Saperlipop' ART
#3 Met Le magazine numérique de l'arTsenal À partir de 6 ans !
Bonjour! J'aileplaisirdeteretrouverpourcenouveaunumérode Saperlipop'artdédiéàl'expositionMettreaumonde! Jet'inviteàapprendresurl'artetlesartistesent'amusant!
METTRE AU MONDE Sommaire L'INTERVIEW Quelques mots et images sur l'expo en cours SES OEUVRES Focus sur les oeuvres de Anaïs Albar L'ATELIERJEUX À toi de créer ! POUR LA PETITE HISTOIRE... DE L'ART ! La matérnité dans l'art ...............................................................................3 ................................................................................5 .....................14 ..................................................................................................7 .....................................................................................20 METTRE AU MONDE ...............................................................1 Rencontre avec l'artiste : Anaïs Albar L'INTERVIEW 2 ............................................................................9 Rencontre avec l'artiste : Fabien Mérelle SON OEUVRE Focus sur les oeuvre de Fabien Mérelle ..............................................................................12 DÉFI DESSIN ...............................................................................13 DES RÉALISATIONS À 4 MAINS .......................................18
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Tu découvriras à la page 18 des réalisations à quatre mains : certains artistes ont créé des pièces avec leurs enfants. C'est notamment le cas de Anaïs Albar, David B , Jochen Gerner, Fabien Mérelle ou bien encore Florence Obrecht
Quelbeauportraitdefamille!
Pour répondre à cette question, l'exposition Mettre au monde met en lumière le travail de quinze artistes vivants, qui à un moment de leur vie ont dédié leur création à leur famille, leur enfant, leur grossesse ou à la pratique à quatre mains
Mettre au monde Être parent et artiste, quel impact sur la création ?
Halld'entrée de l'arTsenal
Peinture de genre, 2020 Florence Obrecht et Axel Pahlavi
vue de l'exposition, aile g
Aile droite
À ton avis, quels sont les thématiques de cette exposition ? Entoure-les ! La grossesse Le train La Lfamille e sacré La paternité La nature LL'enfance e jeu Les animaux Le carnaval La maternité 2 Étage
Bonjour Anaïs, peux-tu te présenter à nos lecteurs ? Quel est ton parcours ?
LIEU DE RÉSIDENCE :Cazilhac(34)
L'interview
Je suis artiste brodeuse et mère de trois enfants de 8 ans à 14 mois. J’ai grandi à côté de Paris dans une grande maison avec un chien, des tortues, des poules et des carpes japonaises. Aujourd’hui j’habite dans les Cévennes en pleine nature avec toute ma famille Depuis toute petite je dessine je peins et de fais de la couture, oui je pense que au fond de moi sans le savoir j’ai toujours été une artiste J’ai fait une école d’art à Paris pour apprendre la sérigraphie, différentes techniques de gravures et pour connaître l’histoire des tableaux que j’allais voir au musée.
AlbarNOM : PRÉNOM : ÂGE : NATIONALITÉ : Anaïs 37ans Française
Tu pratiques la broderie. Pourquoi le choix de ce médium ?
La broderie c’est ma grande mère maternelle qui me l’a enseignée. À son époque en 1930, les filles et les garçons sont dans les classes séparées, d’un côté les garçons apprennent la mécanique et de l’autre les filles font des travaux d’aiguilles et de la cuisine. La broderie c’est par son histoire un travail de femme, un travail d’intérieur, silencieux et discret et je dirais que c’est pour ça que cela me touche autant, j’ai envie de lever le voile sur ce travail de l’ombre Dans le monde entier les femmes, les grands mères savent broder et c’est une manière de leurs rendre hommage et de les rencontrer. J’aime les grands mères elles sont la sagesse et l’histoire de l’humanité.
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Quel est ton thème de prédilection dans la création, pourquoi ?
Deux autres créations abordent le thème de la maternité : in utero et l’accouchement. Quelques mots sur ces projets ?
Je n’ai pas de thème pour mon travail, je m’inspire de mon ressenti et je cherche dans l’intime des éléments qui vont me permettre de raconter des histoires
À l’arTsenal, nous pouvons découvrir ton œuvre La maison. Peux-tu nous la présenter ?
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Le corps se transforme aussi chez les adultes mais moins vite, sauf pour les femmes qui attendent un enfant. Être enceinte c’est comme pour Alice, le corps se métamorphose pour laisser la place au bébé c’est un peu magique, parfois cela peut faire un peu peur aussi car la femme enceinte n’est plus seule dans son corps, elle le partage avec quelqu’un d’autre. Elle devient la maison du bébé. Moi devenir mère m’a donné envie d’en parler et de raconter avec mes fils et mes aiguilles ce qui se tisse et se raconte à travers tous ces changements aussi bien dans le corps que dans la tête
La broderie La maison c’est la maison fantasmée de mon enfance, les objets brodés font partis de mon décor d’enfance, certains étaient vraiment là tandis que d’autre sont le fruit de mon imagination d’enfant. Elle raconte un rêve, la jeune fille au centre grandit trop vite, ses larmes inondent les pièces de la maison et l’eau salée vient réveiller les objets endormis. Comme dans l’œuvre de L.Caroll, Alice est bouleversée par les changements de son corps tant ils sont rapides.
Ses oeuvres In utero, 2021 L'accouchement, 2020 JParépourledécollage? det'emmènefaireunpetittour 'horizondesbroderiesd'Anaïs Albaràl'arTsenal 5
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Vertige,2016
Sans titre, 2021
Détail La maison 2013
> À gauche tu peux découvrir la première version et à droite celle exposée aujourd’hui à l’arTsenal.
> Sauras-tu identifier les éléments ajoutés ?
Anaïs a commencé son œuvre La maison il y a maintenant 10 ans.
> Observe bien ces deux images.
Avant de l’exposer à l’arTsenal elle a décidé de retravailler dessus pour y ajouter des éléments nouveaux.
Jeu des differences
7 La maison, 2013
8 La maison, 2022
J'ai décidé de partir également à la rencontre de l'artiste Fabien Mérelle qui pratique notamment le dessin.
L’aquarelle, l’encre, le crayon à papier
Bonjour Fabien, parle nous un peu de toi…comment es-tu devenu artiste ?
À l’âge où on l’on apprend à écrire beaucoup cessent de dessiner. Pour une raison qui m’échappe encore, j’ai continué et continue à le faire, avec un plaisir intact et l’envie de reproduire le monde qui m’entoure
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Pourquoi le choix du dessin ?
C’est un plaisir simple, une feuille, un crayon, rien de plus et l’on peut se raconter une multitude de choses C’est direct J’aime que l’on se penche dessus, ou que l’on passe devant sans le regarder Il est un petit monde à lui tout seul dans lequel on peut choisir ou non de passer du temps.
Quels médiums utilises-tu pour dessiner ?
LIEU DE RÉSIDENCE : Tours(37)
L'interview
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NOM : PRÉNOM : ÂGE : NATIONALITÉ : Fabien 41ans Française
Mérelle
Papa sous l'orage et la pluie 2016
Peux-tu nous dire quelques mots sur tes dessins exposés à l’arTsenal pour l’exposition Mettre au monde ?
Je ne sais pas si je cherche à montrer quelque chose. Je tiens la chronique de mon quotidien sûrement aussi parce que j’en ai besoin. Je crois que j’essaye, en images, de décrire ce qui traverse un humain Et en partant de mon expérience j’espère rejoindre celles des autres
Non, c’est l’unique fois Par contre, je dessine souvent sur mes propres dessins d’enfant.
Dans ce cas si, ma fille était revenue un soir avec un dessin où un personnage se trouvait sous, je la cite: « l’orage et la pluie » Je lui ai demandé de qui il s’agissait, elle m’a répondu que c’était moi, « papa » Je lui ai donc demandé si elle serait d’accord pour que l’on refasse ensemble ce dessin. Une fois son accord donné, elle a reproduit sur ma feuille l’orage et la pluie et je me suis dessiné dessous. C’était un moyen de dialoguer avec elle, à un âge où le dessin avait encore plus d’importance que les mots.
La guérite, 2017
J’y suis avec mes enfants, dans cette guérite. Elle ressemble à celles qui bordent les camps. J’aimerais prémunir du mieux que je peux, mes enfants, de la bêtise, de la haine qui renaît à l’encontre de toutes les minorités. Nous tirons la langue et visons avec un fusil de bois des ennemis imaginaires
Que cherches-tu à montrer à travers ton travail ?
Réalises-tu souvent des œuvres à 4 mains avec tes enfants ?
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Le titre dit tout, c’est la couette du lit et ma fille et moi, sous la protection ouaté et blanche de cette cabane de fortune.
Aimant, 2011
C’est l’image que j’ai de ma femme lorsqu’elle est enceinte. Elle est gigantesque, et moi je tente avec mes petits bras de la protéger du mieux que je peux. Elle le fait très bien elle même, et de toute sa hauteur
Merci beaucoup Fabien !
Refuge, 2014
Et pour terminer, un « défi dessin » à proposer à nos lecteurs ?
Oui, se dessiner entrain de faire la chose dont ils ont le plus envie, même si c’est impossible dans la « vraie » vie.
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Laguérite,2017
Papa sous l'orage et la pluie, 2016
Allonsdécouvrirles œuvresdeFabien exposéesà l'arTsenal... 12
s oeuvres
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Le defi de Fabien
> Utilise l’espace blanc du tableau pour relever le défi de l’artiste : te dessiner en train de faire quelque chose dont tu as très envie, même si cette chose est impossible dans la "vraie vie"… avec le dessin tout est permis !
La Madone à l'oeillet 1473, Léonard de Vinci
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Cette Vierge symbolise la protection, la douceur et la dévotion (attachement à une religion).
Cette œuvre représente Marie, debout, avec un œillet à la main et l'Enfant Jésus, attiré par la fleur, assis sur un coussin.Les habits de la Vierge sont très ornementés et peints avec de nombreux détails, rappelant ceux d'une reine.
Psst Lesavais-tu?
La première représentation de la Vierge à l’enfant se trouve dans les catacombes de Priscille à Rome (Italie).
C’est un cimetière souterrain qui forme des galeries datant de la fin du IIe au Ive siècle. On y voit l'enfant Jésus téter le sein de sa mère.
La vierge au coussin vert 1507-1510, Andrea Solari Musée de Munich, Allemagne Musée du Louvre, Paris
Pour la petite histoire... de l'art !
Donnant le sein à l'Enfant Jésus, la Vierge est inclinée, dans une attitude attentive et joyeuse.
Dans la peinture religieuse, la Vierge à l’enfant, est la première image représentative de la maternité : on y voit une femme, la vierge Marie, généralement assise, qui tient un bébé dans les bras ou sur les genoux, et parfois, dans la variante Maria lactans, elle l’allaite.
La maternité dans l'art
Au fil du temps de nouvelles représentations vont apparaître. Les artistes vont commencer à délaisser l’image de la mère divinisée au profit d’une représentation plus réaliste.
Maternal Caress 1896, Marry Cassatt Musée du Louvre, Paris Museum of Art, Philadelphie (USA)
En se représentant ici avec sa fille, l’artiste cherche à montrer une nouvelle image de la maternité : une tendresse qui matérialise le sentiment à la fois d’amour et de protection de la mère pour son enfant.
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18èmesiècle
La tendresse maternelle 1786, Louise Elisabeth Vigée le Brun
Les premières représentations véritablement modernes du lien maternel sont réalisées par l’impressionniste américaine Mary Cassatt (1844-1926). Elle qui n’a jamais eu d’enfants, nous donne à voir des scènes de la vie quotidienne très naturelles, entre mère et enfant.
Musée des Beaux-Arts du Canada
Il s'agit de l'un de ses tableaux les plus célèbres [Autoportrait au sixième anniversaire de mariage] : elle y apparaît dénudée et enceinte. Il ne s'agit pas d'une oeuvre autobiographique – à cette date, elle n’attendait pas encore d’enfant mais plutôt un profond désir, où la volonté de créer et celle de procréer se mêlent étroitement.
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Les artistes mettent surtout en scène l’amour entre la mère et l’enfant. Ils abordent la maternité sous l’angle de l’affectif. La grossesse est ainsi peu représentée dans l’art car elle est vécue par les femmes comme une expérience douloureuse.
Espoir I 1903, Gustave Klimt
Selbstbildnis am 6. Hochzeitstag 1906, Paula Modersohn-Becker
Début XXème siècle, les premières représentations de femmes enceintes vont apparaître
musée Paula Modersohn-Becker, Allemagne
Gustav Klimt est l’un des premiers artistes à peindre une femme nue enceinte, ce qui fit scandale à l’époque. Cette femme, chevelure rousse et couronnée de primevères, a une ventre généreusement arrondi. Elle fixe le spectateur, le visage serein, confiante grâce à l’espoir qu’elle porte en elle.
Claude et Paloma dessinant 1954, Pablo Picasso collectionprivée
Susan Hiller montre dans sa série photographique Ten Months, l’évolution de son ventre durant toute sa grossesse. Le ventre grossit en même temps que l’angoisse face à la future rencontre avec l’enfant et le nouveau statut de mère.
Ten months 1977-79, Susan Hiller A girl 2006, Ron Mueck National gallery of art (usa) National gallery of Canada
Pablo Picasso a travaillé tout au long de sa carrière sur les thèmes de la maternité et la famille. Père de quatre enfants de quatre compagnes différentes, ses proches lui ont souvent servi de modèles pour peindre des moments d’intimités en famille. Ici, l’artiste a peint ses deux plus jeunes enfants en train de dessiner.
Vers les années 1970, Les artistes vont commencer à se confronter à la vie réelle, à la vie quotidienne contemporaine et aux différents états du corps de la femme. Il ne s’agit plus d’idéaliser la maternité mais de la montrer telle qu’elle est.
Père de deux enfants, le thème de la maternité revient souvent dans le travail de Ron Mueck. Avec ces sculptures hyperréalistes il nous donne à voir de très près des instants de maternité : une femme enceinte, un nouveau né posé sur le ventre de sa mère juste après l’accouchement, un nouveau né monumental.
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DavidB.
Avec sa fille, Anaïs Albar a réalisé des petits médaillons en argile ornés de fleurs séchées, touches de peinture et mots doux. Ayant pour habitude de les offrir à leur proche, ils se retrouvent ici exposés à l’arTsenal.
David B. est auteur de bande dessinée, notamment de "L’Ascension du Haut Mal".
Étoile garde à vous !, 2018
Quelques artistes de l’exposition se sont essayés à des réalisations à 4 mains avec leur enfant. Source d’inspiration, les créations de leur enfant leur ont permis de mettre en œuvre quelques projets. Un moment de partage et complicité avec leurs progénitures !
AnaïsAlbar
Ici, il a laissé son fils dessiner en premier. Ulysse a fait une sorte de grosse fusée, et David a lui réalisé à l’encre de Chine le cosmonaute qui se trouve à l’intérieur et le ciel étoilé.
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Sans titre, 2010
“Etoiles, garde à vous !” est le titre du roman de science-fiction de Robert A. Heinlein [où les Terriens sont attaqués par des aliens et partent les chasser dans l’espace].
Des realisations a 4 mains
Guillaume Pinard a réalisé un film d’animation Youki à partir des dessins de Sasha, sa fille âgée alors de 5 ans. On y voit un gentil bonhomme en train de découper un animal en petits morceaux avant de le jeter dans un four. Les dessins sont ceux d’un enfant, colorés et naïfs, alors que le personnage commet un acte assez violent. La force des dessins d’enfants aux feutres atténue le sujet terrible de l’histoire.
Folklore, 2018
Youki, 2010
Herbie Hancock, 2009
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GuillaumePinard
« Cette série de dessins a débuté un peu par hasard. J’avais posé des journaux sur une table pour que mon fils puisse dessiner. Il avait 6 ans à l’époque et commençait tout juste à apprendre à écrire. Il s’est mis à recopier les phrases du journal Libération qui était devant lui. Ça m’a amusé et je lui ai demandé d’illustrer ce qu’il avait écrit. Je suis intervenu ensuite à l’encre pour souligner des éléments de son dessin. » J.GERNER
JochenGerner
FlorenceObrecht
Camilla-Thérèse, la fille de Florence Obrecht et Axel Pahlavi a participé à un atelier "costumes de tradition" lors d'un voyage en famille en Italie. Son père l'a photographiée se doutant que sa femme Florence y trouverait une source de création. En effet de retour chez eux en Allemagne, Florence a peint ce portrait. Pendant la période de confinement, Camilla-Thérèse s'est installée devant la toile de sa mère pour la reproduire avec crayons et aquarelles
-Peinture -Potpourl'eau/palette
Faire la suite du personnage en répétant le même procédé : à chaque fois qu’un participant a terminé sa partie, il la cache (et laisse dépasser la suite de ses traits sur la partie suivante) avant de passer la feuille à l’autre participant
Le thème du dessin? Un personnage
Inventéparlessurréalistes,lecadavreexquisestunjeucollectif«quiconsisteàfairecomposer unephrase,ouundessin,parplusieurspersonnessansqu’aucuned’ellesnepuissetenircomptede lacollaborationoudescollaborationsprécédentes.»
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(LeDictionnaireabrégédusurréalisme,AndréBreton,1938).
Il faut être deux dessinateurs minimum !
Matériel nécessaire : des feuilles et crayons
Commence par plier la feuille en 4 bandes égales dans le sens de la largeur
À la manière des surréalistes, créé ton cadavre exquis en famille !
Plierlafeuilledemanièreà cacherlatêtetouten laissantdépasserlestraits ducoupourqueleprochain puissecontinueràdessiner
L'atelier creation a 4 mains
Lecadavreexquis?Qu’estcequec’est?!
Le 1er participant dessine la tête du personnage sur la première partie du haut de la feuille
Tupeuxbiensûrvarierles thèmes:animal, architecture,plante, monstre,etc…
Situlesouhaites,tupeuxnousfairepartagerta
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Une fois les quatre parties dessinées déplie la feuille pour découvrir le résultat
réalisationdel'atelierproposésoit: -parmailc.hugnet@ville-dreux.fr -ou enpubliantunephotosurfacebook
Unrésultatsurprenant!
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AlbarAnaïs
J d d ffRéponses
maisonLa, 2022,
Unmomentdepartageet complicitéentreadulteset enfants Observe CImagineommunique Dessine Chante ... 23
Des cartes acTions sont mises à disposition du public à l'accueil de l'arTsenal pour découvrir l'exposition Mettre au monde de manière ludique !
Découvertedel'exposition ens 'amusant
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Rendez vous à la prochaine exposition pour un nouveau numéro de Saperlipop'art ! Àtrèsvite! production équipe de médiation Centre d'art l'arTsenal - Dreux - août 2022.
