InfoAutisme 09

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Inf n째 09 Juli 2012


Luxembourg

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S’adapter pour mieux répondre aux défis de nos missions légales !

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v is g ra tu it s Siège social : t d e s li e u x e tcedcoe up on ta E Conseil de Formations

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Parce que chaque donateur a le droit de savoir comment est dépensé son argent et s’il est bien géré, parce que chaque fondation ou association a un devoir envers ses donateurs, l’a.s.b.l. “Don en Confiance Luxembourg” a été créée le 18 janvier 2011. Autisme Luxembourg fait partie des 16 membres fondateurs. Pour plus d’informations: www.donenconfiance.lu

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Madame, Monsieur, Chères lectrices, chers lecteurs, Les travaux d’agrandissement du Centre Roger Thelen à Beckerich ont commencé dans le courant de ce mois de juin 2012. “Autisme Luxembourg asbl” poursuit ainsi le développement de ses services de formation, de travail et d’accueil de jour qui accueillent depuis 2004 des personnes atteintes de troubles envahissants du développement. L’espace actuel, principalement réservé aux ateliers protégés, est en effet déjà trop exigu pour répondre aux nombreuses demandes de formation professionnelle et de mises au travail qui nous sont adressées chaque année. Dès 2014, une quarantaine de nouveaux postes de travail et de formation professionnelle pourront ainsi être créés. A terme, les ateliers pourront donc accueillir chaque jour près de 85 salariés handicapés et usagers du service de formation professionnelle. La capacité actuelle du Centre Roger Thelen sera quasiment doublée. Cet agrandissement constitue aussi une excellente opportunité de développement de nouvelles activités de travail en vue d’élargir notre offre de produits et de services. Les ateliers protégés se situent en effet à la fois dans le champ des activités médicosociales et dans celui des activités commerciales. Le salarié handicapé jouit ainsi d’un double statut : il est à la fois salarié et usager de la structure de travail. Le personnel et la direction gèrent donc une double relation : la relation classique employeur-employé et la relation encadrant-encadré. Cette dualité est à la fois une richesse pour la structure et les usagers mais aussi une contrainte difficile à assumer au quotidien. Il s’agit de

combiner, d’ajuster, de faire coexister de manière équilibrée des enjeux et des compétences bien différentes. Les ateliers protégés doivent donc pouvoir compter sur une organisation interne solide, des compétences variées et complémentaires, à la fois techniques, pédagogiques, commerciales et financières. Ils doivent également s’adapter à la demande, aux besoins des partenaires et des clients extérieurs et à l’évolution de la technologie, dans un environnement socio-économique très évolutif. Dans un effort continu d’adaptation, les gestionnaires des ateliers protégés sont donc en constante recherche d’équilibre et de pertinence pour réaliser leur objet social. Il en va de même pour les équipes encadrantes des ateliers, qui s’interrogent régulièrement sur les accents à privilégier ou les priorités à établir entre la réalisation de la mission sociale d’encadrement et d’insertion socioprofessionnelle des usagers et la mission économique de production et de commercialisation qui assure une certaine rentabilité économique des activités. Aujourd’hui encore, à travers ce projet d’extension des bâtiments du CRT à Beckerich, il nous faut donc relever ce double défi ; celui de nous développer pour créer de l’emploi adapté et celui d’innover dans nos activités de production de biens et services, en tant qu’unité économique de production, afin de rester nous-mêmes adaptés aux besoins économiques de la société d’aujourd’hui et de demain. Il s’agit, au quotidien, de relever le défi d’offrir un produit ou un service toujours plus original et personnalisé, dans un délai et pour un prix toujours plus serrés

et avec une qualité optimale face à l’offre des fournisseurs extérieurs. Il nous faut cependant veiller à ne pas privilégier des tâches de plus en plus complexes mais plutôt à assurer un maximum d’activités réalisables par tous, et adaptables à des personnes ayant des capacités de travail moins importantes. Le défi est lancé ! il faudra encore un peu de patience mais aussi quelques efforts d’adaptation et un peu de bienveillance durant la phase des travaux pour le personnel encadré et encadrant, avant de pouvoir profiter tous ensemble de cette nouvelle infrastructure et, pour nos clients, des nouveaux produits ou services qui y seront proposés. Nous reviendrons d’ailleurs plus en détails encore, dans les éditions à venir, sur tous ces projets d’élargissement de nos activités. D’ici là, nos sept ateliers actuels sont toujours ouverts et disponibles pour vous proposer une large gamme d’articles et d’activités de qualité et pour essayer de répondre aux mieux à vos attentes ou besoins spécifiques. Avec tout le personnel des ateliers, nous vous remercions déjà de l’intérêt et de la confiance que vous continuerez à nous témoigner. Vincent Brack Chargé de direction - service travail


Autisme Luxembourg a.s.b.l. Centre Roger Thelen 1, rue Jos Seyler L- 8521 Beckerich Tél: (+352) 266 233-1 Fax: (+352) 266 233-33 8h-12h / 13h-18h Internet: www.autisme.lu Email: administration@autisme.lu Atelier Reproduction: Tél.: 266 233 42 Greg Foetz Atelier Cuisine: Tél.: 266 233 49 Pierre Gaertner Atelier Papier Recyclé: Tél.: 266 233 43 Cynthia Flesch Atelier Jardinage: Tél.: 266 233 44 Carmen Müller Atelier Entretien: Tél.: 266 233 45 Chantal Longhino Atelier Confiture: Tél.: 266 233 49 Wilma Kirsch Atelier Céramique: Tél.: 26 55 03 92 116, rue de Luxembourg L-4221 Esch-sur-Alzette Peter Stein TAKE OUT Du lundi au vendredi Plat du jour à emporter consultation menu: www.autisme.lu Sandwichs à la carte Pains Surprise sur commande Réservation: Tél.: 266 233 49

Leben mit Autismus und dem Asperger-Syndrom:

Tagen unterschiedliche Leistungen zeigt. Da er sich außerdem im Unterricht oft kaum beteiligt, gilt er als desinteressiert oder sogar faul.

Was uns hilft

Unstrukturierte Phasen

Dr. Christine Preißmann ist Ärztin für Allgemeinmedizin und Psychotherapie und selbst vom Autismus (Asperger-Syndrom) betroffen. Sie arbeitet in Teilzeit im Suchtbereich einer psychiatrischen Klinik in Deutschland. Daneben widmet sie sich der Öffentlichkeitsarbeit mit Referaten bei Fachveranstaltungen und Publikationen (u.a. drei Bücher für Fachleute und Betroffene bzw. Angehörige) sowie Rundfunk- und Fernsehauftritten, um Informationen zu bieten über den Autismus in all seinen Facetten und zu einem besseren Verständnis für die betroffenen Menschen beizutragen.

Einführung Menschen mit Autismus stoßen im Alltag immer wieder an ihre Grenzen, obwohl sie sich meist große Mühe geben, die an sie gestellten Anforderungen zu bewältigen. Insbesondere ihr Kontaktverhalten und die soziale Interaktion sind auffällig. Es fällt ihnen schwer, sich auf andere Menschen einzustellen, ein Gespräch mit ihnen zu beginnen und in Gang zu halten, obwohl sie sich oft durchaus für ihr Gegenüber interessieren. Sie zeigen Auffälligkeiten im nonverbalen Kontakt; es gelingt ihnen nur schlecht, Mimik, Gestik oder Blickkontakt anzuwenden und bei anderen richtig zu interpretieren. Daher entgehen ihnen im Gespräch viele Informationen, die andere Menschen ganz selbstverständlich nebenher aufnehmen können. Sie sind außerdem oft motorisch ungeschickt und benötigen Hilfe und Anleitung bei scheinbar leichtesten Aufgaben, während sie schwierige Anforderungen manchmal nahezu mühelos erledigen. Daher wirken sie in der Kindheit ebenso wie im Jugendund auch im Erwachsenenalter auf ihre Umgebung oft merkwürdig und geben den anderen doch einige Rätsel auf. Oft wird uns mit Unverständnis begegnet, wir werden gemieden und beschimpft oder als unhöflich bezeichnet, was auch uns weh tut.

Schulzeit Hinsichtlich der schulischen Eingliederung sind Menschen mit Autismus und Asperger-Syndrom eine große Problemgruppe. Manchmal können sie zugleich zu wenig und zu viel, um eindeutig einer Schulform zugeordnet zu werden. Deutlich ist nur, dass sie Förderung und Schutz benötigen, denn sie weisen ein erhöhtes Risiko für Demütigungen und Verletzungen aller Art auf. Für die Lehrer wird es immer wieder verwirrend sein, wenn der autistische Schüler in verschiedenen Fächern unterschiedliche Zensuren erreicht und auch in denselben Fächern an verschiedenen

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Pausen dort lesen konnte. Das war für mich eine tolle Entspannungszeit“ (M. Hoppe, in: Preißmann 2012).

Kommunikative Missverständnisse Viele Schwierigkeiten des Alltags ergeben sich aus kommunikativen Missverständnissen, da wir aufgrund unseres wörtlichen Sprachverständnisses beispielsweise zweideutige Äußerungen und Redewendungen missverstehen. Diese Missverständnisse können Ängste auslösen und schließlich zur Resignation führen, sie können aber auch Aggressionen oder ein anderes unangemessenes Verhalten zur Folge haben. Manchmal entstehen daraus aber auch Situationen, die sich im Nachhinein durchaus amüsant darstellen können: So erklärte der Kursleiter bei einer beruflichen Fortbildung vor wenigen Jahren in einem kleinen Ort, dass dort spätestens um 18.00 Uhr die Bürgersteige hochgeklappt würden. Das hatte mich ziemlich erschreckt, denn ich wollte am Abend noch spazieren gehen und mir die Umgebung ansehen. Ich wusste nicht, dass das eine Redewendung war und bedeutete, dass der Ort abends ziemlich ausgestorben wirkt. Ich ging also zur Rezeption meines Hotels, um mich zu erkundigen, wie lange man noch problemlos durch die Straßen laufen könnte. Da sie mich nicht verstanden, erklärte ich den Mitarbeitern den Hintergrund meiner Frage. Später dann stand ich lange am Fenster, um nicht zu verpassen, was da geschehen würde, aber zu meiner Verwunderung geschah gar nichts. Es ist also wichtig, Menschen mit Autismus klare und eindeutige Anweisungen zu geben, auf Ironie in der Sprache oder auf mehrdeutige Äußerungen möglichst zu verzichten oder aber gleich auch die Bedeutung zu erklären. Andernfalls wird es ihnen oft nicht möglich sein, die Anweisungen richtig zu verstehen und adäquat zu befolgen. Dann kommt es nicht selten zu einem Verhalten, das für andere Menschen unverständlich ist und als Provokation wirken kann.

Große Schwierigkeiten gibt es häufig in den Situationen, die nur wenig strukturiert verlaufen. Dazu gehören im Schulalltag die Pausen, aber auch Klassenfahrten oder Ausflüge. Während meine Mitschüler sich immer sehr auf die Freizeit zwischen den einzelnen Unterrichtsstunden freuten und offenbar nur von Pause zu Pause lebten, hätte ich sehr gut darauf verzichten können, denn hier wurde ein soziales Zusammensein gefordert, das völlig chaotisch und unstrukturiert und ohne jede Regel abzulaufen schien. Das überforderte mich, und so saß ich in den Pausen oft auf der Schultoilette im Hof, wo ich es ruhig und friedlich hatte, und wartete dort auf den Gong, der das Pausenende anzeigte. Als ich dann in die gymnasiale Oberstufe kam, hatte ich am Anfang das Gefühl, im Paradies zu sein, denn dort gab es so tolle Toiletten, wie ich sie noch nie an einer Schule gesehen hatte. Aber bald schon wurde mir klar, dass es in dieser Schule für mich noch sehr viel schwerer werden würde als bisher. Es war viel mehr Eigeninitiative gefordert, man musste sich beispielsweise schon den Stundenplan zum Großteil selbst zusammenstellen. Alles erschien mir wahnsinnig verwirrend und chaotisch. Zu den wichtigsten Maßnahmen bei der Arbeit mit autistischen Menschen gehört also die Strukturierung. Ein Lehrer mit kreativem, also unstrukturiertem, Vorgehen ist bei vielen Schülern sehr willkommen, für Menschen mit Autismus aber kann er eine Katastrophe sein. In ihren Texten zum Thema Schule für mein neues Buchprojekt, das kürzlich erschienen ist, beschreiben zwei junge Männer mit Asperger-Syndrom, wie schwer diese Zeiten für sie waren und was ihnen damals geholfen hat: „Der Unterrichtsstoff bereitete mir keine Probleme, nur der heftige Lärm auf dem Schulhof und die Unruhe in der Klasse machten mir Schwierigkeiten. Besonders während der Klassenarbeiten konnte ich mich schlecht konzentrieren, was dazu führte, dass ich sie auf Antrag in einem separaten, ruhigen Raum schreiben durfte“ (S. Dietsch, in: Preißmann 2012). „Schlimme Ereignisse waren für mich Schulund Sportfeste und vor allem Karneval. Ich weigerte mich, mich zu verkleiden und ängstigte mich vor den Kostümen der anderen Kinder. Diese Feiern wurden für mich zur Qual, und wenn ich den Lärm und das Durcheinander nicht mehr ertragen konnte, rannte ich immer wieder weinend hinaus (…). Nach einigen Zwischenfällen bekam ich (für die Pausen) einen älteren Schüler als „Paten“ zur Seite gestellt (…). Dank eines ärztlichen Attests musste ich außerdem nicht mehr (am Sportunterricht) teilnehmen und durfte diese Zeit in der Schülerbibliothek verbringen. Ich erinnere mich mit Freude daran, weil ich unheimlich gerne und viel lese. Die zuständige Lehrerin setzte sich in der Folge dafür ein, dass ich nun auch in den

Wichtig für ein besseres Miteinander ist daher die Bereitschaft, sich auf den anderen einzulassen, unverständliche Verhaltensweisen zunächst erst einmal zu hinterfragen, statt vorschnell zu urteilen und zu verurteilen, um so die Chance zu erhalten, auch den autistischen Menschen als eine durchaus liebenswerte Persönlichkeit wahrzunehmen.

Routinen und Rituale – Veränderungen

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Viele Menschen mit Autismus fühlen sich von den berechenbaren Dingen der Welt angezogen und planen ihren Alltag in allen Einzelheiten. Zu den in allen Lebensbereichen größten Herausforderungen für die Betroffenen gehören daher unerwartete Ereignisse sowie Veränderungen aller Art. Auch ich selbst plane meinen Tagesablauf sehr genau, und ich merke, dass mir das insbesondere in Krisenzeiten Sicherheit und Stabilität gibt. Auf Umgestaltungen im Tagesplan oder das Nicht-Einhalten von Ritualen reagieren Menschen mit Autismus oft auf sehr heftige, für


Außenstehende kaum nachvollziehbare Weise. Es kann dann zu Wutausbrüchen und Panikattacken kommen oder zu anderen Anzeichen großen Stresses und starker Anspannung. Es ist wichtig, daran zu arbeiten, ab und zu kleinere Veränderungen im Alltag zulassen zu können. Insgesamt jedoch ist für den autistischen Menschen die Ausgewogenheit zwischen Gleichförmigkeit und Alltagsroutinen einerseits sowie Veränderungen andererseits zu beachten. Er benötigt ein gewisses Maß an Routine, um sich sicher zu fühlen, um die Welt als stabil zu erleben und seinen Alltag bewältigen zu können.

Erfahrungen bei der Arbeit Auf meiner Station kommt mir der strukturierte Tagesablauf sehr entgegen. Hier wird Pünktlichkeit erwartet, unvorhergesehene Änderungen sind selten. Ich gehe gern arbeiten und gebe mir große Mühe. Überhaupt sind Menschen mit Autismus in mancher Hinsicht nahezu perfekte Arbeitnehmer. Sie sind in der Regel pünktlich und zuverlässig, legen keinen großen Wert auf häufige gemeinsame Pausen mit Arbeitskollegen, sondern bleiben lieber an ihrer Arbeit. Oft wollen sie dabei ein akkurates und bestmögliches Ergebnis erzielen. Häufig werden aber diese ihre Fähigkeiten durch die bestehenden Defizite z.B. im sozialen und kommunikativen Bereich überlagert, so dass es oft gar nicht gelingt, die bestehenden Ressourcen zu erkennen und zu fördern. Es wird also immer wieder eine Herausforderung darstellen, die Fähigkeiten und auch die Vorlieben der Betroffenen optimal zu nutzen und möglichst Bereiche zu finden, in denen die vorhandenen Schwächen und Schwierigkeiten akzeptiert werden können oder vielleicht sogar gar keine große Rolle spielen. Ich selbst habe inzwischen einen unbefristeten Vertrag an der Klinik erhalten, was mich sehr gefreut hat. Vor allem freue ich mich, dass meine Vorgesetzten meine Arbeitsleistung offensichtlich durchaus zu schätzen wissen. Aber natürlich weiß ich, dass ich auch sehr viel Glück gehabt habe. Ich hätte auch an weit weniger verständnisvolle Mitarbeiter und Chefs geraten können. Selbstverständlich gibt es aber auch Schwierigkeiten, und insgesamt wird bei meiner Arbeit auch heute noch deutlich, dass ich mich in zwei verschiedenen Welten bewege, was nicht leicht ist. Ich bin in der Regel durchaus in der Lage, die fachlichen Anforderungen zu bewältigen, die man an mich stellt. Aber ich kann dort nicht ich selbst sein. Am deutlichsten wird das bei den Kontakten zu meinen Kollegen oder zu den pflegerischen Mitarbeitern auf meiner Station. Lange Zeit habe ich immer überlegt, was ich ihnen erzählen könnte, wenn ich nach Wochenend- oder Urlaubsaktivitäten gefragt wurde. Das war anstrengender als alles andere, ich kam oft durcheinander und wusste manchmal gar nicht mehr, wem ich was erzählt hatte. Nach einiger Zeit habe ich gewagt, mehr und mehr Wahres aus meinem ruhigen, für andere aber manchmal langweilig erscheinenden Leben zu berichten, und ich durfte die Erfahrung machen, dass dies durchaus Anklang fand. Seither ist meine Arbeit um einiges entspannter geworden.

Man versucht, Rücksicht auf mich zu nehmen, mich frühzeitig über geplante Veränderungen zu informieren und mir durch ausführliche Erklärungen meine Angst zu nehmen. Ich freue mich darüber und bin sehr dankbar dafür. Mit nur geringem Aufwand kann man auf diese Weise eine Menge für mich tun. Wenn ich abends nach Hause fahre, fällt die Anstrengung von mir ab, die dieses Leben für mich bedeutet. Aber es holt mich dann auch die Realität ein. Bei der Arbeit habe ich doch noch gewisse Kontakte, ansonsten aber bin ich meist allein und habe außer meinen Eltern niemanden, mit dem ich schöne oder auch unangenehme Ereignisse des Tages besprechen könnte. Manchmal mache ich auf dem Nachhauseweg einen kleinen Abstecher und gehe in schöner Landschaft spazieren, was ich sehr liebe. Ich freue mich über die Stille und die Einsamkeit und habe immer wieder Zweifel, ob ich das Leben in dieser lauten, chaotischen Welt dauerhaft werde bewältigen können. Es ist wichtig für mich, genug Rückzugsmöglichkeiten zu haben. Aber gleichzeitig fühle ich mich manchmal auch einsam so ganz allein. Zwischenmenschliche Kontakte, Freundschaft und Partnerschaft Andere Menschen können Freunde haben, viele von ihnen leben in einer Partnerschaft und haben vielleicht sogar Kinder. Das gehört zu den größten Entbehrungen, die das Leben in meiner Welt beinhaltet und bringt mich oft an den Rand der Verzweiflung. Manchmal stelle ich mir ein Leben mit einem eigenen Kind vor und überlege dann aufs Neue, ob dies wohl möglich sein könnte. Der Verstand sagt dazu nein. Ich würde es nicht schaffen, denn ich würde immer mit ihm allein sein wollen, aber es bräuchte ja auch Freunde. Ich müsste mich mit den Eltern seiner Freunde unterhalten und sie wohl sogar ab und zu einladen. Und ich müsste erleben, dass mein Tagesablauf, den ich morgens in Gedanken durchgehe, immer wieder durcheinander gerät. Noch viel schwieriger aber wäre sicher die erforderliche emotionale Unterstützung in kritischen Lebenssituationen. All das könnte ich wohl nicht, und wenn ich mit meinem sechsjährigen Neffen zusammen bin, dann strengt mich oft schon eine einzige Stunde so an, dass ich trotz aller Freude über das Treffen mit diesem lieben kleinen Kerl merke, wie sehr mich ein eigenes Kind überfordern würde. Aber jenseits des Verstandes ist da auch die Sehnsucht, und deshalb bin ich immer wieder sehr traurig, dass ich die schönen Dinge, die ich früher mit meinen Eltern erlebt habe, wohl nie mit einem eigenen Kind werde teilen können. „Ein Kind ist das Weihnachtsfest des Lebens“ habe ich als Zitat einer Politikerin in meinem Alter gelesen. Ich liebe sehr die Weihnachtszeit und kann diesen Vergleich nachvollziehen. Vielleicht schmerzt es deswegen immer noch sehr, wenn ich über Kinder nachdenke. Manche autistische Menschen haben das Glück, Hilfe und Unterstützung durch einen Partner erhalten zu können, der ihnen die Dinge abnimmt, die ihnen selbst schwer fallen. So können sie ein recht erfolgreiches Team bilden. Auch das erklärt die Verzweiflung einiger Betroffener, denen es nicht gelingt, einen Partner

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zu finden. Ich selbst erhalte viel Unterstützung durch meine Eltern, bei denen ich noch wohne, aber so wird es ja nicht dauerhaft bleiben können. Längerfristig werde ich jemanden brauchen, der mir beratend zur Seite steht und mir die Dinge abnimmt, die ich allein nicht kann. Abgesehen von der ganz praktischen Unterstützung wünsche ich mir aber auch einfach einen Menschen für ein gelegentliches Treffen, einen guten Freund oder eine Freundin, jemanden, mit dem ich private Dinge besprechen oder etwas unternehmen könnte. Aber ich weiß nicht, wen ich aus der Menge als für mich passend heraussuchen sollte, und außerdem fällt es mir schwer, ein gemeinsames Gesprächsthema zu finden. Manchmal überlege ich mir schon im Vorfeld eines Treffens, dass Reiseziele dafür vielleicht geeignet sein könnten, aber ich werde unsicher, wenn es sich im Kontakt dann doch anders ergibt als von mir vorgesehen. Der Wunsch nach Freundschaft und Partnerschaft wird auch von vielen anderen autistischen Menschen beschrieben. Sie wünschen sich, besser mit anderen Menschen umgehen zu können, lockerer und sicherer zu werden im Kontakt, zu ihnen passende Menschen kennen zu lernen und die Freundschaft dann auch pflegen zu können. So ist uns zum Beispiel oft nicht klar, wie häufig man den anderen kontaktieren sollte, um die Beziehung nicht abreißen zu lassen. Aber persönliche Beziehungen lassen sich nun einmal nicht wirklich kontrollieren, und das ist einer der Gründe, weshalb sie autistische Menschen vor solch große Probleme stellen. In sozialen Interaktionen sind Dinge gefordert, die die meisten Menschen wissen, ohne sie lernen zu müssen. Autistische Menschen dagegen müssen sie sich mühsam aneignen. Dazu gehören auch so vermeintlich einfache Dinge wie die Körperpflege oder eine der Situation angemessene Kleidung. Ich erinnere mich gut daran, wie ich auf der Abschlussfeier des Studiums meines Bruders vor einigen Jahren ganz selbstverständlich in Jogginghose und Birkenstock-Sandalen erschien. Es war warm, ich fand diese Kleidung bequem und praktisch. Mein Bruder aber schimpfte sehr deswegen, ich glaube, er schämte sich für mich, was mir leid tat. Solche Beispiele machen deutlich, dass das Leben für autistische Menschen sehr anstrengend ist, weil sie viele Dinge mühsam lernen müssen, die andere Gleichaltrige ganz selbstverständlich anwenden können. Der Stresspegel ist hoch, und zum Erarbeiten kompensatorischer Maßnahmen muss viel Energie aufgewandt werden.

Arbeit mit autistischen Menschen Etwas Beruhigung verschaffen können sich die Betroffenen manchmal durch ihre speziellen Interessen, die aber für die Umgebung oftmals sehr anstrengend sind. Daher kann es günstig sein, sie in sinnvolle Bahnen zu lenken und beispielsweise gezielt als Belohnung einzusetzen. So kann die Motivation in Schule, Beruf oder Therapie erhöht werden, wenn am Ende bei guter Mitarbeit eine kurzzeitige Beschäftigung mit dem Lieblingsgebiet in Aussicht gestellt wird.

Wichtig sind bei der Arbeit mit autistischen Menschen Kreativität, der Mut, neue und ungewöhnliche Wege zu beschreiten, und viel Geduld. Manche Verbesserungen machen sich erst nach längerer Zeit bemerkbar, und nicht selten zeigen sich dann Fortschritte, die man in ihrer Intensität nie für möglich gehalten hätte. Es ist daher wichtig, auch noch im Jugend- und Erwachsenenalter eine effektive Unterstützung anzubieten. Viele Menschen mit Autismus erhoffen sich konkrete Unterstützung bei Alltagsschwierigkeiten, und auch ich stelle mir oft so etwas wie einen „Coach“ für mein Leben vor, der mir in verschiedenen Situationen helfen könnte. Viele Dinge sind mir nicht klar, manche Situationen überfordern mich, und oft habe ich das Gefühl, dass ich mit nur geringer Unterstützung in solchen Momenten deutlich besser zurechtkommen könnte. So habe ich innerhalb weniger Monate insgesamt etwa vierzig Kilogramm abgenommen, ohne vorherige Ankündigung, ohne wesentliche Schwierigkeiten und allein deshalb, weil ich es so wollte. Heute weiß ich, ich hätte das viel früher tun können, aber mir war nicht klar, dass ein solcher Gewichtsverlust allein durch eine verringerte Nahrungsaufnahme und mehr Bewegung möglich sein könnte. Andere Menschen reden ja immer von abscheulich klingenden Diätmaßnahmen, und da ich bei der Auswahl der Speisen, die ich zu mir nehme, sehr wählerisch bin, konnte ich mir nie vorstellen, irgendwelche Spezialdiäten auszuprobieren. Dann aber hatte ich das Nordic Walking für mich entdeckt und in den entsprechenden Zeitschriften auch einiges über gesunde Ernährung gelesen. Ich erkannte, dass ich deutlich zu viel aß, was mir nicht bewusst war, da ich kein Sättigungsgefühl kenne und Körperempfindungen wie Hunger, Durst, Müdigkeit oder Erschöpfung sich für mich nahezu identisch anfühlen. Ich begann also, die Nahrungsaufnahme zu korrigieren und zu kontrollieren, was mir sehr lag, denn dabei kam mir mein oft sehr zwanghaftes Verhalten zu Hilfe: Ich plante bereits morgens, was ich im Tagesverlauf essen würde, und ich gestattete mir nicht, an meinem Plan etwas zu verändern. In der Weihnachtszeit, die ich so liebe, plante ich selbstverständlich auch selbstgebackene Plätzchen oder Lebkuchen ein, aber eben eine genaue Anzahl. Mehr war nicht drin, auch dann nicht, wenn mein Vater mir die duftenden Leckereien unter die Nase hielt. So ging das alles ganz gut, und man könnte das natürlich mit den Begriffen „konsequent“ oder „diszipliniert“ beschreiben, die aber eben nur die eine Seite beleuchten. Auf der anderen Seite spielt die zwanghafte Komponente in meinem Leben nach wie vor eine große Rolle, sind Struktur und Kontrolle für mich sehr wichtig. Manchmal wünsche ich mir, in meinem Denken und Handeln etwas flexibler werden zu können. Und nun ergeben sich für mich immer neue Schwierigkeiten. So habe ich jetzt eine Kleidergröße, die es mir ermöglicht, nahezu überall einzukaufen, was mich deutlich überfordert. Beim Einkaufen gibt es immer wieder schwierige Situationen, die sich im Nachhinein teilweise recht amüsant darstellen. In einem Kaufhaus fand ich eine Bluse, die mir gefiel, und wollte sie anprobieren. Dann las ich jedoch das Schild „Bitte

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zwischen

Anpassung

und

Autistische Menschen sind also tagtäglich vielfältigen Schwierigkeiten ausgesetzt, aber auch sie haben durchaus auch ein glückliches Leben und sind oft ausgesprochen liebe Menschen, wenn man sich die Mühe macht, sie näher kennen zu lernen. Manchmal sind wir einfach nur ein bisschen anders, aber anders ist nicht immer nur schlecht. Oftmals besitzen wir die besondere Gabe, auch bereits kleine Freuden des Alltags wahrzunehmen und zu genießen. In der Regel sind wir exakt und genau, zuverlässig, haben einen ausgeprägten Gerechtigkeitssinn, sind aufrichtig und grundehrlich. Viele von uns lieben logisches Denken und versuchen, eine Aufgabe perfekt zu erledigen. Und erst, wenn es gelingen kann, der Öffentlichkeit nicht nur die Einschränkungen und Defizite, sondern ebenso auch die Ressourcen, die Liebenswürdigkeit und Fröhlichkeit, die Lebensfreude und die Kraft von autistischen Menschen zu vermitteln, erst dann wird die Gesellschaft bereit sein, auch diese Menschen in ihrer Mitte willkommen zu heißen. Dennoch darf aber nicht vergessen werden, dass die meisten von uns lebenslang auf Hilfe und Unterstützung angewiesen bleiben, beide Seiten müssen berücksichtigt werden. Natürlich ist es in vielen Fällen unumgänglich, sich den Normen zu unterwerfen, um am sozialen und gesellschaftlichen Leben teilhaben zu können. Aber es gibt auch Situationen, in denen merkwürdig erscheinende Eigenarten als Facetten der menschlichen Vielfalt durchaus akzeptiert werden können. So liebe ich

Ich finde es wichtig, den betroffenen Menschen zu helfen, individuelle Wünsche und Bedürfnisse auszubilden. Das setzt das Angebot voraus, unterschiedliche Möglichkeiten kennen zu lernen und zu beurteilen. Nicht alle autistischen Menschen haben bereits entdeckt, was ihnen gut tut, bei manchen müssen Bedürfnisse erst geweckt werden. Das ist eine sehr wichtige Aufgabe in allen Lebensbereichen. Manchmal lohnt es sich dabei durchaus, auch kreative Lösungen anzustreben, die von den Lebensentwürfen anderer Menschen abweichen. Einigen autistischen Menschen ist es auf diese Weise gelungen, ihr Glück in außergewöhnlichen Bereichen zu finden und ein erfülltes Leben zu führen. Gern setze ich mich in ein nettes Cafe im Künstlerviertel unserer Nachbarstadt, die auf meinem Nachhauseweg liegt. Dort darf ich sein, wie ich bin, dort bin ich nur eine von vielen Menschen, die sich von der breiten Mehrheit unterscheiden und ihren Platz in dieser Welt suchen. Es ist sehr entspannend für mich, hier nach der Arbeit noch etwas zu trinken. Ich liebe es, solche Gegenden aufzusuchen, in denen das bunte Miteinander unterschiedlicher Menschen gelebt und als schön und bereichernd empfunden wird.

Verpflichtung. Manchmal denke ich in solch guten Momenten, ich beginne allmählich, meinen Platz in dieser Welt zu finden. Dann bin ich sehr glücklich. Wenn mir dann aber bewusst wird, dass ich dabei immer allein bin und außer meinen Eltern niemanden habe, mit dem ich einen Teil meiner Freizeit und diese schönen Momente teilen kann, dann überwiegt die Traurigkeit. Und ich denke, so wird es wohl bleiben, zwischen diesen Gefühlszuständen werde ich mich wohl auch zukünftig bewegen. Es wird niemals wirklich leicht werden. Aber ich glaube, dass es gelingen kann, auch für jeden einzelnen autistischen Menschen ein gutes Leben zu ermöglichen.

und allgemein sinnvolle Hilfsmaßnahmen. Auch solche Themen werden angesprochen, die in anderen Büchern kaum Beachtung finden, wie Studium, Kleidung, Gesundheitsvorsorge, Ressourcen, Mobbing, Stressmanagement, Entspannung, Wohlbefinden, Kinderwunsch, Sexualität und Körperkontakt.

Neuerscheinung Februar 2012:

Stimmen zum Buch:

Asperger – Leben in zwei Welten. Betroffene berichten: Das hilft mir in Schule, Beruf, Partnerschaft und Alltag. Hrsg.: Christine Preißmann mit Beiträgen von 8 betroffenen Menschen

„Das Buch verknüpft individuelle Erfahrungsberichte mehrerer Autoren mit dem aktuellen Wissensstand und leitet daraus zahlreiche Ratschläge und Anregungen ab. (…) Ein offenes und mutiges, gleichzeitig aber auch hochinformatives, lebensrelevantes und praktisches Buch über Autismus (…). Das Buch bietet keine Patentrezepte, es zeigt keinen „goldenen Weg“ auf, aber es macht deutlich, dass durch Kreativität und Kompromissbereitschaft individuelle Lösungen gefunden werden können, die – bei allen Schwierigkeiten – ein normales, ja sogar ein glückliches Leben mit Autismus ermöglichen.“ (Deutsches Ärzteblatt Mai 2012, Ausgaben f. Ärzte bzw. Psychologische Psychotherapeuten)

Trias Verlag Stuttgart, € 19,99 Acht betroffene Erwachsene schildern in ausführlichen Erfahrungsberichten typische Hürden und Situationen, denen sie im Alltag begegnen, sowie Lösungen und Hilfen, um die Schwierigkeiten zu meistern. Dabei geht es um die Bereiche Schulzeit, Ausbildung und Beruf, Partnerschaft und Beziehungen, Freizeit und Wohnen sowie Gesundheit und Krankheit. Daneben bietet das Buch auch die nötigen fachlichen Erläuterungen

Selbstbestimmt leben mit Asperger

So war ich abends auf einem Jugendstilfest, bin über die weitläufige Anlage geschlendert, habe mir die schönen Gebäude angesehen und mich darüber gefreut. Es ging mir gut dabei, und das war so schön, dass ich mir dachte, ich könnte öfter ausgehen, um solche Veranstaltungen zu besuchen, allein und ohne jede

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Ein Buch für Betroffene und Fachleute

Einsam, isoliert, auf andere angewiesen? Wie lebt es sich eigentlich mit dem Asperger-Syndrom? Welche Perspektiven haben Betroffene? Zugegeben, da gibt es viele Hürden – aber genauso viele findige Lösungen. Vom Mobbing in der Schule bis zum Einlassen auf eine Partnerschaft: Sieben Betroffene erzählen, wie sie „typische“ Situationen gemeistert haben.

Ausblick Insgesamt ist mein Leben, ebenso wie das vieler anderer Menschen mit Asperger-Syndrom, im Laufe der Zeit nun doch um einiges ruhiger geworden. Das heißt nicht, dass die Schwierigkeiten nicht mehr vorhanden wären, aber ich habe in einigen Fällen gelernt, damit zu leben, und ich habe vor allem gelernt, zu entscheiden, was für mich im Bereich des Möglichen liegt und was mich andererseits hoffnungslos überfordert. Gerade erst in den letzten Jahren konnte ich vieles für mich verbessern. Ich bin öfter unterwegs und unternehme mehr, und wenn die äußeren Faktoren günstig sind, kann ich mit recht geringer Unterstützung relativ gut und stabil leben. Ich habe gelernt, mein Leben so einzurichten, dass es für mich nicht nur wie früher ansatzweise erträglich ist, sondern ich kann mittlerweile sagen, ich führe heute im Großen und Ganzen ein schönes und erfülltes Leben, so wie es zu mir passt.

Sowohl die Sichtweise der Betroffenen als auch die Außensicht zu zeigen sowie die fachliche Einordnung zu bieten, sind die Stärken dieses Buches, das sich daher gleichermaßen an autistische Menschen selbst, ihre Eltern und ihr übriges soziales Umfeld sowie an Fachleute wie Ärzte, Therapeuten, Pädagogen oder Sozialarbeiter richtet.

Neben den atmosphärisch dichten Schilderungen gibt es auch wichtige Hilfen zu zentralen Themen wie Schule, Beruf, Partnerschaft und Alltag. Das Buch zeigt: Es lohnt sich, kreative Wege einzuschlagen, die von den Lebensentwürfen anderer Menschen abweichen. Die Herausgeberin: Dr. Christine Preißmann ist Ärztin für Allgemein- und Notfallmedizin und Psychotherapie und hat selbst Asperger. Sie hat mehrere Bücher und Artikel zum Thema veröffentlicht und hält Vorträge für Fachleute und für selbst Betroffene.

Weitere Buchtipps zum Thema:

Tony Attwood Asperger-Syndrom 237 Seiten, 14 Abbildungen ISBN 978-3-8304-3862-5 € 24,95 [D] / € 25,70 [A] / CHF 42,40

Cynthia La Brie Norall Kinder mit Asperger einfühlsam erziehen 344 Seiten, 95 Abbildungen ISBN 978-3-8304-3948-6 € 24,99 [D] / € 25,70 [A] / CHF 35,–

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Dr. Christine Preißmann (Hrsg.) Asperger – Leben in zwei Welten 192 Seiten, 10 Abbildungen € 19,99 [D] / € 20,60 [A] / CHF 28,– ISBN 978-3-8304-3777-2

Name, Vorname

Hauff

Inklusion: Spagat Individualität

sehr meine Weihnachtslieder, bekam aber immer gesagt, man könne sie nicht im Sommer hören, das passe nicht. Nun, so vieles passt nicht, aber in diesem Fall ist mir das inzwischen ziemlich egal. Es tut mir gut und entspannt mich, ohne Rücksicht auf die Jahreszeit nach einem anstrengenden Arbeitstag auf dem Nachhauseweg die schöne Musik anzuhören. Schließlich störe und gefährde ich dadurch niemanden. Aber ich habe doch mittlerweile gelernt, dass es sinnvoller ist, außerhalb der Weihnachtszeit an einer roten Ampel möglichst das Fenster zu schließen, während ich bei „Stille Nacht“ laut mitsinge, damit die Leute nicht unnötig blöd schauen.

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nur drei Teile mit in die Kabine nehmen“, und überlegte einen Moment. Ich interpretierte es falsch und dachte, ich müsste genau drei Teile mitnehmen, nicht maximal drei, auch wenn mir der dahinter steckende Sinn nicht klar war. Also schnappte ich mir noch zwei weitere Blusen, die in der Nähe hingen, nahm sie mit hinein und hängte sie neben das Kleidungsstück, das ich anprobieren wollte. Ich war ganz zufrieden, die Situation so für mich gelöst zu haben. Die Bluse gefiel mir, und so wollte ich damit zur Kasse gehen. Allerdings kam mir eine Verkäuferin entgegen und fragte, ob etwas gepasst hätte. Ich antwortete ihr leider mal wieder viel zu ehrlich und erklärte, eine Bluse hätte gepasst, die wollte ich nehmen, über die beiden anderen jedoch könnte ich nichts sagen, die hätte ich sowieso nicht gewollt. Es kam also so, wie es wohl kommen musste. Sie fragte, weshalb ich sie denn dann probiert hätte, ich erwiderte, ich hätte das nicht getan. Sie fuhr fort, aus welchem Grund ich sie dann mit in die Kabine genommen hätte, so dass ich es ihr erklärte. Dann sah sie mich eine Weile an und hielt mich vermutlich für ziemlich blöd. Ich schämte mich und trottete hinter ihr her zur Kasse. Dort wollte ich mit meiner Bankkarte bezahlen, dummerweise jedoch ist hier mein Name mit Doktortitel aufgeführt. Die Verkäuferin sah mich wieder an und verlangte einen Ausweis. Ich gab ihn ihr und konnte dann endlich meine Bluse mitnehmen. In der letzten Zeit aber vermied ich es sicherheitshalber, das Geschäft erneut zu betreten.


Paul Schaus’ Straßennamen-Enzyklopädie

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Rue Louis Pasteur: Diese Straße wurde nach Louis Pasteur benannt, einem französischem Naturwissenschaftler. Ein paar Informationen zur Person: Louis Pasteur wurde am 27. Dezember 1822 in armen Verhältnissen geboren, er wuchs in Arbois auf. Pasteur promovierte nach einem geisteswissenschaftlichen und mathematischen Studienabschluss 1847 in Physik. Er war von 1848 bis 1853 Chemieprofessor in Dijon und danach in Straßburg, wo er die Tochter des Universitätsrektors kennenlernte, die er 1849 heiratete. Von 1854 bis 1857 war er Professor in Lille, im Jahre 1858 wurde er zum Direktor der „École normale supérieure“ in Paris, im Jahre 1867 erhielt er einen Lehrstuhl an der Sorbonne. In den Jahren 1887 und 1888 war er Gründer und erster Direktor des nach ihm benannten „Institut Pasteur“. Pasteur legte und entdeckte 1848 durch die Racematspaltung eines Ammoniumsalzes der Weinsäure die Grundlagen der Stereochemie. Er entwickelte Impfstoffe gegen Geflügelcholera, Milzbrand, Rotlauf und Tollwut, die ohne Schutzimpfung immer tödlich verläuft. Pasteur setzte als Schutzimpfung gegen Tollwut im Rückenmark von Kaninchen abgeschwächte Tollwutviren ein. Der damals neunjährige Joseph Meister war am 6. Juli 1885 der erste Mensch, bei dem Pasteur eine Tollwutimpfung durchführte. Pasteur hatte seinen Impfstoff vorher nur an Hunden getestet, aber die Behandlung des Jungen war von Erfolg gekrönt. Louis Pasteur erlangte aber hauptsächlich Berühmtheit durch seine Erkenntnis, dass wenn man Lebensmittel kurzzeitig auf 60-70 °C erhitzt ein Großteil der darin enthaltenen Keime abgetötet wird. Dieser Vorgang wird auch heute noch angewandt um Milch länger haltbar zu machen und wurde ihm zu Ehren „Pasteurisierung“ genannt. Eine Rue Louis Pasteur gibt es in Strassen, Bettembourg, Esch/Alzette Eine Rue Pasteur gibt es in Differdange. Eine Avenue Pasteur gibt es auf dem Limpersberg.

Rue Général Patton: Diese Straße wurde nach George Smith Patton jr. benannt, einem General der US Army im Zweitem Weltkrieg. Ein paar Informationen zur Person: Patton wurde am 11. November 1885 in San Gabriel/Kalifornien geboren. Wegen seiner Disziplin und Truppenführung hatte er die Spitznamen „Old Blood“ und „Guts“. Er war eine der berühmtesten Figuren des Zweiten Weltkrieges und absolvierte des „Virginia Military Institute“ und der „US Army Military Academy“ in West Point. Im Jahre 1915 wurde er Lieutenant. Patton kämpfte gegen Aufständische an der mexikanischen Grenze. Im Ersten Weltkrieg bildete Captain Patton die ersten 500 amerikanischen Panzerfahrer aus. Durch MG- Feuer verwundet beendete Patton den Krieg als temporärer Colonel. Im Zweiten Weltkrieg wurde Patton durch seine Erfolge in Nordafrika, auf Sizilien und in den Ardennen bekannt. Auf Vorschlag von General Eisenhower wurde Patton im Jahre 1943 zum Lieutenant General befördert. Weil Patton einen einfachen Soldaten geohrfeigt hatte war er 1944 bei der Invasion in Frankreich nicht dabei und er wurde von seinem Kommando entbunden, weil die Heimatpresse ihn heftig attackiert hat. Um die deutsche Militärführung zu täuschen wurde er zum Oberbefehlshaber der nur auf Papier existierenden 1. US-Heeresgruppe. Die Alliierten gaben an sie würden in Pas-de-Calais landen, während sie aber tatsächlich in der Normandie gelandet sind. General Patton wurde am 9. Dezember 1945 durch einen Verkehrsunfall schwer verletzt. Patton verstarb am 21.Dezember 1945 an eine Lungenembolie im Heidelberger Militärhospital. Auf seinem eigenen Wunsch hin wurde er auf dem „Luxembourg American Cemetery and Memorial“ in Hamm begraben. Eine Rue Général Patton gibt es in Hesperange, Walferdange, Kehlen und Wiltz, Helmsange, Howald, Itzig, Luxemburg-Stadt, Olm Einen Boulevard du Général George S. Patton gibt es in Luxemburg-Stadt. Eine Rue Général G.S. Patton gibt es in Esch/Alzette. Eine Rue Général George Patton gibt es in Mertzig. Einen Square Général Patton gibt es in Steinfort.

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Atelier Entretien Das Atelier „Entretien“ ist ein sehr forderndes Atelier, in welchem man sich sehr geborgen fühlt. Es wäre gelogen, wenn man behaupten würde: dass das „Entretien“ ein langweiliges Atelier ist, dem ist aber überhaupt nicht so, denn man hat viel zu werkeln. Hier eine kleine Liste von den diversen Arbeiten, die wir im Entretienatelier über den ganzen Tag verteilt tätigen:

Tücher:

Badetücher werden von Hand gefaltet, und werden dann anschließend in den entsprechenden Schrank eingeräumt. Küchentücher werden durch die Mangel gedreht, und von Hand gefaltet, in einen Wäschekorb gelegt, anschließend, trägt einer von uns Jugendlichen diese dann in die Küche, und legt sie dann in den dafür vorgesehenen Schrank.

Pferdedecken:

Zuerst werden die Namen der Kunden an die Pferdedecken befestigt, der zweite Schritt wäre das Ausklopfen mit dem Teppichklopfer. Anschließend werden die restlichen Pferdehaare mit einer Bürste ausgebürstet, erst jetzt kann man sie in die Waschmachine geben. Nachdem Waschgang werden sie draußen zum Trocknen aufgehängt, schließlich werden die übrig gebliebenen Haare mit einem Klebestreifen entfernt. Fertig für den Kunden werden sie eingetütet und sind somit abholbereit.

Kleidung:

Dabei werden die Initialen, von den verschiedenen Jugendlichen, die in dem Gartenatelier arbeiten, in Socken, T-Shirts, Handschuhe, Pullover etc. eingenäht

Servietten:

Dies ist ein Auftrag, der „Op der Millen“ A.S.B.L. wo wir ihre Setten, und Servietten zum Waschen und Bügeln bekommen.

Fußball-Tricots:

Sobald wir die Fußball Trickots bekommen, wandern sie sofort in die Waschmaschine, danach werden sie sauber gefaltet.

Ein neues Projekt wurde ins Leben gerufen, indem es um das herausbringen/ herstellen, vom Mühle-Spiel geht. Tisch decken

Die Tische werden nach einem Wöchentlichen Plan gedeckt. Dabei wird beachtet, dass je nach Bedürfnis verschiedene Usagers ihre individuellen, spezielle Ess-Sets gedeckt bekommen.

Sidec: Jeden Dienstag, fahren die Jugendlichen mit Begleitung, zum Sidec, um den vorhandenen Müll zu trennen.

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Fuesparty am Foyer

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Foyer CIRPA alaaf! Dest war ganz kloer d’Motto vun der Fuesparty, die Samstes den 18. Februar am Foyer zu Hollerech ofgehalen gin as. Um 14:00 Auer as et dun och endlech lasgangen; et war immens interessant, an virun allem ganz spannend wann et un der Dier geschellt huet. Abemol stung en Hippie virun engem oder eng Persoun an engem genialen Feierkostüm. Verschidden Fuesgecken hun awer net nemmen gudd Laun matbruecht mee och die eng oder aner CD mat hieren Lieblingslidder die excellent an des Zait passen. Et huet dann och net lang gedauert an dun sin dem Fausti seng greissten Hits die eischten Keier gelauschtert gin. Vir nach eng besser Fuesstemmung opkommen ze lossen hun mir eis zesummen decideiert den Foyer mat allerlee Sachen, die an des Zait passen ze dekoreiren. Et sin Loftbäll vun allen Faarwen opgeblosen gin; mat verschiddenen hun mer eng Guirlande gebastelt, anerer sin sou op den Plafond gehangen gin. Et as Konfetti doremmer verdeelt gin an kleng witzeg Hittercher opgehangen gin. Mir hun et dun schued font nemmen een Raum am Foyer sou schein ze dekoreiren, no kuerzem Beroden hun mir eis dofir entschloss eng riesen Guirlande duerch daat ganzt Trappenhaus ze zeien, vir dass all Stack en bessen vum Fuesféiwer sollt ugestach gin. Des Riesenguirlande hun mir aus Schallimoen gebastelt an am Endaffekt war se sou lang, dass mer se zu 5 hun missen an d’Trappenhaus transporteiren. Jiddefalls war et die kuerz Ustrengung Wert; d’Trappenhaus war lo schein farweg an mir waren alleguer stolz op eist Meeschterwierk. Den Highlight vun der ganzer Dekoratioun sollt souguer richteg gudd vun baussen ze erkennen sin. Mir hun en Fräsch mat enger rieseger Kroun an d‘Stuffenfenster gezeechent an opgepasst, dass en grouss genuch as vir, dass och all Mensch en keint vun waitem erkennen.Vereenzelt Fuesgecken wollten sech awer och nach en bessen Schmincken vir die ganz Fuesatmosphäre nach mei ze geneissen. Et huet dun net mei lang gedauert an dun as die eischten Keier sou richteg gedanzt gin. Dem Fausti sain Lidd „Chachacha am Pyjama“ war deen greissten Hit vu eiser

Party. Mir hun alleguerten hart matgesongen, hun am Krees zesummen gedanzt oder mol zu zwee an zwee. Abeemol as dun die eischten Polonäse duerch den Foyer gezun an d’Stemmung war einfach nemmen genial. Vum danzen an feiren get een net nemmen midd mee och duschtereg. Mir hun eis alleguer zesummen gesaat an eng gudd Fläsch Kiddibull gedronk. Ier et nach eng Keier sou richteg op der Danzpiste sollt abgoen hun mir en gudden groussen Blech voller Muffins gebaak. Natierlech denkt Dir elo et wier dach mei logesch gewiercht Fueskichelcher ze baken; do hudd dir natierlech recht, mee well mir nach vill wollten danzen an zesummen eng flott Zait verbrengen hun mer eis entscheed Muffins ze man, well d‘Fueskichelcher baken eis bestemmt mei Zait kascht hätt. Ech kann Ierch och versecheren, dass eis „Fuesmuffins“ net nemmen super lecker waren, mee eis och die neideg Energie vermettelt hun, vir nach eng keier alles op der Danzpiste ze gin.

Halloweenparty am Foyer Halloween get zënter Joren net nemmen mei an Amerika gefeiert. Och hei bei eis an Europa gesait een an deser Zait emmer mei Monsteren an Geeschter rondremlaafen. Soumat get och bei eis am Foyer daat Thema opgegraff. Am Virfeld vun Halloween hun mir verschidden Bastelaktivitéiten gemach. Mir hun zum Beispill Kürbisser ausgeholl an ganz gruseleg Spannen gebastelt vir eng flott Deco ze hun. Duerch des Aktivitéiten war net nemmen eng flott Stëmmung am Grupp mee och d’Virfreed op dei grouss Halloweenparty war rieseg. Samstes den 29.10.2011 war et dun och endlech sou wait; mir sin zu Monsteren, Vampiren an Geeschter gin. Well eng flott Party awer vill Virbereedung brauch, hun mir eis moies opgedeelt vir verschidden Sachen ze organiseiren. Zum engen huet een Grupp sech an der Kichen installeiert. Hei as gudd Kürbiszopp gekacht gin well och Geeschter an gruseleg Gestalten feieren besser mat vollem Mo. Desen Grupp huet sech och em eis berüchtegt Halloweenbowl gekemmert. Mir hun nemmen Zutaten verbraucht dei mir Alleguerten gäeren hun, mee ech kann Ierch soen, dass mer eis och Méih gemach hun eis Bowl sou ze mixen an ze dékoreiren vir dem Motto Halloween trei

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ze bleiwen. Zum aneren brauch eng flott Party awer och die neideg Dekoratioun . En zweeten Grupp huet sech mat vill Leift zum Détail dorems gekemmert eng gruseleg Halloweens Atmosphäre entstoen ze lossen. Mir hun Guirlanden duerch den Iessall gezun, Skletter un d’Mauren gehang, Loftbäll an Fotoen vun verschiddenen gruselegen Monsteren opgehangen an Käerzen d o r e m m e r verdeelt. Eis selwer gebastelt Spannen an eis Kürbisser hun eng extra Platz kritt. Well bei enger Party d’Musek jo op keen Fall fehlen dierf, huet desen Grupp sech och em die neideg Technik gekemmert. Elo war alles prett, den Foyer hat sech an en Gespenster- an Monsterhaus verwandelt. Nodeems mir eis Halloweenszopp gies haten hun mir eis alleguerten geigensaiteg geschminckt. Mir sin lo wierklech zu Vampiren, Monsteren an Geeschter gin. Ech kann Ierch versecheren, dass dir eis gefaart häett wann der eis gesin häett. M i r hun gedanzt, gelacht, eis h e i e n s d o geigensaiteg erschreckt an vun eiser

Halloweenbowl gedronk. Usech hun mir net nemmen Halloween gefeiert, mir hun dei flott Stemmung och genotzt vir den Gebuertsdag vun engem vun eisen Vampiren ze feiren. Party machen an vill danzen kascht Energie. Doweinst hun mir an enger Paus kleng Halloweens’Pizzaen gebaack. Hei huet jidereen seng eegen kleng Pizza a Form vun engem Doudekapp beluecht. Se hun net nemmen gudd ausgesin mee och nach lecker geschmacht. Elo waren mir rem gestärkt vir eng weider Ronn ze danzen. No puer Stonnen danzen, iessen, drenken a feiren geet leider och die flottsten an grugelegsten Party eng Kéier op en Enn. Die verschidden Virbedreedungen haten sech mei wie renteiert, et huet eis schon bal

Leed gedoen die schein Deko rofzehuelen. Jidfefalls hun mir en super Nomëtten verbruecht an vill gelacht. Mir machen gäeren Party an verkleeden ons och gäeren, doweinst freen mir eis lo schon op d’Fuesparty am Februar.

Méng éischt Wunnéng Hallo, Hier ist Gilles, weiß nicht ob Sie etwas mit mir anzufangen wissen, auf jeden Fall standen schon diverse Artikel von mir, in unserer im Reproduktionsatelier (Repro) gedruckten Zeitschrift, drin, die von verschiedenen Themen handelten, wie z.B. An dem Tag meines guten drauf seins, wo es um den eigenproduzierten Viez ging, den wir, also Jugendliche, gemeinsam mit unseren Erziehern und Azubis, also Auszubildenden herstellen, und einem Artikel über diverse Arbeiten im Reproduktionsatelier, wo es unter anderem um Leporellos ging, welches von der luxemburgischen Rosensociety in Auftrag gestellt wurde, an diese Arbeit, kann ich mich noch sehr dolle erinnern. Aber heute meine Damen und Herren, wollte ich Ihnen etwas ganz anderes erzählen, und zwar über eine zweiMann-WG, und diese liegt genau vor der Einfahrt zum Centre Roger Thelen, auf der linken Seite, es ist kaum zu übersehen, dort hause ich g e m e i n s a m mit einem Arbeitskollegen namens Laurent mit dem ich mich sehr gut verstehen tue. Es kommt fast täglich eine Erzieherin aus dem Suivi, welches ihren Sitz in der Stadt Luxemburg hat, im Suivi arbeiten ausschließlich Erzieher, die nach dem Wohlbefinden ihrer Jugendlichen Ausschau halten, und dafür sorgen, dass jeder gut besorgt ist, dafür ziehe ich meinen imaginären Hut. Zwei von ihnen, die Sarah und die Natascha kommen nach uns Ausschau halten. Die Sarah kommt von Montag bis Mittwoch, und die Natascha kommt von Donnerstag bis Freitag. Wann wir ins Haus eingezogen sind: Dies ereignete sich am 21. Mai dieses Jahres. Wie wir reagiert haben als wir gehört haben, dass wir gemeinsam in die Wohnung einziehen würden: Dem Laurent war schon anzusehen, dass er begeistert war. Bei mir, war es auch nicht anders, ich war von Anfang an schon so angetan von der Wohnung, trotz der einen und anderen Vorkommnissen, wie zum Beispiel: Wasserschäden, Wasserspüler des WCs und Waschbecken waren defekt, aber dank der Hilfe von unserem Techniker „par excellence“ Herr Jean-Marc Freylinger, wurden diese Kleinigkeiten behoben. Wie in allen anderen Haushalten, haben auch wir

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Hausregeln, diese lauten: • Kein Feuer im Haushalt erlaubt, und auch keins auf der Terrasse. • Vor dem Verlassen der Wohnung muss Acht gegeben werden, dass alle Fenster und Türen geschlossen werden bzw. geschlossen sind. • Es wird gefordert bestens auf das Mobiliar zu achten, und respektvoll damit umzugehen. • Es werden keine Tiere ohne Absprache mit unseren Erziehern in der Wohnung geduldet. • Gegrillt wird draußen auf der Wiese, nicht im Haus und auch nicht auf der Terrasse. • Es dürfen keine privaten Gegenstände sich in Gemeinschaftsräumen befinden, die nichts dort verloren haben. • Man hat dafür zu sorgen, dass die entsprechenden Schlafsäle und Betten aufgeräumt und gemacht werden. Jeder muss in seinem eignem Bett schlafen. Falls man mal alleine in der Wohnung ist, sollte man auf die Sauberkeit der Wohnung achten. Vor dem Fernsehen oder Computern, Arbeiten

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erledigen. Besucherzeiten: Sonntag bis Donnerstag bis 21 Uhr Freitag, Samstag und vor den Feiertagen bis 23 Uhr Das Draußen bleiben: Sonntag bis Donnerstag bis 21 Uhr Freitag, Samstag und vor den Feiertagen bis 23 Uhr Im Haus gilt Alkoholverbot.

atricks corner Hammbuerger à la Patrick Zoubereedung vun engem Hamburger

Dest Bild hun ech op engem professionnellen Grafiksprogramm am Reprosatelier gemolt.

- 250 gr Gehacktes - 2 Scheiwen Ënnen - 1 ronnt Bréidchen - 1 Blaat Zalot - Ketchup - Moschter - 1 Rondel Tomat - 1 Kornichong D’Bréidchen an der Mett opschneiden. D’Gehacktes ronn a platt (ongeféier 1-1,5 cm héich) fest formen, a vun all Säit ongeféier 5 Minuten an enger Pan mat bësse Botter broden. Wann d’Fleesch duerch ass an eng schéin Faarw huët, d’Fleesch op eng Halschend vum Bréidchen leen. Dann e bëssen Ketchup an e bessen Moschter drop. Duerno d’Kornichong, d’Ennescheiwen ee Blaat Zalot an d’Tomat drop leen. Déi aner halschend vum Bréidchen drop, an da kann et lass goen. Gudden Appetit Nit vergeessen nom Eessen eng Stonn Sport ze maachen, fir d’Kalorien erem ofzebauen.

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Ein kleiner Junge beobachtet einen Banker bei der Arbeit. Eine halbe Stunde, eine Stunde, eineinhalb Stunden vergehen. Dem Banker fällt das auf. Nach zwei Stunden geht er zu dem Jungen und fragt: “Na, willst du auch einmal Bankkaufmann werden?” “Nein, ich nicht”, antwortet der Junge, “aber mein Bruder, das faule Schwein.” Theaterstëcker aus der Phantasie vum Auteur: - De Wa(h)lkampf - Vill Béier a keng Zänn - Buttik am Knuppewee - Bouf ech brauch ee Mann - De Monni geréit niewt de Kapp - Här as nit ëmmer Här, a Max nit ëmmer Max - Mäin as dee Beschten

Der Lehrling rettet seinen Chef vor dem Ertrinken. Sagt der Chef: “Dafür hast Du einen Wunsch frei! Was wünschst Du Dir am meisten?” Da überlegt der Lehrling eine Weile und sagt schließlich: “Erzählen Sie in der Fabrik niemanden, dass ich es war, der Sie gerettet hat...”

Fëllt dëst Rätsel w.e.g aus, an deems der déi Wierder lénks richtig afëllt. Schreiwt dann äer Léisung per Mail un grafik@autisme.lu. All richtig Léisungen huëlen un enger Auslousung Deel, wou des Kéier eng Persoun dëse flotten Gebeescoffret gewanne kann. Einsendeschluss as den 1. September 2012.

alles 3 Akter Der völlig unbegabte Bariton sagt: “Und nun singe ich `Am Brunnen vor dem Tore`.” Ein genervter Zuhörer daraufhin: “Das ist auch gut so, hier drinnen hört Ihnen ja sowieso keiner mehr zu!”

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Sagt die Sekretärin zum Direktor: “Ich will Sie ja nicht erpressen, aber wenn Sie nicht bald mein Gehalt erhöhen, muss ich meine Memoiren schreiben...” A W F U G A Q A C F A E A C C P G V C B C L V Q P Y C G V G

Q E Q H A D M S N G S R S X P F H B V V O I B S H X V H R A

S V A A M P J R E Q R J P I Z D P N I O I O M C J Z F U X V

B I L N E N Y T S F E Z C P F Q V X O P P P I O P D B L Y C

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Finden sie folgende Wörter im Wörtersalat: SPORTCLUBFREIBURG- FCAUGSBURG- FCKAISERSLAUTERN- HERTHABSC - FCKOELN- FSVMAINZFCNUERNBER- HAMBURGERSV- HOFFENHEIM- VFBSTUTTGART- VFLWOLFSBURG- HANNOVERBAYERLEVERKUSEN- SVWERDERBREMEN- FCSCHALKE- FCBAYERNMUENCHENBORUSSIAMOENCHENGLADBACH- BORUSSIADORTMUND

O M Y U H D Z A X X U E Y C N E H C N E U M N R E Y A B C F

B O R U S S I A D O R T M U N D Y H G R U B S F L O W L F V

Tourist: ‘’Gibt es einen ungefährlichen Weg zum Berggipfel hinauf?’’ Bauer: ‘’Gehen’s einfach den Kuhfladen nach. Wo die Rindviecher gehen, kann Ihnen auch nichts passieren.’’ Fragt der Bahnbeamte einen Reisenden, der voellig atemlos einem Zug nachschaut: “Haben sie den vielleicht verpasst?” “Nein - ich habe ihn verjagt!”

4 Buchstaben : GOTT- WIIU- EURO- SAKE- RUHM- ABBA- ADAM- AMOK- GALA- FALL- JUDO- GOLD 5 Buchstaben: BONUS- SIGMA- MALER- LAUNE- LEUTE- PORTO- HAARE- IMBUS- SUPER 6 Buchstaben: SIEGEL- KAEFIG- MANITU- ANGLER- KUPFER- KARATE- TETRIS- EMPFANG 7 Buchstaben: ORIGAMI- PLAKATE- DISIGMA 8 Buchstaben: KOPFBALL- TEXTBUCH- KAWASAKI- KARATEKA 9 Buchstaben: ERFOLGLOS- RHEINLAND- ZEREMONIE - RUNDFAHRT 10 Buchstaben: RADIOAKTIV- VOLLRAUSCH- EDELMETALL- THERMALBAD - GEBAEHREN 11 Buchstaben: FINANZKRISE- EXTRAVAGANT- FRUSTRATION- KAISERKRONE- ZOOOLOGISCHAUFZIEHHUND 12 Buchstaben: HIEROGLYPHEN- FRANZISKANER- STUBENFLIEGE- DOSENOEFFENER 13 Buchstaben: THEATERBUEHNE 16 Buchstaben: BUNDESPRAESIDENT

Ein Vertreter klingelt an der Tür. Fritzchen öffnet, im Mund eine dicke Zigarre und in der Hand ein Glas Whisky. Irritiert fragt der Vertreter: “Sind deine Eltern da?” Grinst Fritzchen zurück: “Sieht das etwa so aus?” Tun sitzt bei seinen Hausaufgaben: “Du Papa. Was ist das für ein Satz: ‘Es ist kein Bier im Haus?’” Stöhnt der Vater auf: “Das ist kein Satz - das ist eine Katastrophe!”

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