Embarquer

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AUTOMOBILES 2018 et entretien SUPPLÉMENT SPÉCIAL

JEUDI 17 MAI 2018


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LA SÉCURITÉ MISE DE L’AVANT La sécurité est au cœur du monde de l’automobile. Depuis le 1er mai, les caméras de recul sont désormais obligatoires pour tous les véhicules construits pour le Canada. Une initiative qui vise à réduire à peu de chose les statistiques voulant que 5 à 6 personnes se fassent heurter mortellement en marche arrière chaque année. De plus en plus, les voitures modernes proposent, en option ou de série, des ensembles de sécurité électroniques embarqués qui ont fait leur preuve. Qu’on les appelle Safety Sense. I-Active Sense ou autrement, ces systèmes ont tous la même mission : appuyer le conducteur pour s’assurer que sa conduite sera plus sécuritaire et plus sûre pour tout le monde, pour lui comme pour les occupants de son véhicule. Toutes les voitures que nous vous présentons dans cette édition du cahier Embarquer en sont dotés, sur la version de base ou sur des versions plus haut de gamme. Certaines vont même jusqu’à pousser l’audace vers un système de conduite semi-autonome. Ne vous méprenez pas, je considère que ces ajouts sont une bonne chose. Qu’ils aideront nos routes à être plus sûres pour tous les usagers de la route. J’en profite pour vous rappeler l’importance de partager cette route, surtout en cette période estivale alors que les vélos l’envahisse. Car c’est aussi à vous, automobilistes, de vous assurer de leur donner assez d’espace pour circuler. Mais je vous en conjure, ne laissez pas ces systèmes vous pousser à la paresse. Ne laissez pas votre voiture prendre les décisions à votre place. La sécurité de tous en dépens. Ce n’est pas parce qu’une caméra de recul vous montre une zone de 3 x 6 mètres derrière vous que vous ne devez pas regarder d’abord directement. Ce n’est pas parce que les miroirs s’illuminent quand vous avez un véhicule dans l’angle mort que vous devez uniquement vous y fier. Un rapide coup d’œil vous permettra de déceler du mouvement et peut-être de repérer des occupants de la route que votre système électronique a omis de vous signaler. Cela m’est arrivé encore la semaine dernière alors que j’ai évité ainsi une moto qui arrivait rapidement. Bref, rappelez-vous que dans une voiture, le système de sécurité le plus raffiné, c’est encore vous le conducteur. Quand vous feuillèterez ce cahier, vous découvrirez des tonnes de nouveaux modèles, tous plus attrayant les uns que les autres. Mais ce n’est qu’en les utilisant intelligemment que vous pourrez pleinement en profiter! Marc Bouchard autos@cgocable.ca

Éditeur : Benoit Chartier Rédacteur en chef et éditorialiste : Martin Bourassa Journaliste : Marc Bouchard Adjointe à la rédaction : Annie Blanchette Directeur de publicité : Guillaume Bédard Publicitaires : Louise Beauregard Manon Brasseur Candy Corriveau Luc Desrosiers Philippe Dumaine Josée Malo Isabelle St-Sauveur Secrétaires de publicité : Linda Douville Marlène Laurence Directeur adjoint production : Louis Pelletier Contrôleur : Monique Laliberté Directeur du tirage : Pierre Charbonneau

Le Courrier de Saint-Hyacinthe est un hebdomadaire publié par:

Président, directeur général: Benoit Chartier 655 avenue Sainte-Anne, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 5G4. Tél.: 450 773-6028; télécopieur: 450 773-3115. admin@dbccomm.qc.ca www.dbccomm.qc.ca Imprimé par: Imprimerie Transcontinental D.E. Inc., division Transmag, 10807, rue Mirabeau, Ville d’Anjou (Québec) H1J 1T7. “Société canadienne des postes - Envois de publications canadiennes - Contrat de vente de produit no 421898” PAPIER FABRIQUÉ AU QUÉBEC FAIT À 40% DE PAPIER RECYCLÉ. Merci de recycler ce journal.

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KIA STINGER GT : OUBLIEZ VOS PRÉJUGÉS Oubliez tout ce que vous pensiez de Kia. En fait, non, pas tant que cela. La Kia Stinger 2018 ne représente pas une réinvention de la marque ni un changement de direction révolutionnaire. Elle a toujours une longue garantie, plus d’équipement pour l’argent que les voitures comparables et un style attrayant. Non, ce n’est pas une Kia complètement différente et c’est en fait une bonne chose. Voyez-vous, la Stinger représente le nouveau Kia. Ce modèle, la Stinger GT à turbocompresseur de 365 chevaux est doté d’un véritable engagement du conducteur, avec une direction qui réagit rapidement, et transmet des sensations de la route à vos mains grâce à son volant agréablement petit et parfaitement profilé. Son châssis est rigide et sa suspension composée, avec des manières qui surpassent largement sa cousine et beaucoup de rivales. La Stinger GT fait preuve d’une agilité initiale et d’un désir de plonger dans les virages. Ses suspensions sont du côté plus ferme. Les bosses sont bien amorties, cependant, et les impacts plus aigus ne sont pas rencontrés avec la dureté ou la sensation que l’on pourrait croire. La voiture dispose aussi de multiples modes de conduite qui modifient également

Kia Stinger GT

la direction, le contrôle de la traction, la réponse de l’accélérateur et de la transmission et le système de transmission intégrale disponible.

Outre son extérieur accrocheur, la cabine est également luxueuse et stylée, attirant évidemment l’attention d’Audi pour l’inspiration de conception (et quand il s’agit d’intérieurs, il y a

peu de meilleurs endroits pour regarder). Par exemple, on y retrouve des sièges en cuir Nappa plus clairs avec ventilation et des coussins latéraux réglables par le conducteur et support, un système de son Harman Kardon, un affichage tête haute et tous les autres standards d’aide à la conduite et à la sécurité en option. Même le niveau de finition 4 cylindres de base est toujours livré avec cuir, sièges chauffants électriques, volant chauffant, climatisation à deux zones, rétroviseurs électriques, Apple CarPlay, Android Auto, radio satellite et UVO3 de Kia Système d’infodivertissement à écran tactile de 7 pouces. Il y a une plus grande quantité d’espace pour les jambes à l’arrière, et bien que la ligne de toit inclinée réduise l’espace libre arrière, un grand adulte devrait être confortable. De plus, à l’instar de ces Audi “Sportback”, le Stinger est doté d’un coffre à hayon qui offre beaucoup plus de volume de chargement et de polyvalence que dans une berline sport typique. Alors, la Kia Stinger est-elle une Kia repensée? Oui, bien sûr, et cela est particulièrement vrai si vous appréciez la performance et l’engagement du conducteur, car Kia s’est vraiment surpassée ici et peut enfin prétendre avoir fait une très bonne voiture qui est aussi géniale à conduire.

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LINCOLN MKZ HYBRIDE : PERSONNALITÉ PROPRE Le manufacturier Ford a décidé d’abandonner ses berlines en 2020. Ce n’est pas le cas de Lincoln qui préfère plutôt continuer de développer des voitures pour répondre à ses exigences propres. Et c’est notamment le cas de la Lincoln MKZ hybride. Il faut dire qu’à l’origine, Lincoln avait généralement une formule de fabrication assez simple : prendre un Ford, ajouter quelques morceaux de fantaisie, et TADAM… voici une nouvelle voiture. Ce n’est plus le cas et la MKZ hybride en est la preuve. Bien sûr, on n’éloigne pas deux cousins tant que cela. La MKZ a donc des allures génétiquement proches de celles de Ford. Mais son apparence générale et son luxe la distinguent clairement de son cousin Ford Fusion. Si vous voulez le luxe à l’essence électrique, la MKZ hybride est un bon endroit pour commencer. La MKZ standard est disponible avec deux moteurs turbo, mais la version hybride utilise un moteur à quatre cylindres de 2,0 L, couplé à un moteur électrique et à une CVT. Il bascule automatiquement entre l’essence et l’électricité au besoin et recharge sa batterie avec un freinage régénératif plutôt que de le brancher.

Lincoln MKZ hybride

La combinaison du gaz et de la batterie fait un maximum de 188 chevaux. La consommation est pour sa part, remarquable. Elle affiche une moyenne de 5,9 litres aux 100 selon le

constructeur, ce qui est exceptionnellement frugal pour une voiture de cette taille. Certaines de mes économies de carburant étaient dues à une petite fonctionnalité que

vous pouvez trouver dans le tableau de bord. L’affichage montre des branches, et si vous conduisez efficacement, ces branches se remplissent de feuilles. Écrasez l’accélérateur et l’automne arrive, les feuilles tombent! Ce qui peut sembler enfant est en fait une belle façon de vous sensibiliser à une meilleure conduite. La conception de cabine convient vraiment bien à la personnalité de la voiture, avec juste assez de boutons pour une utilisation facile sans avoir l’air encombré. En option, on peut compter sur des sièges à plusieurs courbes qui chauffent, refroidissent, massent, se dégonflent. Bref un véritable confort de grand luxe. Beaucoup de véhicules haut de gamme semblent conçus avec la théorie que plus compliqué vaut mieux, et j’aime vraiment le fonctionnement relativement simple de la MKZ. Il y a des boutons et des cadrans pour le contrôle climatique et stéréo, tandis que le système d’écran tactile Sync 3 est facile à naviguer. Lincoln a fait un bon travail sur cette voiture et surtout avec une prime de prix qui ne saute pas vers le ciel si vous voulez la version hybride.


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FORD ECOSPORT, OU LE PETIT VUS QUE L’ON AIME

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Ford a finalement décidé de se plonger dans le monde des VUS sous-compacts et d’offrir le nouveau Ford EcoSport. L’EcoSport a été introduit au Brésil en 2003 et la deuxième génération d’EcoSport a été lancée en 2012 en Chine, en Inde, en Thaïlande et en Russie. Il a maintenant été légèrement modifié pour affronter les rues méchantes de l’Amérique du Nord. Ford vise les milléniaux qui veulent essentiellement un véhicule abordable avec des roues et un moteur. Il y a aussi les retraités qui veulent avoir une voiture qui est petite et pratique. Ford semble avoir la réponse avec ce petit VUS élégant et excentrique, qui trouve sa place dans un créneau hautement compétitif. La compacité de l’EcoSport donne l’impression qu’une bonne dynamique de conduite se situe sous le style sud-américain, ce qui est tout à fait exact. Les Canadiens peuvent choisir entre quatre versions: S, SE, SES et Titanium. Les deux roues avant à traction et quatre roues motrices sont disponibles. Les modèles à traction avant sont entraînés par le moteur EcoBoost à 3 cylindres de 1,0 litre de Ford. Ce petit moteur est turbocompressé pour améliorer la performance. Note rapide : la conception du moteur EcoBoost est assez compacte, avec toutes les dimensions de hauteur et de largeur du bloc moteur comparables à celles d’une feuille de papier de format 8.5 x 14. D’autre part, les 4 roues motrices sont équipés du moteur quatre cylindres à injection directe de 2,0 litres. Les deux moteurs auront une transmission automatique à six vitesses. Grâce à une surveillance régulière de la vitesse, du taux de virage et de la position de l’accélérateur, le système intégral détecte le moment où un pneu glisse et lorsque les

roues arrière ont besoin de puissance pour augmenter l’adhérence à la route. Une option unique est l’écran d’infodivertissement « flottant ». On dirait que quelqu’un a collé un iPad à la console centrale et s’est dit le tour est joué! Il est disponible dans les saveurs de 6,5 pouces et 8 pouces, ou pour ceux qui choisissent la base, vous obtiendrez un écran de 4 pouces

Ford EcoSport

qui est placé dans le tableau de bord. SYNC 3 est standard et est compatible avec Android Auto et Apple CarPlay. Rappelez-vous, bien que ce soit une Ford, l’EcoSport est une voiture globale et il n’y a aucun espace gaspillé du tout. Plus grand et plus long que la Fiesta, mais plus petit que l’Escape, l’EcoSport accueille quatre adultes. Les sièges sont divisés

60/40 et il y a une hauteur libre raisonnable dans le dos. Fait intéressant, la porte arrière se balance vers l’extérieur et vers la gauche au lieu du VUS traditionnel qui monte et descend. Ford dit que c’est pour empêcher les plus grands de se cogner la tête sur le hayon.


VOLKSWAGEN JETTA 2019 : NOUVELLE ET REPENSÉE La VW Jetta était rendue en bout de course. Il y avait 7 ans que l’on n’avait pas retouché le modèle. Cette fois, on a totalement repensé le modèle, lui donnant la silhouette de la famille VW. Le nouveau look est dominé par une grande grille flanquée de feux de jour à LED en forme de C. Autre grand changement, la nouvelle Jetta roule sur la plateforme MQB de la compagnie, qu’elle partage avec l’Atlas. Par conséquent, elle est maintenant plus large, plus longue et plus basse que le modèle sortant et l’empattement de 35 millimètres plus long, mesurant maintenant 2 686 millimètres. L’intérieur retravaillé reflète le nouvel élan de l’extérieur - il marque un grand pas en avant en termes de qualité et de commodités disponibles. Il y a maintenant de très beaux matériaux doux au toucher et une technologie égale dans la cabine. Le montant varie en fonction des versions Comfortline, Highline et Execline, avec le package sportif R-Line (1 700 $) offert sur la Highline. Sur le modèle Execline testé, le groupe d’instruments Digital Cockpit de Volkswagen offre un affichage reconfigurable et la possibilité de placer la carte du système de navigation à l’avant et au centre. D’autres articles techniques comprennent un système d’infodivertissement qui prend en charge Apple CarPlay, Android Auto et la connectivité MirrorLink de VW. Sur la voiture de base, il fonctionne avec un écran tactile de 6,5 pouces; l’Execline obtient un plus grand écran de huit pouces avec la navigation GPS. Tout a été fait pour donner à l’intérieur un sentiment renouvelé de luxe - le tissu de la voiture de base est un

meilleur choix. Inversement, le cuir de l’Execline est souple, chauffé et refroidi. Une autre des solutions intelligentes est la disponibilité d’équipements de sécurité importants - la surveillance des angles morts avec alerte de trafic transversal arrière est standard sur tous les modèles, sauf le Comfortline de base.

La nouvelle Jetta continue avec le précédent moteur quatre cylindres turbocompressé de 1,4 litre, avec 147 chevaux et 184 lb-pi. de couple. L’énergie est transmise à la route par les roues avant et par une boîte manuelle à six vitesses ou automatique à huit rapports, toutes deux neuves et offertes sur tous les modèles. Fait intéressant, les deux

offrent la même cote de consommation de carburant de 7,0 L/100 kilomètres. Ce qu’il est important de noter, c’est que chaque modèle est plus abordable que son équivalent sortant lorsque le contenu accru est pris en compte dans l’équation. Et que sa conduite est plus inspirée que jamais.

Volkswagen Jetta 2019

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SUBARU OUTBACK 2018 : POLYVALENTE À L’EXTRÊME

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Alors que le domaine des voitures de taille moyenne reste assez vaste en termes d’offres, peu d’entre elles sont des familiales. Ce qui laisse à la Subaru Outback un espace imposant. Même si, soyons franc, on discute encore dans les chaumières sur la véritable catégorie de la Outback : est-elle une familiale un peu améliorée ou un utilitaire sport unique? Dans les faits, peu importe comment vous l’appelez, la Subaru Outback est un véhicule polyvalent et un des meilleurs de la famille Subaru. Sa carrosserie est un peu surélevée avec une garde au sol de 8,7 pouces, la traction intégrale et les aides à la conduite comme le système d’aide à la traction et la descente en pente X-Mode viennent confirmer son statut d’utilitaire. Sous le capot, deux moteurs de type « boxer », c’est-à-dire à plat, sont disponibles : un 4 cylindres de 2,5 litres de 175 chevaux et un 3,6 litres de 256 chevaux. Tous deux sont évidemment jumelés au rouage intégral symétrique de la marque qui a fait sa renommée, ainsi qu’à une transmission automatique à variation continue dont la présence se fait à peine sentir. La direction légère, mais non molle, rend l’Outback facile à manœuvrer et la vectorisation active du couple améliore le contrôle en virage. La suspension entièrement indépendante offre une conduite conforme, ce qui est surprenant pour un VUS. Au-delà de la conduite cependant, le Outback est aussi sécuritaire. Il dispose, en option, de la suite « EyeSight » de technologies d’assistance au conducteur, y compris le régulateur de vitesse adaptatif, le freinage

Subaru Outback 2018

automatique avant collision, ainsi que l’avertissement de changement de voie avec aide au maintien de la trajectoire. Tout Outback a un habitacle spacieux et confortable. En tant que modèle le plus complet du peloton, le Touring dorlote les passagers avec un toit ouvrant électrique, des sièges avant et arrière chauffants, des

dossiers de sièges arrière inclinables et une généreuse distribution de surfaces intérieures douces au toucher. Les commandes de climatisation à deux zones utilisent deux cadrans rotatifs pour les réglages de température. Il y a aussi une vaste zone de chargement qui s’étend bien en avant du hayon électrique.

Les dossiers de la deuxième rangée 60/40 divisés peuvent être retirés à distance par l’intermédiaire des leviers dans la zone de cargaison ou plus directement à travers des palmes intégrées dans les sièges. Une fois pliés, les sièges restent presque parfaitement plats avec une transition en douceur du plancher de la cargaison.


TOYOTA 4RUNNER TRD PRO : MAÎTRE DU MONDE Le 4Runner de Toyota en est maintenant à sa cinquième génération, ce qui est un exploit remarquable de nos jours, mais ce qui le différencie de la majorité des véhicules utilitaires sport, c’est le fait qu’il est l’un des rares à pouvoir s’attaquer aux pires problèmes avec aplomb. La plupart des fabricants ont décidé de concentrer leurs efforts de conception et d’ingénierie pour rendre leurs véhicules utilitaires plus civilisés, l’objectif étant de maximiser le confort, la conduite sur route et la commodité. Cependant, Toyota a toujours maintenu son emprise sur ce segment du marché, caractérisé par des individus actifs qui ont besoin d’un véhicule sûr et spacieux capable de transporter tous leurs jouets et leurs équipements sur les pentes, les montagnes ou les endroits de pêche isolés. Cette solution s’appelle 4Runner TRD Pro. Le 4Runner est doté d’un design « carrosserie sur châssis » avec un essieu arrière solide et l’un des systèmes à quatre roues motrices les plus performants (et éprouvés) disponibles. En conséquence, le 4Runner cinq ou sept passagers est robuste et assez robuste pour labourer à peu près tout ce que le consommateur aventureux peut lui demander de faire. Malheureusement, les acheteurs de TRD Pro doivent se contenter de cinq sièges, car la configuration à sept sièges n’est disponible que sur le modèle Limited. Le modèle TRD Pro haut de gamme est équipé de puissants amortisseurs Bilstein (avec réservoirs arrière à distance), de ressorts avant TRD et d’un pneu plus agressif. D’autres avantages TRD Pro incluent le blocage de différentiel arrière, différentiel à déconnexion automatique, ABS multiterrains, jantes en aluminium noir mat de 17

pouces avec enjoliveurs TRD, TRD noir badging, une plaque de protection avant en aluminium TRD-estampillé, et une grille unique Heritage Toyota. Sous le capot se trouve le moteur V6 de 4,0 litres de Toyota jumelé à une transmission à cinq vitesses. À une époque où la majorité des véhicules à vendre comportent au moins six

vitesses, cela peut sembler nuisible au modèle, et marginalement en ce qui concerne l’efficacité énergétique, mais l’avantage de cette transmission est qu’elle est l’une des boîtes de vitesses les plus robustes et fiables disponibles dans le domaine automobile. La puissance est suffisante avec 270 chevaux et 278 lb-pi de couple, bien que

l’accélération lorsque le véhicule est chargé avec un ensemble complet d’engins et de passagers est constante, mais loin d’être rapide. En fait, ce n’est pas grave. Puisque le 4Runner TRD Pro est une véritable bête de somme que l’on a envie d’amener à l’autre bout du monde!

Toyota 4Runner TRD Pro

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MERCEDES-BENZ CLASSE A : MERCEDES ET PLUS… Mercedes-Benz a une vaste gamme de véhicules. Mais on espérait un petit véhicule d’entrée de gamme plus agréable, plus moderne. C’est exactement ce que propose la toute nouvelle Classe A qui fera son entrée sur notre marché quelque part cet automne. Lorsqu’elle sera présentée aux concessionnaires canadiens en novembre 2019, la Classe A sera offerte en une seule saveur - la A 250, propulsée par une version légèrement évoluée du fameux moteur turbo de 2,0 litres de Mercedes. Les autres marchés ont le choix entre un A 180 avec un turbodiesel à quatre cylindres, ou un A 200 avec un turbo-quatre de 153 chevaux et 153 chevaux, sur l’A 250. Mais c’est parfait, car l’A 250 fait 221 chevaux et 258 lb-pi. de couple. C’est un petit moteur percutant et souple. En travaillant avec la boîte automatique à double embrayage à sept rapports, il ne transpire guère. Équipée de jantes de 19 pouces surdimensionnées, elle absorbe assez bien les bosses. La base A 250 sera à traction avant, tandis que la traction à quatre roues sera optionnelle. La classe A est spacieuse; l’espace libre est abondant tout autour et la petite voiture peut avaler 370 litres de marchandises derrière les sièges arrière. Il n’a pas le cuir souple d’une classe S ou le bois à pores ouverts chic comme plus cher Benz, mais la cabine de l’A est en avance sur ses frères et sœurs d’entrée de gamme. Ce qui est inspiré directement des Mercedes plus dispendieuses, c’est la paire d’écran à affichage numérique couvrant la plus grande partie du tableau de bord. Deux écrans de sept pouces seront livrés en standard, mais vous aurez la possibilité de les faire passer à 10 pouces. C’est la base pour MBUX - nouveau système d’infodivertissement du constructeur automobile.

Mercedes Classe A

Un aspect plutôt soigné du système de navigation est la composante « réalité augmentée ». Fondamentalement, il utilise une caméra sur le nez de A pour projeter une image de la route devant sur l’écran central. Voici où cela devient intéressant : lorsque vous approchez d’un virage avec le guidage d’itinéraire actif, il superpose des flèches, vous indiquant exactement où vous tourner. Cette fonctionnalité sera optionnelle. MBUX comprend également un nouveau système de commande vocale, activé juste

en disant, « Hey, Mercedes ». Si vous pouvez accepter le fait un peu effrayant qu’il est toujours à votre écoute, c’est en fait l’un des systèmes de commande vocale les plus naturels là-bas, vous n’avez pas à lui parler comme un robot pour le faire fonctionner correctement. Il vous permet de gérer la plupart des fonctions de la voiture en mains libres, telles que les appels téléphoniques, le contrôle de la climatisation, la configuration des destinations de navigatio, et ainsi de suite. Il

raconte même une blague ou deux et apprend certaines habitudes. Mais vraiment, la seule façon d’apprécier pleinement la Classe A 2019 est d’aller à fond avec les options. Vous devrez attendre jusqu’en novembre pour savoir si cela en vaut vraiment la peine, mais au moins maintenant, il n’y a pas de honte à posséder « juste » une classe A - même une base. C’est une Benz d’entrée de gamme finalement digne de l’étoile à trois branches sur le coffre. Et la calandre. Et les roues. Et le volant.

MITSUBISHI ECLIPSE CROSS: UN TOUT NOUVEAU VUS QUI VAUT LE DÉTOUR

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Mitsubishi est sur une véritable lancée. La compagnie veut proposer plusieurs nouveaux modèles (on chuchote même que le nom Lancer pourrait revenir sur un VUS sous peu), mais les plus récentes nouveautés connaissent un retentissant succès. Le Outlander PHEV, la version branchable, est populaire, et l’autre nouveauté, l’Eclipse Cross, ne s’attire que des éloges.

Mitsubishi Eclipse Cross

L’Eclipse Cross est équipé d’un moteur turbocompressé à quatre cylindres de 1,5 litre développant une puissance de 152 chevaux et un couple de 184 lb-pi. C’est un moteur différent du RVR et de l’Outlander, et il a un plus grand couple. Cela se traduit par des démarrages rapides hors ligne et une accélération amusante à conduire dans des situations routières sinueuses.

La transmission standard dans l’Eclipse Cross est une transmission à variation continue, et elle se débrouille assez bien pour ce véhicule et empêche le moteur de résonner comme s’il se débattait dans toutes les accélérations. Difficile de ne pas être impressionné par le design intérieur et les matériaux. On aime les insertions laquées noirs brillants sur la

console centrale, et les sièges en cuir disponibles avec des coutures inversées attrayantes. Mentionnons aussi un bon espace de rangement avant et un coffre arrière plus que suffisant en tenant compte de la taille de la voiture. Précisons aussi que les passagers arrière disposent d’un bon dégagement, l’Eclipse Cross partageant la plateforme des autres VUS de la famille, mais avec un empattement un peu différent. Tout cela entourant un écran d’infodivertissement de 7 pouces monté au sommet de la console centrale à commandes tactiles. On peut aussi opter pour le Trac pad, une sorte de souris qui permet de manipuler toutes les commandes. Un autre point d’intérêt : toutes les versions, à l’exception de la base ES, sont standard avec le système Super All-Wheel Control de Mitsubishi (qui est une façon élégante de dire toutes roues motrices). Parce que Mitsubishi a été un peu absent ces dernières années (son dernier véhicule neuf était le Mirage en 2014), la route à suivre pour ce petit constructeur ne sera pas facile. Mais sortir un véhicule attrayant et solide comme l’Eclipse Cross est un excellent début. Si le prix accessible et la qualité du véhicule ne sont pas suffisants pour que vous jetiez un coup d’œil à l’Eclipse Cross, la garantie Mitsubishi 10 ans vous poussera peut-être plus loin.


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BMW I3 : PETITE ET ÉLECTRIQUE La BMW i3, c’est d’abord une voiture électrique. En fait, c’est la raison pour laquelle on l’achète. Mais, ce n’est certainement pas la seule raison puisque la petite voiture au look unique est aussi amusante à conduire et l’appui de son nouveau mode sport en 2018 n’y est pas étranger. La direction est assez précise, tandis que l’adhérence des pneus relativement étroits est assez bonne pour que vous souhaitiez que les sièges aient des traversins plus profonds. Même les freins - assistés par un système de freinage régénératif - peuvent gérer la décélération agressive. La première chose à l’ordre du jour pour un i3 plus sportif était d’augmenter la puissance, de sorte que les i3 ont un moteur électrique avec une puissance de 181 chevaux - huit de plus que la première génération et le couple atteint maintenant 199 lb-pi de couple. Cette amélioration est bonne pour un temps de zéro à 100 km/h de 6,9 secondes, quatre dixièmes de seconde plus rapide que la norme i3, et une vitesse de pointe de 160 km/h. Les i3 tirent leur courant de la batterie de 33 kWh mise à niveau que l’i3 a reçue en 2017, et elle a encore une portée d’environ 200 kilomètres. Il peut être allongé jusqu’à 330 kilomètres avec le moteur à essence bicylindre 650 cc, disponible en option. Une amélioration de la performance signifiait que le châssis devait suivre, donc les roues sont 40 millimètres plus large par rapport à l’i3, et ses roues de 20 pouces mesurent respectivement 155 et 175 millimètres avant et arrière. L’absorption des bosses est maintenant assurée par une suspension sport plus ferme qui réduit également la hauteur de caisse de 10 millimètres. Extérieurement, il y a quelques différences subtiles dans les carénages avant et arrière

BMW i3

pour différencier les i3 de son frère standard, mais les plus grands témoins sont les passages de roue élargis qui accommodent la voie plus large de roue et les pneus. L’intérieur est spacieux, confortable et silencieux à toutes les vitesses. Vous êtes entouré de matériaux de finition recyclés. Un

écran central de 10,25 pouces gère l’infodivertissement, y compris la navigation, les médias et les écrans ConnectedDrive, tandis qu’un écran plus petit monté derrière le volant fournit des informations de conduite. L’accès à la banquette arrière est facilité grâce à des portes arrière pivotantes vers

l’arrière. L’espace de chargement est inchangé à 260 litres derrière les sièges arrière et presque quatre fois plus que les dossiers des sièges. La BMW i3s 2018 commence à 52 350 $ avant les rabais, environ 3 600 $ de plus que la norme i3, et est déjà en concession.

MAZDA6 2018 : REVUE, CORRIGÉE ET AMÉLIORÉE

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Un des grands mystères du monde automobile est que la berline familiale Mazda6 à traction avant ne possède pas une plus grande part du marché. Car la berline, déjà amusante et jolie au départ, s’améliore à chaque génération. Les changements subis

Mazda6 2018

en 2018 viennent encore confirmer cette vision. Cette année, un rafraîchissement significatif donne à la Mazda6 plus de muscle. Pour y arriver, on utiliser un moteur 4 cylindres turbocompressé de 250 chevaux de

310 chevaux et 310 livres (copié du multisegment à sept places Mazda CX-9) et on ajoute un châssis plus raffiné et plus efficace. Un moteur de base, de 187 chevaux cette fois sans le turbo, obtient maintenant la désac-

tivation des cylindres et une transmission automatique à six rapports Physiquement, la berline subit aussi quelques changements. On a d’abord ajouté une grille un peu plus grande et on l’a rempli d’un insert en maille sculptée. Cependant, c’est une refonte chic et avec son nouveau fascia agressif et ses phares adaptatifs standard LED avec un peu de chrome en dessous, la berline présente un visage plus déterminé. Parmi les autres modifications apportées à l’extérieur, mentionnons les nouvelles conceptions de roues (17 pouces de série, 19 disponibles) et une extrémité arrière remodelée avec de nouveaux feux arrière à DEL et de plus grandes sorties d’échappement. La Mazda6 possédait sans doute la cabine la plus chic du segment, mais les choses s’améliorent encore pour 2018. Tout est très simple, élégant et finement ciselé. Regardez de près et vous verrez des détails exquis, comme la mince bande de chrome satiné qui semble se tordre en encadrant les bouches d’aération. Les sièges ont un nouveau design et l’écran d’infodivertissement augmente à huit pouces. La série de réglages que Mazda a imposés aux 6 pour améliorer l’insonorisation semble presque sans fin : pare-brise plus épais et vitre avant, meilleure étanchéité des portes, nouveaux pneus, des roues plus rigides, un plancher en métal plus épais, une isolation supplémentaire à peu près partout, des rétroviseurs et des essuie-glaces redessinés. Pour ceux qui apprécient une dynamique de conduite plus enrichissante avec un savoirfaire hors du commun, la Mazda6 2018 est un bijou.


HYUNDAI VELOSTER 2019 : NOUVELLE MAIS PAS TOTALEMENT Son style est unique : deux portes du côté passager, une seule du côté conducteur et un hayon. En clair, on peut dire que c’est un 4 portes, mais avec un design qui lui est propre. Le Hyundai Veloster subit, pour 2019, quelques changements, mais garde son allure qui le distingue. C’est cependant probablement la seule véritable portion qui reste en place pour ce véhicule particulier puisque, dans sa deuxième génération qui arrive tout juste, le véhicule change de plateforme pour partager la super structure de la Hyundai Elantra. Il est aussi doté d’un moteur de base plus puissant et de deux turbos disponibles, dont un qui nous présente le nouveau N de Hyundai. Bien sûr, le Veloster de base vient encore avec un quatre cylindres atmosphérique, mais il est plus gros qu’avant. Pour 2019, un I-4 de 2,0 litres remplace le 1,6 litre. Générant 147 ch et 132 lb-pi. de couple, ce nouveau Veloster d’entrée de gamme dispose de 15 chevaux supplémentaires et 12 lb-pi supplémentaires de couple, le tout géré par une transmission à six vitesses, manuelle ou automatique à la discrétion de l’acheteur. Ceux qui recherchent plus de performance peuvent se rabattre sur la Veloster Turbo, qui transporte ses quatre cylindres de 1,6 litre, produisant encore 201 ch et 195 lb-pi. Cette dernière spécification, cependant, gonfle maintenant brièvement à 202 lb-pi lors de courtes accélérations à plein régime grâce à une fonction overboost nouvelle en 2019. Comme la voiture de base, le moteur turbo peut être géré par une boîte manuelle à six vitesses. Son automatique facultatif, cepen-

dant, est une unité à double embrayage à sept vitesses. Enfin - et resserrez votre ceinture de sécurité pour celle-ci - il y a le Veloster N qui arrivera plus tard cet automne. Entre la Civic Si de Honda et la Golf GTI de Volkswagen et, de l’autre côté, le puissant R de la Civic Type R et le R de la Golf, Veloster N emploie un moteur 2,0 turbocom-

pressé à quatre cylindres pour rouler 275 chevaux et 260 lb-pi, exclusivement à travers une transmission manuelle à six vitesses. Pour que les voisins sachent que vous avez plus qu’un Veloster ordinaire, le N, offert dans plusieurs couleurs, montre des jupes latérales, des roues uniques (18 ou 19 pouces ), un aileron arrière et des bages N.

À l’intérieur, le cockpit standard est équipé de chargeurs USB, d’une caméra de recul et d’un écran tactile de 7 pouces compatible Android Auto et Apple CarPlay. En option, on retrouve un écran de huit pouces qui peut être avec ou sans la navigation qui comprend un récepteur radio satellite et Infiniti Premium Audio.

Hyundai Veloster 2019

Automobiles - Jeudi 17 mai 2018 - Le Courrier de Saint-Hyacinthe - 13


CHEVROLET EQUINOX DIESEL : PLUS EN FORME QUE JAMAIS

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Tandis que d’autres fabricants abandonnent le diesel comme une patate chaude proverbiale après les récents scandales d’émissions, General Motors entre dans le vide en augmentant sa gamme de diesel. Le constructeur automobile propose désormais 34 modèles diesel incluant le tout nouveau Equinox diesel de Chevrolet. Pour le propulsuer, un tout nouveau moteur, plus propre, plus silencieux et plus efficace. Conçu à Turin, en Italie, et assemblé en Hongrie, le nouveau moteur utilise une variété de technologies pour atteindre trois objectifs : faible bruit, économie de carburant élevée et un fort couple de livraison. De l’ancien moteur diesel Cruze de 2,0 L, il conserve le collecteur d’admission à turbulence variable, la pompe à huile à cylindrée variable et un turbo à faible retard avec turbine à tuyère variable. Un nouveau bloc d’aluminium, un carter d’huile et une plaque d’appui contribuent à réduire le poids. Toutes ces mesures d’efficacité combinées lui permettent d’atteindre une cote d’autoroute de 6,0 L/100 km dans le FWD Equinox Diesel, et une impressionnante autoroute de 4,6 L/100 km dans le Cruze Diesel. L’une des technologies les plus évidentes que nous avons noté est un grand réservoir au fond du moteur qui emprisonne les particules et, une fois plein, s’autonettoie en le brûlant. Maintenant dans sa troisième génération, l’Equinox a été complètement révisée pour 2018. Il y a trois choix de moteur : un quatre cylindres turbocompressé de 1,5 L développant 170 HP, un quatre turbocompressé de 2,0 L développant 250 HP et le diesel récemment arrivé. Seul le moteur turbocompressé de 2,0 L est équipé de la

nouvelle boîte automatique à neuf rapports de GM, les deux autres sont jumelés à une boîte six vitesses. Avec une puissance de 137 chevaux et un couple de 240 lb-pi, l’Equinox Diesel n’est pas trop puissant, mais 90 % de ce couple est disponible à partir de 1 500 tr/min. La réponse quasi-instantanée rend le moteur plus fort qu’il ne l’est. Mais les diesels sont souvent choisis pour leurs capacités de remorquage couplées et l’indice de remorquage maximal

Chevrolet Equinox Diesel

de l’Equinox de 1 500 lb tombe bien en deçà des 3 500 lb du turbo de 2,0 L. Le diesel nécessite également une recharge de fluide d’échappement diesel (DEF) tous les 8 000-9 000 km, qui est utilisée par le système d’échappement pour neutraliser les émissions. Tous les modèles sont maintenant équipés de la fonction d’arrêt automatique pour économiser le carburant au ralenti. Le véhicule actuel est une bête beaucoup plus nette que l’ancienne génération avec

des lignes claires et nettes. Basé sur la même architecture D2 qui sous-tend la Buick Envision, l’Equinox délivre 400 livres une réduction de poids de 10 % - par rapport à la plateforme Theta obsolète précédente. Dans ce segment, l’espace et l’utilité sont primordiaux. Malgré sa taille compacte, l’espace cabine de l’Equinox reste pratiquement le même que celui du modèle sortant. Mais il s’améliore à tous points de vue!


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