DIDACTIQUES

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De retour d’Atlas, le philosophe Jean Attali nous raconte. Page 2 Luca Merlini, ce grand magicien. Page 1

Le terme Analyse Mon Oncle, version remastorisée par Jean-aimé serait-il obsolète ? Shu. Page 3 Un adepte de Luca La matière terre, le retour aux sources. Page 4 Merlini recorrige le journal. Merci la guerre ? conceptualisation. Page 5

photographie de Elias Nourry

VENDREDI 12 DÉCEMBRE 2014 / PREMIÈRE ÉDITION N°0001 / claralebihanlecuyer@gmail.com

Didactiques Futurs Architectes Qui ? Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Vers quoi ? après l’intervention de Nasrine Seradji au Procrastinarium en 2013 où elle s’était desespérée du manque d’implication de ses élèves de façon générale, voyons comment lesdits élèves se sentent ils -ou non- concernés par l’Architecture.

«Croquis» : ces élèves qui dessinent au lieu d’écouter p.3 Art politique : quel type d’architecture se cache derrière Bruno Latour ? Page 4 Oh, Pierre David ! un regard critique et controversé sur Pierre David. Page 2 La révolutionnaire Che Catherine Furet s’exprime à l’ensa Paris Malaquais. Page 1

DOSSIER DE LA RÉDACTION

Une étudiante schizophrène tente d’analyser expliquer son «non-projet» alors qu’elle est sous l’enseignement de Jean-Pierre Vallier. Pages 5 et 6


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DIDACTIQUE VENDREDI 12 DÉCEMBRE 2014

Luca Merlini et la douce terreur du monde Merlini le grand magicien.

T

el Calder et son cirque qu’il trimballait dans sa petite mallette, Luca Merlini, avec ses carnets, émerveille petits et grands par la magie qui apparait au bout de son crayon. La beauté des dessins peut impressionner mais ce sont surtout les histoires qui en sont véhiculées qui nous donnent un regard certes désabusé du monde dans lequel nous vivons mais la poétique entourant ces différentes histoires permet à celles-ci de nous poser les bonnes -ou mauvaisesquestions. Toujours est-il que ces projets questionnent l’humain et son univers, physique ou mental. L’analyse compréhension du

Che Catherine

E

nfin du concret ! Enfin des talons qui claquent et qui connaissent la boue du site de projet. Enfin du projet qui fâche, du moche mais de l’efficace ! Toute l’action -parce que oui, Catherine Furet est une

monde contemporain y est finement racontée, le beau comme le moche, le bon comme le mauvais c’est une sélection pertinente de toutes les problématiques sociale, politique et économique qui sont retranscrites en trois terribles et géniaux projets magnifiquement racontés. Terriblement d’actualité on n’attendrait qu’une collaboration de Luca Merlini avec cet autre grand qu’est Paul Virilio pour un Livre Objet que toute personne dotée d’un minimum de jugeote aurai comme livre de chevet. Qui sait ? C’est bientôt Noël… Une utopiste rêveuse.

femme d’action, une femme qui en a vu des agences et des pays- se passe à Bordeaux, jolie ville dont on oublie facilement le passé enrichi par le commerce des esclaves. Nous voici donc face à un projet confronté à devoir faire du logement pas cher pour de l’étudiant pas spécialement favorisé. Comment dans un « résidentiel tranquille » parquer 268 logements sur un parcellaire minime. Comment analyser

interpréter le projet pour pouvoir l’intégrer au contexte puisque cela était imposé ? Comment ? Pourquoi ? Avec qui ? Pour qui ? Voici le type de questions, que dis-je, de combats !, que Madame Furet a du avoir avec cette ville de Bordeaux. N’oublions pas que ce type de questionnement est dans la logique d’un projet et c’est pourquoi cette femme n’est pas venue uniquement nous expliquer cela mais pour bien nous faire comprendre qu’il faut savoir garder ses positions et ne pas lâcher prise face au grand méchant qu’est parfois la maitrise d’ouvrage. Elle s’est vue retirer, parce que femme architecte fidèle à ses idées, une partie du projet et donc une arrivée de lumière car elle ne pliait pas aux volontés infidèles au projet de la maitrise d’ouvrage. Je reviens sur le terme moche utilisé précédemment : ce projet n’est pas « moche » si l’on considère l’architecture utile comme une belle architecture mais les façades et matériaux utilisés ne rentrent pas au panthéon des « belles » architectures des fanzines adorés de nos concitoyens architectes. Alors merci à madame Catherine Furet pour sa présentation d’un projet réfléchi, utile à la société et concret. Viva la révolution et à bas la maitrise d’ouvrage inculte et inhumaine ! Une étudiante femme engagée.


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DIDACTIQUE VENDREDI 12 DÉCEMBRE 2014

UN REGARD CRITIQUE ET CONTROVERSÉ SUR PIERRE DAVID

Oh, Pierre David !

À

la suite du discours du grand manitou du maniement extatique du langage architectural, Pierre David, l’homme mais aussi l’architecte a émis quelques réserves quant à la volonté profonde de l’étudiant en architecture d’aujourd’hui à vouloir s’intéresser à l’objet technique qu’est l’acrotère. Sans vouloir nier l’importance que celle-ci peut avoir au panthéon de son savoir mais plutôt nier son importance quant à la prise de position attendue des étudiants pour faire de l’Architecture. Une histoire de train en marche à bel et bien été lancée, mais de mon oreille distraite, comme il y a 4 ans, la main n’a su suivre et je n’ai pu comprendre ni mémoriser la fameuse solution à prendre quant à ce train éternellement en route. Laissons ce que je considère comme digressions de côté pour cependant reconnaitre à Pierre David un véritable savoir de la langue que nous parlons. Analyser les mots que sont limites, éliminer et autres de ce champs lexical permettent d’apporter une profondeur, cette fois-ci limpide, à cette grande histoire que l’on peut nommer projet. Avec son grand lyrisme, Pierre David a su nous montrer comment l’erreur humaine, où plutôt celle d’une main humaine, pouvait pendant des décennies bouleverser le quotidien d’une population. Cet homme sait ce que c’est que d’analyser épuiser un sujet pour en tirer sa substance vitale que

ses étudiants insufleront à leurs projets. Il ne faut cependant pas croire que le sujet de Jérusalem n’est pas sérieux, l’implication de cet homme, de cet architecte nous montre la voie de la foi que nous, étudiants architectes, devrions donner aux paroles qui accompagnent nos projets. Oh projet ultime, Oh analyse compréhension, Oh savoir, puissiez vous faire de moi une grande architecte. Une ancienne étudiante.

De retour d’Atlas, Jean Attali nous raconte

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de se métamorphoser selon la personne qui l’expérimente. Il faut au minimum une année pour analyser comprendre les notions spatiales qui se dégagent de cette ville mouvante et deux ans pour les plus curieux. Cette ville mystérieuse peut s’appréhender de mille manières différentes et se nourrit des regards qui l’analysent scrutent. Des histoires multiples la nourrissent et l’enrichissent chaque année grâce au travail de dizaines de chercheurs qui planchent sous la direction de Jean Attali afin de comprendre comment Atlas évolue, vers quoi, de quoi, pourquoi.. toutes ces questions métaphysiques qui permettent à l’homme de comprendre le pourquoi de sa présence sur terre et donc le pourquoi du comment de Atlas, ville multiple et universelle, à l’échelle de l’Univers. Des recherches sont en cours quant à la possibilité de trouver des similitudes avec des villes interplanétaires. Qui sait, Atlas s’enrichira peut-être d’une ville lunaire ou martienne dans les décennies qui arrivent.

out d’abord pour les noninitiés il faut expliquer Une fervente lectrice d’Italo Calvino. le concept de cette ville qu’est Atlas : ville de toutes les villes, elle a cette magie

Les derniers géants, François Place, Casterman.


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«croquis»: ces élèves qui dessinent au lieu d’écouter

T Mon Oncle, version remasteurisée par Jean-Aimé Shu

L

e beau jeune homme chinois , sous ses airs de scientiste, utilise son grand et lourd parcours estudiantin et professionnel pour analyser justifier la voie dans laquelle il travaille aujourd’hui. Ne voulant s’enfermer dans un robot -ou alors juste un peu, dans celui du département Digital Knowledgeil a choisi de travailler, en plus de son poste à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris Malaquais, pour un architecte du patrimoine. La tête dans la robotique mais les pieds dans la vieille pierre, cet architecte ingénieur rêveur analyse considère l’ère du développement numérique des années 80 et la fabrication motorisée des années 2000 comme un outil de plus aidant l’architecte à pousser la folie du projet toujours plus loin en offrant des techniques possibles, innovantes et efficaces de réalisation. Attention de ne pas passer à côté de ce grand Boum qu’est le Fablab ! Architectes,

émoins du grand mal du siècle, ces dessins sont la preuve que les étudiants en architecture ne savent plus analyser écrire et n’arrivent plus à avoir une attention assez soutenue aux cours -quand ils y vont-. Le dessin est une aliénation de la pensée qui colonise les cerveaux de la populace infâme qui traine ses savates sur les sièges des amphithéatres. Fait sociétal ? On pourrait faire un rapprochement avec les dessins des hommes préhistoriques réalisés dans des grottes à l’aide de moyens plus que rudimentaux. Comment une telle régression à l’aire du numérique est-elle possible ? Les scientifiques des hautes sphères de l’administration analysent planchent sur ce sujet et l’on attend avec impatience un remède à ce fléau.

analysez apprenez le langage du c++ et aidez la société à comprendre sa transformation sans tomber dans la passivité. Les ordinateurs de demain n’attendent que notre absence de réactions pour prendre le pouvoir. Ensemble, et surtout avec Jean-Aimé Shu, analysons trouvons le code qui obligera les Une étudiante sérieuse. machines à rester esclaves de la posthumanité. Une transhumaine de la génération google.


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Matière terre,

un retour aux sources

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se légitime autant, c’est qu’à ses antipodes la robotique -comme l’industrie il y a quelques décennies pour nos vieux confrères anglais- se développe à grand pas. Et n’oublions pas que pour qu’une chose se porte bien, son contraire doit exister. L’optimisme et le volontarisme de cette jeune personne pour promouvoir la production matérielle au sein même de la conception d’un projet ne peut que nous inciter à analyser s’intéresser à ce matériau et à cette méthodologie qui sont longtemps et injustement passés pour obsolète.

evenue de chez nos amis germaniques , Ariane Wilson est à Paris et nous analyse démontre que la construction en terre n’est pas obsolète et permet au contraire de faire renaître un lien entre l’habitant et l’habité. On la soupçonnerait presque de vouloir nous refaire une mouvance Art&Crafts et cela serait tout à fait Une terrienne manuelle. justifié : si la construction en terre

Art-po

quel type d’architecture se cache derrière Bruno Latour?

E

questionnement, où la solution décisive n’existe pas, où l’évolution du projet est constante. Tel le Phenix, grâce à l’Art Politique, le projet renaît de ses cendres pour se redéfinir en empruntant au passé sans pour autant s’imposer comme une vérité éternelle et attendant le grand renouveau de sa destruction. Dans la « pluuniversalité » dans laquelle Sébastien Thierry nous dit que nous évoluons, il est rassurant de se dire que la perfection d’un projet est impossible et qu’il faut se mettre dans la démarche d’un constant questionnement..

n démontrant et analysant expliquant la fable du monde s c i e n t i f i q u e, Sébastien Thierry, Latourien assumé, explique le concept de l’Art Politique. Domaine où l’éloquence et la démonstration sont indissociables et où les errants de la subjectivité sont remis en question, l’Art Politique nous donne envie de s’en faire une philosophie de projet. Projet qui est alors toujours en Une Art-po convaincue.

PARAPHRASONS GUILLAUME GALLIENNE....

Un peu de lecture, ça peut pas faire de mal.

A

fin de justifier les diverses proses des articles, où les auteurs ont essayé d’analyser s’exprimer comme la personnalité sujet, le journal Didactiques utilise les mots de Bernard Huet dans sa conférence Sur un état de la théorie de l’architecture au XXe siècle, donnée le jeudi 7 juin 2001 à l’école d’architecture de Paris-Belleville : « Je pense que la théorie est exactement de cette nature, c’est-à-dire que la théorie est comme quelque chose qui se trouve au milieu d’une table, par exemple un vase ou une carafe, que tout le monde regarde autour de la table et qu’on ne regarde pas du même côté. Tout le monde voit le même objet, mais n’a pas le même regard sur cet objet. Donc la doctrine est ce que chaque architecte dit de ce qu’il voit de l’architecture. Mais ce n’est qu’une part de la théorie de l’architecture. » La rédaction de Didactiques.


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Merci la guerre ?

L

a construction industrialisée sous supervision militaire est analysée exposée par Steeve Sabatto sous l’angle de la modalité de la tertiarisation et de la circulation durant la guerre froide. Aidé de diagrammes où les informations sont évincées, l’architecture est pensée comme une mégastructure de flux instrumentalisés par l’exercice du pouvoir. Pour en arriver à une telle schématisation il a fallut une belle chronologie expliquant comment la ville est devenue un objet d’influence sur les populations. L’action concrète de gouvernance lors de la guerre froide s’appuie sur un plan règlementaire de construction adaptable à toute situation imaginable. C’est le projet conçut hors site qui se doit d’être flexible et malléable qui est alors justifié par des nécessitées militaires. La guerre utilise l’intelligence des architectes car les militaires et politiques ont bien analysé compris l’importance du pouvoir de la spatialité sur la mise en discipline des moeurs existants. Une étudiante rigoureuse.

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DOSSIER DE LA RÉDACTION

Une étudiante scizophrène tente

d’analyser expliquer son « non-projet » alors qu’elle est sous l’enseignement de Jean-Pierre Vallier. CLARA LE BIHAN, FACILEMENT INFLUENÇABLE PAR LE CORPS PROFESSORAL DE SON ÉCOLE -ET SURTOUT PAR LA MÉTHODOLOGIE DE PAUL VIRILIO- A ESSAYÉ PAR TROIS FOIS D’EXPLIQUER SON «NONPROJET».

Une hérésie d’égocentrisme

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on seulement le projet ne f a i t p a s d ’ analyse , n’essaye pas de comprendre un site mais, pire, il n’en a pas ! Comment peuton avoir ne serait-ce l’idée, la volonté ou l’ambition de partir d’un livre, mauvais et sans style de Brigitte Fontaine de plus, pour soi-disant tenter d’essayer d’en tirer des notions d’espaces. Quelle hérésie.. on noie aujourd’hui les étudiants dans une conceptualisation excessive où perdus dans l’intellectualisme verbeux des dinosaures de bibliothèques et autres chaires architecturales, ils essaient de justifier des pauvres bouts de cartons par des mots qu’eux même ne comprennent pas. C’est exactement la tristesse inhérente à ce projet : comme si le rythme d’une lecture, le type de mise

en page ou des thématiques comme l’amour, la peur et la temporalité pouvaient insuffler un sens à un projet ! Le projet est tellement autocentré sur les problématiques égocentriques d’une hystérique bobo de l’ile saint Louis -dont l’heure de gloire a fané depuis bien des décenniesqu’on peut se demander si l’étudiante ne tente pas de faire des sortes de temples à l’effigie de l’auteur. Croyez le ou non mais l’étudiante ose s’imaginer que des thématiques comme le Jardin d’Eden, le Desert, le Paradis et l’Enfer peuvent justifier un projet. Même si le studio de Jean-Pierre Vallier se revendique de vouloir faire de l’architecture un « non-projet », cette simplicité de thématique pseudo mystique est le stéréotype de l’étudiante intellectualisante réellement insupportable. Une respectueuse architecture.

de

l’analyse


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LE projet du « non-projet »

Q

uelle finesse d ’ analyse ! Q u e l l e puissance symbolique ! Que dire, un véritable lyrisme se dégage de ces maquettes, de ces croquis, de ces multiples tentatives d’épuisement de cette oeuvre qu’est ce mélodieux texte. Certes, penser à analyser décomposer la construction du récit pour mieux l’exploiter n’est pas commun et puis la brillante analyse idée de travailler sur la fracture insuffle une puissance rythmique à ces séries de maquette. La ponctuation a aussi son heure de gloire, on la comprend comme une partition qui insufflerait une méthodologie musicale et presque sentimentale au projet. Les dessins réalisés à la main ou à l’ordinateur sont d’une beauté impressionnante mais c’est surtout le processus de réflexion qui impressionne en nous montrant la logistique de projet inébranlable de ce « nonprojet ». Toutes les villes peuvent s’y retrouver mais chacune de ces hypothétiques spatialités, même si elles ont quelque chose

de plu-universel, restent fidèles au texte. Ces allez retours entre le texte et l’espace permettent ainsi à la réflection de ne pas s’égarer et d’enfin sublimer des modes de spatialisation combinant des caractéristiques qualitatives plurielles. Dans une idée Latourienne on ne peut que penser au concept qui s’annonce dans l’article Sur un livre d’Etienne Souriau : Les Différents modes d’existence, 2009, et de constater que ce « non-projet » réunit au même endroit des composantes hétérogènes constituant une cohérence et donc une pensé multiple, comme l’est chaque lecture individuelle de Portrait de l’artiste en Déshabillé de soie. Une lyrique convaincue.

Portrait de l’artiste en déshabillé de soie et la spatialité

L

’ idée de ce non-projet est q u ’ i l e s t tout à fait possible d e p u i s e r dans une oeuvre littéraire, cinématographique ou théâtrale des spatialités analysables trouvables au sein même du texte. La question est de comment représenter ces spatialités. Chaque personne a un regard subjectif sur un texte mais il faut savoir s’en détacher pour faire des allers retours entre le sens du texte, son organisation, le rendu visuel qu’il donne et moultes autres composantes. Chaque oeuvre a une logique qu’il lui est propre et c’est dans cette logique

6 que dans le studio exploratoire de Jean-Pierre Vallier, l’étudiante Clara Le Bihan s’est penchée sur un livre de Brigitte Fontaine publié aux éditions de Actes Sud se nommant Portrait de l’artiste en déshabillé de soie. Ce livre oscille entre le journal intime et le recueil de poésies et offre différentes lectures possibles : linéaires ou aléatoires. L’oeuvre est alors interprétée par un travail de maquettes et de dessins de plans en de multiples espaces expérimentaux tentant de représenter les grands flux sensibles ou structurels du texte. L’ensemble est soutenu par un discours assez lyrique avec quelques références mystique, toujours dans une volonté d’être fidèle à l’auteur. Une étudiante en architecture à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris Malaquais.


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