AMBASSADE DE FRANCE EN GRECE
Le fil hellène
Date de parution
Semaine du 12 au 18 janvier—Année 2014, n°2
#JesuisCharlie Dans ce numéro : #JeSuisCharlie
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Affaires intérieures
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Campagne électorale
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Campagne électorale
4-5
Affaires européennes
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Affaires économiques
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Vivre en Grèce
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Sur la France, les Français
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De nombreux éditoriaux et articles sont parus cette semaine sur les attaques terroristes dont a été victime la France. Giannis Pretenteris dans son édito paru dans TO VIMA écrit : « on est en guerre, dans une 3ème guerre mondiale dont les fronts sont disséminés à travers la planète ». Takis Theodoropoulos pour KATHIMERINI écrit dans son article « La culture en crise (de nerfs) » : quand la crise actuelle est érigée en valeur culturelle suprême, le fanatisme religieux apparaît à l’autre bout du spectre psychologique, en tant qu’adversaire » , le 13 janvier sous la plume de Panagiotis Lampsias ETHNOS a publié : « La vie après…Paris ». Georges Prevelakis sous le titre « Une menace interne » déclare : « Les attentats terroristes en France ne sont pas un phénomène nouveau. La nouveauté d’aujourd’hui est le fait que les agresseurs sont nés en France, ont la nationalité française, sont des produits du système éducatif français. (…) L’attentat au siège de « Charlie Hebdo » témoigne du caractère « interne » de cette menace. Nos sociétés ne sont pas prêtes à faire face à ces nouvelles menaces protéiformes, puisqu’elles ne disposent que de structures de défense correspondant à des ennemis territoriaux.
Les titres des articles évoquant « la terreur » (TO VIMA) ou rappellant « un 11 septembre » français, sont très nombreux dans la presse. A la Une, les photos des chefs d’Etat et de gouvernement ayant participé avec le Président François Hollande à la marche silencieuse dont des personnalités grecques : le Premier ministre, Antonis Samaras, bien entendu mais aussi une délégation de députés européens de SYRIZA, avec MM. Manolis Glezos et Giorgos Katrougalos ou encore le commissaire européen à l’immigration et aux Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos qui a déclaré : "Nous sommes ici aujourd'hui pour exprimer notre solidarité à la France, au peuple français et aux familles des victimes", (revue 12, 13 /1 – Déclaration a Francé 2 d’Antonis Samaras a Paris, marché dé soutién : « La ANA
France a été un phare de liberté pour le monde entier. Aujourd'hui, nous sommes tous à ses côtés. Nous sommes unis avec les Français, nous pensons exactement à la même chose, à savoir la liberté, l'idéal de la démocratie. Nous sommes aussi avec vous dans cette lutte pour la protection des idéaux démocratiques. C'est notre objectif, c'est pourquoi nous sommes tous ici aujourd'hui. Ce que nous avons vécu était incroyable ».
Le fil hellène
Affaires intérieures Elections – quid ?
Le 25 janvier la Grèce organise des élections législatives à la suite de l’échec de l’élection présidentielle du 29 décembre dernier. Selon la Constitution hellénique, si aucun parti ne peut former un gouvernement majoritaire, le président de la République donne au chef du parti qui a obtenu une majorité relative un mandat exploratoire afin d'examiner la possibilité de formation d'un gouvernement jouissant de la confiance de la Chambre. En cas d’échec, un second mandat passe au parti arrivé deuxième , puis au 3e en cas de nouvel échec. Chaque mandat dure trois jours. Si tous les mandats s’avèrent infructueux, le président convoque tous les chefs de parti, et, si l’impossibilité de former un gouvernement ayant obtenu la confiance du Parlement est confirmée, il tente alors de former un cabinet composé de tous les partis élus au Parlement qui aura la tâche d’organiser des nouvelles élections. En cas de nouvel échec, il confie au président du Conseil d'État ou de la Cour de cassation ou de la Cour des comptes la charge de 9.808.760 citoyens grecs sont appelés à voter lors former un gouvernement intérimaire et il dissout le des élections législatives anticipées du 25 janvier, selon les Parlement. (ANA 15/1) listes électorales du ministère de l'Intérieur, dont 5.060.877 femmes et 4.747.883 hommes. 18 partis et 4 coalitions de partis seront en lice (ANA 17/1)
Eléctéurs
Campagne électorale TA NEA fait état le 12/1 « des absurdités » dans les discours des chefs des deux grands partis dans le but de gagner quelques voix supplémentaires. Le journal évoque Antonis Samaras se présentant comme fervent défenseur du sentiment religieux et protecteur des icônes orthodoxes dans les lieux publics. Il épingle également Alexis Tsipras, qui dit vouloir garantir la poursuite de l’activité de la chasse et la protection de la biodiversité du pays aux fédérations des chasseurs ( revue 13/1 – presse électronique)
La ND et SYRIZA selon KATHIMERINI (14/1) martèlent chacun leurs messages dans le but d’attirer les électeurs indécis de La Rivière, du PASOK et de KIDISO : « Samaras ou Tsipras au poste du PM » pour la Nouvelle Démocratie – La majorité absolue pour SYRIZA. (revue 14/1)
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Semaine du 12 au 18 janvier—Année
Campagne électorale tous les Grecs et d’un parti », qu’ils libèreront le monde agricole de la fiscalité injuste qui lui est imposée. (ANA 12/1)
SYRIZA Le parti de la gauche radicale a évoqué lors d’un rassemblement politique en province « un courant de victoire qui grandit ». Mentionnant l’actuel Premier ministre, M. Tsipras a déclaré qu’Antonis Samaras avait changé de tactique et de stratégie en plein milieu de campagne et qu’il ne peut convaincre personne avec ses menaces de Grexit. Il a également déclaré dans une interview à REALNEWS que leur gouvernement sera « sera le gouvernement de
Le président de SYRIZA revendique la majorité : « je ne veux même pas penser au s cén ar i o de n ouv e lle s élections » (entretien pour STAR CHANNEL – ANA 14/1) Alexis Tsipras dans une interview accordée à la chaîne de télévision privée STAR CHANNEL a déclaré : « Le mémorandum sera supprimé par la voix du peuple le soir du 25 janvier. La continuité de
l’Etat n’est pas ce qui a été signé par MM. Vénizélos et Samaras ». L’objectif de SYRIZA est d’obtenir « la suppression de plus de 60% de la dette grecque ». Il a enfin a s s u r é q u e s on p a r t i collaborera avec les qui partis qui accepteront son programme en excluant néanmoins toute collaboration avec le PASOK, le parti de La Rivière ou le KINIMA. (revue 13/1) SYRIZA a fait de la justice sociale le thème central de sa campagne. A Rhodes, il s’est engagé, entre autre, à protéger la résidence principale des mises aux enchères pour dettes envers les banques, à
réintégrer les quelques 9.500 fonctionnaires licenciés en disponibilité et à garantir les soins gratuits universels pour les citoyens les plus démunis. La suppression de l’ENFIA réitère SYRIZA dans un communiqué sera parmi les premières mesures du nouveau gouvernement. (revue 16/1 – ANA 16/1) Dans une tribune de la presse allemande (HANDELSBLATT) Alexis Tsipras rassure « Les contribuables allemands qu’ils n'ont rien à craindre d'un gouvernement Syriza ». « Notre objectif » poursuitil « n'est pas d'aller à la confrontation avec nos partenaires, d'obtenir plus de prêts ou un blancseing pour de nouveaux déficits mais la stabilisation du pays (...) et la fin de la saignée des contribuables
Affiche dans TWITTER Le président de SYRIZA a organisé un échange questions/réponses sur Twitter et répondu aux questions des citoyens. Selon ETHNOS, Alexis Tsipras a décrit « d’une façon réaliste » les priorités de SYRIZA en soulignant qu’ un gouvernement SYRIZA fera « ce qu’il peut et non pas ce qu’il souhaite » . Il s’est par ailleurs engagé à convoquer une commission d'enquête sur les conditions dans lesquelles la Grèce a été placée sous le programme d’aide financière (mémorandum). Le Journal des Rédacteurs, Avghi et TA NEA signalent le succès de l’opération : 32.000
tweets en une heure, 3ème sujet d’échanges au niveau mondial. (revue 15/1)
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Affaires intérieures (suite) NOUVELLE DEMOCRATIE
Programmé économiqué dé la ND Antonis Samaras a présenté le Plan national de réformes et de croissance énumérant des réformes fiscales qui n'affecteront pas les déficits mais renforceront la croissance. Il s’est engagé pour un Etat social efficace, et a déclaré qu’ « il n’y aura pas d’autre baisse des retraites et des revenus ». Il a annoncé que l’impôt sur les biens immobiliers (ENFIA) baissera davantage et que la résidence principale sera entièrement protégée. (ANA 12/1)
PASOK Evangelos Venizelos, président du PASOK, a déclaré que le parti socialiste, PASOK, jouera un rôle décisif dès le 26 janvier, il sera garant de la stabilité nationale. Il a accusé, depuis la Crète, le mouvement KIDISO de l’ancien Premier ministre socialiste, Giorgos Papandreou, d’être un parti « individuel ». « Nous sommes prêts à soutenir un gouvernement d'unité nationale et de large coopération. Si c'est SYRIZA, nous soutiendrons l'effort, pas pour soutenir son programme mais pour une stratégie nationale ». (ANA 12, 16/1)
Actualités dé campagné Depuis Agrinio, le Premier ministre, Antonis Samaras, assure que son parti ne jouera jamais avec l’avenir de la Grèce et a accusé SYRIZA de conduire le pays « à un conflit avec les partenaires, à une faillite, à une sortie de l’euro ». (ANA 14/1) TA NEA note qu’Antonis Samaras, entend d’une part attirer les électeurs de l’Attique (ceux de la classe moyenne notamment) tout en jouant l’ouverture vers le centre et le centre-gauche. (revue 16/1)
KKE Le secrétaire général du parti communiste, KKE, rejette les indiscrétions sur une éventuelle coopération avec le parti de la gauche radicale SYRIZA. Il appelle au ralliement tous les Grecs afin de renforcer le KKE, qui pourrait atteindre la 3e position aux législatives. Ainsi LE JOURNAL DES REDACTEURS titre le 14 janvier « Le KKE coupe tous les ponts avec SYRIZA ». (revue 12, 14/1)
TO POTAMI Le parti de La Rivière a posé des conditions pour accorder un éventuel soutien à un gouvernement conduit par Alexis Tsipras : a) un engagement clair de SYRIZA affirmant que la Grèce restera à tout prix dans la zone euro ; b) l’absence de toute participation de la « plateforme de gauche » au gouvernement et c) la prise en charge par la Rivière de certains portefeuilles, en fonction de son résultat électoral. (revue 12/1)
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TO KINIMA – KIDISI Giorgos Papandreou, président du mouvement des socialistes démocrates a accordé une interview à l’ANA-MPA et a évoqué la raison de sa décision de fonder son nouveau parti. (ANA 12/1)
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Affaires intérieures (suite) Collaboration post-électorale des partis selon la presse ETHNOS, se référant aux éventuelles collaborations post-électorales estime, indépendamment des déclarations des partis, que tous, à l’exception du parti communiste (KKE) sont disposés à collaborer à la formation d’un gouvernement. Il exclue toutefois une collaboration SYRIZA/ND. S’agissant du président même de SYRIZA, il ne semble pas prêt à une ouverture vers la ND, le PASOK , TO POTAMI ou le nouveau parti de Giorgos Papandreou, mais cette déclaration aurait été perçue comme une stratégie de communication dans le but d’obtenir la majorité absolue. Le PASOK quant à lui revendiquerait la 3 e place alors que le parti de La Rivière (TO POTAMI) semble selon l’article être le « nouveau joueur » sur l’échiquier politique qui s’engage à participer à un gouvernement (revue 15/1)
Vue d’Europe Les responsables européens note TA NEA évitent soigneusement d’interférer avant les élections mais se déclarent disposés à collaborer avec le nouveau gouvernement qui sera en place après le 26 janvier. Pierre Moscovici, commissaire européen, a souligné lors d’un point de presse que l’UE demandera au nouveau gouvernement grec de respecter les engagements pris par les gouvernements précédents. Jeroen
Djisselboem, président de l’Eurogroupe, a déclaré de son côté : « Quel que soit le nouveau gouvernement grec, nous allons travailler avec lui » et « Si les Grecs s'en tiennent aux engagements pris nous sommes prêts, si nécessaire, à faire plus ». Cependant selon des articles de presse, une dépêche de l’agence Bloomberg, Draghi aurait clairement fait savoir que sans programme, la Grèce ne pourrait pas bénéficier des liquidités de la BCE.
Sondages SYRIZA maintient son avance dans les sondages Grèce sur les conservateurs de la Nouvelle Démocratie. De nombreux sondages ont été publiés dans la presse et avancent une avance qui oscille entre 1,9% et 6,2%. Une analyse, publiée dans ETHNOS, qui a été faite par les équipes de SYRIZA, basée sur les 162 enquêtes d’opinion, fait ressortir que l’écart entre les deux partis serait de 4,1% en intention de vote et de 6,8% en estimation. (agences de presse 12/1 – revue 15, 16/1 – ANA 17/1)
Affaires européennes Grèce – Espagne La visite officielle du Premier ministre espagnol, Rajoy, invité par Antonis Samaras, a été caractérisée par le journal TA NEA comme faisant partie de la stratégie préélectorale du premier ministre grec. KATHIMERINI et ETHNOS soulignent que la visite de l’espagnol constitue « un soutien clair » à la campagne électorale d’Antonis Samaras. (revue 14, 15/1)
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Affaires économiques Banque de Grèce La Banque de Grèce a démenti les articles de presse évoquant d’éventuelles fuites de capitaux sur fond des élections du 25 janvier prochain. Elle assuré dans un communiqué « que la situation est sous contrôle absolu », qu’elle suivait avec la BCE les évolutions et que les articles ne correspondaient pas à la réalité. De son côté, le ministre des finances, Guikas Hardouvelis, a déclaré qu’il existait une possibilité « très faible » de fuite des capitaux compte-tenu de l’incertitude politique autour des élections. (agence de presse 11/1)
Grexit L’agence de notation Moody’s a indiqué dans son dernier rapport qu’une sortie de la Grèce de l’euro est relativement improbable bien que le danger ait augmenté. (ANA 15/1) La chancelière allemande, Angela Merkel, a déclaré au journal Frankfurter Allgemeine Zeitung : « Je voudrais que la Grèce reste dans la zone euro » avant d'ajouter : « tout mon travail en ce qui concerne la crise de l'euro a visé et vise au renforcement de la zone euro dans son ensemble, avec tous ses membres, y compris donc la Grèce ». (ANA 16/1) Le membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), Benoît Cœuré, a affirmé que la question d'une sortie de la Grèce de l'euro ne se pose pas, dans une interview accordée jeudi au journal "Libération". (ANA 17/1)
Détté Le président de SYRIZA, Alexis Tsipras, a proposé la tenue d’une conférence internationale sur la base du modèle de 1953 à Londres, lorsque les pays occidentaux avaient convenu de baisser la dette de l’Allemagne de l’Ouest de 50% après la deuxième guerre mondiale. Le premier ministre a qualifié de « sottises » la demande de SYRIZA d’une nouvelle décote de la dette grecque à l’issue de sa rencontre à Athènes avec son homologue espagnol en visite officielle à Athènes. Il a rappelé que l’aide fournie aux Grecs par les peuples européens est régie par des règles, précisant que l’aide reçue des Espagnols sera remboursée. Interrogé sur la renégociation de la dette que le chef de l'opposition grecque promet, M. Rajoy a répondu que les accords ne peuvent pas être modifiés chaque fois que des élections avaient lieu en Europe. (ANA 15/1) Klaus Regling, directeur général du Mécanisme européen de stabilité (MES), a déclaré qu’ « un quelconque allègement supplémentaire de la dette grecque peut être envisagé à la condition que la Grèce poursuive les efforts de réformes et les mesures convenues. Il est néanmoins certain que le pays restera dans l’euro. (ANA 15/1) Sur le même registre, Wolfgang Schaüble, ministre allemand des finances, a déclaré à la chaîne N24 « quel que soit le parti qui remportera les élections, il devra faire en sorte que les Grecs continuent sur la voie des réformes, sur laquelle la Grèce, avec une grande solidarité européenne, a enregistré ces dernières années de grands progrès ». Il a rejeté dans une autre interview au SPIEGEL l’éventualité d’une nouvelle décote de la dette grecque. (ANA 15, 17/1) Quant au 1er ministre finlandais, Alexander Stubb, c’est un « non retentissant » selon le FINANCIAL TIMES « à une éventuelle radiation de la dette grecque » qu’il a exprimé. (ANA 15/1) La vice-Premier ministre d’Irlande, Joan Burton, considère qu’il existe un fondement dans les propositions de SYRIZA « il y a de la substance ». D’ailleurs le ministre irlandais des finances a déclaré qu’il ne rejetterait pas entièrement l’idée de discuter du problème de la dette grecque sur la base d’un conférence internationale dédiée à ce sujet. (ANA 15/1)
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Titre du bulletin
Vivre en Grèce Pauvrété La Grèce, avec l’Irlande, l’Espagne, l’Italie et la Hongrie fait partie des cinq Etats membres de l'UE ayant enregistré la plus forte hausse de la pauvreté et de l'exclusion sociale selon un rapport de la Commission européenne sur l'emploi et les développements sociaux en 2014. (ANA 16/1)
Atténtat Un attentat à la bombonne de gaz a été commis contre le bureau du député de la ND, Adonis Georgiadis. (revue 16/1)
Sur la France, les Français Ambassadé Francé Gestion exemplaire du Président français, qui a pu unir autour de lui les Chefs d’Etat et les citoyens contre l’islamophobie et en
dé
Une délégation de SYRIZA a été reçue par Jean-Loup Kuhn -Delforge, ambassadeur de France en Grèce, à la résidence de France. Ils ont également signé le livre de condoléances ouvert à l’ambassade à la suite des attentats. Ils ont exprimé « leur profonde peine et l ’ i n d i g n a t i o n p ou r le s événements tragiques survenus dans la capitale
Térrorismé Plusieurs journaux (ETHNOS, ELEFTHEROS TYPOS) font état des craintes à Paris de nouvelles attaques des djihadistes et signalent les mesures draconiennes prises en France : 10.000 militaires déployés sur l'ensemble du territoire français afin de protéger les lieux dits « sensibles ». (revue 13/1) ETHNOS souligne la gestion exemplaire du Président français, qui a pu unir autour de lui les Chefs d’Etat et les citoyens contre l’islamophobie et en faveur de la liberté de l’expression. (revue 15/1)
faveur de la liberté de l’expression. (ETHNOS)
Charlié Hébdo
Banqué dé Francé
Plusieurs journaux grecs (Avghi, Eleftehros Typos, Kathimerini, Le Journal des Rédacteurs) ont publié la dernière Une du journal hebdomadaire français qui représente Mahomet. (revue 14/1)
Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, s’est déclaré en faveur de l’allègement de la dette grecque dans une interview pour le journal allemand HANDELSBLATT.
La presse grecque relève, photos à l’appui, la ruée des Français pour obtenir le premier numéro de Charlie Hebdo depuis l’attaque
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Vous pouvez retrouver analytiquement toutes les informations dans les revues quotidiennes de la revue de la presse hellénique diffusées par le service de presse et de communication de l’ambassade. http://www.ambafrance-gr.org/Les-dernieres-revues-diffusees-en
Le consulat général de France à Thessalonique édite une revue de la presse hebdomadaire consacrée à la presse du Nord de la Grèce. http://www.ambafrance-gr.org/Revue-de-la-presse-hellenique-du-868
Service de presse et de communication Vassilissis Sofias, 7 106 71 Athènes Téléphone : 210 3391048 Télécopie : 210 3391046 presse.athenes-amba@diplomatie.gouv.fr
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Le service de presse et de communication de l’ambassade de France en Grèce a élaboré pour vous ce bulletin hebdomadaire reprenant très succinctement l’actualité de la semaine qui vient de s’achever, en se basant sur les sources reprises dans la « revue de la presse hellénique » quotidienne, en ligne sur le site internet de l’ambassade, le bulletin de l’ANA et la presse électronique...