AMBASSADE DE FRANCE EN GRECE
Le fil hellène
Date de parution
Le 8 septembre—Année 2015, n° 18
L’édito de la semaine Dans ce numéro : Edito de la semaine
1
Elections
2-3
Politique
4
Economie
4-5
Affaires étrangères
5
Affaires européennes
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Sur la France, les Français
6-7
« Vers ces élections, le regard tourné vers les suivantes », par Aristos Doxiadis « La crise a montré que les cycles politiques annulent les cycles économiques. Au lieu de se concentrer sur la gouvernance pour aider la production, les partis qui avaient ou qui revendiquaient le pouvoir ne se souciaient que des élections. La confrontation (pseudo) idéologique entre la ND et le PASOK ne portait que sur des différences mineures dans la pratique de la gouvernance mais c’était l’« étendard » pour remporter le pouvoir qui, par la suite, distribuait des revenus à différents groupes d’intérêts, pas très différents d’un gouvernement à l’autre. SYRIZA a remplacé l’un des deux pôles de ce bipartisme avec une rhétorique idéologique encore plus virulente, sincère peut-être dans un premier temps, mais il s’est vite révélé ou transformé en un parti semblable, soucieux de défendre certains revenus bien que rapidement dos au mur en raison des limites d’une économie en crise profonde. Ce « bipartisme polarisé » exclut tout consensus entre les partis susceptibles de gouverner et c’est pourquoi il empêche toute réforme ayant un coût politique. Il impose en outre à toute la sphère publique un discours de discorde qui renforce l’instabilité au sein de l’économie réelle, puisqu’à chaque bataille électorale, l’opinion attend un grand « renversement ». Lorsqu’un parti espère pouvoir créer un gouvernement autonome, il fait tout son possible pour accélérer la date des élections. Il serait donc mieux de traverser une longue période de gouvernements de coopération, où les partis seront avertis, avant les élections, qu’il faudra monter des projets de coopération. C’est pourquoi, il faudrait avoir un système électoral plus proportionnel ». (KATHIMERINI 7/9/2015)
Le Fil Hellène vous souhaite une excellente rentrée !
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Elections Campagne électorale La campagne électorale est lancée, les médias se montrent critiques tant à l’encontre de SYRIZA que de la NOUVELLE DEMOCRATIE. KATHIMERINI estime que SYRIZA ne peut pas donner de réponses convaincantes dans le domaine de la croissance car, selon le journal, l’idéologie du parti et l’action du gouvernement démontrent que sa perception est limitée aux recrutements du secteur public. Le même journal, relève, se référant au discours de l’ex Premier ministre à la Foire internationale de Thessalonique, qu’Alexis Tsipras n’a pas dévoilé ses cartes, il a simplement exclu toute coopération avec la Nouvelle Démocratie et réitéré sa position visant « un mandat clair ». (revue 1, 8/9/2015 – bulletin ANA 7/9/2015) Leur objectif est commun mais la stratégie est différente pour les deux chefs de partis, Alexis Tsipras et Vangelis Meïmarakis : attirer les indécis et les électeurs des petits partis pour obtenir le fameux bonus de 50 sièges supplémentaires accordé au parti vainqueur. La presse annonce que les deux partis pourraient être amenés à engager une collaboration post-électorale, possibilité évoquée par le président de la ND, Vangelis Meïmarakis, mais totalement exclue par la porte-parole du parti de la gauche radicale, SYRIZA. De son côté, le président de la ND a appelé les citoyens à donner « un vote de confiance et non de protestation ou de punition depuis la ville de Aghios Nikolaos, première étape de sa tournée en Crète. Il demande un « mandat fort » en vue de la formation d’un gouvernement. Il a souligné dans une interview donnée à REALNEWS la nécessité qu’un gouvernement de coalition soit formé dès le lendemain des élections, avec la participation de SYRIZA : « Il faut un gouvernement de tous les Grecs » a-t-il déclaré. (revue 3/9/2015 – bulletin ANA 3,7/9/2015) La presse du 4 septembre relève qu’Alexis Tsipras, après les résultats des premiers sondages, contre-attaque et utilise un langage plus ferme vis-à-vis de ses adversaires dans le but notamment de motiver les abstentionnistes. Le président de la NOUVELLE DEMOCRATIE quant à lui, qui sort victorieux dans la mobilisation de son propre parti, vise à renforcer son profil politique. Le journal ETHNOS évoque d’ailleurs la possibilité que M. Meïmarakis se rende à Bruxelles, avant les élections, pour un entretien avec le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. (revue 4/9/2015)
Le journal TO VIMA constate une fuite de l’électorat du parti TO POTAMI (La Rivière de Stavros Theodorakis) qui s’orienterait vers la NOUVELLE DEMOCRATIE.
L’objectif du parti socialiste, PASOK, est de rapatrier ses électeurs traditionnels qui avaient abandonné le parti en 2012. En dehors de la collaboration avec le parti de DIMAR, annoncé par son président, 30 cadres du KIDISSO de Giorgos Papandreou devraient être intégrés dans les listes du parti socialiste sous la forme d’une coalition. La présidente du parti, Fofi Gennimata s’est prononcée en faveur de la coopération et de l’entente et a déclaré que « la majorité est une illusion ». néanmoins, 111 cadres de DIMAR ont annoncé leur soutien à SYRIZA dans une déclaration commune marquant leur opposition à la coopération électorale de leur groupe avec le parti socialiste. (revue 3/9/2015 – bulletin ANA 3, 9/9/2015)
L’échéance pour les dépôts de liste s’achève le 9 septembre. La presse révèle que 19 partis et 5 coalitions ont déposé leurs listes au Parquet de la Cour de cassation. (revue 8/9/2015)
Mobilisations des partis Le premier discours électoral a été tenu par le président de SYRIZA, Alexis Tsipras, en présence de la présidente de région, Réna Dourou dans son « fief natal» de la banlieue populaire du nord-ouest d’Athènes, Egaleo. Il a attaqué vigoureusement dans son discours Vangelis Meïmarakis, président du parti NOUVELLE DEMOCRATIE lui reprochant son appartenance à la « vieille classe politique ».
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Le 8 septembre—Année 2015, n° 18
Elections (suite) Débats télévisés Le premier débat entre tous les chefs de partis à l’exception du secrétaire général d’AUBE DOREE, Michaloliakos a eu lieu le 9 septembre . Le second, prévu lundi 14 septembre à 21 heures sur la chaîne publique ERT, réunira Alexis Tsipras, SYRIZA et Vangelis Meïmarakis, ND. (revue 1, 2, 7/9/2015).
Sondages Tout au long de la semaine les premiers sondages sont publiés dans divers journaux. Les premiers résultats montrent que l’écart entre les deux premiers partis (SYRIZA / ND) est très mince avec une légère avance pour le parti de gauche, SYRIZA dans la majorité des sondages. Quelques autres prévoient une très légère avance de la ND. Pour les commentateurs de la télévision SKAÏ ces prévisions, qui pénalisent Alexis Tsipras, s’expliquent par le refus de ce dernier d’accepter que les citoyens pencheraient en faveur d’un gouvernement de coalition ou d’unité nationale. Sur le même ton, TA NEA relève que SYRIZA continue de rejeter de manière catégorique toute collaboration post-électorale avec le parti de droite, NOUVELLE DEMOCRATIE. (revue 1, 3, 4/9/2015) Dans un article paru dans TA NEA, le politologue, Professeur Ilias Nikolakopoulos tente de déchiffrer le résultat du référendum de juin qu’il perçoit comme une « boîte noire » en vue des prochaines élections législatives. Il met l’accent sur la frange des jeunes électeurs ayant voté « non » au référendum et qui ne sont pas d’accord avec le nouveau mémorandum. Il en conclut qu’un pourcentage de 8% de l’ensemble de l’électorat reste aujourd’hui perplexe et alimente l’espace des indécis. (revue 7/9/2015)
Les candidats La présidence sortante du Parlement hellénique, Zoï Konstantopoulou, députée de SYRIZA, a finalement annoncé qu’elle se présenterait en tant qu’indépendante avec le parti nouvellement créé par Panagiotis LAFAZANIS, dissident de SYRIZA, « UNITE POPULAIRE ». L’autre « élément perturbateur » pour reprendre les termes du journal ELEFTHEROS TYPOS, est Alexis Mitropoulos, ex député SYRIZA, vice-président sortant du Parlement hellénique, qui ne sera pas présent sur les listes électorales de SYRIZA en raison de son implication supposée dans une affaire de corruption. (revue 1/9/2015)
Alexis Tsipras aurait l’intention, selon le journal ETHNOS, d’inclure dans les listes électorales de son parti un grand nombre de ministres extra-parlementaires du gouvernement précédent. L’ancien ministre des finances, Yanis Varoufakis a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux élections législatives anticipées. Il refuse de "s'engager dans une campagne électorale (...) bien triste et stérile", a-t-il confié à la radio australienne. (revue 4/9/2015 – dépêche d’agence 1/9/2015) Le parti de la Rivière (TO POTAMI) présentera 5% de candidats supplémentaires par rapport aux dernières élections, soit 408 candidats députés. (revue 8/9/2015) La presse du 8 septembre reprend dans son ensemble les personnalités qui se présenteront pour chacun des partis politiques ou coalitions. (revue 8/9/2015)
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Politique
Nouvelle Dé mocratie
Gouvernement provisoire La Commission européenne s’est félicitée de la reconduction de certains ministres chargés de poste clés, comme celui des finances, au sein du gouvernement de service dirigé par Mme Thanou. (revue 1/9/2015)
Politique inté rieure Le Premier ministre sortant, président de SYRIZA, Alexis Tsipras a prononcé un discours à la Foire Internationale de Thessalonique. Il a présenté son nouveau programme qui comprends une dizaine d’interventions « clé » pour l’économie, l’Etat social et l’administration publique. (revue 7/9/2015)
Le président de la NOUVELLE DEMOCRATIE, Vangelis Meïmarakis, a réuni le 1er septembre un « rassemblement symbolique » au siège du parti, réunissant tous les anciens présidents et anciens premiers ministres de la ND où l’on pouvait remarquer la forte présence de « l’aile caramanliste ». Un message d’unité a été adressé alors que le président a mis en relief le rôle décisif de la ND dans l’histoire de la Grèce, en particulier pour ce qui concerne l’orientation européenne du pays et son adhésion à l’Union européenne. Il a déclaré : « Nous ne sommes pas d’accord avec cette volonté de diviser ancien et nouveau système politique. Nous ne voulons pas diviser les Grecs. Nous sommes contre la division et la confrontation entre les générations. Nous estimons que l’ancien doit coexister avec le nouveau ». ELEFTHEROS TYPOS a titré : « Le grand retour de la ND ». (revue 2/9/2015)
KIDISSO - LAOS
Economie Dettes envers les banques Selon le journal ETHNOS, les banques proposeraient à leurs débiteurs des mesures prévoyant le prolongement des délais de remboursement, la réduction voire, dans certains cas, la suppression des intérêts ou même d’une partie du capital. (revue 2/9/2015)
Application de la TVA dans les écoles privées Tollé dans presse sur la mesure prévoyant une augmentation à 23% du taux de TVA appliqué dans les écoles privées. La Commission européenne a annoncé que cette mesure ne faisait pas partie de celles prévues par l’accord, le gouvernement de service a donc décidé de geler l’application jusqu’au 16 octobre, soit après les élections nationales. (revue 3/9/2015)
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Le président de KIDISSO, ancien Premier ministre, Giorgos Papandreou, a annoncé que son parti ne participerait pas aux prochaines élections (KATHIMERINI) pas plus que ne le fera le LAOS dirigé par Giorgos Karatzaferis. (revue 2, 3/9/2015)
UNITE POPULAIRE Panagiotis Lafazanis d’UNITE POPULAIRE s’est déclaré ouvertement en faveur du retour à la monnaie nationale et de l’annulation des toutes les lois liées au mémorandum. Il préconise la nationalisation des banques et l’annulation de toutes les privatisations. (revue 3/9/2015)
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Economie (suite) Privatisations Le TAIPED (fonds de mise en valeur du patrimoine privé de l’Etat) procèdera à la modification des conditions régissant l’appel d’offres pour la vente du port de Thessalonique. Il procédera dans un premier temps à la vente de 51% du port de Thessalonique (au lieu de 67% initialement prévu) et par la suite, dans un délai de 5 ans au plus tard, des 16% restants. L’objectif est que les offres contraignantes soient déposées au plus tard d’ici février 2016 afin que la vente puisse s’achever d’ici juin 2016. (revue 3/9/2015)
Contrôle des capitaux Le ministère de l’économie examine l’éventualité d’assouplir les mesures liées au contrôle des capitaux afin de faciliter les transactions bancaires des entreprises et des ménages. (revue 3/9/2015 – bulletin ANA 4/9/2015).
Dépôts bancaires L’agence de notation FITCH estime que les dépôts bancaires en Grèce ne sont pas en danger. Les autorités européennes appliqueront pour les banques grecques la directive pour l'assainissement des banques avec la plus grande flexibilité possible afin d'éviter des pertes en particulier pour les déposants mais aussi pour les investisseurs qui détiennent des obligations bancaires. Fitch toutefois recommande que la recapitalisation des banques grecques soit achevée courant 2015. (bulletin ANA 3/9/2015)
Affaires étrangères Grè ce –Turquie Vive réaction du ministère hellénique des Affaires étrangères à la suite de la déclaration du porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères selon laquelle il n’existait pas de frontières maritimes délimitées entre la Grèce et la Turquie. Le porte-parole grec, M. Koutras a répondu en ces termes : « Ces frontières sont clairement définies sur la base des accords internationaux en vigueur (Traité de Lausanne de 1923, Protocole d'Athènes de 1926, accord italo-turc et Protocole de 1932). Ces accords demeurent bien évidemment en vigueur et sont contraignants pour la Turquie et par conséquent, toute contestation à cet égard est juridiquement infondée et contraire au droit international. En outre, s'agissant de la délimitation des zones maritimes, il est clair qu'à défaut d'un accord, c'est le principe de l'équidistance / ligne médiane qui est appliqué. » (revue 2/9/2015)
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Affaires européennes
Drame des réfugiés Prokopis Pavlopoulos, président de la République hellénique : « Les frontières de la Grèce sont aussi les frontières de l'Europe ». (bulletin ANA 2/9/2015)
Le 1er septembre 2015, le président de la République hellénique, Prokopis Pavlopoulos a eu un entretien téléphonique avec son homologue français, François Hollande et l’a informé des difficultés auxquelles est confrontée la Grèce en raison du flux important de migrants. Il a souligné la nécessité pour l’Union européenne de faire face à ce problème au plus haut niveau afin d’appliquer efficacement le Pacte européen sur l’immigration et l’asile adopté en 2008. (revue 2/9/2015) A la suite de la publication de la photo du petit Aylan, mort noyé sur la côte turque, le drame des réfugiés a pris une nouvelle ampleur et secoué l’opinion publique internationale. Dans ce contexte, la Grèce, relève le journal TA NEA, poursuit ses efforts pour mobiliser davantage l’Union européenne et demande son aide pour faire face à l’afflux constant de migrants. Le maire de l’île de Lesbos a ainsi demandé l’état d’urgence : plus de 10.000 migrants se trouvaient sur le port de l’île sans aucune infrastructure d’accueil. (revue 3/9/2015) La presse dans son intégralité a en outre salué l’efficacité du gouvernement de service dans le domaine de l’immigration. Le gouvernement par intérim a su élaborer, dans l’urgence un plan d’action rapide pour faire face au problème migratoire grâce à une série de mesures visant à améliorer les conditions de vie des migrants et des habitants dans les îles touchées par l’afflux des réfugiés. Le ministre par intérim, Nikos Christodoulakis, a d’ailleurs annoncé que la Grèce devrait recevoir 400 millions d’euros du Fonds d’Asile Migration et Intégration et 300 millions supplémentaires du Fonds européen d’aide aux plus démunis. Le gouvernement travaille efficacement coordonnant les différents ministères concernés, et serait à la recherche d’un espace d’hébergement en Attique. (revue 4/9/2015) L’ensemble des médias du 8 septembre fait état de la situation explosive qui prévaut à Mytilène (Lesbos) et Kos en raison du nombre important de réfugiés et migrants sur place qui s’efforcent d’obtenir l’accélération des procédures d’identification et d’enregistrement dans le but de quitter ces îles rapidement. Le nombre des réfugiés ayant traversé les frontières maritimes grécoturques les sept premiers mois de 2015 aurait augmenté de 817% par rapport à la même période de l’année dernière. Globalement, 340.000 personnes sont entrées sur le territoire européen.156.726 d’entre eux sont arrivés en Grèce. (revue 8/9/2015)
Sur la France, les Français
C
onfé rence de presse du Pré sident
ETHNOS souligne la « contre-offensive dynamique » et les initiatives du Président de la République, François Hollande, visant à freiner la chute de sa popularité lors de son discours pendant la conférence de presse. L’article relève notamment les annonces sur l’accueil de 24.000 réfugiés en deux, les survols de la Syrie contre l’ISIS et l’invitation à des concertations quadripartites à Paris sur la crise ukrainienne. KATHIMERINI relève également L4 initiative du Président de la République, François Hollande, concernant la question ukrainienne.. (revue 8/9/2015)
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Sur la France, les Français
Service de presse et de communication Vassilissis Sofias, 7 106 71 Athènes
Histoire
Littérature
TO VIMA publie un entretien avec l’historienne de renom, Mme Claude Mossé, dont le livre « Petite histoire de la République athénienne » vient de paraître aux éditions Patakis en traduction grecque. (revue 7/9/2015)
TA NEA consacre un article au portrait de Michel Houellebecq au travers de plusieurs de ses interviews autour de son livre « Soumission » paru en Grèce aux éditions HESTIA. (revue 8/9/2015)
Téléphone : 210 3391000 Télécopie : 210 3391046 presse.athenes-amba@diplomatie.gouv.fr
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Le service de presse et de communication de l’ambassade de France en Grèce a élaboré pour vous ce bulletin hebdomadaire reprenant très succinctement l’actualité de la semaine qui vient de s’achever, en se basant sur les sources reprises dans la « revue de la presse hellénique » quotidienne, en ligne sur le site internet de l’ambassade, le bulletin de l’ANA et la presse électronique...