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PERSPECTIVES
Au terme de ce périple, la réflexion n’en est qu’à ses débuts. Le lecteur fera d’autres observations. De nouvelles expérimentations seront nécessaires pour faire évoluer les éléments dans les ruches, pour parfaire les méthodes de gestion des colonies dans un nouvel environnement plus propice au respect du bien-être des abeilles.
Ce qui a été constaté suggère une reproduction moins favorable de varroa dans ce contexte. Des pseudoscorpions ont été vus sur les chaussures, signe que l’environnement et l’atmosphère sont proches de ce qui fut observé dans les troncs d’arbres creux. Tout cela mérite attention, mesures, expérimentations et partages.
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Au moment où le bien-être animal est au cœur d’une réflexion sociétale, l’intuition de Marc Guillemain sur le bien-fondé de sa démarche prend tout son sens. Son travail s’est établi sur de nombreuses années : partant des PIHPgm, il a peu à peu évolué vers des conceptions très élaborées de l’isolation au service des colonies et surtout il a développé des méthodes.
Au-delà de la qualité de vie des abeilles, notre espoir est que les apiculteurs maîtrisent ces outils et ces méthodes de travail, qu’il les fasse évoluer, comme le fit Marc Guillemain, pour une meilleure survie de leurs colonies, pour obtenir des volumes de production plus importants et réussir des élevages de reines de meilleure qualité.
L’ANERCEA fut la seconde famille de Marc Guillemain où il présenta ses idées sur l’isolation. Il fut membre du Conseil d’administration durant de nombreuses années. Il fit partie des formateurs de l’ANERCEA. Depuis plus de 30 ans, les connaissances de Marc Guillemain se diffusent. Nous espérons que les échanges autour de ses idées se poursuivront.