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Portugal cont. 4,30 € Réunion 4,60 € RD Congo 6,10 $ US Royaume-Uni 3,60 £ Suisse 7 FS Tunisie 3,50 DT USA 6,90 $ US Zone CFA 2 000 F CFA ISSN 1950-1285
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Guadeloupe 4,60 € Guyane 5,80 € Italie 4,30 € Luxembourg 4,80 € Maroc 25 DH Martinique 4,60 € Mayotte 4,60 € Norvège 48 NK Pays-Bas 4,80 €
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France 3,80 € Algérie 290 DA Allemagne 4,80 € Autriche 4,80 € Belgique 3,80 € Canada 6,50 $ CAN Espagne 4,30 € Éthiopie 67 birrs Grèce 4,80 €
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ÉDITION INTERNATIONALE ET MAGHREB & MOYEN-ORIENT
RD CONGO
COMMENT L’OPPOSITION S’EST SUICIDÉE
Et s’il renonçait ?
ALGÉRIE
GABON La vie sans Ali SAHEL Amadou Koufa : le visage peul d’Al-Qaïda
HEBDOMADAIRE INTERNATIONAL NO 3019 DU 18 AU 24 NOVEMBRE 2018
Que se passerait-il si, contre toute attente, Abdelaziz Bouteflika décidait de ne pas briguer un cinquième mandat présidentiel dans cinq mois – ou y était contraint ? Hypothèses et scénarios.
COMMUNIQUÉ
AVIS D’EXPERTS
1 - Houseine DIABATÉ Directeur Afrique
2 - Eric VÉRIN
Directeur Education et Promotion de l’Emploi
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La formation professionnelle « Made in Germany », un outil de développement Relever les défis posés par le boom économique africain … L’Afrique sub-saharienne est une zone très dynamique avec une croissance qui devrait dépasser 3 % en 2018, en accélération constante depuis plusieurs années. Six champions africains affichent même des taux les plaçant dans le Top 10 mondial(1) ! Ce développement rapide oblige cependant à relever deux défis majeurs : 1) fournir au marché du travail les compétences nécessaires pour soutenir cet envol, 2) tout en réduisant les inégalités (régionales, sociales, de genre) que ces changements tendent à renforcer. … en s’inspirant de l’expérience allemande de la formation professionnelle … Pour relever ces défis, de nombreux pays africains ont inclus la formation et l’accès à l’emploi parmi les priorités de leur stratégie nationale de développement, et le système de formation professionnelle allemand peut certainement aider ces pays. En effet, le succès de la première puissance é c o n o m i q u e e u ro péenne est dû à une formation qui combine l’apprentissage en entreprise avec un enseignement théorique pointu. Ceci garantit une forte adéquation entre la qualification des jeunes diplômés et les besoins du marché du travail. Cette formation « made in Germany » repose sur l’implication des entreprises et des chambres de
Quel que soit le secteur économique (santé, énergie, eau, emploi …), tout développement durable s’appuie sur une formation professionnelle de qualité
Sources : “ QUARTZ ”, Banque Mondiale, les 6 pays africain du TOP 10 sont : Ghana, Ethiopie, Côte d’Ivoire, Djibouti, Sénégal et Tanzanie. (1)
commerce, de l’identification des besoins de compétences à la validation des parcours, ceci sur un modèle décentralisé de gestion. Ce modèle permet un partage des coûts et une transition accélérée vers le marché du travail. Il n’est pas limité aux grosses entreprises car les PME y participent beaucoup. Sa flexibilité et ses résultats rapides attirent de nombreux pays africains, où il a déjà été possible d’accompagner la modernisation de secteurs tels ceux des énergies renouvelables, de l’environnement ou de la construction. Mais c’est dans le renforcement des formations agricoles que ce modèle prend tout son sens, au travers de formations modulaires courtes et un appui à l’entreprenariat, afin d’améliorer les conditions de vie des populations les plus fragiles. … qui exige un secteur privé renforcé La mise en place d’un tel système nécessite toutefois que les entreprises disposent des compétences nécessaires en interne pour participer à ces formations. Ce renforcement nécessite du temps, ainsi qu’un travail de plaidoyer important et surtout une adaptation aux réalités de chaque pays.
GOPA Consulting Group
Hindenburgring 18, 61348 Bad Homburg Allemagne Tél. : +49-6172-930-112 Fax : +49-6172-930-334 Email : info@gopa-group.org
www.gopa-group.org
JACQUES TORREGANO POUR JA
Focus Emploi & formation
COMPÉTENCES
Données cherchent analystes
Pour affiner leur modèle et faire bon usage de leurs informations stockées, les entreprises font appel à de nouveaux experts. Les besoins sont importants, mais les perles encore rares.
NATACHA GORWITZ
L
es masters spécialisés et les options en data science et en big data sont de plus en plus proposés dans l’enseignement supérieur : à l’Institut national polytechnique Félix-Houphouët-Boigny (INP-HB), à Yamoussoukro, depuis la rentrée
2017, ou dans deux établissements de Tunis: l’Université centrale (privée) et l’École supérieure privée d’ingénierie et de technologies (Esprit). « L’enjeu de la formation est d’aligner l’innovation en big data, en intelligence artificielle et en machine learning avec les besoins actuels des entreprises », explique Heny Selmi, responsable de l’option data science à Esprit.
Les étudiants y apprennent à « faire parler » les données, abstraites et hétérogènes, dans le but d’automatiser la prise de décision, et doivent donc maîtriser le langage du statisticien comme celui du commercial. Leur mission comprend la récupération, le nettoyage et l’analyse des données ainsi que la fabrication d’algorithmes capables
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Focus Emploi & formation COMPÉTENCES
d’apprendre à résoudre des tâches par eux-mêmes, à partir des données collectées (machine learning). Une révolution technologique qui touche tous les secteurs, mais dont les besoins n’ont pas encore été quantifiés.
Des nouvelles qualifications très recherchées sur le continent
« Les entreprises comprennent que leur modèle d’innovation est sclérosé. La plupart d’entre elles stockent des données, mais ne les utilisent pas pour innover », souligne Babiga Birregah, responsable du master spécialisé expert big analytics et
métriques de l’université de technologie de Troyes (UTT), en France. Alors qu’en 2015 seuls 5 % des recruteurs envisageaient d’embaucher des data scientists, ce chiffre est passé à 13 % en 2016, selon l’étude Digital Trends Morocco. Selon la même source, en 2017, les data scientists dépassaient les développeurs web dans les intentions d’embauche. « Sur le plan stratégique, l’exploitation de la donnée présente un potentiel inestimable », commente Élisabeth Medou Badang, porte-parole d’Orange pour la zone Afrique et Moyen-Orient, les télécoms étant l’un des secteurs où la
production de données est le plus importante. L’opérateur français, partenaire financier du master spécialisé en data science à l’INP-HB, prévoit de recruter au moins dix data scientists par an ces trois prochaines années en Côte d’Ivoire, au Burkina et au Liberia. « Nous avons besoin de ces compétences localement afin de mieux connaître le profil de nos clients », ajoute-t-elle, évoquant des raisons de coûts, mais aussi de proximité avec un marché devenu compétitif. En son sein, Jumia, le géant africain de l’e-commerce, dispose déjà d’une vingtaine de business
Mohamed Derrabi
Directeur de Toulouse Business School Casablanca
« Une école supérieure de commerce ne se résume pas à la formation » L’ancien viceprésident de l’université Mundiapolis met son expérience au service du groupe toulousain TBS. Objectif : capter les talents d’Afrique subsaharienne. Propos recueillis par QUENTIN VELLUET
r r ivé e n 2 0 1 6 pour dynamiser la présence du groupe Toulouse Business School (TBS) à Casablanca, Mohamed Derrabi a aussi été doyen de l’université
A
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Al-Akhawayn de 2006 à 2010 et vice-président de l’université Mundiapolis, à Casablanca. Il dirige l’une des rares écoles africaines triplement accréditées, par l’Europe (Equis), le Royaume-Uni (AMBA) et les États-Unis (AACSB).
et mis en place, l’année dernière, le bachelor en formation initiale. La promotion comptait 150 étudiants, auxquels se sont joints 100 étudiants cette année. Toutes promotions confondues, ils sont aujourd’hui 400.
Jeune Afrique: Quels chantiers avez-vous menés depuis votre arrivée ?
Est-il pertinent en Afrique d’être reconnu par les
Mohamed Derrabi : TBS Casablanca ne fonctionnait que les weekends pour la formation continue. Aujourd’hui, notre campus est dans ses propres murs, nous travaillons avec les autres filiales de TBS et le siège de Toulouse. Nous avons obtenu des accréditations du ministère marocain de l’Enseignement supérieur
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NOS ACCRÉDITATIONS INTERNATIONALES NOUS OBLIGENT À TRAVAILLER AVEC LES ENTREPRISES.
organismes internationaux d’accréditation ?
Absolument. Les étudiants nous choisissent parce que les accréditations internationales sont un gage de qualité. Elles parlent d’elles-mêmes, bien qu’elles ne soient pas encore bien identifiées par les Marocains. Et si la tendance n’est pas encore confirmée au Maroc, la récente création d’une accréditation nationale incitera les écoles à obtenir ensuite des accréditations internationales. Cer taines écoles au Maroc ne s’y intéressent pas car les critères à remplir donnent trop d’importance à la recherche fondamentale… Une école de commerce
SP
intelligence analysts et de cinq data scientists, au Portugal, au Nigeria, en Égypte et au Maroc. « En data science, les pratiques évoluent très rapidement. Plus que l’expérience, nous valorisons les profils analytiques, brillants et motivés », explique Sami Louali, chargé de la stratégie, des relations avec les investisseurs et du développement chez Jumia. Depuis la rentrée, l’UTT délivre à Casablanca un diplôme de big data engineer en partenariat avec la start-up marocaine Africa Data Lab. Ce cursus professionnalisant d’une durée d’un semestre est ouvert aux jeunes Marocains diplômés d’un
ne se résume pas à la formation. Elle doit aussi se consacrer à la recherche. On forme des étudiants pour les métiers d’auj ourd’hui mais aus si pour l’avenir. Et tous les métiers d’avenir naissent dans les laboratoires de recherche. De plus, un enseignant-chercheur est au fait des nouveautés. Et les premiers bénéficiaires de ses recherches sont ses étudiants. Comment attirez-vous les talents de l’Afrique subsaharienne ?
Nous développons des conventions avec des écoles, par exemple avec
bac+3 en informatique et en mathématiques. Sur douze étudiants, la moitié travaille dans des sociétés de services et de conseil, l’autre moitié vient de l’industrie, de la banque et de l’assurance. « Le but est de les rendre opérationnels sur le marché du travail », explique Babiga Birregah, porteur du projet. Cette formation propose notamment des préparations aux certifications d’éditeurs de logiciels comme Microsoft, IBM ou Amazon. Ces nouvelles compétences sont très recherchées sur le continent comme ailleurs. À l’Université centrale de Tunis, 40 % des ingénieurs
l’université internationale de Grand-Bassam, en Côte d’Ivoire. Parallèlement, nous avons nos propres mécanismes de promotion sur place pour attirer des étudiants. Les non-Marocains représentent entre 15 % et 20 % d’entre eux, et ils sont en majorité subsahariens. C’était l’un de nos objectifs. Notre marketing sera plus agressif dans les deux ans. Le Maroc a tardé à prendre au sérieux le potentiel de l’Afrique sub saharienne en matière d e t a l e n t s. C o m m e n t l’expliquez-vous ?
En réintégrant l’UA, le Maroc a réaffirmé ses ambitions de travailler avec le continent. Le royaume y investit beaucoup, notamment en Côte d’Ivoire. Notre image a été redorée, et nous recevons de plus en plus d’étudiants ivoiriens. Comment travaillez-vous avec les entreprises ?
Nos accréditations internationales nous obligent à
en IT sont recrutés en Europe à la sortie de leurs études, et cette tendance s’accentue après un ou deux ans d’expérience professionnelle, principalement en France. « Les entreprises tunisiennes ne peuvent faire face aux salaires français », reconnaît Houbeb Ajmi, directrice de l’université. En France, ces jeunes Tunisiens diplômés sont embauchés à partir de 2 200 euros par mois, contre 1 500 dinars (environ 460 euros) en Tunisie. Le salaire d’entrée a cependant doublé dans le pays en cinq ans, signe d’une prise de conscience croissante de la nécessité de valoriser les compétences localement.
travailler avec les entreprises. Elles nous aident à concevoir nos programmes au travers de comités de perfectionnement académique. Pour chaque programme existe un comité, composé en partie d’entreprises. Ces dernières participent à l’enseignement, accueillent des stagiaires et viennent présenter leurs activités et leurs métiers au cours d’un forum des entreprises. Vous avez mis en place un master en ressources humaines avec le cabinet Diorh. Comment cette fonction est-elle perçue par vos étudiants ?
Le métier des RH est en plein développement au Maroc. Il se restreint généralement à la gestion sociale et à la paie. Nous voulons créer une rupture vis-à-vis de cette conception en favorisant plutôt l’aspect développement des compétences. Nous sommes donc associés à ce cabinet historiquement leader au Maroc. Les
étudiants de notre première promotion apprécient cette collaboration avec des professionnels. Vo u s a v e z t r a v a i l l é dix ans à l’université Al-Akhawayn. Que vous a apporté cette expérience ?
L’ u n i v e r s i t é A l Akhawayn est très intéressante du point de vue de sa culture maroco-américaine anglophone et de sa structure d’une grande souplesse. J’y ai mené les projets d’accréditations internationales. Nous avons fait la première accréditation d’assurance qualité avec le Pnud. J’ai aussi mené l’accréditation Epas de l’European Foundation for Management Deve lopment (EFMD) pour le bachelor, qui fut le premier accrédité en Afrique. Tout cela m’a permis d’être formé dans la gestion des processus d’accréditations internationales, mais aussi en gestion, management et promotion académique.
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Focus Emploi & formation
PORTRAIT
Toufic Tasso, de Beyrouth à Lomé L’entrepreneur libanais développe un réseau d’universités africaines en souhaitant donner à la formation un cadre professionnalisant. QUENTIN VELLUET
out ce qui existe dans l’univers est le fruit du hasard et de la nécessité. » Empruntant sa réponse au philosophe grec Démocrite, le Libanais Toufic Tasso n’aurait pu trouver mieux pour justifier son choix de développer les Leaders University College for Applied Science (Lucas), le réseau d’enseignement supérieur professionnel qu’il a fondé en 2016. Après le Ghana en 2017 et le Togo en septembre 2018, ce sera au tour du Niger, avant la fin de cette année. De fait, son implantation sur le continent est en partie due au hasard. En 2016, l’héritier des écoles que son père a développées pendant cinquante ans à Beyrouth sous la franchise française Pigier recroise le chemin d’Albert Letayf, rencontré sur les bancs d’HEC Paris. C’est à Beyrouth qu’ils se retrouvent, où Letayf est investisseur et PDG de Primecorp Invest. Il lui souffle l’idée d’investir à Accra. « Nous avons réalisé une étude des besoins pendant trois ou quatre ans. Le Ghana est un pays stable politiquement et économiquement. Et nous avons été encouragés par les autorités », confie Toufic Tasso.
T
Des cursus que peuvent suivre étudiants et professionnels
Pour installer ce premier campus Lucas, ouvert en 2017, il loue d’abord un immeuble et finance son aménagement. « L’investissement immobilier n’est pas notre priorité. Mais les bâtiments que nous louons ne sont souvent pas adaptés. Nous avons donc acquis un terrain pour loger 400 étudiants », relève
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DR
«
licence coûte 4 200 dollars et le master 4 800 dollars, sous conditions d’obtention du West African Senior School Certificate Examination (WASSCE), un examen commun aux pays anglophones d’Afrique de l’Ouest. À Lomé, l’offre est identique, mais les enseignements sont bilingues et moins coûteux: 1,4 million de F CFA pour la licence (environ 2 100 euros) et 2,4 millions pour le master. « La première année, les cours principaux sont en français avec des cours intensifs en anglais. Puis la langue est graduellement insérée dans le cursus », explique Toufic Joseph Tasso. Autrefois prospères, les affaires libanaises de Toufic Tasso pâtissent d’un désamour des étudiants pour les écoles de commerce. L’an passé, ses établissements n’ont dégagé que 1 million de dollars de chiffre d’affaires, contre 4 millions en 2000. Si le hasard a fait naître l’idée, c’est donc bien la nécessité qui a fini de convaincre l’entrepreneur que l’Afrique est une terre d’opportunités.
l’entrepreneur. Coût de l’opération : 4 millions de dollars. L’enseignement à l’anglo-saxonne dispensé à Accra fait rapidement parler de lui à Lomé. Face aux besoins, le réseau ouvre une antenne à Aflao, en bordure de la frontière togolaise. Mais le campus Lucas Ghana, victime de son succès, ne peut accueillir tous les candidats. Un an plus tard, il loue une bâtisse au cœur de la capitale togolaise. Les premières promotions de cette deuxième implantation ont débuté en septembre. « La demande est venue des jeunes Togolais », affirme l’entrepreneur. En tout, 350 élèves sont répartis entre les deux campus. Avec ses écoles qui proposent des cursus que peuvent suivre aussi bien les étudiants que les professionnels, l’entrepreneur ambitionne de « monter un réseau d’universités africaines avec une vision professionnalisante de la formation ». Trois parcours sont proposés – commerce et management, IT et informatique, et tourisme et hôtellerie – ponctués de stages et de projets appliqués. Au Ghana, la
D’AUTRES PAYS CIBLES
Le réseau Lucas étudie actuellement des implantations dans deux autres pays, dont le Nigeria. Mais « les conditions d’implantation dans ce pays, sa situation économique et monétaire nous laissent hésitants », confie l’entrepreneur libanais.
ANNONCES CLASSÉES
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ANNONCES CLASSÉES
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N’Djaména, le 18 octobre 2018
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