Mai 2023 - n° 144 - lebonbon.fr ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!
PARIS 9/18
Photographe : @1br1br
Modèle : Eva
Je sais que c’est pas vraiment marrant d’aller faire ses courses, seulement faut bien nourrir la bête et puis surtout y’a “ma” caissière. Elle est pas vraiment jolie ma caissière, pas vraiment moche non plus, mais son sourire illumine ma fin de journée, et puis avec le temps, on a appris à se comprendre.
Ainsi, elle capte que je vais inviter du monde à  la maison quand sur son tapis roulant défilent les bouteilles, quand je suis en fin de mois et que les pâtes constituent la base de mon alimentation, ou que j’ai besoin de réconfort quand je me bourre de chocolat et de crème de marrons.
Ouais, vraiment, je pourrais faire le double de queue pour accéder à sa caisse, échanger quelques vannes avec elle et accueillir avec fierté son petit clin d’œil quand elle me rend la monnaie.
Confiseur
Directrice Générale
Directeur de Création
Graphistes
Stagiaire Graphiste
Office Manager
Assistante
RĂ©dactrice en Chef
Secrétaire de Rédaction
Rédacteur·rice·s
Ce soir-là , je suis donc allé faire mes courses. Une fois le caddie plein, je me pointe tout content, et là ... disparue ma caissière, volatilisée. À sa place, la froideur d’une caisse automatique. Fini le petit sourire qui illumine ma fin de journée, j’ai la tête pleine de “bip-bip” et en plus je bosse gratos, c’est quoi cette carotte ?
Alors avec mes sacs, je suis rentré chez moi. Bien triste et dépité. Et je me suis dit que la technologie liée au consumérisme, c’est souvent une belle connerie. Et puis je me suis dit aussi qu’au Bonbon, notre crédo était de recréer du lien, d’embellir la proximité et de mettre au centre l’humain. Tout l’inverse de cette caisse automatique, en somme... afin qu’un jour, nous ne devenions pas tous et toutes des codesbarres et des robots.
ďż˝ Mikado
Jacques de la Chaise
Christine Turk
Tom Gordon
Antoine Nicol
Elise Turben
Océane Nisus
Quentin Mercier
Kova
Rachel Thomas
Louis Haeffner
Auriane Camus
Nicolas Cogoni
Agathe Sourang
Morgane Espagnet
Guillaume Monnier
Sarah Sirel
Maria Sumalla
Chef·fe·s  de Publicité
Chef·fe·s de Projets
Renaud Deschamps
Adrian Monthour
Pierre de la Chaise
Gala Fernandez
Iman Bertin
Tanguy Richaud
Salomé Chokron
Stagiaires RĂ©daction
Social Media
Photographes
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Directeur Commercial
Directrices de Clientèle
Flora Gendrault
HĂ©loĂŻse Pitot
Marilou Therre
Salomé Rateau
Nicolas Delmatto
Camille Garicoitz
MĂ©lissa Rochard
Culture et Partenariats
Frédéric Benaim
Charlotte Ellès
Clémence Giraud
Commercial.e Terrain
Responsable Digital Chef·fe·s de Projets Digital
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Journalistes Vidéo
Réalisateurs et Monteurs
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Stagiaire Vidéo Contact
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Alexandra Martos
Florian Yebga
Mathieu Oltra
Zephir Barouk
Clara Tirlet
Yanis Si Youcef
Raphaël Breuil
Zoé Stène
Tahys Adele
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Agathe Robino-Leray
Théo Pouillet
Lucas Gruber
Le Bonbon
15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040
Directeur des ventes
Benjamin Haddad
benjamin.h@lebonbon.fr 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
1 Mai 2023
3 Mai 2023 le bon timing le bon lunetier le bon brunch le bon primeur le bon en arrière la bonne pension le bon resto le bon festival la bonne enquête le bon shopping 5 6 8 10 12 14 16 18 22 28 Le repère des belles lunettes Une pause saine et gourmande Ramène ta fraise ! Rue des Martyrs Hôtel pour chats all inclusive Happy Foodies ! Végé et engagé 10 ans déjà  ! Vanilla Sky ©
Mahdi Aridj
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« Dali, Why do you paint?
Because I love art » ,
1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights
of Salvador DalĂ reserved, FundaciĂł Gala-Salvador DalĂ
le bon timing
On fonce voir l’illusionniste Klek Entòs au Palais des Glaces
Klek Entòs est un être extrêmement mystérieux, tout droit sorti d’un film d’horreur ! Le seul magicien a avoir été deux fois finaliste de La France a un Incroyable talent vous présente Oserez-vous ?, son nouveau spectacle, au Palais des Glaces. Qui est-il ? Quel est son but ? Nous pouvons simplement vous dire qu’il prendra un malin plaisir à jouer avec vos peurs les plus intimes en réalisant des expériences magiques aux frontières du paranormal. Oserez-vous ? Klek Entòs
Grande Salle du Palais des Glaces
37, rue du Faubourg-du-Temple – 10e Du 11 mai au 29 juillet 2023
On profite d’une programmation hors du temps au mythique cabaret Madame Arthur Envie d’une soirée insolite à Paris ? Ça tombe bien, chaque semaine, le plus cool des cabarets de la capitale présente sa nouvelle création musicale inédite, entièrement en français, jouée au piano ou à l’accordéon et chantée en live. Au programme de ce mois de mai, 4 spectacles, parfois drôles, souvent émouvants mais toujours surprenants. Et à l’image de Madame Arthur, extravagance et impertinence seront au rendez-vous.
Madame Arthur
75 bis, rue des Martyrs – 18e Quatre spectacles du 4 au 27 mai 2023 madamearthur.fr
On investit dans de belles fenêtres en bois « On chauffe pas les rues », disait ma grandmère. Si les températures se font plus douces, écoutez-la malgré tout et soyez écolo.
Avec la crise énergétique, hors de question de laisser le chauffage allumé, et il est grand temps d’enfin investir dans des fenêtres dignes de ce nom. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres est notre meilleur allié ce printemps avec ses finitions parfaites, son matériel de qualité et son excellent rapport qualité-prix.
1001 fenĂŞtres
71, rue Condorcet – 9e
TĂ©l. : 01 45 33 03 86
1001fenetresparis.com
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TERESA SUAREZ @ Stéphane Kerrad
Le repère des belles lunettes
C’est l’un des plus vieux magasins d’optique de Paris : depuis 1942, le 35, rue des Martyrs est le repère des amateurs de belles lunettes. C’est donc tout naturellement que Grégory, opticien et passionné, a repris la boutique pour y fonder il y a 15 ans : L’Artisan du Regard.
le bon lunetier
Dès l’entrée, la mascotte de la boutique vous attend pour que vous le gratifiez d’une petite caresse : Socrate, le petit bouledogue français de Grégory, est là depuis 13 ans. Ici, hors de question de vous laisser à votre propre sort. Pour trouver lunettes à votre nez, les opticiens vous installent confortablement et vous guident. Durant une heure, on discute de vos goûts et de vos envies jusqu’à former la sélection de lunettes qui vous ressemble. Un moment de plaisir et de partage qui fait toute la différence.
Si quelques montures vous font de l’œil sur les étagères, le véritable trésor se cache dans les tiroirs. Plus de 2 500 modèles sont disponibles, prêts à sublimer votre regard. Côté créateurs, on retrouve la fine fleur de l’optique : Ahlem, Theo, Eyevan 7285, Lesca Lunetier, Anne & Valentin, Jacques Marie Mage, et bien d’autres… Que vous soyez en quête d’une monture intemporelle, colorée ou bien vintage, tout est mis en œuvre pour habiller toutes les tailles, toutes les formes de visage, et tous les styles, du plus classique au plus extravagant.
Et puisque les verres ont aussi toute leur importance, L’Artisan du Regard travaille avec la marque Nikon, qui allie technologie de pointe japonaise et savoir-faire de fabrication français. Marque emblématique, technique et innovante, Nikon est à l’origine
des premiers verres anti-reflet, ultra fins, antifatigue et anti-lumière bleue ou encore du premier verre dédié exclusivement aux myopes. Renommés pour leur esthétique, les verres Nikon offrent une exceptionnelle clarté de vision et d’excellentes performances optiques, et une protection à toute épreuve.
Enfin, les plus jeunes ne sont pas en reste puisque Le Petit Artisan du Regard a ouvert ses portes juste à côté de la maison-mère : on y retrouve plus de 500 montures à l’esprit créateur, des opticiens formés à la vision de l’enfant et un accompagnement digne des plus grands. Baigné d’authenticité, L’Artisan du Regard fait partie de ces petites boutiques où le conseil et l’attention sont au cœur du métier. Une simplicité, une expertise et une convivialité qui ne pourront que vous séduire ! Pour profiter des conseils des opticiens dans les meilleures conditions, on vous conseille de prendre rendez-vous pour un créneau d’une heure sur leur site internet. � A.C.
L’Artisan du Regard 35, rue des Martyrs – 9e
Le Petit Artisan du Regard 37, rue des Martyrs – 9e Tél. : 01 48 78 06 37
artisanduregard-opticien.com
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Communiqué
Une pause saine et gourmande
Chill, bon et sain : voici les maîtres-mots du coffee shop Farmers. Une carte gourmande et des plats originaux confectionnés avec amour en semaine, un brunch à toute heure de la journée le week-end. L’endroit idéal pour se régaler en toute décontraction.
le bon brunch
L’odeur des pâtisseries tout juste sorties du four embaume la rue de Châteaudun. Des cookies refroidissent au bord de la fenêtre dans l’attente d’être dégustés dans ce lieu chaleureux à la décoration boisée et végétale. C’est en franchissant le seuil de Farmers qu’on découvre les délices qui attendent les plus friands de nourriture saine et gourmande. Derrière le comptoir bleu, à portée de vue depuis les tables, on observe Loïc préparer minutieusement chacune des assiettes qui nous seront servies.
« Tout ce qui compte, c’est que chaque passage chez Farmers soit un vrai délice », nous glisse-t-il en passant. Assiettes à la main, le sourire aux lèvres, les serveurs se faufilent discrètement entre les tables pour vous permettre de passer un moment des plus agréables. Toujours bien accueillis, on aime venir ici passer un moment avec soi-même ou entre amis, pour faire le plein d’énergie.
Que vous soyez plutôt sucré ou salé, Farmers propose de délicieuses recettes entre 8 et 29 € pour combler vos estomacs affamés. Le weekend ou les jours fériés, on vient se récompenser avec un délicieux brunch complet. Parmi une belle sélection de plats, gaufre au bacon et sirop d’érable, salade vegan green ou encore toast poire gorgonzola, vous aurez l’embarras du choix pour composer votre brunch ! Les saveurs sont à la hauteur de l’esthétique des assiettes : raffinées mais aussi réconfortantes.
Derrière la vitrine de gâteaux, avec ou sans gluten, Loïc prépare méticuleusement une variété de boissons chaudes, comme le chaï latte qui vient de lui être commandé : « être entouré d’ondes positives et manger sainement, dans le confort, c’est inscrit dans la culture de Farmers ». Une carte qui fait la part belle aux plus beaux produits, une cuisine saine et généreuse où le fait maison est à l’honneur, voilà ce qui définit Farmers. À tout moment de la journée, on vient y déguster des plats élaborés avec des fruits et légumes de saison. On se laisse volontiers tenter par un jus frais, préparé sur place par Loïc ou ses collègues.
Si vous trainez dans le 1er, Farmers a installé un petit kiosque et un triporteur dans le jardin des Tuileries. D’avril à octobre, on y découvre une offre de glaces artisanales ultra-gourmandes, mais aussi les fameux cookies et pâtisseries Farmers, ainsi que des boissons chaudes et fraîches à emporter. À l’image de son grand frère, Petit Farmers reste fidèle aux valeurs de la marque : une cuisine artisanale, faite maison, locale et 100% française. Il ne vous reste plus qu’à franchir le seuil de la porte pour passer un moment aussi savoureux que dynamisant ! � H.P.
Farmers Coffee Shop
40, rue de Châteaudun – 9e
TĂ©l. : 01 48 03 22 53
farmersparis.com
9 Communiqué
Ramène ta fraise !
Les beaux jours sont là , et avec, l’avènement des paniers colorés, remplis de fruits et légumes frais qui respirent le soleil et réchauffent nos papilles. Mais encore faut-il savoir en profiter. Installé dans les 17e et 16e, Gusto Primeur propose aux passant·e·s une diversité passionnante de produits tout juste sortis de terre, aux couleurs que la saison leur donne.
le bon primeur
Tara et Ismail ont commencé leur aventure sur les étals de Rungis où fruits, légumes et herbes aromatiques en tout genre abondent chaque jour. En 2020, quand la pandémie éclate et que les parisien·ne·s se retrouvent bloqués chez eux, c’est la livraison à domicile qui se présente comme seule option, et leur offre par la même occasion un premier contact avec les particuliers. Mais quand le confinement prend fin, que la vie de bureau reprend (et les embouteillages aussi), la livraison n’est plus une option. Pour garder ce contact humain que le duo a tellement adoré, ils décident de lancer leurs deux boutiques dans l’ouest parisien.
On retrouve donc aujourd’hui les bons produits frais de Tara et Ismail chez Gusto Primeur, avec une boutique nichée dans le quartier Jasmin, dans le 16e, et une deuxième dans le 17e, à quelques enjambées de l’Arc de Triomphe. La recette est simple : des fruits et légumes de qualité, au plus proche des producteurs, avec des prix imbattables à Paris. Voilà le secret de leur réussite ! Pour aller plus loin dans cette démarche saine et économe, chaque mois, on retrouve un produit phare en promotion, pour se faire plaisir tout au long de l’année. La fraise aura donc été la star du mois d’avril, et au mois de mai, on jette son dévolu sur les nectarines, pêches, abricots, nèfles et pastèques qui arrivent à foison. En plus de nous régaler de bons nutriments et de bonnes vitamines à  prix tout doux, Gusto Primeur nous dévoile une belle sélection de produits en vrac. On n’hésite donc pas à prendre quelques olives (kalamata, piment, ail et fines herbes…) ou à faire nos provisions en légumineuses, fruits secs ou céréales. On retrouve aussi une partie épicerie avec des produits cinq étoiles : huile d’olive bio italienne, vinaigre au piment d’Espelette, noix de cajou à la truffe, miel d’Espagne, ail noir… En bref, ici vous trouverez tout ce qu’il vous faut pour concocter de bons petits plats printaniers, à votre sauce et selon vos envies. � M.S.
Gusto Primeur
54, rue des Acacias – 17e
56, rue du Docteur-Blanche – 16e
Tél. : 01 86 22 37 00 · Ouvert tous les jours
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Communiqué
12 le bon en arrière Rue des Martyrs – 9e 1936 – 2023
13 la bonne illustration
HĂ´tel pour chats all inclusive
Vous partez un week-end, une semaine ou plus, et ne savez pas quoi faire de votre chat ? Berlioz Hôtel Félin vous ouvre ses portes en plein centre de Paris pour s’occuper de votre boule de poils comme si c’était vous.
la bonne pension
Si certains ont la chance de pouvoir compter sur le soutien d’un de leurs proches en cas de départ, il n’est pas toujours pratique voire même impossible pour d’autres de faire garder leur matou le temps de quelques jours. Et si la capitale regorge de pensions pour chiens, celles pour chats se font cependant bien plus rares. C’est la raison pour laquelle Jeanne et Wassim, un couple parisien passionné par les animaux, ont ouvert Berlioz Hôtel Félin, le nouvel hôtel pour chats qui allie le confort et l’exigence d’un hôtel parisien.
Ici, pas de cages en métal ou de peintures austères, les chats sont accueillis dans un environnement lumineux et élégant. 33 chambres sont réparties sur 3 étages avec des espaces de jeux communs, où votre compagnon pourra jouer, se défouler et sociabiliser (ou pas) avec d’autres chats. Les grandes chambres individuelles sont équipées d’un coussin king size, d’un griffoir et de plateformes murales, avec vue sur les chambres voisines. Chaque espace est pensé de façon à  garantir un confort optimal : gamelles surélevées pour préserver la posture du chat, chambres nettoyées à  la vapeur sèche pour éviter les germes et produits chimiques, ventilation permanente pour prévenir les mauvaises odeurs, chauffage au sol, litières nettoyées quotidiennement… Bref, un service haut de gamme pour votre boule de poils.
Côté sécurité, l’hôtel est équipé d’un système de vidéosurveillance 24h/24 et 7j/7 pour la nuit. La journée, les deux gérants veillent en personne, avec Angèle, leur assistante-vétérinaire, à la bonne santé des chats. Et si les soins sont de mise, les câlins et les jeux aussi ! Ici, on ne lésine pas sur l’attention portée aux chats ayant besoin d’affection.
Propriétaires de deux chats, Berlioz et Caillou, et de trois chiens, Jeanne et Wassim sont de véritables passionnés des félins. Le photographe et l’ancienne employée d’hôtellerie ont conçu leur établissement en fonction de leurs propres animaux. « Je me suis d’abord demandée ce que je voudrais en tant que propriétaire de chat pour les laisser ici », explique Jeanne.
Si ce service a certes un prix, le couple a souhaité proposer une prestation la plus accessible possible à  travers un service tout compris. Pas de frais cachés ou d’augmentation de prix en haute saison, Berlioz Hôtel Félin pratique un prix unique toute l’année et pour tous les chats, peu importe leurs besoins.
On peut vous promettre une chose : vous allez adorer la bonne humeur et le professionnalisme de vos hôtes. Même les propriétaires les plus stressé·e·s peuvent se rassurer, chez Berlioz Hôtel Félin, vos chats sont entre de bonnes mains.
ďż˝ A.C.
Berlioz HĂ´tel FĂ©lin
3, rue d’Alexandrie – 2e
TĂ©l. : 01 42 36 13 66
Ouvert du lundi au samedi de 10h Ă 19h hotelberlioz.fr
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Communiqué
© Wassim Boutanos
l le bon resto
C’est au cœur de la rue Bourdaloue, à deux pas de Saint-Lazare, qu’est né un tout nouveau restaurant aux couleurs éclatantes.
Le concept : l’union de la restauration de qualité avec une offre coffee shop unique. Une véritable bouchée de positivité dans le 9e !
À la carte, des plats 100% maison et des boissons créatives, avec des recettes saines mais surtout gourmandes pour faire voyager vos papilles !
Happy Foodies !
Amélie, la maîtresse des lieux, et son équipe ont une priorité : voir les clients sortir avec le sourire. « Sur place ou à emporter ? – Ce sera sur place, c’est tellement joli ici ! », répond une cliente au moment de commander. Il faut dire que Jovia a su mettre les bouchées doubles pour créer un vrai univers. À l’image de la carte, le cadre inspire la positivité. Sa façade violette et son intérieur aux courbes singulières — désigné par les très reconnus Espagnols Masquespacio — séduisent habitués comme nouveaux-venus depuis l’ouverture en janvier dernier.
Dans les plats, on retrouve des notes de bienêtre sur leur lit de gourmandise. Aubergines caramélisées au miso, poulet à  la sauce cacahuète ou encore boissons aux épices bienfaisantes sauront rebooster et satisfaire les papilles curieuses tous les jours de la semaine. Jovia propose une carte résolument inclusive et évolutive tout au long de l’année. Et il y en a
pour tous les goûts : avec ou sans gluten, offre veggie, vegan mais aussi avec de la viande ou du poisson. Avec l’appui de son chef Benjamin — formé chez Ferrandi —, Amélie concocte des recettes healthy, gourmandes et travaillées avec des produits frais et de saison.
Un shot de vitamines !
L’originalité de Jovia ? Proposer à ses clients la possibilité d’ajouter des superaliments prédosés — compléments alimentaires riches en nutriments — dans leurs plats et boissons, comme de la spiruline ou encore du CBD. D’avocate fiscaliste à la création de son restaurant-coffee shop, Amélie a toujours été passionnée par les effets de l’alimentation sur tous les aspects de notre organisme. « Que ce soit sur notre peau, notre corps et même sur notre mental, la nourriture a un rôle primordial sur le bien-être au quotidien », raconte-t-elle sourire aux lèvres. « La création de Jovia était dans ma tête depuis un moment. » Le cœur y est, et cela se retrouve égalemet dans le nom du restaurant : Jo pour son fils Joseph, Vi pour son second Victor et A pour Amélie. Un nom en accord avec la promesse du lieu : happy foodies ! Pour faire le plein d’énergie, Jovia vous accueille les bras ouverts pour des instants vitaminés, gourmands et good vibes !
� H.P.
Jovia
5, rue Bourdaloue – 9e
Tél. : 01 88 61 16 98
Du lundi au vendredi de 8h Ă 17h
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Communiqué
Communiqué
We Love Green, qui accueille chaque année quelques 100 000 personnes, annonçait en février devenir 100% végétarien. Un message fort pour le festival engagé qui fête cette année sa 12e édition. Mais peut-on encore réellement organiser un événement sans prise de position majeure ? Si le bien manger est aussi un acte politique, le futur sera sans protéines animales — et ce n’est pas WLG qui dira le contraire. Rencontre avec Thomas Grunberg, chef de projet de la restauration du festival, et Yonni André Bella Ola, chef de Rio Dos Camaraos, restaurant africain montreuillois dont le stand installé à We Love Green ravira cette année encore nos papilles.
le bon festival
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©Mickaël A. Bandassak
Végé et engagé
Zéro viande, zéro poisson cette année à  We Love Green. C’est la première fois en France qu’un festival de cette envergure prend une telle décision. Être engagé, c’est un prérequis pour un festoche aujourd’hui ?
Thomas Grunberg : J’espère que ça le deviendra un jour ! Ça ne l’est pas encore, on travaille dans une industrie du spectacle particulièrement polluante et énergivore. À We Love Green, c’est notre travail d’être précurseur et de faire en sorte que ça devienne la norme. L’événementiel culturel devrait être un lac des nouvelles tendances, une nouvelle bulle imaginaire de ce que pourrait être un mode de vie plus serein, plus bienveillant, plus humaniste. La prise de décision n’a pas été facile, on se posait la question depuis quelques années, mais on avait peur de la réaction du public et des restaurateurs. Mais il ne faut pas avoir peur de prendre des décisions radicales ! Ça a été long, on a réfléchi avec
des journalistes culinaires et des restaurateurs, on a pesé le pour et le contre, on a fait un benchmark… Et on ne regrette pas une seconde, les gens ont super bien reçu la nouvelle et on a hâte de convaincre ceux qu’il reste à convaincre. Pendant ces trois jours, on va essayer d’explorer un nouveau type d’alimentation événementielle, de penser une cuisine végétarienne sourcée, savoureuse, responsable…
Yonni André Bella Ola : Dans notre histoire, on a déjà fait pas mal d’autres festivals moins engagés, on n’avait pas conscience de ça et ça représentait simplement une opportunité d’avoir une autre forme de visibilité. On sera présents à  We Love Green cette année pour la deuxième année consécutive, après qu’ils nous ont fait réaliser énormément de choses. On s’est rendu compte que la plupart des restaurateurs n’ont pas conscience de leur coût énergétique, de leur impact sur l’environnement, ils ne font d’ailleurs pas attention
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à  la provenance de leurs produits puisque ce n’est pas quelque chose de réglementé. J’ai rencontré Mathieu chez WLG qui s’occupe de la food et qui est devenu un ami, il m’a montré comment on pouvait mieux respecter la terre en étant restaurateur. Grâce à ça, c’est quelque chose que je regarde maintenant et que je mets en pratique quoi qu’il arrive. Notre restaurant a également gardé contact avec les producteurs avec lesquels on a travaillé sur l’édition de l’année dernière pour rester dans cette démarche écologique et vertueuse.
Comment on met ça en place ?
Thomas : On imposait déjà beaucoup de choses, il faut être un peu maso pour venir sur WLG ! On est très exigeants, on a un vrai cahier des charges. Cette décision facilite les choses puisque avant, on devait énormément contrôler la viande — c’est plus simple de vérifier la provenance des légumes. Aujourd’hui c’est clair, plus aucune viande ni poisson. Si besoin, on conseille des endroits où on peut aller se fournir, on accompagne les restaurateurs dans la démarche.
Yonni : Pour nous, la cuisine africaine est déjà plutôt végétarienne de base. On a pas mal d’apports en protéines dans différents végétaux, et créer mes plats a été plutôt simple, on a mille solutions et beaucoup de légumes. Bon, il y a certains plats qui se font traditionnellement avec de la viande et mon arrière-grand-mère pourrait se retourner dans sa tombe si elle voyait que j’ai changé la recette, comme le mafé, un plat à  base d’arachides déjà assez lourd. Pour pallier aux protéines animales, j’utilise de la graine de courge, un petit pavé qui ressemble au tofu. Par ailleurs, avec le dérèglement climatique, pas mal de produits qu’on trouve d’habitude en Afrique sont maintenant cultivés en France, comme la patate douce — la mienne vient du 94. C’est une bonne manière de prendre conscience. On cherche le circuit court et je me suis rendu compte que je pouvais trouver des produits de proximité avec la même qualité, on est même devenus potes avec des fermiers ! Quand j’ai vu la charte pour la première fois j’ai dit à mon père « Ouah, papa, c’est chaud ! ». Il m’a dit qu’on allait quand même le faire, heureusement WLG nous a accompagnés et on s’est débrouillés pour nos produits spécifiques, comme le beurre de cacahuète pour faire mon mafé.
Le festival impose une charte stricte avec des critères de localité à tous les restaurateurs présents sur le site. En quoi consiste-t-elle et comment vérifier qu’elle est bien mise en pratique ?
Thomas : On l’a mise en place il y a 8 ans, c’est un cahier des charges assez précis sur l’alimentation, la provenance, le bio, l’obligation de proposer une offre végétarienne… On a affiné ce cahier des charges avec Ecotable qui nous aide beaucoup et qui contrôle auprès des restaurateurs que tout soit bien respecté. Ils font un travail dingue sur chaque stand. Aujourd’hui, la charte est toujours aussi contraignante mais plus accessible, on a supprimé la chair animale, on impose un certain pourcentage de produits bio et la saisonnalité des produits ; les matières premières doivent être locales, bio et venir de France. Quelques exceptions à noter comme l’autorisation d’utiliser de la sauce soja qui vient de plus loin par
20 le bon festival
YONNI
« il faut être un peu maso pour venir sur WLG ! »
exemple. Cette année on a interdit les fausses viandes transformées pour prôner une cuisine artisanale et faite maison de A à  Z et inviter les restaurateurs à développer leur créativité.
Ça a influencé votre choix d’inviter plus de chefs adeptes de cuisine végétale ou les restaurateurs habituels se sont soumis à  l’exercice ?
Thomas : Parmi les restaurants retenus, seulement 10% sont végétariens au quotidien, le reste, ce sont des restaurants qui pratiquent la protéine animale et qui ont réussi l’appel d’offre. La grande majorité des chefs ne sont pas végétariens, ce qui est cool parce que ça permet de planter des petites graines, de les orienter, de leur donner des idées… les convaincre eux, et convaincre le public.
Yonni : Dans notre resto à Montreuil, on a toujours été très proches de cet univers végétarien. Parmi mes créations, je vais juste
créer un thiéboudiène, un riz au poisson sans poisson qui aura le même goût. La cuisine végétarienne, c’est de la vraie cuisine, ce n’était pas un problème de s’adapter.
On va manger quoi alors ?
Thomas : Des plats végétariens créatifs et délicieux. Seront présents quelques piliers depuis plusieurs années comme le Réfectoire, Gros Bao et Bang Bang, mais aussi Rio Dos Camaraos, Gloria Kabe, Flatbread par Baptiste Trudel ou Gianmarco Gorni. On aura aussi les Enfants du Marché dans le nouvel espace club, les pâtisseries biarrotes d’Hungry Belly, ou encore Romain Meder, l’ancien 3* du Plaza Athénée avec Sapid. � Texte : Sarah Sirel
We Love Green
Bois de Vincennes – 12e
Du 2 au 4 juin 2023
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THOMAS GRUNBERG
Si La Reine des neiges, le tube “Wrecking Ball” de Miley
Cyrus ou encore la fin de MSN fêtent leurs 10 ans cette année
(feeling old ?), ils sont loin d’être les seuls à célébrer un heureux anniversaire. Le 17 mai 2023, le mariage pour tous·tes soufflera officiellement ses 10 bougies. L’occasion de revenir sur l’histoire de celles et ceux qui ont sauté le pas.
10 ans déjà  !
Mai 2013 aura marqué un sacré tournant dans la vie des personnes homosexuelles. Après des mois de bataille au sein de l’hémicycle, mais aussi dans la rue, la loi instaurant le mariage pour tous·tes est enfin adoptée en France. Dix ans plus tard, ce sont plus de 70 000 couples de même sexe qui se sont unis devant la République, dont 7 970 à Paris. La capitale détient ainsi le record des mariages LGBT dans l’Hexagone.
Si, aujourd’hui, le mariage homosexuel ne fait plus l’objet de contestations politiques et semble être rentré dans les mœurs françaises, le chemin pour y parvenir aura été long. On se souvient encore de la violence des débats, mais aussi des insultes et des interventions toutes plus agressives des parlementaires, auxquelles ont dû faire face des millions de personnes homosexuelles, toutes rangées derrière Christiane Taubira, garde des Sceaux de l’époque et initiatrice de ce projet de loi. On se souvient également des milliers de citoyen·ne·s
22 la bonne enquĂŞte
descendu·e·s dans les rues pour manifester contre le mariage pour tous·tes.
La raz-de-marée des Manif pour tous
Rebecca était inscrite en licence de droit à la faculté de Versailles lorsque les manifestations ont commencé. Elle qui avait déjà fait son coming-out quelques années auparavant se souvient des centaines d’étudiant·e·s qui distribuaient des tracts et invitaient les autres à manifester à travers toute la fac et même jusque dans les amphithéâtres. « Sans vouloir faire de généralité, je pense que 80% des gens de ma fac étaient contre le mariage pour tous. C’était hyper violent, à chaque manifestation, ils revenaient avec des drapeaux “Manif pour tous”, ils priaient dans la rue, et les profs les laissaient totalement faire… Ça a généré beaucoup de colère en moi. C’est seulement en allant en manifestation sur Paris, pour soutenir le projet de loi, que je me suis rendu compte que ces gens ne représentaient pas la majorité en réalité. »
Ces manifestations ont été d’autant plus violentes pour celles et ceux qui ont dû faire face à la désapprobation de leurs proches. Dans son livre On ne choisit pas qui on aime, paru aux Éditions Flammarion, MarieClémence Bordet-Nicaise, mariée avec Aurore depuis 2015, explique que « ces enchaînements de manifestations ont été à chaque fois très violents ».
Désormais mère de deux petites filles, l’autrice a grandi dans une famille catholique et bourgeoise, où la plupart de ses proches étaient contre le mariage homosexuel. Elle explique avoir « ressenti comme une énorme claque, un soufflet de haine » à la vue « des photos, des partages d’articles, des statuts, des selfies au milieu de la manif » signés par des membres de sa propre famille, et même par certain·e·s de ses ami·e·s. Un traumatisme encore bien ancré chez de nombreux membres de la communauté LGBTQIA+.
la bonne enquĂŞte
Pour d’autres, le passage de la loi est presque anecdotique. C’est notamment le cas de ceux qui n’avaient pas encore fait leur coming-out à l’époque, comme Olivia, la femme de Rebecca : « J’étais évidemment pour le mariage pour tous, car je ne voyais pas pourquoi les “autres” ne pouvaient pas se marier. Mais je m’en foutais un peu, je ne me sentais pas vraiment concernée, parce que mon homosexualité n’était pas une question pour moi à l’époque. Quand j’y pense ça me fait rire, si j’avais su qu’un jour j’allais me marier à une femme grâce à ça… »
Malgré les oppositions, le texte est finalement promulgué le 17 mai 2013, faisant de la France le 14e pays à autoriser le mariage pour tous·tes, 12 ans après les Pays-Bas qui avaient ouvert la marche en 2001. Seulement 12 jours après, le 29 mai 2013, Vincent Autin et Bruno Boileau furent le premier couple homosexuel à se dire “oui”, à  la mairie de Montpellier.
Rien qu’en 2013, 7 367 mariages gays et lesbiens ont été célébrés à l’échelle nationale, puis plus de 10 000 en 2014. En cause ? Un effet de rattrapage pour les couples qui attendaient de pouvoir se marier depuis plusieurs années. Nadine et Danielle, deux septuagénaires en couple depuis près de 30 ans, ont scellé leur union le 19 octobre 2013, après 18 ans de vie commune. Si les deux femmes avaient déjà épousé un homme et étaient chacune mère de deux enfants, leur désir de se marier est devenu plus fort que tout au moment du passage de la loi : « on ne pensait pas vraiment que ce serait possible un jour », avoue Danielle. Pour Nadine, « pouvoir se marier nous a permis de ne plus avoir honte de notre statut et de notre couple. C’est comme si le monde nous disait enfin “on vous accepte, soyez tranquilles”. C’était un moment très fort, absolument merveilleux ».
S'émanciper des clichés du mariage
Si le mariage pour tous·tes a permis aux personnes homosexuelles d’ouvrir de nouvelles portes, et d’envisager un nouvel avenir pour leur couple, certains ne souhaitent néanmoins pas rentrer dans les rangs d’un mariage “classique”, baigné par les stéréotypes hétéronormés. Ranji et Édouard, en couple depuis 10 ans, avaient prévu de se marier en mai 2019, au moment de leur date d’anniversaire commun, dans la propriété familiale des parents d’Édouard. Cérémonie en grande pompe, 250 invités au compteur, célébration sur 3 jours avec vin d’honneur, dîner et brunch dominical… Bref, un mariage dans sa plus grande tradition, organisé par les beaux-parents, et pas vraiment du goût des futurs époux. Finalement, la crise sanitaire leur aura donné raison : après deux décalages de date et près de 3 ans d’organisation, en vain, les deux tourtereaux ont décidé d’annuler les festivités pour un évènement plus intime, à leur image, et bien loin des clichés du mariage traditionnel.
Marie-Clémence a, elle, pu réaliser son vœu de petite fille : celui d’un mariage auprès de ses proches, avec non pas l’homme dont elle rêvait, mais la femme de sa vie à son bras. « Le mariage a vraiment été un moment de bonheur intense pour moi et ma famille. Nos relations étaient difficiles depuis plusieurs années, même si elles étaient devenues correctes avec le temps, faire accepter mon couple a été une véritable bataille. Lorsque j’ai annoncé mon mariage, ça a été très difficile pour ma mère. Mais finalement, le jour de la cérémonie, on s’est retrouvées comme jamais. C’était beau et plein d’amour. J’étais comblée. »
Au final, qu’ils aient choisi de sauter le pas ou non, le mariage pour tous·tes n’a cessé de semer la joie dans les foyers des couples homosexuels. Une avancée sociale complétée en 2021 par la promulgation de la loi ouvrant
la PMA aux femmes seules et en couple lesbien. Reste encore qu’y accéder est très compliqué en France, si bien que seulement 21 bébés sont nés par ce biais-là en plus de deux ans et demi. De l’autre côté, les couples d’hommes n’ont d’autre choix que de se tourner vers l’adoption ou la GPA à l’étranger pour fonder leur propre famille. La France a certes accepté le mariage des personnes de même sexe, mais est-elle désormais prête à redoubler d’efforts pour garantir l’accès à la parentalité à tous·tes ?
� Texte : Auriane Camus
Pour aller plus loin…
· On ne choisit pas qui on aime, MarieClémence Bordet-Nicaise, Éditions Flammarion (2019).
· Family Pride festival à la Cité fertile (Pantin), les 20 et 21 mai 2023.
· Coming out, un podcast de Elise Goldfarb et Julia Layani.
· 21H Médias : 10 ans de mariage pour tous, un documentaire de Julien Bellver, TMC.
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« On vous accepte, soyez tranquilles »
26 le bon instantané
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Vanilla Sky
28 le bon shopping Top en macramé — Nemozena 325€ Jupe en macramé — Nemozena 230€ Spice Sneaker — No Name 149€ Foulard Jess — Roseanna 65€ Collier — Paco Rabanne chez Zalando 465€
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BĂ©lier
Guillaume Canet
partir du 20 mai, vous serez chaud·e comme la braise. Et les astres vont vous combler, alors attention à ne pas tomber dans l’addiction !
Au boulot c’est le strict inverse, vous n’arriverez à  rien. Mais mieux vaut ça que l’inverse, n’est-ce pas ?
GĂ©meaux
Tom Holland
Vous avez des plans pour bosser ailleurs, voir ailleurs amoureusement également. Comme d’hab’, vous allez tergiverser, en choisir un puis une, puis revenir sur l’autre. Attention à vous si vous ne voulez pas perdre les deux… Voire les 4. Heureusement niveau brouzouf vous êtes large et avez de l’avance… C’est déjà ça…
Lion
Karine Le Marchand
Qu’est-ce que vous êtes radin·e ! Les gens s’en rendent compte et vont moins vous appeler, je préfère vous prévenir. Pour les Lion du 3e décan, c’est pire que tout, mais je préfère vous laisser la surprise. Niveau amour ça va bof.
�� Taureau
Virginie Efira
Il va falloir sérieusement qu’on fasse les comptes !
Vous êtes un véritable panier percé. Si seulement ça servait à quelque chose… Votre vie professionnelle/amoureuse tourne plutôt bien en plus, c’est incompréhensible !
�� Cancer Léa Seydoux
Vous allez vous prendre d’amitié pour une petite personne. Vous allez l’aimer comme pas deux. Ce n’est ni vraiment un·e ami·e, ni vraiment un·e amant·e. Vous pouvez coucher avec elle, ou créer une relation platonique, ce qui est sûr, c’est qu’elle va foutre le bordel dans votre vie. Mais bon…
Vierge Zendaya
L’avantage quand on touche le fond de la piscine, c’est qu’on peut redonner un coup de pied pour remonter. Seulement votre pied va glisser et ce ne sera que mi-mai que vous vous retrouverez un peu la tête en-dehors de l’eau.
30 le bon astro
Astro
Mai 2023
Balance
Doja Cat
Ca galère un peu niveau thune ce mois-ci. Demandez de l’argent à vos parents, ils sont blindés. Enfin bon ça dépend des décans, ne prenez pas tout au pied de la lettre non plus, je ne suis pas Madame Irma. Sinon, ça va plutôt pas mal.
�� Sagittaire Angèle
Et le gagnant du signe le plus libidineux de ce début de printemps est : pas vous ! Vous êtes bien les seuls à ne pas profiter des beaux jours pour refaire votre garderobe hormonale. En revanche au boulot super, rien à dire. Mais est-ce que c’est ça la vie que vous voulez ? Je ne crois pas.
Verseau
Alicia Keys
C’est marrant cette manie de toujours vouloir être à  contre-courant. Cela dit, ça vous porte chance, la plupart du temps, même si je vous avoue que ça m’énerve. Bah quoi ? Je dois aimer tous les signes ?? Mais comme je suis magnanime et juste, je vous le dis, vous allez toucher une coquette somme vers le 12.
Scorpion
Martin Scorsese
Il va se passer un truc de ouf dans votre milieu professionnel. Pour ceux qui ont un hobbie, ça peut être dans ce domaine. C’est assez flou, mais je vois Mercure en Soleil dans la maison Lune au 3e décan. Tout ce que je peux vous dire c’est : achetez des gants.
�� Capricorne
Jacquemus
On vous propose un placement intelligent. Alors attention. Le premier décan, allez-y, vous doublerez votre mise ! Minimum. Deuxième décan, vous allez vous prendre un plan merguez, surtout ne vous laissez pas avoir. Pour le 3e décan, On ne vous proposera aucun placement parce que vous n’êtes pas assez cool, désolé.
�� Poissons
Pierre Niney
Vous changez trop de choses d’un coup. Déjà votre travail, où ça se passe bof avec vos nouveaux collègues, et ensuite ce blouson à  franges de western qui sème la jalousie partout où vous passez. Restez stable sur le reste de votre vie, sinon ça va barder. J’espère ne pas avoir à me répéter le mois prochain !
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Les bonnes ann��nces
"Elles ne veulent pas de love" par Implaccable et 102 gang dispo sur ODBUSSY
RDV le 13 mai sur twitch pour la 3ème édition de ton émission préférée Underground
Joyeux anniversaire
Mam’s ! J’t’aime !
Pacha bonne rentrée et felicità pour toutes ces nouvelles !
Vu que mon ex s’est remaqué avec un plouc, je cherche un mec brun et musclé pour lui foutre le seum. @atnncl
Je pense bien à toi dans cette épreuve ma princesse adorée Je t'aime
RDV en slip à Pete !
Anton, mon fiston d’amour, je te souhaite un très joyeux 9e anniversaire ! Je t’aime. - Papa Tom
Tanti auguri a te la mia zia preferita, la mia anima gemella · Ti amo !
Un bon resto thaï ? Le Bai Thong
Préparez-vous, le STOCKK arrive !
1er event d’ici fin mai
KSTL, I will always love U ! F
Tanti Aguri Paolo, 13 !
Bijou t’es la meilleure - Ta louloute
BEWARE ! La meilleure soirée drag MY OPINION arrive bientôt! @thestellaclover
32 Mai 2023
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Surréalisme féminin au
EXPOSITION 31 MARS > 10 SEPT. 2023
MUSÉE DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR
Jane Graverol, Le Sacre du printemps (détail), 1960, huile sur toile, RAW (Rediscovering Art by Women), © Adagp, Paris, 2023, photo © Stéphane Pons
En partenariat avec