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Conclusion

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Edito

Edito

Conclusion

Nous avons pu voir dans cette courte analyse que la problématique de l’itinérance à Montréal est complexe. D’une part, la manière de l’appréhender est centrale : en la définissant de manière trop strict, un des risques est de mettre de coté de nombreux individus tout autant démunies. Cette «mise de coté» est un problème réccurents et généralisé. Ce facteur engendre des repercussions jusqu’a affecter la dignité même des individus.

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Pour Architecture Sans Frontières Québec, la question de la dignité des individus doit être un pilliers sur lequel travailler par le biai du processus de conception architecturale. Je partage personnellement cette idée en étant convaincu de l’aspect de spirale négative de l’itinérance. Le processus de conception architecturale doit alors devenir un outils afin de permettre au personne en situation d’itinérance de romprent ce cycle et d’en entamer un qui leur permettent de prendre ce qui a, à plusieures reprises, été qualifié de trajectoire de resociabilisation.

La possibilité de gagner en hauteur vis à vis d’un tel sujet m’a été permis par Architecture Sans Frontière Québec. La légitimité qu’ils ont à s’occuper de problème d’une telle ampleur m’a effectivement permit d’observer les différents acteurs, publics ou privés, qui gravitent autour de cette problématique. Nous avons donc pu analyser dans cet écosystème dense, plusieures opportunités. Ces opportunitées de collaboration avec les organismes de terrain se distinguent en deux catégories:

- L’aspect organisationelle, imputable à la profession d’architecte. Celui - ci s’adresse essentiellement au petits organismes qui ne disposent pas des moyens logistique de s’occuper d’un chantier ou de la conception de projets architecturaux. Nous pouvons ici insister sur les multiples cas de rénovations, qui n’ont, selon moi, pas suffisement été soulignés durant nos recherches. En partant du principes que de nombreux organismes ayant pour vocation de s’occupper des personnes en situation d’itinérance dispose de locaux d’un certain age, la question de la rénovation devient centrale. C’est d’ailleur dans cette optique que le RAPSIM publi en Mai 2019 un rapport sur la préservation des maisons de chambres en abordant notamment les questions de la salubrité et de comment ces lieux sont le berceaux de nouvelles familles.

- L’aspect social constitu quant à lui une caracteristique trop souvent mise de coté chez les grands organismes de luttes contre l’itinérance. En effet, au delà du rôle essentiel qu’ils remplissent (fournir des lits !), une trop grande part de ce qui constitue une trajectoire de resociabilisation reste à la marge. Il est effectivemet aisé de s’imaginer de

grands dortoirs asceptisés au couleurs ternes et a l’acoustique ingrate. Même si cette caricature n’est surement pas verifiable dans chacune de ces grandes structures, la médiation sociale et le sentiment d’être chez soi sont eux des éléments qui devrait être constant dans les demarches de soins apporté au plus démunies.

Ainsi je pense qu’en adoptant une sensibilité vis à vis de cette question, l’architecte dispose d’une position privilégié afin d’organiser le milieu dans lequel évoluent les personnes en situation d’itinérance. C’est en agissant sur ce milieu que l’on pourra leurs procurer plus d’autonomie, de repères et de dignité. In fine, il est question de faire tendrent les personnes en situation d’itinérance, le plus possible, vers cette trajectoire de resociabilisation, qu’il restent malgrés tout les seuls à pouvoir adopter. A Montréal et ailleurs, de nombreux acteurs sont ceux d’une ville de demain plus équitable et plus démocratique. Mon moi optimiste me pousse dans cette direction: celle de la collaboration, du dialogue et de l’enthousiasme.

Vie pratique à Montréal.

Avant le départ

De manière générale l’obtention d’un Visa d’un pays ou d’un autre est un parcours du combattant. Le Canada ne dérroge pas à la rêgle, armez - vous de patience et n’hesitez pas à harceler qui que se soit pour être dans les temps. Montréal se situe très proche de la frontières des État - Unis, vous pouvez dors et déjà preparer votre ESTA pour rentrer sur le territoire. Le passage de la douane est une experience a part entière !

Le logement

Se loger à Montréal est une vrai compétition : un turn - over général des locataire à lieu le 1er Juillet. C’est à cette periode qu’il est le plus simple de trouver un logement ainsi que toute sorte de meuble dans la rue (attention toutefois aux puces de lit qui sont un réel problème. astuces : les exterminateurs sont à la charge du proprietaire). Dans les grandes lignes il est assez facile de trouver un logement, notament via Facebook, Craiglist ou Kijiji. Les démarches administrative... il n’y a pas de démarches administrative, sauf une petite signature et un scan du passeport (en revanche les agence immobilière réalise des enquête de crédit, etc qui peuvent prendre du temps. Dans l’optique d’une année d’échange il vaut mieux avoir recourt à un proprietaire particulier). Si certaines annonces paraisse louche ou que vous trouvez l’échange par mail étrange (demande de caution inhabituelle, virement interact en avance, etc) c’est une arnaque. Dans les grandes lignes priorisez un appartement lumineux ... l’hiver vient.

La banque

Pour ce qui est de la banque, j’ai utlisé une banque en ligne : REVOLUT. Très pratique, très fiable et simple d’utilisation, elle a l’avantage d’être entierement gratuite et de proposer de nombreuse option sans aucuns frais et avec des délai/taux de changes les plus compétitif. Le dollar canadien a oscillé entre 1,45 pour 1 euros et 1,72. Faites votre change au bon moment.

Santé

Evitez à tout prix de tombé malade ou de vous blesser ! Le système médicale français étant particulierement efficace, nous sommes sans le savoir habitué à un certain standing. Afin de présenter les choses de manière simple : - pas grave, type mal de gorge, grippe, petit/moins petits bobo > Jean Coutu, ou Pharamaprix, deux chaine de grande surface avec de très bon rayons santé. Des infirmiers sont sur place mais n’ont pas le droit de vous toucher, prévoyez un partenaire si besoin. - un peu plus grave, type maladie inconnu > Téléphonez au 811. Info - Santé est ouvert 24h/24h 7/7. Des professionnels pourront vous aiguillier sur à peu prêt tout. - BOBO, évitez autant que vous le pouvez, les cliniques privées, hopitals, medecins car vous allez attente... beaucoups... 5 ou 6h. En revanche l’Udem à un medecin étudiant chez qui, si vous y allez à la bonne heure, il se peut qu’exceptionnelllement vous n’attendiez que 2h. De plus ce médecin peut vous renvoyez à d’autre professionnel de Montréal si vous avez quelques chose de spécifique, gratuitement. En bonus, au sous sol su CEPSUM (le campus sportif universitaire de l’Udem) se trouve plein d’étudiants kiné, psychologue, osthéopathe et bien d’autre. Pour les étudiants, 2 séances au choix sont gratuite. Profitez - en

Téléphone

Ne tentez pas les forfaits canadien a 50CAD/mois. Un forfait comme on a déjà tous a 15 euros avec une option internationnal/Amérique du nord suffit largement. A noter que la couverture Wi - Fi est disponnible dans presque toute la ville.

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