Baticonfort n° 62 Hiver 2012

l’éco-énergie

Le magazine de pour la rénovation et la construction Les atouts du bois magazine belge nouveau en librairie

Prochain n° Special Batibouw - Retour de l’habitat en ville énergies renouvelables consommées intelligemment - N° 63 fév/mars 2013

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Menuiseries intérieures et extérieures

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Isoler pour économiser

Dossier bois

en collaboration avec Bois & Habitat les atouts du bois en construction, les systèmes constructifs en bois, bois & design, le Village des Artisans au salon Bois & Habitat Architecte Julien DEOM © Laurent Brandajs

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Editeur responsable : UNI-MEDIA éditions Rue Monfort , 8 4430 ANS Tél. : 04 224 74 84 Fax : 04 224 23 69 e-mail : f.salmon@uni-media.be www.baticonfort.be www.uni-media.be

Rédaction : Rédactionnel dossiers : Fabienne RICHARD Prépresse : Agence Quadrato communication.

A collaboré à ce numéro, avec nos remerciements, l’asbl Bois & Habitat - Energie & Habitat.

Partenaires web : www.baticonfort.be, www.unimedia.be, organisateurs foires & salons (voir leur site en période de salon).

Vendu 2,50 e.Tondeur Diffusion : dans toutes les librairies de Wallonie et Bruxelles.

Gratuit : Après la vente, sur les salons partenaires Production/technique d’impression : éditions UNI-MEDIA, Françoise Salmon, Responsable de production (f.salmon@uni-media.be).

Conception graphique/mise en page : Quadrato communication - 04 341 25 21

Tirage : 8.000 exemplaires par édition.

Le magazine Baticonfort est contrôlé par le CIM.

sommaire Dossier bois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 à 11 • Les atouts du bois en construction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 et 7 • Bois et urbanisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 • Les systèmes constructifs en bois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8-9 • Bois & Design. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 • Le Village des Artisans au salon Bois & Habitat . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Isolation - Ventilation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 à 23 • Isolation : des normes toujours plus strictes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 • Isoler et rénover en une seule opération. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 • Isolants naturels encore trop méconnus. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 • Rapide, efficace, pas trop chère : la mousse PUR. . . . . . . . . . . . . . . . . 21 • L’isolation, c’est notre métier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 • Joints d’isolation à placer vous-même . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 menuiseries intérieures et extérieures. . . . 25 à 31 • L’escalier est devenu un objet d’art. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 • Menuiserie extérieure : la noblesse du bois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 • Le parquet : élégance, confort et chaleur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 • Le bois revêt les façades et c’est joli !. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Assurance • Bien assurés pour une meilleure qualité de vie. . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Photovoltaïque & énergie • Certificats verts : la crise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 • énergie moins chère : comparez et changez. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 • Le service en plus. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Salle de bain • Nouveautés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40-41 Chauffage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 à 76 • Le chauffage par les murs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 • Le chauffage infrarouge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 • Les circulateurs consomment parfois beaucoup. . . . . . . . . . . . . . . . . 51 • Chauffage : nouveautés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 • Votre cheminée est-elle réglo ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 • Des pellets, d’accord, mais pas n’importe lesquels. . . . . . . . . . . . . . . 61 • Poêles, cheminées, inserts : la magie pour tous. . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 • 20.000 poêles à pellets vendus en 2012. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 • Poêles et inserts : nouveautés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 • Accessoires de cheminées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 • Sécurité et performances : tubage de cheminée. . . . . . . . . . . . . . . . . 75 Sommeil et literie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77 à 79 • Qualité du sommeil, qualité de la vie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77 • Chambre zen, sommeil sans nuages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 • Literie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 travaux Concrétisez vos travaux en une seule démarche. . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 prochain numéro 63 fév/mars 2013 spécial batibouw Retour de l’habitat en ville Les énergies renouvelables consommées intelligemment

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L’énergie gratuite et inépuisable du soleil produit, dans nos forêts, le seul matériau de construction renouvelable : le bois.

L’exploitation de ce matériau naturel ne nécessite qu’une faible dépense énergétique à la production, en comparaison avec celle qu’il faut déployer pour produire les autres matériaux.

Ce n’est pas parce que le Belge a une brique dans le ventre

qu’il n’apprécie pas le bois !

En atteste le succès du salon Bois & Habitat qui vise et contribue à rendre ses lettres de noblesse à ce matériau largement utilisé autrefois, que les matériaux modernes ont relégué à l’arrière-plan pour diverses raisons.

Le bois revient donc en force depuis quelques années, d’abord dans l’aménagement intérieur ensuite comme matériau de construction.

S’il est encore trop peu utilisé en architecture contemporaine, c’est en grande partie parce que ses propriétés, ses avantages et sa disponibilité sur le marché belge sont méconnus du grand public.

Or, le bois possède de nombreux atouts, souvent insoupçonnés, ainsi qu’un indéniable impact positif au niveau de l’environnement.

Le monde de la construction et les fabricants s’y intéressent désormais, créant de nouveaux produits, de nouveaux concepts, de nouvelles formes.

Cette tendance, que l’on trouve chez nous, s’inscrit visiblement dans un mouvement plus général qui se manifeste à travers toute l’Europe.

La France, l’Allemagne, la Suisse, les Pays-Bas et la Grande-Bretagne ont ainsi mis sur pied de gigantesques campagnes de promotion, ce qui a permis de multiplier par dix le nombre de constructions à ossature et parements extérieurs en bois, en quelques années.

© Bart Vercammen baticonfort 62 jan/fév 2013

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Tandis les constructions en bois disparaissaient chez nous, elles connaissaient un grand succès de l’autre côté de l’Atlantique.

dossier bois Au début du 20e siècle, au Canada, 90% des maisons sont à colombages, une technique qui a progressivement évolué vers ce que nous appelons aujourd’hui la construction à ossature bois.

Ce système a été largement utilisé dans toute l’Amérique du Nord à l’époque de la pleine croissance industrielle, car il permettait la construction rapide de maisons confortables.

La Belgique reste totalement à l’écart de ce mouvement, qui touchera aussi largement la Scandinavie et les pays germaniques, et il faudra environ trois siècles pour que la construction en bois obtienne à nouveau droit de cité dans nos contrées…

Architecture Nélis Delincé © Hélène Erpicum

Les atouts du bois en construction Matériau de référence pour l’aménagement intérieur, le bois déborde désormais largement vers l’extérieur avec les terrasses, le bardage, le mobilier de jardin, les clôtures…).

Mieux, d’élément de décoration, le bois est devenu ces dernières années un élément de construction à part entière, et plus seulement pour les charpentes.

Passons en revue les atouts, nombreux, du bois matériau de construction.

Rapidité d’exécution

Le gros œuvre d’une construction en bois est planifié et préfabriqué en atelier, ce qui engendre des économies non négligeables et évite les retards dus aux intempéries. Il peut être réalisé en une ou deux semaines, voire en quelques jours, en cas de préfabrication des éléments de parois en atelier. Cette rapidité d’exécution représente un solide avantage pour le candidat-bâtisseur, lui permettant d’éviter « le double loyer ».

Construction à sec

À l’exception des fondations et des soubassements, les maisons en bois sont des constructions « sèches », au contraire des maisons en maçonnerie où doivent s’évacuer plusieurs milliers de litres d’eau utilisés pour les bétons, les maçonneries, les enduits… Dans une maison en bois, il est donc possible d’emménager rapidement après la fin du chantier et de commencer les travaux de finition sans attendre.

Coût réduit des fondations

En raison de son faible poids, une maison en bois peut être construite sur des terrains dont la capacité portante du sol est limitée. D’autre part, le bois peut offrir des solutions réellement avantageuses en cas d’extension ou de surélévation de bâtiments dont la capacité portante des fondations ou de la structure est faible.

Confort thermique

Grâce à leurs excellentes performances en matière d’isolation thermique, les maisons en bois répondent aux exigences des normes actuelles : elles consomment très peu d’énergie de chauffage et assurent un confort optimal en toutes saisons. L’air présent dans la structure cellulaire du bois lui confère des propriétés proches de celles des isolants thermiques de synthèse. C’est ce qui le rend chaud au toucher, par opposition à d’autres matériaux. Un bâtiment à ossature bois se chauffe facilement, l’air y est sec et sain. La température superficielle des parois, proche de la température de l’air ambiant, offre une réelle sensation de confort.

Confort acoustique

Du fait de sa constitution, le bois procure un confort acoustique : il n’engendre pas de réverbération des sons et possède un important pouvoir d’absorption acoustique des bruits aigus. Les bruits d’im-

pact sur les planchers (talons de chaussures…) sont diminués à l’aide de revêtements absorbants, par exemple des feuilles de liège placées entre le plancher et la structure.

L’atténuation des sons graves nécessite une structure lourde (fine chape de béton) qui, par son inertie, empêche la transmission des bruits.

Matériau sain et respirant

Des recherches scientifiques ont démontré les multiples bienfaits du bois sur la santé : le bien-être lié à un environnement bois réduit le stress et l’agressivité. Le bois, neutre en matière d’électricité statique, permet d’éviter la présence de poussières électriquement chargées et constitue un environnement approprié pour les personnes sujettes aux allergies.

baticonfort 62 jan/fév 2013

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dossier bois Les atouts du bois Facilité de rénovation

Dans une construction à ossature bois, il est aisé et économique de procéder à des transformations : les murs peuvent être démontés sans grande difficulté ni poussière excessive. Il n’est donc pas nécessaire que les occupants quittent l’habitation durant les travaux. De plus, les pièces de bois issues du démontage peuvent être réutilisées.

Résistance et durabilité du matériau bois

Le bois est l’un des matériaux les plus performants et les plus solides : il est léger et sa résistance, par rapport à son poids, est particulièrement remarquable. Le bois est éga-

lement un matériau résistant aux chocs et aux déformations, il amortit les coups et ne subit que des déformations insignifiantes n’affectant pas sa fonction.

Dans de bonnes conditions, le bois a une durée de vie théoriquement illimitée. La pérennité d’un ouvrage est assurée par une bonne exécution des détails, le choix d’une essence appropriée et un taux d’humidité contrôlé (ventilation pour éviter la stagnation ou la pénétration d’humidité).

matières comme les rideaux, les matelas, jamais par la structure du bâtiment. Contrairement à l’idée reçue, le bois a une tenue au feu similaire aux autres matériaux de construction. En cas d’incendie, le bois s’autoprotège en formant une couche de charbon de bois à sa surface, ralentissant l’avancée des flammes. Il gardera ses propriétés mécaniques et structurelles plus longtemps, c’est pourquoi ces structures sont très souvent utilisées pour les bâtiments publics.

Résistance au feu

Éco-bilan positif

Quel que soit le système constructif d’une maison, un incendie est généralement dû à un accident d’utilisation ou à des défauts de techniques vétustes (électricité, gaz). Un incendie se propage par des

La construction en bois est le mode de construction le moins énergivore. Pour produire du bois d’œuvre, l’énergie consommée est 6 à 9 fois moindre que pour produire des briques, et 20 fois moindre que pour pro-

duire du béton.

La réalisation du gros œuvre d’une maison en bois consomme 7 fois moins d’énergie que pour une maison traditionnelle en briques. Une maison unifamiliale en bois représente la charge d’un seul camion de 25 tonnes, alors qu’une maison en briques nécessite 6 camions de même tonnage.

Construire en bois combat l’effet de serre, car, pour se développer, les arbres fixent le CO2 de l’atmosphère et libèrent de l’oxygène. Un hêtre de 25 m recycle près de 20 kg de CO2 par jour pour libérer l’oxygène que respirent 3 personnes en un an.

Pour produire un mètre cube de bois, un arbre capte une tonne de CO2 dans l’atmosphère, en utilise le carbone et en restitue l’oxygène.

Bois et urbanisme Aujourd’hui, de nombreuses constructions en bois sont visibles partout en Wallonie, dans nos villages et même en ville.

Les Carnets d’Architecture Bois, édités chaque année par l’asbl Bois & Habitat, en présentent de multiples exemples d’une grande qualité architecturale.

L’urbanisme a pour vocation principale d’assurer l’intégration harmonieuse des espaces construits dans l’ensemble du paysage urbain ou rural.

L’usage du bois n’échappe pas à cette évolution : de matériau de structure et de charpente dans le passé, il s’affirme également aujourd’hui comme un matériau de bardage capable d’exprimer une architecture à la fois contemporaine, écologique et respectueuse de son contexte.

En matière de construction et d’urbanisme, il est important de distinguer deux éléments : d’une part, le système constructif, d’autre part, les revêtements de parois. Les techniques de construction actuelles permettent de distinguer l’un et l’autre.

Un bâtiment dont la structure est en béton peut être revêtu de bois, tout comme une structure en bois peut être entièrement revêtue de briques, de pierres ou, évidem-

Arch. Julien DEOM ©Laurent Brandajs

ment, d’un bardage en bois.

Techniquement, le choix reste donc libre quant à l’aspect final du bâtiment.

Un permis d’urbanisme est octroyé si les règles urbanistiques en vigueur ainsi que la typologie locale sont respectées. Quel que soit le type de bâtiment et quels que soient les matériaux utilisés, il existe des règles générales : la nouvelle construction doit s’intégrer harmonieusement au milieu du bâti existant, tant au niveau de l’implantation, que des volumes et des façades

(expression architecturale, type et couleur des matériaux utilisés).

Dans le cas où le bois est apparent, ce n’est en général pas le matériau bois lui-même qui constitue un frein, mais bien l’expression architecturale qui lui est associée. La construction en bois devra être conçue de manière à être en phase avec la typologie locale et les dispositions réglementaires en vigueur.

Les qualités esthétiques des solutions techniques qu’offre le bois, et la palette de teintes

disponibles leur donnent une grande faculté d’intégration.

La brique, le béton, la pierre bleue, le grès, le schiste, le crépi, l’ardoise, le verre sont autant de matériaux susceptibles de se combiner avec le bois et de donner des résultats du plus bel effet.

Pour une nouvelle génération de maîtres d’ouvrage et d’architectes, la construction en bois est devenue synonyme d’architecture contemporaine et respectueuse de l’environnement, capable de répondre à de nombreux programmes publics ou privés. La tendance actuelle montre une prise de position moins catégorique de la part des responsables de l’urbanisme vis-à-vis de projets de construction en bois. En régions wallonne et bruxelloise, l’utilisation du bois est admise dans de nombreux cas. Elle permet de réaliser des constructions pouvant parfaitement s’intégrer dans n’importe quel type d’environnement bâti, qu’il soit urbain ou rural. baticonfort 62 jan/fév 2013

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dossier bois Il existe de multiples manières de construire en bois. Au fil du temps, les différents systèmes ont été utilisés avec plus ou moins d’intérêt suivant les lieux et les époques.

Aujourd’hui, quatre systèmes principaux coexistent et sont parfois combinés : il s’agit de l’ossature bois, du bois massif empilé, du système « poteaux/ poutres » et du système « panneaux massifs contrecollés ou contrecloués ».

Ces systèmes sont les plus utilisés en raison de leurs qualités structurales et architecturales. Ils sont aussi mieux connus des architectes et des entrepreneurs et donc plus courants au niveau de l’offre.

Dans tous les cas, ces exécutions nécessitent un savoirfaire professionnel.

Les systèmes constructifs en bois Le système « ossature bois »

Ce système est l’héritier des constructions à colombages.

La structure est constituée d’un squelette d’éléments verticaux (montants) de faible section, disposés à intervalles réguliers selon un entre axes de 40 ou 60 cm, et reliés entre eux par des éléments horizontaux (traverses) de même section, le tout formant des cadres. La distance de placement des montants est déterminée selon les charges à reprendre et les dimensions des éléments standardisés.

Dans ce type de construction, chaque élément constitutif des parois joue un rôle spécifique. La portance est réalisée avec les montants. La stabilité structurelle est assurée par les panneaux de contreventement (contreplaqué ou copeaux collés), par les liens de faîtage (sablière périphérique…) et par les pièces de quincaillerie (tirants, feuillards en acier…).

L’isolation thermique se fait à l’aide d’un isolant placé entre les montants ; côté intérieur, elle est doublée d’un pare-vapeur.

L’étanchéité est assurée par un

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pare-vent (film microperforé) posé du côté extérieur de la paroi.

Le système à ossature bois permet une grande souplesse : il est aisé de remplacer, ajouter ou supprimer des baies et des cloisons. Bien entendu, toute intervention sur les montants de structure doit être rationnelle : pour créer de grandes ouvertures, par exemple, des pièces de renfort doivent être utilisées, et la surface de la paroi doit rester suffisante pour que le bâtiment présente la stabilité requise.

Dotée d’une haute capacité isolante des parois, la construction à ossature bois répond de manière très performante aux exigences thermiques. D’une part, le système à ossature présente, entre les montants, assez d’espace pour incorporer un maximum d’isolant et, d’autre part, le bois lui-même offre d’excellentes propriétés thermiques et réduit les problèmes de pont thermique.

Le passage des équipements, quant à lui, se fait entre les éléments structuraux, parallèlement aux solives ou aux montants, tandis que la charpente, traditionnelle ou constituée de

fermettes préfabriquées, est réalisée de manière à assurer une bonne répartition des charges sur l’ensemble des montants.

Si le système à ossature est aujourd’hui très répandu, c’est sans doute parce qu’il permet une liberté de formes et une souplesse quasi illimitées, et parce qu’il peut être facilement préfabriqué en usine et offre une systématisation économique, un affranchissement par rapport aux conditions climatiques extérieures ainsi qu’une réduction des délais de construction.

Le système « bois massif empilé »

Issu de la technique traditionnelle de la cabane en rondins, le système bois massif empilé consiste en un empilement horizontal de poutres profilées, emboîtées les unes dans les autres en leur extrémité.

La quantité de bois utilisée est donc relativement importante.

Les éléments sont en bois massif ou en bois lamellé-collé.

De plus en plus, les madriers sont assemblés par le biais de rainures et languettes sur leur longueur et de cornières métal-

liques au croisement des éléments. Ces systèmes d’assemblage plus récents sont préférés aux systèmes traditionnels par entailles diverses. L’imbrication des rondins ou madriers aux angles de la construction constitue un point faible de la structure, car ils sont directement exposés aux intempéries. Les protéger par une toiture débordante conférerait au bâtiment un style très typé, inadapté à l’architecture de nos régions.

Le système par empilement horizontal de madriers demande une attention très particulière aux détails, en raison du tassement inévitable des pièces de bois. Ce tassement est dû aux variations d’humidité, au séchage du bois et aux charges appliquées à la structure. Les variations dimensionnelles qui en résultent peuvent aisément être maîtrisées grâce à des précautions d’assemblage prises au cours du chantier : joints ajustables, fixation provisoire des éléments…

Pour contourner le phénomène de tassement, des systèmes de parois en bois massif dans lesquelles les poutres sont disposées verticalement ont été

dossier bois développés. Dans cette configuration, la charge du bâtiment s’applique dans le sens des fibres du bois, qui est plus résistant, et les modifications d’humidité n’entraînent pratiquement pas de mouvements dans la construction.

Les avantages du système bois massif empilé sont sa facilité de mise en œuvre, la rapidité d’exécution et une ambiance intérieure chaleureuse donnée par la texture du bois massif souvent laissé visible. C’est pourquoi ce système est plus accessible aux personnes qui désirent pratiquer l’auto-construction.

L’épaisseur du mur massif varie en général entre 5,6 cm et 9 cm dans nos régions. Les parois peuvent être réalisées de diverses manières, offrant plusieurs possibilités d’aspect et de performances thermiques.

Ainsi, elles peuvent être doublées d’un isolant complémentaire. Dans ce cas, les madriers porteurs seront placés à l’intérieur ou à l’extérieur de la paroi et serviront de finition soit intérieure soit extérieure. Outre les éléments porteurs en bois, les parois seront constituées d’un pare-vapeur, d’une isolation, d’une étanchéité et d’un parement (sur la face opposée aux madriers porteurs).

La stabilité de la construction est obtenue par la solidarisation des parois à angle droit, l’application d’un panneau de contreventement sur l’ossature du plancher et diverses fixations à intervalles réguliers des madriers entre eux.

La forte présence de la paroi réduit les possibilités de transformation et de suppression des parois. La taille des baies est limitée, à moins de prévoir des détails constructifs permettant d’importantes ouvertures.

L’intégration des techniques spéciales (chauffage, plomberie, électricité, domotique, ven-

tilation…) dans les madriers requiert une étude préalable complète, respectueuse des règles d’entaillage et de perforation des éléments de structure afin d’éviter les saignées imprévues et inesthétiques. Chaque madrier sera numéroté et perforé en atelier pour faciliter l’assemblage des éléments sur le chantier.

Le choix du système de charpente est libre : chevrons, fermettes préfabriquées, charpente traditionnelle…

Le système « poteaux et poutres »

Historiquement plus récente sur notre continent, cette troisième méthode consiste à monter une structure comparable à celles des bâtiments en béton. Le squelette poteaux/poutres présente un moins grand nombre de pièces de bois que le système ossature, mais leur section est plus grande.

Dans la plupart des cas, les éléments verticaux ou poteaux sont disposés à intervalles réguliers selon une trame et sont reliés entre eux par des éléments horizontaux ou poutres. La structure principale ainsi formée est appelée « structure primaire ».

Ce système, dont l’exécution peut être rapide, consiste donc à créer une sorte de grande structure ouverte supportant les planchers et la toiture et à créer des parois de remplissage par la suite. Les parois possèdent leur propre structure et sont soit insérées partiellement entre les poteaux, soit placées du côté extérieur ou du côté intérieur.

Ce type de construction offre une grande diversité architecturale : les possibilités de transformation sont illimitées. Outre l’adaptabilité des surfaces ainsi créées, l’avantage réside dans la possibilité d’exprimer architecturalement la dissociation de la

Les systèmes constructifs

structure, des parois et des planchers, en utilisant par exemple de très larges baies vitrées. Des portées importantes peuvent être atteintes, offrant de grands espaces dégagés.

Les poteaux peuvent s’élancer sur la hauteur d’un étage ou sur toute la hauteur du bâtiment. Les poteaux et poutres sont continus ou non, de section simple ou double : ces différentes configurations permettent de nombreux types d’assemblages.

La stabilité de la construction est obtenue par l’ancrage des poteaux aux fondations, par des assemblages et des dispositifs de contreventement : tirants en acier, poutres treillis ou parois elles-mêmes.

La découpe des arêtes ainsi que l’assemblage des poutres et poteaux doit se faire de façon rigoureuse et soignée, car la structure demeure souvent apparente. Ce système exige également des précautions dans le choix de la jonction avec les éléments de remplissage, pleins ou vitrés.

La manipulation des pièces de grandes dimensions nécessite souvent l’utilisation d’engins de levage.

Le système « panneaux massifs contrecollés ou contrecloués »

Les constructions en bois modernes sont de moins en moins édifiées en bois massif: en effet, il est techniquement difficile et relativement coûteux d’obtenir, en bois massif et en grandes sections, des éléments de structure secs, calibrés et exempts de défauts. C’est pourquoi de plus en plus de constructeurs font désormais appel aux bois structuraux de dernière génération. Nous pré-

sentons ici deux systèmes – très proches – qui connaissent un succès croissant : les panneaux massifs contrecollés et les panneaux contrecloués.

Ces deux types de panneaux possèdent, à peu de choses près, les mêmes caractéristiques. La différence essentielle est que, pour le contrecloué, les différentes épaisseurs de planches ne sont pas collées mais clouées entre elles à l’aide de clous en aluminium. Le contrecloué ne peut pas, à l’heure actuelle, être utilisé en plancher.

Le bois contrecollé est un produit élaboré à partir de lames de bois (généralement de l’épicéa), collées entre elles à plis croisés, à l’aide d’une colle polyuréthane Purbond HB 110 sans solvant. Les panneaux massifs contrecollés sont utilisés pour les murs porteurs, la toiture et les planchers en étage. Ils sont constitués de 3, 5 ou 7 couches en fonction de leur utilisation, et peuvent être fabriqués en grandes dimensions, jusqu’à 16,50 m de longueur par 2,95 m de hauteur. Les épaisseurs varient de 13 à 40 mm.

Les performances mécaniques et la rigidité de ces systèmes sont considérablement augmentées en comparaison avec le bois massif, car les charges ne sont pas reprises uniquement dans un sens, mais dans tous les sens.

Ils assurent également une résistance au feu élevée.

Grâce à ces systèmes, la mise hors d’eau d’un bâtiment à un ou plusieurs étages peut se faire encore plus rapidement et permettre une intervention immédiate des autres corps de métier.

La structure accepte ensuite des revêtements de façades variés: bardages bois horizontaux ou verticaux, bardages dérivés du bois, panneaux bois, métalliques ou composites, enduits extérieurs sur isolants (RPE), bardages céramique ou verre, etc.

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dossier bois Si le design a longtemps fait la part belle au métal ainsi qu’aux matériaux de synthèse, le bois, quant à lui, pâtissait d’une image rustique. Mais les mentalités évoluent et le bois jouit désormais des faveurs des designers.

Le bois et le design seront largement mis à l’honneur à l’occasion du Salon Bois & Habitat au cours duquel deux expositions permettront aux visiteurs de constater que le bois rime parfaitement avec modernité sous l’influence de créateurs qui n’ont pas peur de travailler ce matériau dans une optique contemporaine.

Admon Wajnblum, responsable de la communication du Salon Bois & Habitat

© Marina Bautier

© Artexis Expo

Bois & Design : faits pour s’entendre Simplicité des formes, lignes épurées caractérisent le travail des créateurs de mobilier contemporain en bois. Le bois est un matériau vivant qui se travaille facilement, offre aux artisans d’innombrables possibilités formelles et leur permet de jouer avec la finition, les formes, les couleurs, la texture…

Mais au-delà des questions liées aux techniques et à la conception, l’engouement pour le design bois s’explique aussi – et surtout – par le matériau lui-même. De fait, le bois est chaleureux et éminemment vivant. On fait un coup, on renverse quelque chose dessus, le bois vieillira avec, changera de teinte mais sans que cela nuise à l’ensemble. Ce supplément d’âme que le bois confère aux formes et aux objets séduit un public qui dépasse largement les amateurs de design ; tout le monde peut être touché par un meuble ou un objet en bois.

Une décennie de design à Bois & Habitat

Cette année, à l’occasion de sa 15e édition (du 22 au 25 mars 2013), le Salon Bois & Habitat organise deux grandes exposi-

tions entièrement consacrées au « design bois ».

La première prendra la forme d’une grande rétrospective en mettant à l’honneur les designers qui sont passés par le Concours Design & Bois (organisé de 2004 à 2010) avant de devenir des créateurs reconnus au niveau international.

Si Milan, Londres, Paris ou encore la Biennale Intérieur de Courtrai constituent désormais leur ordinaire, il est réjouissant de constater qu’aucun d’entre eux n’a oublié que le Salon Bois & Habitat a contribué à leur offrir une première vitrine pour mettre leur talent en pleine lumière.

Organisée en partenariat avec le magazine Déco Idées, cette exposition réunira les créations de designers belges qui ont fait leur gamme au Salon Bois & Habitat.

Les visiteurs pourront également découvrir une autre exposition design intitulée : Wooderfull World & Supertextiles. Conçue par G.T.T.I. (Guichet Textile Transfrontalier pour l’Innovation) et mise à disposition de Bois & Habitat par Fedustria (la Fédération du Textile, du Bois et de l’Ameublement), cette exposition présentera des

échantillons de matières et de produits finis (mode, mobilier, objets de décoration, produits du quotidien...) pour faire découvrir les multiples facettes de l’innovation technique, technologique et du design

dans les secteurs du bois et du textile.

Le résultat est un vrai mélange des genres dans lequel industriel et créateur se rencontrent et exposent dans un même espace.

Le bois entre tradition et modernité Si le salon Bois & Habitat a permis de faire prendre conscience au grand public, mais également aux architectes et entrepreneurs, que la construction bois pouvait parfaitement rimer avec haute technologie, il n’en reste pas moins que, dans de nombreux domaines (ébénisterie, charpenterie, menuiserie, parqueterie, restauration du patrimoine, etc.), c’est la main de l’artisan qui fait la différence. Si on les voit peu et si leur voix peine à se faire entendre à une époque où seule compte le volume et la rentabilité, ils continuent à exercer leur art et à transmettre aux plus jeunes l’héritage inestimable dont ils sont les dépositaires et qui constitue souvent les bases du métier ; un savoir qui a malheureusement, tendance à se perdre.

C’est pourquoi les organisateurs ont désiré (re)mettre les artisans du bois à l’honneur en implantant un « Village des artisans » au sein du salon.

Un « Village des Artisans » au Salon Bois & Habitat En partenariat avec le Centre des métiers du patrimoine de la Paix-Dieu, les Compagnons du Devoir, l’Union des Artisans du Patrimoine et le Centre de Formation Bois, le salon Bois & Habitat érigera un Village des Artisans en plein cœur de Namur Expo où, entre espaces d’informations et espaces de démonstrations, les visiteurs pourront prendre connaissance de l’incroyable diversité des métiers du bois et de la grande maîtrise que réclame le travail des artisans.

Désireux de faire connaître leurs métiers, de partager leur passion et, pourquoi pas, de susciter des vocations, les Compagnons et l’Union des Artisans du patrimoine délègueront certains de leurs membres pour montrer aux visiteurs comment, au 21e siècle, le travail du bois parvient à conjuguer passé, présent et futur. baticonfort 62 jan/fév 2013

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BATIMOI surfe sur la voie du succès et de la confiance depuis l’excellent résultat engendré lors de sa dernière édition en janvier 2012. Souvenez-vous : le Salon avait attiré 15 % d’exposants supplémentaires et 20.500 visiteurs. L’enquête de satisfaction est venue confirmer l’intérêt des visiteurs pour ce rendez-vous de proximité consacré à la maison : 61 % viennent avec des projets en cours tandis que 13 % y concrétisent leur achat.

BATIMOI se tiendra dans 5 palais du WEX, au lieu de 4 précédemment. Et d’innover, avec l’ouverture du nouveau palais 6 du WEX dédié à la thématique du bois dans la construction-rénovation.

Nouveauté 2013 : le bois à l’honneur Doté d’un environnement en ossature bois, le Palais 6 du WEX inauguré en février 2012 accueillera tout logiquement la nouvelle thématique du Salon : le bois.

L’accent sera mis sur les innovations offertes par le bois ainsi que sur son utilisation accrue et réfléchie dans les différents métiers de la construction. Le développement de

Batimoi 2013, on attend 200 exposants

ce concept répond en ce sens aux attentes formulées par 72 % des visiteurs, présents à Batimoi 2012, pour les nouvelles normes énergétiques et les techniques de construction les plus récentes.

La réaction des constructeurs bois par rapport au développement de cette nouvelle thématique au sein de BATIMOI est très positive au point qu’une douzaine de sociétés, parmi les plus renommées, ont déjà confirmé leur présence.

Voici quelques-uns des secteurs clés que l’on pourra retrouver au sein du Palais 6 : Construction, rénovation, décoration, isolation bois, énergies renouvelables, présence du Cluster Ecoconstruction avec plusieurs de ses membres réunis au sein d’un « village » de 130 m2, présence du SPW, Service Public de Wallonie, pour la présentation des Eco-packs, qui depuis le 1er mai 2012 permettent de financer des travaux durables...

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Depuis le 1er juin 2012, les exigences d’isolation en Wallonie ont été renforcées : si le niveau global K reste inchangé, les normes d’isolation des parois ont été revues à la baisse. Elles le seront encore en 2014, mais ce n’est pas tout : à partir de 2017, elles rejoindront la « norme passive » et, en 2019, les habitations devront s’aligner sur la norme « zéro énergie ». Il s’agit donc de ne pas être à la traîne !

im

e

isolation

Isolation

des normes toujours plus strictes !

Pour réduire notre consommation d’énergie, les régions ont renforcé leur réglementation PEB (Performance Énergétique des Bâtiments) afin de la rendre conforme aux normes européennes relatives à la performance énergétique et au climat intérieur des bâtiments.

La réglementation PEB s’applique à l’ensemble des bâtiments (chauffés et/ou climatisés) pour tous les travaux de construction, reconstruction et transformation nécessitant l’obtention d’un permis d’urbanisme.

Concrètement, cela signifie que

les bâtiments doivent atteindre un certain niveau d’isolation thermique et de prestation énergétique. Le score que la maison obtient est exprimé au moyen de deux chiffres : la valeur K et le niveau E. Une ventilation adéquate et con­trôlée est également nécessaire.

Norme PEB : trois types d’exigences 1. Exigences strictes en matière d’isolation thermique (valeurs K et U maximales).

La valeur K est une valeur

d’isolation globale du bâtiment : elle est actuellement de 40. De plus, chaque élément de construction est évalué séparément : ces performances sont exprimées par des valeurs U. Plus les valeurs K et U sont basses, meilleure est l’isolation.

2. Niveau E : prestations énergétiques Il s’agit de la consommation d’énergie totale d’un bâtiment : éclairage, chauffage, eau chaude. Ce niveau tient compte de la compacité du bâtiment, de son isolation, de l’étanchéité à l’air, de la production d’éner-

gie, du type de ventilation, de la protection solaire, etc. Plus cette valeur est basse, meilleur est le bilan énergétique.

3. Exigences en matière de ventilation et de climat intérieur La réglementation PEB impose un débit minimum d’alimentation, de transfert ou d’évacuation d’air selon les types de locaux : séjour, cuisine, salle de bain, chambres.

évolution des valeurs Umax en W/m2K selon les types de parois : valeurs U maximales admissibles ou valeurs R minimales à réaliser éléments de construction Fenêtres et parois translucides Vitrages

Wallonie

Bruxelles

Flandre

2012

2014

2012*

2012

2014

2,20 1,30

1,80 1,10

2,50 1,60

2,20 1,30

1,80 1,10

Toitures et plafonds

0.27

0.24

0.30

0.27

0.24

Murs extérieurs

0.32

0.24

0.40

0.32

0.24

Murs mitoyens

1.00

1.00

1.00

1.00

1.00

Sols en contact avec l’environnement extérieur

0,35

0.30

0.60

0.35

0.30

Autres sols

0.35

0.30

0.40

0.35

0.30

Portes et portes de garage

2,20

2,00

-

2,20

2,00

La valeur U indique la quantité de chaleur perdue par un élément de construction par seconde et par mètre carré, à une différence de température de 1°C entre l’intérieur et l’extérieur. *Bruxelles opte pour le standard des maisons passives à partir de 2015.

baticonfort 62 jan/fév 2013

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Isoler les murs par l’extérieur comporte divers avantages en plus des économies d’énergie : c’est également une occasion de rénover sa façade et de donner un nouveau cachet à sa maison.

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isolation

L’isolation thermique de l’extérieur d’un bâtiment existant permet de réduire ses besoins en énergie et augmente son confort intérieur.

En outre, elle offre une bonne occasion de rafraîchir et d’embellir sa façade. Attention, l’isolation de façade nécessite un permis d’urbanisme.

Isoler et rénover en une seule opération Les avantages d’une isolation extérieure sont divers : pas de perte au niveau du volume intérieur de la maison, pas de nuisances internes durant les travaux, correction des irrégularités des murs, suppression des ponts thermiques.

De plus, les risques de condensation sont quasi nuls, les murs restent bien secs et sont protégés des moisissures.

En outre, l’isolation extérieure augmente la capacité d’accumulation des murs et leur inertie thermique : la maison conserve donc sa chaleur plus longtemps en hiver et sa fraîcheur en été.

Enfin, ce qui est non négligeable, elle apporte à votre habitation une nouvelle esthétique.

L’inconvénient de ce type d’isolation est son prix et la nécessité d’obtenir l’autorisation de l’urbanisme communal après enquête auprès du voisinage.

L’isolation à l’aide d’un enduit

Ce type d’isolation extérieure est constitué d’un système complet comprenant un matériau isolant, une couche de mortier d’armature et un

enduit décoratif. Les matériaux sont conçus pour être associés entre eux et leur mise en œuvre demande des connaissances techniques particulières. Ce système est appelé ETICS (External Thermal Insulation Composite Systems).

Cette technique, qui a vu le jour en Allemagne, est de plus en plus souvent utilisée en Belgique.

Ce système d’isolation constitue une protection de la façade de longue durée : il doit être insensible à la formation de fissures, être étanche à l’air et présenter une bonne perméabilité à la vapeur afin que l’humidité intérieure puisse s’échapper vers l’extérieur.

Le matériau isolant est soit du polystyrène expansé, soit de la laine minérale.

L’enduit se compose d’un enduit de base armé et d’un enduit de finition qui peut recevoir une couche de peinture.

Des produits de prétraitement ou de finition favorisant l’adhérence ou homogénéisant la couleur peuvent être utilisés en complément.

La réalisation par une entreprise spécialisée garantit un bon traitement préalable et

une pose parfaite du système, ce qui prévient les problèmes de gonflement ou de décollement, la fissuration et les salissures dues aux coulées d’eau et à la formation de mousse.

L’isolation à l’aide de panneaux

Il s’agit d’un revêtement de bois sur une structure adaptée. Le système complet se compose d’un pare-vapeur, d’un matériau isolant étanche à l’humidité et à l’air, mais perméable à la vapeur, d’un creux d’air ventilé réalisé par un lattis destiné à recevoir le revêtement final.

Cette technique demande une grande expérience tant pour éviter la formation de ponts thermiques, que pour réaliser l’étanchéité à l’air tout en permettant la circulation de l’air, et pour le drainage des eaux de pluie.

Panneaux isolants préfabriqués

Il est également possible de poser des panneaux isolants prêts à l’emploi en polyuréthane ou en polystyrène qui seront ensuite revêtus de plaquettes de finition. Condition

essentielle : les murs doivent être bien droits.

Les panneaux sont fixés sur des profilés en aluminium, le système d’assemblage excluant les risques de ponts thermiques.

Les plaquettes ou briquettes seront ensuite fixées ou collées sur les panneaux isolants. Elles sont composées pour l’essentiel de matières premières minérales et sont très résistantes aux intempéries et aux charges mécaniques, perméables à la diffusion de vapeur d’eau, faciles d’entretien et résistantes aux UV. Cette technique présente l’avantage d’être simple et rapide. Le matériau est léger et la gamme de couleurs est large.

En rénovation, l’épaisseur minimale donnant droit aux avantages financiers est de 8 cm. Pour les nouvelles constructions, l’épaisseur est de 10 à 12 cm et de 16 à 20 cm pour une maison basse énergie.

Le crépi

On peut aussi envisager la pose d’un cimentage, puis d’un crépi qui recevra une couche de peinture. Nous y consacrerons un article dans un prochain numéro. baticonfort 62 jan/fév 2013

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Choisir un isolant naturel, c’est choisir un matériau renouvelable à faible « énergie grise » et donc à faible impact environnemental, de la fabrication à la pose, en passant par le transport.

Ceci est une chose, mais, contrairement à certaines idées reçues, les isolants naturels possèdent des qualités isolantes thermiques et acoustiques très performantes et, surtout, ils régulent parfaitement l’humidité et la chaleur des espaces à vivre, contribuant ainsi à rendre l’atmosphère plus saine.

Les isolants naturels restent malheureusement plus chers à l’achat vu leur « relative » confidentialité, c’est pourquoi les régions accordent un supplément de prime de 3 euros/ m2 en cas d’utilisation d’un matériau d’isolation naturel.

La laine de mouton

La laine de mouton possède des qualités d’isolation thermique et de régulation exceptionnelles liées à la constitution particulière de ses fibres.

Elle peut absorber 30 % d’humidité sans que cela nuise à ses propriétés isolantes et retrouver tout son gonflant lorsqu’elle est sèche.

C’est l’un des matériaux isolants les plus performants avec un coefficient de conductivité thermique exceptionnel de l = 0,032 environ, comme le liège, et supérieur aux laines minérales (laine de verre = 0,040).

La kératine contenue dans la laine de mouton absorbe et élimine certains gaz toxiques contenus dans l’air ambiant.

Cet isolant est léger (20 kg/ m2) et facile à poser : il peut être compressé en cas de charpentes irrégulières. À noter que la pose de laine en rouleaux comme isolant de toiture s’effectue sans pare-vapeur. Elle peut aussi être utilisée sous les parquets pour diminuer les bruits d’impact de talons.

isolation

Un simple canevas placé au cœur de l’épaisseur de l’isolant lui assure une stabilité totale : les fibres sont replacées debout comme sur le dos du mouton.

Contrairement aux autres isolants en rouleaux, il se découpe à la main, comme du tissu, et les rongeurs peuvent difficilement y creuser des galeries.

La laine de mouton est la seule fibre naturelle qui ne soit pas inflammable. Sa solidité permet d’ôter l’isolant et de le réutiliser sans l’abîmer : il a une durée de vie de plus de 30 ans.

La cellulose

La fibre de cellulose est un produit 100 % naturel : elle ne pollue pas, n’est pas irritante ni toxique. Les matériaux isolants à base de cellulose sont généralement fabriqués à partir de journaux recyclés : le papier est simplement moulu et mélangé à du sel de bore pour le rendre ignifuge et résistant aux insectes.

Le matériau isolant se présente sous forme de flocons en vrac, ou sous forme de panneaux semi-rigides. La cellulose peut également être mélangée avec du gypse naturel (ou pierre à plâtre) pour former des panneaux d’agencement pour les sols ou les cloisons.

La cellulose permet d’économiser 26,4% d’énergie par rapport à la laine de verre. Ainsi, une

Isolants naturels encore trop méconnus maison isolée avec de la cellulose est plus chaude en hiver de 4 °C après une période de 9 heures sans chauffage, et a une capacité thermique en été de 8 fois supérieure, mettant la maison à l’abri des surchauffes estivales.

La cellulose possède de grandes qualités : elle respire, absorbe, protège des bruits et retarde les incendies. Elle permet aussi de corriger des erreurs de construction. On l’utilise pour l’isolation des murs et des combles. Pour l’isolation des murs, la cellulose est injectée sous pression afin de remplir complètement la cavité et de combler tous les vides : elle assure ainsi un isolant continu, sans joint, et une grande étanchéité et une excellente isolation acoustique.

Son énergie grise est de 6 kWh/ m3 alors que celle du poly­styrène est d’environ 850 kWh/m3 !

de conifères de nos forêts.

Les fibres sont humidifiées et ensuite pressées et séchées pour donner des produits à fibres tendres ou dures. La fabrication se fait sans agent ignifugé, sans fongicide et sans pesticide et la lignine naturelle du bois sert de liant.

Les fibres de bois se présentent en panneaux semi-rigides.

Souples et faciles à poser, les fibres de bois contiennent une multitude de cellules d’air et constituent de ce fait de bons isolants thermiques et acoustiques. Elles sont utilisées pour l’isolation des toitures par l’intérieur, des cloisons intérieures et des planchers. Elles peuvent être recyclées, compostées ou réutilisées à des fins thermiques durant des décennies.

Les panneaux durs sont également utiles en construction : faciles à poser en revêtement mural sur ossature bois, ils peuvent ensuite être peints.

Les fibres de bois

Plus d’infos : www.ecobati.be www.consoglobe.com Bruxelles Environnement Info-fiches bâtiment durable

Les produits d’isolation en fibres de bois sont issus des dosses, délignures et copeaux

baticonfort 62 jan/fév 2013

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Nous utilisons les polyuréthanes tous les jours : dans le mobilier, les voitures, dans nos activités sportives et nos loisirs. Ils sont polyvalents, modernes, sans danger et recyclables. En construction ou en rénovation, ils interviennent en tant que matériau d’isolation.

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La mousse de polyuréthane est une substance chimique. Le matériau isolant est obtenu par la réaction de deux composants chimiques qui doivent être étroitement mélangés à l’aide d’appareils spécifiques. Le mélange est ensuite finement pulvérisé sur le support : toiture, sol, mur intérieur, vide ventilé, plancher de combles.

Son action est double : amélioration notable de l’isolation thermique et réduction de la perméabilité à l’air.

Rapide, efficace, pas trop chère : la mousse PUR Cette technique d’isolation n’est pas très exigeante en préparation : il suffit juste que le support soit propre et sec, et que la température soit supérieure à 5 °C. Par contre, c’est un métier qui ne s’improvise pas : elle doit être réalisée par des professionnels. En effet, la qualité de la mousse dépend grandement de la maîtrise et de la connaissance de la machine et du produit, ainsi que de la technique de projection.

Avantages

La projection de mousse polyuréthane offre une isolation thermique monolithique à très haut pouvoir isolant et sans ponts thermiques.

Par rapport aux autres formes d’isolation, elle est nettement moins encombrante, ce qui permet aux architectes et aux concepteurs d’optimiser l’utilisation des espaces intérieurs.

La mousse en polyuréthane projeté est particulièrement polyvalente et efficace pour la rénovation de bâtiments anciens.

Pendant l’expansion, le mélange passe par une phase très collante qui lui permet de s’accrocher très solidement

sur le support. Il est ensuite possible d’appliquer plusieurs couches au cours de la même journée pour obtenir l’épaisseur requise.

Performances

La mousse PUR répond aux normes internationales tant au niveau de l’isolation qu’au niveau de ses caractéristiques physiomécaniques.

La valeur du coefficient de conductivité thermique de la mousse (l) dépend de l’épaisseur de la couche : 0,027 W/ (m.K) si < 8 cm, 0,026 W/ (m.K) jusqu’à 12 cm et 0,025 W/(m.K) au-delà de 12 cm.

Le matériau supporte des températures de -50 à +110 °C en continu et peut supporter des pointes jusqu’à 250 °C. Il offre une résistance à la chaleur par radiation et anti-flammes conforme à la norme DIN 5102.

Le polyuréthane projeté est agréé par les pouvoirs publics compétents en matière de prime à l’isolation. Ce matériau est garanti sans CFC et sans HCFC. On peut aussi parler d’un matériau durable, qui ne perd pas son pouvoir isolant. Ainsi,

le polyuréthane peut être recyclé après une démolition.

Différentes méthodes de recyclage peuvent être adoptées : le broyage et la réutilisation ou le pressage en présence d’un adhésif ou liant. La mousse de polyuréthane est souvent transformée en thibaude (sous tapis antidérapant).

Une autre option est la valorisation énergétique : une tonne de polyuréthane contient en effet la même quantité d’énergie qu’une tonne de charbon.

Isolation de la toiture

L’isolation de la toiture par projection de mousse polyuréthane sous les versants est actuellement l’une des meilleures solutions en termes de coût et de rendement. Également pour les toitures plates.

La procédure est rapide, l’isolant adhère immédiatement aux surfaces et sèche en quelques secondes.

Isolation des sols

Ici aussi, l’isolation par polyuréthane projeté offre ses excellentes qualités thermiques :

couche en un seul bloc anti ponts thermiques, et inutile d’aplanir le sol avant puisque la mousse s’adapte aux aspérités et anfractuosités du sol.

Isolation des murs creux

L’isolation des murs creux est une priorité afin d’augmenter la performance énergétique d’un bâtiment.

Le matériau isolant est injecté à l’état liquide dans la coulisse, c’est-à-dire l’espace situé entre le bloc et la brique de parement. La réaction prend environ une minute, ce qui permet à la mousse, lors de sa formation, de remplir toutes les cavités de la coulisse et d’assurer une isolation sans ponts thermiques. La mousse est imperméable à l’eau, mais perméable à la vapeur.

Quand vous comparez les coûts, n’oubliez pas de penser en termes de rentabilité.

En effet, un système plus cher offre souvent des économies et un confort supérieurs et se rembourse parfois plus vite qu’un système moins coûteux.

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Une maison mal isolée est une véritable catastrophe avec des déperditions de chaleur qui s’additionnent… En moyenne, on peut dire que 30 % de la chaleur s’échappe par le toit, et autant par les murs, 22 % par les sols et 18 % par les fenêtres, auxquels il faut ajouter 12 % par l’aération.

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Thermilux vous offre la chaleur et le confort !

Thermilux dispose d’une solide expérience en isolation qu’elle soit thermique ou acoustique et collabore avec un bureau d’expertises réputé pour le contrôle par thermographie de l’homogénéité de ses travaux d’isolation (Bureau E&T, Pétange, G-DL).

Afin de vous offrir, depuis 1977, la meilleure solution technique avec l’assurance d’une garantie décennale, le respect des normes en vigueur, des équipements de dernière génération et des techniciens expérimentés.

L’entreprise compte pas moins de 35.000 habitations isolées à ce jour.

Et cela, c’est la garantie d’un travail de qualité.

Thermilux : l’isolation, c’est notre métier !

Isolation par injection

Pour l’isolation par injection, Thermilux a choisi PURFOAM PLUS®, une mousse de polyuréthane à cellules ouvertes sans CFC, un produit inodore, d’une qualité exceptionnelle pouvant se prévaloir d’une longue expérience dans l’isolation des murs creux.

Le produit liquide est injecté entre les parois du double mur et se répand dans tous les recoins mieux que n’importe quel produit similaire parce qu’il reste liquide pendant une minute alors que les autres ne le restent que pendant 25 secondes.

De plus, son coefficient de transmission de chaleur est extrêmement bas et le reste durant de nombreuses années.

PURFOAM PLUS® est résistant aux températures élevées ou très basses, elle ne pourrit pas, ne moisit pas et n’attire pas les rongeurs. Lorsqu’elle est durcie, la mousse est complètement indéformable, elle ne se tasse pas, même si elle est soumise à de fortes vibrations.

Bien sûr, elle n’attaque pas les matériaux de construction.

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Comment agit cet excellent produit isolant ?

L’injection de PURFOAM PLUS® dans les murs creux peut améliorer leur facteur d’isolation (K) de 75%. Comment ?

La mousse bloque l’air de la cavité dans des millions de petites cellules. Le mur intérieur reste alors beaucoup plus chaud et agit comme un accumulateur de chaleur, avec comme résultat direct une forte réduction de votre consommation en chauffage et une sensation de grand confort en hiver comme en été.

Grâce à sa structure particulière, PURFOAM PLUS® réduit très fortement les risques de pénétration d’eau tout en permettant aux murs de respirer par sa perméabilité aux gaz et à la vapeur d’eau.

Pour les nouvelles constructions, cette isolation remarquable permet de réduire la capacité de l’installation de chauffage et donc de réaliser une économie sur cet investissement.

Mise en œuvre façon Thermilux Après avoir été contrôlée en laboratoire, PURFOAM PLUS® est injectée sur site à l’aide

d’équipements spécifiques et selon une méthode qui assure un remplissage parfait de la maçonnerie. Tous les vides, toutes les fissures – notamment sur le pourtour des châssis de portes et fenêtres – sont automatiquement colmatés.

Après l’injection, Thermilux fait vérifier la bonne expansion du produit par caméra thermique : vous êtes ainsi assuré d’un résultat et d’une efficacité optimum.

joint, sans raccord, monolithique garantissant une suppression totale des ponts thermiques.

Efficacité : application possible dans des endroits difficiles d’accès ou sur des surfaces irrégulières.

Rapidité : 500 m2 peuvent être appliqués par jour et par équipe. Le séchage est rapide et il n’y a pas absorption de l’humidité de la chape qui s’en trouve dès lors renforcée.

Une solution durable, stable, imputrescible, non toxique, étanche à l’eau, d’une excellente résistance au tassement et à l’arrachement, et d’un coût très compétitif puisqu’on évite la chape d’égalisation ! Elle est idéale pour les systèmes de chauffage par le sol.

Isolation par projection

Pour l’isolation des sols et des chapes, Thermilux utilise la technique de la projection d’une mousse polyuréthane ayant une capacité isolante par cm d’épaisseur supérieure à celle de n’importe quel autre matériau. Une projection sans

Thermilux Noville 443 6600 Bastogne Tél: 061 21 28 12 Fax: 061 21 36 87 Mail: thermilux@skynet.be www.thermilux.be

Une grande partie de la chaleur ambiante d’une maison s’échappe par les fissures des portes et fenêtres : placer des joints d’isolation est un travail relativement simple que vous pouvez faire vous-même en peu de temps !

isolation Si vous passez la main le long des bords des portes et des fenêtres et que vous sentez un léger courant d’air froid, il conviendrait effectivement de réduire une partie de votre consommation d’énergie en plaçant des joints isolants au niveau des portes et des fenêtres. Encore faut-il les placer correctement pour qu’ils soient efficaces.

Joints d’isolation à placer vous-même

En premier lieu, déterminez les éléments que vous allez équiper de joints isolants, mais laissez libres les espaces sous les portes intérieures, car ils contribuent à la bonne circulation de l’air dans la maison, et la ventilation est d’autant plus importante dans une habitation bien isolée.

On placera un joint isolant au niveau des fenêtres, des portes extérieures et des portes donnant accès à des pièces non chauffées comme le garage ou la buanderie.

Bien choisir son matériel

Pour les portes et fenêtres, choisissez un matériau flexible autocollant ou des joints isolants.

Pour le bas de porte, il existe des profilés spéciaux : le type le plus simple est un profilé en aluminium ou en PVC garni d’une bande de caoutchouc souple ou d’une brosse en nylon. Le boudin de calfeutrage, version moderne, est fixé sur un profilé en PVC qui

se visse au bas de la porte, il est lavable en machine. Un peu plus sophistiqué, la plinthe automatique de porte : il s’agit d’une lame métallique mobile prolongée par une lamelle de caoutchouc, et qui se rabat quand la porte est fermée pour assurer l’étanchéité.

Vous trouverez dans les magasins de bricolage des joints en silicone, en caoutchouc ou en mousse, à fixer sur la battée ou le chambranle. Les joints en silicone sont transparents et très résistants (10 ans). Le caoutchouc a une durée de vie plus limitée (8 ans), mais il a l’avantage d’être disponible dans une plus large gamme d’épaisseurs. Les joints en mousse coûtent moins cher, mais durent moins longtemps : ils se tassent et s’aplatissent au fil du temps. À noter que les joints pour le chambranle ou la battée sont de formes différentes : ils sont disponibles dans des profils en D, E ou P et ont la forme de la lettre. Le D comprend un renflement comprimable grâce à son cousin d’air, le E est surtout

utilisé pour ses petites rainures et le P pour combler une cavité ayant un interstice très fin.

Préparation du travail

Mesurez précisément les largeurs et longueurs des éléments et déterminez bien de quelle manière vous devez placer vos joints, car aucune fissure ne pourra plus exister lorsque la porte ou la fenêtre sera fermée.

Nettoyez soigneusement les emplacements avec de l’eau chaude et du détergent pour les dégraisser parfaitement, puis laissez bien sécher avant d’appliquer le joint.

Placement des joints

Lisez toutes les instructions du fabricant, puis découpez vos joints à la taille mesurée. La plupart des joints sont autocollants et s’appliquent aisément.

Enlevez une partie du film de protection et commencez à coller le joint en exerçant une

pression ferme, continuez par étapes. Vérifiez ensuite si la porte ou la fenêtre s’ouvre et se ferme sans problème. Pour éviter de tomber trop court, vous pouvez placer le joint sans le couper, et le faire quand il est collé à l’aide d’un cutter.

Les joints munis de brosse comprennent des perforations pour les vis : vérifiez qu’un trou se trouve bien à chaque extrémité, sinon, forez-en un afin que le joint soit correctement fixé aux extrémités.

La silicone est particulièrement intéressante lorsque la battée ou la partie à calfeutrer comporte des irrégularités. Elle doit être couverte d’un film parfois appelé film de démoulage.

On ferme ensuite la fenêtre, ce qui comprime le joint selon le volume nécessaire. Lorsque le joint est complètement sec, vous pouvez ôter l’excédent à l’aide d’un cutter. Si vous utilisez de la silicone ou de la mousse, attendez que le produit soit complètement séché avant de le toucher.

Sourcs : Livios - Brico

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

A tous les candidats bâtisseurs, que ce soit pour une nouvelle construction ou pour une rénovation KÖMMERLING Belgique tient à préciser par ce présent communiqué, qu’elle n’assure aucun suivi, ni technique, ni commercial, ni de service après-vente, à toutes demandes concernant des fenêtres en PVC Kömmerling fabriquées en dehors des frontières belges.

N’ayant aucun droit de regard et de contrôle sur ce qui se fait en dehors de la Belgique et, vu le nombre croissant de problèmes en tous genres engendrés par cette situation, KÖMMERLING Belgique n’offre ses services que si la demande porte sur des fenêtres fabriquées par un de ses fabricants belges agréés Kömmerling Select.

Afin d’assurer une traçabilité, une pastille numérotée sera placée sur chaque châssis fabriqué en Belgique, gage d’authenticité et de 101

garantie. Chaque fabricant belge agréé aura son propre numéro qui lui sera attribué et référencé par Kömmerling Belgique.

KÖMMERLING IS A MEMBER OF

Fabrication Belge Garantie

Vous trouverez sur www.kommerling.be une liste complète des seules entreprises professionnelles effectivement agréées.

Aujourd’hui, l’escalier représente bien plus qu’un simple moyen de gravir les étages.

L’escalier moderne se veut élégant et esthétique, associant harmonieusement matériaux et jeux de lumière.

menuiserie intérieure À l’heure actuelle, l’escalier ne se fond plus dans le décor : au contraire, il est « sorti de sa cage » et occupe désormais une place privilégiée dans nos intérieurs modernes.

Qu’il soit de style traditionnel ou contemporain, l’escalier est devenu un élément architectural à part entière. C’est pourquoi les fabricants proposent aujourd’hui des escaliers dans des formes et des matériaux nombreux et variés : il y en a pour tous les goûts, tous les styles et toutes les bourses.

© MEV sprl - Gembloux

L’escalier est devenu un objet d’art

Le bois, matériau intemporel

Le bois demeure le matériau le plus utilisé pour la construction d’escaliers, loin devant le béton, le métal – inox, aluminium, acier – le verre ou la pierre.

De nombreuses essences de bois se prêtent à la réalisation d’un escalier, mais toutes n’offrent pas les mêmes qualités : il conviendra de choisir le type de bois en fonction de l’usage.

Le bois est un matériau chaleureux : les escaliers en bois s’adaptent à tous les types d’intérieur, contemporain, minimaliste ou classique, rustique.

Les essences de bois les plus représentées sont le chêne, le hêtre, le frêne, l’érable, le sapin et les bois exotiques.

Protection et entretien

Un escalier en bois demande plus de précautions que les autres matériaux. En principe, il est traité par le fabricant à l’aide de produits fongicides et insecticides. Avec le temps et l’usage, il s’abîme et perd de son éclat, c’est un vieillissement normal. Il demande donc une protection, puis un

entretien régulier pour rester en bon état.

L’huile de lin est le produit le plus facile et le plus économique à utiliser. La cire a toujours ses adeptes : il faut prendre un produit antidérapant. Ces deux produits sont à repasser périodiquement.

La vitrification est plus coûteuse, mais donne une surface plus dure, choix entre satiné et brillant.

L’huile dure mate ou satinée à base de matières premières naturelles constitue une bonne alternative : elle laisse respirer le bois et assure une protection renforcée contre les taches et l’usure, sans modifier l’aspect original du bois. L’huile dure satinée donne un aspect ciré.

Choisir son escalier

Comment choisir l’escalier qui convient à votre intérieur ?

Il est conseillé de le choisir dès le début des travaux d’intérieur, c’est-à-dire à la fin du gros œuvre. La topographie de votre maison vous guidera dans la forme et l’emplacement de votre escalier : droit, hélicoïdal, à palier ou quart tournant.

L’escalier droit ou escalier à la française est le plus simple et prend peu de place.

L’escalier avec quart tournant est pourvu d’un tournant en haut ou en bas : il est moins sûr que l’escalier droit du fait de ses marches gironnées (plus étroites dans le tournant).

Le modèle hélicoïdal convient à une implantation dans la pièce principale : il prend peu de place et produit un bel effet esthétique, mais il n’est pas très pratique, car il est difficile de s’y croiser et encore moins d’y transporter un objet encombrant.

L’escalier à palier confère généralement beaucoup de caractère à une habitation.

Pour les intérieurs minimalistes, l’escalier droit, sans limon et adossé à un mur est idéal : ses marches sont simplement

« prises » dans le mur comme suspendues dans l’espace. À noter qu’un escalier doit mesurer au moins 70 cm de largeur.

Escaliers contemporains

Les escaliers contemporains misent sur la légèreté : les contremarches ont été abandonnées pour laisser passer un maximum de lumière.

Les modèles sans limon ou à limon central à l’allure épurée sont très tendance.

Les escaliers en bois se parent de modernité par l’association d’autres matériaux, notamment le métal ou le verre pour la rampe et/ou le garde-corps.

Portes intérieures en bois Les portes intérieures misent aujourd’hui sur la légèreté, avec de larges parties vitrées, ou au contraire sur la surface massive avec des panneaux pleins, mais à structure horizontale. Elles sont © Nordex de taille classique ou double, à battant ou coulissantes, ces dernières permettant d’ouvrir de larges espaces ou de créer l’intimité en un clin d’œil. baticonfort 62 jan/fév 2013

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Aujourd’hui, en menuiserie extérieure, le bois allie confort et esthétique, mais aussi isolation thermique et acoustique. Que le style de votre maison soit ancien ou contemporain, il existe des châssis et des volets en bois pour l’habiller.

menuiserie extérieure

© Jasno

Menuiserie extérieure : la noblesse du bois Châssis en bois

En optant pour des fenêtres en bois, vous êtes certain de faire un bon choix. C’est le plus authentique des matériaux, le meilleur isolant et surtout le plus durable, particulièrement s’il reçoit une laque acrylique avant installation.

Les profilés en bois se travaillent facilement, ce qui vous assure un style répondant parfaitement à vos attentes.

Les menuiseries extérieures en bois ne sont pas uniquement dédiées aux maisons classiques, il est tout à fait possible d’obtenir un design contemporain et épuré, à l’aide de profilés étroits, garantissant un apport de lumière maximum.

Les technologies actuelles autorisent également de très grandes surfaces vitrées.

Les fenêtres à croisillons donnent un charme rural à la maison : les vrais croisillons sont ceux qui séparent le vitrage en plusieurs éléments.

Aujourd’hui, on trouve surtout des croisillons incorporés à l’intérieur du vitrage ce qui en facilite l’entretien, ou encore des croisillons rapportés, fixés en surface sur les deux faces du vitrage.

Une tendance : les croisillons gravés sur la surface interne du verre : une façon simple de partager le vitrage de manière optique, sans empêcher la transmission lumineuse.

Essences de bois

Plus le bois est durable, meilleure sera la résistance de la menuiserie, mais plus élevé sera le prix. À noter que le bois ne représente pas un grand poste dans le coût total des châssis.

La durabilité de l’essence est classifiée selon des catégories de I à V. La catégorie I est la meilleure et correspond à une résistance de plus de 25 ans en contact avec le sol et sans traitement. Un traitement est recommandé pour les catégories II et III. Les essences des catégories IV et V ne conviennent pas en menuiserie extérieure. Choisissez bien sûr du bois certifié FSC ou PEFC. En tant que profane, il est impossible de reconnaître l’essence d’un bois : vous devez pouvoir vous fier à votre menuisier.

En catégorie I, se situe l’afzélia plus cher mais plus résistant que le meranti.

En catégorie II, le meranti et le merbau. Ce dernier est un plus cher que le meranti, mais plus durable. Il existe d’innombrables sortes de meranti (catégories II à IV), mais c’est le meranti « dark red » qui possède la masse volumique suffisante (au moins 500 kg/m3) pour des menuiseries extérieures.

Le sipo a connu une forte progression ces dernières années (cat. II et III). Ce bois originaire d’Afrique centrale est rouge/ brun et pèse 650 kg/m3. Le douglas (cat. III) est une essence indigène de durabilité identique à celle du meranti, mais moins cher. Il a une couleur jaune/ brun et un beau motif.

Citons encore le moabi et l’afrormosia (cat. I et 800 kg/ m3), deux bois d’Afrique centrale très stables et durables.

c’est le bois : pour des raisons de charme, de durabilité et d’intemporalité. On le trouve le plus souvent dans le modèle à persiennes qui convient bien aux villas de caractère.

Bois de sapin, de chêne ou exotique, teck ou essences indonésiennes comme le moabi ou le movungi : le bois est beau et très résistant aux écarts de température. Il est facilement remplaçable, peut être raboté pour une adaptation parfaite en cas de rénovation et peut se peindre et se repeindre au fil de l’évolution de vos goûts.

Le matériau a reçu un traitement naturel insecticide et fongicide avant le placement, il vous reste à pratiquer un léger entretien régulier, car les poussières finissent par coller et ternir leur couleur.

Volets en bois

Les « shutters »

Le premier rôle d’un volet est certainement l’isolation, ainsi que la protection contre l’intrusion. Mais ils apportent à une maison son caractère et assurent également la protection solaire et la préservation de l’intimité.

Le matériau constitutif qui arrive en tête sur le marché,

Les shutters sont des volets en bois pour l’intérieur avec lamelles orientables : ils peuvent être utilisés comme séparation de pièces ou décoration de fenêtres. Ces volets relativement légers ont belle allure, s’adaptent à toutes les formes, et diffusent élégamment la lumière. baticonfort 62 jan/fév 2013

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Autrefois, le revêtement de sol par excellence était le parquet. Esthétique, d’un aspect chaleureux, demandant peu d’entretien, et particulièrement durable, il demeure aujourd’hui « la » valeur sûre qui trouve sa place dans tous les types d’habitations.

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À tous ces avantages, il convient d’ajouter que le parquet possède d’excellentes propriétés isolantes, ce qui compte beaucoup à l’heure actuelle. D’une très longue durée de vie, il peut être poncé et rénové plusieurs fois et n’en est que plus beau !

Le parquet

élégance, confort et chaleur

Plancher ou parquet ?

En principe, le plancher désigne le support du revêtement de sol et représente à la fois le plafond d’une pièce et le plancher de la pièce située à l’étage supérieur. Il peut être en béton ou en bois.

Le parquet est un revêtement de sol sans fonction porteuse : il est aujourd’hui devenu un élément décoratif à part entière.

On fait aussi la distinction suivante : le parquet est réalisé dans un bois d’essence plus noble que celle d’un plancher.

Le parquet massif

C’est le « vrai » parquet, celui qui dure… et que l’on trouve dans les anciennes demeures, les châteaux, les cloîtres… Il a toutes les qualités : élégance, charme, confort acoustique et thermique, et a tendance à embellir avec le temps.

Le parquet massif se compose d’une lame de bois massif d’au moins 6,5 mm d’épaisseur, mais en général elle mesure

de 18 à 23 mm. La pose se fait en clouant les planches sur des lambourdes (chevrons), mais aujourd’hui, on pratique également la pose collée. À noter que cet équipement surélève le sol, il faut donc vérifier si cela est possible dans la pièce envisagée.

Le parquet massif a un prix et certaines essences de bois sont assez chères.

Des pièces à trafic intense nécessitent des espèces de bois plus dures comme le chêne d’Europe, le chêne blanc et rouge d’Amérique, le hêtre, l’érable, le frêne, le jabota, l’afzélia, le merbau, l’iroko, le teck… ainsi que les lamellés-collés.

Pour les pièces à trafic moins intense, des espèces de bois plus tendres, telles que le pin ou l’épicéa, conviennent également.

Le bambou connaît un grand succès : il est idéal pour la salle de bain, car il ne craint pas l’eau. Cette plante à la croissance la plus rapide au monde possède de grandes qualités : dureté, longévité, stabilité et élasticité.

Protection et entretien

Le vernis en phase aqueuse permet de conserver la teinte naturelle du bois et donne au parquet un aspect mat, satiné ou brillant. Le parquet sera très résistant à l’usure et s’entretiendra avec un simple chiffon humide.

L’huile confère au sol un aspect mat et contemporain : elle pénètre profondément et nourrit le bois, mais le parquet résistera moins aux taches.

La cire donne un aspect satiné ou brillant, mais le sol sera plus sensible aux taches et nécessitera un entretien régulier avec une cire liquide.

Couleur Essence Style Clair Erable, Hêtre, Frêne, Chêne Contemporain Rouge Moabi, Padouk, Jatoba, Merisier Exotique Marron Châtaignier, Teck, Merbau Traditionnel Jaune Iroko, Bambou, Guatambu Moderne Foncé Wengé, Ipé Contemporain

Le parquet contrecollé Ce parquet est composé de 3 couches superposées : une souscouche ou « contreparement » de bois résineux, une couche centrale de résineux ou de panneau dérivé du bois (latté, contreplaqué ou aggloméré) et une couche de parement d’une essence noble de bois de 3 à 6 mm.

La partie centrale assure la stabilité des lattes et la répartition optimale des tensions ; la sous-couche renforce la stabilité de la structure.

La pose est « flottante », c’est-à-dire que les lames ne sont pas clouées ou collées au sous-plancher : elles sont simplement fixées ensemble par un système de rainures et languettes.

Souvent verni d’usine, il ne se ponce pas et s’entretient à sec.

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Le plus ancien matériau de construction connaît une véritable renaissance grâce à ses atouts esthétiques et est aujourd’hui le matériau privilégié de l’architecture contemporaine.

menuiserie extérieure Les avantages sont évidents, en termes d’aspect et d’intégration à l’environnement, mais bien sûr le revêtement doit également protéger l’enveloppe des intempéries et doit pouvoir sécher rapidement. Il doit résister aux chocs de la grêle, par exemple, ou de coups de ballon.

Le bois revêt les façades et c’est joli © Yves Deneyer en collaboration avec Open Architectes

En Belgique, il n’existe aucune réglementation concernant le type de profil. Les planches peuvent être profilées suivant le souhait de l’acheteur : les formes courantes sont rectangulaires ou trapézoïdales. Les profils doivent être suffisamment biseautés (inclinaison minimale de 15° ou de 27 %) pour les parties horizontales exposées, et doivent comporter un rayon de courbure minimal des arrondis de 3 mm, afin d’éviter les arêtes vives et toute stagnation d’eau. Les arrondis présentent par ailleurs l’avantage d’améliorer l’adhérence des éventuelles couches de finition.

Agencement

Trois types d’agencement des lames sont possibles : - Par recouvrement ou chevauchement : la largeur d’un chevauchement simple se situe entre 8 et 12 % de la largeur courante de la lame, avec un minimum de 15 mm afin de recouvrir le système de fixation. Le chevauchement permet les mouvements du bois suite aux variations de son taux d’humidité.

- Par rainure et languette : les

lames se clipsent par l’insertion de la languette de l’une dans la rainure de l’autre.

- Pose ajourée : de loin le mode d’agencement le plus adapté, car il permet une ventilation efficace au dos du bardage.

Essences de bois

Actuellement en Belgique, les espèces de bois couramment utilisées sont le cèdre (Western Red Cedar - WRC), l’oregon/douglas, le mélèze et certains bois exotiques comme le padouk, le moabi ou le merbau.

Il est conseillé de choisir des essences de bois stables voire très stables (classe 1, 2 et 3), car faut tenir compte du fait que les fortes variations hygrométriques provoquent un travail important du bois (rétractation et gonflement) et donc le risque de déformation si le bois est moyennement stable. Le bois doit être purgé de l’aubier, car celui-ci est sensible à l’attaque de champignons.

Les essences appartenant aux classes de durabilité 4 et 5 (faible) devront recevoir un traitement profond à l’aide de produits spécifiques.

Lame d’air et pare-pluie

Il est indispensable de ménager une lame d’air d’une largeur minimum de 15 mm au dos du bardage. Cette lame d’air permet d’évacuer l’eau qui pénètre par les joints entre lames et d’empêcher sa pénétration dans le mur. Elle permet également le séchage de l’humidité éventuellement présente dans le bardage, afin d’éviter un taux d’humidité trop élevé qui causerait des déformations trop importantes.

Un pare-pluie, obligatoire pour la plupart des types de pose, doit être placé de façon continue sur l’isolation du côté de la lame d’air. Il doit être étanche à l’eau et au vent et être perméable à la vapeur. Dans le cas d’un bardage ajouré, il faudra prévoir un pare-pluie résistant au rayonnement UV, au gel et au vent pour éviter sa dégradation prématurée.

Finition

Ce traitement assure une protection physique de la surface et donne au bois un aspect esthétique particulier. De plus, il empêche la pénétration de

l’eau et régule les échanges de vapeur d’eau, ce qui contribue à la stabilité de l’ouvrage. Cette finition doit cependant être correctement entretenue.

Les produits de finition pour éléments de bardage doivent donc être perméables à la vapeur d’eau afin de permettre l’évacuation de l’eau piégée et imperméable à l’eau liquide afin de former une barrière contre l’eau de pluie.

évolution du bois

En endurant les intempéries, les surfaces de bois laissées naturelles subissent un changement de couleur allant du brun clair au gris foncé selon les essences.

Ce phénomène naturel est uniquement superficiel. Au début, ce processus de changement d’aspect n’est pas uniforme : on peut y remédier anticipativement par l’application d’un saturateur gris sur l’ensemble du revêtement.

Des débords de toiture limiteront le délavage par l’eau de pluie, le bois exposé uniquement au soleil prendra alors une teinte brune.

Infos : www.woodforum.be www.bois.com baticonfort 62 jan/fév 2013

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2 mois gratuits*

Un dossier réglé rapidement, ça détend.

Assurance Habitation Ethias - 24h/24 - 7j/7 Une fuite, un incendie, une toiture qui s’envole ? Pas de panique ! En cas de sinistre, nos spécialistes sont à votre disposition 24h/24, 7j/7 pour régler votre problème rapidement. Chez Ethias, tout est pensé pour que vous n’y pensiez plus.

Profitez de 2 mois d’assurance Habitation gratuits sur ethias.be ou 0800 23 777 * Offre valable durant la première année et réservée aux 5.000 premiers nouveaux contrats. Non cumulable avec d’autres avantages tarifaires.

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Bien que l’assurance habitation ne soit pas obligatoire, elle est très répandue en Belgique : le législateur y a donc associé quelques couvertures obligatoires.

assurance habitation C’est ainsi que cette assurance indemnise les dommages matériels causés par l’incendie, l’explosion, l’implosion, la foudre, les attentats et conflits du travail, le heurt par un animal, le heurt par tout moyen de transport, la chute d’un arbre sur le bâtiment, la tempête, la pression de la neige ou de la glace sur un toit, la grêle et les catastrophes naturelles, telles que les inondations, les tremblements de terre d’origine naturelle, les glissements de terrain et les débordements ou le refoulement d’égouts publics.

Bien assurés

pour une meilleure qualité de vie La plupart des compagnies offrent aujourd’hui des assurances habitation « en béton ».

Cependant, avant d’opter pour l’assurance la moins chère, vérifiez si les dégâts matériels causés accidentellement à votre logement et/ou à son contenu par un des phénomènes énumérés dans le tableau ci-contre sont couverts par la garantie de base.

Voyez si les détériorations immobilières suite à un vol, une tentative de vol ou un acte de vandalisme y figurent.

Sans oublier votre « Respon­ sabilité civile immeuble » : bien utile en cas, par exemple, d’infiltration d’eau chez votre voisin en raison d’une fuite d’eau chez vous, du déracinement et de la chute d’un arbre de votre jardin qui occasionne des dégâts à la toiture de votre voisin…

En lisant votre proposition de

Garantie de base • L’incendie • La combustion sans flammes • L’explosion et l’implosion • La fumée et la suie • La tempête et la grêle, la pression de la neige ou de la glace • Le dégât des eaux • La mérule • Le dégât dû au mazout • La foudre • L’action de l’électricité • La décongélation • L’électrocution et l’asphyxie des animaux domestiques • L’électrocution d’animaux domestiques d’élevage ou destinés à la vente • Le bris et la fêlure de vitrages • Le heurt • Le vol de panneaux solaires • Les catastrophes naturelles • Les conflits du travail et attentats

contrat, prenez le temps de lire toutes les exceptions, même si c’est fastidieux, afin de vous engager en connaissance de cause.

Un bon conseiller les lira avec vous et attirera votre attention sur les qualités et les limites du contrat, car un bon conseiller est de votre côté et souhaite que vous soyez bien couvert.

En principe, les compagnies vous offrent une assistance 24h/24 en cas de sinistre.

Attention à la sous-assurance

Le montant de la prime d’assurance dépend de la superficie et de la valeur estimée de l’habitation et du mobilier. Afin de bénéficier d’une indemnisation correcte et complète en cas de dégâts, votre habitation et votre mobilier doivent être assurés à leur juste valeur. Les

assureurs proposent une grille d’évaluation : en la remplissant correctement, vous avez la garantie d’être indemnisé complètement.

Exemple de sous-assurance

Votre habitation est assurée pour un montant de 160.000 e.

Vous avez réalisé une extension qui lui a apporté une plusvalue de 40.000 e. Elle devrait donc être assurée pour une valeur de 200.000 e et non de 160.000 e. Votre habitation n’est donc assurée que pour 80% de sa valeur. Si vous subissez un sinistre évalué, par exemple, à 50.000 e, vous serez remboursé dans la même proportion à savoir 80% de ce montant soit 40.000 e. Soyez vigilant !

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Le soleil source d’énergie rs 2013 le 3 1 m a

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Entre 60.000 et 70.000 ménages wallons ont fait le choix du photovoltaïque : cet engouement a mis en péril depuis peu le système des certificats verts. Nous relatons une enquête de RTL info.

Les certificats verts ont été imaginés par le gouvernement régional wallon pour inciter les particuliers à installer des panneaux photovoltaïques sur leur toiture, afin d’augmenter la production d’énergie verte. Ajouté à la prime à l’installation, cet incitant a bien sûr porté ses fruits, d’autant plus que des entreprises ont eu l’idée d’instaurer le « tiers payant », une manière d’aider les particuliers à financer leur installation. Mais aujourd’hui, ça coince…

Que s’est-il donc passé ?

L’ensemble du système proposé aux particuliers a trop bien marché : il y a eu un paquet de certificats verts si bien que l’offre a dépassé la demande, ce qui a fait chuter les prix.

Par ailleurs, il faut dire que le processus d’octroi des certificats verts est long, et l’affluence a entraîné des retards de plusieurs mois dans le traitement des dossiers : les gestionnaires de réseaux de distribution et la CWaPE, qui gère le système des CV, ont été complètement débordés. Les retards se sont répercutés sur les particuliers et les entreprises pratiquant le tiers payant. Celles-ci ont commencé à avoir des difficultés à rembourser les mensualités aux clients qui euxmêmes ont eu des difficultés pour rembourser leur emprunt à la banque.

En avril 2010, les services d’Ores traitaient 400 demandes par mois, en avril 2012, le nombre était passé à 4.000 et en septembre 2012, 12.000 dossiers étaient en attente de traitement. Ores a engagé rapidement 25 personnes, mais un temps de formation a été nécessaire. D’autre part, les nombreux changements de

certificats verts

Certificats verts : la crise législation ont nécessité la mise à jour des logiciels de traitement, ce qui a encore augmenté le retard.

Qu’en est-il des particuliers ?

La Région wallonne oblige toujours le gestionnaire de réseau Elia à racheter les CV à 65 e l’unité. Mais cet afflux met également Elia en difficulté, car il doit trouver l’argent nécessaire au rachat de quantités trop importantes et va devoir augmenter ses tarifs auprès des fournisseurs d’électricité, ce qui se répercutera sur la facture de tous les consommateurs.

On parle de réformer le système, voire de le supprimer tout simplement. Mais ceci ne sera pas sans conséquence, car les nombreuses nouvelles entreprises créées à la faveur du développement du photovoltaïque vont disparaître et, avec elles, les emplois qu’elles avaient générés.

Le système du « tiers payant »

Des sociétés ont eu l’idée de proposer aux particuliers de placer sur leur toiture une installation photovoltaïque finan-

cée par un prêt personnel qui sera remboursé quasi intégralement par l’entreprise. En effet, celle-ci se propose de réaliser toutes les démarches administratives, qui sont longues et fastidieuses, et de percevoir les certificats verts pendant une durée déterminée. Elle s’engage à verser mensuellement au particulier, et ceci dès le premier mois, une somme établie par contrat et destinée à rembourser le prêt contracté.

La société réalise des bénéfices en partie sur l’installation qu’elle a réalisée, et par la revente des certificats verts à un meilleur prix du fait de sa force de négociation en grande quantité. Quand on sait qu’il faut 5 à 6 mois avant de percevoir les premières retombées de la vente des CV, on comprend que le système du tiers payant est avantageux pour les clients. Mais la formule présente toutefois le danger suivant : alléché par la rentabilité escomptée de l’installation, le particulier contracte l’emprunt en son nom et prend donc tous les risques en cas de faillite de l’entreprise. Or, cette crise des CV, reportant les délais à 8-10 voire 12 mois, met précisément ces entreprises en difficulté financière.

Peut-on encore faire le choix du photovoltaïque ?

Ce choix reste toujours intéressant du point de vue écologique et pour s’affranchir des énergies fossiles. Les installations sont amorties en 7 ou 8 années et la production d’électricité est garantie 25 ans.

Seulement, soyez prudent : adressez-vous à votre banque pour le crédit et attendez-vous à ne percevoir les rentrées sur certificats verts qu’après au moins 6 moins sinon plus. Ne comptez pas absolument sur les bénéfices pour rembourser votre emprunt, mais tenez compte de votre propre capacité de remboursement.

Si toutefois, vous désirez avoir recours à une société de tiers payant, prévoyez dans le contrat la rupture irrévocable de la cession de vos CV en cas de non-paiement des mensualités prévues.

Pour retrouver la gestion de vos certificats verts après une cession conclue au profit d’un tiers, rendez-vous sur le site de la CWaPE pour consulter la marche à suivre : www.cwape.be

baticonfort 62 jan/fév 2013

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NOUS ÉCO N O M I S O N S VOTRE ÉN E R G I E . . . . . . PA S L A N Ô T R E .

ÉLECTRICITÉ - DOMOTIQUE - VENTILATION P O M P E S À C H A L E U R - P H O T O V O LTA Ï Q U E Meganelec vous propose un package de solutions nouvelles, non seulement pour vous faire réaliser des économies d’énergie, mais aussi pour vous offrir un confort de vie optimal, dans toute la maison. La seule énergie que nous ne réviserons jamais à la baisse, c’est celle que nous déployons au quotidien pour sélectionner un matériel de qualité supérieure et vous offrir le meilleur de notre expertise.

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Le prix de l’énergie ne cesse d’augmenter que ce soit l’énergie elle-même ou le tarif du gestionnaire de réseau : aujourd’hui plus que jamais, il s’agit de comparer les prix du marché.

prix de l’énergie

Le comparateur de prix Mon Énergie se présente comme une alternative aux comparateurs de prix des régulateurs des marchés du gaz et de l’électricité : la CWaPE en Wallonie, le VREG en Flandre et BRUGEL à Bruxelles.

Ce comparateur de prix couvre l’ensemble de la Belgique et permet de comparer tous les fournisseurs d’énergie sur base de votre consommation annuelle d’électricité et de gaz ou sur base du montant de vos acomptes mensuels.

Énergie moins chère :

comparez et changez !

Le site « www.monenergie.be » se déclare 100 % indépendant des fournisseurs d’électricité et de gaz. Il centralise toutes les informations concernant la libéralisation de l’électricité et du gaz et concernant le choix du fournisseur d’électricité et de gaz.

Ce service gratuit est destiné aux particuliers mais aussi aux indépendants et aux entreprises.

La libéralisation de l’électricité et du gaz est désormais une réalité en Belgique : vous pouvez donc choisir librement votre fournisseur de gaz naturel et d’électricité en comparant tous les prix des fournisseurs, grâce à un calculateur spécialement conçu pour l’utilisateur et reprenant des informations complètes sur l’électricité et le gaz en Belgique.

Une démarche toute simple

Changer de fournisseur est très simple pour le consommateur qui ne doit entreprendre qu’une seule démarche : informer le nouveau fournisseur qu’il a choisi de son intention de changer de fournisseur.

Ensuite, l’ancien et le nouveau fournisseur et le gestion-

naire de réseau se chargent de communiquer entre eux pour assurer le bon déroulement de l’opération.

Cela ne vous coûte rien pour autant que les délais de préavis d’un éventuel contrat en cours soient respectés, mais le nouveau fournisseur examine votre contrat et ne fait démarrer le nouveau qu’après l’écoulement du délai de préavis (en général 1 mois).

Bien sûr, un changement de fournisseur ne demande aucune modification de l’installation existante et vous restez chez le même gestionnaire de réseau, celui de votre commune.

Rôle de Mon Énergie

Afin d’aider le consommateur à s’y retrouver dans la complexité de l’ensemble des différentes offres du marché, Mon Énergie centralise tous les services nécessaires permettant, rapidement et sans grande contrainte, de : • comparer des fournisseurs sur base des prix, des services offerts, du type d’énergie vendue : gaz, électricité, pourcentage d’électricité verte ; • changer de fournisseur direc-

tement à partir du résultat de la comparaison des prix et régler toute l’administration en direct avec ce nouveau fournisseur, ou lui demander en ligne d’envoyer une proposition de contrat ; • obtenir en ligne les formulaires nécessaires pour régler son déménagement ; • en savoir plus sur la libéralisation et son impact sur le fonctionnement du marché du gaz et de l’électricité ;

• rechercher l’intercommunale responsable pour la distribution de l’électricité et/ou du gaz dans sa région ; • possibilité pour un consommateur industriel, de faire appel d’offre, en une seule étape, auprès des fournisseurs qui ciblent spécifiquement les gros consommateurs en gaz et/ ou électricité.

Électrabel annonce une baisse de ses tarifs en 2013 Suite à la perte de 200.000 clients en électricité et 145.000 en gaz, Électrabel a décidé de passer à l’action ! Il est vrai que la différence de coût entre le fournisseur par défaut et le contrat le moins cher du marché est aujourd’hui de 600 euros par an, de quoi provoquer des départs en chaîne. Les groupements d’achats font pression sur les fournisseurs et certains ont bien compris l’intérêt de proposer des tarifs de groupe. Électrabel annonce des réductions jusqu’à 10 % pour l’électricité et 16 % pour le gaz : nous en saurons plus en janvier 2013 et, surtout, nous verrons également comment les autres fournisseurs vont réagir.

Test Achat s’est lancé dans une comparaison des prix d’Électrabel avant et après la réduction annoncée : il en résulte une économie annuelle variant de 185 à 230 euros selon les types de contrat et pour l’électricité et le gaz cumulés. Ce qui n’est pas encore suffisant pour s’aligner sur les tarifs les plus avantageux du marché.

Une chose est sûre, Électrabel annonce que la hausse des prix habituelle après la période de gel ne sera pas répercutée sur ses tarifs : on attend les chiffres réels avec impatience, ainsi que la réaction des autres fournisseurs. Sources : Test Achat et RTBF

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SunSwitch est une société spécialisée dans l’installation de systèmes photovoltaïques chez les particuliers, les entreprises, le secteur public et les agriculteurs. Leader sur le marché belge francophone, l’installateur apporte une solution complète à ses clients pour un investissement environnemental et financier réussi. Jérôme Kervyn, CEO et fondateur de la société, répond à nos questions.

Voir aussi couverture 4.

SunSwitch

solaire PV

bien plus qu’une installation photovoltaïque, un service !

Pourriez-vous nous parler de votre société ?

Comment expliquez-vous que SunSwitch propose C’est en 2007 que nous avons bien plus qu’une installafondé SunSwitch et nous comp- tion photovoltaïque ? tons aujourd’hui plus de 85 travailleurs. Nous disposons de nos propres équipes d’installation et cela nous a permis de réaliser à ce jour plus de 5.000 systèmes photovoltaïques dans toute la Belgique, à raison de 30 à 40 par semaine. Nous proposons également à nos clients un soutien administratif à chaque étape de leur projet photovoltaïque, depuis l’urbanisme, en passant par la coordination de la visite de l’organisme de contrôle, jusqu’à la gestion des Certificats Verts.

La technologie photovoltaïque évolue très vite, comment SunSwitch arrive-t-elle à proposer des produits innovants ?

Nos ingénieurs comparent en permanence les produits existants sur le marché mondial afin d’offrir ce qu’il y a de plus fiable et de plus rentable en matière de technologie solaire. Cela nous permet de proposer une gamme complète de produits sélectionnés chez les meilleurs fabricants, adaptés à toutes les situations et à tous les goûts.

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baticonfort 62 jan/fév 2013

Depuis nos débuts, notre volonté est de proposer des solutions photovoltaïques complètes incluant la préparation du projet avec nos clients, l’installation du système photovoltaïque et le soutien pour les différentes démarches administratives (l’obtention du permis d’urbanisme, l’accord de mise en service de l’installation et le dossier d’obtention des Certificats Verts). L’optique de SunSwitch va bien au-delà de l’installation de systèmes photovoltaïques, il s’agit surtout de permettre à nos clients de produire euxmêmes leur électricité pendant plus de 25 ans.

Vous avez également développé des services supplémentaires « post-installation » pour vos clients.

En quoi consistent-ils ?

Pour rentabiliser le plus rapidement possible son investissement photovoltaïque, il est primordial de suivre régulièrement la production de son système. C’est pour cela que

nous avons développé une solution de surveillance innovante, le GreenWatch Monitoring.

Pourquoi parlez-vous de ce service comme de « l’ange gardien » des installations photovoltaïques ?

Car il permet à chaque client de suivre quotidiennement sa production via Internet. Mais surtout, en cas d’interruption de production de plus de 48h ouvrables, le client est immédiatement averti ! Cela a déjà rendu quelques services.

Vous rachetez également les Certificats Verts de vos clients. C’est une offre intéressante à l’heure où il devient difficile de trouver

acquéreur sur le marché de l’énergie ?

Oui, nous avons mis en place un service de gestion des Certificats Verts qui est lié à la solution de monitoring. Il s’agit du service GreenWatch Trading. Il permet d’assurer la gestion automatique des Certificats Verts et nous permet d’offrir un achat trimestriel de ceux-ci pour nos clients à un prix supérieur à la valeur réelle du marché.

SunSwitch SA. Avenue Jean Monnet, 1 1348 Louvain-la-Neuve Tél. + 32 10 471 271 Fax + 32 10 245 693 www.sunswitch.be

En plus d’être leader sur le marché photo­voltaïque, SunSwitch est également leader au niveau qualité. Ainsi en octobre 2010,. l’entreprise est devenue la première entreprise francophone à être labellisée QUEST. Avec ce label, SunSwitch s’engage à respecter un ensemble de critères de qualité, ce qui représente une garantie supplémentaire pour ses clients. SunSwitch est également à l’initiative de la charte de qualité PVQUAL en Région wallonne.

Brussels Expo du samedi 23 février au dimanche 3 mars 2013

BATIBOUW

Ouvert de 10h à 18h30. Nocturne le jeudi 28/2 jusqu’à 23h.

Qui a sa maison dans la peau... va à Batibouw !

Découvrez toutes les tendances et innovations au plus grand salon belge de la Construction, de la Rénovation et de l’Aménagement.

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Nouveautés salles de bain

Artceram introduit l’ironie dans la salle de bains avec la collection « Cow »

Avez-vous jamais vu une collection de salle de bains à quatre pattes ?

Artceram fait pour la première fois le pas avec Meneghello Paolelli Associati qui surprendra de nouveau avec le projet « Cow »: une nouvelle

gamme de salles de bains très particulière, caractérisée par un support à quatre pattes. Sa principale source d’inspiration est le monde néoclassique dans lequel le mobilier reposait sur quatre pieds. La « Cow » Collection se caractérise par des d’étonnantes et ludiques formes dont les lignes rappellent la douce physionomie d’une vache. La collection existe en plusieurs versions : noir et blanc, à taches et avec les découpes de viande.

La collection « Cow » comprend le lavabo autoportant, le lavabo accroché au mur et le comptoir lavabo accroché au mur. Sauf pour le lavabo autoportant qui est en Livingtec, l’ensemble de la collection est en céramique. Elle comprend également un porte-papier toilette, un portebrosse, un crochet et un sèche-serviettes, également en céramique.

Info Facq.

Robinetterie : la collection « Light » de Paffoni Depuis 1953, la société italienne Paffoni propose différents éléments de robinetterie pour la salle de bains : mélangeurs thermostatiques, mitigeurs modernes, mélangeurs classiques à deux vannes… ainsi qu’une large gamme d’accessoires. Sa philosophie, à savoir investir à la fois dans la recherche, le design et les nouvelles technologies, fait de Paffoni une marque incontournable pour ceux qui souhaitent s’offrir une jolie salle de bains contemporaine à prix réduit.

Paffoni vient de lancer « Light », une collection de robinets aux formes arrondies qui apporteront une touche de design supplémentaire dans les salles de bains minimalistes et épurées. Cette gamme comprend des modèles sur pied et des modèles encastrables, tant pour la baignoire que pour le lavabo. La série est disponible en chrome, mat + chrome et look Inox.

Info Facq.

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baticonfort 62 jan/fév 2012

La salle de bain est devenue une pièce de bien-être où l’on aime se détendre après le stress de la journée. Afin de remplir cette nouvelle fonction, elle s’est sensiblement agrandie, a gagné en sobriété et s’est dotée d’un équipement sanitaire souvent luxueux, à la fois zen et hautement technologique.

Modules ultra plats chez Geberit

Le fabricant suisse Geberit, qui présente une véritable culture de l’innovation, propose aujourd’hui des modules complets pour salle de bain. Dénommés Monolith, ces modules, qui ont reçu le Design Award lors des prestigieux Belgian Building Awards 2012, représentent une interaction parfaite entre design, qualité et fonctionnalité. Le module « lavabo » Geberit Monolith est une combinaison de plexiglas – disponible en noir ou en blanc – et d’un cadre latéral en aluminium brossé. Tous les éléments fonctionnels, tels que placard, espaces de rangement, porte-serviettes, ainsi que fixations et raccordement, sont rassemblés en un module unique pouvant être équipé du robinet ou du lavabo de votre choix. Les espaces de rangement sont coulissants à gauche et/ou à droite du module, plaçant vos accessoires de toilettes à portée de main.

Simples à intégrer en rénovation : dotés d’un plan précis et indémodables, ces modules s’adaptent harmonieusement, dans toutes les salles de bain, aux lavabos, WC et bidets existants. Grâce à la technique encastrée du réservoir de chasse, le module WC peut être installé rapidement et sans changements structurels.

© Geberit

La salle de bains s’adapte à son utilisateur D-motion by Delpha

© Delpha by Facq

Vous désirez une salle de bains originale, qui ne ressemble à aucune autre ? C’est possible avec D-motion by Delpha, une collection de meubles de salle de bains qui conjugue esthétique, fonctionnalité et confort

pour composer, décorer et adapter votre salle de bains en fonction des besoins de chacun.

D-motion propose des niches carrées ou rectangulaires en deux largeurs (40 et 80 cm) et deux hauteurs (27 et 41 cm)

qui seront installées en symétrie ou en décalé. Mais aussi des meubles bas sans poignées, soit ouvrants, soit coulissants, et existent en plusieurs largeurs.

D-motion by Delpha est une exclusivité FACQ.

© Delpha by Facq

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Viega Fonterra : diffusion de la température par les surfaces murales.

Viega. Une idée d’avance ! Pour plus d’informations : Viega Belgium sprl Tél.: 02-551 55 10 · Fax: 02-503 14 33 · info@viega.be · www.viega.be

La demande d’une diffusion de la température garantissant un grand confort ne cesse d’augmenter : on veut passer un hiver bien au chaud et un été au frais. À ces exigences, s’ajoutent les aspects économiques, environnementaux et esthétiques…

chauffage par les surfaces Viega. Une idée d’avance !

Créée en 1899, Viega (Allema­gne), est une entreprise de renommée mondiale spécialisée dans la conception et la fabrication d’articles destinés au secteur du sanitaire.

Outre les systèmes de canalisations, Viega fabrique des systèmes encastrés et d’évacuation.

VIEGA est spécialisé en chauffage par les surfaces, sols et murs : un système convenant aussi bien pour les nouvelles constructions que pour les rénovations, les immeubles d’habitation ou de bureaux, de même que les halls industriels et les salles omnisports.

Le chauffage mural :

confort, économies et efficacité contre l’humidité Caractéristiques du chauffage mural

Ce système de chauffage se caractérise par un transfert de chaleur particulièrement élevé : le rayonnement thermique qui ne chauffe pas l’air, mais les corps solides.

Il offre les meilleures conditions pour une vitesse optimale de l’air dans la pièce, grâce à sa faible température en surface, ce qui est nécessaire pour répartir la chaleur de manière régulière dans la pièce et éviter tout courant d’air désagréable.

Le système de diffusion de température par les surfaces est invisible, ce qui permet des libertés dans l’aménagement intérieur vu que les radiateurs n’occupent plus l’espace. Le choix des surfaces de chauffage est libre.

Économies d’énergie

On travaille avec des températures de départ beaucoup plus basses, ce qui permet d’éco-

nomiser de l’énergie. Ensuite, une chaleur uniforme se propage, ce qui est beaucoup plus agréable que la chaleur d’un radiateur traditionnel : la température de confort descend à 20° C contre 22 °C pour le système classique, ce qui correspond à une économie de 10 à 12 % sur les frais de chauffage.

Mais le chauffage mural peut interagir simplement avec les radiateurs existants, par le biais d’un module de régulation, et fonctionne de manière optimale avec un chauffage par le sol. Pour un résultat parfait à long terme, optez pour une isolation supplémentaire qui laisse passer la vapeur dans les fondations du système.

Bon pour la santé

Ce système de chauffage est quasi un chauffage radiant et est presque toujours près de la température ambiante en raison de sa basse température de service. Cela entraîne automatiquement de meilleures

conditions d’hygiène. La surface agréablement tempérée ne produit pas de convection importante en raison des faibles différences de température et donc évite les tourbillonnements de poussière.

Rafraîchissement

Le système peut être utilisé en été pour rafraîchir les pièces, à condition de l’alimenter en eau froide, ce qui est nettement plus économique qu’une climatisation, silencieux et meilleur pour la santé vu l’absence de courants d’air.

Flexibilité, rapidité et esthétique

Le chauffage mural est disponible en plusieurs modèles afin de s’adapter au mieux à toutes les situations.

Fonterra Side 12 : système « à sec » Ce système d’éléments prémontés (disponible en plu-

sieurs dimensions) est directement et facilement fixé sur les supports. Cette méthode de travail garantit naturellement un gain de temps maximal.

Fonterra Side 12 Clip : système « humide » Ce système est destiné aux systèmes de construction humides et doit être monté contre des murs massifs en brique, béton, grès, etc. Grâce aux rails à clipser, le tube en polybutène très flexible est posé sur la paroi massive sous la forme de méandres. Le mur peut ensuite être enduit.

Fini les moisissures !

L’humidité est un fléau qui occasionne des dommages à l’intérieur de l’habitation, de l’inconfort et/ou des problèmes de santé.

Avec des murs chauds, vous éliminez tout simplement la principale cause de moisissures : un trop-plein d’humidité.

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La même chaleur que celle du soleil

avec le chauffage infrarouge C’est nouveau et c’est bon

pour la santé et pour le portefeuille !

Ceci n’est pas un cadre, c’est un système de chauffage esthétique et efficace !

intelligent mobile esthétique intégrable hautement sécurisé durable propre sain économique…

Gamme Standard

Un chauffage très économique

Une économie jusqu’à 50 % des coûts énergétiques par rapport au chauffage mazout ou gaz, grâce à un système unique de régulation électronique en continu.

Un chauffage sain

Avec un rayonnement infrarouge à ondes profondes, la sensation est comparable à celle du soleil. Cette chaleur bienfaisante a une influence favorable sur les douleurs musculaires et articulaires, sur les voies respiratoires, la circulation sanguine…

Intégré au plafond

www.chauffage-infrarouge.be

Personnalisé

Au bureau

Qui n’a pas rêvé de la chaleur bienfaisante du soleil en hiver lorsque le froid et la pluie nous glacent jusqu’aux os ? Qui ne s’est jamais plaint le soir d’avoir froid alors que les radiateurs sont sur le maximum ? Qui, enfin, n’a jamais voulu déplacer un radiateur près du canapé ou de la table de travail ?

innovation chauffage Si vous rêvez depuis toujours d’un système de chauffage rapide et efficace, bienfaisant, pas encombrant, ne nécessitant pas d’installation particulière, pouvant être déplacé à volonté, esthétique, intégrable et hautement sécurisé, permettant d’aérer suffisamment sans tout refroidir, et qui, de plus, est durable, propre, sain et économique… non, vous n’êtes pas un doux rêveur, car cette merveille existe désormais et est à la portée de tout le monde !

La vie rayonne avec Sunnyheat !

Sunnyheat, le chauffage moderne et intelligent Principe de chauffage Énergie gratuite…

Il s’agit d’un mode de chauffage infrarouge qui chauffe par rayonnement, à l’inverse du système traditionnel qui chauffe par convection. Dans ce cas, on chauffe des m2 et non des m3, ce qui constitue une différence fondamentale au niveau de la demande en puissance de chauffage !

Le système se présente sous forme de panneaux de 6 cm d’épaisseur et fonctionne à l’aide d’une résistance électrique par rayonnement infrarouge à ondes thermiques longues : l’infrarouge est invisible et, lorsqu’il entre en contact avec une surface, une chaleur se crée qui est absorbée et réfléchie par cette surface, indépendamment de l’air ambiant. Les éléments chauffés réchauffent à leur tour leur voisinage et l’air ambiant. Ce qui est exactement le principe du soleil !

Le concept est constitué de deux mécanismes interdépendants : le chauffage par rayonnement et l’isolation de l’air ambiant qui tendent vers un équilibre. Lorsque celui-ci est atteint, le climat est totalement agréable et ce, de manière constante.

Couplé à une installation photovoltaïque, ce système de chauffage fonctionne à l’énergie solaire gratuite : il arrive donc à point, à l’heure où une directive européenne préconise le « zéro énergie » pour tous les bâtiments à partir de 2020, c’est-à-dire des bâtiments produisant autant d’énergie qu’ils en consomment.

Bien-être et santé

Le chauffage par rayonnement procure un bien-être inouï, car la chaleur rayonne et pénètre en nous. Le chauffage par convection chauffe l’air ce qui le fait monter vers le plafond, puis, l’air chaud redescend et se refroidit, et le cycle recommence : ce mouvement de l’air fait circuler les poussières ambiantes, ce qui n’est pas sain.

Pour la santé, l’air d’une pièce doit être renouvelé complètement au minimum une fois par jour, ce qui demande de créer un courant d’air pendant quelques minutes. En hiver, cela refroidit trop les pièces : on omet donc de renouveler l’air, et les microbes circulent.

Avec Sunnyheat, les surfaces et matières conservent la chaleur accumulée et la restituent dès que le courant d’air cesse.

Un thermostat intelligent

Chaque panneau est équipé d’un thermostat intelligent, programmable et sans fil, pouvant être installé à distance.

L’ensemble panneau-thermostat est pourvu d’un algorithme unique au monde régulant la consommation en continu : la température ambiante est mesurée en permanence et la puissance de chauffe est régulée au plus économique. À noter que plusieurs panneaux peuvent être radio-commandés par un seul régulateur.

Les panneaux sont disponibles en plusieurs dimensions et se présentent sous la forme d’un cadre en aluminium et d’une face avant en verre de sécurité 6 mm granulé, lisse ou miroir.

Il existe également des modèles Premium proposant une gamme de photos ou pouvant accueillir vos propres photos.

D’autre part, des panneaux peuvent être réalisés sur mesure.

Formats et puissances

Les panneaux existent dans des formats de 30 x 30 à 30 x 150 cm ou de 60 x 60 à 60 x 120 cm, pour des puissances allant de 250 à 2000 W, pouvant chauffer des espaces de 2 à 25 m2.

Quelques chiffres L’équipement d’une pièce de 20 m2 coûte environ 1.000 euros. La consommation mesurée d’une habitation, consommant auparavant 2.500 l de mazout, est de 3.000 kW, soit une économie de 1.870 euros.

L’amortissement se fait donc en 2 ans et demi.

La température à la surface du panneau varie de 30 à 190 °C sans risque de brûlure.

Plus gamme professionnelle destinée à l’industrie, l’élevage, la culture…

Fixation des panneaux

Les panneaux peuvent être fixés au mur ou au plafond à l’aide de vis et de crochets. Une version mobile est disponible : il suffit de placer le panneau à la verticale sur un socle à roulettes réglable. Le panneau est branché sur une prise de courant proche et l’installation est terminée.

I.T. Evolution

Vos partenaires en énergie Alain DAENEN Administrateur-directeur

www.chauffage-infrarouge.be baticonfort 62 jan/fév 2012

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Constructeurs et rénovateurs connaissent le dilemme : mazout ou gaz ? Le prix, la sécurité et la convivialité sont minutieusement soupesés ... Et le choix est vite fait pour le mazout, car vous habitez un endroit qui n’est pas raccordé au gaz naturel ? Pourtant, Primagaz vous offre une alternative de choix : le propane.

On recense pas mal d’idées reçues à propos du propane. Alors énumérons-les pour leur tordre immédiatement le cou. Il faut dire que nous sommes vraiment sûrs de notre source d’énergie économique, sûre, durable et polyvalente.

Primagaz fait partie du groupe SHV Energy, le leader mondial de la distribution de LPG. L’innovation et l’orientation client sont nos principales valeurs. Primagaz fournit du gaz propane dans toute la Belgique.

Vos avantages : - Notre conseiller en énergie est votre interlocuteur central et compose avec vous un ensemble de services sur mesure.

- Des transporteurs locaux vous garantissent une livraison rapide.

- Nos services techniques sont jour et nuit à votre disposition.

Cinq idées reçues à propos du gaz propane L Le gaz propane est cher

L Le gaz propane est démodé L Le gaz propane n’existe

choix budgétairement raisonné Vu que vous louez la citerne, vous n’avez pas d’investissement de départ à faire. En outre, une chaudière à condensation au gaz est nettement moins chère qu’une chaudière à condensation comparable au mazout et offre en plus un rendement plus élevé. Une chaudière au gaz ne doit être contrôlée qu’une fois tous les 3 ans contrairement à l’entretien annuel d’une chaudière au mazout.

avez le souci du développement durable Vous voulez réduire votre empreinte écologique ? Alors le propane est un excellent choix. Car cette source d’énergie rejette 19 % de CO2 en moins que le mazout et produit moins de particules et de suie. Le propane se combine également parfaitement avec les sources d’énergie alternatives modernes.

L Le gaz propane est

combustible polyvalent Le propane n’est bon que pour la cuisinière ? Bien sûr que non ! En optant pour le propane, vous choisissez une source d’énergie qui se prête à toutes les applications domestiques classi­ ques : chauffage central, eau chaude et cuisine. En outre, le propane est également idéal pour toutes sortes d’appareils au gaz, des barbecues aux radiateurs de terrasse et aux poêles à gaz.

3 Le gaz propane est un

dangereux

3 Avec le gaz propane, vous

donnez la priorité à la sécurité Les conduites de gaz propane sont enterrées, bien en sécurité dans votre jardin. Elles ne sont donc en rien plus dangereuses que des conduites de gaz naturel. En outre, nous nous chargeons de l’homologation et l’entretien de la citerne.

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3 Avec le gaz propane, vous

L Le propane ne permet que de cuisiner

3 Le propane est un

qu’en bouteilles

3 Le propane peut être

stocké sous différentes formes En concertation avec votre c o n s e i l l e r é n e r g é t i q u e Primagaz, vous choisissez la forme sous laquelle vous allez stocker votre propane. Vous manquez de place ou vous consommez peu ? Dans ce cas, optez pour des bouteilles. Vous avez suffisamment d’espace ?

Alors placez dans votre jardin une citerne aérienne ou enterrée, afin de ne pas entraver la vue sur votre jardin. Vous pouvez louer une citerne à partir de 70 e par an, contrôles légaux et entretien inclus.

Une solution temporaire également Vous devez attendre encore quelques mois pour le raccordement au gaz dans votre rue ? Dans ce cas, vous pouvez utiliser le propane comme une source d’énergie temporaire.

Ensuite, vous pouvez très facilement passer au gaz naturel en remplaçant tout simplement les gicleurs de votre chaudière à gaz.

Vous désirez en savoir plus à propos des avantages du gaz propane ? Visitez notre site web ou appelez le 0800/92.850 et prenez rendez-vous avec un conseiller en énergie Primagaz.

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De tout temps, le propane a été une source d’énergie propre, écologique et sûre.

Tout cela vous est garanti par : • une faible émission de CO2 et des particules fines • pas de pollution du sol • un meilleur CPE • des normes et des inspections de sécurité strictes • des installateurs habilités en propane Le propane est très avantageux et vous économisez beaucoup d’argent : • • • • •

faible prix d’achat d’une chaudière à gaz moins d’entretien pas d’achat d’une citerne à gaz faire le plein à un prix avantageux passage au gaz naturel rapide et sans problèmes

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Au Canada, en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Suède et en Finlande, des pays réputés pour leur climat assez rude, 60 % des nouvelles constructions sont équipées d’un système de chauffage alimenté par des granulés de bois. Voici de quoi vous décider à faire le pas…

Une énergie renouvelable et bon marché Les avantages de l’utilisation d’une chaudière à granulés de bois (pellets) sont nombreux. Pour commencer, le pellet est un combustible naturel qui peut être produit localement et ne produit pas ou très peu de CO2. Il n’a donc pas d’influence sur l’effet de serre ainsi que sur notre climat. Le pellet participe également à la valorisation des déchets de l’industrie du bois.

D’un point du vue économique, le chauffage bois est meilleur marché que tout autre mode de chauffage utilisant des énergies fossiles comme le gaz ou le mazout. A titre de comparaison, produire 100kW pendant une heure coûte 5,2 e avec du pellet et coûte 9,5 e avec du mazout.

Grâce à une automatisation complète, une bonne chaudière à pellets ne nécessite pas plus d’intervention de l’utilisateur qu’une chaudière à mazout classique.

En résumé, une chaudières à pellets de qualité permet une faible consommation de combustibe bon marché, un bon confort d’utilisation et pollue peu.

Chaudement recommandée : la chaudière à pellets tout confort !

Les chaudières à pellets Windhager

Leader européen dans le domaine, Windhager représente la qualité autrichienne et peut se permettre d’offrir une garantie totale de 5 ans.

Tous les modèles donnent droit aux primes régionales et le retour sur investissement se fait en moins de 5 ans.

Des chaudières tout confort !

Les chaudières à pellets Windhager sont entièrement automatiques : alimentation et nettoyage. Un simple nettoyage manuel à la brosse est nécessaire une fois par an. Le bac à cendres ne doit se vider que 2 fois par an grâce au « compactage » des cendres.

Quatre types de silos à pellets sont disponibles : entre murs, en toile, en acier galvanisé ou enterré comme une citerne.

Le silo peut se trouver jusqu’à 25 m de la chaudière grâce au système d’alimentation pneu-

matique, et ce en ne cédant rien à la fiabilité. Le ravitaillement se fait par soufflage (camion spécialisé) aussi simplement que pour le mazout.

Des chaudières innovantes…

Les chaudières à pellets Windhager modulent leur puissance de 30 à 100 % en fonction des besoins : elles sont actuellement les seules à le faire et gardent ainsi 93 % de rendement toute l’année.

Le modèle VarioWIN possède le plus petit brûleur du monde : il a été conçu spécialement pour les maisons à basse énergie et module à partir de 1,2 kW. L’alimentation en pellets se fait par aspiration pour plus de fiabilité : la vis sans fin pouvant se bloquer et entraîner une coupure du chauffage, Windhager a adopté une solution plus fiable qui est l’alimentation pneumatique.

Aline, 92 ans, habitante d’Havelange en Province de Namur* Au départ, j’étais plutôt réticente pour l’achat d’une chaudière à pellets, mais mon petit-fils en a tellement vanté les avantages que j’ai décidé de faire le pas. Je dois vous dire que je ne le regrette pas, bien au contraire, je m’en félicite tous les jours.

Au niveau confort, je n’ai pas remarqué de différence par rapport au mazout, il fait bon dans la maison et j’ai été très étonnée du silence de cette chaudière. Plus de senteurs de mazout dans la cave et une bonne odeur de bois à l’extérieur.

Je ne m’occupe de rien : la livraison des pellets est planifiée et tout le reste est automatique.

Mais surtout, j’ai réalisé de fameuses économies : imaginez que je consomme à présent 6 T de pellets à 1.500 e par an, au lieu de 4.500 L de mazout à 4.000 e ! Et puis j’ai reçu une prime de 1.750 e à l’installation de ma chaudière.

Cette chaudière-là, moi je vous la recommande chaudement !

Aline *Publié avec son aimable autorisation

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Encore une possibilité d’économiser de l’électricité : remplacement de la pompe de circulation classique par un circulateur à haut rendement de la classe A.

chauffage Le consommateur n’a pas toujours conscience que la pompe de circulation de son installation de chauffage central consomme de l’électricité, et pas qu’un peu : 5 à 10% de la facture privée de l’électricité du logement est à mettre à son compte.

Heureusement, il est possible de réduire cette consommation.

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Le circulateur

une consommation d’électricité invisible Dans un système de chauffage central, le rôle du circulateur est de faire circuler l’eau de la chaudière vers les radiateurs (ou les convecteurs). Les anciennes installations de chauffage sont équipées de circulateurs standard à une seule vitesse (environ 70-80 W de puissance), fonctionnant sans interruption tout au long de la saison de chauffe, soit environ 6 000 heures dans nos régions. Sa consommation d’électricité peut atteindre les 450 kWh/an : une consommation plus élevée que celle des réfrigérateurs, machines à laver ou lave-vaisselle récents.

Circulateurs modernes

Les installations modernes sont généralement équipées de circulateurs à 3 vitesses (de 25 à 75 W de puissance). Si un tel circulateur fonctionne sans interruption, c’est-à-dire 6 000 heures, il consomme entre 150 et 300 kWh/an, ce qui est déjà une économie appréciable.

Circulateurs à haut rendement

Depuis 2005, des circulateurs à haut rendement (notamment les marques Grundfos, Wilo et

Biral) sont disponibles pour le système domestique de chauffage central à un prix raisonnable : environ 180 € pour un appareil de classe B et 300 à 350 € pour un appareil de classe A. D’un point de vue technique, la diminution de consommation est obtenue grâce à un moteur à aimant permanent à variateur électronique de vitesse.

La pompe de circulation avec réglage électronique continu (classe A) adapte sa vitesse à la demande thermique. Ces appareils sont répartis par les fabricants selon une classification inspirée de celle des labels énergétiques : la plupart des circulateurs actuels sur le marché sont de classe A, B, C ou même D. Cette classe est mentionnée sur l’emballage et parfois dans le mode d’emploi ou avec un autocollant.

4 000 ou 6 000 heures par an ; un appareil de classe B nécessitera, dans les mêmes conditions, entre 109 et 163 kWh/an et un modèle de classe C entre 160 et 240 kWh. Comme les chiffres le montrent, un circulateur moderne de classe A consomme plus de 80 % de moins qu’un « vieux » circulateur.

Si vous faites remplacer votre circulateur, demandez au chauffagiste un circulateur à rendement élevé, c’est-à-dire de la classe A ou B. Les périodes d’amortissement (de 7 à 17 ans) sont plutôt longues, mais la vie de l’appareil est également très longue (15 à 20 ans).

Aux économies d’énergie s’ajoutera une augmentation de confort, car un circulateur de rendement élevé occasionne moins de bruit dans les tuyaux et les radiateurs.

Avantage de Si vous ne souhaitez changer de circulateur pas changer Une association allemande de consommateurs a réalisé un test comparatif des circulateurs à haut rendement. En moyenne, un circulateur de classe A consommera entre 52 et 78 kWh/an selon qu’il fonctionne

Si vous avez un circulateur standard à 3 vitesses, vous pouvez déjà économiser de l’énergie : vérifiez si votre circulateur est placé sur la vitesse la plus basse et, si ce n’est pas le cas, positionnez-le sur cette vitesse afin de

voir si elle est suffisante pour obtenir de l’eau chaude dans tous les radiateurs. En fait, ce sera très souvent le cas et l’économie n’est pas négligeable : 80 kWh pour une durée de fonctionnement de 4 000 heures par an.

Sources : Test Achat - Livios.be

Le projet Energy+ Pour favoriser le développement et l’intégration d’appareils à rendement optimal, un projet européen a été lancé, baptisé « Energy+ Pumps » afin que les chaudières et les circulateurs très performants deviennent le standard européen. Vous trouverez la liste des produits conformes aux critères de ce projet sur www.energypluspumps.eu.

Si la technologie des circulateurs à haut rendement devient la nouvelle norme en Europe, une réduction de l’utilisation annuelle de l’électricité de 60 % ou plus peut être réalisée, ce qui équivaut à une diminution de la consommation d’énergie de 18 à 30 TWh par an.

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La société DTC, active depuis 15 ans dans la distribution d’équipements pour le confort par le chauffage, le rafraîchissement et la ventilation des habitations et lieux de travail, lance un concept original : « le réseau dtc - experts en confort éco-thermique ». Un groupement de professionnels qui se fédèrent pour proposer à leurs clients une offre à valeur ajoutée qui dépasse la simple fourniture et l’installation d’équipements : garantir une approche professionnelle faite de conseil, de qualité, de compétitivité et d’un portefeuille complet de solutions. Nous avons rencontré son créateur et actuel directeur général, Étienne de Montigny.

DTC confort thermique et économies pour tous… Étienne de Montigny, quels sont les besoins et les exigences des consommateurs d’aujourd’hui en matière de chauffage domestique ?

Les besoins et les exigences du consommateur ont évolué. Il y a aujourd’hui des attentes précises en matière de confort dans la maison, et dans les espaces de travail, des attentes en rapport avec la sensibilisation environnementale, mais des exigences en termes d’économie.

On se trouve clairement dans un marché d’éco-consommation : le consommateur désire trouver des produits et des services économiquement et écologiquement performants. La crise oblige le consommateur à faire des choix mieux adaptés à son budget, mais aussi à ses attentes au niveau des performances énergétiques.

Aujourd’hui, le consommateur veut savoir, comprendre, s’impliquer dans son achat. Il recherche donc des prestataires en mesure de répondre à ses nouvelles attentes.

Le consommateur recherche plus qu’un équipement standard : il souhaite une solution intégrée et adaptée à ses besoins et à son budget, une solution qu’il aura choisie en étant pleinement et justement informé.

Le consommateur veut être sûr que son équipement fonctionnera au mieux et dans le long terme. Il veut être sûr de choisir l’offre la plus adaptée, mais aussi maîtriser son installation afin d’optimiser sa consommation.

Comment les installateurs du réseau DTC répondent-ils à ces nouvelles attentes ?

Pour répondre aux nouvelles attentes de ses clients, l’installateur ne peut plus se contenter d’être un simple technicien : il doit être capable d’écouter et de comprendre les attentes de ses clients, capable de présenter des solutions en expliquant leurs avantages respectifs, et enfin, capable de recommander

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la solution la mieux adaptée et d’expliquer pourquoi.

Lors de l’installation, il doit agir en professionnel et fournir un service irréprochable. Il doit faire preuve de maîtrise technique afin d’assurer un fonctionnement économique et écologique des équipements, en fonction de chaque situation.

Il doit ensuite veiller à ce que le client maîtrise à son tour son installation pour la gérer et l’évaluer au mieux de ses performances.

Voilà les impératifs qui s’imposent aujourd’hui aux installateurs s’ils veulent gagner la confiance de leurs clients et les fidéliser. Ils y gagneront en notoriété.

Comment s’est créé le réseau DTC et en quoi consiste-t-il ?

Après une expérience de 10 années en tant que technicocommercial pour de grands fabricants d’équipements de chauffage, de réfrigération et de climatisation, j’ai créé DTC, il y a 15 ans, en partenariat avec des installateurs-frigoristes et des climaticiens, avec l’objectif d’établir un groupement d’achat avec accompagnement technique et commercial.

Mais très vite, DTC a mis en place une véritable plate-forme de services aux installateurs, avec un bureau d’études et une équipe technique pour les épauler dans le dimensionnement des installations et pour leurs mises en route et lors de l’éventuel service après-vente.

Parallèlement, DTC est devenue l’interlocutrice privilégiée des interfaces universitaires concernant les performances des pompes à chaleur, et un partenaire des architectes ou des ensembliers du bâtiment en quête de conseils techniques sur l’optimisation des solutions de confort thermique dans leurs projets.

Et aujourd’hui, DTC adapte sa feuille de route à l’évolution de son marché, avec sa nouvelle

initiative : « le réseau dtc » pour promouvoir une véritable plateforme d’excellence et de développement à l’intention des installateurs adhérents. L’objectif est de leur offrir, de façon proactive, une approche globale performante de solutions techniques et de services qui leur permettront de répondre aux attentes et exigences des consommateurs.

Il s’agit donc d’un réseau d’experts en confort écothermique : quelles sont ses caractéristiques ?

La volonté est de créer un réseau dynamique composé d’installateurs labellisés comme experts dans les domaines du confort thermique. À travers ce réseau, les installateurs communiquent sous une bannière commune, avec pour objectif de proposer au marché un ensemble de prestations et de solutions techniques garantissant une qualité de service « haute performance » à leurs clients. Objectif réalisable grâce à l’aide structurelle personnalisée dont bénéficieront les membres, et à une émulation collective leur permettant de se situer au top de leur métier.

La collaboration avec d’autres partenaires comme les architectes, auditeurs énergétiques et sociétés spécialisées dans l’isolation permet de crédibiliser les prestations des installateurs du réseau dtc.

Et quel sera le rôle de DTC au sein de ce réseau ?

DTC assurera un rôle de promoteur : informer les consommateurs de l’existence de ce réseau, de ses spécificités et valeurs ajoutées, mais également informer les prescripteurs ou les grands donneurs d’ordres des avantages de celui-ci. Dans cet état d’esprit, DTC est bien entendu membre du Cluster Cap 2020.

DTC aura également un rôle de valorisateur de ce réseau, en apportant aux installateurs

l’ensemble des facettes leur permettant d’être plus compétitifs, et ce, au travers d’une formation technique et commerciale, d’une cellule de recherche développant de nouvelles solutions techniques, d’une centrale d’achat, de l’intervention de son bureau d’étude, de l’assistance technique sur le terrain, de l’accompagnement commercial et de la mise à disposition de supports de communication.

Faire partie de ce réseau sera donc très avantageux pour l’installateur ?

En adhérant au réseau dtc, l’installateur bénéficie non seulement d’un appui technique, commercial et logistique, tant au niveau de la formation que dans l’accompagnement sur le terrain, mais aussi de la mutualisation des achats du groupe et d’un partage d’expériences, afin d’anticiper les problématiques par des solutions éprouvées par les adhérents du réseau. Il en sera plus compétitif et pourra assurer une prestation globale qu’il ne pourrait pas offrir seul.

Les installateurs seront représentés par un organe de gestion collective du réseau : ils pourront s’impliquer dans des commissions de travail où, de concert avec le staff DTC, ils réfléchiront et décideront des actions à entreprendre pour affiner leurs performances.

Et au final, ce sera tout bénéfice pour le consommateur… Évidemment ! Notre initiative présente une alternative à la pression des grandes marques d’équipements sur le circuit des grossistes, distributeurs et installateurs. Elle garantit une offre la plus pertinente possible et un réel engagement vis-à-vis du client final.

Nous mettons à la disposition de ceux-ci un site internet sur lequel ils peuvent s’informer et nous soumettre leur projet. www.reseaudtc.be

Optez pour un confort d’eau chaude moderne, optez pour une chaudière 2 en 1 La chaudière gaz à condensation Vitodens 222-W, c’est la technologie de chauffage 2 en 1. Intégré à la chaudière, le préparateur offre une production d’eau chaude invisible. Le moment est peut-être venu de remplacer votre chaudière et profiter ainsi d’un confort d’eau chaude supérieur.

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Des solutions individuelles efficaces pour toutes les applications et sources d‘énergie.

Chauffage central + production d’eau chaude en une seule chaudière

Dans notre pays, moins de la moitié des familles savent combien d’électricité et de gaz naturel elles consomment, et seule 1 famille sur 5 se soucie activement de réduire sa consommation d’énergie.

Or, une vieille chaudière, aussi bien isolée soit-elle, entraîne une perte d’énergie thermique pouvant aller jusqu’à 35 %.

économies d’énergie

Viessmann vous offre une gamme de solutions pour chauffer chaque habitation efficacement et à moindre coût.

La dernière génération de pompes à chaleur air/eau est particulièrement remarquable.

Viessmann vitocal 200-S

Viessmann présente LE chauffage économique « Économiser sur le chauffage est essentiel et pas compliqué, » assure Patrick O. de ViessmannBelgique. Notre gamme permet à chaque particulier de trouver la solution la plus efficace pour sa situation personnelle : une solution totale pour les habitations passives, avec le free-cooling en option, chaudières à condensation et à bois, gamme très complète de préparateurs d’eau chaude, et chaudières basse température peu onéreuses. »

Chauffer avec les nouvelles technologies : les pompes à chaleur air/eau Vitocal

Les pompes à chaleur s’affirment de plus en plus comme la source de chauffage du futur. Viessmann est numéro un sur le marché des pompes à chaleur géothermiques, un marché qui double pratiquement chaque année.

Aujourd’hui, les travaux de terrassement ou forages nécessaires pour installer une pompe à chaleur géothermique dissuadent encore certains consommateurs.

C’est pourquoi Viessmann a lancé une nouvelle gamme de pompes à chaleur air/eau, qui fonctionnent sans travaux de terrassement.

Le modèle Vitocal 200-S est une pompe à chaleur air/eau facile à installer, efficace et peu onéreuse. Utilisant l’air extérieur comme source de chaleur, la nouvelle Vitocal 200-S rend la technologie accessible à chacun : à partir de 4.271 € hors TVA et installation. Une pompe à cha-

leur de ce type constitue une plus-value pour votre habitation et vous permet en outre d’empocher, en Wallonie, une prime intéressante.

En aspirant de l’air extérieur à 2°C et en fournissant de l’eau pour le chauffage à 35°C, la Vitocal 200-S offre un COP* de 3,5. Si l’air extérieur est à 7°C, ce coefficient COP est même de 4,6. « Grâce à ces performances, la pompe à chaleur air/eau permet non seulement d’améliorer considérablement les performances énergétiques (le niveau E) d’une habitation, mais aussi de réduire le délai d’amortissement et les émissions de CO2. » La Vitocal 200-S est une pompe à chaleur dite splitunit. Elle se compose d’une unité extérieure et d’une unité intérieure qui sont reliées entre elles par des conduites de réfrigérant.

L’unité extérieure peut être placée au choix au sol (isolée), sur un toit plat ou montée contre un mur extérieur. L’unité intérieure est un appareil mural compact comparable par sa forme et son design à une chaudière murale.

La Vitocal 200-S convient pour la construction neuve et la rénovation, pour le chauffage et le refroidissement.

Dans le cas d’une construction neuve, la pompe à chaleur peut être utilisée comme seul et unique générateur thermique tant pour le chauffage que pour la production d’eau chaude sanitaire. Elle doit parfois être secondée par un chauffage d’appoint lorsqu’il fait très froid. Pour ce

faire, Viessmann a équipé toutes les Vitocal 200-S d’un élément électrique intégré.

En rénovation, la pompe à chaleur (installée en configuration bivalente) offre de l’énergie durable et l’installation au gaz ou au mazout existante ne doit assurer l’appoint que lorsqu’il fait très froid. La présence de l’installation existante permet d’opter pour une installation géothermique moins puissante que ce qui est nécessaire. L’appareil dispose d’un fonctionnement inversé qui peut aussi être utilisé pour refroidir l’habitation en été.

Vitocal 222-S et 242-S

La Vitocal 222-S possède un réservoir intégré de 170 litres et la Vitocal 242-S est équipée, lors de sa production, de tous les composants nécessaires à l’intégration d’un système solaire, ce qui se traduit par un montage facile.

Chaudières à condensation au gaz et au mazout : Vitodens 222F, Vitodens 242-F et Vitoladens 333-F

Offrant des puissances allant de 4,8 à 35 kW, la chaudière à condensation compacte Vitodens 222-F a, avant tout, été créée pour la rénovation de chaudières existantes et donc pour le remplacement d’anciens appareils au gaz avec préparatuer d’eau chaude. Offrant une capacité de 100 litres, le réservoir de stockage intégré est tou-

*rapport entre l’énergie utile livrée par la pompe à chaleur et l’énergie électrique consommée.

jours en mesure de fournir une quantité suffisante d’eau chaude.

Disponible à partir de 3.095 € (hors TVA et installation), elle © Viegaet constitue une solution adaptée peu onéreuse.

Avec une puissance allant de 4,8 à 26 kW, la Vitodens 242-F est équipée d’un boiler solaire de 170 litres et d’une possibilité de raccordement direct et simple pour une installation solaire.

La Vitoladens 333-F est une chaudière compacte avec préparateur d’eau chaude conçue pour fonctionner au mazout.

À propos de Viessmann Fondé en 1917 sous la forme d’une entreprise familiale, le groupe Viessmann est aujourd’hui un acteur renommé dans le secteur du chauffage. Avec 9.400 collaborateurs et 16 sites de production, l’entreprise allemande est présente dans le monde entier. Viessmann a récemment racheté plusieurs entreprises actives dans le domaine de la biomasse et des produits régénératifs. Viessmann Belux existe depuis plus de 45 ans et emploie plus de 150 collaborateurs sur quatre sites : Zaventem, Roulers, Welkenraedt et Steinsel (Luxembourg). ViessmannBelgique est une entreprise en pleine croissance qui a réalisé, en 2011, un chiffre d’affaires annuel de près de 100 millions d’euros.

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Le fabricant belge Vasco profitera de Batibouw pour présenter deux nouveautés : Bryce Plus et Carré Plus deux radiateurs – mais peut-on encore parler de radiateurs – qui optimisent plus que jamais le dégagement d’énergie et conviennent parfaitement aux systèmes de chauffage à basse température. Le Bryce Plus offre un rendement de 30 % plus élevé. Un tube a été ajouté de chaque côté de la rangée de tubes du Carré Plus, pour un dégagement de chaleur supplémentaire de 15 à 30 % selon les dimensions.

La société en profite pour annoncer qu’elle entend se consacrer, dans les années à venir, au chauffage par le sol et à la ventilation silencieuse.

Vaillant : économies et écologie Durant le salon Batibouw 2013, Vaillant se concentrera sur des systèmes alliant économies d’énergie, écologie et confort optimal. Différents appareils et technologies seront exposés : chaudières à condensation, pompes à chaleur, systèmes à l’énergie solaire… Entre autres nouveautés, vous découvrirez le nouveau système de pompe à chaleur hybride geoTHERM de 3 kW, une innovation résultant de la combinaison d’une chaudière gaz à condensation et d’une pompe à chaleur.

Assisté par un régulateur intelligent, cet appareil tient non seulement compte des besoins thermiques de l’habitation, mais aussi du prix des sources d’énergie.

Sur cette base, le régulateur choisit automatiquement la source de chaleur la plus avantageuse pour le meilleur rendement.

En outre, Vaillant présentera ses chaudières murales au gaz à condenLuraflex versions : ces appareils sont sation ecoTEC plus dans©différentes extrêmement rentables et fiables, et permettent d’économiser tant du gaz que de l’électricité.

Régulation multizones de BRAINBOX La régulation multizones de BRAINBOX est un système de chauffage permettant de programmer et de réguler la température de chaque pièce, indépendamment l’une de l’autre. Objectif : éviter de laisser les chauffages allumés en permanence et de consommer plus que nécessaire.

Pourquoi chauffer toute la maison lorsque seules certaines pièces (cuisine, salle de bains, salon) en ont besoin ? Par ailleurs, un poêle à bois placé dans le salon perturbe le thermostat d’ambiance gérant l’ensemble de l’installation.

En proposant le système de régulation multizones d’un fabricant belge renommé, BRAINBOX offre une alternative aux chauffages « ancienne génération ». Une solution idéale pour qui souhaite allier climat intérieur confortable et gestion économe de l’énergie. La régulation multizones sera présentée en primeur au salon Batibouw 2013.

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Les solutions Multi-Energies !

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Les clients sont de plus en plus conscients des enjeux liés à l’installation d’un système de chauffage : confort, écologie, budget et primes, durabilité. C’est pourquoi ACV offre des produits innovants qui satisfont toutes les exigences modernes en termes de confort d’eau chaude et qui en plus respectent l’environnement.

Les boilers Smart SLME 200-800 : une solution économe et durable !

Boilers multi-énergies à haut rendement Permettent le raccordement d’une multitude de systèmes de chauffage: chaudières, pompes à chaleur, résistances électriques, panneaux solaires même inserts à bois, mais également une combinaison de tous ces systèmes Raccordement chauffage basse et haute température Boiler en inox Isolation de haute qualité 5 capacités possibles : 200L – 300L – 400L – 600L – 800L

Les boilers Smart SLME 200-800 couvrent donc les besoins en eau chaude de la famille moderne !

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Ce concept unique protège du dépôt calcaire et garantit ainsi un rendement élevé et continu.

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Les consommateurs peuvent bénéficier d’une garantie de 10 ans s’ils font appel à un installateur ACV PartnerPlus.

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Un bon système d’évacuation des fumées vous assure une bonne performance de votre appareil de chauffage et une sécurité maximale.

De nos jours, pour résister à l’agressivité des rejets, les conduits à fumées ont besoin d’un chemisage, d’un tubage adapté au type de cheminée et performant.

Votre cheminée est-elle réglo ?

Ces dernières années, nous avons assisté au développement de chaudières à haut rendement fonctionnant tant au gaz qu’au mazout. Il faut dès lors être conscient que nos cheminées classiques, comprenant un boisseau standard de 20 cm/20 en maçonnerie, ne sont plus adaptées.

Lors du changement d’un appareil de chauffage, il faut procéder aux adaptations nécessaires relatives au matériau, au diamètre et à la hauteur du conduit. Il peut aussi être nécessaire de procéder au tubage de la cheminée, voire à son rehaussement. Nous examinons ci-dessous les caractéristiques d’un bon système d’évacuation des fumées.

Le diamètre du conduit doit être adéquat

Le diamètre est déterminé en fonction du combustible utilisé, du nombre et de la puissance calorifique des appareils, ainsi que de la hauteur de la cheminée.

Si le diamètre est trop petit, la dépression est insuffisante et la cheminée ne tire pas assez, ce qui provoque un refoulement.

Si le diamètre est trop grand, le refroidissement des gaz de combustion est trop rapide, et cela peut entraîner de la condensation.

La section du conduit doit être constante

Il faut éviter un rétrécissement ou un élargissement brusque du conduit de cheminée et celui-ci doit être de préférence

de section circulaire plutôt que carrée ou rectangulaire.

Le diamètre de la section doit être adapté : une cheminée trop étroite n’assurera pas une évacuation suffisante des fumées.

Une section trop grande provoquera un refroidissement prématuré des fumées et il y aura de la condensation sur les parois.

Attention à l’obstruction du conduit par une accumulation de suies, voire par des gravats.

Les buses de raccordement et les solives, le cas échéant, ne doivent pas pénétrer trop profondément dans le conduit de cheminée.

Le conduit de cheminée doit être vertical

Le parcours vertical du conduit doit être au moins deux fois plus long que le conduit horizontal mesuré de la sortie de l’appareil à l’émergence du conduit. Les coudes et les sections horizontales perturbent le tirage et favorisent les dépôts de suie.

Si un coude est inévitable, il est préférable qu’il soit arrondi, et son angle ne peut en aucun cas dépasser 45°, ni même 30° pour les appareils à combustible solide, tels que le bois ou le charbon. Il ne peut y avoir plus de deux coudes par conduit.

Le conduit de cheminée doit être isolé

Les nouvelles chaudières « à haut rendement » émettent des fumées de températures inférieures, qui refroidissent donc plus vite, ce qui augmente le

risque de condensation dans le conduit de cheminée. Pour les chaudières à mazout, ces températures sont aujourd’hui de 210 °C contre 300 °C auparavant. Pour les chaudières au gaz, la température n’est que de 160 °C et même en dessous de 100 °C pour les chaudières à condensation.

L’isolation permet aux gaz de s’échapper plus rapidement, condition essentielle pour un bon tirage.

Si le conduit de cheminée est situé contre une paroi extérieure ou s’il traverse des pièces non chauffées, l’isolation devra être plus poussée. Il va de soi que le matériau isolant sera incombustible, par exemple les laines minérales ou l’isolation au basalte. Un vide d’air assure la ventilation de l’isolation et constitue une protection supplémentaire contre la condensation.

Le conduit de cheminée doit être étanche

S’il y a des boursouflures sur le papier peint ou des traces de

suies sur les parois intérieures de la cheminée, c’est le signe qu’il y a une ou des fissures au niveau du conduit, ce qui freine l’ascension des gaz de combustion.

Débouché de cheminée

Le débouché de la cheminée au niveau de la toiture répond à des règles précises : s’il n’est pas adéquat, il y a des risques de refoulement des gaz de fumée.

C’est le cas lorsque la cheminée est trop basse par rapport au faîte de la toiture ou d’un obstacle environnant, ou que la section du débouché est trop petite.

En cas d’obstacles environnants, arbres ou bâtiments…, il convient de placer un aspirateur statique. Les aspirateurs dynamiques sont déconseillés car, en cas d’arrêt de fonctionnement, ils empêchent l’évacuation des gaz de combustion.

Il faut veiller à ce que les éléments décoratifs placés au-dessus de la cheminée n’entravent pas le tirage. Les antennes ne peuvent évidemment pas être fixées à la cheminée.

Risques en cas d’inadaptation du conduit Le risque le plus grave est l’intoxication au monoxyde de carbone. Ce gaz est issu de la liaison de l’oxygène avec le carbone : il peut se former dans la cheminée en cas de refoulement violent de la fumée, si le diamètre du conduit est trop étroit ou en cas de fissures dans la cheminée. C’est pourquoi une cheminée adéquate est indispensable ainsi qu’une bonne ventilation de la maison.

La condensation trop rapide des gaz de fumée peut produire de l’acide sulfurique lorsqu’elle se lie avec le soufre. L’acide sulfurique va attaquer la brique, le ciment, le mortier et provoquer des taches. Une bonne isolation est donc recommandée.

Le feu de cheminée survient lorsqu’une trop grande quantité de goudron se dépose à l’intérieur de la cheminée : il faut donc faire ramoner la cheminée régulièrement. baticonfort 62 jan/fév 2012

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Cette année, Edilkamin vous réserve encore de très belles surprises.

MOON

Pour 2013, nous prévoyons : • Une nouvelle chaudière à pellets de 12Kw. • Une nouvelle gamme à pellets hydraulique de 15Kw. • Un poêle à pellet avec la sortie des fumées au-dessus.

• Une nouvelle gamme de poêle à bois avec des possibilités de canaliser l’air chaud.

En plus de ces nouveautés, vous aurez également la chance de découvrir le nouveau poêle pouvant fonctionner à partir de bois ET de pellets.

Une grande nouveauté !

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Le pellet est l’un des combustibles actuels les plus écologiques et performants pour les poêles, chaudières et inserts.

énergie renouvelable

Les pellets constituent une énergie renouvelable issue des sous-produits des industries de 1re et 2e transformation du bois.

Pour obtenir une bonne combustion, il convient de choisir des pellets de qualité, à haut pouvoir calorifique et sans additifs ni métaux lourds.

Des normes garantissent leur bonne qualité : DIN+, Önorm et NF. Il convient d’être attentif, car les données inscrites sur les sacs ne sont pas toujours fiables.

Des pellets d’accord,

mais pas n’importe lesquels…

Le pouvoir calorifique des pellets

Les pellets estampillés DIN+ et Önorm garantissent un pouvoir calorifique de 5 kWh/kg, ce qui est excellent. Il faut savoir que certains pellets conviennent mieux que d’autres à un type de chaudière : votre installateur vous recommandera une ou plusieurs marques de pellets qui vous assureront le meilleur rendement.

La qualité des pellets dépend aussi des conditions de stockage et de transport du revendeur. Un petit test : les pellets de bonne qualité se dissolvent complètement dans un verre d’eau et vont se déposer directement sur le fond.

Que choisir : résineux ou feuillus ?

Il est inutile de vouloir trancher, car, à partir du moment où le pellet est DIN+, qu’il soit issu de résineux ou de feuillus importe peu.

Les différences de rendement habituellement évoquées sont assez minimes en ce qui

concerne le pellet et dépendent davantage de la teneur en humidité de celui-ci qui est le facteur principal du pouvoir calorifique du pellet.

On produit rarement des pellets 100 % feuillus, car des additifs comme de la colle seraient nécessaires, alors que les résineux en contiennent naturellement.

Quels sont les risques encourus en consommant des pellets de mauvaise qualité ?

Brûler des pellets de mauvaise qualité peut entraîner une mauvaise combustion et donc un mauvais rendement, mais aussi un encrassement exagéré de votre corps de chauffe, voire la formation de mâchefer. Cela peut entraîner une corrosion et une oxydation prématurées et causer des pannes de chaudière ? Enfin et surtout, cela peut être nocif pour la santé et comporte des risques d’intoxication.

La norme DIN+

La norme DIN+ a remplacé l’ancienne norme DIN. Les caractéristiques exigées pour obtenir la certification sont les suivantes : Matière première : bois Pouvoir calorifique : supérieur à 17,5 MJ/kg Taux de cendre : < à 1,5 % Taux d’humidité : < à 12 %

Vérifiez toujours que les sacs de pellets certifiés DIN+ comprennent bien le label (logo), le numéro d’agrégation de certification et le nom du fabricant.

En effet, sans ce numéro, le pellet n’a pas été contrôlé et le label DIN+ n’a aucune valeur !

Vous trouverez la liste des marques certifiées sur le site www.pellets-belgique.be

Bois ou pellets ?

Financièrement parlant, il est vrai qu’un poêle à pellet coûte plus cher qu’un poêle à bois.

Les pellets coûtent également plus cher que le bois que l’on coupe soi-même, bien qu’il faille prendre en compte l’outillage nécessaire pour le couper, le transporter et le stocker. Écologiquement parlant, le pellet est moins écologique que le bois puisqu’il doit être broyé, séché et compressé.

Mais…

Le rendement des pellets est plus élevé, donc l’économie réalisée compense relativement bien la différence de coût et l’impact écologique.

Côté confort, le démarrage et l’arrêt d’un poêle à pellets sont programmables, car l’allumage est généralement automatique.

Un poêle à pellets est moins salissant qu’un poêle à bois, et les pellets prennent nettement moins de place que les bûches et sont donc plus faciles à manipuler et à stocker.

Source : www.pellets-belgique.be

baticonfort 62 jan/fév 2012

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La chaleur de vivre…

Comment gagner l’équivalent de votre salaire en vous chauffant avec une burneco ?

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La chaudière à pellets au même prix qu’une chaudière classique performante au gaz ou au mazout ? Burneco a trouvé la solution !

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Aujourd’hui, en matière de chauffage, les fabricants se coupent en quatre pour proposer des solutions toujours plus économiques : nous sommes saturés d’offres pleines de promesses. Mais comment s’y retrouver dans cette pléthore d’informations et comment réaliser réellement des économies d’énergie ? Présentation d’une entreprise belge qui a eu la volonté de proposer un système de chauffage simple, performant, écologique et économique.

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Les chaudières Burneco® donnent droit à la prime Région wallonne.

La société Burneco est une entreprise familiale active dans l’industrie depuis plus de 100 ans. Forte de son expérience et de son expertise, elle a conçu et fabriqué un système de chauffage correspondant aux attentes des consommateurs et aux préoccupations environnementales actuelles : une chaudière simple, performante, écologique et économique.

C’est ainsi qu’est née, en 2006, une gamme de chaudières à pellets d’une autre génération et entièrement fabriquées en Belgique.

Burneco contrôle les installations et procède elle-même à la mise en route.

Oui, il est réellement possible de diminuer sa facture

de chauffage de 50 % sans avoir froid !

La chaudière à pellets présente d’indéniables avantages…

Outre son caractère écologique, utilisant un combustible renouvelable et neutre quant aux rejets de CO2, la chaudière à pellet permet de faire de grandes économies sur le coût du chauffage en comparaison avec les chaudières traditionnelles au gaz ou au mazout.

Son alimentation est automatique et son installation est identique à celle de n’importe quelle autre chaudière, elle peut donc remplacer votre ancienne chaudière sans difficulté ni mise en œuvre particulières.

…Mais elle présente deux désavantages !

Le premier, c’est le stockage du combustible, puisqu’il faut prévoir environ 6 m3 d’espace pour le chauffage d’une famille de 4 personnes.

Le second, c’est son prix !

Burneco a résolu ces deux problèmes…

sente un encombrement de 86 à 140 cm en largeur. Cette chaudière trouve ainsi sa place dans toutes les habitations et est particulièrement idéale en rénovation.

Pour résoudre le problème du prix, Burneco a simplifié son système et a rogné sur ses marges : résultat, un coût moindre jusqu’à 50 % par rapport aux chaudières à pellets du marché.

Une chaudière Burneco se situe au même niveau de prix qu’une chaudière performante classique au gaz ou au mazout.

Sans perdre en qualité ni en performance !

Des chaudières moins chères, mais très performantes : elles sont équipées d’un brûleur exclusif leur permettant de répondre largement aux exigences actuelles d’émissions et de rendement. C’est pourquoi elles ont obtenu les mêmes certifications européennes que les grandes marques allemandes et autrichiennes.

Avantage du silo compact

Pour résoudre le problème du Outre le gain de place, il permet stockage, la famille Burnet a de stocker une bonne quanéquipé ses chaudières d’origine tité de pellets sans immobiliser d’un Billes silo modulable de 150, une grande d’argent. de silicate avec haut pouvoir isolantsomme © Ecobati 300 ou 450 kilos, ce qui repré- Le combustible reste « frais

» et ne prend pas l’humidité. À noter que l’achat des pellets en plus petites quantités est moins cher que la livraison en vrac par transporteur.

Burneco fournit à la demande des silos de grande capacité (jusqu’à 10 tonnes) avec transport pneumatique ou par vis.

Chaudières 100 % belges !

Les chaudières Burneco sont conçues et fabriquées en Belgique et réalisées dans des aciers belges de première qualité. Leur qualité principale est d’allier innovation technologique et simplicité d’installation et d’utilisation.

Le triple circuit des fumées assure une combustion quasi complète et un rendement optimal (92 %) ; l’échange thermique est hautement performant et permet de répondre instantanément à toute de­mande en eau chaude du circuit de chauffage.

Les régulations sont développées et fabriquées en interne.

4 modèles pour couvrir tous les besoins

La gamme comprend 4 modèles d’une puissance de 5 à 60 kW, avec une capacité en eau de 45 à 150 litres : modèles CAP 15 – CAP 30 – CAP 45 et CAP 60.

Ils sont tous équipés • d’une alimentation automatique par vis sans fin rectifiée en acier réfractaire, • d’un brûleur double fond cyclone cémenté et trempé, • d’un cendrier grande capacité pour espacer les vidanges, • d’un bac de récupération des suies, • d’un ventilateur et motoréducteur silencieux, • d’une porte de sécurité avant isolée.

Autres caractéristiques : • corps de foyer indépendant du système de chauffe d’eau, • isolation du corps de chauffe par nappes céramiques, • allumage et décendrage automatiques, • régulation électronique avec programme d’usine et programme à la carte, • mode veille et Ecostop, • entretien aisé par simple aspiration.

Et vous, avez-vous déjà votre burneco ?

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UN SYSTÈME, TROIS AVANTAGES pour les poêles à bois:

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Aujourd’hui, les cheminées et les poêles jouent la modernité des formes, des matériaux et des couleurs : formats allongés, vitres qui s’escamotent, manteaux qui se fondent dans les murs…

chauffage & esthétique

Poêle à bois Gate de Skantherm Cheminée trois côtés Duchamp © MCZ © Skantherm

Poêle cheminée Triptic © Brisach Cheminée contemporaine à gaz Luna Gold © M Design

Poêles, cheminées, inserts : la magie pour tous Cheminée versus poêle

La différence entre une cheminée et un poêle réside principalement dans la dimension : une cheminée à foyer ouvert est plus volumineuse qu’un poêle.

Ce qui a des conséquences esthétiques, mais aussi au niveau des performances.

Les cheminées sont moins performantes que les poêles et ont d’abord un intérêt décoratif. Pour optimiser l’efficacité d’une cheminée existante, il suffit de fermer le foyer en l’équipant d’un insert. La récupération de chaleur constitue une autre solution pour améliorer les performances d’une cheminée : installée dans l’âtre, elle exploite la chaleur « perdue » en la filtrant et en la redistribuant dans la pièce par un système de ventilation et de bouches d’aération. D’autre part, une plaque installée au

Nuro 160 de Dan Skan © Dan Skan

fond de la cheminée permet de conserver la chaleur produite un peu plus longtemps.

Insert versus poêle

Le principal avantage de l’installation d’un insert dans la cheminée est bien sûr son rendement : on passe de 15 à 70% environ ce qui permet d’atteindre des performances de chauffage beaucoup plus intéressantes.

Inséré dans la maçonnerie, il n’a pas le rayonnement d’un poêle, mais il peut redistribuer l’air chaud dans d’autres pièces grâce à un système de tuyaux.

L’insert est un donc une solution qui combine économies et performances énergétiques tout en conservant le charme d’une cheminée.

Styles et modèles

Il vous est possible de choisir votre poêle à bois dans la

Foyer compact SD 442 © Bodart & Gonay

finition qui s’accorde le mieux à votre intérieur : fonte, acier, pierre ou encore inox en version classique ou contemporaine.

Les cheminées sont également proposées dans ces deux versions, puis dans des modèles encastrés, semi-encastrés ou adossés. Très présentes et décoratives ou au contraire minimalistes et se fondant dans le mur, les cheminées peuvent être placées au centre de la pièce, les flammes étant visibles de chaque côté, dans un mur de séparation avec visibilité sur trois côtés ou encore dans un angle.

Emplacement

Le poêle doit être placé dans la pièce principale à un endroit où la circulation et la diffusion de la chaleur seront optimales.

Vu qu’il doit être raccordé à une cheminée, il conviendra de le placer le plus près possible

Insert au gaz Bellfires Derby Hidden Door © Dossin

de celle-ci, même si un système de buse peut permettre son installation au centre de la pièce, par exemple, ce qui est très tendance et permet de profiter au maximum de la chaleur émise, la buse devenant par ailleurs un élément de décoration.

Votre installateur vous conseillera également sur la taille et la puissance du poêle convenant à votre intérieur.

D’autre part, il est évidemment impératif de sécuriser l’installation tant pour les éléments inflammables situés à proximité que pour les enfants vivant dans la maison.

Combustibles

Chaque type d’appareil de chauffage est disponible dans des versions bois, pellets et gaz, certains poêles acceptant également les céréales.

Poêle à bois X-Back © Rika baticonfort 62 jan/fév 2012

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Autonome et offrant un très bon rendement, le poêle à pellets représente une alternative pour tous ceux qui veulent se chauffer de manière économique, écologique et sans contrainte.

énergie renouvelable Le poêle à pellets est un appareil de chauffage automatique au bois qui permet d’obtenir la chaleur du bois sans la corvée d’acheminement des bûches, et qui utilise des déchets de bois transformés en granulés appelés communément pellets.

© Rika

20 000 poêles à pellets vendus en 2012 Le poêle à pellets est un appa- Simplicité reil de chauffage monobloc d’utilisation équipé - d’un réservoir à granulés L’installation du poêle est de bois dont la capacité est simple, car il ne demande qu’un conduit d’évacuation variable, - d’un foyer avec un brûleur vertical de 1,5 mètre et non un en inox réfractaire, pour une conduit de cheminée complet.

Le combustible – granulés de durée de vie plus longue, - d’une vis sans fin pour ache- bois – est amené du réserminer les granulés vers le voir vers le foyer par une vis sans fin, en utilisant une télébrûleur, - d’un extracteur des gaz brûlés commande ou selon un prorejetant celui-ci vers l’exté- gramme préalablement défini en fonction de vos besoins en rieur, - d’un échangeur de chaleur à chauffage. L’allumage et l’extravers lequel passe par un tinction sont programmables sur 7 jours et il est même posfiltre, sible d’enclencher l’allumage à - d’un ventilateur silencieux distance, par téléphone. aspirant l’air ambiant et d’un tiroir à cendres.

L’ensemble est géré par une Consommation et carte électronique comman- performances dée à l’aide d’un clavier digital Il gère la température ambiante simple. au moyen d’un thermostat et Le poêle à pellets est équipé son rendement se situe entre d’un allumage automatique et 80 et 90 %. de deux turbines, l’une pour D’une puissance allant jusqu’à la combustion, l’autre pour la 15 kW, les poêles à pellets disventilation, ce qui nécessite posent en général d’un réserune prise de courant à proximi- voir d’une capacité de 25 à 40 té. L’allumage et la commande kg de granulés, certains jusqu’à sont électriques, mais le poêle 70 kg. Les granulés sont fourreste 100 % naturel, le pellet nis en sacs de 15 kg et peuétant un combustible renou- vent être livrés par palette de velable, neutre en matière de 65 sacs. Selon la capacité du CO2, car composé uniquement réservoir, un seul chargement de déchets de silicate bois hachés et pouvoir suffit pour 2 à 3©jours voire 5.

Billes de avec haut isolant Ecobati compressés.

On part du principe qu’1 kW

correspond à 10 m2, un poêle de 12 kW chauffera donc environ 120 m2. Pour un poêle en usage principal, il faut compter 2,5 T de pellets par an.

La densité des pellets est de 1,5 à 2 fois supérieure à celle des bûches. Sa combustion produit 0,5 à 1 % de cendres. Selon la norme Din Plus, un granulé de bois de qualité irréprochable doit avoir un taux de cendre inférieur à 0,5 %.

Le chauffage aux pellets offre une économie de 40 à 50 % par rapport au mazout et de 30 % par rapport au gaz. À noter que certains appareils permettent également d’utiliser des céréales comme combustible.

2 kg de pellets = 1 litre de mazout ou 1 m3 de gaz

Entretien et nettoyage

Il faut en principe vider le réservoir à cendres tous les 3 à 7 jours et nettoyer la vitre une fois par semaine. Certains poêles possèdent un système d’autonettoyage du pot de combustion, ainsi qu’un cendrier amovible et un nettoyage des vitres grâce à la circulation d’air.

Aperçu des avantages Simplicité : allumage automatique et fonctionnement automatique ou manuel Rapidité : production de chaleur en 1/4 d’heure Confort : température homogène et réduction du taux d’hygrométrie Puissant et silencieux : puissance en kW et couple en ventilation permettant de chauffer un grand volume Économique : énergie renouvelable moins chère que les énergies fossiles Propre : 0,5 à 1 % de cendres, ne rejette que du CO2 Souplesse : utilisation à tout moment en toutes saisons Inusable : composants fiables, inox réfractaire et plaque de foyer en fonte.

Autonomie et sécurité : thermostat thermique sur l’évacuation des gaz et arrêt automatique en cas d’anomalie Entretien aisé à pratiquer régulièrement (une fois par semaine) Coût : excellent rapport prix, rendement et consommation au m2 De quoi vous encourager aux économies d’énergies et à la protection de l’environnement.

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Ce

poêle c’est aussi votre

chaudière !

Nous rêvons tous du bien-être et de l’ambiance d’un bon feu de bois. Mais nous voulons aussi le confort, la facilité d’utilisation et la sécurité d’un chauffage central moderne.

Peu de gens le savent, mais il est tout à fait possible de remplir ces deux exigences, grâce à une technologie belge : le système de chauffage central de DDG.

12-58 kW DDG sa Kolonel Begaultlaan 43/2 - B 3012 Leuven - Belgique Tél.: 016/29 64 94 - e-mail: info@ddg.be BATICONFORT 195x135.pdf

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Poêles et inserts nouveautés DDG présente ‘PIO’ à Batibouw 2013 :

une toute nouvelle série de poêles pour chauffage central pour les habitations passives et basse énergie n À l’occasion de Batibouw 2013, DDG présente un nouveau concept qui offre non seulement une belle réalisation technologique, mais prouve également que le fabricant continue à répondre aux dernières tendances. Le tout nouveau ‘PIO’ est un poêle compact et bien isolé qui se prête parfaitement aux constructions passives et basse énergie. Le principe de base de DDG reste le même : le poêle peut être raccordé sur le chauffage central, consomme un combustible écologique et renouvelable qu’est le bois, et contribue tant au chauffage de l’habitation qu’à l’approvisionnement en eau chaude sanitaire. La nouveauté réside dans le fait que la chaleur rayonnante de ce poêle est considérablement réduite et que la chaleur dégagée par la combustion peut être stockée pendant une longue période dans un réservoir tampon afin d’être libérée lorsque l’utilisateur en a besoin.

n DDG est un fabricant belge

renommé pour ses poêles et inserts raccordés sur les sys-

tèmes de chauffage central dans les logements particuliers.

Traditionnellement connue pour ses appareils puissants (jusqu’à 58 kW), l’entreprise anticipe avec PIO sur la tendance des habitations plus petites et mieux isolées, dont les besoins en matière de chauffage sont moindres. La série PIO propose des émissions minimales, un design innovant et un rapport idéal entre la chaleur rayonnante directe et la chaleur collectée (chaleur hydronique/

destinée à l’eau). Dorénavant, DDG offre une solution pour chaque type d’habitation et est le seul acteur du marché à proposer des poêles et inserts pour chauffage central dans toutes les puissances souhaitées.

n L’innovation technologique du concept réside dans

la toute nouvelle technique de combustion ingénieuse avec répartition intelligente de l’air.

La chaleur générée est stockée dans un réservoir tampon afin d’être utilisée au moment souhaité pour le chauffage ou l’eau chaude sanitaire. Dans la plupart des cas, PIO sera associé à un système solaire thermique, si bien que les combustibles classiques (gaz, mazouta…) deviennent superflus. Et grâce à son design élégant et sobre, ce poêle s’intègre parfaitement dans chaque intérieur, où il réchauffera les cœurs par son agréable jeu de flammes.

• Puissance nominale totale : 6 kW • Rayonnement (1/3): 1-2 kW / chaleur destinée à l’eau (2/3) : 4-5 kW • CO < 0,10 %

• Consommation : 1,8 kg/heure – uniquement bois, pas de charbon – rendement de 81% • Design : beau poêle sobre aux proportions équilibrées • Excellente isolation + vitre IR • Technique : combustion particulièrement performante grâce à une toute nouvelle technique de combustion ingénieuse avec répartition intelligente de l’air.

• Modèles en gris anthracite standard • Dimensions : l 365 x H 1160 x P 430 mm (possibilité de fabrication sur mesure) • Prix belge : à partir de 4.500 e hors TVA Présenté en avant-première à Batibouw 2013, disponible en automne 2013.

Pour plus d’information : DDG SA · Kolonel Begaultlaan 43-2 · 3012 Louvain-Belgique Tél. 016/29.64.94 Fax : 016/29.12.54 www.ddg.be · getinfo@ddg.be Sur le plan pratique : Sofie Parthoens · Advanced Fair Tél 02/773-50-20 sp@advancedfair.com

Du nouveau et du solide chez FLAM L’entreprise de Saint-Trond propose cet automne-hiver son nouvel insert encastré Largo +, présenté comme le nec plus ultra pour chauffer de manière très économique au charbon, au bois ou aux noyaux de cerise. Un insert multicombustible donc qui peut également être utilisé comme feu ouvert, ce qui lui confère un charme indéniable. FLAM décrit le Largo + comme « largement en avance sur son époque, tant en termes de design que de technologie ». Il faut dire que cet insert anticipe par rapport à la législation puisque ses valeurs d’émissions sont déjà conformes à la norme belge pour 2017. Son rendement oscille entre 85 et 90 %. Côté extérieur, le Largo+ se distingue par une grande surface vitrée et un cadre métallique ultra mince : minimaliste à souhait.

Côté intérieur, il se révèle hautement technologique : « Le système de combustion Multi-Turbo breveté a été perfectionné pour offrir une combustion encore plus efficace et un meilleur confort », explique le directeur technique Philippe Jalon. En effet, cette technologie peut être réglée encore plus finement avec pour résultat un rendement très élevé, même à 10 ou 15 % de la puissance. Il chauffe donc plus longtemps avec une quantité de combustible minimum. Les émissions de CO et de particules sont réduites au minimum. Et son design garantit plus de chaleur rayonnante (la bonne chaleur !), tandis que l’enveloppe reste tiède et que la température autour de l’appareil reste faible.

Mais le Largo+ est aussi un feu ouvert à haut rendement ! La vitre est complètement relevable pour une vision totale des flammes.

L’insert accepte le charbon traditionnel, les briquettes de lignite ou l’anthracite industriel, mais aussi toutes sortes de biomasses alternatives. Vous pouvez ainsi passer à un autre combustible moins cher quand cela vous plaît : Flam met à votre disposition un tableau comparatif sur son site www. flam.be.

Côté pratique, la porte pivote à 90° pour faciliter le nettoyage, la vitre est traitée pour rester toujours quasiment propre. L’insert n’a pas besoin d’énergie électrique pour fonctionner. Il est parfaitement isolé, la combustion peut donc se faire indépendamment de l’air de la pièce. baticonfort 62 jan/fév 2012

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Avec ses vingt-cinq ans d’expérience, Brunner est une entreprise familiale allemande, disposant de sa propre fonderie, qui est devenue l’un des principaux acteurs sur le marché des foyers et des poêles, du fait de la haute qualité de ses produits. En effet, Brunner est très attentive à la finition de ses poêles et à leur rendement, et propose des solutions pour tous les goûts, pour toutes les situations et toutes les bourses.

chauffer une maison complète avec un poêle à bois et à pellets

Brunner : technologie, qualité et sérieux « made in Germany » Un poêle à bois Brunner res- peut être utilisé comme chaufsemble, à première vue, à un fage d’appoint ou comme syssimple feu ouvert. Mais en tème de chauffage unique, l’examinant de plus près, on si l’habitation présente une remarque qu’il a été conçu déperdition calorifique de avec les techniques les plus moins de 9 kWh. Brunner promodernes. Ainsi, une part de pose également des solutions la chaleur produite peut être pour les maisons « basse énerstockée dans un réservoir d’eau gie » ou « passives ». Il existe chaude (ballon - tampon). Cette une gamme étendue d’inserts eau chaude est ensuite, soit dis- et de poêles correspondant aux tribuée vers les autres pièces besoins énergétiques propres à dans le système de chauffage chaque maison, que ce soit par central, soit utilisée pour chauf- la production d’air chaud ou fer l’eau chaude sanitaire. Le par la chaleur rayonnante. système au bois peut fonctionner, si nécessaire, de manière totalement autonome, grâce à Foyer de masse un module électronique “pel- Les propriétaires de cette maison existante ont choisi un lets” intégré.

Ce qui permet de choisir entre foyer qui apporte à la fois chadeux types d’énergie renouve- leur et convivialité. Dans cette optique, la paroi qui ceinture lable: bois ou pellets.

Les modèles à porte escamo- le poêle a été pourvue de cartable sont très bien conçus et reaux en céramique, en terre ferment de manière totalement cuite hydrofuge, qui emmagahermétique : aucune perte de sinent la chaleur et la restituent chaleur, tant au niveau du canal jusqu’à douze heures après l’ard’évacuation qu’au niveau de rêt du poêle, sous forme d’une la façade vitrée. Facteurs qui chaleur agréable par rayonneparmi d’autres contribuent à ment. obtenir un très haut rendement. Ce système peut également être Billes silicate avec haut pouvoir © Ecobati combinéisolant à un module permetL’insert de de cheminée Brunner

tant la production d’eau chaude sanitaire. L’habillage en céramique peut être adapté à vos goûts et préférences : du classique à l’ultramoderne. (photo de gauche)

Poêle à carreaux polyvalent

Le foyer sert de source de chaleur pour toute une maison de 300 m2 et permet également de produire de l’eau chaude.

En hiver, il suffit de faire fonctionner ce poêle deux fois par jour en y brûlant du bois ou des pellets. Au-dessus du foyer se trouve un réservoir d’eau qui envoie l’eau chaude au boiler installé dans une autre pièce. (photo de droite)

Foyer à bois/pellets

Vous pouvez opter pour un foyer qui consacre 60-70 % de son énergie au chauffage central et à l’eau chaude, le reste servant au chauffage direct du séjour.

Ces pourcentages sont régulés par un système automatisé.

Dans le cas d’un module à pel-

lets, la commande adapte le débit d’acheminement des pellets à la température ambiante souhaitée. En outre, ce dispositif ferme automatiquement le clapet de cheminée une fois le feu terminé, évitant ainsi que la chaleur ne s’échappe par le conduit d’évacuation des fumées.

Pour les petits et grands espaces

Pour réaliser un foyer compact fournissant néanmoins beaucoup de chaleur par rayonnement, Brunner a réalisé un développement spécifique : le système de combustion du foyer a été équipé d’anneaux en céramique accumulant la chaleur.

Ce foyer est donc idéal pour les habitations plus petites.

Mais Brunner propose également le foyer architectural, créateur d’ambiance, pour les grands espaces. www.brunner.eu docu@brunner.eu debels@brunner.eu baticonfort 62 jan/fév 2012

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BATIBOUW 2013

St. 6-231 / 6-418

Bring back the fire into your life

www.m-design.be

info@m-design.be

B - 8210 Zedelgem (Brugge)

Afin de profiter pleinement de votre foyer ouvert ou fermé, il existe une large gamme d’accessoires de cheminées : serviteur, porte-bûches ou pare-feu spécial enfant, par exemple.

accessoires Chariots à bois en acier gris ou noir, en bois et acier, en osier…

Corbeilles à bois de formes diverses en acier, inox ou osier…

Pare-feu en vitro Pour une meilleure utilisation de la cheminée, et pour éviter d’éventuels accidents, il convient de s’équiper des accessoires de cheminée les mieux adaptés.

Photos Cheminées Liégeois

Accessoires de cheminée

utilité, confort et design Panier à bûches

On trouve différentes versions de paniers à bûches, à porter ou sur roulettes et réalisés en divers matériaux : osier, toile de jute, verre, inox.

Le coût varie en fonction du modèle : un simple modèle en osier se trouve à partir de 10 €; un panier à roulettes à partir de 30 € pour; et les modèles plus design en verre ou en inox entre 150 et 200 €.

En général, ce support en acier comprend une pelle pour ramasser la cendre, un balai pour nettoyer le foyer ou l’insert et un tisonnier et une pince pour déplacer les bûches de bois chaudes.

Serviteur de cheminée

Le serviteur de cheminée est aujourd’hui à la fois un objet utilitaire et un élément de décoration pour le salon. Il en existe dans tous les styles pour être parfaitement accordé avec la cheminée. Il convient de le choisir robuste, fiable et, bien sûr, design.

Pare-feu

Le pare-feu figure parmi les accessoires de cheminée indispensables pour empêcher les étincelles de se propager dans la pièce où est installé le foyer. Des vérifications s’avèrent nécessaires pour que les dimensions du pare-feu correspondent bien à l’ouverture de la cheminée. Il est habituellement en acier, en fer forgé ou en fer trempé à cause de sa fonction préventive contre les incendies. Mais aujourd’hui, il a aussi une fonction décorative : les pare-feu en verre par exemple sont très discrets et esthétiques.

Photo Becquet

© Hélipresto baticonfort 62 jan/fév 2012

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POÊLES À GRANULÉS

CHAUDIÈRES AUTOMATIQUES À GRANULÉS

RV 100 kW 2.8 - 10.0 H X L x P : 1099 x 525 x 535 mm Capacité réservoir : 25 kg Poids : 130 kg Volume de chauffe : 200 m3 Consommation / h : 0,6 à 2,2 kg/h Rendement : > 87% Autonomie : 10 à 41 h.

Existe en Blanc, Gris anthracite, Bordeaux, Noisette

cTc

RC 120 kW 2.8 - 12 H X L x P : 1073 x 500 x 540 mm Capacité réservoir : 25 kg Poids : 130 kg Volume de chauffe : 240 m3 Consommation / h : 0,6 à 2,6 kg/h Rendement : > 89% Autonomie : 9,6 à 40 h.

2 sorties air chaud Existe en Blanc, Noir, Noisette, Bordeaux, Parchemin

CHAUFFAGE DE CONFIANCE

RV 80 céramique kW 2.8 - 8.0 H X L x P : 997 x 512 x 485 mm Capacité réservoir : 15 kg Poids : 123 kg Volume de chauffe : 160 m3 Consommation / h : 0,7 à 1,7 kg/h Rendement : > 85% Autonomie : 9 à 20 h.

Existe en Blanc, Noir, Bordeaux, Terre d’Orient

ET BIEN LES. S POE T D’AU RE NDEZ A DEM EPLIANT. NOTRE D

H X L x P : 951 x 440 x 458 mm Capacité réservoir : 15 kg Poids : 92 kg Volume de chauffe : 140 m3 Consommation / h : 0,5 à 1,5 kg/h Rendement : > 85% Autonomie : 9,3 à 30 h.

Existe en Blanc, Noisette, Bordeaux, Gris anthracite

Olivia kW 2.8 - 8 H X L x P : 1120 x 800 x 250 mm Capacité réservoir : 15 kg Volume de chauffe : 160 m3 Consommation / h : 0,72 à 1,7 kg/h Rendement : > 85% Autonomie : 9 à 20 h.

1 sortie air chaud

Ceramica Poids : 115 kg

L’innovation qui a du sens

R 70 kW 2.5 - 7.0

Existe en Blanc, Noir, Noisette Bordeaux, Terre d’Orient

MATAGNE-HODY sprl

13, rue de Bouillon - B-5555 BIÈVRE - Tél. 00 32 (0) 61 51 18 77 - Fax : 00 32 (0) 61 65 85 00 www.matagnehody.net - E-mail : andcollin@hotmail.com - info@matagnehody.com

Le tubage est particulièrement adapté en rénovation, lorsque le conduit traditionnel maçonné existant est trop ancien ou ne présente pas toutes les garanties d’étanchéité et de sécurité.

cheminée

Pour profiter d’un bon feu de cheminée, il est indispensable d’avoir un conduit de fumée adapté, conforme et sûr, car il joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’appareil de chauffage.

Milano Stein © Skantherm

© Dossin

Sécurité et performances

grâce au tubage de la cheminée Il est nécessaire de tuber un conduit de fumée lorsque son étanchéité n’est plus assurée, lorsque son tirage est insuffisant à cause d’une section est trop large, lorsque sa hauteur trop courte pour l’appareil de chauffage qui y est raccordé, ou encore lorsque son inertie thermique est trop forte et que cela provoque une forte condensation des fumées.

L’étanchéité

Un conduit ancien en maçonnerie présente souvent des fissures ou une dégradation du cimentage intérieur : résultat, la fumée se répand dans les pièces voisines. Ce n’est pas agréable, mais, surtout, c’est très dangereux, puisque la fumée peut être chargée en monoxyde de carbone, un gaz hautement toxique, mais tout à fait inodore et incolore.

Il est assez facile de mettre en évidence un défaut d’étanchéité : on obture le conduit du débouché en toiture, puis on le met en surpression à l’aide d’un générateur de fumée.

Une observation attentive du conduit permet de repérer tous ses défauts d’étanchéité.

Le tirage

Si un appareil de chauffage envoie un certain débit de fumée dans un conduit dont la section est supérieure à celle de sa sortie, les fumées sont ralenties et diluées. Elles se refroidissent trop rapidement et la vapeur d’eau qu’elles contiennent condense. De plus, en cas de mauvais tirage, l’appareil de chauffage ne parvient plus à bien évacuer les gaz de combustion.

Le tubage permet d’adapter la section du conduit à la section de sortie de l’appareil de chauffage.

Si le tirage est trop fort, il peut être réduit par un régulateur de tirage que l’on place à la base du conduit. Placé sur un conduit de chauffage central, ce petit clapet est parfois suffisant pour assécher les condensations légères lorsque la chaudière est à l’arrêt, ce qui permet de ne pas réaliser un tubage complet.

La condensation

Lorsque la vapeur d’eau contenue dans les fumées condense, elle se charge d’imbrûlés et de gaz toxiques et forme un liquide acide qui attaque la paroi intérieure du conduit, allant souvent jusqu’à la détruire. Cette condensation est également à l’origine du « bistre » qui chemise progressivement le conduit : le bistre est difficile à éliminer et présente un risque potentiel de feu de cheminée. Le bistre est formé à partir de résidus de combustion composés d’un ensemble de produits volatils véhiculés par la vapeur d’eau suite à la condensation.

Pour éviter la condensation, les fumées doivent être évacuées via un conduit étanche et de section adaptée, aux parois lisses et au tracé le plus droit possible ; il doit être de faible inertie thermique pour obtenir rapidement les températures de régime optimum.

Entretien de la cheminée L’entretien annuel par un technicien agréé ou un ramoneur est obligatoire si vous vous chauffez avec un combustible solide comme le bois, les pellets ou le charbon, et avec un combustible liquide comme le mazout.

Si vous vous chauffez avec un combustible gazeux comme le gaz naturel, le propane ou le butane, un entretien bisannuel est suffisant, mais obligatoire.

Faites appel à un entrepreneur agréé, afin d’éviter tout problème avec votre assurance en cas d’incendie.

Après l’entretien, l’entrepreneur vous délivre une attestation d’entretien : conservez-la avec votre police d’assurance.

baticonfort 62 jan/fév 2012

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Poêles à pellets

Enjoy the fire !

PALAZZETTI

Palais 6 ·Stand 411

RVDistribution

Zoning industriel de Mariembourg, 25 5660 Mariembourg Tél. 060-390 630 · Fax 060-390 831

Dans une société où tout doit aller vite, le stress fait partie de notre quotidien. Pour rester en forme, il est essentiel de bien dormir, ce qui hélas n’est pas souvent le cas.

sommeil Aujourd’hui, nous dormons en moyenne 1 h 30 de moins qu’il y a cinquante ans ! Cela devrait nous alarmer, car c’est dans le sommeil que nous puisons l’énergie qui nous permet d’être vigilants et actifs durant la journée et d’être en bonne santé.

Qualité du sommeil,

qualité de la vie Des études ont prouvé que le manque répété de sommeil a des répercussions néfastes sur notre santé et notre vigilance : diabète, maladies cardiovasculaires, hypertension, prise de poids, dépression, migraine, somnolence au volant, baisse de motivation au travail, et pour les enfants et adolescents, difficultés de concentration et d’apprentissage, décrochage scolaire.

Or, pour se sentir en forme et être efficace au cours de la journée, il faut avoir un bon rythme de sommeil : on estime la durée idéale d’une nuit à 8 heures et 6 minutes.

Nous avons pris de mauvaises habitudes, notamment de pratiquer du sport et de manger trop tard le soir, de regarder longuement la télévision, de faire la fête jusqu’au petit matin…

Temps de sommeil

Il est variable selon les personnes : il y a les « gros » et les « petits » dormeurs, la durée idéale d’une nuit de sommeil est donc celle qui vous donne le sentiment d’être en forme et efficace dès le lendemain matin.

Durant la première partie de la nuit, le sommeil est lent, profond, physiquement réparateur, durant la seconde partie, le sommeil est plus favorable à la récupération psychique

et nerveuse. Le sommeil sera reconstituant si les cycles se succèdent harmonieusement.

Attention, en couple ou en famille, il importe de respecter le temps de sommeil de l’autre.

L’endormissement

Aujourd’hui, de nombreuses personnes connaissent des difficultés pour s’endormir.

Pourquoi ? Parce que nos horaires sont irréguliers : film tardif, sorties, soirées à la maison, toutes ces « bonnes choses » dérèglent notre sommeil.

Pour faciliter l’endormissement, rien de mieux que des horaires réguliers : essayez de revenir à un rythme régulier entre deux soirées festives et ne dormez pas trop tard le lendemain matin.

Comment favoriser l’endormissement ?

Le sport fait beaucoup de bien à l’organisme et assure un bon sommeil, mais il ne doit pas être pratiqué trop tard le soir : il faut au moins deux heures d’écart avec le coucher. En effet, le soir, notre température corporelle descend pour faciliter l’endormissement et il ne faut pas contrecarrer cette régulation naturelle.

Les repas du soir trop riches en protéines et en graisses retardent l’endormissement.

L’alcool va peut-être le favo-

riser, mais le sommeil sera de mauvaise qualité. À éviter le soir, les excitants tels que le café, le jus d’orange et le tabac.

Une bonne literie, choisie selon sa taille et son poids, sera aussi garante d’un bon sommeil.

Ne luttez jamais contre le sommeil, car c’est le meilleur moyen de « casser » celui-ci et de repartir pour un cycle de 3

heures : tant pis si le film n’est pas terminé… À l’inverse, ne vous couchez pas si vous n’avez pas sommeil, vous allez vous énerver dans votre lit et cela retardera d’autant plus l’endormissement.

Il ne faut pas rater le « bon moment » pour s’endormir : si vous écoutez votre corps, il vous guide parfaitement.

Nos ados sont des fatigués chroniques !

La plupart des ados sont fatigués dès le réveil et se traînent tout au long de la journée. Les bouleversements hormonaux de la puberté, la pression scolaire avec des devoirs plus importants, et bien sûr les activités trop stimulantes le soir : télé, jeux vidéo, Internet, gsm… Bref, il est en super forme le soir et a du mal à s’endormir. Résultat : il n’a pas son compte d’heures de sommeil, c’est-à-dire au moins 9 heures, et ça le rend anxieux et agressif, et nettement moins concentré en classe.

Il ne faut pas croire que faire la grasse mat’ le week-end va compenser : au contraire, dormir 10-12 heures entraîne un déphasage des rythmes physiologiques. Plus il dort tard le matin, plus il se couchera tard le soir. Il faut donc essayer de retrouver un rythme plus naturel : s’il se lève tôt le samedi et le dimanche, il sera fatigué le soir et s’endormira plus tôt, à condition de passer au moins deux heures tranquilles en fin de soirée pour laisser le corps passer en mode endormissement. Une petite marche le soir après le souper lui fera le plus grand bien.

Aller se coucher dès les premiers signes de fatigue aussi (vers 22 heures) : le corps a besoin de rythme et de régularité. baticonfort 62 jan/fév 2012

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La chambre à coucher est une pièce essentielle où nous récupérons de nos activités quotidiennes.

Elle est donc la pièce où nous passons le plus de temps, c’est-à-dire plus d’un tiers de notre vie.

Bien-être

Votre chambre à coucher doit être reposante et enveloppante : elle est votre asile de repos et de ressourcement.

Tout doit y évoquer la douceur et le moelleux, que ce soit au niveau des couleurs, des matières et matériaux, et bien sûr du lit que l’on choisira confortable mais ferme.

D’autre part, la chambre à coucher est un lieu intime où les conjoints se retrouvent : l’harmonie doit donc y régner.

Chambre zen, sommeil sans nuages Le Feng Shui a pour objectif est d’aménager l’espace de façon à optimiser la circulation de l’énergie en vue d’améliorer la qualité de vie. Tout ce qui stagne et s’accumule constitue un poids qui nous bloque dans notre vie. Que l’on y croie ou non, on constate souvent qu’une maison en désordre vous donne envie de fuir, et qu’une maison propre et rangée vous donne envie de vous installer.

Dans la chambre à coucher,

La chasse au fouillis

on évitera le désordre et on réduire le mobilier au strict minimum. On veillera à ce qu’un équilibre des formes soit générateur de douceur et de bien-être.

Emplacement du lit

L’emplacement du lit est essentiel : choisissez l’endroit le plus harmonieux de la pièce, c’està-dire jamais entre la porte et la fenêtre et le plus loin possible de ces deux issues. La tête du lit doit être placée contre

Lorsque vous vous débarrassez de diverses choses qui n’ont plus aucune utilité depuis longtemps et que vous conservez « au cas où », vous faites de la place dans votre vie pour accueillir autre chose : acquérir un nouveau savoir-faire, des nouveaux meubles, un nouveau conjoint, un nouveau travail…

Nous accumulons une foule de choses pour nous faire des plaisirs passagers et finalement nous dépensons de l’argent pour des objets que nous n’utilisons pas ou des vêtements que ne portons pas. Vivre dans le désordre, c’est traîner son passé.

Si la tâche vous paraît énorme, commencez par les pièces les moins encombrées et notamment par la chambre à coucher : dès qu’elle sera libérée, vous dormirez mieux.

Rassemblez dans des caisses les objets et vêtements que vous pouvez revendre sur une brocante et jetez résolument tout le reste à la poubelle. Vous verrez quelle place vous avez chez vous !

Quand vos espaces sont libres, revoyez l’agencement des meubles : asseyez-vous et laissez travailler votre imagination et votre ressenti. Ajoutez un bel objet sur un meuble, une plante dépolluante à côté des appareils électriques, une peinture vivifiante au mur et… profitez de la vie !

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baticonfort 62 jan/fév 2012

un mur en évitant de le placer sous une fenêtre. Si cela est impossible, occulter la fenêtre avec des rideaux ou des stores.

Mobilier

Les meubles seront de préférence arrondis et de couleur claire. Ne les placez pas trop près du lit : vous avez certainement fait l’expérience qu’un meuble « lourd » vous semble agressif s’il est trop près de vous. Évitez les placards ou étagères ouvertes suspendus au-dessus du lit car cela donne une sensation de lourdeur, voire d’écrasement, peu favorable au bien-être que l’on doit éprouver dans sa chambre.

Le feng shui recommande également de ne pas avoir de miroir dans la chambre ou, en tout cas, qu’il ne reflète pas le lit.

Appareils électriques

Il ne devrait pas y avoir d ’a p p a r e i l s é l e c t r i q u e s dans une chambre à couch e r. M a l h e u re u s e m e nt , aujourd’hui, bon nombre de personnes placent un bureau dans leur chambre sur lequel se trouvent un ordinateur, une imprimante et d’autres appareils qui envoient des ondes nocives et perturbent

le sommeil. La télévision également trouve sa place dans la chambre, vous excitant au lieu de vous apaiser. Et que dire de ceux qui s’endorment avec l’écran allumé…

Les chambres des adolescents sont souvent surchargées : tout leur univers se retrouve concentré dans leur chambre.

L’idéal serait au moins de dégager le lit au maximum, voire de le séparer du reste de la pièce à l’aide d’un paravent.

Éclairage

Bien sûr, l’éclairage de la chambre doit être doux et tamisé. Un variateur d’intensité sera parfait pour choisir la luminosité selon que vous vous habillez ou que vous lisez au lit.

Couleurs et déco

On choisira des couleurs chaudes et harmonieuses et des motifs doux. On évitera les couleurs dynamisantes telles que le rouge, l’orange ou le jaune vif.

Côté décoration, choisissez des images qui génèrent le calme et la joie. N’introduisez surtout rien qui soit en rapport avec votre activité professionnelle. Cet espace est celui de la détente, il convient de le préserver.

Qui dit bien dormir dit bonne literie. Mais avons-nous vraiment la literie adaptée à un sommeil profond et réparateur ?

literie

Nous passons un tiers de notre vie dans le creux de notre lit, c’est dire s’il est important de bien choisir sa literie.

Comment choisir son matelas ? Faut-il préférer les sommiers à ressorts ou se tourner vers les sommiers à lattes ? Quelle est la meilleure façon de se coucher pour bien dormir et ménager son dos ?

Le Reflex 3000 d’Epeda à châssis métallique comprend des rotules TPEE grande flexibilité et débattement de 30 mm, une zone « épaules » assouplie (6 lattes percées) et une zone « bassin-lombaires » de 3 x 3 lattes avec 6 curseurs de fermeté ajustables.

La qualité de notre sommeil

dépend surtout de la qualité notre lit Le matelas et le sommier ont pour mission d’amortir les mouvements lors de nos multiples changements de position durant la nuit. Il conviendra de choisir la literie en fonction de notre taille et de notre poids.

Une chambre bien rangée, en limitant les appareils électroniques, favorise un meilleur sommeil et permet un endormissement plus rapide.

Types de matelas

Le matelas ferme est fortement recommandé pour mieux dormir et pour éviter les problèmes de dos. Cependant, si vous dormez sur le côté, il ne doit pas être trop ferme.

D’autre part, si vous n’avez pas l’habitude d’un matelas très ferme, ne changez pas radicalement sinon vous aurez des difficultés à vous y habituer.

Les ressorts favorisent le mouvement et la durée de vie d’un matelas à ressorts est plus longue que celle d’un matelas en mousse. La qualité du soutien dépend du nombre de ressorts qui vont de 300 à 2.000 pour un matelas de 140 x 200 cm.

La mousse est enveloppante et conserve la chaleur. Le sou-

tien dépend de la nature de la mousse (polyuréthane, polyéther), de son épaisseur et de sa structure (monobloc, alvéolée, soutien anatomique). La fermeté dépend de la nature de la mousse.

Le latex est plus antiacarien.

Attention, certaines personnes sont allergiques au latex : en principe, il n’y a pas de risque puisque le latex est enfermé dans une housse. Vous pouvez ajouter une seconde housse.

Le confort

Le matelas est rendu confortable à l’aide de matériaux utilisés pour le garnissage de la partie supérieure du matelas : laine, coton, soie et latex sont les matériaux les plus confortables. Ainsi, il est possible d’avoir un matelas ferme tout en étant moelleux en surface.

Pensez à retourner votre matelas régulièrement afin de ne pas écraser toujours les mêmes zones. Si votre matelas possède une face hiver et une face été, il faut le changer de face avant ces saisons. Il faut également inverser la tête et le pied une fois par an.

Un bon sommier

Le sommier joue un rôle d’amortisseur pour le matelas : il est souvent conseillé de le changer en même temps que le matelas et de le choisir de la même marque que celui-ci.

Aujourd’hui, le sommier à lattes est très répandu : il offre un soutien plan au matelas.

D’une longue durée de vie, il n’est pas nécessaire de le changer lorsqu’on change de matelas.

Le sommier à ressorts doit être associé à un matelas à ressorts également, même s’il peut s’adapter à un sommier à lattes si celles-ci sont suffisamment resserrées. Si vous souhaitez un lit plus large que 160 cm, il est conseillé de prendre le sommier à ressorts en deux parties, même si le matelas est en une seule pièce.

Les matelas en mousse ou en latex ne conviennent pas à un sommier à ressorts, un sommier à lattes est indispensable.

Quand faut-il renouveler sa literie ?

Les professionnels s’accordent pour dire qu’une literie doit être changée tous les 10 à 12 ans.

Bruno Corman et Damien Léger, auteurs d’un ouvrage intitulé Le Sommeil, proposent une évaluation en sept points pour déterminer s’il est temps de changer de literie.

1. Vous vous affaissez de dix centimètres lorsque vous vous assez sur votre lit.

2. Vous voyez l’empreinte de votre corps quand vous vous relevez.

3. Vous dormez mieux en dehors de chez vous.

4. Vous êtes réveillé quand votre conjoint bouge pendant la nuit.

5. Votre lit fait de drôles de bruits.

6. Vos pieds dépassent du lit.

7. Vous avez des courbatures le matin au réveil ou vous avez mal au dos.

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Réaliser des travaux de rénovation ou d’extension peut se transformer en un véritable casse-tête : quelles entreprises contacter, comment obtenir des devis rapidement, comment faire jouer la concurrence, comment être sûr de l’entreprise choisie… ?

Le concept de courtage en travaux est né en France suite au constat que les clients et les corps de métiers rencontrent souvent des difficultés à collaborer efficacement. D’où l’idée de créer une société de services qui soit l’intermédiaire entre le client et les entrepreneurs et artisans du bâtiment. Avec l’objectif d’accélérer la procédure des devis et d’obtenir des garanties au niveau des prestations et réalisations.

Concrétisez vos travaux en une seule démarche !

En mars 2007, illiCO travaux s’implante en Belgique et au Luxembourg par le biais de courtiers locaux, donc proches de chaque client potentiel.

Aujourd’hui, le réseau compte 35 courtiers en activité et l’entreprise travaille avec un portefeuille de 500 entreprises du bâtiment. Elle intervient sur environ 1.000 chantiers par an et le budget moyen par chantier se situe entre 10 et 15.000 e. Un succès dû à une sélection rigoureuse des entreprises et aux garanties offertes aux clients, plus une assurance protection juridique. À noter que ce service s’adresse aussi bien aux entreprises qu’aux particuliers.

N o u s a v o n s r e n c o n t r é Gery Dohmen, administrateur d’illiCO travaux.

Quel est le rôle du courtier selon illiCO travaux ?

Le rôle du courtier est de conseiller et d’assister ses clients du début à la fin du chantier. Nous lui demandons d’être disponible, efficace et bienveillant. En premier lieu, il détermine le type de chantier à prévoir chez le client de manière à simplifier la procédure de devis. Ensuite, il

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baticonfort 62 jan/fév 2012

demande un devis à plusieurs corps de métier ayant obtenu le label QUALITYPRO, l’objectif étant de sécuriser le client durant la période des travaux, quant au délai, à la qualité des prestations et aux risques divers (maladie, faillite).

Le courtier met les entreprises en concurrence afin de présenter les meilleurs devis à son client. Il est capable d’expliquer chaque devis et aide éventuellement le client à choisir une entreprise. Le premier acompte est déposé sur un compte tiers jusqu’au début des travaux, ce qui constitue une garantie pour les parties. Le courtier s’assure du bon démarrage du chantier et son rôle s’arrête là. à la demande du client, il peut toutefois assurer la gestion du chantier.

Lorsque le chantier est terminé, le courtier vérifie la satisfaction du client.

Comment sélectionnez-vous les entreprises du bâtiment qui « méritent » de faire partie de votre réseau ?

L’un des services essentiels du groupe illiCO travaux a toujours été d’offrir à ses clients une sélection d’entreprises. illiCO travaux fait appel à un

outil unique de cotation et de surveillance des entreprises du bâtiment : QUALITYPRO. Les critères retenus visent à objectiver les risques encourus par le client pendant la période des travaux : nous voulons sécuriser cette période et diminuer au maximum le risque de faillite. Nous avons donc créé un véritable label de qualité qui apporte de la valeur ajoutée aux demandeurs de travaux, mais aussi aux entreprises du bâtiment.

Le client reçoit un rapport relatif aux entreprises proposées, qui est commenté par le courtier et permet au client de choisir son corps de métier de la manière la plus éclairée possible.

D’autre part, l’entreprise du bâtiment bénéficie d’une analyse objective de son entreprise : QUALITYPRO émet un rapport détaillé contenant le résultat d’analyse financière et qualitative, ainsi que des pistes d’amélioration. Cette analyse constitue un véritable diagnostic sur lequel le chef d’entreprise pourra s’appuyer dans ses démarches auprès de ses banquiers, assureurs et fournisseurs.

J’envisage de faire des travaux chez moi, comment puis-je vous contacter ?

Nous avons mis en place des outils permettant une prise de contact rapide : un questionnaire court à remplir en ligne et un numéro de téléphone gratuit où vous communiquez vos coordonnées. Le courtier le plus proche prend contact avec vous dans un délai maximum de 24 heures, afin de préciser vos besoins et de convenir d’un premier rendez-vous.

Cela me coûtera-t-il plus cher de faire appel à vous ?

La rémunération du courtier est de 3 % du montant des travaux, ce qui n’est pas énorme, d’autant plus qu’il vous obtient les meilleurs prix.

Une seule démarche De la rénovation, en passant par les petits travaux d’amélioration jusqu’à l’extension d’une maison, illiCO travaux centralise vos besoins de travaux pour vous présenter les professionnels adaptés à votre projet. www.illico-travaux.be numéro gratuit 0800 20140

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