Magazine paris nuit 2015 fev mars

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www.paris-nuit.fr

PARIS

NUIT

Le Petit Pergolèse / Auguste / Metro : un vrai sens du « sur mesure » Red Bull Bar Staff Challenge / Spa Dans Le Noir : Laissez vous guider La Paris Cocktail Week fait le plein / Saint-James fête ses 250 ans…

10 RESTOS 13 DOSSIER 60 PRODUIT

# 200

200 Les

Concours Granini et Paris Nuit. Gagnez 5 «séjours» à Berlin ! (voir p9 - 11 - 62)

N° 200 - FÉVRIER - MARS 2015 4 €

qui font Paris



Édito

Réveillez-vous…

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Ce début d’année 2015 a été marqué par les événements dramatiques du mois de janvier. A l’image de la société entière, la nuit parisienne a elle aussi été bouleversée et touchée. Le week-end du vendredi et du samedi, et somme toute les semaines suivantes, l’émotion était vive parmi les noctambules, professionnels ou pas.

FÉVRIER / MARS 2015

NUIT

Guide des boissons de la nuit Le repaire : Toutes les des Cocktails salés, Bobios ! / Jean-A stars cocktails tendan lbert Vergnaud de la rentrée / La Recycl présente ces… / Meatin la 5 e édition erie… g, le bar à du MICS viande branché de Boulog ne

06 NEW S 61 TROPHÉES 15 DO SSI ER

Et pourtant, cette violence-là, les employés des établissements de nuit, tout comme leurs gérants, la connaissent parfaitement bien. Les insultes proférées à la porte suite à un refus, les actes d’incivilité commis par tel ou tel groupe à l’extérieur ou à l’intérieur d’un bar ou d’un club, sont des phénomènes habituels auxquels sont confrontés chaque semaine des milliers de salariés. Et là, pas de télévision pour rendre compte de cette violence, verbale et parfois physique. Pas d’homme politique pour dire le droit et le civisme. Quand les médias nationaux se penchent sur le « berceau de la nuit », c’est toujours pour dénoncer un refus à la porte, des bruits à l’extérieur ou soutenir des associations de riverains. Quand les pouvoirs publics s’intéressent à ce qui se passe après 20h, c’est toujours pour vérifier les autorisations de nuit, dresser des procèsverbaux aux terrasses mal alignées ou « amender » les automobilistes indisciplinés.

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L’APP LI

E 2014 4€

PARIS NUIT

BRE - OCTOBR

TOUTE L’ACTU

NEWS, RESTOS,

CLUBBING, SOIREES, BARS E-MAG

N° 198 - SEPTEM

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N° 199 - DÉCEMBRE

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N° 198 - SEPTEM

NUIT

Le Petit Pergolèse / Auguste / Metro : un vrai sens du « sur mesure » Red Bull Bar Staff Challenge / Spa Dans Le Noir : Laissez vous guider La Paris Cocktail Week fait le plein / Saint-James fête ses 250 ans…

# 199

2014 - JANVIER 2015 4 €

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PARIS

Dix ans Dans Le Noir / Le Zaza / Havanita Café Le Speakeasy : : Toujours a place to be / Muratt La Table du Huit Atik : une certaine leader maximo ! se met en quatre idée / Un Maze élégamme du spectacle nt japonisant…

10 RESTOS 13 DOSSIER 60 PRODUIT

PARIS

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12 MUS IQUE 36 TROPHÉES 44 CLUB BING

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PARIS

NUIT

Concours Granini et Paris Nuit. Gagnez 5 «séjours» à Berlin ! (voir p9 - 11 - 62)

N° 200 - FÉVRIER - MARS 2015 4 €

qui font Paris

Personne pour sécuriser les établissements de nuit, pour prendre en compte la dangerosité du métier ou pour entendre leurs analyses. Personne pour s’indigner qu’un couple n’ose plus se promener main dans la main sur les Champs-Elysées après 2h du matin, qu’une femme seule ne va jamais à Bastille le week-end après minuit. Si c’était le cas, cela fait longtemps que l’on aurait admis que les règles et les règlements sont faits pour être respectés. Que la couleur de la peau ou une religion n’a rien à voir avec l’interdiction faite à une personne de pénétrer dans un lieu de nuit. C’est l’attitude, le respect des autres, le savoir-vivre en société qui priment. Dans la nuit on le sait depuis des décennies.

PARIS NUIT

Directrice de la publication : Véronique Menu, tél. 01 45 32 01 56. veronique.menu@ paris-nuit. fr. Directeur de la rédaction : Alexandre Habibi. alexandre.habibi@paris-nuit. fr. Rédacteur en chef : Jean-Paul Viart, jp.viart@paris-nuit.fr. Rédacteur en chef adjoint : David Champbertauld, tél. 01 45 32 06 36. contact@paris-nuit.fr. Rédaction : Alexandre Fitte, Candice Lasne, Pierre Gautrand. Photographes : Joël Laplaige, Jessika Leray Directrice commerciale : Véronique Menu, tél. 01 45 32 01 56. veronique.menu@paris-nuit. fr. Publicité : William Goldblum. Administration : Ketty Dauphin, Tél. 01 45 32 32 32. ketty. dauphin@paris-nuit.fr. Directrice artistique : Studio Lisa May. Photogravure : Paris Nuit. Impression : Imprimé en France.

Ce 200e numéro de Paris Nuit est le témoignage de notre connaissance du secteur. Avec les 200 « professionnels » présents dans cette édition nous aspirons à ce que la nuit parisienne soit comprise et défendue. Qu’elle puisse être un champ de libertés, de convivialité et de fêtes. Les centaines de milliers de Parisiens qui fréquentent les établissements de nuit méritent la considération de tous. Ils représentent le savoirvivre à la française, une part de notre culture, une vraie philosophie de vie. N’attendons pas qu’elle soit prise pour cible pour l’entourer de la considération qu’elle mérite.

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Chefs de projet : Éric Riva, eric.riva@paris-nuit.fr. gladys.couture@paris-nuit.fr / Laurence Servat. Directeur artistique : Olivier Teilhout Paris Nuit est édité par Capitale Communication 53, rue Vivienne - 75002 Paris. Tél. : 01 45 32 32 32 – Fax : 01 45 32 32 35 ISSN : 0994-3617 Tous droits de reproduction, textes et photographies, réservés pour tous pays. Les manuscrits non publiés ne sont pas renvoyés.

Alexandre Habibi

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Sommaire

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Restos

AUGUSTE

Dossier

LES 200 QUI FONT PARIS

Dans le 200e numéro de ce magazine, qui fête dans un mois ses 28 printemps, nous avons célébré toutes celles et tous ceux qui, au fil des années, ont fait, font et continueront à faire la nuit parisienne.

La proximité du musée Rodin a inspiré à Jean-Louis Berthet –le créateur des lieux– ce prénom illustre, Auguste, à la fois majestueux et solennel, qui s’accorde parfaitement au décor et à l’esprit de ce restaurant étoilé.

News

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Spa Dans Le Noir : Laissez-vous guider dans l’univers du spa. L’Ice Breaker Tour Poliakov. Le Petit Pergolèse. CGA – Nielsen : indicateurs 2014. Augustin : convivialité et gourmandise. La Paris Cocktail Week a fait le plein. Le Macumba ferme ses portes. Le Diago, le bistrot musical qui fait bouger Toulouse.

Restaurants

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Clubbing

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Produits

60

Des Boulettes gastronomiques ? Eh oui ça existe ! Leda : Comme à la maison ! Red Bull Bar Staff Challenge Saint-James fête ses 250 ans. Grande année Granini !

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News

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LAISSEZ-VOUS GUIDER DANS L’UNIVERS DU SPA.

EPICURE

élu « Meilleur restaurant d’hôtel du monde » Nouvelle récompense pour Le Bristol Paris et son restaurant Epicure qui viennent de recevoir le prix du Meilleur restaurant d’hôtel du monde aux World Luxury Hotel Awards 2014, lors de la cérémonie de gala qui s’est déroulée dernièrement à Camps Bay en Afrique du Sud.

LE PETIT PERGOLÈSE Le Petit Pergolèse ménage, sous la houlette d’Albert Corre, un savant mix entre l’art et la table. Le maître des lieux a installé un restaurant-galerie d’art ou une galerie-restaurant… Albert Corre y a convoqué les grands de l’art contemporain : César, Warhol, David LaChapelle... La gastronomie n’est pas en reste. Frédéric Lagrange propose une carte où terre et mer cohabitent. A suivre actuellement le tartare de dorade au caviar de Sologne, le risotto aux truffes, la salade de homard bleu... A découvrir la fricassée de rognon de veau, les goujonnettes de sole, ou le filet de bar sauvage. 38 rue Pergolèse – 16e ardt Du lundi au vendredi à déjeuner et à dîner Service voiturier Tél. : 01 45 00 23 66

C’est un concept unique au monde de blind massage. Tous les soins et le parcours se font dans l’obscurité. Le Spa Dans Le Noir initie petits et grands aux massages dans l’obscurité depuis 2011. Il a reçu le prix du grand concours des Lumières de la Beauté en 2012. L’accueil se fait par des praticiennes qualifiées et diplômées. Situé en plein centre du quartier Etienne Marcel de Paris, ce concept-spa s’inspire d’une tradition née en Asie du Sud, des blind-massage ou massage réalisé par des non-voyants. Le Spa Dans Le Noir propose une nette qualité de soins, de massages et de détente. La vue et l’odorat sont choyés dès l’entrée du client. Au cours des étapes de son SPA, l’ambiance cocooning et l’obscurité sont là pour englober le client dans une bulle de bien-être. Les produits et services du Spa Dans Le Noir est toujours haut de gamme et à la pointe de l’innovation des trends des métiers du bien-être. Les praticiennes du lieu en sont les impératrices. Le toucher est le sens qu’elles pratiquent tous les jours et qu’elles manient avec précision et dextérité, pour le plus grand bonheur de leurs patients. 65 Rue Montmartre, 2e ardt Tél. : 01 83 95 46 77

L’ICE BREAKER TOUR POLIAKOV L’Ice Breaker Tour, programmé du 5 mars au 4 avril, part cette année à la découverte de la fraîcheur glaciale. Investissant successivement Paris, Nancy, Nice, Lille et Bordeaux, la nouvelle tournée Poliakov plongera chaque soir un bar de nuit et un club discothèque dans son bourbillon de fraîcheur glaciale… Mais barmen « flair », hôtesses et danseuses mettent tout en œuvre pour rompre la glace. Ces ambassades festives éphémères, pavoisées aux couleurs Poliakov –kit habillage, set musical…–, indoor comme outdoor, proposeront dégustations, photo call, curling et show dance, animés par l’Ice Breaker Team. Goodies et jeu-concours Poliakov viendront forger les souvenirs… Les dates : Paris les 5/6/7 mars, Nancy les 12/13/14 mars, Nice les 19/20/21 mars, Lille les 26/27/28 mars et Bordeaux les 2/3/4 avril. Les établissements parisiens 5 mars Le Fifth bar – 62 rue Mouffetard (5e ardt) Corcorans – 23 boulevard Poissonnière (2e ardt) 6 mars Truc Mush – 5 Passage Thiéré (11e ardt) Palacio – 42-44 rue Maurice Gunsbourg (Ivry-sur-Seine) 7 mars Cavern Club – 21 rue Dauphine (6e ardt) Le Pachanga – 8 rue Vandamme (14e ardt)

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LE MACUMBA ferme ses portes Le Macumba de St-Julien-en-Genevois, qui a si longtemps représenté ce qui se faisait de mieux au niveau européen en matière de loisirs de nuit, tire sa révérence. Après l’événement exceptionnel de la fin 2014, sept réveillons planétaires, sept univers magiques et fascinants animés par 40 artistes et DJs, les sept clubs et les quatre restaurants vont définitivement fermer leurs portes. Préludant cette décision, les Trophées de la nuit ont récemment rendu un hommage mérité à Roger Crochet, créateur des lieux et chef de cette famille d’entrepreneurs de nuit qui, avec Nadeige et Pascal, marque son temps. Roger Crochet a reçu un Trophée d’honneur pour l’ensemble de son œuvre en faveur de la nuit. Ouvert en 1977, riche d’une fantastique histoire, ce centre de loisirs de nuit qui disparaît rassemblait annuellement quelque 700 000 noctambules sur les 6 000 m2 dédiés à la fête et à la restauration. En 38 ans d’existence, il a vu passer toutes les stars de la chanson, au sommet de leur notoriété, de Gilbert Montagné à Claude Nougaro, en passant par Julien Clerc, Joe Dassin, Sylvie Vartan, Eddy Mitchell et bien d’autres.


News

07 La Paris Cocktail Week a fait le plein Pour la première fois, le monde du cocktail est parti dernièrement à la rencontre des Parisiens. La Paris Cocktail Week était organisée dans huit quartiers et 40 bars. Les établissements invités étaient les principaux acteurs de la « cocktail attitude ». Du bar du Bristol au Redhouse, cet événement a offert une très large diversité à destination d’un aussi large public qui n’a pas boudé l’événement, bien au contraire. Durant l’opération, chaque établissement proposait un cocktail création à prix réduit, pour initier –avec la modération requise– le plus grand nombre à l’univers de la mixologie. La Paris Cocktail Week a également été l’occasion de cours, de master class, de dédicaces, de débats… LES QUARTIERS ET LES BARS QUI ONT PARTICIPE Montorgueil – Sentier (Ballroom, La Conserverie, ECC, Jefrey’s, Lockwood, Mabel), St-Denis – St-Martin (Copper Bay, Le Coq, Le Syndicat), Bastille (A la Française, Café Moderne, Le Calbar, Lone Palm, Maria Loca, Moonshiner, Red House, Sherry Butt), Haut Marais (Candelaria, Grazie, Jeune Rue, Little Red Door, Mary Celeste, Pas de Loup, Shake N Smash), Champs-Elysées (Apicius, Bar George V, Bristol, L’Hexagone, Prince de Galles-Les Heures), Madeleine – Opéra (Bar Brûlé – W, Buddha Bar, Forum, Park Hyatt Paris Vendôme), St-Germain – Odéon (Castor Club, The Club, Le Hibou, L’Hôtel, Prescription Cocktail Club), Sopi – South Pigalle (Artisan, Dirty Dick, L’Entrée des artistes, Glass, Lulu White, Professore-Gocce).

Augustin : convivialité et gourmandise ç

Le Diago, le bistrot musical qui fait bouger Toulouse Le Diago, l’ex-Diagonal Café de la place des Carmes, vient d’être lancé par John Azoulay et Eric Boussemart. Ce bistrot musical au look urbain décontracté accueille du mardi au samedi, de 9h à 2h (3h le samedi) rythmant les heures au gré de ses espaces ; terrasse, coin restauration et bar, sous-sol à ambiance musicale… Avec cet établissement, John Azoulay, issu du monde musical, et Eric Boussemart, fondateur de l’agence événementielle Halloween Group, réalisent leur projet commun de faire du Diago un lieu d’élégance et de décontraction. Comme le souligne Eric Boussemart, « ici, chacun trouve son bonheur à toute heure, du petit noir du matin au cocktail de la nuit, en passant par l’apéro entre amis ». Dans un décor moderne, épuré, la carte aux accents du Sud-Ouest, propose des menus simples et frais, avec un large choix de tapas. Depuis qu’ils ont fait l’ouverture de ce Diago, les patrons se disent « heureux d’être là », à l’instar de bon nombre de leurs clients… Du mardi au samedi, de 9h à 2h, le samedi jusqu’à 3h 37 place des Carmes – Toulouse

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Jeu de lumières, murs en briques, mobilier aux lignes épurées… la décoration d’Augustin a été particulièrement soignée par le maître des lieux. La cuisine est visible de la salle, permettant de suivre le chef, Vincent Deyres, et sa brigade. Il travaille avec bonheur de beaux produits de saison, portant le label de l’origine contrôlée : faux-filet et foie gras de chez Duperrier, volailles des Landes du coq Saint-Honoré, sorbets et glaces de Pierre Géronimi. A suivre : Cappuccino de langoustines, gambas et châtaignes ; Millefeuille de Brocciu aux légumes confits, Risotto Carnaroli aux noix de St-Jacques, Selle d’agneau farcie aux olives… 79 rue Daguerre – 14e ardt Tous les jours jusqu’à minuit, sauf le dimanche. Tél : 01 43 21 92 29


News

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Metro :

un vrai sens du « sur mesure » L’exemple de l’aménagement du VIP Club Privé, une discothèque proche de La-Roche-Sur-Yon, illustre le niveau de réactivité et le sens du « sur mesure » de METRO…

C’est à Venansault, à 200 m de l’entrepôt METRO de La-Roche-Sur-Yon, qu’était inaugurée dernièrement la discothèque VIP Club Privé. Son propriétaire, Pascal Guérin, compositeur, interprète sous le pseudonyme de Paskero, cherchait un lieu pour créer en Vendée un établissement de nuit. Les volumes impressionnants de cet ancien entrepôt et la tranquillité de la zone industrielle où il est implanté l’ont décidé. Neuf mois de travaux ont été nécessaires pour réaliser ce club, à la pointe du design et de la technique. Le service « maison », l’ADN de METRO Parfaite illustration de la dimension du service « maison », METRO et son bureau d’études spécialisé ont été chargé par Pascal Guérin de prendre en charge la conception et l’équipement du bar et de l’arrière bar, l’une des composantes essentielles de cet établissement de Vendée promis à un bel avenir, dans cette région où la nuit tient toute sa place. Le chef d’entreprise a pris contact avec les équipes de METRO au salon Serbotel de Nantes, en octobre 2013, notamment Hervé douillez, responsable du bureau d’études pour la région Ouest. VL Event, le prestataire de METRO, était également présent, avec un bar lumineux rétroéclairé. Pascal Guérin a ensuite pris contact avec Christophe Jeanbu, alors manager CHR de METRO La-Roche-surYon. Christophe Jeanbu et Hervé Douillez ont réalisé les premiers plans, métrages, fluides, évacuations, électricité… Le projet a été affiné avec les normes du prestataire pour un résultat époustouflant : un bar lumineux de 12 m de long et un arrière bar, lui aussi éclairé, mettant en scène les beaux flacons. Pascal Guérin a plus particulièrement apprécié le professionnalisme des intervenants, le suivi du chantier et la réactivité des équipes. Une superbe référence Comme le souligne François Lemoine, chef de groupe métier Café, bar, pub, club, « Cette réalisation exemplaire constitue une belle vitrine pour nos bureaux d’études, capables d’intervenir partout en France, quels que soient les besoins de nos clients ». Cette opération d’envergure confirme la philosophie de METRO, c’est-à-dire « proposer aux professionnels, notamment de la nuit, une solution complète d’agencement, d’équipement, de produits – alimentaires ou non– et de services ».

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Julien Hollard, directeur du VIP Club Privé, Stephane Vesz, directeur de l’entrepôt de La-Roche-sur-Yon et Pascal Guerin, gérant du VIP Club Privé.

Le VIP Club Privé en chiffres

Surface : 800 m2 Piste : 90 m2 Equipe : 14 personnes Fréquentation : 1 000 personnes le week-end Clientèle : 20-40 ans



Restaurants

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-2,6 % CGA – Nielsen : indicateurs 2014 Entre Janvier et Août 2014, selon les experts CGA-Nielsen du hors domicile, il s’est vendu 23,2 Mions de litres de spiritueux en CHR. Soit un recul de 2,6 % vs la même période l’année dernière. Cette baisse est liée au recul important de catégories piliers : les whiskies B-12 Ans (-7,2 %) et les anisés français (-6,8 %). Les vodkas se portent en revanche très bien avec une croissance de 6,2 %, tout comme les gins avec +8,1 %. (Source : Brand Index CGA-Nielsen 2014).

LES BOULETTES Passant par les boulettes de bœuf d’Aubrac et sa sauce béarnaise à celles d’agneau de Bellac et thym citronné venez goûter aux plus vieux plats du monde revisités par deux afficionados de la cuisine ! Kevin Austruy, chef des cuisines de Boulettes et maître des lieux est passé par les cuisines du Ritz, du Petit Bofinger… Dan Cebula, concepteur et développeur de restaurants, à qui l’on doit DEPUR (Drôle d’Endroit Pour Une Rencontre). Chez Boulettes, chaque jour sont proposées cinq recettes de boulettes différentes. Pas de carte fixe chez eux ! Pour les desserts, toujours du « Home Made » et proposés au gré des saisons.

Auguste La proximité du musée Rodin a inspiré à Jean-Louis Berthet –le créateur des lieux– ce prénom illustre, Auguste, à la fois majestueux et solennel, qui s’accorde parfaitement au décor et à l’esprit de ce restaurant étoilé.

L’espace est intime et soigné. Les murs cirés gris clair, le portique blanc, les grands miroirs et le parquet gris foncé, concourent à créer une ambiance contemporaine. Deux toiles de Ladislas Kijno, hommage aux Bouddhas de Bamyian, donnent également le ton. En cuisine, Gaël Orieux, étoilé Michelin, livre avec maestria sa conception de la gastronomie à travers une carte équilibrée et changeante où le produit joue les premiers rôles. Entre tradition et modernité, il propose le meilleur de la mer –consommé de crevettes grises, citronnelle et galanga ; croustillants de langoustines à la mélisse ; Saint-Jacques et foie gras ; Bar de ligne, kacha de sarrasin en persillade…– et de la terre –suprême de pigeon et sa juste cuisson ; bœuf Simmental, sabayon de yuzu ; côte de veau «française», poivré genièvre, tube de riz et tourteaux… Au moment du dessert, «Comme» un mille-feuille parfumé à la fève de tonka est une merveille de légèreté avec sa mousse à la vanille et sa crème d’un Mont-Blanc. A découvrir également la poire rôtie, laquée de sarrasin torréfié, mousse au champagne et fruit de la passion, et le soufflé pistache «100 % naturel». Menu découverte et accords metsvins livrent aussi toute la dimension créative du chef, associée à des crus de belles naissances, joyaux de petits producteurs proposés et présentés avec passion par Akim qui ajoute l’érudition œnologique à un incomparable sens de l’accueil. 54 rue de Bourgogne – 7e ardt Du lundi au vendredi, au déjeuner et au dîner Tél. : 01 45 51 61 09

179 rue Saint Denis, 2e ardt Tél. : 01 42 21 46 44

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Dossier

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Les 200 qui font Paris Dans le 200e numéro de ce magazine, qui fête dans un mois ses 28 printemps, nous avons célébré toutes celles et tous ceux qui, au fil des années, ont fait, font et continueront à faire la nuit parisienne. C’est grâce à eux et à leur fidélité que nous avons la chance et le plaisir d’exister. Ils sont sur le devant de la scène médiatique depuis quelques mois ou plusieurs décennies. C’est leur silhouette prégnante qui paraît nettement sur le grand écran de nos nuits blanches. A travers leurs missions, leurs établissements, à travers leurs marques et leurs produits, de 19h à l’aube, tous les jours de la semaine, ces 200-là –patrons exceptionnels, organisateurs enthousiastes, syndicalistes engagés, commerciaux impliqués– aident au quotidien la capitale à tenir son rang européen en matière de fêtes et de loisirs nocturnes. Cet instantané « premium » montre la richesse de cette ville et la variété de ses animateurs. Dans une conjoncture de plus en plus âpre, cette légion de passionnés fait tout ce qui est en son pouvoir pour faire vivre la nuit. Chacun persiste, contre vents et marées, à maintenir le cap pour que Paris, « ville lumière », continu à briller de ses mille feux. L’entreprise « nuit parisienne » compte bien d’autres acteurs majeurs, toutes les équipes des établissements, mais aussi tous les artisans qui contribuent à faire vivre cette ville durant la nuit, auxquels nous rendons aussi un hommage particulier. Il nous fallait pourtant faire des choix et nous avons opté, affectivement, pour celles et ceux qui sont les plus proches de Paris Nuit, en toutes circonstances et depuis si longtemps… Nous avons, naturellement, oublié des intervenants incontournables ; l’omission est médiatique… Nous sommes certains qu’ils sauront nous pardonner…

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Dossier

A

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MICHEL ACARIÈS

« Nous sommes installés là avec Louis –il est tout le temps avec moi ! – et mon ami Ben –tout le monde connaît Benoit !– au 25 Avenue »… Prononcer « 25 Avenew », pour être vraiment up to date : « Nous sommes au 25 avenue Pierre 1er de Serbie». C’est un vrai club de copains, décoré façon cabinet des curiosités, avec une cuisine sympathique qui met en condition pour chanter et danser jusqu’au bout de la nuit.

MURATT ATIK Au cœur de l’actualité parisienne avec la dimension « cabaret » du Pink Paradise et la renaissance du Stringfellows, Muratt Atik et son épouse, Joanna, continuent à imposer « une certaine idée du spectacle ». Tour à tour créateur, organisateur, animateur, acteur, Muratt Atik cherche sans relâche la panacée alchimique qui fait les nuits plus belles, avec ce qu’il faut de fantaisie, de charme et de sensualité. Au Pink Paradise, il fait vivre aujourd’hui sa volonté de « retrouver 150 ans de cabaret à travers show, musiques, projections… » Sans renier l’image Glam’Chic des origines, il a confié à l’acteur-metteur en scène Nicolas Briançon le soin d’imaginer un spectacle capable de tutoyer ses rêves. Cette volonté de prospecter de nouvelles voies se retrouve au Stringfellows avec la naissance du « strip bar » à l’ambiance très britannique. En hommage à Peter String Fellow, le monument de la nuit londonienne, « pape du striptease dans le monde », Muratt Atik enflamme l’heure de l’apéro. Cette alternative un peu underground pour les couche-tôt est manière de première dans la capitale. 2015 devrait être un excellent cru pour ce créateur toujours plus proche de son public, attentif à ses désirs et à ses envies. Une revue est en préparation, vouée à l’international, afin d’exporter l’image de Paris dans le monde, « pour dire que nous savons monter des choses et faire du spectacle, intelligemment, en donnant de l’émotion à travers la sensualité parisienne ». Clara Morgane y sera une magnifique guest star… A suivre !

Malek Ali-Ammar

ANTHONY AKOUN Chez Coca-Cola Entreprise depuis sept ans est commercial Grands Comptes Nuit/Prestige depuis deux ans, Anthony Akoun est en charge du suivi des clubs, bars, pubs, restaurants « trendy », cabarets et palaces. Au fil des années, la nuit a pris de l’importance chez Coca-Cola Entreprise et Anthony développe des partenariats durables en répondant au maximum aux attentes de ses clients, anticipant leurs besoins et leur offrant une proximité nécessaire. De façon plus générale, le premier trimestre 2015 est dynamique pour Coca-Cola Entreprise avec le lancement du quatrième pilier de la Famille : après Coca-Cola, Coca-Cola Light et Coca-Cola Zero, voilà Coca-Cola Life !

JEAN-CLAUDE ARRACK

Malek Ali-Ammar a mis son style de vie parisienne dans une canette... C’est en tout cas ce qu’il préconise avec cette « Monster Energy Team » qu’il manage de main de maître dans la capitale. Tout comme lui, les bars et les clubs choisissent Monster Energy pour marquer leur différence tout en garantissant la satisfaction de leurs clients. Cette différence, on la retrouve dans les choix marketing de la marque numéro 1 aux Etats-Unis qui supporte depuis des années les sports les plus spectaculaires, les groupes de musique les plus radicaux et les événements urbains les plus cools et partagés par des fans de plus en plus nombreux (1million de fan FB en France) !

Jean-Claude Arrack veille depuis des lustres aux destinées du Piano Club, manière d’institution dans le monde parisien des bars d’ambiance. Dans cette rue Sainte-Anne arpentée en leur temps par Yves Mourousi et Jacques Chazot, Jimmy fait renaître les vieux tubes. Le week-end, la Nano prend le relais avec sa programmation très éclectique. Les amateurs de vintage peuvent profiter des barres de pole dance en sirotant d’excellents cocktails.

PARIS

NUIT

Lucie Arnoux Directrice commerciale consommation hors domicile chez Heineken, Lucie Arnoux ne manque jamais de rappeler la longue histoire qui lie son groupe à la nuit : « Nous avons toujours accompagné la nuit, car elle est créatrice d’images et de volumes pour nos produits. » Pour elle, « c’est dans la nuit que naissent les modes et les nouveaux concepts : La nuit est un territoire d’expression extraordinaire pour nos marques… »

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Dossier

15 Philippe Baldini Celui que la nuit parisienne a baptisé « Baldoche » continue à immortaliser les grands événements nocturnes. Il le fait avec brio et professionnalisme des 1984 et ses premiers instantanés au Palace. Depuis, il est partout où sont les stars, avec cette gentillesse qui l’a à jamais banni de l’univers des paparazzi… La photo dérobée, ce n’est pas son style. Philippe Baldini est un gentil et ce sont la sympathie et la fidélité qui lui permettent d’approcher les VIP partout où ils se trouvent.

Rachid Bellak Il suffit de suivre Rachid Bellak pour être certain de ne jamais passer à côté d’une soirée parisienne qui compte. Ce photographe sillonne la capitale en adhérant au monde des « people » avec un tel talent qu’il est devenu incontournable. Travailleur infatigable, il mitraille sans relâche, livrant à son art la dimension compulsive, révélant l’ambition légitime de faire, pour chaque événement, la bonne photo, la seule, celle qui compte pour l’éternité…

Ben Si la gentillesse avait un nom, sans doute porterait-elle le sien… Depuis des années, Ben continue imperturbablement à écrire, chapitre après chapitre, la belle histoire de la Casbah, ce bar-restaurant-club qui incarne la nuit parisienne depuis l’aurore des années 90. Décoration évocatrice, salon plein de charme, majestueux bar colonial, lumières tamisées, musique lounge… Ben profite de cette ambiance feutrée, apaisante, pour proposer le meilleur de la gastronomie marocaine. Couscous, tagines et pastillas aux fragrances épicées s’unissent pour transporter les gourmets au cœur de Marrakech ou de Casablanca ; illusion que ne vient nullement contrarier les soirées électriques où des DJ’s inspirés attisent les braises du dance floor…

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Isa et Alain Bessie

Addy Bakhtiar

Ces ex du No-Comment ont à présente posé leur savoir-faire au Taken-Club, voguant avec la même passion sur la vague du charme, de l’érotisme et de la sensualité. La nuit s’encanaille joliment dans ce cadre cosy et chaleureux avec ce qu’il faut d’élégance pour que l’expérience ou la douce habitude soient sereinement vécues. La clientèle agréable d’Isa et d’Alain –toujours prévenants, « aux petits soins »… – se plie avec sourire à l’étiquette… Courtoisie, tenue correcte et sexy exigées !

Voilà l’un des « collectionneurs » qui multiplie les ouvertures depuis des années. Addy Bakhtiar n’est pourtant pas favorable au travail à la chaîne. Chaque établissement qui naît sous sa houlette est différent du précédent et du suivant. Ce n’est pas non plus un phénix qui se régénère. C’est de la pure création qui suit les pulsions sociétales. Cet entrepreneur, addict au-delà de la raison commune, est à ce point attentif aux fluctuations de l’âme humaine qu’il parvient à en appréhender les états. A travers SPELL, Addy Bakhtiar gère aujourd’hui une vingtaine « fluctuante » d’établissements dans l’univers de la restauration et des loisirs avec l’objectif intangible « de développer des flux, d’ouvrir aux Parisiens des lieux qu’ils n’ont pas l’habitude de fréquenter »…

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Dossier

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Olivier Bertrand Il fait partie de la génération pour qui « les affaires sont plus fortes que les hommes ». Il le prouve par l’exemple fort, notamment, d’un impressionnant potentiel de chaînes ou d’établissements, de La Gare à la Brasserie Lipp, du Café Leffe à Quick, d’Angelina au Charlie Birdy, d’Au Bureau à Bert’s, etc. Etc. Etc.

ELIEZER BENHAMOU Que deviendrait Paris sans le libertinage ? Ce n’est certes pas une question qu’il convient de poser à Eliezer Benhamou. Il répondrait assurément « Absolument inenvisageable ! » Avec ses établissements, le Moon City, le Sun City et l’Eclipse, il livre dans la capitale la définition du verbe s’encanailler « synonyme d’ouverture sexuelle, mais aussi d’ouverture d’esprit sur les plaisirs de chacun ». Courtoisie et Respect de l’autre sont inscrits en lettre d’or sur le fronton de ces trois établissements libertins où sont accueillis les couples, les femmes, les gays… pour des instants torides.

PIERRE-FRANÇOIS BLANC Digne héritier d’une dynastie remarquable, Pierre-François Blanc dirige avec maestria l’Opéra Restaurant, implanté dans le mythique Palais Garnier. A l’instar de son père, Jean-François, et de ses oncles, il a choisi un lieu hors des sentiers battus dont l’originalité est le premier atout… Mission amplement réussie avec ce cadre prestigieux, relooké par l’architecte Odile Decq qui a su apporter une étonnante touche contemporaine consacrée par le convoité « Restaurant & Bar Design Awards ». L’Opéra Restaurant est également envié pour sa majestueuse terrasse qui permet à Pierre-François Blanc d’organiser aux temps chauds des soirées mémorables…

LIONEL BENSEMOUN Il est l’une des têtes emblématiques de la multicéphale et fameuse Equipe du Baron –notamment avec André Saraiva–, le club parisien qui a fait renaître le clubbing en lui proposant une nouvelle approche. Formé à l’événementiel « récréatif », associant pour le meilleur la mode, la musique, le design, Lionel Bensemoun a cette vista de l’avantgardiste qui l’aide à essaimer dans la capitale, vers des lieux qu’il frappe du sceau de la tendance. Avec sa Clique, outre le Baron, il suit le Fantôme, le Bar de Lapérouse, le concept Nanashi, Bento parisien, la Nuba, sur le toit de la Cité de la mode et du design sur le quai d’Austerlitz, et même l’Hôtel Amour…

Régis Bertrand Régis Bertrand dirige l’agence Metro 12 - Bercy, 24 avenue des Terroirs-deFrance. Au quotidien, le groupe livre toute la dimension du service maison, véritable ADN de l’entreprise : conseils de vendeurs spécialisés, préparations de commandes, promotions exceptionnelles…

RICHARD BONALDI Richard Bonaldi et l’équipe du Doobies –Victor, Candice, Jean-Marc, Camille, Florent… insufflent l’esprit de la night… On y parle, on y prend un verre en racontant sa vie, on y dîne –la carte a les parfums du monde –Toscane, Asie, Provence– et les saveurs de la fête. On peut même y danser jusqu’à l’aube… Au Doobies, les DJ’s ont l’esprit large, mais « sans house et sans techno »… Révélateur de cette nuit qui bouge, Florent a reçu le Master Paris Nuit du bar pour l’ensemble de son œuvre autour du remarquable zinc de l’établissement.

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Chawky Bouabdallah Ancien champion de judo, Chawky, plus connu dans la nuit parisienne sous le surnom de « Chouky » a traversé les décennies nocturnes sans prendre une ride ! Démarrée dans la restauration rapide, sa carrière s’est poursuivie avec la création de plusieurs restaurants italiens avant de s’illustrer dans les clubs. Propriétaire de l’Opus Café, puis de la Casbah, Chouky a su merveilleusement réunir deux univers somme toute complémentaires : le sport et la fête !

JEAN-ELIE BONNAY Cet ancien pilier du Club Med a la stature idéale pour mener à présent ses gentils noctambules (GN) dans les nuits endiablées du Pavillon ChampsElysées. Il bénéficie là d’un cadre qui n’a rien à envier à ces villages enchanteurs du bout du monde qu’il a longtemps arpentés. Après une profonde transformation, ces lieux, rebaptisés Pavillon Champs Elysées, sont devenus l’une des adresses les plus prestigieuses de Paris. Entre Champs Elysées et Avenue Montaigne, Jean-Elie Bonnay laisse libre cours à son art du recevoir sur plus de 1 000 m2 d’espace, accueillant, dans certaines configurations, jusqu’à 1 200 clubbers.

SOPHIE ET RICHARD BONTEMPS

PAUL ET ZIAD BOU ANTOUN

A eux deux, ils dirigent une dizaine de pubs dans la capitale ! Et leur histoire ressemble à un conte de fées. Débuts plateau à la main, rencontre autour d’un zinc et voilà une nouvelle famille personnelle et professionnelle dans la capitale ! Leur humour est légendaire et leur philosophie de vie et de travail détonne dans un univers ô combien industrialisé aujourd’hui. Reste à déchiffrer le nom de leurs affaires. Et là, y’a du travail : Yellow Mad Monkey, Thirsty Mad Cat…

Aux côtés de leur père, Jean-Paul Bou Antoun, les deux frères Paul et Ziad ont perpétué l’impérieuse mission de faire vivre l’excellence de la cuisine libanaise à Paris. Dotés du vaisseau amiral, le Pavillon éponyme, depuis 1989, et forts de leur succès, les Bou Atoun ont créé une flottille de référence, chargée d’essaimer le savoirfaire culinaire dans la capitale et dans les départements des petite et grande couronnes, de l’Opéra à Montparnasse, de Vélizy au Val d’Europe. Avec la reprise de la chaîne Lina’s, la famille a également changé de registre, devenant un acteur majeur de la restauration parisienne et partant même à la conquête du marché français.

Daniel Borie Daniel Borie possède quelques cordes majeures à son arc nocturne. Avec le Trait d’Union –rue de Rennes– et ses assiettes gourmandes à toute heure, il livre aux Parisiens et aux touristes une belle image de la restauration. A la nuit tombée, changement de décor et de clientèle. Daniel Borie reçoit dans son club, le Back Up, rue de la Croix Nivert. Cet univers « élégant et plein de fantaisie » couvre quelque 800 m2, de quoi ajouter quelques belles références à la nuit : dance floor d’envergure, bar panoramique, salon VIP, fumoir, son et technique à la pointe… Un environnement en voie de disparition ?

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Emilio Bouglione Paris ne serait pas Paris sans son mythique Cirque d’hiver, animé depuis 1934 par les quatre frères Bouglione. Cette famille voue une véritable passion pour le cirque, mais aussi pour ce fabuleux édifice. En ce début d’année 2015, les Bouglione présentent leur spectacle Géant. Au cœur du plus ancien cirque du monde se succèdent acrobates, trapézistes, chevaux, le tout présenté par l’incontournable Monsieur Loyal.


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Thierry Bourdoncle Cet Aveyronnais est d’une discrétion proverbiale. Il ne se tourne vers les médias qu’à de très rares exceptions, menant son train conquérant en toute intimité… Thierry Bourdoncle a sans doute changé de dimension le jour où il a décidé de racheter le célébrissime Café Sénéquier à Saint-Tropez, cédé par Jean-Denis Sarraquigne. Il serait actuellement à la tête d’une bonne vingtaine d’établissements parisiens dont quelques pépites comme le Pub Saint-Germain en mutation, le Mabillon ou encore le Petit Poucet, la Palette ou le Hibou, l’un des dernières acquisitions.

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Christian Breucq Christian Breucq fréquente la nuit depuis des lustres. Après avoir animé des discothèques d’envergure en région parisienne, il est arrivé dans la capitale avec la French Beer Factory, rue Montmartre.Tel un phénix festif, cet établissement est en train de renaître avec un bar et un espace en sous-sol réservé au clubbing… A suivre…

David Brevel

Jean-Marie Bourbon Tout le monde en parle… A la fois de Jean-Marie Bourbon et de son restaurant-bar-club bien nommé, devenu à l’usage et par commodité, « TLMP »... Il est vrai que cet établissement du cœur de Montparnasse est taillé pour la nuit, surtout avec les nombreuses soirées qui s’y déroulent. Dans cet univers aux multiples facettes, Jean-Marie Bourbon organise le show en live : serveurs chanteurs, magie en close-up, danseurs de salsa… La nuit est aussi réservée au clubbing.

Eric Boussemart Eric Boussemart anime Halloween, une agence toulousaine en prise directe avec la nuit parisienne et ses événements. Il est de ceux qui aident à la rendre un peu plus belle, un peu plus prestigieuse, à grand renfort de charme, d’audace et d’effets spéciaux. Un peu magicien, mais surtout très professionnel, Eric Boussemart multiplie, dans la capitale et ailleurs, animations de soirées, de concerts, de festivals, street marketing... Ce sont, remercions-les au passage, les charmantes hôtesses « Halloween » qui accueillent les patrons d’établissement lors de la cérémonie desTrophées de la nuit…

Hamoudi Bouzidi Hamoudi Bouzidi veille notament aux destinées du Chacha Club, au cœur des Halles. Cet établissement est l’archétype des actuels lieux branchés de Paris. Doté d’une forte adaptabilité, il est à la fois bar, restaurant et club ; un lieu de vie en quelque sorte où l’on peut arriver à l’afterwork et rester jusqu’au bout de la nuit. Le Chacha polymorphe –boudoir, salons, restaurant…– a ainsi accueilli dernièrement l’Epicerie Ballantine’s pour une animation éphémère autour du « Bar Project by Ballantine’s. »

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David Brevel fait chaque soir un show aux couleurs de La Havane dans son Cubana Café de la rue Vavin. A la fois bar, restaurant et club, comme beaucoup de lieux qui marchent fort en moment, le Cubana Café fait la part belle à l’ambiance cubaine et à tout cet environnement qui invite au voyage et à l’évasion exotique, de l’apéro à l’aube. Outre David Brevel et son art consommé la fête, les stars locales sont bien évidemment le rhum de Cuba, ses cocktails associés, et une myriade de produits qui ont la cote outre-Atlantique, notamment les haricots noirs et le riz parfumé…


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MARCEL CAMPION Il n’est pas étonnant de trouver dans ces 200 personnalités qui font la nuit parisienne, celui dont le nom est lié à la plupart des spectacles de rue d’envergure à Paris : l’emblématique Marcel Campion devenu pour tous « le roi des forains ». Il organise ou concoure à l’organisation de la Foire du trône, de la fête du Jardin des Tuileries. A la Concorde, il veille sur la Grande Roue et ouvre chaque hiver son Marché de Noël, le long de l’avenue des Champs-Elysées. Véritable homme-orchestre qui connaît la musique de la fête, cet inlassable promoteur, né en 1940, préside par ailleurs Le Monde festif en France, une association qui annonce la couleur. Marcel Campion est également proche du CHR à travers La Chope des Puces, à Saint-Ouen, haut lieu du jazz manouche… Admirateur inconditionnel de Django Reinhardt et de ses émules, le roi des forains est aussi, à ses heures, prince de la guitare !

BERNARD BURGUET Le directeur commercial CHD EckesGranini France prépare une grande année pour la gamme Granini qui fête ses 50 ans « de savoir-faire, de plaisir et de passion du fruit ». Pour l’occasion, Bernard Burguet dit « Merci » à ses clients et à leurs consommateurs en affichant haut et clair cet hommage sur les étiquettes des bouteilles… « Merci pour leur confiance et leur fidélité ». Il annonce aussi des kits et des matériels d’animation promotion de la marque, « avec des moyens particuliers sur le cocktail, un moment de consommation à fort potentiel »… Comme le souligne Bernard Burguet, « Granini a un ADN lié au CHR. Nous dédions tous nos moyens, toutes nos innovations à ce marché des bars, restaurants et hôtels »...

Bruno Camus

Didier Carrère Didier Carrère, directeur national de la nuit et des relations publiques Orangina Schweppes, fête en 2015 la 25e année de ses nocturnes d’anthologie. La nuit et son évolution sont aujourd’hui pour lui un vecteur de communication premium, « avec de moins en moins de grosses structures, mais de plus en plus de petits établissements, bars de nuit et restaurants à ambiance musicale… ». Pour la marque –qui est l’un des plus anciens et des plus dynamiques partenaires des Trophées de la nuit–, 2015 sera un cru majeur, avec les nouvelles aventures de la villa Schweppes et le lancement attendu d’Héritage, la version Premium de Schweppes dédiée au monde de la nuit !

MICHÈLE CASSARO Michèlle Cassaro, dîte Mimi, a débarqué à Paris avec son camioncantine, pour bouger au gré des tournages de cinéma. Sa rencontre avec Laurence est déterminante. Elles organisent de grosses fêtes et transforment l’Entracte en Pulp. Ce club, le premier dédié aux lesbiennes, ferme en juin 2007. Mimi ne tarde pas à se lancer dans une nouvelle aventure : le Rosa Bonheur. Elle crée un lieu de vie original, une sorte de guinguette. L’énorme succès du concept génère un autre Rosa Bonheur, ancré Quai d’Orsay, au pied du Pont Alexandre III. On vient prendre un verre tout en mangeant une pizza au feu de bois. Que nous réserve Mimi après sa guinguette champêtre et sa guinguette au bord de l’eau ?

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Chez Bacardi, Bruno Camus est directeur national des ventes CHD. La large gamme de produits qu’il représente a depuis longtemps investi la plupart des établissements, avec une présence forte des marques « premiun » dans les lieux référents de la nuit parisienne. En 2015, Grey Goose reste la priorité du groupe, à travers un certain nombre d’innovations déjà programmées. La tequila Patron vient compléter la gamme des super premiums, sans oublier Bacardi, un incontournable, ainsi que ses deux cocktails phares, le mojito et le Cuba libre. La marque profite cette année d’un nouveau packaging qui fait référence aux racines de la marque.



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STÉPHANE CASTEL Entamant fièrement sa 25e année chez Ricard, Stéphane Castel est aujourd’hui directeur régional des ventes sur l’Ile de France, gérant les deux réseaux, « on trade » et « off trade », à la tête d’une équipe de 58 collaborateurs. Neuf d’entre eux sont dédiés à la nuit, avec une forte activité du groupe sur ce segment de marché, essentiellement sur ses marques super premium. Comme la plupart des noctambules, Stéphane Castel mesure l’évolution du secteur, avec la création de très beaux établissements et la multiplication des clientèles et des ambiances. Personnellement, quand il sort pour le plaisir, il trouve à présent davantage ses repères dans les lieux intemporels qui prennent de l’âge avec leur clientèle…

ANTOINE CLAMARAN Le Palace est sa première résidence. Il anime avec Laurent Garnier et David Guetta les « Gay tea dance ». Puis il s’occupe des soirées « Absolutely Fabulous » du Queen, devenues « Over Kitsch ». Il sort de nombreux titres qui connaissent des succès. Il a sa propre maison de disque, POOLeMUSIC, et produit des DJs. Il crée Republic qui réunit cinq DJs pour répondre à une véritable demande du public et retourner ensemble les dancefloors. Il partage actuellement son temps entre la production de nouveaux titres et des prestations live à travers le monde.

Nicolas et Fabien Chartol

PIERRE CHAMBON

Le mythique Balajo accueillait jadis, Mistinguett, Louis Ferdinand Céline, Mademoiselle Arletty, Marcel Aymé… qui aimaient venir y danser. En 1982, c’est Robert Lageat, puis son fils Jacques, grand champion de catch, qui reprennent ce lieu et en font l’un des endroits les plus branchés de la Capitale. C’est aujourd’hui les petits-fils, Nicolas et Fabien, qui continuent de faire vivre cette institution où les gens aiment toujours autant venir fouler le dancefloor jusqu’au petit matin ! Soirée salsa, rockn’ roll, DJ ou même thé dansant… Le Balajo reste l’endroit où l’on vient danser !

Très engagé dans la vie nocturne et dans son évolution, Pierre Chambon est président UMIH nuit du Rhône. Exploitant un restau club et un club électro à Lyon, il est le cofondateur de l’association « Sauvez la nuit ». Ses pistes pour réinventer l’activité nocturne ? Notamment la fin du commerce illégal et de la concurrence déloyale, la promotion du tourisme et des transports de nuit, la révision du Code de santé publique et une meilleure prise en compte des politiques sonores…

Francis Champagne Francis Champagne a créé son Barrio Latino, faubourg Saint-Antoine, à deux pas de la Bastille, pour proposer aux Parisiens quatre niveaux d’une Amérique du Sud haute en couleurs. Depuis l’origine, cette ambiance latino est idéale pour se dépayser au gré de ses envies : prendre un verre entre amis, un brunch, un dîner romantique… Le Barrio est toujours un haut lieu de la nuit parisienne qui vibre aux rythmes du DJ résident, Carlos Campos…

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23 Franck Clérico Franck Clérico contribute actuellement au succès du cabaret Happy Day’s qui propose un voyage dans le temps avec les sons des sixties, des seventies et des eighties qui ont le vent en poupe, dans la capitale comme ailleurs. Daniel Saint-Martin se charge d’animer cette belle maison à grand renfort d’écrans géants et de régie « high tech »…

Thierry Clément Ce professionnel est bien connu du Tout-Paris. Après avoir commencé derrière le bar, notamment du PLM Saint-Jacques et de l’Hôtel Lutétia, il s’oriente vers la restauration à thème ou traditionnelle, notamment au Ritz Club (qui se souvient de cet endroit ?), Le Doyen, La Closerie des Lilas, la Villa Corse. Il prend ensuite la direction du cabaret Michou. En 2014, il est directeur du Napoleone avant de passer en avril à la Nouvelle Seine, ce restaurant péniche avec vue imprenable sur Notre-Dame. Il vient de s’accorder un « break » avant de rebondir très vite ailleurs.

Benoit Collard Directeur On-Trade Europe du Groupe Rémy Cointreau, Benoit Collard négocie les accords internationaux et aide à définir et à mettre en œuvre les stratégies du groupe, à travers des marques comme Rémy Martin, Passoa, Cointreau, le gin The Botanist et trois « single malt », Buich Laddich, Port Charlotte et Octomore. Pour lui, la nuit parisienne est en expansion : « Paris me semblait en retrait par rapport à d’autres grandes capitales européennes, notamment sur la mixologie et les lieux d’activités multiples. Ce retard est aujourd’hui comblé avec la naissance d’une nouvelle génération de lieux à la fois bars, restaurants et clubs »…

Alain Corleone Son nom fait davantage penser à une série italienne qu’à une locomotive de la nuit parisienne ! Pourtant l’infatigable Alain poursuit aujourd’hui sa destinée dans l’équipe de Talal, au Palais Maillot et au Ho Bo ! Son entregent et sa douceur en font un hôte chaleureux et un metteur en fêtes avisé. Quelle que soit l’heure il saura vous faire oublier que le jour se lève et vous entraîner jusqu’au bout de la nuit.

Philippe Collinet Philippe Collinet est le directeur communication « marques » des Brasseries Kronenbourg, qui viennent de célébrer comme il se doit leurs 350 ans. Dans le monde de la nuit, le brasseur paraît avec sa marque internationale iconique : Carlsberg. Dans les CHR, avec sa variante Elephant, elle est présente dans 50 % des pubs, 25 % des bars branchés et 20 % des bars étudiants. Cette distribution positionne parfaitement cette bière, à la fois, décalée et « qui fait sortir du cadre ». Tout droit venu du Nord, SKOLL Tuborg, la bière aromatisée vodka et agrumes, a également le vent en poupe !

Julien Cohen Le trait de génie de Julien Cohen est d’avoir donné aux pizzerias leurs couleurs du XXIe siècle. Ces contemporaines se sont multipliées dans Paris avec le même bonheur, non pas à travers une chaîne, mais des établissements transalpins ayant chacun leur identité forte : Les Cailloux, L’Altro, Pizza Chic, Quidici…

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La dynastie des Costes En trois décennies, Jean-Louis, Gilbert –Aveyronnais de naissance– et Thierry Costes –le fils de JeanLouis– ont jeté les bases d’une véritable dynastie d’entrepreneurs parisiens dans l’hôtellerie et la restauration. Durant ces années magiques pour leurs affaires, ils sont parvenus à imposer un style, non pas en dupliquant leurs établissements, mais en parvenant à appréhender avec un rare talent l’évolution du goût et des attentes des Parisiens, soit en l’imaginant, soit en l’imposant via la participation de créateurs qui deviendront célèbres comme un certain Philippe Starck…

JOHANN COSTET Johann Costet atteint actuellement des sommets, au 34e étage du Hyatt Regency Paris Etoile de la Porte Maillot. De son bar, La Vue, il bénéficie d’un panorama exceptionnel sur quelques merveilles capitales, auquel il associe une superbe carte de cocktails parfaitement équilibrée.

En livrant aux CHR la dimension du design, les Costes ont fait naître une nouvelle génération d’établissements qui a eu pour vertu première d’attirer le tout Paris, les stars, les soirées hypes… Au nombre des établissements de Jean-Louis, Gilbert et Thierry Costes : Hôtel et Café éponymes, le K-Costes, le Marly, Le Café de la musique, la Grande Armée, l’Avenue, l’Esplanade, le Café Ruc, le Murat, Georges, le Sanz Sans… En tout quelques dizaines de belles réussites qui ont sans doute inspiré certains multi-entrepreneurs de la nuit…

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Les Bains, version Renaissance… Comme un symbole, Thierry Costes fait à présent renaître les Bains, l’un des lieux mythiques de la nuit parisienne. La vocation des lieux a changée avec notamment l’ouverture d’un hôtel… L’espoir est pourtant de revoir passer par cette rue du Bourg-l’Abbé les stars d’antan, de Serge Lagerfeld à Noami Campbell, de Mick Jagger à Bono…

Daft Punk Ce groupe français composé de Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo, petits génies masqués de la musique électronique, ont fait de « Get lucky » et de « Random Access Memories » album sorti en 2013, un carton international. Les clubs lui disent « Merci », les dancefloors aussi…

RICHARD DANG Richard, c’est le Sourire de Saïgon, avec la tradition de l’accueil et une carte gastronomique qui permet de découvrir les belles spécialités vietnamiennes. La cuisine est fine, généreuse, remplie de parfums authentiques… Branché People, ce restaurant de Montmartre –rue du Mont-Cenis- a une décoration qui invite au voyage, à l’évasion.

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Romée de Goriainoff - Olivier Bon – Pierre-Charles Cros A la base de ce trio de choc, des amis devenus collocs qui ont décidé de tout lâcher pour faire de ce qu’ils aiment un business. Amateurs de bonne bouffe, bons vins, ayant envie de voyager et de surtout ne pas rester derrière un bureau … Ils se lancent et ouvrent l’Experimental Cocktail Club, puis le Curio Parlor et le Prescription Cocktail Club. Trois lieux différents mais toujours avec les mêmes ingrédients que sont un cadre sympa, un peu underground, du bon son, des beautiful people et surtout des cocktails mais des vrais ! Ils ont su redonner sa place aux cocktails et beaucoup de bars les ont ensuite mis en vedette sur leurs cartes. Mais comme leur envie de base est surtout de voyager, ils font de l’Experimental Cocktail Club une marque qu’ils veulent développer dans le monde entier et ouvrent une adresse à Londres et New York.

ROGER DANGUEUGER Roger Dangueuger, Montmartrois de longue date, veille aux destinées de Chez ma Cousine, le cabaret de la Butte que les chansonniers, les fantaisistes et les humoristes continuent à animer dans la tradition. Il est aussi omniprésent dans la nuit, pour y distiller sa bonne humeur et sa belle conception de la fête…

IGOR DE TOUGERINOFF

PASCAL DAUVOIS

Il aurait pu être banquier, marchand de sable ou chanteur d’opérette. On vient au Montegrosso pour la cuisine italienne à l’ancienne mais aussi et surtout pour la faconde du Maître des Lieux. En un clin d’œil et un tour de main « Gogor » anime et fait vibrer son parterre d’hommes d’affaires, d’acteurs et de sportifs célèbres. Sa brigade passe les plats et lui virevolte de table en table pour enchanter l’assiette et faire de votre repas une pièce en trois actes. Un talent qui lui vient de ses années nocturnes germanopratines !

Vainqueur du Trophées 2014 de la Musique live, Pascal Dauvois fait depuis 16 ans de son Mojito Habana l’un des lieux incontournables où se succèdent chaque soir un orchestre différent. Sa restauration est de belle tenue et, le contraire serait étonnant, son Mojito reconnu comme l’un des meilleurs de Paris…

Philippe De Figueiredo Morais Philippe de Figueiredo Morais a commencé par organiser les soirées nomades Bizz’Art, avant de se sanctuariser entre les murs de cet exOpus Café haut en couleurs. Aujourd’hui, ce temple incontesté de la soul fait la part belle au live et Paris aime ça... Après les concerts, les mix de DJ’s s’enchaînent toute la nuit. Une nouveauté 2015 : « Hot Stuff », l’afterwork du mercredi, avec open bar et petits fours… Philippe est également le patron du Sanz by Bizz’Art dans le 11e.

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27 Laurent de Gourcuff A travers le Groupe Noctis et ses 500 collaborateurs, Laurent de Gourcuff est l’un des acteurs majeurs de l’événementiel parisien. Il est notamment aux commandes d’une vingtaine d’établissements, clubs et restaurants branchés. En 2014, Castel, le Yoyo et le Jules sont venus grossir les rangs aux côtés de lieux rebaptisés, Brasil Tropical et Red Light devenus Carré Montparnasse, Sens devenu Pavillon Franklin Roosevelt et Neo devenu Carré Ponthieu… Depuis toujours, la passion médiatique de Laurent de Gourcuff est inversement proportionnelle à son ambition entrepreneuriale…

Benoit Derot Benoit Derot veille aux destinées de Katana, un univers d’animations artistiques pour les clubs, les soirées et les grands événements nocturnes de la capitale et d’ailleurs. Avec des concepts originaux, des artistes performeurs, des danseuses, des acrobates, il met de la sensualité et de la vie dans la nuit. La beauté et le charme sont aussi bien souvent de sortie…

Jean-Louis Denis Pour le directeur commercial de la structure hors domicile du groupe Bardinet-La Martiniquaise (BLMHD), le monde de la nuit est une priorité absolue : « A travers trois de nos marques –Poliakov, Saint-James et Caraïbos–, nous ciblons trois types d’établissements : les bars à cocktails, les discothèques et les rhumeries, autant de lieux emblématiques cohérents avec notre stratégie cocktails. Comme il le précise : « Nous observons actuellement une certaine « premiumisation » de la dégustation, notamment dans les bars trendies, mais surtout une accélération du développement de l’offre cocktails dans les établissements de nuit. »

Nicolas Duplessis Nicolas Duplessis apporte à la nuit parisienne le goût de Barcelone et de ses fêtes d’anthologie. Directeur régional Nord / Paris de Freixenet, il fait pétiller les restaurants, les bars et les clubs avec les bulles fraîches et fruitées « made in Spain », de Gran Cordon Negro, la cuvée prestige de Freixenet, proposée à la coupe ou en cocktails.

Mary de Vivo Mary de Vivo et Le Réservoir –rue de la Forge Royale– sont deux incontournables de la nuit parisienne à travers leur propension à chercher et à trouver les talents d’aujourd’hui et de demain. Au fil des ans, à travers une programmation éclectique, le club et son égérie ont ainsi débusqué quelques pépites, de Ben Harper à Placebo, en passant par Radiohead venus en live enthousiasmer la salle… Le Réservoir est également un restaurant qui propose une vraie gastronomie de la fête…

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Stanislas Dewynter Stanislas Dewynter trace sa voie sans embûches, depuis sa première affaire –avec Addy Bakhtiar–, le K’fé Court de la place Dauphine. Au début des années 2000, il reprend le restaurant du Rond-Point et les Jardins de Bagatelle, avant de lancer le Saut du Loup, aux Arts décoratifs. Après d’autres acquisitions, il réalise un coup de maître. Il reprend les restaurants Chez Clément. Ces sept restaurants d’hôtes, créés par le Goupe Frères Blanc à partir de1992, modelés dans un même esprit, font prendre à SDW, la société de Stanislas Dewinter, une nouvelle dimension…

FRANÇOIS DUMAINE François Dumaine a une situation bien assise dans les bars, les clubs et les restaurants de Paris. Depuis des lustres, il propose un mobilier professionnel –banquettes, fauteuils, chauffeuses, chaises, tabourets…–, sur catalogue ou sur mesure, spécialement dédié aux CHRD. Ce fabricant français sait depuis toujours s’adapter aux tendances en proposant des matières, des lignes et des couleurs qui vont de mieux en mieux à la nuit…

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HERVÉ DUPERRET

AUGUSTIN ERARD

Augustin Erard connaît parfaitement la nuit… Et la nuit connaît très bien Augustin Erard. Après avoir posé longuement ses valises aux Planches, il a multiplié les expériences avant d’arriver au Roosevelt, le barrestaurant de l’avenue éponyme, qui ne désemplit pas. La recette d’Augustin ? Belle salle –la décoration est celle d’un appartement cossu–, bonne ambiance, belle table, bonne musique…

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Pour Hervé Duperret, directeur général du Lido, 2015 est une grande année. Le cabaret des Champs-Elysées, lance en effet son nouveau spectacle vivant. La conception de la cette revue a été confiée au metteur en scène visionnaire Franco Dragone qui a signé les dix premières créations du Cirque du Soleil… une référence qui fait réellement entrer le Lido dans le XXIe siècle. Les autres intervenants sont tout aussi célèbres… Jean Rabasse, jadis scénographe de Philippe Découflé ; Nicolas Vaudelet, passé par les maisons Haute-Couture Lacroix, Dior, Vuitton, Gaultier… ; Benoit-Swan Pouffer, ex-directeur du Cedar Lake Contemporary Ballet ; Yvan Cassar, compositeur, arrangeur et musicien reconnu… Cette association de bienfaiteurs livrera le résultat de ses travaux le 2 avril prochain, pour la première de ce spectacle.

Manuel Dupuis Avec ses 14 années de CHR, Manuel Dupuis est depuis sept ans responsable commercial « Paris-Lille-Deauville » chez Giffard, liquoriste-distillateur-distributeur qui fête cette année ses 130 ans d’existence –et par la même occasion, le 130e anniversaire de son emblématique Menthe Pastille–. Proche des bars à cocktails – Distributeur des Cachaça Thoquino, Rhum Clément, Abuelo…–, liqueurs et sirops, Manuel Dupuis voit évoluer le secteur avec de nouvelles générations de barmen de plus en plus passionnés, de plus en plus pointus. Les alcools « vintage » sont particulièrement tendances et le China China de la maison Bigallet, un amer aux plantes, a notamment le vent en poupe à Paris…

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Eric Frechon

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Ce chef hors pair a depuis toujours la passion du bien et du bon. Le triple étoilé a permis au Bristol d’être nommé « Meilleur Restaurant d’hôtel au monde » aux Culinary Travel Awards 2014. Le magazine professionnel Le Chef vient, par ailleurs de réaliser un sondage sur les 100 chefs au monde qui incarnent au mieux les valeurs de la profession, et proposent une cuisine incontournable. Eric Frechon arrive en 7e position… Il y a un peu plus d’un an, il a ouvert Lazare, dans la gare éponyme. Il y propose une belle carte de bistronomie dans un superbe décor…

PHILIPPE FATIEN «The Boss ». Dans la nuit depuis plus de trente ans, le propriétaire du Queen a la longévité des brillants managers. Toujours à la mode, sans jamais y avoir cédé, il vient de vendre Castel, vit en partie aux Etats-Unis mais sa présence est permanente. Ceux qui le connaissent s’en vantent, les autres font « comme si ». Sa discrétion a largement contribué à sa légende. Depuis l’époque du Stadium ou du Boy que de chemin parcouru ! Il fonctionne en « famille » et malgré son apparent détachement défend becs et ongles sa profession.

MICHEL FOREVER

FAZE

Ce personnage atypique, qui ne s’est pas couché depuis 10 ans, suite à un coma, a eu plusieurs casquettes. Il a commencé à la télévision sur France 3, puis sur la Cinq au côté de Jean-Claude Bourret, et France 2 notamment dans « Matin Bonheur ». Il a joué dans de nombreux sitcoms et comédies musicales avant de reprendre le célèbre cabaret du 6e arrondissement : La Main au Panier. Humoristes, chansonniers, imitateurs, chanteurs, magiciens… se succèdent sur cette scène… Patrick Sébastien y a d’ailleurs fait ses débuts. Après les shows du cabaret, Michel Forever ne rejoint pas son lit, mais va « se reposer en discothèque » !

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Faze est l’un des maîtres parisiens de « l’After Party ». Son Babylone Club de la rue des Anglais, au cœur du Quartier latin, est ainsi ouvert tous les jours, de 7h à midi, accueillant people, noctambules plus anonymes et professionnels de la nuit, venus en ces lieux faire un peu durer la fête... Le club bénéficie d’une programmation dynamique –Parisienne, Ultra-Violet Electropop, Queen of the Night, Bonbon, Chut… C’est un secret ! –, qui rend les petits matins un peu moins nornes…

La dynastie des Feingold Depuis plusieurs décennies, Edouard et Benno Feingold ont marqué la nuit de région parisienne de leur empreinte, aujourd’hui relayée par la jeune génération en la personne d’Alexandre Feingold. Ils ont créé quelques-unes des grosses unités qui fonctionnent toujours à merveille, comme le Métropolis, au Pont d’Orly ou le Pacha, près de Versailles. A Paris, ils gèrent notamment un club mythique, le Duplex, avenue Foch. Leur groupe détient également un vaste centre de loisirs (sports et bien-être), les Pyramides à Port-Marly, dans les Yvelines.

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31 Fred

Julien Gambert

Fred est aujourd’hui l’un des piliers du Biz, un bar à cocktails-restaurant plein de charme, à deux niveaux, proximité des Grands boulevards et de l’Opéra-comique. Outre son sens de l’accueil, il est passé maître dans l’art de la mixologie, faisant découvrir à l’heure de l’apéritif le Mojito et ses variantes, « fraise » ou « framboise », et la non moins tendance « Absinthe Green Beast ».

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Au 4Pat –bistrot coquin, chromes, lumières colorées– comme au Tata Burger –formule gay–, Julien Gambert et ses équipes associent aux plaisirs de la table sourire et bonne humeur à tous les repas. Ces deux restaurants « funs » sont certes différents, dans le fond comme dans la forme, mais Julien a su y imposer l’humour à la carte…

Jacques Garcia

André Gabrillagues Depuis que Paris Nuit est Paris Nuit, c’est-à-dire plus de 27 ans, André Gabrillagues veille aux destinées du Roméo, au cœur de Saint-Germain-des-Prés. Il l’a fait prospérer et c’est aujourd’hui un club généraliste où se côtoient pour la meilleure des ambiances Latino, Dance, House, Rock, Funk, R&B, sans exclusive… Sans doute l’une des recettes du succès…

Anne-Claire Gallet Les soirées Flash Cocotte ont toujours le vent en poupe. Elles ont commencé à caqueter dans la nuit parisienne en 2007, notamment sous l’impulsion de l’une de ses organisatrices, Anne-Claire Gallet. Aux origines assez burlesques, ces soirées très fréquentées LGTB se sont progressivement muées en performances électro. Les Flash Cocotte ont à présent aussi conquis en partie les hétéros… Les looks les plus créatifs s’y côtoient pour des fêtes d’enfer…

Christopher Gaglione Christopher Gaglione, passé par de belles et grandes maisons parisiennes, notamment le Crillon, le Plazza Athénée, le Royal Monceau, le Lutetia… est le chef des Heures, le bar de l’hôtel Prince de Galles. Il a la chance immense d’officier dans l’un des plus séduisants établissements de Paris, qui devient le rendez-vous d’une clientèle exigeante trouvant un cadre exceptionnel, avec notamment son sublime patio et une ambiance DJ le week-end, et la discrétion d’une adresse prestigieuse au cœur du Triangle d’or. Christopher Gaglione, mixologue expert, passionné, a élaboré avec son équipe une carte de cocktails d’une rare qualité : approche « vintage » -hommage appuyé à l’esprit des Années folles-, créations tout en modernité, parfaitement équilibrées, sans oublier les cocktails assemblés qui vieillissent en fût de chêne pendant au maximum 90 jours avant d’être dégustés…

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Pour Jacques Garcia, Paris est « la ville de la joie, la ville de l’amour, la ville de la fête, la ville de la beauté… » Il a largement contribué à cette dernière caractéristique capitale, en laissant son empreinte artistique dans de nombreux établissements, de jour et de nuit. Le décorateur a ainsi redonné grande vie à de nombreuses institutions comme la brasserie et l’Hôtel le Fouquet’s, Ladurée, Le Café Ruc, le Murat, la Grande Armée…


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JOACHIM GARRAUD

Edith Giffard

Enorme carrière et palmarès pour ce DJ qui a commencé aux côtés de Laurent Garnier au Boy, club précurseur en musique électronique. Il créé son studio d’enregistrement et produits des pointures comme David Guetta avec « Just little more love », avec qui il créera ensuite le label « F*** me i’m famous » records, Jean-Michel Jarre, David Bowie, Kylie Minogue ou encore Moby… Il créé son label Space Invader Music dont l’écurie ne cesse de s’agrandir… Il se produit partout dans le monde grâce à ses performances live exceptionnelles. Il a dernièrement remixé « Drunk in love » de la super-star Beyoncé, pour ne citer qu’elle. Et a reçu en 2014, pour la première Fun European DJ Awards, un prix spécial récompensant l’ensemble de sa carrière.

Edith Giffard est aujourd’hui l’une des représentantes de la société éponyme qui a su conserver sa structure familiale depuis quatre générations. L’entreprise a forgé son succès et sa notoriété sur l’invention de la Menthe Pastille, qui fête cette année ses 130 ans, avant de développer une large gamme de produits de qualité.

Tony Gomez Tony Gomez vient de devenir l’hôte du la brasserie centenaire du Fouquet’s. Après avoir révolutionné des lieux de fêtes emblématiques – Banana Café, Queen, Arc…-, Tony Gomez prend ses quartiers dans ce lieu légendaire avec la volonté de perpétuer l’esprit de la fête qui le caractérise. Ce nouveau souffle viendra agrémenter la carte par une ambiance joyeuse et décontractée. Le Fouquet’s est un nom célèbre dans le monde entier, un lieu mythique de la plus belle avenue du monde. « C’est un rêve » pourTony Gomez, amoureux de Paris et soucieux d’apporter à ses convives des moments uniques, authentiques et festifs.

BENOIT GIBOUT Benoit Gibout est l’heureux directeur de la White Room, l’espace événementiel du prestigieux restaurant Maison Blanche. Pour lui, au septième et dernier étage du Théâtre des Champs Élysées de l’avenue Montaigne, « ce lieu magique qui surplombe Paris incarne le rêve en habit de lumière ». Les soirées « White Room » sont ainsi devenues incontournables, tout comme l’est cette vue imprenable qui embrasse la Tour Eiffel, les Invalides, la Seine…

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MICHEL GODON Au Sans Souci, le bar à vins-restaurant de la rue SaintDenis, Michel Godon fait figure de vigie, du jour et de la nuit. Il voit passer le temps et les modes depuis 1969. Il regarde évoluer sa rue qui est un peu à l’image de Paris… « Il faut encore quelques locomotives et elle va connaître une nouvelle vie… »


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Laura Gonzales La rénovation du Bus Palladium a constitué manière de révélation. En y mettant la dernière main, elle entrait de plain-pied dans le monde somme toute assez restreint de ces architectesdécorateurs d’intérieur qui redonnent vie aux grands établissements de nuit parisiens. Au fil des ans, son style a évolué, à mesure qu’on lui confiait des budgets dignes de ce nom. Elle peut aujourd’hui utiliser les matériaux les plus sophistiqués, dessiner ses luminaires, ses meubles… Une autre vie de décorateur ! Elle est ainsi passée par la Gare d’Olivier Bertrand, le Wood, dans le Marais, le 44 rue de Bellechasse, le Relais Christine…

Didier Granger

David Guetta Cathy et David Guetta ont longtemps formé un couple incontournable des nuits parisiennes. Ils ont commencé par transformer la salle de concert du Bataclan en club tous les week end. Propriétaires du Sweet Bar et du restaurant Tanjia, ils lancent ensuite avec Murrat Atik le Palace et le Pink Paradise, puis prennent la direction artistique des Bains Douches. David décide ensuite de se consacrer entièrement à sa musique. Son premier album « Just a little more love » est un succès, le début de beaucoup d’autres… Ils lancent avec Cathy les soirées F*** me i’m famous et parcourent l’Europe. Les albums et les tubes s’enchaînent. David Guetta produit le tube mondial de « I got a feeling » des Black Eayed Peas, atteignant des records. De son côté Cathy Guetta multiplie les soirées, comme celle organisée au Stade de France où elle invite tous les DJs Internationaux. Le couple a fait bouger les nuits parisiennes et même européennes. Leurs chemins se sont séparés, mais chacun continue ses activités...

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Didier Granger vient de fêter de belle manière les 20 ans de son Havanita Café de la rue de Lappe, toujours sous le charme de la capitale cubaine des années cinquante avec l’effervescence qui lui va bien. On retrouve ainsi, comme si on y était, l’ambiance inimitable de la Havane, avec ses larges fauteuils au design unique, ses fresques murales représentant l’emblématique Malecon havanais et ses portraits magnétiques évoquant des personnages et des scènes de la vie quotidienne cubaine.


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34 VALÉRIE HERVO Adresse mythique pour le libertinage et l’échangisme, n’entre pas qui veut aux Chandelles. Valérie, maîtresse des lieux, exige une tenue et un comportement rigoureux pour pouvoir profiter comme il se doit des lieux. Juste pour un dîner en amoureux, pour profiter des salons coquins, faire de nouvelles rencontres… Chacun vit ses envies. Afterwork coquin, déjeuners scandaleux, caprices de femmes et même maintenant happy Sunday pour les - de 30 ans… L’ambiance se réchauffe au fur et à mesure que les heures passent…

Dominique de la Guigneraye

Roland Heguy

Cet aristocrate est issu d’une famille martiniquaise de distillateurs. Dominique de la Guigneraye dirige aujourd’hui les Rhums Clément en métropole. Il donne aux établissements de nuit l’opportunité de proposer ce rhum agricole de belle naissance, produit à partir de la distillation directe du pur jus de canne, dans le respect des nouvelles règles d’Appellation d’origine contrôlée. Dans l’hexagone, il est notamment commercialisé par la société Giffard.

Pour Roland Heguy, président confédéral de l’UMIH depuis 2010, « le secteur de la nuit est une économie à part entière, créatrice de richesses et d’emplois, surtout chez les jeunes de 18-25 ans ». Selon les estimations du syndicat professionnel, en France quelque 50 000 personnes travaillent la nuit et génère un chiffre d’affaires d’environ deux milliards d’euros. La France compte actuellement 6 500 établissements de nuit, dont 2 700 clubs (discothèques) et 4 000 bars ou restaurants à ambiance musicale.

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JEAN-CLAUDE HOUSSOY Jean-Claude Houssoy et son Raidd Bar sont actuellement deux incontournables du Marais « torride ». Dans ce bar gays qui fait figure de référence, les meilleurs Dj’s de la capitale se relayent aux platines pour des performances pendant que les plus séduisants gogos et les plus sexys des Showers Men dévoilent leurs charmes sous la douche culte ou sur le podium baigné de lumière.

DAN HARLAN

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Cédric Jacquelin et Emmanuel Duverrière

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Au Speakeasy, dans un espace élégant, optimisé pour la musique live et pour la fête, Dan, figure de la nuit parisienne, notamment passé par le Times Square, le Sinaloa et l’Aventure, fait briller, depuis deux ans, son sens du spectacle et de l’événement. Et c’est un franc succès, puisque l’établissement chic et confortable, modelé par les propriétaires, Kifha Yeya, et son épouse, ne désemplit pas. La salle, en rez-dechaussée, le fumoir à l’anglaise –cosy et intimiste– et la superbe cave, au sous-sol, sont des modèles du genre.

Grégory Hazac Grégory Hazac fait actuellement les beaux jours du bar du Four Seasons Hotel George V Paris. Notamment passé par l’Hôtel Costes et le Royal Monceau, il a à l’instar de beaucoup de ses confrères, une approche assez philosophique de la mixologie, puisant une partie de son inspiration en cuisine. Pour élaborer ses créations, il applique quelques principes essentiels : équilibre parfait, présentation claire, simplicité apparente (la plus complexe !) et jamais plus de trois ingrédients de base.

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Chef des ventes Paris chez Pernod, Cédric Jacquelin traverse la nuit capitale fort de ses produits emblématiques que sont Ballantine’s, Mumm –avec notamment le tout nouveau Mumm 1– et Havana Club. Cette année 2015 commence également avec 51 Glacial, l’alliance anis et menthe qui donne un peu plus de peps aux apéros… Soutenu par Emmanuel Duverrière, responsable de la communication externe chez Pernod.


Jean-Roch Jean-Roch est aujourd’hui l’un des rares patrons qui continue à recevoir ses clients dans son établissement, en l’occurrence le VIP Room. Il est ainsi l’héritier des Trente Généreuses, ces années Régines, Minski, Castel… avec cette tradition magique de l’accueil assortie à l’art de faire de tous et de chacun les rois de la soirée. Jean-Roch a d’autres cordes à son arc, dont une très sensible, la musique : « Music saved his live »… Chanteur, auteur… Pour lui, l’essentiel n’est jamais de participer, mais toujours d’avancer…

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Stéphane Joinville Responsable des relations publiques et des events Carlsberg pour les Brasseries Kronenbourg, Stéphane Joinville est au cœur des nombreux événements créés par la marque et qui touchent directement les points de vente. Il a également en charge le suivi des établissements « premiums », bars et clubs, à Paris, mais aussi en France. Sa parfaite connaissance du marché, notamment de la nuit, lui permet par ailleurs d’avoir voix au chapitre en termes de développement commercial et de trade marketing. Stéphane Joinville annonce la prochaine sortie de la nouvelle bouteille Carlsberg Aluminium…

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Josy est emblématique des bars communautaires. En 1979, elle ouvre la Champmeslé, le plus ancien bar lesbien de la capitale. L’acte est militant puisque l’homosexualité sera dépénalisée en France le 4 août 1982, sur proposition de Robert Badinter. On imagine les obstacles que Josy a dû affronter, surtout d’ordre administratif, pour tenir le cap de ce bar de la rue Chabanais devenu un véritable lieu culturel.


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Bruno Julliard

CHRISTOPHE JOULIE Restaurateur de père en fils, les Joulie, Gérard et Christophe, ont créé au fil des décennies un véritable patrimoine avec des enseignes de tradition, des Congrès, Maillot –créé en 1975– et Auteuil, à l’Auberge Dab, en passant par Sébillon, une vénérable maison de Neuilly où l’on sert toujours le gigot d’agneau à volonté. Christophe Joulie, c’est aussi aujourd’hui Le Bœuf couronné, Montparnasse 1900, le Bouillon Chartier, Les Grandes Marches, l’Européen…

Adjoint chargé de la culture sous le mandat de Bertrand Delanoé, porte-parole d’Anne Hidalgo pendant la campagne des municipales, Bruno Julliard est aujourd’hui premier adjoint et maire de la nuit. Comme il le précise, « durant l’élaboration du projet pour Paris -2014/2020-, nous avons évoqué à plusieurs reprises le sujet de la nuit, qui a toujours été vécue comme un problème, à travers les nuisances, l’insécurité, les transports... Notre volonté est, au contraire, d’en faire une composante de politique publique positive, ambitieuse, audacieuse ; un atout pour cette ville. J’ai accepté cette mission avec grand plaisir. Je suis aidé par un autre élu, Frédéric Hocquart. C’est un dossier très important, qui rejoint d’autres problématiques de la ville, comme les transports, la culture, l’animation, et concoure à l’attractivité internationale de la capitale.» La Mairie vient de créer un Conseil de la nuit qui va rassembler des associations de riverains, des syndicats, des chefs d’établissement de nuit, et beaucoup d’autres acteurs de lieux culturels, la préfecture de police, la RATP, les associations de lutte contre les discriminations, l’Office du tourisme… afin d’élaborer ensemble une véritable politique de la nuit. L’ambition du maire de la nuit dépasse la volonté de médiation : « Nous avons déterminé en décembre dernier sept axes de travail : - la diversification de l’offre de vie nocturne, avec l’émergence de nouveaux lieux de fête, notamment dans l’éphémère ; - La prévention des conduites à risques ; - Les discriminations ; - Les horaires des transports ; - La tranquillité publique et la médiation - Les commerces et le travail la nuit - l’information et la promotion de la nuit à Paris. La nuit, qui représente quelque 10 000 emplois directs et plus de 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires, doit devenir un véritable outil de promotion pour la ville. »

ROMAIN KROT Distillant aujourd’hui son art à la Conserverie, Romain Krot vient de remporter dernièrement à Rome le MARTINI® CONTEST 2014 France. Il doit ces lauriers à son punch création, le « Caffe Corretto ». Récemment, le chef barman et sa consœur Anaïs Teulier (de l’UC-61), viennent de donner vie à une série de cocktails salés au top de la tendance, notamment la Margarita Gorda et le Prickly Pickle.

JULES ET ANNIE Jules et Annie ont repris en décembre 2008 cette institution des nuits coquines parisiennes longtemps dirigée par Denise. Ici tout est permis, tant qu’on reste dans un bon esprit, dans les règles et le respect de tous. Hétéro, bis, homos… s’y retrouvent pour passer une soirée pleine de rencontres et de moments de plaisirs, entre adultes consentants. On peut aussi juste venir y boire un cocktail tout en profitant de cette ambiance… chaleureuse !

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JULIEN LABROUSSE ET ABEL NAMHIAS

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Véronique Koch

Honorée aux 10e Trophées de la Nuit, Véronique Koch vient de publier son nouveau livre « Les Couleurs de la nuit » (Editions Fortuna) consacré au show business et à la jet-set parisienne. Elle y trace le portrait de ses « rois de la nuit » : Tony Gomez, Jean-Roch… et y relate plusieurs décennies à organiser des événements à Paris, notamment beaucoup de soirées hautes en couleurs…

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Julien Labrousse, propriétaire de l’Hôtel du Nord et du Chacha, s’est associé avec le producteur Abel Namhias pour redonner vie au théâtre mythique qu’est le Trianon, où La Goulue et Mistinguett ont eu leurs moments de gloire. Ils ont mis la main à la poche pour donner un petit coup de jeune à cette institution et y ont de nouveau proposé des activités culturelles : concert, défilé de mode, avant-première… Mais aussi créé un lieu de vie et de rencontres avec le café-restaurant, le Petit Trianon, où l’on peut manger du matin jusqu’au soir dans une ambiance bistrot 1900.


Dominique Lacerda Figure de la nuit parisienne, il fait bouger les week-ends dans son Mikado de la rue Lallier, la discothèque qui vibre aux rythmes du latino et de la house. Dominique Lacerda a aussi exporté sa passion de la fête à Villeneuve-SaintGeorges, avec sa Costa Do Sol, la référence emblématique des clubs portugais en région parisienne.

Dorine Lagersie Grâce à Dorine Lagersie, les DJ’s disposent aujourd’hui d’un matériel à la pointe de la technologie –tables, lecteurs, logiciels…– pour ses sets toujours plus spectaculaires… Elle est, en effet, la directrice marketing de Pioneer DJ et Audio Pro…

Richard Lafond Le Parisien Richard Lafond est l’une des valeurs sûres de la décoration CHR. En trois décennies, avec son père Michel, ils ont revisité quelque 250 établissements de la capitale et de la petite couronne. Contrairement à des professionnels qui imposent leur griffe, comme Jacques Garcia, Starck ou Jean-Michel Wilmotte, Richard Lafond fait œuvre d’écoute, d’adaptation et de personnalisation. Son style est finalement de n’en avoir aucun et de les maîtriser tous…

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THIERRY LAHON Président de l’UMIH région RhôneAlpes, Thierry Lahon est, avec Pierre Chambon, son associé, l’un des cofondateurs de l’association Sauver la Nuit. Il œuvre à Paris comme ailleurs en France à la qualité de la vie nocturne en facilitant la rencontre des chefs d’établissements et des Pouvoirs publics pour leur permettre de travailler ensemble sur les grands sujets qui agitent le monde de la nuit : le bruit, l’alcoolisation des jeunes, les fermetures administratives arbitraires…

Laurence et Christophe Lavernhe Cela fait maintenant 23 ans que ce couple a ouvert une institution pour faire la 3e mi-temps de rugby : Le Pousse au Crime. Au cœur du quartier de Saint-Germain, dans la fameuse rue de la Soif, ils ont su se faire une clientèle de fêtards, qui reste d’ailleurs très fidèle ! Il faut dire que Christophe sait de quoi il parle, puisqu’il a été au poste de pilier du Racing puis de l’ACBB. Quant à Laurence, si c’est un petit brin de femme, elle sait tenir son bar-club avec une main de maître et se laisse difficilement impressionner par les équipes de rugbymen qui peuvent débarquer pour faire la fête !

CHRISTIAN LEBON

PATRICK LAURE

Christian Lebon est le fils spirituel de Charles Trenet. Il a une passion mimétique pour l’ensemble de son œuvre. Depuis la disparition du Fou Chantant, il multiplie les soirées, accompagné au piano par Alexandre Meslé, pour faire vivre le chanteur-poète et ses immortelles créations : Y’a d’la joie, Que reste-t-il de nos amours ? Je chante, Nationale 7… Christian Lebon anime par ailleurs l’association La flamme du Fou Chantant.

Toujours prêt à jouer avec les mots, Patrick Laure ne se fait pas attendre dans son restaurant aveyronnais du 11e arrondissement où l’accueil et la cuisine sont dorés sur tranche et plutôt carrés en carats. L’ambiance soirée, pour lui, c’est gourmandise et musique, aligo et accordéon à volonté !

CHRISTIAN LECLOU ç

Sarah Lavoine

Sarah Lavoine est actuellement l’une des stars parisiennes de la décoration d’intérieur. Depuis quelques années, elle impose son style qui vient de trouver manière d’apothéose avec la réalisation du Victoria 1836, le restaurant de l’Arc. On peut également découvrir son style dans les restaurants Yoko et Orient Extrême, dans la salle d’événementiel Pavillon Vendôme (2e ardt) et à l’hôtel le Jardin, de Neuilly.

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Une belle nuit commence par un apéritif digne de ce nom, convivial à souhait. C’est là le leitmotiv de Christian Le Clou et de son Clou de Fourchette, rue de Rome. Aux côtés de Serge et de Maxime, il apprécie particulièrement ce moment magique qu’il cristallise autour de la gourmandise et de l’amitié. Petits et grands crus sont au rendez-vous, avec le jambon ibérique, le saucisson hexagonal et le foie gras…


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39 Nicolas Levy Il est l’ambassadeur des soirées réussies ! Avec sa femme Sophie, ils ont créé leur boite d’événementiel : NicoandCo avec comme leitmotiv cette citation de Sartre : « Pour que l’événement le plus banal devienne une aventure, il faut et il suffit qu’on se mette à le raconter ». Et ça Nicolas, il sait nous en faire vivre des aventures et des phénoménales, notamment avec sa soirée annuelle et exceptionnelle, que tout le monde attend : Les Ambassadeurs. Tout a commencé il y a 10 ans avec une soirée « i Love eighties ». Depuis, il donne rendez-vous aux plus grands fêtards pour un événement hors normes tous les ans. Organisé comme une énorme pièce de théâtre, il nécessite un gros travail de scénographie, beaucoup de comédiens et surtout une imagination débordante ! Seule exigence pour être admis à l’entrée : être déguisé pour appartenir à l’un des clans. Car selon les thèmes, il y a plusieurs clans. Et il faut dire que Nicolas et sa femme sont surpris, tous les ans, de voir à quel point tout le monde joue le jeu ! Autre petit côté piquant qui leur tient à cœur, le lieu est tenu secret jusqu’au dernier moment. « Cahos 2099 », « Le bal des canailles », « Cannes 1930 » ou encore la dernière « Odyssey 5069 »… Les soirées des Ambassadeurs se suivent mais ne se ressemblent pas ! Reste à voir ce que le couple nous a préparé pour cette 10e année…

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Jean-Yves Le Fur Jean-Yves le Fur est un homme d’affaire, créateurs de magazines (DS, Numero, Télésport), organisateurs d’événements. Il a repris avec entre autres, Frédéric Beigbeder le fameux magazine : Lui. Il fait partie des figures incontournables de la nuit parisienne. Il est le propriétaire du bar club très select : Le Montana. Situé rive gauche, il a été créé par André Saraiva (Le Baron et l’Hôtel Amour). Sur deux étages, sa décoration surprenante plait à une clientèle huppée et triée sur le volet. Des People aiment aussi s’y rendre !

Jean-Pierre Lopes Jean-Pierre Lopes veille notamment sur le Très Honoré –créé avec Stéphane Courteaux et Thomas Delafon–, sur la place du marché éponyme. Cette superbe brasserie contemporaine, concept parfaitement abouti avec ses trois univers : le restaurant, le salon et le bar ouvert jusqu’à 2h du matin. Mention spéciale aux décoratrices Anne-Cécile et Agnès Comar.

Xavier Legrand Il eut la lourde mission de faire vivre l’un des derniers clubs mythiques de la Capitale, Chez Régine’s. Il est à présent en charge de la renaissance d’un autre mastodonte de la nuit parisienne un long moment égaré… Castel, racheté par quelques poids lourds de l’entreprise nocturne. Le P-dg de la SAS Princesse doit aider ce club mythique à trouver sa voie dans l’intimisme de l’adhésion annuelle et la cooptation parcimonieuse…

Gaëlle Levy Elle est en charge de la communication du Secret Square, l’un des plus originaux dîners-spectacles de la capitale. Un escalier monumental invite à une plongée magique au cœur d’un monde tout en sensualité où vibre l’esprit boudoir, celui qui baignait le Paris des Années folles. Velours rouge, orgue à parfums, lumières tamisées… instaurant une chaude ambiance lounge propice à l’effeuillage des belles qui s’enchaînent sur les podiums. Après un repas savoureusement aphrodisiaque, les shows se succèdent, tout en élégance, magnétisant le désir et cristallisant le souvenir…

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Lydiane Magné Responsable marketing chez SAB Miller, Lydiane Magné développe des concepts d’activation originaux, relayés dans des bars emblématiques et indépendants. Si l’Italienne Peroni Nastro Azzurro est la bière de l’apéritif, grâce à son concept d’Aperitivo, la Néerlandaise Grolsch et sa bouteille « swingtop » iconique, est celle qui accompagne les événements, notamment en CHR. L’art et la musique, sont les univers de prédilection de cette marque qui fête ses 400 printemps en 2015, cultivant le choix de l’ouverture et une franche inclinaison pour l’indépendance d’esprit. Cette année encore, elle sera au côté de la jeune création au Palais de Tokyo, à travers une exposition, et dans les festivals, par exemple les fameuses « Concrete » que Grolsch soutient depuis l’origine.

LUCIANO On l’appellait « Monsieur Lucien ». Au fil des ans il est devenu « Luciano ». Son accent italien et son hospitalité en font un hôte incomparable quand la nuit s’allonge. Autour de lui, que de jolies filles qui montrent avec savoir-faire qu’on peut allier souplesse et sensualité. Une dimension (la quatrième…) qui s’ajoute à l’humanité des lieux. Luciano aime les gens et sait en un tour de main faire oublier que dehors le jour se lève… Un hôte comme on n’en fera plus dans un lieu à nul autre pareil.

LAURENT LUTSE

FRANCK MAILLOT

Laurent Lutse est président UMIH des cafés, brasseries et établissements de nuit depuis 2009. Il est ainsi parfaitement sensibilisé aux problèmes qu’affrontent actuellement les professionnels du secteur CHRD qui souffrent, d’une part, d’une activité erratique et, d’autre part, d’une réglementation de plus en plus contraignante.

Presque 30 ans que Franck Maillot fait carrière dans des établissements très important de la nuit parisienne. Le Palace, Le Raspoutine, le Queen, les Bains Douches ou encore le Cab… Il est une grande figure de la nuit parisienne. Mais après toutes ces années à la tête de lieux ô combien emblématiques, il a voulu créer un endroit à son image, mais dans un lieu mythique. C’est ainsi qu’il a repris un ancien cabaret à Opéra et l’a entièrement transformé en un restaurant ambiance art déco, d’une autre époque : La Belle Epoque !

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Ramon Mac-Crahon Ramon Mac Crahon, directeur général de Caviar Kaspia, est également propriétaire de la Maison de la truffe qui vient de fêter ses 80 printemps. Il ne cesse de s’activer sur le secteur de la restauration, lançant de nouveaux concepts et de nouvelles affaires.

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Thierry Marx Depuis qu’il est arrivé à Paris, cet homme-orchestre fait marcher la cuisine à la baguette. Thierry Marx est tout d’abord le chef exécutif du prestigieux Mandarin Oriental de la rue Saint-Honoré. Au Camélia, par exemple, il reste fidèle à une cuisine accessible et épurée et met à l’honneur le produit dans sa plus simple expression. Il anime par ailleurs d’autres concepts de restauration –Sur Mesure, Cake Shop, Street Marx…– un centre de formation et le Centre français d’innovation culinaire. Il visite les prisonniers, enseigne dans la rue… Voilà quelqu’un de bien…

JACQUES MAILHOT Tout le monde connaît l’humoriste et l’entrepreneur de spectacle qui veille avec maestria aux destinées duThéâtre des deux Ânes, le cabaret de chansonniers dans la tradition montmartroise. En revanche, on connaît moins la deuxième corde à l’arc de Jacques Mailhot : la restauration. Il s’est lancé avec succès dans l’aventure en redonnant de belles couleurs au Sanglier Bleu – jouxtant son théâtre–, créant presque de toute pièce une table, chic et abordable, de l’avant de de l’après spectacle où il fait bon s’attarder.

ERIC MATOUK

Bruno Marcillaud

Lors des récents Trophées de la nuit, organisés à Monaco, Eric Matouk, le directeur commercial de Pioneer DJ et Audio Pro, présentait les derniers produits qui révolutionnent aujourd’hui le travail des DJ’s.

Travaillez, prenez de la peine, ce sont les fonds qui manquent le moins… Voilà le leitmotiv de Bruno Marcillaud, de Century 21 Eureka. C’est l’homme de la situation quand il s’agit de céder ou d’acquérir un établissement, bar, restaurant, hôtel… Comme il le souligne, « Evaluer des murs, un fonds de commerce ou un droit au bail se fait selon des critères spécifiques. L’immobilier d’entreprise et de commerce est un métier à part entière. A chacun sa spécialité ! »

CHRISTOPHE MEREL

BRUNO MANGEL Bruno Mangel a repris il y a presque 10 ans avec son épouse Agnès, ce lieu mythique qui n’a souvent vécu que la nuit. A eux deux, ils en ont fait un lieu de vie où l’on peut venir aussi déjeuner le midi et profiter de la belle terrasse. Car ce couple est avant tout amateurs de bonne cuisine et fait attention à la qualité de sa carte. L’Aventure, c’est aussi un endroit où l’on vient danser au sous-sol, jusqu’au bout de la nuit dans un décor chaleureux entre boiseries et tentures pourpres.

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Directeur commercial France d’Orangina Schweppes, Christophe Merel, est depuis longtemps l’un des parrains des Trophées de la nuit avec Schweppes, qui aime mettre en avant la qualité et le service qui vont de pair avec les valeurs de la marque. Pour lui, la nuit parisienne est synonyme de sophistication, de dynamisme et de belles tendances. Schweppes l’accompagne en proposant sans cesse de nouveaux produits et conditionnements adaptés… Pour lui, la nuit est actuellement en difficulté, mais il est optimiste « après la rencontre de clients formidables qui déploient des tonnes d’énergie, d’imagination et de courage pour continuer à faire vivre la nuit »…


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43 Michou Michel Catty, dit Michou, est depuis 58 ans l’un des géniaux architectes de cet âge d’or de la nuit parisienne, l’un des derniers à militer pour ce sens unique de la fête que le monde envia si longtemps à la capitale. Il transmet avec maestria sa gentillesse, sa bonne humeur, sa joie de vivre aussi légendaire que son brushing et sa générosité. Même ses vacheries sont pleines de tendresse ! Un jour, Bernard Dimey écrira « Michou, le seul qui donne des couleurs aux nuits blanches »… Chaque soir, son dîner spectacle, qui traverse le temps sans une ride, fait salle comble. Après le repas, préparé dans les cuisines du club, le spectacle met en scène une légion de désopilantes Michettes qui entrent dans la peau des stars de la chanson… Comme un Top 50 intemporel toujours sur son 31 !

Michel Michel Propriétaire du Banana Café, bar gay Friendly qui est devenu une institution des nuits parisiennes, Michel Michel a su garder l’âme que Tomy Gomez lui avait donné, tout en le développant et en le rendant vraiment incontournable. Très réputé à l’étranger, il attire beaucoup les touristes fêtards. Même des stars viennent pousser la chanson en se mettant au piano. Gogo Boys, soirées à thème, crazy happy hours… font que ce lieu ne désemplit pas et attire toujours et encore plus de fêtards.

Rasmus Michau A travers ses soirées Bagatelles, il donne un autre style à la nuit parisienne. Comme un poisson dans l’eau dans l’univers du luxe, il a une certaine idée du « dresscode » qui sied à la fête… En son temps, Ramus Michau a ouvert un bar, le Blitz, pour promouvoir sa tequila éponyme, et un karaoké, Le Renard, avec quelques associés…

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STÉPHANE MUNNIER Après avoir lancé et développé Monster Energy en France depuis 2009, et spécifiquement sur le segment night life à partir de 2011, Stéphane Munnier a pris en 2014 la direction générale de Nicoventures France, un département de British American Tobacco. Il y mène une réflexion sur le lancement d’une cigarette électronique de nouvelle génération et sur la création d’un nouveau modèle pour faire de cette catégorie une expérience pour les consommateurs et un relais de croissance pour les établissements de nuit.

QUENTIN MOSIMANN Il s’en est passé de belles choses dans la carrière de ce jeune DJ producteur depuis sa médiatisation dans Star Academy ! Double disque d’or en 2009, élu meilleur DJ dance en 2011, classé dans le Top 100 du DJ mag, il est le 4e meilleur Français derrière David Guetta, Madeon et Daft Punk ! Poussé par une envie de surprendre, il a su créer son univers qu’il fait partager sur scène, en véritable bête de show !

JEAN-PAUL MUNTZ-BERGER Après avoir participé à l’autorisation, construit et gérer Red Bull en CHR depuis sept ans, Jean-Paul Muntz-Berger, dit « Polo », silhouette légendaire des établissements de nuit parisiens se consacre aujourd’hui à sa société Trade Marketing Team. Cette dernière compte parmi ses clients le développement de Carlsberg et Skoll bouteille, Voss Water, Thomas Henry, Stolichnaya et, depuis peu, Elite vodka, sans oublier Red Bull !

CÉDRIC NAUDON

Pierre Moussié et Jean Vedreine Pierre Moussié et Jean Vedreine sont propriétaires du Mansart, bar du South Pigalle où il fait bon se mettre en terrasse pour se gâter l’œil ou pour se faire une petite partie de babyfoot. Ainsi que du Sans Souci, bar aux allures de PMU qui attire de jeunes branchés qui viennent écouter le son électro rock de DJ’s. Les deux acolytes continuent leur parcours en ouvrant après de très gros travaux, une énorme brasserie à Barbès, à la place de l’ancien magasin de textile Vano. Pierre Moussié est aussi propriétaire du fameux Chez Jeannette et du Floréal.

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Cédric Naudon a le projet ambitieux d’ouvrir 36 boutiques et restaurants, dédiés aux meilleurs produits et aménagés par de grands designers, dans un petit périmètre couvrant trois rues Vertbois, Notre-Damede Nazareth et Volta, dans le 3e arrondissement. Une philosophie et une nouvelle façon de consommer, qui tend à s’exporter dans le monde : La Jeune Rue. Pour l’instant, seuls 3 restaurants ont vu le jour. Anahi, restaurant argentin, Ibaji, cantine coréenne et Pan mais dans le 10e arrondissement. Il semblerait que le projet ambitieux de ce mystérieux homme d’affaires stagne un peu, faute de financement. Affaire à suivre…



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N SIBEN N’SER

Vu de la nuit, en lançant son concept Planet Sushi en 1999, Siben N’Ser a créé son empire du Soleil couchant ! Avec son idée d’occidentaliser la restauration japonaise, en bousculant les codes et les idées reçues, il a séduit les Parisiens, avant de toucher les Français et même les Européens. A travers ses sushi bars, ses Planet Sushi et ses restaurants-vente à emporter, Siben N’Ser a conquis le monde avec quelque soixante sites en France, trois à Ibiza, un à Casablanca et même deux à Miami…

O P ORISKA

Depuis ses débuts, qui ne sont tout de même pas si lointains, Oriska a fait un joli bout de chemin… DJ Internationale / Résidente NRJ Extravadance, elle a été élue Meilleure DJ féminine aux NRJ DJ Awards 2013–2014. Comme elle le confiait dernièrement à Paris Nuit : « J’ai réussi à faire mes preuves et désormais, je suis respectée par mes collègues masculins… »

Benjamin Patou Lancé dans l’événementiel avec Moma Group, sa société, Benjamin Patou est un multi-entrepreneur de nuit avec quelques vaisseaux amiraux parisiens qu’il dirige seul ou en association avec d’autres ténors du secteur comme Laurent de Gourcuff ou Addy Bakhtiar. Au nombre des établissements de son écosystème : Le Bus Paladium, le Victoria 1836, le Globo et surtout l’Arc…

YANNICK PEREZZAN

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Yannick Perezzan est le directeur marketing de Tradelink, responsable du développement des marques, à travers le sourcing de nouveaux produits, la stratégie, le développement d’outils promotionnels et un focus sur les CHRD : « Notre spécificité est de sourcer des marques internationales premium sur leur marché d’origine et de les importer en France, en adaptant une politique commerciale et marketing au marché, comme la vodka Beluga, dont je suis très fier. » La nuit, Yannick Perezzan travaille avec tous les types d’établissements, mais plus particulièrement avec les bars à cocktails, les bars et les restaurants « trendies »… Dans le secteur de la mixologie, il développe des actions particulières, notamment dans le bar de Stephen Martin « A la Française » qui fait parler de lui actuellement, avec le Vermouth la Quintinye Royale, G’Vine, avec la vodka Pyla, ou encore Pimento...

Marie Pallot Après avoir commandé quelques gros vaisseaux de la nuit dans le Val-d’Oise, le Niagara de Saint-Ouen-l’Aumône et le Zimm’s de Pontoise, elle est arrivée à Paris l’année dernière pour prendre en charge les destinées d’un établissement qui aime faire parler de lui : le Bizz. Ce bar-restaurant convivial s’est donné pour vocation de créer l’événement au cœur d’un quartier d’affaires.

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Cyril Perret Après avoir vécu à Miami, Cyril Peret a eu quelques expériences parisiennes avec le Man Ray, le Sens ou encore le Matignon. Puis il est parti à New York voir ce qui se faisait. De retour à Paris, il s’associe avec Philippe Fatien et s’inspire du film « Une nuit en enfer » de Tarantino et de son bar, pour créer le Titty Twister. Ambiance speakeasy comme il avait pu le découvrir aux Etats-Unis, avec une grande salle de jeux où l’on trouve un billard, un flipper ou encore des consoles Arcade. Très bonne carte de cocktails. La clientèle est éclectique et passe d’une salle à l’autre pour profiter des différentes ambiances.

Laurent Provost

Eric Portelli

Laurent Provost exerce avec passion, depuis plus de 15 ans, dans le secteur de la billetterie, à travers Dine’O Quick. Comme il le souligne, « Ce n’est qu’en travaillant avec proximité auprès de nos clients, les professionnels de la nuit, que nous pouvons garantir des solutions personnalisées et optimales pour leur être le plus utile possible. »

Eric Portelli dirige l’agence Metro 18 – Poissonnière, 94-108, rue des Poissonniers. A l’instar de son collègue Régis Bertrand de Metro 12 – Bercy, il est susceptible d’apporter tous les conseils et toutes les réponses commerciales aux professionnels de la nuit.

Anne-Sophie Pic Armen Petrossian Que serait la nuit sans la magie du caviar et de ces produits d’exception que propose depuis des lustres la famille Petrossian… Ce sont aujourd’hui Armen Petrossian et son fils Mikael qui veillent aux grains… Un an après la renaissance du 144, quelques mois après l’ouverture d’une nouvelle ambassade du caviar, et des produits qui ont fait la réputation internationale de la maison, au 106 boulevard de Courcelles, dans le 17e arrondissement, 2015 s’annonce comme un nouveau grand cru.

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PourAnne-SophiePic,letalentsedécline à Valence, Lausanne, New York et Paris, avec la désormais célèbre « Dame de Pic ». Pour présenter cette ambassade capitale qui vaut naturellement la visite, la talentueuse chef, largement étoilée, a une devise : « Une découverte olfactive comme anticipation de la découverte gustative. »


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JÉRÔME QUEIGE Le directeur national des ventes de la maison de Champagne Jacquart mise sur la nuit depuis longtemps. Pour lui, « un moment Jacquart, c’est un instant de partage, de véritable plaisir spontané où se conjuguent sincérité et convivialité ». Pour séduire les professionnels de la nuit, Jérôme Queige a deux atouts : « notre engagement auprès de nos clients, à travers de vrais partenariats gagnant-gagnant, et la qualité de nos vins »…

Fanny Rabasse et Jean-Luc Péhau Fanny Rabasse et Jean-Luc Péhau veillent, chacun dans son secteur de compétence, sur l’activité du Moulin Rouge, l’un des phares de la nuit capitale. Depuis son ouverture en 1889, il attire comme un aimant les Parisiens, les provinciaux et les étrangers qui veulent découvrir un peu de cette vie parisienne mythique. Actuellement, c’est Féerie qui est à l’affiche avec une troupe de 80 artistes, dont les 60 Doriss Girls, plus de 1 000 costumes de plumes, de strass et de paillettes réalisés dans les ateliers parisiens les plus renommés, et des décors somptueux hauts en couleurs.

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Reno Rives Physio depuis bientôt 19 ans. Début au Palace du groupe Régine, à l’époque de Jean-Louis Garnier. Formé par Mariem, du Privilège, il enchaîne ensuite les Folies, l’Enfer, le Gibus, le Man Ray, les Bains… Passage à l’événementiel et à la communication avec sept année de Mathis ave Gérald Nanty, Jacques… Le parcours de nuit se poursuit actuellement au Speakeasy : « c’est pour moi un barrestaurant à l’ancienne où les codes sont très respectés, où l’équipe est très soucieuse de l’accueil, du service, de l’ambiance… »

M. RAFEI Rafei et son équipe ont de la nuit parisienne une définition des plus conviviales. Il faut dire que le cadre du Bizen, le superbe loft à la new-yorkaise de la rue Réaumur, s’y prête à merveille avec son ambiance lounge qui se décline sur deux niveaux. Ce lieu de loisirs bicéphale offre en effet l’opportunité, après un dîner « maison », de prolonger agréablement la soirée au club pour ses afterworks et les événements festifs.

NADINE RODD Le charme de Nadine Rodd, journaliste gastronomique de la presse écrite et télévisée, nous fait suivre la Route des Saveurs, ces adresses gourmandes, à Paris et dans toute la France. Conseillées par 26 chefs étoilés, elle donne de la fine fleur de la cuisine française une image à la fois glamour et authentique.

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49 Jean-François Roques et Cécile Corrazzin Jean-François Roques et Cécile Corrazzin -le Cadet de Gascogne, la Mère Catherine,le Bistrot Marbeuf- font les belles nuits de SaintGermain-des-Prés avec leur Café Louise, un bistrot-appartement, un peu comme à la maison, qui sait associer les repas, les rencontres et les plaisirs. On peut y rentrer tôt et en sortir très tard, sans peut-être en avoir percé tous les charmes…

Alain Rolland Après avoir organisé des soirées au Palace, aux Bains Douches et à la salle Wagram, il crée le Cercle Elite voici des lunes, avec la volonté de faire se rencontrer garçons et filles dont l’élégance est la vertu première. Avec Crystal Communication, il continue aujourd’hui à organiser des soirées magiques dans de beaux lieux de Paris, bars et restaurants. Sa clientèle lui est aussi fidèle qu’il l’est, lui, à la nuit.

Eric Romain

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Directeur national des ventes au sein du Groupe Marie Brizard, Eric Romain bénéficie de l’arrivée en force de Briz’Art. Cette nouvelle gamme de liqueurs fraîches et fruitées va bien à la nuit avec son design tendance, inspiré du street art, sa bouteille givrée et son pack luminescent à la lumière UV…

Talal Salamé et Jean-Marc Le Bras Le Palais Maillot est comme un vaisseau amiral qui avance sur le temps en maintenant le cap, célèbre pour ses afterworks et ses soirées clubbing. Ce lieu tendance est l’œuvre commune de Talal Salamé et Jean-Marc Le Bras. Ensemble, ils ont déjà beaucoup œuvré, des soirées aux Bains et au Queen au lancement du Six Seven et du First Floor.

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Guy Savoy ç

Son arrivée programmée à la prestigieuse Monnaie de Paris change le décor… mais l’essentiel n’est pas là ! Guy Savoy est et reste l’un des tout meilleurs chefs français. L’excellence culinaire va néanmoins prendre une autre envergure sous la création de Jean-Michel Wilmotte. La rue Troyon restera en revanche d’actualité pour le triple étoilé qui transformera son actuel restaurant en incontournable ambassade de la mer et continuera à animer l’huîtrade, ouverte juste en face, voici quelques mois.

ANDRÉ SARAIVA André Saraiva, alias « André » est d’abord graffeur. Mais il ne dédaigne pas pour autant le business en participant à l’ouverture d’établissements dans lequel il propose son style. En 2005, c’est Le Baron, puis le Paris-Paris, l’hôtel Amour, La Fidélité… Il franchit ensuite les frontières hexagonales et intervient à Londres, à New York et à Tokyo.

GÉRARD SIAD Gérard Siad entame une année 2015 sous le signe de l’alliance. Président du Syndicat national des entreprises gaies & Co (SNEG & Co), il vient en effet de rejoindre l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) et son président, Roland Héguy, « afin de poursuivre et de mutualiser les actions, en développant ensemble des propositions et des initiatives pour le monde de la nuit ». Ce rapprochement du SNEG & Co conforte le poids de l’UMIH comme porteparole du secteur et comme l’interlocuteur privilégié des Pouvoirs publics.

PHILIPPE SEITHER General & booking Manager, Philippe Seither est au cœur de l’animation de nuit en France avec son agence Dynaprod. Actuellement au top des DJ’s et des artistes live : AH2EE, un Américain n°1 des club en France, Benjamin Braxton, DJ producteur français, mais aussi Cauet, Clara Morgane, Panzer Flower, Italo Brothers…

Gregory Smith A Paris, il s’est lancé dans l’aventure O’Sullivans pour en faire une série à succès, genre Club des cinq : Grands Boulevards, Rebel Bar, Franklin Roosevelt, By the Mill et Backstage. La formule a même essaimé en France, de Saint-Germain-en-Laye à Mandelieu-La-Napoule, en passant par Méribel et Montpellier… Ces irish-pubs-clubsrestaurants marquent des points partout où ils ouvrent…

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51 Bob Sinclar Dj électro incontournable, Bob Sinclar est représentant de la French touch quand il mixe dans les plus belles boites partout dans le monde. Auteur de nombreux tubes comme « The soundz of freedom », « World, hold on », il est aussi co-fondateur de Yellow Productions. Il a sorti en 2013 son dixième album « Paris by night » pour lequel il a travaillé avec de jeunes artistes pour avoir des « idées fraiches » comme Erik Hagleton, Marc O’moriatti, Fabrice Dayan, Nick et Danny Chatelain. Son « Paris by night » à lui quand il ne mixe pas le soir, c’est un bon resto au Mama Shelter rue de Bagnolet, un dîner spectacle Chez Michou à Pigalle, une séance sexy au Crazy Horse et du gros clubbing au Queen sur les Champs-Elysées pour finir la nuit.

Carina Soto Velasquez D’origine Colombienne, Carina Soto Velasquez a été barmaid à son arrivée à Paris à l’Experimental Cocktail Club. Suite à son expérience, elle a ouvert La Candelaria avec deux amis où l’on va déguster des cocktails complètement inédits, accompagnés de tacos, éclairé aux chandelles. Cette bar tender hors pair, s’est spécialisée dans les saveurs sud-américaines comme la tequila, le rhum, le pisco et le mezcal et a depuis ouvert deux autres bars : Le Glass et le Mary Celeste.

Martin Solveig

Philippe Souche Directeur régional adjoint des ventes chez Ricard, Philippe Souche est en charge de l’ensemble de la clientèle hors domicile de Paris – Île-de-France. La nuit est le marché qu’il appréhende le mieux, c’est donc en expert qu’il le voit évoluer : « il se professionnalise et, par ailleurs, se concentre, avec la création des groupes –dont certains à l’international– possédant plusieurs dizaines d’établissements. Ricard, acteur majeur du marché doit évoluer et même anticiper les changements de la vie nocturne. Les noctambules parisiens changent, eux aussi. Plus souvent dehors, ils trouvent davantage de lieux pour faire la fête. Ils sont pourtant plus sages… » La nuit selon Ricard est toujours « ultra premium » avec ses marques emblématiques, Perrier-Jouet Belle Epoque, Absolut Elyx, tequila Avion, Chivas Regal, Beefeater et, bien sûr, Ricard, présent partout puisqu’il concerne tous les milieux sociaux et surtout culturels, notamment à travers la Fondation…

Philippe Starck Depuis de nombreuses années, la nuit parisienne s’est habituée à sa signature si personnelle et à sa débordante créativité qui va, bien audelà d’un design novateur, tutoyer les styles de vie. A Paris, Philippe Starck a notamment signé Mama Shelter, Meurice, Bon, Kong, Royal Monceau, Paradis du fruit Roots, Ma Cocotte, Café Stern… Et surtout l’extraordinaire restaurant Miss Ko, manière de chef-d’œuvre…

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Qui pourrait croire que ce DJ mondialement connu était tout jeune soliste soprano aux Petits Chanteurs de Sainte Croix de Neuilly ? Trève de plaisanterie, il a commencé à mixer aux Planches de Deauville puis dans des clubs parisiens comme le Palace, l’Enfer, le Queen mais aussi les Bains. Il sort plusieurs albums dont « C’est la vie » qui marque un tournant dans sa carrière. Il devient DJ résident sur FG et dans la foulée est fait chevalier des Arts et des Lettres. Il a collaboré avec les grandes Madonna et Nicki Minaj. Il s’est fait assez discret depuis son 5e album, mais continue de se produire dans le monde entier avec ses hits comme « I want You », Bing in Japan » ou « Hello ». Il se murmure qu’il préparerait peut être un nouvel album… A suivre…


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Jack T.

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En 1996, Jacques et Lionel, deux fêtards un peu las des sorties frimes, pense à organiser une soirée à contre-courant de ce qu’il se fait à ce moment. Ils proposent des soirées où l’on passe de la variété française des années 70/80 alors que l’électro est à ce moment dans l’air du temps. C’est la nuit des Follivores. A l’époque une fois par mois au Bataclan, ces soirées un peu décalées deviennent incontournables et attirent plein de gens différents. 20 ans après, la nuit des Folivores bat toujours son plein et sort aussi du Bataclan en allant parfois au ski ou encore à Sitges en Espagne.

CHARLES SUPPER Son club, les Planches, au cœur du 8e arrondissement, est depuis longtemps le rendez-vous de la jeunesse dorée qui veut le week-end fouler le dance floor. Deux salons privatifs, un fumoir, un bar à l’américaine et une énorme piste… Pas moins de 650 m² pour accueillir tout ce beau monde. La school, la bringue, le bonheur des dames ou encore la Nouba… sont les noms des soirées organisées dans ce club chéri par les étudiants !

SURESH LES TAURINYA La famille Taurinya est emblématique de la nuit parisienne. Les parents, Jean-Louis et Françoise, ont marqué de leur empreinte des lieux très courrus comme l’Amazonial, le Tropic Café ou le Chant des Voyelles. C’est aujourd’hui la génération montante, Sébastien, Alexandre et bientôt Jules, qui prend le relais, notamment au RoyalTrinité, avec les ingrédients essentiels qui ont forgé le succès : la qualité de l’accueil et celle de l’assiette.

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Depuis 1999, Suresh a mis sa vie à l’heure de La Havane, avec son Cuba Compagnie Café, son décor latino et sa cuisine typique. Dans les trois salles de l’établissement, il propose une totale immersion dans l’atmosphère, l’ambiance et la culture de l’île. Le mojito Havana règne en maître, à l’instar des concerts live et des DJ’s sets. Périodiquement, Suresh organise des cours de mojitos et des cours de salsa.

Pierre-Emmanuel Taittinger

Il y a ceux que la nuit couronne et il y a ceux qui l’honorent. Pierre Emmanuel Taittinger, Président des Champagnes Taittinger, fait sans nul doute partie de ceux-là. Ce brillant homme d’affaires est avant tout homme de cœur et son attachement à la nuit, ses mystères et sa magie, en font un convive incomparable. Ses parcours parisiens témoignent de son insatiable curiosité et de sa vraie humanité. Une ouverture aux autres et une expérience de la vie – la vraiequi l’ont sans nul doute servi lors de la bataille pour reconquérir le bien familial. Ses cheveux en bataille et son sourire bienveillant lui donnent un panache proche du poête. Pas toujours facile dans ces conditions de vivre toutes ses vies.

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CHRISTOPHE TERRAN Avec ses Montparnos, Christophe Terran tient une valeur sûre. Jusqu’à 1h du matin, il régale ses hôtes dans un cadre qui s’inspire avec bonheur des grandes années de ce quartier emblématique de la capitale. Des instantanés d’artistes, de peintres et d’écrivains qui agrémentent ce bistrot plein de charme témoignent des riches heures. Côté restauration, Christophe Terran mise sur la fraîcheur des produits et la qualité du « fait maison ».

Stéphane Vatinel Stéphane Vatinel a sans doute signé l’ouverture 2014 la plus en phase avec son temps. La Recyclerie, installée dans l’ancienne gare Ornano, Porte de Clignancourt, est un établissement qui porte haut l’ensemble des stigmates d’une société éco-avisée qui a décidé de changer ses modes de consommation. Les bobos sont légion à tous les étages de ce concept intelligent… Bar du haut, bar du bas, tout est minimaliste, homogène… Les jours de marché, c’est l’apothéose bio-responsable. Stéphane Vatinel veille aussi au développement de la Machine du Moulin Rouge et du Pavillon des canaux.

NICOLAS ULLMANN

PATRICK VENOT Aussi à l’aise sur la pelouse de la Fête de l’Huma, dans les gradins du Stade de France, à la terrasse d’Apicius ou sur les planches de « Deauv », Patrick Venot a grandi rue Princesse. Enfant de Castel il a gardé de cette époque une bonne humeur légendaire et une vraie philosophie de vie. Noctambule impénitent, son carnet d’adresses permet de parcourir les rues de la capitale sans jamais se coucher. Un atout précieux pour la société Pernod pour qui il a bravé les « Avis de tempête » et géré les équipes nuit.

Comédien, DJ, musicien, Nicolas Ullmann fait depuis longtemps partie du monde de la nuit. Il a débuté par des soirées Karaoké au Bus puis a organisé ses propres soirées que le gratin parisien n’auraient manqué sous aucun prétexte. Il a ouvert un petit bar dans la rue Muller, avec son colocataire de l’époque, Baptiste Lorber : Le Rosie. Ambiance cosy et conviviale pour ce bar qui fait penser à un appartement. La carte des cocktails est originale, il y a des planches pour grignoter et un DJ le week end pour s’amuser.

Farzad Vahidi Le plus parisien des Iraniens de la capitale. Sa célèbre moustache et sa stature impressionnent celui qui s’adresse à lui pour la première fois. Farzad est une des locomotives des nuits parisiennes, son premier établissement ayant été créé il y a près de 30 ans ! Ses restaurants et cabarets (Jet Set…) attirent le gratin du Moyen Orient mais aussi les très nombreux amoureux français de la culture perse. Chanteurs, musiciens et danseuses animent chaque soir les longues nuits d’Orient. Un voyage qui s’achève souvent au milieu de la matinée.

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Alexandre Vermauwt Depuis le 1er janvier 2013, Alexandre Vermauwt assure les fonctions de Key Account Manager - High Image Account (Compte Clé Image - Circuit de prescription) chez Moët Hennessy Diageo. Il traverse la nuit parisienne avec des produits premium que sont Dom Pérignon, Krug, Veuve Clicquot et Moët&Chandon, pour la partie champagne, et Hennessy, Belvedere, Smirnoff, Ketel One, J&B , Johnnie Walker, Tanqueray, Gordon’s, Téquila Don Julio, Rhum Zacapa, pour les spiritueux.

Jean-Pierre Vigato En entrant chez Apicius, en rez-dechaussée de l’hôtel Schneider, rue d’Artois, dans le 8e arrondissement, on quitte l’ordinaire pour aborder un lieu magique entre les mains d’un magicien : Jean-Pierre Vigato... Ce chef hors pair veille, par ailleurs, aux destinées d’A&M, la version « bistrot chic » de Tsukasa Fukuyama, boulevard Murat, et Le Français a également un pied à la Mamounia…

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Nicolas Vilquin Brand Manager Corona et Cubanisto, Nicolas Vilquin a pour principale mission le développement de Corona et de Cubanisto, en termes de notoriété, de visibilité et de demande. Il travaille par ailleurs au renforcement du positionnement de ces deux marques : Corona, blonde et légère, la bière mexicaine de « l’évasion », et Cubanisto, la nouvelle bière tendance aromatisée au rhum, bière « officielle » du monde de la nuit. Cette belle ambition passe par la définition d’un plan média adapté, le référencement dans des clubs iconiques, aussi bien sur Paris qu’en Province –Badaboum, Social Club, Rex, Iboat…–, par de nombreuses activations originales des bars et des discothèques grâce à des concepts de soirée innovants et surprenants.

Pedro Winter DJ, compositeur, producteur de musique électronique, il fait partie des incontournables de la nuit parisienne. Organisateur entre autres, des soirées Hype aux Folies Pigalle, il rencontre les Daft Punk dont il va être le manager pendant 12 ans. Puis il décide de créer son label ED Banger Records et de produire de jeunes artistes comme Justice, Mr Oizo, Sebatian et plus récemment Breakbot… et de lui-même composer sous le pseudo Busy P. On le retrouve le samedi soir sur le Mouv’ pour sa sélection musicale.

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WILLY BAJAL

Carrière nocturne commencée au BB Antilles à Boulogne il y a… une vingtaine d’années ! Fort d’une philosophie de vie, avant même d’acquérir le mental de la nuit, Willy Bajal a su se faire apprécier de bon nombre de propriétaires d’établissements de la capitale. Intégré dans le « team » Paris Nuit, il dirige aujourd’hui la direction artistique du Groupe pour les établissements, le Bizen et le Biz et met sa touche personnelle aux Trophées de la Nuit. Toujours soucieux de son look, il surfe sur les « Wibes » et sait en permanence maintenir le bon tempo.

LAURENT WOLF Passionné de musique électronique, ce DJ effectue ses premiers pas au Queen, où il mixe ensuite pendant presque 15 ans jusque 3 nuits par semaine. Ce club des Champs-Elysées est un énorme tremplin pour sa carrière. Il monte son studio d’enregistrement et connait la gloire avec son titre « Saxo », reconnu internationalement. Il sort ensuite des albums et connait son plus gros succès avec « No stress » interprété par Eric Carter, qui le propulse à la première place en France et en Belgique et dans les hitparades européens. Il a eu le prix du meilleur DJ au World Music Awards, et la même année remixe Beyonce et fait 2 fois la première partie de Madonna.

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Yvan Zaplatilek

FARID ZARZAR

Ce cuisinier, venu de Belgique pour enchanter la capitale, a été et restera l’un des rois de la nuit parisienne. Son restaurant de la rue Jean Mermoz fut un modèle du genre, alliant qualité de la cuisine –inspirée par le Nord– et celle d’une ambiance à nulle autre pareille. Grand ami de Michou, Yvan dispense à présent son art sous d’autres latitudes, notamment au Maroc.

A deux pas de Beaubourg, dans le cadre d’un ancien hôtel particulier du XVIIIe siècle, Farid Zarzar a donné vie au Riad Nejma, dans la grande tradition marocaine. Ses sept salons, sa vaste salle de restaurant, son patio et son jardin intérieur livrent au lieu les fragrances des mille et une nuits.

David Zenouda David Zenouda est l’un des chefs d’établissements emblématiques de la nuit parisienne. Avec des amis et associés, il gère brillamment plusieurs affaires –Café A, Next, Maze…– Résolument optimiste, il affirme que « les branchés font actuellement de Paris la future capitalement mondiale de la fête ». Pour lui, les DJ’s parisiens sont devenus des stars internationales : « Daft Punk, David Guetta, Justice, Phoenix… Grâce eux, l’électro française est devenue une référence mondiale ». Côté table, les choses ont aussi évoluées : « des Grand boulevard au canal Saint-Martin, de Montorgueil à Ménilmontant, une multitude de bistrots se sont installés avec une nouvelle conception de l’accueil et de la qualité des produits… »

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Red Bull Bar Staff Challenge En 2015, la marque aux deux taureaux lance le « Red Bull Bar Staff Challenge », à travers lequel entre en lice une centaine d’établissements de Paris et d’Ile-de-France. Le Bar Staff challenge est une compétition qui va durer six mois. Chaque mois, les établissements sont challengés, par un athlète ou un artiste, pour réaliser un nouveau défi, en équipe. L’objectif final est de remporter le titre de « Héros de la nuit » et de partir vivre une expérience inoubliable sur l’Île d’Ibiza. Le premier défi a été révélé le 26 janvier dernier, à l’occasion d’une soirée de lancement, organisée au Yoyo. Au programme de ce premier mois de compétition : l’Xtreme Crowd Surfing… Un concept parfait pour des Team Building à destination des établissements…


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Saint-James fête ses 250 ans 2015 est un cru exceptionnel pour le rhum Saint-James puisqu’il fête ses 250 ans. Jean-Louis Denis, directeur commercial de la structure « hors domicile » du groupe Bardinet-La Martiniquaise, BLMHD, présente le programme des festivités d’ores et déjà programmées. Comme le précise Jean-Louis Denis, « Saint-James est aujourd’hui largement présent dans les bars à cocktails. Nous préconisons ce rhum sur des créations et des cocktails modernes, comme le Mojito Impérial Saint James, la Pina Colada, ou encore le Mai Taï avec l’association rhum blanc – rhum ambré. Saint-James est également la seule marque à proposer un rhum paille –vieilli un an et titrant 40°–, idéal pour un Cuba Libre. Nous disposons en fait d’un spectre de gamme complet, avec des rhums vieux –7 ans, 12 ans, 15 ans –, plus adaptés à la dégustation, et le sucre de canne Saint James, ingrédient incontournable dans les cocktails. Nous avons également des produits extrêmement pointus, millésimes et autres singles casks, avec des qualités organoleptiques riches et variées… »

Deux produits « anniversaires » Les 250 ans de Saint-James sont aussi l’occasion de voir naître deux nouveaux produits : la cuvée 1765 et la Carafe Prestige 250 ans. La cuvée 1765 –l’année de création de la marque–, dont le flacon est un peu différent de la bouteille carrée traditionnelle, mais qui renvoie néanmoins aux codes de la marque. Cette cuvée est un assemblage de rhums sélectionnés et vieillis au moins cinq ans en petits fûts de chêne. Produit de haute qualité, mais qui reste accessible pour le plaisir de tous, en dégustation. La Carafe Prestige 250 ans accueille, dans un flacon très luxueux , un blend des meilleurs millésimes de Saint-James. Edition limitée à 800 exemplaires pour le monde entier, dont 300 pour la France. Ce produit d’exception sera dévoilé à l’occasion d’une Masterclass pendant Rhum Expo (23 au 25 mai) présenté conjointement par Marc Sassier (Maitre de Chais des Plantations Saint-James) et Stephen Martin (Mixologue reconnu, qui vient d’ouvrir son établissement A La Française et Ambassadeur de la Marque).

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Produits

En trois ans, Saint James a progressé de 40 % en volume, soit quelque 475 000 litres vendus en France en 2014, dans le monde de la nuit et du CHR.

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Jean-Louis Denis Après dix ans passés au sein groupe Mars (food et pet food), Jean-Louis Denis arrive à La Martiniquaise en 2003. Sept ans plus tard, après avoir assuré différentes fonctions, il prend la direction commerciale de la structure hors domicile du groupe Bardinet-La Martiniquaise, BLMHD. Le chiffre d’affaires du secteur est de l’ordre de 35 millions d’euros, avec une croissance en forte progression depuis trois ans. Il manage une équipe d’une trentaine de personnes. Les marques prioritaires du portefeuille sont Poliakov, Saint-James, Dillon, mais également Casanis, le gin Gibson’s, Cruz et la Cachaça Aguacana… Sans oublier Caraïbos, la gamme professionnelle de jus de fruits. Pour lui, « toute la stratégie de BLMHD est aujourd’hui d’associer les marques de spiritueux aux jus Caraïbos –plus de 50 parfums–, pour proposer une offre cocktails complète aux établissements ».

La fête aux Antilles Comme le précise Jean-Louis Denis, « l’anniversaire Saint-James donnera lieu à une semaine de festivités aux Antilles, au mois de juillet, durant laquelle nous allons recevoir des clients partenaires et des journalistes. Il y aura notamment la visite de la distillerie et du musée. Nous en profiterons pour présenter une exposition d’art (artistes martiniquais). Une masterclass, un concours avec l’ABF Martinique et des soirées sont également programmées… En métropole, nous organiserons une soirée au mois de juin, dans un lieu très parisien, qui sera révélé un peu plus tard dans l’année ; un lieu surprenant, un peu iconoclaste et extrêmement prestigieux… ». Dans les établissements, cet anniversaire sera fêté par une tournée, le SaintJames Mojito Island Tour, à Paris, Lyon, Strasbourg et Montpellier, du 9 avril au 30 mai, avec une dizaine d’établissements concernés dans chaque ville, pavoisés aux couleurs de la marque. Selon Jean-Louis Denis, « cet événement sera organisé autour du Mojito réalisé selon le rituel Saint-James, avec l’aide d’un mixologue ». Un rituel qui assume le caractère de différence de la marque avec notamment un finish au siphon pour l’ajout d’eau gazeuse. Un beau livre va également être publié, vendu en librairie, fin du 1er semestre, relayant toute l’histoire des rhums martiniquais en général et de la saga « Saint-James » en particulier.

Savez-vous pourquoi la bouteille Saint-James est carrée ? Quand Saint-James a été créé, il y a donc 250 ans, les propriétaires ont immédiatement imaginé deux choses : faire de ce rhum antillais un produit international, d’où son appellation à connotation anglo-saxonne, et concevoir une bouteille carrée qui rationalisait le transport du rhum par bateau, optimisant la place et stabilisant les bouteilles.

PARIS

NUIT

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Produits

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Bernard Burguet, directeur commercial CHD Eckes-Granini France, confirme une grande année 2015 pour Granini qui fête ses 50 ans et lance deux nouveaux produits, sans oublier un grand concours…

Grande année Granini ! Comme le précise Bernard Burguet, « en 2015, Granini fête ses 50 ans, ses 50 ans de savoir-faire, de plaisir et de passion du fruit. A cette occasion, nous avons souhaité remercier nos clients et nos consommateurs... » Pour ce faire, Granini leur adresse sur les étiquettes des bouteilles un immense « Merci » pour leur confiance et leur fidélité ! C’est « l’année cocktail » pour Granini Chaque année, Granini contribue à animer le réseau CHR avec des kits et des matériels d’animation. Bernard Burguet annonce la poursuite de cette politique de promotion avec, en 2015, des moyens particuliers destinés à l’univers du cocktail, ce moment de consommation à fort potentiel pour les points de vente. Granini lance par ailleurs deux nouveaux produits dans la gamme bouteille PET litre, deux innovations, deux recettes de premix jus de fruits pour cocktails : le Planteur et le Cosmopolitan. Ces deux prémix cocktails vont être commercialisés sur le marché des bars, des restaurants et des hôtels avec toujours la volonté d’apporter de la valeur ajoutée aux chefs

d’établissement et une qualité irréprochable aux consommateurs servis par ces professionnels. Selon Bernard Burguet, « ces deux recettes se distinguent par des petits secrets de mixologie. Notre département R&D a beaucoup travaillé pour que ces nouveautés aient chacune une identité forte. Le professionnel n’a plus que l’alcool à ajouter à son prémix fruit Granini, décorer le verre et servir son cocktail ! » Par ailleurs, comme le précise Bernard Burguet : « Nous sommes actuellement leader du format litre en PET en CHR. Cette gamme s’est imposée par la qualité et la diversité des fruits proposés, mais aussi par la praticité de notre PET pour le service : rigidité, préhension, pas d’opercule, bec verseur… »

Professionnels du bar

GRAND CONCOURS GRANINI En partenariat avec Paris Nuit, Granini organise un grand concours à destination des professionnels du bar. L’idée est de mettre en avant le savoir-faire de la profession et de récompenser les meilleurs barmen. Comme le souligne Bernard Burguet, « Nous sommes vraiment très heureux d’avoir monté cette action avec Paris Nuit. Qui mieux que ce magazine pouvait nous accompagner dans cette initiative ? » La thématique ? La mise en scène des cocktails. Le cadeau ? Deux jours à gagner pour deux personnes à Berlin pour un CHD Tour ! Cinq gagnants seront récompensés. Comment participer ? Tous les détails du jeu et le règlement sont à découvrir sur www.granini50ans.com, sur le Facebook de Granini France et sur l’application Paris Nuit. En résumé : - Filmez-vous en train de réaliser un beau et bon cocktail et de le servir. Vous pouvez décrire les produits utilisés, les proportions, mais aussi vos petites astuces. - Envoyez la vidéo avant le 10 mai 2015. - Un jury se réunira pour délibérer et choisir les meilleures réalisations. La créativité, l’originalité, mais aussi le professionnalisme et l’esthétique du cocktail et du service, seront appréciés.

« A vous de jouer ! Soyez inspirés et créatifs ! »

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NUIT

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