et cetera 03/2017 FR

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et cetera MAGAZINE POUR LES CLIENTS D’ABB BENELUX 03/2017 fr

D’UN HANGAR À UN CENTRE DE DONNÉES D’ENVERGURE INTERNATIONALE

BB fournit une mise à A niveau complète de l’infrastructure électrique — DU CHANGEMENT DANS LES HAUTES SPHÈRES ALFONS GOOS PASSE LE FLAMBEAU À JO PAUWELS

— DE L’EAU POTABLE EVIDES OPTE POUR L’AUTOMATISATION DES PROCÉDÉS PAR ABB FREELANCE

— FÉDÉRER L’ÉLECTROTECHNIQUE FEDET CRÉE DES RELATIONS DANS L’INDUSTRIE ÉLECTROTECHNIQUE

— BY THE OCEAN WE UNITE ABB S’EMBARQUE POUR RENDRE LES OCÉANS PLUS PROPRES


E T C E T E R A 0 3/ 17 É D I TO & S O M M A I R E

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— ÉDITO

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Chère lectrice, cher lecteur, L’année 2017 touche à sa fin. Cette année, marquée par une transformation en matière de compétitivité et de numérisation, fut de nouveau riche pour ABB. Nous avons ainsi réalisé des développements offrant de nombreuses possibilités d’une part, et prouvant clairement que nous sommes de nouveau en pleine croissance, d’autre part. Par ailleurs, vous le remarquerez à cette édition d’Et cetera entièrement repensée depuis cette année. JO PAUWELS, Managing Director ABB Benelux

En tant que nouveau Managing Director d’ABB Benelux, je suis très enthousiaste et fier de reprendre les rênes des mains d’Alfons Goos et de diriger cette entreprise dans le monde de la technologie en perpétuel mouvement. L’une des priorités est de maintenir la continuité de la politique. Et je suis heureux de pouvoir compter, pour ce faire, sur le soutien d’une équipe professionnelle, ouverte et transparente, prête à tout donner pour ABB – et surtout pour vous. Plus que jamais, nous nous concentrons sur nos clients. Nous voulons passer du temps avec vous pour apprendre à vous connaître. La transition énergétique, le progrès vers la numérisation, la quatrième révolution industrielle… De nombreuses transformations nous attendent encore, qui poseront plusieurs défis importants.

Cependant, nous les envisageons comme une opportunité que nous saisirons ensemble. Nous devons nous adapter en permanence aux évolutions du secteur, qu’il s’agisse de l’efficacité énergétique ou de l’automatisation des processus. Nous considérons toujours la rapidité et la qualité comme des éléments clés. En outre, le changement nous permettra de mettre encore à profit notre caractère innovant. Nous sommes des pionniers de la technologie et nous comptons bien le rester ! Pour jouer ce rôle, nous avons naturellement besoin des gens ; nous continuons d’investir en eux également. En effet, nos collaborateurs font la différence (pour vous). C’est aussi pour cette raison que nous travaillons en étroite collaboration avec l’enseignement, afin d’éveiller l’intérêt de la plus jeune génération pour la technologie. L’année 2018 sera synonyme de dur labeur, mais je l’envisage en toute confiance. Je remercie Alfons pour son dévouement pendant toutes ces années passées dans sa fonction de Managing Director. Je vous souhaite d’ores et déjà une bonne fin d’année et un excellent début d’année. Bonne lecture !


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10 — SOMMAIRE 04

Vue panoramique YuMi aux commandes

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Prise de pouls Entretien d’Alfons Goos avec son successeur Jo Pauwels

10 Perspective ABB et Van Lente éveillent l’intérêt des étudiants pour la technologie 12 Au travail Calais Seaways navigue de façon économe en énergie 14

Au travail Evides et ABB s’allient pour l’eau potable

18 Au travail ABB fournit une solution complète de centre de données

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Les merveilles du monde Des systèmes de diviseurs de basse tension contrôlés et optimisés

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Encore et toujours Fedet met en relation les organisations actives dans l’électrotechnique

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For a better world By the Ocean we Unite a pour objectif de rendre les océans plus propres

32 Produits Quelles sont les nouveautés ? 34 L’année... 1946, reconstruction et renouveau Et cetera 03|17 - Une publication d’ABB Benelux Editeur responsable: Marco Moerland ABB N.V., Hoge Wei 27, 1930 Zaventem - Copyright 2017 Concept Head Office Rédacteur en chef Marco Moerland Commission rédactionnelle Ellyne Temmerman, Karin Bot, Marco Moerland en Jos Bernaards Ont collaboré à ce magazine John Edwards, Inne Vanden Bremt, Sven Van Herck, Amandine Philippe, Dries Luyten, Nando Harmsen,

Jan Caris, Matthieu Irion, Peter van der Horst, Griet Byl, Marleen van Leeuwen


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ZOOM YUMI, CHEF D’ORCHESTRE

— YuMi, le chef d’orchestre Incroyable mais vrai : lors d’un concert donné en septembre à Pise, l’orchestre philharmonique de Lucca n’a pas été dirigé comme à l’accoutumée par Andrea Colombini, mais par un robot baptisé YuMi. Une grande première menée aux côtés de l’un des plus célèbres ténors italiens, Andrea Bocelli ! Plus de 800 personnes l’ont ainsi vu diriger trois morceaux lors du gala du premier Festival international de la robotique – dont la célèbre aria « La donna e’mobile », extraite de l’opéra Rigoletto de Verdi. Andrea Colombini avait personnellement « coaché » YuMi en vue de l’événement. Pendant les répétitions, les bras du robot ont été guidés de manière à reproduire les mouvements du chef d’orchestre dans les moindres détails, des mouvements qui ont été enregistrés puis synchronisés avec la musique dans le logiciel RobotStudio d’ABB. Ulrich Spiesshofer, le CEO d’ABB, n’est pas peu fier de cet exploit. « Nous écrivons l’histoire et traçons l’avenir des applications robotiques. YuMi a prouvé à quel point il était capable d’apprendre seul. » Andrea Bocelli s’est lui aussi montré très enthousiaste. « J’ai adoré me produire sur scène avec YuMi. Cela prouve que lorsqu’un maestro et des techniciens de talent unissent leurs forces, un robot est tout à fait capable de diriger un orchestre. »


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P R I S E D E P O U L S J O PA U W E L S , N O U V E A U C E O

ENTRETIEN DU CEO ALFONS GOOS AVEC SON SUCCESSEUR JO PAUWELS

« Le plus grand défi ? Stimuler l’entrepreneuriat innovant et local » Il n’arrive pas tous les jours qu’ABB Benelux dise au revoir à un membre de la direction après une longue carrière bien remplie. Début novembre, ce moment est pourtant venu. Alfons Goos, le Country Managing Director sortant, a passé le flambeau à Jo Pauwels, son estimé collègue, pour profiter d’une retraite bien méritée. L’opportunité rêvée de réaliser une double interview.

Alfons, vous avez mené une carrière de 33 ans bien remplie au sein du groupe. Vous rappelezvous encore comment tout a débuté ? AG : « À l’issue de mes études d’ingénieur-soudeur, j’ai commencé à travailler dans une entreprise qui avait été absorbée par ABB. An cours de ma carrière, j’ai exercé différentes fonctions de cadre, locales et internationales. J’ai ainsi travaillé un certain temps en Extrême-Orient, plus précisément en Chine et au Japon, où j’ai été responsable dès 1996 de la mise sur pied des activités liées à la robotique. Il s’agissait d’une mission particulièrement exigeante, mais passionnante. En 2007, je suis revenu en Belgique pour y exercer la fonction de Country Manager. » C’était tout à fait différent. S’agissait-il d’un choix délibéré ? AG : « Certainement. Ma passion pour la robotique rivalisait avec l’ambition de diriger un jour une entreprise. Tenir les rênes d’ABB à l’échelle nationale revêt une tout autre dimension : au lieu d’être actif sur le terrain, il faut superviser à distance toutes les activités et les mener à bien. Il faut aussi assumer les aspects administratifs et tenir compte du contexte économique plus large. Ce dernier s’est d’ailleurs fortement mondialisé. »

De quoi êtes-vous le plus fier ? AG : « Comme je l’ai déjà dit, je repense avec satisfaction à la mise sur pied de la robotique en Chine. C’était un défi gigantesque de passer du petit pays qu’est la Belgique à un grand marché tel que la Chine, caractérisé par une culture entièrement différente et un marché défini par des entreprises publiques. J’y suis quand même parvenu et je suis très content qu’un tiers de notre production mondiale de robots se vende maintenant en Chine. Cependant, nous vivons actuellement une époque très exaltante, notamment grâce à la numérisation, la transition énergétique, la quatrième révolution industrielle et les chances et défis qu’elles créent. »


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« Il y règne une atmosphère constructive, alliée à l’attitude solidaire et positive de l’équipe locale. Je pense que mon prédécesseur a instauré une politique de franche discussion. » JO PAUWELS


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P R I S E D E P O U L S J O PA U W E L S , N O U V E A U C E O

— PLEINS FEUX SUR JO PAUWELS Jo Pauwels, avec qui vous avez longtemps travaillé, prend votre relève. Quel bon conseil aimeriez-vous lui donner ? AG : « Outre l’accent mis sur la numérisation et l’attribution à ABB d’une place dans la quatrième révolution industrielle qui l’accompagne, je pense que le défi consiste surtout à continuer à se concentrer sur les événements extérieurs. Dans cette optique, il est important de consacrer beaucoup de temps aux clients et de bien les écouter. Par ailleurs, je pense qu’il est essentiel, pour un directeur, de mener une politique honnête et transparente. Jo et moi partageons des valeurs identiques ; j’ai donc toute confiance en sa réussite. » De quoi vous réjouissez-vous en tant que futur chef d’entreprise débordé à la retraite ? AG : « Tout en étant pensionné, je continue à effectuer plusieurs tâches professionnelles. Ainsi, j’occupe toujours un siège au conseil de direction d’Enervalis, une start-up active dans le domaine de l’énergie. De surcroît, je veux consacrer plus de temps à ma famille : en premier lieu à ma femme, qui m’a toujours soutenu dans ma carrière, et aussi à mes trois fils et cinq petites-filles. De plus, mon épouse et moi envisageons un voyage autour du monde : j’ai séjourné dans de nombreuses villes, mais sans avoir vraiment le temps de beaucoup les visiter. Aujourd’hui, nous voulons rattraper cela. » Jo, tout comme votre prédécesseur, vous pouvez vous prévaloir d’une longue carrière chez ABB. Pourriez-vous nous résumer celle-ci ? JP : « À l’issue de mes études d’automatisation industrielle et après avoir obtenu mon diplôme complémentaire en gestion, en 1981, j’ai commencé à

Originaire de Flandre-Orientale (Belgique), Jo Pauwels a 58 ans. Il est marié, père de quatre enfants et grand-père de trois enfants. Il a étudié l’automatisation industrielle à la Haute École industrielle de Gand. En outre, il a obtenu un diplôme de spécialisation en gestion de la Vlerick Business School à Louvain et à Gand. À l’issue de ses études, en 1981, il a commencé à travailler chez ASEA, avant d’occuper diverses fonctions au sein de Robotics Benelux après la fusion de 1988. Il a ensuite travaillé comme cadre dans des filiales de cette firme situées respectivement en Allemagne, en France et en Suisse. Dans le cadre de sa nouvelle fonction, il rendra compte à Jacques Mulbert, Oversight Country Managing Director pour la France. Jo exercera ses activités à Zaventem (Belgique) et à Rotterdam (Pays-Bas).

« Nous vivons actuellement une époque très exaltante, grâce à la numérisation, la transition énergétique, la quatrième révolution industrielle et les défis qu’elles créent. » ALFONS GOOS

travailler chez ASEA. En 1988, le groupe ABB l’a absorbée et, depuis, j’ai exercé plusieurs fonctions locales au sein de Robotics Benelux, avant de travailler comme cadre dans des filiales de cette firme, situées respectivement en Allemagne, en France et en Suisse. Depuis 2017, j’occupe la fonction de Service Manager dans la division Robotics & Motion et celle de PG Manager Motor & Generator Service. » Vous attendiez-vous à cette nomination ? JP : « Elle ne tombe pas du ciel ; nous nous y préparons depuis un certain temps. Cet aboutis-


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sement plaît à l’homme fidèle à une entreprise que je suis. En outre, cette nouvelle mission représente aussi une forme de retour aux sources. J’ai, en effet, exercé de nombreuses fonctions mondiales et me suis moins chargé du Benelux. » En quoi consistera votre première tâche ? JP : « Elle comportera trois volets. En premier lieu, je dois me familiariser avec le marché. Il a assurément connu de multiples changements. Ensuite intervient le facteur « personnel » : le travail n’est pas devenu plus facile. Les effectifs subissent une pression élevée et je trouve qu’il faut garder leur motivation intacte. Il faut aussi tenir compte de la performance, de la compétitivité à atteindre et à maintenir, aussi en matière de qualité, de flexibilité et de rapidité. Je crois que le plus grand défi consiste à stimuler à nouveau l’entrepreneuriat innovant et local. Je veux me focaliser sur cette démarche, entre autres en ne pénalisant pas les gens qui ne réussissent pas tout de suite. » L’entrepreneuriat responsable figure également au premier rang des priorités. AG : « C’est exact. Les préoccupations écologiques

ont toujours fortement marqué notre politique. À titre d’exemple, nous nous engageons pour l’énergie renouvelable et l’optimisation des performances énergétiques, aussi bien dans notre propre entreprise que pour nos clients. Nous accordons de l’importance à la mobilité de notre personnel et à un équilibre sain entre le travail et la vie privée. Pour nous, la durabilité n’est pas un vain mot. Elle se concrétise par la sécurité et l’intégrité. » JP : « De surcroît, je souhaite continuer à investir dans des formations. ABB injecte beaucoup d’argent dans ces dernières, car ce sont les personnes qui font la différence. Il s’agit d’un point essentiel, vu le rythme plus soutenu et la complexité accrue qui caractérisent l’époque actuelle. Nous possédons 17 implantations au Benelux, représentant autant d’aspects culturels différents qu’il est crucial de gérer. Il y règne toutefois une atmosphère constructive, alliée à l’attitude solidaire et positive de l’équipe locale. Je pense que mon prédécesseur a instauré une politique de franche discussion. Par conséquent, la confiance règne parmi les membres de la direction. Je m’attends à un soutien et à une conduite identiques. »


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P E R S P E C T I V E C O E F F R E T S D E D É M O N S T R AT I O N P O U R T R AVA U X P R AT I Q U E S

— « Investir dans une nouvelle génération d’électrotechniciens » ABB ET VAN LENTE RENFORCENT LES COMPÉTENCES PRATIQUES DES ÉTUDIANTS

Les travaux pratiques sont indispensables à la formation des étudiants. C’est pourquoi ABB et Van Lente Systeemintegratie ont fourni à diverses écoles techniques des coffrets de démonstration équipés de variateurs ABB leur permettant de réaliser plus de 50 exercices de câblage et de résolution de problèmes.

Pour les entreprises techniques, il est essentiel que les compétences des étudiants en mécatronique et en électrotechnique soient au point et que leurs connaissances reflètent les évolutions du secteur. C’est pourquoi Paul Christenhusz, formateur chez Van Lente, a préparé du matériel pédagogique à leur intention. ABB a fourni les composants pour les coffrets, qu’il a ensuite assemblés en fonction des souhaits des enseignants. AMÉLIORER LES COMPÉTENCES PRATIQUES Van Lente est une entreprise spécialisée dans l’automatisation des lignes de production, surtout dans le secteur de l’alimentaire. « Nous permettons aux étudiants en mécatronique et en électrotechnique de gagner de l’expérience sur le terrain», explique Paul. « Nous avions déjà la Van Lente Academie, mais voulions aussi travailler avec des centres de formation pour permettre aux jeunes d’améliorer leurs connaissances pratiques. » C’est ainsi que sont nés les coffrets de démonstration. « Ils simulent les problèmes, et les étudiants en identifient la cause et les résolvent. Comme chaque coffret est capable d’en simuler plusieurs, le matériel peut passer d’un élève et même d’une école à l’autre. Autrement, ces programmes seraient impayables. » « De plus, les étudiants se familiarisent ainsi avec les problèmes les plus courants. Ils apprennent à réfléchir de manière analytique et à trouver progressivement une solution », souligne Paul.

UN CRAN PLUS HAUT ABB souhaite également aider les écoles techniques à améliorer le niveau de la formation, d’où sa collaboration avec Van Lente pour les coffrets. Gertjan Gerritsen, Sales Specialist Electrification Products chez ABB : « Ce projet est l’occasion rêvée de le faire. Le secteur technique manque régulièrement de main-d’œuvre. ABB doit donc tout faire pour promouvoir ces professions. » « Lorsque je faisais mes études, nous nous exercions avec un panneau en bois et des fiches bananes », enchaîne Ivo Verhoef, Sales Engineer Motors & Drives chez ABB. « Pour un étudiant, il est bien plus intéressant de se familiariser directement avec les systèmes et composants qu’il utilisera ensuite sur le terrain. » L’avantage ? Le matériel est fourni gracieusement et, dans un futur proche, il pourra être complété à l’aide de systèmes d’automatisation des bâtiments. INGÉNIEURS DE DEMAIN Les demandes que reçoit Van Lente au sujet des coffrets de démonstration sont fréquentes. Au second semestre 2017, le matériel pédagogique aura normalement été utilisé par quelque 2.300 étudiants (ROC


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Les coffrets de démonstration de Van Lente contiennent les pièces ABB suivantes : • raccordements • relais • disjoncteurs moteurs • alimentation CC 24 V • disjoncteur •c ommutateur principal • prises de courant

La porte est équipée de : • boutons poussoirs • moyens de fermeture • lampes témoins

« Lorsque je faisais mes études, nous nous exercions avec un panneau en bois et des fiches bananes. » IVO VERHOEF, SALES ENGINEER MOTORS & DRIVES CHEZ ABB

Twente, Graafschap College Doetinchem, Deltion College Zwolle, Aventus Apeldoorn, ROC A12 Ede, ROC Rijn IJssel Arnhem et ROC Nijmegen). « ABB a bien sûr aussi tout intérêt à ce que les électrotechniciens et les ingénieurs de demain utilisent ses produits durant leur formation », admet Ivo. « Ils découvrent ainsi tout ce qu’ABB a à offrir, ce qui, nous l’espérons, les incitera plus tard à opter pour nos solutions. » UNE FORMATION EN PHASE AVEC LA RÉALITÉ Petit passage sur le terrain à ROC Twente. Comme l’explique Jeroen Harmsen, professeur en mécatronique et futur directeur de formation en mécatro-

nique à ROC Twente, l’école souhaite permettre aux étudiants d’acquérir des connaissances et des compétences qui reflètent la pratique. « Lorsqu’ils découvrent une nouvelle matière, ils doivent comprendre quels en sont le but et l’utilité et comment l’appliquer. Notre méthode d’enseignement repose en grande partie sur des projets où les étudiants cherchent eux-mêmes comment mettre en pratique la théorie. Et c’est précisément ce que permettent ces coffrets. Nous en confions un à l’élève et décrivons brièvement le problème, en essayant parfois aussi de le mettre sur une fausse piste. Cette approche aide l’école à se distinguer et à suivre les évolutions de la technologie, du monde de l’enseignement et des demandes des entreprises. »


A U T R AVA I L C A L A I S S E A W AY S

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Optimisation de l’efficacité énergétique d’un ferry naviguant sur l’une des voies maritimes les plus fréquentées au monde … grâce au logiciel maritime et automatisation intégrée d’ABB

— Alain Togna (Service Manager ABB Marine & Ports France), Jacques Mulbert (Directeur ABB France), Jyri Jusslin (Global Manager Marine & Ports Service) et Bart de Graaf (Project Manager ABB Marine & Ports Benelux).

Le logiciel maritime et l’automatisation intégrée d’ABB vont être utilisés pour optimiser l’efficacité énergétique et la disponibilité d’un ferry naviguant entre Calais (France) et Douvres (Royaume-Uni), l’une des voies maritimes les plus fréquentées au monde. L’équipage bénéficiera de la centralisation en temps réel de toutes les informations, capitales pour le navire, liées à la propulsion et à l’énergie sur un seul écran. Le logiciel maritime d’ABB permettra également aux propriétaires du ferry de rassembler des données sur la consommation énergétique afin de répondre aux réglementations relatives aux émissions de dioxyde de carbone.


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— ABB a installé son système sur le Calais Seaway, un ferry RO-PAX de 164 mètres de long de DFDS Seaways.

ABB était en charge de la rénovation du Calais Seaways, appartenant à DFDS Seaways, un ferry RO-PAX de 164 mètres construit en 1992. Les travaux de carénage ont été effectués en février 2017 et le bateau a été remis en service fin mars. L’installation du système ABB Ability™ 800xA, comprenant le régulateur DEGO IV pour la gestion de la vitesse du moteur, intégrera la supervision de la sécurité du bateau et offre une détection précoce des risques d’incendies et risques liés à la présence de gaz, la gestion de l’énergie et la commande de propulsion. L’automatisation intégrée d’ABB offre quant à elle un contrôle complet, du pont au propulseur, et centralise toutes les informations sur un seul écran à l’interface intuitive afin de pouvoir commander le bateau avec une efficacité et une sécurité accrues. Le système de gestion de l’énergie assure l’alimentation en électricité de toutes les charges essentielles les plus sensibles dans le bâtiment. Par exemple, il met automatiquement en œuvre la répartition de charge pour tous les générateurs diesel à bord, afin d’optimiser l’efficacité de la centrale et d’éviter les pannes. Une intégration verticale étroite avec les systèmes d’électricité et de propulsion permet à DFDS Seaways de réduire les coûts d’investissement, d’optimiser la maintenance et d’améliorer la gestion de l’énergie et la disponibilité de l’équipement. Par exemple, la visualisation des disjoncteurs de générateur en service permet d’optimiser les procédures en termes de sécurité, mais cela permet aussi au conducteur du bateau de facilement mettre en place des plans de maintenance préventive. L’auto-

matisation intégrée d’ABB permet également une surveillance en temps réel pour tout le bateau de l’état d’installations critiques, ce qui réduit les coûts de maintenance et accroît la disponibilité du ferry. En plus de la mise à niveau en termes d’automatisation, le logiciel maritime d’ABB fournira des informations sur les indicateurs clés de performance tels que la consommation de carburant et la mesure de couple. La composante de rapports sur la consommation de carburant est conforme au Plan de gestion de l’efficacité énergétique des bateaux (SEEMP) de l’OMI et respecte les futures règles de surveillance, de déclaration et de vérification (MRV) de l’Union européenne qui imposent aux propriétaires de bateaux de garder une trace de la consommation de carburant de leur bateau afin de surveiller les émissions de CO2 et de dresser des rapports en la matière. Mikko Lepisto, vice-président du service Solutions numériques du département Activités maritimes et portuaires d’ABB a déclaré : « L’industrie du transport maritime réclame des systèmes d’automatisation intégrés intelligents à l’efficacité prouvée. En les associant avec le logiciel OCTOPUS, nous sommes en mesure de proposer un portefeuille complet afin de rendre les activités du Calais Seaways plus efficaces sur l’une des voies maritimes les plus fréquentées au monde. »


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— EVIDES WATERBEDRIJF OPTE POUR ABB FREELANCE

AUTOMATISATION DES PROCÉDÉS : UNE STANDARDISATION RÉUSSIE


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— Lydia Bastiaansen, account manager water chez ABB, et l’équipe d’Evides Watebedrijf.

Evides Waterbedrijf fournit de l’eau potable à 2,5 millions de clients et aux entreprises de Zélande, du sud-ouest de la Hollande-Méridionale et de la région du « Brabantse Wal ». Fragmenté et dépassé suite à diverses fusions, le paysage technique exigeait le remplacement de l’automatisation des procédés de toutes les installations d’eau potable. Et quelle meilleure solution pour cela que le système Freelance d’ABB ?

LE DÉFI | Essentiel pour les activités de l’entreprise, ce projet de 6 ans s’est déroulé en plusieurs étapes. Il y a peu, le nouveau système d’automatisation des procédés est entré en service à Berenplaat. Il s’agit du plus grand site de production, qui approvisionne en eau potable les îles de la Hollande-Méridionale, la région de l’embouchure du Rhin et le sud de Rotterdam. L’automatisation uniforme et standardisée des procédés permet de gagner en facilité et en efficacité, mais offre aussi bien d’autres avantages : prévisibilité des coûts, fiabilité des données, connaissances internes, sécurité accrue et réduction du risque d’interruption de la production et de la fourniture d’eau.

Le plus grand défi ? Garantir la continuité de la production et de l’approvisionnement durant les transformations. Des préparatifs jusqu’au suivi, la même équipe est responsable de l’avancement des travaux, de la qualité et des finances. En tant que fournisseur, ABB s’est chargé de la surveillance et des conseils techniques. LA SOLUTION | ABB Freelance. « ABB Freelance va remplacer l’automatisation des procédés sur 10 sites de production », explique Eddy Janse, Supervisor PA chez Evides Waterbedrijf. « Nous avons

« Suite à l’appel d’offres européen que nous avions lancé, nous avons compris que le système d’ABB était le plus adapté. » GERTJAN GERRITSEN, SALES SPECIALIST ELECTRIFICATION PRODUCTS CHEZ ABB

commencé par élaborer les normes en 2013 et le projet devrait être terminé pour l’été 2019. Avant cela, nous avions défini des cadres d’action pour les procédés, qui incluaient les prescriptions correspondantes. Le système final a donc été élaboré sur cette base et en fonction des remarques des utilisateurs. Suite à l’appel d’offres européen que


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— À PROPOS D’EVIDES

nous avions lancé, nous avons compris que le système d’ABB était le plus adapté. Nous utilisions d’ailleurs déjà ABB Freelance sur plusieurs sites. »

Née en 2004 de la fusion de la WBE (Waterbedrijf Europoort – Rotterdam) et de la DWB (Delta Water Bedrijf – Zélande), Evides Waterbedrijf fournit de l’eau potable à 2,5 millions de clients et aux entreprises de Zélande, du sud-ouest de la Hollande-Méridionale et de la région du « Brabantse Wal », et ce, 24 h sur 24, 365 jours par an. L’entreprise propose en outre des services connexes adaptés aux besoins de grands clients industriels, notamment en Belgique, aux Pays-Bas et en Allemagne.

LES AVANTAGES | « Freelance nous aide à programmer l’automatisation des procédés de manière accessible. Il est aussi assez facile d’aider les gens à s’y retrouver dans le système. C’est une plus-value énorme. Sa modularité est un autre atout précieux. Cette solution peut aussi bien équiper une petite installation dotée d’un seul contrôleur qu’un site comme celui de Berenplaat, où il y en a une trentaine. » Peter Verhaar, consultant : « La possibilité d’introduire la norme comme nous l’imaginions et d’offrir aux opérateurs un degré élevé d’autonomie a fortement influencé notre choix. Nous avons opté pour une structure de type S88, puis avons travaillé ensemble à l’automatisation et à l’interface opérateur. » Eddy : « Chaque étape du procédé peut à présent être lancée et interrompue séparément, mais il nous suffit également d’appuyer sur un seul bouton pour démarrer ou arrêter tout le système d’épuration. » « Chaque région possède aujourd’hui des souhaits et une méthode de travail qui lui sont propres », explique Martin van Meer, Lead engineer chez ABB. « En Zélande, le personnel était par exemple habitué à travailler avec ABB Freelance, mais pas avec la structure S88. Les sites du nord utilisaient, quant à eux, un autre système de contrôle, mais connaissaient S88. La plateforme est à présent très centralisée, mais nous avons encore un peu de flexibilité au niveau de l’aménagement – même si nous choisissons de la limiter. Les architectes d’ABB et d’Evides contrôlent ensemble les normes avec beaucoup d’attention. » Peter ajoute : « Chacun doit pouvoir se servir sans problème du système de contrôle PA, même s’il ne travaille pas sur son site de production habituel. Nous ne pouvons donc pas accéder à toutes les demandes, car le moindre changement doit se faire sur tous les sites. » UN BILAN POSITIF | « Il faut naturellement s’habituer au système et à la nouvelle approche, mais les échos des sites sont positifs », confie Jeffry van Dijke, programmeur. « Tout le monde se réjouit que le système de contrôle soit clair et simple. Les utilisateurs nous le disent régulièrement. »

« ABB nous écoute et donne vraiment suite à nos observations. C’est une façon très agréable de travailler. » EDDY JANSE, SUPERVISOR PA EVIDES WATERBEDRIJF

« Nous sommes naturellement très fiers qu’un projet d’une telle ampleur se déroule comme prévu », ajoute Lydia Bastiaansen, Account Manager Water chez ABB. « Evides est constamment en contact avec nos collègues du département R&D, qu’ils rencontrent une fois par an. Evides a donc une influence directe sur les nouvelles fonctionnalités de Freelance, ce qui rend notre partenariat unique en son genre. Nous n’entretenons pas des rapports client-fournisseur classiques, mais une collaboration très ouverte, y compris en ce qui concerne le partage d’informations. Chacun sait exactement à quoi s’attendre de la part de l’autre. »


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— ABB FREELANCE DISTRIBUTED CONTROL SYSTEM (DCS) Freelance est un système de contrôle étendu qui combine les avantages d’un DCS et d’un PLC, c.-à-d. la petite empreinte du premier et la fonctionnalité du second. L’environnement intégré facilite et accélère l’ingénierie, la mise en service, la maintenance et la gestion des bus de terrain, tandis que l’interface intuitive garantit la simplicité du contrôle et du diagnostic du système. Freelance est une valeur sûre depuis 20 ans déjà. Les mises à jour sont toujours entièrement rétrocompatibles avec les anciennes versions.

L’AVENIR | Une fois le projet terminé, l’équipe de gestion d’Evides continuera à optimiser les procédés en permanence. Eddy : « Nous avons, par exemple, réglé avec ABB la question de la gestion des correctifs et des versions. Il y aura sûrement d’autres extensions et investissements au cours des prochaines années, pour lesquels nous aurons à nouveau besoin d’ABB. La sécurité revêt ainsi de plus en plus d’importance. ABB nous écoute et donne vraiment suite à nos observations. C’est une façon très agréable de travailler. Vous sentez que vous êtes pris au sérieux. L’ambiance et la collaboration sont excellentes. Nous formons en fin de compte une seule et même équipe. »


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UNE SOLUTION « ONE-STOP-SHOP » POUR UNE ALIMENTATION ÉLECTRIQUE ENTIÈREMENT REDONDANTE

ABB fournit une solution complète de centre de données


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Pour le renouvellement de l’infrastructure électrique de son centre de données à Meppel, Serverius a choisi comme partenaire stratégique ABB, qui sera ainsi le fournisseur exclusif de tout le système d’électrification. Outre la fourniture de produits, comme le tableau basse tension MNS 3.0, les systèmes UPS DPA500, les répartiteurs secondaires SMISSLINE et le système CMS pour la surveillance énergétique, ABB s’occupe également de la gestion du projet, de l’ingénierie et de l’installation ainsi que des essais et de la mise en service.

Serverius, l’un des plus grands centres de données disposant de son propre réseau IP aux PaysBas, exploite deux centres de données qui se trouvent entre les plus grandes dorsales Internet d’Amsterdam et de Francfort. Le premier centre (Serverius DC1) est situé à Dronten et a une superficie de 800 m², le deuxième est implanté à Meppel (Serverius DC2) avec une superficie au sol de 500 m². Ce centre de données, qui est le seul centre international aux Pays-Bas situé au-dessus du niveau de la mer, a été repris en 2014. C’est depuis cet endroit que Serverius sert en partie ses clients nationaux, mais surtout internationaux qui dépendent de l’infrastructure IT pour leurs processus. Toute seconde de temps d’arrêt doit dès lors être évitée à tout prix.

INFRASTRUCTURE 2N+1 L’alimentation électrique de Serverius DC2 subit actuellement une mise à niveau complète, dans le cadre de laquelle le centre de données est doté d’une alimentation entièrement redondante, depuis le gestionnaire du réseau de distribution jusqu’aux baies de stockage finales sur le terrain. Avec cette mise à niveau vers une infrastructure 2N+, Serverius espère non seulement pouvoir encore mieux servir ses clients existants, mais aussi attirer de nouveaux clients. La réalisation de l’ensemble du projet – de la gestion à la réception définitive – a été confiée à l’équipe d’ABB Benelux Data Center. « Les vastes connaissances et l’expérience dans le domaine des centres de données ont joué un rôle important dans le choix d’ABB. Outre des produits de qualité, nous pouvons aussi bénéficier de leur savoir-faire international », explique Alfred van den Berg de Serverius. « Alors que nous avions commencé dans un hangar en 2009, nous avons depuis lors évolué pour devenir un centre de données jouissant d’une visibilité et d’une réputation d’envergure internationale. Avec des clients dont les attentes ne cessent d’augmenter. Et nous voulons, aujourd’hui tout comme demain, continuer à répondre à leurs attentes. Avec ABB, nous sommes assurés de réussir. »


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A U T R AVA I L S E R V E R I U S

UNE DISPONIBILITÉ MAXIMALE Le tableau de distribution MNS 3.0 représente le cœur de la nouvelle infrastructure. MNS est une solution robuste qui combine la fiabilité et la qualité à la sécurité. Le tableau basse tension MNS est très flexible grâce à sa conception modulaire, sa structure, son aménagement intérieur et son degré de protection. Il est en outre équipé de différentes fonctions de protection. Le système MNS est combiné à un grand nombre de systèmes UPS DPA d’ABB. La redondance de ces systèmes permet d’optimiser la disponibilité de l’alimentation électrique. Une fiabilité et une disponibilité maximales sont garanties en installant deux fois plus de systèmes UPS que ce qui est nécessaire pour pouvoir fournir la puissance critique en cas de panne de courant. Un module est en outre maintenu en supplément dit de « sécurité ». La puissance totale des UPS installés dans le centre Serverius DC2 s’élève à 1 MW. Ce type de configuration 2N+1 représente la RollsRoyce des centres de données. Cette qualité élevée ne cesse de gagner en importance. Il faut dire qu’une panne – ce qui peut arriver à n’importe quel système – doit être évitée à tout prix par les centres de données. Des centres tels que DC2 jouent en effet un rôle essentiel dans l’infrastructure actuelle. Les systèmes UPS DPA d’ABB offrent dès lors non seulement la meilleure disponibilité possible, mais se distinguent aussi au niveau des possibilités de service, de l’évolutivité et de la flexibilité. SYSTÈME À RAILS ET MONITORING ABB fournit également le système de socle enfichable TP SMISSLINE, un système à rails flexible et doté d’une protection contre les contacts, qui est destiné aux environnements soumis à des normes strictes en matière d’accessibilité. L’in stallation du système, qui répond parfaitement aux exigences des centres de données, est rapide et aisée. En tant que premier système à sécurité de contact au monde, SMISSLINE TP permet de placer et d’enlever des modules sans charge et des composants sous tension sans devoir porter d’équipements de protection individuelle pour se protéger contre les risques électriques. Les mo-

dules enfichables accélèrent le montage et l’installation verticale dans l’armoire de commande permet d’économiser de l’espace. Le système SMISSLINE est combiné au système CMS d’ABB pour surveiller la consommation d’énergie. Ce système compact de surveillance du circuit se prête parfaitement au suivi de la puissance et à l’analyse de l’efficacité énergétique. L’unité est pourvue d’un serveur web intégré, qui garantit un accès facile aux données rassemblées. Celles-ci peuvent être analysées hors ligne, afin d’améliorer encore plus l’efficacité énergétique.


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— À PROPOS DE SERVERIUS Serverius Connectivity & Colocation est situé entre les plus grandes dorsales Internet d’Europe, Amsterdam et Francfort. Ce sont principalement des entreprises internationales ayant besoin d’une connectivité de haut vol en Europe qui font appel aux services de haute qualité de l’entreprise. Grâce à une combinaison unique de services, Serverius peut se démarquer sur le marché et faire en sorte que les clients soient entièrement pris en charge. L’entreprise possède deux centres de données à la pointe à Meppel et Dronten. Plus d’informations : https://serverius.net/


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LES MERVEILLES DU MONDE ABB ABILIT Y ELEC TRIC AL DISTRIBUTION CONTROL SYSTEM

— ABB Ability™ contrôle, optimise et gère des systèmes de diviseurs de basse tension L’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB améliore considérablement la connectivité des disjoncteurs Emax2. Le résultat ? Une solution ABB Ability puissante basée sur le cloud pour le contrôle, l’optimisation et la gestion des systèmes de diviseurs de basse tension. Si le monde de l’électricité était autrefois dominé par de grandes entreprises publiques qui généraient de l’électricité de manière centralisée et en assuraient la transmission et la distribution, la situation est aujourd’hui totalement différente, avec l’intervention d’un grand nombre d’entreprises diverses. Ce changement est encore renforcé par la croissance notable des sources d’énergie durables. Dans un tel contexte, les coûts et la complexité sont des facteurs déterminants : les composantes matérielles et logicielles supplémentaires nécessaires pour la commande, le contrôle et la gestion du système ainsi que la complexité accrue de ce dernier sont à l’origine de frais plus importants. Afin de contrer cette tendance, différentes solutions matérielles et logicielles ont d’ores et déjà été introduites. Malheureusement, le foisonnement de systèmes numériques et la multitude de fournisseurs mettent à mal le déploiement d’une approche globale. C’est à ce niveau qu’ABB entend faire changer les choses. ABB ABILITY Fin 2016, ABB présentait sa plate-forme logicielle centralisée : ABB Ability. C’est ici que sont rassemblés tous les produits et services numériques. Non seulement ABB Ability apporte une plus-value pour les activités des clients d’ABB, mais la plate-forme traduit aussi un renforcement majeur de l’offre d’ABB en matière d’Internet industriel des objets (Industrial Internet of Things, ou IIoT). Forte d’une « installed base » de plus de 70 000 systèmes de commande numériques et de quelque 70 millions d’appareils sur le terrain, ABB Ability peut se targuer d’une base solide.

ABB Ability est basée sur Microsoft Azure, qui lui permet de garantir des performances optimales et les meilleurs résultats en termes de fiabilité et de sécurité. Les avantages du partenariat entre ABB et Microsoft Corporation vont plus loin que l’infrastructure électrique. Les secteurs industriels tels que la robotique, le monde maritime, la construction, les véhicules électriques et l’énergie durable tirent profit de la plate-forme de connectivité basée sur le cloud. COMBINAISON AVEC EMAX2 Grâce à la combinaison de l’appareillage de basse tension d’ABB et d’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB, les utilisateurs bénéficient de solutions innovantes pour la gestion de l’énergie et des actifs. En rendant intelligent un produit existant tel que le disjoncteur Emax2 et en utilisant l’infrastructure de communication en place (Internet), de nombreuses nouvelles possibilités apparaissent instantanément, sans nécessité de recourir à des appareillages supplémentaires coûteux. C’est ainsi que l’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB ouvre la porte vers une fonctionnalité améliorée, qui verra le disjoncteur Emax2 jouer le rôle de charnière intelligente pour la gestion des flux de puissance et de données entre les systèmes de diviseurs de basse tension. La plateforme basée sur le cloud destinée aux systèmes électriques a été spécifiquement conçue pour : • Le contrôle : elle établit les performances de votre installation, surveille l’installation électrique et accède directement aux informations essentielles. Ces informations peuvent dès lors être échangées facilement, tout en contribuant à un meilleur rendement, à la diminution du risque d’arrêt et même à des coûts d’entretien 30 % inférieurs.


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— MODULABLE ET FLEXIBLE L’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB est extrêmement modulable et flexible et convient à merveille pour les petites et moyennes industries ainsi que pour les bâtiments commerciaux et publics. Le système a été spécifiquement conçu pour les utilisateurs finaux, les gestionnaires d’installations, les conseillers et les constructeurs de panneaux, et peut être affecté à plusieurs installations. Ces propriétés autorisent le contrôle simultané de diverses installations et leur comparaison. Précisons encore que le niveau d’accès pour les utilisateurs peut être adapté en fonction de l’expérience. Les utilisateurs sont dès lors toujours informés des performances actuelles du système et peuvent réaliser euxmêmes des analyses de l’efficacité ou des audits à distance. Les données en temps réel et l’historique des tendances sont disponibles pour une ou plusieurs installations. La comparaison de ces données est aisée, et des valeurs de référence peuvent être générées en un tournemain. Un même technicien de maintenance peut assurer le suivi de plusieurs installations et sites. Cette approche préventive de la maintenance assure, d’une part, un fonctionnement optimisé et, d’autre part, une réduction des coûts. L’Ability Electrical Control System d’ABB peut aussi être intégré dans des systèmes de surveillance et d’automatisation plus complexes. Les avantages ? De nouvelles possibilités en termes de simplification de la gestion d’entreprise et de diminution des coûts. Mais l’aspect le plus important du système reste qu’il permet aux utilisateurs d’administrer facilement les processus et activités de gestion de l’énergie et des actifs.

• L’optimisation : elle rassemble les données de chaque composant distinct, les analyse et utilise le résultat dans le processus décisionnel. La plateforme s’appuie sur les références et les bonnes pratiques. Profitant de l’accès à toutes les données pertinentes, vous opérez rapidement la transition vers une fiabilité et une efficacité maximales. • La gestion : elle établit des rapports, informe les collaborateurs en direct au moyen de notifications et met en œuvre à distance une stratégie efficace pour la gestion des pics de puissance et de l’énergie. Vous réalisez ainsi des économies en réduisant la demande énergétique des charges non prioritaires. ARCHITECTURE Étant donné que l’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB repose sur une interface applicative, le système peut être utilisé partout et en tout temps en passant par un smartphone, une tablette ou un PC. Les services basés sur le cloud sont également disponibles pour le retrofit des systèmes existants et des plus anciennes versions de disjoncteurs. L’installation électrique peut être couplée en « plug & play » à la plate-forme informatique dans le cloud. La solution est disponible en version intégrée ou externe. Dans le cas de la version intégrée, l’Emax2 est pourvu du module enfichable Ekip Com Hub, qui assure la liaison avec le cloud. Les autres appareils peuvent également partager des mesures et des données avec l’Ekip Com Hub et le cloud, pour autant que l’Emax2 soit muni d’un module de communication adapté. Afin de simplifier la tâche autant que possible au client, l’accès au module Ekip Com Hub peut se faire par l’intermédiaire du logiciel Ekip Connect. La mise en service se déroule

dès lors de manière intégralement accompagnée et en auto-configuration. Dans la version externe, le matériel externe est monté sur un rail DIN, de sorte à pouvoir recueillir des données pour l’ensemble de l’installation électrique. Il est également possible de raccorder des capteurs, ce qui permet d’obtenir des informations sur la température, l’humidité de l’air et la consommation d’eau. Les modules en option pour Wi-Fi ou GPRS augmentent encore le nombre d’applications possibles. LA FORCE DE LA SIMPLICITÉ L’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB permet d’éviter les coûts élevés et les travaux complexes des systèmes traditionnels de contrôle et de gestion de l’énergie. L’installation d’un seul module, Ekip Com Hub, suffit pour créer la connexion avec le cloud. La mise en service par l’intermédiaire de l’outil d’auto-configuration Ekip Connect Wizard offre en outre des avantages inédits : la connexion d’un panneau avec le cloud ne prend qu’environ 10 minutes. Une fois la connexion établie, il est possible de donner accès à la plate-forme à des tiers en seulement quelques clics. Les tâches et l’autorisation de chaque utilisateur correspondent par ailleurs à son rôle au sein de l’installation concernée. Il n’est dès lors plus question de configurations complexes ou de multiples passerelles ou adaptateurs pour rail DIN. Par rapport à d’autres solutions similaires, l’Ability Electrical Distribution Control System d’ABB permet de réduire de 60 % le nombre de composantes matérielles. L’architecture intégrée assure en outre une diminution des délais de câblage et de raccordement, tout en simplifiant considérablement l’intégration des modules dans le système.


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E N C O R E E T T O U J O U R S L A F É D É R AT I O N N É E R L A N D A I S E D E L’ É L E C T R OT E C H N I Q U E

FAITES LA CONNAISSANCE DE FEDET, LA FÉDÉRATION NÉERLANDAISE DE L’ÉLECTROTECHNIQUE

« NOUS POUVONS TOUS APPRENDRE DES AUTRES »


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— Rob van Veen, Président de Fedet et Marcel de Haan, Branche Manager Fedet

Fedet a pour mission de mettre en relation les organisations actives dans l’électrotechnique afin de bâtir ensemble un monde meilleur. Selon la fédération, l’électrotechnique revêt une importance capitale pour la société et l’économie néerlandaises : « Nous pensons que la valeur de la technique pour l’humain et la société ne fait qu’augmenter. » « Nos membres sont issus de domaines d’expertise très variés, tout en étant souvent confrontés aux mêmes défis. » MARCEL DE HAAN, BRANCHE MANAGER FEDET

Fedet représente environ 180 entreprises actives aux Pays-Bas dans l’industrie électrotechnique. Conjointement, ses membres totalisent 24.000 postes de travail et génèrent un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros. En fonction des développements futurs, le nombre de membres pourra s’agrandir afin d’accueillir de nouvelles entreprises et des associations sectorielles indépendantes. « En 2018, cela fera dix ans que Fedet existe dans sa forme actuelle et collabore étroitement avec l’organisation entrepreneuriale pour l’industrie technologique FME », explique Marcel de Haan, Branche Manager Fedet et autrefois en poste chez Getronics. « Quand je suis arrivé en 2010, l’industrie électrotechnique connaissait déjà un profond changement. Ces développements se sont poursuivis au cours des dernières années et se sont même accélérés dans certains domaines. Nos objectifs ont donc aussi changé depuis cinq ans. Bon nombre de questions actuelles ne peuvent trouver une solution qu’en introduisant de nouveaux modes de réflexion, de travail et d’organisation. » Rob van Veen est Directeur commercial chez Draka Kabel et assume la fonction de président de Fedet.


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E N C O R E E T T O U J O U R S L A F É D É R AT I O N N É E R L A N D A I S E D E L’ É L E C T R OT E C H N I Q U E

« Nous inscrivons l’électrotechnique à l’agenda des pouvoirs publics et donneurs d’ordres, comme les secteurs de la construction et de l’industrie. » ROB VAN VEEN, PRÉSIDENT DE FEDET

— Le baromètre du marché Fedet de la FME Business Intelligence (FBI)

Il représente la FME dans la direction de l’organisation patronale VNO-NCW. Il poursuit : « Nous représentons aujourd’hui le spectre complet, depuis les producteurs et fabricants jusqu’aux fournisseurs, agences et grossistes. Nos membres travaillent non seulement dans l’électrotechnique et le génie mécanique industriels mais, par exemple aussi, dans le domaine du chauffage et des sanitaires. Nous disposons en outre depuis peu d’une section dédiée à la construction de panneaux. » EN QUÊTE DE SYNERGIE « En tant qu’association sectorielle, nous devons relever un défi de taille », poursuit Marcel. « Nous devons soutenir une vision dans laquelle les 180 membres peuvent tous se reconnaître. Ce sont, par exemple, des sociétés actives avec des installations haute tension, mais également des petites entreprises qui développent de minuscules composants de capteurs. Nous recherchons donc des objectifs communs au sein des secteurs de la construction, des infrastructures et de l’industrie. Nous visons la synergie. » Rob : « Il y a quelques années, nous nous sommes posé plusieurs questions importantes. Quelle est en réalité la raison d’être de Fedet ? Que pouvons-nous apporter de plus ? Nous avons arpenté le pays et organisé des sessions avec l’accompagnement d’un modérateur. Nous nous sommes aussi adjoint les services d’un conseiller externe. La direction a été invitée à développer une nouvelle vision et une nouvelle stratégie, ainsi qu’à formuler des objectifs clés. Les membres actuels comme anciens ont été interrogés afin de pouvoir établir un document exposant une vision. » La nouvelle orientation se révèle être un suc-

Le baromètre du marché dresse un aperçu mensuel des mouvements dans l’industrie de la construction et de l’électronique. De plus en plus de membres Fedet s’en servent pour ajuster et tester leurs stratégies et projets. fedet.nl/fedet-business-intelligence-fbi

— Le Fedet Instroom Award

Afin d’animer le secteur et de rester au fait de ses développements, un certain afflux (instroom) est nécessaire. Fedet et ses membres y veillent d’une multitude de manières. Le Fedet Instroom Award est décerné au membre Fedet à l’origine de la meilleure initiative favorisant l’afflux. Cela peut être dans les domaines du opter pour (écoles primaires), apprendre à (enseignement secondaire) et travailler dans (formation complémentaire). fedet.nl/instroom

cès et le nombre de membres ne cesse de croître. « Cela vient en grande partie du fait que les membres qui partagent des informations en reçoivent aussi énormément en retour, indépendamment des différents domaines d’expertise. » Marcel observe la disparition d’anciens cloisonnements dans le monde de l’électrotechnique. La communication entre les différents domaines gagne toujours plus en importance, et Fedet facilite ce processus dès qu’elle le peut. « Prenons par exemple les systèmes de gestion de bâtiments, auxquels un nombre croissant de techniques sont associées, de la protection et de l’éclairage à l’informatique et à la climatisation. Nos membres sont issus de domaines d’expertise très variés, tout en étant souvent confrontés aux mêmes défis. Autrefois, ces mondes ne se mélangeaient pas : un plombier ou un expert en sécurité n’avait rien à faire avec un chauffagiste ou un électricien. Mais aujourd’hui, nous pouvons aborder ces défis ensemble. »


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Fedet s’adapte en permanence aux derniers développements sur le marché. Tour d’horizon de quelques grandes tendances.

© Fedet

— TENDANCE 1 : NUMÉRISATION Rob : « Dans le secteur de la construction, la ‘numérisation’ est la principale évolution. Nous entendons surtout par là l’acquisition et l’analyse de données et le fait de baser des décisions et processus sur les résultats. D’autres facteurs qui jouent ici aussi un rôle sont les big data, la convergence entre les systèmes et l’Internet des objets. Autrefois, les entrepreneurs, installateurs, fabricants et entreprises informatiques travaillaient indépendamment les unes des autres, ce qui n’était pas toujours très efficace. Aujourd’hui, les informations sont toutes rassemblées au sein d’un Building Information System (BIM), qui permet de suivre les conséquences de chaque modification sur l’ensemble des niveaux de la construction. Le BIM prévoit également la maintenance préventive. En fonction de l’activité et de l’état, on recherche par exemple le meilleur moment pour procéder à l’entretien d’un tunnel. Si l’on observe le segment industriel, on constate que l’essor de la maintenance préventive basée sur le monitoring a de nombreuses conséquences. »

— TENDANCE 2 : ÉNERGIE DES PAYS-BAS PLUS SÛRS ET PLUS DURABLES Marcel : « Avec la tournure que prend l’économie, les entreprises ont du mal à trouver du temps pour traiter des questions sectorielles de grande envergure. La tendance est alors vite au ‘chacun pour soi’. Nous sommes toutefois convaincus que même sur un marché concurrentiel, il y a de la place pour une collaboration intense. Chaque secteur possède évidemment une dimension compétitive, mais des questions telles que la standardisation ou la réglementation nous concernent tous. C’est pourquoi nous aidons nos membres à s’informer et à s’inspirer mutuellement. Chacun apprend des autres et tout le monde s’échange les bonnes idées. » « Nos membres, des petites entreprises indépendantes aux grandes multinationales, nous demandent régulièrement quelle position adopter en tant que secteur par rapport à certaines problématiques », conclut Rob. « Ils peuvent tous compter sur la même valeur ajoutée. Les membres peuvent suivre les développements dans la technologie, dans la réglementation et sur le marché via des informations et des statistiques. Ils profitent aussi d’avantages collectifs, comme une assistance lors des salons. En outre, nous inscrivons l’électrotechnique à l’agenda des pouvoirs publics et donneurs d’ordres, comme les secteurs de la construction et de l’industrie. La FME fournit aussi un soutien, pour les matières juridiques et relatives à la business intelligence par exemple. En tant qu’association, nous nous efforçons de communiquer, mais également de prévoir. Nous tâchons d’aider les entreprises à anticiper, pour leur permettre de concrétiser leur politique et leur développement. Le but ultime étant de rendre les Pays-Bas plus sûrs et plus durables. »

Marcel : « Fedet accorde une grande importance à la question de l’énergie et à la mise en œuvre de sources renouvelables. Elle propose, via des programmes tels que la plateforme ‘guichet énergétique’, des solutions pour économiser l’énergie destinées aux propriétaires d’habitations. Nous avons des connexions avec trois organisations de coordination européennes et analysons les effets de la réglementation européenne sur nos membres. Nous assistons également les décideurs politiques à La Haye, qui ne peuvent pas disposer en interne de toute l’expertise technique nécessaire. Les autorités néerlandaises souhaitent proposer des quartiers entièrement sans gaz à partir de janvier 2018. Le secteur doit donc s’y préparer. Les installateurs et les fabricants ont des missions tout à fait distinctes. Nous observons aussi des changements dans l’utilisation de l’énergie à l’intérieur des bâtiments. Il s’agit alors d’une question de bien-être et de l’influence de l’environnement sur la productivité. L’éclairage LED est, par exemple, piloté sur la base de données relatives à l’utilisation et à l’occupation, accumulées sur une longue période. »

— TENDANCE 3 : CONNAISSANCES Rob : « Nous constatons une pénurie de personnel qualifié dans l’électrotechnique alors qu’il y a justement un besoin croissant de connaissances spécialisées. Nous avons besoin d’hommes et de femmes compétents, capables de dénuder un câble mais aussi d’adopter une réflexion conceptuelle et axée sur les solutions. C’est pourquoi nous travaillons à l’afflux de main-d’œuvre et à l’enseignement. Si les gens ne réalisent pas combien notre secteur est intéressant, nous connaîtrons un grave problème d’ici quelques années. Chaque organisation active dans l’électrotechnique a intérêt à ce que l’image du secteur s’améliore sur l’ensemble du marché. Nous mettons donc les gros moyens afin de changer l’image quelque peu poussiéreuse de l’électrotechnique. Nous montrons également le caractère vital de notre travail et misons activement sur des offres attirantes pour le marché de l’enseignement et du travail. »

— TENDANCE 4 : SÉCURITÉ Marcel : « La réglementation européenne devient plus stricte et la nouvelle politique doit être traduite pour correspondre au secteur national de l’installation et de la construction. L’accent est aussi mis sur l’application et le respect. Fedet assume sa responsabilité dans ce cadre. En tant qu’acteur indépendant, l’association sectorielle accompagne, avec une assistance juridique, le déploiement des règles européennes aux Pays-Bas et elle fournit des tests indépendants. Outre la mise à disposition d’informations générales en ligne, Fedet anime de nombreux débats et discussions. »


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FOR A BETTER WORLD BY THE OCE AN WE UNITE

L’ORGANISATION BY THE OCEAN WE UNITE A POUR OBJECTIF DE RENDRE LES OCÉANS ET LES MERS PLUS PROPRES

« IL FAUT INVERSER LE COURANT D’URGENCE » Le 15 mai, le Fantastiko, le voilier de l’organisation écologiste By the Ocean we Unite, a vogué de Rotterdam vers l’Écosse. L’expédition de 14 jours avait un objectif de recherche et de prise de conscience de la pollution due au plastique en mer du Nord. ABB était du voyage, en tant que fournisseur de la technologie de bord.

Ce périple vers les eaux écossaises était le deuxième long voyage de By the Ocean we Unite. Auparavant, Le Fantastiko avait déjà mis le cap sur la Norvège. « Nous avons commencé par le côté septentrional de la mer du Nord. Lors de l’expédition vers l’Écosse, nous nous sommes rendus vers le côté occidental et en juillet, époque de notre troisième voyage, nous avons navigué vers les îles Anglo-Normandes situées au sud. De la sorte, tous nos voyages ont couvert une grande partie de la mer du Nord », raconte Thomas van Thiel, mordu de voile et fondateur de l’organisation. PLASTIQUE OMNIPRÉSENT Le but de ces expéditions ? Combattre la pollution de la mer par le plastique. Par conséquent, l’organisation néerlandaise nourrit des ambitions à la fois scientifiques et sociales. Thomas explique : « Nos voyages ont permis d’étudier les particules de plastique présentes dans l’eau. À l’aide d’un filet ressemblant à une grande raie (le Manta Trawl) traîné le long du bateau sur une à deux lieues, nous avons pu voir la quantité de morceaux de plastique. Nous mettons les données collectées à la disposition de la science. » By the Ocean we Unite collabore donc avec de nombreux instituts et universités. « Ainsi, nous aidons le 5 Gyres, un institut américain qui tente de dresser l’inventaire de la pollution des mers par le

« C’est plutôt choquant. Où que l’on jette le filet, on trouve du plastique. » THOMAS VAN THIEL

plastique afin de créer une grande base de données. Nous soutenons également The Ocean Cleanup, qui crée des bras flottants dans le but de récupérer le plastique. Avant l’expédition vers l’Écosse, nous sommes passés dans quelques universités et instituts de ce pays. Ainsi, nous avons pu participer à l’étude du plastique absorbé par les petites méduses prises dans le filet. » Thomas et son équipe se sont mis au travail d’arrache-pied sur la base des résultats de l’expédition. « Nous sommes en train de les traiter. Une chose est sûre, tous les échantillons collectés contiennent du plastique, à l’exception de ceux du Loch Ness (le lac débouche dans la mer du Nord par le fleuve Ness et la baie de Moray Firth,


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— DE LA BOUTEILLE EN PLASTIQUE À LA MISSION Thomas Van Thiel a toujours aimé la mer. En 2014, alors qu’il traversait l’océan Atlantique, la vision d’une bouteille en plastique à la dérive a renforcé sa conscience du problème. Il s’est dit que le moment d’agir était venu et l’organisation a vu le jour en 2016. Sur quelle idée se base-t-elle ? Celle d’un monde débarrassé du plastique dans la nature. Un monde aux eaux propres, où les humains protègent les animaux. By the Ocean we Unite emmène donc des volontaires sur les océans et les mers pour les sensibiliser à la problématique du plastique. En outre, l’organisation contribue à la recherche scientifique visant à enrichir les connaissances sur les conséquences de la pollution. Vous aimeriez embarquer ? Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site www.bytheoceanweunite.org.


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FOR A BETTER WORLD BY THE OCE AN WE UNITE

— ABB SOUTIENT LA RECHERCHE MENÉE PAR BY THE OCEAN WE UNITE

N.D.L.R.). C’est plutôt choquant. Où que l’on jette le filet, on trouve du plastique. Il faut inverser le courant d’urgence. » FAIRE PARTIE D’UNE MISSION Pour By the Ocean we Unite, l’aspect scientifique va donc aussi de pair avec un aspect social. « Notre prise de conscience progresse. Nous révélons le problème, mais réfléchissons également à des solutions. Nous voulons répandre ce message par divers canaux. Ainsi, nous invitons toujours des photographes et des réalisateurs à bord. Par exemple, le célèbre photographe de nature Jasper Doest nous a accompagnés en Écosse. Deux cinéastes écossais étaient aussi du voyage. Ils s’attellent au montage de notre deuxième documentaire, dont la sortie est prévue vers le printemps 2018. » Le monde scientifique et les médias apportent donc leur pierre à l’édifice, mais Thomas et son équipe invitent toute la société à participer à leur projet. « Nous accueillons aussi des “profanes” à bord. Chacun peut réserver un voyage auprès de l’organisation et naviguer à nos côtés. De la sorte est né un groupe très diversifié qui compte aussi bien des hommes et des femmes d’affaires que des professeurs et des musiciens », indique Thomas.

Partenaire de l’organisation, ABB a fourni les systèmes de navigation utilisés lors de plusieurs expéditions du voilier Fantastiko. Pour celle de mai 2017, ABB a installé son application maritime, un élément d’une série de produits qui rendent les opérations en mer les plus sûres et les plus efficaces possibles. De même, l’expédition le long des îles Anglo-Normandes de juillet 2017 a utilisé un logiciel d’aide à la navigation maritime ultramoderne destiné à assister l’équipage dans la planification de la route et la surveillance des conditions météorologiques. « ABB s’engage à fournir des technologies durables, mais nous trouvons aussi fantastique que notre logiciel soit directement affecté à la lutte pour la protection du milieu marin », déclare Bart Cunnen, vice-président d’ABB Benelux Marine & Ports. « Nous soutenons By the Ocean we Unite depuis déjà un certain temps. Dans un monde où le plastique est de plus en plus vite jeté à la mer, la pollution qu’il engendre constitue l’un des plus grands défis écologiques. »

La réaction est unanimement positive. « Nous remarquons très nettement que le nombre de personnes conscientes de la nécessité d’un changement ne cesse d’augmenter. C’est très chouette de voir que nous sommes partout les bienvenus et que tous veulent en apprendre davantage. On voit vraiment évoluer les personnes présentes sur le bateau. Au contact des organisations locales, des personnes rencontrées ou tout simplement des passants — nous ouvrons souvent le bateau aux visiteurs — , les participants partagent d’em-


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mes tous confrontés au même défi et nous avons besoin les uns des autres pour le relever et trouver une solution. À cet effet, nous devons bien nous comprendre. D’où l’importance d’exprimer notre démarche de manière positive à partir de différentes perspectives. »

blée leurs expériences et les connaissances acquises. Ils sentent clairement qu’ils font partie d’une mission, un sentiment qui perdure. Nous disons parfois que nous formons les ambassadeurs de l’océan (rires). » TOUR DU MONDE Selon Thomas, il s’agit du seul aspect « positif » de la pollution par le plastique. « Cette problématique traverse les frontières. Et c’est justement ce caractère universel qui réunit les gens. Nous som-

By the Ocean we Unite est consciente de l’effort continu demandé jusqu’à ce que le problème soit résolu. « Nous continuerons à naviguer, c’est certain. Et nous continuerons à produire des reportages photo et vidéo afin d’amplifier le mouvement », explique Thomas. « Nous ne savons pas encore où nous irons l’année prochaine, mais nous aimerions faire le tour du monde. Ainsi, nous pourrons étendre l’expérience d’un an à un an et demi sans interruption. Naturellement, nous souhaitons aussi inclure les entreprises, le monde politique et la société, afin que chacun soutienne le projet d’eaux plus propres. Je pense que si nous nous faisons entendre d’une seule voix en tant que communauté, nous obtiendrons un changement. En effet, les solutions en dépendent. »


PRODUITS AC TUALITÉS

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• DECENTRALIZED PARALLEL ARCHITECTURE (DPA™) D’ABB • COSSES À SERTIR AVEC TECHNOLOGIE DE SERTISSAGE INNOVANTE HEX

Actualités produits —

DECENTRALIZED PARALLEL ARCHITECTURE (DPA™) D’ABB

• DPA UPScale ST 10 – 200 kW • Des UPS modulaires pour des applications de petite et moyenne taille

ABB dispose d’un très vaste portefeuille d’UPS, constitué de différents modèles qui sont à la fois des systèmes stand-alone et des systèmes modulaires. Une conception modulaire de la configuration UPS gagne de plus en plus de terrain par rapport à l’application stand-alone traditionnelle. C’est surtout grâce à la flexibilité « Pay-as-you-grow» et au niveau de fiabilité élevé « redondance N+1 » que les utilisateurs finaux choisissent de plus en plus souvent une conception modulaire pour leur configuration UPS. DECENTRALIZED PARALLEL ARCHITECTURE (DPA™) La technologie Decentralized Parallel Architecture (DPA™) d’ABB est un concept breveté qui permet d’optimiser la disponibilité et la fiabilité tout en réduisant le coût total de possession ou TCO (Total Cost of Ownership). La technologie DPA™ repose sur le concept de redondance complète. Chaque module UPS dispose de tout le matériel et des logiciels nécessaires pour pouvoir fonctionner de manière entièrement autonome. Tous les composants critiques sont par conséquent dupliqués dans une configuration redondante, ce qui permet d’éliminer tout « Single

Spécifications de DPA UPScale ST : • Technologie à double conversion en ligne •A rchitecture parallèle décentralisée (DPA™) • O nline Swap Modularity (OSM) • G amme de puissance de 10 à 200 kW par baie UPS • 2 à 4 baies connectables en parallèle jusqu’à maximum 400 kW • Capacité redondante N+1 par baie UPS • J usqu’à 96 % de rendement en ligne • La série DPA UPScale entre en considération pour la réglementation EIA 2017 https://www.rvo.nl/subsidies-regelingen/energie-investeringsaftrek-eia • THDi < 3 % • B us DC variable


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Point Of Failure » potentiel. Vu que chaque module d’alimentation fonctionne de manière complètement autonome dans le DPA™, il peut être remplacé en maintenant le système totalement opérationnel, sans aucun risque pour la continuité de la charge sous-jacente. Le MTTR (Mean Time To Repair ou temps moyen de réparation) du DPA UPScale est de cette manière réduit au strict minimum. La série DPA UPScale ST est une des séries d’UPS ABB qui reposent sur la technologie DPA™. Grâce à des modules d’alimentation 10 ou 20 kW, chaque configuration UPS souhaitée peut être conçue de manière modulaire dans la gamme de puissance de 10 à 200 kW par baie UPS. De plus, cette série offre la possibilité de connecter en parallèle des baies UPS identiques. Ainsi, dans la série DPA UPScale ST, il est possible d’obtenir une configuration UPS de maximum 400 kW. La série DPA UPScale ST convient parfaitement à des applications de petite et moyenne taille. Outre les applications IT traditionnelles, la série DPA ST peut être utilisée dans des environnements où les processus d’entreprise critiques dépendent d’une alimentation stable et continue en énergie. Grâce à sa topologie UPS à double conversion, la série DPA UPScale fournit une tension de sortie stable aussi bien pour l’alimentation réseau que de secours, ce qui permet d’éviter une perte de données ou l’endommagement de l’équipement sous-jacent. Pour plus d’informations sur le portefeuille UPS d’ABB, consultez le site http://new.abb.com/ups/systems

Avantages de la technologie DPA™ : • N iveau élevé de disponibilité • Flexibilité • Rendement • Redondance complète • Topologie à la pointe •S olution totale standardisée • Réduction maximale du MTTR (Mean Time To Repair) • Faible TCO (Total Cost of Ownership) • O ptimisation de la capacité de la batterie • M inimisation de l’empreinte au sol nécessaire • Réduction des frais d’installation et d’entretien

POUR UNE CONNEXION PRÉCISE ET FIABLE

LA TOUTE NOUVELLE SÉRIE DE COSSES À SERTIR D’ABB Avec Spec-Kon®, ABB lance une toute nouvelle série de cosses à sertir. Grâce à la technologie de sertissage innovante HEX, elles garantissent une connexion électrique de haute qualité sur des câbles de dimensions variées. De plus, avec la méthode ABB, elles sont très faciles et rapides à monter et conviennent parfaitement pour la connexion de disjoncteurs, de disjoncteurs moteurs et d’interrupteurs magnétiques d’ABB. Les cosses à sertir Spec-Kon® sont des cosses métriques en cuivre étamé pour câbles électriques ayant une tension nominale jusqu’à 30 kV. Elles sont conçues pour des formats de câbles de 6 à 400 mm² et sont disponibles à la fois pour des câbles toronnés (classe 2) et flexibles (classe 5). De plus, elles sont pourvues d’un trou d’inspection qui facilite l’installation ainsi que d’une ouverture à bord biseauté pour une insertion aisée des câbles.

Avantages • Technologie de sertissage Hex pour une connexion précise et fiable • Connexion rapide et fiable en 4 étapes seulement • Conformité aux normes EN13600, IEC61238 et aux normes CE actuelles • O util portatif et hydraulique spécial fourni pour un sertissage rapide et fiable


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L’A N N É E 1 9 4 6

1946 RECONSTRUCTION ET RENOUVEAU

Après la Seconde Guerre mondiale, les Pays-Bas étaient délabrés et exsangues. Trop sollicitées et endommagées, nombre d’installations et de machines durent être réparées, voire bien souvent remplacées. L’occasion de faire souffler sur ce renouveau un vent de modernisme.


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Les ports durent être restaurés, les chemins de fer à nouveau électrifiés, et les capacités de production des usines endommagées et désassemblées rétablies au plus vite. Le développement favorable de l’économie attira les investissements. Des secteurs ayant aujourd’hui entièrement disparu, comme les mines du Limbourg, passèrent des commandes volumineuses à Electrostoom, capable de leur proposer les solutions techniques les plus récentes.

Au niveau des centrales électriques, les gros contrats ne cessèrent de se succéder. La demande d’énergie électrique grimpa au fil des ans. En 1964, les turbines de l’Amercentrale furent livrées. Peu après, l’IJsselcentrale et la centrale de la Galileïstraat de Rotterdam furent dotées de turbines Brown Boveri.

teaux de luxe pouvant également être affectés à la navigation de croisière. Portés par la prospérité croissante, les départements commerciaux continuèrent à se développer. Les produits de luxe comme les frigos et les lave-vaisselle, fabriqués à l’époque par Brown Boveri et ASEA, connurent aussi un succès grandissant.

De nouveaux navires destinés aux connexions avec les États-Unis et l’Inde néerlandaise vinrent étoffer une flotte amenuisée par la guerre. Suivirent ensuite des ba-

ÉVOLUTIONS TECHNIQUES RÉVOLUTIONNAIRES Dès la moitié des années 60, les innovations techniques s’enchaînèrent à un rythme effréné. La microélectronique et l’électronique de puissance firent une entrée massive et transformèrent le monde de l’électrotechnique. ASEA et Brown Boveri jouèrent un rôle important dans cette évolution. Aux redresseurs à vapeur de mercure succédèrent les redresseurs à semi-conducteurs. Quant aux systèmes d’entraînement à courant continu, ils firent place aux moteurs asynchrones à courant alternatif. En 1973, ASEA commercialisa le tout premier robot industriel électrique. La bakélite, largement répandue dans le secteur de l’électrotechnique, fit place à de nouvelles matières synthétiques. La conquête spatiale et les expéditions lunaires stimulèrent l’informatisation qui, au fil du temps, s’étendit à des secteurs où opéraient ASEA et Brown Boveri. La technologie évolua profondément à cette époque, une révolution à laquelle ABB, né de la fusion d’ASEA et de Brown Boveri, contribua grandement.

— PHOTOS DANS LE SENS DES AIGUILLES D’UNE MONTRE 1948. Electrostoom fournissait les installations électriques pour le culbuteur du port de Born. Le charbon limbourgeois y était transvasé dans des bateaux fluviaux depuis les wagons à marchandises. 1959. Electrostoom fournissait des moteurs et des équipements maritimes pour le Rotterdam, un bateau à vapeur. Le matériel d’installation, était lui, aussi fourni par Electrostoom. Le vaisseau amiral de la Holland America Line prit pour la première fois la mer en 1959. Il est

désormais amarré à Rotterdam, où il fait office de musée, d’hôtel et de restaurant. 1973. Afin de ne laisser aucun doute sur son rapprochement avec Brown Boveri, Electrostoom devint Brown Boveri Nederland B.V. en 1972. 1985. À partir des années 60, la bakélite, largement répandue dans le secteur de l’électrotechnique, fit place à de nouvelles matières synthétiques. Montage de matériel d’installation dans des tableaux de distribution modulaires en matière synthétique.

125 ans d’ABB aux Pays-Bas Cette année, nous commémorons la création de l’entreprise qui, il y a 125 ans, jetait les bases des activités d’ABB aux Pays-Bas. Le 3 septembre 1892, Hubert Doyer fondait un bureau d’ingénieurs, posant ainsi les premiers jalons d’ABB aux Pays-Bas. L’entreprise telle que nous la connaissons à présent n’existe que depuis 1988. Les branches belge, néerlandaise et luxembourgeoise ont ensuite été fusionnées le 1er janvier 1999 pour donner naissance à ABB Benelux.


Le capteur intelligent ABB AbilityTM vous avertit quand le moment est venu de procéder à l’entretien.

Cette conception révolutionnaire vous indique à point nommé quand il est judicieux de procéder à l’entretien des moteurs basse tension. Le capteur intelligent ABB AbilityTM contrôle des paramètres cruciaux et envoie les données à un serveur sécurisé. Les rapports détaillés s’affichent sur l’ordinateur ou le smartphone, pour un usage convivial. Cette solution ingénieuse optimise la planification de l’entretien, diminue le nombre de pannes et augmente la longévité des moteurs. Une consommation énergétique plus basse va de pair avec des temps d’arrêt plus courts. Métamorphosez dès à présent votre moteur en machine intelligente qui communique avec vous ! www.abb.com/smartsensor


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