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Agriculture

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Peche

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LE SECTEUR AGRICOLE

Éclipsée par le glamour des industries pétrolière, gazière et minière, l’agriculture mauritanienne est largement méconnue, mais constitue un élément clé du squelette économique du pays. Il re- présente 27,8% du PIB, un peu moins que le secteur extractif, qui contribue avec 29,3%, mais il emploie plus de la moitié de la main-d’œuvre du pays, soit 718 000 personnes. Environ 80 pour cent de sa contribution provient de la seule sélection. 60% de la population rurale vit de l’agriculture et de l’élevage.

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La Mauritanie est principalement un pays désertique avec une longue tradition de vie nomade - la subsistance pastorale - de sorte que l’agriculture n’a vraiment eu lieu que récemment, lorsque de petites populations ont commencé à s’installer. Les conditions météorologiques et le changement climatique ont depuis longtemps un impact sur la production agricole et l’élevage de la Mauritanie. Le pays connaît des déficits alimentaires structurels, des sècheresses récurrentes et une dégradation de l’environnement, rendant l’accès à la nourriture difficile pour les ménages vulnérables. Le changement climatique a exposé de nombreux ménages agropastoraux à un risque grave d’insécuritée alimentaire aggravées par la crise du Sahel. Pour donner un exemple, lors d’une bonne année pluvieuse, l’agriculture pluviale, qui est la plus populaire en Mauritanie, peut étendre ses limites foncières de 300 pour cent couvrant jusqu’à 200 000 hectares. Il existe un potentiel agricole important. La superficie agricole utile est estimée à environ 500000 ha et un grand troupeau estimé à environ 8,5 millions de TLP (population totale de bétail) La terre est principalement utilisée pour l’agriculture d’autosubsistance, bien que l’agriculture industrielle et commerciale se développe le long de la vallée du fleuve Sénégal où se trouvent la plupart des terres fertiles Dans cette zone, de grands groupes locaux opèrent avec l’infrastructure de base et les périmètres en place jusqu’aux environs de Rosso. Les principaux produits agricoles sont le riz, les dattes, le maïs et le sorgho complétés par le chameau, dans un premier temps, puis l’élevage bovin et ovin autour du territoire mauritanien. Un cluster d’industries s’est développé autour de ces produits créant des moulins, des usines de laiteries, des pâtes, des jus de fruits, etc.

CARACTÉRISATION DU SECTEUR RURAL

Zones agro-écologiques et systèmes de production Zone aride

80% de la superficie totale Air sec et très faibles précipitations

• Le système de production de référence est de type oasis (palmiers et céréales, luzerne, fruits et légumes comme cultures associées) • Élevage transhumant et extensif de chameaux et petits ruminants

16 000 ha dans le système oasien, soit 3% de la superficie agricole utile (SAU). Zone sahélienne

• Au sud-est de la Mauritanie où une saison hivernale sèche alterne avec une saison estivale pluvieuse.

• Le système de production est de type agro-pastoral. • A l’Est : Élevage transhumant et extensif et cultures traditionnelles pluviales (sorgho, mil, maïs) sur un potentiel estimé à 250 000 ha, soit 49% de la SAU potentielle

Au sud : cultures (sorgho, maïs, légumes) derrière barrages et bas-fonds sur un potentiel estimé à environ 60000 ha, soit 12% de la SAU

Zone de la vallée de la rivière

Agriculture irriguée avec maitrise totale de l’eau sur un potentiel estimé à 135000 Ha (céréales, fruits et légumes, etc.) soit 26% de la SAU potentielle

12 000 Ha, soit 2% de la SAU potentielle

L’élevage de bétail de type urbain est développé a proximité des villes.

Source: Ministère du développement rural Systèmes d’inondation Walo naturels ou contrôles estimés à 40000 ha (Sorgho et Mais) soit 8% de la SAU potentielle qui dépend pour environ 50% de la gestion du barrage

Elevage sédentaire, semi-intensif, principalement pratiqué dans la vallée fluviale avec une courte transhumance pendant la saison de croissance.

Zone maritime

Une bande côtière de 50 km de large de Nouadhibou au bas delta du fleuve • Possibilité de développer des cultures maraichères et arboricoles sur un potentiel estimé à environ

LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE

La Mauritanie importe la plupart des besoins alimentaires du pays et est vulnérable aux fluctuations des prix internationaux ainsi qu’aux conditions de transport. Le pays souffre de pénuries chroniques de produits alimentaires et se bat depuis des années pour assurer une sécurité alimentaire décente. Avec 4,4 millions d’habitants qui croissent à l’un des taux les plus élevés du monde, 2,09% en 2020, les besoins alimentaires ne feront qu’augmenter.

De plus, à mesure que l’urbanisation et la sédentarité modifient les habitudes alimentaires des gens, le régime alimentaire local est passé du riz, de la viande de chameau et de chèvre, au lait et aux dattes pour inclure le poisson, les pommes de terre et d’autres légumes.

L’escalade de la consommation locale et l’introduction du stockage des denrées alimentaires, de nouvelles technologies, techniques et de nouveaux produits comme la pomme de terre, introduits par l’Organisation alimentaire et alimentaire (FAO) avec de nombreux autres projets, ont augmenté la production agricole et animale dans son ensemble mais ne couverture pour la consommation du pays.

Production - ﺝﺎﺘﻧﻹﺍ Bulletin Trimestriel des Statistiques

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ﻲﻧﺎﻴﺒﻟﺍ ﻢﺳﺮﻟﺍ5 Graphique 5. Production agricole (En milliers de Tonnes ﻥﺎــﻨــﻁﻷﺍ ﻑﻻﺂــــﺑ)

ﺔﻴﻠﺼﻔﻟﺍ ﺔﻴﺋﺎﺼﺣﻹﺍ ﺓﺮﺸﻨﻟﺍ

D’autres initiatives sont en cours pour augmenter l’offre de produits laitiers, avec des plantes fourragères, le développement des cultures fourragères et l’amélioration des races locales. La politique de l’État considère l’élevage comme un élément majeur de la lutte contre la pauvreté comme source principale de revenus et comme mode de capitalisation. actuellement, il assure l’autosuffisance en viande rouge et couvre 30% des besoins en lait.

Le secteur a de l’espace pour un plus grand développement. Il existe une marge importante pour le développement du secteur de la volaille et de l’industrie de la peau et du cuir. Les céréales comme le mil et le sorgho sont produites de l’autre coté du fleuve Sénégal mais principalement pour l’autoconsommation. Le blé est principalement soutenu par les importations et le riz a un grand potentiel mais il est sous-développé. Il y a 1,9 million de palmiers, mais la production de dattes n’est pas significative. La production de fruits et légumes frais est concentrée pendant la saison froide, qui dure environ deux mois (décembre et janvier) et est limitée. Le reste de l’année, le marché est approvisionné par des importations en provenance de la sous-région (Mali, Côte d’Ivoire, Sénégal) et d’Europe.

L’élevage joue un rôle crucial dans la lutte contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire, mais le potentiel reste loin d’être exploité à son niveau optimal. Il existe trois systèmes d’élevage:

REPRODUCTION

o Élevage extensif principalement dans tout le pays sauf dans la zone fluviale. o Elevage sédentaire et parfois semi-intensif dans la vallée fluviale avec une courte transhumance pendant la saison de croissance.

o Elevage périurbain pour la production laitière.

Le cheptel mauritanien est estimé à 1,6 million de bovins, 16 millions d’ovins et caprins, 1,4 million de chameaux. Le potentiel de développement est important avec la promotion de l’amélioration génétique (sélection des races animales), le développement de l’aviculture, l’exploitation plus ra- tionnelle des ressources naturelles et fourragères et l’amélioration des pratiques d’élevage.

AGRICULTURE

Il y a des contraintes à surmonter mais il y a un énorme potentiel à exploiter selon les zones agro- écologiques.

Le potentiel cultivable est estimé à 513 000 ha, tous systèmes de culture confondus. 71% du potentiel est constitué de terres exploitables dans un système de production traditionnel fortement dépendant des précipitations, du débit d’eau et donc de la qualité des infrastructures hydrauliques.

L’agriculture est fortement soumise aux aléas climatiques, en particulier l’agriculture pluviale. Sur la période 1983-2012, le développement de ce système a varié entre un minimum de 30 000 ha (1983) et un maximum de 264 000 ha (2011).

Il existe un fort potentiel d’intensification de la production dans un système irrigué avec une diversification contrôlée selon les systèmes de production

INFRASTRUCTURE RURAL

L’infrastructure rurale est peu développée. Les ressources en eau sont rares et un sol fragile soumis aux effets physiques du climat. Cependant, des efforts importants ont été consentis pour améliorer les infrastructures rurales avec des périmètres irrigués, des barrages, des digues et des digues, des réservoirs de petites collines, des points d’eau pour l’alimentation humaine et pastorale, des parcs de vaccination, etc. Mais il est nécessaire d’optimiser l’utilisation des ressources et la mise en œuvre d’une politique de conservation des eaux et des sols ainsi que des schémas directeurs d’élaboration et d’application des textes (plans fonciers, code de l’eau, code pastoral, etc.).

Sous-développer la potentialité

En général, les capacités de production et d’exportation du secteur sont sous-exploitées étant donné la situation géographique stratégique de la Mauritanie et la disponibilité des terres et des conditions. La Mauritanie est également le pays tropical le plus proche de l’Europe, avec des con- ditions météorologiques qui lui permettent de cultiver des produits en contre-saison à de faibles couts de production.

C’est la porte atlantique de tout le marché du Sahel avec jusqu’à 80 millions de clients potentiels et de l’Afrique de l’Ouest, un marché plus grand de 300 millions. Certaines des entreprises implantées dans le secteur agro-industriel de la Mauritanie exportent ses produits vers les pays voisins et même vers l’Europe mais manquent encore des connaissances et des technologies nécessaires pour faire face au saut vers les marchés internationaux

Mais le système d’élevage extensif et l’agriculture traditionnelle sont toujours fortement dépendants des précipitations, le capital humain n’est pas formé et le secteur est sous-financé.

Comme ailleurs, il existe un risque élevé d’exode rural qui, à son tour, créera un risque encore plus grand de déficit alimentaire qui exigera des importations à forte intensité budgétaire. La volonté politique est donc alignée sur le développement du secteur et promeut un avenir prometteur en termes de marchés, nationaux et internationaux.

Le Programme de Développement Intégré de l’Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM), a longtemps soutenu le passage du secteur à l’internationalisation avec des projets pilotes qui ont eu un effet d’entraînement considérable sur le développement du secteur et ouvert la voie à d’au- tres créant un canal logistique pour L’Europe .

- Grand potentiel qui reste mal exploité. Seulement 24% du potentiel en zone irriguée est exploité.

Problème de contrôle et de gestion des eaux de surface.

Les sous-secteurs de l’élevage et de l’agriculture pluviale sont sous-évalués malgré leur importance et sont exploités de manière traditionnelle.

Manque de synergie entre l’agriculture et l’élevage dans le cadre d’un développement rural intégré

PRINCIPALES CONTRAINTES POUR LE DÉVELOPPEMENT

Inefficacité de l’agriculture irriguée et de la maitrise de l’eau

Transformation sous-développée

~ 75% des pauvres viennent des zones rurales ~ 6 personnes sur 10 dans les zones rurales vivent en dessous du seuil de pauvreté Environ 48% des ruraux sont analphabètes.

Faible réponse à la demande intérieure

10% des ménages ruraux sont en insécurité alimentaire chronique et 10% sont très vulnérables

Augmentation de l’utilisation des importations de denrées alimentaires de base (blé, riz, sucre, lait, etc.)

Hausse des prix alimentaires

Pays saharo-sahélien

Instabilité climatique se manifestant par des phénomènes qui affectent fortement la production agricole: sécheresses récurrentes, inondations, avance des sables,...

Vulnérabilité des activités agro-pastorales et des cultures traditionnelles aux aléas climatiques

La source. Ministère du développement rural, FAO, CNUCED

STRATÉGIE PUBLIQUE

L’agriculture mauritanienne n’est pas encore apparue comme une industrie moderne et compétitive, elle reste essentiellement une agriculture de subsistance. Pour amener le secteur à ses réelles possibilités, le gouvernement a esquissé une stratégie à long terme pour attirer les investissements privés, œuvrer pour l’autosuffisance et éradiquer la pauvreté. Cette stratégie agit spécifiquement dans les intrants, les crédits étendus et le soutien à l’internationalisation.

La première stratégie de développement rural du secteur (SDSR) a été élaborée en 1998, puis mise en œuvre en cohérence avec le Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté en 2001. Cette poli- tique et les suivantes n’ont pas réussi à accroitre la contribution de l’agriculture et de l’élevage à la croissance économique du pays et à réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire.

La dernière stratégie, Stratégie de développement rural pour 2025, s’accompagne d’une loi d’orientation agro-pastorale et d’un plan d’action pour le développement de l’élevage et de l’agriculture 20132025.

Les principaux objectifs de ce nouveau plan d’action sont l’élaboration et la mise en œuvre d’une loi d’orientation agro-pastorale (LOAP); favoriser l’innovation et le développement humain dans le secteur rural en augmentant la recherche, l’innovation et la vulgarisation et en investissant dans l’éducation et la formation professionnelle; déterminer la politique de financement du secteur rural et proposer des accords de partenariat public / privé dans des conditions favorables aux investissements.

PROJETS EN COURS DU MINISTERE DU DÉVELOPPEMENT RURAL

Les projets / programmes sous-tutelles du ministère de l’Agriculture sont: • Projet de lutte contre la pauvreté dans l’Aftout Sud et le Karakoro (PASK II), financement du Fonds International de Développement Agricole (FIDA)

• Projet de développement des infrastructures de base en zone rurale aride de Mauritanie, volet Oasis, financement Fonds Arabe de développement économique et social (FADES)

• Programme de Lutte contre la Pauvreté Rurale par l’Appui aux Filières (ProLPRAF), financement du Fonds International de Développement Agricole (FIDA)

• Projet de Développement d’une Résilience face à la Récurrence de l’Insécurité Alimentaire en Mauritanie, financement Banque Islamique de Développement (BID)

• PPF de préparation du PAHABO-II, financement Banque Africaine de Développement (BAD)

• Programme de renforcement de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS), financement Banque Africaine de Développement (BAD)

Projet d’amélioration de la résilience des populations les plus vulnérables dans la commune d’Aleg, financement Agence Espagnole de Coopération Internationale et du Développement (AECID)

ENTREPRISES SUPERVISÉES PAR LE MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT RURAL

Les établissements publics placés sous la tutelle du ministère de l’Agriculture sont:

- le Centre National de Recherche Agronomique et de Développement Agricole (CNRÀDA)

- l’Office national de recherches et de développement de l’élevage (ONARDEL);

- le Laboratoire Patho-Biotechnologie du Palmier Dattier d’Atar (LPPDA);

- le Centre National de Lutte Antiacridienne et Antiaviaire (CNLAA); - l’École nationale de formation et de vulgarisation agricole (ENFVA);

- la Ferme de M’Pourié;

- la Société nationale pour le développement rural (SONADER);

- la Société Nationale de l’Aménagement Agricole et des Travaux (SNAAT) - la Société Mauritanienne des Produits Laitiers (SMPL);

- la Société des Abattoirs de Nouakchott (SAN).

- la Société Toumour Mauritanie (STM);

La Compagnie Mauritanienne de Sucre et Dérivées (COMASUD). Centre de Formation des Producteurs Ruraux

WEBS

http://www.agriculture.gov.mr/index.php?lang=fr

http://www.fao.org/countryprofiles/

indexen/?iso3=MRT https://unctad.org/en/pages/PublicationArchive. aspx?publicationid=9323

Groupe Amane general.amanee@gmail.com +222 37388700 - 6308551 GENERAL AMANE est un leader dans la distribution de matériaux et équipements pour la construction de bâtiments et société de génie civil. Importations: Proposer une large gamme de produits à cet effet: construction en acier, échafaudages, haubans métalliques, coffrages bois, sols, plafonds, équipements d’étanchéité pour la production de ciment et fabrication de panneaux de particules, climatisation, électroménager et électricité industrielle, santé, etc. Exportations: Poissons et fruits de mer, exportateurs = et producteurs grossistes. Frais et surgelé en Mauritanie. Les produits sont du poisson et de la farine de poisson à 70% (100% normal). L´ objectif principal est de satisfaire les clients et de leur fournir des produits de la meilleure qualité, d’établir avec eux une relation commerciale solide et stable à l’avenir. La société Groupe GENERAL AMANE est une société de production et de négoce basée à Nouakchott - Mauritanie.

Elle propose des produits à des prix compétitifs sur le marché mondial et importe également en Mauritanie et effectue des expéditions rapide à tous les clients dans le monde. Elite Agro Mauritania Sarl Appartement 2d Khaima City Center - Nouakchott +222 45255908 said@ehm.ma www.eam.mr

Filiale du groupe UAE Elite Agro, Elite Agro Mauritania (EAM) a été fondée en 2015 dans le but d’investir en Mauritanie dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage en raison de l’existence d’un potentiel et de ressources naturelles importants dont le pays dépend pour améliorer ses la croissance nationale, la réalisation de la sécurité alimentaire et la mise en valeur des ressources naturelles.

Elite Agro Mauritania a développé un plan d’action afin d’augmenter la production à travers ses intérêts d’encadrement. Nous cultivons différents fruits dans chaque ferme.

Services Les principaux produits envisagés sont les légumes, les fruits, les cultures fourragères et le bétail (un plan de récolte est en cours de préparation).

Elite Agro Mauritania emploie de la ferme à la table: La société a entamé la mise en œuvre de son premier projet dans la vallée de la rivière, qui est située à 75 km à l’est si la ville de Rosso, à travers l’aménagement d’une superficie de 1360 ha, exploité pour les légumes destinés à l’exportation, les arbres fruitiers à haut rendement, l’élevage et la production de fourrage.

Groupe Weddady Adresse : Z.I Ksar Nord B.P 40 082 Nouakchott +222 45 25 42 74 www.weddady.com

Le nom Weddady est étroitement lié à l’histoire économique de la Mauritanie. En effet depuis 1962 donc il y’a 49 ans, Weddady est un label qui existe et participe activement au développement économique et social de la Mauritanie.

Créés en 1962, les Etablissements (Ets) Weddady ont pendant des années joué le premier rôle dans les échanges entre la Mauritanie, et l’Etranger en étant l’un des premiers importateurs des denrées de première nécessité pour les Marchés mauritanien et sous régionaux et en même temps exportateur des produits de spécificité mauritanienne comme la gomme arabique. Le nom Weddady était déjà à cette époque une marque commerciale et industrielle bien connue en Mauritanie et ce, grâce à l’envergure et à la diversité des activités des Etablissements qui portaient ce nom. Dans la continuité de ce dynamisme et en recherchant plus d’efficacité, les dirigeants actuels ont dû s’adapter face aux nouvelles exigences du commerce international et aux besoins multiples pour le développement de la Mauritanie et ont fondé en 2000 le Groupe Weddady. Avec 15 sociétés dont le nom de chacune d’entre elles et une référence dans son domaine, 518 emplois permanents et plus de 2000 emplois occasionnels et/ou saisonniers par an, un patrimoine infrastructurel et mobile installés partout dans le pays, le Groupe Weddady est bien un outil sûr pour le développement de la Mauritanie.

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