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des flux Corse vers le continent constitue le point culminant dans la gestion de la zone de régulation du port, pour lequel un dispositif spécifique est déployé. Son objectif : assurer la sortie des véhicules des navires et de la zone portuaire, dans les délais les plus courts.
QUESTIONS À
THIERRY PITOUT MÉTROPOLE NICE CÔTE D’AZUR
Réguler le flux des véhicules passagers embarquant ou débarquant des ferries, une priorité pour le port de Nice qui bénéficie d’un allié précieux, le Centre de régulation du trafic (CRT). Le point avec Thierry Pitout, Directeur général adjoint des routes, de la circulation et des subdivisions de la Métropole Nice Côte d’Azur. Quelles sont les principales missions du Centre de régulation du trafic ? Ce service de la Métropole Nice Côte d’Azur veille à réguler la circulation et à adapter, en temps réel et H24, le fonctionnement des carrefours, afin d’assurer aux usagers les conditions de circulation les plus fluides. Il opère également une mission de surveillance des voies structurantes et des tunnels. Le trafic au niveau du quartier du port pose-t-il des difficultés particulières ? Comme pour chaque secteur de la ville, nos services s’attachent à
surveiller et gérer de façon optimale la circulation du quartier du port, pour maintenir sa fluidité. Sa particularité réside dans un trafic de desserte riveraine et inter-quartiers, auquel s’ajoute un transit estouest interurbain. Ce flux est alimenté par les axes suivants : la Promenade, la voie Mathis ou encore l’autoroute A8 et la proximité de connexion avec son échangeur Nice-Est par la pénétrante du Paillon. Les mouvements d’allers et retours sont prononcés dans ce secteur, avec notamment une heure de pointe étalée sur une plage allant de 16 h à 19 h. La gestion
Concrètement, qu’est-ce qui est mis en œuvre pour réguler le trafic sur cette zone ? En partenariat avec la Chambre de Commerce et d'Industrie de Nice (CCI), les services de la Police nationale et ceux de la Police municipale, les services de la Métropole ont développé un dispositif appliqué à cette gestion spécifique des flux circulatoires. Il se base sur des échanges d’informations en temps réel, au sujet des plannings de départs et d’arrivées des bateaux, pour relayer les modifications ou retards. Il repose aussi sur le suivi des approches et des débarquements, avec la mise en œuvre d’itinéraires d’évacuation du port vers l’échangeur A8 Nice-Est. Les usagers sont également guidés via le réseau de panneaux à messages variables, ou encore l’édition de points info-trafic. Enfin, le stationnement illicite sur la zone et sur l’axe Stalingrad est surveillé car il peut engendrer des difficultés. Tout comme les travaux et les emprises survenant sur la zone sont attentivement suivis et font eux aussi l’objet d’échanges. ●
BIEN CHEZ NOUS
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Saison 2016 : deux réunions pour vous informer VOUS ÊTES RIVERAINS DU PORT DE NICE… Venez nous rencontrer lors de la réunion qui présentera l’activité portuaire prévue cet été. Cet échange se déroulera le 18 avril de 17h à 18h30 au terminal 2 sur le quai Infernet. VOUS ÊTES RESTAURATEURS… Une seconde réunion est prévue à votre intention, le 19 avril de 15h à 16h30 au terminal 2. Lors de cette rencontre, vous découvrirez l’offre Corse au départ de Nice, la clientèle potentielle qu’elle générera pour vos commerces, les moyens de la capter et bien d’autres informations utiles. ÉCOUTILLES
DES QUAIS À L’ÉPREUVE DU TEMPS
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onstruits pour durer, les quais du port n’en ont pas moins besoin de petites cures de jouvence. En l’occurence des campagnes de travaux d’entretien en surface ou sous l’eau. L’une d’elle doit prochainement débuter quai des deux Emmanuels. Les contrôles réguliers effectués par les plongeurs du port ont en effet permis de détecter la présence en pied de quai d’un affouillement. Traduction : une cavité d’un mètre de profondeur qu’il s’agit à présent de combler, pour maintenir le quai en bon état. Ce sera chose faite après curage et coffrage des cavités où du béton sera coulé. Ces travaux sous-marins seront confiés à une entreprise extérieure qui œuvrera durant deux mois environ. ●
SNSM : UNE NOUVELLE VEDETTE DE SAUVETAGE À NICE
Cédric Ghiringhelli, Sauveteur en Mer et patron de Catherine-Ségurane III.
Station Hyris : une halte incontournable
accueil et le service que l’on peut donner dans un port est la première image que renvoie la ville aux plaisanciers. Il est de notre responsabilité de bien les recevoir. » François Ollier parle en connaissance de cause. Directeur d’exploitation de la société Hyris*, il gère sur les ports de Cannes et Nice les stations de carburants où les bateaux avitaillent à leur arrivée. « Nos pompistes sont toujours présents sur le quai à l’approche des bateaux. Nous les formons pour aider à la manœuvre et l’amarrage. Ce savoir-faire rassure nos clients plaisanciers,
INVITATION
parfois un peu stressés par l’accostage en station. » À Nice, quai Lunel, la station Hyris approvisionne les unités de 5 à 20 m en moyenne et plus exceptionnellement, les bateaux mesurant jusqu’à 45 m. « Nos camions peuvent en effet livrer en bord à bord les plus grands yachts, ce qui leur évite de manœuvrer dans le port. Le plein de carburant se fait aussi plus vite, à raison de 20 000 litres/heure, au lieu de 8 000 litres/h à la station portuaire. » Autre particularité, les stations Hyris sont des dépôts spéciaux d’avitaillement (DSA). « Outre le gazole, le SP95 et le SP98 TTC, nous pouvons donc distribuer du gazole et du SP98 détaxés aux ayants droits : bateaux liés à une activité commerciale, pêcheurs, pompiers, secours en mer, etc.. Nous sommes ainsi devenus depuis 2004 spécialistes de la distribution maritime des produits détaxés. Et nous avons beaucoup de plaisir à travailler dans le secteur portuaire qui donne une autre dimension à notre métier de négociants en produits pétroliers raffinés… » ● Station Hyris, quai Lunel : ouverture hors-saison de 8h à 13h du lundi au samedi ; et en saison de 8h à 18h, 7 jours/7.
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aptisée Catherine-Ségurane III, elle est assurément promise à un destin aussi valeureux que l’héroïne niçoise. Mais avant de secourir les hommes en mer, cette vedette de sauvetage a reçu samedi 19 mars, quai Entrecasteaux, la bénédiction du père Jean-Marc Schoepff, curé de l'église de Notre-Dame du Port. Une cérémonie avec défilé nautique et gerbes de fleurs, à laquelle assistaient sa marraine, Caroline Ciotti, le Préfet des Alpes-Maritimes, Adolphe Colorat, les Sauveteurs en Mer et un public venu nombreux.
La vedette restera ensuite amarrée au port de Nice, prête à prendre la mer 24h/24, 365 jours par an, quelle que soit la météo. Insubmersible, autoredressable, dotée de deux puissants moteurs et d’équipements hi-tech, Catherine-Ségurane III peut récupérer à son bord jusqu’à 28 naufragés et remorquer si besoin des bateaux à bon port. « Chaque année, nous faisons entre 40 et 50 sorties en mer », explique Jean-Louis Ghiringhelli, président de la station niçoise de la Société Nationale de Sauvetage en Mer. « Ces missions sont assurées par des bénévoles tous très expérimentés. Alerté par le CrossMed à Toulon, le patron du bateau réunit son équipage qui rejoint en 15 minutes la vedette. Nous intervenons pour des avaries à bord, des pannes, des évacuations sanitaires, des personnes à la mer… Les deux motopompes de notre vedette permettent aussi de neutraliser les incendies à bord ou de vider un bateau à raison de 100 m3 par heure. » La station SNSM de Nice prend ainsi en charge la moitié des sauvetages au-delà de la bande des 300 mètres entre le Cap d’Ail et l’aéroport de Nice. ●
SAISON 2016 : LE PORT RECRUTE !
Certification ISO 9001 et 14001 : un nouvel audit réussi !
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n nouvel audit de surveillance du port de Nice-Villefranche Santé a confirmé au mois de mars ses certifications ISO 9001(management de la qualité) et ISO 14001 (management environnemental). L’AFNOR, l’organisme certificateur, n’a détecté aucun écart de non-conformité, après contrôle des différentes activités portuaires. Le port de Nice-Villefranche Santé poursuit donc avec succès sa démarche d’amélioration continue. Elle vise à garantir des services de qualité adaptés à tous les clients du port ; et d’autre part, à préserver l’environnement portuaire par des actions concrètes comme par exemple le monitoring environnemental. ●
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omme chaque année, des postes de saisonniers sont à pourvoir sur le port de Nice, dans le cadre des activités ferries, croisière et plaisance. Réservés uniquement aux étudiants majeurs, ces contrats durent au minimum un mois, sur une période comprise entre Pâques et fin septembre. Pour postuler, envoyez par mail votre curriculum vitae accompagné d’une lettre de motivation à l’adresse suivante : clemence.augras-fabre@cote-azur.cci.fr ●
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ÉCOUTILLES
LES COPAINS D’ABORD
TEA TIME AU PORT Un salon chic et gourmand
L’INSTANT THÉ 24, RUE CASSINI
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Hermé. Des éclairs gourmets aux macarons aux douze parfums, Hervé Martinez revisite avec talent les classiques de la pâtisserie. Un amour du bon et du beau qu’il tenait à partager dans un lieu authentique « où l’on se sent bien ». C’est désormais chose
omme une petite envie de sucré… ? Rendezvous dans le nouveau salon de thé d’Hervé Martinez. Un écrin pastel, à la fois raffiné et convivial, où déguster les desserts gourmands de ce maître-pâtissier formé par Gaston Lenôtre et Pierre
faite. Petit-déjeuner, brunch dominical, déjeuner, goûter… il n’y a pas d’heure pour se faire plaisir à L’instant thé. Les clients, déjà nombreux, viennent savourer un gâteau, une crêpe. Ou tout simplement l’une des dix-neuf variétés de thé de la Compagnie coloniale, un chocolat chaud à l’italienne, un café… Le midi, place au salé avec un plat unique pour le déjeuner. « Nous avons voulu une cuisine simple et de qualité à base de produits frais de saison, dans la tradition niçoise… » précise Hervé Martinez. Président de l’association Port Avenir et conseiller communal, cet enfant du quartier se réjouit aussi de participer au renouveau de la rue Cassini avec sa nouvelle enseigne : « L’instant T arrive à point nommé dans un quartier d’avenir, où le tramway promet d’amorcer une dynamique très porteuse. » ●
Quand souffle l’esprit du thé…
CULOT THÉ 10, RUE CASSINI
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l est des lieux où il fait bon s’arrêter, le temps d’une découverte. Celle de la soixantaine de thés qui reposent sagement dans leurs boîtes, sur les étagères de ce nouveau comptoir de thés. Bai Hao Yin Zhen, Long Jing Ming Qian, Da Hong Pao… les noms s’égrènent au fil des étiquettes comme autant de mystérieux secrets. Heureusement, la
maîtresse des lieux est là, prête à vous guider. Mélissa Pouilly cultive la passion du thé depuis dix ans. Décidant de faire de sa passion son métier, elle choisit avec son compagnon d’ouvrir Culot Thé, rue Cassini qu’elle connaît bien pour y avoir vécu étudiante. Un « quartier accessible, en pleine évolution » où ils invitent désormais à découvrir de grands crus
d’origine. « Thés verts, bleus-verts, blancs, noirs, sombres… il existe d’innombrables variétés dont la saveur dépend du terroir, du climat, du type de cueillette, des parties de plantes récoltées… Et comme pour le vin, certaines années sont meilleures que d’autres. » explique-t-elle. Mélissa attend avec impatience les premières récoltes de printemps, les plus aromatiques. Les « puerhs » issus de théiers sauvages viennent tout juste d’arriver. Elle a hâte de goûter ces thés sombres qu’on laisse vieillir, compressés en galettes. « Ici, on est loin du thé aromatisé. Les bons thés nature se suffisent à eux-mêmes, libérant des arômes fleuris, iodés, fruités, boisés, de cuir, de châtaigne grillée, d’olive… On n’a jamais fait le tour du thé ! » Certes, mais dans tous les cas, la route du thé passe dorénavant par le quartier du port. ●
CHANTIER DU TRAMWAY : LES DÉBLAIS PRENNENT LA MER…
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urant onze mois, deux navires fluvio-maritimes de 90 mètres de long, relayés si besoin par un troisième, vont accoster à tour de rôle au quai de la Douane. Affrétés par l’entreprise Jean Lefebvre pour le compte d’Eurovia, ces bateaux de la compagnie Peak shiping évacueront entre 300 000 à 400 000 tonnes de déblais provenant du chantier du tramway. Sous la rue Ségurane, le tunnelier « Catherine » a en effet entamé sa lente progression pour creuser le tunnel reliant la station Garibaldi au port. Mêlés à une boue liquide, les déblais sont discrètement acheminés par une conduite souterraine jusqu’à la station de traitement quai Cassini. Triés, séchés puis stockés momentanément sur place, ces graviers et sables sont ensuite transportés sur les tapis roulants de convoyeurs jusqu’au quai de la Douane. Là, un tapis
élévateur les déverse à bord d’une des barges qui les transportera jusqu’à Fos-sur-Mer. « L’objectif est d’évacuer si possible 100 % des déblais par la mer, souligne M. Michel Lallement, directeur du port de Nice. Choisir la voie maritime évite les va-et-vient de camions dans le quartier. Ils se substitueront aux barges uniquement si la météo marine n’est pas favorable. Ce qui restera exceptionnel, car ces navires ont notamment été choisis pour leur capacité à naviguer par mer forte. » Au port, leur chargement se fait entre 7h du matin et 20h. Là encore, tout est fait pour réduire les nuisances. Les équipements, dont les convoyeurs, sont capotés afin d’empêcher la diffusion du bruit et des poussières. Le fond des barges, lui, est recouvert d’un lit de sable, toujours pour limiter l’impact sonore des déblais. ● Plus d’infos : www.nicecotedazur.org
FIN DE L’AVENTURE POUR L’ÉPAVE DU SUNNY DAY
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ix mois durant, ce yacht de 25 mètres a dérivé le long du littoral, abandonné à son sort. Le 8 février dernier, le Sunny Day a finalement sombré dans la rade de Villefranche-sur-Mer. Mais pas question pour autant de laisser son épave reposer sous l’eau ! Les restes des navires souillent les fonds marins et représentent un danger pour la navigation. Soucieux de préserver l’environnement et la sécurité maritimes, le Conseil départemental a donc décidé de programmer au plus vite l’enlèvement de l’épave, avec l’accord de la Préfecture. Découpé en deux puis renfloué au large par la société Trasomar, le Sunny Day a ensuite été transporté sur une barge jusqu’au port de Nice. Son voyage s’est achevé quai Infernet où la société Ruvalor a fini de le démanteler, en vue d’évacuer les matières premières vers des sites de recyclage. ●
DE VOUS À NOUS
Port de Nice
Alexandre Quirino
Camille d’Antonio
Anne-Julie Martinez
Maeva Ferreri
Port de Nice
RENCONTRES
Les scolaires à la découverte du port…
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our la 7e édition de « L’École au port », environ 1000 élèves de la région sont venus à la rencontre des professionnels du port de Nice, le 17 mars dernier. Primaires et collégiens ont découvert d’atelier en atelier, l’histoire du site, les métiers liés à la mer et les bons gestes pour préserver l’environnement marin. Un bol d’air un peu décoiffant — le vent était de la partie — mais très apprécié par les élèves. Ils ont pu tour à tour assister aux démonstrations des plongeurs du port et des maîtres-chiens de la gendarmerie. Ou encore s’initier aux joies du calfatage traditionnel de pointus, avec les bateliers de la Mouette. Un vrai coup de cœur pour les enfants qui ne voulaient plus lâcher le cordon d’étoupe et le fer à calfat ! Intérêt marqué aussi des plus grands pour les techniques d’investigation sous-marine de la gendarmerie : « Des enquêtes comme dans les feuilletons télé mais sous l’eau ! » Entre autres visites, les élèves ont pu enfin monter à bord de la pilotine, du bateau des douanes ou embarquer pour une sortie en mer sur un côtier Trans Côte d’Azur. Un tour d’horizon de l’univers portuaire toujours aussi instructif et ludique… ●
LE SAVIEZ-VOUS ?
Rue François Guisol, qui se cache derrière ce nom ? UN AUTEUR PLEIN DE VERVE ! En 1803, l’année de sa naissance, ses parents s’installent à Nice dans le quartier du port, au 2 rue Lunel, rue qui porte aujourd’hui son nom. En effet, si François Guisol eut une destinée moins glorieuse que son camarade d’enfance Giuseppe Garibaldi, il connaîtra malgré tout un certain succès. Non sur les champs de bataille, mais pour ses chansons. La Bella Bouquetiera, La Cansoun dei dama, La Paisanetta… ces airs enjoués vont longtemps animer les banquets. François Guisol sera aussi auteur et comédien, journaliste et pamphlétaire. En 1854, il crée ainsi l’hebdomadaire satirique La Mensoneghiera (La Menteuse) où il défend ses idées pro-françaises et anticléricales. Des prises de position qui lui vaudront d’être emprisonné et exilé, avant de rentrer à Nice au moment du rattachement. ●
Fan du port de Nice ! Ces quatre « instagramers » mettent régulièrement en ligne des photos du port de Nice, un quartier qui les inspire…
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000 abonnés, 90 000 photos publiées sur Nice et sa région… le groupe @Igersnice a fait sa place sur Instagram. Ils sont quatre à l’animer, tous mordus de photographie, chacun dans son style. Maeva Ferreri qui aime saisir l’instant avec son smartphone, tout comme Anne-Julie Martinez aux photos colorées et ensoleillées. Camille d’Antonio, elle, capture dans son objectif un univers empreint de poésie. Tandis qu’Alexandre Quirino affectionne les photos couleur, converties partiellement en noir et blanc. « Au sein de la communauté @Igersnice, notre but est de faire découvrir les talents de notre région, en postant leurs photos », précise Maeva. Mais les échanges ne se font pas uniquement par écran interposé. « Nous sommes des amis dans la vraie vie » ajoutet-elle. Trois d’entre eux habitent dans le secteur du port où le groupe se réunit régulièrement. « Nous sommes très attachés à ce quartier très inspirant avec ses pointus, ses couleurs, la mer qui pénètre dans la ville… Un quartier généreux, sympathique, en pleine renaissance…. avec toujours une petite ambiance village. Nous l’avons d’ailleurs intégré plusieurs fois à nos sorties photos, auxquelles participent à chaque fois une vingtaine d’Instagramers. » Le groupe avait aussi accepté de transmettre en direct des photos de la fête du port 2015 sur les pages Instagram et Facebook du port. Avant de repartir pour de nouvelles aventures photographiques… ● Le Port de Nice est la propriété du Conseil Départemental des Alpes-Maritimes, à ce titre autorité portuaire. Il est exploité par la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur qui en est le concessionnaire. La Lettre du Port : CCI Nice Côte d’Azur, 20 bd Carabacel - CS11259 - 06005 Cedex 1 • Directeur de la publication : Bernard Kleynhoff • Rédaction : Christine Mahé • Conception : Azur Communication • Crédit photos : Port de Nice • Contact : lettreduport@cote-azur.cci.fr www.riviera-ports.com • ISSN 2259–0803 • Imprimeur : Nis Photoffset • Imprimé sur papier recyclé blanchi sans chlore (PEFC)
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