NOYEUX JOËL
PARIS CENTRE
Décembre 2021 - n° 129 - lebonbon.fr
Photographe : Thomas Reka Modèle : Dudu
Edito Confiseur
Jacques de la Chaise
Directeur Artistique
Tom Gordon
Office Manager
Quentin Mercier
Rédactrice en Chef
Rachel Thomas
Rédactrice en Chef Nuit
Lisa Belkebla
Graphiste
Antoine Mercier
Secrétaire de Rédaction
Lucas Javelle
Rédacteur·rice·s
Carla Thorel Morgane Espagnet Manon Merrien-Joly Sarah Sirel Zoé Stène
Stagiaire
Morgan Texier Bérénice Hourçourigaray
Social Media Manager
Lionel Ponsin
Photographe
Thomas Reka
Directeur Commercial
Nicolas Delmatto
Head of Sales
Maxime Trosdorf
Directrice de Clientèle
Aude Gerlat
Chef.fe.s de Projets
Anouchka Broche Chloé Decombes Pierre de la Chaise
Dans un monde qui part de plus en plus en sucette, nous avons plus que jamais besoin de ressentir notre dimension humaine. Cela tombe bien, car le Bonbon, depuis 12 ans, redonne une proximité à chaque quartier parisien en rapprochant nos petits commerçants préférés aux habitants. Ces hommes et ces femmes qui sont derrière les boutiques sont les héros des temps modernes tant les épreuves depuis 3 ans les accablent : gilets jaune, grèves contre la réforme du système de retraite, Covid et ses sempiternelles vagues qui n’en finissent pas… Ces guerriers du 21e siècle méritent tout notre soutien et notre amour pour les faire tenir jusqu’à ce que le soleil brille à nouveau.
Quentin Lafosse Conceptrice-Rédactrice
Gala Fernandez
Chef des Ventes terrain
Benjamin Haddad
Culture et Partenariats
Antoine Kodio Charlotte Ellès
Commercial terrain
Antoine le Bris
Chefs de Projets Digitaux
Dulien Serriere Florian Yebga
Journaliste Vidéo
Raphaël Breuil
Réalisateur et monteur
Lucas Javelle
Monteur Vidéo
Tahys Adele
Contact
Benjamin Haddad benjamin.h@lebonbon.fr 06 20 23 54 49 SAS Le Bonbon 15, rue du Delta – 9e SIRET 510 580 301 00040
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En ces jours de fêtes en famille ou entre amis, consommez chez votre petit traiteur de quartier plutôt que dans ces grandes enseignes de distribution sans âme ni odeur, privilégiez l’humain et sa chaleur plutôt que la froideur de ces grandes surfaces impersonnelles. Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année, profitez de ces bonbons moments car l’essentiel est bien là :) Le Confiseur
PA S S E P O RT
Décembre 2021
© Tom Beard
Sommaire
le bon centre
Aesthé, le nouveau visage de la médecine esthétique
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la bonne expo
Du beau au prix du laid !
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le bon festival
Un festival féérique
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le bon resto
Un repas sur l’île de Lesbos
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le bon wrap
Des wraps plein d’histoires !
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la bonne étoile
Baxter Dury, jeune et moderne
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la bonne enquête
Vie nocturne : plusieurs personnes droguées
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Un Noël vert sapin
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le bon shopping 3
RCS 440 254 100
IDÉES CADEAUX Notre sélection pour les plus grands 2 1
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1 Micro Player My Arcade Street Fighter II Champion edition 79€99 2 70548 - PLAYMOBIL Star Trek U.S.S. Entreprise NCC-1701 449€99 3 Olémains ! 29€99
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4 76392 - LEGO Le jeu d’échec version sorcier de Poudlard 74€99 5 Pirate XT-S Brushless Édition RC 299€99
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Richelieu-Drouot
Bon timing
© Vincent Pontet
On en prend plein les mirettes Pour les fêtes de fin d’année, le Palazzetto Bru Zane et ses partenaires vous présentent, au Théâtre des Champs-Élysées, la version originelle de La Vie parisienne d’Offenbach, telle qu’imaginée par son auteur en 1866. Le grand couturier Christian Lacroix signera pour l’occasion sa première mise en scène. Une réjouissante ode aux plaisirs de la fête de son temps. La Vie parisienne d'Offenbach Théâtre des Champs-Élysées 15, av Montaigne – 8e Du 21 décembre 2021 au 9 janvier 2022
© Forum des images
On célèbre le cinéma d’animation Du 8 au 12 décembre, direction le Forum des images pour une plongée vivifiante au sein de la création animée. À l’honneur de cette 18e édition : la stop motion ! Des avant-premières, des courts ou longs métrages inédits ou encore des secrets de fabrication, ce festival est l’occasion de découvrir le cinéma d’animation d’aujourd’hui et de demain en compagnie d'invités prestigieux. Carrefour du cinéma d’animation Forum des images – Forum des Halles 2, rue du Cinéma – 1er Du 8 au 12 décembre 2021
© Forum des images
On goûte avec les yeux ! Pour le plus grand plaisir des papilles comme celui des neurones, la Cité des sciences et de l'industrie imagine un parcours immersif inédit. Au menu, une session apprenti·e cuistot où l'on manipule divers ustensiles ou encore un spectacle collectif qui met à l’honneur un menu imaginé par Thierry Marx et le scientifique Raphaël Haumont. Mêlant images projetées, mapping, sons et odeurs, la table s’anime en une succession d’ambiances féériques, dessinant un banquet onirique. Exposition Banquet Cité des sciences et de l'industrie 30, av Corentin Carriou – 19e Du 16 novembre 2021 au 7 août 2022
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Communiqué
le bon centre
Aesthé, le nouveau visage de la médecine esthétique Au cœur du Marais, faites confiance à votre beauté dans les 371m2 qui lui sont dédiés chez Aesthé. 6
« On avait envie de décloisonner les aprioris qui existent sur la médecine esthétique. » Tous les soins proposés ici sont réalisés sous contrôle médical, selon des protocoles scientifiques, et avec les meilleurs appareils du marché. « Lorsque vous prenez rendez-vous chez nous, vous avez d’abord une consultation avec un médecin afin de cibler le problème de votre peau, et ce qui pourrait y être amélioré avant d’avoir l’analyse scientifique de nos outils 3D. […] Tous nos médecins et naturopathes ont au moins dix ans de bagage en médecine esthétique. Nous sommes pour la démocratiser, tout en gardant l’excellence. […] Bien qu’on utilise des machines rares et très chères, on met un point d’honneur à ouvrir nos prestations au plus grand nombre avec des premiers prix dès 50€. » Leurs soins stars ? Épilation laser (jambes, maillot, aisselles, visage, dos...), hydrafacial, acide hyaluronique, peeling, microneedling... il y en a pour tout les besoins. Pour continuer à démocratiser la médecine esthétique, Aesthé compte accueillir des ateliers divers et variés autour de la beauté comme le yoga, l’équilibrage alimentaire ou les techniques de massages. « Plus qu’un centre, nous sommes un concept autour du beau et du bien-être. » • C.T
Derrière la porte du 29, rue François Miron : une grande salle épurée, un escalier en style colimaçon, des murs recouverts de carreaux bleus et blancs, des sièges graphiques de couleur bleu électrique. Dans un autre espace, vous pourrez vous détendre, prendre un café, déjeuner, papoter ou patienter entre deux soins. On se demanderait presque si on ne s’est pas trompé d’adresse. Pourtant, on est bien chez Aesthé, centre de médecine esthétique. Ici, il n’y a pas de salle d’attente impersonnelle, pas de blouse blanche ni de table basse ornée de vieux magazines Gala datés 2015. « C’est un lieu de vie », affirme Anne-Charlotte l’une des cofondatrices d’Aesthé.
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Aesthé 29, rue François Miron – 4e Du lundi au samedi De 9h30 à 19h30 RDV : 01 40 61 91 58 bonjour@aesthe.com -30% sur tous les soins jusqu'au 31 décembre !
la bonne expo
Du beau au prix du laid !
Dès le début des années 60, le design se démocratise en France et passe la porte des foyers de classe moyenne. Grâce aux collaborations d’une série de créateurs avec la grande distribution, les Français peuvent enfin se payer des designers de renom pour s’habiller ou décorer leur intérieur de la chambre au salon. Un design pour tous, auquel le MAD consacre une sacrée exposition ! 8
Le topo Que diriez-vous d’un bon dans le temps, à la découverte de l’une des grandes aventures créatives ayant marqué l’histoire du design en France ? De Prisunic à Monoprix, le MAD revient sur les plus grands succès des collaborations initiées par ces grandes enseignes avec des designers de talent. À travers l’exposition de plus de 500 meubles, objets et affiches publicitaires, on admire les œuvres de Terence Conran, Marc Held, Constance Guisset ou Ionna Vautrin, mais aussi de graphistes, photographes et illustrateurs parmi les plus créatifs de leur époque.
Pourquoi c’est cool Le parcours nous plonge d’emblée dans ces deux univers antinomiques, grâce à un dispositif original de présentoirs de magasins, servi par une scénographie lumineuse et colorée. La visite s’ouvre sur des pièces de design emblématiques de Monoprix, nichées dans des réfrigérateurs repimpés en vitrines. Plus loin, des pièces entières Prisunic sont reconstituées avec du mobilier d’époque ; simple, accessible et fonctionnel, designé à partir de matériaux colorés en métal ou polyester. Des films publicitaires, des interviews filmées et des documents d’archives rares jonchent également ce voyage insolite dans les sixties.
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Le Pavillon de Marsan fera également un focus plus contemporain sur les collaborations qui ont marqué ces deux dernières décennies à travers le prisme du rêve et de la fantaisie. L’occasion de découvrir les dimensions les plus oniriques de certaines créations, telles que la robe de mariée du couturier Alexis Mabille, qui dialogue avec le mur d’assiettes signées G by Gien, ou encore la collection d’assiettes Dominoté par Antoinette Poisson qui redonne vie aux techniques ancestrales et au savoirfaire artisanal. Gros coup de cœur hivernal pour cette nouvelle exposition originale ! Le design pour tous : de Prisunic à Monoprix, une aventure française Musée des Arts Décoratifs 107, rue de Rivoli – 1er Du 2 décembre 2021 au 15 mai 2022
le bon festival
Un festival féérique Chaque année, le Festival du Merveilleux pose ses valises dans l’incroyable cadre qu’est le Musée des Arts Forains. L’occasion de faire un véritable saut dans le temps et de se croire, pendant une journée, dans un décor de cinéma absolument féérique, tous les jours du 26 décembre 2021 au 2 janvier 2022. Barbe à papa, manèges d’antan et troubadours au programme. On vous aura prévenus. Prêt à en avoir plein les mirettes ? Installé dans les anciens chais à vin de Paris, le Musée des Arts Forains est l’un des lieux les plus magiques de la capitale avec ses salles tout droit sorties d’un décor de cinéma, ses jeux issus de fêtes foraines des années 1850 à 1950, sa salle de bal de la Belle Époque… Notre coup de cœur ? La course des garçons de café qui nous aura occupé de longues heures durant.
On y passerait tous nos week-ends si on le pouvait, mais le musée n’est ouvert, le reste de l’année, que pour des visites guidées. Cette semaine de festival est donc l’occasion ou jamais de découvrir un lieu hors du commun en pleine capitale, sans limite de temps et de tester ses jeux et attractions ! Alors on profite des nombreux spectacles (féérie aérienne, danseur de claquettes, derviche tourneur, musiciens, marionnettes, musiques mécaniques, ballets d’automates et illusions optiques) et des attractions et manèges (le carrousel centenaire, le manège de vélocipèdes qui a connu plus d’un siècle de paires de fesses)… Quant à l’extérieur, des marionnettes géantes, une bande de troubadours, musiciens, jongleurs, acrobates et autres conteurs se donnent en spectacle pendant que l’on se réchauffe autour du feu de bois avec un chocolat chaud, un vin chaud ou une bonne crêpe. Après deux années de fermeture au public, il fallait célébrer en grandes pompes le retour du festival. Cette année, la thématique des Années Folles nous plongera en plein dans les années 1920, avec un hommage à Joséphine Baker, bien sûr, faisant souffler un vent de liberté sur cette fin d’année. Bref, ce n’est pas un musée qui se visite, c’est un musée qui se vit. • S.S Festival du Merveilleux Musée des Arts Forains 53, av des Terroirs de France – 12e Du 26 décembre 2021 au 2 janvier 2022 de 10h à 18h
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la bonne BD
La vie secrète des anciens présidents dans une BD hilarante Prenez Joann Sfar, auteur de BD qu’on ne présente plus, et Mathieu Sapin, as du reportage dessiné, et vous obtenez une folle aventure politicomique en BD. Cette aventure, c’est Le Ministère Secret, dont le tome 2 est sorti fin novembre. On rembobine, on vous raconte. C’est après la fin de leur quinquennat que le véritable travail des présidents de la République française commence. Ils sont obligés de devenir des super héros au service d'une société secrète : le Ministère secret, chargé de résoudre toutes les pires menaces que le peuple de France n’a pas le droit de connaître… On s’est frotté aux premiers rouages dans le 1er tome Héros de la République, durant lequel Nicolas Sarkozy et François Hollande ont bien été obligés de s’allier, et ils remettent ça pour le tome 2 ! Accompagnant l'agent Hollande – toujours à dos de scooter – jusque dans la capitale de la moutarde, Mathieu Sapin va découvrir que de surprenants aliens ont fait de la Terre un espace de conflit. Alors qu'il anime une bonne
vieille partie de Cthulhu en famille, voilà que l'ancien président socialiste défonce sa porte au lance-flammes. Mathieu doit le suivre. Vite. Car Dijon est en flammes. Et il se pourrait bien que la cause n'en soit pas terrestre… Une mission taillée pour le Ministère secret. Dans ce feuilleton absurde au parfum de vieux comics, on trouve pêle-mêle des révélations choc sur François Hollande, Nicolas Sarkozy, mais aussi Albert de Monaco et bien sûr Mathieu Sapin, le célèbre reporter initié aux coulisses du pouvoir. Un cocktail d'humour, de géopolitique et de science-fiction concocté par Joann Sfar et Mathieu Sapin, réunis pour un duo inédit et explosif. Trembler en France Le Ministère Secret, Tome 2 Éd. Dupuis – 14,95€
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le bon cadeau
Communiqué
Le jouet de ses rêves
C’est dans l’un des passages les plus mythiques de la capitale que le plus grand magasin de jouets de Paris s’est installé il y a bientôt 20 ans. 1 500m2 sont ici dédiés à l’enfant et au divertissement, un lieu féérique où dénicher le jouet parfait et vivre la magie des fêtes de fin d’année que l’on soit petit… ou grand ! 12
Malgré les deux ans que l’on vient de passer sur Internet à commander tout ce dont on avait besoin, il faut bien l’avouer : c’est une réelle joie de revenir en magasin. La magie opère, dès notre arrivée, sous la grande verrière du Passage des Princes : éclairés par les luminaires d’époque, nous commençons notre balade enchantée dans la galerie décorée aux couleurs d’Hello Kitty. L’heure est aux festivités ; d’un côté des ateliers pour enfants, un pop-up store éphémère où trouver jouets et produits collector, de l’autre un food court, un stand de personnalisation de mugs, ou encore le corner Harry Potter. À l’intérieur, chaque jouet a sa section : qu’il soit made in France, écoresponsable, électronique, de société, de plein air, de construction, créatif ou scientifique, tout le monde y trouvera son bonheur. D’ailleurs, les vendeurs spécialisés se font un plaisir de nous orienter selon l’âge de l’enfant et sa personnalité. Grâce à leurs conseils avisés, impossible de se tromper ! « On a même un rayon livre pour enfants jusqu’à 12 ans, nous confie Benoît. Ça tombe bien, on n’avait aucune envie de faire tout Paris pour trouver la dernière BD de Mortelle Adèle que nous a demandé notre filleule Mélanie. »
Le must ? L’immense magasin abrite également une large offre pour adultes. Si, comme nous, vous avez repris goût aux jeux durant le confinement, vous allez être ravis. Parmi la sélection, on retrouve des jeux de société, des puzzles ou encore des jeux d’apéro qui rythmeront nos raclettes entre potos. Le bon moyen pour faire une pierre deux coups : faire plaisir à notre beau-frère Séb’ et au collègue que l’on piochera au Secret Santa. Vous l’aurez compris, JouéClub, c’est LA bonne idée pour retrouver la bonne ambiance et la convivialité des fêtes de fin d’année qui nous avaient tant manquées !
Village JouéClub Paris 3-5, bd des Italiens – 2e Métro Richelieu-Drouot Tél : 01 53 45 41 41
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le bon resto
Un repas sur l’île de Lesbos
Communiqué
Croyez-le ou non, mais le nouvel endroit où il faut être est à Porte Dorée. Restez avec nous, on n’est pas devenus fous : sur les Maréchaux, Varia est la nouvelle table grecque divine qui nous fait complètement craquer.
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Installer son restaurant à une porte de Paris, il fallait l’oser. Et qui d’autre qu’Achille, qui a grandi dans l’est parisien, aurait fait le pari d’ouvrir Varia en plein sur les Maréchaux, coincé entre des brasseries et des fastfoods, quelques semaines à peine avant le confinement ? L’enjeu était grand, et le pari est relevé haut la main : tout le 12e se presse désormais dans cette adresse pointue à la cuisine traditionnelle grecque, aux influences méditerranéennes, aux cocktails grecs démentiels et au service chaleureux. Varia, pour le nom du village d’où Achille est originaire sur l’île de Lesbos. C’est ici que sont nées les recettes, dans la cuisine de sa grandmère, où les assiettes à mezze entrechoquent les verres à ouzo. Ne cherchez pas une assiette à la présentation distinguée, ici, on vient pour les saveurs authentiques ! En entrée : poulpe grillé, fakelos feta et dolmades vegan entièrement faits maison avec de la feuille de vigne (parmi les seuls de Paris). On enchaîne avec des plats alliant tradition et modernité comme le kritharoto de bar façon risotto aux champignons ou la moussaka – incontournable. Enfin, on termine sur le baklava de Catherine ou sur l’espuma de yaourt grec avec crumble au miel et fraises confites. Et chaque midi, un plat du jour surprise imaginé selon les arrivages, et toujours une tonne d’herbes fraîches cueillies sur le balcon ! Si la carte est aussi réconfortante, c’est parce qu’on déguste des produits tout droit venus de Grèce. Huile d’olive ou ouzo sont directement importés de l’île de Lesbos. La déco donne le ton, entre mosaïques au mur, alcoves, citronnier et banquettes ocre, et l’équipe n’a qu’une envie : nous faire découvrir les saveurs du pays. Laissez-vous guider, vous verrez. • S.S Varia 117, bd Poniatowski — 12e Du mardi au samedi de 12h à 14h et de 19h à 22h30
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Communiqué
le bon wrap
Des wraps plein d’histoires ! À deux pas de Saint-Paul, on s’arrête rue Caron pour déguster un wrap à la volée. 16
« Avec Anthony, on est complémentaires, lui passionné de cuisine et moi de relationnel. On reconnait tout le monde, on se souvient de leurs commandes, on discute avec eux, et la plupart viennent désormais 3 à 4 fois par semaine. » Car venir dans leur resto, c’est un peu comme venir chez eux. Tout, de la décoration imaginée par la compagne de Maxime jusqu’aux recettes pensées avec un ami chef des deux associés, a été créé avec sincérité. Tout nouveau dans le quartier, Wrap stories compte bien se démarquer et continuer de repenser sa carte en fonction des saisons. Pour accompagner ces délicieux wraps et incontournables pokés, place dès à présent aux soupes d'hiver faites maison et, bien sûr, avec amour ! • C.T
Ce qui séduit derrière un plat, une recette ou une carte, c’est son histoire. Ouvert depuis juin, on doit Wrap stories à deux amis d’enfance, Maxime et Anthony, anciennement issus du fast-food. « On bossait tous les deux dans un fast-food dans le 91. Pizzas, frites, paninis et burgers… C’était gras, c’était pas équilibré, mais on s’adaptait à la demande et à ce qu’on connaissait, explique Maxime. Le wrap s’est imposé en parfait compromis. Il a l’aspect junk food qu’on affectionne, parce que tu le manges à pleines mains, mais il se garnit de choses saines et de recettes recherchées. Il allie nos deux envies : du rapide et de la qualité. » Pour à peine 10€, pas moins de six wraps se partagent la vedette sur la carte. Le plus vendeur ? Le “Guaca” constitué de jeunes pousses, guacamole, poulet fermier, choux rouge, poivrons marinés, coriandre et oignons frits. Le plus surprenant ? Le “Beef”. Un wrap au bœuf de Salers accompagné d’une sauce burger maison en clin d’œil à l’ADN de Wrap stories. Cette sauce, qui pourrait rebuter, est finalement ce qui séduit tous les clients qui s’aventurent à le goûter, nous confie Maxime. Et ses clients, il met un point d’honneur à les choyer.
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Wrap stories 4, rue Caron – 4e Ouvert tous les jours De 11h30 à 15h et de 18h à 20h
la bonne étoile
Il y a quelque chose de touchant chez le crooner britannique. À 49 ans, les yeux rieurs et le sourire malicieux, Baxter Dury est bien ancré dans la modernité. Depuis son appartement de l’ouest de Londres, celui qui fête ses 20 ans de carrière, avec une compilation du meilleur de ses 6 albums, est la preuve vivante que l’âge, c’est dans la tête. 18
Texte : Sarah Sirel
Images : Tom Beard
Baxter Dury, jeune et moderne Comment ça va Baxter ? Plutôt bien à vrai dire. Je suis chez moi, à Hammersmith dans l’ouest londonien, je vois la rivière depuis mon salon, c’est un quartier un peu pourri, mais mon appart est chouette. J’ai fait une tournée pendant une semaine avec quelques concerts et puis j'ai eu le covid pendant une dizaine de jours, c'était terrible ! Je n’avais pas beaucoup de symptômes, mais j'avais l'impression d'être hanté, et puis quand ça s’est terminé, je me suis senti tellement libéré, je me disais : « Oh mon dieu, je suis en vie ! » Et depuis, le moindre truc simple, comme boire de l’eau, me fait un bien fou. Donc maintenant, ça va. En plus je vais à Paris ce week-end et j’ai trop hâte, je n'y suis pas allé depuis deux ans, je dois faire une émission de télé, mais je vais en profiter pour trainer quelques jours, jouer au touriste et manger de la viande bien grasse. Quel rapport entretiens-tu avec Paris ? Je ne connais réellement qu'un seul quartier : le sud de Pigalle, parce que je ne traine que là et je n’ai pas vraiment essayé de visiter autre chose. J’y ai ma petite routine, toujours le même hôtel, l’Alba, le même restaurant, où on déjeune très bien, et j’ai quelques amis dans le coin. J’ai appris à plutôt bien les connaître depuis le temps : quand ils me voient arriver, ils me disent toujours quelque chose comme : « Oh Baxterrrr, vous voulez du canard, de la saucisse, du fromage ? » Et moi je dis oui, avec plaisir ! Je n’y mange que les clichés de la cuisine traditionnelle française, c’est comme un cycle infini, je viens et je reviens et ils me nourrissent
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à nouveau de fromage, parce qu’ils savent que je suis facile à contenter. J’adore cet endroit, j’ai toujours l’impression qu’ils exagèrent leur accent français avec moi et que ce ne sont que des acteurs prétendant être français. Tu reviens ce mois-ci avec une réédition des meilleurs titres de tes 6 albums, après 20 ans de carrière. C’était important de marquer l’occasion ? Pas tant que ça. J’avais écrit un livre et je voulais créer un autre évènement pour le faire vivre, on va sortir un vinyle et ça va être cool, mais ce n’est pas une grande réflexion sur ma carrière. Il a fallu environ 4 minutes pour choisir les chansons qu’on y mettait. Tu sais hyper bien le vendre en tout cas. Je suis clairement un anti-vendeur, c’est un peu la manière moderne de te le vendre : je ne suis pas en train de ne pas le vendre, mais je suis très honnête. Ce n’est que de la musique après tout, un tas de chansons que j'ai faites, et c’est cool ; si ça rend heureux d’autres personnes alors ça me rend heureux. Mais je ne pense pas que ce soit si important que ça. Le plus important, c’est quand tu fais de la nouvelle musique. J’ai toujours trouvé que la nouveauté était plus intéressante que la nostalgie. Parlons de ton nouveau morceau alors. Tu expliquais que “D.O.A” avait été inspiré par ce que faisaient Frank Ocean, Tyler, The Creator et Kendrick Lamar. Tu me racontes ? C'est de la musique que j'ai découverte pendant le confinement, des choses que des
la bonne étoile millions de personnes connaissaient depuis des années… et à force que mon fils insiste pour que j’écoute, je m’y suis mis. Je n’avais jamais écouté auparavant, et finalement c’était hyper intéressant ! Ça m’a beaucoup impressionné et inspiré. J’ai toujours été entouré par des sonorités indé' britanniques, et là j’ai été touché par ce son associé au rap américain, qui est traditionnellement très masculin et que j’ai pourtant trouvé très libéré et avant-gardiste. Un peu à l'encontre de ce qui se passe ici.
certains sujets, par exemple : quand j'ai écrit un livre et qu’il a bien marché, ça m'a procuré un sentiment temporaire de satisfaction qui se traduit par une sorte de confiance en soi. Mais plus tu fais de choses, plus tu t’exposes. Tu es plus vulnérable. J’ai de la chance, dans l’ensemble, je m’en suis plutôt bien sorti ces dernières années. L’écriture de mon livre m’a vraiment apporté un nouveau centre d’intérêt… et ça rend le monde plus intéressant.
Tu as dit au sujet de cette chanson qu’elle parlait de te retrouver avec toi-même. Tu as gagné une certaine confiance en toi ces dernières années ? Je ne sais pas si c'est aussi simple que ça. J’ai parfois confiance en moi à propos de
J'ai lu que tu avais parlé du besoin de te réinventer après trois albums d'un « type qui parle par-dessus la musique avec une voix monotone ». C’est le début d'un nouveau chapitre ? C'est possible, je verrai ce qui se passe désormais ! Je pense que pour rester intéressé par ce que je fais, je ne peux pas répéter toujours la même chose, ce serait comme être en prison. Et je peux facilement changer de style puisqu’après tout, je suis plus ou moins toujours le même, je ne sais pas chanter et je n'ai aucune flexibilité musicale… Donc ce sera seulement mon environnement musical qui changera. C’est drôle parce que, justement, “D.O.A” reste une chanson pop nocturne alcoolique comme tu en as le secret. J’avoue, je raconte n’importe quoi, je fais juste semblant que c'est différent. Sans blague, je suis le même vieux mec ! C'est comme avec ton acteur préféré, si tu mettais Robert de Niro dans la dernière version de Jean de Florette, il serait le même putain de mec ! Alors c’est quoi la suite ? Beaucoup de choses. Je vais essayer d'écrire quelque chose d'autre, et ensuite je ferai de la nouvelle musique. Je n'arrive pas à savoir quel genre de musique je veux faire, mais j'ai fait beaucoup de collaborations avec des gens qui font des chansons incroyablement populaires et je suis impressionné par l'absence de processus. Ils n'ont pas besoin de brancher quoi que ce soit, ils ont juste leur ordinateur
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«J’ai toujours préféré la nouveauté à la nostalgie» portable et ils sont tellement libres ! Ils font des choses en une heure, alors que nous, on les faisait en deux semaines. Une heure… et ils ne branchent rien ! C'est fou, non ? Je suis assez envieux, et ça pourrait être marrant d’essayer de ne m’entourer de rien, ni instrument, ni musicien. Ça peut ne pas me convenir, mais je suis curieux. Tu es loin d’être nostalgique. Je ne vois pas l’intérêt d'être nostalgique. La nostalgie, c'est juste se reposer ou s'accrocher à quelque chose de terminé. À quoi bon, c’est tellement ennuyeux ! Je pense que chanter la même chanson encore et encore, c’est une forme de torture d'une certaine manière… C'est pour ça qu’on commence à voir des groupes s’entretuer, ils deviennent cannibales parce qu'ils sont épuisés de répéter les mêmes choses encore et encore.
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Ce qui semblait si amusant peut vraiment devenir une prison. Alors que je pense que c'est bien de garder son enthousiasme intact pour ne pas devenir trop cynique. Tu es un aventurier, donc ? Oui, parfois. Je ne veux pas pour autant partir en expédition seul au milieu du désert, mais je ne peux pas rester assis trop longtemps au même endroit. Sauf dans cette maison où je vis depuis toujours, mais c’est une maison de famille vraiment belle qui donne sur la rivière, alors il n’y a pas vraiment matière à discuter. Quelle image retiens-tu de tes 20 ans de carrière ? Ça te fait prendre du recul ? Quand j'ai commencé, la scène me terrifiait, je ressemblais à un chat effrayé, alors que j’avais un lourd héritage musical où mon père, lui, était très sûr de lui quand il faisait un concert. Ça a été l'une des choses les plus difficiles à surmonter pour moi, mais maintenant, je suis très confiant, un peu trop d’ailleurs, c’est presque si je m’en fiche ! Un excès de confiance en soi peut t’ennuyer, il faut trouver le juste milieu, rester dans l’apprentissage, trouver cet “échec positif” qui te garde éveillé, en quelque sorte. • S.S Mr Maserati 2001-2021 Heavenly Recordings/[PIAS] Sortie le 11 février 2022
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la bonne enquête
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Vie nocturne : plusieurs personnes droguées à leur insu à Paris ! Depuis plusieurs semaines, partout en France, patrons d’établissements de nuit et gouvernement sont interpellés sur les réseaux sociaux par plusieurs personnes, relatant de faits d’administration de substances comme le GHB en soirée, suivis, pour beaucoup, d’agressions sexuelles. C’est à Bruxelles que les langues se délient en premier, début octobre, lorsque plusieurs femmes disent avoir été droguées dans deux bars phares du quartier d’Ixelles – le Waff et El Café. Les témoignages se dirigent en particulier vers les employés de ces établissements, barmans pour la plupart, « qui auraient administré des drogues dans les verres de certaines clientes à leur insu, avant d’abuser sexuellement d’elles » relate le Bonbon Nuit sur son site. Ces témoignages, glaçants, sont rassemblés par le compte Instagram Balance ton Bar. « Le serveur a volé mon téléphone et l’argent en cash dans mon portefeuille. » Créé à la mi-octobre, il rassemble plus
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de 18 000 abonnés et relaie des événements ayant eu lieu dans plusieurs bars de la ville bruxelloise. « Un des barmans a mis du GHB dans mon verre […] heureusement que mon amie était présente car j’étais au sol, mal et je vomissais. Je ne me souviens de rien. […] Le serveur a volé mon téléphone et l’argent en cash dans mon portefeuille. Il y avait 160 euros », relate l’une des victimes sur le compte. Les témoignages pour le moins glaçants ont mené à une grande marche de près de 1 300 personnes au cimetière d’Ixelles, en soutien aux victimes de ces violences sexuelles le 14 octobre. Ce genre de procédés, lié à l'utilisation de GHB, est également dénoncé depuis une
la bonne enquête lieu entre leurs murs. Le collectif bruxellois les Sous-Entendues a également rassemblé plusieurs centaines de personnes place SaintAlbertine le 12 novembre dernier, appelant au boycott des bars et des clubs pour faire réagir, « par le porte-monnaie », les gérants de ces établissements.
@ heroines95
En Angleterre, des actions de boycott sont déjà en cours via le mouvement #GirlNight organisé pour protester contre le « spiking » ; une pratique qui consiste à droguer quelqu’un à son insu avec de l’alcool, du GHB voire des seringues dans certains cas.
semaine à Paris, sur Instagram et Twitter, relayés par l’association Héro·ïnes du Vald’Oise. Le premier est relatif à une intoxication au bar O’Sullivans à Pigalle, dans la nuit du 30 au 31 octobre, où l’une des militantes du réseau a été intoxiquée. « Elle a eu tous les symptômes de l'intoxication au GHB : vomissements, malaises, quasi perte de connaissance, elle ne tenait plus sur ses jambes… il y a des moments, elle n'était plus en état de parler », a détaillé une militante de l’association auprès de BFMTV. Un autre appel à témoins, pour le même motif, a été lancé au Bus Palladium, bar dansant du 9e. Une recherche étendue également aux Noctambules, et à tout le quartier, pour déterminer si, au cours de ces derniers mois ou années, des actions similaires avaient été rapportées. Une enquête a été ouverte suite au dépôt de neuf plaintes. Laure Beccuau, la nouvelle procureure de Paris – et première femme à ce poste – a annoncé la mise en place d’une « vaste enquête ». « Pour le moment, elle est confiée aux commissariats de police compétents. Mais il n'est pas exclu que les services de police judiciaire, si le phénomène se développe, soient saisis rapidement », a-t-elle indiqué le 17 novembre sur RTL. À Bruxelles, ces faits ont conduit à une action de boycott des bars et des clubs le weekend du 7 novembre, pour dénoncer l’inaction des établissements face à ces faits qui ont
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Les autorités locales rapportent 198 faits avérés d’intoxication au GHB et 56 faits d’empoisonnement par injection ces deux derniers mois.
© Istock
À Paris, le compte Instagram Balance ton Bar Paris, créé le 29 octobre, a relayé des témoignages de personnes droguées à leur insu dans divers lieux nocturnes parisiens comme le Café Chéri(e) (20e), le Rosa Bonheur sur Seine (7e) ou encore le YOYO, club du Palais de Tokyo (16e).
Pour aller plus loin : Consulter les ressources mises en place par le collectif féministe Héroïnes 95 et l’association Consentis, qui mènent des actions de prévention et sensibilisation sur les violences sexuelles et sexistes en milieu festif.
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Astro Gémeaux
Bélier Ce mois-ci, je détermine le cadeau de Noël idéal pour chacun des signes, en fonction de ce que les astres me raconteront. Désolé aux Béliers, je me sers du vôtre pour présenter l’exercice, n’ayant pas d’emplacement réservé aux explications sur cette doublepage. De toute façon, vous n’êtes jamais content·e·s. Pour vous, ça sera une peluche de Grincheux, tiens. Ça reflètera parfaitement le ton de votre année 2022.
Taureau Coucou les Taureaux ! Alors, qu’est-ce qu’on a accompli ce dernier mois ? Pas grand-chose, hein… Pardon ? Une "bonne résolution" pour 2022 ? Je vous arrête tout de suite : des résolutions, il vous en reste encore de 2004 à respecter, donc faites pas les malins. Votre cadeau idéal, ça serait clairement un tuteur légal. N’hésitez pas à faire un tour au magasin pour en trouver un, ça vous sortirait un peu les doigts.
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Je vous vois, là-bas. Attendre de pied ferme le verdict de cet horoscope sur votre triste sort, une épée de Damoclès suspendue au-dessus du crâne de votre fierté soi-disant intouchable. Bon ? Mauvais ? Que décident les astres aujourd’hui ? Pour une fois, tout va bien. Mais si ça ne tenait qu’à moi, évidemment que votre vie resterait un enf… Pardon. Votre cadeau de Noël : un miroir, pour enfin pouvoir vous parler, face à face, tous les deux.
Cancer Voilà un cas qui m’a donné bien du fil à retordre ces derniers jours… Ami·e·s Cancers, vous êtes à deux doigts de la sacralité, tant les étoiles indiquent qu’aucun présent ne pourrait vous accompagner convenablement pour affronter l’année à venir. Vous auriez déjà tout : plaids, couettes, mugs et tisanes… tout ce qu’il vous faut pour occuper votre train-train quotidien. Si 2021 était gros matou, 2022 sera paresseux.
Lion Que peut-on offrir comme beau présent à celui ou celle qui est déjà royal·e ? La couronne sur la tête, rien n’est assez pour le roi des animaux. Je ne crains que le jugement soit sans appel : votre cadeau idéal, c’est vousmême. Pour vous ou quelqu’un d’autre, vous incarnez ce qui vous correspond le plus pour 2022… Ou ce qui correspond le plus aux autres, selon votre propre point de vue purement subjectif et biaisé.
Vierge On ne vous voit plus trop aux soirées ou vous pavaner sur les réseaux sociaux … et ça fait du bien à tout le monde, à vous-même comme aux autres. Tout le monde souffle un coup… non sans se méfier d’un potentiel retour de flammes. Vous n’aurez donc pas un, mais deux cadeaux pour 2022, qu’il vous faudra garder précieusement : une tape dans le dos d’encouragement « Continuez comme ça ! »… et un extincteur. Juste au cas où.
décembre 2021 Balance Survécu, vous avez survécu. Vous pouvez en être fier, on l’est tou·te·s. Le mois en Scorpion n’aura fait de bien à personne, mais de tou·te·s, vous avez été celleux qui l’ont affronté le mieux. Vous en êtes presque ressorti·e·s plus fort·e·s ; si bien que le cadeau qui vous convient sous le sapin, c’est nul doute un coffre-fort, dans lequel vous allez pouvoir enfermer toute cette nouvelle confiance en vous et ne jamais vous en servir.
Scorpion On fait moins les malins, hein ? Allez, sans rancune les vipères ! La vie va vous redonner de quoi rayonner sous peu, puisque qui dit nouvelle année dit nouvelle chance de laver vos péchés. Les astres n’ont pas eu besoin de m’en parler pour que je le devine : votre cadeau, c’est une bassine d’eau bénite. Y faire vos ablutions devrait un peu retarder votre descente vers l’éternelle damnation. J’ai dit un peu.
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Verseau
Sagittaire Y en a qui terminent l’année en beauté… Un mois de décembre rien que pour eux, plus beau mois de l’hiver, dernière étape avant la Saint-Sylvestre, des cadeaux d’anniversaire ET de Noël… Faudrait que les astres vous en fassent un en plus ? Vous rêvez. Je suis désolé, mais cette année, vous êtes les grands perdants du loto de l’hiver. On ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre, la crémière, l’exploitation agricole et l’évasion fiscale…
Capricorne Le plus beau cadeau pour les Capricorne, c’est encore de ne rien leur offrir et leur laisser la joie de découvrir par eux-mêmes ce qui leur ferait plaisir. Parce que vous n’avez besoin de personne pour vous dire comment mieux aborder la nouvelle année : 2022 est tout autant la vôtre que 2021, si ce n’est plus. Un petit cadeau quand même, qui nous vient du cœur de la part des astres et moi-même : un peu de repos et moins d’ego.
Vous avez un mois pour vous préparer à ce qui vous agace le plus ces derniers temps : le changement. Rien que l’idée de devoir écrire la date en janvier et vous tromper sur le tout dernier chiffre vous angoisse. Rebelote la déclaration d’impôts, le renouvellement d’abonnements inutiles… On vous offre alors une machine à remonter le temps. Enfin… non pas vraiment, pour des raisons évidentes. Mais le geste y est.
Poissons J’ai ouï dire que vous n’aviez pas trouvé l’univers très clément avec vous ces derniers temps, à tel point que vous en auriez été blessé·e. Désolé, mais ce n’est pas moi qui décide… Si j’en avais le pouvoir, croyez bien que les choses se passeraient autrement – il n’y aurait peutêtre même pas eu de Poissons. Votre cadeau pour 2022 ? Une goutte d’autodérision, m’indiquent les étoiles, histoire de ne plus passer pour un·e fragile.
Petites annonces Noyeux Joël les bonbons, c'est bon de vous avoir à mes côtés, ensemble nous toucherons les étoiles :) La teuf c’est rue Claude Vellefaux maintenant !
À celui (ou celle) qui a volé mon (beau) vélo. bien joué, mais c pas cool. Je gagne un peu plus du smic et ça me fait mal. Franck
Vends vaccin Covid 19 très peu utilisé
À ma princesse de toujours que j'aime par delà les océans et les montagnes À mes 3 enfants que j'aime plus que tout, bonnes fêtes de fin d'année et joyeux Noël :)
Happy 7th birthday to the most amazing living beings on earth : Lucille and Sasha
Paris je t’aime @Neverstopdancing_lsk
Joyeux anniversaire petite Nounouch Gros gros coeur sur toi. Happy birthday à la p’tite P. Salut. Mr P.
Règle n°1 pendant les fêtes de famille : ne pas parler politique & féminisme. Sinon tout devrait bien se passer
Un grand sage a dit : “Quand le bateau coule et qu'il n'y a plus de quoi le réparer, arrête d'écoper ducon et saute par-dessus bord pour sauver ta peau.”
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