Kokoro, un cœur qui bat le mouvement La Casa del Silencio
/Synopsis En japonais, KOKORO signifie cœur, esprit, intelligence, âme, centre, noyau. L’univers de KOKORO est unique et petit dans son immensité. Comme dans le monde du PETIT PRINCE ou comme dans l’univers de ZORRO, beaucoup de spectateurs en sortiront charmés. Kokoro est un hommage au cinéma et au théâtre muet, à l’enfance et à l’amour. Il raconte l’histoire de trois personnages plongés dans un territoire fait de carton et de papier. Le spectacle, entre réalité et fiction, se situe dans un récit intemporel qui en guise de casse-tête, va élucider la complexité des relations humaines ; les personnages comme les habitants d’un passé éphémère, nous dévoileront des échantillons de leur histoire.
/Concept de la pièce Kokoro est un mélodrame hors du commun pour le théâtre physique et gestuel, et présente une histoire avec une variété de lectures possibles. Sa dramaturgie, nourrie d’images, permet au spectateur d’être témoin d’évènements passés comme présents, et l’invite à établir sa propre organisation temporelle. De cette manière, Kokoro est un univers d’histoires avec des portes qui vous emmèneront vers divers réalités. Le spectateur les traverse, et c’est à ce momentlà que Kokoro prend vie ; quand les sens entrecroisent, avec de subtils fils conducteurs, les anecdotes des personnages avec les souvenirs et les rêves du spectateur. Théâtre physique, théâtre d’images, théâtre gestuel, poétique du geste, mime contemporain, les qualificatifs avec lesquels le public définit habituellement notre travail sont nombreux : D’après nous, il s’agit simplement d’un théâtre qui valorise le silence et la puissance de son langage universel. « Les personnages de Kokoro sont comme des magiciens » (avec les mots d’un enfant) qui apparaissent dans une boite en bois et disparaissent mystérieusement de celle-ci, comme si c’était la bouche du monde ou une machine à remonter le temps qui caresse délicatement l’absence.
Et comme l’écrit Antoine de Saint Exupéry dans son merveilleux livre Le Petit Prince, « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux », Kokoro revendique à travers la tendresse notre propre humanité.
/Biographie du directeur artistique. JUAN CARLOS AGUDELO PLATA. Il est diplômé de l’École internationale de mime corporel dramatique de Paris. Élève de l’artiste Marcel Marceau, il a intégré sa troupe pendant plus de 8 ans. Il est actuellement professeur pour danseurs et acteurs dans les programmes des arts scéniques des principales universités de théâtre de Colombie comme l’Université del Valle, l’Université pédagogique nationale, la Faculté d’arts ASAB, l’Université Distrital, l’École du théâtre libre, etc. Il dirige et conseille des spectacles visuels et de cirque à un niveau national. Fondateur et directeur de la Casa del Silencio, troupe pionnière du théâtre physique et gestuel en Colombie. Récompensé en 2012 pour son parcours dans l’Institut Distrital de las artes (IDARTES). Il a dirigé plus de 20 pièces de théâtre et de danse parmi lesquelles La kermesse, mime dramatique inspiré du film El Baile de Ettore Scola (1997), Woyzeck, un lamento en el silencio (2005), Entre Mortales, spectacle de théâtre physique et gestuel (2008), La celebración, un gesto de deseo
(2010), Kokoro, mélodrame hors du commun pour théâtre physique et gestuel (2014), Camina Burana, une production de IDartes et du théâtre Jorge Eliecer Gaitan (2011), et Vai Vem, spectacle onirique pour théâtre physique, coproduction avec la troupe GATO S.A du Portugal. https://www.youtube.com/watch?v=viyjemE1Exo&i ndex=2&list=PL46xCFli-xIoTDXH9iMdwwdNEoBuNsjWN PIERRIK MALEBRANCHE Il a été formé à l’école de cirque d’Annie Fratellini et à l’école de mime Marcel Marceau. Aussitôt après avoir terminé ses études, il est entré dans la troupe de ce dernier. Il a fondé la troupe Doppelganger auprès de Véronique Velsh en 1994, et a travaillé comme interprète dans la troupe L’échappée - Frédéric Lescure, pendant 10 ans. En parallèle, et de manière occasionnelle, il a collaboré avec d’autres chorégraphes et metteurs en scène comme Philippe Chevalier, Philippe Decouflé (Cérémonie d’ouverture des jeux olympiques d’Albertville - 1992), Jean-Paul Goude, Jean-Pierre Jeunet, et Alain Maratrat. Il a aussi dirigé des pièces de théâtre gestuel et visuel comme : Mandarinas Negras et La Forma del Mundo, productions du théâtre Auditórium de Mar del Plata, Argentine. Interprète dans la troupe Philippe Genty de 2005 à 2014, il a réalisé plusieurs tournées mondiale comme Lands end et Viajeros inmoviles. Il participe à la dramaturgie et à la mise en scène de Kokoro, production
de la troupe Colombienne La Casa del Silencio en 2013, pièce sélectionnée pour le festival Ibéro-Américain de Bogotá en 2014 et la 15 Muestra internacional de teatro de Santo André au Portugal en juin 2014.
Kokoro, mélodrame hors du commun pour le théâtre physique et gestuel. En parallèle, il développe des projets dans les arts scéniques pour le district d’Usme de la ville de Bogotá.
En 2016, il a écrit et dirigé Materiales, création pour la troupe nationale de danse Contemporaine de Buenos Aires, Argentine. Il concilie sa carrière professionnelle avec celle de pédagogue en enseignant dans de nombreux ateliers en France, en Argentine, et dans d’autres pays comme Cuba, le Brésil, la Palestine, la Norvège, ou la Colombie.
JULIÁN PEÑA. Assistance technique (Colombie, 1983) Directeur, dramaturge et acteur formé à La Casa del Silencio.
/Les membres de la troupe EDNA ROCÍO ROJAS PATIÑO, actrice Actrice de théâtre physique et gestuel. Gagnante de la bourse des jeunes talents de 2011 attribuée par l’ICETEX, (organisme Colombien qui promeut l’éducation supérieure), pour étudier le théâtre gestuel dans l’École internationale de mime corporel dramatique de Barcelone (MOVEO). Interprète et productrice de la troupe de théâtre physique OmutismO en 2007 et en 2012, sous la direction de Jimmy Rangel Acosta, pour lequel elle a développé des mises en scène de grands formats pour le théâtre de rue avec le soutien de l’administration locale. Membre de la troupe de théâtre physique et gestuel Casa del Silencio depuis 2012, et des troupes de danse contemporaine Interfluencias et Movento à Bogotá. Professeur du laboratoire permanent de théâtre physique et gestuel Le Geste. Fondatrice de l’association Taller Articola, avec laquelle elle développe des projets d’intervention sociale autour des arts depuis 2008. CRISTIAN SOLÓRZANO. Acteur Acteur gestuel de Le Geste, laboratoire permanent de formation en théâtre physique et gestuel de la troupe Casa del Silencio. Il y a été formé à partir de 2012 avec la technique de Mime Corporel Dramatique d’Étienne Decroux, et par le professeur Juan Carlos Agudelo Plata. Artiste de cirque de Circo Ciudad et du centre Juan Bosco Obrero (2015) où il s’est spécialisé dans des techniques comme celles de la roue allemande, le trapèze, ou l’acrobatie. Il est actuellement un des élèves en acrobatie du professeur Roberto Sicles de Paula, de l’École Nationale de Cirque de Cuba. Depuis 2013, il fait partie de la troupe Casa del Silencio, comme interprète-créateur dans la pièce
Diplômé en tant que dessinateur graphique, il a aussi suivi des études de réalisation d’art et cinématographique. Il a fait partie du laboratoire de la Mascara de Bogotá dirigé par Carlos Rojas en 2014. Il a développé de nombreux courts-métrages d’animation et de vidéo-art. En 2015, il a dirigé la pièce Conejos no hay Madriguera pendant trois saisons avec la troupe théâtrale La Cofradia de los Desahuciados. Durant ces dernières années, il s’est focalisé sur des processus scéniques où il expérimente des mouvements corporels sur scène, en utilisant le son et les espaces urbains comme support d’exposition. Des thèmes comme la mémoire, le passé, les sensations et l’interaction du spectateur avec la pièce sont récurrents et caractéristiques de son travail. Actuellement, il se consacre à la réalisation des pièces Perorata et De los Adioses, ainsi que dans le déploiement de projets audiovisuels avec sa maison de production Drama Magdalena.
/La troupe La casa del Silencio, -la Maison du silence- est la troupe précurseur du théâtre gestuel en Colombie. Depuis 1997, elle fait des recherches sur les possibilités d’interprétation visuelles et dramaturgiques, afin de développer une nouvelle théâtralité, silencieuse et corporelle, tout en développant un nouveau genre scénique pour la théâtralité Colombienne. Dans le domaine de la formation, elle s’est concentrée dans la diffusion de la technique du mime corporel dramatique (Étienne Decroux) et dans les aspects du symbolisme et de la stylisation de Marcel Marceau. Elle s’oriente vers la construction d’un théâtre gestuel comme base formative pour l’acteur au travers du laboratoire Le Geste qui fête actuellement ses 17 ans.
/Parcours de la pièce
/Video
- Avant-première : Festival international de théâtre de Yopal - 4 décembre 2013 - Théâtre Galponcito de Umbral de Bogotá - 11, 12, 13 et 14 décembre 2013 - Salle Julio Valencia, Cali – 20 et 21 décembre 2013 - Festival Ibéro-Américain de théâtre de Bogotá – du 14 au 16 avril 2014 - 15 Muestra Internacional de théâtre de Santo André, Portugal – Juin 2014 - Langages de création théâtrale, Académie d’arts Guerrero, Bogotá – 19 et 20 septembre 2014 - Festival Gesto Vivo et Noche Blanca: Théâtre Varasanta, Bogotá – 27 septembre 2014 - Théâtre municipal Enrique Buenaventura (Saison pour le lycée Français) - Cali, du 1er au 4 octobre 2014 - Théâtre la Máscara, Cali – 4, 5 et 6 juin 2015 - Corporation culturelle Nuestra Gente, Medellin – 28, 29, et 30 juin 2015 - Théâtre Ateneo Porfirio Barba Jacob, Medellin – 2, 3, et 4 juillet 2015 - Fondation Gilberto Alzate Avendaño, Bogotá – 9, 10, 11 juillet 2015 - Fondation Culturelle Tercer Acto. Bogotá - 15 et 16 août 2015 - Fête des arts scéniques de Medellin – 27 et 28 août 2015 - Festival international des arts, Armenia – 19 septembre 2015 - Festival Gesto Vivo, Bogotá – 27 et 28 septembre 2015 - XI festival de théâtre de Bogotá – 22 octobre 2015 - EFAC, Ibague / Itinérances Artistiques – 28 octobre 2015 - Place Imder Aipe, Huila / Itinérances Artistiques – 30 octobre 2015 - Casa Museo, La Jagua, Huila / Itinérances Artistiques – 01 novembre 2015 - Congrès National des metteurs en scène, Cali – 05 novembre 2015 - Séminaire départemental dramaturgique du corps, Antioquia – 12 novembre 2015 - Programmation Artistique réseau de bibliothèques publiques Biblored – 27 et 28 novembre 2015 - Nouveau théâtre Varasanta, Bogotá – du 3 au 5 mars 2016 - Festival OFF, Théâtre Ditirambo – 23 mars 2016 - Théâtre Casa Estudio Alcaravan – 25 et 26 mai 2016 au travers du laboratoire Le Geste qui fête actuell
https://www.youtube.com/watch?v=eghyrZ9GXOk
/Contact E-mails: casadelsilencio@gmail.com silencejc1@yahoo.fr Téléphones: +57 315-273-0788 / +57 3044181493 http://casadelsilencioysuteatrogestual.blogspot.com. co@casadelsilenciomaisondusilence Chaine youtube: casa del silencio- maison du silence
/Fiche technique Pays: Colombie Genre: Théâtre physique et gestuel Durée: 55 minutes Dramaturgie et mise en scène: Juan Carlos Agudelo Pierrik Malebranche Troupe: Juan Carlos Agudelo Edna Rocío Rojas Cristian Solorzano Assistance technique: Julián Peña Musique originale: Camilo Giraldo Accessoires: Oliverio Castiblanco Costumes: Diana Oliva et Jaqueline Rojas Mise en scène: Troupe Casa del Silencio Photographie: Ángela Carabali, Alejandro Puerta Nombre de persones en tournée: 4 Cadre de la scène Dimensions: 7 mètres d’ouverture de scène x 7mètres de fond Scène: Caisse noire constituée de 2 pieds dans la partie arrière Revêtement de sol noir Durée du montage: 4 heures. Démontage: 2 heures
Éclairage 15 par 64 (11 sur barre et 4 au sol) 4 projecteurs Fresnel 3 projecteurs de découpe Filtres: Bleu, ambre, rouge, jaune, y violet Console de commande à l’intérieur de la scène, régie par un des acteurs. L’éclairage se monte suivant le plan ci-joint et suivant les conditions de montage disponibles. Son 1 ligne de son pour ordinateur. La qualité du son doit être optimale et en accord avec les dimensions de la scène. Vidéo 1 projecteur vidéo de 2000 lumens (lm) au sol, et à l’intérieur de la scène. Poids de la scène: environ 80 kilos.
7 mt
1,20 mt
1,50 mt
1,20 mt
Caisse noire sur sol noir et deux pieds arrière latéraux
4,90 mt
LES CONFINES Compagnie: deux mondes dans l´art
/Proposition générale
/Concept de la pièce.
La pièce Les Confinés, est un projet qui a participé à plusieurs festivals nationaux et internationaux. C’est une pièce complète qui intègre la danse contemporaine et la danse acrobatique, avec des techniques de cirque et de théâtre. Elle a pour objectif de s’étendre à un langage corporel qui sensibilisera l’âme.
C’est un concept contemporain de danse et de cirque moderne. Il y a trois artistes confinés dans des espaces sans limites, où leurs prisons sont leurs propres esprits. Ils se limitent à cause de la société et des préjugés. Ils sont enfermés dans leur propre solitude, mais ensemble, ils réussiront à vaincre ces limites grâce à l’entraide.
/Synopsis Des lumières qui naissent au milieu de la solitude. Des esprits confinés en liberté. Des livres qui crient la vérité. Les cœurs dansent en cherchant l’harmonie et la force pour survivre au milieu de l’illusion. En te confinant dans un monde dans lequel tu es et dans lequel tu n’es pas à la fois, au milieu de milliers de personnes, tu peux te sentir seul et fragile, en créant tes propres limites, et en ayant comme seul résultat une réclusion à ta propre liberté. C’est comme la peur qui t’isole dans l’obscurité, mais dans laquelle tu cherches une lumière qui t’aidera à t’en échapper. Au milieu de ce chaos, trois esprits, trois âmes et trois cœurs, se mélangent pour chercher cette lumière qui les guidera vers la liberté. Trois lumières esseulées qui cherchent à se fondre dans une seule et même clarté. Avec quelle intensité brille ta lumière au milieu de l’obscurité ?
/Proposition scénographique a mise en scène est minimaliste : - Une caisse en bois dont nous disposons déjà. Nous en avons une en Colombie, et une autre en France, dans la ville de Chambéry. - Un seau. - Et de manière optionnelle, nous aurions besoin d´un câble tendu.
/Biographie du directeur artistique. La pièce est une création collective dirigée par les trois artistes de celle-ci, et avec un appui externe pour la chorégraphie et la mise en scène de monsieur Yenser Pinilla.
/Participants de la troupe (Liste avec noms et fonctions)
/COMPAGNIE: “Dos mundos al arte”
Jonathan Hernández. Artiste et représentant de la troupe en Colombie Céline Bulteau. Artiste et représentante de la troupe en France. William Orduz. Artiste et chargé de la logistique.
Compagnie colombo-française qui naît en 2014, grâce à la rencontre de deux artistes colombiens, Jonathan Hernández et William Orduz, et d’une artiste française, Céline Bulteau, à l’école professionnelle de Cirque Vertigo de Turin, en Italie. C’est là que son nom est créé, puisque c’est l’union de deux mondes qui se sont rencontrés grâce au même langage, l’art. En combinant des techniques de cirque comme l’acrobatie au sol, l’acrobatie aérienne, la danse, le théâtre et la musique, ils essaient de générer une proposition artistique qui s’étend vers un langage corporel authentique.
/Contact E-mails: tatancirco@hotmail.com dosmundosal-arte@hotmail.com Jonathan Hernández (Colombie) +57 3134708342 Céline Bulteau (France) +33 633958295 Facebook: Compañia dos mundos al arte circo Videos: https://www.youtube.com/watch?v=cuNF-MKOaMk La représentation a eu lieu avec un minimum de 30 personnes, et avec un maximum de 800 personnes. Personnes en tournée: 4 Coût par représentation: 3.000.000 de pesos Colombiens.
« Cie DOS MUNDOS AL ARTE », art, vie et sensibilité dans l’âme Email: dosmundosal-arte@hotmail.com Téléphone: (+57) 3134708342- (+57) 3223278301
/Fiche technique - Nom du spectacle: Les confinés - Direction: Création collective - Conseil sur la mise en scène et sur la chorégraphie : Yenser Pinilla. - Artistes Jonathan Hernández: Tatan. William Orduz: Willy Céline Bulteau - Durée: 60 minutes
- Nombre de personnes en tournée: 4 (3 artistes + 1 technicien). Collaborateurs RAUL VARGAS “NENE” ERIKA VIVIANA ORTEGA LA VENTANA PRODUCCIONES LA GATA CIRKO MURO DE ESPUMA IDARTES Techniques de cirque de la pièce Main à main – Câble tendu – Accro-danse et danse verticale – Manipulation géométrique – Acrobatie au sol – Manipulation de chapeaux Cadre de scène - Point d’ancrage pour un livre dans la partie supérieure. - Points latéraux d’ancrage pour un câble tendu avec une capacité de poids de 2.000 kg. - Montage de la scène : 4 heures avant la représentation ou pendant la nuit qui précède. - La scène devra compter : 9 m x 7m x 7m d’hauteur approximativement. - Un sol et un fond noir. - La Scène doit être libre 1 heure avant le spectacle pour l’échauffement de la troupe.
Son La troupe sera équipée d’un ordinateur et d’un lecteur mp3 pour reproduire la musique de la pièce ainsi que d’un microphone d’ambiance Éclairage - Jeu de lumières adaptable au ryder, disponible dans le théâtre, avec ambiance de couleur ambre. - Une lumière qui éclaire l’aile centrale de la scène, visible par le public et qui représente une fenêtre. - Deux projecteurs Par 64 au fond de la scène qui éclairent le public pendant le final. - Lumières d’ambiance normale avec une capacité moyenne, conformément aux essais effectués. 7m 7m 8m 2.00 Kg 2.00 Kg Points d’ancrage pour la structure du câble tendu. Il serait préférable qu’ils soient à une distance de 10 mètres, bien qu’il soit possible de s’adapter aux conditions. Costumes Les costumes sont ordinaires avec une tonalité zepia, très simples, qui permettent à l’artiste une meilleure interprétation, puisque le thème de la pièce parle de l’enfermement et de la quête de la liberté. Ils ne doivent pas être colorés. Un maquillage basique et subtil.
Mise en scène La scénographie est un fond noir. Une armoire, un seau de couleur orange, deux livres, des chapeaux, un câble tendu, et un chandelier avec bougies. Contact Jonathan Hernandez Téléphone: (+57) 3134708342 Email: tatancirco@hotmail.com
N.N. Art pour ne pas disparaĂŽtre
/Concept général de la pièce N.N. est une pièce performative, qui mélange le jeu scénique avec des paramètres audiovisuels et sonores. On y explore des éléments théâtraux par l’intermédiaire d’un espace, qui cohabite avec le spectateur, et à qui on parle parfois directement. Pendant une heure, l’interprète cherche avec son corps et sa voix, en relation avec l’éclairage, l’image et le son, à ouvrir un chemin pour poser des questions sur l’art, le théâtre, l’enfance, l’amour et les personnes disparues, en transitant par trois atmosphères de couleur : bleu, rouge et vert.
/Synopsis N.N. Art pour ne pas disparaître N.N. est le sigle que l’on utilise en Colombie pour désigner les corps qui n’ont pas pu être identifiés. N.N. art pour ne pas disparaître, est une pièce qui expose à travers l’action et la réaction du spectateur, une réflexion sur l’importance ou l’ingérence du théâtre et de l’art en Colombie, face à son histoire complexe. Dans cette pièce assombrie, du fait des personnes disparus dans le pays, ou à cause de ces corps qui ont perdu leur matérialité, s’ouvre la question des petites disparitions qu’affrontent les êtres humains dans la vie : l’enfance, l’amour, l’espoir, ou les décès auxquels ils se heurtent. Á travers l’éclairage qui peint trois atmosphères de couleur, le voyage est accompagné de sensations ; dans la couleur bleue, l’actrice se parle à elle-même de son travail et elle aborde le thème de l’amour avec une marionnette et le public. On écoute ensuite les propos de quelques metteurs en scène de théâtre, qui parlent de la sincérité dans le théâtre, chez l’acteur, dans le personnage. On écoute les réponses, pendant que l’actrice nettoie la scène remplie de traces de disparus. Tout est finalement nettoyé pour se frayer un chemin vers l’art, et vers la représentation. Dans la couleur rouge, on dénonce la violence qui peut apparaître dans les indications d’un metteur en scène face à une actrice : «remuez-vous, ne soyez pas aussi lente, prenez un risque », et qui peuvent avoir une relation avec les stigmates violents qui prévalent dans nos relations : ‘Le vivant vit de l’idiot’, ‘celui qui court, va plus loin’, ‘argent facile’, etc…
De même, dans la couleur rouge, nous faisons une lecture de la proposition performative de Marina Abramovic : « l’art doit être beau – l’artiste doit être beau ». Cette interprétation qu’a créée Abramovic en 1975 se relate pendant le déroulement de la pièce. On cherche de nouveau à poser cette question de l’art et de la beauté, de la beauté dans l’art, du sens de l’art. Dans N.N., l’actrice commence par prendre ses distances avec la version originale, et confronte le fait de citer une artiste qui a fait cette déclaration il y a déjà 41 ans. Elle décrit enfin les limites de l’art dans la contemporanéité. ‘La limite’, cette notion est aujourd’hui diffuse, parce que d’une certaine manière tout s’est déjà vu et tout se vaut dans l’art. Au final de cette partie, dans un défi physique intense, l’actrice cherche à retirer au corps sa position de support, pour que ‘l’âme puisse danser’. Dans la couleur verte, la pièce cherche sarcastiquement, à favoriser chez le spectateur une prise de position face à l’art en relation avec la violence de la Colombie. On compte les morts, les « faux positifs » et les déplacés, comme on compte des montres, des portefeuilles ou des mouchoirs. Apparaissent ensuite en vidéo les fragments de vêtements des corps exhumés des fosses communes. L’unique indice qu’il y a en Colombie pour identifier bon nombre de disparus est une marque : Pat Primo, Leonisa, Filati, etc… Plus tard, une bouche nomme ces fragments de vêtements et en cite leurs marques. L’information arrive au spectateur par plusieurs
canaux. La bouche sans corps, est une revisite de la pièce : « Not I » de Samuel Beckett. La bouche sans corps est aussi un fragment, comme ceux des vêtements de nos disparus, mais seulement elle a une voix, et désespérément elle nomme et renomme. Cette bouche acquiert ensuite un corps qui est celui de l’actrice, et qui expose comme souvenirs tous les objets sans nom qui remémorent les personnes qui étaient parmi nous, et qui ont perdu leurs présents, leurs vies, et leurs corps. L’actrice mentionne en chantant, en entrecroisant la douleur du pays avec celle de l’impuissance, elle chante pour LE DISPARU et se remet à le citer pour que même en tant que trace ou marque, il existe de nouveau pendant un instant. Le squelette d’un enfant mort danse, pendant que l’actrice lui chante une berceuse. Finalement, il se repose sur sa poitrine, et pendant un instant, ils respirent ensemble…
/Proposition audiovisuelle Dans la pièce N.N. pour le fait qu’il s’agisse d’un monologue, il se créé une relation profonde avec l’image. La vidéo entre en scène pour accompagner l’actrice, dans la couleur rouge. Il y a ainsi un dialogue entre l’image enregistrée de Marina Abramovic, et l’image de l’interprète qui se restitue au présent. Dans la couleur verte, se succèdent toutes les interventions audiovisuelles suivantes : Dans un périmètre fermé, nous assistons à ce qui serait la métaphore d’une exhumation. L’actrice retire des morceaux de corps de marionnettes qui sortent d’une boite entourée d’un film transparent, et remplis de terre.
En vidéo, apparaissent les fragments de vêtements de corps exhumés des fosses communes. Ces images, quasiment personne ne les connait, on veut ainsi mettre en évidence la douleur sur le fait que l’unique indice pour identifier bon nombre de nos disparus est une marque. Par la suite, une bouche énumère ces fragments de vêtements. Puis apparaît dans le dialogue, l’image de la bouche de « Not I » de Samuel Beckett, au côté de la bouche de l’actrice, et qui va pendant un instant et de manière identique à la bouche originale, citer un très court morceau du texte de Beckett, pour ensuite nommer les vêtements qui viennent juste d’être dévoilés. Finalement, l’actrice apparaît dans la vidéo, ainsi qu’une marionnette morte, et tous ceux qu’elle a nommés précédemment dans la pièce.
/Mise en scène Dans la mise en scène, il y a peu d’accessoires, puisque l’espace est surtout animé par la lumière et la vidéo. Etant donné leurs simplicités, les accessoires qui sont utilisés peuvent se monter directement sur le lieu du spectacle. Deux bases de lumières en bois pour sol d’1 mètre de long x 0,20 mètre de largeur. Chacune prévoit 4 petits projecteurs (4 ampoules bleues, 4 ampoules vertes, référence R-63 de 40 watts chacune). Un jeu de lumière de 15 ampoules, référence R-63 de 40 watts chacune. 0,50 m de hauteur x 0,50 m de large (Ampoules rouges)
Ces trois postes se connectent sur scène, ce sont des appareils qui vont au sol. Un portemanteau en bois de 1,70 m de haut X 0,50 m de large (prendre en compte seulement le cadre en bois). Deux chaises d’enfant en bois avec de petits dossiers (0,50 m de haut). Les mallettes avec le reste des accessoires peuvent voyager avec nous. Nous demandons par ailleurs de vieilles chaussures qui s’utilisent durant la pièce, qui pourront être rendues, et qui ne seront ni modifiées ni portées. Elles seront juste utilisées pendant la représentation dans le décor. Ces chaussures seront emballées dans du film plastique transparent.
/Biographie du directeur artistiqe – actrice interprète LILIANA MONTAÑA DOMÍNGUEZ Actrice diplômée de l’école du théâtre libre de Bogotá en 2001. Master interdisciplinaire en théâtre et arts vivants (Université National de Colombie, 2011). Thèse méritoire : N.N. Liliana Montaña a travaillé comme actrice dans la troupe de théâtre Varasanta, dirigée par Fernando Montes, depuis 2002 jusqu’en mai 2015. À l’intérieur de ce groupe, se sont développées de profondes recherches sur le jeu d’acteur, le corps et la voix comme moyen d’expression.
Elle a participé à plus de 14 réalisations théâtrales, avec lesquelles elle a fait plus de 1000 représentations. Parmi celles-ci se distinguent : Marat – Sade (dirigée par Héctor Bayona), La Kermesse (Juan Carlos Agudelo), En la Diestra de Dios Padre (dirigée par German Moure), El Lenguaje de los pajaros, Kilele, Esta noche se improvisa, Animula Vagula Blandula, Fragmentos de libertad, Vestigios del viento, El banquete antropofagico, (toutes dirigées par Fernando Montes) ; La Tempestad, co-production Festival Ibéro-Américain de théâtre de 2012 et Théâtre Varasanta, dirigée par Piotr Borowski ; Arimbato-el camino del arbol, co-production théâtre Balagan du Brésil, Barracuda Carmela et théâtre Varasanta, codirection de Fernando Monter et Felipe Vergara et Kaspar (dirigée par Felipe Vergara), entre autres. Elle a acquis une certaine expérience dans l’enseignement, principalement dans les domaines de la voix et de l’entrainement corporel, grâce à sa pratique ininterrompue pendant plus de trois ans avec des institutions d’éducation en art, comme l’université pédagogique Nationale, l’académie Supérieure d’arts Guerrero, l’école Casa Ensamble, le Polytechnique Grancolombiano et la Casa del teatro Nacional. Elle a fait partie de la Clinique de Dramaturgie de Bogotá en 2015, où elle a publié son œuvre « Enanos de Jardin » à l’intérieur du livre : «Sin Titulo ». En août de cette année, elle mettra en scène la pièce « Como regresa el humo al tabaco » où elle travaille comme actrice et conseillère vocale. Cette pièce fut récompensée de la bourse de création interdisciplinaire IDARTES – Jorge Eliécer Gaitan, 2016.
* Liens de pièces antérieures comme actrice-créatrice Avec le groupe Varasanta: “Fragmentos de Libertad”: https://www.youtube.com/watch?v=7rbatbkVD0M Pièce complète: https://www.youtube.com/watch?v=-rddCIDCy4U “Kilele” Reel: https://www.youtube.com/watch?v=RyaMr6LWC98 “Animula Vagula Blandula” https://www.youtube.com/watch?v=HaSH9-d0X8U Bande annonce du document “Amnéstésie- Colombia un théâtre en résistance”, créé par Lizette Lemoine à partir de la recherche réalisée dans le Théâtre Varasanta dans les pièces “Kilele, una Epopeya Artesanal” et “Ánimula, Vágula, Blándula”. https://www.youtube.com/watch?v=Y7JveYykYPI Co-production Troupe Varasanta – Théâtre Barracuda Carmela “Arimbato”- Fragmento prensa: https://www.youtube.com/watch?v=WSUlbfIgTPU
/Parcours de la pièce N.N. Art pour ne pas disparaître. La pièce fut créée entre 2010 et 2011. La première représentation a eu lieu en août 2011, dans le contexte de la Maestria de Arte de l’université Nationale.
Depuis sa première, la pièce a continué de se transformer et de se développer, et a été donnée plus de 30 fois dans les évènements suivants: - Festival de femmes en scène pour la paix. Novembre 2011. Présentée dans la salle Seki Sano. - Festival de théâtre Alternatif. Avril 2012. Présentée dans le théâtre La Candelaria. - Festival de femmes en scène pour la paix. Présentée en novembre 2012 et août 2013 dans le théâtre Varasanta. - Gagnante du prix Circulacion Obra Unipersonal, Idartes 2013. - La pièce a effectué une saison dans le théâtre Varasanta en 2014. - Festival Teusaquillo Multicolor en 2014. - Dans le centre de Memoria Historica, 2015 - Festival de théâtre de Yumbo, Valle, en 2015.
/Fiche technique Création, direction et interprétation: Liliana Montaña Conseil dramaturgique: Jaidy Díaz y César Badillo Aide dans la mise en scène, costumes, et accessoires: Troupe Varasanta
Éclairage: Juan Camilo Plazas, Liliana Montaña. Vidéo: Claudia García, Liliana Montaña Son et mixage: César Amézquita, Liliana Montaña Opération lumières: Enrique Rojas Opération vidéo: Francisco Rebollo Durée: 1 heure
/Requêtes techniques Espace scénique idéal: 10m x 8m Eclairage: 10 par 64 2 projecteurs Fresnel. Console de lumières 12 canaux avec variateurs. Possibilité de connexion depuis la scène: 2 lignes de lumières de sol de 1m de long chacune pour 4 petits réflecteurs et 1 jeu de lumières de 45 ampoules de 40 watts chacun. Vidéo: - 2 projecteurs vidéo avec télécommande, avec au moins un d’entre eux équipé d’une entrée et d’une sortie. - 1 ordinateur portable, 1 caméra vidéo, 1 trépied. Des prises de courant pour tous les appareils. Il doit y avoir un mur blanc pour la projection vidéo dans le fond de l’espace, puisque la vidéo fait partie intégrante de la pièce. Son: Son stéréo avec cabine et console. Lecteur CD Console de son avec au minimum 4 canaux. La console de son doit pouvoir se contrôler au niveau de la scène.
Temps de montage: 7 heures. L’espace doit compter une équipe technique qui aide au montage et durant la représentation.
/Conditions économiques Personnes en tournée: 3 1 Technicien de lumières 1 Technicien son et vidéo 1 Actrice – Interprète La représentation de la pièce a une valeur de $ 2.800.000 (deux millions huit cent mille pesos Colombiens – COP) Bande annonce N.N. Art pour ne pas disparaître: www.youtube.com/watch?feature=player_ embedded&v=eyXtRtdL-jA#at=15 Pièce complète: https://www.youtube.com/watch?v=9xZ8nKVJ3Hw
/Plan de l’éclairage Ce sont les conditions idéales de représentations, néanmoins, dans certaines configurations, le spectacle pourra s’adapter à d’autres conditions, avec accord préalable, et en fonction des conditions scéniques. Etant donné le caractère de la pièce et la relation qu’il y a avec le spectateur, celle-ci est plus adaptée pour des espaces moyens, avec une capacité de 180 à 250 spectateurs.
/Contact Liliana Montaña Téléphone: (+57)312 5044943 (+571) 2858972 E-mail: lilivarasanta@gmail.com
PEAU D’ÉLÉPHANT Création et action scénique de Catalina Medina
/Troupe: LA BARRACUDA CARMELA - COLOMBIE http://barracudacarmela.com/elefante/
/Proposition générale “Je voudrais être un Éléphant, non pas pour son ivoire blanc, mais pour sa peau”. C’est ce que disait, se souvient une amie, le poème que lui a offert l’une de ses professeurs d’enfance, et qu’elle conserve toujours 50 ans plus tard. La maîtresse, préoccupée par ses explosions émotionnelles à répétition, lui avait offert dans l’espérance de lui faire comprendre qu’il fallait être fort et moins instable face aux situations de la vie. Avoir une peau moins sensible aux autres, une peau comme celle des éléphants, disait-elle. “Peu importe, caramba!” me conseilla mon père quand je suis arrivée un jour dévastée, à cause de l’une de ces épreuves que nous donne la vie pour voir de quoi nous sommes faits. Parfois, disait-il, il faut laisser les choses glisser sur notre peau. Et la peau ? Se demandait constamment une autre fille dans sa lettre adressée à la société, après 24 ans sans réponses sur la disparition dans l’impunité totale de son père en Colombie. Ayant été enlevé alors qu’elle était très jeune, elle a réussi à se faire un souvenir en mosaïque de lui, grâce à des images trouvées, et grâce aux récits de certaines personnes. Mais il lui manque toujours la peau, affirme-t-elle, ce qui permet aux gens de se fréquenter, d’interagir avec les autres, et d’être une personne.
Moi, avant de penser à cette insensibilité épidermique, je veux sentir la mémoire, ces souvenirs ancrés dans la peau. Dans cette peau qui regroupe l’ensemble des expériences vécus, qui fait ce que nous sommes, pour m’enlever cette sensation d’amaigrissement qui apporte la poussière, celle qui alimente l’oubli. Cette confusion et ce fouillis dans ma propre mémoire, dans les souvenirs écrits, peints ou photographiés par d’autres artistes, ou dans les rêveries de Frida Kahlo ou de William Shakespeare. Ce méli-mélo avec les récits d’horreur que j’ai écoutés de ceux qui ont été frappés par la violence, pour me démêler ensuite de ces attentes inexplicables de vérité et de justice. Mais, surtout, avec cette qualité que la mémoire a, pour se promener sans aucune pudeur entre des mondes apparemment sans connexion, c’est ce qui dans cette pièce m’a fait penser aux éléphants et à ces souvenirs qu’il faudra emmener dans la peau.
/Synopsis Elle, enfermée par les souvenirs d’une autre personne, et avec différentes façons de s’en rappeler, exige qu’on la laisse se souvenir à sa façon, qu’on la laisse plonger dans l’océan de sa mémoire. Ainsi, en s’éloignant des histoires officielles, elle s’engage vers un chemin entrecoupé d’images, de situations et de gestes - venant parfois d’un rêve – qui se superposent avec d’autres histoires. Elle relit ses souvenirs à ceux des autres, et se dirige de cette façon vers son océan de souvenirs en y apportant son passé et son présent.
Peau d’Éléphant, une mise en scène unipersonnelle qui se demande quelles traces a laissé la violence chez les Colombiens et pourquoi l’oubli essaie de les dissimuler. A propos des souvenirs et des oublis, entrons dans cette partie de la mémoire, et essayons de trouver les voix, les odeurs, et les sensations en regardant le passé, parce que c’est lui que nous connaissons, et laissons le futur encore inconnu, derrière nous. Dans cette Colombie qui fait face au défi d’écouter son propre passé – assez proche -, un jour, tous les éléphants se sont réunis pour oublier, tous, à part un d’entre eux.
/Parcours de la pièce Créée et lancée en 2011 Théâtre Varasanta, Bogotá Première représentation 30 juin, 1er et 2 juillet 2011 3 représentations Institut du théâtre, Barcelone 1rst International Freedom and Focus Conference. Fitzmaurice Voicework Pièce invitée. 1 représentation Théâtre Jorge Eliecer Gaitán, Bogotá Format théâtre atelier Jour de la mémoire et de la solidarité envers les victimes. 9 avril 2012 Pièce invitée. 1 représentation
Gagnante du prix IDARTES Pour la circulation de pièces unipersonnelles, 2012 3 représentations Festival de la mémoire, 2013 Théâtre Varasanta Pièce invitée 1 représentation Cycle de femmes récompensées, Bogotá, 2014 Maison du théâtre national 3 représentions Sélection du festival ‘Femmes en scène’, Bogotá, 2015 Corporation Colombienne de théâtre 1 représentation Sélection officielle de la VIIe exposition de Théâtre Alternatif de Pereira, 2016 1 représentation
/Concept de la pièce La pièce se présente au milieu d’un pays convulsionné et peut-être en même temps anesthésié par la violence, l’injustice et l’inégalité sociale. Elle questionne sur les souvenirs et l’indifférence qui ont laissé cette violence, aussi bien chez les victimes directes que chez les citoyens, et sur le fait que nous ne sommes pas sur le “champ de la bataille” mais que nous sentons ou pas, la dure réalité du pays. L’action dramatique se déroule comme le font les souvenirs dans la mémoire : d’une manière fragmentée parfois, et dans d’autres cas de façon plus
sentimentale, ou peut-être de manière un peu floue, en sautant d’un souvenir à l’autre dans tous les cas. Mémoire, récit, image ou sensations… Le résultat est l’apparition d’une série de courts monologues à la première ou à la troisième personne, qui à la longue, vont encercler le spectateur jusqu’à arriver à leurs propres souvenirs. La pièce mêle constamment des souvenirs de douleur avec de beaux souvenirs et d’autres, amoureux. C’est donc la beauté visuelle et sonore, et la beauté des récits à travers laquelle elle cherche à inviter le spectateur à “voir”, et à sentir. À être également plus proche de ce pays qui nous fait aussi mal et que nous voulons parfois oublier. La pièce a recours à des objets et à des situations qui se transforment en scène, en montrant toujours le contraste de la vie. Dû à la relation avec la dynamique du souvenir et de l’oubli, la mise en scène de Peau d’Éléphant peut varier selon le climat social du pays et la manière dont nous le voyons, nous, Colombiens.
/Proposition scénographique Le concept scénographique de la pièce est de Catalina Medina. Il consiste à faire de l’espace scénique une expression dans la troisième dimension de la signification cosmologique de la figure du losange dans la culture indigène Nasa. Pour les indigènes Colombiens Nasas, le losange est une façon de représenter l’univers cosmique et le corps humain. C’est enfin un espace de souvenirs, dans lequel on croit en la relation de l’être humain avec son environnement. C’est l’espace dans lequel on invite les spectateurs à être témoins de souvenirs et en même temps à réveiller les siens.
Dans Peau d’Éléphant, ce losange est fait de cordes de couleurs semi-élastiques, qui pendent depuis une structure en bois suspendue depuis le haut de la machinerie. Ces cordes réduisent l’espace en un espace intime qui s’ouvre et qui s’agrandit dans la salle de spectacle, à mesure que les souvenirs et l’indifférence varient, entre ce qui est personnel et collectif. On crée ainsi un treillis qui cherche à inclure le public. En fonction de la salle dans laquelle sera présentée la pièce, le concept scénographique peut prendre encore plus d’espace sur la scène et dans le public, en l’intégrant dans un seul et même ensemble. Cet espace s’enrichit d’une rêverie non écrite, ni peinte de Frida Kahlo. On cherche à générer une atmosphère faite de rêves, belle et délicate, dédiée à la naissance des souvenirs. La scène sera alimentée par l’obsession de l’actrice à dessiner des fleurs dans des moments d’ennui. C’est pourquoi il y a des fleurs (si possible naturelles) et des objets accrochés sur les cordes ou au sol.
/Proposition audiovisuelle Son: La mise en scène propose l’exposition du souvenir par l’intermédiaire de morceaux de chansons chantés a capela, qui complètent la structure du texte dramatique et les images visuelles amplifiées par de différentes atmosphères de lumière. De cette manière, il y a des assemblages de sons et de chansons qui cherchent à générer une atmosphère du souvenir de manière auditive. Dans le cas des compilations audio,
celles-ci passent au-dessus de la voix de l’actrice et / ou des voix des victimes avec des chansons festives, qui feront allusion à l’interaction entre la fête et la violence qui est vécue dans notre pays, la Colombie.
/Biographie du directeur artistique Travail unipersonnel créé et joué par Catalina Medina Master of Fine Arts de la Tremple University. Actrice de l’École de La Maison du Théâtre et anthropologue de l’Université Nationale. Avec une grande expérience pour le soutien de projets sociaux pour la paix par l’intermédiaire de l’art et du théâtre. Co-fondatrice du théâtre Barracuda Carmela, elle a joué et enseigné en Colombie, aux États-Unis, en Espagne, au Canada, en Allemagne et en Autriche depuis 2003. Durant son séjour aux États-Unis comme boursière Fulbright, elle a joué avec des troupes comme Pig Iron, le Théâtre Exile, le théâtre Bristol Riveside et Still Point productions de New York. Actrice dans les pièces : Kilele, Arimbato du Théâtre Varasanta, de Hedda Gabler, Tour 64, Peau d’Éléphant, Portrait Involontaire, S’arrêter, et Kaspar de Barracuda Carmela, entre autres. Récompensée par une bourse et par des institutions comme l’Université Nationale, la Temple University (USA), IDARTES, Le ministère de la culture et la Commission Fulbright. Mandatée par l’Institut Distrital du Patrimoine culturel et par le Théâtre National pour une intervention performative sur la figure du héros en Colombie. Performance réalisée avec l’aide des habitants du district de Chapinero en 2015. Directrice du montage de Hedda Gabler produit par Barracuda Carmela en
2016, présenté dans l’espace non conventionnel du Cinéma Tonalá à Bogotá. Elle fait actuellement partie de la troupe de la Bourse de Création Pluridisciplinaire avec pour projet la trilogie “Comment la fumée repart dans le tabac une fois qu’elle a abandonné sa provenance”. Sortie Août 2016. C’est l’unique professeur certifié par Fitzmaurice Voicework® en Colombie. Pionnière dans l’enseignement de cette méthode à Bogotá et à Medellín dans des programmes de formation d’artistes scéniques et d’allocution en public. Elle initie sa formation intensive à Fitzmaurice Voicework® en 2006. En 2010 elle a été diplômée comme professeur associée à cette technique. Elle se forme directement avec Catherine Fitzmaurice, Dudley Knight et Philip Thompson, créateurs des techniques Fitzmaurice et Knight-Thompson. Elle a reçu une formation en techniques de voix et de mouvement par Lessac®, Technique d’Alexander®, Roy Hart® et en chant harmoniques.
/Les participants de la troupe - Catalina Medina: Actrice et créatrice de Peau d’Éléphant. Co-fondatrice de La Barracuda Carmela. - Felipe Vergara: Technicien en son et lumière. Opération des lumières en salle et aide au montage de la mise en scène. Cofondateur et directeur artistique de La Barracuda Carmela. - Natalia Donado: Opératrice de son en salle et aide à la réalisation de la mise en scène.
/Troupe théâtrale : LA BARRACUDA CARMELA /Contact Téléphone: (+57) 3017344018 / (+57) 1+ 2211194 Adresse: Transversal 17ª Bis no. 35-35 Emails: barracudacarmela.co@gmail.com catalinamedina@fulbrightmail.org https://www.facebook.com/BarracudaCarmela/ Page internet officielle: www.barracudacarmela.com
/Fiche technique Création et interprète: Catalina Medina Eclairage: Juan Sebastián Aldana Felipe Vergara Mise en scène: Catalina Medina Réalisation: Juan Sebastián Aldana Catalina Medina Costumes: Catalina Medina
Son: Felipe Vergara Camilo Cáceres Photo: Esteban Vergara Production: BARRACUDA CARMELA Assistante de production: Ana María Garavito Brochures: Felipe Vergara Durée: 55 minutes. Sans coupure. Musique: Morceaux de: Sainkho, Meredith Monk, Angelite et Huun Huur Tu, Right Said Fred, Edith Piaf, Scott Joplin, Guila et los Tellarini Chanson a capela: Martha: Musique et paroles de Catalina Medina Saeta del costalero: Traditionnelle Parece que va a llover: Bullerengue traditionnel Palabras de Amor (morceau): Joan Manuel Serrat Texte: Catalina Medina Monologue Ricardo III de William Shakespeare
Requêtes pour Peau d’éléphant.
- Nombre de personnes en tournée: 3
La pièce est faite pour être présentée dans un espace intérieur avec possibilités de pendre au plafond ou à la machinerie, un cadre en bois carré duquel pendent quelques cordes élastiques auxquelles il n’y aura aucun poids suspendu. Le cadre est d’à peu près 1mètre et demi. Il devra être accroché à une hauteur d’à peu près 6 mètres.
- Coût par représentation: 3.000.000 de pesos Colombiens (COP)
Espace de 8m x 8m approximativement. - Un amplificateur pour être connecté à un ordinateur. - Un câble pour connecter l’amplificateur à l’ordinateur. - Un câble antivol pour utiliser dans la machinerie. Lumières: Cette liste est faite pour un grand théâtre mais elle peut s’adapter à d’autres types de conditions 4 Fresnel de 1k o pc. 13 etc de 36 o likos de 30 ou 40 degrés 4 Fresnel de 2k. 12 par 64 no. 5 4 par 64 no. 2 Disposition de l’espace: La pièce se déroule dans un corridor entouré par des gradins de chaque côte et en conservant deux fronts. Cette configuration peut varier si c’est nécessaire. Dans plusieurs occasions, la pièce a été présentée face à un seul front de public. Transport Terrestre: Tous les accessoires utilisés dans la pièce peuvent se ranger dans une petite voiture. Transport aérien : Les accessoires devront être rangés dans une mallette qui ira en soute à bagages. Cette mallette doit respecter les dimensions et le poids acceptés par les compagnies aériennes. Remarque: Il y a un cadre en bois carré de 1, 40 m x 1, 50 m qui est démontable et dont le transport des lattes peut être facturé par la compagnie aérienne. Cependant, par soucis d’économie, il est suggéré à l’organisateur de l’évènement de fournir ce cadre dans la ville où la représentation aura lieu, puisqu’il est facile et économique d’en fabriquer ou d’en fournir un. - Capacité maximale de spectateurs pour la pièce : Peau d’Éléphant a été présentée dans des théâtres de différentes capacités qui vont de 50 à 300 personnes. La mise en scène peut osciller entre une atmosphère intime ou plus ample.
/Videos http://barracudacarmela.com/elefante-reel/ http://barracudacarmela.com/elefante-obra-completa/
SAUDADE Bien qu’on subit, mal dont on profite Cirque / théâtre
/Spectacle vainqueur de la bourse de création théâtre MinCultura 2013. /La troupe
le FITB (Festival Ibéro-Américain de Théâtre de Bogotá). Record de représentations de Saudade : Saison dans le Théâtre Cafam des beaux-arts – 21 représentations – juin 2013. Saison Théâtre Libre de Chapinero – 25 représentations – septembre 2014.
C’est une production qui travaille avec des artistes de cirques Colombiens, des acteurs, des danseurs, des dramaturges, des musiciens et un groupe de techniciens spécialisés dans la réalisation aérienne et la production audiovisuelle. Cette équipe interdisciplinaire travaille à partir de la création collective et de l’échange de la connaissance, et a réussi à obtenir un propre langage, différent, et enjoué.
/Synopsis
Des recherches sur le langage du clown et sur le théâtre sont faites, pour créer des histoires émouvantes et mobilisatrices, qui permettent de générer un lien direct avec le public et les préoccupations artistiques de la troupe.
/Le spectacle
A l’intérieur des techniques de cirque contemporain sur lesquelles travaille La Ventana, il y a : l’acrobatie aérienne (lira), le trapèze, les tissus, l’acrobatie classique, les rubans de cirque, la danse sur façade, la danse aérienne, le mât de cirque, le clown et l’acrobatie de sol. Son dernier spectacle : Cicle, un viaje hacia la liviandad (2009 et actuellement), est arrivé à un succès de plus de 52 000 personnes sur trois saisons dans le théâtre des beaux-arts de Bogotá, une saison dans l’auditorium Leon de Greiff, et 2 participations dans
Saudade est un mot portugais et galicien. En capverdien, il exprime une mélancolie empreinte de nostalgie; il s’emploie pour exprimer un mélange de sentiments amoureux, une perte, la distance, la solitude, le vide, et le besoin.
La Saudade envahit l’âme de l’actrice, aujourd’hui ce sera sa dernière représentation. Les souvenirs qui lui ont ébranlé l’âme la laisseront s’apaiser. Une fois de plus, elle verra s’écouler sa vie résumée dans différentes Saudades : Pour avoir laissé le foyer vide, pour la mort de son père, pour l’amour qui a disparu, et pour sa solitude éternelle. Au milieu de cette instabilité émotionnelle, Zap, le machiniste suicidaire, cherche avec maladresse sa propre mort, mais chaque tentative est un nouvel échec. Dix histoires différentes trouvent un lieu commun dans la Saudade, ce sentiment qui vole le souffle de celui qui le subit. Saudade est conçu comme un spectacle interdisciplinaire
où 13 artistes sur une scène combinent le risque et l’adrénaline du cirque, avec les nuances poétiques et métaphoriques que le langage théâtral apporte.
/Mise en scène Saudade est conçu comme un spectacle de grand format où 13 artistes sur scène (clowns, acrobates aériens et au sol, acteurs, musiciens et danseurs) se mélangent avec différents langages sur une même scène en réussissant à émouvoir et à divertir le spectateur avec une histoire qui touche les sentiments les plus profonds de l’être humain. La dramaturgie de l’image est très importante dans Saudade, puisque des univers intérieurs se confondent dans de grands espaces grâce à l’éclairage et à une fresque lumineuse. La musique est originale, et la discipline du cirque est abordée depuis l’exploration des éléments scénographiques et non depuis les schémas traditionnels.
/Directrice artistique Erika Ortega, actrice diplômée de l’Académie Supérieure d’arts de Bogotá (ASAB 2001) a travaillé différents auteurs classiques et contemporains avec des metteurs en scène comme : Rosario Ruiz, Everet Dixon, Farley Vélasquez, Nicolas Deletoille, Sandro Romero, Víctor Viviescas, Helios Fernández, et Dieter Welke entre autres. Elle commence sa carrière comme directrice il y a 9 ans en faisant principalement des recherches sur le cirque et le théâtre.
Elle a dirigé des spectacles de grands formats comme Cicle, un voyage vers la légèreté (2009 - cirque / théâtre) et Saudade – Bien qu’on subit, mal dont on profite (Vainqueur d’un prix de création théâtrale MinCultura 2013), Dementes (2014), Mk Ultra (en codirection 2015), elle a aussi réalisé des projets artistiques pour les lancements des XIIIe et XVe FITB (2011 et 2015) avec des mises en scène de cirque risquées et innovatrices, des musiques corporatives et des mises en scène de moyens et grands formats pour différentes entreprises du pays. Elle a complété ses études de direction dans un cirque contemporain en convention avec l’Université Distrital et des professeurs tel que : Veronica Monsalve (Mexique), Rob Tanion (Australie), Robert Magro (Italie). Elle a gagné des bourses artistiques pour participer au Festival Polo circo (Argentine) et à la rencontre de gérants et de producteurs de l’OEI et du Théâtre cirque Price à Madrid en 2015. Elle crée la Ventana Producciones comme un espace interdisciplinaire d’exploration, de formation et de création indépendante, et qui à ce jour, se distingue comme l’un des projets les plus solides et engagés du cirque Colombien.
/Equipe de Saudade Erika Ortega Cortéz - Idée originale et Direction. Victor Quesada - Dramaturge et Directeur d’acteurs Carolina Villamil - Assistante de direction Santiago Merchant - Dramaturge. Alejandro Gómez Garzón - Compositeur et Directeur Musical.
Mónica Piñeros – Direction artistique Juan David Villa Llano - Conseiller clown Humberto Hernández - Eclairage. Eduardo Oramas y Yenzer Pinilla - Chorégraphie Juan Manuel Santos - Mapping (La guapa films).
- Danse avec élastiques - Acrobatie aérienne (lira) - Pendules – Danse sur façade - Manipulation d’objets.
/Interprètes
Acrobatie aérienne (lira) Pendules Acrobatie au sol Danse sur façade Danse sur façade, avec des éléments scénographiques accrochés au mur Danse avec élastiques
Paula Salamanca Marcel Salamanca Ivan Ramirez Carolina Villamil Andrea Martinez Erika Ortega Fabián López Viviana Jordan Juan David Villa Catalina Avila (musicienne) Jorge Moreno (musicien) Lucho Guzmán Juan David Barreto Wilmar Guzmán - Directeur Technique, gréeur, dessinateur des systèmes aériens, scénographe constructeur et accessoires. Marcel Salamanca - Directeur Technique, gréeur, dessinateur des systèmes aériens Cesar Ayala - Gréeur Ángel Castillo - Gréeur
/Techniques - Clown - Acrobatie au sol
/Exigences techniques Cette fiche technique contient les requêtes pour une présentation optimale du spectacle, Saudade. Cependant notre exigence peut s’adapter à l’espace où va avoir lieu la représentation, avec réunion au préalable, conciliation et acceptation du Chef technique de Saudade et de la direction technique de la troupe. Membres de la troupe Saudade 1 directrice générale (qui joue dans la troupe) 13 artistes (1 actrice, 2 clowns, 2 musiciens, 8 acrobates) 1 éclairagiste 3 gréeurs (qualifiés pour le travail en altitude) 1 productrice 1 manager de scène 1 producteur (qui ne voyage pas) 2 machinistes (l’équipe locale choisira le contractant)
Membres de l’équipe technique locale à la charge de l’employeur
- Il prendra aussi en charge le lieu de représentation, les requêtes techniques et les convocations.
1 Ingénieur du son 1 assistant technique pour l’éclairage 4 assistants gréeurs (au cas où il n’y aurait pas de moteurs et où tout devrait se faire de façon manuelle) 2 machinistes Durée: Le spectacle a une durée de 1 heure et 30 minutes. Censure: le Spectacle est pour des enfants âgés de plus de 12 ans.
- Pour le montage et les représentations il fournira également l’alimentation et les boissons sur le lieu du spectacle. TEMPS de MONTAGE TECHNIQUE: Le montage, les ajustements et les essais techniques de Saudade avant la première représentation, prennent un minimum de 2 jours.
/Cachet et déplacements
SCÈNE: Remarque: Ces requêtes sont pour DES THÉÂTRES et non pas pour des espaces ouverts, dans le deuxième cas, nous aurions des requêtes additionnelles.
1 représentation: 25.000.000 de pesos Colombiens - COP (cette valeur peut être l’équivalent dans une autre monnaie, le cachet doit être net)
· Emplacement scénique : 10 mètres de largeur pour 8 mètres de profondeur après évaluation de la scène.
2 à 5 représentations: $ 22.000.000 = (pour chaque représentation)
- La hauteur minimale doit être de 8 mètres, et vide pour les voltiges.
/Équipe
- Le théâtre devra disposer d’une structure de poutres qui résiste au système de voltiges (visite technique préalable pour valider l’espace).
19 personnes (entre les artistes et les techniciens) L’employeur devra prendre en charge: - Les billets d’avion, les déplacements entre les villes et à l’intérieur de celle-ci, l’hôtel, l’alimentation, les frais journaliers, l’assurance médicale, transport de scène, l’outillage et les accessoires du cirque, les contrats, les visas, les permissions et tout autre coût qui ne fait pas partie de la mise en scène.
- Le sol de la scène doit être noir, propre, sans inclinaisons ou dénivellements, sans objets qui ont des pointes ou tout autre corps qui pourrait occasionner un accident. - Les aires de travail placées dans les parties latérales de l’estrade (à ras du sol) seront utilisées comme emplacement pour les éléments de scène et les systèmes de voltige.
CONTENU:
- 2 escaliers latéraux pour accéder à la scène.
- 8 rideaux noirs de 3 x 12 mètres.
- 1 escalier frontal pour accéder à la scène.
- 1 toile de fond grise de 12x8. (Motorisée, monter et descendre)
- 1 trappe dans la scène de 1x1 m minimum. - Un escalier (pour utiliser en-dessous de la trappe)
- 1 cyclorama ou un écran de projection de 12x8 mètres, ou un mur blanc dans le fond de la scène. - 1 Une frise de 1,50 m de large x 12 m de longueur – contenu pour cacher la technique. (C’est un petit rideau dans la partie supérieure qui nous permettra de cacher la partie technique des voltigeurs - Remarque: L’ouverture de scène doit être évaluée dans sa totalité. Ce contenu n’est pas inclus dans les 8 rideaux antérieurement requis. STRUCTURE: Toit en Treillis de 12 m de large x 8 m de profondeur en section de 50 cm x 50 cm avec les ponts suivants à l’intérieur : (au cas où il ne se trouverait pas dans le théâtre, le plan sera joint s’il est demandé) - 5 ponts intermédiaires - 1 pont central (dans le sens avant arrière) POUR SALLE OU ESPACE OUVERT: - La hauteur minimale entre la structure et le sol de la scène doit être de 8 m.
- 5 moteurs d’une puissance minimale d’une demitonne avec commande indépendante, pour le système de voltiges. DEMANDES D’ECLAIRAGE: - 48 par 64 1000 w (8 barres de 6) : 24 par en #5 (MFL) et 24 par # 2 - 8 Fresnel de 1000 w. - 20 projecteurs ellipsoïdales 25/50 º 575 w (avec 4 portes filtres) - 6 têtes mobiles Varilite VL3000 Spot - 8 têtes mobiles Varilite VL3000 Wash (Au cas où il n’y aurait pas de Varilite disponible, les têtes mobiles doivent être de minimum 1200 w, avoir un système de mélange de couleur full CMY et tous les filtres identiques, dans le cas des spots) - 1 suiveur Hmi 1200w - 2 machines à fumée de type F100 2 turbines
· 1 Pont frontal de 12 m de large pour l’éclairage.
- 8 tours de 3 mètres pour l’éclairage latéral. Il peut aussi y avoir 8 tronçons de Treillis de 3 m de haut en section de 30 cm x 30 cm - 48 canaux de dimmer 2.4 kw chacun - 1 console d’éclairage de type Whole Hog III ou Grand MA - 1 technicien programmateur de console - 1 technicien pour le suiveur (ils doivent être les mêmes durant les essais et les représentations) - Des filtres de couleur (rouge, bleu, vert, magenta, ambre) (Un plan sur le système d’éclairage sera joint) VIDÉO: 1 projecteur vidéo de minimum 6500 lumens avec shutter Câblage de réception type ordinateur depuis la position du projecteur jusqu’au point de contrôle dans la cabine de lumière et de son.
IMPORTANT: La position des consoles d’éclairage et de son doit être centrée, en face de la scène et offrir des niveaux optimums de visibilité et d’audition. Nous n’acceptons pas d’installer les consoles à l’intérieur de l’estrade. LES LOGES: - 2 loges multiples pour 6 personnes avec toilette - 2 rangées de portemanteau - Un bon éclairage pour le maquillage. - Des serviettes en papier - 1 table à repasser - 1 fer à repasser - De la glace (durant toute la présence de l’équipe le jour de l’essai général et de la représentation pour être utilisé en cas d’accident)
/Video de Saudade https://www.youtube.com/watch?v=KXUQLl9gTb4
/Contact
SON:
Erika Ortega
- Une console - 3 microphones de revers pour les acteurs. - 2 microphones cardioïdes omni directionnelles pour amplification professionnelle de voix. - 2 microphones de condensateur overhead pour collecte de son acoustique et de moindre percussion - 1 microphone spécial amplification de grosse caisse et percussions de basse fréquence - 1 microphone spécial amplification de percussions de moyenne fréquence (caisse claire) - 1 microphone pour amplification d’accordéon - 1 microphone hyper cardioïde pour amplification de guitare acoustique - 3 enlaces audio professionnelles réglées pour: 2 sorties gauche et droite d’interface audio réglée et en provenance d’un ordinateur - 16 canaux indépendants pour mixage en console - 3 retours pour surveillance sur scène avec mixage room indépendante des cabines d’amplification et puissance suffisante pour assurer la fidélité du son et des décibels nécessaires à la capacité complète de la salle. - 2 retours pour casse audio. - 4 intercom de deux canaux.
Téléphone: (571) 2480840 - (57 314 2193453) Emails: erika@laventanaproducciones.com Réseaux : Twitter : @La_Ventana @erikactriz Facebook: Laventanaproducciones Youtube: la ventana producciones Web: www.laventanaproducciones.com Saudade Copyright 2013 Corporación Producciones La Ventana. Tous droits réservés.
STULTIFERA NAVIS Expériences pour ôter l’âme de l’individu. Une pièce de Veronica Ochoa
/Proposition générale de la pièce Déclaration Nous sommes les témoins d’un temps, et les habitants d’un monde, où la mélancolie de notre humanité est pleinement justifiée. Elle s’est convertie en une expression pathétiquement romantique, “se tromper est humain”, comme si peut-être nos injures avaient un soutien dans notre humanité: peut-être devrionsnous nous excuser devant l’infaillibilité de la machine ? Je dépose les armes. S’il s’agit d’expérimenter, je suis là, je dis oui de manière inconditionnelle, je consacrerai ma vie à presser des boutons et à être heureux. Cette chair qu’on a déjà dépouillée presque complètement de son esprit, est maintenant de la matière disponible. Coupez-moi en morceaux comme du bétail, lavez-moi le cerveau, ôtez-moi la mémoire. Je remets de façon inconditionnelle mon corps à ce projet scientifique, faites-en donc ce qui vous chante, et que le rêve profond soit en moi.
/Synopsis de la pièce STULTIFERA NAVIS Expériences pour ôter l’âme de l’individu. Une pièce de Veronica Ochoa. Ne sous-estime jamais le pouvoir des gens stupides dans de grands groupes
Quand la seconde Guerre mondiale s’est terminée, le monde a connu un destin prestigieux. Des promesses incessantes de progrès préparaient un avenir sans faille, froidement calculé, presque libre de n’importe quelle possibilité d’erreur. Ce mouvement, ancré dans des avancées scientifiques, dans la conquête de l’espace et dans des discours autour de la consommation, est apparu dans cette société d’hyperabondance dans laquelle nous sommes tous des témoins actifs. Cependant, ce tableau contraste avec d’importants dégâts sur un plan général, mais qui à nos yeux, arrive dans un espace-temps marginal qui est éloigné de notre concept de réalité, comme si cela appartenait à un monde fictif. Le Stultifera Navis (Le vaisseau des fous) nait à partir d’une série d’hypothèses autour de ce contexte, et qui s’entrecroisent pour créer une dramaturgie de l’aveuglement. Elle a pour résultat de mettre en discorde ces notions que nous avons à l’égard du progrès. Dans ce vaisseau, voyage aussi inévitablement, la mélancolie qui suit ce constat, et qui apparait après avoir contemplé la possibilité de reconnaître notre échec, et notre chute fracassante métaphysique. Nicanor Parra avance que la fin du monde a déjà eu lieu il y a longtemps, mais que nous, les humains, n’avons pas eu l’acuité de nous rendre compte que ce que nous vivons n’est plus la vie, sinon une supplantation illusoire de celle-ci. Le vaisseau des fous s’en va, comme une bulle illusoire qui reflète la bulle globale. Surchargé de machines inutiles qui empêchent l’individu de se retrouver avec lui-même, qui diluent sa volonté, qui extirpent son âme, ou le peu qu’il en reste : Un extracteur de
mémoire, un générateur de nouvelles idées, un automate appelé l’Homme Parfait, une machine pour dire adieu, un mécanisme pour abolir la profonde mélancolie, un émetteur d’ondes radio pour réciter des leçons à l’humanité, et un simulateur de fin du monde. Bien que l’atmosphère soit très resplendissante, comme dans une publicité des années 50, quelque chose s’est glissé en-dessous de l’imposant tapis fuchsia que recouvre le Stultifera Navis. Beaucoup de personnes la qualifient comme une pièce d’humour noir, moi, je considère en revanche que dans la tentative de porter le pessimisme à des limites d’apothéose et disproportionnées, je suis allée perturber un certain désordre qui ressemble beaucoup à de la rigolade.
/Concept “C’est peut-être l’exercice d’une surprenante coquetterie dramatique : mimétisme et contraste, à l’intérieur et à l’extérieur. Succomber à la force centrifuge pour ensuite en prendre la tangente, et révéler de cette façon le pouvoir prétentieux des tourbillons. Mais, j’insiste, cette opération est réalisée sans criaillerie bouffonne, en apparence “subversive”, mais qui néanmoins pour être aussi fragile et aussi enflé de la rhétorique d’un moi superficiel, ne laisse ni souvenir, ni conséquence”. “Verónica possède une extraordinaire légèreté pour changer les registres de l’hystérie, de la dépression, de la fausse euphorie, du dédoublement, de la phobie, du découragement, de la fausse joie, et du
désenchantement, vers ce qu’elle souhaite mettre en évidence dans toute la pièce et dans ses quatre recoins peints d’un rose assombri, qui au bout du compte absorbe les désirs vaniteux.” C’est ainsi que toute expression dramatique est résolue dans une combinaison de mouvements et de pauses, de vitesse et de calme. Cela requiert, comme dans la danse, une certaine force pour alterner mouvement, lenteur et parfois rigidité. Dans sa représentation, Verónica déploie un très bel enchainement et du contraste entre ces rythmes, qui avec une spéculation encore plus audacieuse dans le cas qu’elle étudie, montrent la polarité maximale de la psychose : l’hébéphrénique, en guise de mouvement rapide, l’obsessionnel, l’irrépressible, l’inconséquent, la perte de la maîtrise de soi, le propre des possédés, et le catatonique, en guise de rigidité quasi inerte, mortelle, ou de paralysie du corps.”
/Proposition scénographique La proposition est celle du classique et rétro futuriste Barbarella de Roger Vadim. Il y a une recherche matérialisée dans l’espace, et sur les fantaisies autour du futur qui a été renforcé dans les années 50 et 60. Ce Stultifera Navis (Vaisseau des fous) est un rendezvous au vaisseau de l’héroïne Barbarella : une surface en velours fuchsia qui donne l’impression de flotter dans l’espace, surchargée de machines, de câbles, de dispositifs, et de machines qui tendent vers le ridicule, vers l’absurde, ou vers l’inutile.
Plano technico = Plan technique Publico = Public Elipsoidal = Projecteur Ellipsoïdal Fresnell = Projecteur Fresnel Pedestal = Piédestal Video beam = Projecteur vidéo Televisor = Téléviseur Tocadiscos = Tourne disque Secador = Sèche-cheveux Cerca de jardin = Clôture de jardin Ventilador = Ventilateur
/Proposition audiovisuelle La proposition audiovisuelle est intégrée dans les images des archives personnelles de l’auteur.
/Biographie du directeur artistique. Verónica Ochoa Sánchez Dramaturge, actrice, directrice et scénariste. Di-
plômée en littérature à l’Université de los Andes en 2005. Elle commence sa formation théâtrale avec la directrice colombienne Mónica Mojica dans la pièce Emma, la malcastrada. Avec ce projet, elle participe au festival de théâtre expérimental Man.in.fest en Roumanie. Elle intègre la troupe de Théâtre Varasanta en 2007, et à partir de là, elle réalise des pièces de dramaturgie. Elle est actrice dans les spectacles Animula vagula blandula et Fragmentos de libertad. Elle réalise également quelques projets dont un scénario cinématographique et travaille comme assistante scénariste avec Alberto Quiroga dans la série La bruja de la chaine de télévision Caracol. En 2011 elle intègre la Clinique Dramaturgique sur invitation du Réseau National de Dramaturgie et depuis cet espace de création, nait Retrato Involuntario de Luigi Pirandello. La même année elle est invitée par Liliana Hurtado (Université de Caldas) en tant que professeur de la Résidence Nationale de Dramaturgie à Manizales. Avec la troupe de Théâtre Varasanta, elle monte une résidence artistique avec des artistes de culture populaire brésilienne, et participe
au Festival de Théâtre de Grupo (Sao Paulo) et Filte (Salvador de Bahia) entre autres. Elle est diplômée en Maîtrise Interdisciplinaire de Théâtre et d’Arts Vivants de l’Université Nationale avec pour thèse : Stultifera Navis qui a été récompensée d’une Mention de mérite. En 2014 elle reçoit une bourse du Ministère de la Culture pour l’écriture de la pièce dramatique Corruptour : Pais de mierda ! Caso Jaime Garzón. Elle a été coordinatrice du domaine conceptuel de l’école de formation d’acteurs CREA RCN dans la ville de Bogotá. Elle a dirigé le projet de l’École de Formation d’acteurs de Casa E. Le nom de cette pièce est : Querido Publico. En 2015 elle gagne la bourse de création du Ministère de la Culture pour réaliser sa pièce Corruptour : Pais de mierda ! Caso Jaime Garzón, et gagne le premier prix de dramaturgie “Teatro en Estudio” d’IDARTES. Le journal El Tiempo sélectionne sa pièce Corruptour : Pais de mierda ! Caso Jaime Garzón, comme la pièce de théâtre la plus importante de 2015 avec Labio de Liebre de Fabio Rubiano. En 2016 elle participe avec cette pièce au Festival Ibero-américain de Théâtre de Bogotá.
/Videos https://vimeo.com/141013862 http://www.eltiempo.com/entretenimiento/ arte-y-teatro/las-mejores-obras-de-teatrodel-2015/16468839 http://www.eltiempo.com/entretenimiento/artey-teatro/corruptour-obra-de-teatro-sobre-jaimegarzon/16430719 https://www.youtube.com/watch?v=Vu3NQ_IAKRo
/Les membres de la troupe Trois personnes participent aux représentations. Dramaturgie et réalisation: Verónica Ochoa. Costumes et assistance technique: Rafael Arévalo. Chorégraphie et combat: Andrés Lagos. Distribution: Verónica Ochoa, Andrés Lagos.
/Collaborateurs Heidi Abderhalden Co-fondatrice de la Fondation Mapa Teatro. Dès 1981, elle a suivi une formation professionnelle de théâtre en Europe dans diverses académies, à Lausanne (Suisse) et à Paris. Au Théâtre Vide Poche de Lausanne, à l’Atelier-Théâtre Serge Martin à Paris, à l’École Internationale de Théâtre de Jacques Lecoq à Paris et à l’Atelier de Formation Théâtrale de Philippe Gaulier. Elle a par ailleurs été une des élèves de la chorégraphe Monika Pagneux, qui a été chargée de la préparation corporelle du Centre de Recherches Théâtrales dirigé par Peter Brook. En 1993 elle commence sa formation professionnelle en France avec la Méthode d’Auto conscience par le Mouvement de Moshe Feldenkrais et fut accréditée en 1997 par l’Association Accord Mobile de cette Méthode. Elle travaille en tant qu’actrice, codirectrice et productrice de Mapa Teatro, dès 1985. Elle a aussi réalisé et dirigé le programme de radio-théâtre Auteurs et Acteurs, où elle réalise Simplemente Complicado de
Thomas Bernhardt, pièce récompensée par le premier prix de la IVe Bienal Internacional de radio de Mexico. Avec Historia de Amor de Jean Luc Lagrace, projet parrainé par l’Ambassade de France, elle obtient une mention d’honneur à la Ve Bienale de Radio de Mexico. Elle a également enseigné dans les Universités Rosario et National, en Colombie, à l’École Nationale d’Art Dramatique et à l’Académie Supérieure d’Arts de Bogotá. Elle a particulièrement étudié le thème du corps dans les arts et a réalisé de nombreuses expériences dans ce domaine. Elle a assisté, comme représentante de l’Amérique du Sud, au Séminaire International d’Arts Scéniques organisé par la Fondation Attakalari en Inde. Elle coordonne les séminaires et les laboratoires de formation théâtrale de la Fondation Mapa Teatro. En sa qualité de représentante légale de la Fondation, elle organise et dirige les différentes activités de celleci. En 1995 elle participe à l’élaboration des programmes d’enseignement des arts, pour le programme d’éducation artistique du Ministère de l’Education Nationale. Elle a traduit TabaTaba de B.M Koltés, Al Límite de la Vida de Gao Xing Yang, et Historia de Amor de Jean-Luc Lagarce. Elle a enfin réalisé la traduction et la dramaturgie de Richard III et de Richard II de William Shakespeare.
/Contact Verónica Ochoa Sánchez veronicaochoasanchez@gmail.com +57 3108920483 Facebook: Verónica Ochoa Sánchez Skype: verónica.8a.sanchez
/Fiche technique Dimensions de l’espace scénique: 10 mètres x 6 mètres x 4 mètres (approximativement) Sur scène : - Tapis de peluche fuchsia de 6 m x 9 m - 2 piédestaux de 50 cm x 50 cm x 1m de haut - 1 ventilateur - 1 tourne-disque - 1 Téléviseur ancien - 1 Sèche-cheveux ancien - 1 Clôture de jardin DEMANDES TECHNIQUES - Son stéréo (Reproduction à partir d’un ordinateur) - 1 Projecteur vidéo - 8 Rallonges électriques de 8 mètres - 10 Projecteurs ellipsoïdales Zoom 15/30o 750w - 10 Projecteurs Fresnel 500w - 1 Variateur dimmers (20 canaux disponibles) - 1 console d’éclairage (DMX) Avec gradins : 120 personnes (Approx.) Sans gradins : 60 personnes (Approx.) Nombre de personnes en tournée : 3 Coût par représentation : 1050 euros
CRÉANCIERS d’August Strindberg
/Proposition générale
/Concept de la pièce
Ce projet est la première œuvre théâtrale de la troupe TEATRO ERRANTE, groupe qui est né en 2011 grâce à un projet d’étude sur la pièce dramaturgique du suédois August Strindberg. Teatro Errante est une troupe d’artistes de diverses disciplines, intéressés par l’exploration de l’hybride et par l’univers fantomatique des arts contemporains. Par ailleurs, ces artistes travaillent sur d’autres projets avec certaines communautés.
Le centre d’exploration qui dirige le groupe autour de ce texte, se concentre sur la voix et sur ses possibilités expressives. Par ailleurs, un appartement a été aménagé pour roder cette pièce. Elle a ensuite pris la direction de scènes plus grandes, pour finalement créer une proposition faite pour stimuler le sens de l’écoute, grâce à l’élaboration d’une mise en scène radiophonique méticuleuse. Le spectateur se retrouvera alors avec trois acteurs interprétant le texte devant un micro. A leur côté, un technicien du son prêt à participer comme un autre acteur, et chargé de contrôler, de moduler, de jouer avec le son, pour donner une dimension particulière à cet environnement. Un éclairage minime mais dynamique. Tout cela pour générer une atmosphère qui invite le spectateur à profiter du spectacle en lui donnant l’image à la parole, qui se détache elle-même de la lecture.
/Synopsis de la pièce Créanciers est une pièce écrite entre 1888 et 1889, encadrée à l’intérieur de ce que son auteur, August Strindberg, appellerait théâtre intime dans sa quête de constructions de propositions scéniques plus « vivantes » pour le spectateur. Dans cette pièce, Adolfo, un homme récemment marié et en vacances dans une station thermale, connait un étranger qui lui offre amitié et confiance, mais qui lui donne de terribles doutes sur la fiabilité de son épouse. Adolfo accepte de se confronter à elle, sans comprendre qu’il est la victime du piège tendu par un homme assoiffé de vengeance. Un texte qui parle des relations délicates et conflictuelles du couple, et du pouvoir de la parole comme moyen de manipulation. Mise en scène soignée grâce à un travail radiophonique rigoureux.
/Proposition scénographique La pièce se présente en deux types de configuration : La première, un appartement adapté pour accueillir au maximum quinze personnes qui entoureront le centre de la salle, avec pour objectif de maintenir les spectateurs au plus près des acteurs. On y déploie également des enceintes audio sur les murs et dans les couloirs, ainsi qu’un système d’éclairage qui se fixe sur un micro et deux chaises. Dans des espaces plus grands, comme des salles de spectacle, la pièce dispose d’un tapis d’approximativement 2 mètres x
1,50 mètre sur lequel se déroulera toute l’action, et un cyclorama rouge dans le fond qui sert à accentuer les moments dramatiques de la pièce.
/Proposition audiovisuelle ou autre type de proposition Le point clef de la proposition se situe dans l’usage du son, les possibilités de la voix et l’amplification sonore. Il a ainsi été réalisé un travail précis sur le son, qui a cherché à épurer certains éléments, et à en créer d’autres, grâce à un travail de collecte de sources sonores, tel que des enregistrements de sons dans des hôtels, dans de grands couloirs, des restaurants, des sons préenregistrés de personnages, des atmosphères, et des bandes sonores. Le tout opéré par un DJ qui en direct, mélange ces sons avec les voix des acteurs et les effets que la console produit pour favoriser l’atmosphère et le conflit dramatique qui prend vie.
/Biographie du directeur artistique CRISTHIAN M. AVILA ARIAS (Bogotá, 1980). Réalisateur de cinéma et de télévision, il a étudié à l’université Nationale de Colombie une maitrise en théâtre et arts vivants. Il a exercé comme professeur universitaire, chercheur, scénariste, directeur de documentation, et responsable d’installations vidéo et de courts-métrages de fiction. Il est actuellement le directeur artistique de Teatro Errante depuis sa fondation en 2011 et de Casa Reflector S.A.S. qui est spécialisée dans le graphisme de contenus internet, dans le cinéma, et dans le théâtre: www.casareflector.co Il est possible de consulter d’autres vidéos en relation avec son travail sur la chaine YouTube : youtube: https://www.youtube.com/channel/UC1_ZWC0htujoegU2WE NVcgg
Voici quelques liens qui vous permettront de découvrir cette proposition:
/Membres de la troupe
https://www.youtube.com/watch?v=30HiIXJ4hP4 https://www.youtube.com/watch?v=D9ZG42n6iT0 https://www.youtube.com/watch?v=zlsXo6ZVaR0
Diana Milena Esguerra Olarte, actrice. Julián Ricardo Campos Granja, acteur. Marco Tulio Contreras Monroy, acteur. David Alfonso Orjuela, technicien du son. Cristhian Miguel Avila Arias, directeur. Diana María Quiroga Calderón, assistante de production.
/Participation aux festivals Festival de salsa B. 2012 Festival Alteratro. 2012 Festival Arteusaquillo. 2013 IXe festival de théâtre de Bogotá. 2013 VIIIe festival International de théâtre de la Cientifica, Lima, Pérou. 2013.
Tekla: Diana Esguerra Costumes: Erika Acuña Animation et dessin graphique : Camilo Jiménez Son: Sonia Poveda—David Orjuela Mise en scène et lumière : Guillermo Pedraza Eclairage: Cristhian M. Avila Production: Cristhian M. Ávila Arias Clara L. Bocanegra C. Michelle Lozano Uribe Direction: Cristhian M. Ávila Aria
/Soutiens
/Capacité maximale du public
Stimulation des localités culturellement Actives IDRD 2011. Bourse de circulation internationale de théâtre et de cirque Mincultura. 2013.
Version petit espace: 20 spectateurs Version grande scène: 300 personnes Nombre de personnes en tournée: Entre 5 et 6 personnes Coût par représentation: $2.000.000 COP (N’inclut pas les transports internationaux ni l’hébergement)
/Contact +57 300 2061822 casa.reflector@gmail.com / www.casareflector.co www.revisitandostrindberg.blogspot.com https://www.facebook.com/Teatro-Errante344508665671337/?fref=ts https://www.youtube.com/channel/UC1_ZWC0htujoegU2WENVcgg
/Fiche technique Auteur: August Strindberg Gustavo: Marco Tulio Contreras Adolfo: Julián Ricardo Campos
/Vidéo Version 12 minutes: https://youtu.be/1_hA_5ls5q0
LÁ OÙ LES QUEUES DES ÂNES SE DÉCOMPOSENT Umbral Teatro
/Synopsis LÁ OÙ LES QUEUES DES ÂNES SE DÉCOMPOSENT est le travail ardu des personnages afin de défendre de défendre leurs familles d’un destin qui semble inexorable: des jeunes égarés dans un présent qui leur échappe, emmêlés dans un piège d’intérêts d’adultes sans visage. Des personnes ordinaires à la merci d’un état, qui est absent et autoritaire; c’est un monde dangereux de délations et de récompenses, d’accusations ambiguës, et de délits qui ne semblent pas non plus très clairs. L’espérance de récupérer les êtres aimés s’évanouit, sans qu’il ne reste de trace de leur histoire, de leur nom ou de leur douleur.
/Concept La troupe a travaillé pendant sept mois dans la recherche du langage le plus pertinent possible de l’univers éclos des personnages, proposé par l’auteur, jusqu’à la construction d’une proposition pluridisciplinaire, de caractère plastique, dansant, audiovisuel, et sonore, qui explorent le sens profond du texte.
/Biographie du directeur artistique. IGNACE RODRIGUEZ BEJARANO Acteur et directeur diplômé de l’École Nationale d’Art Dramatique; Professeur en art dramatique de l’Université d’Antioquia. Il a travaillé en tant qu’acteur pendant 10 ans dans le théâtre La Candelaria de Bogotá. Il est membre fondateur de la troupe Umbral
Teatro où il a travaillé comme acteur dans des pièces comme: Segundos, Filialidades, Electra ou la Caída de las Máscaras, Gallina y el otro, Cuando el zapatero remendón remienda sus zapatos, et il a dirigé des pièces comme La Suite de los espejos, ou Una soberana Calva. Plazas juglares et Cadalsos, Donde se descomponen las colas de los burros, Peer Gynt de Henrik Ibsen avec l’Orchestre Philharmonique de Bogotá et la musique d’Edward Grieg. Il a été durant quelques années professeur de l’École Nationale d’Art Dramatique. Il a composé la musique originale de plusieurs pièces de théâtre et de films, comme : Desencuentros, El negro perfecto, María Es Tres de Fabio Rubiano, Memoria y olvido de Úrsula Iguarán et de la troupe Cien Años de Soledad, Los Demonios du théâtre Tierra, etc. Il a également composé des musiques originales pour les films Posicion Viciada, réalisé par Ricardo Coral, Pena Maxima, dirigée par Jorge Echeverri, Dago Producciones, Te busco, dirigé par Ricardo Coral. Il est actuellement professeur à la Faculté d’Arts de l’Université Distrital Francisco José de Caldas ASAB, où il a réalisé des pièces comme : Los Siete Gaticos de Nelson Rodríguez, El Bello indiferente de Jean Cocteau, et Marsal Marsal de José Sanchís, entre autres. Lien internet de son travail en tant que directeur artistique: https://vimeo.com/umbralteatro/videos
/Participants de la troupe
/Contact
Direction : Ignacio Rodríguez Bejarano Auteur et productrice : Carolina Vivas Ferreira Andrea Sánchez, Actrice Daniel Maldonado, Acteur Carolina Beltrán, Actrice Alfredo Aguilar, Acteur Julio Rodríguez, Acteur Miguel Ángel Rodríguez, Acteur Fabián Mejía, Acteur José Luis Días, Acteur Mapping et vidéo: Felipe Alvarado Sonorisation : Daniel Rodríguez Technique et machinerie : Constantino Salamanca
Téléphones : (+57) 3157815105 / (+57) 3203044479 Adresse /CR 3 # 21-46 APTO 2302 B Emails: umbralteatro@gmail.com www.umbralteatro.com
/Collaborateurs Liliana Philipp lilipuntorosa@hotmail.com
/Collaborations internationales - Le Local 18 rue de l’Orillon 75011 Paris Téléphone : +33 1 46 36 11 89 www.le-local.net Directeur : Gabriel Debray (Directeur de l’Association “Ombre en lumière”, organisation qui administre la salle)
/Fiche technique - Direction : Ignacio Rodríguez Bejarano Bourse de création des réalisateurs d’IDARTES en 2014 - Auteur : Carolina Vivas Ferreira Bourse de Création en Dramaturgie Iberescena 2008 - Troupe : Andrea Sánchez - Dolores Daniel Maldonado - Pedro Cangrejo Carolina Beltrán - Conception Alfredo Aguilar - Poncidoro Julio Rodríguez - Casto Miguel Ángel Rodríguez - Otro Fabián Mejía - Uno José Luis Días - Salvador Cangrejo
Mapping et video: Felipe Alvarado Musique originale: Ignacio Rodríguez Sonorisation: Daniel Rodríguez Technique et machinerie: Constantino Salamanca Mise en scène: Wilson Peláez Collaboration: Camilo Rodríguez et Byron Silva Photo: Gabriela Córdoba Vivas Graphisme: Caldo Estudio.com (Unai Reglero) - Capacité maximale de spectateurs pour la pièce: 500 - Nombre de personnes en tournée: 13 - Coût par représentation: 2500 euros https://vimeo.com/134657171