ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?! Septembre 2022 - n° 136 - lebonbon.fr RIVEPARISGAUCHE
Photographe : Thomas Reka Modèle : Eleonora
Jacques de la Chaise Christine Turk Tom Pierre de la Chaise Quentin Lafosse Gala
À celles et ceux pour qui il est toujours en panne et dont il est l’excuse de leur tête enfarinée.
� Mikado
Vous aurez beau tout essayer, vous ne pourrez pas échapper à sa sonnerie tyrannique. Vous pourrez tout au moins l’adoucir en choisissant des mélodies bienveillantes à votre douce oreille (clappement de l’océan, gazouillis d’oiseaux, murmure d’une harpe…), sa rengaine systématique vous ramènera toujours à la dure réalité. C’est un fait, c’est la rentrée, et votre réveil sera la première chose que vous entendrez de la journée.
15,Le06benjamin.h@lebonbon.frBenjaminAgatheEvanTahysRaphaëlZephirMathieuFlorianAlexandraCharlotteFredericFernandezBenaimEllèsMartosYebgaOltraBaroukBreuilAdeleAmiceRobino-LerayHaddad20235449BonbonrueduDelta– 9e51058030100040
Cet été, vous aviez oublié son existence et son chant strident matinal, il n’était pour vous qu’un lointain souvenir de votre vie active. Et pourtant le revoilà, l’ennemi de vos grasses mat’, le pourfendeur de vos marathons sur l’oreiller… Oui, il est là, tapi dans l’ombre, et prêt à bondir sur vous pour vous sortir de vos rêves : je veux vous parler ici de votre réveil!
1Septembre 2022
Je voudrais faire une petite dédicace à celles et ceux qui ont un problème avec ce dernier.
DirectriceConfiseur Générale Directeur Artistique Office Chefs de Publicité JuniorDirectricesDirecteurPhotographesSocialStagiairesRédacteur·rice·sSRGraphistesJournalisteRédactriceAssistanteManagerenChefNuitRédactionMediaCommercialdeClientèle
AdrianRenaudCamilleAudeNicolasSaloméYonaThomasMarilouPaulineLucyGuillaumeNicolasMorganeMariaLilaZoéSarahLucasEliseAntoineSarahRachelKovaQuentinGordonMercierThomasSirelNicolTurbenJavelleSirelStèneDelafosseSumallaEspagnetCogoniMonnierBigardPinoyTherreRekaRometRateauDelmattoGerlatGaricoitzDeschampsMonthour Chef·fe·s de Projets Culture et DirecteurAlternanteRéalisateurs et MonteursJournalisteStagiaireChefResponsableCommercialPartenariatsterrainDigitaldeProjetsDigitalDigitalVidéoVidéodelaPublicité Chloé Decombes
Une petite pensée également à celles et ceux (dont je fais partie) qui utilisent la fameuse technique du « réveil retardé » : en somme, vous devez vous réveiller à 8h, mais vous le réglez à 7h30, heureux de constater qu’il vous reste 30 minutes de sommeil, puis le réglez à 7h45, puis enfin à l’heure fatidique, vous ne vous réveillez plus ... Enfin, je tire mon chapeau à celles et ceux qui, réglé·e·s comme du papier à musique, en ont fait leur meilleur ami (sont-ils réellement Bonnehumains ?).rentrée les Bonbons, et surtout ne perdez pas de vue que l’important, c’est de se lever du bon pied !
3Septembre 2022 Illustration : @kovaview
4 adresses incontournables de la rue Mazarine
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Le bouquet final
le bon fleuriste le bon resto la bonne bouffe la bonne rue le bon en arrière la bonne lecture la bonne étoile
4 spots iodés
Rue de Buci 6e
À la mamie cool
Lectures de la rentrée Amadou et Mariam, danse danse danse !
Festival de Marne Du 30 septembre au 22 octobre 2022
Le salon Art3f Paris revient en septembre et propose une autre vision de l’art contemporain. 200 artistes et galeries, 3000 œuvres exposées… On en profite pour faire des rencontres et discuter. L’occasion parfaite pour dénicher de nouveaux talents !
On fait la fête au Festi’Val de Marne
Le bon timing
La Nuit Blanche débarque à nouveau dans la capitale la nuit du 1er octobre ! N’hésitez plus sur votre programme : la Fondation Groupe EDF présente Flowertrip, une immersion totale en réalité augmentée sur le thème du voyage dans le cadre de l’exposition Faut-il voyager pour être heureux ?. Le tout suivi de DJ sets exceptionnels qui réunissent le meilleur de la scène électro émergente. Go ! « Flowertrip » Fondation groupe EDF 6, rue Juliette Récamier – 7e Nuit du samedi 1er au 2 octobre 2022
On découvre l’art autrement avec Art3f Paris
1, place de la Porte de Versailles – 15e Du 23 au 25 septembre 2022
On célèbre la Nuit Blanche à la Fondation Groupe EDF
Fin septembre, le Val-de-Marne vibre au rythme du festival pendant un mois, avec une tripotée de concerts plus sympathiques les uns que les autres. En passant par le Kremlin Bicêtre, Créteil ou Arcueil, on retrouvera entre autres Luv Resval, Lujipeka, Emma Peters, Pierre de Maere ou encore Odezenne. Et les concerts sont aussi réservés aux tout-petits avec les Refrains des Gamins !
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Paris Expo Porte de Versailles
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Communiqué
le bon fleuriste
Le bouquetfinal
Le petit commerce de quartier du 5e où venir s’approvisionner en jolis bouquets de fleurs ? C’est bien L’Arbre Bleu, le fleuriste écoresponsable qui donne un nouveau souffle à votre décoration d’intérieur. À quelques pas du Jardin des Plantes, cette boutique conviviale nous redonne le goût de la nature.
Communiqué
C’est la peau toute bronzée et les souvenirs plein la tête que l’on fait sa rentrée à Paris. Que l’on ait profité du sable chaud en bord de mer, de l’air frais de la montagne, ou que l’on ait visité les quatre coins du monde… le blues de l’été commence à se faire ressentir en septembre. Pour nous redonner un peu de baume au cœur, et colorer notre petit chez nous citadin, L’Arbre Bleu nous propose des fleurs, des vases et des cache-pots qui proviennent des quatre coins de l’Europe et qui raviront tous les goûts, toutes les envies et tous les budgets !
À peine passé le pas de la porte (qui n’est pas bleue, mais verte), une multitude de senteurs florales embrument nos narines et des couleurs chatoyantes caressent nos pupilles. Vous verrez même (sûrement) passer la petite mascotte de la boutique, Rocky, petite boule de poils recueillie à la S.P.A. qui nous donne le sourire aux lèvres. Comme un vrai petit écrin de nature au cœur de la ville, L’Arbre Bleu a pour souhait que chacun trouve son bonheur. À la rentrée, on opte pour des tournesols ? Ou peut-être des dahlias ? À la pièce, en bouquet, sur place, en livraison… Une chose est sûre : on ne trouve nulle part ailleurs des bouquets aussi originaux. Alors pour se faire plaisir, direction le 5e ! � M.S.
Ici, pas de fleuriste ordinaire. L’Arbre Bleu s’inscrit dans une démarche écoresponsable pour faire du bien aux yeux et à notre planète. Le concept ? Mettre en place des gestes au quotidien : récupérer l’eau pour arroser, sourcer de façon durable, bannir le cellophane ou encore adopter une livraison 100% électrique. Se faire plaisir en toute bonne conscience n’aura jamais été aussi simple ! Sur place, Jeanne et Karim, artisans fleuristes de conviction, nous accueillent à bras ouverts et à cœur joie avec toute leur équipe.
L’Arbre Bleu 4, rue de Candolle – 5e Ouvert tous les jours Tél : 01 45 35 76 @larbrebleuparis30
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À la mamie cool
Sur la rue d’Odessa, une nouvelle adresse colorée est venue s’installer, pour le plus grand plaisir de nos Parisiens. Burgers, hot-dogs, glaces à l’italienne et boissons ultra rafraîchissantes… Mam’y Rosa nous fait voir la vente à emporter autrement.
le bon resto
Communiqué
Tél : +33 1 43 35 39 07
Communiqué
@mamyrosamontparnassemamyrosa.com
� M.S.
Ouvert tous les jours de 9h à 22h30
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La mamie la plus cool de Paris pose ses valises dans le 14e. Casquette sur la tête, cigare à la bouche, et un bon verre de vin à la main : Mam’y Rosa est là pour nous régaler. Au cœur de la rue d’Odessa, la façade d’un rose pétant et garnie de fleurs nous fait de l’œil. On passe sa commande par la fenêtre guillotine directement sur la rue, puis si l’envie nous prend de nous y installer, quelques tables sont à notre disposition. Et l’intérieur en vaut le détour ! On y découvre les restes d’une soirée un peu trop arrosée reconstituée au plafond – il faut le voir pour le comprendre.
Envie d’une touche sucrée ? Mam’y nous prépare de délicieux gâteaux. Notre préféré ? La tarte tropézienne et sa crème maison ultra gourmande. Et pour prolonger les beaux jours, on déguste une bonne glace à l’italienne ou un mam’Flurry à composer selon nos envies. Nappage caramel, chocolat, fruits rouges ou exotique… Il y en a pour tous les goûts. On se désaltère tout autant avec une bonne citronnade ou un bon thé glacé maison. Pour les plus ambitieux : on apprécie un milkshake ou un smoothie fruité – le goûter parfait ! Vous l’aurez compris, cette adresse est déjà ancrée dans notre cœur et va devenir votre take away préféré du quartier.
Mam’y Rosa 28, rue d’Odessa – 14e
Les vendredis et samedis jusqu’à 23h30
On y mange quoi, au juste, chez Mam’y Rosa ? De la street food comme on l’aime : burgers, hot-dogs, wraps ou salad bowls… Il ne reste plus qu’à choisir la recette qui nous donne le plus envie. Conseil d’ami : le hot-dog à la truffe et le Rosa Burger au bon cheddar irlandais sont un must. Si vous êtes plutôt dans le partage et appréciez les gourmandises bistronomiques, Mam’y Rosa vous régalera quoi qu’il en advienne. Mini-beignets de fleurs de courgette et ricotta, fougasse speck et brie, croquetruffe… Le meilleur de la bistronomie dans une petite boite en kraft à emporter.
Quoi de mieux qu’un bon plateau de fruits de mer pour retrouver un air de vacances ? Au Bonbon, on a décidé que l’été serait éternel, alors on vous partage nos meilleures adresses iodées. Fermez les yeux, dégustez, appréciez… La mer débarque à Paris !
la bonne bouffe
4 spots iodés
Qui dit fruits de mer dit huîtres, évidemment. Côté rive gauche, on se dirige vers le maître en la matière : Huitrerie Régis. Que l’on opte pour des Fines de claire, des Perles noires, ou des Plates, on est sûr de faire un repas iodé bien réussi. Les huîtres sont issues d’ostréiculteurs réputés et médaillés. De la fraîcheur en bouche ! On accompagne le tout d’un bon vin blanc et le tour est joué.
Le plus animé
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Niché entre Solferino et Matignon, ce petit bistrot iodé est tenu par deux joyeux lurons. Max et Alexis, deux passionnés de bonne bouffe, de convivialité et de fruits de mer, ont créé cet îlot de fraîcheur « pour partager avec les Parisiens, une sélection des meilleurs produits marins ». Huîtres, poulpe grillé, crevettes impériales, assiette de poissons fumés… On déguste tout ça sur leur jolie terrasse animée. On craque pour le ceviche de lieu jaune, caviar d’aubergine, coriandre, sarrasin grillé et citron noir d’Iran à accompagner d’un excellent petit Pinot blanc. Une tuerie, on vous le dit !
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Huguette rime apparemment avec très bons produits. Des sardines basques aux éperlans en passant par les couteaux… et pourquoi pas même du caviar ? Une chose est sûre : les plats sont délicieux et nous rappellent bien nos vacances à la mer. En plein cœur du quartier Saint-Germain-des-Prés, on y retrouve une ambiance agréable et vivante sous des effluves iodées… Vous l’aurez compris : c’est une adresse à tester sans plus attendre.
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Le 108,Dômebddu
Huitrerie Régis 3, rue de Montfaucon – 6e
Le plus traditionnel
81,Huguetteruede Seine – 6e
Le Dôme est une institution bien trop souvent oubliée, surtout quand il s’agit de fruits de mer. Une cuisine fine et hyper élaborée, que demander de plus ? L’adresse regroupe une poissonnerie et un restaurant pour que l’on puisse profiter de leurs tous derniers arrivages et de leurs bons produits tout droit venus de la mer. Une mention spéciale à la succulente lotte tandoori et à la bouillabaisse, connue pour être la meilleure de France.
Montparnasse – 14e
Bellechasse – 7e
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Le plus convivial
Le plus intimiste
incontournablesadressesdelarueMazarine
la bonne rue 4
La rue Mazarine est l’une des rues les plus iconiques du quartier Saint-Germain-des-Prés. Aussi riche par son histoire que par ses habitants, elle réunit le meilleur de la Rive gauche dans ces longs trottoirs. Voici pour vous les 4 spots ancrés dans nos cœurs.
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Le top de la nuit À la tombée de la nuit, la rue s’anime doucement dans la queue de ce club parisien. Au Pamela, les soirées se déroulent en deux temps. Une ambiance cocktails de 20h à minuit, puis une ambiance clubbing jusqu’à 6h. Une fois le pas de la porte dépassé, on s’engouffre dans un sous-sol à l’atmosphère tamisée et glamour. Le « sassy club » de Saint-Germaindes-Prés propose un fond sonore en house, disco et techno, le tout dans une vibe mode propre. On se remémore encore les soirées passées là-bas, sous les boules à facettes géantes du fumoir… Pamela Club 62, rue Mazarine – 6e
Le top de la food Passionné de culture nippone depuis l’enfance, Jean-Baptiste a décroché un morceau de Tokyo et l’a accroché à Odéon, rien que ça ! Ah oui au fait, si Kodawari Ramen vous transporte littéralement dans un autre monde, on y déguste aussi l’un des meilleurs ramens de la capitale. Si c’est votre première fois chez Kodawari Ramen, attendez-vous à une expérience culinaire et visuelle bluffante et inédite ! Jean-Baptiste a les yeux bleus, mais en vrai, il est japonais à l’intérieur ! Comme beaucoup de trentenaires, il a grandi avec les mangas du Club Dorothée, mais sa passion pour le pays du Soleil Levant est sa culture, c’est à travers sa cuisine qu’il l’exprime. Go. Kodawari Ramen 29, rue Mazarine – 6e
Le top de l’art
En parcourant la rue Mazarine, on y voit une belle sélection de galeries, toutes plus intrigantes les unes que les autres. Mais celle de Lelia Mordoch sort bien de l’ordinaire. Entre Paris et Miami, elle expose artistes d’ici ou d’ailleurs et talents émergents. Près de 30 ans de passion pour l’art, et nous voilà aujourd’hui face à une galerie éclectique, regroupant œuvres numériques ou physiques que l’on retrouve nulle part ailleurs. Quoi qu’il en soit, c’est toujours un plaisir pour nos yeux quand on y passe. Galerie Lelia Mordoch 50, rue Mazarine – 6e
Le top des bouquinistes Impossible de passer à côté de cette petite librairie de quartier, dont la devanture toute bleue nous fait toujours de l’œil. À l’intérieur, une vraie caverne d’Ali Baba pour tous les passionnés de lecture. Des petits trésors, neufs ou anciens, le tout accompagné des précieux conseils des libraires passionnés et attentionnés. Que l’on ait déjà des étagères qui débordent de bouquins ou que l’on soit lecteur novice, c’est l’adresse incontournable du quartier à garder dans un coin de notre tête. Librairie Mazarine 78, rue Mazarine – 6e
14le bon en arrière Rue de Buci 6e
Des glaces délicieuses, peu sucrées et sans additifs, des matières premières nobles… Le tout servi dans un décor de rêve, en plein SaintGermain-des-Prés. Ce glacier italien d’autrefois est un grand classique !
3 glaciers pour prolonger l’été
Qui dit septembre, dit retour de l’éternel « métro, boulot, dodo ». Alors pour remédier au blues de la rentrée, on a décidé de vous proposer nos meilleures adresses glacées de la rive gauche, histoire de prolonger encore un peu ce bel été…
7, rue de Prague – 12e
Il gelato del marchese 2, rue de Condé, Carré de l’Odéon – 6e
sorbet framboise des champs. Les fruits sont cueillis chez un petit producteur dans la Sarthe, voilà le secret pour un goût inimitable !
À l’origine de cette adresse incontournable : trois amis d’enfance, tout droit venus d’Ardèche, prêts à tout pour nous proposer les meilleures glaces de la capitale. Yaourt ardéchois, abricot amande, citron gingembre… Il n’y a plus qu’à faire notre choix.
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La Fabrique Givrée 26, rue Soufflot – 5e
La glace chez Tropicale, c’est tout un art. Une fois la petite devanture couleur turquoise aperçue, on ne peut s’empêcher de s’y diriger. Pour notre part, on a jeté notre dévolu sur le
La Tropicale
Le plus sophistiqué
Le plus gourmand
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On vous présente la glacetronomie par excellence ! Crémeuse, granitée ou végétale…
Le plus artisanal Depuis sa création en 2012, la Fabrique Givrée ne cesse de régaler tout le 5e. Des glaces artisanales, originales, mais surtout délicieuses !
Deux secondes d’air qui brûle Diaty Diallo
Sally Rooney
Astor, Chérif, Issa, Demba, Nil et les autres. L’histoire d’un quartier, d’un parking, d’une friche, de toits, d’un immeuble en pyramide. Un groupe d’amis qui se connaissent par cœur et partagent tout, du petit barbecue aux contrôles de police incessants. Jusqu’à celui qui finit en drame. Le premier roman de Diaty Diallo a tout bonnement les allures d’une claque littéraire. On fonce.
Éditions Le Seuil
Normal People
Éditions Points
la bonne lecture
de la rentréeLectures
Cette auteure irlandaise ne s’arrête pas de faire sensation à chaque sortie de roman. Alors pour la rentrée, on se replonge dans son classique, Normal People. L’attendrissante et rebondissante histoire de Connell et Marianne, au cœur des grands paysages verts de l’Irlande. Jeunesse, amitié, sexe, tendresse, errances affectives et intellectuelles… Cette œuvre nous fait rêver et espérer. À ne pas rater, par la même occasion, la série adaptée par la BBC.
Éditions Grasset
Que reviennent ceux qui sont loin Pierre Adrian
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Éditions Gallimard
Cher Connard Virginie Despentes
Un livre mélancolique sur les souvenirs d’été et le temps qui passe. Voilà ce qu’il nous faut pour la rentrée. L’histoire d’un jeune homme qui retourne dans sa maison familiale après plusieurs années d’absence. Le décor n’a pas changé, la famille s’est agrandie, les passetemps sont toujours les mêmes. Un roman qui nous décrit le passage de l’enfance à la vie d’adulte en toute délicatesse.
C’est LE bouquin de la rentrée. Rage, colère, consolation, acceptation… Cinq ans après l’immense succès de la trilogie Vernon Subutex, Virginie Despentes fait son retour dans les librairies avec Cher Connard. Rebecca et Oscar, puis Zoé. Des Liaisons Dangereuses modernes qui mêlent rapports hommes-femmes, réseaux sociaux, sexisme, féminisme, masculinité, drogue, maternité… Du trash, du percutant, de l’abrupt… du Despentes comme on aime.
On ne présente plus le duo malien de légende qui défend la culture africaine et fait danser toutes les générations. Avec plus de 30 ans de carrière, une gigantesque carrière à l’international et une quantité de distinctions, Amadou et Mariam, ensemble sur scène et à la ville, longeaient cet été la route des festivals jusqu’à la campagne normande qui abrite la dixième édition de Pete the Monkey. On les rencontre sous la chaleur d’une tente quelques instants avant leur montée sur scène, le bruit de la foule en fond sonore, trépignant d’impatience à l’idée de mettre le feu à l’un des festoches les plus fous de l’hexagone.
la bonne étoile
Elles sont très agitées, on voyage beaucoup, on n’arrête pas ! On fait des concerts d’affilée, des voyages d’affilée… Mariam : Récemment on était en Australie et aux États-Unis. On se lève tôt, on voit du pays et on fait de la route ! Rien qu’en Europe, on a fait plus d’une douzaine de pays et on doit en être à une cinquantaine de concerts depuis 6 mois.
Amadou : On passe énormément de temps en studio pour essayer de créer des morceaux différents, mais surtout pour trouver la couleur. Chaque album a une nouvelle couleur, une nouvelle musique. Les morceaux qu’on a pour l’instant, qui sont déjà très bien, sont encore une ébauche parce qu’il nous reste à définir cette couleur. C’est la couleur Amadou et Mariam, pleine de guitare, de voix et d’instruments.
C’est quoi le secret de la longévité ?
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Amadou :en ce moment ?
Et celui pour travailler avec la personne qui partage sa vie depuis plus de 40 ans ? Mariam : La patience et la tolérance. Amadou : Essayer de se comprendre, communiquer, régler nos problèmes entre nous.
La démagogie, la situation au Mali et plus généralement en Afrique, les problèmes de société… C’est important que la musique soit porteuse d’un message fort ? Amadou : En Afrique, oui. Chez nous, on dit que ce n’est pas la musique le plus important, ni ce qui est le plus écouté, mais le contenu et le message qui est envoyé. On essaie donc de lier tout ça, d’envoyer des messages forts, mais toujours avec une musique qui fasse danser les gens et qui ne soit pas trop triste. C’est notre responsabilité personnelle de défendre ces causes. En tant que chanteurs, on est responsables de ça, on doit être engagés et on doit tenir compte de certains paramètres. Si nous parlons beaucoup de la société et de la vie quotidienne, c’est parce qu’il faut envoyer des messages de paix, d’entente et d’amour.
Exactement, le Mali, mais aussi l’Afrique. Quand nous sommes allés aux Victoires de la Musique, beaucoup d’Africains nous ont rappelé que nous ne représentions pas seulement le Mali, mais toute l’Afrique. Depuis ce jour-là, ce sont les enjeux de tout le continent que nous défendons.
Amadou : D’aimer ce qu’on fait, c’est l’essentiel. Ça nous donne du courage. On aime faire de la musique, on aime chanter, et ça nous motive que des gens aiment aussi ce que nous faisons.
danseet Mariam,Amadoudansedanse !
Mariam : Oui ! On a déjà avancé, on a sélectionné et enregistré des titres qu’on doit encore finir et on est en plein travail pour terminer le prochain album.
À quoi ressemblent vos journées
C’est aussi une manière de représenter le Mali à Amadou :l’international.
Votre dernier album est paru en 2017. Le prochain pour 2023 ?
la bonne étoile
C’est un des thèmes en tout cas. Il y a une douzaine de morceaux, certains dans lesquels nous parlons d’amour, d’autres dans lesquels nous parlons de communication et d’entente entre les gens – on se demande comment des personnes d’une même famille n’arrivent pas à se comprendre. On chante l’amour, on parle de la vie quotidienne, on a les deux pôles.
L’influence vient du fait qu’on a appris beaucoup de choses ici. On avait une musique qui allait beaucoup avec la musique
Vous êtes nés au Mali, mais vous vivez maintenant en France. À quel point est-ce que la culture française vous inspire et influence votre Amadou :musique ?
C’est le thème principal développé dans le prochain Amadou :album ?
Avez-vous observé une évolution depuis le début de votre carrière ?
Amadou : Dans notre nouvel album, on a des chansons qui parlent de ça, de cette anarchie, de la pauvreté et l’insécurité généralisées. C’est important de parler de cette généralisation des choses, que ce soit en Afrique où, à un moment donné, on avait de l’espoir sur le déroulement de la vie, des élections, de la politique ou de la démocratie… ou ailleurs.
Mariam : Concernant l’évolution de la situation en Afrique, il y a toujours de la violence qu’on ne comprend pas, on souhaiterait juste la paix dans le monde entier. Et ce n’est pas qu’au Mali, c’est partout.
Mariam : C’est bien de chanter ce qui va, mais c’est aussi important de dénoncer des choses qui ne vont pas et dont nous ne voulons pas, comme la démagogie dans la politique ou l’hypocrisie.
On trouve que les gens ne connaissent pas beaucoup notre territoire, ou alors ils se concentrent sur les mauvais côtés ; on a donc un morceau qui s’appelle “Africa“ pour leur raconter les bons côtés : « Il y a le soleil, il y a la chaleur humaine / Il y a le soleil, il y a la joie de vivre. » En Afrique aussi, il y a la joie, la paix et la solidarité.
Vous avez justement collaboré avec de très grands artistes. Santigold, Manu Chao, Damon Albarn… Ce serait qui votre rêve
internationale comme le blues, le rock… Le fait de chanter en français crée forcément un lien avec les Français, et le fait de jouer dans un festival comme Pete the Monkey nous donne l’occasion de les faire danser sur notre musique. Ça nous a permis d’apprendre à faire des morceaux courts qui font danser et chanter. Et puis on adore faire des featurings avec des artistes français !
Amadou : On a fait beaucoup de featurings c’est vrai, déjà sur nos albums et puis aussi en dehors, de manière isolée, comme très récemment avec un groupe espagnol qui
s’appelle Fuel Fandango ou avec Sofi Tukker. C’est compliqué de choisir un feat de rêve, on aimerait dire Rihanna ou Jean-Jacques Goldman qu’on admire particulièrement (la radio qu’on écoute le plus souvent c’est Nostalgie), mais on ne les entend plus �aujourd’hui.Texte :Sarah
Sirel · Images : Julio Bandit
maintenant ? Il reste qui à cocher sur la liste ? Mariam : En général ce sont les artistes qui viennent vers nous, et pas le contraire ! Manu Chao, par exemple, a entendu notre musique dans sa voiture, et il a appelé notre manager pour qu’on fasse quelque chose ensemble. Il est venu avec nous au Mali pour composer, puis on a continué la collaboration à Paris.
uneL’asexualité,orientationsexuelleméconnue
22la bonne enquête
Trop d’ignorance et d’incompréhension planent encore sur ce mot. L’asexualité, orientation d’une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle pour les autres, concerne entre 1 et 5% de la population mondiale mais manque cruellement de visibilité.
« Pour être exact, il faudrait parler du spectre de l’asexualité », précise Patrick Papazian, sexologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Chaque asexuel a un rapport différent et personnel à la sexualité. Si certains parlent de « dégoût », « d’action pénible » ou « désagréable », d’autres, comme Pierre, 42 ans, expliquent simplement ne rien ressentir et « regarder les corps bouger ». Attention toutefois à bien différencier l’attirance sexuelle de l’absence de libido, ou encore du choix d’abstinence, puisque certain·e·s asexuel·le·s ont une vie sexuelle personnelle et pratiquent la masturbation. C’est le cas de Pauline, dont l’asexualité est uniquement caractérisée par l’absence d’attirance sexuelle envers les autres. « Quand je me masturbe, je peux ressentir un plaisir physique, c’est physiologique », déclare-t-elle. De même, il ne faut pas confondre attirance sexuelle et sensuelle. Pauline n’a pas envie de rapport sexuel avec sa copine, mais a de l’attirance sensuelle. « J’ai besoin qu’on se
23Septembre
Entre incompréhension2022
et hypersexualisation de la société, assumer son asexualité n’est pas toujours évident – bien que la honte commence enfin à laisser place à la fierté chez les concernés. Il reste encore cependant beaucoup de méfiance et d’injonctions à déconstruire. Pour pouvoir déconstruire, évoluer et progresser, il faut d’abord comprendre. Pour comprendre, il faut rendre visible.
« Je suis très amoureuse de ma copine, mais je n’ai pas d’attirance sexuelle envers elle. » Pauline, 25 ans, interne à l’Hôpital de Nantes, se définit asexuelle. Rien ne l’empêche, physiquement, de faire l’amour avec sa partenaire, mais l’envie n’y est pas. Pas de dégoût non plus, un simple désintérêt. Par manque de connaissance, l’asexualité est souvent stigmatisée et généralisée, alors qu’elle regroupe en réalité un groupe très hétérogène de personnes – il y a autant de témoignages et de parcours différents qu’il existe d’asexuel·le·s.
« En découvrant l’existence de ce mot, je me suis dite : ‘Mais c’est exactement moi.’ » Pour Pauline, Pierre et beaucoup d’autres, la découverte du terme « asexualité » a été une véritable révélation. « Vers 30 ans, je mettais enfin un mot sur ce que je ressentais depuis toujours », se remémore Pierre, évoquant un grand soulagement après s’être toujours imposé un rapport à la sexualité qui ne lui convenait pas.
« Je suis fier d’avoir intégré cette communauté qui me comprend et partage la même situation. C’est une libération pour moi, et j’adore pouvoir partager ça avec d’autres ».
Ni chastes ni malades, celles et ceux qui se situent sur le spectre de l’asexualité essuient beaucoup de remarques déplacées, alors que le fait de ne pas avoir de désir sexuel n’est pas un obstacle à une vie amoureuse. « Quand on ne vit pas l’asexualité, je pense que c’est difficile de comprendre complètement ce que c’est. Tout comme moi, j’ai du mal à comprendre ce que c’est que d’avoir de l’attirance sexuelle », analyse Pauline. Si elle n’a jamais souffert de rejet et de malveillance par rapport à son orientation, Pierre a, lui, subi énormément de remarques. « Tu sais pas ce que tu rates », « c’est parce que tu n’as pas encore trouvé la bonne personne », « c’est peut-être une certaine forme d’autisme »… D’autres dénoncent une curiosité
touche, qu’on se câline, j’aime sentir son odeur, mais ça ne va pas aller plus loin ». Selon Patrick Papazian, « la sensualité est en général même exacerbée, lorsque l’asexualité est assumée ».
Méfiance et incompréhension
� Texte : Lucy Bigard · Images : Yona Romet
Série NO SEX, sur Slash TV
Podcast Free from desire, journaliste Aline Laurent-Mayard
malsaine et déplacée, comme Morgane, 20 ans, qui a l’impression « qu’on veut rentrer dans mon intimité, savoir ce qui se passe dans mon lit. Je suis vue comme une bête de foire ».
Non, il ne faut pas forcément jouir pour être heureux, et le sexe n’est pas une obligation sociale, comme le reflète notre société hypersexualisée. Si la sexualité est vue comme un bien de consommation et montrée comme indispensable à l’épanouissement et au bien-être, les asexuels remettent en question ces principes établis. Selon Patrick Papazian, c’est même la raison pour laquelle on chercherait à « pathologiser » l’asexualité. « On fait exactement comme on faisait avec l’homosexualité il y a 30 ou 40 ans. On transforme en maladie ce qui nous échappe », analyse-t-il. Les asexuel·le·s dérangent car ils sont à contre-courant. Et alors que 50 ans de révolution sexuelle ont libéré la parole et les pratiques, iels affirment haut et fort leur désintérêt, voire leur rejet.
Dans son podcast Free from desire, dans lequel elle aborde son asexualité, la journaliste Aline Laurent-Mayard se remémore quand, plus jeune, elle pensait que féminisme rimait obligatoirement avec liberté sexuelle – car les femmes se sont battues pour le droit à la pilule, au plaisir et le droit d’être libéré sexuellement. Aujourd’hui, sa réflexion a évolué, et pour elle,
25Septembre 2022
Chez les professionnels de santé, les avis divergent. La sexologue Aurore Malet-Karas, spécialiste des violences sexuelles, alerte avec beaucoup de véhémence sur l’effet de mode dangereux de ce terme. Selon elle, l’asexualité représente « un nuage de brouillard, qui cache plein de choses et notamment des histoires de violences sexuelles très graves et des personnes en grande souffrance ». Le sexologue Patrick Papazian qualifie, lui, le discours de sa consœur de « rétrograde » et affirme au contraire que « des études ont montré qu’il n’y avait pas plus de traumatisme dans l’enfance chez les gens asexuels ».
désormais, « être libéré sexuellement, c’est faire ce qu’on a envie de faire. Et ça peut aussi être ne rien faire ».
Injonction au coït ?
AVEN, Asexuality Visibility and Education Network
Thèse : « Revendiquer l’asexualité : une résistance aux injonctions sexuelles ? » de Zoé de Ory
Pour aller plus loin…
AVA , Association pour la visibilité asexuelle
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Une rentrée sur lesde roueschapeaux
le bon shopping
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28le bon instantané
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Tirons notre révérence, humbles et bienveillants. L’été et son feu vous a envoyé·e·s au firmament, et rien n’aurait pu être plus agréable que la douce saveur d’un cocktail de « tout se passe à merveille » mélangé à quelques bouchées de « je suis le·a meilleur·e ». Résultat : bronzage parfait, anniversaire royal, cadeaux d’enfer et overdose de dopamine – idéal pour la rentrée. Moi ? Ah non, moi j’ai rien eu de tout ça. Il a dû se passer un truc chelou à ma naissance.
Astro
�� Bélier
�� CommentTaureauvamon animal à cornes préféré ? Je ne dis pas ça pour vous flater, c’est juste un fait. Je me souviens encore d’un cours de français, en 4e, où j’avais appris “La Corrida“ de Francis Cabrel en poésie. Un grand moment de découverte pour moi, de cet acte barbare, mais aussi du taureau, bel animal musclé incarnant la classe et la puissance brute. Non par contre, vous allez m’enlever cette main tout de s… �� PourCancerlarentrée, ne prévoyez rien. Attendez, ne paniquez pas, je vous explique : à force d’être toujours à tout prévoir, à être organisé etc… moi, ça me saoule, vos vies tournent en rond, et je n’ai plus rien à raconter. Même pour les astres, c’est un désastre. Alors de notre part à tout·e·s, forces supérieures logées aux 12 maisons : faites un truc qui sort du commun. Juste une fois. Qu’on ait un peu de frissons aussi… Ou qu’on se marre, juste.
Pour la rentrée, prévoyez tout. On sent d’avance, depuis notre nuage céleste, que vous allez vous embrouiller avec vous-mêmes et votre organisation – absente – va imploser. Posez-vous deux secondes, notez bien ce que vous devez faire. Allez au Carrefour du coin et achetezvous un agenda Naruto ou Ben. Je sais, c’est un peu scolaire, mais vous êtes un·e gosse. Et c’est la rentrée, donc prenez aussi un crayon HB.
�� QuelqueGémeauxchoseme
�� Lion
30le bon astro
Ça y est, c’est la rentrée, et vous êtes prêt·e à tout défoncer ! Revigoré·e par des vacances en bombe au Portugal – comme tout le monde d’ailleurs –, le soleil parisien actuel vous donne envie de vous lever le matin, de sourire, d’aller à pied au travail, évitant l’étouffant métro… Jusqu’à ce que vous croisiez votre voisin dans l’escalier en partant. Qui fait la gueule, comme d’hab’. Et vous ramène tout droit à la réalité : c’est la rentrée, putain.
�� Vierge
dit que vos vacances n’ont pas été les plus heureuses de votre vie. Peutêtre banales, tout au plus ? Le résumé de ma boule de cristal est un peu brouillé, mais si je peux vous rassurer : la rentrée, ça ne sera pas mieux. Rien n’a changé, si ce n’est en pire. Matériel défaillant, organisation désastreuse… Faites gaffe, sinon c’est vous qui allez finir par faire un tour du côté du service maintenance, pour vous remettre en état de service.
Si j’étais vous, je m’inquiéterais un peu. Non pas que votre quotidien soit dépourvu de questionnements – au contraire –, mais une poussière dorée brouille mes visions et c’est souvent signe de grand dilemme à affronter. Mais bon, vous savez ce qu’on dit : la taille, c’est subversif. À vous de voir si une montagne à gravir vous attend, ou juste le peu de hauteur qui sépare le sol de votre lit, à franchir avec attention quand vous foutrez rien pour la 12e fois cette semaine.
parlé de notre sauveure à tou·te·s, la drill ? Efficace au réveil comme au coucher, elle est utile aussi bien en cas de joie extrême, de colère acerbée que d'excès de violence involontaire. Parfaite pour s'en servir seul·e ou entre ami·e·s, votre vie n'en sera qu'embellie. Et puis vous pourrez vous mettre un peu à la page comme ça, parce qu'on en a marre des baboss qui reprennent les années 80 comme si c'était hier.
Septembre
�� Capricorne
�� VousPoissonsa-t-ondéjà
Faites un peu de tri pour septembre. Commencez déjà par les déchets, parce qu'il s'agirait de penser un peu plus à la planète qu'à sa gueule. Faites pas genre, je suis allé vérifier les poubelles en bas de chez vous ; la prochaine fois, pensez à enlever la note du Deliveroo sur le sac de livraison. J'ai un ami qui s'est fait tabassé comme ça. Non, pas un truc de gang, parce qu'il triait pas ses déchets. Suivez un peu, merde.
31
�� Balance
�� Sagittaire
Je sens qu'il est grand temps pour vous de profiter de la rentrée littéraire pour vous (re)mettre aux bouquins. Ça vous ferait un bien fou, et occuperait un peu mieux votre temps libre plutôt que tourner en rond à ruminer que le travail vous manque. Conseil pour bien débuter : lisez n'importe quoi. Ne suivez que les recommandations de votre cerveau, et pas ceux d'ignares qui têtent encore les pages du dernier Nothomb comme des nourissons attardés.
�� Scorpion
�� Verseau
C'est fou ce que les petites choses de la vie peuvent parfois vous happer, vous secouer dans tous les sens et vous transformer en ambassadeur·ice du kiff. Aussi surprenant que ça puisse me paraître, je n'en reste pas moins persuadé que sommeille à l'intérieur un démon véreux et insolent, dont le seul souci est d'assouvir ses désirs, quels qu'ils soient. Mettez donc bien votre crème hydratante ce mois-ci, l'enfer risquerait de vous remonter au visage.
Ce mois-ci, pour la rentrée, votre mot d'ordre : la procrastination. Gros projets, changement d'environnement, dîner entre ami·e·s, devenir streamer professionnel… vous repoussez tout à demain, dans l'espoir de rattraper ce que vous aviez repoussé l'année choseMalheureusement,dernière.laseulequevousn'avezpaspu laisser traîner, c'est la reprise du taf. Dommage, demain, vous comptiez faire une lessive. Ça sera pour après du coup.
32Septembre 2022
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Bonne rentrée les loulous !
Lesannbonnesnces
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C'est pas parce que je suis pas là que je vous vois pas.
Bon vent Lucas et Anouch !!
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Sailor, on compte tous sur toi pour notre Rechercheretraite !plage de sable blanc et fin peuplée d’éphèbes bronzés, 4désespérément.ansauBonbon et toujours le même kiff de retrouver mes collègues d’amour après l’été séparés <3
Cherche la recette de jouvence à apporter au Canal Barboteur le 9 Hommesseptembre.de 28 et 45 ans recherchent femmes d’âge mûr pour cours de zouk love. Fred et WelcomeMaton board Salomé, Alexandra, Yanis, Louis & Nicolas