Hors-Série Spécial Été
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La vie de la communauté juive est durant l’année scandée au rythme des fêtes, des shabbatot, des cours et des conférences.
Arrive l’été et l’on se retrouve souvent coupé d’un cadre porteur, parfois même totalement isolé dans un coin de campagne perdu.
Cette parenthèse des vacances devraitelle être vécue comme un temps vide du point de vue juif ? Certainement pas, car le judaïsme est affaire de chaque jour, de chaque heure et même de chaque instant. Voici donc quelques conseils pour aider celui ou celle que la perspective des vacances inquiète.
Tout juif devrait, en étudiant un peu correctement sa tradition, acquérir une certaine autonomie. C’est-à-dire connaître suffisamment les règles, les rites et les textes pour se débrouiller seul dans les circonstances les plus diverses. De toute façon, il peut si nécessaire contacter un rabbin, (même par téléphone) ou trouver ses réponses sur internet. Cette autonomie lui donnera la possibilité d’aller partout en gardant son judaïsme bien en main et de trouver les réponses et les solutions les mieux adaptées à sa propre situation. Cela exige un petit travail de « limoud » et de réflexion tout au long de l’année pour se construire un judaïsme bien à soi. L’été est une très bonne occasion de se retrouver face à soi-même, à ses progrès et à ses manques.
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Beaucoup de gens, sous prétexte qu’ils connaissent mal, ne font rien. C’est créer le vide par peur du vide ! Mieux vaut faire ce que l’on sait, à sa façon, en hésitant et prendre peu à peu de l’assurance que de renoncer. Et s’il y a des erreurs de faites ? Ce n’est pas grave, chaque mitsva est toujours bonne à prendre ! Chaque mitsva a une valeur pour elle-même. Nous partons du principe que qui peut le moins pourra le plus...
LE SHABBAT
Où que l’on se trouve, l’heure du Shabbat est le coucher du soleil et sa fin la nuit tombée, lorsque l’on aperçoit trois étoiles. On peut partout préparer ses repas à l’avance ou s’arranger pour avoir de quoi grignoter pour honorer le shabbat agréablement sans nécessité de faire de la cuisine. On trouvera également un coin apprroprié pour allumer les bougies.
On peut très bien dire l’office seul
(on a au minimum emporté son siddour). L’essentiel est de créer une ambiance juive et de Kedousha. On dira Kidoush sur un verre de vin casher si on a prévu un tel vin, sinon sur de la bière (bénédiction « sheakol niheya bedevaro ») ou même directement sur du pain (avec toute la formule du kiddoush en remplaçant juste la bénédiction sur le vin « peri haguefen » par celle sur le pain « hamotsi lehem min haarets »). Après le repas on dira son birkat hamazon.
Le matin on redira ce que l’on peut de l’office (sachant que le « Shéma Israël » et la « Amida en silence » forme le principal de la liturgie.) On dira ensuite le Kidoush du Shabbat matin dans les mêmes conditions que la veille.
On essaiera de profiter de la journée de Shabbat pour se promener à pied, se reposer, être avec d’autres et étudier ou lire un livre à thème juif.
On finira Shabbat, la nuit tombée, par la Havdala, quitte à la faire sur une boisson quelconque ou de la bière. (Pour le parfum, les plantes de jardin font très bien l’affaire, pour la flamme deux allumettes ou deux bougies mises ensemble, flammes mêlées).
Manger strictement casher est très difficile mais manger casher est relativement facile. Toute viande est interdite si elle n’est pas surveillée bien sur, mais nous avons beaucoup de Poissons (avec écailles) qui ne posent pas de problèmes.
Si l’on veut être strict, on peut acheter une vaisselle nouvelle, mais sinon on peut se contenter en vacances d’une vaisselle bien lavée si elle est en verre. On regardera minutieusement la composition de chaque produit acheté mais cela n’est malheureusement pas suffisant pour certifier le produit cacher. Il existe bien entendu la liste de produits cacher du Consistoire, c’est une bonne référence mais elle est très limitée et ne rend pas la vie toujours très facile. Les vacances sont aussi une pause alimentaire différente, on peut se régaler des merveilleux fruits et légumes d’été et préparer des salades diverses et variées, des gratins en tous genre ; pause gourmande réaménagée spécial été oblige.
Un détail à ne pas oublier : le plateau repas dans l’avion ! Quand vous commandez votre billet, vous devez préciser à la compagnie que vous désirez un repas kasher. Vous n’aurez aucun problème à l’obtenir et cela ne vous coûtera pas plus cher.
Tout Juif (homme ou femme) est censé prier trois fois par jour, c’est à dire épancher son cœur dans la Amida, parler avec D. Cela se fait parfaitement bien seul s’il n’y a pas de Minyan. D. nous voit partout l’important étant d’être sincère et concentré, n’oublions pas que on se tient en face du Roi des Rois.
Les vacances, le temps libre et la nature se prêtent très bien aux exercices spirituels et à la méditation. C’est le moment d’approfondir certains textes du rituel et de prendre le temps de les dire de tout son cœur à son propre rythme.
On emportera un bon livre sur le Judaïsme et voilà tout. Selon son degré et ses envies. On s’efforcera de garder le rythme de la parasha hebdomadaire en se basant notamment sur un texte hébreu-français avec un court commentaire. (Munk ou Schwartz par exemple, ou encore en consultant internet si possible).
Les vacances sont une excellente occasion de visiter des lieux rattachés à l’histoire juive et de lire des ouvrages d’histoire juive ou des écrivains juifs... Matériel nécessaire : un sidour, un talit et des tefilines, un livre sur la parasha, deux trois bouquins à choisir, de la jugeote et de la bonne volonté.
Dieu est partout et les Juifs ont vécu et survécu dans des circonstances autrement plus complexes. Soyons honnêtes, si le plus grand nombre s’efforçait déjà de respecter le minimum proposé ici toute l’année, ce serait déjà formidable ! Alors, pas de culpabilité et bonnes vacances à tous, en Juifs heureux, fiers de l’être et producteurs de kedousha en toutes circonstances.
Sur cinq ans, il est prévu un million de touristes israéliens qui vont venir au Maroc, ce qui va placer Israël parmi les pays émetteurs les plus dynamiques pour le marché marocain, au même titre que plusieurs pays d’Europe. Depuis la normalisation des relations politiques et diplomatiques avec Israël, en décembre 2020, dans la foulée des accords d’Abraham qui étaient initiés et menés par l’ancien président américain, Donald Trump, le Maroc profite certainement d’une activité touristique exceptionnelle en provenance de l’Etat hébreu. Selon les dernières données du ministère du tourisme, plus de 42 600 arrivées israéliennes ont été enregistrées aux postes-frontières aériennes entre janvier et septembre 2022 contre seulement 25 800 pendant la même période de 2019. Soit une croissance importante de 65%. A fin 2022, les données en provenance d’institutions et d’associations touristiques marocaines et israéliennes font état de 70.000 touristes israéliens qui sont venus au Maroc. Une tendance qui devrait s’accélérer en 2023 après les chiffres prévisionnels du ministère de tutelle, qui tablent sur plus de 200 000 arrivées israéliennes prévues pendant l’année en cours. Il faut dire que la mise en place du visa électronique pour les touristes israéliens est une procédure pratique qui va beaucoup soutenir le tourisme d’Israël vers le Royaume.
Le dernier congrès de l’association israélienne du tourisme, qui s’est déroulé en décembre 2022 à Marrakech, a posé les jalons d’une fructueuse coopération touristique entre le Maroc et l’Etat hébreu. Pour le tourisme marocain, cette présence des décideurs du tourisme israélien constitue une opportunité pour les mettre en relation avec les opérateurs marocains. Par son histoire et sa position géographique, par ses multiples influences, dont l’affluent judéo-marocain inscrit dans l’identité millénaire du Royaume, le Maroc dispose d’atouts exceptionnels pour les voyageurs israéliens. C’est la deuxième fois que cette association israélienne du tourisme, qui compte 400 agents de voyages et 4.500 consultants du tourisme, réunit ses membres à Marrakech où s’était déjà tenue l’édition 1995 de son congrès annuel. Depuis, le contexte a largement évolué, grâce au rapprochement politique entre les deux pays, qui sont unis par des liens séculaires, aux plans humains, culturels et économiques. En termes de transport aérien, une offre riche s’est déjà déployée à travers Royal Air Maroc et la compagnie israélienne El Al, mais aussi les opérateurs low-cost Israir et Arkia, sur deux destinations : Marrakech et Casablanca.
Le tourisme religieux et spirituel constitue par ailleurs l’une des composantes les plus fortes du tourisme israélien au Maroc. Un aspect historique qui s’est énormément développé pendant ces dernières années sous l’effet d’une reprise intense des relations diplomatiques. Parmi les festivités religieuses juives fêtées récemment au Maroc, on peut citer la Hiloula célébrée samedi 4 février 2023 à Toulal dans la province de Midelt. Il s’agit, en fait, de la Hiloula de Rabbi Itshak Abihssira, un Saint juif dont le mausolée a été visité par les juifs marocains venus en masse de plusieurs villes du Royaume et de l’étranger. Lors de cette cérémonie, tenue en présence des autorités de la région et d’élus locaux, l’assistance a récité des chants religieux et spirituels. Connus pour leur attachement au Trône Alaouite et à la personne de SM le Roi Mohammed VI, les participants à cette fête n’ont pas raté l’occasion de saluer l’action politique forte de Feu SM Mohammed V qui avait protégé les juifs marocains contre les persécutions perpétrées par le régime de Vichy. Il va sans dire que ce tourisme religieux, qui ne cesse de se développer à travers le Royaume, est susceptible de devenir un tremplin formidable pour le développement du tourisme israélien au Maroc. La diaspora marocaine, établie en Israël, et constituée de plus d’un million de juifs marocains, est certainement une forte communauté à interpeller, inciter et à convaincre pour venir découvrir les charmes naturels et hospitaliers de leur pays de coeur : le Maroc.
Sources : maroc-hebdo.press
Le Maroc, une merveille de pays ! Ce Royaume a de solides arguments pour convaincre les vacanciers de venir visiter le pays ! Chefchaouen, Fès, Marrakech, plages, désert, montagnes ... Il y'en a pour tous les goûts ! Dépaysement, authenticité, forte identité culturelle, cuisine savoureuse et parfumée, accueil des plus chaleureux, oui, nous parlons bien du Maroc. Le Maroc est une destination ensoleillée toute l'année, vous pouvez donc vous y rendre à n'importe quelle période. Notez néanmoins que les mois de juillet et août sont des mois très chauds. Si vous aimez la chaleur, foncez ! Mais si vous préférez des températures plus douces, nous vous conseillons de vous y rendre au printemps ou en automne.
L'incontournable ville du Maroc et qui fait l’unanimité, c’est incontestablement Marrakech ! La ville rouge comme on la surnomme à beaucoup à vous offrir avec sa richesse culturelle, sa médina, ses souks et sa célèbre place Jemaa El-Fna. Marrakech est longtemps restée un centre politique et commercial de première importance pour le pays après sa fondation dès le XIe siècle par la dynastie des Almoravides. De cette glorieuse époque découle nombre des remarquables monuments qui caractérisent la ville, comme ses mosquées ou ses médersas (écoles religieuses). Surnommée Perle du Désert, elle porte merveilleusement bien son nom, car elle a en effet un potentiel énorme pour plaire et séduire ses visiteurs.
Surprenante, dotée d’un caractère sans pareil, à Marrakech se refléte une partie du Maroc, ses cultures, ses arts, ses richesses architecturales, ses traditions. C'est une ville à deux visages : d’une part une ville historique représentée par la Médina, et d’autre part une ville nouvelle, constituée de quartiers comme l'Hivernage et Guéliz. Si la Palmeraie est connue pour abriter de grands resorts tout confort, dans la médina se cachent une foule de riads rénnovés : une façon de se plonger dans les mille et une nuit de Marrakech...
Question température, nous vous conseillons les mois de mars, avril, mai, juin, septembre, octobre, novembre, pour visiter Marrakech.
Le conseil pirate : de janvier à mars, le climat reste plus chaud qu'en France, les tarifs sont plus abordables et les touristes moins nombreux.
•Médina : la vieille ville, autrement appelée la Medina, est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco et est la plus grande médina du Maghreb. Vous pourrez vous balader dans de magnifiques ruelles afin d'observer la vie et l'ambiance locale.
•Les souks : mille couleurs et mille saveurs vous attendent sur les marchés traditionnels de la ville. Vous trouverez également un magnifique artisanat marrakchi avec les fameuses babouches, les bijoux ou encore la tannerie.
•La place Jemaa El-Fna : classé chefd’œuvre du patrimoine oral de l’humanité, cette place est le lieu de rencontre de marchands ambulants, de charmeurs de serpents et de vendeurs à la sauvette. Si vous le pouvez, profitez d'une terrasse en hauteur afin d'avoir la vue panoramique sur cette place.
•Jardin Majorelle : comment faire cette liste sans mentionner ce lieu qui est un des lieux les plus visités du Maroc. C'est le peintre français Jacques Majorelle qui a créé ce jardin enchanteur à découvrir absolument.
•Mosquée Koutoubia : c'est la plus grande mosquée de la ville et c'est un monument emblématique de la ville.
•Medersa Ben Youssef : c'est une ancienne école islamique du XVIème siècle qui est une véritable merveille de l’architecture marocaine.
•Palais de la Bahia : 160 salles et 3 hectares de jardins vous attendent ! Vous y découvrirez mosaïques, sculptures et peintures.
•Musée de Marrakech : pour en apprendre plus sur la culture et l'histoire marocaine.
•Palais El Badiî : ce qui vaut principalement le détour pour ce lieu est son histoire et son témoignage de la richesse des dynasties marocaines passées.
•Jardins de la Ménara : Entouré par un grand lac artificiel, de jardins et les montagnes de l'Atlas, ce lieu est situé un peu en dehors de Marrakech mais vaut le coup d'oeil.
Le nom Marrakech vient du berbère "Mour" qui signifie "pays" et "Akouch" qui veux dire "dieu" ce qui donne "la terre de dieu".
Dans le passé, le Maroc était connu en orient sous le nom de Marrakech (appellation toujours d'actualité en Iran), le nom Maroc provient de la déformation de la prononciation espagnole de Marrakech : Marruecos.
Source : www.voyagespirates.fr
Dans le sud de la France, on passe des vacances entre mer et campagne. Sur la Côte d’Azur, on profite du soleil, allongé dans les transats d’un beach-club huppé de Ramatuelle, avant de rejoindre la jolie ville de SaintTropez pour une partie de pétanque sur la Place des Lices. Dans l’arrière-pays, on se balade à vélo entre les champs de lavandes et les petits villages perchés du Luberon ou des Alpilles. Voici quelques unes des plus belles destinations de vacances dans le sud de la France, à visiter en été.
Découvrir le littoral méditerranéen sur la Côte d’Azur
Cela ne surprendra personne : la Côte d’Azur est la destination huppée des vacanciers en quête de soleil. Il suffit d’évoquer les noms de Cannes ou de SaintTropez pour que des images de bars de plage chics ou de beach clubs nous viennent en tête...
Mais la Côte d’Azur a tellement plus à offrir. Après-midis farniente dans de petites criques confidentielles au coeur des Calanques, randonnées au milieu de la nature préservée du Cap Camarat, événements culturels horsnormes ou sports nautiques (la voile et le jet-ski en tête !) vous avez l’embarras du choix !
Trouvez votre maison de rêve parmi les villas de luxe sur la Côte d’Azur et vivez un séjour inoubliable dans cette merveilleuse destination de vacances d’été en France.
S’émerveiller devant les couleurs de Provence
Ah, la Provence... Avec ses paysages riches en couleurs, ses cigales chantantes et ses senteurs envoûtantes, c’est une destination de rêve pour les vacances d’été en France. Amoureux de nature, on profite d’une balade à cheval dans les décors époustouflants de Camargue ; on se laisse glisser le long des eaux turquoise des Gorges du Verdon ; ou on part en randonnée dans les collines des Alpilles ou du Luberon, à la
découverte des plus beaux villages provençaux. Passionné d’art et d’histoire ? Vous trouverez aussi votre bonheur dans ces villes au patrimoine riche. Du Palais des Papes d’Avignon aux ruelles accrochées à flanc de montagne des Baux de Provence, la Provence regorge de trésors architecturaux. Le tout dans une ambiance tranquille et chaleureuse, comme un retour aux sources.
LA CORSE
À seulement 1h30 d’avion de la capitale, l’île de beauté est la destination la plus dépaysante qu’il nous ai été donner de voir en France. Du nord au sud de l’île, le patrimoine naturel et culturel de ce petit bout de terre perdu au milieu de la Méditerranée est exceptionnel. Partez à la découverte d’une terre de caractère et créez vos vacances sur mesure une des villas de luxe en Corse.
Aller à la rencontre de la Corse authentique dans le nord
Un séjour en Corse du Nord est un éveil des sens. L’oreille est bercée par les chants ancestraux ; le nez est chatouillé par le parfum du maquis ; la langue se délecte des spécialités locales : brocciu, figatellu, poissons frais ou Cap Mattei... Quant aux yeux, ils sont ébahis devant la beauté de Calvi, Bastia, Saint-Florent ou l’Ile Rousse, et leur citadelle penchée au-dessus des eaux. Partez pour un road-trip à travers le Cap Corse, entre mer et maquis, et découvrez ses paysages aux allures de bout du monde. En chemin, vous tomberez sur de magnifiques marinas, d’anciennes tours génoises ou de petits villages typiques. Laissez-vous charmer par le Désert des Agriates et ses kilomètres de nature sauvage, et parcourez certains des plus beaux sentiers de randonnées de la Corse. Ils vous mèneront sur la route du littoral du phare de la Revelatta ou à l’ombre des forêts, entre les piscines naturelles de la Vallée du Fango.
Vivre la Dolce Vita en Corse-du-Sud
Longues bandes de sable fin, eaux turquoises, falaises étourdissantes, réserves et forêt préservées, villes bourdonnantes de vie : la Corse du Sud n’a rien a envier à sa voisine du nord. C’est d’ailleurs dans le sud de l’île que l’on goûte le mieux à la farniente et aux plaisirs festifs des nuits corses.
À Ajaccio, on suit les pas de Napoléon Bonaparte et on s’extasie devant le coucher du soleil sur les Îles Sanguinaires. À Bonifacio, on visite la citadelle, le vieux port et les falaises avant de partir pour une excursion en bateau sur les Îles Lavezzi. Dans les ruelles de PortoVecchio, on fait le tour des belles boutiques de designers puis on rejoint les plus belles plages de toute la Corse : Palombaggia, Santa Giulia ou encore Roccapina...
LE SUD-OUEST DE LA FRANCE
Le Sud-ouest, c’est bien plus qu’une belle destination de vacances d’été en France. C’est un véritable art de vivre, un lifestyle fait de journées sur le sable, les pieds dans l’eau et de sports nautiques. Entre une maison bleue et blanche à l’Île de Ré et une cabane en bois au Cap Ferret, le plus dur sera de choisir...
En famille ou entre amis, un séjour Cap Ferret est toujours une bonne idée. La presqu’île est un condensé de tout ce qui fait le charme des vacances d’été, et les journées défilent entre sports nautiques, farniente, gastronomie et rituels plage-apéro. Bref, le Cap Ferret apparait comme une évidence dans notre liste des meilleures destinations de vacances d’été en France. D’un côté : l’océan et ses plages infinies où déferlent les vagues. C’est le terrain de jeu des surfeurs et des amoureux de longues balades à cheval ou à pied. De l’autre, il y a le calme du bassin, ses cabanes à huitres, son phare emblématique et ses cabanes sur pilotis. Prenez de la hauteur en escaladant sur la Dune du Pilat ou en volant au-dessus des nuages, pour découvrir le bassin sous une autre perspective. À moins que vous ne préfériez une balade en mer, sur l’une des embarcations typiques de la région.
Véritable paradis marin au large de la Rochelle, l’Île de Ré est une des plus belles destinations de vacances d’été en France, à visiter en famille. On alterne entre journées détente sur la plage, balades à vélo et sports nautiques, le tout dans une ambiance intimiste et bon enfant, comme si on venait ici depuis toujours. Le matin, les enfants partent à la voile tandis que les parents explorent les marchés de l’île, chargeant leur panier de poissons frais et de légumes gorgés de soleil. L’après-midi, on part explorer l’île à vélo, pédalant le long des côtes, à travers les vignes ou les marais salants, jusqu’au Phare des Baleines, à Saint-Clément. On monte ses centaines de marches pour admirer la vue imprenable sur la mer.
En redescendant, on visite son musée, qui retrace l’histoire de la Marine et nous apprend les rudiments de la navigation. A l’intérieur des terres, on s’attarde dans les villages et la réserve naturelle de Lilleau des Niges,
sur laquelle le coucher de soleil dépose des reflets mordorés.
Paris apparait rarement en haut de la liste des destinations de vacances d’été en France... Pourtant, il y a tant de belles choses à y découvrir, lorsque la capitale est désertée par la foule qui l’habite habituellement. Capitale de la culture, de la gastronomie et de l’art de vivre à la française, elle abrite de nombreuses activités. En été, on préfère poser ses valises dans la campagne aux portes de la Ville Lumière, pour des vacances paisibles, partagées entre visites historiques et activités de plein air. Les maisons de campagne en Île de France ont tout ce qu’il faut pour vivre des vacances paisibles en famille. Parfois, on prend la voiture pour se rendre à Paris et faire le tour des monuments et hauts-lieux culturels de la Ville Lumière.
On peut aussi opter pour une visite des jardins du Château de Versailles ou des jolis villages de Provins ou de Moret-sur-Loing. On peut aussi emprunter la route des Châteaux de la Loire : Chambord, Chenonceaux et autres bijoux du patrimoine historique français... Quand l’humeur est au farniente et à la tranquillité, on reste dans le jardin de notre maison de luxe, se reposant au bord de la piscine, pendant que les enfants jouent à cache-cache entre les arbres.
Au mois d’août, l’effervescente capitale retrouve un peu de son calme et de sa sérénité. C’est donc la période idéale pour la visiter et la découvrir sous un nouveau jour. Chaque quartier apporte de lot de surprises et de magie, comme un terrain de jeu sans fin, qui se dévoile pour vos yeux seulement.
On dédit les matinées à la visite des prestigieux musées de la capitale, alternant entre histoire au Musée Carnavalet, art au Musée du Louvre et science au Museum d’Histoire Naturelle.
Amateur d’art contemporain, ne manquez pas de découvrir les expositions temporaires de la Fondation Louis Vuitton. A midi, quand le soleil est au zénith, on se réfugie dans un parc pour pique-niquer en écoutant le clapotis des fontaines, avant de repartir flâner dans les rues. Chaque tournant, chaque recoin révèle un nouveau trésor : une boutique de créateur, une galerie d’art, un primeur aux fruits délicieux. Avant de rentrer dans votre appartement de luxe à Paris, on fait une halte pour boire un verre sur le roof-top des Galeries Lafayette, d’où on a une vue panoramique sur les toits de la capitale, ou on embarque à bord d’une péniche pour une ballade au fil de l’eau.
Sources : magazine.lecollectionist.com
La montagne est d’ordinaire une destination privilégiée en hiver, on vient y skier, profiter des paysages enneigés et prendre un bon bol d’oxygène. Avec ces nombreux autres atouts, la montagne se révèle être une belle destination de villégiature également en saison d’été. Voici, selon nous, 10 bonnes raisons de choisir la montagne plutôt que la plage pour vos prochaines vacances estivales.
1
Pour pouvoir pratiquer le ski même en plein été Si vous êtes vraiment accros à la glisse, oubliez les plages, la mer ou l’océan… prenez plutôt la direction de la montagne et plus particulièrement des Alpes et de ses glaciers sur lesquels vous pourrez vous adonner aux joies du ski, du snowboard ou encore du kitesurf sur neige. Parce que oui, il faut le savoir, normalement, il est possible de skier 365 jours par an dans les Alpes. Que ce soit en France, en Suisse, en Italie ou en Autriche, une vingtaine de stations de ski proposent un domaine de ski d’été. Situées à plus de 3 000 mètres d’altitude et accessibles via des téléphériques/ funiculaires, les pistes de ski y sont généralement ouvertes de 7h30 à 13h au plus fort de la saison estivale.
Pour ne pas totalement raccrocher les skis durant l’été, la montagne est donc l’unique alternative… En France, si les conditions météorologiques le permettent, le glacier des 2 Alpes et celui de l’espace Tignes — Val d’Isère sont ouverts pour le ski d’été.
2 Pour le prix des logements bien moins cher Inutile de se mentir, partir à la mer en plein été nécessite un budget assez important. À moins de séjourner à l’intérieur des terres et à une heure de route des plages, le moindre studio se loue une véritable fortune de début mai à fin septembre. À l’inverse, en montagne, durant la saison estivale, les prix des hébergements sont nettement revus à la baisse. Pour attirer plus de vacanciers, le prix des chambres d’hôtel, et des appartements en résidences est ainsi quasiment divisé par deux par rapport aux tarifs affichés en hiver.
En cette période de « morosité » économique, la montagne est alors une véritable alternative pour ceux qui souhaitent s’offrir des vacances à moindre coût.
3 Pour prendre un bon bol d’air frais et pur La montagne peut encore se targuer d’être relativement épargnée par la pollution atmosphérique. Ici, pas de pic de pollution, pas de cote d’alerte dépassée, pas de restriction… Quelques jours passés en montagne vous
permettront ainsi de bénéficier de son air pur, frais et revigorant. Et, nul besoin de gravir les plus hauts sommets pour en profiter, le simple fait de séjourner à moyenne altitude, loin des gros axes de circulation, des grandes villes et autres bassins de production, suffit à ressentir, le temps d’un week-end ou d’une semaine, les bienfaits de cet air revitalisant.
Si vous avez largement eu votre dose de pollution atmosphérique pour cette année, c’est donc à la montagne qu’il faut envisager de passer vos prochaines vacances d’été.
4 Pour éviter les bains de foule Qui n’a jamais fait la désagréable expérience de devoir cohabiter sur quelques mètres carrés de sable chaud avec des « voisins » de plage bruyants, des enfants turbulents qui se font un plaisir de « souiller » votre serviette à chacun de leur passage ? La plage, tout le monde aime (ou presque) mais uniquement quand elle est déserte… et malheureusement en été, c’est rarement le cas.
Alors si comme moi, vous n’avez pas envie de passer vos journées à vous inquiéter pour votre petit dernier qui risque de s’égarer à tout moment sur une plage bondée, optez pour la montagne ! Bien moins fréquentée, beaucoup plus vaste, la montagne en été offre un terrain de jeu quasi sans limites, où petits et grands peuvent évoluer sans être bousculés. Parcs Naturels, lacs de montagne, sentiers de découverte, villages perchés – autant de lieux à arpenter pour de vraies vacances tranquilles !
Pour se retrouver enfin un peu seul·s, sans cette perpétuelle foule en mouvement permanent autour de vous, prenez la direction des montagnes !
5 Pour les multiples activités proposées
L’inconvénient de la plage, c’est qu’on s’y ennuie assez vite et à moins d’avoir un portefeuille bien garni, il est souvent difficile d’agrémenter son séjour à la mer de quelques activités. Résultats, pour la plupart des personnes, les journées se résument à quelques heures à la plage matin et après-midi, entrecoupés d’une pause déjeuner et d’une glace pour le gouter des enfants. Ça change du métro, travail, dodo, mais avouez qu’au bout de 3 ou 4 jours, on a réellement l’impression de faire le même que la veille. À l’inverse, si en hiver, la montagne se résume quasi exclusivement à la pratique du ski, l’été venu, elle offre une multitude de terrains de jeu sur lesquels la pratique de multiples activités s’articule : – Dans les airs, vous pourrez vous essayer au
parapente, à la tyrolienne, au vol en montgolfière, au saut à l’élastique ainsi qu’au base jump
– Sur terre, vous aurez le choix entre VTT, randonnées, escalade, via ferrata, parcours aventure, spéléo, golf, équitation, tennis, tir à l’arc. – Sur l’eau, vous pourrez alterner entre nage en eaux vives, rafting, hydrospeed, canyoning, kayak et même voile sur les plus grands lacs des Alpes (Annecy, Serre Ponçon, Bourget, Léman…)
La palette d’activités offerte par la montagne est donc extrêmement large et avec les offres de plus en plus répandues de « Pass Multi activités », l’accès et la pratique à plusieurs de ces activités sont bien souvent inclus dans le prix de votre séjour.
6 Pour la richesse et la diversité des paysages
Arpenter les sentiers de randonnées en moyenne montagne, crapahuter à l’assaut des sommets, traverser les alpages, évoluer sur les crêtes escarpées, ou simplement balader en forêts de mélèzes — la montagne offre mille et un paysages tous plus beaux les uns que les autres. En montagne, entre lacs et rivières, vallées et sommets, plateau et pentes abruptes, la topographie varie du tout au tout et ne laisse aucune place à la monotonie.
7 Pour la découverte du patrimoine naturel et culturel
Cascades, grottes, lacs, falaises, mers de glace, glaciers, la montagne regorge de merveilles sculptées par la nature au fil du temps. Accessible par le plus grand nombre, ce riche patrimoine naturel fait de la montagne un formidable terrain de villégiature pour tous les assoiffés de découverte. Ainsi, pour ceux pour qui vacances rime forcément avec enrichissement culturel, la montagne n’est pas en reste puisqu’elle offre encore de beaux trésors, parfois bien cachés : musées, mines d’argent, anciennes carrières, châteaux, villages fortifiés, barrages, anciens villages retapés, refuges, autant de lieux atypiques, uniques et gorgés d’histoire.
Plus qu’un lieu de vacances, la montagne est donc également une véritable source de découvertepour qui veut bien se donner le temps d’observer et d’écouter.
8 Pour les rencontres et l’échange
La montagne présente la particularité de remettre tout le monde au même niveau : sur un sentier de randonnée, quelle que soit votre position sociale, seuls vos jambes et vos pieds vous aident à avancer ! Peu importe que vous soyez chômeur, petit commerçant, haut fonctionnaire ou ministre (si l’on en croise parfois, valise de billets sous le bras, qui cherchent la direction de la Suisse…), vous êtes seul face à la nature.
De ce « nivellement » renaissent quelques gestes oubliés le reste de l’année : on se surprend à saluer les autres randonneurs que l’on croise, on partage un verre autour de la fontaine du coin avec les locaux. On s’invite à une fête de village, on prend le temps de s’intéresser au mode de vie des gens du cru… bref, on s’enrichit, on échange ! En montagne, plus qu’ailleurs, on est ouvert aux rencontres et aux échanges.
9 Pour des vacances gourmandes
Avec ses nombreuses et très variées fermes auberges, tables d’hôtes et restaurants, la montagne est aussi un très bon choix pour les amateurs de gastronomie, fruits des bois, champignons, légumes en tout genre, lait, céréales, baies sauvages – la montagne est un véritable garde-manger dans lequel les cuisiniers n’ont aucun mal à puiser leur inspiration. De vallée en vallée, vous pourrez découvrir des spécialités culinaires dont les recettes sont jalousement protégées depuis plusieurs générations. Mais, peu importe le secret, le plaisir est bien là, dans l’assiette !
10 Pour les événements qui jalonnent la saison estivale Enfin, pour terminer notre éloge de la montagne, n’oublions pas les divers événements qui animent les journées et soirées estivales : compétitions sportives (VTT, trail, épreuves équestres), festivals en tout genre (musique, théâtre, cirque), fêtes thématiques (transhumance, travail du bois, métiers d’autrefois).
Tout au long de l’été, les communes de nos montagnes vous proposent des programmes événementiels toujours plus diversifiés d’année en année.
Si avec autant d’arguments, vous n’êtes toujours pas décidé à troquer vos tongs et votre serviette de plage contre une paire de chaussures de montagne et un sac à dos, je n’y comprends plus rien ! Alors à bientôt en montagne !
vous faites une activité ou même le soir, histoire de se reconnecter aux autres. Les réseaux sociaux attendront.
4. Demander à son enfant de partager l’une de ses passions
Votre enfant a une passion qui a tendance à lui prendre tout son temps libre ? Les vacances sont le moment parfait pour que toute la famille s’y intéresse, si ce n’est déjà fait! Le temps de quelques heures, proposezlui de vous initier à ce qui l’anime le plus, en organisant un “atelier découverte”:
•Il est fan de VTT? Partez tous en balade à vélo, avec comme chef de file votre enfant passionné.
La période estivale est souvent le moment idéal pour prendre un peu plus de temps pour soi et ceux qu’on aime. Voici 5 manières de resserrer les liens familiaux cet été.
Vivre ensemble n’est pas toujours chose aisée, même si l’on fait partie de la même famille: le stress du quotidien, les emplois du temps surchargés, les différences de point de vue, les crises d’adolescence à gérer… Avec notre mode de vie moderne, on voit finalement bien peu sa famille, et dans des circonstances qui sont parfois stressantes. Une réalité qui, à terme, peut avoir un impact négatif sur la cohésion familiale. Pour resserrer les liens, la méthode la plus efficace est de s’accorder des moments tous ensemble. Et quelle période plus parfaite que l’été pour se créer des souvenirs en famille et resserrer les liens qui nous unissent? L’école en mode pause et la possibilité pour les adultes de prendre quelques jours de congé, le quotidien se voit sérieusement allégé.
Pour resserrer les liens familiaux, le secret est de relâcher la pression et de prendre le temps de vivre ensemble.
1. Manger ensemble
Pendant l’année, certains ménages ont bien du mal à se réunir autour de la table pour partager un repas, à cause des agendas chargés de chacun. Et c’est d’autant plus vrai à mesure que les enfants grandissent et prennent leur indépendance. Et c’est bien dommage, puisque la table est l’endroit idéal pour communiquer et échanger. Si c’est le cas chez vous et que vous souhaitez travailler la cohésion de votre famille, le premier conseil est de réinstaurer le repas familial. Manger tous ensemble vous permettra de passer un bon moment et de relâcher la pression de l’année écoulée, mais aussi de parler de tout et de rien.
2. Programmer plusieurs activités à faire en famille durant l’été
Que vous partiez ou que vous restiez à la maison durant vos congés, pensez à prévoir plusieurs activités en famille pendant vos vacances: une visite culturelle, un petit ciné, une partie de pétanque, un cours de tennis, une promenade à vélo, une journée à la mer… L’idée est de sortir du train-train quotidien et de passer un moment de qualité tous ensemble, de jolis souvenirs à la clé !
3. Sortir sa tête des écrans Les écrans ont tendance à grignoter le temps qu’on passe ensemble, sans qu’on s’en aperçoive vraiment. Cet été, entamez une petite détox digitale en famille et bannissez les écrans pendant le repas, lorsque
•Il aime la photographie ? Prenez vos smartphones et organisez une petite séance photo sur un thème précis, à la maison ou à l’extérieur.
•Il est dingue de jeux vidéo ?
Lancez-vous dans une partie endiablée, en duo ou en compétition, et laissez votre enfant vous expliquer les rudiments de ses jeux préférés.
5. Prévoir un projet d’été
Trouver une occupation commune à toute la famille pour l’été est une excellente manière de tisser des liens, ou de les renforcer: construire une cabane, redécorer les chambres des enfants, faire un potager, apprendre une nouvelle langue, partir à la découverte d’une technique artistique (peinture, instruments…) , aménager un joli extérieur pour en profiter à fond cet été, s’initier à un sport… Les idées de projets communs ne manquent pas !
Sources :www.femmesdaujourdhui.be
LES 75 ANS DE L’ÉTAT
D’ ISRAËL !
DIMANCHE 18 JUIN 2023
PLACE DU TROCADÉRO I ENTRÉE LIBRE
DE 13H À 18H : CONCERT EN PLEIN AIR EN PRÉSENCE DE NOMBREUX ARTISTES ET PERSONNALITÉS
FRANCE ISRAËL AMITIÉ
LES ACCORDS D’ABRAHAM
Le soleil est une véritable source de vitamine
D. Ce dernier est essentiel pour l’organisme, notamment pour la fixation du calcium qui est au service du renforcement des os. Le soleil est aussi bénéfique pour la peau. La méthode la plus courante pour cela est le bronzage. Mais il contribue également à l’amélioration de notre humeur. Mais ce n’est pas tout, les rayons ultraviolets permettent également de réguler l’horloge interne, synchroniser son sommeil, soigner les maladies de la peau, améliorer le
moral, diminuer l’hyperactivité… Toutefois, il est important de noter que plus de 20 minutes sans protection peuvent s’avérer dangereuses. Lors de vos vacances, n’oubliez pas d’emporter vos lunettes de soleil anti-UV, si possible d’appliquer un écran solaire, de limiter votre temps d’exposition… D’ailleurs, il ne faut surtout pas s’exposer trop longtemps sous le soleil pour ne pas irriter la peau. Il peut d’ailleurs être responsable du vieillissement cellulaire prématuré.
Véritable atout pour la santé, l’air marin permet de faire le plein d’énergie de fatigue. En effet, l’air du bord de mer est une vraie source d’ions négatifs tonifiants pour le corps. Il est à noter que ces ions négatifs (concentrés dans l’eau et les algues) permettent d’obtenir un air pur et sain. Cet air ne peut être que bénéfique pour notre organisme, lui permettant de résister aux tracas quotidiens (stress, douleur, fatigue)… Pour bénéficier de ces bienfaits de l’air marin, vous n’aurez pas besoin de prendre un bateau, une simple promenade sur le bord de la plage suffira amplement.
Quant à la mer, rien que de voir le grand bleu nous plonge dans un état euphorique. Prélassé au bord de la mer, vous serez loin de la pollution et du désordre de la ville. L’anxiété et le stress laissent place à la liberté et au calme. L’air est pur et vous pouvez mieux oxygéner votre cerveau. Cela réduira en majorité les risques de différentes maladies. Favorisant l’amélioration respiratoire, l’océan est un remède contre la fatigue. À l’instar du massage, les vagues agissent activement sur le corps et le soulagent. De même, un des bienfaits de la plage qui n’est pas des moindres est sa capacité à favoriser le sommeil. Le simple fait d’entendre le clapotement des vagues, de vous laisser bercer par la lumière du soleil et rafraîchir par le vent vous permet de trouver un bon sommeil.
L’eau de mer (et ses dérivés comme le sel marin et les algues) est également réputée bénéfique pour la santé et contribue au bien-être. Notez à titre indicatif que l’eau de mer est un concentré de minéraux et d’oligoéléments tels que le manganèse, le calcium et le potassium. Ces minéraux contenus dans l’eau salée ont le pouvoir de nourrir le corps en passant à travers la peau et d’accélérer la cicatrisation.
Pour en bénéficier, vous devez vous mettre à l’eau. Cependant, sachez que douze minutes d’immersion suffisent largement à la peau pour faire le plein de sels minéraux et capter les ions négatifs.
Étant sur la plage, le sable vous accueille et vous chouchoute pendant vos vacances. Marcher pied nu sur le sable renforce les muscles. Il est aussi utilisé dans l’arénothérapie pour le traitement de divers troubles comme le rhumatisme articulaire et la polyarthrite. De plus, cette thérapie par le sable contribue à la douceur de la peau et à l’amélioration de la circulation sanguine. Toujours en termes de soins, on peut se servir du sable pour en faire du gommage naturel.
Marcher sur le sable est considéré comme un véritable exercice physique. En effet, elle permet de bien entretenir sa silhouette tonifiant les muscles et les jambes. Elle fait également travailler toutes les articulations. Voici 3 avantages de la marche sur sable : lutte contre la cellulite et favorise le retour veineux, massage de la voûte plantaire (avec les grains de sable), favorise la dépense énergétique. Bref, c’est une activité qui permet d’allier exercice et plaisir !
La rive est un endroit idéal pour pratiquer le yoga. Y exercer le yoga (surtout dans la matinée), la méditation et le travail de respiration sera le top. La fraîcheur de l’air et le clapotement des vagues vont égayer votre séance de yoga. Avec cette place spacieuse au bord
de la mer, les différentes postures sont à réaliser aisément et en toute liberté. C’est aussi une occasion de se détendre et de retrouver la paix intérieure, ce qui est favorable à l’esprit.
Ensuite, les sports extrêmes à l’exemple du surf et du flyboard sont les bienvenus. Pour cela, il est nécessaire de se renseigner sur place sur la situation de la mer et les équipements adaptés. Lorsque vous êtes débutants dans ce genre de sport, ce sera un moment propice pour vous d’apprendre et de vous en imprégner. Ce sont des exercices amusants qui vont booster votre énergie.
Passionné de la nature, la balade en bateau et la plongée au fond de l’océan seront une aubaine pour faire une évasion en mer. Cette balade vous réserve plein de surprises. Vous pourrez partir à la découverte des archipels aux alentours, des animaux aquatiques et des récifs coralliens. Pendant cette promenade, il peut vous arriver de vous faire accompagner par une armada de dauphins ou de baleines. Des paysages époustouflants existent sur mer et dans le fond de l’océan. Vous pouvez prendre des photos pour rendre mémorable votre séjour. Voyagez en bateau, vous pouvez vous initier également à la pêche.
Alors pour cet été n’hésitez plus partez à la mer.
Sources:www.goutdailleurs.fr
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•Chef sur place avec 4 repas par jour
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Depuis cinq ans, Anthony Emsalem et les équipes de ses deux enseignes marseillaises « Emsalem » et « Mon boucher gourmet » se sont lancés comme pari d’approvisionner en cacherout les touristes en villégiature sur l’Ile de Beauté.
S’il fait partie des pionniers, d’autres, lui, ont depuis emboité le pas. Mais parole de (son) transporteur frigorifique, il reste le plus gros pourvoyeur de marchandises casher en Corse pendant les deux mois d’été. Vrai service rendu aux vacanciers juifs qui, ainsi, se délestent d’une valise pleine de victuailles au profit des maillots (tsniout !), chapeaux de paille et des lunettes de soleil, il n’en reste pas moins un enjeu économique pour l’entreprise familiale du trentenaire.
« Ce service de livraison représente environ 15 % de mon chiffre d’affaires, explique Anthony Emsalem. Des chiffres qui se sont stabilisés au fil des années selon l’entrepreneur. « L’explosion des ventes a eu lieu l’année du confinement puisque les Français ne pouvaient pas sortir du territoire ». Une clientèle plutôt parisienne et lyonnaise qui lui est fidèle au fil des années avec des petits nouveaux qui entendent parler de ce service de livraison « par le bouche à oreille ». Une clientèle qui permet à Anthony Emsallem de compenser l’absence des Marseillais partis eux aussi en vacances. Et concrètement, ça se passe comme ça : « Mon transporteur frigorifique part en camion depuis nos magasins, embarquent et déposent la marchandise dans un entrepôt à Bastia, Ajaccio et Porto Vecchio.
Les clients viennent ensuite jusqu’au point relais. Nous livrons Bastia et Ajaccio chaque jour. Par exemple si vous commandez lundi, vous pouvez récupérer votre panier mardi matin. Quant à Porto Vecchio, elle est alimentée trois fois par semaine », poursuit Anthony Emsalem. La marche à suivre est plutôt simple. La commande peut se faire en ligne sur le site internet de l’un des deux établissements d’Anthony Emsalem uniquement en produits frais et secs. Le paiement a lieu le jour du départ par carte bleue à distance. « Nos prix sont exactement les mêmes sur notre site qu’en magasin. Avec les mêmes promotions. En revanche, nous faisons payer la livraison à hauteur de 89 euros pour un
panier de 0 à 50 kgs, et 150 euros entre 50 et 100 kgs. » L’équivalent a minima de deux grosses valises de viandes, fromages, vins ou tout autre aliment éligible à la livraison. De quoi être tranquille pour préparer ses repas estivaux pour au moins deux bonnes semaines.
Le casher, chez les Emsallem, c’est une affaire de famille. Anthony, 39 ans, se destine à être artisan avec son BEP électricité. Mais la crainte de voir un travail de trente ans réduit à néant fait au jeune homme changer son fusil d’épaule. Il s’investit dans l’affaire de ses parents, devient responsable de magasin rue Negresko dans le 8e arrondissement de Marseille jusqu’au moment de racheter l’entreprise. « J’y avais déjà apporté des nouveautés, comme la livraison à domicile, la rôtissoire. Il fera ensuite rafraichir le magasin, changer le matériel. Et ouvre un second établissement, il y a trois ans, à la philosophie piquante.
Un grand magasin de 500m2 boulevard Rabatau. « Mon boucher gourmet » est né. « Une viande à la découpe 100% française avec une exigence de traçabilité et de qualité, de la charcuterie, un rayon vin et épicerie avec la particularité que l’endroit est assez luxueux et les prix corrects. Le casher « boui-boui », c’est fini. Avec Mon boucher gourmet, j’ai vraiment développé une nouvelle clientèle que je n’avais pas avant et qui ne m’a pas fait défaut rue Negresko. »
Le FSJU devrait investir cette année dans les centres aérés, les colonies avec hébergement ou encore les camps scouts entre 250 000 et 280 000 euros de bourses. Un dispositif qui permettra d’aider 1800 enfants à prendre la poudre d’escampette. Des tickets vacances (*) d’une valeur maximum de 275 euros à utiliser auprès d’une vingtaine d’organismes labellisés « Noé », aussi diversifiés que le DEJJ, les Gan Israël, des Beth Habad, les EEIF ou encore l’Hashomer HatzaÏr. Des organismes ayant signé une charte de qualité avec une quarantaine de critères parmi lesquels « une vigilance sanitaire renforcée », le « maintien du vivre-ensemble », « une vie juive de qualité équilibrée et ouverte sur la cité», des « activités sportives repensées », une « coordination (…) avec une cellule d’urgence (sur des sujets) sanitaires, logistiques, psychologiques et réglementaires ». Philippe Lévy, directeur de l’Action Jeunesse au sein du Fonds social juif unifié (FSJU) répond aux questions de la Vie Juive.
LVJ : Est-ce que les colonies font le plein ?
P.L : « Il y a une explosion des demandes d’inscriptions. Les colos vont bien, elles se remplissent dès le mois de mars et en juin sont quasiment à guichet fermé. Après la crise sanitaire, les parents ont à nouveau confiance; il y a aussi la volonté de resocialiser leurs enfants et de leur transmettre des valeurs juives fortes. Par le prisme des tickets vacances, on permet aux jeunes dont les parents sont « CSP+ » d’en côtoyer de milieux plus modestes. La jeunesse doit nouer un lien avec la cité, elle ne doit pas se replier dans des colonies ghetto.»
LVJ : Votre budget évolue-t-il en conséquence ? Les tickets vacances sont-ils votre seul levier d’aide financière ?
P.L : « Nous aidons ces organismes à l’année à travers la formation continue. Notre budget de bourses oscille entre 250 000 et 280 000 euros et il est en augmentation. Il évolue en fonction de la générosité des donateurs et de la collecte de la Tsedaka et en fonction des besoins des colonies. Pendant deux ans, le Fonds Myriam (ndlr : créé pendant la crise sanitaire pour aider les associations juives) nous a aidés à consolider ce budget. Notre objectif, c’est qu’il n’y ait pas un seul enfant qui ne puisse partir en colonie de vacances pour des raisons financières ou parce qu’il n’y a pas de place. Avec les tickets vacances, nous aidons en moyenne 1800 enfants. Ces aides sont cumulables avec des aides de la CAF. J’aimerais d’ailleurs que les années prochaines, il n’y ait pas de trêve en août et un meilleur équilibrage du calendrier des colonies. »
LVJ : Les organismes que vous aidez sont tous très différents les uns des autres, sur leur rapport à Israël, l’étude de la Torah…Ne campent-ils pas chacun sur leurs idéaux, loin les uns des autres ?
P.L : « C’est la magie de Noé qui est une marque ombrelle, une fédération. Depuis 2016 que je suis en poste, je peux vous dire que dans nos réunions, les représentants de l’Hachomer Hatsaïr sont à côté de ceux du Bne Hakiva, et ceux du Gan Israël à la même table que ceux du Judaïsme En Mouvement. Chacun a sa shehita, sa philosophie. Nous exigeons un minimum commun qui est la cacherout du Rav Wolf, le respect du shabat , même si au sens consistorial, il pourrait y avoir quelques entorses. Il y a de la ardout. Nous sommes les douze tribus d’Israël, nous représentons la richesse du judaïsme français. Nos réunions sont des coconstructions, elles sont plus que du vivre-ensemble, elles sont du faire-ensemble. Notre groupe Whatsapp , très bienveillant, palpite. Les colos se transmettent les cv d’animateurs. Nous travaillons tous main dans la main avec un seul objectif urgent : celui du militantisme et de la relève communautaire. »
LVJ : Pas de crise du bénévolat à l’horizon ?
P.L : « La jeune génération prend les manettes et lisse aujourd’hui les polémiques et les oppositions qu’on a pu connaître avant. Elle prend son destin en main. Dans l’ensemble, tous ces mouvements de jeunesse ont une même trame, un même souci du judaïsme. On pense aux EEIF qui fêtent leur 100e anniversaire cette année. Sur les 16 000 gamins qui partiront en colo cette année, plus de la moitié deviendra animateurs car ils auront été touchés par l’éducation au don, au hessed qui est promu dans ces mouvements de
jeunesse. Aujourd’hui, c’est l’éducation informelle qui produit du militantisme. »
LVJ : Les colonies que vous financez sont exclusivement sur le territoire français ?
P.L : « Oui. Mais nous réfléchissons à l’Europe. Et à Israël quand les prix seront moins insolents ! »
LVJ : L’une des aides directes que vous apportez aux mouvements de jeunesse, c’est à l’année et il s’agit de la formation continue. En quoi consiste-elle, en quoi est-elle si importante ?
P.L :« Ces colonies de vacances ne doivent pas être un lieu uniquement d’amusement. Elles sont là pour faire grandir les enfants, créer de la solidarité, développer leur citoyenneté et leurs compétences comportementales. Notre socle, c’est celui de la Jeunesse et Sport. Nous avons des exigences. Ces formations continues constituent une proposition d’accompagnement sur comment accueillir la parole de l’enfant, prévenir des phénomènes d’addiction aux écrans ou encore les violences sexuelles sur mineurs. Il ne faut pas croire que ces sujets de société ne s’invitent pas dans les colonies. En effet, être titulaire du Bafa, c’est très bien mais cela ne suffit pas. Il faut pouvoir faire de la veille, prévenir, acompagner et le cas échéant signaler. L’OPEJ, qui est notre partenaire privilégié, met des professionnels de santé, des psychologues, des éducateurs à disposition pour nos formations continues et tout l’été au sein d’une cellule de veille. »
LVJ : La communauté juive est-elle touchée par ces problématiques ?
P.L : « Chez nous, pas plus qu’ailleurs. Oui, cela existe, mais nous ne sommes pas les plus impactés car traditionnellement, nos enfants, c’est notre famille. Il y a un supplément d’âme au sein des équipes éducatives qui prennent tout cela très au sérieux. Il y a un surinvestissement au niveau éducatif. Dans chaque colonie, il y a des aînés qui permettent à de jeunes directeurs d’être des pôles rassurants et peuvent intervenir sur ces sujets rugueux. Nous ne faisons pas la politique de l’autruche. »
LVJ : De quels problèmes parle-t-on concrètement ?
P.L : « Il peut y avoir des problèmes liés à des images volées sur les téléphones portables, des comportements liés à l’hypersexualisation. Mais je pense qu’on s’en sort bien. Et c’est justement parce qu’avec l’ensemble de nos associations, nous nous voyons tous les deux mois pour échanger sur nos pratiques avec en convergence l’intérêt supérieur de l’enfant et le fait qu’il soit dans un environnement protégé. Il faut préciser que le label Noé n’est attribué que pour deux ans renouvelables. Cet été, par exemple, nous allons nous rendre sur 15 spots, discuter avec les animateurs, partager leur cinquième repas. C’est une évaluation très organique, sur le terrain, c’est de la sociologie en acte. Et en fonction des résultats, nous en parlerons à la rentrée et remettons en place certains dispositifs visant à améliorer certaines pratiques. »
Note
(*) pour être éligible, il faut avoir un coefficient familial inférieur ou égal à 820. Un dossier à compléter sur le lien suivant : http://tickets-vacances.fsju.org/)
Y’a-t-il des thématiques particulières qui seront abordées dans les colonies labellisées Noé cet été ?
« Il y en a deux qui se détachent en effet, explique Philippe Lévy. C’est le sujet de l’écologie avec une fresque du climat, des discussions sur le tri des déchets, d’autres planteront des arbres en partenariat avec des municipalités. L’autre sujet est le sport, mais davantage l’ingénierie du sport, car nous sommes dans l’orbite des Jeux Olympiques de Paris 2024. Par ailleurs, il y a un vrai problème d’obésité chez les jeunes. Avec le sport, on parle de tout, de la nutrition, de l’estime de soi, du fair-play. Je veux évoquer aussi des programmes expérimentaux très innovants à destination des adolescents avec des battle rhétoriques, des concours d’éloquence pour former, inviter le débat dans la logique de l’argumentation. On flirte avec le développement personnel et c’est très bien. »
* Le FSJU favorise le départ en colos, centres aérés et camps scouts de milliers d’enfants
auprès d’organismes labellisés en octroyant des tickets vacances.
Plus d’infos sur www.noepourlajeunesse.org
Les jeunes filles âgées de 7 à 14 ans se retrouveront dans une Maison Familiale Rurale (ndlr : établissement scolaire de formation et d’éducation des jeunes et des adultes) entièrement privatisée à côté de la Roche-sur-Yon et à une trentaine de kilomètres des superbes plages de sable fin vendéennes. Des logements dont les chambres ont été récemment refaites à neuf et entourées d’un écrin de verdure. Et aspect non négligeable, la chambrée accueillera entre quatre et cinq filles…avec chacune son armoire ! « Elles auront un certain confort dans cette MFR », assure Marvin Bellaiche qui a concocté avec ses équipes d’Ehad un programme complet où les activités en extérieur seront couplées à des contenus empreints des valeurs de la Torah.
Au menu de ces deux semaines estivales (entre le 11 et 24 juillet), une journée bivouac, des sorties plage et la visite de deux parcs d’attraction, phares touristiques de la région du Pays de la Loire et plus généralement de tout l’Hexagone. Il s’agit du Futuroscope dont les noms des attractions euxmêmes font déjà voyager, tels que Futuropolis, La clé des songes, la Maison à l’envers ou encore le Chasseur de tornades récompensée par le THEA Award 2022 de la « meilleure attraction au monde » ! Des expériences sensorielles et scientifiques hautes en couleur en perspective qui aiguiseront la curiosité des jeunes filles présentes. Le second parc se situe plutôt dans la veine historique avec son mythique spectacle du « Bal des oiseaux fantômes », une parade exceptionnelle de faucons, de vautours et de hiboux. A ceci, s’ajouteront des sorties accrobranches, lasergame, bowling…
Mais le cœur de la colonie Chlema se situe aussi dans son esprit d’approfondissement des thématiques de la pensée juive. Depuis les divré Torah à table, en passant par les répliques plus théâtrales et humoristiques ou encore les biographies de rabbanim, ou encore les débats sur textes ou à l’oral, l’étude prendra différentes formes toujours ludiques. Le tout dans un cadre serein et bienveillant.
« L’objectif, c’est que les jeunes filles moins pratiquantes puissent goûter à une ambiance de shabat plein et que les plus pratiquantes s’ouvrent à celles qui le sont moins », poursuit Marvin Bellaiche.
« Sachant que 80% des jeunes filles inscrites l’an passé à Chlema suivent une scolarité en école juive, que la cacheroute est sous la stricte surveillance du Rav Cremisi, que les tenues demandées sont tsniout, que la tefila du matin et le birkat hamazon font partie intégrante du programme quotidien ».
« Nous attendons entre 30 et 35 jeunes filles cette année, soit la présence d’une cinquante de personnes sur site. Toutes les encadrantes sont des femmes âgées entre 16 et 22 ans qui ont une expérience dans l’animation. Nous avons notre quota d’animatrices titulaires du BAFA et certaines sont filles de rabbanim ».
L’un des buts de Marvin Bellaiche, c’est de « faire grandir ces jeunes filles, les pousser vers plus d’autonomie. Elles auront la charge de faire leur lit, d’aider à la mise en place de la table. L’idée, c’est de les responsabiliser ». La colonie, dont le coût est de 1040 euros, voyage en car compris, est soutenue par le FSJU et son programme Noé qui délivre des tickets vacances aux familles qui en ont besoin.