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implantologues
Owandy présente deux praticiens qui utilisent l’I-
C.F. : Je suis chirurgien-dentiste omnipraticien avec une spécificité
Max Touch 3D. Ils exposent leur approche terrain
orientée vers la chirurgie :
du cone beam.
•
la chirurgie buccale des dents de sagesse et des kystes
•
la chirurgie implantaire et pré-implantaire.
Vous êtes équipé I-Max Touch 3D. Depuis quand?
Aujourd’hui, je pose plusieurs centaines d’implants par an : essen-
Dr Nicolas Boutin (N.B.) : Je suis équipé de l’I-Max Touch 3D
tiellement ceux de la marque Anthogyr et dans certains cas, ceux
depuis juin 2012.
de la marque Biotech.
Diplômé en 1991, j’ai commencé à poser des implants en 1996.
Dr Christophe Foresti (C.F.) : Je suis équipé de l’I-Max Touch 3D depuis le tout début du lancement de cette machine en janvier 2011. J’en ai été un des tous premiers clients.
Vous avez choisi d’acquérir l’I-Max Touch 3D, quelles en sont les principales raisons ? En êtesvous satisfait ?
Avez-vous des spécificités dans votre exercice?
N.B. : J’ai choisi d’acquérir l’I-Max Touch 3D car je devais chan-
N.B. : J’ai une activité chirurgicale implantaire et de reconstruction
ger le cone beam d’une autre marque dont je m’étais préalable-
des volumes osseux préimplantaire exclusive, à Paris 15.
ment équipé en 2006. Je fais partie des cabinets dentaires précurseurs dans le cone beam. Ce formidable outil de diagnostic et de
Je pose entre 850 et 1000 implants NOBEL BIOCARE par an et
planification implantaire est rapidement devenu indispensable à
pratique la chirurgie pré-implantaire.
ma pratique.
J’enseigne à la SAPO (SAPOIMPLANT.COM) avec des Drs B.
Ce premier cone beam étant aujourd’hui obsolète, il m’a fallu
Cannas et Gillot (cofondateurs) à PARIS V et je travaille aussi dans
m’adapter aux évolutions technologiques. C’est pourquoi, après
une ONG Benin Devel.
avoir rencontré les responsables de la compagnie Owandy, qui est une société pleine de projets et tournée vers le tout numérique, j’ai
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Dr Nicolas Boutin
Dr Chistophe Foresti
Chirurgien-dentiste à Paris
Chirurgien-Dentiste à Rosheim (67)
fait l’acquisition de l’I-Max Touch 3D. Certaines des machines les
partenariat avec SimPlant® a été effectif.
plus vendues ne sont vraiment pas les meilleures.
• je connaissais bien le distributeur qui travaillait avec Owandy.
Ce cone beam m’a paru particulièrement intéressant, car il pos-
Je suis :
sède des images de qualité, un module 2D distinct du module 3D,
100 % satisfait des clichés 2D de l’I-Max Touch 3D.
il permet d’obtenir des volumes de 9,3 x 8,3 cm (moyen champ) et les fichiers Dicom sont directement ouverts et lus via le Logiciel
100 % satisfait des clichés 3D de l’I-Max Touch 3D tant pour la
SimPlant®.
chirurgie buccale que pour la chirurgie implantaire ou préimplantaire.
Ceci me permet de montrer de manière très didactique l’état bucco-dentaire de mes patients, et de faire les planifications
La taille des volumes acquis (9,3x8,3cm), qu’on appelle des
implantaires avec eux ; ce qui les implique vraiment dans la suite
acquisitions de moyen champ, est parfaitement adaptée à mon
de leur traitement. Je suis
exercice. Elle permet de
bien évidement très satisfait
visualiser les deux arcades
de l’I-Max Touch 3D.
et d’évaluer les volumes osseux. Le grand champ,
Il y a aujourd’hui sur le
pour des machines de
marché des machines avec
cette catégorie, est plus
un grand champ qui n’a
destiné aux radiologues et
qu’une utilité : explorer la
entraînerait un investisse-
totalité du sinus. Pour moi,
ment plus élevé pour obte-
ce genre d’équipement est
nir la même qualité d’ima-
davantage destiné aux ORL.
gerie.
Pour des praticiens qui ont une activité chirurgicale implantaire ou pré-implan-
Quelles utilisations faites-vous de l’IMax Touch 3D? Combien de clichés prenez-vous par mois avec cette machine ?
taire, le moyen champ permet de voir un bon tiers du sinus (on peut donc voir si le sinus est malade au pas) et de cibler le plan de référence. Le champ moyen est parfaitement ciblé pour l’activité implantaire.
N.B. : J’utilise l’I-Max Touch 3D pour tous mes cas implantaires sans aucune exception, du cas unitaire le plus simple aux cas complexes d’extractions multiples, pour l’implantation et la mise
C.F. : Quatre raisons m’ont poussé à acquérir l’I-Max Touch 3D :
en charge immédiate. Le travail de planification implantaire, puis
• j’utilisais déjà le logiciel Julie.
de transposition de cette planification lors de la chirurgie, à main
• je cherchais à acquérir un cone beam qui propose des cli-
levée ou via des guides chirurgicaux, est aujourd’hui indispen-
chés 3D faciles et rapides d’acquisition entièrement numé-
sable dans nos traitements implantaires afin d’être très précis, et
riques avec un prix abordable. Owandy a été le premier à
d’assurer une sécurité parfaite pour le patient. C’est ce que nous
le proposer.
enseignons au sein de la SAPO IMPLANT (SAPOIMPLANT.COM) dans notre cours avancé d’I.A.O. (Implantologie Assistée par
• je voulais une compatibilité avec un logiciel de planifica-
Ordinateur).
tion implantaire. Peu de temps après mon acquisition, le
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Le cone beam permet de voir tous les tissus durs et en particulier les
implants inclinés, closed lift...) et d’éviter un maximum les greffes
volumes osseux des patients en trois dimensions et le projet prothé-
lourdes médicalement et financièrement.
tique. Avec le cone beam, nous planifions les implants en temps
- de pousser la précision du placement des implants en utilisant des
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réel. Je me souviens d’un temps où j’étais obligé de planifier les
guides chirurgicaux à précision extrême,
implants à la maison après le travail du cabinet.
- de prendre en charge les patients différemment, comme par
J’ai pour pratique de planifier systématiquement les implants que je
exemple, en réalisant extraction et implantation dans la même
pose, même dans les cas les plus simples pour assurer le maximum
séance, et Mise en Charge Immédiate.
de fiabilité pour le patient.
Bref, je ne peux que conseiller à mes confrères d’investir dans ce
J’utilise deux logiciels en fonction des cas : le Nobel Guide devenu
formidable outil qui va changer leur approche et leur raisonnement
Nobel Clinician et Simplant depuis 2008. ®
pour les planifications, leur raccourcir leurs plans de traitement (par
J’ai environ 4 à 5 nouveaux patients par jour. Mes collaborateurs utilisent également l’I-Max Touch 3D (environ 3 clichés par jour).
rapport au délai moyen d’attente de deux mois) où on envoyait les
Cela représente approximativement, pour la 3D, 160 examens par
patients faire un scanner chez le radiologue... Le cone beam per-
mois. Sans compter les panoramiques (2D) réalisées pour la main-
met des gains de productivité importants.
tenance implantaire.
Mais je ne peux aussi que recommander très fortement à tous mes
C.F. : J’ai une utilisation multiple de l’I-Max Touch 3D qui est utili-
confrères de se former et ceci de façon tout à fait sérieuse à l’utili-
sée par l’équipe de quatre praticiens que nous sommes au cabinet :
sation de cet outil, car ils deviennent alors de véritables radiologues
moi-même pour la chirurgie buccale ou implantaire, un pour l’en-
devant savoir réaliser un examen 3D, reconstruire les images, les
dodontie, un pour l’omnipratique et la parodontologie et un pour
interpréter et les utiliser...
l’orthodontie. Nous prenons mensuellement environ 90 clichés 2D
C.F. : J’invite mes confrères à se tourner vers cette nouvelle techno-
et 60 clichés 3D.
logie qui devient aujourd’hui indispensable à la pratique dentaire et implantaire.
Avez-vous un cas particulièrement intéressant à nous citer pour lequel l’I-Max Touch 3D vous a été particulièrement utile ? N.B. : Non. Absolument tous mes cas sans aucune exception sont intéressants dans leur étude sur l’I-Max Touch 3D et leur retranscription chirurgicale. Comme je vous l’ai déjà signalé, je ne peux plus me passer aujourd’hui de ce que m’apportent la 3D et les logiciels de planification qui assurent la sérénité de mes traitements. C.F. : Je dirais davantage qu’il y a des cas pour lesquels l’I-Max Touch 3D a été plus utile que pour d’autres. Pour vous donner une idée, j’ai réalisé pour Owandy un fascicule sur les principales utilisations de l’I-Max Touch 3D. J’ai classifié cette utilisation autour de
Il ne faut pas seulement voir le retour sur investissement de la
dix cas, pour montrer à quel point le recours au cone beam est
machine dans notre cabinet. C’est la qualité, la fiabilité et la sûreté
indispensable aujourd’hui car il permet, dans une pratique quoti-
des soins qui en sont complètement révolutionnés. Par ailleurs, pour
dienne, de voir les tissus et les canaux avec une précision irrépro-
moi qui suis un praticien de province, je gagne du temps sur le plan
chable.
de traitement rien que par l’internalisation de l’imagerie, et en plus, je gagne en précision. Par ailleurs, le patient est moins irradié
Auriez-vous un message particulier à passer à vos confrères ?
qu’avec un scanner. Actuellement, il existe une cotation sécurité sociale pour l’imagerie
N.B. : Je pense qu’il est difficile de concevoir aujourd’hui la chirurgie implantaire sans ces hautes technologies. En effet, la 3D couplée aux logiciels de planification nous permet :
3D hors pose d’implants. Pour ce type d’examen hors nomenclature, une participation forfaitaire du patient de 75 est demandée et rend l’investigation abordable par rapport au coût d’un scanner
- de visualiser des projets prothétiques, qui sont la base de nos réflexions,
réalisé par un radiologue. Certaines machines proposent une 2D de qualité mais avec un
- de matérialiser les obstacles anatomiques et donc de travailler en sécurité,
module 3D qui perd en qualité de l’image ou inversement. Avec l’IMax Touch 3D, la 2D est de qualité et la 3D aussi.
- d’apprécier les volumes osseux disponibles et les densités osseuses,
C’est un peu comme l’évolution vers le freinage ABS ou la direction
- de comprendre la relation entre ces 3 points pour pouvoir traiter
assistée dans les voitures. Qui oserait aujourd’hui revenir en
nos patients par des chirurgies micro-invasives (implants courts,
arrière ? Qui voudrait s’en passer ? Personne.
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