Trait d'Union n°107

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Trait

d’Union

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de JUIN à SEPTEMBRE 2011


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Le 12 octobre, suite au rachat du groupe « Est Républicain/DNA », le Crédit Mutuel est devenu propriétaire du plus grand groupe de presse quotidienne de France, contrôlant onze titres. Nous publions de larges extraits du rapport de l’Autorité de la Concurrence validant la plus grande opération de concentration de la presse. En italique, les commentaires du cabinet Sécafi, expert comptable du comité d’entreprise.

perspectives ?

Hubert STRAUEL

Le dossier de notification a été adressé au service des concentrations le 7 février 2011 (pour une opération formalisée par une délibération du conseil d’administration de « L’Est Républicain » le 25 novembre 2010) et déclaré complet le 31 mai 2011. Des engagements relatifs à l’autonomie éditoriale des titres du groupe « E.R. » (« L’Est Républicain ») ont été présentés le 24 juin 2011 puis modifiés le 11 juillet 2011. La prise de contrôle a été autorisée par l’Autorité de la Concurrence le lendemain, 12 juillet 2011.L’analyse de l’Autorité de la Concurrence consiste à examiner les activités communes des deux ensembles, identifier les zones de chevauchement et évaluer si le nouvel ensemble détient une position dominante telle que cela conduirait à entraver le libre jeu de la concurrence.

la guerre

La BFCM est présente dans le secteur des médias par l’intermédiaire de la SFEJIC (holding du Groupe « L’Alsace »), du groupe « Républicain Lorrain » et de la société EBRA (holding du pôle Bourgogne - Rhône-Alpes). Comme dans les décisions précédentes, l’Autorité ne fait pas d’analyse globale mais distingue dans la presse : la presse nationale, la presse régionale, la presse gratuite, la presse spécialisée ainsi que les marchés connexes : impression, internet, distribution, etc. L’Autorité de la Concurrence constate bien que l’opération se traduit par la création de monopoles sur les marchés du lectorat, de la publicité et des petites annonces dans les départements du Haut-Rhin, du Territoire de Belfort et dans le Bas-Rhin (arrondissement de Sélestat). Elle observe qu’il est peu probable que de nouveaux concurrents apparaissent compte tenu du déclin du marché de la PQR. Elle indique que, avant opération, 81 départements se trouvaient en situation de monopole. Nous observons que, après opération, seuls six départements connaîtront encore une situation de concurrence (dont trois départements bretons).

aux peuples

quelles

Car le but ultime, ce n’est plus une Europe de progrès, démocratique, fraternelle, du plein-emploi et du bien-être. Assez rêvé, le mot d’ordre, le fin du fin, l’objectif unique est de rassurer banquiers, spéculateurs et agences de notation. Ce qui passe, forcément, par la camisole de force pour les salaires, le démantèlement des services publics, la purge de l’emploi, l’anéantissemnt de la protection sociale. Bref, une véritable déclaration de guerre aux peuples. Le hic, et il est de taille, c’est que tout ceci ne passe plus ! Malgré les campagnes effrénées, abondamment relayées par des médias totalement soumis aux intérêts du capital, la riposte

Hubert STRAUEL

En toute circonstance, il faut faire des choix, et les assumer. Tous ceux qui, il y a peu, clamaient leur volonté de moraliser le capitalisme et de réguler les marchés, ont fait les leurs. Face à une crise financière qui n’en fini pas de s’amplifier, il faudrait, aujourd’hui et pour l’éternité, graver l’austérité permanente dans le marbre constitutionnel. Après avoir gavé les marchés financiers de fonds publics pour sauver les banques et les spéculateurs, nous n’aurions d’autres choix que de nous serrer une ceinture appelée à nous maltraiter toujours davantage.

Après avoir exclu un risque de hausse de tarif dans les zones devenues monopolistiques, l’Autorité de la Concurrence pointe le risque de perte de qualité et de diversité des titres de presse concernés. Elle estime qu’il existe des différences entre les titres « L’Alsace » et « Les Dernières Nouvelles d’Alsace » dans la manière de traiter certains sujets d’actualité tant nationale que locale. L’opération est donc susceptible de conduire à une homogénéisation de contenu des journaux se traduisant pour le lecteur par une réduction de la qualité et de la diversité éditoriales des journaux. C’est pour éviter ce risque que la BFCM a proposé des engagements (…) acceptés par l’Autorité de la Concurrence. L’Autorité indique que, sur les marchés de la publicité et des petites annonces, la PQR est contrainte par d’autres médias tels que la presse gratuite, les sites internet et le hors média. De ce fait, le risque de hausse de prix est limité d’autant plus que les annonceurs ont déclaré que, dans l’hypothèse de hausses de tarif, ils se tourneraient vers d’autres supports. La BFCM déclare que l’adjonction de « L’Est Républicain » à ses activités médias lui permettra d’atteindre une taille


3 prend de l’ampleur et la solidarité s’affirme. En Grèce, en Espagne, au Portugal, en Italie, partout en Europe, l’heure est à la mobilisation pour d’autres choix et de véritables mesures de sortie de crise. A ce titre, les dogmes ultras-libéraux induits par les divers traités européens doivent être remis en cause. En France, la mobilisation unitaire des syndicats du 11 octobre s’inscrit dans cet objectif : remettre au centre de l’action syndicale les revendications fondamentales du droit à l’emploi, à la revalorisation des salaires, à la protection sociale, à la retraite, au développement des services publics, de l’éducation, de la santé.

Il est urgent que des mesures vigoureuses de relance de l’activité économique soient prises. La question d’une autre répartition des richesses, plus efficace économiquement, plus juste socialement, est posée, alors que les profits flambent : près de 80 % des bénéfices des grandes entreprises françaises sont dilapidés en dividendes aux actionnaires ! Dans notre secteur d’activité, l’inquiétude grandit : marasme économique, suppressions d’emplois au Monde, dans le groupe Midi-Libre, menaces sur l’existance de France-Soir, de La Tribune. La prise de contrôle du groupe Est-Républicain/DNA va permettre au Crédit Mutuel de finaliser la constitution du premier groupe de presse quotidienne régionale. A quel prix ? La question est posée !

Les conclusions du rapport de l’autorité de la concurence, malgré les engagements pris par l’actionnaire, laissent plâner de lourdes menaces sur l’indépendance éditoriale des différents titres, avec toutes les conséquences sur l’emploi, les statuts et les conventions collectives. Pour ce qui nous concerne, il est évident que les chantiers qui seront ouverts dans les prochaines semaines doivent être abordés en toute transparence... avec les organisations syndicales ! Dans le cas contraire, il est tout aussi évident que les relations sociales tourneront très rapidement au vinaigre, avec l’appui de tous les salariés... Aucun doute à avoir dans ce domaine !

critique permettant de réduire les coûts grâce à la mise en oeuvre de synergies.

Remarque : toute mise en commun de moyens autres qu’éditoriaux, est non seulement autorisée mais encouragée (direction, ventes et publicité, fabrication, distribution, etc.).

et du « Pays » dans le Territoire de Belfort pour autant que la diffusion de « L’ Est Républicain » ne tombe pas sous les 10 000 exemplaires. Remarque : quid du canton d’Héricourt (25) ? OJD « E.R. » 2010 dans le Territoire de Belfort = 10 411 ex. 4. La BFCM précise qu’elle conserve la possibilité, si elle le désire : de dépêcher des journalistes communs ou de bénéficier de correspondants communs pour assurer la couverture factuelle d’un événement ; de créer une structure commune interne, type agence de presse, susceptible d’alimenter en dépêches d’information ses différents titres de presse (le périmètre n’est pas précisé, il faut l’entendre de manière extensive soit sur l’ensemble des 19 départements).

« L’Est Républicain » devrait bénéficier d’autres avantages notamment des investissements importants. Est évoqué le renouvellement des rotatives qui permettra des gains importants pour les lecteurs et annonceurs en augmentant le nombre de pages couleur. La BFCM estime également que l’opération va permettre la mise en commun de moyens, notamment en termes logistiques ou d’approvisionnement, afin de bénéficier d’une mutualisation de charges et de création de relais de croissance de chiffre d’affaires. Remarque : la mise en commun des achats et des fournisseurs a été menée dans le nouveau périmètre avant l’absorption de « L’E.R. » par le Crédit Mutuel. L’Autorité de la Concurrence estime que, compte tenu de l’importance des coûts fixes dans la PQR, notamment en matière d’impression et de distribution, des économies d’échelle sont vraisemblables en mettant en commun des moyens d’impression et de distribution. Elle affirme que ces gains d’efficacité sont de nature à compenser en partie l’effet de la baisse de la diffusion sur la rentabilité des titres.

Les engagements pris par la BFCM Pour assurer l’autonomie éditoriale des titres, la BFCM s’est engagée à : 1. Ne pas harmoniser les contenus nationaux, régionaux ou locaux entre « L’E.R. » et « Le Pays », d’une part, et les « DNA » et « L’Alsace », d’autre part. L’engagement ne couvre pas les informations par nature indifférenciées (météo, programme TV, hippisme, etc.). 2. Maintenir une rédaction en chef dédiée entre les « DNA » et « L’E.R. » c’est-à-dire comprenant au moins un rédacteur en chef et une équipe de journalistes en mesure de traiter l’information internationale, nationale, régionale, départementale et locale. Remarque : quid entre les « DNA » et « L’Alsace » ? Quid du réseau de correspondants ? 3. Maintenir la diffusion des « DNA » et de « L’Alsace » dans le Haut-Rhin et dans l’arrondissement de Sélestat. Chaque titre est maintenu dans sa zone de diffusion avec une information locale dédiée. Maintenir la diffusion de « L’ Est Républicain »

Chaque titre conservera la liberté d’utiliser on non ces dépêches, d’y apporter les commentaires qui lui sont propres et de dépêcher ses propres journalistes. Ces engagements sont pris pour une durée de cinq ans. Ils seront levés ou maintenus au vu de l’évolution de l’environnement économique et concurrentiel des titres, soit à l’initiative de l’Autorité de la Concurrence, soit sur demande motivée de la BFCM. Le suivi des engagements sera assuré par un mandataire indépendant de la BFCM.


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Anne SUPLY

qui roule toujours

une équipe

sélestat

Trouver l’agence de « L’Alsace »

à Sélestat n’est pas très compliqué… En venant

Cindy Maurer : « Quand je me déplace, c’est pour un abonnement ! »

Myriam Bachmann : « Tout va bien, nous allons y arriver, il y a toujours une solution ! »

de Mulhouse, direction le Bas-Rhin, juste après Colmar et bien avant Strasbourg. Sélestat, un patrimoine historique et architectural impressionnant, un culte pour le dahlia (et son Corso fleuri), le sapin (et sa mention historique) et l’oignon (et sa confrérie), des gourmandises locales nombreuses, un professeur Sappinus qui fait la joie, chaque hiver, des habitants et des télévisions japonaises, un Frac, une biennale d’art contemporain, une Bibliothèque humaniste estampillée trésor de l’humanité par l’Unesco, une équipe de handball qui défie chaque semaine celles des grandes villes de France… Et autour de Sélestat, des secteurs de caractère, avec de l’urbain, du rural, des montagnes, des vallées, une plaine, du Ried, un piémont et du vignoble. Trouver l’agence de « L’Alsace » à Sélestat n’est pas très compliqué… Au cœur historique de la ville, aller jusqu’à la place de la Victoire. Tout juste quelques soucis pour trouver une place de stationnement le mardi, jour du marché. Sur la place, une vitrine lumineuse et une enseigne visible depuis les rues voisines. Nous voici arrivés. La porte vitrée passée, premier sourire : celui de Myriam Bachmann, responsable de l’accueil. Dernière arrivée parmi nous, pétillante et enthousiaste, Myriam mène ses journées à Sélestat avec autant de rythme et de souffle qu’une de ces randonnées dans les Vosges qu’elle affectionne tant. Juste à côté, Ludivine Vogel, secrétaire d’édition, n’a pas son pareil pour manipuler avec

Ludivine Vogel : « C’est pas très charte, tout ça »

« Méthode » les pages du lendemain. Mémoire sensible de l’agence, elle connaît le secteur comme sa poche et les correspondants de la centaine de communes de l’édition « Alsace centrale ». On lui connaît un vice, le crunchy au spéculoos, et bien des vertus, comme une rigueur professionnelle certaine, un sens de l’humour qu’un Belge ne renierait pas, et une connaissance accrue des grades chez les sapeurs-pompiers. Précieux. Toujours tout près de la vitrine, et à l’affût de ce qui se passe dans celles des commerçants de la ville, Julie Haas assure la fonction de chef de publicité à Sélestat. Sa collègue Carole Oechsel, qui partage son temps entre Colmar et Sélestat, suit les évolutions du marché de l’immobilier en Alsace centrale. Elles entretiennent avec talent le terreau publicitaire de notre édition et ne manquent jamais de rappeler à la rédaction la parution de certaines publicités volumineuses. En face d’elles, Cindy Maurer. Rarement à l’agence, plutôt sur le terrain, Cindy veille à la courbe des abonnements dans le secteur, à Sélestat ou à Colmar. Elle partage la couverture du Val d’Argent avec Yannick Lounnas basé à Colmar. Et à eux deux, la reconquête vers l’ouest de la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines se poursuit à coup de criquets et de visites dans le secteur.

Carole Oechsel : « Mais tu ne vas pas payer le prix fort ! Attends, je t’accompagne ! »

Françoise Marissal : « Ok, d’accord, grrrrr frrr frrr frrr scrtchfrtz z »

Julie Haas : « Il y a une pub Kranklader pour demain ! »


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Poursuivons la visite de l’agence : juste derrière la grande cloison vitrée, c’est là que vit la rédaction. Une rédaction paritaire et ô combien variée ! La première qui ira à votre rencontre, c’est Françoise Marissal. Toujours à l’affût d’une actualité du secteur, elle n’a pas son pareil pour rendre vivant les sujets qu’elle traite et viser juste avec son appareil photo qu’elle manie avec beaucoup de passion. Elle plonge dans tout ce qui se profile, n’hésitant pas à braver la gravité, le mouvement, les altitudes élevées ou profondes, pour peu qu’il y ait de l’action et de l’info. Un bonus ? Les sujets à tendance verte, respectueux de l’environnement et… biodégradables ! Jamais à court d’un titre ciselé ou d’un jeu de mots, Christian Weibel s’escrime parfois avec les textes des correspondants sportifs du secteur mais dribble avec les contraintes de pagination en toute fluidité. Toujours aux avantpostes de l’actualité sportive, il n’hésite pas à entrer dans la mêlée pour raconter l’épopée des Violets, les handballeurs sélestadiens remontés cette saison en Ligue 1. Son exploit ? Avoir réussi à faire venir quasiment toute l’équipe à un match du SAHB. Et il parle de récidiver… Appareil photo en bandoulière, Jean-Stéphane Arnold veille à garder un pied et un bon œil sur l’actualité du Val d’Argent, secteur rattaché à l’agence sélestadienne depuis la fermeture du bureau de Sainte-Marie-aux-Mines, il y a deux ans. Notre confrère adepte de la marche à pied nous offre souvent des vues imprenables sur le secteur, depuis des lieux aussi insolites

Christian Weibel : « P… j’suis à la bourre ! »

Denis Ritzenthaler : « J’ai une bouteille à présenter… on goûte ? »

qu’un sommet d’église ou d’une galerie d’anciennes mines d’argent. Sa phrase fétiche : « Je reviens avec des sujets pour trois jours » (envoyé par sms depuis le Val d’Argent). Avec du nerf, de l’énergie et du pétillant, Catherine Chenciner sait y faire dans les sujets de société, éducatifs, culturels. Jamais à court d’idées, elle se lance dans l’actualité, autant à l’aise devant une classe qu’à éplucher un rapport de l’inspection académique à la rentrée des classes (un héritage colmarien). Dotée d’un redoutable sens de l’humour, elle sait tenir tête à l’interlocuteur le plus résistant et ne se laisse fichtrement pas impressionner. Notons aussi un sens certain de l’esthétique eidosienne qui n’appartient qu’à elle.

Catherine Chenciner : « Chenciner, du nerf, et zou galinette ! »

Il a réalisé une vidéo - la toute première pour l’équipe de Sélestat d’ailleurs - qui a fait le buzz sur le site du journal. Devant l’objectif de son appareil : Ulotte, une vache vosgienne de Breitenbach, au départ pour le dernier salon de l’agriculture. Le très expérimenté Denis Ritzenthaler suit pour nous et pour l’ensemble du journal l’actualité agricole et viticole, des domaines où il a, forcément, de la bouteille. Dans son bureau à la porte jamais fermée, où flotte, une légère odeur d’huile essentielle bio, Anne Suply déborde d’idées et d’énergie, de rubriques et de sujets. Courroie de transmission avec l’extérieur et les différents services du journal, elle assure le liant de l’équipe, qui s’efforce, jour après jour, avec la complicité d’un réseau de pigistes et de correspondants aguerris, anciens et nouveaux tout jeunes, d’offrir aux lecteurs d’Alsace centrale, un journal dynamique et de qualité. Ah, n’oublions pas de mentionner le vélo de l’agence, désormais culte à Sélestat et qui a déjà fait parler de lui à Mulhouse. Tout blanc, choisi avec minutie par notre spécialiste des transports doux, Françoise Marissal, il fait le bonheur des journalistes sur le terrain. En plus de ses autocollants « L’Alsace », il est doté d’un panier chic et pratique pour appareil photo et carnet de notes. Pas de doute, ça roule toujours à Sélestat.

Anne Suply : « Argh, qu’est-ce qu’on met comme affichette ? On éditionne ? »


les

lauréats

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GRAND’OR (40 ans de service) Philippe HUSSMANN. Pilier de nos services techniques, Philippe a connu toute l’évolution de l’imprimerie, du plomb au numérique, en passant par les bandes papier en photocomposition, par le film, le CD et maintenant le FTP. Ses qualités professionnelles et humaines sont reconnues de tous. Actuellement au service « imprimés », il se montre aussi doué sur les greens que sur son clavier, car c’est un très bon joueur de golf.

OR (35 ans de service) Simone BAUMANN. Porteuse à Mulhouse, Simone a des journées bien chargées. Outre sa tournée mulhousienne, elle a de nombreuses passions. La peinture, la couture, le bricolage et même la pêche font, comme le journal, partie de son quotidien. Gérard BLAISE. Actuellement chef d’agence premier échelon à l’agence de Montbéliard, Gérard fait partie de nos équipes rédactionnelles depuis le 1er janvier 1976. Un des plus anciens du « Pays » donc, qui au fil des ans n’a rien perdu de sa verve ni de son entrain. Italianophile jusqu’au bout des ongles, il sera à prendre avec des pincettes en cas de confrontation footballistique entre la France et l’Italie. Gisèle FAWER. Après treize années passées au service comptabilité de l’imprimerie BRAUN, elle a rejoint le CE de notre journal en juin 1988, en qualité de secrétaire administrative à mi-temps. De 1989 à 2001 elle a honoré deux mandats de conseillère municipale à la mairie de Wittenheim. Elle a rejoint l’agence de Guebwiller en 2006. Elle partage des moments de détente avec ses deux enfants: le tir à l’arc avec son fils et le plaisir cinéphile avec sa fille. Mais sa véritable passion reste la gymnastique qu’elle exerce depuis l’âge de 6 ans. Gisèle adore aussi faire la cuisine, un plaisir qu’elle partage volontiers avec ses amis.

Nicole PUECH. Entrée le 7 avril 1995 en qualité d’employée administrative, Nicole Puech était d’abord en poste à Thann. Depuis le 1er mars de cette année, elle est affectée au centre de la relation client. Pour se détendre, elle se consacre à la broderie, où elle excelle. Et pour ses vacances, elle n’est jamais prise au dépourvu, car elle possède une résidence secondaire au soleil du Midi. Geneviève PY. Entrée dans l’entreprise le 1er octobre 1982, Geneviève est actuellement la secrétaire de notre équipe rédactionnelle de Thann. Son service terminé, il lui reste largement de quoi faire entre de longues promenades dans les Vosges quand il fait beau, la lecture quand il pleut, enfin Jasmine et Suzanne, ses deux petites-filles qui l’occupent joyeusement… quelle que soit la météo. Philippe SENGELIN. Actuellement préparateur de la forme imprimante, Philippe est entré en 1974 comme apprenti photograveur. Il reste « Le » spécialiste de la retouche photo dans les différents magazines que publie notre groupe, à savoir « La Chasse en Alsace », « Pays Comtois », « En Alsace » ou encore « Massif des Vosges ». Assidu accompagnateur de la section cyclo de notre journal, il en est le tout nouveau secrétaire. Grand mélomane, Philou participe chaque année au festival des Nuits de Champagne avec « Le Grand Choral », rassemblant plus de 800 choristes. Nicole TOUCAS. Entrée à L’Alsace en 1980 à Guebwiller où elle avait plus particulièrement en charge le sport et les faits-divers, Nicole a été affectée à la rédaction de Colmar en 1990. En 2001, elle a pris la responsabilité de l’agence d’Altkirch, où elle est restée quatre ans, avant de revenir à Colmar, seconder d’abord Catherine Daudenhan, puis Patrice Barrère. En 2008, elle est retournée dans le Sundgau, avant de prendre la direction de l’agence de Saint-Louis en mars 2009, en faisant toujours preuve du même dynamisme et de la même disponibilité. Maman de deux enfants, elle adore faire la cuisine… et aussi goûter celle des autres.

VERMEIL (30 ans de service) Vincent ARNTZ. Entré en 1986 en qualité de prospecteur vendeur, Vincent a été chargé, deux ans plus tard, de la vente au numéro auprès de nos diffuseurs. Régisseur en 1996, il a été nommé inspecteur des ventes à Saint-Louis en 1998. Jardinage et bricolage lui apportent la sérénité nécessaire pour oublier le stress du travail. Quant à son surplus d’énergie, il le consomme en pratiquant le ski ou le roller, selon la saison… Alvezio BUONASORTE. Après avoir, à partir de 1988, effectué ses premières armes au desk de la rédaction de Montbéliard, ce jeune Transalpin a

poursuivi sa carrière de journaliste à Colmar où il a, par ailleurs, fait étalage de ses talents de pongiste, à défaut de pouvoir briller aux échecs, par manque d’adversaires à sa taille. Nommé à Strasbourg, où il occupe la fonction de coordonnateur, il s’est spécialisé dans le domaine économique et est à ce titre l’interlocuteur privilégié du Crédit Mutuel. Fan de Léonard Cohen, il gratte également la guitare et, comme tout Italien qui se respecte, il adore la bonne cuisine. Laurent BELTZUNG. Technicien de maintenance industrielle, Laurent a pris des responsabilités au sein du comité d’entreprise où il gère la trésorerie. Une mission qui exige de la rigueur et de la concentration. Il n’en manque pas, ni d’ailleurs de souplesse, car c’est un aïkidoka chevronné. Et si, grâce à lui, les comptes du CE sont bons, c’est aussi le cas pour la fête des potiers de Guewenheim, dont il est l’un des fidèles organisateurs. Souriant, disponible et toujours le mot pour faire rire, notre trésorier est indiscutablement un vrai trésor ;-) Fernand DA SILVA. Entré à L’Alsace en 1979 en qualité de chauffeur, Fernand est actuellement conducteur de machine au service expédition. Vif d’esprit et très méticuleux, il aime que tout se passe dans les règles. Il sait se faire entendre quand il le faut, mais toujours sans rancune. Très dévoué, toujours prêt à venir en aide à ses collègues, il est apprécié pour sa capacité à partager son savoir et son expérience. La mécanique, le bricolage, mais surtout l’informatique font partie de ses passions et il ne se sépare jamais de son téléphone portable. Martine DEMOLLE. Employée d’agence polyvalente à l’agence de Thann, Martine est une collègue appréciée pour sa gentillesse et sa disponibilité. Elle ne manque pas de centres d’intérêt et son temps de loisir est largement occupé par sa passion pour la philatélie, la restauration des meubles anciens et sa quête perpétuelle de l’objet rare qu’on déniche parfois sur les marchés aux puces de la région. Béatrice DI MARCO. Entrée à L’Alsace le 8 janvier 1980, Béatrice est le sourire de notre entreprise à l’accueil de l’agence locale de Mulhouse. Elle puise sa bonne humeur et sa sérénité dans la pratique d’un art tout en finesse et tout en délicatesse : la peinture sur soie. Le jardinage, les animaux et, surtout, la joie que lui procurent les enfants, agrémentent ses loisirs quand elle n’est pas occupée à ses pinceaux… Denise FISCHESSER. Entrée à l’Alsace en 1992 comme porteuse, Denise a intégré le service expédition de nuit en 2001 comme encarteuse. Depuis 2009 elle est auxiliaire de fabrication au service expédition de jour. Denise c’est la « Betty Boop » de l’expédition : on l’apprécie pour sa gentillesse, sa bonne humeur, son franc-parler et, surtout, pour sa générosité. Hors service, ses principales activités

sont, comme pour beaucoup de femmes, le shopping, mais aussi le sport et les grandes balades. Marie-Louise GORLIER. Après 32 années de portage, Marie-Louise Gorlier a pris sa retraite il y a un an et demi. Avec l’aide de son mari, elle a rendu à Saint-Amarin une copie parfaite, à savoir une carrière de porteuse sans la moindre défaillance. Et vous pouvez faire le calcul : 260 exemplaires livrés au cours d’une tournée de 20 kilomètres à vélo, quelque 360 jours par an, ça fait six fois le tour de notre planète et pas loin de trois millions d’exemplaires livrés. Ajoutez que cette maman de trois enfants, âgés aujourd’hui de 36, 39 et 42 ans, a travaillé par ailleurs de 11 h  30 à 19 h 30 dans différentes entreprises pour y nettoyer les bureaux. Et qu’elle a encore trouvé le temps de cultiver son jardin et se passionner pour les jeux télévisés. Martine JEANGEORGE. Entrée en 1980 en qualité de documentaliste, Martine est actuellement secrétaire de direction. Son sourire, sa gentillesse, son humour, ne nuisent pas à son efficacité, bien au contraire. Maman attentionnée, elle excelle en cuisine, tout comme son mari Nicolas d’ailleurs. Soucieuse de sa ligne et de sa forme, elle s’astreint à des exercices physiques réguliers, comme le prouve sa démarche souple et décidée. C’est ainsi qu’elle s’impose deux heures de marche à travers les rues de Mulhouse, chaque lundi, qu’il pleuve ou qu’il vente. Les autres jours, elle préfère son pick-up… pour lequel elle est toujours à la recherche d’une queue de castor. Dominique MERCIER. Entré il y a trente ans à la rédaction de Belfort en qualité de journaliste sta-

giaire, Dominique a été nommé secrétaire de rédaction en 1990, puis sous-chef de service en 2003, avant de prendre, en 2006, la direction du service région au siège du journal. Apprécié de ses collègues pour sa gentillesse, son calme et sa pondération, il a toujours veillé à apporter le soin et la rigueur qu’exige le travail de desk. Chez lui, le sport et la culture font bon ménage : il aime la randonnée, le vélo, la natation, la musique et est un habitué de la Filature. Toutes choses que son agenda de jeune retraité lui permettra de pratiquer désormais tout à loisir… Philippe NICO. Passer de la voiture à la « bécane » est une évolution de carrière gratifiante dans la presse : entré comme chauffeur en 1980 Philippe a intégré les services techniques pour occuper aujourd’hui les fonctions d’aide-rotativiste. Un travail qui le passionne d’autant plus que la mécanique, c’est vraiment son truc : les moteurs n’ont pas de secret pour lui. Les ordinateurs pas davantage, puisqu’il s’amuse à réparer ceux qui tombent en rade. Et la rade nous mène à son autre loisir, peutêtre pas jusqu’à Brest, mais au moins sur les bords du lac Léman où il passe quelques week-ends par an, non pas tellement pour s’y baigner mais pour y naviguer. Philippe NICOLAS. De l’énergie, des idées, de la tchatche, une bonne résistance et un brin d’humour : c’est ce qu’il faut pour être un bon commercial. Philippe en est la preuve vivante et… active. Entré en 1984 au Pays comme attaché d’inspection, il a été nommé inspecteur à Montbéliard cinq ans plus tard, puis responsable des ventes abon-


7 ARGENT (20 ans de service) Mélik AYACHE. Mélik, notre porteur de MulhouseDornach, était champion d’athlétisme. C’est aussi un passionné de basket, titulaire du diplôme d’entraîneur de cette discipline. Il a transmis cette fibre sportive à ses enfants. Ses deux fils pratiquent le judo. L’un d’eux a remporté le tournoi international d’Altkirch et a terminé vice-champion au tournoi du Grand Est. Quant à ses deux filles, elles sont gymnastes. Thierry BAAS. Après une carrière de correcteur dans l’entreprise familiale, Thierry a travaillé comme ambulancier de 1995 à 1997. Puis il s’est établi comme artisan correcteur durant sept ans, avant de travailler pour le compte de l’entreprise Dynapost. Il est, depuis 2007, notre porteur pour les quartiers Furstenberger et Wolf à Mulhouse. Il consacre beaucoup de temps à ses filles Clara et Juliana, qu’il accompagne tous les ans en classes vertes. Le bricolage, le jardinage, le vélo et le foot (c’est un fan du PSG et du FC Sochaux-Montbéliard) occupent largement les loisirs de cet amoureux de l’Italie dont les collègues apprécient la générosité et la bonne humeur. nements à Belfort dans la foulée. Après un passage à Colmar en tant que responsable de la promotion, il a exercé les mêmes fonctions à Mulhouse à partir de 2002, en y ajoutant la responsabilité de la vente au numéro. Depuis 2008, il est le responsable des ventes et de la promotion du Pays. Féru de voitures anciennes il est aussi un fan du FC SochauxMontbéliard. Fernande PFEFFER. Depuis 20 ans, Fernande porte le journal à nos abonnés du centre ville de Guebwiller, à pied et par tous les temps. Grand-mère de deux petits-enfants, elle prend de temps en temps sa casquette de nounou, fière d’arpenter les rues de sa ville avec deux belles frimousses dans la poussette. Ancienne vendeuse fleuriste, elle a gardé la main verte pour cultiver les fruits et légumes de son jardin. Et pour rester opérationnelle tous les matins, elle entretient sa forme en participant à des marches populaires, le dimanche. Jacques PROST. Entré comme rédacteur au service des informations générales en 1980, Jacques a fait un crochet par Montbéliard avant de revenir à Mulhouse où il a intégré le service région en tant que spécialiste de l’économie. Sous-chef de service depuis 2007, il a une connaissance parfaite des entreprises de la région en particulier de la plus importante d’entre elles, à savoir Peugeot. Ce qui nous conduit tout naturellement à sa grande passion, l’automobile, dont il est un chroniqueur avisé et apprécié. S’il aime l’Alsace et ses bonnes tables, il n’en oublie par pour autant son Jura natal qui, sur le plan de la gastronomie, n’est pas en reste, loin de là...

Marie-Patricia BALTHAZARD. Bien avant d’être diplômée de l’Ecole de journalisme de Strasbourg, Marie-Patricia entretenait déjà des liens avec le monde de la presse à l’île Maurice. Très engagée sur le terrain social et politique, elle a mené dans son pays d’origine de nombreux combats en faveur des plus défavorisés (alphabétisation, habitat social, émancipation des femmes). Mariée et maman de deux filles, Patricia a un sens de la famille très affirmé. Curieuse de tout, elle s’intéresse surtout à la photo et au cinéma. Elle est une lectrice boulimique, en particulier d’ouvrages traitant de la culture créole, et partage avec son père la passion du foot. Ajoutez-y les plaisirs de la randonnée, et vous comprendrez qu’elle croque la vie à pleines dents. Marie-Josée BEZILLE. Après un premier emploi comme vendeuse en boulangerie, Marie-Josée est entrée au service de la commune de Chavannessur-l’Etang, où elle s’occupe du ménage des bâtiments communaux et du fleurissement. Un premier remplacement, en 1989, l’a mise en contact avec notre journal dont elle est devenue la porteuse à Chavannes-sur-l’Etang, en 1997. Mariée et maman de trois enfants, elle aime faire la cuisine et cultiver son jardin. Parmi ses loisirs figurent la marche en groupe dans les Vosges ainsi que… le vélo, qu’elle pratique plus volontiers en solitaire, ne craignant pas de parcourir, certains dimanches, entre 60 et 80 kilomètres ! Michel CHIAVAZZO. Depuis 2008, Michel fait partie de notre équipe de chauffeurs. Il effectue la tournée nord à bord de son propre véhicule et

assure, par ailleurs, depuis cette année, la permanence de l’agence de Colmar. Ses loisirs, il préfère les vivre chez lui, bien au chaud, avec quelques grilles de mots croisés. Pour l’inciter à mettre le nez dehors, il lui faut du beau temps et une bonne place au bord d’une rivière pour y lancer sa ligne. Ce qui lui permet de continuer de faire ses mots croisés, tout en surveillant son bouchon du coin de l’œil… Edith CLEMENT. Quand on demande à Edith ce qu’elle fait après avoir livré nos abonnés elle répond sans hésiter : « Ma vie c’est L’Alsace, ma passion c’est L’Alsace ». C’est dire son amour du travail bien fait. Ce qui ne l’empêche pas de s’occuper avec amour de son mari malade et de ses deux petits-enfants. Toujours de bonne humeur, elle raconte des histoires drôles à ses amis porteurs dès 4h du matin. Fan de rockn’roll, c’est en rythme qu’elle sillonne les rues de Mulhouse sur son scooter. Jean-Jacques DOUTAU. Entré en octobre 2001, Jean-Jacques est inspecteur à l’agence de Guebwiller. Sportif inconditionnel, il pratique le tennis dans l’équipe corpo de L’Alsace, après avoir pratiqué le badminton, dans l’équipe du journal également. Par ailleurs, il fréquente toujours assidûment le gymnase club voisin. Des activités auxquelles ce père de famille de trois enfants parvient encore à ajouter ses tâches de délégué syndical, son mandat de conseiller prud’homal et un travail de coaching mené dans le cadre d’une petite entreprise qu’il a créée. Il y a manifestement des vies plus remplies que d’autres… Eliane GEHIN. Eliane GEHIN, alias Mireille TERREAUX, comme elle souhaite que tout le monde l’appelle, a collaboré au « Pays » dans tous les domaines: carnets de deuil, secrétariat, standard, etc. Et surtout, elle est la grande spécialiste de football franc-comtois. Elle est peut-être la standardiste de foot la plus connue de la presse française ! Nombreux sont ceux qui l’appellent pour obtenir les résultats le soir même, avant leur parution le lendemain... Plus fidèle, plus consciencieuse qu’elle, c’est difficile à trouver. Son «dada», les lotos du samedi soir, quand la correspondance pour « Le Pays » lui en laisse le temps. Marie-Charlotte GIBOUIN. Quand elle a été embauchée, Marie-Charlotte avait pour mission de superviser la gestion de la clientèle du Journal des Enfants (particuliers et écoles), mission accomplie toujours fidèlement. Grâce à son dynamisme, sa gentillesse et son ouverture d’esprit, elle a su, au fil des années, entretenir une relation de confiance avec les enfants, les parents et les enseignants et assurer ainsi la promotion du JDE. Aujourd’hui, sa priorité sont ses deux enfants, Lolita et Renaud. Jean-Georges GROH. Jean-Georges est entré comme infographiste au PAM, avant d’intégrer les

services de « L’Alsace-Publicité » en 1993, où il a été affecté au plan de pagination, puis aux petites annonces. En 2003, il a été nommé inspecteur des ventes, à Belfort en premier lieu, puis à Altkirch. Fan de foot, il joue en catégorie vétérans, tout en entraînant les jeunes du FC Sausheim. Quand il ne voyage pas au Costa Rica, au Mexique, au Kenya ou en Egypte, il parcourt les sentiers des Vosges ou des Alpes, ou sillonne l’Europe à la poursuite de Dépêche Mode et de U2. Il aime cependant retrouver sa maison, pour y exercer ses talents de bricoleur…ou y déguster de bons petits plats, car ce solide marcheur est aussi un grand gourmand. Christophe GRUDLER. Si ce n’est pas lui qui rajeunit d’année en année, c’est son lectorat. Christophe était un jeune diplômé de l’Ecole de journalisme de Strasbourg lorsqu’il a fait son entrée comme stagiaire à la rédaction locale d’Altkirch, il y a vingt ans. Il dirige aujourd’hui le Journal des Enfants et nos magazines de presse de Territoire, après avoir été chef d’agence à Wittelsheim, puis à Altkirch. Passionné d’histoire et de généalogie, Christophe a également pu exprimer ses talents par la publication d’ouvrages qui ont connu un beau succès de librairie. Il est également depuis plusieurs mois chargé de développer les suppléments du journal. Patrice JUNCKER. Notre porteur de Burnhaupt, Patrice, est sympathiquement connu bien au-delà de son village. Il propose en effet aux particuliers de venir débiter leur bois de chauffage. Fervent pêcheur, Patrice s’occupe également de l’entretien de l’étang de Burnhaupt. Et comme il est aussi amateur de bonnes petites mousses, il est devenu un habitué de la fête de la bière de Munich.

Anne LIMACHER. Entrée à « L’Alsace » en qualité d’employée d’agence à Masevaux en 1986, Anne s’est reconvertie aux fonctions d’assistante commerciale à « L’Alsace Publicité » en 2001. Depuis juin 2010, elle assure la gestion des emplacements publicitaires. La décoration intérieure occupe la majeure partie de son temps libre. Et comme il lui faut trouver non seulement des idées, mais également des objets pour les concrétiser, elle adore chiner, bien entendu. Françoise MARISSAL. Après des débuts au sein de la rédaction du Pays à Montbéliard en 1991, Françoise a poursuivi sa carrière comme reporter à Thann, puis à Altkirch. En 1995, elle a été affectée à la rédaction de Sélestat, où elle exerce toujours, après avoir effectué un crochet du côté de SainteMarie-aux-Mines. Dynamique, souriante et curieuse de tout, cette globe trotteuse, randonneuse et aussi excellente plongeuse a toujours un coin de planète à découvrir. Si vous lui trouvez un beau timbre de voix, ce n’est pas par hasard : la pratique du chant y est pour beaucoup… Eric MULLER. Après avoir occupé des emplois de magasinier, au silo de Sierentz et d’Altkirch entre 1987 et 1999, puis à la Société Textiles en biais de Saint-Louis, Eric est entré au service des communes de Wahlbach et de Zaessingue. Il y occupe, depuis 2006, les fonctions d’agent technique. C’est également dans ces communes qu’il porte notre journal. Père de quatre enfants, il consacre une grande partie de son temps libre au corps des sapeurs-pompiers volontaires de sa commune.

Jean-Marie KIELWASSER. Travailleur frontalier, Jean-Marie cherchait un travail d’appoint. C’est à « L’Alsace » qu’il l’a trouvé, en portant les journaux à nos abonnés de Sierentz. Comme il pratiquait la course à pied, les tournées ne devaient guère lui poser de problème. Sauf qu’il a été victime d’un accident du travail, ce qui l’empêche à présent de faire ses footings comme il en avait l’habitude. Fort heureusement, il a d’autres passions : la cuisine, la collection de voitures miniatures, la lecture, le sudoku et, en qualité de spectateur, le football et quelques autres sports collectifs.

Béatrice SCHMIDT. Pour Béatrice, le fait de porter les journaux avait pour but premier de financer les études de ses enfants. Au fil du temps, elle a fini par apprécier ce travail matinal qui lui permet de faire du vélo dans les rues de Petit-Landau, de contempler le ciel étoilé, le lever du soleil, et bien d’autres choses... Mais ses véritables passions restent les randonnées à vélo, le jardinage, le bricolage, la musculation, la natation et la couture : elle habille ses enfants… jusqu’à la robe de mariée de sa fille et de sa belle-fille ! En outre, elle trouve encore du temps pour faire du bénévolat dans la paroisse protestante de Riedisheim, où elle est conseillère et trésorière depuis 17 ans.

Micheline KNOPF. C’est en 1974 que Micheline est entrée dans la vie active en travaillant comme piqueuse chez Kohler et Neff. Elle a quitté cette entreprise textile en 1985. Cinq ans plus tard, elle a commencé à faire la distribution de notre quotidien à Lauw. Au début, elle effectuait ses tournées de 16 kilomètres à vélo, qu’elle a finalement échangé en 1992 contre un scooter. Cette maman d’un garçon et d’une fille a deux passions : la lecture et la cuisine.

Fabienne STEINER. Embauchée en qualité d’emballeuse à l’expédition de nuit, Fabienne Steiner est actuellement agent de fabrication. Très dévouée, Fabienne est toujours prête à venir en aide à son entourage. C’est avec passion qu’elle s’occupe de ses chiens, de ses chats et de ses oiseaux. Pour se détendre, elle aime taquiner le cochonnet, car la pétanque c’est son truc. Et quand elle ne pointe pas, qu’elle ne tire pas, elle s’occupe de la «baraque à frites».


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Franck HILLARIUS Patrice tellement bien entouré qu’il regretterait presque de partir...

sa majorité, Patrice Thierbach, 60 ans, a voulu voler de ses propres ailes à la retraite ! Comme tout bon jeune majeur qui se respecte, il y a eu tout au long de son enfance et de son adolescence professionnelle des bons et des très bons moments au sein de notre quotidien. En premier, il y eu sa naissance à « L’Alsace », le 15 mars 1993, baptisé « attaché au développement » et cela pendant six ans, officiant en majeure partie dans le Sundgau. Puis, le 1er février 1999, Patrice prenant confiance, fit ses premiers pas de « responsable » et se vit rebaptiser « animateur de zone du secteur sud » tout en continuant de produire des ventes. Enfant doué, Patrice s’est vu confier, le 1er avril 2000, la responsabilité des secteurs ventes abonnements de Belfort et de Mulhouse. Mais, ayant la chance d’avoir fait le tour de tout ce qui peut se faire à la vente d’abonnement, il était temps que Patrice quitte l’enfance pour rentrer dans l’adolescence. C’est ce qui arriva le 1er mars 2002, et là, pendant neuf ans, attendant sa majorité, il s’est occupé de la vente au numéro. Parallèlement à tout ça, Patrice a eu une vie en dehors du journal (eh oui !). Né en 1951, marié et papa d’un garçon, il est également grand-père d’une petite-fille. Sportif, pratiquant avec sa femme, depuis une vingtaine d’années le bowling et maintenant le golf. Crescendo, le poids des ans a fait baisser le poids de la balle ! Sinon, Patrice est animé d’une grande passion, en dehors de celle de sa famille : la pêche. Il ne nous reste plus qu’à te souhaiter pour ta retraite plein de bonnes choses et que sa morde encore très très longtemps.

Denis SOURD

salut Patrice

Après 18 ans de bons et loyaux services, juste le temps d’obtenir

Hé oui, les bonnes choses ont une fin. Maurice est parti, après 28 ans

de bons et loyaux services au journal. Sa carrière professionnelle a failli commencer dans le monde du football, mais aucun centre de formation n’ayant donné suite à ses demandes, il en a fait une de ses passions. Ses parents, voyant qu’il avait un don pour le commerce, lui conseillèrent le métier de représentant. Il travailla donc dans la vente à domicile pour différents produits avant d’intégrer le service abonnements de notre journal en 1983. Son parcours fut remarquable, grâce à son talent d’orateur (certains lecteurs du Bassin Potassique s’en souviennent encore aujourd’hui). En 1992, il devint responsable de ce service qu’il dirigea d’une main de maître jusqu’à la création

le dernier pot

du servi à dévelo En 2000 pour lui, Cette fo son côté animatio Il passa dans ce que tou Il part b soirées d Ligue et Bonne re


Feierabend

für Jacqueline

Michel SCHWINDENHAMMER

est pour Momo

ice lecteurs en 1995. Il restera cinq ans opper l’ancêtre du CRC d’aujourd’hui. 0 une nouvelle aventure commence , devenant responsable de la promotion. onction lui permis de développer é créatif et inventif sur certaines ons… la plus longue partie de son activité e secteur de l’entreprise avec la rigueur us lui connaisse. bon pied bon œil pour de belles devant son écran géant (la Champion rien d’autre…). etraite Maurice.

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Jacqueline Rohr n’a assurément pas

la langue dans sa poche et ne manie pas davantage la langue de bois. Et pour cause : c’est celle de Goethe qu’elle maîtrise sur le bout des doigts. Elle a fait partie, de longues années durant, des piliers de l’édition bilingue de notre journal. Après des études linguistiques et un début de carrière dans l’enseignement, elle a rejoint l’équipe – jadis encore nombreuse – des traducteurs de « L’Alsace », avant de devenir le bras droit dévoué de Mesdames Fouquet et Rietsch au desk région bilingue. Plus tard, Jacqueline est également intervenue dans la confection des pages « magazine » françaises , avant d’intégrer le dernier bastion de la « bilingue », celui des « informations générales »,

toutes les autres équipes ayant été supprimées au fil de l’érosion, essentiellement naturelle, du lectorat de cette édition emblématique du journal. Avec ses acolytes Petra Wisson et Michel Schwindenhammer, elle a ainsi vécu, en 2002, le passage à la formule actuelle du supplément allemand de huit pages, mais aussi les différentes évolutions tant technologiques qu’au niveau de la charte graphique, et ce, sans jamais tirer la langue ! Nous avons, certes, parfois esquissé un sourire lorsque Jacqueline se retrouvait confrontée à un problème (souvent insolite !) avec l’outil de mise en page, mais avec une rigueur toute germanique, elle a toujours su venir à bout de ce genre de contrariétés, même s’il fallait un peu d’aide des collègues. Ouverte, cultivée et conviviale, elle était fière d’appartenir à notre petite équipe, sporadiquement renforcée par des stagiaires allemands, suisses ou autrichiens, et de relever le défi quotidien d’un nouveau numéro riche en informations et d’une bonne qualité linguistique. A présent, nous lui souhaitons einen guten Rutsch in den Ruhestand et espérons la compter encore bien longtemps parmi les plus fidèles lecteurs de sa chère bilingue. Jacqueline entourée de « son équipe », Michel et Petra, sous l’oeil de Rémy Bruder


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Jean-François part libre : la relève est assurée par Laurent Salles

Raymond CLAUDEPIERRE

a tiré un trait

Gièfem

Au cours des trois dernières décennies, le journaliste le plus lu de notre quotidien aura été Jean-François Mattauer. Inutile de commanditer un sondage pour le vérifier. Dans la vingtaine de minutes par jour - qui est le temps consacré en moyenne par nos lecteurs à leur journal préféré - les dix secondes nécessaires à lire et à sourire du dessin de Gièfem ont toujours trouvé leur place. N’en déplaise aux plumitifs - mes « semblables, mes frères » - en terme d’audience, ils sont tous battus à plate couture par Jean-François Mattauer. C’est dire à quel point son départ à la retraite est ressenti par notre lectorat, même si son successeur s’emploie, avec talent, à combler ce vide. Jean-François Mattauer et entré à « L’Alsace » en 1967 en qualité d’apprenti typographe. Dessinateur à partir de 1973, il a été régulièrement sollicité par les rédactions locales pour illustrer des articles… là où les photos faisaient défaut.

Un coup de fil, quelques phrases d’explication, et le tour était joué pour le secrétaire de rédaction en mal d’illustration, car Jean-François, le plus charmant des collègues, ne refusait jamais de rendre service. À force d’être sollicité de toutes parts, notre dessinateur ne savait bientôt plus où donner de la tête. Car un dessin, ce n’est pas qu’un coup de crayon, même magique. C’est d’abord une idée à trouver et à exprimer. Il devenait urgent d’intégrer à la rédaction ce self-made-man, dessinateur à tout faire. C’est ainsi qu’à partir de 1984, tout en continuant de rendre service à ses multiples solliciteurs, Jean-François Mattauer, journaliste à part entière, a été davantage associé à l’élaboration du journal, la rédaction en chef lui confiant une rubrique quotidienne en troisième page, en prise directe avec l’actualité. Nombre de dessins de « L’œil de Gièfem » ont été repris par d’autres quotidiens, exposés au musée de la caricature de Bâle, ou encore publiés


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Jean-François Mattauer recevant des mains du président Bernard Pierrat le grand prix de l’Académie des sciences, lettres et arts d’Alsace

en une série d’ouvrages intitulés « À part ça tout baigne », « Hé ben ! », « Hoppla », « Allez on rigole » ou encore « Couleur sourire ». « Jean-Francois Mattauer a une façon à lui de mettre en scène la comédie humaine » a souligné Paul Eschbach, ancien directeur de la rédaction, lors de la remise du prix René d’Alsace décerné à Gièfem en 2008 par l’Académie des sciences, lettres et arts d’Alsace. Il a également rappelé que, déjà lauréat d’un Bretzel d’or, Gièfem comptait au nombre de ses inspirateurs Cabu, Piem et surtout Plantu. Mais également Eugène Noack, moins par le trait que par « cette dilection témoignée à l’Alsacien bon vivant et bambochard. » Sa mise en scène de la comédie humaine, Jean-François Mattauer l’a prolongée, hors journal,

Discours de fin de carrière : des mots chargés d’images

par la réalisation de décors de théâtre. Une activité s’ajoutant à bien d’autres, à commencer par la musique, sa seconde passion. Organiste depuis l’âge de 16 ans, il est également le directeur de la chorale paroissiale de Sentheim. Et s’il est devenu plus rare de l’entendre jouer de la flûte de Pan, vous pourrez toujours écouter l’enregistrement qu’il a réalisé en son temps. Les collaborateurs qui guident les visites du journal regretteront de ne plus pouvoir faire étape devant le bureau de Gièfem, un bureau que cet artiste talentueux a réalisé lui-même afin de se sentir à l’aise parmi ses plumes, ses encres et ses crayons. Une étape qui ravissait les jeunes en particulier, observateurs admiratifs d’une main qui, en deux temps trois mouvements, faisait surgir sur le papier les sujets les plus divers et les plus désopilants. La retraite permettra à Jean-François Mattauer de s’adonner plus longuement à la musique, mais surtout à la peinture, où il s’exprime en toute liberté. On pourra donc le voir, parcourant à vélo les rues de Mulhouse ou les chemins alentour, en quête de sujets et, surtout, d’émotions à fixer sur la toile. Car si le journaliste-dessinateur, titulaire de la carte de presse N° 53806, a tiré un trait sur sa carrière professionnelle, le peintre-musicien est bien loin d’avoir renoncé aux souriantes couleurs de la vie.

Enfin un ordinateur ! Mais adapté spécialement pour Jean-François : le clavier laisse la place à une boîte d’aquarelles

Le dessin de Laurent Salles : Giefem joue la fugue


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Raymond CLAUDEPIERRE

dédé le vert gagnant Les années se suivent et se ressemblent, au tournoi interne de tennis de table.

Comme l’an dernier - et comme à plusieurs reprises les années précédentes aussi - c’est André Galli, le vétéran toujours aussi vert, qui a remporté l’édition 2011. Les organisateurs de l’épreuve, Yves Koenig en tête, avaient innové cette année en associant tennis de table, pétanque et barbecue. La journée s’est déroulée le mercredi 11 mai, sur le site de la salle du FCM à Mulhouse où les pongistes de « L’Alsace » ont coutume de se retrouver tout au long de la saison. Les matches ont débuté à 9 h par les simples, disputés dans le cadre de deux poules de cinq joueurs. Les pongistes ont enchaîné avec les doubles, dont les équipes étaient formées en fonction des résultats des simples, le premier étant associé au dernier, le second à l’avantdernier (et ainsi de suite), dans le but d’équilibrer les rencontres.

A midi, ils se sont retrouvés pour une brève assemblée générale, avant de sacrifier aux plaisirs d’un excellent barbecue, où chacun avait apporté sa touche personnelle. Puis les pongistes ont troqué la petite balle de Celluloïd pour la boule de métal, histoire de taquiner le cochonnet à l’occasion du tournoi de pétanque qui faisait suite à l’épreuve de tennis de table. Manquaient-ils d’entraînement dans cette nouvelle discipline ou les efforts du matin les avaient-ils trop épuisés ? Toujours est-il que les boules semblaient un peu trop lourdes à certains pour aller au bout de l’épreuve et que ce tournoi-là, pour sa première édition, n’aura donc pas connu de vainqueur. Voici les résultats du tournoi de tennis de table : Poule A : André Galli - Dany Schwartzmann 2-0 ; Yves Koenig - René Marmillot 2-1 ; Florian Muller Dany Schwartzmann 2-0 ; André Galli - Yves Koenig 2-0 ; Florian Muller - René Marmillot 2-0 ; André Galli - René Marmillot 2-0 ; Florian Muller - Yves Koenig 2-1 ; René Marmillot - Dany Schwartzmann 2-0 ; André Galli - Florian Muller 2-1 ; Yves Koenig Dany Schwartzmann 2-0. Poule B : Michel Schlienger - Jean-Claude Schmocker 2-0 ; Michel Muller - Emmanuel Fritz 2-0 ; Michel Schlienger - Emmanuel Fritz 2-1 ; Emmanuel Fritz - Jean-Claude Schmocker 2-0 ; Michel Schlienger Michel Muller 2-0.

A l’issue des demi-finales qui réunissaient les deux premiers de chaque poule, André Galli et Michel Schlienger, déjà finalistes l’an dernier, se sont retrouvés en finale. Et c’est « Dédé la main leste » qui, grâce à son revers éclair, s’est imposé une fois de plus. Voici le classement des simples : 1. André Galli ; 2. Michel Schlienger ; 3. Michel Muller ; 4. Florian Muller ; 5. Yves Koenig ; 6. René Marmillot ; 7. Dany Schwartzmann ; 8. Emmanuel Fritz ; 9. Jean-Claude Schmocker. En double, l’équipée formée de Florian Muller et d’Yves Koenig a remporté l’épreuve, devant Michel Muller associé à René Marmillot, le duo Michel Schlienger-Dany Schwartzmann terminant troisième. Dédé, le vainqueur du tournoi, bien encadré par toute l’équipe


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Les premiers arrivants !

un succès !

barbecue-loto

Bertrand SCHLEICHER

Jean-Claude , y’a de la relève dans l’air ?

Une fois de plus, par beau temps (malgré quelques gouttes

tôt le matin) la traditionnelle journée du dernier jeudi du mois d’août, dans le superbe cadre de l’étang du comité d’entreprise, a été une réussite et ce grâce à Annemarie Jolicor et son comité qui ne ménagent pas leur peine au niveau de l’organisation pour satisfaire les nombreux participants !

A la prochaine !

Date à retenir : samedi 5 novembre 2011 repas cochonnailles à la ferme-auberge du Schafert On se prépare pour le traditionnel loto !

A la caisse, sourires de rigueur !

Denis col blanc pour vous servir !


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Richard, Alain et Karine, inamovibles piliers de la section Athlé

Laurent GENTILHOMME

Marina, une des deux filles présentes sur les cross

une équipe

à reconstruire

L’année 2010/2011 en cross corpo

ne figurera pas dans les grands millésimes de la section du journal : entre les blessés, ceux qui ont pris leur retraite et le manque de relève, « L’Alsace » termine 14e sur 21 équipes au challenge du nombre et de la qualité. Côté classement individuel, jolie saison de Karine Ehrart qui finit 9e féminine sur 57 (et 4e vétérane). Seule Marina Della Rocca a également marqué des points chez les filles. Chez les garçons, Laurent Gentilhomme termine 43e/317 coureurs classés (et 15e vétéran), Alain Wamster 116e (et 44e vétéran), Richard Schneider 129e (et 21e V2), Mathieu Lerch 172e (et 58e vétéran), Paul Anstett 182e (et 11e V3), Denis Sollier 219e (et 41e V2) et Hubert Strauel 293e (et 51e V2).

Avec deux ou trois coureurs réguliers en plus, le top 10 ne serait pourtant pas inaccessible pour la saison qui s’ouvre et qui comptera seulement cinq épreuves (calendrier provisoire). Voici les dates retenues par le comité des cross corpo 68 : le Cross Batibois à Saint-Gilles le 19 novembre, le Cross du Comité au Waldeck le 27 novembre, le Cross Téléthon KAS à Orbey le 3 décembre sur le parcours d’Orbey, le Cross de Liebherr à Oberentzen le 4 février 2012, le Cross Solvay/Rhodia à Soulzmatt le 11 février 2012, le Cross Peugeot à l’Ile-Napoléon le 25 février 2012. Pas de cross de « L’Alsace » au Waldeck cette année, notre journal s’étant malheureusement désengagé de l’épreuve mulhousienne. Pour rappel, la section accueille des coureurs de tous niveaux, de tous âges chaque coureur, quel que soit son classement, marquant des points. Les épreuves rassemblent entre 150 et 300 coureurs sur des distances de 5 à 7 km, selon le dénivelé. Seule condition pour faire partie de l’équipe de « L’Alsace », être salarié du journal, conjoint ou enfant de moins de 25 ans de salarié, et avoir un certificat médical d’aptitude à la pratique de la course à pied de moins de six mois. Il faut également se signaler auprès de Laurent Gentilhomme (laurent.gentilhomme@neuf.fr ou au 06.84.81.79.05) pour qu’il puisse préinscrire les coureurs auprès des organisateurs. La participation est totalement gratuite. Au printemps, la section prévoit également de faire un déplacement plus lointain pour participer à une course populaire sur 10 km, semi ou marathon. La destination sera décidée par les coureurs lors d’une prochaine course ou autour d’une bonne table.


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Marina DELLA ROCCA

fête de Noël 2012

Après le succès de la dernière édition, la fête de Noël du personnel du journal « L’AlsaceLe Pays » se déroulera le dimanche 4 décembre 2011 à l’Espace Dollfus & Noack à Sausheim. Les enfants pourront, comme les années précédentes, se faire maquiller aux couleurs de leur héros préféré. La compagnie Bling Blang nous présentera son spectacle. Trois olibrius musiciens plus un assortiment de génériques de films ou de séries télé, quelques compositions personnelles, ajoutezy un zeste d’humour et de délire, vous obtiendrez Bling Blang. Ce n’est pas du rock, ni du blues, ni du jazz, ni de la musette, ni de la world, ni du métal, ni du classique, c’est tout en même temps.

Au mois d’avril dernier une vingtaine d’enfants a participé à une journée récréative. Un spectacle de magie leur a été présenté et chacun a pu s’essayer à la magie. Ils ont aussi chacun confectionné un tableau. Leurs œuvres seront exposées le jour de la fête de Noël afin que chacun puisse admirer le travail de nos jeunes artistes. Comme chaque année le personnel pourra participer à la tombola dont le gros lot est un voyage. Le Père Noël fera son apparition avec cadeau et chocolat pour les enfants et une nouveauté, en fin d’après-midi, en surprendra plus d’un. Tout le personnel du journal, employés, ouvriers, journalistes et cadres, est chaleureusement invité à venir fêter Noël avec sa famille et retrouver l’esprit solidaire et chaleureux des fêtes de fin d’année.

Et n’oubliez pas la séance ciné du mercredi 28 décembre 2011, à 9 h 30 à la salle Gérard-Philippe de Wittenheim, pour le dernier Walt Disney.


 CINÉMAS

 MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... 6,30 W ITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE

 EUROPAPARK

Tarif unique à partir de 4 ans : jusqu’au 6 novembre 2011 ........................................................................................ 29  du 26 nov. 2011 au 8 janvier 2012 ...................................... 22,50 

 PISCINES carte de dix entrées

P ISCINES M2A

Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ............................................................................................ 21

 PIERRE-CURIE MULHOUSE ..............................................................................................................

19

 Centre nautique RIXHEIM

Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ............................................................................................................. 66 Remise en forme + piscine ................................................................ 86

P our les piscines hors de MULHOUSE

30% sur présentation de la carte ou abonnement

 LAGUNA

Complexe fermé depuis le 4 septembre (pour 15 mois environ de travaux).

(inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME).......................................................... 100 Extérieur....................................................................................................................................160

 BILLETTERIE SPORTIVE  F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15 maxi par personne  Autres rencontres sportives

 FRIBOURG (Allemagne)

Achats en gros : se renseigner au CE.

 METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

 MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

 PARTENARIATS

2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives

 Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :

 TICKETS RESTAURANTS

P oint S : 5 % sur présentation de la carte CE  Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim :

10 % sur présentation de la carte CE.

Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 3,20, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.

 ZOOS

Tarif réduit sur présentation de la carte du CE

 MOBICARTE

réductions sur présentation de la carte CE  Hippopotamus : réductions sur présentation de la carte CE (Dornach, Illzach).

 SKI LA BRESSE

Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

 ADAGIO

 MULHOUSE

Adulte.......................................................................................................................................... 7,50 Enfant (6 à 12 ans)........................................................................................... 2,50

2 0% sur présentation de l’abonnement

Promotion : -15 e par nuitée sur prix du catalogue (voir au CE).

Valeur 25  + 5 ............................................................................................................... 24 

ou 2 billets par an

valable 2 mois

 PATINOIRE carte de dix entrées

@

C omplexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays ».........................................................60 Couple « L’Alsace/Le Pays ».............................................................. 100

 BÂLE

 BILLETTERIE SPECTACLE 

T arif unique sans location de patins .......18 K arting sur glace ...........................................................................................54

Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/ docs/tu107

 METRO

 BONS DECATHLON

Horaires CE

Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34

Bons à 18  (valeur 20 ), 27  (valeur 30), 45 (valeur 50)

NOUVEAU PARTENARIAT

Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

En semaine : -10 % sur le repas ; le week-end : un repas adulte pris sur place = un menu hippo kid offert, sur présentation de la carte CE HIPPOPOTAMUS Dornach Le Trident : 03 89 57 83 90 HIPPOPOTAMUS Illzach Zone Commerciale Île-Napoléon : 03 89 60 71 33

Le CE est fermé le mercredi

Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC

Carte bien-être

 MUSCULATION

18, rue de Thann, TSA 68001 68945 MULHOUSE Cedex 9 sdh

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe  est accessible aux retraités.


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