CCAM-Scène nationale de Vandœuvre saison 2014/2015
dossier maternelles, primaires Ak Entrepôt, L'Atalante, Cie Brounïak, Cie Arts & Couleurs, Cie Arsène, Cie Non Nova, La Tortue
Ak Entrepot - © Dominique Vérité
calendrier détaillé
• Cie AK Entrepôt : Entre deux pluies ........... p 02 danse (dès 02 ans) mar 14 > sam 18 octobre • Cie L'Atalante : Chrômatique ........... p 03 théâtre (dès 05 ans) mer 14 > ven 16 janvier • Cie Brounïak : Des plumes dans l'oreille ........... p 04 conte musical (dès 06 ans) mer 28 > ven 30 janvier • Cie Arts & Couleurs : Sur la corde raide ........... p 05 marionnettes (dès 06 ans) mar 24 > ven 27 février • Cie Arsène : Attention, pirature fraîche ! ........... p 06 théâtre (dès 07 ans) mar 03 > ven 06 mars • Cie Non Nova : L'après-midi d'un foehn-version 1 ........... p 07 performance chorégraphique (dès 05 ans) jeu 19 > ven 21 mars • Cie AK Entrepôt : À l'ombre de nos peurs........... p 08 théâtre (dès 08 ans) mar 07 > sam 11 avril • Cie La Tortue : Dzaaa ! ........... p 09 conte musical (dès 07 ans) mar 05 > jeu 07 mai • Actions culturelles ........... p 10 • Infos pratiques ........... p 11
CIE AK ENTREPôT : ENTRE DEUX PLUIES (dès 02 ans) mar 14 octobre \ 10:00 + 14:30 (scolaire) mer 15 octobre \ 10:00 (scolaire) jeu 16 octobre \ 10:00 + 14:30 (scolaire) ven 17 octobre \ 10:00 + 14:30 (scolaire) sam 18 octobre \ 15:00 (tous publics) durée du spectacle : 30mn mise en scène, scénographie Laurance Henry / assistant, lumière Erik Mennesson /interprétation Séverine Gouret / musique, composition sonore Philippe Le Goff / costume Charlotte Pareja coproduction : AK Entrepôt / Pôle Culture-Communauté de Communes Sud Pays Basque, Césaré-Centre National de Création Musicale (Reims), Très-Tôt-Théâtre (Quimper),
Démarche artistique Sisyphe, personnage mythologique, condamné à pousser éternellement jusqu’au sommet d’une montagne un rocher qui en retombe aussitôt. Tel un Sisyphe, le jeune enfant fait, défait, refait... Mais contrairement Sisyphe, dans cet acte éternellement recommencé, l’enfant, pousse toujours plus loin les frontières de son monde. Il déploie son corps, le contraint dans le jeu, le découvre tout en force et fragilité, le construit. Dans la répétition de son jeu, dans la poésie de l’acte, dans le geste quotidien, il écrit sa place. Étroite il l’agrandit, chaotique il l’organise. Spacieuse elle rétrécit, ordonnée elle se désarticule.
Saint-Brieuc Agglomération / soutien : Centre Culturel de La Ville Robert (Pordic), Réseau Départemental du Très Tôt Théâtre, Théâtre Lillico (Rennes), Centre Culturel La Passerelle (Rixheim), Festival Momix, Festival Méli Mômes (Reims), Festival Petits et Grands (Nantes), Festival Prom’nons nous, Forum de Nivillac, MJC Le Sterenn (Trégunc), Théâtre Athénor (St-Nazaire), Espace Palante (Hillion) / compagnie conventionnée par la DRAC Bretagne, le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Général des Côtes d'Armor et la Communauté de Communes de Moncontour / Entre deux pluies a reçu la « mention spéciale » petite enfance du Jury du Festival Momix 2013
Une goutte, puis deux, puis trois... une pluie, une ondée à peine. Le silence, quelques notes de piano. Au sol, 300 kilos de galets noirs mouillés qui attendent. Elle entre, regarde, observe, attend à son tour. Elle circule, s’approche, hésite puis s'avance dans le temps de la pierre. Mais dans cette matière noire, dure, polie, où se poser ? Faut-il patienter ou dans un brusque sursaut, une envie soudaine, une gourmandise qui déborde, tout défaire et s'y plonger ? Tout pousser, d’un côté puis de l’autre, d’une frontière à l’autre ? Arracher à nouveau, faire sauter, éclater, envoler, rouler, déplacer... Et ce jeu de recommencer pour inventer sa place.
Circulaire elle est carrée, Horizontale elle est verticale. Dans sa mesure, à son rythme, l’enfant se grandit, se tisse. Dans ce jeu répété, observé, ce déplacement du minuscule vers un autre point minuscule, il naît au monde et comprend que tout est lié. Du plein il va vers le vide. Du vide il retrouve le plein. Quand l’enfant entre en jeu, quand prend-il conscience de lui, de son rapport au monde, aux autres, au temps ? Quand se rencontre-t-il ? Qu’est-ce qui le meut dans cet acte répété ? Quel chemin emprunte-il, pour aller où et vers quoi? De ce temps intime et solitaire passé à bâtir des tas, des colonnes, que retient-il ? Comment retrouver ce temps-là, un entre temps enfoui en nous ? Ce temps de la poésie qui nous secoue en plein milieu.
© Dominique Vérité
ateliers de pratique artistique autour du spectacle avec laurence henry mer 15 octobre \ 09:30 > 11:30 jeu 16 octobre \ 09:30 > 11:30 jeu 16 octobre \ 14:00 > 16:00 ven 17 octobre \ 09:30 > 11:30 Places très limitées. Renseignements et réservations auprès de Virginie Hopé et Hortense Perreaut.
Circulaire elle est carrée, Horizontale elle est verticale. Dans sa mesure, à son rythme, l’enfant se grandit, se tisse. Dans ce jeu répété, observé, ce déplacement du minuscule vers un autre point minuscule, il naît au monde et comprend que tout est lié. Du plein il va vers le vide. Du vide il retrouve le plein. Quand l’enfant entre en jeu, quand prend-il conscience de lui, de son rapport au monde, aux autres, au temps ? Quand se rencontre-t-il ? “Entre deux pluies” est le prolongement de ces questions, un miroir tendu, un écho. → www.akentrepot.fr
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CIE l'ATALANTE : CHRôMATIQUE (dès 05 ans) mer 14 janvier \ 10:00 (scolaire) mer 14 janvier \ 15:00 (tout public) jeu 15 janvier \ 10:00 + 14:30 (scolaires) ven 16 janvier \ 14:30 (scolaire) ven 16 janvier \ 19:00 (tous publics) durée du spectacle : 50mn conception, mise en scène Christiane Hugel / textes, chansons Jean-Pierre Chambon, Michaël Glück / musique, espace sonore Albert Tovi / scénographie Christophe Beyler / lumière Cathy Gracia / costumes Judith Chaperon / drapeaux Elisabeth Krotoff / régie Thomas Clément de Givry / avec Ludivine Bluche, Sandrine Clemençon, Thomas Trigeaud et Mathieu Zabé / administration de production Nathalie Carcenac coproduction : Le Cratère-Scène nationale d’Alès, Théâtre Jean Vilar de Montpellier, Théâtre de Clermont l’HéraultScène conventionnée pour les écritures poétiques et scéniques, L’Onde-Espace Culturel (Vélizy-Villacoublay) aide à la production : DRAC Languedoc-Roussillon, Région Languedoc-Roussillon / soutien : ADAMI, Réseau en scène de Languedoc-Roussillon et Hérault / diffusion : Conseil Général 34
¯Chrômatique” est une odyssée ludique des couleurs et de leur perception. Quatre voyageurs, nomades poétiques, arrivent des confins du monde et de l’espace, conduits par une quête commune, celle de la lumière et des couleurs : l’enfant des neiges, des glaces polaires et des aurores boréales, l’homme des ombres intersidérales et des trous noirs, le peintre-jardinier de la Renaissance revenu écouter le chant des couleurs et la photographe collectionneuse d’arcs-en-ciel, exploratrice des paysages de la mémoire. Ils vont croiser leurs destins, le temps d’une rencontre, le temps d’un éclat d’universalité, fugace et impalpable comme un arc-en-ciel. ¯De l’ombre à la lumière Il a fallu le temps D’un film en noir et blanc Sous l’écran des paupières Il a fallu le temps De broyer quelques pierres D’écraser les fougères Et de chercher comment Repeindre l’univers Il a fallu la nuit Le matin qui se lève En habit d’Arlequin Il a fallu musique Dans les grains de lumière Musique chromatique.”
christiane hugel Comédienne, chanteuse et plasticienne, elle explore les chemins et les correspondances entre le théâtre, les arts plastiques, la musique et l’écriture. Ayant abordé dans le même temps des études aux Beaux-Arts et des cours de théâtre, elle n’a jamais abandonné une expression pour l’autre et a évolué dans une constante imbrication des deux. Ce cheminement la conduit de plus en plus vers des formes transversales mettant en jeu une poétique de l’espace et des écritures multiples. À Lyon, elle travaille le chant avec Annie Tasset et Jean-Blaise Roch. Elle participe à diverses créations de la compagnie de la Grenette, d’Image Aiguë et du Hop-Frog Ensemble. Elle réalise des scénographies pour des spectacles d’Yves Barbaut (compagnie Travaux 12), d’Yves Gourmelon (compagnie Théâtre au présent) et des expositions pour le Carré d’Art de Nîmes, la médiathèque de Villeurbanne, les Murs d’Aurelle (hôpital de la Colombière) et la Galerie du Chai du Terral à Saint Jean de Védas. Elle met en scène “L’expédition”, “OVO, de l’œuf et autres petites choses sans importance”, “Herba Midori”, “Ultramarine et Sanguine”, spectacles destinés au jeune public.
© Olivier Brigidou
ateliers de pratique artistique autour du spectacle lun 12 janvier \ matin + après-midi mar 13 janvier \ matin + après-midi ven 16 janvier \ matin + après-midi
→ www.latalante.net Places très limitées. Renseignements et réservations auprès de Virginie Hopé et Hortense Perreaut.
bibliographie • Michel Pastoureau “Couleurs” (Le Chêne, 2010) • Michel Pastoureau “Bleu histoire d'une couleur” (Le Seuil, 2000) (Se Décline En Noir Et Rouge) • Anne Varichon “Couleurs et teintures dans les mains des peuples”(Le Seuil, 2005) œuvres ayant inspiré directement la mise en scène du spectacle.
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CIE BROUNÏAK ! : Des plumes dans l'oreille (dès 06 ans) un conte musical autour de la surdité métaphorique
mer 28 janvier \ 20:30 (tout public) jeu 29 janvier \ 14:30 (scolaire) ven 30 janvier \ 19:00 (tous publics)
conception, jeu Sébastien Coste / regard éclairant Philippe Rodriguez Jorda / musique directe et enregistrée (sax soprano, tambour) Sébastien Coste / lumière Jean-Marc François / construction de l’oreille Daniel Mestanza / construction des oiseaux / Les Objets perdus, Jéranium, Man’Hu / costumes Prune Larde / enregistrements Jérémy Gassman, studio CCAM partenaires
:
DRAC
Lorraine,
Conseil
Régional
de Lorraine, Ville de Nancy, TGP Frouard-Scène conventionnée pour les arts de la marionnette et les formes animées, RAMDAM (Ste Foy-lès-Lyon), CCAMScène nationale de Vandœuvre, MOMIX-Le CREA (Kingersheim), Hostellerie de Pontempeyrat (Usson en Forez), Arsenal Metz en Scène, Re-Sources (Valcivières), MJC Lillebonne (Nancy)
“Des plumes dans l’oreille”, l’expérience ornithologique d’un musicien sourd qui est convoqué contre son gré par une oreille géante qui s’impose à lui. Passant à travers celle-ci, il entre dans un intérieur qui lui réserve une série d’expériences édifiantes, invraisemblables, et pétries d’humour. Entend-il bien ce qu’il voit ? Voit-il bien ce qu’il entend ? Au cœur de ce monde, ce musicien égaré, Eustache, se trouve contraint à fréquenter de troublants oiseaux. Sera-t-il capable d’écouter le sens caché de cette aventure ? Cette fable musicale et visuelle autant inspirée par le chant des oiseaux, Olivier Messian, Pascale Critton ou le poète sufi Farid Al-Din Attâr jongle avec ce qu’il faut de drôlerie et d’enjeux véritables installant le doute dans notre manière d’écouter.
En avançant dans nos recherches, nous nous sommes finalement décentrés des questions propres à la culture sourde pour nous diriger vers des contes et des histoires questionnant la surdité métaphorique qui nous habite tous. Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. • Être sourd au monde ? • Quelle différence entre entendre et écouter ? • Que voulons nous entendre ou pas ? • Que pouvons-nous entendre ou pas ? • Qu’est ce qui relie tous les humains quelle que soit leur perception ? • Comment le corps s’empare-t-il de la vibration ? • Pour jouer la musique, l’essentiel n’est-il pas de savoir écouter De nouvelles portes se sont alors ouvertes d’un point de vue de l’imaginaire. La forêt peut écouter, les oiseaux peuvent parler. L’oreille peut devenir un filtre, un bouclier ou une porte !
© Philo Lenglet
bibliographie, DISCOGRAPHIE La découverte du langage des oiseaux “Le langage des oiseaux est d’abord une métaphore pour exprimer un langage universel et poétique, Olivier Messiaen l’avait bien compris. La quête d’Eustache est d’apprendre à écouter. Il sera capable ensuite de comprendre les oiseaux et même de dompter leur chant au service de la musique. Au cours de mes recherches, j’ai rencontré deux résonances à cette expression « le langage des oiseaux ». D’une part une traduction qui laisse entendre qu’elle a traversé les siècles avec différents courants (l’alchimie, mais aussi les travaux psychanalytiques de Carl Gustav Jung ou de Jacques Lacan, qui y voient un codage inconscient permettant d’amplifier le sens des mots et des idées). D’autre part un conte initiatique écrit par Farid Al-Din Attâr, poète sufi du douzième siècle La conférence des oiseaux cité par Dave Holland à travers le très bel album “Conference of the birds”. Le langage des oiseaux sera abordé dans une transposition principalement musicale.” Sébastien Coste
• Farid Al-Dïn Attar : “Le langage des oiseaux ” (traduction par Garcin de Tassy, éd. Albin Michel, 1996) • Olivier Messian, Pascale Critton (musique) œuvres ayant inspiré directement la mise en scène du spectacle.
→ www.brouniak.com
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CIE ARTS & COULEURS : SUR LA CORDE RAIDE (dès 06 ans) mar 24 février \ 10:00 + 14:30 (scolaires) mer 25 février \ 10:00 (scolaire) jeu 26 février \ 10:00 + 14:30 (scolaires) ven 27 février \ 10:00 + 14:30 (scolaires) sam 28 février \ 15:00 (tous publics) durée du spectacle : 55mn texte Mike Kenny (Walking the Tightrope, éd. Actes Sud) / traduction Séverine Magois / jeu Sabine Thunus, Gauthier Vaessen / mise en scène Martine Godard / régie Edgard Bohy / scénographie Coline Legros / marionnettes Jean-Christophe Lefèvre / coaching marionnettes Morgane Prohaczka / musique Pirly Zurstrassen / création lumière Joël Bosmans / mécanismes Francisco Argüelles Gonzalez / coutures Jeannine Bouhon / construction décor Ateliers Berton, Joseph Jorssen, David Maréchal / chorégraphie Laetitia Lucatelli / merci à Sylvie Charmillot, Neville Tranter / coordination, diffusion Clara Materne coproduction : Théâtre de Namur, Centre Culturel Régional de Dinant / soutien : Centre Culturel d’Andenne, Centre Culturel de Stavelot, Centre Culturel Régional de Verviers, Centre Culturel de Wanze, festival MOMIX (Kingersheim), festival Cep-Party (Vallet), Province de Liège, Région Wallonne, fédération Wallonie Bruxelles, Loterie Nationale, Wallonie Bruxelles International, Wallonie Bruxelles théâtre/danse
Depuis 15 ans, la Compagnie Arts & Couleurs nous propose des spectacles remplis de pépites de tendresse, d’imagination et de poésie. “L’histoire est sur la palissade” ou “Un petit soldat de plomb” illustrent cette veine créative du théâtre d’objets. Ici, la troupe de Martine Godard ballade les enfant de six ans et plus sur “La corde raide” des émotions et de la nostalgie grâce au texte de Mike Kenny, auteur majeur du théâtre jeune public en Grande-Bretagne. Un tapis vert, un train électrique et l'arrivée d'Esmé qui chaque fin d'été vient retrouver ses grands-parents. Mais cette année, mamie n'est pas là et papy élude la question du mieux qu'il le peut. Le jour où Esmé trouvera les lunettes de sa grand-mère, elle comprendra qu'il y a un sérieux problème et que celle-ci n'est pas partie au cirque avec sa robe à paillette et son parapluie rose. Un spectacle poétique qui nous emmène, avec la magie fascinante des marionnettes de table et des objets, sur le difficile chemin qu’il faut parcourir lorsque les choses changent, quand nous aurions tant voulu qu’elles restent toujours pareilles.
MIKE KENNY Mike Kenny est l’un des auteurs majeurs du théâtre Jeune Public de Grande-Bretagne, où il reçoit de nombreux prix, dont le prestigieux Olivier Award en 2011 pour son adaptation de “The Railway Children”. Ses pièces – textes originaux ou adaptations de classiques de la littérature enfantine – sont abondamment jouées en région comme à Londres. Nombre d’entre elles ont également été traduites et créées à l’étranger, notamment en Allemagne, en Suède et en Grèce. Jacques Nichet a été le premier, en 1998, à créer un de ses textes en France, où il est régulièrement joué depuis, traduit et représenté par Séverine Magois et principalement publié chez Actes Sud/ Heyoka jeunesse : “Pierre de gué” (2000), “Sur la corde raide” suivi de “L’enfant perdu” (2004), “Le jardinier” (2007), “La nuit électrique” (2008) et “Bouh !” (2012). En 2005, Mike Kenny est l’invité d’honneur du festival Odyssées 78-CDN de Sartrouville pour la création de “Sur la corde raide”, spectacle qui tournera ensuite pendant trois ans. En 2009, “La nuit électrique”, dans une mise en scène de Marc Lainé, est nommée aux Molières dans la catégorie Jeune Public. Notons encore que l’auteur dit avoir écrit “Sur la corde raide” à la mort de son père… Le fils de Mike Kenny avait 3 ans. L’écrivain explique que cette pièce est le rêve qui les a aidés à se réveiller de ces tristes heures… Il nous dit aussi qu’en 2013, on ne publierait plus sa pièce en Grande-Bretagne car on dit la vérité aux enfants, on nomme les choses.
© Clara Materne
bibliographie MIKE KENNY • “Sur la corde raide” (éd. Actes Sud, 2004) * • “La nuit électrique” (éd. Actes Sud, 2008) • “Le jardinier” (éd. Actes Sud, 2007) • “Pierres de gué” (éd. Actes Sud, 2006) • “Bouh !” (éd. Actes Sud, 2012) * œuvre ayant inspirée directement la mise en scène du spectacle.
→ www.artsetcouleurs.be
p 05
Cie Arsène : Attention pirature fraîche ! (dès 07 ans) mar 03 mars \ 14:30 (scolaire) mer 04 mars \ 10:00 (scolaire) jeu 05 mars \ 10:00 (scolaire) jeu 05 mars \ 14:30 (scolaire) ven 06 mars \ 14:30 (scolaire) ven 06 mars \ 19:00 (tous publics)
Note d'intention
Théâtre, CCAM-Scène nationale de Vandœuvre
Ce spectacle donne une vision fantaisiste et burlesque du monde des pirates, un prétexte pour créer un univers ludique qui mélange les stéréotypes de la piraterie et les collages anachroniques. C'est un spectacle "tout public" c'est-à-dire aussi pour les adultes, conçu pour que chacun, à son niveau, s'y amuse. Nous avons décidé de faire "Les Pirates" pour rire, jouer avec les mots, les objets et les sons (le surréalisme, l'OULIPO et le théâtre musical ne sont pas loin). Nous reprenons ainsi un principe de base de la piraterie : s'emparer de tout ce qu'on croise pour se bricoler un univers propre en dehors du système établi. Les pirates travaillaient à la recette. Comme toute grande aventure, la piraterie fait rêver parce qu'elle entretient l'utopie du "ailleurs tout est possible". C'est pourquoi la figure du pirate est un personnage de choix dans les jeux collectifs des enfants. Il est méchant, rusé, cruel, et pourtant il reste sympathique."
Les pirates, c’est vous !
→ www.association-arsene.com
durée : 60mn création collective Anne-Eléonore Bovon, Odile Darbelley, Pierre Clarard, Primo Gramaglia, Michel Jacquelin / avec Odile Darbelley, Pierre Clarard, Primo Gramaglia, Guy Vouillot / voix Eléonore Bovon, Eric Thomas, Christian Jehanin / musique Eléonore Bovon / son Florence Hermitte, Jean-François Thomelin / régie générale Jean Michel Guirbal production 1999 : Théâtre de l’Eclipse, Association Arsène / production 2012 Association Arsène, Salle du Bois de l’Aune-Aix en Provence), MP13 / soutien : Amin
RéFéRENCES • www.pirates-corsaires.com «Les pirates, les vrais, ne s’embarrassaient pas de considérations quand ils abordaient les navires pour les dépouiller. Nous, nous abordons les pirates à leur manière : avec impertinence et désinvolture». À son entrée, le public devient équipage et le bateau, le Chili Concarneau, appareille : on hisse la mer, l’air du large envahit le plateau. La vie s’organise à bord sous le commandement du capitaine Roll On : la vigie veille, le repas se prépare, le mousse prend sa leçon de termes techniques, on calme la Comtesse, prisonnière, qui manifeste bruyamment son ennui … D'encablures en encablures, les pérégrinations de cet équipage en lutte contre le capitaine Roll Off, leur ennemi de toujours, nous entraînent vers une folle chasse au trésor. Venez découvrir cet équipage de vrais pirates, méchants, cruels et pourtant si attachants dans leurs folles aventures. « Nous avons décidé de faire Les Pirates pour rire, jouer avec les mots, les objets et les sons. Nous reprenons ainsi un principe de base de la piraterie : s’emparer de tout ce qu’on croise pour se bricoler un univers propre en dehors du système établi. Les pirates travaillaient à la recette ! »
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CIE NON NOVA : L'APRÈS-MIDI D'UN FOEHN-version 1 (DÈS 05 ANS) jeu 19 mars \ 09:15 (scolaire) jeu 19 mars \ 10:30 (scolaire) jeu 19 mars \ 14:30 (scolaire) ven 20 mars \ 09:15 (scolaire) ven 20 mars \ 10:30 (scolaire) ven 20 mars \ 14:30 (scolaire) sam 21 mars \ 15:00 (tous publics) durée du spectacle : 25mn conception, écriture Phia Menard / assistée de Jean-Luc Beaujault / interprétation : Phia Menard / en alternance Jean-Louis Ouvrard / création de la bande-son Ivan Roussel / d’après l’œuvre de Claude Debussy / régie de tournée Olivier Gicquiaud / diffusion de la bande sonore en alternance Olivier Gicquiaud, Claire Fesselier, Ivan Roussel / conception marionnettes Phia Menard / réalisation marionnettes Claire Rigaud / chargées de production Clarisse Merot, Honorine Meunier / administration, diffusion Claire Massonnet La Compagnie Non Nova est conventionnée par la DRAC des Pays de la Loire, le Conseil Régional des Pays de la Loire, le Conseil Général de Loire-Atlantique et la Ville de Nantes / Elle reçoit le soutien de l’Institut Français et de la Fondation BNP Paribas / remerciements : Pierre Orefice, enseignantes et élèves de l’École Gaston Serpette (Nantes), Pierre Watelet, Mathilde Carton (Muséum d’Histoire Naturelle, Nantes), Pascal Leroux (Collectif la Valise, Nantes)
“L’après-midi d’un foehn – version 1” est une performance chorégraphique étonnante pour quelques ventilateurs et une multitude de sacs plastiques. Un véritable ovni dans le monde de la danse, des marionnettes ou du jonglage ou plutôt un courant d’air frais ! Tout commence par quelques coups de ciseaux, du scotch et du plastique, des matières dépourvues d’humanité manipulées par un personnage presque inquiétant. Puis lorsque les ventilateurs entrent en action, un vent se lève sur les premières notes de “L’après-midi d’un faune” de Claude Debussy. Une danseuse étoile va naître sous nos yeux ébahis, puis d’autres vont suivre valsant dans les tourbillons de l’air, une féérie de nymphes virevoltantes, un feu follet, une foule de créatures multicolores se déployant dans l’espace dans un vent de liberté. Un conte féerique qui ne dure que le temps d’un souffle, étourdissant de grâce évoquant avec émotion l’être humain créateur mais aussi l’être humain destructeur.
note d'INTENTION Combien de temps vit un sac plastique ? Entre la mélasse du pétrole et son utilisation, combien de temps ? Rien, comparé au temps où il va errer sur la planète au gré des vents et des tourbillons. Libérer ses mains, se tenir debout ou à l’envers, être l’objet de tous les mouvements. Juste un bruit et la caresse de l'air. Le dispositif de cette performance est celui d’une turbine simple permettant de créer un vortex. Les objets façonnés à partir de sacs plastiques évoluent dans l’espace réagissant au mouvement de l’air contrôlé par la protagoniste. Là commence sa vraie vie, celle de son autonomie, poche anonyme parmi les poches du monde entier, en route pour une éternité imputrescible ! Et surtout pourvu qu’il y ait du vent pour franchir les obstacles, pour franchir les océans et les montagnes et faire d’autres rencontres, et se frotter à de nouvelles vies. Et si nous aussi, humains, accrochés au sol, nous pouvions nous échapper de la gravitation pour enfin flirter avec le libre arbitre des vents, et nous laisser transporter dans les valses de l’air ? Et si en toute insouciance, nous nourrissions notre soif de défricher des territoires inconnus, de mener des combats incertains pour faire de chacun de nos membres une partie de nous, autonome et incontrôlée. Phia Ménard
© Jean-Luc Beaujault
RéFéRENCE MUSICALE • “Prélude à l'après-midi d'un faune” Claude Debussy
→ www.cienonnova.com
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AK ENTREPôT : À L'ombre DE NOS PEURS (dès 08 ans) mar 07 avril \ 10:00 + 14:30 (scolaires) mer 08 avril \ 10:00 (scolaire) jeu 09 avril \ 10:00 + 14:30 (scolaires) ven 10 avril \ 10:00 + 14:30 (scolaires) sam 11 avril \ 15:00 (tous publics) durée du spectacle : 60mn écriture, mise en scène scénographie Laurance Henry / assistant, lumière Erik Mennesson / accompagnement à la dramaturgie Frédérique Mingant / interprètes Adèle Jayle, Nicolas Vial / constructions Ronan Ménard coproduction : AK Entrepôt, La Passerelle-Centre culturel de Rixheim, Itinéraires Bis, Agglomération Sud Pays Basque, Très-Tôt-Théâtre / soutien : Le Petit Écho de la mode (Chatellaudren), Théâtre du Champ au Roy (Guingamp), Centre culturel La Ville Robert de Pordic, Le Trio (Inzinzac Lochrist)
Deux personnages vivent à l’ombre de leurs peurs et nous livrent un fragment de leur histoire, un pan de leur intimité. Entre fantasme et réalité, ils nous confient des petits instants de vie. Comment livrent-ils bataille au quotidien avec ces petits riens, ces petites peurs qui puisent énergie et imaginaire. Faut-il craindre ses propres peurs ou au contraire jouer avec ? Peur du tic-tac du réveil, de la montre, de l’horloge qui évoque le temps qui passe, le cœur qui s’affole. Peur d’être engloutie par l’orifice de la baignoire quand l’eau du bain se vide. Peur de chuter, peur d’oublier. Peur de l’invisible, du silence, de l’absence… À l’ombre de nos peurs se construit sous la forme de deux courts solos de trente minutes sous la forme déambulatoire. Les deux personnages traversent avec nous leurs peurs, la naissance de celles-ci, ce qu’elles provoquent, ce qu’elles créent, les états et les comportements qu’elles induisent. Ils jouent avec, mènent des combats désespérés, les perdent à regret puis se délectent de les retrouver. Se déroulent devant nous des combats inégaux et décalés : un « fantôme » contre un enfant. Pirouette, intelligence, dérision, relativisme ; tout est bon pour contrer ces « fantômes », les éloigner ou s’en faire un compagnon.
BIOGRAPHIE LAURANCE HENRY Née en bord de mer Armoricain, Laurance collectionne galets, lectures et secrets. Sa croissance terminée, sensible à l'écriture, au dessin, aux lieux ; elle sème ses galets jusqu’à l’École des Beaux-Arts de Rennes puis chemin faisant, pousse ses cailloux jusqu’à l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg. Scénographe, elle accompagne des créations chorégraphiques, performances sonores et théâtre. En 2001, la compagnie AK Entrepôt est créé : ¯A” pour Laurance, la Bretonne ; ¯K” pour EriK l’Alsacien ; ¯Entrepôt” : lieu intime où sont cartographiés leurs textes, leurs pensées, leurs images… Un projet de compagnie dont le cœur est l’Enfant : le plus petit et son regard immense, le plus grand et ses émotions en chantier. Un projet d’écritures, de rencontres et de créations avec comme fil conducteur une phrase de Valérie Rouzeau : ¯ Si tu ne m'appelais pas Je Si tu ne m'appelais pas Je ne m'appellerai pas” Paysages sensibles, paysages esthétiques, paysages où les mots et les corps se racontent, se rencontrent, paysages de mémoires, Laurance construit des pièces où se dévoile, se tricote l'intime. Après des compagnonnages avec les auteurs Serge Pérez, Nathalie Papin, Valérie Rouzeau , elle entame un chantier d'écritureS. Dans ¯ColosseS”, pièce pour deux interprètes, elle pose ses premiers mots, après la création noir et blanc de ¯Entre deux pluies” (2013) pour les plus petits ; elle reprend ses mots pour un projet en deux chapitres autour de nos peurs intimes: ¯À l'ombre de nos peurs” (mars 2014), ¯Murmures de fantômes” (automne 2015)
© Dominique Vérité
ateliers de pratique artistique autour du spectacle avec laurence henry mar 07 avril \ matin mer 08 avril \ matin jeu 09 avril \ matin ven 10 avril \ matin Places très limitées. Renseignements et réservations auprès de Virginie Hopé et Hortense Perreaut.
www.akentrepot.fr
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CIE LA tortuE : DZAAA ! (dès 07 ans) mar 05 mai \ 14:30 (scolaire) mer 06 mai \ 10:00 (scolaire) jeu 07 mai \ 14:30 (scolaire) jeu 07 mai \ 19:00 (tous publics) durée du spectacle : 50mn librement inspiré du roman “Mongol” de Karin Serres / conception, écriture, jeu, kora Delphine Noly / musique, jeu, violoncelle Rebecca Handley / accompagnement à l'écriture Praline Gay-Para / regard musical Jean-François Vrod / regard chorégraphique Nathalie Chazeau / création lumière, scénographie Laura Mingueza, Samuel Mary production : Cie la Tortue / coproduction : Ma Scène Nationale, Pays de Montbéliard, La Ferme de Bel Ebat, Théâtre de Guyancourt, La Maison du Conte de Chevilly-Larue, Le Théâtre Jean Lurçat, Scéne nationale d’Aubusson, l’Espace culturel les Forges de Fraisans / soutien : Ville de Pantin (Théâtre au fil de l’eau), Conseil Général du Doubs, Région Franche-Comté / aide à la production : Drac Franche Comté
Deux femmes, un violoncelle et une kora : quatre voix, quatre corps sonores pour raconter l’histoire de Lucas. Ce garçon de huit ans est harcelé à l’école parce qu’il est rêveur, pas du tout bagarreur et qu’il a les cheveux longs.. Un jour il se fait traiter de « mongol ».Il cherche dans un dictionnaire, il trouve : « habitant de la Mongolie » et un monde s’ouvre à lui. Il découvre dans les livres un peuple, un espace et un imaginaire qui le nourrissent et dans lesquels il puise des outils qui l’aident à grandir, à ne plus avoir peur. La musique et le texte racontent ensemble le parcours de Lucas pour devenir grand. Une partition musicale où le texte, les instruments et les corps dans l’espace interprètent ensemble une épopée singulière de l’enfance. Alors Dzaaa ! en route pour un voyage intérieur... Celui qui mène aux autres, celui qui mène à soi.
NOTE D'INTENTION Il y a une histoire. Celle de Lucien, petit garçon olitaire au monde intérieur en pleine ébullition, toujours à l'ouest, malmené dans la cour de récréation, qui prend son envol grâce à son imaginaire. Cette histoire fait partie des 8 récits qui composent le spectacle jeune public de Delphine Noly intitulé “Sage comme un orage”, créé en 2009. Au fur et à mesure des représentations, l'envie de développer une histoire à partir de ce personnage a mûri et elle s'est mise à chercher, les oreilles grandes ouvertes, quel développement elle pourrait lui donner... Pendant ce temps, sa kora rencontre le violoncelle de Rebecca. C'est une évidence. La complicité et la confiance entre elles sont immédiates. Rebecca l'amène vers l'épure, questionne et décale son jeu traditionnel qui se distord. Leurs voix s'en mêlent, des images surgissent. C'est intense, jubilatoire. Elles sont transportées dans des espaces immenses, dans un ailleurs difficile à localiser. Et puis elle découvre Ludovic, le héros du roman de Karin Serres. “Mongol” a été un roman avant de devenir une pièce de théâtre que Karin Serres a réécrit pour le théâtre du Rivage. L'intention de Delphine Noly était de s'en inspirer librement pour laisser circuler la fiction afin qu'elle se transforme au contact de la matière musicale et de leurs corps dans l'espace. Interroger cette trame au plateau pour construire une dramaturgie et une adaptation au plateau. L'accord de Karin Serres donné dans un grand éclat de rire généreux fut le sésame pour se lancer dans cette aventure.
© Olivier Biks
BIBLIOGRAPHIE • Karin Serres “Mongol” (éd L'École des loisirs, 2011)
→ www.cielatortue.com
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Actions Culturelles Dans le cadre des missions de la scène nationale, l'éducation artistique tient une place conséquente. Plus qu'une mission, nous sommes convaincus qu'il est primordial de développer des actions d'éducation artistique dès le plus jeune âge. Ces actions sont multiples et permettent de découvrir un lieu, de s'ouvrir au monde du spectacle vivant, d’aiguiser sa curiosité, de développer un regard ou une réflexion critique sur des propositions artistiques, de mettre des mots sur la perception du sensible, sur l'émotion, de partager les points de vue, d'observer, écouter, sentir, de prendre le temps de devenir spectateur. Le parcours du spectateur doit, autant que possible s'enrichir d'une ouverture sur la diversité et la multiplicité des formes contemporaines du spectacle vivant. Cette année encore, théâtre, musique, danse, cirque, arts plastiques et visuels seront au rendez-vous de la saison du CCAM.
Avant le spectacle Éveiller la curiosité • Vous disposerez d'un dossier pédagogique autour du spectacle. Il s'agit d'un outil permettant d'aller plus loin dans l'analyse critique du spectacle à l'issu de la représentation.
d'accéder aux codes du spectacle vivant. Nous sommes à votre disposition tout au long de la saison pour vous accueillir.
Contacts • scolaires et associations Hortense Perreaut : chargée de relation public
Les messagers de Dédé Parce que nous souhaitons créer un lien nouveau avec les jeunes spectateurs de la scène nationale de Vandoeuvre, Parce que ce lien doit être chaleureux, particulier et privilégié, Nous interpellons vos élèves pour que ceux qui le désirent deviennent MESSAGER DE DÉDÉ. Ils seront alors nos relais en diffusant l'information sur nos activités (spectacles, expositions, ateliers...) dans leur entourage proche.
• enseignement supérieur Virginie Hopé : responsable de l'action culturelle
En contrepartie • Invitation à 4 spectacles sur la saison 2014/2015. • invitation à des répétitions, des balances de concerts, des filages de spectacle, rencontre avec les équipes artistiques. • Invitation mensuelle au GOÛTER DE DÉDÉ permettant le réapprovisionnement en tracts et programmes. Nous vous présenterons ainsi les spectacles, concerts et expositions en détail. • Et bien d'autres surprises !
• En amont nous proposons à chaque enseignant de venir rencontrer la classe pour une sensibilisation. Nous apportons ainsi quelques clefs de lecture et partageons avec les élèves leurs visions du spectacle vivant; il s'agit là de susciter la curiosité, tout en préservant le plaisir de l'enfant et de l'enseignant. Nous rappelons également que l'équipe artistique (comédiens, techniciens) et les spectateurs sont là pour vivre une aventure commune, que l'un ne va pas sans l'autre et par conséquent qu'il y a quelques petites règles à respecter pour que chacun vive pleinement ce moment singulier.
Après le spectacle Construire du sens • À votre demande, nous retournons échanger avec vos élèves après la représentation. Ce temps d'analyse collective permet de développer jugement esthétique et esprit critique. • La visite du lieu permet de découvrir les dessous du CCAM, de révéler ce que le public a rarement l'occasion d'entrevoir comme fouler les planches du plateau et lever la tête pour comprendre la machinerie de spectacle. Viennent ensuite les coulisses, les loges, le studio d'enregistrement, le labo photo, la galerie Robert Doisneaux. Nous enrichissons tout cela avec une initiation au vocabulaire théâtral. Cette visite est aussi un moyen de donner aux élèves la possibilité
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Infos pratiques CONTACTS
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CCAM \ Scène nationale de Vandœuvre rue de Parme, BP 90126, 54504 Vandœuvre-lès-Nancy tel : 03 83 56 15 00 / fax : 03 83 53 21 85 site : www.centremalraux.com
Établissements scolaires Vandœuvre : 02 € Établissements scolaires hors Vandœuvre : 03 € Accompagnateurs : exonéré
la Ville de Vandœuvre, la DRAC Lorraine, le Conseil Régional de Lorraine, le Conseil Général de Meurthe et Moselle, la Communauté Urbaine du Grand Nancy.
renseignements, réservations Hortense Perreaut hortense@centremalraux.com
AUCCAM ACCÉDER AU CCAM CARTES DE RÉDUCTION Le CCAM est situé à proximité de l'Hôtel de Ville. En bus : ligne 4, arrêt Parc des Sports Nation / ligne 7, arrêt Fribourg. En tram : ligne 1, arrêt Vélodrome puis longer à pied sur 500 m le boulevard de l’Europe en direction du Centre Commercial Les Nations. En taxi : 03 83 37 65 37
Le CCAM est partenaire du dispositif Carte Lorraine Multipass et Carte Jeune (Vandœuvre).
Association des Usagers du CCAM Créée par et pour les usagers de la Scène nationale de Vandœuvre, l'AUccam s'est constitué pour apporter un soutien actif au CCAM, contribuer à son développement et perpétuer l'utopie de 50 ans d'aménagements culturels du térritoire français. Représentée au sein du conseil d'administration du CCAM, l'association offre à chacun la possibilité de s'impliquer dans le champ artistique et de suivre au plus près la vie d'une scène culturelle, de son équipe et de ses rouages. Rejoindre l'AUccam, c'est aussi bénéficier des tarifs réduits de la scène nationale. Cotisation annuelle : 12 €
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