Challenge n°1 - Février 2005 Le palmarès du challenge 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Rendar Témordak Kak Kroucht Courgette Starpurgator Léonidas Remi Levy
Rendar Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Partout où son regard pouvait se poser, il ne voyait que sinistre et dévastation. A sa droite, Pete gisait immobile et, un peu plus loin, Oliver baignait dans une mare de sang. La plaine, théâtre d’une terrible bataille, était couverte de cadavres et les seuls être encore debout étaient ses maudits Xénos. Il était perdu… Un sifflement strident suivit d’une annonce aux accents métalliques retentit soudain ‘Arrêt de la simulation. Retour aux paramètres normaux dans 5… 4… 3…’ Déjà Pete se relevait en maugréant. Il donna un majestueux coup de pied dans les côtes d’Oliver qui émit un gémissement sourd. ‘Debout feignasse. La sieste est finie’ lui lança-t-il. L’image holographique commençait à s’estomper remplaçant l’horrible scène de carnage par la neutralité glacée du métal de la chambre d’entraînement. Les soldats de son peloton se redressaient, ramassant leurs équipements la mine penaude. Passant devant lui, le sergent Jackson lui lança un petit clin d’œil ‘On s’est encore bien fait avoir hein Garner ?’ La jeune recrue n’osait pas le regarder dans les yeux ‘Oui sergent’ répondit-il timidement. ‘T’inquiète pas petit, si on fait se genre de simulations, c’est justement pour être prêt le jour ou notre Saint Empereur nous enverra combattre pour Sa gloire’ Jackson passa le bras autour de son épaule ‘Allez, viens petit, va boire un bon stimcafé.
Après, n’oublie pas de nettoyer ton fusil laser et de faire ta prière, on à encore une dure après-midi qui nous attends’ Poussé par le sergent, il sortit de la salle de simulation. Derrière lui Jackson secouait tristement la tête. Ils avaient reçus des ordres hier. Un vaisseau viendrait les chercher dans un mois pour les emmener sur le lieu de la première affectation de la compagnie en service actif. Ils ne seraient jamais prêts. • • •
Au début, je me suis dit : mouais, pas super original, un combat, classique. Eh ben non, raté ! Propre et efficace… made in rendar Y aurait toujours de quoi faire mieux, mais sans réellement pinailler, ca reste plus que ya bon
Temordak Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement, qu'il interrompit net. Il s'était réveillé au beau milieu d'un troupeau de bovins. Attiré par le corps mouvant, l'un d'eux approcha son museau odorant de la tête du garde impérial. « Pouah ! Dégage ! » La bête recula brusquement, et lâcha ses lourdes déjections sur le pauvre homme étendu au sol. « Merde ! » Garner tira un coup de fusil en l'air, et le troupeau se dispersa dans la plaine. Il se frotta la veste avec un certain dégoût. « Décidément, j'ai pas de bol aujourd'hui… » En effet, après avoir été abandonné par son régiment, alors qu'il s'était isolé pour soulager une envie pressante dans les bois, ce soldat cadian avait passé une mauvaise journée. Seul dans une contrée déserte et peu accueillante, il avait marché durant des heures à travers les champs et les forêts. Il avait abandonné, après une lutte acharnée, son pantalon à un sanglier teigneux. Il avait valeureusement combattu une horde de moustiques voraces. Il avait
exploré un nid pour y voler des oeufs, et avait également affronté le pigeon géant qui en était le propriétaire. Le soldat Garner était désormais affamé, jambes nues, recouvert de boutons, de plumes, de bouse et d'égratignures diverses, perdu sur cette maudite planète hostile, dont il ne connaissait même pas le nom. Et son régiment était peut-être à des dizaines de kilomètres. Il s'efforça de penser au bon côté de ses mésaventures : « Finalement, j'ai de la chance. Je ne risque pas d'être abattu par ce foutu commissaire, peureux que je suis. Et au moins, je n'aurai pas à affronter ces satanés orks. » Il ricana, alors qu'il marchait dans la forêt. Il trébucha sur une racine, et dévala une pente jusqu'à une petite clairière. Il se releva lentement, et regarda autour de lui. De grandes créatures l'observaient en grondant. « Merde. Des orks. » • • •
Très amusant Tres bonne nouvelle assez drole J'ai beaucoup apprécié, c'est assez simpliste sur le coup mais il excelle par ce côté
Kak Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Des araignées l'entouraient à perte de vue. Grosses, noires, velues et étrangement immobiles. Il avait l'impression de suffoquer, la panique l'envahissait. Il ne se souvenait de rien. Tout semblait comme figé, en attente d'un signal. Ses jambes tremblaient, son coeur semblait vouloir lui sortir de la poitrine. Il ne pensait plus, une seule phase revenait sans cesse : « Maman ! J'ai peur ! ». Le hurlement l'atteignit comme une balle ! Strident, insupportable. Les araignées avancèrent, le submergèrent, il pouvait sentir chaque pattes le toucher … « Nonnnnnnnnnnnn ! ». Le noir. Le jeune Garner se releva péniblement, s'accrochant aux barreaux, luttant pour garder son équilibre précaire, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Il n'était pas soldat, il était lui, mais rien de ce qu'il voyait ou ressentait n'avait de sens. Les peluches l'entouraient à perte de vue. Grosses, colorées, poilues et étrangement immobiles. Il avait l'impression d'être bien, au chaud, en sécurité dans un endroit familier. Ce n'était pas possible. Sa raison vacillait. Il le savait, ce ne pouvait être réel.
Il était dans sa chambre d'enfant, il avait deux ans, mais son esprit se débattait dans cette réalité sans aucun sens. Tout semblait comme figé, en attente d'un signal. Ses jambes tremblaient, il tomba à la renverse dans son lit et il la vit. Grosse, noire, velue. Il ne pensait plus, un seul sentiment revenait sans cesse : « Maman ! J'ai peur ». Le hurlement retentit en lui, à la fois familier et irréel. L'araignée avança, le submergea de ses innombrables pattes, il pouvait les sentir le toucher … « Nonnnnnnnnnnnn ! ». Le visage effrayé de sa mère au dessus du lit … le noir. Le soldat Garner ne pourrait plus se relever, son esprit était détruit, mais autour de lui le spectacle qui l'aurait attendu lui aurait fait regretter ce mouvement. Des démons l'entouraient à perte de vue. De toutes les tailles, de toutes les couleurs, piaillants d'un plaisir sans nom. Le Gardien des Secrets avait pris un plaisir sadique à torturer cet esprit faible, pour le bonheur de ses fidèles. Mais il lui faudrait trouver plus résistant la prochaine fois - Pour s'amuser encore ! Allez ! Juste une fois de plus … maman ! - Le démon explosa d'un rire sadique. • • • •
Un texte sympathique Excellente nouvelle Récit plus que sympa, l'originalité est bien là peu de fluff existant, d'autant qu'il n'est pas crédible
Kroucht Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. La vision de la tente en chantier le fit frémir. Il s'attendait à la visite d'inspection du lieutenant sous peu, et la vision du chaos ambiant lui vaudrait au moins une quinzaine de jours au trou. Evidemment, aucun membre de son escouade dans les parages, tous en poste ou partis vaquer à leurs petites occupations. Massant son front endolori, il se dirigea en maugréant contre la mauvaise volonté de ses hommes, et se promit de leur réserver une surprise à leur retour. Il saisit le sac de Grent, à l'origine de sa chute, et entreprit de le vider méthodiquement. Seul un tiers de son contenu, incluant sa gourde, ses munitions et divers instruments dont l'utilité était reconnue. Le reste, jeu de cartes, divers trophées, cigarettes, couteau hors normes et autres biens acquis plus ou moins régulièrement, fut confisqué et placé de côté. Il réitéra l'opération avec les sacs des autres soldats sous ses ordres, récupéra les menus objets qui jonchaient le sol et mit le tout dans deux caisses de munitions vides. Il finit le nettoyage de la tente, et sourit intérieurement. La tente ressemblait à un campement de bleus fraîchement débarqués des camps d'entraînement, ce qui allait faire râler plus d'un ce soir. Sans compter qu'ils voudront tous récupérer les objets durement acquis au jeu ou en dépouillant les cadavres sur le champ de bataille.
Il ne restait plus qu'à cacher les deux caisses assez loin, à un endroit où ils n'iront pas les chercher, où même s'ils y allaient, ils n'auraient presque aucune chance de mettre la main dessus. Il sortit de la tente, et réquisitionna le premier troufion qui passait à proximité. A eux deux, ils trimballèrent les caisses hors du camp, jusque dans la jungle, où ils les enfouirent. Après avoir recouvert l'endroit avec des feuilles mortes et des branches, il fit promettre au soldat de ne révéler l'emplacement à quiconque, hormis les supérieurs, sous peine de le faire passer en cour martiale. « Mais vous êtes aussi un soldat, vous n'avez aucun pouvoir » « Je suis un vétéran, nuance. Et ce statut donne droit à beaucoup d'avantages, ne serait-ce envers les sous officiers qui me doivent le fric qu'ils ont paumé au jeu. Et maintenant file ! » Garner s'amusa de voir le soldat déguerpir en quatrième vitesse. Il s'autorisa une petite pause cigarette. A peine celle-ci consumée, il repartit vers le camp pour ne pas louper la visite « surprise ». Il eu juste le temps de sentir deux mains froides lui saisir le menton et la nuque, avant que celles-ci fassent brutalement pivoter sa tête, brisant les vertèbres cervicales dans un craquement écoeurant. Il ne pu voir ni entendre son agresseur, qui pista silencieusement le soldat parti quelques instants plus tôt…
• • • •
Excellent. De l'humour, un bon style. La fin est un bon retournement L'approche fluffique n'est pas très originale Bien écrit, bon style mais un fin trop peu éloquente Pas mal. Mais Kroucht peut mieux faire, je le sais
Courgette Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Il eut un moment de panique en constatant tout d' abord qu' il ne pouvait pas bouger , mais il se rappela pour la 12ème fois qu' il avait les pieds collés à son socle depuis ce matin. Ce n' est qu' ensuite qu' il réalisa qu' il était toujours vivant : le tir du Defiler avait bien touché son escouade , mais grâce à la sauvegarde invulnérable procurée par la tranchée dans laquelle il était , son escouade avait été relativement préservée et n' avait subi que 2 pertes : Garner remercia le Saint Games Workshop d' être un servant d' arme lourde , ainsi il n' était retiré comme perte que si il n' y avait pas d' autre choix. Face à leur escouade , un rhino venait de débarquer 6 Space Marines avec armes de corps à corps ! Loué soit le Saint Livre « Vékatre » : son escouade avait une chance d' être sauvée en pulvérisant les Traîtres pendant la phase de tir ! A sa gauche , le soldat vit les 2ème et 5ème escouades pointer leurs armes vers l' engeance démoniaque , tandis qu' à sa droite la Chimère qui transportait les Ogryns fit mouvement vers l' escouade Havoc qui était sur une colline à environ 15ps d' ici. Vint la phase de tir. La 2ème escouade causa 3 blessures , et la 5ème 2. Garner appuya enfin sur la détente de son Bolter Lourd. Il vit les dés rouler face à lui : un 4 … un 5 … puis un 1.
Il pria les Saints Dés : les jets de blessures apportèrent un 3 puis un 6 ! De leur côté , le reste de son escouade causa 2 blessures. Garner regarda avec inquiétude les jets de sauvegarde : sur 9 sauvegardes , 3 furent réussies … un seul Space Marine resta : un grand avec une grosse main et une tête de Space Marine enserrée à l' intérieur… • • • • • • •
Une idée très originale Le récit n'est pas des plus prenant Le style n'est pas parfait J'en rigole encore, merci!!! Hilarant mais malheureusement trop peu espacé Trés loin d'être convaincu Pour un récit fun, s'en est un, mais c'est bien tout
Starpurgator Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Effectivement, tout, à perte de vue n'était que ruine, des membres, des vicaires, et quelques cadavres encore « indemnes » et de ci, de là, des space marines retournant les cadavres un par un. Leurs yeux lumineux était visibles à plus d'une centaine de mètres dans la pénombre de la fin de journée Quand il aperçu un de ces géants se retourner vers lui, la peur lui fit tressaillir les tippes. Pourquoi avait il peur ? Il était un G.I. et les gardes impériaux bénissent la venue des space marines, les accueillent comme des sauveurs. Et pourtant il ne pouvait s'empêcher d'avoir peur, il pressentait que ce space marine était l'incarnation de sa dernière heure. Il chercha dans sa mémoire les faits qui pouvaient justifier cette crainte, mais le souvenir des derniers jours passés sur sahabrim secondus, sa planète natal, n'était qu'un brouillard noire impénétrable. Il jeta un coup d'oeil nerveux vers le space marine, il s'était mis en mouvement dans sa direction, alors il se replongea dans les méandres de sa mémoire, pour se fournir en explications… Il est 14h…mardi…peut être ce matin…quel jour est-il…
Il est dans la tente du sergent Parker. Parker lui montre son tatouage, mais… ce n'est pas un tatouage… une scarification, sur le bras, il a remonté sa manche jusqu'à l'épaule pour lui montrer. Parker rie, mais pourquoi ? … Garner est partagé entre l'excitation et la crainte, cette sensation lui rappelle quand il était plus jeune, quand il faisait une grosse bêtise, il savait que sa mère finirai par le punir, mais pourtant il était content de la faire rien que pour l'excitation que braver l'interdit lui procurait. Mais pourquoi ressentait-il ça. Cette marque lui était familière, mais sa signification lui avait échappé… Que se passe t'il, la terre tremble. Il s'affole, cour en dehors. « Le ciel tombe !! » s'écrit-t-il, l'horizon s'enflamme. Une pluie d'astéroïdes, pense t'il. « Tout est fini » se lamente Parker à coté de lui. Puis une de ces « choses » s'abat sur l'énorme bâtiment administratif dont il assure la garde. La déflagration !!! … et le trou noire… Il interrompit ça réflexion pour jeter un coup d'oeil sur l'armure qui s'avançait vers lui, le contour de ses yeux était désormais bien visible, mais sa silhouette restait vague comme masqué par le crépuscule… Il tourna sur lui-même pour avoir une vision panoramique de ce qui l'entourait, personne ne semblai l'avoir remarqué a part ce space marine qui avançai inexorablement vers lui, même les deux hommes qui discutaient un peu sur sa gauche, a la lumière d'un générateur de campagne, ne l'avait pas remarqué. Il reconnut immédiatement l'un des deux hommes, c'était un… inquisiteur…
Il est 9h…lundi… cet homme, il le hais. Cet inquisiteur, dans son armure d'argent. Il est synonyme d'ennuis, si il se rend compte de quelque chose, il va tout gâcher. Garner a envie de lui sauter à la gorge. Mais il sait que la disparition d'un inquisiteur en mission représente à court terme une investigation à l'échelle planétaire, ce qui est mauvais pour lui. Il pause des questions, fouille les baraquements, réquisitionne des régiments pour interrogatoire. Il se doute de quelque chose, il faut s'en débarrasser. En découvrant ces souvenirs Garner eu un mouvement de recule, son regard laissait transparaître de l'effroi et de l'incompréhension, maintenant il voulait assassiner un inquisiteur ? L'oeil de l'empereur, comment cela était possible ? Il avait oublié pendant un instant le Marine qui avançait toujours dans sa direction. Si sa mort devait sonner il ne voulait rester dans le doute. Il est 19h…dimanche… dans le réfectoire réservé aux trouffions comme lui… la nuit est déjà tombé… une brume caractéristique c'est formé au dessus des tables, la soupe bouillante et la fumé de tabac, sûrement… Parker rie a gorge déployé comme il sait si bien le faire, plus pour attiré l'attention qu'autre chose, il tape sur l'épaule du jeune soldat, comme a chaque fois Garner failli de s'étouffer avec sa langue puis remet sa casquette d'aplomb, « t'as entendue ? On va être les maîtres du monde, ou du moins… de ce monde…, t'es pas heureux ? t'as bien entendu c'qu'il a dit ? » Garner sourit, comme
pour montré sa joie, pour que Parker le laisse tranquille, mais Garner est plongé dans ses pensés, il est sceptique, méfiant. Il se retourne vers Parker qui parle avec le bleu en face de lui « … et ouais j'te dis ça fait 15 ans que j'surveille ce foutu bâtiment, ils font les fiches de paye là d'dans ! j'me demande bien pourquoi y'a b'soin d'un régiment entier pour l'surveiller, y f'rai bien de nous payer pour le repeindre, y'aurai plus d'action… » et il se remet a rire de sorte que tout le réfectoire l'entende. Garner était là depuis seulement 2 ans mais l'inaction lui pesait déjà. De qui voulait parler son sergent ? Qui lui avait promis un monde ? Cela n'as pas de sens. Il se ressaisit pour jauger la distance qui le séparait désormais du géant manipulateur du saint bolter. Un frisson lui parcouru l'échine quand il pris conscience de la silhouette du « monstre » désormais bien visible. Il replongea dans ses pensés comme pour oublier sa peur. Il est 7h… dimanche… il est dans une grotte, la lumière du jour n'est plus qu'un reflet sur les stalactites. « Merde qu'es-ce qu'on fou la d'dans » la voie vient de derrière, c'est le bleu, Grinch qui s'appelle. « Ta gueule Grinch, on fait not' boulo ! Le lieutenant y dit : y'a un truc bizarre, alors moi et mon escouade de lopette ou va voir si y'a un truc bizarre » Garner sursaute, la voie viens de devant, les dernières paroles du sergent on permis de le localiser, mais sa silhouette reste dissimulé dans l'obscurité. Il avance. Une lueur apparaît au détour d'une caverne. Ils s'approchent. Ils aperçoivent un drop pod dans une grande galerie. Ils s'avancent. La lumière viens du plafond ou un trou béant laisse entré le soleil. Un «
homme » en armure énergétique sort. Son armure est d'un vert profond Un masque de cuire couvre son visage. Une fente qui prend source au dessus de son nez laisse paraître une bouche où des dents finement aiguisées suintent un mucus répugnant. Sur son armure une étoile à huit branches. L'inconnu esquisse un sourire ironique aux soldats en joue. « Je commençait a m'impatienter »… Garner releva la tête d'un geste vif, les honneurs de bataille était désormais tout a fais visible sur l'armure bleu roi du space marine. Les 10 secondes pendant les quelles il avait sondé sa mémoire, depuis qu'il s'était réveillé sur ce champ de ruine, lui avait semblé duré plusieurs heures. Il était pris de panique. Ces derniers souvenirs lui avaient fait comprendre l'enchaînement des événements. Cet homme dans la grotte était un émissaire du chaos. Il venait recruter des adorateurs pour les dieux sombres. L'homme qui leur avait promis un monde à gouverner, c'était lui. La marque sur le bras de Parker c'était la marque du chaos, son sergent était devenu le serviteur des hérétiques… Mais une pensé l'envahit… il avait hait cet inquisiteur, il avait souhaité sa mort, lui aussi était devenu un traître, un adorateur du chaos. Il sera les dents comme s'il refusait d'avaler cette glue infâme qu'était la réalité. Il fixa dans les yeux le space marine qui s'était désormais arrêter devant lui. Des images de ces derniers jours continuaient d'affluer, mais elles n'avaient plus aucune importance maintenant, elles défilaient comme un paysage sur la scène qui se déroulait. Comment avait il pu être aussi bête, quel avait été cette magie qui agissait sur planète pour lui faire perdre ainsi la raison. Il possédait dorénavant
l'explication, il avait trahit l'empereur, il méritait la mort et si se space marine l'épargnait ce serait a lui-même de mettre fin à ces jours. Il baissa la tête par résignation, il acceptait la mort. D'un bolt logé entre les deux yeux Garner s'effondra. Le capitaine et l'inquisiteur qui discutait non loin de là se retournèrent alerté par le coup de feu. Le capitaine rejoint le frère Rasmus au pas de course. -Que fait tu ? Est tu d'humeur a gaspiller le saint bolt aujourd'hui ? -Non frère Capitaine, j'exécutais cet hérétique survivant. Le capitaine jeta un coup d'oeil sur le cadavre couché les bras en crois, le visage a moitié arraché par le coup de bolter tiré à bout portant. -La croûte terrestre de cette planète c'est fissuré a moins de deux cent kilomètre d'ici sous l'impact du bombardement orbital et lui a survécu !? Bon, l'incident est clos, au rapport frère ! -Au moins un garde impérial sur 5 possédait des signes blasphématoires, sous forme de tatouage, de scarification ou de pendentif, frère capitaine, mai aucun signe d'un émissaire hérétique.
-Hm mm, c'est bien se qu'on pensait. Cet énergie que l'alpha légion met en oeuvre pour recruter des adorateurs, ces derniers temps, m'inquiète. • • • •
C'est sympa J'aime beaucoup, même si la longueur est hors contexte un bon style général Trop long
Léonidas Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. La nausée le frappa sans prévenir, et il eu juste le temp de se pencher avant qu'un haut-le-coeur lui fit vomir son dernier repas (pas grand chose, donc). et il ne se redressa que pour contempler des amoncellements de cadavres éparpillés partout autour de la salle. Rhum, Vodka, Tequila, bieres… le tout syntéthique et (de ce fait) dégueulasse, mais aucun soldat digne de ce nom, ne peut résister a une tournée générale payer par le Capitaine -en personne- pour feter la derniere victoire écrasante du régiment.Le sol était couvert de bouteille et de canettes avec, de ci de la, quelques vrai cadavres pas encore sortie d'un profond coma éthilique. avancant avec beaucoup de précaution, tentant d'ignorer l'org qui hurlait 'WAAAAAAAAAAAAGH!' dans son crane et le sol qui semblait subir un pillonage d'artillerie, Garner chercha une sortie sans marcher sur personne (éxercice des plus perileux !), en esperant trouver dehors de quoi calmer ce qui s'annoncer comme une monumentale geule de bois… Malheureusement, la scène qui l'attendait dehors était bien pire que celle qui régnait au messe. Même Nurgle n'aurait pas put imaginer un tel charnier ! Tout y était, les corps étalés, les teintes verdâtres, la pourriture, l'odeur… un régiment entier de garde cuvant n'était décidément pas un spectacle supportable. Pourtant… quelque chose semblait encore debout et
conscient parmi les hommes. Distribuant des coups de bottes impeccablement cirées même après une nuit de beuverie, Le capitaine réveillé les soldats un a un, visiblement aussi sobre que s'il n'avait jamais but une goutte d'alcool de la nuit. Garner eu alors une illumination (certainement provoqué par des relents qui trottait dans son crane) : L'empereur avait donné Sa force au capitaine ! Seul ça pouvait expliquer une telle résistance ! Tombant à genoux, il observa avec adoration le capitaine qui se dirigeait maintenant vers lui en frappant tous ceux qu'il croisait… pour se prendre le contenu d'une gourde en pleine tête « ALLEZ SOLDATS !! » (Le hurlement, couplé à l'eau, rendit instantanément a Garner ses esprits, même s'il perdit quelques tympan dans l'opération.) « Un peu de dignité ! Relevez-vous ! » (il attrapa Garner par le col, le levant d'un coup brusque) « Regardez-vous ! Une vraie loque ! Venez donc m'aider à réveiller ce tas de merde ! Ridicule !A la première beuverie, tout le monde par terre ! Pas un seul capable de rester frai ! Lamentable ! Je vais vous apprendre à être des soldats moi, bande de pucelles ! Sur ce, il s'éloigna toujours fulminant pour continuer de taper sur ceux encore au sol, laissant Garner vomir une dernière fois pour la forme, tout de même certain que le capitaine était entouré d'un léger halo doré.
• •
récit original mais peu en accord avec l'idée que je me fais d'un régiment de la garde Le style est médiocre, les parenthèses salopent le peu de correct, le fluff pas mieux et l'ortho pas franchement parfaite
Remi Levy Le soldat Garner se releva péniblement, autour de lui le spectacle qui l'attendait lui fit regretter ce mouvement. Tous ses camarades scouts venaient d'être pulvérisé par la pince du gigantesque prince tyrranide, qui se dressé à présent devant lui. Il mesurait dans les 3 ou 4 mètres, ses grandes pinces lui donnaient un air redoutable. Son corps luisait à la lumière du soleil couchant, et, beaucoup de sang coulait par de nombreuses blessures que les scouts lui avaient infligées. Son regard plein de haine se posa sur Garner. Face à la monstruosité, celui ci ne bougea pas d'un pouce et serra fortement son bolter dans ses mains pleines de sang. Les chances de tuer un tel monstre sans aide lui semblait impossible. Mais il n'avait pas d'autres choix que de le combattre, simplement pour venger la mort de ses camarades. Sentant la sainte colère de l'Empereur montait en lui, il chargea la bête. Son bolter commença à faire pleuvoir la mort sur le prince, qui semblait insensible aux balles. Soulevant son énorme pince, le mutant l'abattit lourdement près de l'endroit ou il se tenait quelques secondes plus tôt. La bataille s'annoncer difficile pour Garner. Il tirait sans cesse pour maintenir le monstre qui se dirigeait à présent vers lui. La peur lui tordait les tripes. Lui tournant le dos, Il sentait l'extraterrestre se déplaçait à une vitesse folle. Les blessures du Xénos augmentaient à chaques balles, mais cela ne semblait pas le ralentir. Garner trébucha et tomba lourdement par terre. En se relevant, sa main toucha le métal dure et froid du lance-
roquettes que son unité possédée avant de finir en morceaux. Le saisissant à pleine main, il adressa une courte prière à l'Empereur pour qu'il soit chargé. Visant le monstre, il tira. La secousse qu'il ressentit après avoir appuyé sur la gâchette lui confirma que le lance-roquettes était chargé. Le missile partit droit sur le ventre du monstre. La déflagration qui s'en suivit le fit s'évanouir. Garner ouvrit les yeux. Tout étaient blanc. Un visage dure apparut au dessus de sa tête. Quelques secondes plus tôt, il s'était crut au paradis. Mais voyant l'uniforme de l'homme qui se présentait à lui, un Inquisiteur, Garner tenta vainement de se redresser sur sa couchette. Après un effort qui lui parut surhumain, il parvint à s'asseoir pour vite retomber dans l'inconscience. Mais avant de sombrer totalement, il entendit une phrase qui le réconforta : « On a retrouvé les morceaux du prince Tyrranide, Très beau travail soldat ». • • • •
le récit n'est pas super original Récit pas très original mais relativement bien écrit Beaucoup de fautes très linéaire peu accrocheur et truffé de fautes