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EVENEMENT Elec-Expo dresse son bilan

Elec-Expo dresse son bilan

Placés Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu L’assiste, les Salons Elec Expo, EneR Event & Tronica Expo, ont été organisés par la FENELEC en partenariat avec PYRAMIDS INTERNATIONAL et collaboration avec ATELIER VITA, du 12 au 15 Octobre 2016 à la Foire Internationale de Casablanca (OFEC). Bilan d’un événement annuel qui n’a pas manqué de succès.

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Les Salons elec expo, EneR Event & Tronica Expo ont constitué un hub international en regroupent les pro fessionnels des différents secteurs à savoir : l’électricité, l’électronique et les énergies renouvelables. Cette immense marque de confiance accordée par Sa Majesté, consacre les Salons dans leur rôle d’évènement de référence du secteur en étant le plus important rendez- vous profes sionnel du continent. L’édition 2016 a reçu également la labellisation COP 22 agrée par le comité de pilotage COP 22. Les Salons jouissent également des égides de quatre ministères marocains à savoir ; le ministère de l’Industrie du Com merce de l’Investissement et de l’Economie numérique, le minis tère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et de la Formation des Cadres, le ministère délégué auprès du Mi nistre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement chargé de l’Environnement et le ministère de l’Habitat et de la Politique de la ville. Ces Salons sont accompagnés également par Maroc Export, OFEC, ONEE, MASEN, ADEREE, OFFPT, IRESEN, et le Syndicat national des Electriciens agrées;

Chiffres et pays à l’honneur Elec expo , EneR Event & Tronica Expo, ont regroupé envi ron 92 exposants nationaux et internationaux de provenance de la France, Italie, EAU, Allemagne, Chine, Turquie, Pologne, Espagne, Egypte et Maroc et 8.210 visiteurs pro fessionnels de plusieurs pays. Les pays à l'honneur de cette édition étaient la Côte d'Ivoire, le Togo et l’Egypte. « Plusieurs délégations de provenance de ses pays ainsi que 60 donneurs d'ordre étrangers nous honoré de participer aux activités du Salon et du Forum », indique le communiqué des organisateurs. Par ailleurs, dans le cadre de l’internationalisation des Salons, un programme d’accueil spécial est mis en place par la FENE LEC et la Foire Internationale de Casablanca(OFEC) en faveur d’une centaine de donneurs d’ordre d’Afrique Subsaharienne. Des rencontres B to B sont pro grammées avec le Bureau Economique Allemand AHK pour les entreprises allemandes participantes afin de concrétiser des échanges d’expériences et du savoir-faire avec leurs ho mologues marocains et réaliser des signatures, des conventions et des contrats.

Le HCP dresse son bilan sur la consommation et dépenses des ménages

Le premier constat émergeant de l a l ecture des données rel atives aux quantités révèl e que l a consomm a- tion al imen- taire de vie nt, de plus en plus vari ée, en partic ulier che z les ménages ur bai ns et che z les gro upes socio -éco nomi ques à re venus élevés.

Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) a dévoilé le 26 octobre à Rabat les résultats de l’enquête nationale sur la consommation et les dépenses des ménages. Cette enquête a été réalisée entre 2013 et 2014. Nous présentons ici quelques axes de la synthèse officielle de cette enquête. Source: HCP

Le 26 octobre dernier, le HCP a dévoilé les résultats d’une enquête nationale relative à la consommation et dépenses des ménages marocains. Objectif ? Actualiser les données sur les comportements des consommateurs maro cains.

Quid des dépenses de consommation ? La dépense de consommation annuelle moyenne par ménage, relative à la période allant du premier novembre 2000 à fin octobre 2001, est évaluée au niveau national à 49 333 DH, soit environ 4 110 DH par mois (4 910 DH en milieu urbain et 2 830 DH en milieu rural). Ce montant global recouvre l’ensemble des biens et des services acquis (ache tés, auto-consommés,…) y compris l’estimation du loyer que paieraient les ménages propriétaires ou logés gratuitement, s’ils étaient en situation de location. En tant qu’indicateur de mesure du niveau de vie, les dépenses de consommation par ménage restent affectées par sa taille et la com position selon l’âge de ses membres. Pour cela, le "niveau de vie" est généralement approché par la dépense annuelle de consommation par tête ou par "équivalent-adulte". Exprimée en dirhams courants, la dépense annuelle moyenne par per sonne (DAMP) est passée de 3 623 DH en 1985 à 7 823 DH en 1998, puis à 8 280 DH en 2001, soit un taux d’accroissement annuel moyen de 2,1% en dirhams courants entre 1998 et 2001. Si l’on éli mine l’effet des augmentations des prix des biens et services consommés, le niveau de vie moyen de la population marocaine a augmenté de 1% par an en dirhams constants durant cette période, suivant en cela la tendance dessinée entre 1985 et 1998 (1,1% d’augmentation par an en dirhams

dresse son bilan sur la consommation et dépenses

constants). Le niveau de vie dépend de multiples facteurs socio-économiques étroitement imbriqués dont le revenu, le lieu de résidence, le niveau d’instruction, la composition du ménage, l’activité du conjoint du chef de ménage, etc. Examinée selon le milieu de résidence, la dépense annuelle moyenne d’un citadin (10 624 DH) est environ deux fois plus importante que celle d’un résident en milieu rural (5 288 DH). D’un autre côté, les régions qui présentent la DAMP la plus élevée sont : la région du "Grand Casablanca" (14 366 DH), "Oued Ed-Dahab-Lagouira ; LaâyouneBoujdour- Sakia El Hamra ; Guelmim-Es-Semara" (10 609 DH) et "Rabat-Salé-Zemmour-Zaër" (10 162 DH). Par contre, les dépenses annuelles moyennes les plus basses sont enregistrées dans les régions de l’"Oriental" (6883 DH), "Meknès-Tafilalet" (6740 DH), "El Gharb-Chrarda-Beni Hssen" (6 284 DH) et "Marrakech-Tensift-Al Haouz" (6 228 DH). Le revenu reste le premier élément de différenciation des budgets de consommation des ménages. Devant le manque de données fiables sur le revenu par tête, celui-ci est généralement approché par la dépense

de consommation par tête. Comme on pouvait s’y attendre, le niveau de vie moyen augmente sen siblement avec le revenu. Ainsi, de 2 179 DH pour les 10 % de la population les moins aisés, la DAMP passe à 26 611 DH pour les 10 % les plus aisés, soit un écart dans un rapport de 1 à 12,2 fois. Dépenses et consommation alimentaires Le modèle de consommation alimentaire tradition nel basé essentiellement sur les céréales, les sucres et les corps gras commence à s’estomper progressi vement. Il semble également que ce modèle tend vers un "plus grand équilibre", notamment chez les citadins et chez les catégories socio-économiques à revenus élevés. Les quantités consommées des pro duits alimentaires riches généralement en protéines ne cessent d’augmenter. Sur le plan de l’évolution de la structure du budget alimentaire, le poids rela tif des produits alimentaires riches en calories (céréales, sucres et produits sucrés, corps gras,…) diminue, passant de 39,1% en 1985 à 33,4% en 2001, soit une baisse de 5,7 points. Contrairement à cela, les produits riches en protéines (produits laitiers, œufs, viandes, poisson,…) ont vu leur part dans le budget alimentaire s’accroître respectivement de 30,0% à 33,1%. De même, l’importance relative des légumes et fruits dans le budget alimentaire des ménages, s’est renforcée durant cette période, pas sant de 16,9% à 19,4%. Par ailleurs, la connaissance des quantités de produits alimentaires par habitant revêt également une grande importance dans la mesure où la confrontation de la consommation avec la production permet d’aider à la mise en œuvre d’une politique assurant la sécurité alimen taire du pays. Aussi, l’analyse des quantités d’aliments consommées permet d’examiner plus objectivement l’état nutritionnel de la population. Le premier constat émergeant de la lecture des données relatives aux quantités révèle que la consommation alimentaire devient, de plus en plus variée, en parti culier chez les ménages urbains et chez les groupes socio-économiques à revenus élevés. Ainsi, malgré leur niveau élevé, les quantités consommées, par personne et par an, des produits céréaliers et du sucre diminuent. Par contre, la consommation des aliments riches sur le plan nutritif (produits laitiers, œufs, viandes, poisson, ..) progresse. Aussi, l’évolu tion de la consommation alimentaire reste particulièrement marquée par la sensible progression des quantités de légumes consommées.

Le niveau de vie dépend de multipl es facteurs socio-économiques étroitement imbriqués dont l e revenu, le lie u de r éside nce , le nivea u d’instr uc- tio n, la com posi - tio n du ménage, l’acti - vit é du co njoi nt du chef de ménage, etc .

COP22 PAS DE FINANCEMENT VERT, SANS LE BILL ET VERT !

Dossier réalisé par SAID ZINNID

Al’occasion de la COP22 qui représente le Sommet de l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris, l’une des questions centrales qui sera abordée, est celle liée au financement. Or, les résolutions de l’Accord de Paris, surtout au ni- veau de la finance climat ne bénéficient pas trop à l’Afrique. Un continent qui ne pollue pas (2% des GES), mais qui au contraire subit les impacts des GES. Certes, l’Afrique a le droit de demander l’aide financière des pays pollueurs. Mais elle a aussi le devoir de penser à mettre en place des plateformes de financement vert Sud-Sud et que ses banques centrales encouragent ce type financement afin que les entreprises africaines participent activement au développement durable du continent. Si l’Afrique ne souffre pas comme les pays développés de la surconsommation énergétique, elle a, par contre, un sérieux problème à résoudre: l’adaptation. Or, à ce niveau, les Fonds sont presque inexistants et l’Afrique s‘en trouve lésée. Détour dans ce dossier sur le billet vert sans lequel point de développement vert !

OPTIMISER L’ÉNERGIE C’EST PRENDRE SOIN DE L’ENVIRONNEMENT

Service clients : 0801 003 003 - afriquiagaz@akwagroup.com Depuis toujours Afriquia Gaz est un acteur essentiel dans l'énergie au Maroc. C'est pour cela qu'Afriquia Gaz encourage l'optimisation de la consommation d'énergie en accompagnant tous ses clients dans cette démarche. Garantir la pérennité des activités de toutes les entreprises mais aussi préserver notre environnement pour les générations futures, telle est la philosophie d'Afriquia Gaz, entreprise marocaine citoyenne.

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