finalement rien ne s’est passé comme prévu. C’est cela que l’on va un peu retrouver dans mon nouveau spectacle. J’essaie d’expliquer que ma vie n’a rien eue de linéaire, et je suis sûre que celle du public présent non plus. Pourtant, on s’entendra dire à nos enfants :

SPECTACLE

"Passe ton bac, trouve le prince ou la princesse et mari toi » et on reproduit de génération en génération cette même pression sur les épaules de nos enfants, pour qu’ils vivent cette vie linéaire, qui ne le sera pas pour eux non plus. Ce classement des dix moments marquants, il existe finalement au fond de chacun, qu’il soit Juif, Chrétien ou Musulman. Prenez dix minutes et amusezvous a poser la question à plusieurs personnes et vous verrez la similitude des réponses.

Comment vis-tu cette nouvelle aventure alors qu’il faut installer un nouveau show ?

JM : Je suis hyper excité avec un mélange d’émotions. J’ai l’impression d’être comme une enfant qui doit présenter son nouvel exposé à la classe. Et c’est vrai que toute la classe a aimé le premier. Donc je n’ai pas envie de les décevoir ! Mais ce qui est très agréable, c’est que j’ai l’impression que ce « nouvel exposé », se passe dans un bassin un peu plus grand, celui de l’humour moins communautaire et plus généraliste. À cette communauté juive qui m’a soutenue au début, car le thème d’Inch Alyah les touchait, je lui demande de m’accompagner maintenant sur ce nouveau projet, en ramenant leurs amis, qui sur le premier spectacle ne sont pas venus, car le thème était éloigné de leurs origines et donc difficile à comprendre.

de faire un joli ping-pong et de nous conforter ou pas, dans notre façon d’écrire. Je lui ai apporté une grande base avec un spectacle écrit sur l’histoire de tous ces moments de pression que j’ai eu dans ma vie. Et Emmanuel y a injecté son regard masculin.

Ta maman et ton mari sont très présents dans tes spectacles et en amont. C’est nécessaire pour toi de les avoir à toutes les étapes ?

JM : J’ai pendant longtemps répondu que c’était parce que je ne trouvais pas de personnes plus compétentes. Mais en plus, je pense que je prends une revanche sur mon enfance, car j’étais une enfant assez seule avec une maman médecin qui travaillait énormément. J’ai eu le même rapport avec mon mari, qui au début de notre relation travaillait en finance de marchés et que je voyais peu. Maintenant, il est dans un emploi du temps moins soutenu. Alors je prends chaque moment que je peux avec eux, pour quelque part me venger et récupérer ces heures pendant lesquelles je ne les voyais pas. C’est une source de bonheur qui ne se calme pas, donc c’est nécessaire.

Laurent Dorf

Tu as écrit « Vous auriez pu me prévenir », avec un co-auteur.

C’était un besoin d’écrire à deux ?

JM : J’avais un ras-le-bol du « toute seule ». On peut finir dans une espèce de bulle égocentrique et faire entrer une nouvelle personne était nécessaire. Et puis j’avais cette pression du deuxième spectacle, pour lequel on est plus attendu au tournant.

Je ressentais l’envie d’avoir une personne, qui quelque part me donne sa bénédiction sur les vannes. Ca a été un bonheur de travailler avec Emmanuel Smadja, avec qui on a eu la possibilité

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BREAKING NEWS !

débarquent à Tel Aviv La marque de prêt-à-porter The Kooples, véritable success story à la française, arrive pour la première fois en Israël et organise une vente exceptionnelle de vêtements à prix cassés à Tel Aviv, dans le but d’aider les Olim de France et les familles israéliennes nécessiteuses. Une vente privée unique à découvrir du 4 au 11 février prochain, au Mithham Hatahana de Neve Tsedek, à Tel Aviv.

Des basiques intemporels redessinés, des classiques aux détails ajustés, des pièces aux coupes irréprochables, des collections très fréquemment renouvelées, une ligne de vêtement sportswear élégante également, la marque The Kooples a très vite séduit les amoureux de la mode comme les amateurs de style ou de bon goût. Devenue incontournable, elle compte aujourd’hui plusieurs centaines de boutiques à travers la France mais aussi à Londres, en Europe et aux Etats-Unis.

Fondée en 2008 à Paris par trois frères passionnés, Alexandre, Laurent et Raphaël Elicha, la maison The Kooples est avant tout l’histoire d’un succès familial ancré sur une réelle expérience du monde de la mode et sur un esprit pionnier indéniable.

Les parents des trois frères, Tony et Georgette Elicha, ont euxmêmes réussi brillamment dans le secteur du textile et ont notamment créé, en 1995, la marque de prêt-à-porter chic, subtil et intemporel Comptoir des Cotonniers, rendue célèbre par ses campagnes mères-filles. En 2005, ils ont revendu Comptoir des Cotonniers à un géant du textile japonais.

C’est portés par cet esprit d’entrepreneuriat et cette culture de l’optimisme que, tout naturellement, les frères Elicha se sont lancés dans l’aventure The Kooples. Revisitant l’image du dandy parisien chic en s’inspirant des styles vintage et british, ils expriment, à 30

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travers leurs créations, l’envie d’habiller le couple et de lui offrir une expérience shopping à deux.

L’aîné, Alexandre, s’occupe de la direction artistique de l’homme, Laurent de la collection femme et Raphaël de la partie photos et vidéos qui a tant contribué à faire connaître la marque.

Mais la famille Elicha ne s’illustre pas simplement dans le domaine de la mode.

Tony Elicha est un vrai philanthrope qui a fait de sa mobilisation pour aider les autres une priorité. Président de la Communauté juive de Toulouse, membre du Consistoire central israélite de France, il soutient depuis toujours la communauté en France. Et, pour accompagner au mieux les Juifs de France qui font le choix de s’installer en Israël, Tony Elicha a décidé aujourd’hui d’offrir aux israéliens cette vente privée exceptionnelle dont l’intégralité des bénéfices seront reversés à Qualita, qui œuvre à une intégration de qualité des Olim francophones.

Pour l’occasion, c’est un container rempli de plus de 20 000 pièces que The Kooples a livré à Tel Aviv. Les vêtements seront vendus à des prix défiant toute concurrence, soldés de 50% à 70% de leur prix original. Blousons, ceintures, chemises, écharpes, accessoires, bottes, jupes et robes des collections 2015 à 2017 – mais clairement indémodables - attendent les franco-israéliens, et même les israéliens branchés !

Tony Elicha a fait confiance à l’organisation Qualita, reconnue pour son travail sans relâche en faveur des Olim de France, qui redistribuera les bénéfices de la vente aux associations qui aident les Olim francophones et à des familles nécessiteuses israéliennes soigneusement sélectionnées.

Rendez-vous dès le 4 février prochain pour faire rimer mode avec générosité et soutenir l’intégration des Olim de France !

UNE PLACE PAS COMME LES AUTRES

Kikar Hamedina Le Kikar Hamedina ne paie absolument pas de mine et pourtant, pour les israéliens et plus particulièrement les habitants de Tel Aviv, sa réputation est proche du célèbre Rodéo Drive de Beverly Hills ou du Faubourg St-Honoré. Car tout autour de cette place circulaire, vous trouverez de nombreuses marques de luxe et de prestige comme Escada, Dior, Prada, Chopard, Zadig & Voltaire, Caron, Nespresso, Furla, etc. Ainsi que bon nombre d’enseignes de décoration pour la maison comme Blue Bandana, Renby, Haviland ou de marques spécialisées pour les enfants, telle que Catimini.

Lieu essentiel de shopping pour les stylistes et pour tous les amoureux de la mode, vous pourrez y découvrir les nouvelles collections dès le mois de février et dénicher encore quelques bonnes soldes restantes.

Pour cause d’un arrêt municipal, il n’y a qu’un seul café sur la place, les autres se trouvent dans les rues transversales. A noter l’ouverture récente du fameux Café Dallal de Neve Tsedek.

D’ici quelques années, un projet d’urbanisme local verra le jour en lieu et place du parc central, bien réputé lors des célébrations de Lag Baomer. A la place des tours luxueuses verront de jour ! Mais en attendant, venez y faire un tour et flâner tout autour du Kikar Hamedina de Tel Aviv. D’ailleurs comme chaque année début mars, on y célébrera Pourim. Musique, danse et jeunes dans des déguisements pour certains plus que créatifs, viendront envahir cette place, le temps d’une journée festive et décalée. Un peu à l’image de Tel Aviv.

Sandrine Houta-Dorf

52 rehov He Be’iyar Tel Aviv | tél: 03-602 16 86 56 rehov Kdoshei Hashoa Herzliya | tél: 09-955 55 20 Bluebandanashop Février 2018

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MODE

Quand le sac voit la vie en rose....

Le sac joue la carte de la fantaisie.

L’été prochain, les roses se confirment.

Les es sacs de formes rondes et semi-circulaires, avec toujours la tendance des crossbody présents chez tous les créateurs, seront au sommet de la popularité de la saison Printemps-Été 2018

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1. MIU MIU | 2.VALENTINO | 3.DIOR | 4. PRADA | 5. ZARA | 6.MARC JACOB | 7. TOD’S 8.TOD’S | 9.MARC JACOB | 10. MANGO | 11. MICKAEL KORS 32

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MODE RAYURES 1

Une avalanche de rayures...

A l’honneur de cette nouvelle collection printemps été 2018, intemporelle et indémodable, la rayure est une véritable référence de la mode.

Verticale, horizontale et même en biais, elle prend définitivement son indépendance.

Elle ne prend pas une ride et traverse les saisons et les tendances sans frémir.

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1. FENDI | 2. ZADIG&VOLTAIRE | 3. ZARA | 4.SPORTMAX | 5. H&M | 6. MAJE | 7. MANGO 8. GIVENCHY | 9. FENDI | 10. ZARA | 11. MASSIMO DUTI | 12. PRADA | 13. DIOR | 14. DIOR 15. FENDI | 16. ZARA | 17. GUCCI 34

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MODE RAYURES 8

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De quels pieds démarrez-vous cette saison ?

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Les tendances été 2018 misent sur le retour des "sling back", les "boots chaussettes", "les escarpins eighties", ou les "kitten hèles" 15

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AS TUCES DECO

10 façons créatives dʼutiliser des cubes de rangements

L

es cubes de rangements, vendu partout sont très populaires et très efficaces pour avoir une maison bien organisée.

Qu’importe la taille de votre habitation, vous pouvez les placer dans n’importe quelle pièce pour de nombreuses utilisations différentes selon vos besoins.

Par Sandrine Houta-Dorf

Dans une chambre

Ici les cubes de rangements sont parfaits comme tables de nuits, avec un peu de créativité vous en ferez de beaux chevets.

Créez votre propre bureau

En utilisant simplement des cubes comme pieds, vous pourrez créer votre bureau, avec en plus des espaces de rangements.

Un bar

Trouvez de jolis pieds pour donner un coté plus sophistiqué à votre bar.

Une façon élégante de ranger votre verrerie et vos bouteilles.

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Une table à langer

Avec cette méthode vous aurez toujours tout à porter de la main.

Pour avoir ce rendu, vous n’aurez plus qu’à rajouter des planches de bois tout autour.

Pour votre Cuisine

En plus d’être décoratif, ces rangements s’insèrent parfaitement dans la cuisine. Vous pourrez y ranger tous vos plats et assiettes.

Si vous souhaitez cacher certaines choses, un petit panier est une bonne solution.

DECO

Si votre plafond est haut

En superposant plusieurs cubes de rangements, vous pourrez créer cette impressionnante bibliothèque.

Attention tout de même à bien fixer les étagères au sol et au plafond.

Rangements pour vos vêtements

Ce n’est pas toujours facile de trouver vos vêtements quand ils sont enfouis dans des tiroirs. Avec ces cubes de rangements, comme une commode ouverte, vous trouverez plus facilement ce que vous souhaitez.

Pour votre salle de bains

Pas de placards dans votre salle de bain ? Pas de problème, voici une solution facile.

Maison de poupée pour enfants

Une salle de jeu pour enfants

Une façon très simple de créer une salle de jeu pour les enfants et surtout bien organisée.

Les cubes sont devenus ici les pièces de la maison, décorez la maison avec des chutes de papiers peints ou de papiers cadeaux et des jouets et le tour sera joué !

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SANTE

Pendant le sport : Boissons énergétiques ou énergisantes ?

Petite leçon de sémantique : Ne pas confondre une boisson énergétique pour sportifs avec une boisson énergisante, énergisante soda excitant présenté comme possédant des propriétés stimulantes physiques et intellectuelles.

Nous verrons le mois prochain que rien n’est moins vrai !

Quel est leur rôle ?

La boisson énergétique va apporter aux sportifs les éléments nutritionnels perdus pendant l’effort et compenser la perte d’énergie liée à l’activité physique.

L’apport de sucre (glucides) va favoriser la contraction musculaire, l’eau va compenser les pertes liées à la transpiration et les sels minéraux vont favoriser la réhydratation et la récupération musculaire.

Distinguez les boissons de l’effort consommées pendant l’effort et les boissons de récupération pour après.

Que contient une boisson énergétique ?

De l’eau, du sucre (6-8% par litre sous forme de glucose, fructose, saccharose, maltodextrines), des vitamines (B, C, E), des sels minéraux impliqués dans la contraction musculaire (du sodium perdu dans la sueur mais aussi du potassium, du magnésium), des acides aminés (principal constituant des protéines et donc des muscles!).

Danger ou pas ?

Dans le cadre d’une pratique sportive, elles sont intéressantes et ne présentent pas de danger (à la différence des boissons énergisantes qui, nous le verrons ne sont pas dénuées de risques)

C’est règlementé, une boisson énergétique ?

OUI. Ce ne sont pas des médicaments mais une règlementation européenne leur impose une composition adaptée à la pratique sportive. Elles ne doivent pas être acides ou gazeuses (pas toujours le cas), et idéalement, elles doivent être hypotoniques par rapport au plasma de notre sang (concentration idéale entre 200 et 250 mmol/L pour être correctement assimilées (vérifiez bien!).

Des inconvénients ?

Pas d’abus, elles sont sucrées et peuvent apporter trop de glucides donc provoquer des caries et des aphtes.

Elles peuvent aussi engendrer des ballonnements et des problèmes gastriques... on aura tout perdu !

Que dit la science : Utile ou inutile finalement ?

Les experts considèrent que si l’effort dure moins d’une 1,5h, nos réserves de sucre dans le sang (sous forme de glycogène) sont suffisantes pour fournir l’énergie nécessaire à la dépense. Pareil pour les pertes de sel liées à la transpiration, les désordres n’apparaissent qu’à partir de 4 ou 5 heures d’activité physique intense. Donc une alimentation équilibrée suffit à reconstituer les stocks d’énergie et de minéraux.

Alors, sauf à être un sportif opiniâtre, ne cédez pas aux boissons "marketées".

Du reste, sachez que certains fabricants se sont retrouvés devant les tribunaux, accusés d’avancer des bénéfices de récupération physique non démontrés et ce, d’autant qu’ils vendaient leurs produits à côté des sodas classiques en supermarchés.

Vous l’aurez compris, le potentiel est en vous.

L’énergie, vous l’aurez, la récupération également.

Comme le clame Jacques Salomé : "L’amour est porteur d’une énergie extraordinaire, il peut dynamiser ou dynamiter n’importe quel projet de vie."

Vous savez ce qu’il vous reste à faire...

Mode d’emploi parcours santé : Pour un effort inférieur à 1,5h (sauf effort intense), l’eau plate suffit, elle est et sera toujours adaptée !

Au-delà - pour un effort endurant, un marathon, la night run - on recommande de boire toutes les 10-15 mn quelques gorgées de boisson énergétique de l’effort. A adapter en fonction de la chaleur, notamment sous le soleil de plomb d’été en Israël !

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Laurence Nahmani-Charbit, est Docteur en Pharmacie.

Formations et Consulting. charbit.laurence@gmail.com

• Spécialiste en Chirurgie Plastique et Esthétique • Médecin Attaché à l’Hôpital Rambam

• Ancienne Chef de Clinique des Hôpitaux Universitaires de Genève

• Membres des Sociétés de Chirurgie Plastique Suisse - Américaine - Israélienne

Chirurgie esthétique du visage, du sein et de la silhouette Médecine esthétique et comblement des rides Mommy makeover

Reconstruction du sein

Chirurgie des tumeurs de la peau

Centre Médical Neve Tsedek Lilienblum 6, Tel Aviv Tél 03-6777300

dr oanna meyer plastic surgeon dr.oannameyer@gmail.com Tél 050-7230811

My Clinic Sokolov 47, Tel Aviv Schwartz 1, Raanana

Ne jeter plus vos cartouches d’encres d’imprimantes : rechargez-les !

Cartouches neuves toutes marques photographies de passeports pour le consulat français Accessoires de bureaux, papeterie Photocopies et Fax

Full Dio

15 Ben Yehuda Tel Aviv • Tél: 03-5160742

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SPECTACLE

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"PRINCES ET PRINCESSES"

Un spectacle magique mélant féerie et prouesse technologique.

epuis le 5 novembre 2011, petits et grands ont pu découvrir a travers le monde, et pour la première fois, l'adaptation scénique de "Princes et Princesses" de Michel Ocelot, auteur et réalisateur du célèbre film KIRIKOU. “Prince et Princessess” est un spectacle familial adapté de l'œuvre de Michel Ocelot et mis en scène par Legrand Bemba-Débert, à ne pas manquer à Tel Aviv le 25 février et à Jérusalem le 26 février.

Les contes de Michel Ocelot,"La vieille dame et le voleur", "l'Africaine qui danse", "Le garçon des figues" et le "Prince des Joyaux" sont mis en scène par Legrand Bemba-Debert sous forme de spectacles pour tout public à partir de 4 ans.

" Princes et Princesses" est une création unique avec des comédiens présents sur scène, en ombre chinoise qui entrent en interaction permanente avec des décors virtuels.

Présents devant et derrière un écran, les 8 comédiens de "Princes et Princesses" nous entrainent dans un univers mêlant féerie et prouesse technologique. Mais la technique s'efface très rapidement devant la poésie des contes et la beauté des ambiances créées par Legrand Bemba-Debert. Après une tournée mondiale, la féérie continue pour notre plus grand plaisir en Israël.

25 Février à Tel Aviv et 26 Février à Jérusalem | www.centurymax-studios.com | Tél: 1 700 550 250 40

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tiptoptelaviv.com

TipTopTel AvivJunior Le saviez-vous ?

3000

c’est le nombre moyen de mouches que mange une hirondelle par jour.

Les boîtes de conserves ont été inventées par Napoléon Bonaparte !

Les conserves que tu manges aujourd’hui doivent leur existence, au moins en partie, à Napoléon Bonaparte.

En effet, à la fin du 18e siècle, le premier Empereur des français a proposé un prix de 12.000 francs à celui qui invente un procédé de conservation de nourriture afin d’améliorer les méthodes de préservation des aliments surtout pour son armée.

C'est le confiseur Nicolas Appert qui a remporté ce prix en inventant une méthode de conservation des aliments en les stérilisant par la chaleur dans des bocaux en verre hermétique, la même technologie de base utilisée pour les conserves aujourd’hui.

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Le Canada a plus de lacs que le reste des pays du monde combinés !

Le Canada abrite environ 60 % des lacs de notre planète. Ce pays compte environ 31.750 lacs de plus de 3 kilomètres carrés et 561 lacs de plus de 100 kilomètres carrés.

Soit près de 9 % de la superficie du Canada est couverte d’eau douce.

Les chiens sont capables de comprendre 250 mots et gestes !

La plupart des chiens comprennent environ 250 mots et gestes et peuvent compter jusqu’à cinq. Le chien est aussi intelligent qu’un humain âgé de deux ans.

Test

Qu’aimerais-tu effacer de ta mémoire ?

Si tu avais le pouvoir de supprimer des souvenirs désagréables, que choisirais-tu ?

Pour le savoir réponds à ces questions....

Ton petit défaut... n Tu te vexes facilement.

Tu es trop timide. l Tu es un peu paresseux.

5

Il t’arrive de rêver que....

Des méchants te poursuivent. n Tu marches tout nu dans la rue. l Tu erres dans un labyrinthe et ne trouves pas la sortie.

5

Le sentiment que tu ressens régulièrement.... l L’ennui.

La peur. n La honte.

5

Fais un vœu... Être l’élève le plus populaire de l’école. n Savoir ce que pensent les autres. l Être en vacances toute l’année.

5

À l’école... l Tu t’ennuies et attends les vacances. n Tu commets parfois de grosses gaffes.

5 Tu te fais souvent embêter.

Tu ressembles un peu à...

Bambi. n Gaston Lagaffe. l Donald.

5

Tu es agacé parce que...

Avant de t’endormir... n Tu te repasses les bêtises que tu as faites

dans la journée.

Tu penses à tes amis. l Tu ne réfléchis pas et t’endors rapidement.

5

Tes parents te grondent parce que... l Tu as eu des mauvaises notes. n Tu manges salement.

Tu te disputes avec ta sœur ou ton frère.

5

n Alors que tu récitais un poème, tu as dit

"poubelle" au lieu de "plus belle".

Un camarade t’a bousculé. l Ton prof t’a donné un devoir supplémentaire.

5

MAJORITÉ DE CARRÉ : Tu aimerais oublier tes plus grandes hontes. Rien que d’y penser tu rougis et tu te sens mal à l’aise.Tu es très fier et tu as horreur d’être pris en défaut.

Si seulement tu avais une gomme magique pour les effacer et ne jamais y penser.

MAJORITÉ DE TRIANGLE : Tu aimerais ne plus te souvenir de tes ennemis En général tu es plutôt sociable mais mieux vaut ne pas te chercher des noises car tu es rancunier. Quand on te fait du mal tu n’oublies pas facilement.

MAJORITÉ DE ROND : Tu aimerais ne plus penser à l’école.

Tu aimerais gommer l’école, les mauvaises notes. Tu te sentirais beaucoup mieux car apprendre n’est pas un moment de plaisir pour toi. Tu te rends en cours à reculons.

RÉPONSES :

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LES ANIMAUX DE L’EXTRÊME Sans oxygène, sans eau, sous un soleil brûlant ou dans un froid glacial, des animaux se sont adaptés à des milieux extrêmes.

Voici ces êtres exceptionnels, les champions de l’impossible.

FROID, EUX ? JAMAIS !

COLLÉS-SERRÉS

Le manchot empereur est incapable de voler. Il nage dans les eaux de l’antarctique, dont la température oscille entre -2°c et 10°c. En hiver les températures chutent jusqu’à -40°c, pour endurer les bourrasques glaciales, il dispose d’un plumage épais et d’une couche de graisse isolante. Quand le froid devient intenable, les manchots se blottissent en rond les uns et les autres, ne laissant dépasser qu’une infime partie de leur corps. A tour de rôle, des volatiles du centre gagnent le bord. Ainsi toute la colonie est équitablement réchauffée.

IL URINE DUR !

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LA ROSÉE ET L’ÉPINEUX

Habitant de l’immense désert de sable australien, le diable cornu, ou moloch n’utilise pas son armure épineuse pour se protéger ou se camoufler. C’est surtout un merveilleux outil pour éviter de mourir de soif. Au petit matin, les dizaines de piquants captent les précieuses gouttes de rosée, sa seule boisson en dehors des liquides contenus dans les fourmis et les termites dont il se nourrit !

Le kangourou roux est l’un des seuls grands mammifères à survivre dans le désert de sable australien. S’il tolère des températures dépassant les 40°c, il profite du moindre recoin d’ombre. Pour économiser l’eau, son urine se concentre au point d’approcher l’état solide. Pour se rafraichir, il se lèche les avant-bras.

Une grenouille pas comme les autres ! Ses cousines d’Europe s’enfouissent dans le sol ou la vase pour passer l’hiver....

La grenouille des bois nordaméricaine laisse le froid l’envahir. Elle gèle et devient dure comme de la pierre.

Même son cœur cesse de battre. Pourtant dès les premiers rayons de soleil printaniers, un petit son se fait entendre. Son cœur se remet en mouvement et elle décongèle. Ce miracle s’explique par la présence dans son sang de substances comme des sucres qui empêchent les cellules de se déchirer sous l’effet du froid.

JAMAIS SOIF

Le rat-kangourou de Merriam ne boit pas la moindre goutte d’eau toute sa vie. Hôte des étendues arides d’Amérique, ce petit rongeur survit grâce à l’humidité contenue dans les graines dont il se nourrit.

Shmuel Zemach Ltd. – Yoav Zemach

ENRICO MACIAS fête ses 80 ans !

P la première fois accompagné Pour par l’orchestre symphonique de Raanana 40 musiciens

Spectacle festif pour célébrer les 80 ans de Enrico Macias et les 70 ans d’Israël

Le meilleur de tous les temps !

TEL AVIV

Echal Hatarbout Spectacle unique !

Samedi soir 26 mai à 21 h

leaan *8780 www.leaan.co.il

BEER SHEVA Hamishkan le Omaniout Habama

Jeu. 24 mai à 20:30 *8557 www.mishkan7.co.il

2018

ASHKELON

JERUSALEM

Lundi 28 mai 2018 à 20:30

Mercredi 30 mai à 20:30

Echal A Sport

08-6718777 www.ashkelonline.co.il

Binyanei A Houma bimot *6226 www.bimot.co.il

PETAH TIKVA

HAIFA

NETANYA

Dimanche 27 mai à 20:30

Mardi 29 mai 2018 à 20:30

Jeudi 31 mai 2018 à 20:30

Echal Hatarbout

03-9125222 www.heichalpt.co.il

Centre des Congrès

04-8377777 www.barak-tickets.co.il

Amphithéâtre Netanya

09-8308811 www.netanya-culture.co.il Février 2018

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SO FRENCH SO FOOD

La 6 semaine de la gastronomie française en Israël, du 5 au 8 février 2018 e

18 chefs français dont un chef pâtissier, menés par Guillaume Gomez, Chef des cuisines du Palais de l’Elysée, et véritable Ambassadeur de la gastronomie française en Israël, ainsi que Shalom Kadosh, icône de la gastronomie française en Israël et Chef du restaurant Cow on the Roof (hôtel Leonardo Plaza, Jérusalem), tous deux parrains de l’événement, collaboreront avec les meilleurs restaurants gastronomiques d’Israël à Tel Aviv, Jérusalem, Haïfa, Nazareth, Zikhon Yaakov, Beer Sheva et Tibériade.

Cette année, c’est la région Paris Île de France qui accompagnera la sixième édition de la semaine de la gastronomie française en Israël : les produits et spécialités de la région seront mis en avant et tous les chefs participants sont franciliens.

Master classes publiques et professionnelles, conférences et rencontres, dégustations, rythmeront cette semaine intense : Lundi 5 février à 18h à La Closerie, médiathèque de l’Institut français de Tel Aviv.

Rencontre avec le Chef du Palais de l’Elysée Guillaume Gomez.

Animée par Roselyne Déry, Attachée pour le livre.

Mardi 6 février, 18h-20h - Auditorium de l’Institut français de Tel Aviv, 7 bd Rothschild. En hébreu.

De Paris à Tel Aviv : transmettre le goût et les saveurs de France. Une rencontre inédite entre le conseiller gastronomique David Kichka et le designer et pâtissier israélien Tal Spiegel.

Hélène Le Gal, Ambassadrice de France en Israël

Je suis très heureuse de vous retrouver cette année encore pour "So French So Food" – la Semaine de la gastronomie française en Israël – qui célèbre les liens exceptionnels qui unissent la France et Israël sur le terrain convivial de la gastronomie. Cette vibrante fête du goût et des talents met à l’honneur en 2018 la région Paris Île de France, avec ses chefs, ses arômes, ses spécialités gourmandes et ses attraits touristiques. J’espère vous voir participer nombreux à cette formidable expérience de partage des saveurs, des cultures et des savoir-faire entre chefs français et israéliens, que ce soit dans les restaurants partenaires de l’opération ou lors des événements organisés tout au long de la semaine (dégustations de mets et vins français, conférences thématiques, « master classes » pour les apprentis cuisiniers et les gastronomes amateurs). Je salue également la participation du groupe Shufersal*, dont les magasins vous feront découvrir durant l’opération des produits français jusque-là introuvables en Israël.

Parce que la convivialité et le partage sont au cœur de la cuisine en France, la Semaine de la gastronomie organise aussi des activités en collaboration avec des associations caritatives à destination de populations fragilisées. Cette année, nous avons souhaité mettre en lumière le travail des associations Beit Dror, qui soutient les adolescents et les adolescentes de la communauté LGBT, et Saleet, qui aide des femmes à sortir du cercle de la prostitution et à se réinsérer dans la société.

Je suis particulièrement fière d’accueillir à la Résidence de France des femmes et des adolescents accompagnés par ces associations, pour une journée d’échanges autour de ce qui fédère le plus les hommes entre eux : un bon repas ! (*ndlr : Les supermarchés Shufersal vous proposent en exclusivité, près de 120 références de produits français dès le 4 février.)

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SO FRENCH SO FOOD Le jeudi 8 février, de 13h à 19h, à l’hôtel Sheraton Tel Aviv, Master class publiques et professionnelles. Les deux chefs françaises et le designer et pâtissier israélien Tal Spiegel seront accueillis par le chef Shimon Maman du Sheraton Tel Aviv pour donner successivement une master class sur la préparation d’un menu gourmet francilien. Rougui Dia pour l’entrée, Flora Mikula pour le plat principal et Tal Spiegel pour le dessert. Toutes les master class sont suivies d’une dégustation.

Réservations : 03-7968000 A noter le volet social, qui proposera des ateliers et événements personnalisés à deux associations caritatives : Beit Dror et Saleet.

Guillaume Gomez Chef des cuisines du Palais de l’Elysée Vous venez depuis la première édition en Israël.

Quelssouvenirsmarquants de vos précédents voyages conservez-vous en mémoire ?

Guillaume Gomez. C’est toujours un grand bonheur de retrouver toute l’équipe sur place ! Ce qui m’a marqué, c’est ma première fois à Tel Aviv et à Jérusalem, ça fait quelque chose : ce sont deux villes totalement différentes mais avec des atmosphères qui procurent une sensation poignante. Lors de mon premier séjour, je suis tombé amoureux de Tel Aviv : j’ai même changé mon billet d’avion pour y rester plus longtemps, m’y promener, y prendre quelques contacts et surtout ne pas repartir comme ça. Pareil pour Jérusalem : j’y suis resté plusieurs jours avec mon ami Shalom Kadosh [NDLR: chef du restaurant Cow on the roof à Jérusalem et parrain de l’événement], il m’a fait découvrir sa ville, les routes et les passages non touristiques. C’est autre chose encore d’être accompagné par quelqu’un qui connaît bien les lieux. Peu importe nos convictions religieuses ou nos idées politiques, il y a quelque chose qui se passe dans ces deux villes si cosmopolites qui marque, au-delà de la gastronomie : c’est la force et la puissance qu’elles dégagent.

Vous sentez-vous devenu comme une sorte d’Ambassadeur d’Israël et de sa cuisine auprès des Chefs cuisiniers qui ne connaissent pas Israël ?

GG. C’est vrai que pour ceux qui ne connaissent pas Israël - comme pour moi d’ailleurs la première fois - il faut convaincre les gens de venir. Puis ensuite, avec les chefs qui ont participé à l’événement SO FRENCH SO FOOD, on partage nos expériences : il n’y a pas un seul chef qui soit venu en Israël qui ne m’ait pas demandé de revenir ! Ils

ont tous adoré Israël : l’ambiance, leur collaboration avec les chefs, l’événement lui-même, les master class... Au-delà des aspects politiques ou religieux, les chefs qui viennent pour partager leur savoir-faire et la gastronomie française sont séduits par le pays.

Depuis que je viens chaque année, c’est-à-dire depuis la première édition de SO FRENCH SO FOOD en 2013, j’ai pu constater l’évolution de la cuisine locale : aujourd’hui, il y a vraiment une gastronomie israélienne avec des chefs qui ont affirmé leur identité culinaire comme Orel Kimchi, Sharon Cohen ou Yossi Shitrit... Ils ont commencé comme tous les chefs en copiant ce qu’ils avaient appris puis ils ont enrichi leur cuisine en y apportant leur histoire, leur identité, leurs expériences et tout ce qui fait la richesse d’Israël, pour créer leur propre style, leur propre gastronomie.

Vous venez en Israël pour apporter votre savoir faire, mais en retour apprenez-vous encore de la cuisine qui est proposée dans ce pays ?

GG. Oui bien sûr. Les Semaines de la gastronomie française en général, et pas seulement en Israël, sont faites pour créer des ponts entre nos deux pays. On apprend forcément. On découvre un produit, une technique, la transformation ou l’interprétation d’un plat. On le dit souvent au « Club des Chefs des Chefs » dont fait partie Shalom Kadosh, s’il y a une chose qui rassemble les hommes, c’est la gastronomie. On échange toujours sur les plats, les produits, on apprend, et notre cuisine s’enrichit de cette expérience, elle évolue. Sans vous garantir de cuisiner une gastronomie exclusivement israélienne, il y aura forcément dans mes plats des intonations, des goûts qu’on retrouvera et qui sont le fruit de l’influence de cette cuisine méditerranéenne que j’ai découvert ici.

Considérez-vous que depuis votre premier séjour il y a cinq ans, que des avancées sont apparues sur le soin des ingrédients et leurs préparations dans les restaurants partenaires de So French So Food ?

GG. Je me souviens que la première année, il avait aussi fallu convaincre les chefs israéliens de participer à SO FRENCH SO FOOD. Tous n’étaient pas convaincus de l’intérêt d’un tel échange. Peut-être pensaient-ils que les chefs français se présenteraient avec arrogance ou en en donneurs de leçons et finalement, tous ont été surpris – d’un côté comme de l’autre – par la richesse du lien qui s’est créé, par l’échange de nos cultures et aussi la coopération économique qui peut s’en suivre. Cette Semaine de la gastronomie française en Israël, c’est un pont entre nos deux pays, le moyen d’un échange culturel, économique, social et même sociétal. Et en France aussi, le rayonnement de cet événement, sa médiatisation, font réfléchir : les gens sont touchés par nos actions, ils prennent conscience de ce qui se passe grâce à ce lien, sur tous ces niveaux.

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SO FRENCH SO FOOD

Il y a un volet social très présent chaque année. Vous participez activement d’ailleurs en proposant une cuisine à des enfants ou des personnes en situation précaire. Ça représente quoi pour vous ?

GG. Je ne conçois pas mon métier autrement : je n’ai ni restaurant ni client et rien à vendre. Quand je viens participer à ces événements, j’y inclus toujours un volet social et caritatif pour partager et transmettre ce que je fais. C’est une chance pour moi de pouvoir exercer ce métier et de le transmettre. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un métier qu’il aime et qu’il peut partager. Par ailleurs, il y a une médiatisation de plus en plus importante de la cuisine et des cuisiniers, et si cette lumière peut aider à valoriser des associations caritatives et les responsables de ces associations qui se battent tous les jours pour des personnes fragilisées ou en situation précaire, on le fait de bon cœur, et pour toutes les causes ! Pour valoriser ces personnes qui font un travail remarquable et les soutenir.

Cette année c’est la région Ile de France qui sera mise en avant.

Qu’est-ce que cette région a de si spéciale selon vous ?

GG. La tour Eiffel !!! L’Île-de-France, c’est ma région : j’y suis né, j’y vis et j’y travaille. Et Paris, c’est la capitale de la France, peut-être la ville la plus connue au monde. Toutes les régions de France sont belles, mais celle-ci est particulière : je connais tous les chefs franciliens que j’emmène avec moi sur l’événement SO FRENCH SO FOOD, nous nous côtoyons, il y a parmi eux beaucoup d’étoiles. Et puis l’Île-de-France concentre d’excellents restaurants. On a un peu moins d’espaces agricoles ou d’élevages mais on a aussi de bons produits; des fruits et légumes, quelques élevages quand même à moins de 100km de Paris.

C’est une région où il y a une différence totale et nette entre la ville et la campagne, une zone très urbaine, centrale, et à 30 km de Paris, en Essonne ou dans le Loiret, s’étendent des champs ou de grands espaces boisés.

Devenu ces dernières années un événement incontournable en Israël, SO FRENCH SO FOOD se fait l’ambassadeur de la gastronomie française et contribue à travers elle, à promouvoir les produits ainsi que l’attractivité touristique et économique du territoire français.

TipTopTelAviv a rencontré Déborah Modiano, conseillère export et responsable du pôle Agrotech, pour Business France à Tel Aviv.

Son travail consiste à assister les entreprises françaises qui veulent se développer en Israël dans les secteurs de l’agroalimentaire et de l’agriculture. Elle était déjà à l’initiative des partenariats avec les chaînes de distribution alimentaire Mega en 2015 et Shufersal en 2016.

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A cette époque, les chaînes de distribution ne soupçonnaient pas l’efficacité des festivals de produits nationaux mais depuis ces deux actions engagées au bénéfice de la France, les mois italiens, hollandais, thaïlandais se sont multiplié dans le pays. Une place privilégiée est donnée aux produits français non seulement grâce à la notoriété de l’événement So French So Food mais également grâce au poids de plus en plus important de communauté française en Israël.

C’est dans ce contexte que Business France soutient les efforts des importateurs israéliens de produits français afin de dynamiser les ventes des marques qu’ils distribuent sur le marché israélien, en magasins et auprès des professionnels du secteur de l’agroalimentaire.

Les actions entreprises par Business France pour stimuler les exportations agroalimentaires françaises en Israël sont en phase avec l’évolution de ce marché. Depuis 2015, année au cours de laquelle la France a fait un bon de plus de 30%, les importations françaises de produits agroalimentaires en Israël se portent bien et continuent de croître progressivement. En atteste la hausse exponentielle dans les secteurs viandes et bétails : pour la viande de 3 millions d’euros en 2016 à 8,5 millions d’euros en 2017 et, pour le bétail, de 13 000 euros en 2016 à 7,5 millions d’euros en 2017. En effet, la France enregistre une croissance de plus de 170% sur les commandes de viandes notamment avec l’introduction sur le marché de nouvelles marques de bœufs français : Chateaubriand et bientôt également le lancement de la marque Gaspard.

Pendant tout le mois de février, vous pourrez découvrir de nouveaux produits français : cuisiner pour toute la famille un bœuf braisé, saisir à la poêle des pavés de bœuf avec de la viande bovine française Chateaubriand ou Gaspard, préparer à vos enfants de bons légumes en conserves d’Aucy, leur offrir pour le goûter un morceau de brioche Jacquet tartiné avec du doux miel Lune de Miel.

Pour l’occasion, Shufersal célébrera la fête française en habillant ses magasins de bannières bleu-blanc-rouge pour notre plus grand plaisir, en espérant que cette année qßu’ils anticipent la razzia des franco-israéliens dans les magasins et évitent les ruptures de stocks dans nos points de vente préférés !

Programme et restaurants partenaires sur TIPTOPTELAVIV.COM Remerciements à Anne Sophie Trouillard Laurent Dorf

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RECETTES

Le quinoa

Encore inconnu il y a quelques années, on le trouve aujourd’hui partout ! Il fait le bonheur des végétaliens et autres intolérants au gluten. Cette graine d’origine sudaméricaine pousse en Bolivie et au Pérou. Considérée comme un féculent nutritionnellement, c’est un sucre lent qui apporte des glucides, des fibres, et des protéines.

GALETTES PRINTANIÈRES AU QUINOA

QUINOA AU POULET ET CURRY

SALADE DE QUINOA À LA GRECQUE

Ingrédients pour 4 personnes 200 gr de quinoa • 2 carottes • 1 poireau 2 œufs • 15 cl de crème fraîche • 50 g d’emmental • 10 g beurre • 1 cas d’huile d’olive • Sel, poivre • Sucre

Ingrédients : 200 g quinoa • 2 carottes • 2 oignons • 2 courgettes • Citron confit • 4 filets de poulet • 2 c.à.c de curry • Sel, poivre • Coriandre (pour déco)

Ingrédients : 1 sachet de bébés épinards • 1 ⁄2 parquette de tomates cerises • 1 /2 concombres • Cubes de fromage feta • 250 g de quinoa • Menthe fraiche • 3 radis

Verser le quinoa dans une casserole avec deux fois et demie son volume d’eau bouillante. Saler et faire cuire 20 minutes sur feu moyen. Éplucher et laver les légumes. Émincer le poireau et râper les carottes. Verser le tout dans une sauteuse avec le beurre, sel, poivre et sucre. Cuire 10 minutes à couvert puis 5 minutes à découvert. Pour finir, battre les œufs avec la crème, ajouter les légumes, le quinoa et le fromage râpé. Avec une cuillère verser des tas de préparation dans la poêle huilée et les aplatir de façon à faire des galettes.

Rincer le quinoa à l’eau froide pour éliminer le risque d’amertume. Saler. Peler et découper les carottes et les oignons en tronçons ainsi que les courgettes.

Assaisonner. Couper le citron en cubes ainsi que les filets de poulet. Assaisonner de poivre, sel et curry.

Faite cuire séparément chaque aliment.

Faîtes cuire 20 mn.

Sur chaque assiette, répartissez un peu de quinoa, de légumes et de poulet. Décorer avec une feuille de coriandre.

Cuire le quinoa selon le mode d’emploi.

Une fois cuit, le déposer dans un plat et laisser refroidir. Laver les épinards et les sécher. Laver les tomates et les radis.

Couper les légumes. Ajouter aux légumes les cubes de feta. Ajouter la menthe ciselée et le quinoa refroidit. Étendre les épinards dans un plat et mettre la salade dessus. Assaisonner avec une vinaigrette avant de servir bien frais.

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Février 2018

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