Familly Torah N°01 - Spécial Hanoucca

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Directrice :Yardenna G. Graphiste : Jonathan H. Directeur commercial : Rephael G. Publicité et Abonnement :

Sommaire INSTITUTION NER RA’HAMIM Pages 4-7

Tel. : 054 563 1351

Femme - ESHET ’HAYIL

Fax : 09 88 54 295

Pages 10-13

E-mail : famillytorah@gmail.com

Dossier Spécial Hanoucca

Distribution :

Pages 14-19

Gratuite : Par Email

Enfant - Jeux

Payante : En Format A4 La reproduction et copie d’articles, illustrations et des publicités ( sans l’accord écrit de l’annonceur et du journal), publiés dans ce magazine à des fins commerciales, sont strictement interdites sous peine de poursuites. Les annonceurs sont entièrement responsables de leurs publications. Tous documents transmit à notre rédaction ne seront pas retournés.

Avec le Soutien de : Rav Moshe Ben Moshe chlit’a

Pages 20-23 BRESLEV Pages 24-33 HABBAD Pages 34-43 Ségoulot Pages 44-45 La Force de la Tsédaka Pages 46-51 Autres Grands Rabanim Pages 52-59

Rav Yaakov Mazouz chlit’a

Etc...

Rav Acher Fitoussi chlit’a

Recettes de cuisine et Blagues : p60

Rav David Nacache chlit’a

Concours du Mag : p61

Yeshiva Or Arachbi

Petites annonces : p62

Les Rabanim de Koupat Ha’ir

Concours Tsipora Fashion : p63

Kollel Ner Ra’hamim Et plein d’autres Gdoley aDor... Page 3


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LA FORCE DE LA HACHGA’HA C’est l’histoire d’un juif qui après avoir vécu les horreurs de la shoah, perdu foi en son Créateur, et décida de changer de vie, d’oublier toutes ses origines et de vivre comme un non-juif. Et c’est ce qu’il fit, changea de pays, changea son nom en un nom non-juif, épousa une femme du pays et emménagea dans un endroit sans aucun juif, et ceux-ci pour que jamais ses enfants n’apprennent l’existante des juifs et le rapport entre eux et les juifs. Au fils des année il eu des enfants qu’il éduqua comme des non-juifs dans un monde entouré de non-juif. Le jour de l’anniversaire des 13 ans d’un de ses enfants, son père le sortit en ville pour lui acheter le cadeau qui lui ferrait le plus plaisir. Quand ils rentrèrent dans l’un des magasins, une brocante, et parmi tous les anciens objets de valeur s’y trouvant, les yeux de l’enfant furent attirés par une vieille Hanoukia taillée dans le bois qui se trouvé sur une étagère, et celle la son cœur désiré plus que tout. Son père essaya de l’en dissuader par tous les chemins mais sans aucun succé, le fils insister c’est cette objet qu’il désiré! Quand le père vu qu’il n’arriverait pas a changé l’avis de son fils, se retourna vers le vendeur pour demander le prix de cette Hanoukia, le vendeur refusa de lui vendre lui expliquant que cette Hanoukia avait une grande valeur et qu’elle a été sculpté avec une grande minutie par un juif des camp de concentration pendant la shoah. Le père continua à monter le prix de sa proposition jusqu'à ce que le vendeur céda contre une très importante somme d’argent, et tout ça juste pour faire plaisir à son cher fils. A leurs retour à la maison, l’enfant commença à jouer avec sa Hanoukia, et comme il ne savait vraiment que faire avec il la déplaça d’endroit en endroit jusqu'à qu’elle tomba et ce brisa, le père rentra dans la chambre et voyant la Hanoukia casser gronda son fils pour avoir casser un objet qu’il avait payer si chère. Après qu’il se calma il proposa a son fils de venir l’aider a essayer de la réparer. Pendant les réparations le père remarqua un bout de papier cacher dans les bois de la Hanoukia, en ouvrant et lisant le papier le père se mit a pleurer puis s’évanouit. Quand il reprit connaissance on lui demanda la raison de ses pleurs et pourquoi il s’était évanouit, et il expliqua qu’il avait lut dans le petit papier les mots qu’avait écrit le juif qui avait sculpter cette Hanoukia : « Je construit cette Hanoukia pour la fête de Hanoucca et je ne sais même pas si j’aurai le mérite d’y allumer les bougies cette année, et même s’y j’allume le premier jour je ne sais pas si je pourrai allumer le 2eme jour, et si j’allume cette année si je pourrai allumer l’année prochaine, et je demande a la personne chez qui cette Hanoukia arrivera entre ses mains, qu’il sache que j’ai construit cette Hanoukia au péril de ma vie, et je lui demanderai aussi qui lise des michnayot pour l’élévation de mon Ame et celle des membre de ma famille. » et quand j’ai regardé le nom du juif qui a écrit cette lettre, j’ai paniqué et été choqué de la HACHGA’HA PRATITE - la SURVEILLANCE PERSONNEL, que celui qui a construit cette Hanoukia n’était autre que mon père qui avait mis se mot à l’intérieur, que mon fils sur tous les article du magasin la désire elle, et qu’il la casse pour que en la réparant je trouve ce papier. Le père compris que de la haut Le Seigneur faisait toujours attention à lui et retourna lui et toute sa famille a apprendre la Torah et respecter les Mitsvot

R. Moché ben Moché Chlit‘a


‘HIDOUCHIM SUR LA PARACHA Hanoucca, des indices de la Torah La fête de Hanoucca sort toujours entre 3 Parachiot Vayechev, Mikets et Vayigash. Et dans chaque une de ses Parachiot se dissimule un indice sur la fête de Hanoucca.

Dans la Paracha Vayechev il est dit : « Ce sont les Toldot de Yaacov, Yossef a 17 ans... » Dans la Guemara Chabbat 21b il y a une discussion entre beith Chamay et beith Hillel, Comment Allumez les Bougies? Beith Chamay dit : de moins en moins on diminue d’une bougie par jour, le 1er jour 8 bougies le 8eme jour 1 bougie Beith Hillel dit : de plus en plus, on rajoute une bougie par jour, le 1er jour 1 bougie le 8eme jour 8 bougies D’après notre Passouk : « Ce sont les Toldot de Yaacov, Yossef ... » Yaacov , qui représente le juif par excellence doit toujours Rajouter - Yossef, dans les mitsvots. Il est encore écrit dans notre Paracha quand les frères jetèrent Yossef dans le puis il est écrit : « Ils le prirent et le jetèrent dans le puis et le puis est vide d’eau . » Dans la Guemara ’Haguiga 3a et Chabbat 22a il est rapporter la question « le puis est vide il n’y a pas d’eau » veut t’il dire seulement qu’il n’y avait pas d’eau? La réponse c’est que de l’eau il n’y avait pas mais des serpents et des scorpions s’y trouver. Mais alors si les frères voulaient tuer Yossef, pourquoi ne l’ont-ils pas fait directement, et Réouven lui qui voulait le sauver pourquoi a-t-il lui-même proposer que on le jette dans ce puit? Nos Sages nous expliquent, que le puis mesuré plus de 20 AMA, 9.60 mètres, et c’est la raison que les frères n’ont pas vu les serpents et les scorpions au font du puit, car à plus de 20 AMA les yeux ne contrôlent pas, et c’est la raison pourquoi on ne place pas une Hanoukia a une hauteur de 20 AMA, et en raison que l’œil ne peut contrôlé a cette hauteur, il n’existe aucune mitsva de publication du miracle à cette hauteur, d’où l’interdiction d’y mettre la Hanoukia. On voit aussi que le toit de la Soucca n’a pas le droit d’être à plus de 20 AMA, car les yeux n’auront pas de contrôle dessus. C’est la raison que les frères jetèrent Yossef dans ce puis car il n’avait pas vu les serpents et les scorpions qui s’y trouvés. Dans la Paracha Mikets il est écrit « et ce fut au bout de 2 ans (chenatayim)» Selon la Halakha 1 homme qui vit à plus de 20 AMA de hauteur mettra la Hanoukia à l’entrée de sa maison, il la posera de sorte que la Mézouza si trouve à sa droite et la Hanoukia à sa gauche et ainsi sera entouré de Mitsvot en entrant chez lui. Et l’indice de cette Halakha se trouve dans le mot chenatayim ‫ שנתים‬: à gauche

les bougies

tu mettras

à droite

la mézouza : ‫זוזה‬

De plus le mot

‫מ‬

‫מין‬

‫י‬

‫שים‬

‫ת‬

‫רות‬

‫נ‬

‫מאל‬

‫ש‬

Mikets ‫מקץ‬

En Guematria Ketana 100 = ‫ ק‬90 = ‫ ץ‬ce qui donne 9 et 1 comme indice 9-1 = 8 jours de Hanoucca ou de 1 à 9 bougies le dernier jour avec le Chamache. Dans la Paracha Vayigash on retrouve un indice de Hanoucca dans la discussion entre Yehouda et Yossef. Yehouda dit a Yossef « Mon Seigneur a demandé à ses serviteurs en ces termes, avez-vous un père ou un frère et nous avons répondu que nous avons un père âgé ‫ אב זקן‬La question en dissimule une autre, quel est l’ordre d’allumage de la Hanoukia, comme le père ‫ אב‬: en augmentant ou comme le frère ‫ אח‬: en diminuant ? La réponse de Yehouda est un père âgé ‫אב זקן‬ on va en augmentant et à rajouter que la Halakha est selon Hillel le Sage dit ‫ זקן‬âgé.

R. Idan Chlomo Pery Chlit’a

NER HACHEM NISHMAT ADAM A dit Chlomo Amele’h l’inteligent des hommes : « Ner Hachem Nishmat Adam - La Bougie de Hachem est l’Ame de l’Homme » Voici arrive la fête de Hanoucca que nous allumons pour Hashem en remerciement et en souvenir pour tous les miracles que Hashem nous réalise à chaque instant de notre vie. Quand on observe les bougies de Hanoucca on s’apercevra que la mèche reste entière sauf le bout supérieure qui est un peu brûlé et ceux malgré qu’elle flambe pendant longtemps car elle absorbe l’huile, un devient un conduit d’huile pour la flamme. Comme ça nous sommes tous avec Hashem, des conduits de force et de Kedoucha pour sanctifier le nom de Hashem dans le monde. Cette force, et cette Kedoucha que nous sortons ne réduira en rien, ni de déduira rien chez nous, au contraire! Hashem va nous verser de nombreuses forces pour étudier la Torah et faire les Mitsvot, et d’être fière d’avoir un Père aussi bienveillant. C’est pour ça que nous devons tous faire un petit effort dans notre quotidien pour satisfaire notre Créateur, car même la mèche brûle un petit peu.

R. Yona Barak Chlit‘a


PRÉPARATION POUR CHABBAT Les préparations pour l’honneur du Chabbat sont une partie des plus principale de l’honneur du Chabbat, et c’est préférable de préparer toutes ces préparations le Vendredi, mais les jours d’hiver qui sont plus court ont pourra commencer depuis Jeudi ou Mercredi. La Règle est que plus on prépare le Vendredi plus on profite du Chabbat . Il est écrit que toute action qu’une personne fait, il dira: “ je le fais pour l’honneur du Chabbat” C’est un grand mérite de préparer pour l’honneur du Chabbat. Tous les sages de toutes les générations faisaient attention de préparer même une petite chose en l’honneur du Chabbat. Rav ‘Hisda coupait les légumes fin; Rabba et Rav Yossef coupaient du bois; Rabbi Zira allumait le feu; Rav Na’hman rangeait les ustensiles de ‘hol et sortait ceux du Chabbat . D’eux, chaque personne apprendra, et ne dira pas : “ Ce n’est pas de mon honneur de faire…” Car c’est justement tout a son honneur d’honorer le Chabbat.

PRÉPARATION DES METS POUR CHABBAT On ferra attention de préparer de nous même quelque chose pour l’honneur de Chabbat, même si nous avons des servants. Car même la plus petites chose a une grande valeur. Les courses : c’est préférable de faire les courses Vendredi matin, si on craint de ne pas finir a temps on pourra les faire Jeudi voir même Mercredi. Préparation des ’Halot : n’oublier pas de faire Afrachat ’Hala . Goûter les mets : c’est une mitsva de goûter les plats avant Chabbat et de vérifier qu’ils sont bon . Ouvrir les bouteilles : il est bon d’ouvrir toutes les bouteilles avant Chabbat . Pour l’honneur du Chabbat, on donnera des bonbons aux enfants et de bons mets, qu’il n’y a pas le reste de la semaine, et c’est une bonne habitude d’habituer les enfants à manger des bonbons que pendant Chabbat .

UN PRÉCIEUX CADEAU On raconte qu’un pauvre père affamé, démuni de tout, s’est présenté chez un grand Sage et lui a demandé l’aumône pour subvenir aux besoins de sa famille. Mais au grand désespoir du Rav, ce jour-là son épouse avait réuni tous leurs fonds pour acheter des bijoux afin de les revendre et d’en tirer profit. Le Rav, n’ayant pas d’argent sous la main, n’a pas hésité à s’emparer d’une jolie bague destinée à être vendue et l’a remise au pauvre. « Voilà pour toi ! lui dit-il chaleureusement, vendsla, subviens à tes besoins et à ceux de ta famille.» Le pauvre père s’en alla heureux et satisfait. Mais dès le départ du mendiant, la femme questionna le Rav : « Pour que ce pauvre offre un repas à sa famille, il suffisait de lui remettre une bague ordinaire plaquée or sertie de faux diamants. Pourquoi lui as-tu donné une bague en or sertie de pierres précieuses ? » A ses dires, le Rav se vêtit de son manteau et sortit précipitamment à la poursuite du pauvre. Il l’atteignit presque au coin de la rue, mais le pauvre s’en aperçut, se mit à redouter que le Rav ne regretta son geste. Le Rav fut obligé de presser encore plus le pas et le pauvre prit ses jambes à son cou. « Attends ! » lui cria t-il. Mais le pauvre père continua dans sa course en lui rétorquant : - « Vous me l’avez déjà donnée, il vous est impossible de me la reprendre ! » - « Je ne regrette rien du tout ! Attends un instant ! » dit le Rav d’une voix ferme pour l’apaiser. Le mendiant finit par s’arrêter, attendant le Rav tout essoufflé : « Je ne t’ai pas poursuivi pour te reprendre la bague mais, simplement pour t’informer de sa valeur ! Elle est tout en or et sertie de véritables diamants. Ne l’échange pas pour quelques piécettes, elle vaut une jolie fortune ! » Nous comprenons pourquoi le Créateur du monde a été obligé d’introduire le commandement de Chabbat par cette injonction à Moshé notre Maître : « Je possède un précieux cadeau dans mes trésors, le Chabbat, je voudrais l’offrir aux enfants d’Israël, va leur en faire part ! » (Traité Chabbat 10a). Ce qui signifie « va les avertir de la valeur du présent ». Qu’ils sachent combien le Chabbat est précieux, qu’ils prennent garde de ne pas l’échanger, par manque de conscience, avec des plaisirs futiles qui ne valent rien ! Pourquoi fallait t-il les avertir ? Car, on ne peut apprécier et ressentir à quel point le Chabbat est inestimable, plaisant et réjouissant, sans l’avoir vécu, sans en avoir respecté les lois dans leur exactitude. Celui qui a mérité de le vivre correctement pourra en témoigner.


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L’absence de pudeur chasse la Cheh’ina Toute la protection d’Israël dépend de la présence de la Cheh'ina. En fait, c’est tout le but de vouloir construire un Temple et un sanctuaire, ainsi qu’il est dit : «Ils me feront un sanctuaire et Je reposerai parmi eux», et c’est tout ce que désire Hachem, c’est le but de la Création : reposer au milieu du peuple d’Israël. Les Sages disent également : quand la Cheh'ina repose sur Israël, le peuple reçoit une abondance de bénédictions pour les enfants, la vie et la subsistance. Et il n’y a pas de meilleur gardien pour Israël que la Cheh'ina qui l’entoure, comme un père veille sur ses enfants, et le protégé de toutes sortes de graves accidents. Mais nous devons savoir qu’il n’y a rien qui chasse la Cheh'ina d’Israël autant que la débauche, ainsi qu’il est dit : «Et qu’Il ne voit en toi aucune chose inconvenante, Il se détournerait de toi» – en effet une chose inconvenante entraîne un départ de la Cheh'ina. Et alors, le peuple d’Israël se trouve exposé à tous les malheurs et à toutes les maladies du monde, parce que sa protection, qui est la sainte Cheh'ina, l’a quitté. C’est pourquoi toute fille d’Israël doit savoir que quand se produisent des catastrophes, que les maladies se multiplient, que des soldats sont tués, que les accidents de la route sont monnaie courante, et que se produisent toutes sortes de catastrophes dans le monde, il convient immédiatement de se mettre en état d’alerte et de vérifier si elle n’a pas part dans ces catastrophes, qui sont provoquées par une brèche dans le rempart de la pudeur. Et comme nous l’ont déjà enseigné les Sages, les calamités ne viennent dans le monde que par la faute de la débauche et de l’impudicité.

Le courage d’une fille d’Israël Toute fille d’Israël doit savoir que plus une mitsva est difficile à accomplir, plus elle exige de dévouement, plus grande est sa récompense, et que celui qui l’accomplit est heureux en ce monde et dans le monde à venir. Une femme qui s’habille selon les lois de la pudeur en vigueur chez les juifs, et qui se trouve obligée de traverser un bureau ou un magasin avec toute une équipe de travailleurs et de travailleuses qui n’observent pas les mitsvot, quel courage il lui faut pour accomplir sa tâche de digne fille d’Israël ! Elle doit conserver sa délicatesse de langage, s’écarter des plaisanteries et des conversations futiles, et le mauvais penchant lui suscite parfois la crainte d’être licenciée si elle ne se conduit pas «normalement» en société… Combien de courage doit avoir cette femme, quelles convictions inébranlables, et non pas seulement pour ne pas fauter ni faire fauter les autres, mais pour être fière de sa pudeur et ne montrer aucun sentiment d’infériorité. Au contraire, elle doit se considérer comme représentant les filles d’Israël avec coeur et fierté, les filles de Sarah, Rivka, Ra’hel et Léa, nos saintes Mères.

La beauté une vertu ? Toute femme cherche à se rendre belle par des vêtements qui attirent le regard, elle essaye d’attirer l’attention, fait ainsi fauter un grand nombre de personnes, et malheur à elle si la faute d’un grand nombre lui est imputée ! Il n’y a aucun doute que tous les bijoux et tous les vêtements voyants sont un conseil du mauvais penchant. Ce même mauvais penchant, on peut l’abaisser et le briser dans une certaine mesure en faisant une petite visite à l’hôpital. Qu’y voit-on ? Quelques enfants malades du cancer dont les parents restent près du lit nuit et jour ? Quelques femmes malades ? Quelques hommes malades ? Quand on se promène dans un hôpital, on voit une chose étonnante : personne ne cherche à se regarder dans une glace, et le parfum n’intéresse personne, non plus que les vêtements ou la couleur des yeux. Parce que là-bas, tout le monde ne prie que pour une seule chose : être fort et sain pour servir Dieu. Si la femme réfléchit à cela, elle comprendra automatiquement que tout l’aspect extérieur est accessoire et sans valeur. Alors pourquoi investir dans l’aspect extérieur pour attirer l’œil de tous, si ainsi elle se cause à elle-même de descendre aux abîmes ? Il est évident que cela ne paie pas ! Et qu’est-ce qui peut être plus cher et plus important que la pudeur, qui est la source de toute bonne mida, et le seul moyen pour la femme de mériter toutes les merveilleuses bénédictions qu’ont reçues nos saintes mères !

La responsabilité d’une fille d’Israël Chaque fille d’Israël dont le coeur est habité par la crainte de Dieu doit connaître avec certitude l’ampleur de la responsabilité qui repose sur ses épaules. En effet, à chaque mouvement et chaque parole déplacés ou inconvenants, elle faute et fait fauter les autres. Et même en marchant dans la rue de façon incorrecte, elle attire à elle de nombreux pécheurs qui méritent d’être châtiés, et dont les fautes lui sont attribuées à elle. Même pour sortir sans nécessité, elle doit bien réfléchir si c’est permis ou interdit. Comme elle porte une si lourde responsabilité, il est évident qu’il est très difficile de s’en montrer digne et d’être parfait dans tous les détails de la pudeur. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les hommes disent la bénédiction « qui ne m’a pas fait femme » : ils n’ont pas une responsabilité aussi terrible et ne font pas trébucher les autres. Mais si les femmes ont ce devoir, cela signifie qu’elles ont aussi les forces de l’assumer. Heureuse la femme qui se dévoue pour observer les lois de la pudeur dans tous leurs détails.


L’absence de pudeur provoque la mort Tana Debei Eliahou (par. 8) enseigne : Un jour, je me promenais dans la diaspora de Babylonie, et je suis entré dans une grande ville d’Israël, où j’ai trouvé un enseignant devant qui étaient installés deux cents jeunes gens dont la plupart avaient dix-huit ou vingt ans. Une autre année, je suis retourné là-bas et je n’ai pas trouvé les élèves ni leur Rav, mais un seul garçon, qui était le fils du fils de son fils. A cause de leurs actions dépravées le Rav était mort, sa femme était morte, son fils et son petit-fils étaient morts, et tous les jeunes gens dont la plupart avaient dix-huit à vingt ans étaient morts, il ne restait que les petits. J’ai pleuré et gémi sur eux. Jusqu’à ce que vienne un ange du Ciel qui m’a dit : « Pourquoi pleures-tu et gémis-tu ? » Je lui ai dit : « Comme ne pas pleurer et gémir sur ceux qui avaient étudié les Ecritures et la Michna et qui maintenant sont partis, comme s’il n’y avait rien eu ? » Il m’a répondu : « Ce n’est pas bien de pleurer, de gémir et de rendre leur deuil. » Je lui ai demandé pourquoi. Il m’a répondu : « Ils faisaient des choses laides, des choses indignes… (manque de pudeur). Et ils ne savaient pas eux-mêmes que la mort allait les atteindre. » Cette terrible histoire nous enseigne quelle dévastation peut provoquer l’absence de pudeur, et toute femme qui se promène en tenue indécente doit bien réfléchir combien de garçons, d’hommes et de femmes sont morts de morts difficiles et douloureuses à cause de cette terrible faute qui détruit l’âme et le corps.

Jusqu’ où doit aller la pudeur ?

Comme la pudeur est un sujet extrêmement élevé, dont dépend la protection d’Israël, la difficulté à l’observer est immense. C’est pourquoi toute fille d’Israël doit faire de nombreux efforts pour arriver à la perfection dans ce domaine. De plus, elle doit prier beaucoup, et demander l’aide de son Père du Ciel d’un coeur brisé, pour vaincre les obstacles qui se dressent sur sa route. On raconte l’histoire de la fille du ‘Hatam Sofer, le gaon Moché Sofer zatsal. Un homme s’était épris de sa beauté et la suivait partout où elle allait. Quand elle s’en aperçut, elle rentra chez elle, s’enferma dans sa chambre et éclata en pleurs et en prières. Quand son père sentit ce qui se passait, il lui demanda pourquoi elle pleurait. Elle lui répondit qu’elle suppliait le Créateur de lui prendre sa beauté pour qu’elle ne constitue pas un obstacle pour les gens. Quand son père vit la profondeur de son dévouement, il la bénit que par ce mérite, elle aurait un fils qui éclairerait les yeux d’Israël. C’est ce qui se passa, sa beauté disparut, et elle mit au monde un fils qui devint grand en Israël.

L’honneur de nos saintes mères

On sait que tous les justes, hommes et femmes, qui se trouvent dans le Gan Eden, connaissent un plaisir sans bornes, pour chaque petit détail qu’ils ont observé en ce monde. Et chacun attend et espère ce bien qu’il méritera dans le monde à venir. En particulier, il méritera la résurrection des morts, au moment où tous les morts se lèveront de leur tombe pour connaître un bonheur qui n’a pas été révélé même aux prophètes. Nous, les dernières générations, nous rencontrerons les premières générations, jusqu’aux saints patriarches et matriarches, Sara, Rivka, Ra’hel et Léa, ainsi que tous les Tsadikim de chaque génération. Demandons-nous avec quel visage nous allons rencontrer nos mères ? Combien de bonheur, d’honneur et de joie ce sera pour les femmes qui ont observé toutes les lois de la pudeur, cette rencontre si émouvante avec nos saintes mères, rester dans leur entourage, jouir de leur sainteté, et l’éclat de la Cheh'ina qui les couronne ! En revanche, quelle honte insigne attend celles qui n’ont pas observé convenablement les lois de la pudeur ! Comme elles se tiendront sous les remontrances de celles qui les entourent, jusqu’à nos saintes mères qui ont su se donner entièrement à la pudeur ! Ceci enseigne à toute femme combien cela vaut la peine pour elle d’observer tous les détails de ces lois.

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Cette histoire débuta dans une agence de banque a Jérusalem,, et que parmi les nombreux clients de cette banque il y avait un client avec la crainte de D-ieu, qui était un très ancien client de cette banque, et c’est pour cela que les employés de cette banque le respecter beaucoup, mais jamais il essaya de tirer profit de cette attention particulière que on lui donner sauf une seul fois. Une seul fois ou il y a eu quelque chose qui lui a fait beaucoup de mal, et il ne pouvait plus le supporte. C’est arrive quand il faisait la queue vers un des comptoir de la banque , il y avait la une employée qui serve la clientèle avec gentillesse et bienveillance mais il y avait un détail qui causa du tord a ce client, c’était ces habits qui n’entaient pas du tout pudique, et il a eu mal. Pourquoi , se dit t’il, une employée qui doit servir une clientèle de gens différent , s’habille d’une manière tellement grossière? Et en son fort intérieure se leva une guerre, et ce qu’il faut lui faire remarquer et si oui comment le faire sans la blessée, et que personne n’entende pour ne pas lui faire honte et enfin il décide de s’adresser a elle avec des pincettes, et lui dit : « je vous demande pardon, mais justement puisque vous êtes assise dans la caisse des services clientèle du grand public et on peut dire de vous que vous travailler avec fidélité et bienveillance mais votre manque de pudeur est très abusé et pour une partit de votre clientèle que parmi eux je me trouve c’est très dérangeant et si vous pouvez s’il vous plait penser a tout le monde et comprendre nos sentiments et vous souvenir d’une chose très importante : Que la Tsniout est très importante pas seulement pour les personnes autour de vous mais aussi pour vous directement! » Et malgré que les choses ont été dites avec beaucoup de douceur l’employée rétorqua « Mr si cela ne vous plais pas allez a un autre comptoir. » ce client suivant son conseil alla a un autre comptoir. Cette Histoire aurait pu s’arrêté la, mais de la haut on a voulu autrement. Cette même employée après quelque temps fut invitée a un mariage a Jérusalem, et nombreux étaient les personne sur la piste de danse et parmi eux notre employée, quand a force de danser elle eu chaud elle décida de retirer la jacket qu’elle portait pour qu’elle puisse continuer a danser. Mais alors, soudainement, une phrase comme un écho cette même phrase que lui avait dit le client de la banque quelque temps au paravent « Que la Tsniout est très importante pas seulement pour les personnes autour de vous mais aussi pour vous directement! » et même si a ce moment elle s’est senti un peu blessée par ce client mais au fond de son cœur, elle s’entait qu’il a eu raison. Et cette phrase n’arrêter plus de se répéter en boucle dans sa tête, et elle décida que cette fois elle ne retirerait pas la jacket car a ce moment la elle rajoutera encore plus a son manque de pudeur déjà présent, et même si jamais elle n’a fais attention a cela. Cette décision de ne pas retirer sa jacket lui a fait penser, pourquoi pas sortir dehors respirer de l’aire frais, et pourquoi pas aussi rafraîchir le visage avec de l’eau froide. Et c’est ce qu’elle fit, elle sortit dehors respirer de l’air doux et frais de Jérusalem et alors il se passa quelque chose, un grand bruit la fit sursauter et quand elle regarda derrière elle dans la direction du bruit, il s’est présente a ses yeux une vision effrayante, le sol , que quelque instant au paravent elle avait danser dessus, c’est effondrée, c’était la salle de mariage Versailles qui s’est effondrer sur 3 étages. Cette même employée qui a été sauve d’une mort certaine, par miracle s’est souvenu de qui a été l’envoyé de D-ieu pour la sauvée de cette catastrophe, a qui revient un remerciement a pars a D-ieu, a ce même client de sa banque qui lui a fait remarquer « Que la Tsniout est très importante pas seulement pour les personnes autour de vous mais aussi pour vous directement! » et c’est précisément ce qui l’a sauvé, ce qui a sauve sa vie de cette effroyable catastrophe et elle a tout fait pour le retrouver et le remercier pour tout et n’oublia pas de promettre que a partir de maintenant elle ferra attention de garder les lois de la Tsniout « qui est très importante pas seulement pour les autres mais aussi pour moi »


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Guide Pratique de Hanoucca Généralités Le 25 du mois de Kislev débute la fête de Hanouccah qui dure huit jours.

L'historique A l'époque du second Beth Hamikdach, les autorités grecques prirent des mesures de répression contre le peuple Juif. Elles empêchèrent la pratiquer des mitsvot ainsi que l'étude de la Torah. Les grecs s'approprièrent les biens et les filles des Juifs. Ils pénétrèrent dans le Temple et le saccagèrent. Une famille de Cohen Gadol, les 'Hachmonaïm, réussirent miraculeusement à prendre le dessus et délivrèrent le peuple Juif le 25 Kislev. Mais lorsqu'ils voulurent rallumer la grande Ménorah du Beth Hamikdach, ils ne trouvèrent aucune "huile pure" hormis une fiole dont la quantité n'aurait dû suffire que pour un seul jour. Mais un miracle se produisit et l'huile brûla huit jours, le temps de se procurer de l'huile pure. Les sages de l'époque, pour se souvenir de ce miracle, ont donc institué de se réjouir durant ces huit jours, de louer Hachem et d'allumer des lumières chaque soir afin de proclamer le miracle et de le diffuser. D'après la stricte Halakha, la mitsva est d'allumer une flamme par jour mais le minag de nos jours est d'ajouter une flamme supplémentaire par jour.

Qui doit allumer? Tout le monde a l'obligation d'allumer les lumières de 'Hanouka. En revanche, comme l'obligation incombe au foyer, si le mari rentre tard ou est en déplacement, il est indiqué et même recommandé qu'il charge son épouse d'allumer les lumières de 'Hanouka à la tombée de la nuit et il sera acquitté par cet allumage malgré son absence (il pourra s'il le veut les allumer sans berakha de son coté). On pourra, pour habituer les jeunes enfants (en âge d'être éduqué), leur faire allumer les flammes "supplémentaires" (c'est à dire, à l'exception de la première qu'on allume). Les femmes ont l'habitude de ne pas faire de travaux ménagers durant la première demi -heure après l'allumage.

Comment et quand allumer? On allume une 'hanoukia par famille. Le premier soir, on allume à l'aide du chamach (flamme supplémentaire) une lumière puis on en ajoute une de plus chaque jour jusqu'au huitième soir où on en allumera huit (le minag Achkenaze est d'allumer une 'Hanoukia par membre du foyer à l'exception de la femme qui est acquittée par son mari). Le premier soir, on allume d'abord la lumière qui se trouve le plus à droite. Le second soir, on allumera d'abord la lumière qu'on ajoute puis celle de la veille. On procèdera donc à l'allumage de gauche à droite. De cette façon, on récitera toujours la berakha sur la lumière qu'on ajoute ! Le moment idéal pour allumer les lumières est dès la sortie des étoiles. On fera la prière de Arvit avant l'allumage. Il est bon de réaliser cette mitsva dès que possible mais en cas de force majeure on pourra allumer toute la nuit. Il faut mettre suffisamment d'huile pour que les lumières brûlent au moins une demi -heure.


La Mitsva d’allumer C'est l'allumage lui-même qui constitue la mitsva. C'est pourquoi, il faudra s'assurer que toutes les conditions nécessaires pour la validité de la mitsva soient présentes au moment de l'allumage (quantité d'huile, hauteur, pas de courant d'air, etc.). Il faut allumer les bougies de 'Hanouka avec beaucoup de soin car c'est une mitsva extrêmement chère par laquelle nous proclamons le miracle et remercions D. des prodiges qu'il a accomplis pour nous. Celui qui la respecte scrupuleusement mérite d'avoir des enfants érudits en Torah. On attendra bien que la majeure partie de la mèche flambe avant de retirer sa main lors de l'allumage. Il est interdit de se servir de la lueur diffusée par les lumières de 'Hanouka. Il est également interdit d'allumer une autre flamme ou une cigarette à partir de ces lumières.

Ou placer la Hanoukia et avec quoi allumer ? La 'Hanoukia doit être idéalement située entre 24 et 80 cm du sol. Si elle peut être visible à l'extérieur alors on préférera la placer à la porte ou à la fenêtre qui donne sur l'extérieur afin qu'elle soit visible par un maximum de passants pour diffuser le miracle ! Si la 'Hanoukia ne peut pas être visible de l'extérieur alors on la placera de préférence devant la porte d'entrée sur le côté opposé à la mézouza. Cela permettra aux personnes qui rentrent "d'être entourées" de 2 mitsvot : la mezouza et la 'hanoukia. Toutes les huiles et toutes les mèches sont valables pour les lumières de 'Hanouka, mais la meilleure façon de faire la mitsva c'est d'utiliser de l'huile d'olive. Bien que les bougies de cire soient valables, il est mieux d'utiliser de l'huile car c'est avec de l'huile que s'est produit le miracle.

Le cas de Chabbat et de l’invité La veille de Chabbat, on allume d'abord les lumières de 'Hanouka puis celle de Chabbat. Comme les lumières de 'hanouka doivent brûler au moins une demi-heure après la tombée de la nuit, il faudra mettre suffisamment d'huile pour que les lumières puissent brûler une demi-heure après la tombée de la nuit. Samedi soir, Motsé Chabbat, on fera d'abord la havdala puis on allumera les lumières de 'hanouka. Dans le cas ou on est invité chez des amis ou de la famille, on sera acquitté par l'allumage du chef de famille. On aura donc pas le droit d'allumer avec berakha dans la chambre qui nous est réservée.

Le cimetiere pendant Hanouka Comme nous l'avons vu, les sages de l'époque ont institué de se réjouir et de louer Hachem. On ne fait donc pas d'éloge funèbre pour un disparu. Il est préférable également d'éviter de se rendre au cimetière (même pour la fin des 7 jours ou du mois de deuil) car la proximité avec la tombe du défunt éveille le chagrin et les pensées douloureuses. Il est mieux d'aller se recueillir avant 'Hanouka. En revanche les règles de deuil sont maintenues, que l'on soit dans la semaine, le mois ou l'année.

Hanouka Samea’h On rajoute dans les 'amidoth que l'on récite les jours de 'hanouka, le passage « 'al hanissim » qui mentionne le miracle de 'hanouka. Le premier soir de 'hanouka, on fera 'arvit avant l'allumage et bien qu'on n'ait pas encore allumer la 'hanoukia, on rajoutera le passage « ‘al hanissim » dans la 'amida. On dit également 'al hanissim dans le Bircat Hamazone. Si on n'a pas allumé avant le lever du jour, on allumera alors sans berakha. Quelqu'un, qui n'a pas du tout pu allumer les lumières de 'Hanouka ne pourra plus remplacer le ou les allumage(s) perdu(s). Il allumera le nombre de lumières correspondant au jour où il a commencé à allumer (Exemple : 3 lumières si c’est le 3ème jour) en récitant la berakha. Dès qu'il allumera pour la première fois, il récitera également la bénédiction de chéhé'héyanou.


Les Bénédictions 1ere Benediction:

‫לוהינו מלך העולם אשר קדשנו במצוותיו וציונו להדליק נר חנוכה‬-‫דוני א‬-‫ברוך אתה א‬ « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Achère Kidéchanou Bemitsvotav Vetsivanou Lehadlik Ner 'Hanouka » Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières de 'Hanouka. puis 2eme Bénédiction:

‫לוהינו מלך העולם שעשה ניסים לאבותינו בימים ההם בזמן הזה‬-‫דוני א‬-‫ברוך אתה א‬ « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéassa Nissim Laavoténou Bayamime Hahème, Bizmane Hazé » Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui a fait des miracles pour nos pères en ces jourslà, en ce temps-ci. Le premier soir de la fête, on ajoute la bénédiction : 3eme Bénédiction (ne se lie que le 1er soir ou le premier jour que l’on allume les bougies - voir les lois de l’allumage):

‫לוהינו מלך העולם שהחיינו וקיימנו והגיענו לזמן הזה‬-‫דוני א‬-‫ברוך אתה א‬ « Barou'h Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéhé’heyanou Vekiyemanou Vehigianou Lizmane Hazé » Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a fait vivre, exister et parvenir jusqu’à ce moment. Après l’allumage des bougies on récite:

‫הנרות הללו אנו מדליקין על הניסים ועל התשועות ועל הנפלאות שעשית לאבותינו בימים ההם בזמן הזה‬ ‫על ידי כהניך הקדושים וכל שמונת ימי חנוכה הנרות הללו קודש הם ואין לנו רשות להשתמש בהם אלא לראותם‬ ‫בלבד כדי להודות לשמך על נסיך ועל נפלאותיך ועל ישועותיך‬ Haneirot Hallalu anu madlikin, Al hanisim v'al hanifla-ot V'al hat'shu-ot v' al hanifla-ot She-asitah la-avotei-nu Bayamim ha-heim ba-z'man azeh. Al yidei ko-ane’ha hakedoshim V'hol shmonat yemei ‘hanukah. Haneirot hallalu, kodesh heim Ve-ein lanu reshout lehishtameish bahem Elah lirotam bilvad. Kedei le-odot lishim’hah Al nise’hah ve-al niflei-ote’hah ve-al yeshou-ote’hah. Ces bougies, nous allumons en souvenir des miracles et des victoires et des prodiges, que tu as mené pour nos ancêtres en ces jours la en ces temps la, par le biais de tes prêtres saints. Durant les 8 jours de ’Hanoucca, ces bougies sont consacrées. C’est pourquoi nous ne pouvons en faire usage si ce n’est de les contempler, en signe de reconnaissance a Ton Nom, pour Tes miracles, Tes prodiges, et Tes victoires. Suivi du Tehilim 30 ‘‫ל‬: Mizmor shir ‘Hanoucat abiyit leDavid.


Recette de Hanoucca BEIGNETS ET DONUTS...DE HANNOUKA !!!!

INGRÉDIENTS: 2 Oeufs, 1 sachet de levure déshydraté, 60 grs de sucre, 60 grs de beurre ou margarine, 250 ml de lait ou lait de soja, 1 pincée de sel, 1 cuillère à café de vanilla , 500 grs de farine ou un peu plus RÉALISATION Dans la cuve de la MAP, mettre le lait et la levure, l'oeuf, puis tous les autres ingrédients sauf le beurre en terminant par le sel. Lancer le programme pâte de la MAP. Rajouter le beurre au bip ou dans votre robot quand la pâte est homogène et à été travaillée un moment. La pâte doit avoir la consistance d'une pâte à pain souple qui ne colle pas aux doigts (au départ il est normal que la pâte soit collante :elle doit adhérer au paroi du bol ou de la cuve pour finir par s'en détacher, la quantité de liquide dépend de la qualité de la farine utilisée). Laisser le programme se finir (si vous n'utilisez pas la MAP laisser reposer la pâte environ 1 heure). Lorsque le programme est fini, sortir le pâton de la machine et étaler la pâte sur votre plan de travail légèrement fariné sur une épaisseur de 5 mm environ. Découper des disques d'environ 6 cm de diamètre à l'aide d'un emporte pièce ou d'un verre pour former 10 à 15 petits beignets. Placer les disques sur une plaque à pâtisserie recouverte de film étirable huilé, et les couvrir également de film étirable huilé ou fariné et les laisser lever au minimum 30 minutes. (vous pouvez les couvrir avec un torchon propre si vous avez peur que la pâte colle au film) Chauffer de l'huile dans une friteuse ou dans une poêle et quand l'huile est assez chaude (attention pas trop !) faire cuire les beignets deux à trois minutes de chaque côté. Sortir les beignets, les poser sur du papier absorbant puis les saupoudrer de sucre semoule ou de sucre glace.


Chanson de Hanouccah Mi Yemalel Mi yemalel g'vurot Yisra-el, Otan mi yimneh? Hen b'khol dor yakum hagibor, Go-el ha-am.

Qui peut raconter les choses qui nous ont frappé, Qui peut les compter? A chaque époque, se lève un héros Sauveur du peuple.

Sh'ma! Bayamim hahem bazman hazeh, Makabi moshiyah ufodeh Uv'yamenu kol am Yisra-el, Yit'ahed, yakum veyiga-el.

Écoutes! Dans les jours d'antan en cette période Un Maccabée a sauvé et racheter Et de nos jours tout le peuple d’Israël S’unira, se lèvera et se ferra délivrer.

Yémé Hahanoucca Yémé Hahanoucca Hanoucca mikdachenou Be guil ou beshimha memalim et libeyenou Layla vayom sivoveinou nissov Soufganiot nouhal gam larov Aa(i)rou aadlikou Nerot Hanoucca rabim Al anissim veal aniflaot Acher ‘holelou amaccabim

Les jours de Hanouccah l'inauguration de notre Temple Du bonheur et de la joie remplisse nos cœurs Nuit et jour nos toupies tournent . Des beignets nous en mangerons la plupart Éclairez! Allumez! Beaucoup de bouges ide Hanouccah Sur les miracles et sur les prodiges qui ont provoqué des Maccabées.

Yodim Atem li’hvod ma? Li’hvod Hahanoucca Avi hidlik nerot li, vechamach lo avouka Yodim atem li’hvod ma (x3), li’hvod HaHanoucca : (Refrain). Mori hevi sevivon li, be ofereth yetsouka (Refrain). Imi natna leviva li, leviva ’hama oumetouka (Refrain). Dodi natan techoura li, perouta a’hat

Mon père a allumé des bougies pour moi, il a utilisé pour cela un flambeau Savez vous en quel honneur? (x3) En l’honneur de Hanoucca (Refrain) Mon maitre m’a apporté une toupie, Une toupie en plomb forgé (Refrain) Ma mère m’a donné un gâteau, Un gâteau chaud et sucré (Refrain) Mon oncle m’a donné une pièce, Une pièce de monnaie frappée (Refrain)


Chanson de Hanouccah AlHanissim Hannérote halalou anou madliquim Âl hannissim vé âl hapourquane véâl haguévourote véâl hattéchouôte vé âl hanniflaote véâl ha né'hamote, ché âssita laavotéinou bayamim hahém bazémane hazé âl yédé Cohanéikha haquédochim.

Ces chandeliers de lumières, nous allumons pour les miracles pour le salut pour les manifestations de la force pour les aides dans la détresse pour les prodiges pour les miséricordes que Tu as réalisés pour nos Pères en ces jours-là, en cette époque-ci, par Tes Cohanim saints.

Maoz tsour yeshouâti Maôz tsour yéchouâti lékha naé léchabé(é)a'h. Tikhone béit téfilati vé cham toda nézabé(é)a'h. Léêt takhine matbéa'h, mitsar haménabé(é)a'h. Az égmor, béchir mizmor, 'hanoukate hammizbé(é)a'h.

Forteresse rocher de mon salut, vers Toi il convient de louer. Restaure la Maison de ma prière et là, le sacrifice d'action de remerciement nous sacrifierons. A l'époque où Tu prépares l'écrasement du persécuteur en ses gémissements Alors j'achèverai par un chant vigoureux de louange, l'inauguration de l'autel.

Ner li, ner li Ner li, ner li, ner li dakik, Ba hanoucca neri adlik. Ba hanoucca neri ya'ir, Ba hanoucca shirim ashir.

Ma bougie, ma bougie, ma petite bougie, Lorsque Hanoucca vient, je vais allumer ma bougie. Lorsque vient Hanoucca, ma bougie brillera, Lorsque Hanoucca vient, je vais chanter des chansons.


Histoire de ‘Hanoucca Dans le temple qui s’élève de toute sa splendeur sur le Mont Moriah à Jérusalem, il y a une Menora (chandelier à sept branches) en or massif. Cette Menora est utilisée par le Service Sacré. Le Cohen Gadol (grand prêtre) l’allume chaque jour avec une huile d’olive pure qu’il a spécialement préparée à cet effet. Mais voilà que du lointain pays de Grèce, arrive un méchant roi, Antiochus IV. Il décide que tous les Juifs doivent oublier la Torah et par: le Rav Shalom Arush Shlit”a cesser d’observer les mitsvots ! Les soldats de son armée pénètrent dans le temple. Ils éteignent la Menora en or et salissent les lieux saints. Dés lors, il est non seulement interdit aux Juifs : 1• d’observer le Chabbat, 2• de manger cacher, 3• de pratiquer la Brit-mila, 4• d’étudier la Torah. Mais en plus, ils forcent les enfants d’Israël à se prosterner devant des idoles ! Certains Juifs ont peur du roi Antiochus. Il lui obéissent et vivent comme des Grecs. D’autres Juifs n’obéissent pas au méchant roi. Ils se cachent dans des grottes et continuent d’étudier et de pratiquer la Torah. Mais ils savent qu’ils risquent une très grosse punition si les soldats d’Antiochus les trouvent ! C’est une terrible période pour le peuple d’Israël ! Dans la petite ville de Modi’n, vit un grand sage, Mattatias, fils de Yohanan le Grand-Prêtre, de la famille des Asmonéens. « Révoltons-nous contre ce méchant roi Antiochus et contre les Grecs qui veulent nous obliger à transgresser la Torah ! Même s’ils sont beaucoup plus nombreux que nous, nous pourrons les vaincre si D.ieu nous y aide. » Un petit groupe de Juifs pieux se rassemble alors autour d’eux. Ensemble, ils partent en guerre contre la grande et puissante armée grecque. A leur tête, Yéhouda fils de Mattatias. Sur son bouclier il a fait graver le mot MaKaBih qui veut dire : Mi Kamo’ha Ba-elim Hachem « Qui est fort comme toi, oh D-ieu » C’est pour cela qu’on l’appelle « Yéhouda ha-Makabi » (Juda Maccabée). D-ieu fait un grand miracle : il donne la victoire à ce petit groupe de Juifs qui réussit à chasser la puissante armée grecque de tout le pays d’Israël. Une fois la guerre terminée, les Juifs vainqueurs rentrent dans le temple profané. Ils le remettent tout de suite en état pour pouvoir apporter à D-ieu les sacrifices de reconnaissance pour les nombreux miracles qu’il leur a fait. Ils brisent les statues, purifient le temple et préparent aussi la grande Menora d’or pour l’allumer. Mais il n’ont pas d’huile d’olive pure : les Grecs ont sali toutes les réserves d’huile ! D-ieu fait un grand miracle : il donne la victoire à ce petit groupe de Juifs qui réussit à chasser la puissante armée grecque de tout le pays d’Israël. Ils cherchent et cherchent dans tous les coins puis, finissent par trouver une petite fiole ! Quel bonheur ! Elle est fermée avec le sceau du Grand Prêtre ! Elle n’a pas été touchée par les Grecs ! Cette huile est donc pure ! …mais il n’y en a que pour un seul jour ! D-ieu fait alors un autre miracle : cette petite quantité d’huile est suffisante pour allumer les lumières de la Menora pendant huit jours, (le temps qu’il faut pour préparer une nouvelle huile pure). C’est en souvenir de ce miracle que pendant huit jours, à Hanoukka, nous allumons les lumières, en rendant grâce à D-ieu pour ses bontés.



Chalom, les enfants ! J'aimerais partager avec vous plusieurs histoires qui vous feront certainement beaucoup plaisir. Ces histoires merveilleuses sont celles de Rabbi Na'hman de Breslev. Rabbi Na'hman était un grand Tsadiq, un homme très pieux. Je désire spécialement vous raconter les années de son enpar: le Rav Shalom Arush Shlit”a Le fance : quel enfant doux et honnête était-il ! Ensemble, nous allons apprendre ce qu'il voyait, ce qu'il faisait et ce qu'il a accomplit.

Petit Na’hman

*** Le voyage chez le Tsadiq Même s'il était encore qu'un enfant, le petit Na'hman aimait déjà Hachem (D-ieu) de tout son coeur. Il aimait tout ce qui concernait le service de D-ieu et surtout l'émouna, la foi pure et solide en Hachem. Il était attiré par tout ce qui était saint et sa passion était de prier et d'étudier la Tora. Son jour préféré de la semaine était le Shabbat et sa sainteté ; chaque semaine, il attendait ce jour-là avec beaucoup d'impatience. Le petit Na'hman vivait avec ses parents, dans la même maison où son arrière grand-père – le Ba'al Shem Tov – avait vécut auparavant. Chaque fois où les disciples du Ba'al Shem Tov – ses 'Hassidim – étaient de passage, il courrait avec beaucoup d'enthousiasme pour leur souhaiter la bienvenue. Le petit Na'hman aimait s'asseoir parmi les 'Hassidim pour écouter toutes les histoires qu'ils racontaient à propos de son arrière-grand-père. Les histoires du Ba'al Shem Tov – ainsi que toutes celles des Tsadiqim faiseurs de miracles – ne le lassaient jamais. Le petit Na'hman vivait avec ses parents, dans la même maison où son arrière-grand-père – le Ba'al Shem Tov – avait vécut auparavant. À suivre…


Jeu de la Toupie Ce Jeu ce joue avec des pièces (de chocolat) ou des bonbons. 1) Chaque participant dépose dans un centre un nombre égale de pièces ou bonbons. 2) A tour de rôle vous faites tourner la toupie. 3) Regarder la lettre du haut de la toupie à son arrêt, et agi selon la lettre: N (noûn) pour "rien" - c'est à dire : "ne prends rien" ; G (guimel) pour "tout" - c'est à dire "prends le tout" ; H (hé) pour "la moitié" - c'est à dire : "prends la moitié" ; Sh (shîn) pour "placé" - c'est à dire : "ajoute à la cagnotte". Les quatre lettres forment aussi les initiales de la phrase "NES GADOL HAYA SHAM", "un grand miracle s'est produit là-bas (au Beith Amikdash)".


Extrait du livre Le Jardin de La Paix - réservée aux hommes Le paradis dans ce monde Toutes les plus belles choses du monde, des abondances matérielles en passant par le domaine spirituelles jusqu'à la délivrance totale [Gueoula] - tout dépend d'une seule chose - La paix dans la maison ,le Chalom Bayit. Concernant les biens matérielle - la santé du mari, sa femme et de ses enfants, aussi bien physique que mentale - ceux-ci dépendent du Chalom Bayit. Et particulièrement la santé mentale, car une maison dans par: le Rav Shalom Arush Shlit”a laquelle ne se trouve pas de Chalom Bayit tous sont touchés par des problèmes psychologiques. Et aussi, la Parnassa, la richesse, la réussite etc , etc. tout dépend du Chalom Bayit. Concernant le domaine spirituelle, il est évident que tout dépend du Chalom Bayit, comme la Techouva, la lumière de la Emouna, la connaissance de la Torah etc. Et la plus grande des élévations spirituelles la Gueoula [la délivrance] dépend du Chalom Bayit. La perfection de la Création Il faut bien comprendre que le but de la Création ne peut se réaliser rien que par le biais et seulement du Chalom Bayit. C'est pourquoi, peu importe quelles Mitsvot la personne fera dans ce monde ci ou quel service divin [avodat Hashem] il réalisera, en fin de compte si il n'y a pas de Chalom Bayit entre lui et sa femme ,le but pour lequel le Créateur créa le monde n'aura pas été atteint… La source de tout le bien Aussi nous disent nos sages (Traite Sota 17) :«Un homme et sa femme qui ont mérité - La Cheh'ina règne entre eux…» Un homme qui vit avec le Chalom Bayit, la Cheh'ina l'accompagne tout le temps; Et en plus il mérite une protection divine de tous les malheurs du monde, une réussite et une bénédiction dans tous les domaines .A l'inverse, celui qui ne vit pas avec le Chalom Bayit est exposé à tous les dangers ,et tout est fermé et obscur devant lui ,comme nous le disent nos sages dans la suite du passage cité plus haut :«Et si il n'ont pas mérité –un feu les dévore» …Et donc il est impossible qu'ils réussissent quoi que ce soit , car le mot «Chalom» est un nom de D' ,et Lui ne règne que dans un endroit ou se trouve la «paix»,le «Chalom». Il se trouve que le Chalom Bayit est la source de toutes les abondances de bénédiction de D', qui vont amener la personne à l'élévation spirituelle et à la perfection de son essence en tant qu'être créé à l'image de D'. Le Chalom Bayit est aussi la base et la source de la réparation de la création [le Tikoun]. C'est la raison pour laquelle lorsqu'on s'investi a l'étude et au travail pour mériter de vivre dans le Chalom Bayit, il faut bien intégrer dans notre coeur ceci: Le Chalom Bayit n'est pas une histoire de confort ,de niveau de vie, d'un «plus» ou une meilleure qualité de vie mais c'est le fondement le plus important ,en particulier dans la vie de l'homme et en général dans la Création du monde entier. Ce principe doit diriger notre chemin dans la vie et doit se trouver en priorité parmi tous les buts ou les ambitions qu'on recherche au cours de la vie. Le Chalom Bayit est la chose la plus importante et la plus chère qui existe dans l'univers !! Il faut investir toutes les forces possibles pour l'acquérir et être prêt à faire de grandes concessions pour lui !!Et à tout prix ne pas le perdre !!! Le Chalom vaut toute richesse Un homme radin qui fait attention avec minutie aux dépenses de sa femme et qui est prêt aussi à se disputer pour quelques centimes ou n'importe quelle somme, qui selon lui elle dépensa en trop, celui-ci perdra finalement a la fois le Chalom et aussi son argent .Car lorsqu'il n'y a pas de Chalom Bayit alors la Parnassa est directement impactés. En conclusion, cet homme veut gagner de l'argent et en fait perd beaucoup. En vérité, si il savait quelle bénédiction existe dans le Chalom Bayit, il aurait su que cela ne vaut pas de perdre le Chalom - même pour un instant – même pour tout l'argent du monde, à plus forte raison pour quelques centimes. Par contre , l'homme pour qui le respect de sa femme est plus important que toute les richesses au monde, à fortiori qu'il ne lui fera pas honte ne la critiquera pour quelques malheureux centimes qu'elle aurait pu économiser ou même pour des milliers celui-ci aura toujours l'abondance et ne lui manquera rien. Car nos sages ont dit: «Honorez vos femmes pour que vous vous enrichissez»… Il ressort de cela, que cet homme était prêt a pardonner et délaisser son argent pour la paix de son foyer, a gagner a la fois le chalom et a la fois l'argent, puisque par le mérite du Chalom, la bénédiction règne dans sa vie, et il reçoit aussi l'abondance de parnassa. A suivre… Que D' nous donne la force de vivre selon ces conseils extraordinaires et fasse régner la paix dans tous les foyers du peuple d'Israël. Amen.



Adaptation d'un extrait du livre du Rav Shalom Arush, "Le jardin de la paix." Un des plus grands fondements de la paix domestique est l'absence, au sein du couple, de toute critique. Afin de bien être compris, nous citons ici l'exemple d'une situation fréquente entre un mari et sa femme. Un mari a rédigé une longue liste de ce qu'il fait chaque jour pour sa femme : il lui consacre du temps, lui demande quels sont ses besoins, lui achète tout ce qu'elle veut et la gâte aussi d'une manière extraordinaire. À première vue, sa femme devrait être la par: le Rav Shalom Arush Shlit”a plus heureuse des femmes. Cependant, en dépit de tout cela, le mari n'a pas la paix à la maison : sa femme n'est jamais satisfaite, elle est toujours triste, plaintive, irritable et au moindre prétexte, elle se livre à des colères terribles. Pourquoi ? La réponse est simple : cette situation désastreuse s'explique par les critiques que sa femme reçoit constamment de la part de son mari et qui détruisent toute la joie et tout le bonheur chez celle-ci. Tant que le mari critiquera sa femme, tous les cadeaux et les gâteries du monde ne la rendront pas heureuse ; une femme réprimandée par son mari est brisée, triste, déprimée, désespérée et perd tout signe de vitalité. Voici un point fondamental de la paix domestique : il est interdit au mari de critiquer sa femme et de lui faire des remarques dans aucun domaine. Avant d'expliquer ce fondement de plusieurs façons, sa profondeur, ses répercussions et comment l'acquérir, il faut clarifier ce point : D-ieu conduit le monde à Sa guise. Qu'on le veuille ou non, c'est une loi immuable qu'il est impossible de changer. De même qu'il est impossible de changer l'ordre de la Création, un homme qui critique sa femme ne peut pas vivre avec elle dans l'harmonie. Il suffit de vérifier la réalité pour constater que cela est vrai. On voit comment chaque critique crée une fissure dans la maison. Une autre remarque, une autre fissure. Une autre observation, une autre fissure, jusqu'à l'écroulement de la maison, que D-ieu nous préserve. L'honneur de la femme En premier lieu, il faut savoir que selon les règles de la spiritualité, l'honneur est la racine de l'âme de la femme et que toute sa vie et sa joie dépendent de l'honneur qu'elle reçoit de son mari. Par conséquent, toute atteinte à son honneur l'atteint à sa racine, affaiblit sa vitalité et peut vraiment la tuer spirituellement et physiquement. Les critiques que le mari formule à l'encontre de sa femme sont les plus grandes atteintes à son honneur, même lorsque ses reproches sont exprimés avec le maximum d'égards et de douceur, et à plus forte raison s'il l'apostrophe d'une façon méprisante et autoritaire. Toute femme veut être considérée comme parfaite aux yeux de son mari ; c'est son honneur, sa joie et sa confiance en soi. Lorsque son mari la critique, il détruit son image personnelle de perfection et sa confiance en soi. De fait, toute critique signifie qu'elle n'est pas parfaite et en son for intérieur, elle pense qu'elle ne vaut rien aux yeux de son mari. Rien n'est pire que cela et sa vie devient vite insupportable. Nous apprenons cette règle de l'incompatibilité entre la critique et l'honneur des lois du respect des parents et du maître. Est-il permis de critiquer ses parents ou son maître ? Bien sûr que non, c'est une grave atteinte à leur honneur. Il est stipulé dans la loi juive qu'il est interdit au fils de critiquer son père, même lorsqu'il le voit enfreindre les lois de la Tora. La seule façon permise de lui faire prendre conscience de son erreur est indirecte. Il faut lui dire : “Mon père, j'ai appris telle ou telle loi dans la Tora.” Si le père comprend c'est bien, sinon, c'est dommage. Nous appliquons cette règle à la femme, car en s'abstenant de la critiquer d'aucune manière, le mari fait preuve de respect envers sa femme. Ainsi, la femme requiert un respect supplémentaire, ce qui n'est pas le cas du père, ni celui du maître : il est interdit de critiquer sa femme, même indirectement et de lui dire, par exemple : “J'ai appris ceci ou cela.” Cependant, il existe une autre manière de réparer les erreurs qu'elle commet, comme nous l'expliquerons plus loin. Ce principe est tellement clair et absolu, que chaque fois qu'un mari n'a pas la paix conjugale chez lui, cela s'explique invariablement par une seule raison : les critiques et les réprimandes qu'il formule envers sa femme. Il est impossible de rencontrer un mari qui ne reconnaisse pas qu'il critique sa femme ; lorsqu'il s'engage à s'arrêter, il constate aussitôt un changement positif dans la paix domestique et la disparition de tous ses problèmes. Chaque fois qu'une femme rencontre des problèmes avec son mari, en se plaignant de ses parents, de ses habitudes, de son gagne-pain… et qu'il semble à première vue que son insatisfaction provienne de ces problèmes et de ces manques, la raison essentielle se trouve ailleurs. Si la femme nourrit à l'égard de son mari de nombreux reproches, elle ne souffre en vérité que d'un seul problème : les critiques incessantes que lui fait celui-ci. Même si la femme ne réalise pas toujours que c'est la cause de son esprit brisé, ce sont les critiques de son mari qui l'attristent et la brisent, puis elle se sent agressée à la moindre occasion. Elle perd toute volonté de chercher à comprendre son mari, de venir vers lui, de le respecter et d'être indulgente.


Par conséquent, elle se dispute avec lui pour le moindre prétexte. Ce problème de la paix domestique est si important que les critiques formulées par le mari envers sa femme la repoussent tellement, que dans certains cas, la femme peut en souffrir physiquement. À première vue, on ne devrait pas faire dépendre une maladie des critiques du mari, surtout lorsque ce dernier est un homme sensible et délicat. Pourtant, il s'avère que son ignorance de l'interdit de critiquer sa femme d'aucune façon est la cause de tout. En effet, la critique la plus légère de la part de son mari peut conduire la femme à une répression terrible, où elle perd toute joie et risque de tomber gravement malade, avec des infections, diverses complications… Par conséquent, tant que le mari critique sa femme, il est inutile de rechercher d'autres raisons pour expliquer le manque de paix domestique, ou les différents problèmes physiques et spirituels de la femme. Le mari doit avant tout corriger fondamentalement son défaut, se repentir de toutes les critiques formulées contre sa femme – même les plus justifiées et à plus forte raison celles qui ne le sont pas – et prier D-ieu pour qu'Il lui donne la force de s'engager à ne plus critiquer sa femme, quoi qu'il arrive. Dans la plupart des cas, dès que le mari arrête ses critiques, tous les problèmes se résolvent d'eux-mêmes. En effet, lorsque le mari commence à travailler dans ce domaine, et évite de formuler des critiques envers sa femme, il obtient la plus grande partie de la paix au foyer. Nous avons expliqué jusqu'ici la réalité de la femme qui ne peut pas supporter les critiques de son mari et comment cela entraîne l'absence de paix domestique. Nous expliquerons dans notre prochain article la raison pour laquelle le mari ne doit jamais critiquer sa femme.

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Que signifie penser au repentir? Penser au repentir signifie qu'une personne est plongée dans ses réflexions et que du fond de son coeur elle pense : “Même si je suis la personne la plus méchante de l'univers, à partir de maintenant, je désire changer mon comportement, suivre le droit chemin et faire la volonté d'Hachem.” Il est écrit dans la Guemara – et ceci correspond également à la loi juive – que lorsqu'une personne pense au repentir, immédiatement elle mérite le nom de Tsadiq parfait ! Même si en fait, cette personne n'a encore rien changé dans son comportement et que le seul changement qu'elle ressent reste du domaine du désir, Hachem sonde profondément son coeur et sa pensée afin de se rendre compte de la véritable nature de son désir. Dès cet instant, Hachem considère cette personne comme un Tsadiq parfait, une personne d'une piété exemplaire.

par: le Rav Shalom Arush Shlit”a

Tant que nous n'abandonnons pas cette pensée de repentir (de techouva) Hachem continue à nous considérer comme de parfaits Tsadiqim, même si nous sommes encore très éloignés de notre but. De fait, il se peut que nous n'ayons pas encore amélioré notre comportement ni notre attitude, et que nous soyons toujours submergés pas des désirs malsains et des mauvaises habitudes. De plus, la direction à prendre pour emprunter le chemin qui doit nous rapprocher d'Hachem peut manquer de clarté. Malgré tout cela, si notre intention reste de revenir sur le droit chemin, Hachem nous considère toujours comme de parfaits Tsadiqim. Dans tous les cas, les changements et les améliorations dont il est question doivent être faits d'une manière réfléchie, progressive et encadrés de conseils appropriés. Ce que nous venons d'exposer est une source importante d'encouragement, ainsi que des conseils merveilleux, pour chacun d'entre nous. Même si nous chutons spirituellement ou si nous faisons face à un échec, nous pouvons nous renforcer en nous disant de nouveau qu'à compter de cet instant, nous voulons réellement suivre le chemin d'Hachem ! Nous devons être certains que dans tous les cas, et peu importe ce qui peut nous arriver, nous n'abandonnerons jamais cette volonté et ce désir ardents de faire la volonté d'Hachem et de nous rapprocher de Lui. A cette condition, Hachem nous considèrera toujours comme de parfaits Tsadiqim. De plus, nous sommes assurés de pouvoir recevoir l'aide et les bénédictions d'Hachem et de rencontrer, un jour ou l'autre, le succès dans nos efforts. Un avantage immense Lorsque nous restons constants dans nos efforts et notre désir de suivre cette direction, cela représente un avantage dans plusieurs domaines : 1. Nous pouvons ressentir le véritable salut grâce à nos prières, car dans la mesure où Hachem, ainsi que le Tribunal céleste, nous considèrent comme de parfaits Tsadiqim, toutes nos prières sont acceptées. 2. Selon Rabbi Na'hman, le plus important consiste à désirer. Par conséquent, aussi longtemps que nous conservons ce désir ardent [de servir Hachem], nous faisons ce que nous sommes censés faire. Ainsi, nous sommes assurés de pouvoir amender notre comportement, car selon un adage bien connu : “selon le chemin que nous désirons emprunter, la voie nous est montrée.” 3. Lorsque nous comprenons la véritable valeur ainsi que l'importance du désir et que nous gardons en mémoire la simple pensée que “ce que veut Hachem, je le désire”, notre statut personnel est modifié et de “personne mauvaise”, nous passons à celui de “Tsadiq parfait”. Savoir cela nous permet d'éviter les risques liés aux chutes et aux échecs que nous pourrions rencontrer dans nos tentatives. Tout ce que nous avons à faire est de nous remettre au travail et de conserver notre désir ardent de faire la volonté d'Hachem; immédiatement, nous nous relèverons de nos chutes ! Il se peut que nous échouions à plusieurs reprises et qu'en fait, nous réalisions que les changements que nous souhaitions effectuer prendront un certain temps avant d'être effectifs. Dans ce cas, nous ne devons pas oublier qu'aussi longtemps que nous conserverons notre volonté, Hachem nous considèrera comme de parfaits Tsadiqim. Hachem nous juge selon notre volonté de bien faire plutôt que selon nos actions. Ainsi, nous sommes jugés comme de parfaits Tsadiqim selon [la pureté] de nos désirs. De plus, Hachem Lui-même sait très bien que notre volonté de changer exige beaucoup de travail et d'effort de notre part et que cela demande beaucoup de temps. 4. Rabbi Na'hman a écrit dans le Liqouté Moharan (I: 261) : “Lorsqu'une personne tombe de son niveau (spirituel), le meilleur conseil à lui donner est de recommencer entièrement dans le service d'Hachem, un peu comme si elle n'avait jamais commencé auparavant. Tout ce que cela demande, c'est de recommencer chaque fois.” Lorsque nous réalisons qu'en fonction de notre désir, nous sommes considérés comme de parfaits Tsadiqim, cela nous donne le courage de recommencer, même après une chute ou un échec importants.


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Les parents ont souvent l'habitude d'aller à la synagogue avec des jeunes enfants. Cependant, il est fréquent de constater une des deux extrêmes : soit le parent essaie de clouer l'enfant sur son siège, soit il le libère de toutes contraintes en le laissant se promener selon son désir et déranger les autres membres de la congrégation. Evidemment, aucune de ces situations n'est bonne. Le Rambam nous enseigne de choisir entre les deux. Si un enfant est trop jeune, alors ce n'est pas une mitsva de l'amener à la synagogue. Lorsqu'il est assez âgé pour apprendre à prier, le père devrait à la fois enseigner et servir d'exemple personnel. Cependant, il ne devrait pas devenir un surveillant qui lance à son enfant un regard menaçant à chaque foi que ce dernier lève sa tête du livre de prière.

par: le Rav Shalom Arush Shlit”a

Un père doit expliquer à son enfant la valeur de la prière. Lorsqu'un enfant voit de quelle manière son père savoure sa prière, il est inutile alors de le clouer sur son siège. A Roch Hachana à Ouman, je vois des enfants de 6 ans assis à la synagogue des heures durant, au côté de leur père. Dans un lieu où la prière est d'une valeur précieuse, les enfants veulent aussi prier. L'éducation avec amour nous enseigne de donner, la reconnaissance et l'importance de remercier. Dès son plus jeune âge, un enfant devrait apprendre qu'il ne mérite rien, même pas un simple verre d'eau ou une tranche de pain, et que tout dans la vie est un merveilleux cadeau d'Hachem ; c'est par l'intermédiaire de sa mère ou son père qu'Hachem fait parvenir ce cadeau à l'enfant. Celui-ci doit apprendre à remercier Hachem, sa maman ou son papa dès l'instant où il commence à parler. Dans ce contexte, l'exemple personnel est la meilleure éducation qui puisse exister. Encore une fois, même si une famille est religieuse, si elle ne sert part Hachem avec joie, les enfants ne voudront rien savoir du style de vie de leurs parents. Eduquer les enfants avec amour signifie leur montrer que vous êtes vous-même heureux : heureux de faire une mitsva, heureux dans votre pratique religieuse, heureux avec la Tora. Tellement de gens se plaignent : du prix de la Yechiva, du prix de la viande kacher, ainsi que toutes autres sortes de plaintes. Pourquoi ne se plaignent-t-ils pas du prix d'entrée du match de foot ou de prix élevé pour d'un voyage à Disneyworld ? Ils sont prêts à payer pour leur désir et appétits, mais rechigne le prix d'une mitsva. Cela montre à l'enfant que les plaisirs de ce monde sont plus importants qu'Hachem, que D-ieu nous préserve. La Guemara Souka raconte une histoire dès plus étonnante à propos de la fille d'un Kohen, un prêtre dans le Temple ; le nom de cette fille était Martha la fille de Bilega. Après plusieurs années à chermaria avec... un soldat romain du Temple ! Lorsque les roJérusalem et conquirent finaleMartha entra dans le Saint des sanctuaire, et maudit le Saint serve.

cher l'âme sœur, elle se qui prit part à la destruction mains pénétrèrent dans ment le Mont du Temple, Saints, la Chambre du Nom, que D-ieu nous pré-

La Guemara pose la question son la fille d'un prêtre a pu faire sages expliquent que cette jeuses parents déprécier l'importangieux. Lorsqu'un parent dévie à lui dévie deux fois plus.

suivante : “Pour quelle raiun acte aussi terrible ?” Nos ne femme avait entendu ce de certains rituels relilégèrement, un enfant quant

L'éducation avec amour signifie

donner l'exemple Un foyer juif n'est pas une base d'entraînement ou un camp de travail forcé

dans la joie ; lorsqu'un enfant voit qu'un parent apprécie tout ce qu'Hachem lui donne, l'enfant s'adaptera. Lorsque les parents font une bénédiction et prient avec ferveur et concentration, l'enfant fera de même. Mais lorsque, que D-ieu nous préserve, le parent s'égare un temps soit peu, l'enfant prend un chemin complètement différent. Lorsque la vanité d'une mère est plus importante que les commandements d'Hachem, il ne faut pas s'attendre à ce que la fille soit pudique. Lorsque la jupe de la mère ne couvre que le genou, la longueur de la jupe de la fille s'arrête sera à mi-cuisse. Si les parents ne servent pas Hachem avec amour, ils auront de la chance si leur enfant sert Hachem. Il m'est impossible de souligner suffisamment l'importance d'enseigner la reconnaissance aux enfants : que nous ne méritons rien et que nous ne devons rien considérer comme acquis. Un enfant qui apprend à remercier Hachem, à remercier sa mère et son père, grandira et deviendra un époux reconnaissant ou une épouse reconnaissante. On sait bien qu'il ne peut y avoir d'époux reconnaissant qui ne vive pas un mariage heureux. Être reconnaissant, en étant satisfait de son lot, est probablement l'indicateur d'Emouna (de foi) le plus important qu'il soit. Lorsqu'une person-


ne remercie Hachem pour la moindre chose qu'elle a dans sa vie, cette personne possède une Emouna forte. Le plus souvent, nous constatons que les personnes qui ont l'Emouna élèvent leurs enfants dans une atmosphère d'amour pour Hachem et d'amour envers les autres personnes. Si vous souhaitez être vraiment satisfaits de vos enfants, ne soyez pas un instructeur forcené. Un foyer juif n'est pas une base d'entraînement ou un camp de travail forcé. Utilisez les principes que nous avons exposés dans cette série comme ligne de conduite, et même si vous ne réalisez qu'une partie d'entre eux, vous verrez un changement visible chez vos enfants et dans l'ambiance de votre foyer. Avec l'aide d'Hachem, vous avez la possibilité d'éduquer vos enfants avec amour ; cela transformera votre demeure en un Beth HaMiqdach (Temple) miniature. Puissions-nous tous le mériter, de nos jours et rapidement. Amen.

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par: le Rav Shalom Arush Shlit”a L'énigme de la vie Ce monde-ci est la cause de nombreuses questions : Quel est le but de la vie dans ce monde rempli de douleurs ? Où va le monde et que cache l'avenir de l'humanité ? Qui a raison parmi toutes les idéologies et les façons de vivre ? Quelle est la voie du bonheur ? Comment devons-nous vraiment vivre et est-il possible de trouver une voie claire et juste ? La fin de toute chose est-elle bonne ou non ? Etc. Pourquoi existe-t-il de telles différences entre les gens et leurs façons de vivre ? Pourquoi untel jouit-t-il d'une vie facile, tandis qu'un autre vit difficilement ? Pourquoi untel est sain de corps et d'esprit, tandis qu'un autre est né avec une malformation ? Pourquoi, contrairement à son voisin, untel bénéficie-t-il d'un gagne-pain facile ? Pourquoi celui-ci qui jouissait du bien toute sa vie et se gardait de faire “du mal à une mouche”, disparaît prématurément, à la fleur de l'âge, alors que l'autre, un pervers chronique, jouit de la fortune, des honneurs et de la longévité ? Il existe encore de nombreuses différences, pourquoi ? Pourquoi, moi ? Ceux qui souffrent eux-mêmes sont les premiers à s'interroger: Celui qui a du mal à trouver un gagne-pain demande : Pourquoi untel vit dans le confort et le luxe, alors qu'il me manque toujours le minimum vital ? De plus, les efforts que je dois fournir pour trouver ma subsistance me déstabilisent. Celui dont l'enfant a un problème médical demande : pourquoi les autres ont-ils des enfants sains et forts, tandis que le destin m'a frappé et que le mien nécessite des soins journaliers et fatigants ? Celui qui souffre d'une infirmité voit ceux qui vont et agissent librement et interroge : pourquoi sont-ils parfaits dans leurs corps alors que je dois supporter telle malformation ou infirmité humiliante ? Celui qui a grandi dans des conditions difficiles voit ceux qui furent élevés dans des familles aisées et s'interroge : pourquoi ont-ils reçu chaleur et amour, pourquoi accédait-on à toutes leurs demandes, alors que je suis né dans une famille défavorisée et que seules la douleur, la peine et la détresse ont rempli ma vie ? Celui qui approche la quarantaine et demeure célibataire, interroge : pourquoi avec toutes mes qualités ne réussis-je pas à me marier ; untel qui manifestement est plein de défauts, s'est marié sans retard, encore jeune, avec une jeune fille de bonne famille, couronnée de toutes les vertus imaginables ? Bref, les gens ne cessent de s'interroger et chacun peut ajouter à cette liste tous les problèmes qui le préoccupent. “Chaque matin apporte son lot de questions” (Job, 7 : 18) Les questions touchant les problèmes quotidiens ne manquent pas non plus : Pourquoi ai-je vécu hier une journée magnifique, tout s'est organisé comme je l'avais prévu ; tandis qu'aujourd'hui, sans raison apparente, rien ne marche, et je ne ressens que peines et souffrances ? Pourquoi la semaine dernière encore, j'avais un gagne-pain facile, et soudain la corne d’abondance est obstruée et je dois fournir de grands efforts pour nourrir ma famille ? Pourquoi hier encore éprouvais-je du plaisir en compagnie des enfants, qui se conduisaient comme des anges, attentifs et charmants, et soudainement ce fut comme si le diable s'était emparé d'eux : ils font tout pour irriter leur père et leur mère ? Des questions à l'infini… Voici la réponse à toutes ces questions : Il n'existe qu'une seule réponse à toutes ces questions : la foi. Grâce à la foi, la solution est simple et évidente : le monde possède un Créateur qui supervise personnellement chaque individu et fixe les conditions précises de sa vie : dans quelle famille il grandira, qui il épousera, quelle sera son allure, quelles seront ses dispositions, ses traits de caractère, combien d'enfants il engendrera, combine gagnera-t-il, quels seront ses amis, ses relations et d'autres détails, nombreux comme le sable de la mer. Tout est décidé par la providence divine et pas seulement dans l'ensemble, mais aussi dans tous les détails, dans la vie de tous les jours et à chaque instant. Le Créateur décrète quand l'homme réussira, quand il échouera, quand il sera heureux, quand il sera humilié, qui il rencontrera et sur qui il trébuchera, et d'autres détails à l'infini. Comme le déclare l'auteur de Sia'h Yts'hak dans son commentaire sur ce verset des Psaumes (105, 7) : “HaChem est notre D. Ses jugements s'étendent sur toute la terre”- tout ce qui arrive sur la terre, jour après jour, la réussite face à l'échec, la jouissance et le salut des uns face aux douleurs et à la détresse des autres, etc. tout fait partie des jugements d'HaChem qui juge Ses créatures chaque jour et à chaque heure, en général et en particulier.” Sache que la providence divine agit toujours en vue du bien éternel de chacun, et guide l'homme vers la finalité suprême du bien éternel pour lequel il est créé. HaChem béni soit-Il a vu qu'untel n'arrivera jamais

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à se corriger (tikoun) autrement que dans la réalité spécifique où il se trouve, à cause du grand nombre de ses défauts. Par contre, un autre touchera ce but dans une autre réalité, pleine de plaisirs et d'abondance, etc. Chaque détail de la vie de tout homme, sans exception, est soumis à la providence divine qui agit avec la plus grande précision, sans hasard, sans erreur, d'après la connaissance du Créateur des besoins de cet homme pour parvenir à son but. La volonté divine Quelle est la volonté du Créateur à ton égard ? Quel doit être pratiquement ton but ? Le Créateur ne t'a créé que pour que tu Le connaisses, béni soit-Il ! Comme il est écrit dans le saint livre du Zohar “Afin qu'on Le connaisse”. Toutes les conditions de la viesont nécessaires afin que tu puisses Le connaître et Le reconnaître. HaChem, béni soit-Il, qui connaît chacun avec une connaissance parfaite, sait que tu peux seulement Le connaître à l'aide des conditions spécifiques qu'Il t'octroie. Il n'y a aucune erreur ou hasard dans aucun détail de ta vie. La connaissance de l'homme qui sait cela est “foi parfaite” et “satisfaction de son lot”. L'homme doit savoir qu'il ne sait rien, qu'il ne comprend rien et qu'il est simplement content de son sort : c'est la première étape du juste choix. Après avoir saisi ce premier principe, l'homme doit ensuite être attentif à tous les incidents et événements de sa vie et se demander comment il pourra connaître et reconnaître HaChem à travers eux. Il saura bien que chaque détail de sa vie est planifié par le Créateur béni soit-Il, le bien comme le mal, pour le conduire, de gré ou de force à ce but : connaître HaChem, béni soit-Il. Souvent, lorsque l'homme ne prête pas attention aux allusions qui viennent d'HaChem, béni soit-Il, le Créateur l'amène dans des situations encore plus difficiles. Si cela n'est pas suffisant pour lui faire prendre conscience de son but, HaChem conduit l'homme dans des situations qui n'ont pas de solution naturelle, jusqu'à ce qu'il soit obligé, contre son gré, de s'appuyer sur la foi, comme nos Sages, de mémoire bénie, nous l'enseignent : “On ne peut s'appuyer que sur notre Père céleste”. Le début de la foi Il est rapporté dans le saint livre du Zohar que la foi s'élabore par la pensée et la reconnaissance que ce monde n'est pas unique et qu'il existe un monde à venir, comme il est dit (Likouté Maaran, 54) : “Le principe du souvenir consiste à se rappeler toujours du monde futur, et que D. nous préserve de penser qu'il n'existe qu'un seul monde”. A l'aide de l'explication suivante, on comprendra pourquoi cette conviction est nécessaire à chaque personne douée de connaissance. Un homme sain d'esprit ne s'engagera pas dans une entreprise, à moins qu'elle ait un but et une utilité. Par exemple, si on dit à quelqu'un de lever le bras et de le baisser pendant des heures, sans aucun motif, cette personne refusera catégoriquement, même pour un salaire, parce qu'elle ressent que cet exercice n'a ni but ni utilité. Si cela est vrai pour l'homme, qui n'est qu'une créature, à plus forte raison pour le Créateur, qui n'agit jamais sans but. Il est impensable que le Créateur ait pu créer le monde entier - avec ses innombrables détails qui s'articulent avec une précision merveilleuse et resplendissent de beauté et d'un grand charme - sans raison ni but. Il est inconcevable que le Créateur ait pu former l'homme – une créature merveilleuse avec un puissant cerveau et de profondes forces spirituelles - sans qu'il n'existe un but à sa vie. Chacun doit s'interroger : est-il possible que le but pour lequel il fut créé soit limité à cemonde, où tout est vanité, perdition et mort ? Est-il pensable que l'homme, sensible et spirituel, ne soit créé que pour vivre 70 ou 80 années d'endurance et d'efforts avant de mourir, et que sa vie se termine ainsi ? La profonde spiritualité de l'homme et sa conscience doivent-elles prendre fin au terme de sa vie ? Cela est impensable, car il existe nécessairement une continuation de la vie de l'âme, après la mort du corps, lorsque l'âme jouit du salaire éternel dans le monde futur, comme il est écrit (traité Avoda Zara) : “Aujourd'hui on accomplit les commandements, demain on reçoit leur salaire”. Le salaire et la punition existent aussi dans ce monde, telle la réussite de l'homme qui réalise la volonté divine, ou au contraire les souffrances dues aux fautes commises, qui redressent l'homme dans sa voie, afin qu'il puisse reconnaître le juste chemin. Par conséquent, les souffrances éprouvées par l'homme doivent le conduire à vérifier ses actions et s’assurer qu'il ne s'est pas trompé de route. Elles ne sont ni punition ni vengeance, et si ce monde-ci était le seul monde qui soit, les souffrances n'auraient aucun sens.

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Le petit Yossi était un enfant adorable et d'une gentillesse extrême. Il n'avait qu'un seul problème: plus de deux années étaient passées depuis sa naissance et il ne prononçait toujours aucun mot. Malgré les efforts répétés de ses parents, aucun son ne sortait de la bouche de l'enfant. Ceux-ci décidèrent d'emmener Yossi chez le pédiatre afin d'avoir son avis. Après un bilan complet de santé, le pédiatre n'avait rien trouvé d'anormal et réconforta les parents en leur disant que bientôt, le petit Yossi parlerait. Une année entière passa, et l'enfant ne faisait aucun progrès. Ses parents attendaient toujours avec impatience de l'entendre prononcer ses premiers mots. Remplis d'une inquiétude grandissante, ils emmenèrent de nouveau Yossi chez le pédiatre. Le docteur fit de nouveau les mêmes tests et examens qu'il avait fait la première fois, et le résultat fut identique : rien d'anormal ne fut décelé. Le problème de Yossi semblait être inexplicable. Six mois passèrent, et l'enfant était toujours aussi muet. Sa mère avait beau multiplier les signes d'affection, Yossi ne parlait toujours pas. Elle prenait très souvent l'enfant dans ses bras, lui souriait presque toujours et faisait tous les sons imaginables ; tout cela dans le but de lui montrer son amour et qu'un jour ou l'autre, il l'imite en refaisant les mêmes bruits. Cependant, rien n'arrivait; aucun son n'était encore sorti de la bouche du petit Yossi. Ses parents commencèrent à paniquer et la dépression semblait devoir bientôt les atteindre. Lorsque le père de Yossi fit part de ses angoisses à son rabbi, ce dernier lui conseilla de faire vérifier les me-

zouzoth de sa maison. Le lendemain, le père de Yossi ôta toutes les mezouzoth et les emmena chez un sofer stam (un scribe qui rédige les mezouzoth). Dans une des mezouza, le sofer stam découvrit que le mot “vedibarta” (et vous parlerez) était mal épelé. Voici la photo de cette mezouza : Le père de Yossi acheta immédiatement un nouveau parchemin entièrement kacher et il plaça de suite sa nouvelle mezouza sur sa porte. Deux jours plus tard, le petit Yossi commença à balbutier ses premiers mots.

Si à votre tours vous désirez raconter des miracles vécus et Glorifier le Nom de D-ieu n’hésitez pas et envoyez nous vos récits à :

famillytorah@gmail.com


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Le petit Yossi était un enfant adorable et d'une gentillesse extrême. Il n'avait qu'un seul problème: plus de deux années étaient passées depuis sa naissance et il ne prononçait toujours aucun mot. Malgré les efforts répétés de ses parents, aucun son ne sortait de la bouche de l'enfant. Ceux-ci décidèrent d'emmener Yossi chez le pédiatre afin d'avoir son avis. Après un bilan complet de santé, le pédiatre n'avait rien trouvé d'anormal et réconforta les parents en leur disant que bientôt, le petit Yossi parlerait. Une année entière passa, et l'enfant ne faisait aucun progrès. Ses parents attendaient toujours avec impatience de l'entendre prononcer ses premiers mots. Remplis d'une inquiétude grandissante, ils emmenèrent de nouveau Yossi chez le pédiatre. Le docteur fit de nouveau les mêmes tests et examens qu'il avait fait la première fois, et le résultat fut identique : rien d'anormal ne fut décelé. Le problème de Yossi semblait être inexplicable. Six mois passèrent, et l'enfant était toujours aussi muet. Sa mère avait beau multiplier les signes d'affection, Yossi ne parlait toujours pas. Elle prenait très souvent l'enfant dans ses bras, lui souriait presque toujours et faisait tous les sons imaginables ; tout cela dans le but de lui montrer son amour et qu'un jour ou l'autre, il l'imite en refaisant les mêmes bruits. Cependant, rien n'arrivait; aucun son n'était encore sorti de la bouche du petit Yossi. Ses parents commencèrent à paniquer et la dépression semblait devoir bientôt les atteindre. Lorsque le père de Yossi fit part de ses angoisses à son rabbi, ce dernier lui conseilla de faire vérifier les mezouzoth de sa maison. Le lendemain, le père de Yossi ôta toutes les mezouzoth et les emmena chez un sofer stam (un scribe qui rédige les mezouzoth). Dans une des mezouza, le sofer stam découvrit que le mot “vedibarta” (et vous parlerez) était mal épelé. Voici la photo de cette mezouza : Le père de Yossi acheta immédiatement un nouveau parchemin entièrement kacher et il plaça de suite sa nouvelle mezouza sur sa porte. Deux jours plus tard, le petit Yossi commença à balbutier ses premiers mots.

Si à votre tours vous désirez raconter des miracles vécus et Glorifier le Nom de D-ieu n’hésitez pas et envoyez nous vos récits à :

famillytorah@gmail.com

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Un Miracle par des Voies Naturelles Longtemps après sa mort le Rabbi est toujours présent !

Moshe un petit bébé de 6 mois a en Erets, mais notre histoire ne alors que ses parent venait a peihe ne pouvait pas avoir d’enfant Akadosh Barou’hou en décida grossesse le père de Moshe qui rer pour rassurer sa femme deLoubavitch et demanda en quesse passera l’accouchement. Un fit pas attendre. Il était écrit que : ment par des voies naturelles.

peine, vie le jour dans un hôpital débuta bien avant sa naissance ne de se marier. Le père de Mosd’après l’avis des médecins, mais autrement. Au 5eme mois de malgré une grande Emouna préfémander la bra’ha du Rabbi des tion au Iguerot Akodesh comment réponse plutôt surprenante ne se Ce fruit viendra miraculeuse-

Ce fut au bout de 10 mois et une semaine que les contractions se firent enfin ressentir. Le couple se pressa a l’hôpital et malgré que les médecins décidèrent que c’était beaucoup trop tôt , la mère de Moshe fut admise dans le service et patienta, pria en attendant ce moment tant attendu. Après une longue nuit suivi d’une matinée complète et après beaucoup de marche pour accélérer le processus , on la fit rentrer en sale d’accouchement en début d’après midis. Le travail dura de longues heures pendant lesquels les parent du jeune couple attendaient patiemment derrière la porte. La jeune future maman ainsi que son mari étaient sur que tout aller pour le mieux, il ne se douter pas que un problème très grave les empêcher de recevoir la venu du petit Moshe. La sage femme commencer a s’interroger de la durée des évènements, les parents quand a eux étaient dans tous leurs état seul le jeune couple ne se douter de rien, confiant des mots de la lettre du Rabbi des Loubavitch. Soudain le médecin qui venait de rentrer dans la salle sous la demande de la sage femme, et après avoir analyser la situation, fit sortir le jeune mari d’urgence laissant sa femme inquiète et seul . Le mari avant de partir rappela a sa Akadosh Barou’hou l’avait mit enqui de base ne pouvait pas avoir pour les abandonner maintenant qu’elle reste confiante plus que retrouver ses parent ainsi que ses porte. Il les interrogea sur la raison répondirent que ce n’est pas norsans compter le faite que de faire vais signe, mais sans les laisser finir durement et leurs dit que sa jeune made s’inquiéter et d’angoisser il ferrai il leur parla de la lettre du Rabbi et de ses

femme la phrase du Rabbi et que si ceinte par l’intermédiaire d’un mari d’enfant, ce n’était sûrement pas si proche du but et qu’il fallait jamais, puis sortit de la salle pour beaux parents inquiets derrière la de toute cette inquiétude, ils lui mal que ça dure tellement de temps, sortir le mari leur paru un très maule jeune mari s’énerva les regarda tous riée faisait un très bon travail et que au lieu mieux de se réjouir de ce moment merveilleux, mots et les obligea à sourire et se réjouir.

A ce même moment, que les parents dessinèrent sur leur visage un début de sourire obligé un cri se fit entendre de l’autre cote de la porte c’était le petit Moshe qui venait au même instant de voire le jour. Les parents apprirent que l’accouchement dura si longtemps car le cordon ombilical par 2 fois entourait le cou du petit Moshe l’empêchant de respirer et de sortir et que dans un tel cas une césarienne aurait dut être la meilleur solution pour ce jors d’accouchement. Seulement l’équipe remarqua le problème que trop tard. Au bout de Huit jour une Brit-Mila se fit célébrer et au bout de 1 mois un Pidion-Aben car le petit Moshe vit le jours miraculeusement par les voies naturelles. Page 37


LE TERME DIMINUTION DE LA LESDEJLA UIFS ET LE MONDE . LUNE. La Paracha Mikets débute en racontant les deux rêves de Par’o, celui des vaches et celui des épis, Le ‘Hidouchleur de la ‘Avoda de Ya’akov dansannonçant les Parachoth Vayichla’h et Vayéchev auannées regard de ‘Avoda dans et rapporte interprétation par Yossef, des années d’opulence et des de sa famine. les Parachoth Vayetsé et Toldoth est que Ya’akov est déjà prêt pour les jours messianiques, raison pour laquelle : a) il envoya des messagers devant lui vers ‘Essav son frère vers le pays de Séïr” pour l’informer que “s’est achevé et parachevé, dans le summum de la Chelémouth, l’objet du Bérour et du Tikoune (d’extraction et de réparation), etc.”, et le moment est arrivé d’aller ensemble vers la Gueoula : “j’irai chez mon seigneur, à Séïr”, comme “à l’époque de Machia’h, ainsi qu’il est dit (‘Ovadia à la fin), dans la Haftara de Vayichla’h : ‘Les sauveurs monteront à la montagne de Tsion pour juger la montagne d’Essav, et la Royauté appartiendra à l’É.ternel’” ; b) “Vayéchev… “Ya’akov voulut s’installer paisiblement” – et en fait il demeura en paix jusqu’à ce que survinrent les tourments de Yossef, et à nouveau paisiblement en Égypte, âgé de 131-147 ans. Et jusqu’à la realization de la prophétie de la véritable “vie paisible” des jours messianiques, qui sera la plénitude du sujet de “Il a racheté mon âme dans la paix”, d’une manière encore plus élevée qu’à l’époque de David et Chelomo. Et la différence de la situation de Ya’akov dans la ‘Avoda des Bérourim avec sa situation lors du couronnement de cette ‘Avoda (étant prêt à l’époque de Machia’h), est à l’exemple de la différence entre la position de la lune telle qu’elle reçoit du soleil, et sa position lorsqu’ils sont à égalité : Ya’akov est comparé à la lune : “le petit luminaire”, étant lui aussi appelé petit, et “compte son calendrier selon le petit luminaire”. Or, la diminution de la lune (“Va et diminue toi !”, pour devenir un “petit luminaire”), est en raison de “la Cassure des Réceptacles” du Monde du Tohou – et des étincelles de Kedoucha qui sont alors tombées ici-bas, provoquant aussi la descente de Malkhouth (la lune) pour arriver au rang de Mekabel et descendre dans les mondes B.Y.A. (Beria, Yetsira et ‘Assiya) pour extraire les étincelle du Tohou ; il ressort que la position et situation de la lune qui doit recevoir du soleil est pour le besoin de la ‘Avoda des Bérourim, mais lors de l’achèvement de cette ‘Avoda, la lune ne sera plus de l’ordre de Mekabel, mais “la lumière de la lune sera comme celle du soleil” – “les deux grands liminaires”. Ce sujet trouve son allusion également dans la Paracha Vayichla’h : “Ya’akov envoya des messagers devant lui vers ‘Essav son frère” – c’est-à-dire que Ya’akov dont la racine se situe dans le monde du Tikoune (de la Réparation) = Atsilouth, a envoyé des messagers vraiment devant lui, à un degré au-delà du sien, vers ‘Essav son frère, à sa racine en Haut, dans le Monde du Tohou (car, selon Ya’akov, ‘Essav serait après son extraction, et serait remonté à sa racine au niveau des Makifim, des dimensions englobantes du Tohou), “afin d’attirer les Makifim du Tohou vers lui, en bas, dans le Monde du Tikoune, qui est de l’ordre de la lumière intériorisée – le Penimi, tandis que le Makif est au-delà d’être appréhendé, Il brillera alors dans le Penimi et ils s’unifieront”. C’est aussi le sujet de l’union et de l’unification de la lune et du soleil –Ya’akov et ‘Essav – le petit et le grand luminaire, la lumière intériorisée et celle qui transcende, et jusqu’à ce que la lune ne reçoive plus du soleil, lorsque s’achève et se parachève le Bérour des étincelles du Tohou, raison de la diminution de la lune pour devenir Mekabel, mais sa lumière devient comme celle du soleil, et ils sont tous les deux égaux. Après “notre action et notre ‘Avoda” de tous les Enfants d’Israël pendant la durée de toutes les générations, y compris et en particulier après le dévoilement du Youd-Teth Kislev, qu’alors a commencé l’essentiel du sujet de “Tes Sources se propageront vers l’extérieur”, auquel va et s’ajoute par nos Princes et Maîtres de génération en génération, et jusqu’à mon saint Maître et beau-père le Rabbi, Chef de notre génération, par lesquels les Sources se sont répandues vers l’extérieur dans tous les confins du monde – sont déjà achevés et parachevés tous les sujets également en regard du (et dans le) monde, tel qu’il a informé et proclamé que tous les sujets de la ‘Avoda sont parachevés, également “l’astiquage des boutons (des vêtements pour la parade)”, et tout est prêt pour la venue de Machia’h ! Notre ‘Avoda consiste aujourd’hui à amener concrètement son dévoilement dans le monde. (Discours du Rabbi, Chabbat Paracha Vayechev).


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LES JUIFS ET LE MONDE. La Paracha Mikets débute en racontant les deux rêves de Par’o, celui des vaches et celui des épis, et rapporte leur interprétation par Yossef, annonçant des années d’opulence et des années de famine.

Bien que ce soit grâce à l’interprétation des rêves de Par’o par Yossef, que celui-ci devint vice roi d’Égypte, la Torah ne pouvait-elle évoquer brièvement le sujet, et mentionner qu’il était le seul à être capable de les interpréter et qu’il y eut sept années d’opulence et sept autres de famine ? À quoi bon décrire son rêve avec tant de détails et de précision ? La réponse : la Torah raconte que l’on décrivit en rêves à Par’o les deux périodes que son pays allait connaître, précisément parce que Yossef lui-même avait précédemment eu lui aussi la révélation de ce qui allait se passer, au moyen de rêves. En effet, Yossef – “le Juste, le fondement du monde” – possédait une âme collective et toute influence accordée au monde devait nécessairement se révéler par son intermédiaire (Béouré Hazohar, Vaye’hi 30a). Yossef reçut la révélation céleste par ces rêves et il fit en sorte qu’il en soit de même pour les autres. Aussi, lorsque Par’o, roi d’Égypte et maître de la terre, dut recevoir une information, il l’obtint également en rêve. Il y a là un enseignement fondamental pour notre service de D.ieu. Si un Juif est soumis aux épreuves (préjugés dommageables et passions) il doit savoir que cette situation lui est personnellement imputable. Certains commettent l’erreur de penser que l’on doit imiter les comportements du monde. D’autres disent que l’on peut mettre en pratique la Torah et les Mitsvot uniquement en s’adaptant à son environnement. Or, le contraire est vrai. La situation du monde est conditionnée par l’attitude du Juif. S’il en adopte les valeurs ou s’il en éprouve les passions, il retrouvera l’équivalent de celles-ci dans le monde, car celui-ci est conçu pour voiler la Divinité. Il se trouvera alors dans l’impossibilité de ressentir la source spirituelle de ces événements. En effet, ceux qui surviennent au Juif semblent se produire par eux-mêmes. En pareil cas, le Juif sera conduit à imiter les comportements du monde. Mais, en réalité, tout ce qui survient à un Juif est la conséquence de sa propre attitude. Si celui-ci abandonne ses mauvais comportements et ses passions, le monde en sera également modifié. Bien plus, même si l’on ne peut considérer qu’un Juif soit à l’origine des épreuves qui se dressent devant lui, n’étant pas victime des valeurs et des passions du monde, y compris sous leur forme la plus fine, il n’en est pas moins responsable de ces événements, car la création fut faite pour les Juifs, “pour Israël, qui l’a devancée”, il s’agit donc bien, en l’occurrence, de surmonter l’épreuve. Celui qui saura trouver en lui la détermination nécessaire pour ne pas s’affecter devant l’épreuve, s’apercevra que celle-ci n’est, en réalité, qu’une illusion. Ce qui se passe dans le monde est bien directement conditionné par l’attitude qu’il adoptera. Les rêves de Par’o furent donc la conséquence de ceux de Yossef. Pour autant, les uns et les autres conservèrent une nature opposée. Ceux de Yossef se limitèrent au domaine de la Sainteté, alors que ceux de Par’o s’inscrivirent dans “l’autre côté”. On peut donc constater, entre eux, plusieurs différences, sur l’ordre dans lequel ils apparaissent comme sur leurs aspects spécifiques : Les rêves de Yossef commencent par un exposé de l’effort, “nous formons des gerbes”, que ceux de Par’o, n’évoquent pas. L’explication : les bénédictions, du domaine de la sainteté, que D.ieu accorde aux Juifs, sont une fin en soi et non un moyen d’obtenir quelque chose d’autre. Elles émanent de D.ieu Qui possède la perfection véritable et ne peut donc être un intermédiaire. L’âme juive, “parcelle de Divinité véritable” (Tanya chap. 2), ne peut pas non plus jouer un rôle d’intermédiaire. Elle est assurément un but en soi. Il en est de même pour ces bénédictions, qui représentent la perfection et le bien. La situation de “l’autre côté”, du mal, est bien différente. Celui-ci n’a pas de finalité, il n’est qu’accessoire à une autre cause. La perfection de l’effort n’est donc pas nécessaire pour recevoir son influence, qui est accordée “gratuitement” étant, de toute façon, sans valeur… (Discours du Rabbi, Chabbat Paracha Mikets 5720-1959). Page 40 Page 40


LES JUIFS ET LE MONDE. La Paracha Mikets débute en racontant les deux rêves de Par’o, celui des vaches et celui des épis, et rapporte leur interprétation par Yossef, annonçant des années d’opulence et des années de famine. Bien que ce soit grâce à l’interprétation des rêves de Par’o par Yossef, que celui-ci devint vice roi d’Égypte, la Torah ne pouvait-elle évoquer brièvement le sujet, et mentionner qu’il était le seul à être capable de les interpréter et qu’il y eut sept années d’opulence et sept autres de famine ? À quoi bon décrire son rêve avec tant de détails et de précision ? La réponse : la Torah raconte que l’on décrivit en rêves à Par’o les deux périodes que son pays allait connaître, précisément parce que Yossef lui-même avait précédemment eu lui aussi la révélation de ce qui allait se passer, au moyen de rêves. En effet, Yossef – “le Juste, le fondement du monde” – possédait une âme collective et toute influence accordée au monde devait nécessairement se révéler par son intermédiaire (Béouré Hazohar, Vaye’hi 30a). Yossef reçut la révélation céleste par ces rêves et il fit en sorte qu’il en soit de même pour les autres. Aussi, lorsque Par’o, roi d’Égypte et maître de la terre, dut recevoir une information, il l’obtint également en rêve. Il y a là un enseignement fondamental pour notre service de D.ieu. Si un Juif est soumis aux épreuves (préjugés dommageables et passions) il doit savoir que cette situation lui est personnellement imputable. Certains commettent l’erreur de penser que l’on doit imiter les comportements du monde. D’autres disent que l’on peut mettre en pratique la Torah et les Mitsvot uniquement en s’adaptant à son environnement. Or, le contraire est vrai. La situation du monde est conditionnée par l’attitude du Juif. S’il en adopte les valeurs ou s’il en éprouve les passions, il retrouvera l’équivalent de celles-ci dans le monde, car celui-ci est conçu pour voiler la Divinité. Il se trouvera alors dans l’impossibilité de ressentir la source spirituelle de ces événements. En effet, ceux qui surviennent au Juif semblent se produire par eux-mêmes. En pareil cas, le Juif sera conduit à imiter les comportements du monde. Mais, en réalité, tout ce qui survient à un Juif est la conséquence de sa propre attitude. Si celui-ci abandonne ses mauvais comportements et ses passions, le monde en sera également modifié. Bien plus, même si l’on ne peut considérer qu’un Juif soit à l’origine des épreuves qui se dressent devant lui, n’étant pas victime des valeurs et des passions du monde, y compris sous leur forme la plus fine, il n’en est pas moins responsable de ces événements, car la création fut faite pour les Juifs, “pour Israël, qui l’a devancée”, il s’agit donc bien, en l’occurrence, de surmonter l’épreuve. Celui qui saura trouver en lui la détermination nécessaire pour ne pas s’affecter devant l’épreuve, s’apercevra que celle-ci n’est, en réalité, qu’une illusion. Ce qui se passe dans le monde est bien directement conditionné par l’attitude qu’il adoptera. Les rêves de Par’o furent donc la conséquence de ceux de Yossef. Pour autant, les uns et les autres conservèrent une nature opposée. Ceux de Yossef se limitèrent au domaine de la Sainteté, alors que ceux de Par’o s’inscrivirent dans “l’autre côté”. On peut donc constater, entre eux, plusieurs différences, sur l’ordre dans lequel ils apparaissent comme sur leurs aspects spécifiques : Les rêves de Yossef commencent par un exposé de l’effort, “nous formons des gerbes”, que ceux de Par’o, n’évoquent pas. L’explication : les bénédictions, du domaine de la sainteté, que D.ieu accorde aux Juifs, sont une fin en soi et non un moyen d’obtenir quelque chose d’autre. Elles émanent de D.ieu Qui possède la perfection véritable et ne peut donc être un intermédiaire. L’âme juive, “parcelle de Divinité véritable” (Tanya chap. 2), ne peut pas non plus jouer un rôle d’intermédiaire. Elle est assurément un but en soi. Il en est de même pour ces bénédictions, qui représentent la perfection et le bien. La situation de “l’autre côté”, du mal, est bien différente. Celui-ci n’a pas de finalité, il n’est qu’accessoire à une autre cause. La perfection de l’effort n’est donc pas nécessaire pour recevoir son influence, qui est accordée “gratuitement” étant, de toute façon, sans valeur… (Discours du Rabbi, Chabbat Paracha Mikets).


L’accessoire et L’essentiel. LES JUIFS ET LE MONDE. Après les retrouvailles de Yossef avec sesrêves frères, Ya’akov Avinou arrive à son tour enet Égypte. La Paracha Mikets débute en racontant les deux de Par’o, celui des vaches celui des épis, Au et moment où leur Ya’akov se trouve en Pharaon,des à son arrivée en Égypte,etil des est interrogé parfamine. celui-ci : “Quel rapporte interprétation parprésence Yossef, du annonçant années d’opulence années de est le nombre des années de ta vie ?”. Ya’akov lui répond : “Le nombre des années de mes tribulations est de 130 ans. Il fut court et malheureux, le temps des années de ma vie, Bienn’ont que pas ce soit grâce à l’interprétation des les rêves Yossef, queréponse celui-cifort devint vice roi :d’Égypet elles atteint les années de mes pères, joursdedePar’o leurs par pérégrinations”, surprenante

te, la Torah ne pouvait-elle évoquer brièvement le sujet, et mentionner qu’il était le seul à être capable de

a) Pharaon, qui entend le nombre des années de Ya’akov, pouvait apprécier par lui-même si ce temps était court ou les interpréter et qu’il y eut sept années d’opulence et sept autres de famine ? À quoi bon décrire son rêve long ; Ya’akov n’avait donc nul besoin de le lui faire savoir…

avec tant de détails et de précision ?

b) La parole de Ya’akov disant que “cent trente ans” “est peu”, est non seulement superflue, elle semble aussi contraire réponse : la Torah raconte que de l’ondixdécrivit en rêvesdes à Par’o leshumaines, deux périodes quefixées son pays allaitdu à laLa réalité, puisque ce nombre dépasse ans la plénitude années telles que au temps connaître, précisément que Yossef Déluge (“...et ses jours serontparce de cent vingt ans”).lui-même avait précédemment eu lui aussi la révélation de ce

qui allait se passer, au moyen de rêves. En effet, Yossef – “le Juste, le fondement du monde” – possédait une âme collective et toute influence accordée au monde devait nécessairement se révéler par son interCette question est encore renforcée à la lumière de ce qu’enseignent les commentateurs médiaire (Béouré Hazohar, Vaye’hi 30a). Yossef reçut la révélation céleste parclassiques ces rêves(Ramban, et il fit enRachsorte bam, Seforno et autres) à propos de la question du Pharaon sur l’âge de Ya’akov, puisque “le Patriarche paraissait exqu’il en soit de même pour les autres. Aussi, lorsque Par’o, roi d’Égypte et maître de la terre, dut recevoir trêmement âgé, ce qui provoqua l’étonnement du monarque qui n’était pas accoutumé à un tel aspect – la plupart des une information, il l’obtint également en rêve. 130 ans sont-ils peu de choses ?

hommes de son temps n’atteignant pas un âge si avancé”, ce qui accroît encore notre étonnement : dire que ses 130 y a là un enseignement fondamental notreconnue servicedudePharaon, D.ieu. Si un Juif est soumis épreuves ansIlconstituaient un temps “court”, contredisaitpour la réalité jusqu’à provoquer son aux étonnement et motiver sa question… (préjugés dommageables et passions) il doit savoir que cette situation lui est personnellement imputable.

Certains commettent l’erreur de penser que l’on doit imiter les du monde. D’autres disent Certes, on peut répondre que ce temps court, l’était en comparaison descomportements années de ses pères (“… elles n’ont pas atque peutdemettre en pratique la Torah Mitsvot ensont s’adaptant à son environnement. teint les l’on années mes pères”), qui vécurent 175etetles 180 ans. Enuniquement clair : 130 ans peu, comparés à ce qui lui reste à Or,pour le contraire vrai. de Lases situation vivre égaler lesest années pères. du monde est conditionnée par l’attitude du Juif. S’il en adopte les valeurs ou s’il en éprouve les passions, il retrouvera l’équivalent de celles-ci dans le monde, car celui-ci

Quant à son aspect, témoignant d’une vieillesse avancée, il résulte du caractère “malheureux” de ces années, en raison est conçu pour voiler la Divinité. Il se trouvera alors dans l’impossibilité de ressentir la source spirituelle de des misères endurées. Cependant, le commentaire de Rachi est clair : “elles n’ont pas atteint en bonheur (les années Enne effet, ceuxdésavantageusement qui surviennent au Juif se produire par eux-mêmes. En pareil de ces mes événements. pères)”. Ya’akov compare ses semblent années à celles de ses pères que sur le plan de leur cas, le Juif sera conduit à imiter les comportements du monde. qualité de vie, et non de leur quantité. Nous avons bien confirmation de ce que l’intention de Ya’akov est de faire savoirMais, au Pharaon que ses années constituent un temps par elles mêmes, et nonattitude. par rapport à celles de ses en réalité, tout130 ce qui survient à un Juif est la court conséquence de sa propre Si celui-ci abanpères, ce qui laisse la première question non résolue.

donne ses mauvais comportements et ses passions, le monde en sera également modifié.

La réponse à ces questions apparaît lorsqu’on découvre que l’intention de Ya’akov, en disant : “le temps des années de Bien plus, même si l’on ne peut considérer qu’un Juif soit à l’origine des épreuves qui se dressent devant ma vie… fut court”, concerne la qualité de ces années qui, même si, en quantité, sont à considérer comme nombreului, n’étant passur victime valeurs des passions monde, y àcompris sous formeen la bien plus –fine, il ses, sont réduites le plandes de la qualité.etCe sont des joursdu manquants, cause de leur leur déficience à l’invermoins responsable événements, car la–création faiteetpour les Juifs, Israël,acse n’en de ceest qui pas est dit au sujet d’Avrahamde quices “avance dans les jours” “des joursfut pleins parfaits, emplis“pour de bonnes qui–l’a devancée”, il s’agit donc bien, enà l’occurrence, de surmonter tions” a fortiori s’ils furent “mauvais”. Quant la raison pour laquelle les 130l’épreuve. années de la vie de Ya’akov manquaient de plénitude (les “jours pleins” d’Avraham), elle réside dans le caractère fondamental du Patriarche, qui s’identifie au Celui qui saura trouver en lui la détermination nécessaire pour ne pas s’affecter devant l’épreuve, s’aperconcept de la Délivrance. Nous apprenons en effet qu’il était prêt, dès la naissance de Yossef, à retourner dans le pays cevra que celle-ci n’est, en réalité, qu’une illusion. Ce qui se passe dans le monde est bien directement des pérégrinations de ses pères, pour y demeurer en paix, celle qui régnera à l’époque de la Délivrance.

conditionné par l’attitude qu’il adoptera. Les rêves de Par’o furent donc la conséquence de ceux de Yos-

Aussi, temps où cette pasconservèrent installée concrètement, estopposée. considéré Ceux par lui de comme du se “temps court”, au des sef.lePour autant, lesDélivrance uns et lesn’est autres une nature Yossef limitèrent jours défectueux, parce qu’il y manque le principal – la Délivrance. C’est ce message que Ya’akov délivre au Pharaon, domaine de la Sainteté, alors que ceux de Par’o s’inscrivirent dans “l’autre côté”. On peut donc constater, dès son arrivée, pour que le souverain ne commette pas l’erreur de croire que Ya’akov et ses enfants seront comblés entre eux, plusieurs différences, sur l’ordre dans lequel ils apparaissent comme sur leurs aspects spécifiparce qu’il les installe “dans la meilleure partie du pays”, leur donnant “le gras du pays”, le principal pour eux n’étant ques : rien d’autre que la Délivrance.

Lesnerêves de Yossef parleur unétablissement exposé de l’effort, “nous des que longue, ceux dene Nous voulons que Toicommencent ! – Ainsi, même en Égypte pourformons une durée quigerbes”, allait s’avérer Par’o, n’évoquent pas. L’explication : les bénédictions, du domaine de la sainteté, que D.ieu accorde auxy le fut que pour parachever la Délivrance. Puisque par l’affinage de l’Égypte, réalisé par les “dix-sept ans que Ya’akov Juifs, une(contenue fin en soien et allusion non un dans moyen d’obtenirdu quelque chose d’autre. sera Elles: “Te émanent de D.ieuJe Qui vécut”, la sont Gueoula la répétition verbe “faire remonter”) faire remonter, Te possède véritable ne élevée, peut donc un intermédiaire. L’âmeetjuive, Divinité véferai remonterla!”perfection (46:4), d’une manièreetplus dansêtre le summum de la perfection, alors“parcelle se réalisade “Vaye’hi Ya’akov”, “Ya’akov vécut” non pas seulement 147 ans, ou jouer mêmeun 180rôle ansd’intermédiaire. ; une élévation ultime et totale, que Ya’akov vivra ritable” (Tanya chap. 2), ne peut pas non plus Elle est assurément un but en pleinement une éternelle. aux enseignements induits dans la ce perfection qui précède, le planLa desituation l’action concrèsoi. Il enenest devie même pourQuant ces bénédictions, qui représentent etsur le bien. de te :“l’autre Puisquecôté”, notre du génération première à Celui-ci vivre la Délivrance, que nous nous trouvons déjàà dans une périomal, estsera bienla différente. n’a pas dec’est finalité, il n’est qu’accessoire une autre caude se. propice à celle-ci. Aussi faut-il ajouter chaque jour des éléments de nature à instaurer cette Délivrance de manière La perfection de l’effort n’est donc pas nécessaire pour recevoir son influence, qui est accordée concrète et évidente, comme l’action de fortifier la foi, le désir et l’attente impatiente de la venue de Machia’h. Au point “gratuitement” étant, de toute façon, sans valeur… de ressentir que tant que Machia’h n’est pas encore visiblement présent, c’est le principal qui manque, et que ce manqué ne peut être comblé que par la Délivrance parfaite et définitive, visible et évidente. (Discours du Rabbi, (Discours du Rabbi, ChabbatMikets Paracha Vayigash). Chabbat Paracha 5720-1959). Page 42


LE SECRET. Ya’akov appela ses fils et dit : rassemblez-vous et je vous révélerai ce qui vous arrivera à la fin des temps”. Le Talmud : Ya’akov voulait leur révéler “la fin des jours” (le temps de la Gueoula parfaite et finale par Machia’h), mais la Chekhina se retira de lui et il ne put leur révéler ce qu’il désirait. Une question s’impose alors : pourquoi Ya’akov le voulait-il ? Qu’aurait apporté une telle connaissance ? Le fait que les Bené Israël sachent que Machia’h ne viendra pas avant 3500 ans ne serait-il pas une source de découragement et de désespoir pour les Juifs en Égypte ?!

L’opportunité – Dans le “Cantique de la mer” (chanté par Israël délivré des armées égyptiennes) un verset dit : “Conduis-les et implante-les sur la montagne de Ton héritage, la demeure que Tu as édifiée pour Ta Résidence, ô Éternel !” Le Zohar explique que si nous avions été méritants, D.ieu Lui-même nous aurait transportés en Terre Sainte et aurait Lui-même construit le Temple à Jérusalem, actes éternels et inaltérables, et la sortie d’Égypte aurait été la Gueoula ultime. Une série d’échecs de notre part, comme les fautes du Veau d’Or et des Explorateurs, fit que notre entrée en Terre d’Israël et la construction du Temple furent l’effet d’efforts humains et aussi limitées et vulnérables que leurs auteurs. Ainsi, attendons-nous encore le jour où D.ieu Lui-même nous rassemblera de tous les coins de la terre et reconstruira le Temple, rendant Sa présence manifeste dans nos vies devenues inaltérables et éternelles.

C’est cette “fin” que Ya’akov désirait révéler. Si nous avions su que la sortie d’Égypte (annoncée dans l’alliance d’Avraham avec D.ieu) devait constituer la Rédemption finale et ultime, nous aurions été poussés à saisir l’occasion et à assurer que tout son potentiel soit réalisé. Néanmoins, D.ieu empêcha Ya’akov de révéler ces faits à ses enfants. La “fin des jours” devait rester un mystère, même si sa révélation eût pu encourager nos efforts pour perfectionner le monde et le préparer à la Gueoula. Car, pour que l’homme participe réellement au perfectionnement de la création, il est crucial que le cadre temporel de l’avènement messianique lui reste inconnu. Comme dit plus haut, la Rédemption finale est un acte divin, inaltérable et éternel. Ainsi, si l’homme doit jouer un rôle significatif dans sa venue, c’est par des actes qui sont eux mêmes inaltérables et éternels. C’est la raison de l’exil, un “état” de mutation physique et spirituelle, un état dans lequel la Main de D.ieu qui guide l’Histoire reste cachée et nos vies semblent livrées au hasard et à la chance. C’est en gardant son intégrité et sa loyauté envers D.ieu, même dans de telles conditions, qu’on perpètre l’alliance “éternelle”, que les aléas du temps n’ébranleront pas. Aussi, l’exil n’est pas seulement une situation dont nous devons être sauvés, mais aussi la condition permettant notre participation au le processus de la Gueoula. L’exil signifie habiter un monde dont un voile opaque obscurcit le contenu spirituel, un monde sourd aux tintements de l’horloge cosmique de l’Histoire et aveugle à sa propre progression vers l’harmonie spirituelle. C’est seulement dans de telles conditions que nos actes positifs revêtent l’éternité qui définit l’âge messianique. Mais si nous connaissions la date de l’ère messianique, nos actes seraient de nature prévisionnelle, stimulés par notre claire vision du progrès de l’histoire vers la perfection.

Pourtant, Ya’akov révéla la fin des temps, sans indiquer la date précise de la venue de Machia’h, D.ieu l’en empêcha pour que l’expérience de l’exil soit complète et garantisse l’engagement “éternel” qui fait de nous de véritables partenaires dans le projet divin d’un monde messianique parfait. Mais le fait qu’il désira l’indiquer eut ses conséquences, car “D.ieu accomplit le désir de ceux qui Le craignent”, alors, d’une manière ou d’une autre, cette connaissance nous fut transmise. Bien plus, Ya’akov est l’un des trois Patriarches d’Israël décrits par nos Sages, comme “ne servant que de véhicule au Désir Divin, à chaque moment de leur vie”. Si Ya’akov désire que nous connaissions le secret de la fin des jours, ce désir est adéquat à la Volonté Divine. D.ieu veut que nous voulions savoir, et que nous sachions réellement, de sorte que nous soyons poussés par ce désir et cette connaissance. Mais en même temps, Il ne nous permet pas de savoir exactement, afin que nos actes soient vrais et inconditionnels”. Ainsi menons-nous nos vies dans l’obscurité, dépourvus de toute conscience de notre place dans l’Histoire. Quelques secondes avant que ne soit vaincue l’obscurité, nous ne percevons que la nuit la plus complète. Mais cela n’a lieu qu’à la surface de notre vie, au niveau de laquelle nous agissons, pour apporter au monde la Rédemption. Sous cette apparence, existe une âme consciente, une âme imperméable à l’emploi du monde, une âme sensible aux moments les plus opportuns à la Rédemption et capable de révéler ce savoir et ce potentiel. (Discours du Rabbi, Chabbat Paracha Vayeh’i ).

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TEHILIM, PRIERES & ACTIONS Tombée enceinte -Voici 3 Téhilim pour tomber enceinte (102, 103 et 133) - Une Ségoula très connue est d’écrire un Sefer Torah, mais le but étant de promouvoir l’étude de la torah. Le mieux de nos jours serait de participer à la diffusion d’écrits de Torah ou d’offrir des livres de Torah à des personnes qui les étudieront. Source : Midrash Raba

La Peur des Chiens On mettra son pouce droit dans la main gauche et l’on dira: « Elaha déMéïr Yanéni » (D-ieu de Méïr répondsmoi!) On apprend cela de la Guemara Avoda Zara 18a qui raconte que Rabbi Meir a donné ce moyen pour se sauver d'un danger.

Pour ce marier Pour les Femmes: Étudier la Paracha Ki Tetsé, qui traite du mariage. Pour les Hommes: Étudier la Michna et la Guémara traité Kidouchin.

Perek Shira a été écrit par le Roi David et son fils le Roi Salomon. Chaque créature sait exactement pourquoi elle a été créée et ce que Hachem attend de lui. Seul l’homme avec son libre-arbitre peut se tromper et vivre 120 ans en passant à cote de son but. C’est pourquoi, le fait de lire et d’étudier le Perek Shira, permet l’homme de trouver plus facilement son but et sa raison d’être personnel. Le Ari Za"l insiste beaucoup sur le fait de le dire chaque jour, car toutes les créatures ont un prince làhaut. Et c'est le principe de la parole de nos Sages: toute herbe a un Mazal en haut qui lui ordonne de pousser, et c'est par ce prince supérieur que la créature reçoit sa vitalité, et ce prince ne peut influer tant que les inférieures n'ont pas dit leur Shira. Et donc grâce à ce Perek Shira l'homme recevra beaucoup plus de bénédictions … Le MABI"T dans son livre Bet Elok-him indique que la lecture du Perek Shira est plus puissante que les Téhilim. Le Perek Shira est spécial, et est une Segoula pour de nombreuses choses … et on arrive à atteindre le but personnel de notre création, et donc on devient apte au monde futur. Il est préférable de dire Perek Shira le matin lorsque nous profitons nous-mêmes du renouveau de la création. Le Gaon Rabbi Mordekhaï GROSS Shlit"a dit que la Ségoula extraordinaire de Perek Chira monte très très haut, pour faire descendre sur nous un flux de Bénédiction et de Bonté. Face aux maladies, aux intempéries de la vie et toutes les mauvaises choses elle nous protège et nous en sauve si nous sommes déjà dedans. Pour avoir des enfants, la vie et la Parnassa son intérêt est immense. Page 44


INTRODUCTION DE RABBI NATHAN DE BRESLEV A LA LECTURE DES NOMS DES TSADIKIM La Torah représente le nom d’Akadoch Baroukh Hou et contient 600.000 lettres. Le peuple d’Israël également contient 600.000 âmes. Lorsqu’un juif, par son comportement et l’accomplissement des Mitsvoth, révèle le nom d’Hachem dans le monde, il devient son associé dans la création dont la Torah en est le schéma et donc acquiert la liberté en tant qu’associé d’intervenir dans son évolution en faisant des miracles… « Le Tsadik décrète et Hachem accomplit » En prononçant le nom du Tsadik qui révèle une phase du nom d’Hachem, c’est comme si on prononçait le nom révélé, c’est-à-dire Le Youd-Hé-Vav-Hé.(Likouté Halakhot).Cette prononciation réveille également le mérite du Tsadik qui est toujours actif dans le monde, même s’il n’est plus là physiquement. Les Tsadikims sont le maintien du monde, ils nous dévoilent les secrets de la Torah et la présence du Créateur en tous domaines, ils sont notre espoir et notre vitalité et nous nous maintenons avec leurs enseignements, nuit et jour. En prononçant leurs noms, puissons-nous attirer la lumière de leur sainteté, apprendre, transmettre et accomplir leurs paroles. Que par leur mérite, soit reconstruite Jérusalem et que les Cohanim retournent à leur service, bien vite et de nos jours, Amen. UNE PRIERE EST A DIRE APRES LA LECTURE DES NOMS. ELLE SE TROUVE EN FIN DE PAGE. Lire quelques noms tous les jours est une grande protection, retrouvez tous les mois une page de nom de nos Tsadikim

SHEMOT HATSADIKIM Adame. H’ava. Hévèl. Chète. H’anokh. Métouchélah’. Noah’. Chème. ’Hévèr. Les Patriarches : Avraham. Yitsh’ak. Ya’hakov. Les Matriarches : Sara. Rivka. Rahèl . Léa. Bilha. Zilpa. Dévora, la nourrisse de Rivka. Les Tribus : Réouvène. Chime’hone. Lévi. Yéhouda. Yissakhar. Zévouloune. Dane. Naftali. Gade. Achèr. Yossef. Bineyamine. Ménaché. Efrayime. Les soixante-dix membres de la famille de Ya’hakov : H’anokh. Falou. H’ètsrone. Kharmi. Yémouèl. Yamine. Ohade. Yakhine. Tsoh’ar. Chaoul. Guèrchone. Kéhate. Mérari. Chéla. Pérèts. Zarah’. H’ètsrone. H’amoul. Tola. Pouva. Yov. Chimerone. Sérède. Elone. Yah’léèl. Tsifyone. H’agui. Chouni. Etsbone. ‘Héri. Arodi. Arèli. Yimena. Yichva. Yichvi. Béry’ha. Sérah’ Ah’otame (leur soeur). Hévèr. Malkièl. Béla. Békhèr. Achbèl. Guéra. Na’hamane. Eh’i. et Roch. Moupime. H’oupime. Arde. H’ouchime. Yartséèl. Gouni. Yétsèr. Chilème. Dina, fille de Ya’hakov. Yokhévède, fille de Lévi. La famille de Lévi : Livni. Chime’hi. ‘Hamerame. Yitshar. H’èvrone. ’Houzièl. Mah’li. Mouchi. Aharone Hakohène (le Prêtre). Moché Rabénou. Tsipora, femme de Moché. Yitro. Miriame. Korah’. Néfègue. Zikheri. Michaèl. Eltsafane. Sitri. Elichéva, fille d’Aminadave. Nadav. Avihou. El’hazar. Itamar. Assir. Elkana. Aviassaf. Pineh’ass, fils de El’hazar. Eliav. Némouèl, l’un des fils de Réouvène. Arde. Na’hamane, l’un des fils de Bineyamine. Les fils de Ménaché : Makhir. Guil’hade. Yi’hézèr. H’élèk. Asrièl. Chékhème. Chémida. Héfèr. Tsélofh’ade.

TEFILA A DIRE APRES LA LECTURE DES NOMS

Que le mérite de tous les Tsadikim que j’ai mentionné devant toi, Notre D’ et D’ de nos pères, les ‘Hassidim, Sages, Prophètes et Tsadikim, que par le mérite de leurs saints noms, de leur Torah et bonnes actions, Tu puisses avoir miséricorde envers nous dans Ta grande bonté, gratifie-nous de la lumière de leur sainteté, que nous puissions suivre leurs sentiers et marcher sur leurs pas. Que nous méritions maintenant grâce à leur grande force, revenir vers toi et aller dans les sentiers des justes devant toi. Inspire tous les Tsadikim, ceux dont j’ai prononcé le nom maintenant et ceux qui nous sont inconnus, afin qu’ils nous défendent et plaident pour nous devant le Trône de Ta Gloire, pour éveiller Ta compassion et nous prendre en pitié, pour nous ramener vers toi avec sincérité. Ote-nous ce coeur de pierre et donne-nous un coeur de chair, que nous puissions revenir vers toi ! Que nous puissions toujours aller sur le chemin des Tsadikim et que notre part soit avec eux dans le Monde Futur et le Gan Eden.



Tout s’est arrangé parce que je n’ai pas fait de don Ce titre est certes quelque peu provocateur, je le sais. Ce n’est pas tout à fait juste, mais ce n’est pas très loin de la vérité. Ecoutez mon histoire, et décidez vous-mêmes : Voici quelque temps que j’ai pris une bonne habitude : avant de monter dans l’autobus et après en être descendu, je m’approche de la boite de tsédaka de Koupat Ha’ir suspendue à la station de bus et j’y mets quelques pièces. Combien? Chaque fois une autre somme, selon l’inspiration du moment. Je ne suis pas riche, comme la plupart des gens qui étudient la Torah à plein temps. Mais un accident de la route ou un attentat peuvent faire dépenser à la victime dix mille fois plus que tous les dons que je pourrais faire pendant des années pour être sauvé de ces drames, sans parler du danger de mort, des souffrances, du traumatisme, etc. Bref, j’ai décidé que même d’un point de vue économique, il valait la peine de faire un don avant chaque trajet pour demander au Tout-Puissant de me protéger, et après chaque voyage pour Le remercier que tout se soit bien passé. Quiconque s’est trouvé dans un bus qui a échappé de justesse à un attentat ou quiconque a par miracle évité d’y monter me comprendra certainement. Voici peu de temps, j’ai voyagé dans un bus interurbain. Avant mon départ, j’ai déposé mon don dans la boite comme d’habitude, sans oublier de réciter quelques versets et de prier (c’est indispensable pour que mon geste ne devienne pas machinal). Le voyage s’est passé sans problème et nous sommes arrivés à destination. Je descends de l’autobus et je cherche la boite métallique suspendue à la station pour y mettre une pièce, comme je le fais toujours à la fin du voyage. Je mets la main dans la poche droite de mon pantalon où mon portefeuille est toujours posé, et je ne le trouve pas ! Ma poche est vide... Je plonge la main dans la poche gauche : vide elle aussi. Je palpe rapidement les poches de ma veste : rien ! Mon portefeuille a disparu ! Je comprends en un éclair qu’il est probablement tombé dans le bus. Comment retrouver ce bus à présent ? Il retournera sûrement dans ma ville lorsqu’il aura terminé de déposer tous les passagers ici. Que vais-je faire ? J’ai un jour entier de tâches à accomplir, et mon portefeuille contenait une grosse somme d’argent, ma carte bancaire, des chèques, mes clés, bref, tout ce qu’il faut pour vivre. Et voilà qu’il est resté dans le bus ! Je me retourne immédiatement dans l’espoir de voir l’autobus s’éloigner et de connaître au moins sa direction. A ma grande surprise, le bus est encore à la station ! Quelqu’un sort à grand peine un bagage de la soute, ce qui retarde le démarrage. Dans une seconde, le chauffeur fermera les portes et démarrera. Je me mets à courir et frappe de mes poings à la porte déjà fermée. Le chauffeur m’ouvre et je lui explique en quelques mots que je cherche un objet que j’ai perdu. Je me précipite à la place où j’étais assis. Mon portefeuille m’y attend patiemment! Je descends du bus tout content et m’approche de la boite de Koupat Ha’ir pour y glisser mon don, comme j’avais décidé de le faire. Alors que j’introduis les pièces dans la fente, je me rends soudain compte : Si je ne m’étais pas approché de la boite la première fois pour faire un don, je n’aurais pas remarqué que mon portefeuille avait disparu. Le bus aurait continué son trajet et j’aurais passé une journée entière à rechercher mon portefeuille perdu. Et qui sait si je l’aurais retrouvé en fin de compte… C’est justement parce que je n’ai pas réussi à faire mon don en descendant du bus que je me suis rendu compte de ma perte à temps (à temps ? et peut-être que l’autobus est resté à la station rien que pour moi ? je ne sais pas comment le Ciel a intervenu) et que j’ai retrouvé mon portefeuille. Alors, « tout s’est arrangé parce que je n’ai pas fait de don ». Vrai ou faux ?


Plus que tous les médicaments Ecrire cette histoire a été difficile, plus que toutes les autres. Une écriture élégante dans une lettre sincère qui touche au plus profond du coeur ; une conversation téléphonique qui laisse réfléchir. Il existe des gens grands qui sont prêts à révéler des périodes difficiles et douloureuses de leur vie dans le seul but d’encourager les autres à donner la charité. Qu’ils en soient ici remerciés ! Il lui est difficile de parler de cette époque, celle où son épilepsie s’est déclarée. L’affolement, l’impuissance, les terribles crises, l’horrible sensation qui les suivait. Une jeune femme de trente-cinq ans, mère de famille nombreuse… Les médecins n’étaient pas optimistes. Ils ont essayé des médicaments forts qui lui ont pris le peu de forces qui lui restaient. Malgré les pénibles effets secondaires des comprimés, les crises n’ont diminué ni en fréquence ni en intensité. « C’est un drame, dirent les quelques personnes au courant. Une véritable tragédie qui arrive brusquement à cette famille. Une jeune femme en parfaite santé qui élève de nombreux enfants et tout d’un coup – elle devient épileptique ! » « Il existe des maladies auxquelles, en plus de tout, s’ajoute la honte » pense la malade. Elle ne sort plus de chez elle de peur d’avoir une crise dans la rue. Et même dans sa maison, les jours passent entre le temps qu’il faut pour se remettre d’une crise et la crainte effroyable de la prochaine. Chaque crise risque de se terminer en un désastre. La chute est brutale et risque d’arriver n’importe où ; elle peut causer de graves dégâts, une fracture du crâne. Y aura-t-il quelqu’un pour apporter les premiers secours ? Impossible de le savoir. On ne peut pas non plus enchaîner le père de famille à la maison. La plus grande crainte, c’est que la crise ait lieu en présence des enfants… Il leur suffit d’assister à une seule crise d’épilepsie pour imprimer dans leur tendre esprit un traumatisme à vie. Cette maladie, qui n’est certes pas dangereuse, est effrayante et cause une grande souffrance. « On éprouve une peur terrible, comme si l’âme se détachait du corps. Ce n’est pas la crainte de la douleur, c’est quelque chose d’autre, d’incontrôlable, dont il est impossible de se protéger. Les mots ne peuvent le décrire.» Elle ressent des hallucinations effrayantes, un sentiment général de crainte cauchemardesque ; elle appréhende d’aller dormir la nuit. Son mari s’absente souvent de ses occupations, il est en retard à la synagogue. La maladie a arrêté le cours de leur vie familiale. Et on n’y a pas encore trouvé de médicament adapté. A cette période, les crises se produisaient à intervalles réguliers. Un sentiment intérieur inexplicable, qui allait en se renforçant, annonçait ce qui allait se produire. Les médecins ne savaient expliquer la raison de ce pressentiment – mais la malade le ressentait bien et ses prémonitions s’avéraient justifiées. Lorsque ce sentiment s’intensifiait, son effroi grandissait de façon incontrôlable. Est-ce que la crise allait se produire aujourd’hui ? Demain? Aprèsdemain ? Il lui était impossible de penser à quoi que ce soit d’autre, impossible de faire quoi que ce soit. L’effroi la paralysait. Un soir, lorsque ce sentiment lui fit comprendre qu’une crise était proche et que les dates – l’intervalle entre une crise et l’autre – correspondaient, Mme L. eut peur d’aller dormir. « Je n’ose pas aller m’allonger, dit-elle en pleurant. Je sais que la crise va arriver, j’en suis sûre. Je ne peux pas traverser ce cauchemar une fois de plus. » Aucun médicament n’est efficace, rien ne peut empêcher le mal. La crainte est paralysante. Soudain, comme par une suggestion céleste, elle prend une décision et son mari l’approuve. « Si jusqu’à Roch Hodech Iyar (un mois entier), je n’ai aucune crise, nous donnerons à Koupat Ha’ir telle somme ». Pour eux, il s’agissait d’une somme très importante qui dépassait leurs moyens. Bien que pour une famille moyenne, cette somme n’est pas considérée comme très élevée, pour eux, elle représentait un gros effort. Cette décision l’a rassurée. Elle est allée dormir et s’est réveillée le lendemain souriante et soulagée. Un profond sentiment de reconnaissance envers D. l’a enveloppée. L’appréhension qu’elle éprouvait la veille a disparu sans laisser de traces. Les jours passent. Les dates annoncent une nouvelle crise qui doit se produire. Elle s’examine et ne sent rien. Le mois n’est pas encore terminé. « Notre promesse est efficace, murmure-t-elle, craignant de compromettre le miracle. Elle est efficace. Les crises ne viennent pas ! Jamais autant de temps n’a passé sans crise. A présent, il n’y a rien ! » Le mois de Iyar entier est passé. Au début du mois suivant, Sivane, elle était en proie à une grande émotion, et aussi à une certaine appréhension. Un mois extraordinaire est passé, la situation va-t-elle revenir comme avant ? « S’il n’y a pas de crise non plus en Sivane, nous ferons un don supplémentaire » dit-elle. Son mari est d’accord. Il vaut mieux courir chercher des emprunts que de connaître cet avant goût de la mort. Les jours passent tranquillement, sans crise. Les médecins ne comprennent pas, ne peuvent pas le croire. Alors que leurs médicaments ne servent à rien, un don à Koupat Ha’ir est efficace ? « Il n’est pas nécessaire d’offrir de grosses sommes ; il faut qu’elles soient substantielles pour vous, explique-telle, émue. Chacun selon ses moyens. Le plus important, c’est le coeur, la prière, la foi en D. » Elle n’a pas eu de crise en Sivane non plus. Des mois sereins, sans crainte, sans le cauchemar habituel, sans pleurs nocturnes et sans frayeur. Deux dons à Koupat Ha’ir et puisse D. continuer à les aider... « Seul quelqu’un qui a connu cela peut comprendre la yéchoua que j’ai vécue, écrit-elle. Et je souhaite que personne ne le connaisse. »



Un éclairage céleste « Enfin, mon frère se marie ! soupire Sarah, l’aînée de la famille. Je ne sais pas comment mes parents arrivent à traverser cette période de stress pour chacun de leurs enfants ! » Elle s’effondre sur la première chaise qu’elle trouve et tente de détendre ses muscles qui lui font mal. Un instant plus tard, elle se lève déjà d’un bond pour accueillir les invitées qui entrent dans la salle, les accompagner à une table et s’assurer qu’elles sont à l’aise. La cérémonie vient de se terminer. Sa mère est restée près de la houpa avec quelques invitées qui s’apprêtent à partir. Sarah est la sœur aînée d’une famille nombreuse. Voici que Yossi se marie déjà. Qui l’aurait cru ? Pour elle, il est encore l’enfant turbulent qui se dispute avec tout le monde. Certes, les années ont passé et Yossi est devenu un garçon sérieux au coeur d’or… Les pensées défilent dans son esprit mais voilà que de nouvelles invitées arrivent : exclamations, embrassades, cadeaux déposés dans ses mains. « Où est ta maman ? » « Elle arrive tout de suite, voilà la table des amies de la famille, vous pourrez y trouver Mme… » Boum ! L’éclairage s’est éteint. Que se passe-t-il ? Sarah lève les yeux au plafond comme si la réponse à cette énigme s’y trouvait. Tous les néons sont éteints. Un brusque silence annonce que l’orchestre a perdu la possibilité de se faire entendre. L’absence de flashes fait comprendre à tous que le photographe est, lui aussi, dans l’incapacité de travailler. Du côté des hommes, quelqu’un commence à fredonner un chant dans l’obscurité. Personne ne le suit. Ce genre de mélodies correspond davantage aux heures de minuit qu’au moment où on doit commencer le repas. Sarah sort en courant vers les bureaux de la salle de mariage. Elle y trouve un responsable debout près de la boite d’électricité ouverte, perplexe. « Je ne comprends pas où est le problème. Je ne comprends pas, dit-il, découragé. Mes trois salles sont plongées dans l’obscurité. Cela ne m’est jamais arrivé. – Vous vous occupez de régler le problème, n’est-ce pas ? Demande Sarah. – Bien sûr! Je n’ai pas le choix! Si un soir de mariages se passe dans l’obscurité, je fais faillite ! » Sarah s’empresse de quitter les lieux, laissant le propriétaire nerveux toucher un bouton après l’autre. Elle retourne à la salle et voit que sa jeune sœur a rallumé les bougies ayant été utilisées à la houpa. Sarah passe de table en table pour s’assurer que toutes les invitées se sentent aussi à l’aise que possible. Au début, les gens attendant patiemment, puis quand les minutes passent sans que l’électricité ne revienne, les questions commencent à se faire entendre : « Vous avez essayé de téléphoner aux propriétaires de la salle? » «Est-ce qu’on a fait venir un électricien? » « Je connais un excellent électricien. Je vous conseille de l’appeler! Dites-lui que vous êtes en plein mariage et il arrivera en quelques minutes. Je suis sûre qu’en dix minutes, on aura oublié le problème. » « Ah ! Les gens aujourd’hui ! Les directeurs ont loué leur salle et une fois qu’ils ont reçu l’argent, on ne peut plus compter sur eux. » Sarah n’a pas le temps d’apprécier le cocktail de réactions des invités. Elle est soulagée que sa mère soit encore dehors et n’ait pas à affronter l’obscurité en présence des invitées. Le temps passe. Quelle situation désagréable ! Il n’y a ni orchestre ni photographe, ni lumière dans les toilettes ni climatiseur. L’air devient de plus en plus étouffant. « Pourquoi ne penses-tu qu’à toi-même ? Pense plutôt aux mariés… » la gronde sa sœur qui passe près d’elle. En réalité, elle ne pensait pas à elle-même à ce moment-là mais plutôt aux invités. Pourtant, il est vrai qu’elle avait oublié les mariés. Les pauvres ! Ils se trouvent tous deux dans la chambre du yihoud plongée dans le noir. Peut-être ont-ils allumé des bougies... Elle espère qu’ils en avaient. Sarah sort une nouvelle fois. La tension qui monte ne la laisse pas rester sur place. Le responsable est toujours debout devant la même boite électrique, un portable collé à l’oreille. Il descend un bouton après l’autre et les remonte ensuite, juste pour voir que rien n’a changé. D’autres personnes énervées se trouvent à côté de lui – ce sont les personnes qui ont loué les autres salles de mariage. « Il n’a pas même d’éclairage de secours. C’est inadmissible ! » s’écrie l’un d’eux. Le responsable rougit comme une tomate. « Il n’a pas de technicien qu’il peut appeler d’urgence, pas d’instructions dans un cas pareil. Rien ! Nous avons payé cher des salles de luxe et nous recevons un service déplorable. » Sarah revient dans la salle à petits pas. Elle n’a rien à annoncer aux invités


et ne sait que leur dire. Sa mère entrée avant elle tente d’affronter la situation désagréable de son mieux. Toutes les blagues ont été dites. Les bougies sont terminées. Quel mariage va avoir Yossi ? Dans vingt ans, il en rira, mais ce n’est pas cela qui la rassure pour l’instant. Déborah, une bonne amie, voit son visage défait. « Vous devriez peutêtre essayer de faire un don à Koupat Ha’ir. – Koupat Ha’ir est une excellente solution pour ceux qu’elle aide, répond Sarah en haussant les épaules. Je ne sais que te dire. J’ai essayé plusieurs fois. J’ai toujours promis : ‘Si mon problème est résolu, je donnerai tant’ et quand il ne l’a pas été, j’ai donné malgré tout. Je suis différente, probablement. Pour moi, cela ne marche pas. – Pourquoi ne pas essayer quand même ? Ne fais pas de don si cela ne marche pas mais au moins mets les chances de votre côté. Tu ne peux pas arranger le circuit électrique, n’est-ce pas ? Cette panne dure depuis plus d’une demiheure et on dirait que personne ne sait ce qui va se passer. Essaie au moins la seule chose que tu as la possibilité de faire. – D’accord, je vais essayer. » La voix de Sarah révèle le peu de chances qu’elle donne à cette possibilité. Elle s’écarte un moment et se met dans un coin. Soudain, une prière l’envahit, profonde, authentique, tout droit de son coeur vers le Ciel. En un instant, un pont direct est formé et elle éprouve un sentiment de proximité qu’on ne perçoit que rarement dans sa vie. « Si l’électricité revient, je donnerai 18 chékels à Koupat Ha’ir » dit-elle à mi-voix. « Tout ce que D. fait est pour le bien. Mais s’Il veut que notre prière soit accompagnée d’un don à la charité, voilà, j’ai promis un don. » Elle termine et pousse un profond soupir. Avec sa délicatesse habituelle, Déborah l’avait laissée seule. A présent, une attente inexplicable monte en Sarah. Elle ne donne pas de chances à ce don, cela n’a jamais marché pour elle, elle n’a donné que parce que c’était la seule chose qu’elle pouvait faire pour ce mariage – qu’attendait-elle ? Elle attendait que la lumière revienne. Malgré ce qu’elle avait dit quelques minutes plus tôt seulement, au plus profond de son coeur, elle savait que la lumière allait revenir à présent. Et elle est revenue. Cela lui a semblé arriver après une seconde. Après coup, en récapitulant, elle comprit qu’environ deux minutes avaient passé. La lumière revint d’un coup et éclaira le visage troublé des mères des mariés, des tantes, des amies… En un instant, les moments de tension et de gêne furent oubliés et une joie spontanée éclata. Les musiciens reprirent leurs instruments avec enthousiasme, le photographe se mit à émettre des flashes dans toutes les directions. On aurait dit que tout le monde voulait compenser les familles des mariés pour les difficiles moments qu’elles venaient de passer… « Cela valait la peine ! » dirent les yeux brillants de Déborah à ceux de Sarah. « Cela valait la peine, sourit Sarah. Tu ne peux pas t’imaginer à quel point. A part le mariage qui a repris tournure, j’ai gagné un moment très précieux de prière authentique, du plus profond du coeur. J’ai senti que ma prière montait et j’ai su qu’elle était acceptée. J’ai senti la main de D. m’envelopper. Qui n’a jamais senti cela ne pourra jamais le comprendre. » Comme Sarah était contente de faire partie de ceux qui ont pu goûter ce précieux sentiment !


par: le Rav Shalom Arush Shlit�a

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L’un des bienfaits que D-ieu a accordés à ses créatures est celui de leur avoir Prépare une voie leur permettant de s’élever audessus de l’abime de leurs actes et d’échapper au piège de leurs fautes; un chemin par lequel se préserver de la destruction et détourner de soi la colère divine. Dans Sa grande bonté et Sa droiture, il a montre à ses créatures la façon de se tourner vers Lui, et les y a encourages - dans le cas ou elles auraient faute contre Lui - car Il connait leur penchant naturel, comme il est dit : par: Rabbenou Yonah de Gerone “ D-ieu est bon et droit ; Il montre donc aux pécheurs le chemin” (Psaumes 25.8). Même si Ses créatures ont considérablement péché et ont fait preuve de révolte, même si elles ont été infidèles, Il ne leur a pas ferme les portes du repentir, ainsi qu’il est dit : “ Revenez a Celui dont vous êtes profondément séparés, enfants d’Israël ! “ (Isaïe 31.6) et “ Revenez, enfants rebelles, Je vous guérirai de vos égarements” (Jérémie 3.22). A plusieurs reprises, la Torah nous enjoint au repentir. On constate que, si le repentir de celui qui revient vers D-ieu en raison de ses malheurs est accepte, à plus forte raison est-il agréé lorsqu’il est mu par la crainte et l’amour de D-ieu, comme il est écrit : “ Dans ta détresse, lorsque t’arriveront toutes ces choses à la fin des jours, tu retourneras vers l’Eternel, ton D-ieu, et tu écouteras Sa voix “ (Deutéronome 4.30). La Torah montre clairement que, parce que les repentants sont limites par leur nature, D-ieu leur vient en aide et Il implante en eux un esprit de pureté qui leur permet d’atteindre l’amour de D-ieu, comme il est dit : “ Tu retourneras jusqu’à l’Eternel, ton D-ieu, et tu écouteras Sa voix selon tout ce que je te commande aujourd’hui, toi et tes enfants, de tout ton coeur et de toutes ton ame” (ibid. 30.6) afin que tu atteignes l’amour de D-ieu. Puisque les prophètes et les Hagiographes abondent en références au repentir, tous les principes s’y référent y sont exposes, comme nous l’expliquerons. Il faut savoir que le châtiment du fauteur tardant à se repentir s’alourdit chaque jour. En effet, le fauteur, conscient d'être l’objet de la colère [divine] et connaissant l’existence d’un sanctuaire - le repentir - ou se refugier, persiste néanmoins dans sa révolte et ses mauvaises actions. Alors qu’il a la possibilité d’échapper à la tourmente, il ne craint pas le courroux [divin]. C’est la raison pour laquelle son méfait est considérable. Nos Sages ont compare cette situation à celle d’une bande de voleurs emprisonnes qui, ayant creusé un tunnel dans le sol de leur cellule, parvinrent à s’en échapper, laissant derrière eux l’un de leurs compagnons. Le geôlier, découvrant la brèche et cet homme resté en arrière, se mit à battre l’infortuné de son bâton, en s’exclamant : “ Malheureux ! Le Tunnel est la, devant toi ! Pourquoi ne t’es-tu pas empressé de fuir ? “ (Kohéleth Rabba 7.15). Tarder à se repentir n’existe que chez les ignorant, assoupis et inconscients, ne possédant ni la compréhension pour s’arracher au plus tôt à leur situation. Certains d’entres eux, éloignés de D-ieu, ne croient pas au châtiment, C’est pourquoi nos Sages, de mémoire bénie, dirent : ‘ Si tu as vu un érudit fauter le soir, n’entretiens pas de mauvaises pensées à son sujet le lendemain, car il sera certainement repenti “ (Berakhot 19a). Réfléchis encore au grand méfait de celui qui tarde a se repentir. S’il le faisait immédiatement, s’il se lamentait avec amertume, s’alarmait, était saisi d’angoisse, et versait d’abondantes larmes de chagrin, il serait à même de vaincre son mauvais penchant revenue à la charge pour l’inciter encore à fauter. Il se souviendrait de son amère expérience passée et ne se hasarderait pas à la reproduire, comme il est dit : “ Affligez-vous de reproches (rigzou) et ne fautez point “ (Psaumes 4.5). Le verset précédent : “Vous recherché le mensonge…” (ibid. 4.3) concerne la faute ; celui-ci signifie donc : “Affligez-vous de remords et soyez peines d’avoir péché, car cela vous empêchera de retomber dans la faute”. Cette interprétation est justifiée par l’emploi du mot “rigzou”, comme dans les versets : “ Ne vous faites pas de reproches (tirgezou) sur la route” (Genèse 45.25) et : “Je m’affligerai (ergaz) la ou je me tiens” (Habakuk 3.16), ce terme signifiant, dans ces versets, le chagrin que l’on éprouve pour le passé et le présent. Il faut remarquer qu’il n’est pas dit “craignez” ou “redoutez”, [mais “affligez-vous de remords”].


GARDES TA LANGUE Une récompense pour chaque instant de silence Le ‘Hafets ‘Haïm écrit dans ‘Hovot HaChemira : « Sache aussi que celui qui prend sur lui de se garder des

paroles interdites reçoit en plus une récompense séparée pour chaque jour où il s’est engagé à faire attention, ainsi qu’il est écrit « arrête ta langue du mal ». Et même s’il n’a pas eu l’occasion de surmonter des épreuves, il recevra une grande récompense. A quoi est-ce que cela ressemble ? A quelqu’un qui nomme un gardien sur ses biens : le gardien recevra certainement un salaire pour son temps de garde, même s’il ne s’est pas présenté de voleurs à ce moment-là. De même, quand on garde sa langue de paroles interdites, par le fait qu’on s’empêche de les prononcer, c’est déjà suffisant pour recevoir une énorme récompense qu’aucun ange ni aucune creature ne peuvent imaginer, comme l’a écrit le Gra dans sa célèbre lettre.

Pourquoi Rav Houna a-t-il jeûné pendant quarante jours ? Le Rav Tsedaka zatsal avait l’habitude de citer la Guemara (Baba Metsia 33b) qui parle de Rav Hisda et Rav Houna alors qu’ils avaient un différend. Rav Hisda fit quarante jeûnes parce qu’il avait causé de la peine à Rav Houna, et Rav Houna fit quarante jeûnes parce qu’il avait soupçonné Rav Hisda pour rien. C’est terrible ! Si le grand Rav Houna, pour un léger soupçon contre son ami, a jeûné pendant quarante jours, que dire de ceux qui parlent n’importe comment de leurs amis, et à plus forte raison des grands d’Israël ? Que le Ciel nous préserve! Pendant la fête de Soukot, un an avant la disparition du Rav zatsal, quelqu’un de sa famille est venu le voir, et l’a trouvé assis en train de regarder une photo du ‘Hafets ‘Haïm zatsal. Quand notre maître a senti sa présence, il lui a dit : « Celui qui garde ce visage devant les yeux ne peut pas faiblir dans la maîtrise de sa langue selon la halakhah. »

Des bénédictions pour ceux qui gardent leur langue Le ‘Hafets ‘Haïm écrit : Outre toutes les parachiot que nous avons citées qui parlent de l’interdiction du Lachone HaRa, le Saint béni soit-Il a donné une bénédiction spéciale à celui qui se garde de cette faute, et le contraire pour ceux qui disent régulièrement du Lachone HaRa, et à propos desquels il est écrit «maudit». C’est dans la parachat Ki Tavo (27, 12) : ceux là se tiendront pour bénir le peuple sur le mont Guerizim. Chacune des dix maledictions commence d’abord par une bénédiction pour celui qui se garde de cette faute. C’est pourquoi on a d’abord donné les bénédictions à voix haute pour tout homme d’Israël qui se garde de cette faute, et tout Israël a répondu Amen. Ensuite on a dit : «Maudit celui qui frappe son prochain en secret» (ibid. 24), ce qui désigne l’interdiction du Lachone HaRa, et tout Israël a répondu Amen. Combien il faut se garder de cette faute, qui est maudite de tout Israël! Heureux celui qui s’en préserve, il est béni de tout Israël.

Le silence même est une mitsva Le ‘Hafets ‘Haïm écrit : Quelqu’un qui contrôle ses paroles et fait attention à chaque mot qui sort de sa bouche a un atout énorme, parce qu’à chaque fois qu’il veut parler, il examine si les paroles qu’il veut prononcer contiennent un element interdit de Lachone HaRa, de persiflage, ou si elles sont susceptibles de causer de la peine, et tout cela lui permet de maîtriser ses instincts et de s’empêcher de parler, ce qui lui est compté comme s’il accomplissait effectivement une mitsva. Ainsi qu’il est dit (Makot 23) : « Il y a des gens qui, parce qu’ils ont évité de transgresser, reçoivent une recompense comme s’ils avaient accompli une mitsva ». En faisant le compte, on s’aperçoit qu’en évitant les paroles interdites pendant une année, on accumule des milliers et des myriades de mitsvot.


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G A

R D

E S

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L A

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Une récompense pour chaque instant de silence Le ‘Hafets ‘Haïm écrit dans ‘Hovot HaChemira : « Sache aussi que celui qui prend sur lui de se garder des

paroles interdites reçoit en plus une récompense séparée pour chaque jour où il s’est engagé à faire attention, ainsi qu’il est écrit « arrête ta langue du mal ». Et même s’il n’a pas eu l’occasion de surmonter des épreuves, il recevra une grande récompense. A quoi est-ce que cela ressemble ? A quelqu’un qui nomme un gardien sur ses biens : le gardien recevra certainement un salaire pour son temps de garde, même s’il ne s’est pas présenté de voleurs à ce moment-là. De même, quand on garde sa langue de paroles interdites, par le fait qu’on s’empêche de les prononcer, c’est déjà suffisant pour recevoir une énorme récompense qu’aucun ange ni aucune creature ne peuvent imaginer, comme l’a écrit le Gra dans sa célèbre lettre.

Pourquoi Rav Houna a-t-il jeûné pendant quarante jours ? Le Rav Tsedaka zatsal avait l’habitude de citer la Guemara (Baba Metsia 33b) qui parle de Rav Hisda et Rav Houna alors qu’ils avaient un différend. Rav Hisda fit quarante jeûnes parce qu’il avait causé de la peine à Rav Houna, et Rav Houna fit quarante jeûnes parce qu’il avait soupçonné Rav Hisda pour rien. C’est terrible ! Si le grand Rav Houna, pour un léger soupçon contre son ami, a jeûné pendant quarante jours, que dire de ceux qui parlent n’importe comment de leurs amis, et à plus forte raison des grands d’Israël ? Que le Ciel nous préserve! Pendant la fête de Soukot, un an avant la disparition du Rav zatsal, quelqu’un de sa famille est venu le voir, et l’a trouvé assis en train de regarder une photo du ‘Hafets ‘Haïm zatsal. Quand notre maître a senti sa présence, il lui a dit : « Celui qui garde ce visage devant les yeux ne peut pas faiblir dans la maîtrise de sa langue selon la halakhah. »

Des bénédictions pour ceux qui gardent leur langue Le ‘Hafets ‘Haïm écrit : Outre toutes les parachiot que nous avons citées qui parlent de l’interdiction du Lachone HaRa, le Saint béni soit-Il a donné une bénédiction spéciale à celui qui se garde de cette faute, et le contraire pour ceux qui disent régulièrement du Lachone HaRa, et à propos desquels il est écrit «maudit». C’est dans la parachat Ki Tavo (27, 12) : ceux là se tiendront pour bénir le peuple sur le mont Guerizim. Chacune des dix maledictions commence d’abord par une bénédiction pour celui qui se garde de cette faute. C’est pourquoi on a d’abord donné les bénédictions à voix haute pour tout homme d’Israël qui se garde de cette faute, et tout Israël a répondu Amen. Ensuite on a dit : «Maudit celui qui frappe son prochain en secret» (ibid. 24), ce qui désigne l’interdiction du Lachone HaRa, et tout Israël a répondu Amen. Combien il faut se garder de cette faute, qui est maudite de tout Israël! Heureux celui qui s’en préserve, il est béni de tout Israël.

Le silence même est une mitsva Le ‘Hafets ‘Haïm écrit : Quelqu’un qui contrôle ses paroles et fait attention à chaque mot qui sort de sa bouche a un atout énorme, parce qu’à chaque fois qu’il veut parler, il examine si les paroles qu’il veut prononcer contiennent un element interdit de Lachone HaRa, de persiflage, ou si elles sont susceptibles de causer de la peine, et tout cela lui permet de maîtriser ses instincts et de s’empêcher de parler, ce qui lui est compté comme s’il accomplissait effectivement une mitsva. Ainsi qu’il est dit (Makot 23) : « Il y a des gens qui, parce qu’ils ont évité de transgresser, reçoivent une recompense comme s’ils avaient accompli une mitsva ». En faisant le compte, on s’aperçoit qu’en évitant les paroles interdites pendant une année, on accumule des milliers et des myriades de mitsvot. Page 56


LA MORT ET LA VIE SONT AU POUVOIR DE LA LANGUE Un jour, le roi de Perse tomba gravement malade. Ses médecins essayèrent en vain tous les remèdes pour le guérir. Les spécialistes appelés à son chevet conseillèrent de lui faire boire du lait de lionne. Mais comment s’en procurer ? Comment s’approcher d’une lionne et la traire ? Les Sages de Perse décidèrent de demander conseil à Shlomo Hamélekh, connu pour sa sagesse, et promirent d’importantes sommes d’argent à celui qui donnerait du lait de lionne au roi. De tous ses sujets, Shlomo Hamélekh ne trouva personne aussi capable que Bénayahou ben Yéhoyada, chef de l’armée de Shlomo Hamélekh . Il était Av Beth Din. Son amour d’Hachem ne connaissait pas de limites, personne ne l’a égalé, même plus tard, dans l’amour d’Hachem. Son érudition était légendaire. De plus, il était doué d’une force physique rare. Celui-ci se munit de 10 chèvres teurs. Il découvrit une tanière et Lorsqu’il vit la lionne allaiter ses vres qu’il avait apportées. La lionne proie. Le lendemain, Bénayachèvre, en se rapprochant un peu plus. Lorsqu’il en était devenu si familier à sa approcher et carestraire ainsi l’animal et avec le lait.

et partit dans le désert avec ses servise tint en observation, à distance. petits, il lui lança de loin une des chèse jeta dessus et dévora sa hou lui lança une deuxième un peu. Il avança chaque jour fut à la dernière chèvre, il la lionne, qu’elle se laisser docilement. Il put retourner au palais

Le messager du roi de Perse prit le lait et retourna auprès de son roi. Après de nombreuses heures de voyage, il s’arrêta pour se reposer. Il s’assoupit, et rêva que ses membres se disputaient. Chacun voulait prouver qu’il était supérieur aux autres. Les pieds se vantèrent : « Nous sommes allés chercher le lait, et c’est nous qui l’apportons au roi ! » Les mains répliquèrent : « Il est vrai que vous faites le chemin, mais c’est nous qui portons le lait ! » Les yeux s’ouvrirent et dirent : « nous sommes supérieurs si nous n’aurions pas montrer la route rien ne serait arrivé ! » Le coeur a entendu leurs dires et protesta : « Je suis le plus important sans mon conseil l’envoyé ne serait jamais partit ! » La langue les interrompit et prétendit : « En fait, c’est moi la plus importante de vous tous ! Je suis celle qui a parlé au roi et l’a persuadé d’essayer ce remède ! » Les autres membres la raillèrent. La langue répondit : « Attendez que nous nous tenions devant le roi, et je vous prouverai bien qui est le plus important des membres. » Le messager se réveilla troublé mais ne s’attarda pas sur son rêve. Arrivé devant le roi, il lui dit : « Majesté, voici le lait de chienne que vous avez demandé ! » Le roi, surpris par ce qu’il venait d’entendre, fit saisir le messager et le condamna à mort. Jeté dans une prison, il s’endormit et refit le même rêve. La langue dit aux autres membres qu’elle leur avait prouvé que c’était bien elle qui dominait tous les membres. Vous allez tous mourir. Si vous reconnaissez ma supériorité, je vous sauve ! » Tous s’empressèrent de lui demander pardon. A son réveil, l’homme comprit ce qu’il pouvait faire pour échapper à la mort. Lorsqu’il fut mené à la potence, il demanda qu’on lui accorde une dernière volonté comme on le faisait à tous les condamnés. Il voulait dire quelques mots au roi. Il se jeta aux pieds du roi et dit : « Majesté, c’est du lait de lionne que je vous ai amené, mais nous autres, chasseurs, avons l’habitude de dire lait de chienne pur lait de lionne. Je vous en prie, essayez le lait ! Vous verrez qu’il vous soulagera. » Le roi ordonna de lui apporter le lait. Dès qu’il but, il sentit ses forces revenir. Il fit libérer le messager.

Cette histoire devint l’illustration du proverbe de Shlomo Hamélekh : « La mort et la vie sont au pouvoir de la langue. »


Santé - Bien-être Le Lin Le thé de graines de lin est excellent contre les rhumes, les maux de gorges, les pneumonies et les infection des naires, les bronchites, les inflammations des cordes vod'estomac, la constipation et les infections intestinales. l'huile de lin sont recommandées pour les peaux infecsées.

la fatigue générale, membranes pulmocales, les spasmes Les frictions à tées et oedémati-

La Marjolaine (Zahtar) La marjolaine améliore les fonctions des organes digestifs ,facilite l’évacuation des tre .la marjolaine immunise le corps contre le rhume et prévient l'encombrement commandée aux asthmatiques et aux bronchiteux, et pour tous les autres troubles sécrétion du lait chez la nourrice ,chasse l'insomnie et l'anxiété. elle est employée voies urinaires. Bouillie avec pétales de roses, elle s’utilise dans l’épilepsie, cuite contre la transpiration excessive, cudu lait ite dans ,elle renforce l'acuité visuelle, sauge, elle résorbe les œdèmes des jambes marjolaine renforce la mémoire et les huile trouve un usage particulier dans l’eczéma ,les maux de tete et les migraines.

gaz et calme les maux de vendes voies respiratoire est rerespiratoires augmente la dans les infections des avec des figues, elle lutte cuite avec des feuilles de facultés mentales. Son

LA LAITUE la laitue est très riche en vitamines A et E. Contre l'insomnie et les sur le front et les tempes des compresses imbibées de jus de lail'huile de rose. La constipation cède devant la laitue .Les diabéasthmatiques y trouverons eux aussi un soulagement à leurs des tiges contient des substances exerçant un effet analogue à l'opium: il endort et calme les douleurs. la laitue est bonne maux de dents, les inflammations des gencives, les maux de ladies du foie et des reins. les personnes âgées qui souffrent soudu sommeil devrons manger de la laitue chaque jour .

maux de tête,appliquer tue mélangé à de tiques et les maux. Le jus celui de contre les ventres,les mavent de troubles

La Grenade Elle ravive la mémoire et son intérêt est grand de l’organisme. La grenade jugule les diarrhées. aussi de bon résultats dans les cas de stomatites et tes. Manger la grenade avec les fines peaux. Cette s'emploie dans les soins de beauté pour effacer les

comme draineur Elle donne d’amygdalidernière rides.


Santé - Bien-être


Recettes MAKBOUBA - MARMOUMA

ROULE AU CHOCOLAT

Ingredients: (pour 6-8 pers)

Ingrédients:

4 tomates bien rouge 4 poivrons 2 rouges 2 vert 1 piment (pas oblige) 5 gousses d'ail 1/2 verre d'huile sel, poivre noir, paprika doux

6 œufs 200 gr sucre 200 gr farine 1 sachet de levure chimique 1 sachet de sucre vanille 1 cas d'huile 2 tablettes de chocolat

Préparation: Couper les tomates et poivrons et piment en dés de taille moyenne. Éplucher les gousses d'ail et les couper en petit dés verses le tout dans une casserole, ajoutez l'huile, le sel, le poivre et paprika selon le gout désirer. Laisser mijoter a feu doux pendant 4 heures, remuer de temps en temps avec une cuillère en bois. www.israjew-occas.net

Préparation: Battre les blancs en neige Ajouter le sucre tout en continuant de battre, puis ajouter les jaunes d’œufs, la farine, la levure chimique, le sucre vanille et la cas d'huile. Mettre au four a 180 degrés environ 20 - 30 min Nappage: Faire fondre le chocolat au bain-marie Enrouler le gâteau sur lui même et le garnir avec le chocolat.

Blagues L'humour de Golda Meir

La race humaine

Golda Meir, Première Ministre d'Israël socialiste, de 1969, à 1974, était une femme autoritaire, mais, paradoxalement, avec un sacré don pour l'humour juif. Surnommée, la grand-mère d'Israël, les jeux de mots et les traits d'esprit ont rempli sa longue vie de militantisme et de politique. Un jour, elle fit pression sur le Secrétaire d'Etat des USA, Henry Kissinger, pour qu'Israël devienne une priorité majeure de la politique étrangère américaine. Irrité, le patron de la diplomatie des Etats-Unis riposta et lui adressa une réponse, dont la conclusion était : « Je dois vous informer que je suis d'abord: Citoyen américain. Puis, Secrétaire d'Etat. Enfin, Juif. »

Une petite fille demande un jour à sa mère: Maman, comment la race humaine est-elle apparue? La maman répond : Dieu fit Adam et Eve et ils eurent des enfants. C'est ainsi que la race humaine est apparue. Deux jours plus tard, la petite fille pose à son père la même question. Le papa répond : ll y a très longtemps existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des hommes. C'est ainsi qu'est apparue la race humaine. Confuse, la petite fille retourne voir sa mère et lui demande : Maman comment se fait-il que tu m'aies dit que la race humaine a été créée par Dieu et

La conquête de Mars

Avenue Foch

En 2020, deux astronautes arrivent sur Mars. Leur mission : vérifier s'il y a de l'oxygène sur la planète… - Passe-moi la boîte d'allumettes, dit l'un d'eux. Soit ça brûle, c'est qu'il y a de l'oxygène et il ne se passe rien... Soit tout explose ! ... Il prend la boîte, s'apprête à gratter l'allumette, quand tout à coup un Martien apparaît en agitant les bras.... - Non, Non, Non...il ne faut pas ! ! ! Les deux hommes se regardent, inquiets… - Y a-t-il sur Mars un gaz explosif inconnu ? On ne va pas se laisser impressionner. C'est le but de notre mission, dit-il en reprenant une allumette… Et là, 50 martiens hystériques arrivent en agitant les bras.... - Non, Non, Non...il ne faut pas ! ! ! Nos deux astronautes, stoïques, pas du tout impressionnés par la présence de 50 martiens disent : - Ça a l'air sérieux !....Que redoutent-ils ? Après tout, on est là pour la science, pour savoir si l'homme peut respirer sur Mars ! Sur ce, il gratte une allumette qui s'enflamme et il ne se passe rien. - Mais enfin, dit-il en s'adressant aux martiens, pourquoi vous vouliez nous empêcher d'allumer une allumette ? - Parce qu'aujourd'hui, c'est Shabbat ! ! !

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Sarah et Isaac ne s'entendent plus. Alors qu'il fait ses mots croisés, Sarah tombe sur une petite annonce dans le Figaro : "Appartement à louer avenue Foch, prix : 1000 euros par mois " - Laisse moi faire mes mots croisés, dit Isaac, c'est sûrement une coquille ! Sarah appelle l'agence afin de vérifier l'information et demande à visiter l'appartement. Isaac accepte de l'accompagner. Ils tombent sur un cinq pièces magnifique, 250 mètres carrés, du parquet au sol, des cheminées, des moutures aux plafonds, des portes en bois magnifiques et le gars de l'agence confirme : - C'est bien 1000 euros par mois. Il réfléchit un instant et il rajoute : - Juste une petite chose que je dois vous préciser : On l'a loué cinq fois à des couples et cinq fois de suite, la femme est morte au bout d'un mois.


CONCOURS FAMILLY TORAH Parmi les bonnes réponses 3 gagnants seront tirés au sort et gagnerons 1 stylo Birkat Amazone et un livre des Tehilim 1 - Combien de jours dure la fête de Hanouka ? [ ] 8 jours

[ ] 1 jour

[ ] 9 jours

[ ] 7 jours

2 - Comment s'appelait le fils de Yohanan Cohen Gadol ? [ ] Matithiahou

[ ] Moché

[ ] Morde'haï

[ ] Michael

3 - Comment s'appelle le Temple Saint que les grecs ont saccagé? [ ] Le Beth Hamidrash

[ ] Le Beth Hamikdash

[ ] Le Beth Habbad

[ ] Le Michkan

4 - A quelle date fêtons-nous Hanouka ? [ ] 25 Kislev

[ ] 25 Tichri

[ ] 25 Hechvan

[ ] 25 Décembre

Réponses à renvoyer sur famillytorah@gmail.com avant le 20 Janvier 2013 Merci de préciser votre nom, adresse et téléphone La liste des gagnants apparaîtra sur notre prochain numéro

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Spécial Hanoucca: cours pour femmes du Rav Azriel Cohen-Arazi le lundi 3 déc. à 20h30 chez Mme Journo, 69 rue Ouziel, Baït Vegan. Renseignement Johanna 054-2283452

Yom Limoud mardi 11 déc. 9h30 Rav Azoulay, 10h45 Rav Uzan de Bne Brak. Petit déjeuner offert, bibliothèque en français. Paf 20 sh. Ronit 052- 8195508. Synagogue Hekhal Meir 38 rue Smilanski. A.M.Y.: fête Hanouka à l'Hôtel Margoa, 9 rue Gad Machness jeudi 13 déc. À 14h. Au programme: café-gâteaux, Bingo, allumage de la 6ème bougie, soufganiot et...Farka. P.A.F.: 60 sh. tt compris (lots attractifs). Bénéfice au profit de l'Hôpital Laniado. 052-2611802 054-7612990 054-6641954. Hanoucca à l'hôtel Park Natanya le 10 déc. repas casher complet, animation D.J. Yacov. PAF: 200 sh. Tania 052-2906913. WIZO section francophone: allumage de la 6ème bougie de Hanoucca jeudi 13 déc. à 19h: trio de «violons magiques». Dégustation de soufganiot. P.A.F: 70 sh. 13 rue Mac Donald. Renseignement: 052-4489484 054-5596790 Wizo Netanya: shabbat plein à l’hôtel Park avec le Rav Yoel Benarrouche le vendredi 14 et samedi 15 décembre. Possibilité de départs organisés des principales villes. Places limitées. Inscription: 052-4201358

Les Matinales léilouï nichmat Yaël Léa Esther mardi 4 déc. 9h Rav Dreyfus, 10h Rav Fitoussi (B.BK), 11h Rab. Hana Ovadia, 12h Rav Arrouas. Michèle Galulla 052-8966588 Le Moadon: conférence de Maître Pierre Daniel sur le thème «Ne pas perdre sa mémoire et garder son optimisme; la neuro plasticité du cerveau» le mardi 4 déc. à 15h. Synagogue Kiryat Hana David: 10 rue Yotam. Shir Ha Nashim: centre d’études féminin de Baka; Léilouï Nichmat Meir Marvin, merc 5 déc. 9h30 Rav Yaakov Benshimon et 10h45 Rabbanit Sylvie Schatz. Synagogue Bet Yossef 10 rue Mekor Haim. Renseignement Graziella 054-4874337 Cours d'Hilkhot Shabbat le mardi à 20h 15 avec Rav Dagani Cohen. Synagogue Bet Yossef 10 rue Mekor Haim. Renseignement Graziella 0544874337 Cours du Rav Haim Dynovisz lié à l'actualité du jour ts les jrs du dim. au jeudi de 8h30 à 10h sur le Zohar, la Hassidout, le Talmud, le H’oumach et la Guemara. 15 rue Yossi Ben Yoezer, Katamon. 054-3189655

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