Le Bonbon - Été 23

EST PAS BELLE LA VIE ?!

Modèle : Luna

Photographe : Salomé Rateau

Moi, les touristes à Paris, je les aime.

Et je voudrais leur rendre un hommage aujourd'hui. Car ami·e·s parisien·ne·s, je connais votre sens de l’ironie, et je perçois parfois dans votre œil une certaine moquerie quant à ces êtres venus de la planète Tour Operator. OUI, faisons preuve de bienveillance lorsque ceux-ci, ne comprenant rien au distributeur de tickets de métro, nous font perdre de précieuses minutes avant d’aller à ce rendezvous si primordial pour notre existence. De la bienveillance, encore, lorsqu’une fois la rame prise, ils braillent dans nos oreilles les noms des stations, puis regardent autour d’eux l’air satisfait, tandis que nous autres faisons notre tronche standard de Parisiens-qui-prennentle-métro. Faisons preuve de compassion en les voyant faire la queue d’interminables heures devant les grands monuments qui font la fierté de notre capitale. Sincèrement, sans eux, la tour Eiffel serait un grand bateau vide car Parisiens que nous sommes, nous n’y avons jamais mis

Confiseur

Directeur de Création

Directeur Artistique

Designer Graphique

Stagiaire Graphiste

Office Manager

Assistante

Rédactrice en Chef

Secrétaire de Rédaction

Conseiller Éditorial

/ Vidéo

Rédacteur·rice·s

les pieds (ou une fois, lorsque nous étions enfants…). Et puis ayons un amour immense quand un couple de touristes (souvent habillés à l’identique, vous avez remarqué ?) tente de prendre un selfie romantique devant l'Arc de Triomphe, sur les Champs Élysées. C’est peut-être un détail pour nous, mais pour eux ça veut dire beaucoup.

Un touriste est perdu et vous demande sa route ? Évidemment, avec patience et gentillesse, vous lui expliquez intelligiblement son chemin, et ne l’envoyez pas dans la direction opposée (oui, oui, j’ai des amis qui ont déjà fait ça…). Croissant, baguette, Moulin Rouge (avec l’accent US), « I love Paris » ? Faisons fi de ces stéréotypes sur nous et acceptons-les avec tolérance.

Ayons réellement de la tendresse pour nos touristes, car retour de karma oblige, ces vacances d’été, le touriste, ce sera sans doute vous.

Bonnes vacances les Bonbons !

� Mikado

Jacques de la Chaise

Tom Gordon

Antoine Nicol

Elise Turben

Océane Nisus

Quentin Mercier

Kova

Rachel Thomas

Louis Haeffner

Michael Petkov Kleiner

Auriane Camus

Nicolas Cogoni

Agathe Sourang

Guillaume Monnier

Sarah Sirel

Maria Sumalla

Chef·fe·s  de Publicité

Chef·fe·s de Projets Culture et Partenariats

Commercial.e Terrain

Responsable Digital

Chef·fe·s de Projets Digital

Responsable Vidéo

Renaud Deschamps

Adrian Monthour

Thomas Cortial

Pierre de la Chaise

Gala Fernandez

Iman Bertin

Tanguy Richaud

Salomé Chokron

Frédéric Benaim

Clémence Giraud

Antoine le Bris

Alexandra Martos

Florian Yebga

Mathieu Oltra

Zephir Barouk

Clara Tirlet

Yanis Si Youcef

Stagiaires Rédaction

Social Media

Photographes

BB Agency

Directeur Commercial

Directrices de Clientèle

Flora Gendrault

Héloïse Pitot

Marilou Therre

Salomé Rateau

Nicolas Delmatto

Camille Garicoitz

Mélissa Rochard

Journalistes Vidéo

Réalisateurs et Monteurs

Alternant·e·s Vidéo Contact

Raphaël Breuil

Zoé Stène

Tahys Adele

Evan Abramowicz

Lucas Gruber

Agathe Robino-Leray

Théo Pouillet

Le Bonbon

rue

Directeur des ventes

Benjamin Haddad

benjamin.h@lebonbon.fr

le bon timing

On profite de la programmation estivale du musée Eugène Delacroix

Tout au long de l’été, le musée Delacroix nous invite à découvrir sa dernière présentation thématique Delacroix et les arts, “Un pont mystérieux”, et à profiter de nombreux événements estivaux ! Au programme : initiation à l’aquarelle, soirée lecture au cœur du jardin, atelier origami, yoga, danse, visites du quartier… L’été sera chargé !

Musée Eugène Delacroix

6, rue de Furstemberg – 6e

Du 1er juillet au 18 septembre 2023

Dates et programmation sur musee-delacroix.fr

On va se divertir en famille dans le jardin du musée du Quai Branly

Cet été, le musée du Quai Branly nous emmène dans son jardin à l’occasion de son festival Jardin d’été ! L’occasion idéale de profiter d’un joli coin de verdure, du mardi au dimanche, avec tout un tas d’activités sur le thème du Japon : cinéma en plein air, concerts, visites à thème, méditation, calligraphie, quiz cinéma, ju-jitsu et plus encore… De nombreuses activités gratuites pour toute la famille, pour une véritable plongée au cœur des festivals d’été japonais. Festival Jardin d’été

Musée du Quai Branly - Jacques Chirac 37, quai Jacques-Chirac – 7e

Du 8 juillet 2023 au 27 août 2023

On célèbre les cultures maghrébines à la Fondation Cartier

Mi-juillet, la Fondation Cartier pour l’art contemporain et l’Institut du monde arabe s’associent à Naïma Huber-Yahi à l’occasion de Felfel, le festival de l’effervescence des cultures maghrébines en France. Pendant trois jours, des scènes francomaghrébines prendront place sous la forme de concerts, de rencontres et de projections, avant un grand bal sur le parvis de l’Institut du monde arabe le 14 juillet.

Festival Felfel

Fondation Cartier pour l’art contemporain 261, bd. Raspail – 14e

Du 12 au 14 juillet 2023

© Atelier Tapisserie Guillot Aubusson, Cité internationale de la tapisserie, 2022

© Musée du quai Branly –Jacques Chirac, photo Xavier Pierre

Coeurellouz Arabengers

le bon timing

On va se la couler douce à Paris Plages

Le rendez-vous estival le plus emblématique de la Ville de Paris s’invite sur le parc Rives de Seine et au bassin de la Villette cet été ! Au programme : espaces de détente ombragés, baignade, pétanque, baby-foot, ateliers créatifs, pédalos et vélos nautiques… Bref, tout un tas d’activités pour se rafraîchir en s’amusant. Et en plus, c’est gratuit.

Paris Plages

Sur les Rives de Seine

Du 8 juillet au 3 septembre 2023

Horaires et infos sur paris.fr/parisplages

On découvre la nouvelle scène artistique aux Magasins Généraux

Après l’Éclipse a rassemblé près de 10 artistes parmi les plus prometteur·se·s, formé·e·s entre Paris et Marseille, dans une seule et même exposition mettant en lumière “les vies périphériques”. Des voix sensibles et puissantes, qui explorent les préoccupations, les combats et les imaginaires de toute une génération à travers une multitude de temps forts : projections, performances, enregistrements live de podcasts, ateliers ou encore concerts.

Après l’Éclipse · Magasins Généraux

1, rue de l’Ancien-Canal – Pantin

Du 30 juin au 22 octobre 2023

On va découvrir l’art figuratif à la Maison Caillebotte

À deux pas de la capitale, la Maison Caillebotte nous fait découvrir l’art figuratif de 1950 à nos jours à travers les œuvres de 47 artistes d’hier et d’aujourd’hui. Un style artistique méconnu mais pourtant d’une richesse incroyable, qui s’attache au trait, à l’expression et à l’humain. Organisée en deux parcours, Figurations. Un autre art d’aujourd’hui nous plonge dans les vestiges de cet art, avant de nous initier aux nouvelles tendances de l’art figuratif. Figurations. Un autre art d’aujourd’hui

Maison Caillebotte

8, rue de Concy – Yerres (91)

Jusqu’au 22 octobre 2023

© Ville de Paris © Zine Andrieu

le bon tea time

Embarquez pour un voyage autour de l’Asie du Sud-Est avec Tea Space,

Bubble tea time !

À tous les amateurs de bubble tea, on a trouvé l’adresse qui va vous régaler tout l’été. Ouvert depuis janvier 2022 en plein cœur du 10e, Tea Space nous rend gagas avec ses bubble teas fruités et crémeux. Ici, on retrouve beaucoup de classiques, comme l’incontournable brown sugar ultra régressif ou le taro au lait avec ses perles de tapioca faites maison tous les jours. Du thé asiatique de qualité, des fruits frais, du nectar Alain Milliat pour un goût plus naturel, du lait généralement sans lactose… À vous de composer la boisson de vos rêves, selon vos goûts et vos envies, à emporter ou à déguster sur place.

Côté food, on choisit des pâtisseries maison en forme d’animaux kawaii disposées sur le comptoir, ou on se laisse tenter par un magnifique brunch servi tous les jours, de 10h à 15h. Au menu ? Des bolo bun, brioches moelleuses hyper populaires à Hong Kong ; des fluffy pancakes nature ou au matcha, garnis de chocolat, d’Oréos ou de fruits rouges frais ; des dim sum en tout genre avec une mention spéciale pour la brioche au cœur coulant d’œuf de cane et la brioche vapeur à la crème en forme de petit cochon ; des crêpes de riz rouge aux crevettes ; des petites tartes façon hongkongaise semblables au pastel de nata portugais que l’on connaît si bien ; et le plus visuel, le black swan feuilleté à la châtaigne ou au taro.

Vous l’aurez donc bien compris, chez Tea Space, les boissons et les plats sont aussi beaux que bons. Le clou du spectacle ? Vous pouvez imprimer une photo directement sur votre boisson ! Le concept est simple : on choisit sa boisson agrémentée d’une crème onctueuse sur le dessus, on choisit la photo que l’on préfère sur son téléphone, on l’envoie directement au comptoir sur la machine connectée, et la magie peut enfin opérer. Votre image est directement imprimée sur votre boisson avec une poudre de café comestible. Bonne dégustation !

� M.S.

Tea Space

6, rue Lucien-Sampaix – 10e Ouvert tous les jours de 10h à 20h teaspace.fr

le spot idéal où se délecter d’un bubble tea bien frais et d’un brunch gourmand à souhait. Suivez-nous pour faire le plein de découvertes !

Dans la tête de l’écrivain

Ce mois-ci, on a eu la chance d’aller voir une pièce jouée en ce moment au théâtre de l’Essaïon : Derrière le miroir, un petit bijou écrit et mis en scène par Valérie Mastrangelo, en coproduction avec la compagnie La Famiglia et la compagnie Cambalache. Une véritable balade dans l’univers du cirque, entre fiction et réalité.

C’est caché dans une petite ruelle à l’arrière du centre Pompidou que se trouve le joli théâtre de l’Essaion, avec sa devanture toute rouge. Après avoir descendu les marches, on découvre le décor qui nous attend sous la magnifique voûte en pierre : un salon joliment dressé et des lumières qui nous donnent envie de nous installer. Le ton est donné, on sait qu’on risque de passer un bon moment.

Sur scène, les personnages commencent à faire leur entrée : M. Alfred, un écrivain chevronné mais en proie au doute face à l’écriture de son dernier roman, et son personnel au look et à l’attitude pour le moins loufoques. Au fur et à mesure de l’histoire, le héros nous sort de son chapeau tous les personnages peuplant son imaginaire : Bozo le clown, Yvette l’accordéoniste, Madame Loyal et Zampano le lanceur de couteaux. Un quatuor extravagant et coloré, qui va vous faire voyager tout droit dans l’univers du cirque. Rapidement, le dilemme nous est révélé : M. Alfred veut faire mourir l’un de ses personnages pour pouvoir avancer dans son roman, mais il n’arrive pas à choisir lequel. N’arrivant pas à s’y résoudre seul, il les convoque tous chez lui afin que ces derniers décident eux-mêmes qui doit disparaître. Entre surprises, rivalités et rébellions, on assiste à un véritable dîner

de fauves où chacun essaye de sauver sa peau. À la manière de Christopher Nolan dans Inception, Valérie Mastrangelo nous fait basculer d’une réalité à l’autre, si bien qu’on ne parvient plus vraiment à discerner le réel et la fiction.

Un peu d’absurde et d’humour noir — mais toujours avec finesse — pour saupoudrer le tout et on obtient une pièce intelligente et créative. L’autrice et metteuse en scène aborde aussi la question des défauts humains, à travers chacune des personnalités incarnées par les personnages, mais surtout celle de la folie. Du début jusqu’au dénouement, une seule question persiste : d’entre eux tous, lequel est le plus fou ? Derrière le miroir, c’est une histoire originale et désopilante, une ambiance fantaisiste, proche du rêve, grâce aux jeux de lumière et à la musique envoûtante, des comédien·ne·s vivant·e·s et investi·e·s dans leur rôle. Finalement, il ne nous reste plus qu’une seule chose à vous dire : foncez la voir !

� A.C.

Derrière le miroir

Théâtre de l’Essaïon 6, rue Pierre-au-Lard – 4e

Jusqu’au 29 juillet 2023

Les jeudis, vendredis, samedis à 21h15 essaion-theatre.com

Maison Caillebotte

13 mai 22 octobre 2023

de qua-li-té. Rendez-vous est pris les 8 et 9 juillet.

Un rendez-vous incontournable

Envie de t’évader sans t’éloigner de la capitale ? Fonce à Peacock Society, le rendez-vous immanquable des aficionados de musique électronique parisiens. Véritable pionnier en la matière, le festival se démarque depuis 10 éditions (déjà !) avec des programmations fort léchées et à la pointe des innovations en matière de musiques électroniques. Bref, ça festoie, et la fête, nous, on aime beaucoup ça.

Cette année dépasse à nouveau nos espérances, avec son lot d’artistes en pleine émergence et confirmés, de ce b2b entre Hyas et Pura Pura aux sets de Skin on Skin, Olympe4000, Lisa More et Yung Singh, en passant par les références du Djing comme Juliana Huxtable, Nina Kraviz, Paula Temple ou Eris Drew. Fervents défenseurs des rythmes galopants de la hard techno, d’electro hypnotisante ou de house grisante, il y en a pour tous les goûts.

Comme depuis la reprise post-Covid, c’est dans le charmant parc de Choisy, à Créteil, qu’on se retrouve pour deux jours de fiesta sous le soleil de juillet. Au programme, de midi à minuit, plus d’une quarantaine d’artistes qui nous feront danser en open-air pendant ce chaud week-end d’été. 4 scènes au milieu des bois et au bord de l’eau, ambiance vacances avant l’heure : la Solar, mainstage

pour la house sous toutes ses formes, la Mirror pour la techno, la Nomad pour les plus grands sélectors et la Chaman pour le neo-reggaeton. Du bon son, du soleil, des copains… Tu veux quoi de plus ? � S.S.

Peacock Society

Chemin des Bœufs – Choisy-le-Roi (94)

Le 8 et 9 juillet 2023

S’il y a bien un rendez-vous de musiques électroniques parisien qu’on ne peut louper, c’est Peacock Society. Le festival, qui fête cette année ses 10 ans, met les petits plats dans les grands dans le bucolique parc de Choisy, à Créteil, avec ses quatre scènes et sa prog’ toujours

Attention à la mousse !

Venez prendre l’air marin à cette adresse purement bretonne du quartier Montparnasse. La coopérative Ker Beer a ouvert un nouveau spot, plus grand, avec un choix toujours plus large de bières artisanales.

En 2018, on vous présentait déjà ce spot incroyable du 14e. Ker Beer, c’est bien plus qu’un bar. C’est un lieu de vie et le QG du quartier pour tous les amateurs de bière ou les Bretons en mal de pays. Mais après six ans de franc succès, le manque de place se  fait ressentir… Bonne nouvelle : Ker Beer s’est agrandi ! Toujours dans le quartier GaîtéMontparnasse (historiquement très breton), ce nouveau lieu nous accueille avec toujours autant de bières artisanales et de bonnes ondes. Trois salles, un patio, 80 places assises, une offre food… Elle est pas belle la vie ?

Installé dans une ancienne menuiserie bretonne devenue un restaurant dans les années 80, ce spot de la rue Vandamme est enfin retombé entre les mains des Bretons ! Ici, c’est tout le savoir-faire de la région qui est mis à l’honneur, avec des produits locaux piochés à droite à gauche auprès de petits producteurs. Côté food, vous pourrez vous régaler de tapas à picorer et à partager, avec du poulpe Ty’Pic au gingembre et au curcuma de La Paimpolaise, des rillettes de daurade grises aux épices cajun du Poisson d’Ouest, du houmous de Coco de Paimpol de T’as Du Pot

ou encore des rillettes de maquereaux aux zestes de citron de La Compagnie Bretonne. De vrais produits d’épicerie fine qui vous en mettront plein les papilles.

Côté boissons, on aura évidemment droit à une large sélection de bières artisanales, en canette ou en bouteille, finement sélectionnées auprès de 300 brasseries bretonnes. La carte change au fil du temps, au fil des saisons et au fil des tendances. On fait le plein de découvertes avec des IPA en tout genre, des cidres fruités, des bières à la clémentine ou à l’huître, ou même avec des cocktails aux saveurs de la région (mention spéciale pour l’Amaretto breton !).

Tant de choses qui font de ce spot notre QG du quartier, notre parenthèse hors du temps qui nous fait quitter Paris et nous fait rêver du cap Fréhel, de Quiberon ou de Saint-Malo. �M.S.

Ker Beer

10, rue Vandamme – 14e

Tél. : 01 42 84 43 22

Ouvert tous les jours

@cooperative_kerbeer

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

Devenu en six éditions un incontournable dans le calendrier sportif normand, LONGINES

DEAUVILLE CLASSIC attire de nombreux cavaliers de haut et très haut niveau.

En 2023, sa septième édition se tiendra du 10 au 13 août. Elle accueillera un CSI 4* et un CSI 1*. Le point d’orgue sportif du week-end se tiendra le dimanche après-midi aux alentours de 14h. Entre deux épreuves, tout est mis en place pour que chacun puisse profiter d’un moment privilégié. De nombreuses animations pour petits et grands seront présentes tout le week-end, avec le village des exposants, le CLASSIC BAR, l’espace pour enfants CLASSIC KIDS ainsi que les villages des races normandes.

Des cavaliers de saut d’obstacles opposés dans une course de plat, des jockeys de galop qui se mesurent à un parcours de jumping, avez-vous déjà vu cela ? Pendant le LONGINES EQUESTRIAN CHALLENGE NORMANDIE, 7 équipes composées d’un jockey et d’un cavalier de saut d’obstacles s’affrontent le vendredi 11 août lors d’un échange hors du commun. Envie d’assister à une vente aux enchères de chevaux d’exception ? Venez profiter le samedi 12 août du spectacle offert par l’agence Fences lors de la vente aux enchères DEAUVILLE CLASSIC AUCTION. Moments de complicité, de découverte et d’émerveillement garantis !

Une école bilingue à taille humaine

Et si la rentrée se faisait en douceur dans une école alternative ? Ça tombe bien, Douces Maternelles, école alternative et 100% bilingue, compte de multiples adresses dans la capitale. Pour le plus grand bonheur de nos petits bambins.

Parce que l’école peut aussi bien se dérouler et être synonyme d’apprentissage, de douceur et de jolis moments, il existe des solutions à la pédagogie bienveillante et positive. C’est le cas de Douces Maternelles, qui propose 14 écoles dans la capitale. De 2 à 6 ans, les enfants sont accueillis de façon individuelle, bienveillante et bientraitante, avec un twist : elle est 100% bilingue.

Convaincues de la pertinence de l’apprentissage d’une langue étrangère dès le plus jeune âge, les équipes ont à cœur de partager l’anglais avec les plus petits, puisque c’est entre 2 et 4 ans que l’oreille et le cerveau ont le plus de facilité à apprendre et retenir une nouvelle langue. Ici, c’est l’humain qui est au cœur du projet, avec une notion de coéducation et d’accompagnement des parents.

À mi-chemin entre les jardins d’enfants scandinaves et l’école maternelle “classique”, les écoles Douces Maternelles s’inspirent de pédagogies actives comme Montessori et Reggio Emilia tout en suivant le programme de l’Éducation Nationale, pour offrir un véritable terrain d’apprentissage et développer la confiance en soi, l’autonomie, le sens de la responsabilité et le goût d’apprendre.

Dans de petites classes d’une dizaine d’élèves, on apprend dans les meilleures conditions avec des ateliers cognitifs, créatifs et évolutifs qui aident au développement moteur et cérébral : du yoga, de la cuisine, du jardinage, de la musique… Bref, une alternative parfaite pour nos petits !

Le petit plus ? Deux nouvelles écoles ouvrent à la rentrée dans le 10e. � S.S.

Douces Maternelles

Tél. : 07 49 03 02 74

doucesmaternelles.com

contact@doucesmaternelles.com

© Xavier Hacquard

© Xavier Hacquard Communiqué

L’Été à la coule

Pour le plus grand bonheur des Franciliens en manque de vacances et en mal de chaleur, l’Été du Canal revient du 8 juillet au 13 août. Vivre l’été autrement, c’est la promesse de ce festival les pieds dans l’eau autour de concerts, bals, croisières, brunchs et apéros organisés par dizaines, qui annoncent une 16e édition des plus rafraîchissantes !

Vous le connaissez, vous l’attendiez, il revient plus enflammé que jamais : le festival de loisirs en plein air l’Été du Canal débarque bientôt sur les canaux parisiens avec une programmation conçue au fil de l’eau. Rendez-vous est donné tous les week-ends du 8 juillet au 13 août pour partir en vacances, ou presque, sans faire péter le porte-monnaie. On vous prévient tout de suite : vous n’allez pas savoir où donner de la tête. Croisières thématiques, activités sportives et olympiques, musique en tout genre : un programme à faire vibrer les berges du canal de l’Ourcq, du canal Saint-Denis et de la boucle nord de la Seine. Votre seule difficulté : choisir parmi toutes les propositions alléchantes !

Pour festoyer dans un cadre privilégié, 5 concerts flottants gratuits se produiront sur des bateaux. Jazz, rap, électro, classique : les styles musicaux représentés seront, comme le festival, particulièrement éclectiques. Parmi les artistes présents, le collectif de Kinshasa Kin’Gongolo Kiniata le dimanche 9 juillet, l’ensemble vocal Sequenza 9.3 le 23 et le groupe de soul Principles of Joy le 29, parce que prendre le large, c’est bien, et en musique, c’est mieux ! À savoir que d’autres croisières à thèmes, entre histoire, patrimoine, gourmandise et street-art, vous feront découvrir des lieux, menus et œuvres inédits.

Pas besoin de vous rendre dans une station balnéaire à 300 km pour profiter d’activités nautiques, à Paris, c’est bien aussi : pédalos, kayaks, zodiacs, structures gonflables ou encore paddles seront à portée de main dans les bases de loisirs des villes bordant le canal. Pour vous préparer aux JO, plusieurs espaces permettront de vous essayer à l’escalade, au breakdance ou encore au skateboard : de quoi révéler la graine de champion qui sommeille en vous ! Et pas question de bouder les passionnés d’art et de culture ; parce que l’été est bien vide sans les cinémas en plein air qui peuplent la capitale, direction la pelouse du parc de la Villette pour une projection XXL de grands classiques du 7e art ! De très nombreux ateliers seront également organisés autour de la danse, de la chorégraphie, du jardinage, de l’archéologie et de la photo argentique. Vous verrez, tout le monde finira par envier votre été parisien.

� F.G.

16e édition de l’Été du Canal Canal de l’Ourcq / Canal Saint-Denis Du 8 juillet au 13 août

Arthur Crestani

© Arthur Crestani

© Arthur Crestani

la bonne étoile

Philippe Katerine et le mignonisme

Au départ, c’était une exposition au Bon Marché en 2021. Deux ans plus tard, le Mignonisme Acte III s’exporte à Clichy avec toujours ces œuvres signées Philippe Katerine, ces dessins, peintures et sculptures, ces collages de photographies, ces installations de la plus minuscule à la plus monumentale, et à peu près tout ce qui sort de son esprit barré. Le tout régi par une seule loi, celle du mignonisme — une forme de courant artistique, un mode de vie, presque une religion, tout ça à la fois, une vision aussi optimiste qu’étonnante et réaliste, qui a émergé pendant le confinement et qui témoigne de toute la sensibilité, de la fragilité et de l’intelligence de l’artiste. Avec une effigie, Monsieur Rose, qui s’installe dans le Pavillon Vendôme et investit les rues de la ville de Clichy… Parce qu’il est comme ça, Philippe : il aime créer, il aime apprendre par lui-même et multiplier les supports, il prend très au sérieux son autodérision et il aime les choses qui s’opèrent rapidement. Mais au fait, il se passe quoi dans la tête de Philippe Katerine ?

Comment on fait pour être mignoniste Philippe ?

Le mignonisme est quelque chose de très subjectif, à la base c’était le petit bonhomme rose. Il faut effectivement décider de l’être,

personne n’est mignoniste comme ça du jour au lendemain. Certains enfants bien sûr, mais rapidement le mignonisme est à chercher, plutôt qu’à constater qu’il est en soi. En tout cas, il n’a pas de limite : tant qu’il y a de la vie il y a du mignonisme.

C’est étroitement lié avec le mignon donc ? Oui, mais c’est toujours subjectif et ce n’est que mon point de vue. Quand tu exposes, que tu fais un livre, c’est une prétention. Moi je prétends voir ça du monde. Il y a aussi Paris en scotch : la tour Eiffel, Notre-Dame, le SacréCœur… avec un petit Monsieur Rose prisonnier de la ville. Tous les Monsieur Rose sont prisonniers de quelque chose, parce qu’on l’est tous, il ne faut pas se leurrer. Qui pourrait prétendre être libre ? Certainement pas moi. Ils sont aussi dans des positions suicidaires, prêts à tomber le long des rambardes ou dans les couloirs du supermarché. Celui installé sur le périph’, on dirait qu’il va se suicider. Ça a un côté un peu pervers.

Comment se traduit le mignonisme au quotidien ?

Dans une autre œuvre, on a ce paquebot envahi de dinosaures. Comme ils ont le mal de mer et qu’ils dégueulent, ça, c’est mignoniste.

la bonne étoile

Ça peut aussi être un tattoo mignoniste sur l’arrière de mon crâne. Perdre ses cheveux est souvent vécu comme un drame pour les hommes, mais c’est aussi une chance, c’est plutôt l’idée du temps qui passe. C’est un terrain d’expression libre qui se dégage et qui permet de s’exprimer à loisir. Le tattoo de la fenêtre ouverte sur mon crâne, j’envisage de me le faire pour de vrai. Ma mère m’a dit « tu es sûr, Philippe ? », j’ai dit « oui maman, puisque c’est ainsi que tu m’as conçu, comme une fenêtre ouverte sur le monde ».

Dans cette expo, les quatre dernières œuvres réalisées à la gouache montrent la mort : un pigeon écrasé, un cerf chassé… Le mignonisme peut donc être triste ?

Bien sûr. Le mignonisme, ce n’est pas du tout un petit chaton qui dort sur un coussin. Il est dans la mort, dans la cruauté, dans ce qu’il y a de pire dans le monde. On peut trouver du mignonisme partout dans le monde, il y a de quoi faire à chaque moment de sa vie. Par exemple, les petits pop-corns à qui il suffit de rajouter des yeux pour les transformer en monstres, ou des “mignonstres”. Parce que le pop-corn est comme nous, humains, qui sommes nés d’une explosion, d’une violence. Ça fait mal de naître. Il en va de même pour le pop-corn, et chaque pop a sa forme personnelle, aucun pop-corn n’est identique à un autre pop-corn. Comme nous. J’ai aussi fait un tableau qui montre un gâteau, c’est une idée de la mort. Le bonheur n’est pas un sentiment mignoniste, il ne faut pas le chercher. On ne se rend compte du bonheur qu’une fois qu’il est passé. De manière générale, cette expo montre ce qu’il y a dans ma tête et c’est quand même pas mal le bordel. En tout cas c’est pas du tout un truc marrant.

et je me suis rendu compte qu’il y avait des histoires qui se créent automatiquement, à faire côtoyer un bœuf avec un HLM, ou une fleur géante et un tout petit personnage. J’ai commencé à travailler là-dessus, je me suis rendu compte que ça me faisait du bien et que ça me permettait de passer des journées extrêmement constructives pendant cette période très expérimentale. Je n’ai gardé que ce qui était mignon et puis je me suis aperçu que tout cela était souvent mélangé à des choses atroces, des trucs moches, sur ce que tu penses sur le vilain, l’aspect dominant/dominé… Au bout d’un moment il faut cristalliser.

Comment est née cette expo ?

Dans un moment qu’on a tous connu, le confinement. J’étais à la campagne et je jouais avec mes enfants et leurs jouets,

Tu es aussi le premier à exposer sur le périphérique, ça fait quoi d’être le premier artiste du périph’ ?

« Le mignonisme va changer le monde »

C’est ce qu’on m’a dit, mais ce n’était pas du tout un but pour moi. Je n’ai jamais eu de rêve, comme ça il n’y a pas de déception. Il se trouve que je suis heureux non pas de provoquer des accidents mais en tout cas de mettre une toute petite tâche de couleur dans un milieu très très gris. C’est Éric Lévy, le commissaire, qui s’est dit que ce serait bien de mettre ça sur le périph’, et il a eu bien raison. Le mignonisme va changer le monde, même un tout petit peu, avec cette petite tâche.

Qu’est-ce qui varie finalement dans le processus de création par rapport à la musique ?

Il y a des choses qu’on ne peut pas exprimer dans la musique qui nécessitent une peinture ou un collage. On a un impact qui est immédiat et qui se lit en dix secondes, quand une chanson

met 2:30 min à être comprise. Parfois il vaut mieux se tourner vers un dessin qu’une chanson, mais je ne me pose pas la question, ça dépend des périodes… Je me trouve très mauvais peintre, je suis un peintre du dimanche qui essaie de faire son possible, mais ce qui compte c’est le sujet. Comme avec la musique, j’apprends par moi-même.

� Texte : Sarah Sirel

Philippe Katerine s’expose

Palais Vendôme 2, rue du Guichet – Clichy

Jusqu’au 23 septembre 2023

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Jusqu’au 17 septembre 2023

leur maillot de bain en avance pour voir à quoi ils ressembleront une fois allongé·e·s sur leur serviette de plage, quand viendra le moment fatidique des vacances d’été. Fatidique ? Oui. Car si les vacances sont censées rimer avec détente, lâcher-prise et farniente, une récente étude de l’Ifop montre néanmoins que près de la moitié des Français·es angoissent à l’idée de montrer leur corps à la plage cet été. Un constat qui prouve que, malgré l’évolution indéniable des discours autour de l’acceptation de soi sur les réseaux sociaux, le summer body a visiblement encore de beaux jours devant lui…

Vous avez dit summer body  ?

Si la tendance body positive(1) prend de plus en plus d’espace sur les réseaux sociaux à coups de vidéos normalisant les poils, vergetures, bourrelets et autres imperfections, il semble que cela ne suffise pas encore à effacer les complexes des Français·es, particulièrement quand vient l’heure de se mettre à nu (ou presque). Intitulé “Les Français·es à l’heure du “summer body”, de la plage et du maillot… ”, l’enquête de l’Ifop met en lumière les complexes des vacanciers sur leur apparence, mais également les disparités entre hommes et femmes quant au regard porté sur leur propre corps.

Les femmes face aux injonctions contradictoires

Sans grande surprise, les femmes sont bien plus affectées que les hommes par les angoisses liées au maillot de bain. Selon l’Ifop(2), 60% d’entre elles affirment ne pas aimer leur corps,

À l’approche de l’été, nombreux sont celles et ceux qui enfilent

tandis que 67% disent ne pas se sentir à l’aise en maillot de bain. Des préoccupations bien présentes alors que nombreuses sont celles qui se positionnent en faveur du body positive.

« Personnellement, je soutiens à fond le mouvement body positive. Je n’en peux plus de ne voir que des corps lisses et minces dans les publicités ou dans les médias. Je suis contente qu’on puisse voir des personnes qui nous ressemblent, qui ont des formes, des imperfections, qui ont l’air vraies… Et en toute sincérité, je trouve ça tellement plus beau ! Mais quand il s’agit de me voir moi dans le miroir, avec mes kilos “en trop” et ma poitrine toute plate… Ce n’est pas la même affaire. » Comme de nombreuses femmes, Julie, 26 ans, est prise

entre les injonctions contradictoires véhiculées par la société et les réseaux sociaux. Selon Catherine Grangeard, psychanalyste et psychosociologue spécialiste de l’obésité et des rapports femmes/hommes, cette ambivalence n’a rien d’étonnant : « On a tous·tes envie de dire “on s’en fout d’être comme ci ou comme ça”, “tous les corps sont beaux”, de façon très juste et rationnelle, parce que ce sont nos convictions. Mais quelque chose d’autre agit à notre insu lorsqu’on se regarde dans le miroir. Car on ne voit pas seulement la réflexion de notre image, mais on voit aussi tout ce qu’on a entendu dire de nous, tout ce qu’on observe dans les médias ou sur les réseaux sociaux, tout ce qu’on se dit sur nous-mêmes. On porte

un regard sur notre image qui vient déformer la simple réflexion de ce que nous sommes. »

Et si les réseaux sociaux tentent de plus en plus de lutter contre ce phénomène d’auto-body shaming en incitant les uns et les autres à voir leurs imperfections comme des qualités et à les célébrer, ces derniers sont aussi la source des injonctions corporelles à la minceur, parfois même à l’insu des personnes qui postent ces contenus : « bien que ces images soient destinées à inspirer les individus à s’exercer et à perdre du poids, des recherches ont démontré que l’exposition à ces représentations corporelles entraînait des conséquences négatives, comme une image négative de son corps ou encore des troubles alimentaires », affirme Dimitra Laurence Larochelle, sociologue des médias, du genre et du numérique.

Quand l’été vire à l’angoisse

Pour Mégane, 37 ans, les complexes sont là, mais l’assistante maternelle affirme qu’ils ne

sont pas une obsession pour elle : « on ne peut pas dire que j’aime vraiment mon corps. J’évite de me regarder lorsque je suis en maillot de bain, justement pour ne pas me sentir mal, j’essaye de faire attention à ce que je mange, je mets éventuellement un paréo lorsque je me déplace… Mais je n’en ai jamais pleuré la nuit non plus. J’essaie de relativiser ». Pourtant, pour plus d’un·e Français·e sur deux, l’été est synonyme d’importants troubles de la santé mentale. Chez les femmes, 49% affirment avoir déjà vécu d’intenses périodes de stress ou encore de nervosité et d’anxiété, quand seulement 29% des hommes expliquent vivre la même chose. Près d’une femme sur trois (38%) confie également avoir déjà pleuré en raison des injonctions et de la pression liée à l’approche de l’été. Sans parler des troubles du sommeil provoqués ou encore des épisodes de dépression vécus…

Si Mégane assure ne jamais avoir suivi de « régime draconien ou de programme de sport intensif », pour d’autres, la quête

@ shutterstock

du summer body est bel est bien réelle, presque vitale. En effet, 93% des femmes et 78% des hommes affirment « préparer leur corps » pour l’été, en accordant une importance particulière à leur pilosité, au sport, ou encore à faire un régime. C’est notamment le cas de Léa pour qui, chaque année, le printemps est synonyme de remise en forme : « Je ne suis pas très sportive de base. Mais avant chaque été, je me force à faire des activités ultra intenses, type course à pied, pour ne pas être trop mal à l’aise en maillot de bain. Honnêtement, je ne suis pas sûre de voir de gros résultats, mais au moins, je culpabilise moins ».

En finir avec le mythe du summer body

Comme le rappelle Thomas, coach sportif de 31 ans, « le summer body n’existe pas. Peu importe tous les efforts qu’on peut faire, on ne sera jamais pleinement satisfait de la façon dont on se voit dans le miroir… Même quand on est un coach sportif avec 75 kg de muscles ! Alors autant apprécier ce qu’on est, tout en s’assurant d’être en bonne santé, car quand on se lance dans la quête du summer body, on n’en finit jamais ».

Et ça, heureusement, de nombreuses personnes l’ont compris. Sur les réseaux sociaux, on voit de plus en plus de personnalités, tous bourrelets sortis, s’assumer et célébrer leur beauté malgré les standards contraires, comme c’est le cas de l’influenceuse norvégienne Camilla Lorentzen. La jeune femme l’affiche d’ailleurs dès la bio de son profil : « ici pour vous aider à vous aimer ». Sur d’autres comptes, il n’est pas difficile de trouver des illustrations mettant en avant des corps poilus, avec des vergetures, des varices, de l’acné ou encore des seins qui tombent, accompagnées de messages tels que « ce sont des choses normales et naturelles », « ça n’enlève rien à votre valeur ». Dans la vraie

vie, malheureusement, le mouvement body positive semble bien moins installé.

Car même si l’industrie de la mode tente de devenir plus inclusive en montrant des mannequins de toutes les tailles et de toutes les formes, le changement est encore trop timide : « on a parfois l’impression qu’on nous fait du purple-washing(3) en nous montrant des mannequins grandes tailles, au milieu d’une majorité écrasante de corps filiformes. Et quand il y en a, ils sont retouchés, maquillés, etc. Au final, on ne les voit pas vraiment comme ils sont », affirme Julie. « C’est déjà mieux qu’avant, certes, mais il en faut plus si on veut dire une bonne fois pour toutes au revoir aux diktas sur le corps des femmes ».

Bien que le constat de l’Ifop — selon lequel « les injonctions au corps parfait, plus encore lorsqu’il est soumis au regard de l’autre, restent très prégnantes » — ne soit franchement pas heureux, nous, on espère que vous n’allez retenir qu’une seule chose : le corps parfait pour aller à la plage cet été, c’est le vôtre.

� Texte : Auriane Camus

(1) Body positive : mouvement social en faveur de l’acceptation et l’appréciation de tous les types de corps humains

(2) Étude Ifop réalisée pour l’agence de Flashs et le site spécialisé Voyageavecnous.fr publiée le mercredi 21 juin 2023

(3) Purple washing : Fait d’utiliser la cause féministe pour faire du profit et donner une fausse image engagée à l’entreprise.

Pour aller plus loin :

· La femme qui voit de l’autre côté du miroir de Catherine Grangeard et Daphnée Leportois aux Éditions Eyrolles

· Mon corps et alors ? de Laetitia Duveau aux Éditions Solar

· Louise Aubery | MyBetterSelf : stop aux diktats de la minceur, oui au body positive, un podcast “Patate” réalisé par Alice Tuyet

« Peu importe tous les efforts qu’on fait, on ne sera jamais pleinement satisfait de la façon dont on se voit dans le miroir »

Un jeu d’enfants !

Aide le Bonbon Bird à retrouver ses bonbons...

Où se cache le Bonbon dans Camping ?

Quel personnage de Camping s’est-il tatoué notre logo � ?

Si vous additionnez le total des multiples du conglomérat divisionnaire, vous aurez un indice sur votre numéro de crème solaire.

Verticaux, horizontaux, diagonaux… les mots à trouver sont en rapport avec l’été ! Il y a en tout 12 mots à trouver. Go !

À vous de trouver les mots : oubliez métro, boulot et cernes, pensez plutôt amour de vacances, douceur du soir et plaisir d’offrir.

1. Loisir de plein air qui consiste à suivre un itinéraire

2. On y pose sa serviette

3. Gourmandise qui rafraîchit

4. Il donne de l’ombre

5. Couche aux tropiques

6. Signaux de détresse

7. Bonheur des surfeurs

8. Maison qui roule

9. Terrain de jeu des marmottes

10. Beaucoup de grains

Pochette – Parfois chez Zalando

Astro

Bélier

Ne vous a-t-on jamais dit que vous étiez un peu chiant ? C’est à peine les vacances que vous pensez déjà à la rentrée. Premier décan, détendez-vous un peu la nouille, vous allez craquer votre slip. On vous conseille de ne jamais trop vous accrocher à vos plans, sinon vous proches vont péter

Gémeaux

Y’a de l’amour dans l’air cet été. Vous allez travailler dur tout l’été en vous oubliant peut-être un peu trop. Pensez à vous ! Si vous êtes barman, prenez un verre avec votre client préféré, si vous êtes boulangère, offrez-lui des chouquettes. Votre activité préférée des vacances : les fêtes de village !

Lion

Vénus telle la marraine de Cendrillon, vient dans votre chambre, vous lève de votre canapé, écrase votre clope, et vous habille de la tête aux pieds, sans oublier de vous armer de votre répartie et charisme légendaires. Vous serez en forme cet été. Renouez avec famille et amis ! Activité de l’été : le tir à l’arc !

Taureau

Vous allez faire de superbes barbecues mythiques. Pour vous, ça sera l’été de la maturité, de l’amitié, de la quiétude. N’hésitez pas à retrouver des anciens amis, il y aura un·e petit·e dans le lot qui va avoir envie de découvrir ce qu’est devenu le Taureau adolescent qu’iel a connu·e avant… Sacré·e·s coquin·e·s. En revanche faites des économies, les merguez sont chères cette année.

Cancer

Votre lieu de prédilection pour ces vacances 2022 ? Chez vous ! Eh oui, je ne sais pas quoi vous dire, mais c’est ce que ma boule voit. Après il y a plein de gens qui ne partent pas en vacances, hein. Vous êtes d’habitude casanière, mais là c’est trop. Allez au moins faire un petit tour au marché, ceux du second décan vont y trouver un super

Vierge

On ne vous reconnaît pas ! Vous avez le feu au corps en cet été 2023. Et vous le méritez ! Attention tout de même à ne pas ramener n’importe quoi chez vous ! Santé : attention aux coups de soleil, c’est votre point faible et vous le savez, sinon, amusez-vous ! Activité de l’été : le farniente ! C’est le cas de le dire….

Été 2023

Balance

Un mot d’ordre pour cet été : PARTY ! Vous allez passer un été composé d’alcools, de coups d’un soir et de beuveries, et pas forcément avec les couteaux les mieux aiguisés du tiroir. Souvenezvous tout de même que ce n’est qu’une parenthèse enchantée, fin août c’est terminé ! Activité fétiche : la collection de parasols de cocktails de boites miteuses.

Sagittaire

Un seul mot d’ordre : l’été sera plat ! Mais ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. Je vous annonce qu’enfin, il ne va rien se passer. Vous allez bronzer, pique-niquer, siester, vous toucher, dormir et penser. Activité de l’été : le hamac ! Profitez tout de même de vos proches, ils le méritent !

Verseau

Vous êtes très nostalgique. Vous passez l’été à écouter Summer Hits 2002, alors que de l’eau a coulé sous les ponts. Votre amoureux·se de l’époque a 4 enfants maintenant, il est temps de vivre dans le présent. Votre activité de l’été 2023 : le bad... minton. Allez, renvoyezmoi ces volants, ça vous donnera des couleurs.

Scorpion

Votre activité préférée de l’été, amis Scorpion : les mots croisés. Vous avez pour la plupart choisi des vacances reposantes auprès de vos proches, familles et amis, et vous avez raison. On sent malgré tout une certaine usure, car ma boule me dit qu’il y a un relou dans votre entourage. Ne faites pas l’enfant à entrer en conflit avec cette personne, tout le monde ne se souviendra que de votre haine envers elle.

Capricorne

Vous vouliez passer l’été à pécho, hélas vous n’allez vous prendre que des vents. Votre ex vous hante, mais s’éclate, en toute bienveillance, ne soyez pas jaloux·se. Contre toute attente, votre activité de l’été sera le baby-foot, même si vous jouez comme un pied. Attention à ne pas marcher sur un oursin, sinon la santé dans l’ensemble ça va.

Poissons

Qu’est-ce que vous êtes égoïste ! Votre activité de l’été : parler de vous. Vers mi-juillet, quelqu’un va vous faire la remarque et vous allez enfin vous remettre en question et penser aux autres. Après tout rentrera dans l’ordre, car au fond vous êtes exceptionnel·le, tout le monde le sait.

Les bonnes annonces

Bon anniversaire Inès ! Passe une bonne journée d’été et amuse-toi bien ! Bisous, Ta vie - Capucine

Je suis la plus heureuse que tu viennes Charlie

Le son de ton été ? "Sous le Soleil" de Pâle Regard

Antoine, viens à Douve, c’est un ordre

Bonnes vacances les Bonbons !

Bonnes vacances mon amour, tu les as bien méritées celles-ci :)

Écoutez Pyerre, pour les amateurs de rap, sur toutes les plateformes !

M. comme mariés pour le meilleur et... puis c'est tout!

Je recherche une alternance en scénographie ou en retail design pour mon M2 Architecture d’intérieur ! @f.c.architecte

Pour toutes animations de bingo, loto, etc merci de m'envoyer un mp @renaud_desch

Merci monsieur le confiseur pour cet été de rêve R

Bisous à tous les Sardines Lovers

Joyeux

anniversaire Flo - Océ

lyes t'es ma vida loca

Sophie Mirabul, Mireille Lustucru, Pascal Blaireau, you have my <3

Les aficionados des sports équestres ne passeront pas à côté du Jumping

Cette édition promet de ne pas décevoir : du 12 au 15 juillet, ce sont 500 chevaux et 200 cavaliers qui se réunissent au pied des majestueuses Grandes Écuries de Chantilly. Du 12 au 15 Juillet 2023

Au programme, quatre jours de grand sport et d’animations avec des compétitions et une épreuve phare le samedi après-midi avec des obstacles culminants à 1m55. L’occasion également de se promener dans les allées du village équestre, de flâner entre les stands et de profiter de toutes les animations installées pour l’occasion… On se voit là-bas ?