et cetetra 03/2016 FR

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3 I 16 The customer magazine of the ABB Group Benelux

Consommation transparente pour les clubs sportifs Gestion et suivi de l’éclairage par terrain Azipod : 700.000 tonnes de combustibles économisées Un concept de transmission qui fête ses 25 ans d’existence Le Customer Contact Center à votre service ABB désormais plus facilement joignable


Avant-propos

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Prise de pouls Accès gratuit à Internet pendant votre recharge à la Solar Fast Charging Station de Vilvorde.

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Alfons Goos, Managing Director ABB Benelux

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Au travail ABB se voit confier l’entretien et la rénovation de différents navires de Saipem.

3|16 Le développement durable pour tous Depuis de nombreuses années, nous insistons sur le fait que l’efficience énergétique est la meilleure contribution à une diminution des émissions de CO2. Depuis la COP21, nous constatons que les entreprises de divers secteurs prennent de plus en plus de mesures. À titre d’exemple, l’avènement de Tesla et l’affaire des logiciels truqueurs dans l’industrie automobile ont donné un joli coup d’accélérateur à la mobilité électrique. Toutefois, de nouveaux systèmes d’entraînement sont également élaborés pour la navigation et l’industrie aérienne. Il suffit de penser au Solar Impulse 2, qui a encore récemment bouclé un tour du monde. Parallèlement, les autorités locales prennent aussi leurs responsabilités et consentent des efforts pour limiter leur consommation d’énergie. ABB est fier de pouvoir, grâce à nos solutions technologiques, aider nos clients à relever ces défis. C’est une des ambitions qui se traduit dans notre slogan “Power and Productivity for a Better World”.

Mais le développement durable recouvre bien plus que le seul climat. Il porte aussi sur les relations, notamment avec nos clients, nos fournisseurs et notre personnel. La création récente de notre Customer Contact Center facilite les contacts commerciaux avec ABB, ce qui s’inscrit dans une volonté d’amélioration du service à la clientèle, notamment au moyen du logiciel Salesforce. Nous souhaitons en outre renforcer nos liens avec l’enseignement. Cette collaboration avec les écoles et les associations professionnelles devrait nous permettre de redorer le blason du secteur technologique auprès des jeunes. À cet égard, notre Experience Center de Zaventem constitue une plate-forme idéale pour les étudiants et enseignants et nous permet de déjà faire un pas dans la bonne direction. Enfin, je tiens à souligner que la sécurité et l’intégrité de notre personnel, nos clients et nos fournisseurs restent notre plus grande priorité. Bonne lecture !

et cetera 3|16 - Une édition d’ABB Benelux - Concept Head Office - Rédaction en chef Marco Moerland - Comité de rédaction Karin Bot‑Molenaar, Brian Jagmohan, Teun van den Neste, Marco Moerland, Jos Bernaards - Ont collaboré à la rédaction de ce magazine Suzanne Gielis, John Edwards, Amandine Philippe, Kristien Vermaelen, Nando Harmsen, Henk Malyster, Marco Mertens, Peter van der Horst, Ellyne Temmerman, Katrien Vanwetswinkel - Éditeur responsable Jessica Van de Gucht, ABB N.V. Hoge Wei 27 1930 Zaventem - Copyright 2016 Demander, modifier ou résilier votre abonnement à et cetera ? Surfez sur notre site new.abb.com/benelux/etcetera. Sur cette page, vous pourrez vous abonner à notre magazine, modifier vos données personnelles ou les supprimer de notre base de données.

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Sommaire

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Encore et toujours Marc De Groote d’Agoria : « La petite taille de notre marché fait que nous ne sommes pas directement remarqués à l’échelle de l’économie mondiale, mais nous pouvons compenser cet aspect par la collaboration. »

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For a better world ABB a récemment invité des enseignants à venir visiter l’Experience Center dans le cadre de sa contribution au partenariat néerlandais Jet-Net.

Prise de pouls

For a better world

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Une e-mobilité orientée vers l’avenir chez Living Tomorrow Inauguration en grande pompe de la première Solar Fast Charging Station de Belgique.

Perspective 6

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Solutions pour le secteur maritime et offshore Depuis de nombreuses années, Saipem fait appel à ABB pour l’entretien et la rénovation de sa flotte. Suivi de la consommation électrique dans les clubs sportifs Anvers donne le bon exemple.

Les merveilles du monde 18

Azipod fête ses 25 ans d’existence Déjà plus de 700.000 tonnes de combustibles économisées dans le secteur naval.

Encore et toujours 20

Produit 26

Faire affaire avec ABB n’aura jamais été aussi facile Le Customer Contact Center vous oriente.

Au travail

Technologie : la clé d’un avenir meilleur Le président d’Agoria Marc De Groote nous livre sa vision des évolutions technologiques et sociétales.

ABB contribue à l’enseignement de demain Des enseignants en visite à l’Experience Center de Zaventem.

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Le système de mesurage de la torsion marine d’ABB repensé Économies de carburant et optimisation des moteurs marins. Une installation sûre pour les panneaux solaires Découvrez le kit de sécurité photovoltaïque pour installations solaires. Nouvelle gamme de commutateurs à cames OC Compacte, sûre, fonctionnelle et simple d’utilisation. Un dispositif différentiel résiduel qui fait la différence Prévenez tout arrêt non désiré.

Hotspot 30

Metavak & New Industries Venez découvrir les automates ABB lors de ces salons professionnels.

L’année... 31

Au tour de l’année 1950 Retour sur la turbine à vapeur des grandes forges et fonderies de Thy-le-Château.

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Prise de pouls

Une e-mobilité orientée vers l’avenir chez Living Tomorrow Le vendredi 13 mai, le ministre belge de l’Énergie, Bart Tommelein, a inauguré la première Solar Fast Charging Station de Belgique. Cette borne de recharge pour les voitures électriques se trouve au centre d’innovation Living Tomorrow à Vilvorde. ABB Benelux a fourni le chargeur rapide et s’occupe de la conversion de l’énergie solaire.

De g. à dr. : Philip Meyfroot de Living Tomorrow, le ministre belge de l’Énergie Bart Tommelein et le CEO d’ABB Alfons Goos.

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Prise de pouls

Living Tomorrow pour les nuls

Oliver Cafmeyer (DMPC) fait la démonstration du chargeur rapide au ministre Bart Tommelein.

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a Solar Fast Charging Station offre un regard sur l’avenir du rechargement électrique. Ce concept unique n’a pas uniquement été étudié pour la rapidité extrême de la recharge de la voiture électrique, mais aussi pour le confort du conducteur. Avec le chargeur rapide d’ABB, une voiture électrique est en moyenne chargée à 80 % après un quart d’heure. Pendant le chargement, la Solar Fast Charging Station offre une connexion sans fil gratuite à Internet. De plus, vous pouvez en profiter pour prendre un café et un lunch chez Living Tomorrow.

Le chargement rapide : la norme ? Selon Oliver Cafmeyer, General Mana­ ger Power Conversion ABB Benelux, la Solar Fast Charging Station constitue un pas dans la bonne direction. « Le rechargement rapide des voitures électriques devient la norme. Les conducteurs souhaitent une grande flexibilité et pouvoir charger leur véhicule le plus rapidement possible. Cela leur permet de parcourir de plus grandes distances sans que la voiture ne doive être immobilisée longtemps. » Pour Oliver Cafmeyer, il n’y a pas de doute quant à ce que nous réserve l’avenir proche : « Avec les nouvelles voitures électriques qui vont arriver sur le marché,

Le centre d’innovation Living Tomorrow a été fondé en 1991 en tant que plateforme pour différentes entreprises et institutions innovantes dans le but d’y présenter leurs produits et leurs services. Le centre offre une vision d’avenir sur l’habitation, la vie et le travail. Le 16 mars 1995, le premier projet, la Maison du futur à Vilvorde, était officiellement inauguré. Vingt ans plus tard, Living Tomorrow s’est développé pour devenir un symbole d’innovation et de coopération. Chaque année, le centre accueille plus de 150.000 visiteurs, parmi lesquels 15.000 élèves et étudiants.

la demande en bornes de chargement rapide CC ne peut qu’augmenter. La recharge lente sera principalement réservée à un usage domestique, mais en route et dans les zones urbaines, le chargement rapide CC deviendra la norme. » La Solar Fast Charging Station est une initiative de Living Tomorrow. Outre ABB, ENGIE Cofely, Stradus Infra, MUTEC et Schréder ont également travaillé à la mise au point de ce concept innovant. La nouvelle borne de chargement est désormais disponible en permanence pour le grand public.

Le solaire Le carport de chargement rapide est couvert de panneaux photovoltaïques qui sont parfaitement orientés au sud. Ces panneaux photovoltaïques, intégrés à la borne de chargement, produisent chaque année suffisamment d’énergie pour rouler 25.000 à 30.000 km avec un véhicule électrique. Cette estimation prend en compte les conditions météorologiques variables de la Belgique. L’énergie solaire est d’abord injectée dans le réseau à l’aide d’un convertisseur ABB pour panneaux photovoltaïques. Ensuite, le chargeur rapide utilise en partie l’énergie solaire pour fournir de l’électricité à une voiture électrique. Le reste de l’énergie verte provient du réseau. Pour l’avenir, l’on prévoit une réserve sous la forme d’une batterie pour stocker le surplus d’énergie solaire. ABB et cetera 3|16

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Perspective

Grâce au Customer Contact Center, faire affaire avec ABB n’aura jamais été aussi facile Les relations commerciales qui n’ont que des contacts occasionnels avec ABB ont souvent du mal à trouver le bon interlocuteur. Désireux de simplifier la vie de ses clients, le groupe a créé pour eux un Customer Contact Center.

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Perspective

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es enquêtes annuelles réalisées auprès des relations commerciales d’ABB révèlent que les clients qui ne connaissent pas encore bien l’entreprise la considèrent comme une organisation complexe. Cette remarque a de toute évidence été entendue. Le Customer Contact Center a en effet pour vocation d’aider les clients à trouver plus facilement leur chemin dans les méandres du groupe. Le Customer Contact Center n’est pas un centre d’appels. Contrairement aux agents des call centers, son équipe a plus de temps pour se renseigner et voir à qui la question doit être posée. Les collaborateurs du Customer Contact Center ont des années d’expérience au sein d’ABB. Forts d’une connaissance approfondie de l’organisation et de son portefeuille, ils sont en mesure de transmettre les questions aux bonnes

personnes au sein de l’organisation, de manière à ce qu’elles soient rapidement traitées. Ce service est surtout utile pour les clients qui n’ont pas de personne de contact attitrée au sein d’ABB. Le Customer Contact Center est joignable par téléphone, mais aussi par e-mail et depuis le site web.

Ces numéros sont renseignés sur le site web d’ABB Benelux. Les coordonnées du Customer Contact Center figureront également sur les nouvelles publications. Si l’équipe ne parvient pas à indiquer tout de suite au client à qui il peut s’adresser, elle note la question et cherche ensuite à qui elle doit être posée. De cette ma-

L’objectif est de répondre à 75 % des questions dans les 24 heures. Numéros de téléphone gratuits Les clients peuvent contacter le Customer Contact Center en composant des numéros de téléphone gratuits.

nière, ce dernier ne doit pas attendre inutilement à l’autre bout du fil. ABB évite ainsi de le renvoyer d’un service à l’autre.

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Perspective

De g. à dr. : Lilian Meeuwsen, Germaine Reniers et Margreet Koster.

L’objectif est de répondre à 75 % des questions dans les 24 heures. Grâce à cette méthode de travail, les contacts commerciaux gagnent en facilité et en efficacité, ce qui améliore encore plus l’orientation client.

Customer Contact Center Benelux Les coordonnées générales du Customer Contact Center sont disponibles sur le site web d’ABB Benelux : Le Customer Contact Center est joignable par téléphone ou par e-mail : −− Customer Contact Center Pays-Bas Tél.: 0800 9103 contact.center@nl.abb.com −− Customer Contact Center Belgique Tél.: 0800 85169 contact.center@be.abb.com −− Customer Contact Center Luxembourg Tél.: 8002 2211 contact.center@lu.abb.com Ces numéros de téléphone et adresses mail sont également renseignés sur : http://new.abb.com/benelux/fr/a-propos-abb/contact-center

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Au travail

ABB et Saipem : entretien en mer

SAIPEM 7000 Bateau-grue semi-submersible. Deux grues d’une capacité de 7.000 tonnes chacune. Le navire peut en outre poser des pipelines à des profondeurs supérieures à 2.000 mètres. Travaux effectués (Eemshaven, Pays-Bas 2015) : entretien de systèmes d’entraînement et de moteurs. Inspection technique de l’installation à bord et conseil à Saipem en ce qui concerne l’entretien et l’obsolescence des composants. Plus d’infos : http://bit.ly/1VdAAxs

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Au travail

Stefan Schilperoord et Maurice Seijkens d’ABB suivent attentivement les travaux pour Saipem.

Des solutions intelligentes, efficaces et sĂťres pour le secteur maritime et offshore 10

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Au travail

ABB s’occupe de l’entretien et de la rénovation de différents navires de Saipem, parmi lesquels le Saipem 7000, me FDS et le Barprotector. Saipem, l’un des leaders mondiaux dans le domaine des projets onshore et offshore pour l’industrie gazière et pétrolière, dispose d’une vaste flotte de navires et de platesformes spécialisés.

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BB Marine & Ports travaille depuis de nombreuses années avec Saipem », explique Maurice Seijkens, Account Manager, responsable de plusieurs grands clients néerlandais d’ABB. « Une partie de la flotte, la flotte de construction, est entretenue depuis le bureau de Rotterdam. Saipem possède également un site privé à Schiedam, où elle amarre régulièrement des navires. Toutefois, l’endroit où se trouvent les navires ne change pas grand chose pour ABB : grâce à notre réseau de sites, nous pouvons toujours aider Saipem de manière optimale. » « Sur ce marché, la rapidité est d’une importance capitale car, à l’heure actuelle, les navires doivent tout simplement poursuivre leur travail le plus vite possible. Sur chaque site où des navires de Saipem doivent subir un entretien, nous mettons

à disposition le personnel et les équipements adéquats et nous pouvons également nous déplacer rapidement en cas d’urgence. Avec plus de 20 Marine Service Centers situés à des endroits stratégiques, ABB est représentée partout dans le monde où il y a une activité maritime. Nous savons précisément ce qui se trouve à bord de chaque navire, mais également ce qui est disponible sur les différents sites. Si des travaux (de service) complexes doivent être effectués quelque part dans le monde, il est important que nous puissions nous adapter aux conditions à bord. Une grande autonomie est donc essentielle. Les Service Engineers d’ABB Marine & Ports à Rotterdam disposent de ces capacités. » « Nous attachons une grande importance à la documentation, de sorte que les collègues puissent partager les connais-

sances de manière optimale, mais aussi parce que l’équipage et le personnel technique à bord des navires échangent en permanence et que nous devons savoir précisément quels accords ont été pris. Outre les questions du client, nous sommes également confrontés aux exigences des sociétés de classification pour le secteur maritime, la documentation est aussi importante à ce niveau. ABB utilise ServIS, qui nous permet de vérifier pour chaque navire ce qui y est installé et quels services ont été effectués ou doivent l’être. » Des systèmes complexes « La flotte de forage de Saipem est entretenue depuis l’Italie et la flotte de construction depuis les Pays-Bas », précise Stefan Schilperoord, Sales Manager Service Marine & Ports Benelux, é ­ galement ABB et cetera 3|16

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Au travail

Account Manager pour Saipem jusque l’année dernière. « Nous fournissons de plus en plus souvent des services de consultance pour Saipem. Le client détermine lui-même quels conseils il souhaite suivre ou non, mais nous pouvons en tout cas tout justifier correctement et évaluer précisément les risques et les avantages. On nous demande aussi de plus en plus souvent de réfléchir à des solutions fiables pour des systèmes complexes, même s’ils sont réalisés à partir de composants d’autres fournisseurs. » Maurice : « Ces dernières années, les prix sur le marché du gaz et du pétrole sont sous pression. C’est pourquoi ABB contribue activement à trouver des solutions pour un entretien intelligent et efficace. Nous évaluons toutes les possibilités et les tâches pour Saipem et envisageons 12

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les priorités. Les “Health checks” jouent un rôle important à cet égard et nous travaillons en étroite collaboration avec les experts techniques de Saipem. Parfois, nous les accompagnons en mer car, dans certains cas, nous devons voir les systèmes

vendre le plus d’entretiens possible. » « Nous comprenons non seulement les processus techniques, mais aussi la manière dont nos clients gagnent de l’argent. Nous savons que chaque partie dans le secteur maritime a des exigences

« ABB utilise ServIS, qui nous permet de vérifier pour chaque navire ce qui y est installé et quels services ont été effectués ou doivent l’être. » en fonctionnement pour déterminer s’il y a un problème. Notre relation avec Saipem est plus importante pour nous que de

différentes. L’une s’occupe de l’extraction ou du transport de pétrole et de gaz, l’autre du transport de marchandises ou


Au travail

FDS Navire de construction offshore pour la pose de pipelines à grande profondeur et les travaux de levage jusqu’à 600 tonnes. Travaux effectués (Singapour 2015 - 2016) : modernisation de la partie de commande des drives MegaStar à bord. ABB a développé pour ce faire une solution unique : la commande peut être remplacée tandis que la partie conductrice d’énergie, qui a généralement une durée de vie plus longue, peut rester en place. Fourniture d’un variateur de fréquence pour un propulseur supplémentaire. Plus d’infos : http://bit.ly/1WGq3vp

du ­divertissement des passagers pendant une croisière. Naturellement, des facteurs externes ont également une influence sur la navigation. La durabilité est dès lors importante pour nos clients, mais aussi pour leurs propres clients. Pour de nombreuses entreprises, il est essentiel de disposer de processus durables. Les matières premières sont sélectionnées avec grand soin. Cela vaut également pour le transport. ABB propose différentes solutions pour réduire la consommation de carburant et les émissions de substances nocives. » L’importance de la coopération « En plus des connaissances, la capacité de travailler ensemble est essentielle dans cette branche », poursuit Stefan. « Nous devons faire en sorte de respecter un planning serré, tout en travaillant en

toute sécurité. Si un navire se trouve sur un chantier, plusieurs travaux d’entretien doivent presque toujours être réalisés simultanément, souvent aussi par différents intervenants, et ce dans un environnement où chaque mètre carré doit être mis à profit de manière optimale. Il est dès lors important de savoir précisément quelles activités doivent avoir lieu en même temps et comment elles peuvent s’influencer mutuellement. À bord, nous rencontrons des nationalités variées et toutes sortes de langues et d’usages. Les membres de notre personnel doivent être capables de s’en accommoder. Ils doivent souvent oser prendre des décisions sur place. » « La collecte et la présentation de données à bord ne sont pas une nouveauté. Ce qui est nouveau par contre, c’est la connexion d’un nombre croissant de

systèmes et d’équipements dans le secteur maritime. Les systèmes qui n’étaient autrefois pas surveillés sont à présent connectés les uns aux autres pour pouvoir détecter les problèmes à un stade précoce et adapter l’entretien prévu à l’état des systèmes et de l’équipement. Grâce aux produits ABB Advisory, vous pouvez en outre économiser beaucoup d’argent sur le carburant, éviter le report inutile de travaux ou limiter les risques en termes de sécurité. Avec ABB, le secteur maritime est préparé à faire face à la législation toujours plus stricte en matière de consommation d’énergie et d’émissions. » Regardez la vidéo “Introducing Integrated Operations for marine” sur https://youtu.be/sgYg0AAte0c

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Au travail

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Au travail

Une consommation d’énergie transparente pour les clubs sportifs anversois Les villes jouent un rôle crucial en vue de maintenir le changement climatique dans les limites fixées. Depuis plusieurs années, Anvers fournit des efforts importants en ce sens. Au centre sportif anversois Wilrijkse Plein, ABB s’est jointe à CimPro pour installer des compteurs d’électricité et des systèmes d’enregistrement de l’énergie qui assurent un comptage précis et des économies d’énergie.

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u sein du centre sportif anversois flambant neuf, baptisé Wilrijkse Plein, à deux pas de l’Antwerp Expo, on peut voir les jeunes footballeurs en herbe commencer leur tournoi. Sur un autre terrain en gazon artificiel, quelques korfballeurs s’entraînent, tandis que les joueurs de l’Antwerp Rugby Club courent sur leurs parcelles. C’est à peine si on remarque l’armoire électrique grise à côté du terrain. Mais pour la ville d’Anvers, ce coffret a toute son importance, puisqu’il contient les compteurs électriques d’ABB. Ces derniers ont été reliés à un système qui enregistre la consommation d’électricité pour l’éclairage autour des terrains de sport. Ce dispositif permet d’établir le suivi de la consommation d’énergie sur les différents terrains. « Dans ce grand centre sportif, les terrains de sport sont utilisés par divers clubs », explique Bart Provoost,

conseiller en technologies de l’énergie de la ville d’Anvers. « Désormais, les techniciens de la ville peuvent gérer et faire le suivi de l’éclairage par terrain. »

système est en place depuis un an et nous essayons de mobiliser les clubs en faveur de cette problématique. Entre-temps, Bart Provoost constate qu’ils ont déjà adapté

Bart Provoost : « Avant, les lumières s’allumaient immédiatement. Aujourd’hui, elles s’allument seulement lorsqu’il commence à faire sombre. » Adaptation des comportements Pour Anvers, ce projet est important et il s’inscrit dans le cadre de la politique durable de la ville. Cette méthode de comptage ne doit pas seulement permettre des économies d’énergie. Elle doit aussi mener à une prise de conscience. Le nouveau

leur comportement : « Avant, les lumières s’allumaient immédiatement. Aujourd’hui, elles s’allument seulement lorsqu’il commence à faire sombre. Il arrivait aussi que l’éclairage reste enclenché pendant que l’équipe était sous la douche. Désormais, ce n’est plus le cas. Si cette façon de ABB et cetera 3|16

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Au travail ­ rocéder paraît logique, elle révèle néanp moins que nous pouvons initier un changement par une adaptation relativement mineure. » Au total, sept compteurs ont été installés. Pour le système automatique d’enregistrement précis de la consommation, il a été fait appel à CimPro. La firme est spécialisée dans les solutions efficaces et durables pour la gestion des alarmes, de l’eau, ainsi que le suivi des bâtiments et de la production. « ABB n’avait pas d’appareillage d’enregistrement des données dans sa gamme de produits », déclare Servie Huybers, Product Manager chez ABB. « Afin de satisfaire la demande de solutions intégrales qui émane du marché, nous avons uni nos forces avec CimPro. ABB a donc fourni le matériel et les compteurs d’énergie, et CimPro s’est chargé du système de suivi et du raccordement au système de gestion de l’énergie de la ville d’Anvers. » Un bon aperçu de la consommation Les compteurs d’électricité sont reliés à un Smart Energy Connector, qui transmet chaque jour les données à la ville d’Anvers par l’intermédiaire d’un réseau 3G. Cette approche permet de calculer et d’invento-

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rier clairement la consommation. Cet aspect devient ainsi particulièrement transparent pour la ville. Une meilleure connaissance de la consommation d’énergie et du fonctionnement des installations mène alors à une meilleure conscientisation et à moins de gaspillage. Sans compter que d’éventuelles pertes peuvent être découvertes.

direction de l’établissement ne s’en était pas aperçue plus tôt, car la facture restait la même chaque mois. » Une approche multidisciplinaire Pour l’administration communale, le projet du centre sportif Wilrijkse Plein est une référence en matière de durabilité et d’économie d’énergie. C’est aussi

Servie Huybers : « Aujourd’hui, les compteurs et les logiciels doivent être intelligents. » Bart Provoost : « La ville d’Anvers est aussi équipée de systèmes de comptage pour le gaz et l’eau. Après avoir placé un système de comptage d’eau dans une école, il s’est avéré que la consommation était chaque jour la même. Donc aussi le week-end et pendant les vacances, en dépit du fait que la consommation aurait alors dû être inférieure. L’enquête a permis de constater qu’une fuite d’eau existait depuis plusieurs années dans une petite pièce d’eau située dans un jardin intérieur peu fréquenté. La

un exemple d’application pour les villes intelligentes. Servie Huybers explique : « Aujourd’hui, les compteurs et les logiciels doivent être intelligents. » Marcel Laes entrevoit lui aussi de nombreuses possibilités pour les TIC de faciliter la transition du réseau électrique existant vers les exigences propres aux villes intelligentes. « À l’époque, le réseau électrique a été pensé à partir d’une approche centrale et selon une structure descendante. Grâce aux panneaux solaires, à la cogé-


Au travail

Les compteurs d’électricité et les systèmes d’enregistrement de l’énergie assurent un comptage précis et des économies d’énergie.

nération et aux éoliennes, l’énergie vient désormais aussi des utilisateurs. La seule façon de garder l’ensemble sous contrôle est d’avoir recours à des applications de données intelligentes telles que celle mise

en œuvre au centre sportif anversois, mais à plus grande échelle. Les villes intelligentes exigent en outre une approche multidisciplinaire, qui demande à diverses entreprises et organisations de coopérer

pour concevoir une solution. Nous devons dès lors travailler avec des systèmes et des protocoles ouverts. C’est un défi, mais c’est aussi ce qui rend l’entreprise si passionnante. »

Anvers donne le bon exemple En 2009, l’administration communale d’Anvers a signé la “Convention des Maires’’ de l’UE. Cette convention rassemble tous les bourgmestres des villes les plus progressistes d’Europe au sein d’un réseau permanent. Ils échangent ainsi leurs expériences en faveur de l’efficacité énergétique en environnement urbain. La ville d’Anvers s’est elle-même fixé un certain nombre d’objectifs d’ici 2020 : 50 pour cent d’émissions de CO2 en moins et des économies d’énergie de 20 pour cent par rapport à 2005. Le CO2 est en effet l’un des grands ‘‘coupables’’ du réchauffement climatique. La ville souhaite donner le bon exemple. C’est ainsi que les bâtiments de la ville deviennent toujours plus économes en énergie et que les nouveaux locaux des pouvoirs publics satisfont à des critères stricts en termes d’énergie et de durabilité. L’agrandissement d’un parc éolien dans la zone portuaire et

l’installation de réseaux de chaleur dans la ville sont deux autres projets importants. Par ailleurs, une attention accrue est réservée au suivi immédiat des effets des mesures de diminution des émissions de CO2 en fonction des objectifs de la ville. La consommation électrique est à l’origine de plus de la moitié des coûts énergétiques totaux. Les autres frais liés à l’énergie comprennent le gaz naturel,

le mazout, le carburant des véhicules et l’eau. C’est pourquoi la ville d’Anvers considère les projets comme celui du centre sportif Wilrijkse Plein comme une avancée dans la bonne direction. Cette année verra aussi l’implantation d’un système similaire dans des bureaux communaux à Linkeroever et dans un centre culturel à Deurne.

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Les merveilles du monde

700.000 tonnes de combustibles économisées grâce à la propulsion électrique des bateaux L’Azipod écologique d’ABB améliore le rendement de nombreux types de navires. La consommation de carburant diminue, et l’impact des navires maritimes sur l’environnement s’allège. Depuis l’introduction de ce concept de transmission par ABB voici 25 ans, on estime que plus de 700.000 tonnes de combustibles ont déjà été économisées.

Un Azipod rassemble la transmission et les fonctions de direction du bateau. Grâce à cette application, celui-ci peut naviguer avec la coque ou la poupe vers l’avant.

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Les merveilles du monde

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ionnier et leader du marché, ABB célèbre cette année les 25 ans de la transmission Azipod. La transmission électrique, où le moteur électrique équipé d’une hélice est logé dans une nacelle aérodynamique entièrement rotative en dessous de la coque du bateau, constitue désormais une valeur sûre dans la construction navale. Un Azipod rassemble la transmission et les fonctions de direction du bateau. Entretemps, les Azipods sont appliqués par défaut sur les grands navires de croisière et dominent également le marché des briseglaces et des navires-citernes qui fendent la glace. Le bateau à la fois remorqueur portuaire et brise-glace le plus innovant du moment est équipé de quatre transmissions Azipod. Grâce à cette application, il peut naviguer avec la coque ou la poupe vers l’avant.

20 % de consommation en moins Si nous nous basons sur une consommation d’environ une tonne de carburant par an pour une voiture de catégorie moyenne, l’économie réalisée correspond à la consommation annuelle de quelque 700.000 véhicules. L’application d’un Azipod réduit la consommation de carburant d’un bateau d’environ 20 %, et le rendement du système de transmission réglable est avantageux. Cela s’explique notamment par l’absence de transmission mécanique sous la forme de boîtes d’engrenages et de longues lignes d’arbres. De plus, les bateaux équipés d’Azipods peuvent être manœuvrés avec précision au décimètre près, sans nécessiter l’intervention de remorqueurs. Les Azipods conviennent pour l’application sur une large gamme de navires. Les transmissions sont installées sur le plus grand bateau de croisière du monde, capable d’accueillir 6.600 passagers. Par ailleurs, elles figurent sur les brise-glaces

modernes et sur un des plus grands navires-grues d’Asie. Les Azipods sont également placés avec succès sur les grands yachts de luxe et sur un bateau roll-on/ roll-off novateur récemment entré en circulation. Selon le courtier maritime de référence et le bureau d’études Clarkson Research, le nombre de bateaux dotés d’une transmission électrique augmente chaque année de 12 %, tandis que la flotte mondiale totale croît seulement de 3 % par an. Une amélioration permanente Jusqu’à présent, les transmissions Azipod ont enregistré 12 millions d’heures d’utilisation sur des bateaux commerciaux, des navires offshore et des bateaux spécialisés. « Tout comme il y a 25 ans, les ingénieurs d’ABB élaborent constamment des améliorations et des innovations, de sorte que l’Azipod demeure la solution adéquate pour tous les types de bateaux possibles à l’avenir également. Depuis le lancement du premier Azipod, le secteur de la navigation a connu de nombreux changements. La poursuite d’une

efficacité accrue, d’un impact moindre sur l’environnement, d’une sécurité d’exploitation plus élevée et de meilleures possibilités pour la manœuvre extrêmement précise des bateaux est toutefois restée un facteur constant. Le rôle moteur que joue aujourd’hui la propulsion au moyen d’Azipods incarne une preuve manifeste que nous répondons aux souhaits et aux besoins de nos clients », conclut Juha Koskela, Managing Director d’ABB Marine & Ports.

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Encore et toujours

« La technologie n’est pas un danger, c’est une opportunité »

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Encore et toujours

Depuis mai dernier, Marc De Groote est le nouveau président d’Agoria, la fédération belge de l’industrie technologique. Dès son premier discours, il a prononcé un fervent plaidoyer en faveur de la technologie, qu’il voit comme la clé d’un avenir meilleur. « L’évolution ne peut que suivre son cours et nous devons tout mettre en œuvre pour ne pas rater le train. » Quant à la manière dont nous devons nous y prendre, sa vision est on ne peut plus claire.

L

a technologie et l’innovation impliquent de grands défis. Nous verrons l’évolution dans toutes les dimensions de la société : au travail, dans l’enseignement, dans les soins de santé, mais aussi à la maison. Les TI et la numérisation sont universelles. C’est une réalité à laquelle nous sommes confrontés. Certains se posent des questions quant à notre future sécurité d’emploi. Aurons-nous encore besoin de chauffeurs si les voitures roulent toutes seules ? Quels emplois seront remplacés par des robots ? Pas de doute, ces problématiques sont à l’ordre du jour. À chaque nouvelle vague d’innovations, des emplois disparaissent, nous ne pouvons le nier. De nombreuses tâches manuelles sont devenues inutiles en raison de l’automatisation. Mais, dans le même temps, cette dernière a aussi créé de nouvelles fonctions. C’est ainsi que le nombre de contrôleurs et d’opérateurs chargés de surveiller les opérations a augmenté. Et, quoi qu’il en soit, nous aurons toujours besoin de travailleurs manuels dûment formés. Je n’entrevois pas non plus de problèmes pour les fonctions de haute technologie. La mise au point de concepts et les fonctions créatives continueront d’exiger notre intervention. En revanche, les ouvriers non qualifiés n’auront que peu ou pas d’opportunités. Toutes les tâches répétitives sont amenées à être prises en charge par des machines. L’intelligence artificielle et les robots autodidactes, ou self-learning robots, menacent même les médecins en raison de leur capacité à traiter de grandes quantités de données,

ce qui leur permet de détecter et d’analyser plus facilement les pathologies. Mais Agoria n’envisage pas cette évolution comme un danger. Au contraire, elle la voit plutôt comme une opportunité pour l’humain et pour les entreprises. À l’avenir, d’autres aptitudes seront nécessaires, et elles mèneront à de nouveaux emplois. Nous aurons par exemple besoin de personnes formées pour piloter les drones. Agoria souhaite créer un contexte qui élimine un maximum d’obstacles afin que nous ne rations pas le train. »

cet enjeu et on note déjà des avancées dans la bonne direction. Par exemple, après la fermeture de l’usine Volkswagen, le travail flexible a été autorisé et Audi en a immédiatement profité. En conséquence, la marque fait désormais construire ses nouveaux modèles et véhicules électriques chez nous. Mais les pouvoirs publics ne sont pas des entrepreneurs, et ils ne peuvent que concevoir des lois visant à faciliter les innovations technologiques. Intrinsèquement, nous disposons de compétences en suf-

« Nous devons continuer d’investir dans le capital humain. » Un modèle économique dépassé « Sur le plan de l’e-commerce, nous avons bel et bien pris du retard. Pour l’heure, le marché belge de l’e-commerce a été absorbé par des acteurs étrangers tels que bol.com. Cette situation s’explique en partie par un manque de flexibilité sur le marché du travail. Le modèle économique traditionnel, qui repose sur des emplois de neuf heures à dix-sept heures, est dépassé. Avec l’e-commerce, il faut pouvoir travailler en continu, le jour comme la nuit. Cette évolution demande des adaptations majeures de la structure des entreprises et chez les travailleurs. Les cadres sociaux et législatifs ne sont pas encore prêts pour ce changement. Toutefois, les politiques sont toujours plus nombreux à avoir compris

fisance : un enseignement de grande qualité, des scientifiques diplômés et une position géographique intéressante. Nous devons encore plus jouer sur ces atouts et les proposer sur le marché. L’entrepreneuriat coule dans notre sang, là n’est pas le problème, mais les Belges ont tendance à rester trop discrets. La petite taille de notre marché fait que nous ne sommes pas directement remarqués à l’échelle de l’économie mondiale, mais nous pouvons compenser cet aspect par la collaboration. Agoria prend des initiatives afin d’organiser ces groupements de coopération. La fédération s’emploie ainsi à rassembler des entreprises de divers secteurs autour d’un thème spécifique, tel que les villes intelligentes. Dans ce ABB et cetera 3|16

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Encore et toujours

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Encore et toujours

À propos d’Agoria Agoria est la fédération belge de l’industrie technologique. Avec plus de 1.700 membres, parmi lesquels ABB, Agoria est la plus grande fédération sectorielle de Belgique. Ses membres sont actifs à l’échelle nationale et internationale dans dix domaines axés sur le développement des activités, que celles-ci soient centrées sur des marchés, des produits ou des technologies. L’objectif de la fédération est de rassembler, défendre et soutenir ses

contexte, ABB joue un rôle de précurseur. Pas seulement grâce aux produits qu’elle met au point, mais aussi en tant qu’entreprise innovante qui insuffle une dynamique essentielle. ABB est d’ailleurs un acteur international qui affiche d’excellentes performances en matière de durabilité et d’innovation, et ce, dans tous les domaines. » La clé d’un nouveau bien-être « La durabilité implique d’utiliser moins de matières premières, de travailler plus efficacement et de miser sur les sources d’énergie renouvelables. Seule la technologie peut nous mener à ce résultat. Elle est la clé pour plus de bien-être : de meilleurs soins de santé, une qualité de vie optimale, un environnement plus sain... Des

membres. Pour ce faire, elle crée des cellules politiques auprès des autorités et des centres d’expertise afin d’aider ses membres à trouver la réponse à leurs questions liées aux talents et au marché du travail, à l’innovation, à l’énergie, à l’environnement, aux aspects sociaux et à la réglementation ainsi qu’à la normalisation. Par ailleurs, la fédération s’investit pour l’avenir des entreprises du secteur des technologies et des quelque 275.000 travailleurs qu’elles emploient.

qu’Uber ou Airbnb. Pour ce faire, ils n’ont même plus besoin d’actifs. Il est néanmoins important que les nouveaux entrepreneurs soient soutenus et reçoivent les facilités requises. Surtout depuis que les banques ont été soumises à des règles strictes et ne peuvent plus prendre de risques à cause de la crise financière. Aux États-Unis, les capitaux à risque sont davantage disponibles, et chez nous la situation commence aussi à changer. Il y a beaucoup d’argent à disposition et, puisqu’il ne rapporte presque plus rien dans les banques, on peut s’attendre à ce qu’une partie soit injectée dans les entreprises et dans l’économie. Je pense que cela nous sera très favorable. »

« Les changements sont source d’incertitude. Mais il ne sert à rien de nous accrocher au passé. » améliorations dont nous profiterons tous. Ces modifications vont inéluctablement de pair avec une autre manière de vivre et de réfléchir. Les changements sont source d’incertitude et de craintes chez bien des personnes. Mais n’oublions pas qu’il ne sert à rien de nous accrocher aux acquis du passé. Ils ne sont tout simplement plus applicables à l’avenir. Agoria souhaite ouvrir le débat à ce sujet aux côtés d’autres partenaires sociaux. L’exercice demandera à toutes les personnes autour de la table de faire preuve d’ouverture d’esprit. Nous devons nous adapter, car certains acteurs prennent eux-mêmes des initiatives et imaginent de nouveaux modèles d’entreprise, tels

Détecter les compétences « Nous devons aussi continuer d’investir dans le “capital humain”. L’afflux de l’enseignement vers les fonctions technologiques est insuffisant. Nous constatons une pénurie systématique d’ingénieurs et de diplômés de l’enseignement supérieur. Avec Agoria, nous sommes à l’origine de nombreuses initiatives visant à inciter les jeunes à se tourner vers une formation technologique. C’est pourquoi nous invitons régulièrement des PDG d’entreprises de TI à venir prendre la parole devant une classe. Nous lançons aussi des campagnes pour les développeurs de jeux vidéo. Peutêtre devons-nous revoir le parcours de formation ? L’enseignement supérieur gé-

néral est une formation générale solide, mais celle-ci est-elle suffisante pour rester compétitif sur le marché du travail de demain ? L’enseignement supérieur technique n’ouvre-t-il pas plus de portes à certains jeunes ? Je pense qu’il est de plus en plus important de détecter plus tôt les atouts et les compétences des enfants et des jeunes, et de les stimuler à les renforcer. Les classes STEM (Science, Techno­ logy, Engineering & Mathematics) constituent un premier pas dans ce sens. Évidemment, les enseignants ont un rôle important à jouer à ce niveau. Il n’est pas question de les transformer en techniciens, mais je pense que davantage de soutien et d’informations en provenance du monde des entreprises leur seraient bénéfiques. Des classes d’initiation animées par des ingénieurs (en informatique ou autre) peuvent être une solution. Les centres de connaissances et universités doivent eux aussi s’adapter et peut-être se défaire d’un cadre d’enseignement purement théorique qui part d’une vision très large. Je remarque que les ingénieurs américains se spécialisent bien plus souvent dans un domaine en particulier. Chez nous, un ingénieur peut être embauché partout et il sait comment aborder les problèmes de manière générale, mais souvent son potentiel ne devient rentable qu’après quelque temps. À l’inverse, les entreprises d’aujourd’hui ont besoin de solutions instantanées au sein d’un marché en rapide évolution. Les stages sont également essentiels. Aux Pays-Bas, peu de diplômés de l’enseignement supérieur quittent l’école sans emploi. La raison ? Ils ont acquis leur première expérience professionnelle dans le cadre de stages. C’est un aspect sur lequel nous pouvons encore beaucoup progresser en Belgique. Nous nous faisons un plaisir d’y travailler en coopération avec Agoria. » ABB et cetera 3|16

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For a better world

ABB contribue à l’enseignement de demain L’innovation et la technologie sont des notions fondamentales dans l’économie de la connaissance contemporaine. Il est préférable d’en établir les bases le plus tôt possible. Dès lors, préparer les jeunes à la technique et aux sciences s’avère plus nécessaire que jamais, et une meilleure collaboration entre les écoles et les entreprises constitue une excellente manière d’y parvenir. C’est pourquoi ABB a invité des enseignants du lycée néerlandais Dalton de Barendrecht à visiter l’Experience Center belge à Zaventem.

Martin van der Have d’ABB Robotics fait visiter l’Experience Center aux enseignants du Dalton Lyceum.

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For a better world

L

e lycée Dalton est membre de Jet-Net, un partenariat néerlandais entre les écoles et l’industrie. Jacqueline Pereboom, Corporate Recruiter chez ABB à Rotterdam, est responsable des contacts avec l’enseignement, au nom du service RH. « Nous travaillons désormais avec deux écoles par le biais de Jet-Net. En tant qu’entreprise technologique, j’estime essentiel que nous entretenions des contacts avec les écoles. Tant les enseignants que les élèves ne connaissent souvent pas nos activités ni l’étendue de notre gamme. Ainsi, ils n’ont aucune idée des possibilités de carrière que nous réservons aux jeunes ici. » On aime peu ce qui nous est inconnu. Martin van der Have, Sales & Marketing Manager d’ABB Robotics, rejoint cet avis. Il donne régulièrement des conférences dans des écoles et remarque systématiquement que les jeunes parviennent à peine à se représenter un emploi dans le secteur technologique. « Dans les films et les séries télévisées, ils observent uniquement des professions familières comme médecin, avocat ou gestionnaire de ventes. Si l’on aperçoit un monteur au travail, il répare quelque chose les mains sales, comme si la technique allait de pair avec cette image. Je dépeins un tableau quelque peu en noir et blanc, mais l’école établit rarement le lien entre la technologie et des métiers concrets. Une visite d’entreprise peut éclairer les esprits à cet égard. »

Marché des professions Les enseignants du lycée Dalton partagent cette opinion. La plupart connaissaient ABB de nom ou de la robotique tout au plus. Le professeur de physique Wijnand Prins est surpris de l’envergure internationale. « ABB nous a déjà rendu visite à plusieurs reprises, quelques applications m’étaient donc déjà familières. Cependant, je ne savais pas que la société présentait une telle étendue. Chaque année, nous organisons un marché des professions pour la classe de troisième. Nous y invitons des entreprises techniques ou scientifiques et nous constatons que les jeunes connaissent peu les métiers qui y sont liés. Pendant les cours, j’y consacre une attention particulière. Lorsque nous abordons les lentilles et la lumière, j’explique par exemple ce que

fait un opticien. Quand nous passons aux forces et aux systèmes, nous étudions le fonctionnement d’une grue. De tels exemples tirés de la vie quotidienne sont pertinents pour les élèves. » À l’œuvre avec les robots Les robots industriels de l’Experience Lab impressionnent les enseignants. Après un exposé théorique, à eux de jouer. En groupes, ils font exécuter toutes sortes de tâches aux robots, comme placer un paquet de cartes sur un tapis roulant ou dessiner un modèle. « Je trouve cela très chouette », déclare Annette ten Wolde, professeur de physique. « Au début, diriger le robot est un peu un cassetête mais ensuite, on se débrouille plutôt bien. Il serait également intéressant que les élèves puissent observer les différents robots à l’oeuvre et tester d’euxmêmes. » Annette compte parmi les rares femmes de l’organisation. Est-ce toujours les garçons qui choisissent principalement des études scientifiques ou technologiques ? « En effet », confirme-t-elle. « Aux Pays-Bas, nous avons des initiatives comme le Girlsday, où les filles de 10 à 15 ans jettent un coup d’œil dans les coulisses des entreprises technologiques. J’observe alors leurs yeux s’écarquiller, mais nous pouvons certainement placer la barre plus haut. » Intérêt social En participant à Jet-Net, ABB contribue indirectement à la formation de davantage de techniciens, pour rester compétitif dans un marché mondial très changeant. Cet intérêt social ne peut pas être sous-estimé, juge Martin van der Have : « Nous rencontrerons des problèmes si nous avons trop peu de techniciens à l’avenir. Nous avons besoin de profils très variés : des employés

créatifs au département Engineering, des techniciens compétents au département Service et du personnel ayant le sens de la communication pour la vente. » Une multitude d’écoles se montrent sensibles à une meilleure collaboration avec les entreprises, et accueillent volontiers des professionnels désireux de partager leur expérience pratique, comme le prouve également la liste d’attente de Jet-Net. Un besoin manifeste d’entreprises supplémentaires dans le réseau se fait en effet sentir. « Je comprends que certaines sociétés ne se lancent pas dans l’aventure, car cela requiert du temps. Toutefois, nous pouvons obtenir de meilleurs résultats ensemble. Je suis fière d’y contribuer avec ABB », ajoute Jacqueline Pereboom.

Qu’est-ce que Jet-Net ? À l’aide du lancement de Jet-Net en 2002, les Pays-Bas ont pris les devants dans le développement d’un partenariat entre l’enseignement et les entreprises. L’objectif vise à donner une image réelle de la bêta et de la technologie aux élèves du secondaire, ainsi qu’à éveiller leur intérêt pour une formation dans ce domaine. Pratiquement quinze ans plus tard, l’organisation de coordination est considérée comme un bon exemple de promotion STEM (Science, Technology, Engineering and Maths) en Europe. Jet-Net rassemble 87 entreprises, 175 écoles et 42 partenaires.

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Produit Marine & Ports

ABB remplace le système de mesurage de la torsion ABB lance le Torductor Marine, un système de mesurage de la torsion repensé pour les navires maritimes qui vise à augmenter l’efficacité des moteurs marins.

Le Torductor Marine est officiellement commercialisé à l’issue d’un essai fructueux sur le ferry Stena Scotia de Stena Line. Le nouveau système de mesurage de la torsion d’ABB repose sur 50 ans d’expérience du mesurage de la torsion dans les hélices marines et s’intègre parfaitement au portefeuille Marine Software d’ABB. Cette suite de produits logiciels assure notamment la visualisation à bord par l’équipage de toutes sortes d’indicateurs clés de performance liés à l’efficacité et au carburant. Ces données peuvent ensuite être partagées par l’intermédiaire d’un environnement en ligne en vue d’une analyse plus poussée dans les bureaux, par exemple du propriétaire du navire ou de son gestionnaire. L’expérience pilote initiale s’est déroulée sur le navire Stena Scotia de Stena Line. Dick van der Ent, Technical Superintendent et Energy Saving Engineer chez Stena Line, explique : « À l’issue d’un essai concluant du Torductor Marine sur l’arbre de l’hélice bâbord, Stena a convenu avec ABB d’installer le capteur de manière permanente et de procéder à l’achat d’un second capteur pour l’arbre de l’hélice tribord. » Le Torductor Marine est conforme à la réglementation de l’Organisation maritime internationale (OMI) et plus particulièrement aux règles du Plan de gestion de l’efficacité énergétique des navires (SEEMP), obligatoire depuis 2013 pour les navires maritimes. Les grands atouts du nouveau système de mesurage de la torsion résident dans le principe de conception universelle, la technologie ne nécessitant ni contact ni entretien, et l’installation simple et rapide du système. 26

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Avantages − − Principe de conception universelle − − Technologie ne nécessitant ni contact ni entretien − − Système simple et rapide à installer


Produit Low Voltage

Une installation sûre pour les panneaux solaires L’énergie durable ne cesse de gagner en importance. Les combustibles fossiles s’épuisent et sont en outre néfastes pour l’environnement. Impliqué dans le développement de la technologie solaire depuis le début des années 1990, ABB propose un kit de sécurité photovoltaïque complet pour les installations photovoltaïques industrielles et commerciales. Réflexion attentive En raison de son caractère particulier, une installation photovoltaïque demande une réflexion très approfondie en ce qui concerne les composantes de protection nécessaires. Les panneaux solaires ne peuvent pas s’éteindre automatiquement en cas de tensions trop élevées et apportent simultanément du courant dont le voltage varie entre 300 et 600 VDC. Cela entraîne des dangers. Pour éviter un court-circuit ou un incendie, réfléchir soigneusement à une installation électrique sûre s’impose. C’est pourquoi nous recommandons de prévoir au moins un sectionneur de la classe DC21 et de veiller à une bonne isolation. Kit de sécurité ABB propose un large éventail de solutions pour une installation photovoltaïque sécurisée. À cet effet, nous misons sur notre expertise unique en termes d’utilisation sûre, de stockage d’énergie solaire et de transformation effective en courant fiable. Le kit de sécurité comprend des onduleurs monophasés et triphasés des dispositifs différentiels résiduels, des blocs différentiels, des protections contre les surtensions, des sectionneurs, des fusibles, des disjoncteurs, des compteurs d’énergie et des transformateurs de courant.

energiemeter voor meting van de geproduceerde energie

Avantages −− Kit de sécurité étendu −− Flexibilité élevée et durée de vie plus longue −− Tableaux de distribution entièrement assemblés et certifiés

,G

kWh

kWh

Meetaansluitpunt op energiedistributienetwerk

En outre, ABB dispose de solutions plug & play : des tableaux de distribution entièrement assemblés et certifiés. Ceux-ci conviennent pour la sécurisation des panneaux solaires sur le toit d’un consommateur, mais aussi pour les grandes cellules solaires industrielles. Vous pouvez vous adresser à ABB pour l’ensemble des composants de sécurité photovoltaïque et le stockage de batterie. Plus d’informations : http://bit.ly/2c7pS8T

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Produit Low Voltage

Nouveaux commutateurs à cames Compacts, puissants et polyvalents

La nouvelle gamme de commutateurs à cames OC 10 A/25 A est compacte, sûre, fonctionnelle et simple d’utilisation. Outre un large éventail de produits de qualité standard directement applicables, ces commutateurs à cames sont également disponibles entièrement sur mesure. Applications multiples Les commutateurs à cames sont adaptés à pratiquement toutes les situations. Grâce à leur configuration modulaire, à la position horizontale ou verticale des blocs de jonction et aux diverses possibilités de montage, vous trouverez toujours l’interrupteur qui vous convient. Leurs matériaux de qualité et leur conception brevetée les rendent par ailleurs particulièrement solides et leur permettent de fonctionner dans les conditions les plus rudes.

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Avantages − − Compacts et fonctionnels − − Sûrs et simples d’utilisation − − Des commutateurs solides qui fonctionnent dans les conditions les plus rudes


Produit Low Voltage

Les dispositifs différentiels résiduels d’ABB font la différence Les nouveaux dispositifs résiduels F200 B d’ABB évitent tout arrêt non souhaité et offrent un gain de place significatif sur le panneau de commande. L’utilisation croissante de l’électronique de puissance entraîne des courants de fuite qui ne sont pas détectés par une protection différentielle de type A - destinée à des courants de fuite sinusoïdaux et à des courants différentiels continus pulsés. Les applications médicales, industrielles et photovoltaïques recourant à de nombreux convertisseurs de fréquence et/ou systèmes UPS rencontrent également ce problème. Une panne (de production) peut engendrer des conséquences financières considérables. La sécurité et la continuité constituent des facteurs essentiels dans ces environnements. Prévention des arrêts non désirés Les nouveaux dispositifs résiduels F200 B d’ABB font la différence. Ils vous protègent de différents types d’erreurs, quelle que soit la forme d’onde de courant, et évitent de ce fait tout arrêt non souhaité. Le F200 B convient aux charges non linéaires causées par des courants de fuite DC élevés (supérieurs à 6 mA) de redresseurs, d’alimentations commutées, de régulateurs de fréquence et d’éclairages led par exemple. Les dispositifs sont particulièrement adaptés pour une application dans des installations photovoltaïques et des bornes de recharge pour voiture électrique. Avantages −− Plage de courant : 16 A – 125 A −− Uniques : le modèle à 2 pôles présente la largeur de deux modules seulement −− Grande fiabilité contre les arrêts non souhaités −− Conviennent pour un réseau monophasé ou triphasé avec et sans neutre −− Disponibles en 30, 300 et 500 mA −− Testés pour des températures ambiantes extrêmes de -25 °C à +60 °C

Uniques en leur genre Les dispositifs sont novateurs, compacts et uniques en leur genre, car le modèle 2 pôles présente la largeur de deux modules seulement, offrant ainsi une économie d’espace significative sur le panneau de commande. En outre, les dispositifs résistent à des températures ambiantes extrêmes de -25 °C à +60 °C !

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Hotspot

Présence d’ABB Robotics aux salons professionnels Metavak et New Industries ABB Robotics est le leader dans la fourniture d’automates industriels et des services associés. À la rentrée, ABB exposera ses solutions robotiques aux salons professionnels Metavak et New Industries.

L

es deux salons seront l’occasion pour vous d’admirer le YuMi d’ABB, un robot à deux bras, spécialement mis au point en vue d’un rôle de collaboration et d’assistance humaine. Lors de sa conception, les ingénieurs ont tout particulièrement tenu compte de la sécurité dans des situations où les humains travaillent main dans la main avec des automates. Metavak, du 1er au 3 novembre à Gorinchem Metavak est le salon professionnel pour le secteur de la métallurgie, où se rencontrent les fournisseurs et utilisateurs de machines, équipements et services de transformation du métal. À cette occasion, ABB mise sur les dernières tendances, car l’industrie du métal est en pleine évolution. Aux Pays-Bas, la mécanisation et l’automatisation y jouent en

effet un rôle sans cesse plus important. Généralement, Metavak est fortement axé sur les techniques de soudage rapides et intelligentes. Le stand ABB présentera dès lors un exemple spectaculaire de produit soudé au moyen de procédés propres à l’entreprise. Le recours à la robotique permet l’amélioration et l’accélération de nombreux procédés. Les petites et moyennes entreprises qui souhaitent accélérer et automatiser leur production n’en ont toutefois pas toujours la capacité financière. Pour malgré tout leur permettre de moderniser leurs procédés, ABB propose des “premium refurbished robots” : des robots utilisés, remis à neuf par ABB. La mise à niveau est non seulement matérielle, mais aussi logicielle. Tous les “refurbished robots” sont testés avant livraison par ABB, qui leur fait passer une inspection détaillée en 152 points assortie d’un test ad hoc de

24 heures. ABB offre ainsi un large choix de “refurbished robots” livrables de stock ; de quoi éviter les longs délais d’attente. Metavak nous donne l’occasion de présenter toutes les possibilités du “refurbishment” au moyen d’un robot totalement révisé. New Industries, du 6 au 8 décembre à Gorinchem Ces prochaines années, les évolutions technologiques connaîtront un important essor au sein de l’industrie. Grâce à une coopération dans la conception d’idées innovantes et à l’échange de connaissances, l’industrie manufacturière devrait pouvoir être élevée à un niveau supérieur. ABB s’investit de longue date dans l’amélioration des performances et la réduction de l’empreinte environnementale. New Industries est donc l’occasion de présenter nos solutions robotiques à la fois compactes et précises. C’est notamment le cas du robot collaboratif YuMi, qui ne nécessite pas l’installation de barrières de protection, offrant ainsi un large gain de place. Ou encore de l’IRB 1200 avec son bras articulé : un automate déployant des cycles courts et une précision de répétition de 20 micromètres. Ce robot compact ne pèse que 52 kg et affiche une charge utile de 7 à 9 kg pour une portée de 700 à 900 mm. Bref, un outil polyvalent particulièrement impressionnant ! Metavak aura lieu les 1er, 2 et 3 novembre 2016. Le salon New Industries se tiendra quant à lui du 6 au 8 décembre 2016. Nos collaborateurs sont d’ores et déjà impatients de vous accueillir à l’Evenementenhal de Gorinchem à ces deux occasions.

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L’année

L’année 1950 A

près les ravages causés par la Seconde Guerre mondiale, l’Europe met un certain temps à se remettre sur pied. Les investissements dans des installations techniques plus récentes et moins énergivores se font donc quelque peu attendre. Or, à cette époque, la sidérurgie connaît un véritable essor dans la province belge du Hainaut. En 1950, BBC équipe les grandes forges et fonderies de Thy-le-Château, à Marcinelle, près de Charleroi, d’une turbine à vapeur de 12,5 MW, afin de

générer l’énergie électrique nécessaire à leurs procédés. À l’avant-plan se trouve la pompe d’alimentation, qui fournit à la turbine une vapeur à 425 °C soumise à une pression de 32 atmosphères. Le générateur électrique déployant 3.000 tr/ min constitue la partie arrière du groupe machine. Le dimensionnement bien pensé permet d’obtenir des résultats optimaux tout en limitant à un minimum les pertes potentielles. Après une fusion opérée en 1981, l’usine de Thy-le-Château est intégrée au groupe Cockerill-Sambre. La turbine à

vapeur représentée sur la photo est alors toujours en activité, après 30 ans de service. Comme quoi, les prédécesseurs d’ABB avaient déjà à cœur de fournir des installations de qualité offrant une longue durée de vie…

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JSB

Naturellement.

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Croissance économique, urbanisation rapide et besoins croissants en matière de transports publics entraînent une extension des réseaux de tram, métro et chemin de fer à l’échelle mondiale. ABB propose toute une série de produits et solutions pour les transports urbains, les liaisons ferroviaires régionales et les lignes internationales à grande vitesse. De quoi transporter personnes et marchandises de manière à la fois plus rapide et plus efficace. L’offre d’ABB se compose de produits, systèmes et services fiables et performants destinés aux installations d’alimentation stationnaires et aux dispositifs de traction sur matériel roulant. Le portefeuille existant d’ABB dans le domaine ferroviaire montre bien le rôle essentiel joué par le groupe en faveur d’une mobilité durable. www.abb.com/betterworld

19-09-2016

Une mobilité durable pour des millions de personnes ?


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