Dossier de presse exposition : "DES ILLUSIONS"

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DOSSIER DE PRESSE / ARLES ETE 2015 W W W. L E M A G A S I N D E J O U E T S. F R NICOLAS@LEMAGASINDEJOUETS.FR

GALERIE LE MAGASIN DE JOUETS 19 RUE JOUVENE, ARLES

DES ILLUSIONS EXPOSITION DU 6 JUILLET AU 12 SEPTEMBRE 2015 AVEC LES OEUVRES DE : REN HANG - SARA IMLOUL - OLIVIER SOLA - STEPHANE LENTHAL - TTY - AUDREY GUIRAUD - LORE STESSEL - JEANNIE ABERT - ROBIN LOPVET - MAXIMILIAN TOMOZEI

© MAXIMILIAN TOMOZEI

commissariat : Nicolas Havette


DES ILLUSIONS REN HANG - SARA IMLOUL - OLIVIER SOLA STEPHANE LENTHAL - TTY - AUDREY GUIRAUD - LORE STESSEL JEANNIE ABERT - ROBIN LOPVET - MAXIMILIAN TOMOZEI

EVENEMENTS 8 JUILLET - - 17h

SIGNATURES : signature du livre DAS SCHLOSS de Sara Imloul (éditions Filigranes) & du livre d’artiste Fugue / Eclairs de Jeannie Abert (éditions MORE THAN A GALLERY) en présence de l’éditrice Esthèle Girardet

NUIT DE L’ANNEE

Le Magasin de jouets remercie les Rencontres d’Arles pour leur invitation à la Nuit de l’Année, nous y présenterons le film-photogrpahiques du photogrpahe birman MINZAYAR : PEACE BE WITH YOU - Grand prix du Yangon Photo festival 2015 (www.yangonphoto.com)

HORS LES MURS Durant tout l’été, retrouvez l’exposition : THAT LITTLE DISTANCE de Jamie Maxtone-Graham à la fondation Manuel Rivera-Ortiz (18 rue de la Calade - ARLES)

INFO PRATIQUES Galeries le Magasin de jouets, 19 rue jouvène - ARLES www.lemagasindejouets.fr Ouvert du 6 au 12 juillet la galerie sera ouverte tous les jours de 8h30 - 20h & du 13 juillet au 12 septembre du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 16h à 20h (fermé du 15 au 30août) Le Magasin de jouets reçoit le soutien de la Ville d’Arles, du département des Bouches-du-Rhônes et remercie chalheureusement l’atelie SHL et le château du Sulauze pour leur accompagnement.


DES ILLUSIONS est une exposition inédite d’oeuvres aux frontières de l’acte photographique. 10 artistes internationaux nous proposent de s actes photographiques en dialogue avec le dessin, la peinture, la sculpture & la vidéo. Ils portent un regard sans concession sur les enjeux qui nous entourent aujourd’hui. DES ILLUSIONS propose une photographie qui se joue du modernisme et de l’esthétique documentaire; une photographie qui a appris de son histoire et de l’histoire des autres médium et qui s’en amuse avec poésie et délicatesse. REN HANG, SARA IMLOUL, OLIVIER SOLA, STEPHANE LENTHAL, TTY, AUDREY GUIRAUD, LORE STESSEL, JEANNIE ABERT, ROBIN LOPVET & MAXIMILIAN TOMOZEI nous trompent avec malice, nous entrainent et nous tirent par la manche dans leurs jeux avec l’image et dans leur ferveur à croire aux photographies, aux mondes qu’ils créent. Ils se jouent des codes et des supports & dialoguent avec l’art contemporain, voie qu’Arles s’apprête à suivre. Entre désillusions et ravissement des illusions, le Magasin de jouets vous invite tout l’été à un parcours étonnant à la rencontre de la photographie contemporaine. LE MAGASIN DE JOUETS EST MEMBRE DU PARCOURS 5 ÉTOILES (voir fin de ce dossier de presse) LA GALERIE FAIT PARTIE DU RÉSEAU ARLES CONTEMPORAIN WWW.ARLES-CONTEMPORAIN.COM


OLIVIER SOLA Olivier Sola mène une démarche artistique singulière, utilisant l’appareil photographique, son complice, pour nous faire des farces : il « bouge les lignes » et modifie « les règles du jeu ». Changement de décor. Comme personne, l’artiste extrait des fragments de vies, les transforme, leur donne une nouvelle autonomie, réécrivant d’inédits destins. La modestie originelle de ses sujets, vieille bâche de camion, squelette informatique, disparaît ou change de statut avec la planéité de la photographie elle-même. Sorte de trompe l’œil conceptuel, ce travail silencieux avance avec un grand sérieux. Sola guette toute anomalie visuelle qu’il assimile à la métaphore d’un acte de résistance à cette plane position. Belle façon de décrire notre bas monde. Cyrille Puttman Né en France en 1985, Olivier Sola est diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles depuis 2014. Il développe une pratique explorant le rapport qu’entretient l’image photographique avec le référent dont elle est issue. Il a étudié un semestre à la School of Visual Arts de New York grâce à un programme d’échange. Son travail à été exposée dans plusieurs exposition collective dans le cadre notamment de Marseille- Provence 2013 et des Rencontres d’Arles 2014.


DAS SCHLOSS SARA IMLOUL

8 JUILLET - 17h SIGNATURE DU LIVRE DE DAS SCHLOSS Editions Filigranes

J’ai eu envie de travailler dans ma maison de famille, en Lorraine. Installer ma chambre noire et les photographier, eux, moi, à ma manière. Comme je les pense, comme ils m’inspirent. Un travail intime sur une période d’un an. Comme une expérience entre deux mondes, une introspection à travers l’oeil photographique. Faire des images où mon grand-père, ma mère, ma tante, ma cousine et moi même seraient mis en scène à travers des compositions symboliques. Placer des éléments dans ces « tableaux », dessins, collages, comme des symboles, les lettres d’un alphabet à déchiffrer. Les séquences d’un cinéma personnel en noir et blanc. Jeux de rôles, jeux de matières, pour troubler la perception des corps, des espaces et surtout, troubler la frontière entre projection et réalité. Qui est derrière ce masque ? Qui joue le rôle de qui ? Alors la maison est devenue l’écrin, la boite crânienne où se formaient les cadavres exquis de mon imaginaire. Sara Imloul

C’est en découvrant la calotypie que Sara Imloul, photographe française née en 1986, entame sa première série, Le Cirque Noir (2008-2011). Elle développe dès lors un processus photographique empreint de techniques anciennes et d’expérimentations personnelles qui lui permet de mettre en image son univers mystérieux et onirique. Chaque objet chiné, chaque personnage mis en scène devant l’objectif de sa chambre noire contribueà l’élaboration d’une évocation poétique, inquiétante. Elle accorde un soin particulier aux tirages - pièces uniques, ouvragées à la main. Fascinée par la relation charnelle entre matière et lumière, elle accorde une place particulière au négatif - support de collages pour sa nouvelle série Das Schloss (2014) ou même présenté comme œuvre brute pour Négatifs (2012). Sara Imloul, diplômée de l’Ecole de Photographie de Toulouse, vit, travaille et expose régulièrement à Paris. Ses oeuvres ont également été exposées à Madrid et Bruxelles.


DE L’AUTRE CÔTÉ STÉPHANE LENTHAL De l’autre côté s’appuie sur des photos d’identité des années 60, prises dans un studio du quartier de Belzunce à Marseille, et dont Stéphane Lenthal a acquis le fond en 2014. Collectionneur de photographies anciennes – entre autres passions –, il a notamment constitué des ensembles remarquables autour d’une constante, le portrait. La sensibilité artistique qu’il exprime sur différents supports est, cette fois-ci, portée par le regard à la fois intime et décalé qu’il projette sur ces visages. Dans sa quête d’un visage fantasmé jusqu’à l’obsession, il s’empare de ces regards fixes, graves, frontaux toujours, pour les faire revivre à sa façon et mieux les intégrer dans sa propre histoire. Patient, méticuleux, il scrute chaque image à la recherche d’indices et des mystères qu’ils révèlent. Il veut voir de l’autre côté de la matière, sonder l’âme de l’autre côté du corps. A cette époque, les portraitistes retouchaient leurs clichés directement au verso du négatif afin de satisfaire leurs clients en gommant rides et traits disgracieux. Alors, parfois, sous la surface de l’instantané marqué par l’usure de l’âge, se dessine, comme ici, à la faveur d’un trait de lumière, l’histoire d’une autre vie. Ombres et miroitements, griffures et craquelures signent le temps comme autant d’anneaux dans le tronc de l’arbre coupé. De l’autre côté de la représentation convenue, surgissent les signes insoupçonnés des séismes d’une existence, figures abstraites dans lesquelles les émotions se chevauchent. Ces cicatrices estompées dévoilent une matière hasardeuse dont il s’empare pour brosser les portraits cachés qu’il nous donne à découvrir. Jérôme Baboulène

Né le 06 janvier 1950. Etudes à l’Ecole Supérieure d’Arts graphiques (ESAG) Paris Département photographie sous la direction de Jean-Pierre Sudre. Passionné depuis toujours par l’image. A titre non professionnel, multiples activités artistiques dont principalement la photographie. Collectionneur de photographies anciennes sur la thématique du portrait.


© Stéphane Lenthal


INTELITY MAXIMILIAN TOMOZEI Intelity est la contraction entre deux termes: intelligence (en anglais informations) et identity (identité). L’information contenue par les puces électroniques est suffisante pour dresser un portrait socio-économique de chaque individu. Cette petite pièce de technologie prend possession de tous les indices concernant son utilisateur, elle a le pouvoir de l’éclipser et servir d’indice en ce qui concerne ses capacitées sa personnalité et son succées. Revenus, dépenses, santé, transports et communications… chaque geste laisse une empreinte binaire.

Maximilien est né en Transylvanie, en Roumanie, en 1986, pendant la période communiste. Lorsque sa famille s’installe en France en 2002, il choisit d’étudier la photographie comme un tremplin pour devenir journaliste comme ses parents. Il prend des photos depuis lors. Il vie actuellement à Paris et travaille sur des séries «fine art», mettant l’accent sur l’impact de la société moderne.


CYBERSPACES AUDREY GUIRAUD « En Amérique, on n’accepte pas de voir s’installer la nuit ou le repos ni de voir cesser le processus technique. Il faut que tout fonctionne tout le temps qu’il n’y ait pas de répit à la puissance artificielle de l’homme, que soit levée l’intermittence des cycles naturels au profit d’un continuum fonctionnel souvent absurde. » Jean Baudrillard, Amérique, 1986.

Cyberspaces est une prise de position face à une temporalité dirigée par l’électronique et le virtuel., travail développé à Times Square. The crossroads of the world, comme il est surnommé : accumulation d’images publicitaires sur écrans géants, diodes électroluminescentes fluorescentes, panneaux sur-dimensionnés, forment l’injonction première du capitalisme et des relations sociales artificielles. (...) J’ai voulu fragmenter l’image du lieu afin de n’en garder que son essence. L’image latente résultante est le simulacre de l’extinction des feux de cette place qui ne s’obscurcit jamais (...). Il est question d’une réalité seconde, prise entre deux temps. (...). Audrey Guiraud

Audrey Guiraud est photographe plasticienne. Diplômée de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes depuis 2009, elle développe son activité autour de la notion d’espace, et du rapport que l’Homme entretient avec son environnement. Ses photographies ont été présentées à la Biennale de photographie et d’architecture, Corps de Ville, à La Cambre à Bruxelles, à la Maison de l’image Documentaire à Sète ainsi que sur la tournée internationale de l’exposition reGeneration2, photographes de demain, sous le commissariat de William A. Ewing et Nathalie Herschdorfer pour le musée de l’Elysée, à Lausanne. En 2013, son travail en diptyque Cyberspaces, lui a valu la Bourse à la Création de la région Languedoc-Roussillon. Actuellement, l’artiste est active dans l’association Artelozera. Cette association constituée de jeunes artistes de divers horizons sur le territoire lozérien tente de promouvoir l’art contemporain en milieu rural.


Š Lore Stessel


LORE STESSEL « Dans ma pratique, le corps humain est à la fois sujet et outil de travail. Il est capturé dans un mouvement du quotidien puis manipulé par mes gestes de peintre. La répétition et la superposition des couches entraînent le sujet dans une intime illusion. » Lore Stessel

Lore Stessel aime les entre-deux, dans chaque situation de création qu’elle génère elle trouve toujours une posture de contrepoint qui lui permet de passer d’un espace à un autre, d’un comportement à son attitude de complément. Ainsi comment architecturer le détail sans se défaire du corps qui en parcourt le lointain horizon ? Toutes les stratégies plastiques mises en tension par l’artiste s’y emploient. Ce qui fait oeuvre emprunte ses traversées et leurs dépôts de techniques et de traces. (...) Bien qu’objets de dualités, son monde n’est pas fragmenté, il se donne la proximité du désir, celle de la gourmandise des yeux, le tactile peut saillir de cette juste distance où se fondent respect et intimité. Si ce regard est d’abord féminin dans sa finesse de saisie il rejoint la vision d’un Emmet Gowin dans le mélange d’ombres et d’éclats sans oublier la rigueur du cadre, dans sa sensuelle appréhension de l’humain. Le dessin dans la pratique de Lore Stessel a la finesse de l’ombre portée d’une fine branche d’arbre sur le profil d’ Edith à Danville, Virginie, en 1963. Ce que le photographe américain fait fusionner dans les portraits de son éternel modèle Edith au Panama en 2003, Lore le fait cohabiter pour une mixité à opérer par le regardeur. Quand la fusion ne s’opère pas avec assez d’évidence elle n’hésite pas à y ajouter l’urgence d’un crayonné ou la fausse violence d’une projection chimique révélatrice des matières sous –cutanées du tirage argentique. Pour que d’un espace à l’autre circule le flux du vivant. Toute son oeuvre s’installe dans ces battements du réel, dans les stations qu’elle y ménage, comme dans les passages qu’elle introduit et dont la mixité de ses productions facilite l’accès pour tous. Christian Gattinoni

Lore Stessel est née en 1987 à Leuven. En 2005 elle commence un Master de peinture à Sint-Lukas (Bruxelles) qu’elle termine en 2009. Elle intègre ensuite L’ENSP (Ecole Nationale Supérieure de la Photographie, Arles) et obtient son diplôme en 2012. Lauréate du prix Louis Roederer en 2013 au Festival Planche(s) contact à Deauville, elle est invitée par ce même Festival l’année suivante pour une résidence. En 2014 elle est également invitée par Marie Pascale Gildemyn à l’exposition ‘ Youth: portraits of artists between freedom and fight’ à la maison Particulière à Ixelles. Suite à cela, elle à sa première exposition solo à la galerie Rossycontemporary (Bruxelles) et en 2015 elle expose à The WHite House Gallery (Leuven). Lore Stessel vit et travaille à Bruxelles.


LA PETITE DANSEUSE TTY L’enjeu de la petite danseuse est de retrouver son corps. Elle questionne le rapport à celui-ci, au sein d’une société où il est retouché et de plus en plus artificiel. Elle n’en est pas moins, un objet mystérieux du désir érotique.

Le jeu que TTY opère entre la photographie et le virtuel révèle les liaisons qui s’établissent entre la capture du réel et notre perception de celui-ci. La relation avec cette technologie dépasse celle qui s’établit avec un simple outil; ces interactions construisent notre manière de voir : son rôle va au-delà de la prothèse et se révèle dans une relation symbiotique avec l’œil. La ligne de démarcation entre le corps réel et sa simulation numérique s’annihile tout en révélant une extension du corps à travers les machines. Les « Mèmes » (Ref. Richard Dawkins) de TTY, ces reproductions et simulations perverties des émotions humaines, sont l’une des possibilités à travers lesquelles les références au corps humain sont pensées à l’intérieur d’un espace numérique. Edith Lázár. Anti-Utopias.com. 2015


JEANNIE ABERT cyanotypes (création inédite) SIGNATURE DU LIVRE D’ARTISTE DE JEANNIE ABERT le 8 juillet à 17h Editions More Than A Gallery Artiste française née en 1987, vit et travaille à Arles. Jeannie Abert est diplômée de l’Ecole supérieure d’art et de design de Saint-Etienne en 2009 et de l’Ecole nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2013. Elle efectue une résidence à l’International Center of photography (New-York) en 2011. Elle engagera ensuite une «conversation photographique» avec Stanley Greene avec le soutien d’Olympus. Lauréate du Festival Manifesto 2013 à Toulouse, elle a également été fnaliste du Prix SFR jeunes talents / Le Bal 2013. Sa série Révolutions est récompensée par le Prix Oblick (décerné par Charles Fréger, Jürgen Klauke et Beat Streuli) à Strasbourg en 2014. Son travail a été exposé notamment aux Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 2013, à Amsterdam pour Unseen Photo Fair en 2014 ainsi qu’au 30ème Festival international de mode et de photographie, à la Villa Noailles (Hyères) en 2015.


5 FRUITS & LEGUMES PAR JOUR - ROBIN LOPVET (vidéo inédite)

Né en 1990 dans les Vosges, Robin Lopvet découvre la photographie comme autodidacte durant ses études de sciences de l’ingénieur. Il rompt avec cette discipline pour intégrer l’École Supérieure d’Art de Lorraine à Epinal puis l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles où il affine ses armes. Il présentera son diplôme en juin 2015. Ses travaux questionnement les jeux de langage et de la parodie dans un savant mélange de bricolage et d’une économie de la récupération. Usant du ludique dans l’analyse des systèmes de production contemporaines, ses propositions exploitent avec brio ce que Lavoisier annonçait. “Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme”. Il vit et travaille sur Internet.


ILLUSIONS REN HANG (photos inédites)



LES RESEAUX DU MAGASIN DE JOUETS

WWW.ARLES-CONTEMPORAIN.COM Un réseau de 18 lieux, fédérés autour d’une même idée : Arles EST [aussi] un territoire pour l’art contemporain ! Si l’on vous dit « Arles », vous répondez : mistral, soleil et vieilles pierres, César, Van Gogh et les Arlésiennes, taureaux, chevaux, photo et flamants roses… Et vous avez raison… Mais Arles est aussi, et peut-être même avant tout une ville d’aujourd’hui, dotée d’une vie culturelle dynamique et variée, qui égrène tout au long de l’année (oui, oui, même en novembre et en février) événements et manifestations autour de l’art contemporain : expositions, lectures et conférences, rencontres avec les artistes , vernissages en musique… De nombreuses structures, institutionnelles, associatives ou privées, anciennes ou toutes récentes, se consacrent à le diffusion de l’art contemporain. Sur un territoire resserré (le centre ancien), ce sont pas moins de 18 lieux qui se sont fédérés pour créer le réseau arles contemporain, et éditer un dépliant trimestriel commun qui recense les différentes initiatives de ses membres. Arles Contemporain : étonnez-vous ! parlez-en !

PARCOURS 5 ETOILES Le parcours 5 étoiles, vous guide au coeur d’Arles dans une constellation d’exposition choisies qui explorent les pratiques de la photographie contemporaine dans des lieux d’exception La visite débute avec l’accueil chalheureux de la très belle galerie HUIT au 8 rue de la calade. Puis vous vous acheminez le long des antiques arènes, au CAP nouveau lieu arlésien dédié à la création contemporaine. Le parcours se prolonge à l’église Saint-Julien pour découvrir la nouvelle édition des WIP exposition rituelle de l’association des étudiants de l’ENSP qui réserve chaque année son lot de surprises et d’expérimentations. Vous vous dirigez ensuite dans le dédale des charmantes rues arlésiennes vers Le Magasin de jouets, galerie dédiée à la création photographique émergente pour terminer ensuite votre parcours, en beauté, par l’hôtel particulier de la Fondation Manuel Rivera-Ortiz pour la photographie et le film documentaires qui vient cette année enrichir et affirmer le dynamisme culturel du centre de la Ville d’Arles. Un parcours riche et éclectique qui vous fera découvrir des artistes et des lieux d’exception. En espérant avoir le plaisir de vous accueillir.

Retrouvez le Magasin de jouets sur les plans et bons plans de The Cool Tourist



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