NOTES
/ 18.02.11 / 20.05.11 /
Une sorte de carré vide, enfin plutôt un rectangle. J’ai dit vide mais il ne l’est pas vraiment, c’est qu’il donne l’impression d’être vide. Quand je rentre dans la pièce j’ai l’impression d’être insulté par l’écho produit par la réponse monotone et simultanée des deux personnes qui habitent ce lieu : - «salut» - «salut. salut.»
P.2 / 18.02.11 / JAKE FRASER /
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/ 04.03.11 / LINUS GRUSZWSKI /
J’accède par les escalators. Un RER arrive. Les personnes courent. Les sièges siègent en face. Les personnes assises regardent les personnes courir. Le train est à quai. Tout le monde sort, monte les escalators. Les portes se ferment. Le RER part. Les gens se dispersent. Attendre. Regarder. Les affiches publicitaires, l’heure, les autres. Boire un café. Bouger. Des aller-retour. Choisir un endroit. Ne plus bouger.
/ 18.02.11 / JULIETTE LIBOTTE / P.5
Le front de mer, éclairé par des fusées de détresse, apparaît comme une vision fantomatique. Les immeubles sont des barres inexpressives où la vie semble avoir disparue. Les vagues lèchent la plage insolemment. Des silhouettes sortent de l’eau. Elles sont éclairées par la lumière inquiétante des fusées. La ville est-elle abandonnée ? Les rues sont désertes, transformées en un immense labyrinthe imprévisible. Face à la ville où tout peut arriver, la mer est devenue un refuge hospitalier, ondulant nonchalamment sous les lueurs nébuleuses du ciel.
P.6 / 29.04.11 / THÉOPHILE LOIZILLON /
/ 04.03.11 / LINUS GRUSZEWSKI / P.7
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/ 25.02.11 / THEOPHILE LOIZILLON /
Étroite, mais propice à l’évasion. Sombre, parfois illuminée de rares rayons de soleil. Il y règne un silence troublé par le chant des oiseaux. Entre quatre murs, elle écoute le murmure de la vie. On y trouve une végétation foisonnante. Coulisse de la rue, elle est à l’avant-scène de nos élucubrations domestiques.
/ 18.02.11 / LUCE GONDRAN / P.9
espace r i t i q u e
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P.12 / 08.04.11 / LINUS GRUSZEWSKI /
Je crois qu’il y a un moment où c’est particulièrement – au lycée on devait dessiner comme Giacometti – comme qui ? Et toi ? On voit qu’il y a des erreurs mais elles sont reprises – assumées. Il dessine une ligne mais il y a plein de choses derrière cette ligne. Ouais c’est vrai – il maîtrise certaines techniques et après c’est plus de l’expérimentation. Un souffle, un trait sans lever le crayon. C’est quelque chose que tu peux isoler. Il faut reprendre une note telle que Schiele aurait pu noter dans son carnet. Ou un dessin. Ne pas lever le crayon de l’orteil au doigt de la main. Compter toutes les bosses. B – cube qui se déplace. Voilà. Bon après, il y a tous les points de vue, les cadrages, les plongées, contre-plongées. Femme sans tête. Le sexe au milieu du format. Kahn est mort quand ? Louis Kahn. Le projecteur. Quelque chose d’assez frustrant. 371. Gazette. Prospectus. Il y a aussi un rapport. C’est con Star Wars n’a pas encore été tourné. Best off. Because of the whole personal aspect. Le Corbusier or something. Le milieu n’est pas de le dessiner -c’est lui- mais de l’isoler. Ça, c’est toi ? En 2 temps : pour écrire, regarder, essayer de comprendre, et retranscrire. C’est marqué là. Tu as lu ces textes ? J’ai vu une exposition. Rue Moret à côté de la rue Oberkampf. Il a repris un autoportrait totalement abstrait de Malevitch. Le carré blanc aussi. Il le fait avec des mouvements très lents. C’est filmé. La durée de la vidéo. Il les cumule. Ce sont de vrais meurtriers. Le temps était écrasé sur le catalogue. Comme une prise de vue. Les tremblements déforment le carré. Lignes de pixels retravaillées. Donc à partir du titre, c’est ça ? Oui, est-ce que ce ne serait pas du coup son foulard ? Je peux voir ce gros pavé ? Il y a 500 pages en plus. Et là tu connaissais déjà ? Ah oui. Je l’ai rencontré quand j’avais 13 ans. Quand j’étais jeune en Angleterre. Il y a de nombreuses possibilités. L’année dernière ou il y a deux ans. L’idée de Kahn que tu relis. La figure. Le jeu de cartes. Il commence avec une queue. Les murs avec la sédimentation. Un truc comme ça je l’achète. Mais l’annèe dernière. L’animal se compresse. Il essaie de rentrer dans le format. Il se cogne dessus en fait. Il n’existe pas au delà du format. C’est une méthode de travail. C’est plus. La meilleure méthode. Ah ! Une reprise. C’est le truc le plus récent. Un cube dans un cube. Sol Lewitt. Quelques bouquins sur les mathématiques en art. La quatrième dimension dans l’espace. 3D-4D. Tu prends note ? Dictée. Hypercube. Extrusion. Trame. Cadavre exquis. Obsession. Dictée. Bribes.
/ 08.04.11 / LUCE GONDRAN / P.13
La place de Catalogne est moche. Sauf quand on monte sur la fontaine centrale quand l’eau ne coule pas. On s’allonge sur les pierres et son inclinaison nous donne à voir le boulevard Pasteur. Quand il neige, c’est le dernier endroit où la neige reste. La place de Catalogne est moche. Mais quand la fontaine centrale cesse de couler, on peut accéder au centre de celle-ci. Je m’allonge sur les pierres, encore fraîches en été et parfois eneigées en hiver. L’inclinaison me permet de voir la perspective du boulevard et on peut y voir, au bout, un morceau de la tour Eiffel. C’est une carte postale illégale.
P.14 / 18.02.11 / GILLES MUSTAR /
/ 25.02.11 / LOUISE HAYAT / P.15
P.16 / 08.04.11 / LUCE GONDRAN /
L’art brut Pouvoir travailler de tête Exprimer solidement que je veux exprimer que tous les objets sont ronds. La forme n’a pour ainsi dire ni commencement ni fin. Essayer de créer quelque chose et tâcher d’y mettre de la vie. Commencer par le milieu (modeler) et finir par le contour. L’âme. Peindre la rue de toutes ses habitations. Les mangeurs de pommes de terre, 1885. d’un instant dont il a été témoin il cherche à en améliorer le cercle « pour y mettre de la vie » il cherche à en obtenir « quelque chose » et à savoir ce qu’est ce « quelque chose ». Peindre de mémoire « il soutenait (Delacroix) que c’est de tête qu’on fait les meilleurs tableaux. Connaître Anvers, peindre ses lignes de mémoire. / 18.03.11 / VICTORIA CAUBET / P.17
P.18 / 08.04.11 / JAKE FRASER /
/ 08.04.11 / LINUS GRUSZEWSKI / P.19
P.20 / 08.04.11 / JULIETTE LIBOTTE /
/ 08.04.11 / JULIEN GUILLAUME / P.21
P.22 / 25.03.11 / LINUS GRUSZEWSKI /
/ 08.04.11 / GILLES MUSTAR / P.23
Je me réveille dans un brouhaha intemporel. Ruelle sombre de Paris, allongée sur le pavé mouillé, je tremble. Le froid perce la chair et les os craquent sous le gèle. L’étroite rue glissante accueille une foule couchée au sol. Tapis de personnes.
P.24 / 13.05.11 / VICTORIA FRENAK /
/ 18.03.11 / XAVIER DELANOUE / P.25
P.26 / 25.02.11 / VICTORIA RIOU /
/ 08.04.11 / JULIETTE LIBOTTE / P.27
P.28 / 01.04.11 / JULIEN GUILLAUME /
/ 25.02.11 / JOSEPH MORISSEAU / P.29
P.30 / 01.04.11 / LINUS GRUSZEWSKI /
Maison close Maison des morts Maison de reclus Maison de malades Maison des rejetÊs Maison de l’obsolescence Maison autoritaire Maison pleine Maison totalitaire Maison vide
/ 01.04.11 / LUCE GONDRAN / P.31
P.32 / 01.04.11 / JULIETTE LIBOTTE /
/ 01.04.11 / JULIETTE LIBOTTE / P.33
P.34 / 18.03.11 / XAVIER DELANOUE /
/ 08.04.11 / LUCE GONDRAN / P.35
P.36 / 08.04.11 / XAVIER DELANOUE /
Un Mexicain qui joue au base-ball ? Un Mexicain facho ? Un Mexicain qui fume ? Un policier mexicain qui fait la circulation ?
/ 08.04.11 / XAVIER DELANOUE / P.37
P.38 / 13.05.11 / THÉOPHILE LOIZILLON /
/ 25.03.11 / JULIEN GUILLAUME / P.39
P.40 / 25.03.11 / LUCE GONDRAN /
/ 25.03.11 / LUCE GONDRAN / P.41
Émergence. Projet de sol. P.42
/ 20.05.11 /FATINE ZAHRI / P.43
P.44 / 06.05.11 / VICTORIA CAUBET /
/ 06.05.11 / FRANCOIS CHANTIER / P.45
P.46 / 20.05.11 / FRANCOIS CHANTIER /
/ 06.05.11 / FRANCOIS CHANTIER / P.47
Bois. Plume Livre.
P.48 / 06.05.11 / LINUS GRUSZEWSKI /
/ 20.05.11 / FRANCOIS CHANTIER / P.49
P.50 / 06.05.11 / GILLES MUSTAR /
/ 13.05.11 / JAKE FRASER / P.51
P.52 / 06.05.11 / JAKE FRASER /
/ 06.05.11 / JAKE FRASER / P.53
P.54 / 13.05.11 / JAKE FRASER /
/ 13.05.11 / JAKE FRASER / P.55
P.56 / 13.05.11 / VICTORIA RIOU /
/ 20.05.11 / CLARA LE BIHAN / P.57
P.58 / 20.05.11 / VICTORIA RIOU /
Monolithe rectangulaire vertical Cisaillement ajouré décalé
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P.60 / 20.05.11 / XAVIER DELANOUE /
/ 20.05.11 / XAVIER DELANOUE / P.61
/ 20.05.11 / VICTOR CLAYSSEN / P.63
P.64 / 20.05.11 / VICTOR CLAYSSEN /
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P.66 / 20.05.11 / XAVIER DELANOUE /
/ 20.05.11 / XAVIER DELANOUE / P.67
P.68 / 20.05.11 / XAVIER DELANOUE /
/ 20.05.11 / THÉOPHILE LOIZILLON / P.69
P.70 / 20.05.11 / FATINE ZAHRI /
/ 29.04.11 / LINUS GRUSZEWSKI / P.71
Camion Tranches Structure interne pièces d’eau bandes actives arbre ?
P.72 / 20.05.11 / JAKE FRASER /
/ 20.05.11 / THÉOPHILE LOIZILLON / P.73
P.74 / 06.05.11 / THÉOPHILE LOIZILLON /
/ 20.05.11 / CLARA LE BIHAN / P.75
P.76 / 06.05.11 / VICTORIA CAUBET /
Une fillette se promène pieds nus sur un terrain vague. La banlieue. C’est un matin d’été, il fait déjà chaud et la poussière vole. Le soleil se lève et dessine des couleurs chaudes, feu dans le ciel. Le sol de pierre et de sable est brûlant. Elle pousse un carton qui abrite sa poupée. Les caravanes sont derrière elle. Tous dorment. Elle s’éloigne dans la brume formée par la poussière. / 13.05.11 / VICTORIA FRENAK / P.77
Le sol noir et grave reflète une lumière agressive - bien trop blanche. Les murs de la salle forment un hexagone. Au centre une grande table ronde. Celle-ci est évidée au centre - de sorte à former une sorte d’auréole. Sur la table se trouvent crayons et papier ainsi que les porte noms des hommes qui parlent autour. Tous sauf un de ces hommes sont assis sur des chaises noires. Les néons éblouissants suivent la forme de la table à quelques mètres au dessus de celle-ci. Contre un des grands murs sombres est projetée une énorme carte du monde. Sur cette carte des points rouges viennent tacher le globe. A une extrémité de la pièce un bar recouvert de fruits, sandwiches et boissons offre un contraste à la sobriété de la salle.
P.78 / 13.05.11 / JAKE FRASER /
/ 20.05.11 / VICTORIA CAUBET / P.79
P.80 / 20.05.11 / VICTORIA CAUBET /
/ 13.05.11 / JAKE FRASER / P.81
P.82 / 29.04.11 / LINUS GRUSZEWSKI /
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/ 20.05.11 / VICTORIA FRENAK / P.87
P.88 / 20.05.11 / XAVIER DELANOUE /
Volume condensé, côté boulevard. Façade tranquille, côté rue. Monstre piquant, côté jardin.
/ 20.05.11 / VICTORIA RIOU / P.89
Un train, un homme, une femme, le wagon restaurant. Ils ont rendez-vous. Un rendez-vous secret, vous voyez le genre : rendez-vous d’affaire, solennel, l’avenir du monde est entre leurs mains. L’homme porte un costard, nœud papillon, la femme endosse le rôle de la banquière, robe stricte, cheveux relevés. Ils ne se connaissent pas, première rencontre, premiers regards, on devine la suite très rapidement. Une amourette en devenir. Ils parlent affaire et se dévoilent. Chacun semble tout connaître de l’autre. L’homme est un héros, la femme une martyre d’une beauté transcendantale, enfin c’est ce qu’on nous demande de comprendre. Ils parlent jeux de hasard, jeux de cartes, ils mettent cartes sur table quant à ce qui va se dérouler par la suite. La femme tempère, c’est elle qui a les sous, l’homme fait le malin avec ses petits airs de t’en-fais-pas-ma-cocotte-jemaîtrise. Sourire cynique, gorge serrée. La mise s’élève à 10 millions. C’est non négligeable. Si l’homme perd le jeu, il financera la mafia, s’il gagne les méchants seront derrière les barreaux. Le suspens est à son comble et on craquerait presque pour ce couple de jeunes tourtereaux qui s’angoissent pour l’avenir de l’humanité, la paix et tout plein de belles valeurs à dormir debout. Les phrases fusent, ils ont du répondant. Le genre, je ne dirais jamais ça dans la vie mais comme je suis dans une fiction américaine-à-la-con, j’ai toujours le bon mot et la jolie phrase idiote pour alimenter le ridicule de la situation. Merci à eux deux. P.90 / 29.04.11 / VICTORIA RIOU /
/ 20.05.11 /JULIEN GUILLAUME/ P.91
P.92 / 20.05.11 / GILLES MUSTAR /
/ 29.04.11 / VICTORIA RIOU / P.93
P.94 / 29.04.11 / GILLES MUSTAR /
Un lieu ouvert mais fermé. Un espace de jeu avec des seringues. Du vert-gris. Des expressions de la désillusion. «L’avenir, c’est nous». On n’y croit pas. Un lieu pour passer un bon moment. Un lieu où on tue le temps. Plus il passe, plus l’espace se ferme sur lui. La tension, tic, monte, tac, on a, tic, envie, tac, que ça, tic, s’arrête, tac, mais ça, tic, conti, tac, nue. «Le monde nous -non: vous- appartient». Je veux juste exister. Je ne peux pas faire grand-chose d’autre. Un lieu de contrastres, de mensonges, de tensions, incertain, entre-deux, pris au piège. Un lieu d’espoir, d’amitié, de dénouement, de vie, d’ennui. / 29.04.11 / XAVIER DELANOUE / P.95
Le désert de Gobi. L’air est sec, froid. Le soleil brûle. Une pièce rectangulaire, creusée dans la terre. Des prisonniers politiques. La faim, la faiblesse, la mort. Le travail forcé, un abattoir. Une unique entrée, à l’extrémité du rectangle, déportée. Fermée par des couvertures, le froid entre. Les prisonniers sont alités, les gardes emportent ceux partis dans leur sommeil. On sort : le vide, la faim. On entre : la mort, la faim. L’ombre et le silence.
P.96 / 13.05.11 / JULIEN GUILLAUME /
/ 20.05.11 / JULIEN GUILLAUME / P.97
P.98 / 20.05.11 / JAKE FRASER /
/ 20.05.11 / JULIETTE LIBOTTE / P.99
P.100 / 20.05.11 / VICTORIA FRENAK /
/ 06.05.11 / FATINE ZAHRI / P.101
P.102 / 06.05.11 / VICTORIA RIOU /
La femme est blonde, jeune, très belle. Elle a une beauté pure, innocente et froide. Son regard est fixe, dans le vide. Celui-ci s’arrête loin de la caméra, loin des personnes qui l’entourent. En noir et blanc elle marche dans une ville au gré des rues et des passages ; son corps tente d’éviter les regards. Une jupe longue et une veste l’habillent classiquement. Droite, rigide, elle avance à petits pas chaussés de petits souliers à talons. Sa destination est inconnue, son lieu de départ également. Elle avance, sûre d’elle. Les passants l’observent et l’on sent qu’elle veut se rendre invisible. Sa beauté transperce l’écran mais met mal à l’aise le spectateur qui, à l’instar du passant, se sent voyeur. Elle avance toujours, son regard fixé dans le vague et l’air contrarié. Quelque chose la dérange et tout semble l’importuner. La caméra la suit de près, la poursuit même. Par sa volonté apparente de ne pas être vue/observée/ regardée elle intrigue et contre son gré, force à l’analyse de sa personne. / 29.04.11 / CLARA LE BIHAN / P.103
Ils sont deux Montant/descendant l’escalier Évitant/cherchant son regard Elle porte son petit sac bleu Lui, porte le temps qu’il l’a attendu Elle descend acheter ses nouilles Lui, mâche ses rouleaux de printemps en la regardant Elle attend ses nouilles Il est toujours là Il descend les escaliers, pendant qu’elle les monte Elle passe devant un lampadaire Un lampadaire Ils se ne croiseront pas Il descend les escaliers, pendant quelle les monte Elle passe devant un lampadaire Un lampadaire mouillé par la pluie Ils se croiseront cette fois ci.. Lui cherchant son regard Elle évitant le sien Ils se disent bonsoir.
P.104 / 29.04.11 / FATINE ZAHRI /
/ 06.05.11 / VICTORIA RIOU / P.105
P.106
/ 20.05.11 / VICTORIA CAUBET /
1 table, 4 chaises, 1 lampe, 360 carreaux blancs, 4 murs blancs, 1 fenêtre, 1 pot de fleur. Du bois, du plastique, de la peinture, du verre, de l’aluminium. 1 ordinateur, 1 assiette, 1 cendrier, 1 fourchette, 13 feuilles, 3 journaux, 2 verres, 2 enceintes, 1 valise. 1 étagère, 19 livres, 1 paire de ciseaux, 4 pinceaux, 1 tube de colle, 8 crayons, 80 centimes, 3 boutons, 1 bille, 1 carte postale, 2 timbres. 1 fenêtre, 1 fenêtre, 1 salle de réunion, 1 rue, 1 bar, 38 voitures, 1 trou dans 1 mur, 1 cuisine, 1 porte, 1 pièce.
/ 18.02.11 / OCEANE REVEILLAC P.107 /
P.108 / 06.05.11 / XAVIER DELANOUE /
/ 20.05.11 / CLARA LE BIHAN / P.109
P.110 / 29.04.11 / GILLES MUSTAR /