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#jeudi21avril2016

Citation du jour.

«Une culture se doit d’être insatisfaite, sinon elle succombe.»

Robert Sabatier

Musique Tanjazz célèbre la journée internationale du jazz Extrait : « Le festival Tanjazz offre un avant-goût de sa prochaine édition et participe le 30 avril à la Journée internationale du jazz instituée par l’Unesco et matérialisée par des centaines d’événements à travers le monde...»

Source lematin.ma

Le film documentaire célébré à Agadir La huitième édition du festival parrainée par Jean-Pierre Thorn Extrait : « Le Festival international du film documentaire d’Agadir (Fida’Doc) souffle sa huitième bougie du 2 au 7 mai prochain sous le signe des nouveaux talents tels que Rachida El Garani, la réalisatrice du film d’ouverture, «Into Darkness», tourné dans une famille de Taroudant. » Source lematin.ma

“Awaln’Art”, Rencontres artistiques internationales en places publiques Extrait : «Les 10èmes Rencontres artistiques internationales en places publiques “Awaln’Art” auront lieu à la cité ocre du 22 avril au 07 mai prochain dans le cadre de la 6ème édition de la Biennale d’art contemporain de Marrakech. » Source libe.ma

Abdellatif Laâbi salue la jeune génération de plasticiens marocains Extrait : « Abdelatif Laâbi a signé l’un des textes du catalogue de la vente aux enchères du 30 avril dédiée à l’art contemporain et organisée par la Compagnie marocaine des oeuvres et objets d’arts (CMOOA).»

Source le360.ma

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Intitulé «Second Souffle», ce beau texte rend Les jeunes artistes marocains, résidents sans hommage à la génération actuelle d’artistes complexe du village planétaire, se sont très vite positionnés dans cette guerre de tranchées contemporains. où l’ennemi a pour visage la bêtise, la haine, On peut pointer, à juste titre, tous les retards, l’indifférence, mais aussi le mauvais goût, le confort toutes les pesanteurs qui lestent encore l’élan et la paresse intellectuelle, celle des cinq sens, sans de la société marocaine, ses aspirations au oublier le matérialisme vulgaire. Si leurs aînés de développement matériel et humain. Mais il y a un la deuxième moitié du vingtième siècle avaient domaine où la fatalité semble ne pas avoir prise, où eu pour souci d’inventer, pour chaque moyen l’histoire connaît des accélérations contraires à ses d’expression, une langue qui leur soit propre, habitudes. Ce domaine est, sans surprise, celui de eux, tout en bénéficiant de cet apport, s’attellent aujourd’hui à une autre tâche, celle de participer la création artistique. à l’élaboration d’une langue commune, une sorte On se souvient par exemple de ce qui s’est passé au d’esperanto de l’art dont le lexique et la grammaire Maroc il y a un demi-siècle : l’irruption, imprévisible, peuvent être immédiatement intelligibles pour tout d’un mouvement intellectuel, littéraire et artistique un chacun, où qu’il se trouve et quelle que soit sa d’avant-garde qui, en l’espace de quelques années, culture d’origine. a changé le contenu et la configuration de la culture marocaine, a permis à celle-ci de prendre en Grâce à eux, donc, le panorama des arts plastiques marche le train de la modernité et de s’inscrire dans chez nous a vu sa ligne d’horizon reportée au plus loin. Cela étant, il est devenu inconcevable que une démarche de l’universel. l’on puisse «négocier» ce qui relève de la liberté Depuis lors, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts d’expression. Et cette liberté, pour notre bonheur, et, hélas, beaucoup de sang, dans maints endroits prend souvent, chez la nouvelle génération, les de la planète. Le nouvel ordre du monde que voies de la malice, de la dérision, et pourquoi pas de certaines puissances ont instauré s’est révélé être la décapante provocation. un désordre généralisé du monde. Des repères se sont perdus. Des valeurs, et en premier lieu celle de Voilà ce qui nous autorise à affirmer en confiance que notre scène artistique connaît bel et bien un la vie humaine, ont été mises à mal. second souffle. Sachons donc accueillir celles Mais là encore, et au plus fort de l’épreuve, l’art et ceux qui l’incarnent avec les égards et la ne s’est pas avoué vaincu. Il a réussi du moins à bienveillance qu’ils méritent. témoigner de ces bouleversements et à dénoncer les nouvelles formes de barbarie auxquelles nous Par Abdellatif Laâbi sommes désormais confrontés. source le360.ma

Art Gallery

Communiqué de presse ( Expo du 05 Mai au 23 Mai 2016) AHMED BENNANI « Au milieu du chemin de notre vie, je me trouvai par une forêt obscure, car la voie droite était perdue. » La divine comédie Dante Est-ce bien Dante qui s’est ressuscité parmi nous pour annoncer ses souffrances et ses aspirations ou bien le cri d’un disciple fuyant son passé et ses facettes obscures ?

Ce souci de vraisemblance est une sorte d’autobiographie où l’artiste cherche à exprimer ses aspirations illimitées que rien ne peut satisfaire dans notre réalité tangible, elle est aussi refuge pour s’enfuir de la vérité comme disait Nietzche : « Nous avons l’art afin de ne point mourir de la vérité ».

Les Œuvres qui font objet de cette exposition, constituent un pèlerinage entre des mondes antagonistes : l’enfer et le paradis, la liberté et l’esclavage, la lumière et les ténèbres.

Ce voyage dantesque, consiste pour l’essentiel d’abord en un refus du monde, ensuite en une renaissance, enfin à un état nouveau du rapport de l’être au monde. Des œuvres qui font corps avec le passé et racontent le présent pour envisager l’avenir.

Un avenir où le corps jouit de sa liberté après avoir traverser de nombreuses épreuves.

Dans sa démarche artistique l’artiste Ahmed Bennani a choisi la trilogie : corps, temps et espace comme matériaux de base afin de performer la nécessité de la femme de se libérer des codes que la société conservatrice lui impose. Une démarche qui cherche à instaurer un meilleur dialogue entre les différentes générations des artistes et garantir une position plus claire de la performance comme pratique artistique.

Par ses moyens techniques et son habileté plastique l’artiste imprime sa sensibilité à l’œuvre, la transcende, la restitue.

Cette opération de recréation fait de l’œuvre un objet unique et nouveau.

A travers ses expositions l’artiste Ahmed Bennani ne cesse pas d’enchanter et d’émerveiller ses fans par l’originalité de ses œuvres et l’audacité de ses idées.

Ben Mimoune

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Événement Mawazine 2016: le rappeur Pitbull de retour à l’OLMSouissi La star américaine d’origine cubaine Pitbull se produira pour la seconde fois sur la scène de l’OLM-Souissi, vendredi 27 mai, lors de la 15e édition du Festival Mawazine-Rythmes du Monde prévue du 20 au 28 mai prochain, a annoncé l’Association Maroc-Cultures, organisatrice de l’événement.

Source le360.ma

Rencontre DU JOUR Rencontre avec Jean-François Clément qui présente et signe son dernier livre «Tayeb Saddiki l’homme de théâtre» paru aux éditions Les Infréquentables Source facebook.com

Ahmad Bouzoubaa, Fondateur et créatif de lamaisondesartistes.ma & culturetoute.com

Pour sponsoriser un mailing envoyez votre demande à ahmadbouzoubaa@gmail.com.

La Maison des Artistes s’est fixée comme objectif de promouvoir l’art contemporain marocain. Notre agence également spécialisée dans la communication propose un concept original pour la décoration murale des bureaux et de l’intérieur des locaux. Notre agence se charge aussi de tous travaux de conception, d’édition ...