La Revue des Rendez-vous de La Baule n°2

LA REVUE

Rencontres Découver tes Lectures

des Rendez-vous de La Baule

N° 2 - Octobre 2014

Balades Gastronomie Sor ties Tout un programme

Gourmande

Brillante

Émouvante

Étonnante

La Baule, capitale du chocolat.

Et passer Noël avec les chefs étoilés.

La jeune génération : Hugues Driancourt, Julien des Monstiers, Julie Erikssen, Edouard Roger-Vasselin…

La rentrée artistique : musique, cinéma, littérature, et les 15 ans de Noël Magique.

La visite d’Atlantia, Palais des Congrès New Look pour de nouvelles ambitions.

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sommaire

2 La Revue des Rendez-vous de La Baule, sur une idée de Patrick Gérard et de Stéphane Hoffmann

LA REVUE Octobre 2014

des Rendez-vous de La Baule

Un été à la baule.....................................2-7

le shopping de Caroline............................................... 27

Une nouvelle voix pour julie erikssen...................8-9

Les carnets de rendez-vous.................29-33

Rendez-vous avec édouard roger-vasselin................ 11

les hôtels de Caroline............................................... 31

Les quatre saisons du chocolat.................13-14

Dans l’album des rendez-vous Christine Morault...................34-35

le shopping de Caroline............................................... 16

ATLANTIA New Look........................................36-39

Création graphique & Impression Mélanie Boquet La Mouette Communication 02 40 60 20 10

Le festival du cinéma & musique de film..........................................17-19

ATLANTIA Les équipes............................................ 40

Photos Patrick Gérard 06 86 79 22 05 pgphot@wanadoo.fr

Les Moments musicaux................................20-21

15ème anniversaire Noël magique........................ 42

Propos d’un joueur jean-marc roberts............................................... 22

les tables de Caroline............................................... 43

Photo de couverture : Hall d’Atlantia, par Patrick Gérard Banquette Florence Knoll

Autres crédits photos : Photothèque Lucien Barrière, Chloe Vollmer-Lo, Frank Lechat, Jean Lesage, Atlantia, Ville de La Baule, CREA, La Baule TV, Ellipsis, Benjamin Aelovega, Alvaro Yanez, Marco Borggreve, Lyodoh Kaneko, Olivier Dion / Opale.

Rédaction Stéphane Hoffmann 06 08 28 59 78 stephane.hoffmann@wanadoo.fr Régie publicitaire Caroline Vautier-Huteau 06 09 92 89 90 larevuemag@gmail.com

les tables de Caroline............................................... 23 Un noël plein D’étoiles.................................24-26

Prochain numéro : 10 avril 2015

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Nouvel album denis sire..............................44-45 Hommage olivier Guichard................................47-48

Un été Tout un programme

à la b aule Notre premier numéro, paru en juillet, était une bandeannonce. Un concentré de tout ce que réserve La Baule ; ou presque. Une présentation des personnages. À partir de ce deuxième numéro, ces personnages vont vivre devant vous. Ceux qui font La Baule. Vous en connaissez certains, vous en découvrirez d’autres. Vous en faites vous-même partie.

Numéro après numéro, chapitre après chapitre, nous allons feuilleter et vivre ensemble le grand roman de La Baule.

J U L I E N

DES MONSTIERS

Fenêtre ouverte

Après Eugénie Paultre, Julien des Monstiers est en résidence à la villa Boesch en cet été 2014.

Charles Trenet nous invite à rêver devant une noix fermée. Julien des Monstiers nous permet de le faire devant n’importe quoi. Il nous ouvre et nous aiguise le regard. « Il y aura toujours plus d’informations dans 1 cm2 d’un tapis vieilli par le temps que dans 100 m2 de pixels », dit-il.

Les trois mois qu’il a passés à la Villa Boesch ont été féconds. En septembre, il y exposait quelques pièces antérieures et celles nées, pendant l’été, d’un travail techniquement subtil pour un résultat artistique qui ne l’est pas moins.

Une dizaine de grands formats (2 m x 1,7 m) laissaient flotter les regards des visiteurs. On est toujours surpris, quand on regarde un tableau de Julien des Monstiers. On croit voir quelque chose, et puis c’est autre chose qu’on voit, et autre chose encore ; et on se perd dans un labyrinthe de miroirs.

Ne comptez pas sur l’artiste pour vous tendre un fil d’Ariane. Perdezvous, débrouillez-vous, vous finirez bien par vous retrouver au bout d’un voyage qui n’aura pas été inutile.

Des Monstiers, lui, sait d’où il vient.

Il sait même peut-être où il va. Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (il en est sorti en 2008, à l’âge de 25 ans), il y a appris la technique et l’histoire de l’art et affiche son ambition : « Reprendre la peinture là où l’ont laissée nos pères, la recréer pour la rendre contemporaine. Il s’agit d’une reprise de flambeau. » Il s’appuie donc sur des principes pour mieux les faire céder et lui permettre de s’en libérer. « Le but est de faire des toiles qui soient de la peinture, mais une peinture dépassée par les savoirs artisanaux expérimentés. » Il a appris à dessiner, il a appris à peindre, il a aussi appris a dépasser ses apprentissages pour créer un monde qui n’appartient qu’à lui et à ceux qui le regardent.

Chaque détail de ses tableaux est comme un appel à mettre les voiles.

L’infiniment petit d’un détail permet à Julien des Monstiers de s’embarquer dans l’infiniment grand du rêve.

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H U g U E s

DRiANCoURT

Le bel été

1- Plus de 115 000 vues pour l’ émission Destination La Baule.

Hugues Driancourt peut être heureux : La Baule TV est un succès.

2- Des Free Runners en liberté à La Baule.

3- La Baule et la Presqu’île vues du ciel : séquence la plus partagée sur Youtube et Facebook, diffusée au cinéma sur la plage de La Baule, et avant chaque séance au cinéma de Guérande.

4- Les Voiles de Légendes avec un moment exceptionnel et historique dans la baie : les 5 Pen Duick naviguant bord à bord.

Gwenaëlle est un des atouts de La Baule TV.

5- Les correspondants de La Baule TV : des petites vidéos «zapping» ou tout le monde peut participer, en envoyant des vidéos de moments forts ou insolites de la vie de la station...

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Il n’y a pas plus aimable qu’Hugues Driancourt.

Toujours affable et souriant. Mais qu’on ne s’y trompe pas : c’est un corsaire. D’ailleurs, son personnage préféré est Surcouf.

A

Il y a en Hugues Driancourt une volonté de fer. Et de faire.

Relancer La Baule TV n’était pas une mince affaire. Il l’a réussie. Après ses études de journaliste, il a vraiment appris la télé et la radio en les pratiquant à France 3, France Inter, Europe 1 et… à la radio interne de la SNCF. Tout en collaborant avec plusieurs maisons de productions pour TFI, M6 et quelques autres chaînes, il crée une société de production et réalise « Destination La Baule » et « Bienvenue dans la Presqu’île », deux émissions diffusées sur Télénantes.

Pour reprendre La Baule TV, visible sur www.labaule.tv, il a fallu à Hugues une endurance de marathonien. Ça tombe bien : il l’est. Enfant, il passait des journées entières en haut des arbres ; père de famille, il s’est (un peu) calmé mais pratique le paddle à La Baule et le footing à Paris, où il a cette année couru le Marathon jusqu’au bout.

Excessif, il s’est successivement pris pour Agassi en commençant le tennis, Cantona quand il jouait au foot et Spielberg en touchant sa première caméra. Depuis qu’il ne se prend que

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pour lui-même, tous les espoirs lui sont permis.

Il aime la plage d’Herlin à Belle-Ile-enMer, Billie Jean, Chantons sous la pluie et la couleur jaune, mais par-dessus tout sa femme (« J’ai longtemps rêvé d’être avec elle avant d’être avec elle, et c’est toujours la femme de mes rêves… ») et leur fils. Vivant à Paris, il prend sa caméra et le train dès qu’il se passe quelque chose à La Baule.

C’est-à-dire très souvent.

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14-18 août. Jamais les Voiles de Légende n’avaient fait évoluer autant de grands voiliers en même temps.

Notamment cinq Pen Duick, ce qui est exceptionnel.

4, 5 et 6 juillet. Nicolas Lugand, Harold Quinquis, fondateur de l’événement et Florent Julien dans le grand bain du succès pour la 4ème Summer Cup.

18 juillet.

Claudine et Yves Métaireau félicitent Luc Domeau (pas superstitieux : en veste verte) et Xavier Lequerré (à gauche) après le succès du Ring de l’élégance. À droite, Lydia Deturmeny, présidente de l’Office de tourisme.

14 août. 84ème concours d’élégance en automobile. Hommage à Maserati, et quelques-unes de plus belles voitures le long de la plage.

Nouveauté de la saison : le cinéma sur la plage. En prélude au festival qui se tiendra bien au chaud du 20 au 23 novembre.

Un été Tout un programme

à la baule

11 août. La Baule Jazz.

Nikki and Jules ont enflammé les Dryades dans un hommage à Aretha Franklin. Concert final d’un nouveau festival triomphal.

Le 10 août, Arnaud Lemaire et Guy Forget participent à la 6ème édition de la Journée Belle Epoque, sur le site du Garden.

19 juillet Jean-Christophe Ferreaux et l’Ensemble Orchestral de La Baule dans le Triple Concerto de Beethoven. Au violon : Olivier Charlier.

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10-12 juillet.

30 auteurs invités pour le 19ème La Bulle-Escoublac.

Une nouvelle voix pour

J ul i e

Erikssen

Sur la terrasse Mumm de la plage de La Baule, au pied de l’Eden Beach, Julie se dÊtend avec un cocktail de jus de fruits avant de rejoindre son piano et ses admirateurs.

Nouvelle vague à l’Hermitage Barrière. Le Directeur général, Jean-Louis Goube, accueille Julie Erikssen au piano derrière lequel elle a chanté tout l’été.

L’industrie du disque l’a happée et l’a rejetée. Ce qui a permis à Julie Erikssen de devenir ce qu’elle est : une musicienne.

A

ttirée dès l’enfance par le piano, « il n’y en avait pourtant pas à la maison, je ne sais pas comment ça m’est venu », elle découvre dès l’âge de cinq ans les classiques par la Méthode rose, puis s’ouvre aux autres musiques : jazz, blues, gospel, soul et, la guitare de l’adolescence aidant, le rock. En 2003, elle entre dans la vingtaine avec fracas, et enregistre deux disques qui ne manquent pas de succès, Dans ce monde et Entre l’ombre et la lumière (64ème du Top single français en octobre 2004). « Chacun de ces disques s’est vendu à 20 000 exemplaires, j’ai tourné des clips et appris pas mal de choses. Puis, la maison de disques m’a laissée tomber. » Loin de nourrir son amertume, ce rejet l’a libérée : Jody est devenue Julie Erikssen. « Désormais, j’arrête qu’on vienne me chercher. J’avance. » Et elle avance bien. Spectatrice assidue du Duc des Lombards, un des clubs de Jazz les plus courus de Paris, elle demande au programmateur comment faire pour y chanter. Réponse de Sébastien Vidal, également directeur artistique du Nice Jazz Festival et patron de TSF Jazz : « Il faut avoir un public. » Cet été, il lui a confié les Summer Jazz Sessions des 15 et 16 août. Ce qui a conduit Julie a quitté pour deux jours le bar de l’Hermitage Barrière où elle s’est produite tout l’été pour retrouver quelques-uns des plus talentueux musiciens de sa génération, avec lesquels elle aime chanter :

le pianiste Tony Paeleman (« Le nouveau Brad Melhau ! ») , le batteur Romain Sarron (« Très délicat, il a beaucoup de goût »), et le contrebassiste Viktor Nyberg (« Il est Suédois, c’est un des meilleurs contrebassistes »). Trois musiciens qui collaborent à son disque.

En dehors de cette escapade, Julie Erikssen est restée au bar de l’Hermitage, derrière son piano, donnant deux représentations par jour. L’une de 19h30 à 21h00, pour l’apéritif ; l’autre de 22h00 à 23h30, « parfois plus tard, selon la demande des clients, nous avons eu quelques soirées mémorables ! ». Jouer parmi des gens qui parlent ne l’a pas du tout gênée. « On tamise les lumières pendant mon spectacle, je suis très proche du public, je joue ce que j’aime et ce qui leur plaît. » Parfois, des enfants sont venus lui demander des autographes : ils l’ont vue à la télévision, dans The Voice.

L’expérience l’a intéressée. « Apprendre à faire attention à la caméra, participer à un grand show, enrichir mon carnet d’adresses, oui l’aventure a été bénéfique. » Mais ce qui la passionne, en cette fin d’été, c’est l’album qu’elle prépare. Trois chansons sont commercialisées sur internet – Blue Skies, Breath, Open - , sept sont prêtes, trois sont encore à peaufiner. « Je me sens vraiment bien.

La personne que je suis aujourd’hui est réellement moi. J’aurais aimé l’être depuis

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Blablalba lbalblalblabl blabla blablz lzlbalaldldd. blablllllllalba lbalblalblabl

Olivier Alliot, chef barman de l’hôtel, apprend à Julie à manier le shaker.

En échange, lui donnera-t-elle des cours de chant ?

le début de ma vie. Je suis vraiment fière des changements que j’ai faits dans ma vie pour être en accord avec moi-même et m’épanouir malgré la pression de la société. » Végétarienne, admirative de l’écologiste Paul Watson, rêvant de voyages et d’aventures, plus rien n’arrêtera Julie Erikssen. Cette jeune femme douce a une énergie et une pugnacité incroyables. « Je veux continuer de travailler pour continuer de progresser. Je veux continuer à apprendre des choses pour en savoir plus, continuer de grandir. Ça concerne toute forme de connaissance, de la musique à moi-même en passant par la naturopathie, qui me passionne, ou la spiritualité, qui m’intrigue. » Bref, à l’heure où Julie Erikssen a trouvé sa nouvelle voix, toutes les voies s’ouvrent devant elle.

Le 15 juillet 2014, Édouard Roger-Vasselin a été fêté par la Ville de La Baule au Tennis Country-Club Barrière, club où il avait fait ses débuts un quart de siècle plus tôt.

sEs iNDisPENsAbLEs Un jeu de cartes, une corde à sauter et des élastiques.

Les cartes quand il pleut : Édouard est un as de la belote.

La corde à sauter et les élastiques : indispensables pour les échauffements avant l’entraînement. C’est un rituel.

soN CLUb Son club de cœur, le Tennis Country-Club Barrière de La Baule, où il a commencé vers cinq-six ans, sur le court C. Aujourd’hui, il y retourne régulièrement l’été pour jouer… aux cartes !

R e nd e z - vo u s AVEC

éDoUARD

L’AUTRE CLUb qU’iL AimE

R o g E R - VA s s E L i N

Le Football Club de Nantes. Passion qui date de son année à la Jonelière, en 1995. Chez lui, il a des maillots et des écharpes.

Et le porte-clés aux couleurs du FCN ne le quitte jamais.

« J’avais dit que je ne pleurerai pas, et voilà, je pleure ! », a-t-il confié, très ému, après que Yves Métaireau, maire de La Baule, et l’adjointe aux sports Marie-Claude Maligne lui ont remis la médaille de la ville pour sa victoire à Roland-Garros. Victoire en double avec Julien Bénéteau. « Je me demande même, a-t-il ajouté en riant à moitié, si cette médaille ne me fait pas plus plaisir que le titre ! ».

soN PARADis TERREsTRE La plage de La Baule, où il essaie de passer le plus de temps l’été, entre deux entraînements et un parcours de golf, son autre sport de prédilection.

Sentimental, entouré de sa famille et de ses amis, Édouard RogerVasselin aime le naturel, la discrétion et l’équilibre. Heureux avec sa femme et leur fils, il aimerait laisser de lui une famille saine et heureuse et regrette que son emploi du temps ne lui permette pas toujours d’être auprès de ses amis lors des grands moments de leur vie. Il est né l’année où son père, Christophe Roger-Vasselin, a atteint la demi-finale de Roland-Garros en battant Jimmy Connors et connaît bien la carrière de ce père qu’il admire et qui le suit.

« C’est un garçon d’une discrétion et d’une gentillesse infinies. Il n’a jamais coupé le cordon avec nous. Il a toujours un mot pour nous dans les médias. L’an dernier, lorsqu’il était sparring en Coupe Davis, il a fait signer une photo par l’équipe de France pour nous l’offrir. Il n’oublie pas d’où il vient. »

soN PERsoNNAgE HisToRiqUE PRéFéRé Source : http://www.sightswithin.com

Enfant joueur et réservé, il a mis de l’ordre dans son énergie, toute tournée vers la victoire. Ce qui lui a permis cette année d’atteindre la 35ème place mondiale au classement ATP, dont il est le 9ème en double et le 7ème français.

VU PAR JULiEN JARRiJoN DIRECTEUR DU TENNIS COUNTRY-CLUB BARRIÈRE

Napoléon.

L’audace le fascine : Édouard aimerait être plus audacieux.

D’ailleurs, s’il était invisible, il irait dans les vestiaires des joueurs avant et à la mi-temps d’une finale de coupe du monde, pour surprendre les secrets de la victoire.

Secrets qu’il connaît en partie, puisqu’il en a remporté beaucoup.

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Les Instants Fondant

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Le Kisses From, de Christophe Roussel.

Existe aujourd’hui en trois couleurs : rouge à la compotée de framboises, chocolat avec ganache caramel beurre salé et vert avec ganache parfumée au jus de yuzu.

L e S q UA T R e

SAiSONS Gourmandise

DU CHoCoLAT Heureux comme un amateur de chocolat à La Baule, l’expression sera bientôt sur toutes les lèvres. En effet, la station est en train de devenir une des étapes gourmandes pour les friands de chocolat. Ici, le chocolat est roi.

Toute l’année. Il s’y déguste en glaces, en niniches, en gaufres, en confiseries, en pâtisseries et même avec du foie gras. Il y tient même son salon.

O

rganisé par le groupe Lucien Barrière, la Fête du Chocolat, dont la douzième édition se tient le dernier week-end d’octobre, a pour marraine Claudine Métaireau, l’épouse du maire de La Baule, ce qui donne à la manifestation un côté à la fois familial et officiel qui ne trompe pas sur l’importance de l’événement. Quelques-uns des meilleurs artisans chocolatiers du grand Ouest se sont réunis pour célébrer leur passion. Les élèves de la filière « Chocolat » du Lycée Polyvalent SainteAnne organisent, pour la cinquième année consécutive, des ateliers ludiques à destination des enfants.

noires et sucre Muscovado, mousse au chocolat noir et fromage blanc 0% M.G. Autour de lui, il a réuni une équipe de passionnés très inventifs. Parmi leurs trouvailles, les « Coques de La Baule », avec un praliné au sarrasin torréfié.

Le Fondant baulois S’il est un gâteau baulois qui a acquis ses lettres de noblesse, grâce à MarieSophie et Stéphane Boullier, c’est bien

le Fondant baulois, qui s’exporte jusqu’au Japon. Créé il y a plus de trente ans, uniquement vendu dans l’épicerie de M. et Mme Denis, avenue De Gaulle, le Fondant baulois a son secret dans sa recette exclusive, rachetée par MarieSophie et Stéphane. Fait par Valrhôna, grand fabricant de chocolat, avec un dosage très particulier de grands crûs de cacao, le chocolat qui compose ce gâteau est unique.

Cet été, le Fondant baulois a d’ailleurs été reconnu par Le Figaro, comme la spécialité gourmande emblématique de La Baule. Effectuant un tour de France gourmand en douze étapes, Stéphane Durand-Souffland s’est arrêté à La Baule, a goûté à l’aveugle tous les gâteaux au chocolat fabriqués ici, et a fondu pour le Fondant. « Il faut dire que ce gâteau tient du miracle, écrit-il. Une croûte qui croustille sans se dessécher et dissimule un appareil coulant, au parfum de chocolat phénoménal, relevé d’une subtile touche de caramel au beurre salé apparue au cours de la cuisson.

Un maître du chocolat Mais qu’on ne s’y trompe pas : à La Baule, le salon du chocolat, c’est toute l’année. Chez Christophe Roussel, par exemple. Après avoir travaillé à SaintBarth, avec Jean-Marie Rivière, et dans un Relais et Châteaux, il a ouvert sa première affaire à Vannes, a fait une première étape à Saint-Nazaire avant de s’installer voici dix ans à La Baule, d’où il rayonne pour le plus grand plaisir des connaisseurs. Dès 2005, il a remporté à Paris le prix Goût et Santé pour sa bûche Pré Catelan, une compotée de cerises à la fève de Tonka, biscuit aux cerises

Le plus fort : le fondant se conserve parfaitement pendant des jours et des jours. Quatre semaines après achat, sans recours à la réfrigération, il a conservé toutes ses qualités. »

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De La Baule, Christophe Roussel rayonne dans toute la presqu’île, à Paris, où il a un point de vente, et dans le monde entier. Tout comme le Fondant baulois, dont Stéphane et Marie-Sophie Boullier ont fait un succès international.

Bien sûr, Stéphane Durand-Souffland a bien tenté d’avoir la mystérieuse recette.

En vain. « Ce qu’on sait, rapporte-t-il : il faut utiliser un très bon chocolat d’Amérique du Sud, du beurre fin, de la fleur de sel de Guérande, des œufs frais, de la farine et du sucre. Nul n’explique comment se constitue la faculté de conservation du produit, sans adjonction de produits chimiques. »

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Vive la chocologie Régulièrement, au Restaurant La Mascotte, Sébastien Dupont et Sébastien Pasco organisent des soirées Chocologie, pour découvrir le chocolat grand cru. « Au programme, explique Sébastien Dupont, découverte de l’histoire du cacao et du chocolat, initiation à la dégustation et dégustation d’une sélection de chocolats de grands crus de différentes origines. Le tout, ajoute le chef Sébastien Pasco, avec des diététiciennes. »

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1- Pour la Fête du Chocolat, les maîtres chocolatiers rivalisent d’invention.

2- Au parc des Dryades, les enfants partent à la chasse aux œufs de Pâques.

3- Manuel utilise le chocolat aussi pour ses gaufres.

4- Sébastien Pasco et Sébastien Dupont.

Le grain de sel d’Éric Mignard, chef étoilé du Castel Marie-Louise, sur le chocolat

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Le chocolat chaud d’Éric Mignard.

L e S q UA T R e 4

Après tout ça, il restera bien une place pour un des délices de La Baule : la gaufre au chocolat de chez Manuel, délicieusement suave et croustillante.

SAiSONS Gourmandise

DU CHoCoLAT

Un produit pour moi qui est lié à la gourmandise, de l’enfance à l’adulte, c’est tremper ses doigts dans du chocolat !

Le chocolat fait partie des petits plaisirs de la vie dont on a tant besoin.

Il nous fait du bien, nous réconforte et fait frémir nos papilles. Je vous propose une recette simple à boire, chaud ou froid.

Pour 6/8 tasses.

Porter doucement à ébullition ¾ de litre de lait et 250 gr de crème fraîche pendant 2 à 3 minutes.

Retirer du feu et incorporer 250 gr de chocolat noir en petits morceaux. Gratter un peu de cannelle en bâton et une pointe de poivre Timut.

Mélanger bien le tout pour avoir un mélange homogène.

Régalez-vous !

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Le festival du La Baule

Cinéma & Musique de Film Christophe Barratier et Sam Bobino lancent, du 20 au 23 novembre 2014, la 1ère édition du Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule.

De Christophe Barratier, on connaît Les Choristes, Faubourg 36 et La Nouvelle guerre des boutons. De Sam Bobino, on sait qu’il connaît tout, et tout le monde, dans le cinéma, la presse et la mode. Épaulés notamment par Laurent Sarver et Stéphane Malhaire, leurs viceprésidents, ils veulent faire revivre en musique à La Baule, dans une ambiance familiale, les émotions des cinéphiles.

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a Baule et le cinéma : vieille histoire, si on élargit le périmètre. En 1924, un film muet, La Brière, de Léon Poirier, avec M. Tallier et Melle Myrga.

Deux ans plus tard, La Glu, d’Henri Fescourt, d’après le roman de Jean Richepin ; tourné au Croisic et à Guérande avec Germaine Rouer et Henri Maillard.

1938, la mode est déjà aux remakes, et Jean Choux retourne La Glu en sonore avec Marie Bell, Odette Joyeux et André Lefaur. En 1932, Henri DiamantBerger avait tourné une version des Trois mousquetaires au Croisic, à Guérande, à Saillé et sur la Côte sauvage.

Cette version, malheureusement perdue pendant la guerre, alignait Henri Rollan (grand comédien spécialiste de Montherlant), Harry Baur, et Maurice Escande, sociétaire de la Comédie-Française.

Dans les années 50, on se souvient bien sûr des Vacances de M. Hulot, que Jacques Tati tourne à Saint-Marc-surMer. Mais La Baule voit aussi, en 1953, se tourner Les révoltés de Lomanach, film de Richard Potier sur les guerres de Vendée, avec Dany Robin, Jacques Castelot et Jean Debucourt ; notons que Jacques Demy y est figurant.

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F E S T I VA L PRATIQUE 20 projections gratuites au cinéma Le Gulf-Stream.

Pour le détail des séances, voir le site internet : www.festival-labaule.com À noter le samedi 22 novembre à Atlantia, 15h et 20h30, l’Orchestre philharmonique de Prague KSO, 50 musiciens, joue les plus grandes musiques de cinéma. Avec projections simultanées d’extraits des films sur écran.

Tarifs : 42 €, 38 € et, pour les seniors, uniquement sur la séance de 15h, 35 €.

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Photos 1 et 2 : Dans le bar de l’Hermitage Barrière, Christophe Barratier explique à Pierre Sastre, président d’Atlantia et maire-adjoint chargé de l’événementiel, des manifestations et de la communication, le déroulement du Festival, dont la Ville de La Baule et le groupe Lucien Barrière sont partenaires.

Photo 3 En lisant La Revue des Rendez-Vous de La Baule Sam Bobino et Christophe Barratier apprennent tout de cette étrange et attachante peuplade qu’on appelle « Les Baulois».

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Photo 4 : Au cours de l’été, pendant les séances de projection sur la plage, Sam Bobino et Christophe étaient venus à la rencontre du public.

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Le festival du La Baule

Cinéma &

Musique de Film Un an plus tard, Christian Stengel tourne Casse-cou, mademoiselle, avec Marthe Mercadier, Raymond Bussières, Albert Préjean, Pierre Mondy et Jacqueline Joubert.

Cinéaste, Christophe Barratier est aussi musicien. Guitariste, il a remporté plusieurs prix dans des concours internationaux.

C’est un ancien élève de l’École normale de musique de Paris.

Années 60, la mode est aux films à sketches. En 1963, Bernard ToublancMichel, Bertrand Tavernier, Claude Berri et deux autres réalisateurs tournent Les baisers. Baiser d’été, de ToublancMichel, se déroule à La Baule, avec Marie-France Boyer et Catherine Sola.

Plus de vingt-ans plus tard, en 1982, Charlotte Dubreuil tourne La Côte d’amour, avec Danielle Delorme et Mario Adorf. Georges Luneau filme, en 1985, La presqu’île, d’après Julien Gracq, avec Gérard Blain, entre Savenay, Donges, La Turballe et Piriac. Et puis, bien sûr, La Baule-les-Pins, en 1989 à La Baule, au Pouliguen et à Saint-Brévin par Diane Kurys, avec Nathalie Baye, Zabou Breitman, Jean-Pierre Bacri, Richard Berry et Vincent Lindon.

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En 2001, il y a 15 août, de Patrick Alessandrin, avec Richard Berry, Jean-Pierre Darroussin, Mélanie Thierry et Ludmila Mikaël, que Jacques Tréfouël filma en Brière dans Les eaux dormantes, adapté du roman éponyme de BoileauNarcejac.

On peut noter aussi Méchant garçon, de Charles Gassot, et Son frère, que Patrice Chéreau tourna sur la Côte sauvage, bien que le roman de Philippe Besson dont il est tiré se passe à l’île de Ré. Mais Chéreau aimait la région et était un habitué du Fort de l’Océan, au Croisic.

Le Croisic, où résidèrent Eric Cantona et Rachida Brakni, et où Claude Chabrol passa les dernières années de sa vie.

Le Croisic, où a été créé un festival de cinéma, « De la page à l’image », qui remporte un beau succès. Le Croisic, où Sam Bobino vient d’acheter un piedà-terre.

Présente sur tous les événements qui comptent à La Baule, l’équipe du salon Ruhlmann leur apporte une touche d’élégance et de style.

Dans son calme salon climatisé sur terrasse plein sud, elle sait aussi composer la coiffure qui vous ressemble et vous révèle.

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Du jeudi 20 au dimanche 23 novembre 2014, la 1ère édition du Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule créé et présidé par Christophe Barratier (Les Choristes, Faubourg 36, La Nouvelle Guerre des Boutons) et Sam Bobino (délégué général des Prix des Lumières), propose une vingtaine de films (compétition officielle, rétrospectives, avant-premières) projetés gratuitement ainsi que des rencontres avec le public et des ciné-concerts.

Les plus grandes marques travaillent avec le salon Ruhlmann.

L’Oréal, Alexandre de Paris, Leonor Greyl et Balmain, entre autres.

Le jury est présidé par Jean Becker (L’été meurtrier, Elisa, Les enfants du marais, La tête en friche et Bon rétablissement en salles actuellement). La sélection officielle comporte six films internationaux qui concourront pour l’Ibis d’Or. Hommage rendu à Claude Lelouch et à Francis Lai qui célèbrent leurs 50 ans de collaboration, lors de la cérémonie de clôture, samedi 22 novembre à 20h30 à Atlantia. Hommage suivi d’un concert avec la complicité de Francis Huster.

Jean-Paul Rouve est présent. Son nouveau film Les Souvenirs, (musique composée par Alexis Rault), projeté en avant-première le vendredi 21 novembre à 20h au Gulf Stream, en présence de toute l’équipe : Annie Cordy, Mathieu Spinosi, Michel Blanc, Chantal Lauby et Audrey Lamy.

Autres événements : l’avant-première du film “Whiplash”, en ouverture le 20 novembre à 20h au Gulf Stream; le nouveau film de Mike Leigh Mr Turner le 22 novembre à 14h au Gulf Stream et Qu’Allah bénisse la France le samedi 22 à 17h au Gulf Stream en présence du réalisateur et chanteur Abd Al Malik.

Autres moments forts : la rencontre des artistes avec le public, dimanche 23 novembre de 12h à 13h à la Halle du Marché, et la Master Class avec Claude Lelouch et Francis Lai, ce même dimanche à 14h au Gulf Stream.

19, boulevard Hennecart 44500 LA BAULE 02 40 01 76 82 www.coiffeur-la-baule.com

Important : programme donné sous réserve de modifications.

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Les Moments de l’Hermitage Barrière

m u s i cau x

© Benjamin Aelovega

Les Moments Musicaux sont des moments uniques dans la vie d’un mélomane. Le maître d’œuvre en est René Martin, qui les a conçus voici près de trente ans, plusieurs années avant les Folles Journées de Nantes.

Cette histoire maintenant longue recommence chaque année, au printemps et à l’automne. Et, chaque fois, c’est un événement.

Lauréat de nombreux prix internationaux, les Voces8 est l’un des principaux jeunes ensembles vocaux britanniques. Vous les entendrez en mars 2015 dans un programme de comédies musicales.

7, 8 et 9 novembre 2014, « Il s’agit à chaque fois, explique René Martin, de faire vivre un événement à partir d’une rencontre entre musiciens qui ne se connaissent pas forcément, et qui sont mis au défi de jouer ensemble sur des œuvres imposées.

La complicité qui en résulte s’étend jusqu’au public et celui-ci en est conscient.

C’est à cela que tient avant tout le miracle des Moments Musicaux. »

C’est déjà demain : la découverte de jeunes prodiges Cette édition automnale rassemble les plus brillants représentants de la nouvelle génération, pour trois jours placés sous le signe de la complicité avec leurs professeurs.

Ces professeurs sont des artistes très prestigieux : les membres du Trio Wanderer, Jean-Marc Philips-Varjabedian (violon), Raphaël Pidoux (violoncelle) et Vincent Coq (piano), et la pianiste Claire Désert.

Le public pourra découvrir les jeunes violonistes, altistes, violoncellistes, pianistes et instrumentistes à vent qui seront l’élite

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de demain. Pendant ce week-end, il lui sera donné d’appréhender la relation unique entre élève et professeur et d’entrer dans le monde de la transmission.

Autre événement : se produira la Folle Journée Camerata, nouvel ensemble d’une quinzaine de musiciens dont la création a eu lieu à Tokyo. Ce sera l’occasion d’écouter des œuvres rarement jouées en concert et qui n’ont jamais été données aux Moments Musicaux : l’Octuor de Schubert ou le Septuor de Beethoven, mais aussi des quintettes de Dvorak ou les trios de Brahms…

Il y aura également le trio Les Esprits, avec Mi-Sa Yang (violon), Victor JulienLaferrière (violoncelle) et Adam Laloum (piano).

Jean-Marc Philips-Varjabédian, Vincent Coq et Raphaël Pidoux forment le Trio Wanderer.

Présents en novembre, tout comme …

© Lyodoh Kaneko

© Marco Borggreve

… le Trio Les Esprits pour un week-end consacré aux jeunes prodiges.

René Martin, entouré de quelques-uns des jeunes talents qu’il a découverts, est l’âme de ces Moments Musicaux.

Claire Désert

20, 21 et 22 mars 2015, Viva l’Opéra !

Pour fêter le printemps, pour la première fois depuis la création des Moments Musicaux, le Salon des Ambassadeurs se transforme en petit théâtre d’opéra. © Alvaro Yanez

Dès le 20 mars, soirée de gala autour des plus beaux airs du bel canto.

Le lendemain à 18h00, une production époustouflante du Don Giovanni de Mozart. Cette version au piano a fait le tour du monde. Elle garde toute la magie d’un opéra traditionnel, avec costumes et décors magnifiques et mise en scène éblouissante.

a noter Renseignements et réservations : Tél. : 02 40 11 46 46 hermitageresa@lucienbarriere.com www.momentsmusicaux.com

Le dernier jour, voyage à travers les comédies musicales, de Porgy and Bess à West Side Story.

Une scène de Don Giovanni, par la troupe Diva Opera, compagnie anglaise spécialisée dans d’opéra de chambre.

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D’autres concerts et récitals rythmeront le week-end, avec des programmes vocaux très originaux de deux ensembles fantastiques : Diva Opera et Voces8.

Jean-Marc Roberts Propos d’un joueur

« Jouer est le plus grand plaisir de la vie » Propos recueillis en 1991 par Stéphane Hoffmann

Jean-Marc Roberts aurait fêté cette année ses soixante ans. Il a notamment écrit Une étrange affaire (prix Renaudot 1979), L’ami de Vincent, Toilette de chat et une vingtaine d’autres livres jusqu’au tout récent Deux vies valent mieux qu’une, où il raconte le cancer du poumon qui l’a emporté à l’âge de 58 ans. Editeur, il a publié Philippe Claudel, Blandine Le Callet, Nina Bouraoui, Jean-Marc Parisis, Eric Reinhardt, Christian Authier, Christine Angot et bien d’autres, dont Didier van Cauwelaert. Jean-Marc Roberts aimait La Baule, où il venait passer des étés en famille, avec ses amis Modiano. Et, à La Baule, il ne se baignait jamais et aimait le casino. Voici ce qu’il confiait sur le plaisir de jouer.

J

e suis venu la première fois à La Baule pour jouer au casino. Je n’y suis pas resté parce que j’ai perdu.

Depuis, je reviens pour me refaire. Je regarde la bille tourner autour du cylindre.

Je n’ai jamais gagné à La Baule. Je me demande pourquoi j’y viens. Sans doute parce que j’aime ça !

Je joue depuis 1975, c’est-à-dire depuis que j’ai l’âge de jouer. Au début, j’avais beaucoup de superstitions. Pendant six ans, j’ai porté le même costume parce que je pensais qu’il me portait chance.

Je n’ai jamais porté de vert pour la même raison. Je n’aime pas les casinos trop grands, c’est pourquoi je n’aime pas Deauville ; mais j’aime bien Trouville.

J’aime bien aussi Aix-en-Provence, c’est un de mes casinos fétiches.

Le vrai joueur est celui qui aime se refaire. On perd, on gagne, on reperd, on regagne, ça prend du temps. Moi, perdre ne me gêne pas, mais je n’aime pas perdre trop vite. Ma plus grosse perte en un soir : 10 000 francs. Mon plus gros gain : 15 000 francs.

J’ai joué au poker, j’ai arrêté : c’était trop de travail. Je jouais avec des amis : André Balland, Guillaume Durand, Yves Stravidès. Or, le poker est un jeu où l’on découvre les gens ; il faut bien les

© Olivier Dion / Opale

Si je mets l’amour à part, je trouve que le plus grand plaisir de la vie, la plus grande excitation, c’est de toucher un numéro en plein, ou alors le numéro avec les chevaux.

connaître pour bien jouer. Mais si on les connaît bien, ils deviennent des amis. Et si on joue bien, on leur prend de l’argent.

C’est pénible de prendre de l’argent à ses amis.

Mais jouer au poker m’a servi avec mes auteurs. Quand on joue, il faut devenir l’autre. Avec les auteurs dont je m’occupe, je deviens l’autre.

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J’ai joué aussi au gin rummy. J’ai arrêté.

Ni échecs, ni backgammon : ce sont des jeux intelligents. Tandis que la roulette…

Finalement, j’aime autant la roulette !

de LEs TAbLEs Caroline

LE bisTRoT DE L’oCéAN

L’oCéAN plein sud sur la mer

en toute décontraction

Salle à l’ambiance décontractée, prolongée d’une terrasse donnant sur la mer et la plage de Port-Lin. Poissons, coquillages et fruits de mer exceptionnels de fraîcheur ; le tout préparé pour laisser toute leur saveur aux produits. Ajoutons les desserts de notre enfance, la gentillesse et l’accueil de toute l’équipe de Charles et Dominique, et ce cadre de rêve ! Ici aussi, la mer murmure à l’oreille de tous les gourmands dans un cadre de rêve.

Pas un séjour à La Baule ne se fait sans un repas à l’Océan.

Restaurant à dominante de poissons. Ici, le chef Gérald Samson respecte le produit en le présentant dans sa fraîcheur et sa simplicité. Parfois, une sauce subtile est proposée, à part.

La saveur est préservée.

Carte des vins complète et bien composée. Les desserts du chef-pâtissier sont à tomber de bonheur : soufflés chauds Cointreau ou citron vert, baba au rhum et autres splendeurs.

plage de port Lin - 44490 Le Croisic 02 40 62 90 03 www.restaurantlocean.com

plage de port Lin - 44490 Le Croisic 02 40 42 90 03 www.restaurantlocean.com

L’EDEN bEACH Spécialités de poissons et fruits de mer Amarré sur la plage, l’Eden Beach vous accueille dans un nouveau décor laissant place au bien-être et à la lumière, le tout dans une atmosphère chic et décontractée.

Sa cuisine met en avant plus que jamais la fraîcheur des produits de la mer issus des premiers arrivages du marché.

Plateau de fruits de mer, bar en croûte de sel, c’est tout l’océan qui s’invite à votre table.

S’attabler à l’Eden Beach, restaurant de poissons et crustacés de l’Hôtel Hermitage Barrière, c’est goûter au plaisir unique d’une table dressée sur le sable face à la baie de La Baule avec vue imprenable sur l’Île des Evens... Une étape incontournable pour vos repas en famille ou entre amis !

Nouveauté : L’Eden Beach vous accueille tout l’hiver au déjeuner et au dîner.

Menus à partir de 22.50 €

5,esplanade Lucien Barrière 44500 La Baule-escoublac 02 40 11 46 16

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Un Noël plein La Baule

D’éToiLEs Nous avons demandé aux trois chefs étoilés de la région bauloise de vous préparer le plus succulent des repas de Noël.

gUiLLAUmE bRisARD LE FoRT DE L’oCéAN

ne pas lui offrir Passionné de golf, il a tout le matériel.

lui offrir Du matériel photo, son autre passion

Huîtres et Langoustine Algues Fraîches Par personne Spoom Huîtres 200 g crème fleurette 4 huîtres Mixer à froid les huîtres et la crème. Passer à la passette et disposer dans un siphon et mettre 2 cartouches de gaz.

Maki Langoustines algues : 2 belles langoustines 30 gr d’algues fraîches (Nori, Dulce…)

Hacher grossièrement la langoustine, Hacher plus finement les algues, ajouter une pointe de fleur de sel.

Disposer ce mélange dans une feuille de nori et monter le maki grâce à un tapis en bambou.

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Tartare Huîtres, sésame wasabi : 2 belles huîtres 10g d’algues fraîches 5 g de pince de langoustines décortiquées 1 pincée de sésame wasabi Ouvrir les huîtres et garder les coquilles.

Hacher grossièrement les huîtres Hacher finement les algues, décortiquer les pinces de langoustines et réunir le tout.

Mélanger puis ajouter le sésame wasabi.

Dressage : Disposer le tartare d’huître dans la coquille creuse.

Ajouter le spoom huître et quelques paillettes d’algues sèches. à part sur la partie plate de la coquille, ajouter le maki préalablement découpé en biseau.

Finir avec quelques pousses de cerfeuil et 1 feuille d’Oyster leave.

Chou-fleur de Bretagne au safran et Ormeau grillé Prendre un chou-fleur de Bretagne, le décomposer en un bouquet de grosses fleurs puis le mettre à cuire dans un bouillon de poule accompagné de pistils de safran (environ une quarantaine).

Photo miel : © Dionisvera - Fotolia.com Photo plume : © kolidzei - Fotolia.com

Une fois cuit, conserver soigneusement au frais l’eau de cuisson après en avoir rectifié l’assaisonnement.

Mixer la pulpe de chou dans un Thermomix pour obtenir une fine purée lisse et homogène.

Nettoyer avec délicatesse les ormeaux, puis les faire saisir sur une plancha ou dans une poêle fumante légèrement graissée à l’huile d’olive.

Donner un tour de moulin à poivre , cette opération ne dure qu’une minute juste pour saisir le coquillage.

Dans un bol, déposer une belle cuillère de mousseline de choufleur au safran froide puis planter dessus quelques sommités de chou fleur de couleur crus afin de faire un jardin coloré. ajouter quelques pousses d’herbes de saison, déposer l’ormeau rôti, et arroser du bouillon de cuisson bien frais.

Saupoudrer d’une pincée de café moulu et de quelques grains de fleur de sel de Guérande.

On peut accompagner cette recette d’un blinis nature ou au chou-fleur. On peut aussi remplacer l’ormeau par une belle langoustine, du caviar ou du homard

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LA mARE AUx oisEAUx

Du miel, il en produit.

Des plumes, il adore écrire.

éRiC gUéRiN

ne pas lui offrir

lui offrir

Des bonbons, il aime les… mignardises.

ne pas lui offrir Un tambour, il déteste le bruit.

Bûche au chocolat caramel au beurre salé Une belle bûche au chocolat caramel au beurre salé, sa mousse est onctueuse, sa génoise moelleuse, son glaçage brillant… Accompagnée d’un caramel coulant et d’un Cidre de Givre du domaine Dupont.

Une leçon de bûche de Noël : la mousse est onctueuse, sa génoise moelleuse, son glaçage brillant… Cette recette, il est possible de la réussir à la maison avec plus de simplicité.

Vous pouvez réaliser une génoise au chocolat cuite en plaque pour ensuite la rouler, badigeonner de crème de caramel du commerce et disposer ensuite votre mousse au chocolat noir. Parsemer de noisettes concassées (ou même d’un mélange d’amandes et de noisettes salées) Rouler la bûche en serrant bien. L’extrémité se casse un peu, ce n’est pas grave.

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Conserver la bûche roulée au réfrigérateur pendant au moins deux heures avant de la glacer.

La bûche de Noël au chocolat et au caramel peut être préparée la veille, et patienter tranquillement au frigo jusqu’au soir du réveillon.

Pour un glaçage facile : fondre au bain Marie tous les ingrédients : 150 gr de beurre doux, 160 gr de chocolat noir, 140 gr de sucre glace passé au tamis, 6 cl de lait.

Une fois que le chocolat et le beurre ont fondu, retirer la préparation du feu et mélanger.

Tempérer légèrement avant de glacer votre bûche.

Photo tambour : © Dmitry Vereshchagin - Fotolia.com

LE CAsTEL mARiE-LoUisE

éRiC migNARD

lui offrir

de LE sHoPPiNg Caroline

bY sEgoLo

LA LibRAiRiE DU CAsiNo

Un nouvel univers

Ouvert tous les jours Réaménagée, la boutique de Ségolo regorge des dernières collections de créateurs français et européens on ne peut plus tendance.

Parkas et manteaux.

Mailles italiennes de Ninati, étoles de laine et soie du Danois Beck Sönder Gaard. Sacs français Estellon en exclu. Nombreux accessoires.

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Pascale Albaret aime tellement les livres qu’elle parvient à en présenter beaucoup. Demandez-lui conseil, elle vous guidera dans vos choix.

Littérature, histoire, politique, bien-être, jeunesse, poche et auteurs régionaux.

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LE CAFé LATiN DE sYLViE

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Jardin intérieur ou salon, c’est comme chez soi, et même mieux que chez soi puisque la cuisine est faite maison, avec amour, gentillesse et gourmandise par Sylvie. Tous les jours pâtisseries, crêpes, gourmandises, entremets : Sylvie adore faire les desserts. Elle aime aussi les plats du jour simples et raffinés. Soirée musicale le samedi.

L’épicerie fine du Café Latin propose des douceurs délicieuses : entre autres confitures, caramels, et la mousse au chocolat de Sylvie.

Partenaire de grandes marques de cosmétiques comme ESTHEDERM, CINQ MONDES et SOTHYS, Claire propose une carte de soins inventive pour un voyage sensoriel et un dépaysement total. Appareils de pointe comme le Lipomodelage® /Cellu M6, le Liftmodelage visage expert®.

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Les carnets de Rencontrer et débattre

rendez-vous En travaux, Atlantia ne put accueillir en 2013 le Rendez-Vous des écrivains.

Créée en 2011, la manifestation reçoit mille visiteurs pour sa première année.

Quatre fois plus l’année suivante. Les 24, 25 et 26 octobre 2014 a lieu le troisième épisode, dans un Palais des Congrès rénové. Retour sur les deux premiers chapitres.

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C

1- Au bar de l’Hermitage Barrière, Stéphane Hoffmann, Michel Déon, Jean d’Ormesson et Yves Métaireau.

2- Eric Neuhoff et Chantal Déon. À l’arrière plan, Michel Déon et Nicole Vitoux. Longues et fécondes amitiés.

3- De gauche à droite, Valérie Bochenek et Jean-Louis Debré, l’ambassadeur Jean-François Parot, Jean d’Ormesson et Malcy Ozanat.

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ertes, ce n’est pas la première fois que des écrivains se retrouvent dans la région bauloise.

Balzac, Musset, Flaubert, Alphonse Daudet, Zola, Pierre Loti, Apollinaire, Sacha Guitry et Frédéric Dard y ont séjourné. Plus près de nous, Jean Dutourd, Patrick Modiano et Jean-Marc Roberts y ont passé plusieurs étés. Au mois de juillet depuis près de vingt ans, Bernard et Brigitte Martin y organisent et animent les Écrivains en bord de mer.

Car il y a aussi spectacles, expositions, concerts, pauses gourmandes et gastronomiques. Il s’agit de concevoir le livre comme une possibilité de vivre mieux. De mieux profiter de l’existence.

Et c’est pour perpétuer cette tradition que, à la demande d’Yves Métaireau, a été conçu le Rendez-Vous des écrivains, manifestation littéraire ouverte aux autres arts.

En 2011, privé de commémoration nationale, Céline, dont l’année marque le cinquantième anniversaire de la mort, est célébré à La Baule. Une table ronde réunit quelques-

Il ne s’agit pas non plus de faire un de ces salons où chaque auteur attend le client derrière sa pile de livres. Mais de favoriser les rencontres entre les écrivains et leurs lecteurs, des écrivains avec d’autres artistes, et des écrivains entre eux.

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uns des meilleurs spécialistes de l’écrivain : Frédéric Vitoux, de l’Académie française, le comédien Christophe Malavoy et Philippe Lançon, critique littéraire à Libération.

Salle pleine et public enthousiaste Comme la quinzaine de tables rondes organisées au cours du week-end.

En 2012, pendant que Jean d’Ormesson réunit plus de 800 personnes dans l’Auditorium, Bernard Bertho se demande, avec Macha Méril et Stéphanie des Horts, si le pouvoir des femmes a changé. Puis, Paul Gourain traite de « Police et société » pendant que Patrick Barbier entraîne le public dans un « voyage musical dans la Naples baroque ».

En fin de cet après-midi du samedi, Catherine Decours, présidente de l’association des Rendez-Vous de La Baule, réunit Gonzague SaintBris et Jean-Michel Riou pour traquer les secrets de Louis XIV pendant que Christian Boyer, en illustration à son exposition de photos, donne une causerie sur l’âge d’or du photo-reportage.

Le lendemain, Michel Déon, Jean d’Ormesson et Christian Millau rendent hommage à leur ami Roger Nimier à l’occasion du 50ème anniversaire de sa mort. Pendant ce temps, dans une autre salle, Macha Méril lit des lettres de Mme de Sévigné à un public enchanté.

Dans l’après-midi, Gonzague Saint-Bris régale la salle avec son spectacle « Dans le salon de l’Histoire ». En ce dimanche après-midi, on parlera encore peinture, bande dessinée et histoire locale.

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1- Nicolas d’Estienne d’Orves et Christian Millau.

Ces deux-là s’entendent comme larrons en foire.

2- Au bar Marie-Louise : Philippe Lançon, critique à Libération, Romain et Francesca Sardou, Frédéric Vitoux, de l’Académie française, et l’historien Jean-Christian Petitfils.

Tandis que Jean-Louis Debré évoque le plaisir d’écrire quand le Conseil constitutionnel lui en laisse le loisir Catherine Decours arbitre une rencontre intitulée «Ecrire dans l’Histoire», avec Jean-François Parot, Jean-Michel Riou et Nicolas d’Estienne d’Orves.

3- Entouré d’Yves Métaireau, Frédéric Vitoux et Eric Neuhoff, Michel Déon rend visite au pin qu’il a planté en 1991 sur le remblai.

En 2014, Eric Neuhoff a obtenu le prix littéraire de la fondation Prince Pierre de Monaco pour l’ensemble de son œuvre.

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4- 2012. À son tour, Jean d’Ormesson vient de donner son nom à un pin.

Autour de lui, de gauche à droite Yannick Urrien (La Baule plus, Kernews), Gonzague Saint Bris, Caroline Gaudfrin, Stéphanie des Horts, Stéphane Hoffmann et Annie Leguen.

5- Devant 800 personnes, conversation entre Stéphane Hoffmann et Jean d’Ormesson.

6- Alexandra Métaireau a réalisé un film sur Michel Déon, qui visite l’exposition de Gérard Fruneau.

7- Claudine Métaireau, Christophe Malavoy et Françoise Dorin.

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Les carnets de Rencontrer et débattre

rendez-vous

de LEs HÔTELs Caroline

LE FoRT DE L’oCéAN

HÔTEL DE L’oCéAN

Un hôtel Relais et Châteaux face à la mer

Le cœur ouvert sur la mer

Dirigée par Valérie Criaud, délicieuse maison confortable, solide et raffinée, posée sur les rochers face à la mer dans un grand jardin plein de fleurs, protégé du vent, offert au soleil : tel est le Fort de l’Océan.

Neuf chambres, toutes différentes, aux détails délicats : tissus chauds, nobles et légers (du lin, du coton, de la laine), lampes et gravures anciennes. Tout ici est fait pour des séjours de dépaysement, repos et ressourcement.

Posé sur les rochers de la Côte Sauvage, l’Océan invite à tous les voyages.

Il abrite chambres et suites de charme à l’esprit contemporain où grand confort rime avec harmonieux décor.

Ton blanc ponctué de notes de couleurs, lumières marines, atmosphère de croisière… la magie opère.

Figure de proue du Croisic, l’Océan, entièrement rénové, raysonne d’élégance et de caractère !

pointe du Croisic - Côte Sauvage - 44490 Le Croisic 02 40 15 77 77 - Restaurant une étoile Michelin. www.relaisetchateaux.com - www.hotelfortocean.com

plage de port-Lin - 44490 Le Croisic 02 40 62 90 03

CAsTEL mARiE-LoUisE

RésiDENCE LE VéNÈTE

Relais et châteaux

en toute liberté, de tout confort

Posé face à la mer, dans un parc aux arbres centenaires le Relais & Châteaux Castel Marie-Louise vous ouvre ses portes pour vous choyer et faire de chaque instant un moment magique. Vous serez vite séduit par l’accueil chaleureux, la douceur des lieux qui vous donneront l’impression de retrouver la maison de vos vacances. On se croirait tout droit sorti d’un conte de fée, avec ses chambres dans les tourelles, ses lits à baldaquin, on imagine plein d’endroits secrets à découvrir et une belle histoire à vivre.

Hébergements indépendants à 50 mètres de la plage de Port-Lin. Créé par Gérard et Yolande Louis, cet établissement offre les prestations et le confort d’un hôtel et l’indépendance d’un appartement en location.

Télévision à écran plat, lave-linge, salle de bain privative et cuisine équipée dans chaque appartement. Petits-déjeuners sur demande à l’hôtel de l’Océan.

1 avenue Andrieu - 44500 La Baule 02 40 11 48 38

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© Henry Schmitt - Fotolia

Gardez intact le plaisir de lire

Jean-François Breuil, opticien diplômé ENO MOREZ et installé depuis 35 ans à La Baule est spécialiste basse vision DMLA, Dégénerescence Maculaire Liée à l’Âge.

Agrandissez, lisez, et écoutez tout ce que vous voulez, et sauvegardez vos photos de famille et documents importants…

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PRODIGI

La lecture simple en deux temps trois mouvements

L’histoire au cœur

bernard bERTHo Rencontrer Bernard Bertho rend de bonne humeur. Son rire, déjà. Le bon rire de Bernard.

Et puis cet air de toujours avoir le temps, alors que c’est un infatigable travailleur. Animateur du Relais culturel d’Escoublac, il y organise des expositions et un festival de bande dessinée, La Bulle Escoublac. Depuis vingt ans, il publie pratiquement un livre d’histoire par an.

L’an dernier, avec Empreintes retrouvées dans les sables…, il remontait aux origines d’Escoublac, avec ses premiers habitants, Celtes d’Asie centrale que seul l’océan a retenus d’aller plus loin. Cette année, Bertho a publié un très émouvant livre sur 1914. Mêler, comme il le fait, la vie quotidienne des habitants d’Escoublac au grand conflit international rend le drame plus proche. Après, on ne regarde plus de la même manière un monument aux morts. Les livres de Bernard Bertho permettent de vivre mieux. Ce qui rend aussi de bonne humeur.

L’enchanteur est de retour

Christophe CRéPiN En feuilletant Voyage balnéaire de la Côte d’Amour à Damgan… (La Mouette éditions), on entend grincer les pins dans la brise, filer les bicyclettes sur le remblai, tinter les haubans dans les ports, chantonner les enfants qui sautent dans les flaques tièdes à la recherche de petits crabes et de gros trésors.

On a sur les lèvres le goût de l’eau de mer et des pommes d’amour, des huîtres fraîches et des crêpes chaudes. On a sur la peau l’éclat du soleil, l’écume qui jaillit des rochers, et le vent chargé d’iode dans les cheveux.

Son livre sent bon le petit matin dans les canaux de Brière, les roseaux froissés par la brise, l’eau rouillée du port de Saint-Nazaire, le sable au parfum de brioche de la plage de La Baule. Mais c’est l’œil, bien sûr, que sollicite et que nous permet d’exercer Christophe Crépin.

L’histoire en héritage

gaël ARCHimbAUD Son père, Yves Archimbaud, avait fait œuvre de pionnier en publiant deux livres sur La Baule. Gaël a repris le flambeau et ajouté un volume à l’œuvre de son père. Puis, il a publié un précieux ouvrage sur La Baule et l’automobile.

Cette année, il est allé plus loin en publiant le premier tome d’une histoire de La Baule en bande dessinée. Et si La Baule m’était dessinée, tome 1 1751-1939. Avec sept dessinateurs différents : Thomas Jacob-Duvernet, Raymond Le Clainche, Yann Martinet, Alexia Roman, Paul Laurent et les enfants du conseil municipal des jeunes. « Ils étaient guidés. J’ai bâti le synopsis des bandes dessinées. Parfois, je fournissais des cartes postales à reproduire. Mais ils pouvaient s’en libérer et certains l’ont fait. »

Les carnets de rencontrer et débattre

RENDEz-VoUs

Toute l’Afrique chante et danse

Calixthe bEYALA Avec Le Christ selon l’Afrique (Albin Michel), Calixthe Beyala a écrit un des livres les plus gais, les plus toniques et les plus désespérés de l’année. Gai et tonique comme elle l’est elle-même. Ici photographiée par Patrick Gérard sur la plage de La Baule, devant l’Eden Beach, juste avant le dîner suivant la rencontre avec le public des Rendez-Vous d’Atlantia, Calixthe Beyala se sent aussi bien française qu’africaine. Romancière française d’origine camerounaise elle a, par son roman, voulu se demander ce que va faire l’Afrique dans un monde de plus en plus difficile pour elle. Cette Afrique qui « a vu s’abattre sur elle une flopée de Blancs chassés de l’Europe par la crise économique. » Et elle se demande si l’Afrique ne va pas mourir « pour que le reste de l’humanité vive. » Voilà aussi pourquoi ce livre si drôle est désespéré.

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Dans l’album Rencontrer et débattre

des rendez-vous

Christine

Morault Invitée des « Ecrivains en bord de mer », l’éditrice Christine Morault a eu l’hommage d’une exposition de quatre mois à la Bibliothèque municipale de Nantes, pour les vingt ans de la maison MeMo, qu’elle a créée avec Yves Mestrallet.

Conversation sur la terrasse de l’hôtel Saint-Christophe.

Quelle est votre activité ?

Depuis 1993, nous avons édité des livres d’images d’hier et d’aujourd’hui, des cartes et des plans, des livres d’histoire, de la poésie et des livres d’artistes. Nous éditons à présent des livres illustrés pour les plus jeunes, qu’aiment aussi les plus grands.

Votre premier livre ?

Indiennes de traite à Nantes. Des motifs de tissus imprimés destinés à la traite négrière au 18ème siècle, conservés au Château de Nantes.

Et ensuite ?

Une vingtaine de parutions annuelles, dans un catalogue en zigzag. Mais toujours des constantes : l’existence d’un fonds d’images et leur reproduction au plus près de leur matérialité première, accompagnées de textes écrits par ceux qui en connaissaient l’histoire et savaient la partager.

L’image est très importante…

Nous croyons à la modernité sans âge des images. Et à leur pouvoir d’évocation. Ce qui nous a poussés à privilégier l’auteur artiste. Nous nous effaçons devant l’auteur et l’artiste. C’est la seule et grande politesse de l’éditeur.

Autre personnage important dans votre travail : l’imprimeur !

Le maître imprimeur, aujourd’hui disparu, Pierre Pasco, fut notre premier guide.

Daniel Vrignaud, de l’imprimerie SaintAignan, et sa presse Heidelberg, nous enseigna sur place notre métier de fabricants.

Ils étaient encore les héritiers des compagnons, imprimeurs depuis Gutenberg, dans des ateliers disciplinés et fraternels.

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Ils vous ont bien accueillis ?

C’est avec eux que nous nous sommes formés. Sans doute attendris par notre manque de préparation, ils nous ont donné, avec une grande générosité, les rudiments de la chose imprimée.

Ils travaillaient pour une petite « industrie fine » dont les jours étaient comptés, et ils aimaient profondément leur métier.

1

Vingt années du travail de MeMo : des dizaines de livres sortis de l’oubli et remis en circulation grâce à un travail minutieux.

Un beau travail de restauration des éditions MeMo sur l’ouvrage « Quand la poésie jonglait avec l’image », album tiré de quatre livres constructivistes russes, publiés entre 1925 et 1927. En 2005, MeMo a fait imprimer ce livre en vingt tons directs pour recréer les couleurs de l’impression en lithographie des éditions originales.

C’est encore possible ?

Presque toutes les presses qui ont imprimé nos premiers livres ont été transformées en outils de découpe.

Dorénavant, nous imprimons en offset.

Mais nous continuons à vouloir donner à nos ouvrages la même qualité artisanale, le même soin patient.

Ce qui doit vous prendre un temps fou !

Nous photogravons nous-mêmes, pendant des centaines d’heures, les images de livres d’autrefois pour les séparer, couleur par couleur, et les réimprimer en tons directs.

Les livres contemporains sont imprimés après des essais sur machine.

Certains tons directs sont imprimés plusieurs fois pour en rendre la couleur plus intense.

Pourquoi vous donnez-vous tout ce mal ?

Parce que nous rêvons, Yves Mestrallet et moi, que tous ces livres, qu’ils aient été créés hier ou aujourd’hui, donnent à leur lecteur le plaisir de l’objet. Ce plaisir est aussi un chemin vers l’art et la littérature.

Et nous continuons à croire à ce beau projet humain qu’est l’atelier du livre.

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2

3

1- Animaux à mimer, de Serge Tretiakov et Alexandre Rodtchenko.

48 pages, 21,5 x 28 cm.

Illustrations en trichromie. Livre paru en 2010 dans La Collection des Trois Ourses.

2. Indiennes de traite à Nantes.

80 pages 23x32 cm.

30 reproductions en bichromie.

Textes et illustrations imprimés sur presse typographique.

Couverture sur papier chiffon 240 G. Intérieur sur bouffant 80 G. 2007.

3. Christine Morault et Anne Lemoine, Directrice adjointe de la bibliothèque municipale de Nantes devant une des vitrines de l’exposition présentant l’album Drôles de bêtes, textes et dessins de André Hellé, paru en 2011.

L’ é v é n e m e n t

Atlantia

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New Look

En un peu plus de 25 ans, le Palais des Congrès de La Baule a écrit quelques-unes des plus belles pages de la station. Embelli, rénové, agrandi après plusieurs mois de travaux, Atlantia peut afficher de nouvelles ambitions.

A

tlantia est inauguré le 7 mai 1987 par le Premier ministre Jacques Chirac, entouré de certains membres de son gouvernement : Jean Arthuis, Alain Madelin, Michel Noir, Philippe de Villiers et quelques autres. Certes, La Baule organise des congrès depuis 1978 mais, avec ce nouvel outil, l’activité se développe en même temps que l’activité artistique puisque, pour sa première saison, Atlantia accueille des artistes aussi différents que Fats Domino, Al Jarreau, Michel Leeb, Francis Perrin, William Sheller et Mireille Mathieu. Il y a alors 30 Palais des Congrès en France.

Docteur Pierre Sastre Adjoint au Maire en charge de l’événementiel et de la communication, Président-Directeur général d’Atlantia.

Atlantia est conçu par son architecte, le Baulois Jean-Paul Canseliet, pour que, « à l’intérieur, les gens circulent de façon douce, fluide et sinueuse : que plusieurs activités puissent y cohabiter sans se gêner ». Très vite, il prendra une dimension internationale.

Du 19 au 21 juin 1990, c’est à Atlantia qu’est organisée la 16ème Conférence des Chefs d’Etat de France et d’Afrique.

En trois jours, 28 chefs d’Etat, 500 délégués, 210 motards, 1100 CRS, 700 policiers, 700 journalistes et 350 personnes

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travaillant sur le site. 500 lignes téléphoniques sont installées, 1000 m2 de structure aménagés. 30 km de câbles tirés et 10 000 repas servis pour cette Conférence historique dont l’organisation, unanimement reconnue parfaite, n’aura donné que des motifs de satisfaction. « Nous ne sommes pas de simples loueurs de salles, explique Pierre Sastre, président d’Atlantia, maire-adjoint en charge de l’événementiel et de la communication. Toutes nos équipes sont capables d’organiser un congrès de A à Z en conseillant nos clients sur la meilleure manière de faire passer leur message ou d’animer leurs débats. Nous savons répondre et nous adapter à leurs attentes dans des délais de plus en plus courts. Nous savons prendre en charge leurs prestations annexes : hébergement, restauration, animation, relations avec la presse, excursions etc… Nous savons également gérer dans le moindre détail le budget qu’ils nous confient. » Plus les années passent, plus la concurrence est rude. En 2010, il existe en France 200 Palais des Congrès : sept fois plus que lors de la création d’Atlantia. Des travaux sont alors programmés à La Baule.

Premier étage, vaste espace lumineux d’accueil et d’expositions, agrandi par de nouvelles terrasses.

1- Les façades intérieures jouent, en relief, avec l’emblème des pins de La Baule.

1

2

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2- L’architecte Maria Godlewska a réinterprété le bâtiment conçu en 1987 par Jean-Paul Canseliet.

Atlantia 1

2

On décide de procéder à la réhabilitation du bâtiment en une seule fois, moyennant quinze mois de travaux et un budget de 13 millions d’euros.

3

Notons qu’en 2011, Atlantia est le premier membre de France Congrès à être certifié de la Charte Qualité et Développement Durable au niveau national. En 2015, il obtiendra la norme ISO 20121, certification d’Eco-responsabilité de l’événement. « En fait, explique Pierre Sastre, nous avons procédé à une mise aux normes de l’accessibilité pour les handicapés (à l’exception de l’Auditorium). À des dispositifs de sécurité et à la rénovation des offices pour les traiteurs. Ça, c’est ce qui ne se voit pas. Mais nous avons aussi refondu l’image extérieure du bâtiment, qui a été agrandi. Et nous avons créé des ambiances intérieures pour uniformiser l’ensemble. » « Nous avons 3000 m à proposer, ajoute Corinne Denuet, la directrice d’Atlantia. Outre l’Auditorium de 900 places, l’ensemble bénéficie de beaux espaces ouverts à la lumière du jour et d’une offre multimédia extérieure (mur d’images de 150 m2) et intérieure (signalétique événementielle et haut débit garanti). L’emploi de matériaux nobles en fait un espace élégant, sobre et personnalisable selon les scénarios des événements. Afin de préserver les ambiance de convivialité toute l’année, la terrasse des Evens, côté jardin, a été recouverte d’une véranda. » 2

«En fait, résume Pierre Sastre, Atlantia est un Centre de Congrès de dimension nationale et à l’ambition internationale. Mais c’est aussi un équipement d’animation culturelle et un véritable lieu de vie en symbiose avec son environnement. C’est un espace dédié à la

création de colloques scientifiques où la recherche aura toute sa place dans l’expression de ses avancées vers le grand public et de ses applications vers l’industrie. Cette double vocation, professionnelle et culturelle, pourra être mise à profit des deux activités dans un contexte qui se voudra très compétitif. » Pour mieux atteindre ces objectifs, la Ville de La Baule approuve un nouveau mode de gestion du centre de congrès confié à une société publique locale dans le cadre d’une délégation de service public. Cette société, dénommée SPL Atlantia, a pour objet le développement économique en vue de promouvoir les politiques culturelles, de loisirs et de tourisme d’affaires, de ses collectivités actionnaires. « Mon challenge, conclut Corinne Denuet, est de positionner La Baule comme terre d’accueil d’évènements d’entreprises et de congrès sur la scène

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4

nationale et internationale. On travaille étroitement avec l’Office du tourisme pour monter des packages avec les acteurs locaux. La Baule compte 1 500 chambres d’hôtels 2 à 5 étoiles, dont 600 chambres à proximité à pied du Palais des Congrès ».

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Donnant sur l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny a été installé un mur d’images de 150 m2.

1- L ’Auditorium peut accueillir, pour les spectacles ou les congrès, jusqu’à 900 personnes.

2- Classicisme, élégance et modernité.

3- L a terrasse du deuxième étage a été étendue et couverte d’un toit modulable.

4- D es réceptions peuvent aussi être organisées au 2ème étage, doté d’un nouveau bar.

5- A tlantia, au calme d’un jardin, tout près de la plage.

6- L ors de l’inauguration, le docteur Pierre Sastre (3ème à partir de la gauche), Mme Laurence Briand, adjointe à la culture et aux nouvelles technologies, et son mari (2ème à partir de la gauche), M. Yves Métaireau, maire de La Baule et Mme Yves Métaireau, M. Sam Bobino, délégué du Festival du Cinéma et Musique de film de La Baule, M. Michel Leeb, Mme Pierre Sastre et Mme Corinne Denuet, directrice d’Atlantia.

7- L e nouveau mur extérieur permet l’affichage de ce qui se déroule à l’intérieur, de jour comme de nuit.

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Circulation fluide au sein des trois niveaux du bâtiment.

L’accueil a été redessiné et rendu plus lumineux.

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1

1- T ôt le matin, pour l’installation d’un congrès d’experts-comptables, Erick Breerette, chargé de l’implantation, Estelle Prono, chargée de la restauration et Catherine Ortiz de Lazcano, chargée de dossiers.

Atlantia

2- P réparation de la scène pour un concert de l’Ensemble Orchestral de La Baule, Christophe Cazorla, Régisseur général pour les spectacles et les congrès, Arnaud Guitton, Régisseur lumière et Yann Ryo, Régisseur général spectacles.

Corinne Denuet

2

Sous la dynamique de Corinne Denuet, la fédération du personnel et des partenaires sur le projet de développement des activités d’Atlantia se traduit par les chiffres suivants : 250 demandes de réservations dont 40 candidatures d’organisation de congrès nationaux et internationaux. Dimension économique : plus de 40 manifestations auront été reçues en 2014.

La taille moyenne d’un événement est de plus de 300 participants d’une durée moyenne de 2 jours et demi.

Pour l’action culturelle : 29 spectacles de référencés jusqu’à juin 2015.

Linda Perrais,

Responsable Accueil et Standard

Les équipes

10 métiers différents

Accueil, coordination logistique, restauration, sécurité, technique, scénographie, production de spectacles, secrétariat de congrès, gestion de salons et maîtrise des applications multimédia , tels sont les dix métiers exercés à Atlantia. Impliqués et fiables, les collaborateurs du Palais ont su créer des liens de sympathie avec visiteurs, organisateurs ou spectateurs.

3

Christian Laigle,

Responsable d’Exploitation

4

3- L’équipe administrative et culturelle. Claire Durocq, attachée de direction, Marc Taconné, comptable, Valérie Corbihan, assistante de production de spectacles et Patricia Avenard, chargée de la billetterie.

4- L’équipe commerciale.

Christophe Guérin, Sylvie Lequerré, Laurent Le Queré.

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l’Océan Le meilleur de l’océan

Création LA REVUE®

www.restaurantlocean.com

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2013

C’est le 15ème anniversaire de Noël Magique !

2009

De New York à Paris en passant par les pays scandinaves et les grandes forêts d’Allemagne et d’Autriche, les magiciens de Noël ont su faire voyager les visiteurs dans le monde entier.

2002

2006

2005

Depuis sa création, il y a quinze ans, Noël magique a reçu plus de deux millions de visiteurs. Les premiers visiteurs y reviennent aujourd’hui avec leurs enfants.

2002

Noël Magique La Baule

Un Anniversaire Magique Cette année Le Père Noël invite les petits et les grands à participer à cet anniversaire. Il a invité quelques-uns des personnages des Noëls Magiques précédents. Comme tous les ans, Noël Magique est une fabuleuse histoire qui se raconte au Bois des Aulnes. Le succès ne se dément pas : entre 120 000 et 150 000 visiteurs chaque année.

Entrée libre et gratuite. Adossé à la Chaîne de l’Espoir, dont la marraine est Mireille Darc, Noël magique est entièrement financé par la Ville de La Baule, avec le concours des bénévoles du Lions Club. Chaque année, le Lions remet à la Chaîne de l’Espoir le chèque des recette des friandises vendues à la sortie du Bois des Aulnes.

Sur 3000 m 2 , des saynètes et des marionnettes animées sont dressées pour vous émerveiller.

Ouvert du 13 décembre 2014 au 4 janvier 2015.

Tous les jours de 10h00 à 21h00.

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Le voyage de Noël Magique est aussi un voyage initiatique et intérieur au plus profond des légendes qui baignent l’imaginaire des enfants du monde entier et de tous les âges.

de LEs TAbLEs Caroline

LE FoRT DE L’oCéAN

CAsTEL mARiE-LoUisE

Refuge douceur émotions

Relais et châteaux

Valérie Criaud vous reçoit dans un restaurant cosy et lumineux, calme et intime : 20 couverts en tables rondes espacées.

Une verrière de 20 couverts sur le jardin d’hortensias, lavande et pins maritimes. Guillaume Brisard (une étoile Michelin) prépare une cuisine avec les produits frais du marché et de la criée, réinterprétés avec invention et talent. Plusieurs menus.

Carte authentique, subtile, renouvelée.

Il est prudent de réserver. Ouvert à l’année.

Il est depuis 29 ans, le Chef de ce manoir aux allures de château. Lui, c’est Eric Mignard, l’Étoilé du Castel MarieLouise, ce Relais & Châteaux de 31chambres posé face à la mer. Ils sont fait l’un pour l’autre, l’alchimie est évidente entre la créativité, la générosité, l’authenticité de la cuisine d’Eric Mignard et la quiétude, le charme du Castel MarieLouise. Eric Mignard nous permet de découvrir sa cuisine toute l’année car sa table est ouverte à tous et accessible avec son menu « A la table d’un étoilé » (39 €).

pointe du Croisic - Côte Sauvage - 44490 Le Croisic 02 40 15 77 77 www.relaisetchateaux.com - www.hotelfortocean.com

1 avenue Andrieu - 44500 La Baule 02 40 11 48 38

LE REsTAURANT DE LA mAsCoTTE Une réouverture remarquée Fermé depuis trois ans, le restaurant de La Mascotte a réouvert le 23 mai, avec succès.

Sébastien Pasco en cuisine, Sébastien Dupont en salle : excellent duo pour une partition simple et raffinée, qui suit les saisons et produits du marché.

Quelques plats emblématiques renouvelés selon le marché : poêlée de noix de Saint-Jacques au pain d’épices, arlequin de carottes au sirop d’étable ; parmentier de canard confit au cidre, patates douces et crumble au Curé Nantais ; filet de bar de ligne, courgettes croquantes aux noix et sa sauce vanille. Parmi les desserts, le Fondant au chocolat et pralin au cœur coulant (notre photo).

Conseillé par Sébastien Dupont, laissez-vous guider dans la carte des vins, périodiquement changée.

Dès les premiers soleils, la terrasse (30 couverts) est ouverte.

Salle lumineuse de 40 couverts.

Salon privé accueillant de 12 à 30 personnes.

24,avenue Marie-Louise - 44500 La Baule 02 40 23 24 23 Reçoit de 12 h à 14h et de 19h à 22h.

Fermé dimanche soir et lundi.

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© Chloé Vollmer-Lo

Denis Sire vient de signer, avec Jean-Marc Thévenet, un album intitulé «Douze pilotes» (Dupuis). De Graham Hill à Jacky Ickx en passant par Brunce McLaren, Lorenzo Bandini et quelques autres.

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Denis Sire un nouvel album

UN ENFANT DU PAYs Il est né à Saint-Nazaire, a grandi à Sceaux, et a passé quelques étés de son enfance à La Baule, où ses grands-parents, Charles et Hélène Sire, avaient une maison allée des Cygnes, non loin de l’église NotreDame. Son grand-père dont, en hommage au travail accompli au Crédit Immobilier de La Baule, on a donné le nom à une artère proche de la forêt d’Escoublac : avenue Charles Sire. Tout cela fait de lui un enfant du pays, car La Baule a marqué la sensibilité de Denis Sire.

D’ailleurs, dans ses premiers albums, comme Lisa Bay (1985, réédité en 2006), certaines scènes se passent en presqu’île guérandaise. Nous en avons reproduit deux. « L’œuvre de Denis Sire, selon les critiques, se signale par son goût pour la mécanique automobile et motocycliste, la mécanique aérienne, les pin-up, un crayonné souvent très travaillé et un penchant soutenu pour la couleur. » « Denis lui-même, explique son ami Frank Margerin, semble être un personnage sorti tout droit d’une de ses propres bandes dessinées, une sorte de Gatsby rocker, parfois dandy, parfois destroy, souvent les deux à la fois.

Ses passions et ses fantasmes : les belles mécaniques et les femmes plantureuses. Denis les vit et les sublime à travers son dessin, ses esquisses, ses aquarelles, ses peintures… Son trait à la fois hyper-réaliste et naïf trahit une grande sensibilité et une vraie sincérité… Denis Sire est unique, tant par sa personnalité que par son style.

Je le suis et l’apprécie depuis nos études artistiques aux Arts’A, il y a maintenant plus de quarante ans ! »

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Olivier Guichard Hommage

« La politique est l’art de fixer l’attention »

Photo Jean Lesage

Olivier Guichard est mort le 20 janvier 2004. De sa vie, il aurait aimé sans doute qu’on retienne son engagement auprès du général de Gaulle, et son action politique. Le critique JeanDidier Wolfromm, peu suspect d’une indulgence coupable, répétait que, dans tous les livres de souvenirs écrits par les compagnons de De Gaulle, celui d’Olivier Guichard, Mon général (Grasset) est l’un des meilleurs.

1991. Olivier Guichard reçoit quelques écrivains à La Baule, à l’occasion de la sortie du livre Voyage à l’Ouest (Albin Michel), qu’ils ont cosigné. JeanClaude Driancourt les accueille au club des Derbys. De gauche à droite, Eric Neuhoff, Michel Déon, Olivier Guichard, Richard Ducousset (directeur général des éditions Albin Michel), Geneviève Dormann, Jean-Claude Driancourt, Irène Frain, Didier van Cauwelaert, Félicien Marceau et Stéphane Hoffmann.

Dix ans après sa disparition, en hommage à Olivier Guichard, maire de La Baule de 1971 à 1995, voici quelques extraits d’un entretien accordé en 1986 à Stéphane Hoffmann.

Dans Mon général, vous écrivez : « Le Général a toujours gardé le moral… Je ne crois pas que ce soit la lucidité qui lui ait conservé le moral.

C’est très exactement le contraire : une question de caractère ». La part des caractères individuels montret-elle qu’un chef peut perdre ou sauver un pays, ou qu’il

est dépassé par des mouvements et des forces de plus longue durée ?

Dans la réflexion de De Gaulle d’avant 40, il y avait certainement cette idée que les structures d’irresponsabilité de la IIIème République empêchaient les plus et fortifiaient les moins.

Il a voulu construire un système qui donnerait toujours à notre pays la ressource de choisir pour chef des hommes de caractère, et donnerait à ces chefs la possibilité d’agir. Sans cela, en effet, c’est la submersion sous les déterminismes.

« Notre méditation sur le 18 juin, écrivez-vous encore, doit passer par ce retour sur nous-mêmes ». Pensezvous qu’il y ait toujours des leçons à tirer du 18 juin ?

Et que cela fasse à présent partie des références permanentes ?

Le 18 juin, c’est l’émergence d’un « caractère » au milieu de la décomposition. Solitaire forcément puisqu’il n’y a pas de structures.

Cette situation n’est pas la nôtre, grâce au Général justement. Ce qui demeure pour

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chaque Français, c’est l’appel à la responsabilité permanente.

La patrie est entre les mains du patriotisme de chacun. Et il n’y a jamais aucune excuse pour baisser les bras. Voilà pourquoi j’ai parlé de « retour sur nous-même ». Le 18 juin, c’est l’appel d’une conscience à notre conscience, d’une foi à notre foi.

Dans Un chemin tranquille, vous rapportez une anecdote surprenante : « Nous nous promenions dans le jardin de Colombey, il s’est arrêté, m’a mis la main sur l’épaule et il a dit,

Olivier Guichard

Les confidences

Hommage

« LA PoLiTiqUE EsT L’ART DE FixER L’ATTENTioN »

en regardant l’horizon : « Vieux Guichard ».

J’ai eu le sentiment de compter ».

Pourquoi ce mot, cette anecdote qui peuvent paraître anodins, vous ont-ils à ce point touché ?

Il avait un quart de siècle de plus que moi et n’était pas coutumier de ce genre de familiarité. C’était peut-être une façon de me sacrer « compagnon ». Mais pour cette besogneuse libération de l’État, il n’a pas créé d’ordre. Il s’est contenté de ces sacres intimes. « Je sais à peu près ce que le Général pensait des gaullistes, écrivezvous dans Mon Général.

Mais du gaullisme ? » Que pensait le Général des gaullistes ? Et pouvez-vous savoir, à présent, ce qu’il pensait des gaullistes ?

Photo Franck Lechat

Des gaullistes (je veux dire de ceux qu’il connaissait), il en pensait au fond plus de bien qu’il n’en disait. Quant aux gaullistes anonymes – à « l’armée de ceux qui me soutiennent, comme il dira le jour de son départ – ceux des foules qui venaient écouter le chef du R.P.F., qui se pressaient au passage du chef de l’ État, ceux des « profon-

deurs » qui donnaient aux moments décisifs l’appui de leur vote, le Général savait qu’il leur devait d’avoir pu réaliser l’essentiel de ce qu’il avait voulu pour la France. Il n’y a jamais vu un parti, une masse de manœuvre – simplement une source de joie : la joie de réunir les Français sur son idée de la France.

Quant au gaullisme, son tempérament pessimiste ne devait pas le pousser à croire qu’il durerait après lui, sans lui. Il doit être très étonné qu’une formation politique défende encore ses idées. Je pense qu’il se reposait, pour l’avenir, davantage sur « sa » Constitution que sur « son » Rassemblement. Mais les deux subsistent ; et ils sont liés par un lien réciproque, originel. « Tant que le gaullisme a été surprenant, les Français ont été fascinés, notez-vous dans Un chemin tranquille. Après, ils ont commencé à regarder ailleurs ».

Est-ce, à votre avis, le fait du seul gaullisme ?

Ou des autres régimes ?

C’est une loi générale, bien sûr. La politique est l’art de fixer l’attention. La surprise en fait partie, De Gaulle le

Mars 1993. Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, Olivier Guichard assiste, à l’île d’Yeu, au Défi des Ports de pêche.

De Port-Joinville, il s’apprête à rallier Saint-Sauveur à bicyclette. À droite, Stéphane Hoffmann.

savait. Mais déconcerter n’est pas surprendre : les socialistes l’ont appris à leurs dépens.

Ne trouvez-vous pas que le général de Gaulle a été injuste envers Paul Morand en lui barrant l’entrée de l’Académie française en 1958 ?

Pourquoi, à votre avis, lui en voulait-il à ce point ?

Sans doute parce que Paul Morand n’était pas seulement pour lui un grand écrivain, mais aussi un haut fonctionnaire influent, et qu’il ne l’avait pas suivi.

Vous savez que Morand était diplomate ; en 40, lors de la débâcle, il se trouvait à Londres, à la tête de la mission commerciale française. Le général de Gaulle l’y rencontra, mais il ne put pas le persuader de rester à Londres. Morand se rendit à Vichy et servit comme ambassadeur. De toute façon De Gaulle pensait, comme Maurras, que plus un intellectuel avait de prestige, donc d’influence, plus il était comptable de ses choix.

Chardonne et Morand n’ont, politiquement, guère été clairvoyants.

Pensez-vous que la politique et la littérature fassent bon ménage ?

On pourrait citer d’autres écrivains qui furent plus clairvoyants : Bernanos, Mauriac, Malraux… Mais ce petit jeu n’a pas grand sens. Les bonnes politiques ne se définissent certainement pas au nombre des signatures enrôlées pour les manifestes. L’écrivain n’a pas davantage de lumières sur la politique que le citoyen ordinaire. Je suis plutôt favorable à la séparation de l’Art et de l’État.

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D’YVEs méTAiREAU Maire de La Baule-Escoublac, Yves Métaireau fut un collaborateur d’Olivier Guichard avant d’être son successeur. Voici ce qu’il nous confie.

1992. Député-maire de La Baule, Olivier Guichard remet Yves Métaireau, alors son adjoint, également président de l’Office de tourisme, la Médaille du Tourisme.

J’avais vingt-trois ans en Mai 1968 lorsque j’ai fait la connaissance d’Olivier Guichard. C’était à Guérande, c’était aussi une période exceptionnelle et je ne l’oublierai pas.

Depuis je suis resté à ses côtés, d’abord les élections de La Baule en 1971, puis mon entrée au Conseil municipal en 1977.

A côté d’autres expériences dans l’entreprise, riches d’ouvertures sur le monde.

Quand je rentrais à La Baule, son autorité naturelle, sa stature, sa culture et son analyse des hommes et des événements, toujours brève et juste, étaient impressionnantes.

Il fut de ceux qui ont grandi la France aux côtés du général de Gaulle mais avec un sens profond de la mission qu’il s’était assignée.

Nous avions tous les deux aussi un quart de siècle d’écart mais souvent il me disait : « Dans la vie n’ayez pas peur d’être débordé, cela forme… ».

A ses côtés j’ai appris le dévouement aux autres, la vie publique, sans en attendre autre chose que la satisfaction du travail accompli de son mieux.

Il m’a aussi transmis la modestie et la simplicité.

Ses amis sincères le retrouveront à travers ces quelques lignes, lui qui fit beaucoup pour La Baule et encore plus pour notre pays.

Pour nous aussi, la qualité des eaux est vitale !

© 2014 - Création Cap Atlantique. Crédit photo : Jacques Le Meur

þ Les traicts du Croisic,

1er centre d’élevage de coques en France.

et le territoire de Cap Atlantique sont précieux, aidez-nous à les préserver ! www.cap-atlantique.fr Assérac • Batz-sur-Mer • Camoël • Férel • Guérande • Herbignac • La Baule-Escoublac • La Turballe • Le Croisic • Le Pouliguen • Mesquer • Pénestin • Piriac-sur-Mer • Saint-Lyphard • Saint-Molf

Depuis 10 ans,

ils sont venus se confier à vous Michel Déon Romain Sardou Stéphane Bern Frédéric Beigbeder Gonzague Saint-Bris Christine Deviers Joncour Eve Ruggieri Jean-Marie Périer Didier van Cauwelaert Macha Méril Patrick Poivre d’Arvor Christiane Collange Alain Decaux Frédéric Vitoux Jean-Joseph Julaud Armande Altaï Jean-Michel Riou Michel de Grèce Michel Ragon Jean Raspail Christine Orban Philippe Alexandre

Jean Rouaud Jacques Chancel Luc Ferry Katherine Pancol Vladimir Fedorovski Jean-François Copé Hervé Vilard Amélie Nothomb Denis Tillinac Catherine Nay Jacques Pradel Francis Huster Mathilda May Nadine de Rothschild Irène Frain Christian Millau Nana Mouskouri Bruno Putzulu Luc Montagnier Patrick Rambaud Jean-Pierre Foucault Bernard Debré

Jean-Louis Debré Mylène Demongeot Malek Chebel Guy Bedos Marielle Goitschel Mikhaïl Rudy Benoîte Groult Jacques Pessis Eric-Emmanuel Schmitt Jean-Loup Chrétien Hélène Mercier Arnault Eric Guérin Florence Arthaud Alexandre Jardin Christine de Rivoyre Alain Deloche Didier Decoin Dominique Fernandez Alain Baraton Marie-Christine Barrault Christian Karembeu Alice Dona Edwy Plenel

Marc Lévy Françoise Chandernagor Janine Boissard Patrice Dominguez Delphine de Vigan Marthe Mercadier Ivan Rioufol Philippe Grimbert Dominique Bona Jean-Marie Rouart Olivier Adam Catherine Decours Francis Perrin Stéphanie des Horts Douglas Kennedy Claudie Gallay Philippe Besson Calixthe Beyala Jean Sevillia Frigide Barjot Jean-François Parot Jean d’Ormesson Béatrix de L’Aulnoit

20 fois par an, Stéphane Hoffmann reçoit écrivains, journalistes, comédiens, hommes politiques, entrepreneurs, chanteurs, sportifs etc… à l’occasion de la sortie d’un livre. Conversation en toute liberté, à laquelle le public peut se mêler.

Puis séance de dédicaces. Ça se passe à Atlantia, un soir de la semaine, à 18h00. Entrée libre et gratuite sur réservation.

Avec la complicité du groupe Lucien Barrière et des libraires de la Baule.

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C O N GR È S