Beauté de l'âme et de l'esprit… Au
davantage des humains dignes de ce cours des siècles, l'Homme n'a eu de nom? Depuis le mois de septembre, nous cesse de trouver l'équilibre entre ces deux tâchons d'éveiller les élèves à cette pôles. Du « Kalos kagathos », cher aux démarche, et c'est donc tout naturellement Grecs, associant déjà les valeurs fondamentales du bon et du beau, en passant par Victor Horta ou Le Corbusier, deux architectes persuadés de l'impact de la beauté de l'environnement sur le comportement positif des hommes, s'est peu à peu dégagée l'idée que, lorsque le cadre de vie est de qualité, le travail est bon. Le beau attire donc le bon. Le thème choisi cette année par l'équipe d'animation pastorale, « Etre artiste de la vie », rentre parfaitement dans ce jeu d'influences réciproques : à s'ouvrir à la beauté d'un projet, d'une rencontre, à vouloir découvrir la richesse de la connaissance, la lumière d'un sourire, la légèreté d'une musique ou la profondeur d'un tableau, ne devenons-nous pas
que ce thème s'est imposé pour le numéro 11 des Murmures de la Fontaine que vous découvrez relooké selon notre nouvelle charte graphique. Nous vous en souhaitons bonne lecture. Nous profitons également de cet espace pour vous annoncer qu'après mûre réflexion, nous avons décidé de supprimer la Fête Sur-la-Fontaine, cette dernière étant de moins en moins fréquentée par nos élèves. Toutefois, de l'envie de réunir l'ensemble des composantes du DIC Collège - élèves, anciens, professeurs, éducateurs, secrétaires et parents- a germé l'idée d'un festival qui aura lieu le 12 mai 2018 (voir encart ci-dessous). Gageons que ce festival fédérera tous nos potentiels pour allier, lui aussi, le beau et le bon. Carine Nickels Directrice-adjointe Vincent Lambert Directeur
Samedi 12 mai 2018
SEMESTRIEL Bureau de Dépôt : Liège X P251819
N°11 - Janvier 2018 www.dic-college.be
.2
p La Vie au DiC après les travaux !
“opération Pommes”
p.7
Le portrait d’une jeune championne de natation
p.8
imprimé par
A Z Print
2 AU COEUR DE L’ÉCOLE La vie après les travaux... L ’avis de quelques professeurs et élèves Réfectoire mission réussie.
Les dieux nous gardent de le voir jamais transformé en écuries d'Augias... Merci au P O (avec une pensée toute particulière pour Monsieur Lambrecht, responsable des travaux), à tous ceux qui ont travaillé sur le chantier et à notre personnel d'entretien pour leurs efforts!
A quoi allait ressembler le nouveau réfectoire ? Ça y est, nous avons enfin la réponse. A titre personnel, je trouve que le résultat est plus que satisfaisant. Je dirais même qu'il est réussi : le sol assez neutre, les murs blancs mettent en valeur l'éclairage coloré qui, positionné de manière irrégulière, donne du rythme à l'espace. L'acoustique a en outre été améliorée. Ca n'a l'air de rien comme ça, mais l'absorption des sons rend le réfectoire plus « cosy », plus feutré. Les vitraux colorés, que j'aime particulièrement, sont restés à leur place et sont davantage mis en valeur. Petite réflexion : je trouve que le mobilier fait un peu « tache » dans ce bel écrin. J'imagine bien des tables rondes blanches avec des chaises en bois clair, voire même des chaises de différentes couleurs pastel. En conclusion, j'aimerais rappeler une notion très importante, à savoir qu'un espace reflète un certain état d'esprit. On peut faire passer un message à travers une construction. L'école, par ce geste architectural fort, garde la tradition, mais rentre bien dans le 21ème siècle.
Betty Salmon Professeure de langues anciennes
Lorsqu' on m’avait demandé mon avis sur les travaux effectués à l’école, je n’avais soulevé aucun point négatif étant donné qu'ils n avaient pas lieu dans les endroits où je me rendais et que la nouvelle salle des professeurs était très chouette. Je suis ravie que, maintenant les travaux A. Parisse, terminés, on garde toujours cet espace prof plus Professeur de dessin spacieux et convivial. Quant au nouveau réfectoire, c est une vraie réussite ! Pour résumer: modernité, couleurs et espace. C’est un plaisir de passer par là... S. Billen, Professeure de mathématiques
Après une année scolaire 2016-2017 "un peu" bousculée (c'est un euphémisme, je l'avoue...) par les travaux, je trouve qu'il faut reconnaître que notre inconfort méritait d'être supporté stoïquement : le résultat est superbe! Notre réfectoire brille de tous ses feux, son immaculée blancheur rehaussée par les couleurs acidulées des néons (génitif absolu, comme les hellénistes n n'auront pas manqué de le remarquer). Il peut d désormais être isolé par des portes fermées, b baigner dans un calme olympien et être utilisé au aussi comme une salle d'étude ou d'examen, ce qui sera bien pratique. Et nous, les professeurs, nous garderons nos quartiers dans notre somptueuse salle des profs avec parquet et plafond mouluré et dans le dédale de ses petites annexes bien utiles. Il nous reste à souhaiter que nos élèves, éblouis par ce décor flambant neuf, auront à coeur de le garder beau et propre, tant pour eux que pour leurs successeurs.
Après avoir vécu une année « collés-serrés » À la salle ping pong, dans les couloirs et les escaliers, Nous avions vraiment hâte de le retrouver Sorti des décombres, notre réfectoire adoré. Notre surprise fut à la hauteur de nos attentes. Épuré, clair et coloré, moderne et lumineux, Son nouveau look nous en a mis plein les yeux. En un an, il semble, lui, en avoir perdu trente. Par moments, on y travaille dans la sérénité, Et par d'autres, on s'y détend paisiblement. À chaque passage, on y jette un oeil mérité. Cet endroit est d'enfer, incontestablement! À coup sûr, les mathématiciens les plus férus Y résolveront des problèmes farfelus Pendant que les plus littéraires Y chercheront l'inspiration de Molière. S. Daneluz Professeure de mathématiques
3 re
Notre 1 re soirée au DiC collège ! Pendant que nos parents étaient réunis lors de la première assemblée générale de l'année dans une grande salle à l'étage, nous, les enfants avons patienté dans les réfectoires et les espaces de récréations pour jouer avec les jeux mis à notre disposition (raquettes de pingpong, baby-foot…). Ce moment nous a permis
de faire plus ample connaissance ! Ensuite, nous nous sommes tous retrouvés, parents et enfants, autour d'un souper fromage et charcuterie. Très bon et bien fourni ! Le personnel, composé essentiellement des parrains et marraines de rhéto, était super sympa. Et l'idée de faire des tables par classes était très bonne car les
parents ont pu faire aussi connaissance. Ce souper a permis de créer de nouvelles amitiés, de nouveaux liens, surtout pour les personnes arrivant seules en début d'année. Nous en gardons un tellement bon souvenir que ce serait gai de recommencer un repas comme celui-là en fin d'année. Mina, Anaïs et Noah 1èreg
ÉCOLE hors les murs Journée "Justice en jeu" Le mardi 24 octobre 2017, les élèves de 5e année ayant comme option « Sciences Éco » avec Mme de Walque se sont rendus au Palais de Justice pour la journée « Justice en Jeu ».
Dès 9 heures, une animatrice de la Fondation Roi Baudouin nous a accueillis et conduits dans une salle de réunion afin de nous expliquer le fonctionnement des différents tribunaux de Belgique, et nous interroger sur les droits fondamentaux d'un prévenu : la présomption d'innocence et le droit à la défense. (La matière ayant déjà été vue au cours, nous étions censés
au DiC Notre journée sportive s'est déroulée le 8 septembre au Sart-Tilman. Elle a servi à créer des liens entre les élèves de la classe (et ça a marché !). Nos activités préférées ont été : le kin-ball, l'activité cirque et le base-ball modifié. Le kin-ball est vraiment super cool parce que c'est un jeu coopératif qui a permis de nouer des liens avec toute la classe. Tout le monde a bien rigolé et a trouvé cette journée géniale. Nous espérons que les professeurs referont cette activité. Et encore un tout grand merci pour l'organisation. Grégoire Perrez Laurent, Tuan Dinh 1ref
participer un maximum, mais c'était sans compter sur nos têtes d'endormis habituelles du matin !) Ensuite, nous avons pu assister à deux procès du tribunal correctionnel. Ceux-ci n'ont lieu qu'en matinée et on a eu droit à deux sujets complètement différents : l'un traitait une affaire de voiture vendue illégalement entre une jeune femme et son employeur, tandis que pour l'autre, il s'agissait d'une bagarre avec une arme illégale, entre une f a m i l l e italienne et une famille espagnole. Durant ces d e u x audiences, nous nous s o m m e s rendu compte que les procès auxquels nous avions assisté sont très différents de ceux qu'on voit à la télé. Ces derniers paraissent dynamiques
et pleins de rebondissements, mais en vrai, ils se passent dans une ambiance beaucoup plus calme et sereine. Après une pause-midi bien méritée, nous avons entamé l'après-midi avec une activité qui s'est révélée très sympathique : gérer nous-mêmes un procès. L'animatrice nous a donné une situation et des documents afin de préparer au mieux l'audience. Nous nous sommes réparti les rôles (juges, avocats, procureurs, prévenus et victimes) et nous avons travaillé par groupes. À la fin, nous avons montré notre travail devant deux véritables juges, et sans vouloir nous jeter des fleurs, on s'est pas mal débrouillé, malgré quelques petites fautes de débutant. C'était une expérience très enrichissante et non sans difficultés, mais on s'est tout de même bien amusé dans la peau de nos personnages. Pour terminer la journée, nous avons discuté et échangé avec les deux juges qui nous ont observés durant l'activité, puis nous avons quitté le Palais de Justice vers 16 heures.
Au Sart-Tilman, nous avons eu droit à trois activités hyper sympas avec des animateurs géniaux ! En premier lieu, nous avons réalisé un parcours nommé « Le Tour du Monde », on aurait cru un mélange de koh-Lanta et de Tarzan. Ensuite, nous avons appris à jouer avec un frisbee ! Et enfin, on a participé à une course d'orientation. Nous devions trouver des objets, des balises à l'aide d'une carte. C'était comme une chasse au trésor ! Les relations entre nous ont évolué . Grâce aux groupes dans les différentes activités, nous avons pu tisser des liens avec les autres et nous rapprocher. C'était le but de cette journée, et nous l'avons atteint ! On a pu profiter de la nature avec nos nouveaux copains. C'était juste génial. Cette journée, on ne risque pas de l'oublier ! re
Le vendredi 8 septembre, les élèves de 1 année ont participé à une journée sportive. Un tour du monde et une course d'orientation étaient les activités proposées. « C'était génial, on avait l'impression d'être Tarzan ou d'être en mode journée Koh-Lanta. Nous avons fait du frisbee et avons rencontré différentes personnes et, grâce à cela, nous nous sommes fait de nouveaux amis. La course d'orientation était comme une chasse aux trésors car nous devions chercher des balises. Nous nous sommes amusés et nous avons pu découvrir et profiter de la nature. Les animateurs étaient sympathiques et les groupes étaient chouettes car on a pu apprendre à m i e u x s e connaître. Et même si le temps n'était pas favorable, nous avons passé une excellente journée ! ». re
Mary 1 c
Julie Turek, 5e
re
Eleanor 1 c
Jacques Gaspard sprl Siège d ’exploitation Rue de Renory 503 4031 Angleur Siège social
Tél. +32(0)4 342 36 94 Fax +32(0)4 342 37 18
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4 ÉCOLE hors les murs (suite) Malcolm X de J. Mthombeni
Au cours des deux dernières années scolaires, nous, élèves du DIC Collège avons été invités à assister à de nombreuses représentations théâtrales en compagnie de nos professeurs de français. Le but est de nous ouvrir à la vie culturelle et de nous faire comprendre que le théâtre est le reflet de la société et des émotions qui traversent la vie. Le vendredi 13 octobre, je me suis ainsi rendue au Théâtre de Liège pour voir la pièce Malcolm X. Cette pièce nous montre les conséquences des actions de Malcolm X sur la génération d'aujourd'hui. Pour cela, plusieurs acteurs, danseurs, chanteurs nous font part de leur talent afin de nous faire passer plusieurs messages. La pièce est mise en scène par Junior Mthombeni. Tout d'abord, j'ai trouvé la pièce très divertissante : entre les danses, les chants, la musique et les discours très
mouvementés des acteurs, il n'y avait pas de place pour l'ennui ! J'ai été très impressionnée par la voix de la chanteuse, mais surtout par les danseurs qui étaient juste exceptionnels ! Ils bougeaient comme s'ils étaient possédés par la musique. Par contre, un point négatif est qu'il y avait, à mon goût, trop de moments où les musiciens étaient présents. Leur musique était très agréable à écouter, mais trop longue. J'aurais aimé plus de discours… En effet, je trouvais qu'il n'y avait pas de fil conducteur : les acteurs parlaient sans vraiment nous faire comprendre le message qu'ils voulaient faire passer, et puis ils sont partis d'un coup, laissant leur place aux musiciens et à leurs instruments. Je n'ai vraiment pas tout compris à cette pièce. Cependant, j'ai apprécié le fait que, dans la pièce, plusieurs langues étaient parlées : français, anglais, néerlandais et dialectes africains. Cela apportait un plus à la pièce et surtout, sans doute en raison de ce plurilinguisme, il y avait un public très large. Mais gros bémol : les traductions en diverses
langues étaient écrites sur une sorte de tableau découpé verticalement. Donc parfois, le tableau bougeait, des trous se formaient et des lettres se perdaient. Ce n'était pas évident de lire ces traductions, donc, forcément, parfois, on perdait le fil de la discussion et on ne faisait plus d'efforts pour comprendre. Pour finir, la fin était fantastique ! Les acteurs aux multiples fonctions nous ont invités à nous lever, tout le monde bougeait, applaudissait. Certains disent qu'au théâtre on ne peut pas agir comme dans une « fête », mais moi, je trouvais que cela laissait une note très positive et des sourires sur les visages enchantés. En conclusion, je vous recommande vivement cette pièce pour les talents de tous ses performers qui ne vous laisseront pas de glace, pour le dynamisme de la mise en scène qui vous persuadera que le théâtre n'est pas réservé uniquement aux plus de 50 ans. Dommage, cependant, que le message porté par Malcolm X ne soit pas toujours limpide… Alicia BUSUITO, 6ec
Vous avez raté l'exposition de l'année ! Ce jeudi 19 octobre 2017, notre professeur de français nous a emmenés à l'exposition « Luis Salazar-œuvres récentes » à la Cité Miroir (ancienne piscine de la Sauvenière réaménagée en salle d'exposition et de concert). C'était vraiment fantastique, surtout que nous avons eu le privilège d'avoir comme guide, Luis Enrique Salazar en personne. Il a partagé son univers avec notre classe en nous expliquant notamment son point de vue sur l'art abstrait, la différence entre la peinture à l'huile et l'aquarelle (Monsieur Salazar utilise cette dernière). Durant la visite, il nous a dit : « Je rends à la vie ce qu'elle m'a donné », en montrant ses peintures…
Mais le plus chouette a quand même été le moment où nous lui avons demandé un autographe, car c'est un célèbre peintre liégeois (d'origine basque) ! Malheureusement, cette expo se terminait déjà le 31 octobre. À dans deux ans, Monsieur Salazar! Clara 2ec
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5 À la découverte de la Ville Lumière...
Cette année encore, les élèves de 5
e
sont partis à la découverte de la Ville Lumière. Au programme : visite du château de Versailles et des jardins agrémentés exceptionnellement d'une mise en musique et en eau des fontaines et des bosquets. Le Louvre et le musée d'Orsay ont complété le côté artistique de ce séjour. Les coulisses du Grand Rex ont ravi nos élèves ainsi que le One Man Show de Samia Orosemane le premier soir et le tour de Paris by night le lendemain.
« Très e chouett la visite du Grand Rex. x»ime Ma
« Extrao
rdinaire
et très e nrichiss an s ille rsa Ve de A refair t ! « Le voyage était vraiment bien et la visite e!» Charlott était vraiment intéressante. » e
Voici quelques impressions des élèves :
Lore
« Magnifique voyage avec une super ambiance au sein du groupe ! » Louis N. Simart, Professeure d'EDM
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Échange linguistique 3 Après avoir reçu des lettres de leur correspondant gantois respectif, les élèves de troisième année du DIC Collège ont participé à un échange linguistique avec sint Pieters Gent pour rencontrer des personnes venant d'un autre horizon et approfondir leurs connaissances en néerlandais. Après consultation des élèves, les professeurs ont décidé de répartir les élèves néerlandophones et les élèves du DIC en
plusieurs groupes. D'abord, les élèves ont fait connaissance via des activités linguistiques ludiques, diverses et variées. Ensuite, ils ont mangé ensemble leur repas. Puis, ils sont partis à la découverte de Liège via un jeu de piste. Les élèves du DIC ont pu alors faire découvrir la Cité ardente aux Gantois. Et les Gantois ont pu remarquer la beauté et la
diversité de Liège grâce au jeu organisé. Plusieurs énigmes ont dû être résolues. Après ce parcours, la journée s'est terminée et les correspondants gantois ont dû retourner chez eux. Une nouvelle rencontre est prévue en mars, et cette fois, à Gand.
Léa Gudelj, 3eg et Gabriel Loddo, 3eb
Hommage à Isabelle Renaux Un an déjà que tu nous as quittés. J'aurais préféré 100000 fois ne pas avoir à écrire ce texte, mais c'est un honneur pour moi que de pouvoir te rendre hommage, car au risque de blesser ta modestie, il y a de nombreuses raisons de le faire. Tu es entrée aux "Dames" en septembre 1968 dans la classe de 6e latine de Sœur Marie-Patricia. C'est à ce moment que Cupidon a dû décocher ses premières flèches car le latin et ton héros Jules César ne t'ont plus quittée jusqu'à la fin de ta carrière. Après avoir étudié tes "gammes" comme on le faisait en ce temps-là à raison de 9 heures par semaine, tu t'es essayée quelque peu au grec. Mais pour échapper à un ogre qui n'en était pas un, après deux ans, tu as bifurqué vers les sciences. Ce n'était pas ta tasse de thé et heureusement, ton très gentil papa ingénieur était là pour t'aider à sortir de ce détour incongru. Ta véritable nature littéraire est revenue au galop et c'est à Sainte-Croix que tu appris à transmettre ton savoir, car si l'enseignement n'était
peut-être pas dans tes gènes, tu l'avais dans le sang. Après des débuts quelque peu chahutés (certaines se reconnaîtront peut-être), tu as installé ton autorité de façon magistrale et tu as donné le goût du latin à des générations d'élèves qui ne t'ont jamais oubliée. Mais au-delà de cette transmission, tu avais une affection profonde pour tes élèves et tu te donnais corps et âme pour les mener au mieux de leurs possibilités, avec une attention particulière à ceux qui en avaient le plus besoin. Je pense spécialement à Romain et Clément parmi tant d'autres. Tu es aussi devenue une des premières responsables de niveau du 1er degré et chaque élève pouvait compter sur ton soutien, tes encouragements, mais aussi les réprimandes si nécessaires car ton sens de la justice et du respect était très élevé. Dans ta vie privée, tu as dû faire face à la pire des épreuves, la perte de ton fils unique, ton cher petit Pat. Dans cette circonstance si pénible, tu as encore forcé notre admiration en reprenant pied
peu à peu et en te donnant encore plus à ton métier. Comme si cela ne suffisait pas, cette foutue maladie est arrivée et t'a obligée à quitter cette école que tu chérissais tant. Là aussi tu t'es battue à la manière de ton héros Jules César et, pour avoir été dans ce que tu appelais ton noyau dur, je peux témoigner que tu n'as jamais baissé les bras, au contraire et au-delà de ce combat que tu menais, tu es restée la même, toujours à t'inquiéter de nous, de nos familles, toujours élégante jusqu'au bout des ongles, toujours généreuse et fidèle dans ton amitié. Tu ne pouvais plus donner cours, tu es devenue une as du scrap, tu as pu aussi, du haut de ta terrasse, continuer à suivre les matches de tennis qui se déroulaient sous tes yeux, mais surtout ceux de ton cher David Goffin (au moment où j'écris ces lignes, il est en finale du Masters. Qu'est-ce que tu aurais été fière de lui ! ). Je ne peux terminer cet hommage sans rappeler ton sens de l'humour, du partage, de l'écoute que tu auras gardé jusqu'au bout. Ma grande Zab, la vie sans toi n'est pas facile tous les jours. Comme l'a dit Jérôme : « Merci pour tout ce que tu as été et, à l'instar de ce que tu avais l'habitude de nous dire, " Ca va aller hein ! ".
Chantal Baudson, économe
6 Retraite des 4es
Naissances
LUCAS, le 23/11/17 chez Séverine BILLEN (professeure) ELISE, le 25/09/17 chez Charlotte BERTRAND et André WARNIER (anciens 2008) JEAN, le 18/07/17 chez Christelle PAULET (professeure) EVA, le 09/06/17 chez Sandrine DUPUIS (professeure)
mariages
Emilie DAULNE (professeure) et Romain WILMES, le 02/09/2017 Aviva BERGMAN et Cédric LEJAXHE (professeur), le 07/07/2017
décès
Le papa d’Evelyne (3d) et de Grégoire (6c) mais aussi de Cyrille, Pierre et Xavier (anciens élèves) Lebas , le 17 décembre 2017 Le frère de Dominique WIRTEL (éducatrice), le 12 décembre 2017 Jean-Damien SCHENKELAARS (ancien 2000), ce 3 décembre 2017 Le papa de Débora PAROTTE (secrétaire), ce 24 novembre 2017
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nos convictions
Tous les élèves de 4e sont partis une journée en retraite à Ayrifagnes. Chaque classe a d'abord passé un long moment en commun. Les élèves ont fait des jeux d'entraide, comme par exemple tenir à plusieurs sur des chaises assemblées ou encore faire une sorte de chenille en faisant passer des chaises de main en main, et des personnes de bras en bras… Ces instants nous ont permis de connaitre les expériences de la vie des autres, leurs passions, mais aussi, pour certains, de partager des émotions. Par la suite, nous avons dû réaliser des défis personnels : chanter, imiter des profs ou encore couper des cheveux… Nous avions un très grand cadre de récré. Nous étions tous unis pendant une journée et nous avons pu nous montrer tels que nous sommes vraiment aux professeurs pour qu'ils apprennent à nous connaître en tant que personne et pas seulement en tant qu'élève. Une sortie qui a permis de nous changer les idées, de nous extraire du contexte scolaire, et de mieux nous connaitre… Noa D'archis,4ef
Petite histoire vécue... à méditer ! Racalmuto. Un petit village de 9.000 habitants au sud de la Sicile. Il y en avait 20.000 à une époque. Encore aujourd'hui, beaucoup de jeunes quittent le village pour l'étranger à la recherche d'un a v e n i r meilleur, d'un avenir tout court. Mais depuis 3 ans, quelques jeunes ont fait le chemin inverse et ont débarqué dans le village ; ils ne passent pas inaperçus. Dans le pays où des supporters de foot avaient brandi un calicot « Un noir italien, ça n'existe pas », Racalmuto prend sa part dans l'accueil des migrants qui débarquent chaque jour. Trois maisons dispersées dans le village sont occupées par des jeunes d'origine africaine. Cependant et peut-être étonnamment, même ça, dans ce petit village, n'avait pas suscité l'émoi de la population. « Ils sont gentils, et ils savent qu'ils ont tout intérêt à se faire discrets » commente d'ailleurs Luigi, le vieux voisin de 71 ans d'une de ces habitations. Rien ne semblait pouvoir faire de Racalmuto le lieu d'une expérience unique en terme d'intégration… et pourtant.
« Un noir italien, ça n'existe pas! » Ce dimanche 6 août, comme chaque année, c'est la fête de la pastèque. Une fête au nom étrange, d'autant plus qu'elle est couplée à des célébrations religieuses : « la » pastèque sera offerte à la Madone qui trône fièrement dans une cour du centre du village et devant
laquelle ils sont nombreux à venir faire un signe de croix. Deux jours de festivités où tous les habitants et ceux des villages voisins viennent se promener, manger, mettre leurs enfants sur un carrousel, acheter un sac « Armani », à 15 euros. Les filles sont apprêtées, les hommes sortent leur chemise. Le village est en ébullition. Parmi les moments forts de ces deux jours de célébrations, et juste avant le feu d'artifice de clôture, il y a l'ascension du mât. Le principe est simple : un mât enduit de savon est dressé au centre du village avec, à son sommet un drapeau italien. L'objectif est de parvenir à se saisir de ce drapeau en escaladant en équipe. Parvenir à décrocher ce drapeau signifiera la prospérité pour le village. Le coup d'envoi de l'ascension du mât est donné à 23h05 ce dimanche 6 août. Les équipes se lancent. Une première personne à la base, une autre monte sur elle, se redresse, c'est difficile, ça glisse, le poids des personnes au-dessus est accablant pour ceux qui sont à la base, les visages se crispent, les muscles se raidissent, les gestes sont maladroits, les appuis difficiles,… et pendant une heure et demie, et malgré une montée jusqu'à quelques centimètres de l'objectif, la pyramide cède à de multiples reprises, le drapeau signe de prospérité du village continue de flotter... Pendant ce temps, les habitants s'impatientent, chacun y allant de son commentaire sur les raisons des échecs successifs. Certains, désespérés, quittent même la place. En retrait du spectacle, quatre réfugiés d'une des maisons d'accueil appuyés contre un mur observent ce folklore d'un œil mi-amusé, mi-moqueur. Une dame à
côté d'eux leur suggère d'aller essayer. Après quelques échanges, l ’un se décide suivi des 3 autres. Faut-il être inscrit ? Peu importe, de toute façon, le mât semble avoir épuisé l'ensemble des forces vives du village. Et là, l'impensable se produit : les 4 jeunes parviennent, non sans efforts, à s'aligner parfaitement verticalement, le quatrième franchissant seul le dernier mètre le séparant du Graal. Il s'empare du drapeau, le secoue et la foule l'acclame. L'impensable s'est produit, il est 00 h30 au fin fond de la Sicile (le feu d'artifice de minuit,
vu les difficultés d'ascension du mât a été retardé!) : ce sont les nouveaux arrivants qui ont sauvé le village ! Marc Magnery, Professeur de géographie
F.&J. Vander Eycken s.p.r.l. Photographe scolaire depuis 70 ans Rue de la Technologie, 31 B-1082 Bruxelles Tel: 02/482.17.80 Fax: 02/465.77.79 Email: info@fjvandereycken.com Website: www.fjvandereycken.com
7 Retraite des 5
es
Totalement enjouée à l'idée de passer deux jours loin de tout pour mieux connaître mes condisciples, j'avais hâte de partir à cette retraite, profiter du bon air (et manquer deux jours de cours, avouons-le). Quelle ne fut ma désillusion quand je vis que nous avions été séparés en quatre groupes ! Comment allais-je survivre sans mes amis, confrontée à ces personnes inconnues ? Même si la matinée du premier jour avait consisté à se plaindre de ne pas être tombé dans tel ou tel groupe, l'idée de séparer les élèves a été très bonne : cela a permis à une grande partie d'entre nous de découvrir et d'apprendre à connaître d'autres personnes, certaines qu'on n ’aurait jamais approchées sinon. De même pour les professeurs accompagnants, qui ont réussi à outrepasser leur fonction et se mêler aux élèves sans que cela ne paraisse forcé. L'ambiance, ouverte, humaine et très agréable, a pu être maintenue grâce aux animateurs très motivés et de bonne humeur,
qui ont mené les activités avec brio. Toutes les activités n'ont fatalement pas plu à tous, mais je dirais que, dans l'ensemble, elles ont été bien réalisées et que les animateurs, les élèves comme les professeurs y ont participé de bon cœur, ce qui est le plus important. Certaines, comme la danse folklorique (dont nous nous souviendrons longtemps !), nous ont permis de nous défouler, d'autres, comme la discussion sur nos noms ou « sentiments et spiritualité », ont apporté une introspection, une autre vision de nous et des autres, dans un cadre plus calme et détendu. Au niveau du confort matériel, il n'y a pas énormément à dire : la nourriture était assez bonne et les chambres confortables, et faire en sorte que tout le monde participe à la vaisselle est en accord avec le message de cette retraite, une manière d'aider tous ensemble. L'apogée de ce voyage vers la découverte de l'autre a été atteint lors de l'activité carapace (ou bouclier pour le chanceux groupe b) où nous avions une feuille dans le dos sur laquelle les autres ont écrit des qualités qu'ils voyaient en nous. Grâce à cette
activité, nous avons découvert chez nous des qualités que nous n'aurions jamais imaginées, dans une ambiance honnête et chaleureuse et qui apportait des situations très drôles, comme quand dans mon groupe, nous faisions la file indienne et écrivions sur le dos de chacun ! Puis vint la célébration (?) qui n'a malheureusement pas été assez bien amenée, frustrante pour les musiciens qui n'ont pas fait certaines activités pour finalement ne jouer qu'une demi mesure. Dommage d'avoir moins bien terminé un séjour aussi bon et agréable à cause d'un problème de temps et d'organisation… Au final, cette retraite s'est peut-être moins bien terminée, mais cela ne réduit pas tous les bons moments que nous avons passés ensemble dans cet endroit magnifique et dépaysant. Je suis sûre que nous en garderons un très bon souvenir ! Odile Keller, 5ec
“Artiste de la vie”
croque local Le thème de l'année pastorale du DIC Collège cette année est « Artiste de la vie ». Nous avons voulu mettre en avant, non seulement les talents artistiques de nos élèves, mais aussi leur implication comme citoyen du monde et leur solidarité vis-à-vis des autres. Pour la célébration, nous avons pris conscience qu'être acteur de la vie, la sienne et celle des autres, cela se fait aujourd'hui, et pas lors d'un demain hypothétique. Les élèves ont témoigné de tous ces gestes qu'ils posent quotidiennement qui font d'eux des artistes à part entière. Cette solidarité de nos élèves nous a été prouvée très concrètement, car une ancienne élève du DIC, Bénédicte Jullien, a souffert d'un AVC qui l'a laissée totalement enfermée à l'intérieur de son corps, mais totalement lucide et consciente de son environnement. Elle souffre du Locked-In Syndrom. Lors de la célébration de rentrée, le 11 octobre, nous avons eu la chance d'entendre le témoignage de sa soeur, Dominique. La générosité de nos élèves, que nous avions encouragés à participer personnellement, s'est montée à un peu plus de 1600€. Nous remercions chaque élève et chaque personne ayant contribué à la construction de la maison de Bénédicte, que nous avions symbolisée en Duplo. Pour chaque 10€ récoltés, nous ajoutions une brique à la maison. Si vous aussi vous voulez soutenir le projet 'Des gouttes d'eau pour Béné', n'hésitez pas à faire un versement sur le compte BE63 0017 7302 5008 ouvert au nom de Bénédicte.
Morgane Folon, professeure de religion
Vendredi 13 octobre ne fut pas du tout un jour de mauvais augure pour les élèves du DIC Collège. Ils ont pu acheter des pommes produites par des agriculteurs de la région, au prix de 10 centimes dans le cadre de l'action « Croque Local » organisée par le Good Planet Challenges. Pourquoi avons-nous participé à cette action ? Parce que nous nous rendons de plus en plus compte de l'importance de consommer des fruits et légumes locaux et de
manger, en juin, une pomme qui provient de Nouvelle-Zélande, à part faire exploser le bilan carbone de notre consommation et donner notre argent à d'autres agriculteurs ? Est-ce le choix le plus sensé que nous posons en tant que consomm'acteurs ? Le but de cette action était aussi de proposer un en-cas sain aux élèves et aux professeurs, loin des barres chocolatées proposées habituellement. Elle a remporté un beau succès et l'Ecoteam n'exclut pas l'idée d'organiser une nouvelle distribution plus tard dans l'année. Merci à tous pour y avoir participé de près ou de loin ! Si vous êtes intéressés par le fait de rejoindre notre équipe, n'hésitez pas à nous contacter. Plus on est de têtes, plus il y a de bonnes idées pour faire bouger le développement durable au DIC !
Emeline Yansenne, pour l'équipe « Agenda 21 scolaire »
saison. L'équipe Ecoteam du DIC composée de professeurs, d'élèves et de parents a organisé cette distribution et a participé à la sensibilisation des élèves aux causes environnementale et sociale de l'action. En effet, les pommes de nos régions sont récoltées surtout durant l'automne (voire le début de l'hiver pour certaines variétés). Mais au printemps et en été, ces fruits proviennent surtout de l'étranger. Quel est l'intérêt de
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Nous avons demandé à Ambre Franquinet, une de nos élèves de 2e année de répondre à quelques questions... D'abord, à quel âge as-tu commencé la natation ? Et la compétition ? J'ai commencé à l'âge de quatre ans. Je suis passée en pré-compétition à sept ans et à la compétition à huit ans. Où t'entraines-tu ? A quelle fréquence ? Je m'entraine avec le Mosan au collège StServais. J'ai commencé avec trois entrainements et aujourd'hui, je suis à sept entrainements de deux heures, plus trois heures de préparation physique. La natation de compétition est-elle compatible avec tes études ? Quelles sont les difficultés éventuelles ? Je travaille pour mes cours dès que possible à l'étude et à la maison dès mon retour de l'école. Cependant il est vrai que la natation de compétition demande énormément de temps, car la charge d'entrainement est très lourde comme je l'ai
Math en Jeans est une manière originale et amusante de (re)découvrir les maths autrement : adieu les démonstrations longues de plusieurs kilomètres et les théorèmes aussi compréhensibles que du chinois; ici, on colorie, on découvre des astuces pour gagner à des jeux, on mange même du chocolat ! La raison? En septembre, une question est posée à un groupe composé d'élèves, de professeurs et d'universitaires motivés, qui y travaillera le long de l'année, pour présenter ses recherches lors d'un congrès. Dans des questions comme "Peut-on toujours gagner au jeu de Nim?" ou encore "Gagner quand on est deux à croquer dans une tablette de chocolat avec une tablette empoisonnée", nous avons choisi : "Combien de couleurs faut-il au minimum pour colorier la carte du monde?" Un temps de midi par semaine, au K14 (pratique pour la carte du monde au mur, moins pour les professeurs y donnant cours...), nous y avons
expliqué. Il faut être très organisé pour y arriver. Le plus difficile est de gérer les devoirs pour la semaine lors des gros weekends de compétition, car je suis vendredi, samedi et dimanche à la piscine dès le matin (8h ou plus tôt). Je me repose à midi pour nager à nouveau l'après-midi. Il me reste le soir pour travailler un peu, mais je dois aller dormir tôt pour être en forme le lendemain. Quels ont été tes meilleurs résultats ? Cet été, j'ai réussi à faire six podiums au championnat de Belgique, six courses avec deux titres de championne de Belgique, deux titres de vice-championne, deux de troisième place. J'ai également gagné quatre challenges George sur cinq. Quels sont les grands moments qui resteront gravés dans ta mémoire ? De belles rencontres ? Mes six podiums aux championnats de Belgique. Il y a le groupe de nageurs avec qui je m'entraine. On se voit tous les jours pour partager la même passion, nous sommes de plus en plus soudés. On s'encourage les uns les autres et on se réconforte dans les moments difficiles. Il y a aussi des moments mémorables en compétition, quand je rencontre des stars, comme aux championnats de Belgique 2016 où j ai pu faire signer mon bonnet par Peeter Timmers qui a été médaillé aux jeux olympiques.
As-tu vécu des déceptions ? Oui, la saison passée je me suis blessée après un stage intensif. Je souffrais d'une tendinite à l'épaule et j'ai dû arrêter de nager pendant 2 semaines. C'était au mois de mai et nous étions très proches des championnats de Belgique (fin juillet)… j'ai eu peur de ne pas pouvoir être au top pour atteindre mes objectifs. Comment gère-t-on les amis, les études et les compétitions à l'adolescence ? J'ai dû faire des sacrifices. J'ai arrêté les mouvements de jeunesse. J'ai évidemment beaucoup d'amies dans mon club, ce qui est normal quand on passe plus de quinze heures ensemble aux entraînements. J'ai aussi, des fois, sacrifié quelques entraînements pour passer du temps avec mes amies d'école. Notre école e s s a y e d e véhiculer des valeurs telles que l a r i g u e u r, l e courage, la régularité…, y en a-t-il une qui t'a aidée dans ta progression sportive ? C'est plutôt le sport qui m'a obligée à être organisée et rigoureuse, car la natation me prend beaucoup de temps. J'ai retrouvé cela au DIC Collège : rigueur, travail et écoute.
travaillé, et c'est vrai qu'après trois semaines de coloriage, il a bien fallu calculer, comparer, démontrer,... Mais cela ne changeait rien à notre très bonne ambiance, rehaussée par notre réussite : quatre couleurs suffisent ! Après avoir trouvé le nombre de couleurs minimum et approfondi nos recherches mathématiques (qui feraient fuir tous les lecteurs si elles étaient expliquées ici), nous sommes allés, stressés, mais enthousiastes, au congrès de fin d'année pour présenter notre travail. Ce moment était passionnant ! Nous avons regardé d'autres exposés très intéressants, le nôtre a été bien accueilli, et le lendemain, le forum (où nous expliquions notre travail dans un stand avec une animation) était une expérience enrichissante : nous avons parlé avec des
personnes qui venaient d'autres pays pour le congrès et avons aussi appris énormément. On en aurait presque oublié que cette activité était dans un cadre scolaire tant l'ambiance était celle d'un festival... Au final, Math en Jeans restera pour nous une expérience formidable et inoubliable, et c'est une activité chouette à refaire dans les prochaines années ! e
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Soyez nombreux à assister à ce périlleux exercice auquel se livrent nos rhétoriciens pour le plaisir de tous!
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Propos recueillis par M.-A. De Leeuw
Odile Keller 5 c
UNE FONTAINE DE MOTS ! Le DIC vous invite au prochain
tournoi d'éloquence ce 15 mars 2018.
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