Le fil hellène n°17 (25 juin 2015)

Page 1

AMBASSADE DE FRANCE EN GRECE

Le fil hellène

Date de parution

Le 25 juin—Année 2015, n° 17

éditos Dans ce numéro : Editos

1

Négociations sur la dette

2-3

Affaires étrangères

4

Affaires européennes

4

Politique intérieure

5

Vivre en Grèce

6

Culture

6

Sur la France, les Français

7

TA NEA

TO VIMA

« Si l’accord était annulé » par Pavlos Tsimas « L’ironie c’est que depuis des mois, un accord était possible. Qu’est ce qui l’a empêché ? La méfiance des uns, l’immaturité politique des autres et le temps. Si tout cela conduit à renoncer à un accord qui aurait pu être conclu il y a des mois, l’ironie rendra le drame encore plus insupportable. Tout le monde se demandera « à qui la faute ? ». Et comme il est difficile pour l’être humain d’accepter le principe de Musil sur « la raison insuffisante », tout le monde recherchera un coupable. Les théories du complot sont imbattables, surtout en Grèce. Or, souvent la vérité est encore pire : si finalement l’accord ne voyait pas le jour, ce serait en raison d’un malentendu, par manque de courage et de clairvoyance. En fait, pour une raison insignifiante ». (revue 22/6/2015)

« Sauvez la Grèce ! », par Notis Papadopoulos : « La Chancelière Merkel et le Président Hollande doivent isoler, voire contourner le FMI et trouver une proposition mutuellement acceptable qui puisse être appliquée en Grèce sans mettre à l’épreuve le seuil de tolérance de la société grecque, déjà épuisée, et qui garantisse en même temps l’unité européenne. Il est compréhensible que le reste de l’Europe soit fatigué par les « agissements » grecs et l’incapacité de la Grèce de suivre l’exemple de l’Irlande, du Portugal et de Chypre pour sortir du mémorandum après avoir appliqué les réformes structurelles indispensables à son économie. L’U.E. doit toutefois reconnaître les erreurs criminelles commises au nom de la « recette d’austérité barbare » imposée à la société grecque. A défaut d’accord pour quelques centaines de millions d’euros et quelques points de TVA, ceux qui protestent contre le revirement néolibéral de l’Union s’en trouveront justifiés, de même que ceux qui affirment que, désormais, le levier principal de l’idée européenne, ce n’est plus l’unification politique mais le profit. Mme Merkel, M. Hollande, prenez le salut de la Grèce – et celui de l’Europe – entre vos mains ».

JOURNAL DES REDACTEURS (24/6/2015) « Des exigences exorbitantes » : « Au moment le plus crucial de la bataille livrée depuis cinq mois par le gouvernement en vue du redémarrage de l’économie et du changement d’orientation des politiques du mémorandum, l’establishment des hommes d’affaires du pays a décidé de se révolter et de créer un front commun avec les « durs » du FMI (...), le but étant d’ouvrir la voie à des changements encore plus douloureux en matière de sécurité sociale, de droit du travail et dans le secteur public. Une nouvelle fois, les milieux d’affaires se servent du FMI comme d’une machine de guerre pour protéger leurs intérêts. Une nouvelle fois, ce seront les salariés, les retraités et les propriétaires de biens immobiliers qui seront invités à payer ».


Le fil hellène

Négociations sur la dette Le ministre grec des finances, Yanis Varoufakis, a déclaré que la délégation grecque avait soumis des propositions à l’Eurogroupe du 18 juin. Il a présenté en détail aux journalistes la proposition grecque fondées sur trois piliers : un paquet de réformes comprenant des interventions au-delà de celles ayant été discutées au niveau du Groupe de Bruxelles, des mesures pour couvrir le vide budgétaire et une proposition de restructuration de la dette grecque. L’association des trois piliers conduirait, selon le ministre, au règlement final de la crise. La partie grecque a appelé à une négociation rapide et efficace au niveau des ministres des Finances et des chefs d’Etat et de gouvernement. (bulletin ANA 19/6/2015) La presse du week-end faisait état dès le 22 juin des nouvelles propositions du gouvernement grec à l’Eurogroupe. (revue 22/6/2015) Les nouvelles propositions grecques constituaient une bonne base de discussion selon les déclarations de Jeroen Dijsselbloem et Pierre Moscovici le 22 juin. Les pourparlers devaient néanmoins se poursuivre dans le but d’aboutir à un accord. Le Premier ministre a déclaré : « Nous arrivons avec pour objectif d'obtenir un accord économiquement durable, de laisser derrière nous les excédents primaires exagérés, de sauver les retraites et d'éviter des hausses déraisonnables de l'électricité pour la famille moyenne, de ramener la normalité dans les relations de travail et en même temps de promouvoir les réformes structurelles nécessaires et justes dans le but de redistribuer les charges, de lutter contre la fraude fiscale et la corruption. Voilà pour nous les clés d'un accord ». « La balle se trouve maintenant dans le camp des autorités européennes ». La proposition d’Athènes, signée par Alexis Tsipras, relève KATHIMERINI, s’appuyait à 93% sur des augmentations d’impôts et de contributions (sociales). (bulletin ANA 23/6/2015 – revue 23/6/2015) Le porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas, a indiqué que le travail au niveau technique se poursuivait après le sommet sur la Grèce du 22 juin. Concernant le prolongement du programme, il a indiqué que la Commission travaillait sur la base de l'accord de l'Eurogroupe du 20 février qui mentionne un "accord global". S'agissant des 35 milliards d'euros octroyés à la Grèce pour la période 2015-2020, comme l'a annoncé la Commission en cas d'accord, Anika Brightheart, porte-parole du commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Pierre Moscovici, a expliqué que 20 milliards d'euros proviendront des fonds structurels et 15 milliards d'euros des fonds ruraux. Elle a souligné que ces montants seront octroyés à la Grèce si le pays remplit les conditions et qu'un accord est atteint. (bulletin ANA 24/6/2015) AVGHI du 24 juin a publié en grec l’ensemble de la proposition grecque remise aux Institutions. Les mesures sont de l’ordre de 7,9mds€ dont 7,3mds€ proviendront de l’augmentation des recettes fiscales et des cotisations sociales. Le PM grec a précisé que, conformément à l’exigence pour la Grèce d’atteindre des objectifs d’économies budgétaires à hauteur de 1% du PIB pour 2015 et de 2% du PIB pour 2016, ces propositions prévoyaient une augmentation des recettes publiques issues de « mesures paramétriques». Le FMI a cependant réclamé des mesures supplémentaires à hauteur de 700 millions d’euros pour boucler l’accord relèvent plusieurs journaux. FMI et BCE souhaitent une nouvelle répartition des charges pour limiter le caractère récessif des mesures grecques. Alexis Tsipras aurait indiqué devant ses collaborateurs que le rejet des mesures équivalentes était « sans précédent ». (revue 24/6/2015) Le 2e tour de négociations à Bruxelles entre Alexis Tsipras, Jean-Claude Juncker (BCE) et Christine Lagarde (FMI) du 24 juin s’est terminé sans résultat. Une nouvelle proposition aurait été soumise par les institutions prévoyant entre autres : 1) l’application de la TVA maximum (23%) à un grand nombre de produits alimentaires et à la restauration sous le coefficient maximum de 23%, 2) la suppression de l’allocation EKAS pour les petites retraites, 3) la suppression des retraites anticipées à l’horizon de 2022, 4 ) l’annulation des propositions grecques sur l’imposition d’une contribution exceptionnelle destinée aux entreprises à concurrence de 12% et 5) l’augmentation de la part patronale des cotisations sociales. (revue 25/6/2015)

Page 2


Le 25 juin—Année 2015, n° 17

Négociations sur la dette (suite)

Les déclarations

Angela Merkel

François Hollande

« La dette est viable » selon la chancelière allemande, Angela Merkel. « La question de la dette est un détail et, aujourd’hui, nous ne sommes pas rentrés dans les détails », aurait-elle affirmé. Mme Merkel aurait toutefois laissé entendre que la Grèce ne serait pas obligée de rembourser une grande partie de sa dette avant plusieurs années. « Il reste néanmoins encore du travail à faire » a déclaré la chancelière allemande à l’issue des travaux du sommet sur la Grèce du 22 juin. (revue 23/6/2015 – bulletin ANA 24/6/2015)

Le président de la République française, François Hollande, affirme qu’il n’y a pas de temps à perdre s’agissant de la Grèce à l’occasion d’une visite à Milan. La presse grecque met en relief l’affirmation du président selon laquelle pour la situation dans laquelle se trouve la Grèce, « ce n’est pas le gouvernement d’Alexis Tsipras qui en est responsable ». A l’issue du Sommet sur la Grèce tenu le 22 juin, François Hollande a estimé qu’un accord était désormais possible et que les propositions grecques vont dans la bonne direction. Cependant, il a indiqué que tout ce qui aura été convenu devra être ratifié par le Parlement hellénique. (revue 22, 24/6/2015)

Michel Sapin

Christine Lagarde

Le ministre français des finances, Michel Sapin, a soutenu que les différends entre la Grèce et les institutions pouvaient être surmontés prochainement pour parvenir à un accord bénéfique pour tous. (bulletin ANA 19/6/2015)

La directrice du FMI, Christine Lagarde, a indiqué le 18 juin que le Fonds est prêt à négocier avec la Grèce d’éventuelles nouvelles propositions dès lors qu'elles permettent des résultats solides. « Nous sommes de toute évidence flexibles » a ajouté Christine Lagarde, à condition que le programme soit crédible. (bulletin ANA 19/6/2015)

Matteo Renzi Le premier ministre italien, Matteo Renzi a déclaré qu’ « Athènes doit tenir ses engagements, mais l’UE a également une obligation morale face à un grand pays comme la Grèce ». « Nous devons tous ensemble travailler afin d’aboutir à un accord ». (bulletin ANA 23/6/2015)

SEV Le directeur général de la SEV (fédération des entreprises et des industries) Akis Skertsos, a déclaré que les institutions ont l’obligation de faire preuve de bonne foi et d’investir dans le règlement viable du poids de la dette grecque. Il a plaidé en faveur de réformes justes dans le fonctionnement de l’administration publique et dans le règlement viable des dossiers concernant la sécurité sociale et l’évasion fiscale. (bulletin ANA 19/6/2015)

Economie grecque Klaus Regling, chef du mécanisme européen de stabilité (MES) a souligné la détérioration de l’économie grecque depuis fin 2014 à l’occasion de la réunion annuelle du CA du Fonds au Luxembourg le 18 juin. Il a souligné que 2014 avait été l’année où la zone euro dans son ensemble est sortie de crise, soulignant toutefois que cela ne vaut pas pour tous les pays de la zone euro. S’agissant de la Grèce, il a indiqué que le pays appartient à une catégorie différente malgré les « progrès substantiels dans les réformes jusqu’à la mi-mai 2014 lorsque la compétitivité de l’économie s’était améliorée, et un redressement de l’économie avait été constaté ». (bulletin ANA 19/6/2015)

Administrations locales Feu vert à l’embauche de 409 contractuels dans les municipalités et les organismes de droit public. (bulletin ANA 19/6/2015)

Page 3


Le fil hellène

Affaires étrangères Grèce – Russie Alexis Tsipras, Premier ministre, a participé au Forum économique international de Saint-Pétersbourg, accompagné du ministre grec de l’énergie, M. Lafazanis, du ministre de l’économie, M. Stathakis, de la ministre déléguée aux finances, Mme Valavani, de ministre délégué à la défense, M. Issichos, et du porteparole du gouvernement, M. Sakellaridis. Le Premier ministre a eu des entretiens avec le PDG de Gazprom, M. Miller et les discussions ont porté sur les questions énergétiques et avec une délégation de la banque des BRICS. Il a eu également un entretien avec le Président russe, Vladimir Poutine. (revue 19/6/2015) Lors de sa rencontre avec le Président russe, Alexis Tsipras a souligné les possibilités existantes pour relever, en commun, les nombreux défis de notre époque. Il a déclaré : « Il existe devant nous des

défis que nous devons relever en commun. Nous sommes en face d’étapes importantes pour le renforcement des liens des deux pays, dont une est l’année Grèce-Russie en 2016. Une autre sera la préparation, dès à présent et jusqu’à la prochaine rencontre intergouvernementale, qui se tiendra en novembre, d’un mémorandum de coopération économique. Il conviendra d’identifier dans chaque secteur particulier comment nous pourrions contribuer au développement de nos relations ». Sur la situation grecque, il a également ajouté que le problème n’est pas grec mais européen. « Le problème n'a pas le nom de la Grèce, mais de la zone euro. La question qui se pose est de savoir si la zone euro accordera l'espace (nécessaire) à la croissance et à la solidarité». (bulletin ANA 20/6/2015)

Grèce – ARYM Tentative de relance des relations bilatérales entre la Grèce et l’Ancienne République Yougoslave de Macédoine (ARYM) à l’occasion de la rencontre du ministre grec des Affaires étrangères, Nikos Kotzias, et de son homologue Nikola Poposki à Skopje. Les mesures annoncées portent sur les secteurs de la culture, du commerce, des investissements et de l’éducation. (revue 25/6/2015)

Affaires européennes Grè ce – Bulgarie Nikos Kotzias, ministre des Affaires étrangères, s’est rendu en Bulgarie et a eu des entretiens avec son homologue bulgare, Daniel Mitov. Les questions ont porté sur les questions énergétiques et notamment la construction du corridor gazier vertical entre la Bulgarie, la Roumanie et la Grèce. (revue 19/6/2015)

Page 4

France – Grè ce Le ministre grec de la Défense, Panos Kammenos, a rencontré à paris son homologue français, Jean-Yves Le Drian, ils ont passé en revue les dossiers de la coopération francohellénique dans les secteurs de l’industrie de défense, du développement de la technologie et de la formation des cadres des forces armées. Le ministre grec a effectué également une visite au 51e salon du Bourget. (bulletin


Le 25 juin—Année 2015, n° 17

Politique intérieure Commission pour la vérité sur la dette grecque La Présidente du Parlement, Zoï Konstantopoulou, a présenté le 18 juin le rapport préliminaire de la commission pour la vérité sur la dette grecque. Il dresse un premier état des lieux des principaux problèmes et enjeux liés à la dette publique, fait état de violations juridiques majeures en ce qui concerne les contrats d’emprunt et pose les bases juridiques sur lesquelles la suspension unilatérale des paiements de la dette pourrait être invoquée. Mme Konstantopoulou a déclaré : « Nous sommes arrivés à la conclusion que la dette présentée aux dépens du peuple grec est illégale, odieuse, honteuse et non viable. Il s'agit d'une conclusion d'une importance particulière selon laquelle il existe des arguments sérieux qui mettent en doute sa légalité ». Elle a précisé qu’il s’agissait des résultats de la première phase des investigations de la commission et qu’un contrôle comptable complet sera effectué. (revue 19/6/2015 – revue 23/6/2015, bulletin ANA 20/6/2015)

Alexis Tsipras « Les contribuables allemands ne paient pas les salaires et les retraites des Grecs »

Le Premier ministre, Alexis Tsipras, s’est exprimé dans le quotidien allemand TAGELSPIEL. Il a souligné qu’au cours d’une négociation, l’échange d’arguments est légitime à condition qu’il fasse preuve d’honnêteté et de bonne foi. Il a ajouté vouloir rétablir la vérité sur le mythe qui consiste à dire que le peuple allemand paie les salaires et les retraites des Grecs : « Quiconque dit aux contribuables allemands qu'ils paient les salaires et les retraites des Grecs ne leur dit pas la vérité ». Il admet dans l’article que le système de sécurité sociale grec est problématique. “Cela peut sembler impressionnant que 75% des dépenses primaires soient allouées au paiement des salaires et des retraites. En réalité, seuls 30% concernent les retraites, et dans tous les cas les salaires sont différents des retraites, et leur addition constitue une sérieuse erreur méthodologique”. (bulletin ANA 19/6/2015)

Nouvelle Démocratie La Nouvelle Démocratie a réitéré le 23 juin sa proposition pour un gouvernement d’entente nationale, certains cercles de la ND critiquant avec virulence « la politique fière de la négociation » conduite par le gouvernement, en dénonçant le fait qu'elle « ronge le revenu disponible, réduit l'emploi, détériore la compétitivité et replonge le pays dans la récession pour conserver le clientélisme de parti ». Le porteparole du parti, Costas Karagkounis a souligné que le gouvernement avait conduit l’économie grecque à une nouvelle récession, qualifiant toutefois de positif le fait que « pour la première fois le gouvernement négocie de manière substantielle ». (bulletin ANA 24/6/2015)

Nationalité hellénique Le groupe ANEL du parlement hellénique a rejeté le principe du projet de loi sur l’acquisition de la nationalité par les enfants d’immigrés alors que le parti de la Rivière (TO POTAMI) et le parti socialiste (PASOK) se sont prononcés en faveur. (revue 24/6/2015)

Page 5


Le fil hellène

Vivre en Grèce Mobilisations Deux grands rassemblements ont été organisés par des mouvements citoyens via les réseaux sociaux les 17 et 18 juin à Athènes. Le 1er organisé le 17 juin avec comme slogan « Nous prenons la négociation en main » a été un rassemblement contre l’austérité et pro-gouvernemental appuyé par SYRIZA. Le deuxième, organisé hier 18 juin avec comme slogan « Nous restons en Europe » a été un rassemblement en faveur du maintien de la Grèce dans la zone euro. (revue 19/6/2015 – bulletin ANA 20, 23/6/2015)

Culture Cinéma Cinq projets de films sur les quinze déposés au total pour le 1er semestre 2015 seront financés par le Fonds de coproductions entre la France et la Grèce. La commission franco-grecque, mise sur pied dans le cadre de l'accord de coopération entre le Centre national du Cinéma (CNC) et le Centre hellénique du Cinéma (EKK), s'est réunie le 22 juin et a retenu cinq projets de film, qui bénéficieront d'une aide totale de 500.000 euros, dont 400.000 euros versés par la partie française et 100.000 euros versés par la partie grecque. Les projets de film sont "A mon âge je me cache encore pour fumer", "Demain je franchis la frontière", "Virus", "Cosmic Candy", "I Teleftaia Paralia". (bulletin ANA 24/6/2015)

D

Page 6

éclaration des revenus 2014 La presse électronique annonce que la date de limite de déclaration des revenus 2014 est repoussée au 27 juillet comme annoncé par les services du ministère des finances. (presse électronique 25/6/2015)


Le 25 juin—Année 2015, n° 17

Sur la France, les Français Charlie Hebdo La une du magazine Charlie hebdo, avec la manchette « Sauvez la Grèce : noyez un Grec » est reprise à la une du quotidien Avghi, en page intérieure dans Eleftheros Typos et sous forme de caricature dans Kathimérini.

Service de presse et de communication Vassilissis Sofias, 7 106 71 Athènes

Wikileaks La presse écrite et électronique ont diffusé les informations parues sur des entretiens confidentiels du Président de la République pour examiner l’impact d’un GREXIT éventuel, en mai 2012.

Téléphone : 210 3391000 Télécopie : 210 3391046 presse.athenes-amba@diplomatie.gouv.fr

Le fil hellène part en vacances. Vous retrouverez votre édition après le 16 juillet 2015. La revue quotidienne de la presse hellénique est toujours disponible et mise en ligne du lundi au vendredi sur le site de l’ambassade.

RETROUVER

NOUS SUR LE

WEB

!!!

W W W . A M B A F R A N C E - G R . O RG

juin 2015 lun.

mar.

mer.

jeu.

ven.

sam.

dim.

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

Le service de presse et de communication de l’ambassade de France en Grèce a élaboré pour vous ce bulletin hebdomadaire reprenant très succinctement l’actualité de la semaine qui vient de s’achever, en se basant sur les sources reprises dans la « revue de la presse hellénique » quotidienne, en ligne sur le site internet de l’ambassade, le bulletin de l’ANA et la presse électronique...


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.