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Vous avez dit « Devoir ? »

JOSE VALVERDE Editions Sacré Rire


Aujourd’hui, on parle sans cesse et à tout bout de champ des « Droits ». Les droits qui sont menacés, des droits qu’il faut défendre, des droits nouveaux qu’il convient d’inventer mais personne ne parle de « devoir » ! En effet, si le Droit, les Droits sont un souci constant dans la Cité on entend pratiquement jamais le mot « devoir ». Or, qu’est-ce qu’un droit qui n’est pas fondé sur la préexistence d’un « devoir » ? C’est un « privilège » ! N’est-ce pas parce qu’ils avaient oublié ce principe que les aristocrates ont perdu leur tête pendant la « TERREUR » d’après 1789 ? Certes, il y avait des raisons plus profondes à la perte de leur situation privilégiée, essentiellement des raisons multiples mais, dans le procès public qui leur a été intenté et qui a précipité leur perte, l’élément fondamental était le fait qu’ils n’avaient pas assumé leurs « devoirs ». En particulier, ils n’avaient plus rempli les fonctions sociales qui légitimaient leurs droits spécifiques, y compris concernant le monarque sa fonction de représentation de la Nation. Je ne suis pas historien et je ne cite cet événement que pour amener à réfléchir à cette question du point de vue que je propose. Peut-être bien que le maintien de la monarchie, par exemple en Angleterre, a été la conséquence d’un plus grand respect des « devoirs » qu’impliquaient les avantages de leur situation d’aristocrates. Encore aujourd’hui, la fonction de représentation de l’Etat par les monarques britanniques est pour eux la « fonction » la plus importante. Ils ont le « devoir » d’assumer en permanence cette fonction de représentation y compris dans leur vie privée. En acceptant d’être « monarque », ils doivent assumer ce « devoir » de représentation. Comme ils sont les garants de l’existence d’un Etat de Droit, ils sont dans le « devoir » de représenter la nation en abandonnant ainsi, leur

droit à une vie privée. En effet, cette fonction d’incarnation de la Nation, ne saurait être interrompue un seul instant. Les monarques ne font pas les « rois » pendant trente-cinq heures. Ils sont rois y compris dans leur lit ! Le Président de la République française assume la responsabilité de représentation de la nation et il ne peut le faire par intermittence pendant trente-cinq heures ! Il est un véritable monarque républicain, élu au suffrage universel par tous les citoyens électeurs, il est donc le représentant de la Nation. Cette incarnation de la Nation ne saurait donc se limiter aux cérémonies officielles et aux commémorations. LA NATION NE FAIT PAS LES TRENTE-CINQ HEURES ! Mais je me suis efforcé d’approfondir cette question, ne seraitce qu’au niveau sémantique. J’ai consulté un grand nombre de dictionnaires y compris le Littré mais j’ai trouvé dans Wikipédia deux définitions qui me semblent correspondre assez bien aux concepts modernes et qui ont l‘avantage de ne pas être trop longues : Le DEVOIR « Le « devoir » pris au sens abstrait est ici pleinement considéré comme l'obligation morale, non pas à travers telle ou telle règle ou action particulière mais prise pour elle-même. Il s'agit tout bonnement du devoir que l'on rencontre avec l'impératif catégorique kantien. Pour rappel, Kant définit deux types d'impératif : l'impératif hypothétique, c'est un moyen pour atteindre une fin comme « Brosse-toi les dents pour ne pas avoir de caries » ; et l'impératif catégorique qui, lui, ne propose pas d'alternatives : « Sois poli ».Le deuxième sens du devoir concerne en revanche une action particulière et concrète. Un citoyen a par exemple des droits et des devoirs : on peut en


dresser une liste, il y en a un nombre fini. Cela s'oppose, en ce sens, à la première définition qui était très conceptuelle. On rejoint ici parfaitement le domaine du droit puisqu'il peut y avoir des devoirs correspondant à tous soit à chacun en fonction de la profession, du statut social, etc. » Ce qui induit un devoir !!!! Le DROIT . « Le droit est « l'ensemble des règles qui régissent la conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. », ou de façon plus complète, « l'ensemble des règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient conformes à l'éthique dominante ». Ces règles abstraites et obligatoires indiquent ce qui « doit être fait », les « droits et devoirs » qui incombent aux citoyens d'une société donnée. Ces règles, ou bien découlent de l'existence d'une source « supérieure », extérieure, transcendante, comme le droit naturel ou une charte religieuse, ou bien découlent de normes intrinsèques. Dans ce second cas, les règles soit proviennent d'usages constatés et acceptés (droit coutumier) soit sont édictées et consacrées par un organe officiel chargé de régir l'organisation et le déroulement des relations sociales (droit écrit) La « force » du droit et son respect par le plus grand nombre possible impliquent : Que la source du droit soit reconnue et acceptée comme légitime Que l'énoncé de la loi soit connu de tous.

Ces définitions en valent d’autres qui se ressemblent et comme je ne suis ni juriste, ni député, ni délinquant notoire je me contente de ces définitions savantes et je reviens à mon propos de départ. De quel droit, me direz-vous, ayant avoué mon état de profonde ignorance sur les sujets que j’aborde, puis-je m’autoriser à en parler ? De quel droit ? Je vais, peut-être en surprendre en prétendant que je le fais par « DEVOIR » ! Je ne veux pas ignorer que comme tous ceux qui prennent la parole publiquement, quelles que soient la profondeur et la pertinence de leur discours, ils obéissent pour une part au désir de se rendre intéressant aux yeux de leurs contemporains. J’enchaîne sur le sujet lui-même. Si l’on observe les définitions que je vous ai proposées, elles me semblent dans la pratique sociale ordinaire, pour « le droit », être la norme d’usage. Permettez-moi un exemple dans les « faits divers » qui alimentent constamment nos moyens d’informations sur la vie de la Cité. Un Président de la République est photographié sur un scooter se rendant à un rendez-vous galant clandestin Cette escapade amoureuse donne lieu à un article dans la presse à scandale et une énorme émotion médiatique à laquelle le Président de la République Française se voit contraint de répondre et il dit « Comme tout le monde j’ai le « droit » à une vie privée ! ». En effet l’article 9 du code civil le dit. Mais avant tout il faut s’entendre sur le sens de « vie privée » et je fais encore intervenir mon ami WIKIPEDIA. « La vie privée (du latin priva tus) est la capacité, pour une personne ou pour un groupe, de s'isoler afin de se recentrer sur sa vie et de protéger ses intérêts. Les limites de la vie privée ainsi que ce qui est considéré comme privé diffèrent selon les


groupes, les cultures et les individus, bien qu'il existe toujours un certain tronc commun. La vie privée peut parfois s'apparenter à l'anonymat et à la volonté de rester hors de la vie publique. Quand quelque chose est dit "privé" pour une personne, cela signifie généralement qu'à cette chose est rattachée des sentiments spéciaux et personnels. Le degré de privatisation de l'information dépend donc de la façon dont le public pourrait la recevoir, ce qui diffère selon les endroits et à travers le temps. La vie privée peut être vue sous un aspect sécuritaire. La plupart des pays ont des lois qui limitent la vie privée dans un certain sens : un exemple de ceci serait les lois sur les impôts, qui demandent normalement le partage avec l’administration fiscale des informations personnelles concernant les revenus, les biens et les gains. La vie privée peut être sacrifiée volontairement, normalement en échange de certains bénéfices (voir les émissions de téléréalité).La vie privée est également une notion impliquant celle de « respect de la vie privée » qui fait partie des notions plus générales de propriété privée et de bonnes mœurs. La distinction est très ancienne puisque Aristote faisait la distinction entre la sphère publique polis et la sphère privée oikos. Elle est mentionnée dans la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, et, pour l'Europe, par la Convention européenne des droits de l'homme qui en reprend les grands principes. » Ces définitions m’ont plongé dans une multitude de questions, comme par exemple : peut-on considérer qu’un individu emprisonné parce qu’il a été jugé coupable d’un délit ou d’un crime n’a plus de vie privée ?

Peut-on dire qu’un malade en phase dite « terminale » sous assistance diverse n’a plus de vie privée ? Je n’ai pas trouvé de réponse explicite à cette question donc je vous propose la mienne. La vie privée nous est donnée avec la vie elle-même et comme la vie, elle associe complètement « droit et devoir ». En effet, la vie est d’abord un « devoir » car elle nous est donnée avant que nous soyons en mesure de formuler le choix d’en bénéficier ou non. De même qu’elle nous sera retirée sans que nous ayons besoin de participer au processus de fin de vie lui-même. Le suicide apparaît comme l’expression d’une volonté individuelle contre la vie mais n’est-ce pas une apparence ? En effet, que sait-on de la pensée du suicidaire, qui a réussi à se donner le coup fatal, dans le dernier instant qui précède sa mort ? Quelle est son opinion sur son suicide ? D’une façon générale l’on définit l’action de quelqu’un comme si cette action était le passage à l’acte découlant d’une intention unique. Je pense personnellement, et comment peut-on penser autrement que personnellement (?), je pense donc, que toute pensée, et tout particulièrement les pensées qui déterminent un acte, ne serait-ce qu’un pas vers la droite ou la gauche, comporte mentalement, l’exact inverse de la décision prise. Si l’on ne pense pas le contraire de que l’on pense en même temps que ce que l’on dit penser, c’est que l’on n’est pas dans un véritable processus de pensée. Comment dire « noir » si je ne pense pas « blanc » ? Je choisis de dire « noir » parce que j’ai pu choisir. Souvent ce choix représente une infime petite pesée supplémentaire dans le sens qui nous fera agir ou dire. Pesée pour une pensée ? Oui, « pesée » ! J’ai trouvé cette expression dans un souvenir de mon enfance. Mes parents vendaient des fruits sur les marchés de banlieue et leurs deux fils devaient les accompagner les dimanches et


pendant les vacances scolaires. Je me souviens qu’à six ans on me posait sur une caisse en face du tas de cerises et je les vendais après les avoir pesées sur une balance Roberval. C’était une balance comportant deux plateaux. Sur l’un on posait un poids (de 500 Grammes ou un kilo) et de l’autre on posait les fruits. Quand on avait mis assez de fruits sur un plateau et qu’ils contrebalançaient presque le poids posé sur l’autre on ajoutait une à une des cerises. C’était la dernière cerise qui mettait le fléau de la balance en mouvement. Pour mes lecteurs amateurs de détails précis, j’ai mis en bas de la page un article passionnant sur la question.* Je n’ai trouvé cette assertion nulle part ailleurs mais je dois avouer que je ne me suis pas penché trop souvent sur les livres de vulgarisation des sciences psychologiques. Je ne propose pour mes observations psychologiques que celles qui sont le produit de mon expérience personnelle et de mon autoobservation. Je ne m’autorise pas, contrairement aux professionnels de ces disciplines, de passer à la généralisation. Je veux bien admettre que je sois le seul à pouvoir penser une chose et son contraire et ne choisir l’une plutôt que l’autre pour une seule petite cerise de pensée! Pour ne pas multiplier à l’infini mes emprunts aux faits divers de cette période, je reviens donc à ce Président de la République Française sur son scooter pour aller «honorer » sa belle clandestinement. On peut supposer que malgré la forte pression d’une montée inopinée de testostérone l’incitant à lâcher toutes ses écrasantes responsabilités, ce n’est pas sans la moindre hésitation qu’il se lance dans cette dangereuse équipée nocturne. Il n’ignore pas que l’Etat contribue largement à la défense de la sécurité du Président de la République Française et qu’il est normalement le premier à être chargé de cette sécurité car il est le plus proche possible de lui-même,

Président. On peut donc supposer que ce poids pèse lourd dans la balance en face du plateau de belles cerises si désirables : la nuit d’amour avec une jeune comédienne. Quelle est la dernière poussée de testostérone, quelle image d’un souvenir brûlant joue dans son esprit le rôle de la dernière cerise, celle qui fait pencher le fléau de l’indécision vers la chevauchée nocturne ? Nul ne le sait et sans doute plus luimême ! Si j’ai évoqué cette anecdote amusante, dans le cadre de ces réflexions sur le « Droit » et le « Devoir », ce n’est pas pour ajouter aux amères réflexions, remords secrets, inquiétudes multiples qui doivent certainement torturer douloureusement notre actuel Président de la République Française. Mais c’est pour m’intéresser seulement à sa réponse à une question posée sur le sujet qui agitait tous les médias à travers le monde. Cette réponse fut faite publiquement au cours d’une conférence de presse dans le Grand Salon de l’Elysée. En effet, pour couper court à toutes questions sur le sujet, monsieur le Président de la République Française a répondu « J’ai le droit à une vie privée ». Or, il voulait vraisemblablement dire « J’ai le droit au secret de ma vie privée ». En effet, nul ne peut nous priver d’une vie privée qui nous est donnée avec la vie, comme je l’ai évoqué plus haut. Tant que l’on est en vie chacun a une vie privée qui inclut la partie la plus intime, jusque et y compris sa vie organique et dans celle-ci la vie de sa pensée ainsi que pour les croyants ce qu’il est convenu d’appeler âme. Comme monsieur Wikipédia nous l’a indiqué plus haut, je cite à nouveau : « La vie privée peut être sacrifiée volontairement, normalement en échange de certains bénéfices. »


Comme je l’ai dit notre vie organique est bien le centre de notre « vie privée » et il est clair que notre état de santé est une information que nous pouvons garder secrète. Mais cela n’est pas possible pour monsieur le Président de la Cinquième République Française qui est régulièrement tenu à la publication d’un bulletin sur son état de santé. C’est dire si un Président de la République n’a plus le droit à une vie privée secrète. Pour illustrer mon propos, je vous propose de tenter, avec moi, des exercices pratiques de ma méthode pour chaque « droit » chercher le « devoir » qui le précède et le fonde.

DROITS Droits d'auteur (Devoir de dire ce que l’on ne peut taire et responsabilité de son discours et des conséquences éventuelles car la parole est un outil de prise pouvoir sur les consciences) Droits d'accès aux technologies de l'information (Devoir de s’informer et de s’efforcer à la maitrise des technologies de l’expression. Ecriture sur pierre pour les égyptiens anciens) Droits des travailleurs. (Devoir de contribuer à l’économie de la Cité par son activité) Droits linguistiques (Devoir de posséder et de développer ses outils de communication avec les autres) Droits humains (Devoir se faire Homme) (Remarquons que ces Devoirs d’apprentissage de base sont clairement imposés par les parents et par la société dans l’enfance et avant la période dite : «adulte ». Curieusement quand on accède à l’auto-responsabilité, les devoirs d’acquisition de nouveau

savoirs et l’actualisation constante de ses devoirs ne dépendent plus de la contrainte parentale ou sociale mais de la propre conscience. Celle-ci devrait-être encore plus exigeante et curieusement elle ne semble plus s’imposer. Seul le législateur semble légitimement en situation d’imposer certains « devoirs »(essentiellement la fiscalité) mais surtout une limite à ces «DROITS » sans « DEVOIRS ». Hors la loi, pas de limite aux « droits » ! « Tout ce qui n’est pas interdit par la loi est autorisé ! » Droits civiques et politiques (Devoir de participer à la vie de la cité en assumant sa part des choix collectifs en démocratie) Droits économiques, sociaux et culturels (Devoir d’apporter sa contribution à l’économie collective, à la vie sociale et à l’épanouissement intellectuel, moral, imaginaire, artistique de tous les membres de la cité avec soi) Distinctions théoriques des droits (Je ne m’amuse pas sur ce terrain réservé aux spécialistes, réputés tels des questions théoriques sur le Droit juridique et ses fondements Droits légaux : Il y a une grande quantité de textes, de pleines bibliothèque et c’est l’objet d’études dans les universités un peu partout pour former les spécialistes qui seront chargés de faire appliquer et respecter les droits légaux, entendez les « interdits légaux » ce qui n’est pas interdit par la loi étant censé être autorisé. Ce n’est pas du tout l’objet de mon petit travail de réflexion et je m’abstiens donc d’avancer plus avant sur ce terrain Cle ne veut pas dire que ma méthode ne devrait pas là aussi s’appliquer. Les droits légaux sont des droits énoncés ou énumérés dans des codes et textes de loi par une autorité législative. Ils sont alors conséquents aux cultures et régimes politiques. En revanche, les droits légitimes (aussi appelés « droits naturels » ou « droits inaliénables ») sont des droits universels


indépendants de toutes croyances ou pratiques locales et inhérents à la nature humaine. Les droits légaux sont des droits énoncés ou énumérés dans des codes et textes de loi par une autorité législative. Ils sont alors conséquents aux cultures et régimes politiques. En revanche, les droits légitimes (aussi appelés « droits naturels » ou « droits inaliénables ») sont des droits universels indépendants de toutes croyances ou pratiques locales et inhérents à la nature humaine. Dans un système de droit romano-germanique, les droits légitimes sont nécessairement des droits légaux pour que leur applicabilité soit effective.

PAS TRACE DE DEVOIRS !!! Ma thèse est donc : « Un droit qui n’est pas fondé sur un devoir n’est pas un droit, c’est un privilège ! » « Tous les citoyens qui considèrent qu’ils ont des droits sans avoir des devoirs sont, comme les aristocrates de 1789, des « privilégiés » ! » « NON ! Car les citoyens de la Cité moderne, sont seulement dans l’illusion de disposer de tous les droits, ce qui permet à ceux qui disposent de la réalité du pouvoir d’exercer celui-ci dans un simulacre de démocratie !!!! »

Les esclaves n’ont pas de « devoirs », ils ont des chaînes ! Les peuples qui ont des « Droits » sans « Devoirs », sont des peuples d’esclaves. Mais ils l’ignorent ! CONCLUSION : LE DEVOIR PRIME LE DROIT Jose VALVERDE

Vincennes, le 13 février 2014


Balance à deux fléaux ou balance Roberval

Balance Roberval de capacité maximale 30 kg Cette balance doit son nom à son inventeur Gilles Personne, mathématicien et physicien français, connu sous le nom de Roberval, car il était originaire de Roberval dans l'Oise. Gilles Personne eut l'ingénieuse idée de placer les plateaux audessus du fléau, alors que depuis des millénaires, ils étaient placés en dessous du fléau. La balance Roberval comprend un fléau à trois couteaux, dont les deux extrémités supportent les 2 plateaux découverts. Les déplacements des plateaux sont guidés par des tiges verticales liées à un contre-fléau. L'ensemble fléau, contre-fléau, tiges verticales, constitue un parallélogramme articulé. Lorsque les deux bras du fléau sont égaux, des masses égales placées sur les deux plateaux sont en équilibre. De façon à améliorer la sensibilité des balances à plateaux, les fléaux et les couteaux sont dimensionnés en fonction de la capacité maximale de la balance. C'est pourquoi la capacité maximale est clairement indiquée sur chaque balance


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