Intentions 90 FR by Effective Media

B U R E AU D E D E P O T

V I N G T - Q U AT R I E M E A N N É E • NUMERO 90 • SEPTEMBRE 2010

Intentions

PA R A I T E N M A R S

Düsseldorf, Flâner dans la capitale allemande de la mode

Madrid, fière et royale capitale d’Espagne

Auto Les citadines branchées au pouvoir

B RU X E L L E S X - A U T O R I S AT I O N P 6 0 8 1 4 4 JU I N - SE PT E MBRE - DE CE MB RE

E D I TO Intentions 90

Cher lecteur,

Choisir une nouvelle voiture, c’est

quelqu’un qui habite en ville, un 4x4 constitue un luxe superflu. Le choix

par définition laisser parler toutes

du type de voiture, une berline, un break, un monovolume ou encore un

sortes d’émotions. Peut-être rêvez-

SUV, dépend de beaucoup d’éléments : les loisirs, la famille, le domicile, le

vous

travail, etc. L’art consiste finalement à trouver un bon équilibre entre

depuis plusieurs années de ce

bolide aux lignes et vrombissement

budget, préférences personnelles et facilité d’utilisation.

exaltants. Vous vous voyez déjà à son

En soi, un gestionnaire de parc automobile agit de la même façon. Gérer

volant, arpentant les routes du pays,

une flotte constitue en effet un exercice d’équilibre ininterrompu entre

dans

cocon

que

vous

avez

totalement fait adapter à votre goût.

coûts, satisfaction du conducteur et environnement. C’est pourquoi LeasePlan a mis en place le service pratique de “Fleet Balance”, qui aide

Mais au moment décisif, le choix d’une

nos clients à trouver le bon équilibre. Cet outil permet au gestionnaire de

nouvelle voiture va encore bien plus

parc automobile d’une part de maîtriser les coûts et de viser une flotte

loin. Dans la pratique, vous et moi

durable et, avant tout, de garantir votre sécurité et votre satisfaction, en

devons prendre en considération un éventail de critères. Le budget est par

tant que conducteur. Car c’est ce que nous espérons de tout cœur, que

exemple le premier facteur à limiter le choix dans une large mesure. Il y a

vous soyez satisfait en tant que conducteur LeasePlan !

en effet de fortes chances pour que ce soit une déesse sur roue d’un autre acabit qui trônera dans l’allée de garage. Le côté pratique joue également un rôle. Un père de quatre enfants n’ira en effet pas loin avec une petite citadine trendy (voir en p. 13). Et pour

04 ESCAPE MADRID MADRID, FIÈRE ET ROYALE CAPITALE D’ESPAGNE

07 ESCAPE DÜSSELDORF FLÂNER DANS LA CAPITALE ALLEMANDE DE LA MODE

09 DRIVERS INFO L’HIVER EN TOUTE SÉCURITÉ GRÂCE AUX PNEUS HIVER

11 DRIVERS INFO PLAQUES D’IMMATRICULATION

Michel Van den Broeck

13 DOSSIER LES CITADINES BRANCHÉES AU POUVOIR

16 GASTRONOMIE GAULTMILLAU RESTAURANT PASTORALE & KASTEEL VAN LAARNE

20 AUTO LES VOITURES PREMIUM SE PARENT DE VERT

22 DRIVER

CONTACT LeasePlan Intentions Excelsiorlaan 8 1930 Zaventem 02-722 62 11 leaseplan@leaseplan.be www.leaseplan.be © LeasePlan 2009 EDITEUR RESPONSABLE Michel Van den Broeck CRÉATION Active - 02-467 61 50 - www.activeonline.be PUBLICITÉ Patrick Quatennens - 02-467 61 68

LE PREMIER AU VOLANT DE LA SAAB 9-5

07 16 Loi relative à la protection des données à caractère personnel : les données à caractère personnel seront transmises et reprises dans un fichier de LeasePlan Fleet Management sa, ayant son siège social Excelsiorlaan 8 à 1930 Zaventem, le responsable du traitement. Les données à caractère personnel seront utilisées par LeasePlan pour les finalités suivantes : (i) la gestion des relations précontractuelles et contractuelles, la prévention d'abus et d'irrégularités, l'établissement de statistiques et de tests, (iv) l'assistance et l'information aux conducteurs et (v) le lancement d'une enquête de satisfaction parmi les conducteurs. Les données à caractère personnel peuvent être transmises par LeasePlan à des tiers qui sont en relation contractuelle avec LeasePlan, y compris les fournisseurs et les sous-traitants. Vous disposez d'un droit d'accès et de rectification de vos données à caractère personnel en contactant LeasePlan par écrit à l'adresse susmentionnée et/ou via l'adresse e-mail privacy@leaseplan.be.

Madrid fière et royale capitale d’Espagne Il y a l’Espagne et il y a Madrid. Tout qui part vers l’Espagne pour y passer du bon temps songera d’abord à ses “Costa", à la Catalogne, ou encore au Pays Basque. Madrid se situe moins sous les feux de la rampe. A tort, car c’est une ville qui a beaucoup à offrir et notre week-end prolongé (samedi-lundi) n’était pas suffisamment long pour épuiser et découvrir ses nombreuses curiosités.

Le premier contact avec Madrid ne se déroule pas sous les meilleurs auspices. Il pleut à torrent et le chauffeur de taxi qui nous amène de l’aéroport de Baranjas vers Madrid multiplie qui plus est le prix de la course, pour passer de 30 à 75 euros… sous le faux prétexte que nous sommes samedi. Probablement sa façon de faire face à la crise, à laquelle la péninsule ibérique est confrontée depuis près de deux ans. La plupart des facteurs économiques appliquent une tactique diamétralement opposée, en témoignent les importantes réductions que proposent les grands hôtels madrilènes, où les 30 à 50% de réduction sont loin d’être l’exception à la règle. Une bonne raison donc pour nous faire changer d’avis. Se loger Le quartier situé autour du musée du Prado, où nous avions décidé de loger, semblait en effet être le point de chute idéal pour découvrir la ville. Deux grands hôtels classiques se partagent l’affiche dans un rayon de même pas 500 mètres. Le Ritz (www.ritzmadrid.com), l’une des gloires traditionnelles de la ville, a été construit entre 1906 et 1910, sous l’impulsion du roi Alfonso XIII, qui savait très bien que Madrid se devait de posséder plusieurs grands hôtels pour figurer parmi le top européen. Un peu plus haut, pratiquement en face du Congrès espagnol, se dresse le Westin Palace, sur la Plaza de los Cortes (www.westinpalacemadrid.com). C’est ici que se situait jadis le palais du comte de Medinaceli, aujourd’hui l’un des plus beaux hôtels de Madrid, qui se visite pratiquement tel un musée. Une multitude de gens célèbres, allant d’Orson Welles à David Bowie et Michael Jackson, en passant par Salvador Dali, ont honoré cet hôtel de leur présence. L’hôtel au design actuel le plus spectaculaire de Madrid est

04-05 INTENTIONS I ESCAPE

probablement l’Hôtel Urban (www.derbyhotels.com/Urban-HotelMadrid), du groupe Derby Hotels. Cet hôtel de luxe cinq étoiles se situe à moins de deux cents mètres du Westin Palace, dans la Carrera de San Jeronimo, et dégage une atmosphère contemporaine. Les chambres semblaient très confortables, l’atmosphère détendue et, grâce à la réduction en vigueur, la nuitée s’affichait à environ 200 euros, pour un tout qui valait certainement ce prix. Vaste offre culturelle et touristique Des curiosités touristiques permettant largement d’occuper tout un week-end se trouvaient à un jet de pierres de notre hôtel. Le musée du Prado (http://museoprado.mcu.es) est l’un des plus somptueux d’Europe. Il abrite des toiles de peintres espagnols classiques, tels que Velazquez, El Greco, Murillo, qui dégagent cette atmosphère ascétique espagnole particulière, mais aussi Dürer, Rubens, Rembrandt, Rafael, Fra Angelico et autres grands maîtres. Des expositions exceptionnelles y sont également régulièrement organisées. Le Museo Thyssen ( www.museothyssen.org) dégage une toute autre ambiance. Hans Heinrich Thyssen était un baron de l’acier néerlando-suisse, collectionneur d’art. Mais ce n’est pas tout. Il se maria cinq fois et la question de l’héritage suscita en son temps de vives tensions. Le musée, qui abrite probablement la plus somptueuse collection privée du monde, a ouvert ses portes en 1992, et comprend pratiquement l’ensemble de l’histoire de la peinture occidentale, depuis les primitifs flamands jusqu’à la fin du vingtième siècle. Et pour compléter le tableau, on retrouve à quelques centaines de mètres de là, le long du Paseo del Prado, le Centro de Arte Reina Sofia, le paradis des amateurs d’art contemporain. Le

Musée du Prado

Guernica de Picasso est l’un des clous du spectacle, mais on peut également y admirer des œuvres de Miró, Dali et Tàpies. Ici aussi vous pourrez sans problème passer une journée entière… Pour ceux qui préfèrent l’extérieur, citons les jardins botaniques qui jouxtent le musée du Prado, et valent très certainement le détour. En face, on retrouve l’un des plus grands parcs de Madrid, le Parque del Retiro, avec, entre autres, les magnifiques jardins de l’architecte Herrero Palacios et le Palacio de Cristal.

des chefs-d’œuvre culinaires : salmorejo (une soupe de légumes froide espagnole), petites croquettes de jambon, moules, tempura d’asperges, tripes à la madrilène (bien entendu), pied de cochon ibérique. Pour ces petites festivités, quelque verres de jerez (de Lustau !) et vin blanc du même nom, nous avons payé tout juste 50 euros. Un incontournable donc,... mais vous l’aviez déjà compris ! Des amis nous avaient conseillé un restaurant traditionnel madrilène spécialisé dans le poisson et les crustacés : Combarro, situé au numéro 12 de la Reina Mercedes, à 20 minutes de taxi de notre hôtel. Et cela valait bien le déplacement. Nous avons d’abord choisi un assortiment de fruits de mers frais vivants, dont nous ne vous épargnerons pas le nom espagnol : navajas (“petits couteaux”) grillés avec un peu de citron et de gros sel, alistados, de délicieuses gambas rouges, et ensuite une langoustine géante (cigalas). Ce plat était cher mais exceptionnellement simple et délicieux. On nous servit ensuite un magnifique filet de turbot à la galicienne, au four, avec, notamment, oignons, poivrons rouges doux et pommes de terre. Et une bonne bouteille de vin blanc sec espagnol ‘Albarinho’ de Valdamor, provenant du Rias Baixas, pour accompagner ce délicieux repas, qui démontre que l’Espagne propose non seulement de bons restaurant avant-gardistes, mais met également son patrimoine classique à l’honneur.

Côté gastronomie Madrid n’est peut-être pas le centre culinaire de l’Espagne, mais depuis ces cinq à dix dernières années, la ville n’est certainement pas en reste. Quelques bars à tapas valent sans aucun doute le détour. En la matière, tout un chacun peut se fier à son instinct. La Bocaito, par exemple, est un classique, où les moules aux oignons et à la sauce béchamel (mejimecha) font office de délicatesse. Un restaurant à tapas sort sans conteste du lot d’un point de vue de la qualité : Barra Estado Purro (www.tapasenestadopuro.com). Il s’agit d’un concept de Paco Roncero, un ancien de l’El Bulli de Ferran Ardia. La différence de qualité avec les autres bars à tapas est bien plus importante que la différence de prix. Nous nous sommes laissés tenter par toute une série de petits plats servis en petites portions, tous En Estado Puro

Prado Museum

06-07 INTENTIONS I ESCAPE

Düsseldorf Flâner dans la capitale allemande de la mode Située à deux petites heures de route de Bruxelles, Düsseldorf est une métropole bordée par le Rhin. Sa réputation de capitale de la mode par excellence va bien au-delà de ses frontières. Ses légendaires musées du K20 et K21 rajoutent encore à son intérêt. Une métropole en bordure du Rhin Le Rhin joue un rôle essentiel à Düsseldorf et confère à la ville une aura d’ouverture, de possibilités et de liberté. Au fil de la promenade sur les rives du fleuve, allant de la vieille ville historique au Medienhafen, le port média, les promeneurs, cyclistes et amateurs de roller bénéficient d’une vue panoramique sur le fleuve. En été, de petits couples se prélassent sur l’herbe verte. Du haut de ses 234 m, la tour du Rhin se dessine à l’horizon et veille, tel un phare, sur la métropole. Elle offre une vue imprenable sur la ville. Bon à savoir : le restaurant de la tour tourne de 360° toutes les heures.

Art, culture, architecture C’est au pied de la tour du Rhin que se situe le port média, qui abrite 300 entreprises, principalement actives dans les médias et la communication, la mode et l’architecture, l’art et la culture. A l’endroit où se dressaient jadis silos et entrepôts, les créations d’architectes de renommée internationale tels que Claude Vasconi, David Chipperfield et Frank O. Gehry forcent le respect. Ce sont surtout les formes fluides, fuyantes, des bâtiments de Gehry, qui sont particulièrement impressionnantes. Le projet de l’architecte américano-canadien a rapidement été adopté en tant que blason moderne pour Düsseldorf. Le port média doit également son charme particulier au mélange réussi entre ancien et neuf : ancien parapet, escaliers et installations ferrées ont été conservés et sont aujourd’hui sous la responsabilité de la protection des monuments et sites. Cette alternance entre ancien et neuf est une constante que l’on retrouve partout dans la ville. Vous pourrez également admirer à Düsseldorf les chefs-d’œuvre Jugendstil (Art nouveau) d’artistes tels que Joseph Maria Olbrich et Peter Behrens : la Galeria Kaufhof sur la Königsallee et le bâtiment Mannesmann, dans la Mannesmannufer. D’autres curiosités touristiques : la Rathaus datant de 1573, la Lambertuskirche du 13ème siècle et la Schlossturm. Düsseldorf est depuis toujours une ville où se côtoient librement art et culture. Le musée récemment rénové du K20 abrite, en autres, des œuvres de Picasso, Klee, Beuys, Ernst, Pollock, Warhol, Magritte. L’établissement jumeau du K21 expose l’œuvre d’artistes contemporains, de renommée internationale.

Mode et shopping Düsseldorf est incontestablement la capitale allemande de la mode. L’imposant Königsallee, communément appelée ‘Kö’, est à Düsseldorf ce que les Champs-Elysées sont à Paris. La liste des noms des créateurs qui ont pignon sur rue dans la Königsallee ressemble à un ‘who is who’ du monde de la mode : Hermes, Louis Vuitton, Chanel Boutique, Prada, Gucci, JOOP, Jil Sander, Giorgio Armani, Tommy Hilfiger, Escada, etc. Le boulevard se révèle non seulement un véritable paradis du shopping, mais n’est pas non plus en reste au niveau architectural. Un petit canal romantique surplombé par des ponts de pierre arqués traverse la Königsallee en son milieu, d’impressionnants marronniers et platanes au feuillage épais offrent leur ombre aux amateurs de shopping. La métropole sur le Rhin sert de décor, plusieurs fois par an, à des salons de la mode qui donnent le ton au niveau mondial et attirent le gratin des créateurs de mode à Düsseldorf. Les professionnels ouvrent alors les portes du site d’exposition au CPD, le salon de la mode, et au GPS, le salon international de la chaussure, les numéros un absolus dans leur spécialité.

Fête Düsseldorf est également réputée pour son marché de noël, qui baigne la métropole dans une ambiance féérique. Des centaines de petits chalets décorés, où des ferronniers d’art, des souffleurs de verre, des fabricants de bougies proposent leurs produits faits main, mais aussi une patinoire, des litres de vin chaud et des milliers de lumières dans arbres majestueux de la Königsallee : ambiance de noël garantie ! En février, la fête bat son plein avec le carnaval de Düsseldorf, surnommé par les habitants ‘die fünfte Jahreszeit’ ou la cinquième saison. Les festivités se prolongent alors jusqu’à l’aube dans le Kö et l’Altstadt. L’apogée est la Rosenmontag, et son impressionnant cortège qui traverse le centre-ville, acclamé par près d’un million de badauds.

L’ “Altstadt” Düsseldorf regorge également de nombreuses boutiques avantgardistes, proposant des vêtements, chaussures et objets de design originaux. Pour les dénicher, rendez-vous dans les ruelles de l’Altstadt, le quartier historique, où vous trouverez également les chaînes internationales de magasins de confection courants. L’Altstadt, avec plus de 250 cafés, restaurants et bars, est surnommée le « bar le plus long du monde ». Ne manquez pas de goûter l’Altbier, une bière brune locale à haute fermentation, brassée de façon traditionnelle dans les quatre brasseries de Düsseldorf. Pour l’accompagner, optez pour un Halve Hahn, pas un demi-poulet, mais du fromage au cumin et oignons, agrémentés d’un Röggelchen, un petit pain de seigle. D’autres spécialités : les Rheinische Sauerbraten (viande marinée rôtie), Haxe (jarret de bœuf ), Flönz (boudin noir) et Ähzezupp (soupe au pois). Pour digérer le tout, rien de tel qu’un petit digestif. Au cœur de l’Altstadt, vous pouvez déguster, et ce depuis 1955, le Killepitsch, „ön äschte Düsseldorfer Spezijalität“ : une liqueur de plante élaborée à base de 98 herbes, baies et fruits.

08-09 INTENTIONS I ESCAPE

L’hiver en toute sécurité grâce aux pneus hiver Fin octobre, le temps commence généralement à changer. Il faut alors se réhabituer aux nuits plus fraîches et aux premiers jours plus froids. On ressort vêtements et chaussures d’hiver, et on se prépare à l’hiver. Votre voiture aussi doit se chausser de façon adéquate. Les pneus hiver ont été spécialement conçus pour être utilisés à des températures inférieures ou égales à 7°C. Par rapport aux pneus été, ils possèdent une gomme dont la composition a été adaptée et leur profil est davantage creusé. Ils offrent donc davantage d’adhérence et de confort, en particulier en cas de conditions hivernales, telles que le froid, les pluies abondantes et même la neige. En Belgique, aucun règlement n’impose les pneus hiver, mais si vous empruntez souvent les routes wallonnes ou parcourez de nombreux kilomètres, mieux vaut envisager le montage de pneus hiver. Si les pneus hiver sont compris dans votre contrat, vous pouvez les faire placer à partir du 1er octobre. Mieux vaut les placer le plus rapidement possible, car lors des premières nuits froides ou chutes de neige, les demandes affluent en masse et il peut y avoir de longs délais d’attente.

Si votre contrat ne comprend pas de pneus hiver, mais que vous souhaitez néanmoins vous équiper avant de partir skier en toute sécurité, LeasePlan vous propose la solution idéale grâce à SnowPlan. Cette option vous permet de louer des pneus hiver pour une courte période (voir encadré). Pour de plus amples informations ou pour toute réservation, contactez directement Q Team au 070-22 22 70.

SnowPlan En tant que conducteur d’une voiture LeasePlan, vous pouvez bénéficier de SnowPlan, notre service unique de pneus hiver. SnowPlan est une collaboration exclusive entre LeasePlan et Q Team, le plus grand spécialiste de pneus en Belgique. SnowPlan comprend*: • la location, pendant 10 jours maximum, de pneus hiver pour votre voiture LeasePlan • le montage et le démontage + le stockage de vos pneus normaux • la vérification des niveaux d’antigel et du liquide lave-glace • un kit hiver (gratte-givre, produit antigel pour lave-glace) Prix : € 127 / Supplément deuxième semaine : € 20 extra’s: • chaînes : € 15 • GPS avec cartes européennes : € 70/semaine (+ € 100 de caution) • Coffre de toit Thule : € 50/semaine pour le modèle de base ; modèle plus grand, supplément de € 10/taille (+ € 100 de caution)

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E N G GA

Il convient de réserver au moins sept jours calendrier avant votre départ, via Q Team, au numéro général 070-22 22 70. On vous communiquera immédiatement la centrale Q Team dans laquelle vous pouvez vous rendre. Réservez rapidement si vous voulez vous assurer de la disponibilité du matériel. N’attendez pas plus longtemps et réservez déjà vos pneus hiver pour vos vacances à la neige ! * Tous les prix s’entendent TVA comprise. Offre sous conditions et selon la disponibilité des pneus et du matériel. * Le prix de la location de pneus hiver de tailles noncourantes (ne figurant pas au Top 20) peut varier * Le paiement se fait lors de la réception des pneus hiver et la caution éventuelle doit être payée cash

Blu-ray Disc Charlie et ses drôles de dames

Surfez sur www.intentions.be et répondez à la question du concours. Gagnant du concours Floraliën : Nathalie Aebi de Rodania : félicitations !

10-11 INTENTIONS I ESCAPE INTENTIONS I ESCAPE

Plaques d’immatriculation Les plaques d’immatriculation belges rouges et blanches cèderont la place, à partir de mi-novembre, aux plaques minéralogiques européennes. Mais quels sont les principaux changements ?

Sept signes Sept signes rouge foncé sur fond blanc, assortis du drapeau européen et d’un B blanc, voilà à quoi ressembleront les nouvelles plaques. Les signes seront ordonnés selon le modèle : 1- ABC - 123. Le premier chiffre de la nouvelle plaque minéralogique se situe entre 1 et 9, où les chiffres de 1 à 7 sont réservés aux immatriculations standard. Le chiffre 8 représente les plaques d’immatriculation internationales et le 9 est réservé aux immatriculations personnalisées.

Nouveau certificat d’immatriculation L’allure du certificat d’immatriculation sera également revue à partir du 15 novembre. Le formulaire rose allongé disparaît au profit d’un document A4 couleur sable. Traditionnellement, le conducteur d’une voiture de leasing ne recevait qu’une copie du certificat d’immatriculation : un document officiel avec les mêmes droits et devoirs que l’original. Il s’agit d’un document A4 mentionnant, en plusieurs langues, qu’il s’agit d’une copie, non valable pour la vente ou l’enregistrement.

Personnalisation Le prix d’une immatriculation personnalisée augmente considérablement : auparavant, il fallait compter 672 euros ; à partir du 15 novembre, il vous en coûtera 1.000 euros. Les conducteurs circulant déjà avec une plaque personnalisée ne devront cependant pas s’acquitter du surcoût lorsqu’ils introduiront leur demande de nouvelle plaque d’immatriculation. Il ne sera en outre plus possible de transmettre la plaque minéralogique à son/sa conjoint(e), cohabitant(e) légal(e) ou enfant, à moins d’introduire une demande d’immatriculation personnalisée, soit un coût de 1.000 euro.

Quand recevrez-vous une nouvelle plaque d’immatriculation ? Lors de tout contact avec la DIV, l’ancienne plaque d’immatriculation sera remplacée par la plaque européenne. En pratique, cela concerne trois cas : Achat d’une nouvelle voiture Perte ou vol du certificat d’immatriculation Perte ou vol de la plaque d’immatriculation Les anciennes plaque d’immatriculation ne disparaîtront donc que progressivement.

Format Il existe deux types de formats différents pour les voitures : la majorité des voitures se verront attribuer le format allongé de 52 cm sur 11 cm. Seules les 4x4 bénéficieront d’un format adapté de 34 cm sur 21 cm. Les motos seront équipées d’une plaque minéralogiques de 21 cm sur 14 cm.

Les conducteurs LeasePlan peuvent dormir sur leurs deux oreilles malgré un contrôle renforcé de la taxe de circulation Depuis cet été, la police exerce des contrôles plus rigoureux quant au paiement de la taxe de circulation. Les contrevenants s’exposent à la confiscation de leur véhicule. Suite à ces mesures, plusieurs messages ont été publiés dans les médias. Les conducteurs d’une voiture LeasePlan ne doivent cependant se faire aucun souci quant à ces contrôles plus assidus, car LeasePlan, en tant que propriétaire du véhicule, effectue scrupuleusement le paiement. Il n’est en outre pas nécessaire de présenter une preuve de paiement à la police, étant donné que celle-ci dispose d’un outil de contrôle mobile permettant de vérifier si le paiement a été effectué ou pas. Chaque année, 10 % de la taxe de roulage et de la taxe de mise en circulation restent impayés. Cette situation entraîne chaque année un déficit de 150 millions d’euros dans les caisses de l’Etat.

12-13 INTENTIONS I AUTO

Audi A1, Citroën DS3, Alfa MiTo et MINI Les citadines branchées au pouvoir

Alfa Mito

Dans un segment plus habitué aux gros volumes qu'aux marges bénéficiaires élastiques, les citadines branchées commencent à jouer des coudes. Elles parlent aux sens par-delà la raison et permettent à l'industrie de créer de la valeur par la force de l'imaginaire. La nouvelle Audi A1 made in Belgium en fournit un bien bel exemple.

Du style Car le premium, ce n'est rien d'autre que ça : une disposition certaine à vendre de l'imaginaire. D'abord par la force d'un dessin et d'attributs esthétiques évocateurs. Dans ce domaine, nos quatre protagonistes adoptent des stratégies sensiblement différentes. La MINI joue la carte du rétro quand la MiTo abat celle de sa parenté avec la sublimissime 8C Competizione. Forte de l'accueil réservé aux récentes études stylistiques de la marque, la Citroën mise à fond sur son côté techno et se tourne résolument vers l'avenir, contrairement à ce que suggèrent ses initiales « DS », celles-là même qui ont fait les belles heures de la marque aux chevrons dans les années 60. Quant à l'Audi, elle adopte sagement, mais non sans talent, les recettes esthétiques qui font mouche sur l'ensemble de la gamme dont la béante calandre Singleframe dont on pouvait légitimement craindre la démesure sur une voiture de ce gabarit.

Audi A1

Crises économique et financière, renchérissement et raréfaction des produits pétroliers, précarisation de la mobilité, concentration de l'habitat. Tout plaide en faveur de la voiture compacte, promise à un bel avenir. Et pour augmenter des marges réputées faibles sur ce type de produits, certains ont d'ores et déjà trouvé la parade. Parade qui consiste à jouer la carte du sensible et de l'esthétique en misant sur la corde tout aussi sensible de l'image et du statut social, vendus à prix fort. En ressuscitant la légendaire MINI, BMW a habilement joué le coup, qui plus est bien avant les autres. Il faudra ainsi attendre 2007 et l'arrivée de la Fiat 500 pour que la plus allemande des Anglaises doive partager le boulevard sur lequel elle traçait sa route depuis bientôt 6 ans. Sans être encombré, ce boulevard est davantage emprunté aujourd'hui, depuis l'apparition des Alfa MiTo, Citroën DS3 et de la toute récente Audi A1. Une A1 qui s'est bien jurée de réussir là où a échoué avant elle l'ingénieuse A2, victime de son esthétique ingrate et d'avoir eu raison trop tôt. Face à cette nouvelle menace, on feint l'indifférence chez MINI. « Ces deux produits ont des cibles différentes » se rassure-t-on. Reste à voir si l'acheteur percevra ces subtilités marketing au-delà de la noblesse des blasons et de leur propension à flatter l'ego du client.

Faire la différence En marge des silhouettes, l'exclusivité à ce niveau de gamme passe dorénavant par des programmes de personnalisation. Dans ce domaine, pas de doute, la MINI remporte la palme avec ses kits aérodynamiques, ses jeux d'autocollants pour poignées de porte, ouïes latérales et rétroviseurs, ses finitions chromées et sa large gamme de jantes. La Citroën suit l'exemple du maître

Mini

Citroën DS3

qu'on sait par contre déjà, c'est qu'elle est la seule à proposer un dispositif anticoup du lapin sur les appuie-têtes avant. Bravo ! Pour le reste, toutes ont droit à l'arsenal traditionnel des airbags frontaux et latéraux, auxquels la transalpine ajoute un airbag genou côté conducteur. Signalons encore que le point faible de la catégorie réside certainement dans la visibilité des ¾ arrière. et propose sa DS3 en de multiples exécutions et associations de couleurs, pas toutes du meilleur goût d'ailleurs. Sans tomber dans l'austérité, l'Alfa et l'Audi font preuve de davantage de retenue, préférant mettre en avant leur contenu technologique. L'Italienne propose un système DNA à trois positions modifiant les lois d'assistance de direction et la réponse à l'accélérateur. De son côté, l'A1 mise beaucoup sur la qualité de ses systèmes d'information et de divertissement, aussi complets (et coûteux) que ceux de ses grandes sœurs A6 et A8 ! Résolument Audi, son habitacle se conforme aux standards de qualité perçue de la marque et distance ainsi ses trois concurrentes, toutes joliment présentées mais incapables de rivaliser à ce niveau avec la jeune Allemande. Sûrs ! L'exclusivité, c'est aussi la sécurité. Un registre visiblement pris très au sérieux par les concepteurs de nos quatre protagonistes, équipés d'office des systèmes de stabilité ESP et d'antiblocage des freins ABS avec répartiteur électronique et aide au freinage d'urgence. En ce qui concerne la sécurité passive, les trois aînées de ce comparatif revendiquent 5 étoiles aux crash-tests EuroNCAP tandis que dernière arrivée, l'Audi doit encore passer au banc. Ce

Petites mais « attachantes » Dans ce segment de niche, l'exclusivité ne rime par contre pas nécessairement avec praticité. Car en matière de volume, nos petites charmeuses sont plutôt avares. Certes peu encombrante, la MINI réserve ses places arrière aux enfants et aux ados. Elles pourront servir de places d'appoint pour des adultes mais seulement sur de courts trajets. Et avec ses 160 litres de contenance, son coffre ne fait pas vraiment mieux. L'Alfa et l'Audi font un effort dans ces deux registres, même si le seuil de chargement se révèle élevé par rapport au plancher sur la première, et que l'inclinaison du haillon pénalise un peu la garde au toit dans la seconde. Finalement, c'est la DS qui s'en sort le mieux avec 285 litres de volume de coffre et des places arrière plus ou moins dignes de ce nom. Dommage que sa position de conduite n'ait pas fait l'objet des mêmes attentions. A cet égard, les Français ont encore à apprendre des Allemands. C'est beaucoup moins vrai en matière de liaisons au sol, registre dans lequel la DS3 excelle, tant par le niveau de confort qu'elle propose que par le caractère imperturbable de son amortissement, même sur mauvais revêtement, là où l'italienne perd son sang froid et l'anglaise de son flegme. Face au brio de la Française, seule l'Audi s'en sort avec les honneurs grâce à un amortissement rigoureux et conciliant. Audi A1

14-15 INTENTIONS I DOSSIER

Restaurant Pastorale Les petits plats dans les grands 17 Bart De Pooter n’a probablement encore jamais atteint de tels sommets culinaires qu’à l’heure actuelle. Il maîtrise les techniques de cuisine modernes, qu’il utilise plus que jamais au service du produit. Bart De Pooter joue dans la cour des grands et cela se reflète dans les prix. Large choix de menus, démarrant à 55 euros pour le menu “business” jusqu’à 90 euros pour les “verlangen”, 120 euros pour les “sensaties” et jusqu’à 180 euros pour l’ “expressie”. Les plats du menu sont également à la carte. Nous optons pour le menu “verlangen”. Après des amuse-bouche tout à propos, nous choisissons le maquereau, radis, oursin et olives noires. Ses accompagnements confèrent au maquereau une dimension supplémentaire et ne font que confirmer ce que nous savons depuis longtemps : c’est un poisson sous-estimé. Nous poursuivons par une raie à l’ail noir, mange-tout, hysope et crevettes décortiquées maison, un plat subtil et raffiné. Le bar aux haricots borlotti, chorizo, poireau et curry aura eu fini de nous convaincre, un plat pur, cuit à la perfection, les saveurs individuelles ne dominent pas mais se fondent à la perfection avec le poisson à la chair tendre. Comme plat principal, un mets minimaliste, où Bart prouve à nouveau que “moins est souvent synonyme de plus” : un demi pigeon de Racan, grillé au barbecue de façon à révéler les saveurs au maximum, simplement accompagné de cresson et céleri blanc. Grandiose. L’excellent sommelier accompagne le tout de vins savamment choisis. De Pastorale s’élève progressivement vers les sommets culinai-

res de notre pays. Bart De Pooter place davantage le produit au premier plan, sans renier son propre style. Au niveau de l’aménagement aussi, il a su suivre son temps. L’intérieur signé Arne Quinze surprend et prouve que la restauration est aujourd’hui bien plus que le simple fait de proposer une belle assiette qui a du goût. Le restaurant possède également un joli jardin, où, par beau temps, l’on peut prendre l’apéritif. Donc, comme l’écrivait très justement un célèbre journaliste l’année dernière : “S’il s’agit pour une fois de mettre les petits plats dans les grands”, vous êtes résolument à la bonne adresse.

Cet article a été réalisé en collaboration avec

Restaurant Pastorale Laarstraat 22 2840 Reet Tél. 03.844.65.26 Fermé le samedi midi et le dimanche

16-17 INTENTIONS I GASTRONOMIE

GAULTMILLAU

Bart Gossye a travaillé dans différentes maisons de renom avant de reprendre les rênes du restaurant du ‘Kasteel van Laarne’, il y a de cela 11 ans. L’intérieur a été rénové de façon sobre et élégante il y a deux ans. Nous avons fait l’impasse sur un lunch plutôt attrayant, pour choisir le menu prestige, qui se révéla fort qualitatif pour ses 50 euros. Deux petits amuse-bouche raffinés pour commencer, qui donnent immédiatement le ton quant aux compétences du chef. Le minestrone de filet de sole, une combinaison savamment structurée : un bouillon de petits légumes juste cuits à point, quelques petits flocons de pesto et de parmesan, où le fromage dominait. Le dîner est ensuite allé crescendo, et après l’Italie, c’était au tour de l’Espagne, avec une magnifique petite lotte fraîche et juteuse, accompagnée de jambon Iberico, salicorne et un beurre de chorizo très fin et bien dosé. Le canard de Barbarie était également impeccable : délicieux canard de qualité, joliment tranché (ce qui permet au goût et à la texture de mieux s’exprimer que quand la poitrine est débitée en très fines rondelles), cuisson parfaite, la pureté du goût. En accompagnement, quelques mange-tout et girolles agrémentés d’une sauce puissante mais élégante, à base d’une réduction de vin rouge et sirop de Liège. Le dessert s’est également révélé très raffiné : une soupe de fruits de saison avec un sorbet thym-citron. L’accueil de l’hôtesse était professionnel, et la carte des vins comporte de nombreuses bouteilles intéressantes de tous les coins du monde. Cet établissement mérite un beau 14/20.

Cet article a été réalisé en collaboration avec

Le maître des lieux

Kasteel van Laarne

Kasteel van Laarne Eekhoekstraat, 7 9270 Laarne Tél. 09.230.71.78 Fermé le lundi et le mardi

18-19 INTENTIONS I

GASTRONOMIE GAULTMILLAU

Fleet Test : Le segment D premium Les voitures premium se parent de vert DLe Green Plan Fleettest est devenu une tradition. Lors de chaque Fleettest, plusieurs gestionnaires de parc automobile ont la possibilité de tester un certain nombre de voitures d’un segment en particulier. Pour cette édition, le choix s’est porté sur le segment D premium, c’est-à-dire le segment de la BMW Série 3, de la Mercedes C et autres Audi A4… Avec six voitures au total, ce Fleettest n’était certes pas le plus vaste, mais certainement l’un des plus importants, vu la prédilection du marché fleet pour le segment D premium. Les six gestionnaires de parc automobile qui participaient à cette édition l’admettent euxmêmes : un quart à un tiers de leur flotte se compose de voitures du segment D premium. Tout comme dans le reste du secteur fleet, la consommation et les chiffres de l’émission de CO2 y afférents occupent une place centrale dans ce “département luxe”. Il n’est donc pas étonnant que la majorité des voitures de test avaient revêtu leur version spéciale « éco ». Voici les six modèles du Fleet Test : Alfa Romeo 159 Sportwagon 2.0 JTDm ‘ECO’

L’Alfa Romeo 159 Sportwagon, avec son élégante carrosserie break signée Giugiaro, est une invitée appréciée de la section ‘challenger’ du segment D premium. Pour la rendre encore plus attirante, la marque italienne propose, depuis le dernier relooking de la 159, un certain nombre de versions écologiques : l’une dotée d’un bloc 1.9 JTDm de 115 ch et l’une autre, équipée du 2 litres JTDm. Cette dernière, qui participait au Fleettest, développe 163 ch et a vu son émission de CO2 se réduire pour atteindre 140 g par kilomètre, grâce à des adaptations améliorant l’efficacité.

Audi A4 2.0 TDIe L’Audi A4 est une valeur sûre de presque tout parc automobile. Le changement de génération récent met plus que jamais l’accent pour ce modèle sur l’allure, les compétences techniques et le respect de l’environnement. La version verte qui sort du lot dans la gamme est celle dotée du 2 litres TDIe. Equipée de la version à 136 ch du nouveau bloc Common Rail d’Audi, l’A4 rejette 119 grammes de CO2 par kilomètre, ce qui correspond à une consommation normalisée de 4,6 litres aux 100 kilomètres. Aérodynamisme adapté, rallongement du rapport final de la boîte manuelle six vitesses et système start-stop sont à la base de ces chiffres peu élevés.

20-21 INTENTIONS I

AUTO

Audi A5 Sportback 2.0 TDI C’est une nouvelle venue dans la gamme Audi. Avec sa ligne au style coupé, qu’elle combine à quatre portes, on pourrait décrire cette voiture comme le chaînon manquant entre l’A4 et l’A6, ou simplement comme une version plus pratique de l’A5 coupé. Avec la Sportback, la marque aux quatre anneaux vise les conducteurs amateurs d’un look exclusif, dégageant une certaine sportivité. Sous le capot, on retrouve la célèbre technique mécanique de la maison, notamment sous la forme d’un 2 litres TDI, développant, au choix, 136 ou 163 ch. Une version ‘e’, comme pour l’A4, n’est pour l’instant pas encore au programme.

BMW 320d EfficientDynamics Edition La BMW Série 3 entretient depuis plusieurs années déjà une histoire d’amour avec le marché fleet. L’introduction de la stratégie EfficiëntDynamics, qui a permis de réduire la consommation et l’émission de CO2 de tous les modèles de la Série 3, et par extension de l’ensemble de la gamme BMW, n’a fait que renforcer la fraternité. Cette ‘EfficientDynamics Edition’ de la 320d va encore plus loin et affiche une émission extrêmement faible de 109 grammes de CO2 par kilomètre, malgré une puissance de 163 ch ! Outre les adaptations EfficientDynamics traditionnelles, cette ‘Edition’ se voit dotée de rapports de boîte rallongés, une suspension rabaissée et des jantes en alliage léger adaptées au niveau de l’aérodynamisme. Le prix de la 320d est identique à celui de la 320d ‘normale’.

Mercedes C220 CDI BlueEFFICIENCY

La Mercedes Classe C est aussi un grand classique du secteur feet. L’introduction des moteurs diesel BlueEFFICIENCY a permis d’augmenter la puissance de 20%, tout en faisant diminuer la consommation et l’émission de CO2 de près d’un quart par rapport à la génération précédente. Le moteur C220 CDI BlueEFFICIENCY de 163 ch par exemple, affiche une consommation normalisée moyenne de 4,8 litres aux 100 kilomètres, soit une émission de 127 grammes de CO2 par kilomètre. La Mercedes Classe C se décline en trois versions, chacune possédant son propre look, allant de classique à sportif : Classic, Elegance et Avantgarde.

Volkswagen Passat CC 2.0 TDI BlueMotion Technologies Troisième de la série modèle des Passat, aux côtés de la Berline et de la Variant, la Passat CC a pour mission de défendre l’honneur de VW dans le segment D premium. Sur la Passat, l’ajout du CC n’est pas l’acronyme de Coupé-Cabriolet mais bien de Coupé Confort … tout comme l’A5 sportback, un coupé quatre portes. A l’instar du reste de la gamme Passat, cette CC est également disponible en configuration BlueMotion. En raison de sa vocation plus élitiste, le 1.6 TDI ne fut cependant pas retenu pour cette Passat, ce qui nous amène immédiatement au niveau supérieur avec un 2 litres TDI Common Rail de 140 ch. Grâce à la technologie BlueMotion, sa consommation se limite à 4,9 litres aux 100 kilomètres, ce qui représente une émission de CO2 de 128 grammes par kilomètre.

Les résultats Les six voitures ont été testées par autant de gestionnaires de parc automobile et évaluées conformément aux principes de la Recommended Car Policy de LeasePlan. Celle-ci regroupe les observations des fleet owners sous trois catégories : “Planet” pour les aspects écologiques, “Profit” pour le côté financier et “People” pour les qualités liées au conducteur. On remarque surtout l’absence de la BMW Série 3 dans le top trois de chaque catégorie, celle-ci ayant été décrite comme pas assez confortable et trop sportive. Autre grande absente au palmarès : l’Alfa Romeo 159 Sportwagon, qui fut jugée un peu trop sobre pour le segment premium. Voici les résultats par catégorie :

Planet 1.

Mercedes C220 CDI / Volkswagen Passat CC

Audi A4

Audi A5 Sportback

Profit 1.

Audi A4

Volkswagen Passat CC

Mercedes C220 CDI / Audi A5 Sportback

People 1.

VW Passat CC

Mercedes C220 CDI

Audi A5 Sportback

TEMOIGNAGE SAAB 9-5 Un lecteur teste la nouvelle Saab 9-5 Des prestations sans précédent Michel Van den Broeck, Managing Director de LeasePlan, et Saab : voilà les ingrédients d’un illustre récit qui se déroule en 1996. Michel Van den Broeck nous raconte ...

La survie de Saab n’a tenu qu’à un fil pendant un certain temps, mais suite à sa reprise par l’entreprise néerlandaise Spyker, l’avenir de la marque suédoise semble assuré. La 9-5 est le premier produit de la marque Saab nouvelle version. Avec son niveau de finition élevé et son confort de conduite, elle défie des concurrentes telles que la Mercedes Classe E et l’Audi A6. Mais Saab parvientelle à transposer ces ambitions également sur le terrain ? Notre lecteur, Gunter Dom, Adjoint au Directeur HR d’Ethias, en a fait l’expérience. Gunter Dom a pu tester la Saab 9-5 pendant une semaine de travail complète. “Je n’ai pas seulement utilisé la voiture pour effectuer le trajet domicile-travail, mais elle m’a également menée au siège central d’Ethias, à Liège, et à une réunion d’Assuralia à Bruxelles”, déclaret-il. Quand on interroge Gunter Dom quant à ses premières impression sur la Saab 9-5, il ne doit pas réfléchir longtemps : “Je trouve que c’est une magnifique voiture, qui se distingue de ses concurrentes par un design qui lui est propre. Elle confère un sentiment de luxe tout en permettant une conduite sportive. Sa bonne tenue de route et la souplesse de sa direction n’y sont pas pour rien.” Intérieur Gunter Dom : “A l’intérieur, on sent que la 9-5 a avant tout été créée pour le conducteur. Saab a clairement joué la carte des matériaux de qualité et d’un niveau de finition élevé. Le seul point négatif concerne, selon moi, la difficulté à lire les indications sur les touches de commande. Saab aurait peut-être dû choisir ici une police plus grande, car dans mon A6, je parviens à les lire sans problème. Un gadget utile dans la 9-5 est la projection de la vitesse sur le pare-brise. J’ai donc pu vérifier en permanence ma vitesse. La commande du système de navigation via un écran tactile s’est également révélée particulièrement intuitive.” La flotte d’Ethias se compose de 240 voitures avec le même dénominateur commun : une faible émission de CO2. “Auparavant, nos collaborateurs pouvaient choisir une voiture de n’importe quelle marque, mais nous travaillons aujourd’hui à l’aide d’une short-list, sur la base de l’émission de CO2. Dans certaines catégories, nos conducteurs peuvent choisir la Saab 9-3. La 9-5 pourra-t-elle aussi être intégrée à la flotte d’Ethias ? Selon Gunter Dom, cela ne fait aucun doute. “Elle pourrait faire partie de notre catégorie la plus haute et, si vous me demandez mon avis, je la conseillerai certainement”, conclut Gunter Dom.

22-23 INTENTIONS I DRIVER

“Le Talladega Challenge est une course d’endurance (25.000 miles - 40.000 km) destinée aux voitures de série et qui se déroule à Birmingham, aux Etats-Unis, sur le circuit ovale le plus rapide du monde. Lors du lancement des modèles 900 (S, i, et Turbo), Saab délégua six voitures pour le Talladega Challenge. Les journalistes du monde entier avaient répondu présents. Le concept : pied au plancher sur le circuit, pendant une heure, ensuite retour pour faire le plein et passage du volant au participant suivant. J’ai eu la chance de pouvoir apparaître le premier sur la ligne de départ (avec la légende Eric Carlsson pour donner le signal du départ), au volant d’une Saab 900 Turbo, avec laquelle j’ai réussi à atteindre une moyenne de 232,3 km/h. Ce record n’a été battu par aucun autre successeur, et constitue donc toujours un record mondial, certes au volant d’une voiture de série.” Suite au lancement de la Saab 9-5, Intentions a posé quelques questions à Michel Van den Broeck : Quelles sont les principales concurrentes de la Saab 9-5 ? Michel Van den Broeck : “La nouvelle Saab 9-5 devra concurrencer l’Audi A6, la Mercedes Classe E, la BMW Série 5 et la Volvo S80. Ces marques premium ont déjà fait leurs preuves dans le secteur fleet et représentent d’importants volumes.” D’après vous, quel avenir le secteur fleet réserve-t-il à la Saab 9-5 ? Michel Van den Broeck : “L’avenir de la nouvelle Saab 9-5 dans le secteur fleet dépend de la créativité dont Saab fera preuve pour faire de la nouvelle 9-5 un succès. Par ailleurs, on devra tenir compte des aspects écologiques tels qu’une émission de CO2 et une nouvelle offre de motorisations.” Quel genre de conducteurs la nouvelle venue de la gamme Saab ravira-t-elle selon vous ? Michel Van den Broeck : “Tout d’abord, Saab est une marque pour les "individualistes", et non pour les "traditionnalistes". Ceux qui accordent de l’importance à une allure unique, presque exclusive, à la sécurité et à la qualité, trouveront leur bonheur dans la marque suédoise. Les conducteurs Saab se sentent concernés par la marque, son passé ... et désormais aussi son avenir.”