HAPPY NEW YEAR !
PARIS OUEST
Janvier 2020 - n° 116 - www.lebonbon.fr
Photographe : Naïs Bessaih www.naisbessaih.com Modèle : Léa
EDITO Confiseur
Jacques de la Chaise
Directeur Associé
Antoine Viger
Directeur de Création
Tom Gordon
Rédactrice en Chef Rédacteur en Chef Nuit
Rachel Thomas Lucas Javelle
Graphistes
Antoine Mercier Clément Tremblot
Secrétaire de Rédaction
Louis Haeffner
Rédacteurs
Juliette Darmon Mika Do Morgane Espagnet Manon Merrien-Joly Sarah Sirel Zoé Stène
Social Media Manager
Lionel Ponsin
Photographes
Naïs Bessaih Lou Anna Ralite
Head of Sales
Nicolas Delmatto
Directeurs de Clientèle
Margot Couperie-Eiffel Léa Guignebert Fallon Hassaïni
Chef de Projets
Anouchka Broche Chloé Decombes Corentin Durrieu
Concepteur-Rédacteur
Timothée Malbrunot
Chefs de Publicité
Élodie Gendron Benjamin Haddad
Lead Développeur
Guillaume Woodward
Chefs de Projets Digitaux
Dulien Serriere Florian Yebga
Responsable Vidéo
Tanguy Jacquemier
Vidéo
William Baudouin Raphaël Breuil Fiona Garfagnini Nicolas Grellier
Culture et Partenariats
Valentine Briot Antoine Kodio
Stagiaires
Lætitia Frémaux Marine Lacroix Carla Thorel
Contact
SAS Le Bonbon 15, rue du Delta - 9e SIRET 51058030100040 Élodie Gendron elodie.g@lebonbon.fr 06 34 22 28 34
En ces temps de plus en plus troublés, où le monde se dirige vers un chaos annoncé, où le système capitaliste est à bout de souffle… où rien ne tourne dans le bon sens. C’est dans ce contexte que nous changeons d’année et de décennie. L’espoir de s’en sortir pointe le bout de son nez, même si aucun fait rationnel ne vient étayer cette possibilité… Vous savez bien que c’est toujours l’inverse de ce que l’on attend qui arrive généralement ! Il suffirait de peu de choses pour que la spirale négative se transforme en émulation positive. Il faudrait une meilleure répartition de la richesse, que ce fameux 1 % de la planète qui détient le monde en donne un peu aux 99 % restants. À quoi leur serviront leurs milliards si la monnaie explose un jour ? Il faudrait aussi que le gouvernement soit plus dans le dialogue et la concertation avant de prendre des mesures aussi sensibles que celles concernant l’évolution des retraites. Le timing choisi est également très maladroit sachant que notre économie déjà bien vacillante n’avait pas besoin de la paralysie engendrée. Nous souffrons tous de ce climat, nos petits commerçants en premier… Bref, on a du pain sur la planche, et ce n’est qu’ensemble, main dans la main, que nous nous en sortirons, en faisant preuve de courage et de solidarité les uns envers les autres. Welcome 2020, and good luck ! Le Confiseur
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JANVIER 2020
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LA BONNE CANTINE
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LE BON BISTROT
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LE BON CIRQUE
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LA BONNE EXPO
Une nocturne insolite
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LA BONNE LECTURE
Les BD de la rentrée !
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LA BONNE PÉPITE
Mon Beau Poulet
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LA BONNE ÉTOILE
Aaron chante, danse, ose !
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LA BONNE ENQUÊTE
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LE BON SHOPPING
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LE BON HOROSCOPE
D’amour et de brioche ! Le plus moderne des bistrots Un cirque poétique
Je mange pour sauver la planète Blue january Janvier par Bill
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EN ASSOCIATION AVEC NANTERRE DIGITAL
VENDREDI 17 JANVIER 20H30 MAISON DE LA MUSIQUE MUSIQUE / FILM
hypersoleils Jean-Benoît dunckel et jacques perconte
19-20 Maison de la MUSIQUE de nanterre www.maisondelamusique.eu RER A Nanterre-Ville
BON TIMING On se détend à un concert symphonique L’Auditorium de Radio France ouvre ses portes aux moins de 28 ans pour un grand concert symphonique, avec au programme le plus grand tube de la musique classique : la 5e symphonie de Beethoven ! L’occasion de découvrir cette salle de 1500 places en plein cœur de la Maison de la radio et le bar tendance Le Belair où on retrouve le soir les musiciens et stars de la radio. Maison de la radio – Auditorium 116, avenue du Président-Kennedy – 16e Réservations maisondelaradio.fr Jeudi 16 janvier 2020 à 20h On s’émerveille devant L’étoffe des rêves Exceptionnelle exposition, cette rétrospective met en avant des textiles anciens, des étoffes légères et colorées, des accessoires ainsi que 75 pièces de haute couture de la plus grande figure de la mode coréenne Lee YoungHee. Une sublime collection à admirer sans attendre jusqu’au 9 mars prochain ! L’étoffe des rêves de Lee Young-hee. Séoul-Paris Musée national des arts asiatiques - Guimet 6, place d’Iéna – 16e Du 4 décembre 2019 au 9 mars 2020
On redécouvre un grand classique Ghost est de retour ! Le film mettait en scène Sam Wheat sous forme de fantôme revenu d’entre les morts, sa dulcinée Molly Jensen, et l’incroyable Oda Mae Brown, fausse voyante qui a vraisemblablement de vrais pouvoirs psychiques et communique avec le défunt. Or depuis 2011, la comédie musicale Ghost sillonne le monde, et débarque enfin à Paris ! Sans Patrick Swayze, mais avec la même magie, promis. Ghost, le musical Théâtre Mogador – 9e Jusqu’au 21 juin 2020
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LA BONNE CANTINE
Communiqué
D’amour et de brioche !
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Avis aux gourmands, gloutons et amoureux de bons produits, on vous a déniché un nouveau repère où vous délasser et déguster de délicieuses brioches colorées. Suivez-nous, on vous explique tout. Une brioche moelleuse et généreuse qui entoure un plat parfaitement cuisiné et mitonné, c’est le nouveau concept gourmand que Margaux, ancienne cheffe de restaurant et passionnée de cuisine, vous propose dans son bar à brioches du 8e. Ouvert depuis un mois seulement, cette petite cantine chaleureuse vous propose des douceurs salées et sucrées toutes plus alléchantes les unes que les autres. « Depuis ma plus tendre enfance, j’adore la brioche. C’est un dessert généreux et super réconfortant, mais je suis souvent déçue par sa texture trop sèche. J’ai alors décidé d’ouvrir mon propre laboratoire dans lequel je confectionne mes brioches moelleuses et savoureuses. » C’est donc dans son quartier de prédilection que la talentueuse cheffe vous concocte des brioches salées et sucrées, à savourer dans un cadre ultra cosy. « Tous les produits sont sélectionnés avec une attention particulière. Ils sont bio, locaux, de saison et tout est fait maison ! D’ailleurs, la carte change même au fil des saisons. Je tiens également à utiliser des produits respectueux de l’environnement et je limite au maximum le gaspillage. Par exemple, je transforme mes brioches en délicieuses brioches perdues. » On en salive d’avance… À la carte, on retrouve une large sélection de sandwichs, comme le sandwich au pain brioché, cécina, confit d’oignons et crudités, mais également des brioches tressées aux olives, des brioches salées aux noix et
gorgonzola, des babkas, des Kouign-amann, des cinamon rolls ou encore de délicieuses brioches au sucre. Une tuerie. Côté boissons, vous pourrez siroter des jus frais maison, des thés glacés, des cafés frappés ou encore des cappuccinos. À consommer sur place ou à emporter, ces petits bijoux gourmets sucrés et salés sont même à déguster en mode petit-déjeuner, déjeuner et goûter ! • M.E.
BAB, le Bar à Brioches 8, rue la Boétie – 8e Du lundi au vendredi de 8h à 17h
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LE BON BISTROT
Communiqué
Le plus moderne des bistrots
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Le jeune chef flirte outrageusement avec les grands classiques de la cuisine française, des plats d’antan remasterisés avec une touche de modernité. « Ici, tu retrouves vraiment les recettes qui ont marqué ton enfance », ajoute Thibault. À la carte ? Tarama de cabillaud et guacamole, velouté de potiron, crème de moutarde à l’ancienne et châtaigne, saumon grillé sauce paloise accompagné de haricots de Paimpol ou encore confit de canard et pommes sautées…. vous avez l’embarras du choix ! On termine par un baba de papa, une tarte tatin de mémé ou des profiteroles sauce chocolat et glace vanille. Et on arrose le tout avec un verre de vin chiné avec amour.
Une cuisine traditionnelle et typiquement française, le tout dans un décor des plus authentiques, c’est souvent ce qui caractérise nos brasseries parisiennes, mais pas que ! Depuis quelques mois, une nouvelle brasserie moderne est en vogue dans la capitale. Situé en plein cœur du triangle d’or, Jacopo est le tout nouveau restaurant design où se délasser et déguster de délicieux plats mitonnés. Ici, tout est frais, de saison et bien sûr, fait maison. Les produits sont sélectionnés avec une attention particulière et les plats sont concotés par le talentueux chef étoilé Thibault Sombardier. (Oui, le finaliste de Top Chef, celui qui nous a fait saliver devant notre télé !) « Évidemment, il fallait du lourd derrière les fourneaux. Un chef capable de mijoter une popote ultra cool et très abordable. Parce qu’on a beau être situé derrière la boutique Louis Vuitton des Champs-Élysées, on n’a pas forcément envie de flamber ! » Et c’est pile ce dont on avait envie.
Entre tables en marbre, banquettes cosy et décor ultra sophistiqué, Jacopo propose ici un véritable festin à base de produits d’exception. Et pour les plus gourmands d’entre vous, un brunch avec buffet à volonté est disponible tous les dimanches ! Mais ça ne s’arrête pas là… Au sous-sol se cache un véritable speakeasy de 90 m2. Empruntez les larges escaliers en béton et laissez-vous entraîner dans l’un des rares sous-sols de Paris encore authentique. Murs bruts éclairés par de majestueux candélabres, mobilier chiné et vastes canapés en cuire, l’atmosphère y est propice à la détente et au plaisir, avec au programme des cocktails de folie ! Mais pas un mot de plus, l’expérience se vit mais ne se raconte pas… • M.E.
Jacopo 5 bis, rue Vernet – 8e Speakeasy ouvert tous les jours de 12h à 2h sauf le samedi midi Formule brunch à volonté le dimanche midi à 35 €
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LE BON CIRQUE
Un cirque poétique À l’abri du tumulte des Champs-Élysées se cache une véritable pépite : le dernier cirque tzigane au monde. Fondé en 1994, ce cirque familial est un lieu comme on les aime : chaleureux et convivial.
dans le monde entier. Après un passage en Allemagne, en Russie ou encore en Chine, c’est le cœur lourd que la famille Romanès revient inlassablement hiverner dans notre chère capitale.
Passé le grand portail en fer du square RenéParodi, on découvre un petit chapiteau de vingt mètres de long pouvant accueillir jusqu’à 300 personnes. Délia et Alexandre, les maîtres des lieux, s’empressent de nous prendre dans leurs bras. Depuis 25 ans, ils font vivre cette culture tzigane. « Moi dans ma famille, on fait du cirque depuis des siècles », confie Alexandre. « On faisait des numéros dans la rue et on se déplaçait dans le monde entier. Puis un jour j’ai rencontré Délia dans un campement tzigane. J’ai décidé d’ouvrir mon propre cirque avec elle. Depuis, la tribu a bien grandi ! On est une quarantaine, tous de la même famille. »
Pourtant, c’est chaque jour avec le bonheur de ceux qui vivent de leur vocation que la tribu se représente. Sur scène, les danses et les chants se mêlent aux superbes numéros. Et ici, vous ne trouverez aucun animal ! Dans ce cirque humain plein de folie, la place est aux artistes. Musiciens, trapézistes, funambules, jongleurs… tous ont été formés par Alexandre. « Une minute sur scène représente plus d’un an d’entrainement. On transmet notre savoir de génération en génération. C’est ça le cirque, c’est la tradition ! »
Véritable espace de vie, le cirque Romanès se concentre autour des valeurs de solidarité et de partage. « On se bat pour faire vivre notre cirque. Et au racisme, on répond avec de la culture et de l’amour », ajoute Délia. « On est une grande famille, on travaille tous ensemble. » Au retour des beaux jours, la fratrie reprend la route pour se produire
Des rires, de la joie et de la musique, c’est à peu près toute l’essence de cette merveilleuse famille. En attendant, le spectacle continue sous les étoiles du chapiteau… • M.E.
Cirque Romanès Square René-Parodi, boulevard de l’Amiral Bruix – 16e Tél. : 01 40 09 24 20 Tous les samedis et dimanches
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“On transmet notre savoir de génération en génération. C’est ça le cirque, c’est la tradition !”
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LA BONNE EXPO
Une nocturne insolite
Ouvert il y a seulement quelques mois dans le 17e, Citéco est le premier musée européen consacré à l’économie. Véritable lieu éducatif et culturel parisien, il regroupe six séquences dans le parcours permanent pour vous permettre de comprendre tous les enjeux de l’économie. Échanges, acteurs, marchés, instabilité, régulation, trésors… La Cité de l’Économie est un lieu muséal à la croisée entre enjeux économiques et patrimoniaux. Elle a d’ailleurs su trouver sa place dans un cadre aussi inattendu qu’exceptionnel : l’hôtel Gaillard, classé Monument historique.
Pour cette première année, Citéco a voulu mettre en avant une programmation riche et variée pour vous permettre de découvrir l’économie autrement. Ainsi, tous les premiers jeudis du mois, la Cité de l’Économie ouvre ses portes jusqu’à 22h et organise une nocturne sur un thème qui mêle économie et pédagogie. Chaque nocturne traitera un secteur de l’économie avec une approche décalée et interactive. « Ce jeudi 6 février 2020, Citéco présentera “L’argent fait son cinéma”, une soirée conçue par l’Association Braquage. Certains cinéastes se sont penchés sur le pouvoir de l’argent qui circule, coule, se perd, se désire, échappe ou afflue. » C’est donc
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© citéco
cette relation intime qui unit le cinéma et l’argent que la nocturne mettra en avant à travers des discussions, projections et ateliers. De film en film, cette nocturne sera surtout l’occasion de questionner l’ambivalence de l’argent : objet à la fois adulé, haï et fascinant. D’ailleurs pour ceux qui aimeraient laisser leur marque, un atelier d’initiation à l’intervention sur pellicule aura lieu toute la soirée au Bar Éphémère. Vous pourrez ainsi modifier un film avec des techniques de dessin et de grattage pour créer une séquence unique qui sera projetée en 16 mm. Bref, en 2020, prenez les manettes de l’économie ! • M.E.
“Cette nocturne sera surtout l’occasion de questionner l’ambivalence de l’argent : objet à la fois adulé, haï et fascinant” Nocturne à la Citéco 1, place du Général-Catroux – 17e Gratuit pour les moins de 26 ans et les étudiants Le jeudi 6 février de 19h à 22h
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LA BONNE LECTURE
Les BD de
LA PLUS MARRANTE
LA PLUS TOUCHANTE
Formica, une tragédie en trois actes de Fabcaro
À la vie de l’Homme étoilé
Nouveau bébé de Fabcaro (l’auteur de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï), cette BD raconte avec un humour satirique le déroulement d’un repas dominical. Toute la famille est alors ravie de se retrouver autour de la table pour un moment d’amour et de partage mais une question banale vient bouleverser l’équilibre du déjeuner familial : de quoi pourrions-nous parler ? Perdu et sans idée, le rendez-vous tourne au drame.
Infirmier star des réseaux sociaux, l’Homme étoilé raconte son quotidien en soins palliatifs, ses incroyables rencontres avec ses patients et sa vocation. En ressortent des histoires dessinées émouvantes et drôles, qui interrogent sur le rôle du soignant, avec pudeur et humour.
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la rentrée !
LA PLUS RÉGRESSIVE
LA PLUS EXPÉRIENTIELLE
Sacrées Sorcières de Pénélope Bagieu
Barrier de Brian K. Vaughan et Marcos Martin
Sacrées Sorcières représente pour Pénélope Bagieu un souvenir d’enfance. Celui d’un livre qui l’a autant « traumatisée » que passionnée, puisqu’elle était comme ensorcelée, incapable de le refermer malgré le petit frisson qui la parcourait. Pour beaucoup de lecteurs devenus grands aujourd’hui, ce texte de Roald Dahl va de pair avec les illustrations de Quentin Blake… Comme d’ailleurs Matilda, Le Bon Gros Géant et bien d’autres histoires incroyables.
Après l’excellente BD dystopique The Private Eye, Brian K. Vaughan et Marcos Martin rempilent pour une nouvelle réflexion éclairante sur la nature des migrations : Liddy, propriétaire d’un ranch, vit à Pharr, ville du sud Texas. Elle fera la rencontre d’Oscar, un Hondurien qui a réussi à franchir la frontière mexicaine. Kidnappés par une entité du troisième type, ils sont obligés de s’entraider : on se retrouve ainsi embarqués dans une aventure linguistique qui ravira les hispanophones et poussera les autres à adopter une lecture plus active pour déceler les rouages de l’intrigue et comprendre la culture de l’autre.
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LA BONNE PÉPITE
Mon Beau Poulet Le poulet rôti est une véritable institution de la gastronomie française. Repas traditionnel du dimanche, il nous ravit avec sa peau croustillante et sa chair bien tendre. Et parce qu’on ne mange plus forcément celui de notre grand-mère aussi souvent, mais qu’on l’aime toujours autant, voici une adresse qui devrait ravir tous les becs salés. Ouvert il y a tout juste quatre mois par Nicolas, Mon Beau Poulet nous a laissé sans voix. Après 26 ans dans l’automobile, ce bon vivant a décidé de tout plaquer pour réaliser son rêve, celui d’ouvrir sa rôtisserie. « J’ai toujours baigné dans le milieu de la gastronomie. Ma mère a toujours été une fine cuisinière et je m’inspire d’ailleurs beaucoup de ses recettes pour créer les miennes. »
Dans sa rôtisserie de compet’, Nicolas fait cuire le poulet à la perfection. Et ici, on ne plaisante pas avec la volaille. Vendus cuits ou crus, tous les poulets proviennent de la Ferme du Luteau, éleveurs depuis 3 générations. « Ils sont élevés 100 jours minimum en plein air, à moins de 80 km de Paris avec une alimentation 100 % végétale fabriquée à la ferme ! Je tiens à n’utiliser que des produits de qualité, frais et locaux. » Sur place ou à emporter, vous pourrez déguster des poulets rôtis cuits à la broche dans les règles de l’art, des émincés de poulet au basilic et parmesan, un filet de poulet cuit vapeur et mariné au citron ou encore une volaille mijotée en sauce. Le tout est accompagné au choix d’une ratatouille maison, de pommes rissolées, de légumes verts frais ou d’un généreux gratin dauphinois… Sans oublier les délicieux desserts maison (avec une mention spéciale pour le fondant au chocolat, à tomber !). Il ne vous reste plus qu’à commander… Cocorico ! • M.E.
Mon Beau Poulet 42, rue de Laborde – 8e Du lundi au vendredi de 11h30 à 14h30 Les mercredi et jeudi soirs de 19h à 22h30 (sur réservation) Tél. : 01 42 93 92 96
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LA BONNE ÉTOILE
Texte
Sarah Sirel Photos Naïs Bessaih
AaRON chante, danse, ose ! La sortie de “U-turn (Lili)” en 2006 avait assuré au duo AaRON une place de choix dans le cœur de tous les flâneurs mélancoliques, spleenétiques, amoureux des strophes ou simples hédonistes. Trois albums et plusieurs centaines de concerts plus tard, Simon Buret et Olivier Coursier sont de retour avec un EP cosmique, touchant, qui aborde les défis d’aujourd’hui en les mettant tous au tapis. Avec un album prévu avant l’été et un Zénith de Paris annoncé en novembre prochain, 2020 sera l’année d’AaRON ou ne sera pas. On vous avait quittés en 2015 avec l’album We Cut The Night. Il s’est passé quoi depuis ? Olivier : On a enchaîné une centaine de concerts pendant deux ans, et puis il a fallu qu’on fasse une pause, qu’on se concentre sur nos vies, qu’on voyage, qu’on vive pour avoir des choses à raconter pour la suite. Simon : On avait des restes de We Cut The Night dans les tuyaux qu’on voulait retravailler, puis on s’est laissé porter pour le nouvel album, qui est l’un des plus tentaculaires qu’on ait fait.
On tirait des fils et ça en amenait d’autres, c’était excitant et déroutant en même temps. Ça se passe souvent comme ça quand on crée nos albums, c’est le chaos, et puis soudain il y a un premier fil qui se tire et nous excite l’oreille. Quand Olivier m’a envoyé du son de “The Flame”, c’était tellement puissant, solaire et excitant que ça a posé la première pierre de tout le reste. “The Flame” est un single très électro quand le reste de l’EP est plus calme. Pourquoi avoir voulu casser le rythme au fil de l’écoute ? Simon : La base d’une bonne chanson, c’est que ça doit tenir avec rien, juste une mélodie avant tout. Cet EP donne la couleur de ce qui va suivre, on avait besoin de montrer tous les mécanismes du jour, comment une personne dans une même journée marche à des rythmes différents et vit tellement de sensations, d’émotions, de vies différentes sans même s’en rendre compte. Le rôle d’un album c’est aussi ça, je crois. C’est pour ça que la musique n’a pas d’âge, qu’il y a des morceaux qui restent toute une vie. Ce rythme-là, c’est toi qui l’adopte, c’est
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AARON
“Quand on crée nos albums, c’est le chaos, et puis soudain il y a un premier fil qui se tire et nous excite l’oreille” la couleur de ton cœur. En fonction de ton caractère, et de la chanson que tu écoutes, tu peux avoir envie de danser, de pleurer, de baiser, de marcher, de courir, de vivre en fait, c’est ton cœur qui colore les choses. Cette nouvelle sortie s’accompagne d’une identité visuelle forte avec le clip de “The Flame” et ses pas de danse décomplexés au Palace. Comment vous l’avez travaillée, cette identité ? Simon : “The Flame” parle d’un sujet précis, celui d’oser. Ce titre est né au milieu du chaos qui se passe en ce moment et qui est de plus en plus visible. Ce qui nous attirait, c’était de dire aux gens « réveille-toi, regarde ce qu’il se passe ! », d’avoir ce geste d’oser, oser embrasser quelqu’un que tu aimes, oser lui dire que tu l’aimes, oser partir de ton taff, oser changer les choses, putain on est sur une boule au milieu de rien du tout, on a la chance d’avoir le choix, fais-le ! “The Flame”, c’est ça. Se libérer de ses démons et prendre des risques, en général, ça t’apporte des choses que tu n’aurais même pas imaginé.
Olivier : J’ai voulu qu’on applique ce conseil à nous-mêmes avec une danse, quelque chose que je n’ai pas spécialement l’habitude de faire. Simon : Ces lieux où les gens dansent, c’est le bonheur. Et avant d’être le Palace, c’est un lieu où tout le monde se lâche, comme dans n’importe quelle boite de nuit. C’est fou quand tu y penses, si tu danses comme ça dans la rue les gens te trouvent taré ! On voulait donner de la liberté aux gens en commençant par la montrer nous-mêmes. On observe aussi dans le clip une forte gémellité. Vous êtes aussi complémentaires dans le travail d’écriture et de composition ? Olivier : Oui, on a des grosses choses en commun et d’autres différentes, et on s’en sert pour construire les morceaux, on se pousse l’un et l’autre dans nos transformations, sans jugement. On teste plein de choses, si ça ne marche pas ce n’est pas grave, et on fait comme ça à chaque album, on repart à zéro, c’est une vraie transformation. Découvrir des mondes, essayer, trouver le point d’entrée qui va faire qu’on ressent des choses, c’est ultra important. Le thème de la libération est très présent dans ces nouveaux titres, d’où vous vient cette envie d’émancipation, de lâcher prise ? Simon : Je crois que je me sens de plus en plus enfermé, la vie tente tout le temps de te remettre sur des rails. J’ai beaucoup voyagé, et après We Cut The Night j’ai beaucoup déconnecté, parce qu’AaRON c’était une énorme machine. J’ai eu ce besoin de me décrocher de moi-même et d’aller dans des zones plus souples que sont la nature, parce que c’est ce qui me nourrit le plus, Olivier aussi. C’est tellement nécessaire.
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Vous prenez aussi le risque de vous réconcilier avec le français, qui met bien plus à nu. Olivier : En France oui. Mais on a la chance de beaucoup jouer à l’étranger, moi je me demande plus comment eux vont réagir, ceux qui ne comprendront pas le texte. Avec le son de cet album-là, le mélange était intéressant avec la langue française. On a l’impression que ça apporte quelque chose de nouveau. Simon : Je voulais aussi me faire peur, j’ai toujours écrit des poèmes en français mais Olivier m’a pas mal poussé pour oser y aller cette fois. Je ne voulais pas rentrer dans le moule de la chanson française, même s’il a pas mal explosé au cours de ces dernières années. Alors c’est effectivement un risque,
mais c’est ce qu’on aime, et un artiste prend tous les jours le risque de ne pas réussir à s’exprimer. C’est quoi vos adresses préférées à Paris ? Simon : Le Palace c’est cool pour boire des coups tard le soir. J’aime bien boire le café du matin au Café de la Mairie, place SaintSulpice (6e), et manger à Tien Hiang, rue Bichat (10e). J’adore aussi le petit café dans le square du Luxembourg, il n’a pas de nom et il faut bien le chercher, tu peux t’y installer le matin, au soleil, sur sa petite terrasse en métal. The Flame / KID74 / Birds in the Storm Sortie le 07/02/20 En concert le 21/11 au Zénith de Paris
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LA BONNE ENQUÊTE
Sarah Sirel
Texte
Je mange pour sauver la planète
En novembre 2018, Greta Thunberg lançait la grève scolaire pour le climat tous les vendredis et inspirait les étudiants du monde entier. Plus d’un an plus tard, la jeune Suédoise est devenue le visage d’une société concernée, engagée, mais surtout réveillée. Un militantisme qui passe d’abord par l’assiette, adopté par de nombreux Parisiens désireux d’agir face à l’inaction et au dérèglement climatique. 27 %. C’est la part des émissions de gaz à effet de serre émis par l’alimentation en France, ce qui rend nos assiettes plus polluantes que les transports (26 %), selon l’Institut national de la consommation. Si on veut agir, il faut donc commencer par changer ce que l’on mange. « Je me suis toujours senti concerné par les enjeux
environnementaux, mes parents ont toujours essayé de nous acheter des légumes bio, mais je n’avais pas particulièrement creusé la question », se souvient Paul, 35 ans, graphiste. Un jour, le trentenaire parisien tombe sur un documentaire qui pointe du doigt les dégâts réalisés par les grosses industries sur le climat et les écosystèmes. C’était il y a deux ans. Électrochoc. « Tu savais, toi, que l’élevage intensif était responsable de 15 % des émissions de gaz à effet de serre et de 63 % de la déforestation en Amazonie ? J’ai commencé à essayer de réduire ma consommation de viande industrielle et de produits transformés en général. Je suis passé de manger de la viande une fois par jour à une fois par semaine, puis une à deux fois par mois, et maintenant c’est seulement pour les grandes occasions comme le repas de Noël,
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en faisant gaffe à la provenance. » Paul n’est pas le seul. Aujourd’hui, un tiers des Français se considèrent flexitariens, diminuant considérablement leur consommation de viande sans pour autant passer le cap du végétarisme, avec un seul but, réduire ses émissions de gaz à effet de serre. À Paris, les associations sont témoins au quotidien d’un essor d’intérêt pour les enjeux sociaux, environnementaux et éthiques. C’est le cas de Brigitte Gothière, cofondatrice de l’association L214. « On a le sentiment que les gens s’engagent davantage, et surtout qu’ils comprennent l’avantage de se regrouper pour faire face aux lobbys. On observe de plus en plus d’actions citoyennes pour faire bouger les choses, et on est passé de 9000 membres fin 2015 à 38 000 aujourd’hui. » Le militantisme
dans l’assiette, aujourd’hui, se traduit par une consommation plus responsable, des produits plus locaux, moins transformés, plus de végétal, bref, un retour aux sources. Toute initiative est donc bonne à prendre pour répondre à la demande… même les plus loufoques. Si on ne compte plus les restaurants parisiens qui mettent en avant le local, le fait maison ou les circuits courts, on observe aussi des cartes plus osées, comme le burger aux insectes lancé par Frichti en septembre 2019, véritable burger du futur, qui contenait de la farine d’insectes, de la betterave, des pois chiches, de la feta et de la mayo végétale. Basile fait partie de ceux qui pensent qu’il faut se mettre aux insectes dès maintenant. À 25 ans, le Parisien est à l’initiative de Reglo, une marque écologique
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LA BONNE ENQUÊTE
de croquettes pour chiens aux protéines d’insectes. « Notre production d’insectes nécessite 200 fois moins d’eau que la production de viande, 100 fois moins de CO2 (et pas de méthane), et 12 fois moins d’aliments consommés. Leur impact sur la planète est minime en comparaison de la viande, que ce soit en termes de consommation de ressources ou d’émissions de gaz à effet de serre. » Sa levée de fonds sur Ulule, terminée en décembre dernier, a été largement soutenue, atteignant 259 préventes sur un objectif de 100. Si les changements sont déjà enclenchés, comment mangera-t-on dans 30, 40, 50 ans ? Selon Brigitte Gothière, pour répondre aux enjeux climatiques, la prise de conscience « doit se développer au-delà de son échelle actuelle ». Le chemin est encore long avant que la prise de conscience soit efficace. « Si on compare les émissions de gaz à effet de serre, le pas majeur c’est la végétalisation, défend Brigitte Gothière. C’est un plus énorme de manger local, évidemment, mais si on a le choix à faire entre le local, de saison ou végétal, l’action sera beaucoup plus impactante en allant vers le végétal. Le mieux serait de tabler sur tout, d’être dans un modèle plus vertueux et de ne pas oublier de bien rémunérer les éleveurs. Rappelons qu’aujourd’hui un éleveur a en moyenne 187 000 € d’endettement, et ça monte jusqu’à 437 000 € pour les éleveurs de cochons. Comment peuvent-ils aller vers le durable avec autant de dettes ? » Pour le chef multi-étoilé Thierry Marx, le mode d’alimentation le plus vertueux réside
dans le flexitarisme, « 80 % de végétal et 20 % de protéines animales, parce que le grand stress de cette planète c’est le stress hydrique, le manque d’eau. Il faut donc arrêter de nourrir du bétail en surconsommation, pour éviter d’avoir à gâcher cette eau. Aujourd’hui, 150 grammes de viande, c’est en gros 150 litres d’eau ». Il croit « au locavore, aux économies circulaires, à ce qui fait qu’elles s’agrègent entre elles et qu’elles créent une vraie force de terroir et de territoire ». Il faut croire que les chefs ont été entendus par les laboratoires, qui réfléchissent à des moyens de limiter l’agriculture intensive. Parmi eux, la viande in vitro, produit carné
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“Le grand stress de cette planète c’est le stress hydrique, le manque d’eau.” qui reproduit les tissus de chair animale en développant des cellules, se passant ainsi d’animaux bien vivants, ou encore cette petite pilule présentée lors de l’exposition Je mange donc je suis au Musée de l’Homme, et qui permettrait à quiconque l’avale d’engloutir l’équivalent d’un repas entier. Enfin, on pense aux fameux steaks Beyond Meat, à base de protéines de pois, qui imitent le goût et la texture de la viande sans contenir une once de matière animale, permettant à tout végétarien qui se respecte de croquer dans un burger bien saignant. Alors, produits de la terre ou ultra-transformés, qui remportera la bataille de l’alimentation du futur ?
Pour aller plus loin : Un primeur de fruits et légumes moches Curiosités : 18, rue Wurtz – 13e Un restaurant locavore Le Potager de Charlotte 12, rue de la Tour-d’Auvergne – 9e Une expo Je mange donc je suis au Musée de l’Homme Place du Trocadéro – 16e Jusqu’au 7 juin 2020 Un documentaire Rêver le futur : L’alimentation du futur sur France TV
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LE BON SHOPPING
Blue 1.
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1. Soutien-gorge Charlie - Bibiche - 45 € 2. Doudoune Vintage Mythic - Pyrenex - 395 € 3. Salopette - Agnès B - 275 € 4. Gourde Sowden - 500 ml - 39 € 5. Sac Billie bleu - Fossil - 139 € 6. Bijoux de tête - Lila - 85 € 7. Montre Skinazuli - Swatch - 95 € 8. Fille-Garçon même éducation - Marabout - 14,90 € 9. Opinel n°7 - 11,50 € 10. Totebag le Bonbon - lionel@lebonbon.fr - 10 €
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January 27
ŠLou Anna Ralite & Les paillettes pompettes
LE BON HOROSCOPE
BÉLIER
GÉMEAUX
Noël est passé, les fêtes sont terminées, la folie des réunions de famille est derrière vous. Concrètement ça signifie quoi ? Que vous vous retrouvez dans la grande joie des nouvelles résolutions ! Mais oui souvenez-vous, celles que vous avez sorties alors que personne ne vous avait rien demandé. Alors maintenant il serait grand temps d’assumer vos propos. On se revoit en février pour voir si vous êtes des menteurs ou pas.
Je suis en train de relire mes fiches et le verdict est sans appel…Cette année, c’est la vôtre ! Eh ouais la grande roue du destin a parlé, fini les galères et l’angoisse de l’année précédente, le moindre de vos projets va s’accomplir. Donc foncez, vous allez rouler sur 2020 comme un Nissan Qashqai arpente différentes typologies de terrain sans le moindre problème ! (Par contre promis j’essaie d’améliorer mes métaphores)
LION Prêts pour 2020 ? Bon vous faites ce que vous voulez, mais je vais juste vous demander de ne pas tout foirer complètement (ou pas trop). On a une réputation à tenir, on est tous ensemble dans cette galère ! Laissezmoi donc vous souhaiter bonne chance comme une figure paternelle avare en mots d’encouragement, mais qui représente pour vous une source de sagesse (j’ai besoin de reconnaissance ok ?!).
TAUREAU
CANCER
VIERGE
Franchement… qui a le temps de fêter un réveillon alors que ce n’est rien d’autre qu’une journée classique à l’échelle planétaire ? Pas vous en tout cas ! Très impressionnant, j’aime vous imaginer comme des caractériels qui ne se gênent pas pour bousculer les gens qui passent sur un passage piéton en trottinette. Ça veut donc dire que ce matin j’ai croisé un taureau, et ça m’a fortement déplu. J’aurais pu tomber.
J’en ai un peu marre de parler réveillon à tout bout de champ, et si jamais vous êtes des curieux qui lisent chaque horoscope, vous devez en avoir marre aussi. Alors mes petits, à quelle sauce vais-je donc vous cuisiner ? Aucune idée donc vous savez quoi ça va être ennuyant ce mois-ci, je vais juste vous suggérer d’aller au ciné et de lire des livres, c’est toujours bon à prendre. À bientôt pour d’autres conseils d’inutilité publique.
C’est un véritable scandale, quelqu’un m’a dit que j’étais sûrement un trentenaire grisonnant qui essayait de se faire passer pour un jeune ! On va en tirer une leçon : quoi qu’il vous arrive, ne vous sentez pas atteint par une personne qui cherche à vous juger. Regardez, tous les mois je suis la bonté incarnée, et pourtant on essaie de me conspuer ! Alors restez coolos les jeunes, et surtout n’oubliez pas de faire vos devoirs.
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Janvier 2020
par bill@lebonbon.fr
BALANCE
SAGITTAIRE
VERSEAU
Toujours à prendre les choses de la meilleure des façons, vous voyez 2020 comme un terrain de jeu idéal pour réaliser tous vos rêves. On est donc en présence d’une motivation sans pareille ; le profil idéal de la personne qui va croquer la vie à pleines dents ! Donc maintenant faites-moi un mois de janvier pas trop mauvais, j’ai envie de croire qu’en cette nouvelle année vous prenez enfin en compte mon avis.
« New year, new me » est la phrase que vous avez lâché à tout bout de champ lors du réveillon. Alors à part montrer un goût prononcé pour être au centre de l’attention, n’oubliez pas que votre principale force est de passer votre temps à faire des promesses pleines d’espoir pour finir par dégommer un pot de glace entier tout seul devant une série. Vous me trouvez mauvais ? Je dirais plutôt que j’essaie de vous challenger !
Déjà 2020 ! Au-delà du fait que bon sang vous vieillissez et que ça commence à se voir, dites-vous que tous les tubes de notre enfance (pour ceux nés dans les années 90, désolé cet horoscope est sélectif) commencent à quitter la case des “sons ringards” pour devenir des classiques qui rendent nostalgique ! C’est donc pour vous le moment d’assumer sans détour votre amour pour la musique de Lord Kossity.
SCORPION
CAPRICORNE
POISSONS
Si jamais vous avez un rêve ou une lubie à réaliser, vous pensez pas que 2020 serait le moment ? Par contre ne commencez pas à me parler argent ou moyen ou temps… Quand on veut on peut ! Il est possible que vous receviez ce genre de discours d’un mec incapable d’accomplir le moindre de ses projets persos mais je vous sens capable de réussir ! Au pire ça donne rien et vous aurez une histoire marrante à raconter à vos potes.
Un célèbre philosophe (juste quelqu’un de mon village, laissez tomber les détails) disait souvent « y’a rien qui va mal ». Mais qu’est-ce que ce français approximatif veut dire ? C’est la forme 2.0 du hakuna matata et j’ai décidé que ça allait devenir votre mantra pour l’année. Sortez, bougez, découvrez et n’oubliez pas que malgré les soucis, on n’oublie jamais rien, on vit avec (mes références sont de pire en pire, aidez-moi).
PREVIOUSLY ON LEBONBON’S HOROSCOPE POISSON. L’auteur était embêté, voilà plusieurs mois qu’il est sympa avec les poissons qui, irrémédiablement, prenaient “grave la confiance”. Il décide donc de s’en occuper pour arrêter d’être piégé dans tant de bienveillance. Alors qu’il allait annoncer la vérité absolue à leur sujet, il fit une découverte qui allait changer la face de leurs prévisions… (suite au prochain épisode)
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Allez Edi ne perds pas espoir, il finira bien par se casser l’autre joga bonito là. Bisous Claude
Bienven ue Antoine M ! Tu v as pouvoir lacher le s livraiso ns, enfi n pas tout à fa it quand même ;)
Spéciale dédicace à ma galette, la terrible Fallon, j’te mets sur on ! Vive Jimmy ! (Coucouille c’est Gaga )
Marinetoo, mon petit loup, j’te caresse le cou, j’t’en mets un tout doux, j’te couvre de bijoux, t’es vraiment un chou mon hibou
e kiff, Maman, j’t t’aime je , ve lo j’te rt que ça fo t tellemen en trop cher me coûte . psy ! B.R
William, faut vraiment que t’arrêtes la picole, ça te réussit pas !
Bon anniversaire mon Margaux d’amour, ma p’tite sasa ! Ton Raphouille qui mouille à chaque regard
tte, Bisous Julie e grosse un is fa te je Bise. teur Ton admira RB secret,
20 Bonne année 20 ur mon grou d’amo <3 Anouch’
Bonne année les Bonbons !
TI AM O TIM <3 – une rédac trice anony me
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Happy birthday brother ! JDLC
in m ver Fore Ben ! mon
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