Mangas Shonen Numéro 6

HYPE !!!

Septembre 2017

Mangas Shonen

NumĂŠro 6 Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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2 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

La Rédaction Yare Yare...

Encore notre fameux retard. C’est vraiment dur de mener à bien une activité de cette ampleur, surtout dans une équipe de jeunes...

Entre imprévus, manque de fonds, de soutient, et à certains points de nombreux doutes sur la perspective et portée du projet, on se retrouve souvent à hésiter à baisser les bras, largement affectant notre productivité.

Ce numéro a été sujet à pas mal de péripéties en interne, et bien malheureusement vous le sentirez, on a perdu un peu en éléments.

Nous espérons fortement que le changement ne sera pas malvenu, et que nous parviendront cependant à vous toucher.

Bon, le retard affecte assez notre contenu, mais en résumé, on travaille sur le prochain déjà. On devrait tenir notre quota prévu de six numéros pour cette année.

Pour le moment, bonne lecture pour ce numéro. Ciouss.

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HOT

Riku-Do Death Note (2017)

SUMMER 2017

Coup de CÅ“ur Spring 2017 Review des Animes de Saison

M.S. ZONE

LE HYPE DANS LES MANGAS Anime News M.S. TOP: Live Actions Mangas Versus CRITIQUE: Ping Pong: The Animation

4 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

P. 8 P. 13

P. 18 P. 20

P. 35 P. 38 P. 42 P. 46 P. 48

MS CINÉMA Films Du Moment Rétro-Cinéma

P. 56 P. 68

MS SÉRIES Power American Gods

P. 74 P. 76

MS MUSIQUE Yanagi Nagi Gorillaz

P. 80 P. 82

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MS GAMING Mobile Legends

CAMEROUN POWER Afrique Genius

6 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

P. 89

P. 93

BONNE LECTURE Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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8 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Comme ce mois est consacré au sport, nous allons parler de cette petite découverte: «Rikudo», un manga de boxe à la sauce Hajime no Ippo «Ashita no Joe».

«Rikudo» est un manga seinen de Toshimitsu Matsubara, pré publié dans le Young Jump depuis 2015. Le manga encore en cours compte 13 tomes à son actif. Aucune série animée ou produit dérivé de la série n’a encore vu le jour, ceci dit, grace à la popularité qu’elle accumule depuis quelque temps, cela ne saurait tarder.

SYNOPSIS Riku Azami est un jeune garçon dont la vie est placée sous le signe de la tragédie. À la suite de la mort de son père, Riku est retrouvé par un ancien boxeur devenu collecteur de dettes, Kyôsuke Tokorozawa, boxant avec rage le cadavre de son géniteur. Il demande à sa mère de vivre avec elle mais découvre avec horreur qu’elle vit avec un dealer aussi violent que sadique.

Voyant sa mère maltraitée, il essaie de s’interposer et lui envoie un direct du droit avant de le tuer d’un coup de cendrier. Riku demande alors à Kyôsuke de lui enseigner la boxe afin de pouvoir défendre ceux qu’il aime. L’ex-champion de boxe refuse et l’envoie chez Shinji Baba, son ancien entraîneur. Ce coach sans pitié accepte de l’entraîner car il décèle du potentiel chez Riku…

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HOT : Riku-Do

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NOTRE AVIS Dès les premières pages du manga, on peut sentir l’influence d’ «Ashita no Joe» de par quelques similitudes comme le talent inné pour la boxe de Riku, un coach sans état d’âme qui n’a pas connu le succès ou encore la détresse du héros qui forge un certain caractère social de l’œuvre… Bref c’est assez flagrant au début, mais l’auteur malgré ça a su trouver sa voie au fil des chapitres.

signifie pas qu’on sera privé de matchs sur le ring.

En parlant même de l’aspect social de l’œuvre qui est aussi bien mis en place au plus du sujet boxe on a aussi les relations de Riku avec d’autres personnages comme Naeshiro, la camarade de centre d’éducation qui ne cache pas ses sentiments envers Riku ou alors l’entrée en scène d’un rival… Autant de choses.

Ce qui marque le plus dans «Riku-do» c’est qu’au premier plan, Toshimitsu ne se soit pas directement focalisé sur le plan sportif, mais nous a appris à être pris de compassion pour le protagoniste qui a eu une enfance des plus terribles; en fait, c’est bien pensé car ça permettra dans la suite de mieux comprendre certaines actions du jeune Riku, d’entrer dans la peau du personnage en toute aise. C’est vraiment un des points forts de la série.

Le chara du manga sied plutôt bien à l’univers il est vif, poignant idéal pour démontrer le caractère dramatique de la série. Les scènes de combat sont belles à regarder, intenses…

La façon dont Toshimitsu traite la boxe dans son manga est bien gérée. De par l’aspect sportif mais aussi social car oui non seulement la boxe ici est considéré comme un duel des poings sur un ring, mais c’est aussi un refuge, un mode de vie. Ça ne

EN SOMME ...

Cependant ce qui est dommage avec l’œuvre c’est qu’il y’a des points que Toshimitsu aurait pu mieux développer, certaines ouvertures qui allaient rendre «Riku-do» encore plus intense. Sans trop spoiler prenons comme exemple la rivalité entre Riku et Misehaya qui aurait être mieux développée. La série a perdu beaucoup en intensité avec ce coup, elle a emprunté le schéma normal d’un manga de sport c’est un peu dommage mais reste tout de même plus qu’intéressant en vue d’ensemble.

«Riku-do» est un bon manga qui se laisse lire et attire l’attention du lecteur plus sur le coté psychologique qu’autre chose. La petite nostalgie du début avec «Ashita no Joe» est des plus agréables pour ceux qui ont eu à connaître cette œuvre. Pour les amateurs de boxe ayant la flemme de se taper les 118 tomes d’Hajime no Ippo, ce manga est fait pour vous!

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12 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Étant fans du travail de Netflix dans le domaine de la remise au goût du jour de travaux ayant auparavant faits leurs temps en les modernisant et en faisant de chef d’œuvres même de présents no-names tels que Jessica Jones, Daredevil ou encore Luke Cage. Avec ce palmarès on aurait pu s’attendre à ce qu’en s’attaquant au monde du live d’anime on puisse aussi dénoter cette aptitude à changer la forme tout en gardant le fond et en satisfaisant aussi bien les fans de longue date que créer une nouvelle fan-base.

Nous nous attendions donc bien évidemment à ce que le film de Netflix ne soit pas une copie conforme de la série animée ou encore le manga, qui avouons-le, seraient impossible à retranscrire à l’identique dans le modèle hyper réduit du cinéma qui ne peut faire au mieux que trois heures de durée. En plus, avec les bandes d’annonces, nous voyons clairement qu’ils allaient pour une adaptation «Basée sur le concept de la série», mais réadaptée pour le contexte américain, avec sa mentalité et ses principes.

En tant que critiques, nous ne nous sommes pas arrêtés sur ce que l’on voit à l’écran. Nous avons essayé aussi de voir quels étaient les réelles approches de la productions, et pourquoi ça n’a pas conquit le publique.

Approche Le concept de «Death Note» et assez simple. Les grandes lignes peuvent se résumer à: Un Dieu de la mort relativement égoïste nommé Ryuuk s’ennuyant décide de jeter un death note dans le monde des humains afin qu’un humain s’en serve et le divertisse.

MANGAS SHONEN MAG REVIEW

Light, fils de chef policier, avec un sens extrême de la justice tombe dessus et décide de s’en servir pour être un bourreau et justicier, ainsi nettoyer le monde de tous ceux qu’il jugera comme vermine.

Une jeune fille s’intéresse à ce qu’il fait et choisit de mettre tous les moyens à sa disposition, son intégrité, sa liberté et sa vie, pour le suivre et l’aider aveuglément.

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HOT : Death Note(2017)

Un investigateur privé excentrique au moyens à peine plus impressionnants que ses aptitudes de déductions, connu sous le pseudonyme de « L », accompagné de son homme de main/mentor/seul ami, Watari, se met à la poursuite du criminel invisible.

Voilà grosso modo les grandes lignes de la série. De légers points manqueront pour certains, tels que le dieu de la mort qui était aux cotés de Mia, l’équipe du père de Light, ou certaines règles modifiées du Death Note... Nous serons d’accords que pour le format temporel, on aurait bien pu s’en passer, vu leurs rôles secondaires, et même tertiaires de bien d’autres. Ceci dit, ces différents points ont été respectés pour être tout à fait honnêtes, bien que la manière dont ils sont emmenés peut être subtile de fois. Étant donné que la vaste majorité des enthousiastes à regarder ce film étaient des otakus ou au grand minimum des fans puristes de la séries, certaines ré-interprétations de traits clairement établis dans la série pourraient passer inaperçus.

On a alors la diffusions des dits comme par exemple «Light le fragile», ou encore «Mia la p#te». Mais réfléchissons un instant ensemble, voulez-vous? Les concepts Japonais et Américains sont complètement opposés, sommes-nous d’accords? On parle quand même de la terre de la droiture et la terre du freedom, ne voyez-vous pas un peu le contraste?

Et vous aurez beau dire que vous vouliez l’œuvre originale, ils ont plusieurs fois dit que ce n’était pas ce qu’ils avaient en vue, puis de toutes façons, si ça vous tient tant à cœur, vous pouvez toujours regarder la série ou les lives Japonais.

Light le protagoniste propre sur lui-même, débordant

de fierté et faisant de son mieux pour être toujours premier de la classe, est l’alpha-mâle au Japon certes, mais dans le contexte Américain serait le bâtard hautain ou pire, le faillot.

Light Turner en revanche dans sa liberté de se démarquer ou pas, choisit volontairement de ne pas se mettre à la lumière, tout en étant clairement un boss du lycée dans l’ombre, gérant son propre deal de notes et n’ayant pas froid aux yeux le moins du monde, dans un contexte ou les rackets sont chose courante. Light de la série avait lui aussi eu peur en rencontrant Ryuuk pour la première fois, et n’a pratiquement pas dormi en découvrant ce pouvoir. Tout comme il a toujours évité de foncer tête baissée dans les confrontations, préparer sa stratégie même en devant battre en retraite un moment, et ceux avec d’évidents traits de frustrations, comme dans ce film.

Mia

Le cas de est pareil, dans le contexte Japonais, la fille Kawai est de mise, mais dans le concept Américain où la rebellion est sexy, c’est son interprétation qui était de mise.

Elle est toujours aussi impulsive et aveugle aux réalités de la vie, pensant de Kira être un dieu pouvant la libérer de son quotidien bien trop monotone et facile.

14 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

MANGAS SHONEN MAG REVIEW

L, le sujet qui a fâché. Oulala il était Noir. Ce n’est tellement

pas fidèle, il devait être Japonais... Bandes de semi-puristes va. L n’a jamais été de la même race que les protagonistes à la base. C’était un babtou parmi les Asiat, et maintenant c’est un black parmi les babtou, où est le problème? Ryuuzaki? C’était un pseudo pour ne pas éveiller les soupçons. Enfin bref, rentrons dans le vif du sujet, la personnalité de l’investigateur excentrique. Il n’était pas fidèle d’après ce qu’on dit, là encore c’est assez aveugle de dire ça. Il avait l’intelligence, la déduction, les moyens et les relations.

Kira, cette fois-ci ce n’est plus juste Light, mais le couple

phare. Pourquoi? À la base ils étaient tous deux des Kira si l’on s’en souvient bien. Maintenant il s’avère que Light semble avoir peur d’exécuter tandis que Mia n’hésite pas quant à elle à prendre les devants afin de sauver le palmarès de Kira.

D’où encore «Light le peureux». Cette partie était un choix osé certes mais ils ont fait d’une pierre deux coups: Ils ont fait de Mia la chouchou du shinigami, et de Light le penseur qui ne fonce pas tête baissée, prêt à se retirer pour faire suivre la stratégie, tous deux comme dans la série originale. Le seul problème est bien qu’ici, avec la vitesse des évènements on perd cela de vue. On avait pas non plus le temps de rendre Light aussi bien un justicier qu’un psychopathe, ils ont alors choisi de scinder la chose, logique, non?

Le Probleme Comme on peut le voir, le réel défi de Netflix n’était pas celui d’adapter Death Note à une réalité Américaine, mais plutôt celui de plaire aux fans, négligeant que très souvent le fan tient à ne pas voir son œuvre de prédilection dénaturée ou même juste modifiée. Beaucoup choisissent de ne pas regarder l’adaptation telle qu’elle est, mais tel qu’il ou elle voudrait qu’elle soit. «Light n’est pas assez exécutif.», «Light n’est pas assez charismatique», «Light n’est pas assez ambitieux», «L est allé sur le terrain», etc...

MANGAS SHONEN MAG REVIEW

Le film n’est pas parfait, certes, et même loin de là. Il a de nombreux défauts même en tant que film à part entière dans sa narration, son histoire, et ses personnages. Même en tant qu’adaptation il y a des problèmes plus flagrants mais qui ne sont que peu, sinon pas du tout adressés dans les communautés en ligne, comme par exemple: Kira avait volontairement choisi de se servir des crises cardiaques, mort par défaut du death note, comme signature, Et les soit disant fans en sont passés à côté.

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HOT : Death Note(2017)

La Critique Le film en tant qu’œuvre cinématographique est assez moyen, en partie à cause de ce qu’on sait qu’il aurait pu être à la base, et d’autre part à cause de certains de ses aspects bien trop sous-exploités. Netflix a clairement pris un projet pour lequel ils n’ont pas été suffisamment ambitieux. L’histoire était limite bâclée, et certains personnages auraient pu faire bien plus, comme par exemple M. Turner, mais ont eu des rôles bien trop secondaires.

La sensation d’être en train de regarder un film de suspense se prenant pour un film d’action pouvait aussi rendre assez mal à l’aise pour être francs, avec des inspirations un peu clichés pour lier le tout: Un peu de «Destination finale» par-ci, des ordres du death note qui n’ont pas manqué de faire un peu penser à «Saw», et des courses poursuites WTF. Sans parler de la romance tellement tordue, qui ferait dormir d’un seul œil Bonnie et Clyde. Heureusement pour le film, voilà le pire, parce que c’est tout. Pour le reste il n y a plus que les points positifs.

Les personnages sont différents de leurs contrepartie Japonaises, mais pas nécessairement pire. Cette adaptation en live retire certains traits un peu trop fictifs de la série, comme le fait que L ait fait toutes ses enquêtes sans descendre sur le terrain, que Mia soit une artiste semi-stupide qui parvienne à rejoindre Light sans complexe, ainsi que bien gérer l’histoire sans faire de violents bonds dans le temps.

Visuellement ce n’était pas mal, mais on avait droit qu’à des images réelles, Ryuuk pour sa part étant fidèle à ce à quoi on pourrait s’attendre d’un être provenant d’un monde hostile, et cela bien que son rendu tridimensionnel laisse un peu à désirer.

Conclusion Non, le film Netflix de Death Note n’est pas près d’être un chef d’œuvre, cependant il est loin de mériter toutes les insultes reçues des communautés en ligne qui n’ont en rien cherché à approfondir un sujet aussi complexe que peut l’être une œuvre «Philosophique» tel que Death Note, avec la complexité de ce qu’est une réadaptation lorsque l’on connaît déjà le matériel de base.

Ils peuvent faire mieux, et nous sommes bien curieux de voir ce que nous réservent les lives d’AOT, Naruto, et SAO qui sont aussi entre les mains Américaines maintenant.

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Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Coup de Coeur Spring 2017

Coup de Cœur Printemps 2017

Pour le printemps 2017, oui il est passé depuis un bon moment déjà, mais nous ne pouvions ps nous en remettre à laisser passer un coup de cœur tout de même, encore moins de cette ampleur. Ça n’aura pas été le coup de cœur certainement de beaucoup, même parmis les fans, surtout comparé à des concurrents imposants tels que «Re:Creators», «The king’s Avatar», ou encore les plus tordus qui se seront accrochés à «Sin Nanatsu No Taizai», ou encore «Eromanga sensei».

«Shingeki No Kyojin» Saison 2 a été plus intéressant, considérant le mangas, la mise en sène des évenements, la différence avec la première saison, et surtout les libertés que les gars ont pris, qui nous intriguent pas mal quant à la direction que prendra l’anime à partir de là.

Ceci dit, pour ceux qui ne connaissent pas encore la série, genre les trois personnes sur terre qui n’en ont jamais entendu parler, faisons les choses comme il faut, et commençons dès le début.

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Synopsis «Attack on Titans» ou «Shingeki no Kyojin», est un shonen particulièrement gore, sur des titans, êtres humanoïdes géants, dont le seul objectif semble être l’extermination de la race humaine.

Pour un siècle à présent, l’humanité pour survivre s’est retranchée dans une citadel entourée de trois grandes murailles d’une cinquantaine de mêtres de haut, qui jusque là est parvenue à les tenir à l’abri de leurs prédateurs.

Un titan de plus de cinquante mètres s’est montré, et a détruit le seul rempart de protection des humains, et une lutte pour la survie démarre ainsi pour la race humaine, et notre protagonist Eren Jaeger, ainsi que ses 2 compagnons Mikasa Ackermann et Armin Arlett, qui s’engageront dans le corps militaire anti-titans aux cotés d’autres jeunes tels que Annie, Bertholdt, Reiner, Connie, Sasha, Jean et bien d’autres, afin de venger la race humaine, et reclamer la terre pour l’humanité.

La première saison sera donc centrée sur la découverte de ce nouvel ennemi de l’humanité que sont les titans, comment les combattre, mais aussi que la capacité que certains humains ont de se transformer eux-mêmes en titans, comme est le cas de Eren,, qui s’en servira pour augmenter la puissance militaire de l’humanité, mais aussi une autre qui bien que capable de le faire, interfère avec la survie de l’humanité, et ils ne semblent pas êtres les seuls dotés de cette aptitude.

Saison 2 La deuxième saison quant à elle, a pris un tournant qui bien qu’attendu, change énormément de la première. Nous n’avons plus une série centrée sur l’action, comme nous l’avions, avec des épisodes où le taux de mortalité était digne d’un film de guerre.

Nous avons ici plus un arc de découverte, où ils ne veulent plus se battre pour leurs liberté, plutôt trouver un véritable moyen d’atteindre celle-ci, surtout maintenant que les titans ne sont plus vus comme des bêtes étranges et qu’elles sont confirmées êtres une armée envoyée à leurs trousses par d’autres humains.

Nous avons des revelations sur les identités d’autres titans, ainsi que l’apparition du Titan Yeti, un titan qui semble avoir la capacité de créer et contrôler d’autres titans, tant de choses confirmant qu’effectivement les titans sont une armée et que ceux qui les envoient sont tous près.

Le suspense de cette saison est de taille. Anime only et manga readers ont tous été pris par surprise par la mise en scène de nombreux évènements capitaux, et en plus l’ajout de certaines scènes, notamment le spoil énorme sur la séquence qui n’avait été revelé aux lecteurs de Mangas que tout récémment aussi, et le ending qui a dû pousser les anime only à faire des recherches qui spoilant 3 ans de possible suspense. Difficile de dire si c’est une bonne idée, car bien que les spectateurs avanceraient beaucoup dans la trame, ils sautent beaucoup, et si la saison 3 viendra dans 3 ans encore, tant mieux, ils ne seront que plus poussé à lire le manga, et si ils ne le font pas en se contentant de ces revelations bien trop emancipées, ce sera une perte violente, et un gaspillage de taille.

Notre Avis En tant que fidèles lecteurs du manga, beaucoup de surprises, contrairement à ceux à quoi on pouvait s’attendre. La mise en scène était spectaculaire, et ceux dès le premier épisode avec l’entrée en scène du titan Yeti, qui donnait dès ce moment, une toute autre orientation à la série, comme dit précédemment.

La suite d’évènements dans cette saison s’enchaîne plus que bien, déjà par l’importance de ces évènements à la trame, la manière dont la série parvient à nous focaliser sur l’instant, et surtout les transitions qui ne sont en rien forcées ou brusquées.

Le casting aussi s’étend. Les personnages qui dans la saison une étaient plus que sous-exploités comme Ymir et Christa, ainsi même que Bertholdt, et Reiner, prennent une importance majeure dans la série, et toute la première bande a son heure de gloire, sauf Jean, étrangement, bien que nous lecteurs de mangas, sachions déjà que pour le prochain arc, Jean sera celui qui ressortira le plus du lot, mais Shhh...

Le grand Trio; Eren, Mikasa, Armin, sont un peu en retrait dans cette saison. Ils ont leurs moments epics, mais ressortent moins qu’auparavant. Ne parlons pas alors de Levi qui nous a littéralement fait un cameo, en apparaissant qu’au dernier épisode pour quelques instants. Ça a un peu fait jacter, pourtant ils n’aurait peu vraiment eu de place dans la mise en scène posée par l’auteur.

Cette saison hype violemment la saison 3. Quel est ce peuple qui a rejetté Ymir? Qui est ce sosie de Grisha Jaeger qui est sorti du titan yéti? Que va faire le bataillon d’exploration maintenant qu’ils savent comment l’ennemi fait pour prendre du terrain, et qu’ils ne sont plus les seuls au monde? L’armée dont font partie les traitres qui accompagnaient Annie, quel sera leur prochaine stratégie? D’ailleurs, combien de leurs soldats peuvent se transformer en titans? Et encore, que faisait un titan colossale dans les murs? Est-il le seul?

Tant de questions dont nous espérons avoir la reponse dans la saison suivante. Trop d’impatience...

Aaaaaaa.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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SUMMER 2017 ANIME SEASON

Boku no Hero Academia (Saison 2) Shonen - Action - École Maintenant que l’arc du tournoi s’est terminé, Boku no Hero prend un tournant bien plus mature que les arcs précédents en s’attaquant déjà aux questions touchant au sens même de ce que signifie être un héros. À travers Stain et les entraînements de la classe A, nous voyons démarrer une toute nouvelle histoire avec ses nouveaux villains, et des versions améliorées de nos héros. Connaisseurs du Mangas vous voyez tout à fait où nous nous dirigeons, et ce ne sera pas joli joli à vivre pour nos héros à partir d’ici, bien que pour nous spectateurs, ce sera bien enthousiasmant. Quel dommage finalement que ce ne soit pas une continuité, ils nous ont déjà mis l’eau à la bouche et maintenant c’est terminé...

Ugh...

Verdict : Approuvé

Boruto, Naruto Next Generations Shonen - Action - Aventure On s’attendait vraiment à ce que ça fasse autant de polémique? Tant de rage contre une seule série parce que ça étire une série qui a laissé beaucoup sur leurs faims quant à la fin, et qui ne cessent de taper sur la série. Alleeeez, c’est un tout nouvel univers. Nous avons littéralement un tout nouveau Naruto, et pouvons être curieux de ce que donnera son avenir. Bien vrai quand même que nous n’avons pas eu grand chose d’innovateur jusqu’ici. Un arc comparable à des fillers de Naruto, et des adaptations de contenu déjà visités... Bon la série danse encore sur un mauvais pied, un très mauvais pied...

Verdict : Ambiguë

20 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Dragon Ball Super Shonen - Action - Aventure On en avait pas encore parlé depuis, mais après tout le tapage qu’il est parvenu à susciter avec le récent arc, impossible de passer à côté. La qualité en dent de scie qui caractérise la série ne se dément pas, il n’a pas cesser de créer polémiques après polémiques entre la Brolette, et les défaites de Goku, pour ne parler que de ça.

Difficile de dire maintenant si la série est bonne maintenant, ou si elle se repose complètement sur les lauriers de DBZ jusqu’aujourd’hui. En tout cas vu la quantité de spectateurs, on peut certainement dire que la série à su livrer du matériel cette saison.

C’est ça ou les penchants Masochistes se répandent de plus en plus dans notre génération qui a déjà son lot de tordus.

Verdict : Approuvé

Sakurada Reset Shonen - Mystère - Surnaturel Impressionnant gâchis que ne pas l’avoir mentionné dans les news du numéro précédent. C’est une série sur une ville où tout la plupart des gens possèdent des aptitudes spéciales. Un garçon possédants une mémoire photographique surnaturel et une fille ayant l’aptitude de tout réinitialiser jusqu’à 3 jours dans le passé s’allieront pour aider ceux autour d’eux. Ils se retrouveront cependant à côtoyer plus forts et plus influent qu’eux, devant travailler pour ceux-ci, tout en cherchant un moyen de stopper leurs agissements malsains.

C’est captivant comme peu de séries à mystères. Les utilisations des aptitudes sont non seulement créatives mais démontrent que les personnes sont tous un peu des fins stratèges, et surtout le manque de niaiseries dans la série n’en font que plus une œuvre à conseiller vivement.

Verdict : Approuvé Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Summer 2017 : Avis

Kakegurui Ecchi - Drame - Jeux Nous avons là un anime sur une école pleine de filles vraiment, mais alors vraiment enthousiastes à jouer...

Vraiment.

C’est un anime sur les jeux de hasard, alliant stratégie et jeux psychologiques pour non seulement gagner, mais écraser son adversaire, faisant des jeux de hasard des jeux au résultat non prédéfini par la chance ou le destin.

L’exécution de l’idée est super intrigante et intéressante, qui ne se perd pas cette fois-ci dans le fan service, et s’en sert plutôt pour démontrer «l’enthousiasme» Psychopathe dont on parlait plus tôt, des filles prêtes à tout parier sur leurs victoire, quitte à tout perdre. Elles devraient tous voir des psychologues pour dépendants, c’est grave. Elles ont besoin d’aide les gamines.

Verdict : Approuvé

Ballroom e Youkoso Shonen - Drame - École Un nouvel anime qui prend un art et le rend encore plus spectaculaire à nos yeux de spectateurs lambda, et très certainement aux connaisseurs parvient à retranscrire les émotions et l’intensité ressenties durant la pratique de la discipline.

Nous avons un jeune homme intéressé par le ballet qui s’engage dans un cours de danse. Initialement pas le meilleur, il apprend et progressivement s’améliore au point de pouvoir rivaliser avec les plus expérimentés, nous offrant tous des spectacles de danse enchanteurs.

L’aventure humaine du développement, caractéristique des shonen n’est pas mal exploitée ici, Nous sommes impatients qu’il évolue, et sommes servis, heureusement de manière cohérente.

Petit shoutout à Reiner qui a profité du Break AOT pour participer à la série.

Verdict : Approuvé

22 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Mahoutsukai no Yome Shonen - Slice of Life - Fantaisie Dans son heure la plus sombre, Mito, une jeune fille de 16 ans rencontre un Mogus, qui lui ouvrira une porte échappatoire à la vie malheureuse à laquelle elle est soumise, l’épouser. Cependant, cet être plus proche du démon que de l’homme, est-il vraiment de bonne augure pour la demoiselle, ou sera-t-il une source de plus de peine et souffrance pour elle?

Le concept de la femme du diable à souvent été ramené sous forme de comédie, rendant cette reprise plus sérieuse, plus dramatique que horror fantaisie, intéressante. Nous sommes bien curieux de voir où la série va emmener cette histoire, et surtout sommes assez enthousiasmés à lire le mangas qui semble de très bonne qualité considérant ce qu’on à déjà pu voir de l’histoire à travers l’anime.

Verdict : Approuvé

Vatican Kiseki Chousakan Shonen - Drame - Fantaisie Choqué de se rendre compte qu’en sachant qu’il allait y avoir une série animée sur le Vatican on s’attendait plus à quelque chose de transgressif sur une perversité cachée du Vatican, nous mettant face à nos propre mauvaises intentions, que bien évidemment nous blâmons sur les animes.

Là on a plutôt bien plus clichés, des super investigateurs top secrets que tout le connaît. C’est ennuyeux.

On a déjà eu D.Gray-man qui en plus ne lésinait pas sur la claque visuelle et scénaristique, là c’est juste banal. Quel perte de temps de la part du studio.

Verdict : Abandonné Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Summer 2017 : Avis

Hajimete No Gal Shonen - Aventure - Fantaisie L’humanité telle que nous la connaissont est encore à ce point-ci? Vraiment? Dans la vie il faut savoir faire un choix, quand on studio lance le travail, ils doivent clairement savoir si ils s’engagent à faire un Ecchi ou un Hentai. Parce que là c’est confus.

Aussi ils poussent la chose limite avec la boobs physics. Ils défient volontairement les lois de la gravité ou bien? Même des ballons d’eaux ne sont pas aussi fluides, encore moins des vrais. On connaît tous les boobs, et si ils doivent vraiment être comme ça, alors, les filles Camers, mettez y un peu du votre, faites un effort quand même.

Pour la série, aucune substance, juste des excuses pour des scènes explicites avec une fois de plus des censures choquantes dans leurs exécution, ce sont carrément des mains à l’écran. Le résultat que t’as si tu regardes un ecchi avec maman, si déjà la main ne vient pas pour une claque. Tu la vois la confusion?

Verdict : Abandonné

Aho Girl Shonen - Romance - Comédie *Facepalm* Ça ne s’arrange pas. Un show littéralement sur la bêtise. Où va le monde. De fois quand on a pas d’inspiration, poser le crayon et prendre de l’air ne fait pas de mal.

Un série sur une fille aussi stupide que concevable, avec une étrange dépendance aux bananes, qui parvient à entrainer son entourage dans ses stupidités, et qui ne se fait calmer que par son meilleur ami «A-Kun» alors que même sa propre mère a perdu espoir.

L’humour absurde était bien beau à l’époque des clowns, mais rire à une personne attardé est politiquement incorrecte dans notre ère moderne, on préfère les faire interner... Oh attends, finalement ce monde est tordu sous tous les angles possibles...

Verdict : Abandonné

24 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Koi To Uso Shojo - Romance - Drame Imagines un monde où ton partenaire de vie est déterminée par le système et que tu n’as d’autre choix que de te lier à cette personne, soit-il que tu l’aime, ou pas, où même encore que tu aimes quelqu’un d’autre.

Comme on peut le prédire, les protagonistes dans ce systèmes aiment quelqu’un d’autre que celui que le système leurs à choisi. Ils sont donc obligés de vivre avec le choix du système, déchirés entre leurs désirs et leurs devoirs. Respecterons-t-ils toujours leurs engagements envers le système? Feront-ils face aux conséquences de se lever contre le système?

Beaucoup de questions se posent, et beaucoup de suspense se construit sur la prémisse. Vivement conseillée pour tout publique disposé à être saisi par en engouement pour les protagonistes s’accrochant au fil d’espoir même le plus fin.

Verdict : Approuvé

Centaur No Nayami Ecchi - Fantaisie - École Non, non, non, non, non... N’encourageons pas la zoophilie. Ce sont des mi-humaines, mi-bêtes, mais surtout bêtes. Ça n’a pas le droit d’être ecchi-tant.

Nippon, ne fais plus ça. Veux-tu vraiment d’un monde où en regardant une jument un mec s’exclame: «Can hit that» ?

Les lolis de la série n’arrangent pas les choses. Le temple de la perversité tabou. NEIN, NEIN, NEIN, NEIN!!! Bon en même temps il y a eu pire dans le genre, on a juste eu la naïveté de croire qu’on s’était bien amusé et que nous étions passé à autre chose...

Un mec n’a pas du suivre le mémo.

Les problèmes shojos aussi y sont tellement niais, juste les fans du genre accrocheront probablement «Yamete yamete senpai».

Verdict : Abandonné Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Summer 2017 : Avis

Made In Abyss Shonen - Aventure - Fantaisie Certainement le chef-d’œuvre de la saison, nous avons une fois de plus, une de ces rares séries qui partant d’un concept qui pourrait sembler enfantin, délivre un résultat au-delà de toutes espérance. Des chibis et enfants robots dans un monde fantaisiste, lancés dans une grande aventure plus grande qu’euxmême, et devant faire face à des créatures plus immenses qu’étranges.

C’est un bijou à tous les niveaux, musique, Effets audio, univers fantaisiste, et la trame est un pure délice.

C’est conseillé pour tout type de fan, il sera fort difficile de ne pas être remué par cette série fantastique merveilleusement bien réalisée.

Verdict : Approuvé

Violet Evergarden Shonen - Drame - Fantaisie Cet anime devrait en réalité être un Seinen. Nous y suivons une vétéran du champ de bataille, tellement apte au combat que ses prouesses lui ont valu le surnom «L’arme». Une fois la guerre terminée, elle range son arme et décide de mener une vie normale, tourmentée par des paroles que lui ont laissé un être qui lui était cher, paroles dont elle ne comprend pas réellement le sens encore.

Elle se trouve un travail dans lequel elle est souvent confrontée au sentiments des gens, devant porter leurs mémoires et les convertir en mots. Toutes ces découvertes d’émotions ouvriront peu à peu son esprit, ne la rapprochant que plus de la compréhension de ces paroles inscrites sur son cœur.

L’aventure émotionnel de la jeune fille nous engage avec elle dans la mise face aux réalités de l’humanité de tout un chacun, et la profondeur des évènements pour les concernés, qu’un spectateur extérieur ne peut souvent pas saisir à vue d’œil.

Verdict : Approuvé

26 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Fate/Apocrypha Shonen - Action - Fantaisie Suite des Fate/Stay, Fate/Apocrypha reprend la guerre du saint Graal, et cette fois-ci... C’est du grand n’importe quoi. Ils ont repris la recette des maîtres et serviteurs, mais n’ont pas respectés les doses. Beaucoup trop de personnage à développer et suivre, et comme le format l’oblige, certains ont des rôles complètement dispensables, et étouffent le scénario et peuvent parfois casser la cadence de certains actes.

Côté action nous sommes toujours servi, et avec le plus grand nombre, le fan service de violence n’en est que plus alimenté, et avec le budget que le studio ne semble jamais épargner quand il s’agit de délivrer de l’animation de compet, c’est clair qu’on est pas sur notre fin.

En résumé, l’action est au top et l’histoire peut faire mieux, à toi de voir pourquoi tu regarde une série.

Verdict : Ambiguë

The Reflection Shonen - Action - Surnaturel Vraiment, vraiment, mais alors vraiment décevant.

Annoncé comme le super Anime de Stan Lee, l’un des parents de la plupart des héros Marvel, y compris les héros des films de la MCU, anime qui était supposé mêler l’univers du comics Américain à celui des anime Japs, et tout ce tapage pour un résultat qui est... Là...

On l’avait nous annoncé comme BNHA en plus mature, mais en réalité c’est juste un Marvel en plus Jap, ce qui n’est pas franchement la meilleure combinaison. L’animation ne concorde pas tellement, les dialogues ne sont pas la meilleure écriture possible et les clichés marvel dans les animes de surcroit...

Bof. Vu la compétition actuel, et tout le tapage qu’il s’est construit, cette série n’a juste aucune excuse pour être mauvais ou même juste moyen tel qu’il l’est finalement, qui pourrait être du goût des plus curieux cependant.

Verdict : Abandonné Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Summer 2017 : Avis

Knight’s & Magic Shonen - Action - Isekai Mis à part l’évidente faute de frappe dans le titre, voici un autre isekai parce qu’apparemment c’est le move. Bon il accuse l’effroyable problème de Re:Zero, ils ont créé un personnage dont le transfert dans un nouveau monde est complètement dispensable étant donné que l’on a aucune idée de ce qu’étais concrètement sa vie de base. Juste le besoin de créer un misfit aux aptitudes hors du commun, bof...

Pour ce qui est de la série elle-même, elle va assez dans la ligne des fantasy classiques dans lequel nous avons des héros devant affronter des monstres ou armées médiévales trop darks, parce que: magie noire... Bla bla bla. Sauf qu’en plus, il y a des méchas.

Wouhou.

Pourrait plaire aux fans, bien que trop cliché et prévisible pour d’autres.

Verdict : Abandonné

Isekai Wa Smartphone To Tomo Ni Shonen - Harem - Isekai Encore et encore... Un Isekai négligeable. Il est dans un monde où il peut se servir de son smartphone pour... Faire des trucs...

Bon bah, c’est assez drôle dans le genre, passivement, et choquant dans l’utilisation de son téléphone.

On dira que dans les animes on pousse souvent le bouchon loin, mais jamais trop, aha non, là c’est trop loin. Si je pouvais faire pareil, je serai à un level terrible d’autant plus si ça attirait autant les fan-girls.

Trop de fantaisie. Pas plus accrocheur que ça, juste attiserait la curiosité pour un peu de temps juste pour qu’après...

Verdict : Abandonné

28 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Saiyuki Reload Blast Shonen - Action - Aventure SAIYUKI IS BACK!!! Et son succès présent ne se repose pas que sur les lauriers nostalgiques de la série originale. La série a su se renouveler tout en conservant les bases et l’esprit qu’elle avait emmené au devant de la scène et avec lequel elle a su séduire des millions de spectateurs.

On voit des personnages qui ont évolués, et tout en restant fidèles à eux-mêmes, sont restés fidèles à nous même qui avons pour tous les anciens fans, grandit depuis la série originale, et surtout découvert de nombreux autres univers plus ou moins intéressants.

En tout cas, en voilà un qui ne se dégrade pas avec le temps, il donne même envie de se refaire un marathon de l’ancien opus...

Verdict : Approuvé

Katsugeki/Touken Ranbu Shonen - Samuraï - Fantasie Une guerre afin de protéger l’histoire Japonaise de l’altération désirée par un armée de révolutionnaires, et dont le principal obstacle sont nos deux protagonistes, des esprit maîtres épéistes.

Au premier abord on pense assez à Drifters qui a eu lui un concept plus réussi en réalité, que celui-ci où l’on a ces combattants qui ont des objectifs et motivations assez dispensables honnêtement parlant.

Si il faut réellement apprécier un aspect de la série, il s’agira plutôt de ses combats qui peuvent divertir le temps qu’ils durent. Mis à part cela, rien.

La série n’est pas marquante et ne subsistera pas longtemps. Quel dommage pour une tel investissement graphique.

Verdict : Abandonné Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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30 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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32 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

... Est une série seinen mangas cyber punk écrit et dessiné par Tsutomu Nihei. Il a été compilé en un total de dix volumes entre 1998 et 2003 et est édité en français aux éditions Glénat.

Six ONA ( Terme qui désignant les anime diffusés directement en streaming ), relativement courts ont été développés en parallèle, reprenant certaines scènes du manga, dans un style très expérimental, avec peu de dialogues et une bande-son constituée essentiellement de bruitages. Ces ONA n’ont été rendues disponible qu’au Japon.

Une adaptation Cinéma en CGI de la série a est sortie en 2017, produite par la compagnie Américaine Netflix, et c’est de ça que nous allons parler.

SYNOPSIS Dans un monde où la machine à pris le dessus sur l’humanité, Killy un enquêteur pour la solde du gouvernement, est à la recherche d’un porteur de gènes sains en mesure de dominer la machine.. Au cours de sa quête, il rencontre un peuple de survivants, et plus important, Shibo, une scientifique qui se propose de l’accompagner dans sa quête.

Ils devront faire face à d’étranges créatures mécaniques, poursuivant une guerre technologique contre l’humanité, sans pitié ni prisonniers.

L Univers Le monde de BLAME! a de quoi faire se sentir insignifiant. Des bâtisse imposantes, immenses, froides et angoissantes. Il est une fresque abstraite d’un futur de la science-fiction, de domination technologiques se rapprochant si dangereusement de l’avenir vers lequel on se dirige, où il n’y a ni verdure ni bonheur, uniquement du métal s’étalant à perte de vue.

Critique Très réussi en termes visuel et d’animation, Blame! devrait sans problème séduire tous les fans du manga qui attendaient depuis longtemps cette adaptation. Les interactions, adversaires et enjeux sont tout ce dont on s’attendrait de l’œuvre.

En revanche, si vous n’avez jamais lu cet œuvre, le long métrage manque clairement d’explication sur l’univers dans lequel se déroule cette histoire pour vraiment comprendre ce qui es en cours.

Le scénario n’est pas si compliqué en lui-même mais c’est juste que cet univers paraît tellement riche que le film en devient frustrant de ne pas nous en montrer plus. Espérons qu’une suite viendra rapidement compléter cette intrigue.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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34 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

LE HYPE!!!

Le «Hype», littéralement traduit «le battage», est un phénomène que nous côtoyons de plus en plus dans l’univers Otaku et un mot que nous avons tous certainement entendu au moins une fois, que ce soit en référence à une adaptation d’une œuvre déjà célèbre, venant aussi bien du marketing que du bouche à oreille, avec ce pote qui n’arrête pas de ramener sur le tapis l’anime d’un manga qu’il a eu à lire il y a un moment de cela, avant qu’il ne soit cool.

Le hype en soi n’est pas une mauvaise chose, et permet très souvent de découvrir des nouveautés plus qu’intéressantes approuvées par les fans eux-mêmes, comme dans le cas de «One Punch Man» ou «Shingeki no Kyojin». Bien que de fois aussi ça attire tellement l’attention sur une œuvre en particulier que beaucoup passent à côté d’autres produits au moins aussi réussis en terme de qualité.

Ceci dit le hype n’est pas qu’une pub de produit, mais très souvent aussi de situation. Prenons l’exemple le plus basique de hype plus que violent dans un manga; Madara Uchiha dans «Naruto». Il est juste un personnage, qui pourtant a tellement été hypé que tous ceux qui suivaient la série, et certainement quelques non partisans de la naruto fan-base, s’attendaient fermement à voir ce qu’il en est. Fort heureusement il n’a pas déçu, et n’est nullement passé inaperçu dans la série, et encore moins sur internet, qui exprimait son entière satisfaction.

Donc le hype comme on l’a expliqué jusque là, est le fait de générer l’enthousiasme des foules pour un sujet, parfois banal, de sorte à attiser les passions et l’intérêt de tous, nous faisant carrément entrer dans la peau le sujet, cela vaut aussi pour le sport, notre thème principal de ce numéro.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Le Hype !!!

ALORS, QU’EN EST-IL?

Dans les animes de sport, le hype est toujours au rendez-vous, et plus le manga maîtrise son sport thème, mieux il parvient à intensifier les sensations, plus souvent lors de tournois. Nouvel adversaire plus fort? Joueur de l’équipe phare ayant reçu un entraînement spécial? Les choses semblent les plus désespérées et besoin d’un miracle? Quelques aspects plus stimulant les uns que les autres nous incitant à absolument regarder la suite de la série comme si notre vie en dépendait.

Ce que ce média réussit le mieux à faire à travers cette présentation des sports, autre que captiver notre attention, est aussi de nous transmettre le plaisir de pratiquer un sport, en nous mettant à la place du joueur, avec sa motivation de jouer, son d’adrénaline durant le match et son désir absolu d’être le best.

Prenons le cas d’«Eyeshield 21». Avant de connaître la série, très personnellement certains n’avaient jamais vu de football américain ou juste vaguement du Rugby, et après la série auront eu ne serait-ce qu’un minimum d’intérêt à regarder comment se déroule un véritable match de football américain, excités à l’idée d’y revoir des aspects présents dans l’anime, triste de se rendre à l’évidence que ce n’est juste pas pareil.

Dans la série tu peux voir un groupe de personnes qui sur le stade ont leurs motifs, forces et faiblesses individuelles, dans lesquelles tu peux te reconnaître, et trouver en eux l’envie et la force de persévérer dans la discipline, tandis que dans un match réel, ce sont des professionnels qui font ce qu’ils savent faire de mieux, et donc ton plus profond engagement pourrait être de supporter superficiellement ton joueur préféré.

Certainement des personnes diront que ce n’est pas tout à fait cela, considérant qu’il y en a qui suivent très attentivement les statistiques et actualités de leurs poulains avant, pendant et après les matchs, et se diront en mesure de comprendre la psychologie de leur joueur, pourtant même dans ces cas là, seriez-vous vraiment en mesure de le comprendre?

Ou est-ce juste du stalking?

36 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Bon alors, revenons à la manière dont les animes nous hypent pour le sport. Nous revenons alors sur le fait que c’est à travers les émotions qu’ils communiquent le mieux ces sports. Nous pouvons palper l’intensité que nous ressentirions sur le terrain même, être à bout de souffle et à court d’options en même temps que nos co-équipiers à l’écran, faire de son mieux même lorsque la situation est désespérée pour s’accrocher à la dernière voie qui s’offre à nous.

C’est cette chance de jouer un match sans même y être qui démarque les animes de sports de tout autre. Et ceux même dans leurs manière de se servir de métaphores extrêmes pour illustrer talents et efforts, limite des formes de DBZ comme la zone dans «Kuroko no Basuke», les fluides dans «Galactik Football»(Oui oui, nous savons que ce n’est pas un anime, mais c’est pour l’illustration.), Les Rushs d’«Eyeshield 21»,

les tirs hors du commun de «Captain Tsubasa», et bien d’autres, qui souvent bien que ne donnant pas de nom de technique spécial, semblent clairement irréalistes.

Semblant surnaturelles néanmoins, ces aspects ne sont pas toujours aussi inconcevables pour les pratiquants de sport, qui le disent, durant un match, un joueur atteint éventuellement un niveau de concentration et dévotion qui l’amène à surpasser ses limites qui elles-même ont déjà été repoussées par l’entraînement intensif.

Cela ne va que plus loin dans la confirmation que les animes de sport ne sont pas que fantaisie, mais une analogie plus qu’illustrative de ce que l’on pourrait atteindre dans tel ou tel sport, et ça ne manque pas, au vu de la passion que ça parvient à attirer pour la série, sa trame et ses personnages, surtout l’engouement que ça anime dans les spectateurs pour le sport thème.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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ANIME NEWS

La Petite Nouvelle Pour le nouveau jeu DB: «Dragon Ball FighterZ», prévu pour 2018 sur PS4, X-Box One, et PC, actuellement juste 15 personnages ont été confirmés, parmi lesquelles un nouvel android 21. Non certains que ce sera un personnage jouable ou même déjà une combattante, elle est présentée comme une scientifique dotée d’un intellect rivalisant celui de Dr. Gero. Elle fera en plus partie non de l’histoire principale, mais une des histoire alternatives dans le jeu.

Nous sommes impatients de voir ce qu’ils nous réservent avec ce perso encore entourée de mystères.

Saison 2 Un jeu AOT pour Nintendo 3DS a été officiellement annoncé par le studio SPike Chunsoft, qui sera baptisé «Shingeki no Kyojin - Mirai no Zahyo». Le jeu sera centré sur les évènements de la deuxième saison de la série animée, et une bande d’annonce a déjà été officiellement publiée par la compagnie.

Toei Tecmo a suivi aussi, annonçant une suite à «AOT: Wings Of Freedom» pour l’instant officieusement nommée Attack On Titans 2, qui sortira aussi pour Xbox One, PS4 et PC, comme son prédécesseur. Quoique vu les libertés qu’à pris le premier opus, nous sommes bien curieux de voir ce qu’ils nous réservent vu que dans le premier ils sont allés plus loin qu’ils ne fallait, en déviant de l’histoire originale, ou choisiront-ils l’incohérence?

38 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Shoutout One piece a sa parodie officielle maintenant, «Chin Piece». Jouant sur la popularité de la série culte, un auteur tente de promouvoir son Manga qui sera pré-publié prochainement sur Shonen Jump+, uniquement en ligne ou sur application mobile, et dont le nom n’a pas encore été annoncé. Étrange, non?

Le but de la stratégie promo était principalement de familiariser l’audience avec le style de dessin de l’artiste. Oda n’a pas donné d’avis sur le one shot parodie assez osé, dommage.

Jo-Jo VS Ken

EOneBook La compagnie «Progress Technologies» a ouvert un kickstarter pour financer son projet d’Ebook pour mangas, émulant très exceptionellement le format papier. Il serait pliable, aurait du papier sous les écrans, et deux écrans produits spécialement pour l’illusion du papier bien qu’il y ait un énorme blanc autour et en plein milieu des pages, triste pour les spreads. Ceci dit, chaque EONEBOOK ne contiendra qu’un seul manga selon toute vraisemblance, heureusement en série complète, et en au moins deux langues simultanément, le premier en projet étant «Hokuto No Ken», en anglais et Japonais.

Uh... Wat!?

La compagnie de confiseries pour café, Glico’s Bitte, s’est associé avec l’auteur de «la Rose de Versailles », Riyoko Ikeda, pour faire paraître ses personnages sur une nouvelle collection de leurs produits.

Un cadeau spécial WTF, sera un gobelet en édition limité, qui ne pourra qu’être gagné, qui sera un gobelet à l’effigie de l’héroïne, et comme vous pouvez le voir, son visage est sur... Enfin, ses lèvres sont... Bref, tu étancheras ta soif au goût des douces lèvres de la militaire. Voilà, c’est fait, passons à autre chose maintenant.

Les artistes des séries «Jojo Bizar Adventures» et «Hokuto no Ken», deux oeuvres bien trop souvent comparées pour des similitudes de leurs univers, se sont rencontrés sur un plateau télé pour discuter de leurs inspirations. Là où on s’attendait à un combat sans merci entre les stands et le hokuto, on a une discussion amical de deux quasi soixantenaire... C’était bien aussi, et heureusement aucune accusation de plagiat.

Cash Grab Précédant la sortie prochaine de la série «Code Geass: Lelouch of the Resurrection», officieusement appelée «Code Geass R3», une trilogie de films résumés ont été annoncés, qui retraceront les évènements de la première et deuxième saison de la série originale. Ils paraîtront respectivement en: Octobre 2017, Février 2018 et Mai 2018.

L’intention première est annoncée comme celle de familiariser de nouveau les grands fans avec les évènements qui ont défini la série, les apprêtant pour la saison 3, et les nouveaux du genre à accrocher plus facilement au concept qu’en devant se coltiner une cinquantaine d’épisodes.

Ils annoncent même des scènes inédites dans ces films, ça nique un peu le concept du film résumé, mais on le sait tous, non? L’argent est juste cool... Tant qu’il nous revient.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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Anime News

Dead Account Il est temps de le demander, qu’est-ce qui ne va pas avec les fans?

L’adaptation Netflix de «Death Note» n’était pas du goût de tout le monde, compréhensible, bien que les créateurs même ne l’aient pas trouvé si mauvais que ça. Cela donne-t-il vraiment le droit à qui que ce soit de harceler le producteur au point de supprimer son compte twitter? Un peu de retenu, sachons encaisser la déception et passer à autre chose, ou mieux, faites votre propre super adaptation messieurs et mesdames prétendant savoir mieux faire. Non mais...

Long Déjà La 20th Century Fox est arrivée au Japon avec les campagnes Américaines sur 2 ans. Depuis 2016 il nous tease pour le film, et il continue. Ça devient fatiguant d’attendre, et lassant à la longue. Nous sommes même tellement hypés que ça risque lui retomber dessus si son film n’est pas à la hauteur des espérances du publique très critique, et assez enfoiré qu’est la communauté otaku.

Surtout qu’il a déjà fait pas mal d’erreurs de production, comme choisir des Japs pour représenter des foutus Européens, mais savoir qu’il doit aller en Europe pour les Décors... WTF Logic. Le film sort en décembre de cet année.

K.O.F. Anime

La célébrissime série de jeux de combat, a depuis peu sa propre série animée CGI, produite en Chine, et en diffusion gratuite sur Youtube. La série est baptisée « King of Fighter Destiny», et retrace l’histoire du jeu, qui jusque là n’était facile à comprendre pour tous, vu que parsemé dans divers films peu populaires, ou dans les cinématiques brèves in-game. La série est donc gratuite et ouverte a tous, actuellement à son sixième épisode, et avec des sous-titres en Anglais.

Les francophones exclusivement, ne pleurez pas, ce n’est pas contre vous n’êtes juste pas considérés. Read or dive, no translation has been yet, so...

Oh, Netflix La compagnie qui est arrivée avec des productions qui touchaient plus intimement le publique que la plupart de ses concurrents, a enchaîné quelques flops récemment, notamment, oui, Death Note. Mais ça n’empêche pas à la compagnie de continuer dans sa lancée de production avec toujours plus d’animes et d’adaptations. Actuellement il a annoncé la sortie d’un film live de la série «Honō no Tenkōsei», un manga comique/action, sur des élèves transférés, plus excentriques les uns que les autres.

Netflix rentre aussi à l’animation classique, en travaillant en collaboration avec I.G. Productions et Studio Deen sur «Neo Yokio», un anime Musical/Comique.

40 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Nostalgie Anime Guards

La série Kochikame terminée plus tôt dans l’année, remportant le Guiness Record du mangas avec le plus de tomes, revient dans le Shonen Jump avec un numéro Bonus. Plus amples détails ne sont pas encore divulgués, et ne savons même pas encore si c’est le prélude à une reprise de la série. Du moins, la pause aura été bien courte si c’est le cas.

À la suite d’une victoire à la compétition de manga basé sur la franchise Marvel, tenu par la maison Kodansha, l’auteur Kohei Uchida a développé sa série sur les Gardiens de la galaxie, où ils se retrouvent dans une sorte de death race galactique, dont le vainqueur et sacré plus rapide de la galaxie.

Le manga baptisé «Guardians of the Galaxy: Galaxy Rush» n’est actuellement disponible qu’au Japon et en Japonais sans véritable perspective de traduction officielle...

Officielle...

Tu vois...?

PokeBall Une nouvelle collection de poké balls Live sont sortis après le film «Pokemon the Movie: I choose You».

Onyankopon Les Japonais s’intéressent étrangement à l’Afrique dans cette série assez atypique, mettant en scène des dieux animaux africains, baptisée «Onyankopon», dont le personnage principal est un dieu Chat.

La collection seront 8 poké balls, dont une poké ball de collection, la poké ball or, qui contrairement aux autres, ne pourra aucunement être ouverte.

Une ceinture viendra avec celles-ci pour les accrocher et exhiber fièrement sa poké-attitude au reste du monde.

La série sera pour l’automne 2017, et sera une série comique centrée sur l’aspect musical et danse des personnages plus qu’enfantins.

Certainement pas d’un grand intérêt pour les adultes, mais ça attise assez la curiosité de voir comment ils comptent représenter les croyances et environnement Africain, croisons les doigts pour que ce ne soit pas une insulte se focalisant sur l’aspect famine et pauvreté qui est la marque de fabrique de notre peuple pourtant en plein development.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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TOP 10 PIRES FILMS LIVE DE MANGAS Pour ce top 10, nous ferons un décompte des 10 films les plus pourris basé sur un mangas, en considérant, la qualité de base du mangas déjà, (On ne va pas faire de l’or avec la boue), le rapport entre le film et les choix de production(Casting, locations, Effets spéciaux...).

10

En réalité vous serez surpris du nombre de bouses ayant postulé pour une place dans ce classement, et la faute est très souvent due à des libertés scénaristique prises à en faire pâlir le récent death note, mais pas DBE, Ah ça non!

Kuroshitsuji Un exemple type de gaspillage par choix scénaristique. Des modifications assez mal emmenés, tels que le choix du sexe du protagonist, transformer l’arrogance perfide de Sebastian, a un sentiment bien plus tristement malsain, ainsi que la perte de la sensation de angoissante de complots de la série, en comédie assez mal emmenée à travers un humour absurde en rien caractéristique de la série originale. Ça garde un semblant d’intérêt mais tout à fait oubliable, probablement tirant la série qui bien que de bonne qualité, avait attiré relativement peu de buzz.

9

Kochikame Ugh... Ils font croire que l’histoire n’est adaptée que pour l’animation. Les super humains se prenants des bombes pour des phases de rire, ça va en anime, mais en série, vraiment... Ugh... Ça ne donne juste pas. Tout, des personnages, à l’univers, aux dialogues, non rien non seulement de réalistes, mauvais encore rien d’enviable finalement. Les rares gloussements même que le film parviendra à vous extirper seront certainement des moqueries sur la condition humaines ou des questionnement sur vos choix de vies, dont celui de regarder plus de dix minutes de ce f.... Cette bouse.

42 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

DevilMan

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Grand classique manga durant sa parution au siècle dernier, la trame de «DevilMan» en avait séduite plus d’un, avec ses intrigues, personnages et action à peine plus gore que violente. On en attendait donc évidemment pas moins du film évènement à l’époque, et avons nous été servis? Si tu considères un jeu d’Acteur triste, des effets minables (On avait quand même dépassé Van Helsing), et au dessus de tout ça, une narration incompréhensible, qui n’aide pas vraiment à comprendre les enjeux ou même juste la situation, Le film a juste bénéficié de ses quelques scènes de combat qui se démarquaient à l’époque.

Lupin III

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Lupin the 3rd a su se démarquer comme une série assez barrée mêlant différents styles de manière unique, allant de la comédie, à l’action gore, en passant par les jeux psychologiques, avec une facilité déconcertante. Le film a-t-il pu retranscrire efficacement cette particularité de la série? À ton avis? On arrive pas sur cette liste en ayant réussi. Le film est juste absurde, qui en tentant cet exploit c’est juste perdu dans la zone du WTF colossale, avec des persos limite bipolaires ou schizophrènes, et une mise en scène où se sent l’investissement financier, l’investissement humain étant un peu en reste.

Kite

6

L’adaptation de la série seinen d’une jeune fille tentant de venger son père, aidée par un ami de son père, bien que figurant Samuel L. Jackson, n’est pas parvenu à séduire les foules pour la simple raison qu’il parvient à rendre un thriller surprenamment ennuyeux, c’est un exploit en soi. Les personnages se baladent limite entre les scènes et ne font rien de réellement marquant d’aucune sorte.

La trame reste fidèle à la source écrasée cependant par une exécution complètement oubliable.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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MANGAS SHONEN Ranking

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Gatchaman Il va prendre pour tous les Power Rangers, Bio-Man, et la bande de héros en spandex du genre à l’époque. Qu’ils arrêtent de penser qu’on ne les voit pas s’arrêter avant l’impact de leurs coups de poings. Plus sérieusement, tous les clichés possibles et imaginables des teenagers sont dans ce film. Un problème facilement évitable ou qu’on pourrait ignorer, devient une calamité terrifiante, et ils font tout pour s’inquiéter et pseudo le resoudre, pendant que tu vérifie combien de temps il reste avant le combat final. Ce film n’a absolument rien d’innovateur, et de mémorable que l’irritation qu’il provoque.

4

TerraFormars Il n y a pas que le WHY, il y a aussi le WAT. Une série militaire ne devrait-elle pas être plus évidente à faire? Ah ouais, il y a aussi les effets spéciaux qui piquaient les yeux. Il y avait du potentiel pourtant, le monde est très intéressant, mais le jeu d’acteur qui ne te mets pas du tout en condition d’angoisse, te fait au contraire te demander à quel moment les gars ils meurent, et étant donné qu’aucune mort n’est choq... En fait, c’était quoi le projet? Pas d’action, pas de suspense, et des excentriques? C’était un projet de «What if...» en mode « What if Terraformars was bad »? Ne faites plus ça, ça fait mal.

3

Hokuto No Ken Tu vois bien ce qu’est la série, n’est-ce pas? Mr. Poings du hokuto qui te fait mourir avant que tu ne le saches, antihéros torturé dans un univers post-apocalyptique se battant pour la veuve et l’orphelin dans son périple pour retrouver la vie qu’il a perdu. À quel niveau est-ce que les producteurs on pensé que réalisé un film à la JCV avec des mecs explosant comme des pastèques pourries serait une bonne idée? Sans parler du jeu d’acteur plus récités qu’un film amateur camerounais. C’est insultant plus encore même pour l’œuvre originale que pour les fans qui ont été vraiment outrés déjà.

44 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Dragon Ball Evolution

2

Il est mauvais, Oh my oh my il l’est. Adapter une franchise frôlant le rang de légende et volontairement mettre de côté pas juste tout ce qui fait la réussite de la série, mais absolument tout de la série, mis à part les noms. Les gars sont partis dans un freestyle des plus absurdes. L’un des film dont on peut dire que rien ne le sauve.

Même en termes cinématographique c’est une bouse galactique.

Un film dont l’argument vente était certainement qu’il fallait le voir parce que la description que ceux qui l’avaient vu en faisaient n’avait l’air que d’être qu’une exagération, et pourtant... Bon, on va quand même être gentil et le mettre à la hauteur d’un aspect iconique de la série qu’ils ont quand même retranscrit. Ce film est aussi impressionnant que son Kamehameha, un pet lumineux en images de synthèses. On a été gentils t’as vu? On a dit Lumineux.

Shingeki No Kyojin

1

Non ce n’est pas DBE le premier contrairement à ce que de nombreux disent ou pensent, mais bien celui-ci. Les Japonais qui sont adulés pour la création de ces animes, si eux-mêmes ne respectent pas les univers qu’ils créaient, nous courrons droit vers l’anarchie. SNK, déjà que la seule Asiat, métissée en plus de la série est Mikasa, pourquoi ne pas avoir pris des acteurs étrangers? Bon, on peut encore passer sur ça. Mais sinon, où est Levi les mecs?

Vous savez, le gars là, le pilier du bataillon d’exploration, ça vous dit quelque chose? Il est probablement dans un des foutus tanks qui sortent d’où putain? D’où est-ce que tu te lances physiquement contre un titan alors que t’as un tank? Il est moche du début à la fin le truc, ça donne mal au ventre juste d’y penser. Bref il est dégeu, passons!

Prochainement

TOP 10 PERSONNAGES DE SÉRIE ISEKAI Quel bouse avons-nous manqué? page facebook, Mangas Shonen, Ou twitter avec l’Hashtag #MSRank5

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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LEQUEL GAGNERAIT DANS SA FORME DU MONDE ALTERNATIF? Pour voter toi aussi, vas sur la page facebook Mangas

Shonen,

ou sur twitter avec l’hashtag #MSVersus6 YouTube : Kirito VS Black || Mangas Versus

46 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Vainqueur du

Versus

Lelouch VI Britania Mangas Shonen | Septembre 2017 |

47

Critique

48 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

Ping Pong est un manga seinen de Taiyō Matsumoto, pré-publié dans le Big Comics Magazine, de la Shogukan entre 1996 et 1997.

Le manga compte un total de 5 volumes, et deux adaptations, sur grand écran en 2002 avec un live-action du même nom, de production Japonaise, et en 2014 sur petit écran avec l’adaptation en série animée de 11 épisodes, réalisée par les studios de Tatsunoko Production.

C’est une série, tu l’auras deviné, sur le Ping Pong, de son nom chinois original, aussi appelé Tennis de table par nous beaufs francophones.

Nous y suivons «principalement» deux joueurs lycéens amateurs qui aussi sont amis d’enfance, bien qu’ayant des personnalités littéralement opposées. L’un, surnommé Smile, est hyper réservé, ne souriant ni s’énervant jamais, tandis que Peko est hyperactif, très enthousiaste et particulièrement impulsif.

Au travers du Ping Pong ils acquièrent et transmettent leurs émotions tout au long de la série, et de manière plus que passionnante et émouvante, nous font suivre.. Non, vivre leurs parcours.

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MS CRITIQUE : Ping Pong the Animation

aine toire hum au is h e n u ​ g c’est ement Ping Pon r tant que vagu , elle se ppo jeu ne se ra ble. D’entrée de ur ta calisée s e o d f is e n m n e m t o ges à nous c ersonna présente table avec les p visant le , de t r is o n p n s e t le ié au tant ent déd ou accep x , e t û o c entièrem e eu coûte qu vec haine pour c a sommet es t t n t aspect e du perda C e . c t u la a p la de h ourrait gardent ue l’on p q é r u t qui les re c ru rie. t bien st ent la sé m le b a tellemen it r e c’est vé e de croire qu lus cliché e p la ie t r pa duit ce soit la ndant bien intro ér e Bien que p t, nous p e est ce u ll b e é , d ie r le é la s re qualité nne dès a io r s e s n a p ’u d es t ent et nous suite qui simplem la t r u u o o t p u t elle o i n’en pa r a n motionn ceptionnelle, qu é , e iv t a r nar qu’ex oire plus e plus». t is h e n u d ste «une est pas ju

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et eko te? i P u t s n i la me ère t quo ipale ute enti s c e n ’ i r C . p to Ce ais... vons ’histoire nages. m i , u s s i Oua ous rson teur nt. L rie, n euleme u de pe et à l’au u é s la ss pe t, a rm Dans mais pa ement ages pe ellemen s n de t iv du e, Smil r te rela e person er indivi comme . d rie r po pp com e réduit t dévelo onsidére de la sé c e br cs arnom explorer rrait les mini-ar on p s n u e e s u de le ù on po cipaux d ur chac sor te qu o n o i e p s r t poin nages p s alors vision, d ment le e n n l a l o o pers découvr tion et s pas rée nous in i a t i u v s Nou sa moti e ne so match q tion des u si , c s, atch le flux d t l’oppo le seule cour m e en du el lors où mêm uniquem or te à p es is eurs scor ent, ma u o j » s es t.

Pong téres ctives d t l’intérê g n e Pi pe re pers ’émotion re, « e maniè i o t l s d e ’hi tétout de l fois, et arac , t c c s e s e le l’asp ltiple trigu ous Sous de mu nante t toire: In poa ig is he touc ment po bonne h stacles, ne b lu cu abso es d’une jectif, O eux ave c u Ob ristiq oniste, t, et tous e. n ag nti Prot noueme nt resse e dé gée, ité rarem s inten

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MS CRITIQUE : Ping Pong the Animation

Je suis le Héros

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On va tout de suite dire ce qui frappe... C’est sacrément mal dessiné, il faut le dire. Le trait et la perspective ne sont juste pas appréciables du tout, même selon les critères de cette époque sachant que c’était l’ère de Dragon Ball, City hunter, Prince of tennis, ou encore Berserk.

Pourtant graphiquement il ne perd pas. Couleurs, lumières et ombrages comblent appréciablement le faussé creusé par la qualité du dessin. Tout le visuel que l’auteur aurait voulu transmettre se comprend bien, et les plans qu’ils choisi pour nous présenter les scènes viens encore ajouter à la qualité visuelle de l’œuvre.

La bande son pour sa part, difficile à décrire, mais indéniablement un bijou. C’est particulièrement créatif, pour dire, il y a un match dont le fond sonore est le fredonnement d’un des personnages. Les choix audio sont tous un peu dans cette optique, de plutôt qu’ajouter de la substance avec un son hors contexte comme du rock ou de la soul, ils font des sons qui pourraient effectivement se retrouver dans la situation quelque chose de plus intense.

L’animation est un peu flemmarde, ou du moins c’est ce qu’ils laissent transparaître.

On tourne dans les 5 images par secondes à tout casser, comparé aux 12, 15 ou encore 20, 24, que certains animes proposent de nos jours. Ça semble un handicap dit comme ça, et même à première vue, mais rapidement on s’y adapte, et l’apprécie grandement. Le sentiment que leur méthode d’animation donne, est celui de pousser le spectateur à se sentir comme en train de lire un mangas, avec les panneaux, les effets, et les sons sur images fixes, que l’on ne perçoit en générale que lisant le mangas et laissant notre imagination faire le travail d’animation. Il a même gagné le prix de la meilleur Animation à Tokyo en 2015.

Une série animée sportive qui parvient à faire ressortir fidèlement ce qui se passe derrière chaque match, derrière chaque coup de raquette, chaque cri, derrière chaque victoire, chaque échec, chaque abandon, Ce que signifie réellement perdre, ou gagner, être patient, et être un héros, ou même juste un amis.

Une solide histoire émouvante qui à son dénouement ne manque pas d’arracher au moins une larme, de peine ou de joie.

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CINÉMA

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Kong: Skull Island Le deuxième film préparant le cross-over King Kong VS Godzilla, allant dans les années 70 certainement pour justifier que Baby Kong dans notre ère aura eu le temps de devenir KING Kong. Le film en lui même est intéressant et plein d’action, surtout d’une réelle sensation de grandeur émanée par Kong. Le véritable problème du film est la gestion des personnages. Il y a beaucoup trop de personnages humains «importants» par rapport au seul Kong, qui est quand même la tête d’affiche du film. Le personnage de v. Jackson lui fais même carrément de l’ombre et lui tient tête. Après s’être fait agressé par un humain comment veux-tu que Godzilla le prenne au sérieux?

Colossal Anne Hattaway est une actrice qui s’est assez renouvelée pour son rôle dans ce film étrangement intriguant. Difficile de comprendre si c’était une fantaisie, une comédie, ou un film de « coming of age »... Probablement un peu du tout. Mais encore se pose la question de l’efficacité d’exécution. Alors qu’en a-t-on pensé? Il est certainement reposant et possédant à chaque nouvel acte une nouveauté qui bien qu’entourée de clichés, joue bien et délivre un film captivant. Il ne sera malheureusement pas pour tous les goûts à cause surtout de ses retournement de situations extrêmes et surtout de personnalités qui peuvent laisser perplexes.

La Planète des Singes: Suprématie La fin de la trilogie reboot de la planète des singes... Que dire... Magnifique, point. Depuis le début cette trilogie est bonne. Bien malheureux qu’elle ne se soit pas vulgarisée au Cameroun, ces film sont des bijoux sociaux-politiques, et sur la condition de l’humanité elle même. Rien à décrire, il faut regarder pour comprendre l’intensité de la chose. Et la conclusion par ce film enveloppe bien l’histoire. On a vu le personnage évoluer et la civilisation aussi, menant incontestablement à une guerre de grande échelle. Ce film peut faire cogiter sur la direction que prend le monde dans lequel on vit, faut voir le cœur solide...

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Une fois que tu sais que ce flm est en réalité une bande d’annonce à gros budget pour le contender numéro un de Godzilla, King Kong, tu te demandes très honnêtement pourquoi il y a autant de personnages humains dans le film, et là tu te rends compte que Godzilla aussi avaient beaucoup trop de personnages humains dans son casting. Au moins dans ce film-ci la tête d’affiche n’apparaît pas que brièvement dans tout le film pour des scènes en plus floutées par la buée...

Bon parlons de notre super gorille et son film qui était bien beau, mais contenu assez banal. On y a le gorille d’une trentaine de mettre supposément un petit roi de l’île inhospitalière de Skull Island. Le monde est diversifié et franchement intéressant à découvrir avec les personnages.

Nous avons ce bataillon accompagnant l’équipe d’exploration de l’île dont le meneur décide de se fritter à Kong probablement pour asseoir la supériorité du gorille par rapport aux humains et établir qu’il ne peut se mesurer qu’à des créatures supérieures, pourtant, le voir se faire tenir tête par un humain donne plutôt l’impression qu’avant de rencontrer Zilla, Kong doit prendre un abonnement à la gym.

On suit beaucoup trop les personnages et ne savons que très peu au final des deux contenders pour le film de 2020: « Godzilla VS King Kong ».

Bref, en tant que film à part entière, il n’est pas mal du tout. L’univers est intéressant aussi bien visuellement que par sa créativité, les mini-arcs sont tout aussi intéressants. Kong (pour le peu que l’on voit), est imposant et super impressionnant comme bê-bête.

Ses scènes avec les humains donneraient presque un semblant d’enthousiasme pour un live d’attack on titans made in U.S.A. Les effets de rythme mis dans les bande annonces bien que peu présent dans le film, pour ce qu’il en est sont super classes.

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Moi, Moche et Méchant 3 Oh mon Dieu, le supplice continue avec cette série de films pour enfants. Non le premier était mignon, on va se l’avouer, mais juste mignon, pas magnifique non plus.

L’étirer autant, un peu de sérieux. Ils sont allés au point de dupliquer Gru avec un jumeau limite attardé, juste pour plus de blagues absurdes, mais même les enfants n’ont pas accrochés, alors nous, n’en parlons même pas. Ah parlons du grand méchant bloqué dans les 70s, il est plutôt marrant, il représentait la bonne vieille époque où ce film aurait encore pu faire un buzz. Une époque plus simpl... iste.

Baby Boss Difficile de dire si c’est un film sur une organisation secrète de bébés, ou sur un gosse n’ayant aucun sens de réalité et probablement une complexe de besoin d’attention bien au dessus de la norme. Dans tous les cas c’est délivré de manière à ne pas y prêter attention et juste se marrer comme une hyène à de multiples occasions. Toutefois loin d’être parfait, le film et vraiment bon. Il s’emmêle les pinceaux à partir du moment où le scénariste à dû commencer à se dire que la prémisse de l’organisation méga trop top secrète n’avait encore rien fait de vraiment spy-ish, et s’est alors mis à rendre l’univers déjà incohérent à la base, complètement absurde.

Emoji Movie Ugh! Juste... Ugh! Un épisode de plus nous confortant dans l’idée que les séances de brainstorming de certains studios, c’est un mec bourré et un mec high, qui essaient de voir jusqu’où leurs transcendance va les emmener. Le film n’a aucune valeur. Pas d’intérêt, même les personnages sont contradictoires. À tous les niveaux c’est soit forcé, soit stupide. Ne pouvaient-ils pas faire un film un peu plus créatif plutôt sur les interactions de personnes avec les émojis qu’avec un groupe de personnages n’ayant qu’une seule émotion essayant d’atteindre un but commun? Ugh! La créativité se meurt les gens.

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Baby Boss, le film cartoon sur un bébé qui ferait partie d’une super organisation s’assurant de la bonne répartition de l’amour des humains, tu vois déjà que ça tourne mal.

Les points positifs sont principalement la comédie, et puis honnêtement c’est tout. Écouter le bébé avec la voix de kickass et les références du businessman plus que « Professionnel », ça donne place à pas mal d’humour sain, Ça nous change enfin un peu de l’humour absurde ou salasse qui semblent êtres les seules formes de comédie que connaissent la plupart des scénaristes.

Les points négatifs du film, difficile d’en trouver. Mis à part biensûr les problèmes structurels vis à vis de l’univers. Étant donné aussi que c’est ​film pour enfant chercher à pousser la logique trop loin serait équivaut à se faire du mal pour rien. On va juste dire que ce sont les règles de cet univers là.

Graphiquement, musicalement et côté couleurs, rien à redire. La conclusion même est super bien trouvée. Rien à redire. C’est de la bonne. Pour les fans du genre bien entendu.

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Wonder Woman Pour ceux qui ne le savent pas, non seulement le film de Wonder Woman est le premier film de super héros avec une femme pour protagonist, mais aussi le premier à avoir été réalisé par une femme, on peut alors dire que déjà à la base c’était à 100% Féminin pour la fondation. Le film aussi ne nous laisse pas sur notre faim. Comédie: Check, Action: Check, Bande Son: Check, Enjeux: Check, Suspense: Check.

DC commence enfin à comprendre ce qui vend au cinéma de super héros, et ce ne sont pas les héros torturés et toujours dans le noir, mais bien des persos qui ne sont pass allergiques à la lumière du soleil et un peu de rire de temps en temps.

Spiderman: Homecoming Beaucoup ont dit en ligne que c’est le meilleur film de spiderman sorti à ce jour, et non, il se place au moins en 2ème position, après le Spiderman 2 de Sam Raimi. Le Hype de la MCU a beaucoup influencé ce film avec d’incessantes références aux avengers, et un peu leur insulte, vu qu’ils ne se déplacent apparemment pas pour les super méchants locaux. Ceci dit, oui le film est un petit bijou et qui ne manque pas de nous divertir tout du long entre scènes marrantes, action époustoufflant, et setups assez techniques pour les projets marvel à venir. Le méchant même est conçu particulièrement mûr et bien joué, peut-être bien le meilleur du Cinéma Spiderman.

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Les Gardiens de la Galaxie, Vol. 2 Nous avons tous vu le premier, non? Assez innovant, des héros ne se prenant pas au sérieux, même les enjeux étaient assez négligeables. Ils ont gagné le grand méchant grâce à des pas de danse pourris, tu vois le concept? Cette fois-ci ils reviennent avec plus d’émotions et des enjeux plus important, se mettant en face leurs défauts et faiblesses face au monde cruel de tyrans de l’espace qu’ils côtoient... Non ça ne touche pas. Beaucoup l’ont fait bien mieux qu’eux et c’est beaucoup de budget pour un résultat assez banal. Visuellement c’est du lourd et oui certaines scènes sont belles, mais au final... Meh, juste un film comme ça en attendant l’apogée... Oh pardon, Infinity war.

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Probablement le meilleur Film D.C. à ce jour... Pas tout à fait. D’entrée de jeu, évitons le quiproquo, Wonder Woman est un magnifique Film de la D.C. faisant partie intégrante de son univers cinématographique. Son histoire est très bien écrite, ses personnages fantastiques, Le visuel est merveilleux, aussi bien plus impressionnant que le reste, oui, le film est très bon, Mais il n’en est pas plus.

Comparé à «Batman v Superman», ce film est super, mais il est à peine mieux que «Man of Steel» pour être honnête. Nous y avons de nouveau la découverte d’une héroïne supérieur à l’humanité, et devant affronter une menace bien trop grande pour celle-ci.

Le film se tient bien mis à part quelques incohérences scénaristique qui sont compréhensible lorsqu’on connaît les intentions, comme par exemple, le choix de faire comprendre l’immortalité et la large vision de Diana en lui faisant participer à la première guerre mondiale, mais qui d’autre part soulève la question de ses actions durant la seconde guerre mondiale. Mais bon détails.

Le véritable défait du film est plutôt sa gestion des personnages. Le film nous introduit à plus d’une dizaine de personnages semblant plutôt intéressants, mais la seule personne que l’on découvre réellement c’est Diana, A.K.A. Wonder Woman. Son Love interest lui-même, bien que l’on passe beaucoup de temps avec, n’est pas franchement exploré, et à la fin du film, on en sait toujours pas plus sur lui, mis à part qu’il a connu Wonder Woman...

En résumé voilà un bon Film de super héros, et pour l’instant le 2ème Meilleur après Homecoming, et ceux juste parce que la recette Marvel fonctionne malheureusement encore bien mieux que la recette D.C.. Avec Justice League prévu pour cette fin d’année, les choses risquent fort changer ceci dit.

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Fast & Furious 8 Bravo, bravo, bravo. Ils ont une fois de plus repoussé les limites des fantaisies automobiles. À ce point-ci on peut dire qu’ils n’en ont plus rien à faire que ce soit crédible ou pas.

Si ça se reproduit à l’écran, ils vont le faire. C’est impressionnant, sûr, juste qu’à un niveau c’est gentil de prendre les gens au sérieux. En tout cas c’est mieux que le 7, c’est déjà ça. Toretto aussi comme le méchant bis, c’était bien, bien que ce soit un coureur automobile à temps partiel voleur de haut vol, pourtant n’avait que des missions de commando. On ne dit pas que c’est con, plutôt qu’il y avait un véritable commando juste à côté qui avait aussi un enfant à qui il tenait beaucoup, mais bon, ce n’est qu’un avis.

Baby Driver Le top film 2017 d’un membre de la team, c’est un film fort en musique, en action et surtout en automobile. Un peu un «Fast and on rythm»... Jeu de mot pourri? Du moins, un film qui donne une impression d’être innovant est rare, et en voilà un. Ceci dit on dirait quand même un peu Scott Pilgrim, mais dans une voiture, un misfit surdoué et à la vision unique du monde qui parvient à emporter le spectateur et faire battre son cœur au rythme de la musique qu’écoute le protagoniste. Dès le début le film est enthousiasmant et vu qu’à la fin tu en veux plus, oui on peut dire que c’est du lourd. Vivement pas le 2, trop peur qu’ils ruinent le bijou, il est unique s’il vous plaît.

John Wick 2 Action plus qu’exagérée. Déjà assez extrême dans le premier opus, cette fois alors, il a atteint un niveau, il battrait superman qu’on ne se poserait même plus de questions.

Le ‘One Man Army’ a refait son show, et cette fois-ci contre des assassins même de son calibre, s’attaquant à bien plus fort que lui. Les trames de John Wick on peu de substances, juste une suite de raison de tuer des poignées pleines d’hommes de main suicidaires. Sauf qu’ici, John Wick affronte plusieurs fois des adversaires de tailles, et ce n’est que plus enthousiasmant de voir que pour le prochain, il n’affrontera QUE des adversaires valables. Ça aura plus de suspense, espérons.

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BABY DRIVER Woooooow Baby!!!

Ce film est formidable. Le scénario et la technique en plus de la réalisation sont tout simplement mémorables. Allons-y pas à pas.

Déjà, le plus flagrant est l’usage du rythme dans les scènes. Là où Kong précédemment mentionné, ne s’est servi que superficiellement de l’effet de synchronisation des évènements du films avec la bande son, juste pour quelques scènes histoire donner plus de spectaculaire, Baby Driver le fait tout le long du film, le rendant comme tu peux l’imaginer, très accrocheur, surtout considérant que ça colle parfaitement au thème.

Ceci nous emmène tout droit à la trame.

Un jeune garçon souffrant d’un traumatisme auditif lui causant un incessant sifflement dans les oreilles (médicalement appelé acouphènes) le poussant à constamment écouter de la musique pour étouffer le sifflement, est forcé par un mafieux, à être son chauffeur exclusif pour ses braquages organisés, dû à son talent inné pour la conduite, et ses preuves qu’il a faites pour ce qui est de fuir la police juste placé derrière un volant.

Finalement parvenant à acquérir la fin du contrat qu’il avait fixé avec le mafieux Doc, il décide de passer à une vie plus honnête et plus stable, où il pourra se lier d’amour avec la jeune Debora, et prendre soin de son père adoptif.

La trame n’est pas complètement nouvelle, mais assez originale dans son genre. Une rédemption slash coming of age slash romance, c’est un shake qui s’avère plutôt savoureux, surtout grâce aux personnages qui sont tous des épices diverses et variés.

Bien que réduit le casting réussit à fournir à l’écran, amour, comédie, philosophie, action, drame, gore, et limite fiction. Jamie Foxx a porté une bonne partie de l’action, le drame, et la comédie, et parvient à faire le café, biensûr pas pour tout le monde, étant donné que Kevin Spacey que beaucoup reconnaîtront parvient aussi à s’imposer comme un méchant, puis antihéros tout à fait réaliste dans son contexte.

Les autres acteurs principaux, sont tous bien exploités, autant qu’ils auraient pu l’être, et bien évidemment l’acteur principal qui a parfaitement joué son rôle de semi handicapé conditionné et bien décidé à reprendre sa vie en main coûte que coûte, tant qu’il arrive à sa fin de la vie qu’il a choisit.

Une mention spéciale vite fait, est le personnage de Joseph, le père adoptif de Baby, dont la conception est assez marquante. En effet, l’idée que le père adoptif d’un garçon au traumatisme auditif, grand fan de musique, soit lui-même sourd... C’est assez poussé.

Bravo la team.

Parlant du point de vue technique, rien à redire. La sensation de vitesse et de mouvement en voiture, sont juste parfaits. Un peu moins dans la course à pieds, mais juste à peine, et uniquement parce que les scènes en voiture mettent la barre trop haut. Les scènes et transitions sont aussi magnifiquement élaborées, sachant nous faire nous sentir en compagnie des persos durant les actions.

Le film est un pur chef d’œuvre et est vivement conseillé. C’est un super pack d’action, d’émotions, de spectacle, et tous les actes sont au moins aussi impressionnants les uns que les autres, particulièrement le dernier, qui de manière imprévisible, parvient à prendre le spectateur par surprise...

Beaucoup de surprise, et à donner un sens à certaines parties autrement dispensables du film.

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MANGAS SHONEN Cinéma

Ghost in the Shell Un film Afro-Américain pas comme les autres modernisant le concept d’exclusion, empruntant de leurs style pour en faire une histoire jamais auparavant mis dans un contexte Afro. Une réclusion de la société extrême, imposé à un petit garçon depuis son plus bas âge. Dès le début il est une victime, et c’est loin de s’arrêter. La force de ce film sont ses plans. L’histoire se suit de manière très immersive. Nous suivons les émotions du personnage principale, et les scènes essaient de nous faire nous sentir comme il se sent durant les différentes épreuves auxquelles il a à faire face. Et c’est une suite perpétuelle de scène morose et opprimantes... Un lent engouffrement perpétuelle.

Transformers : The Last Knight This is the end. Dernier film transformers de Michael Bay, Mr. «Tant qu’il y a des explosions, ça va». Il a terminé avec 2h de film, ou de torture, au choix. Optimus contre mégatron, comme si on ne l’avait pas vu venir... Une super méchante vraiment oubliable, et tout un tas de combat impressionnants, mais qui avec un minimum de réflexion, tu te rends compte à quel point ils sont irrationnels, même en considérant la physique et logique presque inexistante du film. Le pire point difficile de dire si c’est ce qui est précédemment mentionné, le protagonist barbant, la petite fille irritante, ou le format du film qui change chaque dix seconde comme un épileptique hystérique.

Valérian et la Cité des Milles Planètes Là c’est triste. Juste triste. Là on parle juste du casting, ça a foutu en l’air tout le reste. Valérian et Laureline étaient une série de bande dessinée Française tellement bonne que les Japonais en ont fait une série animée, et voilà un live action qui n’arrive pas à capter la base «Valérian et Laureline». L’univers est magnifique, et le concept de l’aventure bien que comprimé se présente bien, Mais les deux acteurs qui sont clairement faits pour des rôles dramatiques avec leurs faces de dépressifs sous calmants n’arrivent pas à générer les émotions adaptés et nous ruinent le spectacle avec brio... Bravo les gars, vous avec gaspillé du budget.

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Comment merder un film iconique comme «Ghost in the Shell»? Prendre un réalisateur qui s’est cru dans «Robotcop», une équipe visuelle qui a combiné «Speed Racer», «Tron» et China Town, et une actrice qui n’a pas compris qu’un cyborg en 2017 a l’option de ne pas marcher aussi raidement qu’un stickman amateur. Voilà...

Dans «Ghost in the Shell», on ne connaît malheureusement pas tous l’histoire... Si tu ne connais pas, il faut te dépêcher de regarder les films animés, ils sont tous bons, mais commence quand même par l’original de 1995, celui dont ils se sont largement inspirés pour ce live. Inspiré serait ceci dit un bien grand mot, ils ont du se taper 3 ou 4 AMV vite fait, et ont choisi des scènes à reproduire. Ils ont lâché la trame originale complètement pour tourner sur une enquête qui en même temps à l’air d’avoir pu marcher si le jeu d’acteur était meilleur.

On voit bien là la différence entre l’anime et le live aussi dans des scènes qui ne se prêtaient tellement pas à la réalité qu’elles étaient juste bien trop WTF pour être prises au sérieux. Par exemple, le voyage pseudo spirituel dans un disque dur, où elle se laisse plonger profondément, c’est une scène que l’on retrouve dans beaucoup d’anime, et qui fonctionne la plupart du temps.

Retranscrit à l’identique en live, ça n’a que très rarement marché, et encore c’était des scènes morbides, par vraiment de développement.

On lui reproche plus que tout autre chose à se film, ses libertés dans la trame, et son manque de créativité dans sa production et réalisation. Qui sait si le producteur n’avait pas peur de la rage de fan-boy qui est chose désormais trop commune dans l’univers des live-actions et son audience de tarés. Il s’est donc contenté de faire un anime avec des humains tous simplement.

Dommage qu’il ne se soit pas rendu compte que «Ghost in the Shell» a une audience principalement mature, vu que ce n’est pas une œuvre vulgarisé, et qui plus est, un seinen. Réaliser une histoire avec de réels enjeux et une production plus osée, et surtout plus terre à terre, même si cela impliquait des choix de production moins animesques, cela n’aurait fait que plus plaisir, comme l’a fait «Edge of Tommorrow» par exemple.

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MANGAS SHONEN Cinéma

Guardians Honnêtement, pas pour être racistes, juste qu’apprendre que les Russes ont fait un film style Avengers à failli me péter une côte personnellement. Pas que c’est impossible ou interdit, mais... Russie quand même. Certains s’attendaient probablement à ce que le doublage soit fait avec l’accent ruskov. Les mecs n’ont rien arrangé en mettant un acteur ayant l’air d’un ivrogne, un autre qui semble sortir tout droit de la section meurtre furtif KGB, et un Ours-Garou.... UN OURS-GAROU!!! Clichés à part, c’est un projet respectable. On devrait en faire un au Cameroun avec un Lion Garou, et un restaurant classe servant un Taro cinq étoiles aux protagonistes, et des dealers de Ntah.

50 Nuances Plus Sombres Ugh... Uhm... Non. Il est pareil. La vente de piment du premier opus(si tu ne s’est pas ce que c’est, demande à un Camerounais), s’est transformé en une perversion complète de la demoiselle. Il n’y a toujours pas de véritable alchimie entre les deux pseudos protagonistes, un rapport étrange lie les deux, ni amour, ni passion, ni logique... En fait c’est juste le scénario. Une fiction sado-maso, sans rien de sado-maso, c’est méchant de pousser les spectateurs à se plaindre qu’il n y en ai pas. Les livres sont peut être meilleurs, mais les films sont barbants, tous les deux.

Get Out On ne s’y attendait pas du tout, un film sur le racisme moderne. C’est assez cru dans sa présentation, une fille blanche tient à présenter son copain noir à sa famille, et il se retrouve dans l’enfer pour nous noirs, une famille de raciste, non-aggressive dans sa fierté raciale, plutôt du type à exhiber ses esclaves et faire des ventes aux enchères de noirs. Notre protagonist ainsi que d’autres se retrouvent alors dans une vente aux enchères, où ils sont les articles.

C’est assez violent la manière dont ce film semble dénoncer un fait réel, cruel et répandu, que l’on espère être juste fiction, bien qu’une part de nous chuchote que ça doit exister.

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Nous avons envie de dire «chef d’œuvre», un film qui vous inonde d’émotions. Bien que le début est un peu cliché des films des 80s; tueur en série raciste ou lynchage habituel de noirs.

Grosse a été notre surprise car tout d’abord le rôle des acteurs est vraiment une réussite, transmettre autant d’émotions, c’est juste grandiose. Les musiques qui te mettent dans une ambiance des films d’horreur, l’expression des acteurs… Du grand art, et la narration est juste parfaite. Le film ici démontre tout bonnement un forme racisme moderne, comment les couples mixtes sont toujours sujets à controverse, voir étonnant.

Ceci se vérifie avec les récents évènements vécus aux états unis avec cette nouvelle vague de violence raciale qui divise le pays déjà depuis plus de 3 mois, opposant les afros aux blancs,

ce qui conduit à de violents affrontements et la perte des vies humaines. Comment peut-on expliquer qu’il y ait toujours des hommes qui prétendent faire partie du néonazisme et hisser des drapeaux de Nazis sur leurs Maisons? Comment peut-on comprendre que dans ce grand monde des noirs soient encore vendus comme du vulgaire bétail? Ou le simple fait d’avoir une peau sombre suffit à faire de toi un suspect potentiel?

Get Out ne parle que donc d’un de cet aspect du racisme où il se retrouve vendu aux enchères par des blancs dans le but de réaliser leurs désirs.

Nous conseillons vivement à tous ce film et espérons qu’il ouvrira et aidera à des prises de conscience dans ce monde qui part de plus en plus en couille.

Hey lecteur, En réalité certains pensent que nous renions notre culture Africaine, et plus précisément Camerounaise en ne parlant d’aucune œuvre récente ou même ancienne Camerounaise, que ce soit dans le cinéma, série, ou Musique, et certainement ils ne mentionnent pas le jeu vidéo, bien conscients que c’est par là que nous avons commencé.

Nous ne la renions nullement, juste que nous ne pouvons pas parler d’informations que nous ne pouvons pas obtenir, ou qui sont globalement difficiles à obtenir , raison pour laquelle le cinéma Camerounais n’est pas encore quelque un territoire sur lequel on pourra facilement s’engager.. Nous nous sommes donné pour objectif dès la base d’être un média effectivement camerounais, bien que nous ayons eu surtout à parler d’œuvre étrangères.

Pour ce qui est des séries, on essaie, mais les studios sont encore assez réticents à l’idée de paraître dans notre revue, pour une question apparemment de «Contexte non approprié».

Ceci dit, nous vous promettons de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que le Cameroun soit plus à la lumière dans le M.S. Mag. *Wink.

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S. TE WINS. HATE U O Y HA E N YO O NE Y R YO E ER V EV E , IT, IT SH H E S LIK EL K IF YO YOU FEEL LI «Fight Club» est un Thriller américain de David Fincher, avec de grands noms comme Brad Pitt, Edward Norton, ou encore Jared Leto. Le Film a été produit et publié en 1999 par la 20th Century Fox, et est basé sur un roman du même nom par Chuck Palahniuk.

Le film a fait un succès fulgurant au box office, ainsi que ses produits dérivés en tout genre, allant du jeu vidéo, au savon à son effigie.

Synopsis Dans le film Fight Club, nous suivons un homme moyen(Edward Norton) qui a un travail, un appartement meublé, et un compte en banque stable.

Il est parfaitement fonctionnel et correctement placé selon le système, pourtant est un homme dont la vie est dénuée de substance, lui pesant à tel point qu’il ne trouve plus le sommeil.

Pour trouver du réconfort, il s’inscrit à différents groupes de soutient pour ainsi côtoyer des personnes dont les vies sont au moins aussi misérables que la tienne. Sa méthode fonctionne, il

trouve à nouveau le sommeil. Sa joie sera néanmoins de courte durée.

Il rencontres alors Tyler Durden(Brad Pitt), qui sera un chamboulement pour son quotidien.

Tyler n’est en rien comme notre protagoniste, il est spontané, négligé, vulgaire, psychotique et très cru dans ses dires, avec qui il démarrera un réseau de combat souterrain afin que tout le monde puisse se détacher de son quotidien. Le succès de leurs entreprise sera d’une ampleur telle qu’ils décideront de s’en servir pour des objectifs plus grands, et l’altération de leurs but premier ira main dans la main avec la dégradation et perversion de la relation d’amitié entre l’imprévisible Tyler et notre héros.

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M.S. RÉTROCINÉMA : Fight Club

Philosophies Le film tend principalement à dénoncer l’imperfection de la perfection prêchée par la société dite moderne, et la place de l’anarchie dans son véritable équilibre.

Prenons notre narrateur, Il a atteint l’idéal selon la société : Maison, travail stable, compte en banque, avantages de service, etc… Il est parfaitement stable, et c’est là le problème. À partir de là, sa vie ne sera que qu’un éternel recommencement entièrement dicté par la société, et dont la forme et substance ne dépendra plus jamais de lui, qui n’est à présent qu’un boulon de la machine parmi tant d’autres, placé où ça arrange la plus grande image.

C’est la qu’il rencontre Tyler; spontané, négligé, vulgaire, psychotique, cru, l’archétype du raté selon le système, qui en vient pourtant à attirer le plus de sympathie et intérêt de tout le film, non en tant que personnage fictif, mais comme un vent de fraîcheur dans l’environnement jusque là terne. La philosophie de ce dernier, être libre de ses actions, surtout libre de refuser de se plier aux normes.

En tant que spectateurs, nous trouvons déjà que le mode de vie qui initialement semble si parfait, est pesant, et qu’en prendre une pause s’avère plus que nécessaire. Ainsi on comprend la prise d’ampleur de leurs club de combat anarchique, la plupart des adhérents sinon tous faisant partie de cette même classe sociale moyenne, travaillant et théoriquement satisfaits par leurs avoirs professionnels et financiers, encore selon ce dogme du système.

Indéniablement à travers l’anarchie, ils voient à travers le voile aveuglant du politiquement correcte, et perçoivent le rêve américain de liberté, et le don humain du libre arbitre. Le choix de désirer et d’obtenir, non se conformer à la nouvelle bouse que la pub offre. Trouver ce dont ils ont réellement besoin, et ça ne se fabrique pas en chaîne dans une entreprise, mais par nos mains, et ambitions. Éventuellement, cela va trop loin et nous avons les deux camps qui se liguent l’un contre l’autre tout comme l’irrationalité et le total manque de contrôle de l’anarchie en vient toujours au point d’arrêt d’urgence. Mais néanmoins au final, le changement que la phase anarchique apporte pouvant sembler au premier abord un mal, est à long terme un bien, et s’imposant comme une phase nécessaire à la croissance, d’un être ou d’une société.

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Critique Le film peut être vu de deux façons, une dénonciation du système, ou un thriller violent, où des hommes se tapent dessus comme des sauvages, juste pour libérer leurs angoisses accumulées durant la semaine. Se contenter de la seconde vision hyper simplificatrice de ce film serait non seulement un gâchis extrême pour le spectateur, suivi d’une insulte sans égale à l’auteur et sa profondeur d’écriture.

Visuellement parlant, le film pour son année de parution(1999), est surprenant considérant les effets spéciaux, scènes de transition, et génériques.

L’image également est plus qu’en thème avec l’histoire, couleurs pâles, étouffantes et captivantes, très proche de la réalité décrite par le narrateur ainsi que son timbre de voix déprimant.

Parlant du narrateur, tout le long du film, nous avons cette voix-off du protagoniste qui nous tient la main, nous expliquant ce qui est en train de se passer, d’après son point de vue. La réalisation dénonce une maîtrise de cette technique tel que cette vois s’insère pratiquement dans notre tête, comme si nous étions en première personne celui à penser ces choses là, ne nous captivant que plus dans l’univers cinématographique de ce dernier.

Que ce soit visuellement, moralement ou en terme d’intérêt, se film n’est pas que captivant, il est surtout satisfaisant. Jusqu’à sa conclusion qui enveloppe l’histoire de manière unique encore jusqu’à nos jours. Cela va sans dire que c’est un petit chouchou de l’auteur de cet article, et pas pour rien, tu nous en diras des nouvelles. Bien que nous ayons eu énormément à dire, beaucoup encore n’est pas donné car elles spoileraient des parties du film, juste quelques noms comme Bob et Marly devraient suffir, ce sont des personnages qui se démarquent d’eux-même dans la trame.

En tout points ce film est beau, et si ce n’est pour son langage et certaines scènes plus que osées, qui le privent d’être un film tout publique, ce film est juste une histoire parfaite enveloppée dans une production parfaite et délivré par un casting parfait.

Vivement conseillé pour tous ceux assez matures pour lire notre mag, et qui n’a pas froid aux yeux.

N’hésite pas à nous donner tes avis si tu l’as déjà, ou même quand tu le regarderas. Y’a-t-il d’autres films de ce type qui sont magnifiques et auraient mérité plus de visibilité?

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SÉRIES

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MANGAS SHONEN SÉRIES

Genre : Fantastique / Dramatique

Saison(s) : 6 Saisons

Épisodes : 133 Episodes

Durée Par Épisode: 43 Minutes

Créateur : Edward Kitsis Adam Horowitz

Sortie : 23 Octobre 2011

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«Power» est une série télévisée américaine créée par Courtney Kemp Agboh et diffusée depuis le 7 juin 2014 sur Starz.

James St. Patrick surnommée Ghost est le propriétaire d’une boîte de nuit populaire à New York. En parallèle, il est le cerveau dans l’un des plus grands réseaux de drogues illicites de la ville.

Ayant du mal à concilier ces deux vies, il souhaite quitter le milieu de la drogue, afin de se consacrer à son entreprise licite et protéger sa famille, chose qui sera très difficile à réaliser.

Alors de quoi parle concrètement la série ?

James joyeux propriétaire d’un nightclub cherche à quitter le milieu de la drogue et le grand réseau de distribution qu’il a mis tant d’année à mettre sur pieds. Cependant son meilleur amis et associé ne l’entend pas de cette oreille, ainsi que sa femme qui ne veut pas perdre le confort du luxe que produit la vente de drogue. Celui va tant bien que mal essayer d’y échapper.

Tout bascule lorsqu’un soir il rencontre dans sa boite de nuit son ancien amour Angela Valdès qui est en même temps substitut du procureur de la république qui elle-même est en couple avec un agent du FBI Greg Knox. Ghost et Valdès vont bien sûr se mettre en couple et Knox sera abandonné ce sera donc le début de tous les ennuis. Vous l’aurez compris Trafiquant de drogue qui est en couple avec un substitut du procureur qui a pour ex un agent du FBI. Suspense et rebondissement a tous les coins de rue.

cords, on ne s’ennuie pas du tout durant la saison une… Cependant nous trouvons que les choses ont un peu mis du temps à se mettre en place, et à la saison deux, les ennuis et les relations deviennent de plus en plus compliqués avec la sortie de prison de Kanan, la gérance de la boîte de nuit, son couple, son meilleur pote et sa maîtresse sans toutefois oublier le FBI et les autres trafiquants. Ghost va donc se retrouver dans une situation ou il devra sauver sa vie, celles de ses gosses, éviter la prison à lui et à son meilleur ami, garder son night-club et continuer ses activités de distributeur.

La saison 3 nous réserve encore plus de rebondissement, entre sa femme qui est désormais au courant de sa relation extra-conjugale, un nouveau fournisseur plus dangereux qui entre encore dans la danse et un super homme d’affaire qui veut s’offrir son night club, la série ne laisse pas un instant de répit.

Le début étant un peu long à mettre en place avec un démarrage plutôt lent et surtout porté sur des clichés des films gangsta tel que : - Belle maison - Voiture de luxe - Bling bling - Gros sons Rap…

Avec un casting très bon, notamment avec Omar Hardwick (James), 50 Cent (Kanan), Joseph Sikora (Tommy) pour ne citer que ceux-là. On peut dire qu’on s’ennuie pas du tout. La musique étant bien sélectionnée et présente dans des scènes captivantes, la réalisation et le rendu visuel de la série et le nombre de retournements de situations, font de «POWER», une série à ne pas du tout manquer.

La série décolle véritablement à partir de la deuxième saison. Soyons d’ac-

La saison 4 vient de s’achever et la rédac. vous le conseil vivement.

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MANGAS SHONEN SÉRIES

Genre : Fantaisie / Dramatique

Saison(s) : 1 Saison

Épisodes : 8 Episodes

Durée Par Épisode: 59-63 minutes

Créateur : Bryan Fuller Michael Green

Sortie : 30 Avril 2017

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American Gods est une série américaine plus qu’osée basé sur un livre du même nom by l’auteur Anglais Neil Gaiman. La série est diffusé originalement sur Starz, et à l’échelle internationale en exclusivité sur Amazon Prime.

La série parle des différents dieux se retrouvant en Amérique suite à l’immigration de peuples les adorant sur ces terres. Le bouillon de races de culture que sont les Étant Unis d’Amérique alors en renferme une variété immense, allant de dieux nordiques, aux dieux africains en passant pars les dieux asiatiques, et bien évidemment les croyances internationales.

Ombre moon, un ex-prisonnier, à sa sortie de prison se retrouve embarqué par un de ces dieux qui semble avoir besoin de lui pour un but bien plus grand, une guerre entre les anciens dieux autre fois adorés, et les nouveaux dieux tentant des les faire complètement oublier. Ombre se voit alors entré dans un monde où sa définition du réel est complètement bouleversé, un monde où il ne trouve pas sa place car tout est si hors de sa porté. Mais alors, qui est ce mystérieux dieu qui l’a engagé?

Quel est le rôle d’Ombre? Qui sont les alliés et ennemis de nos personnages principaux?

D’entrée de jeu, il est important de savoir que c’est loin d’être une série tout publique. «American Gods» est très explicite, très violent verbalement et physiquement, et bien que nous soyons bien loin d’un porno ou d’une scène à la SAW, ça reste bien trop lourd pour les âmes sensibles surtout les religieux qui seront outrés par le caractère limite blasphématoire de certaines scènes ou du concept en général, étant donné que pour ceux qui ne l’auront pas encore devinés, les idoles et croyances dites «Païennes» sont au devant de la scène. Ceci mis de côté, parlons donc de la série....

«American Gods» et un mélange assez surprenant d’éléments en tout genre en plus des dieux, un athée, une zombie, un leprechaun, et même ces dieux qui ont des concepts assez intéressants. Tailleur, croc-mort, prostituée, chauffeur de taxi, etc...

La série illustre une guerre entre les nouveaux dieux et les anciens dieux, nous mettant face à des réalités assez prévisible parmi les nouveaux dieux bien que pas vraiment considérés par la plupart; Le dieu de la technologie(Internet, appareils, trends,...), dieu des médias(Télévision, musique, star-system,...), Mr. World(Communication, Informations,...). À eux trois, ces dieux tentent, et parviennent à tenir tête aux anciens dieux, et en tirant certains de leurs côté, leurs offrant un «re-branding», pour que ceux-ci soient à nouveau, en quelques sortes, adorés d’une nouvelle façons, plus «adaptée à notre ère». Nous avons le cas d’Héphaïstos, le dieu forgeur d’armes divines. Il devient un fabriquant d’armes, qui se contente d’avoir pour adoration chaque coup de feu tiré avec ses munitions, chose qu’il exploite même de manière très intéressante dans la série, en plus n’étant pas le seul à avoir bénéficié d’une telle mise à jour.

Les anciens dieux alors, qu’en est-il? Ils sont également plus que bien réussi. Chacun est fidèle à sa représentation mythologique, avec quelques petits plus. On ne va pas s’attarder sur qui ils sont, et ceux qu’ils font, vu que peu de personnes connaissent effectivement les mythologies.

Ce qui est évident déjà, est que bien qu’ils se soient adapté à l’ère moderne, ils ne sont pas du tout comme les dieux ayant fait leur «mise à jour», car ces anciens dieux se retrouvent plus souvent dans des métiers humbles, où ils peuvent rester euxmême, et qui illustre également la sensation de disparition qu’ils sont supposé vivre, suite à la chute libre de leur nombre d’adorateurs, en faveur des nouveaux dieux.

Ces anciens dieux émanent cependant d’un certain charisme que seuls les anciens, les personnes d’expérience peuvent avoir, démontrant une sagesse et profondeur de personnage que les nouveaux dieux n’ont pas, et un repos sur leurs lauriers qui ne les pousse pas à conserver leurs part de marché. Ce qu’ils admettent tous est que l’Amérique est la pire chose qui pouvait leurs arriver, avec ce mélange insensé qui en a résulté.

La substance, la série en a. Tous les personnages sont intéressants, y compris les plus tabous. Chaque épisode a un rythme assez posé, tout en créant constamment de nouveaux intérêts, de nouveaux enjeux, de nouvelles questions, et à chaque solution, un nouveau questionnement jaillit. Il nous tient accroché à chaque scènes, et le choix qu’ils font en plus de faire ressortir tout ce qui est explicitement spirituel, comme les rituels et les prières, mais faire passer presque inaperçu ce qui l’est implicitement, comme la présence subliminal d’un dieu, une action simple, pourtant impossible à l’homme moyen...

Nous sommes impatients de voir ce qu’ils nous réservent pour la suite après cette première saison mémorable, et un univers qui ne va que grandissant, tu es vivement conseillé de la regarder si tu as les tripes solides, et le faire au plus vite avant la sortie de la prochaine saison.

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Sa Petite Histoire Yanagi Nagi est une jeune auteur-compositeur-interprète Japonaise. Née le 31 Mai 1987 dans le Kansai. Elle fait partie de ces artistes qui n’ont pas de formation. Elle commence avec des reprises de sons populaires sur la toile en 2005 ensuite entre 2006 et 2010 elle a sorti 4 albums solo puis sort une compil avant de sortir son cinquième album.

Yanagi Nagi est connue pour avoir interprété des génériques de beaucoup d’animes comme Black Bullet, Nisekoi, Jormungand, Amnesia, Berserk, Norn9, Yahari ore no seishun love comedy wa machigatteiru et bien d’autres... Le style de Yanagi est assez particulier car elle touche à presque tous les types de musique. Elle peut faire du rock comme dans «Tokohana» en passant par des musiques plus douces comme «Koibumi».

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Carrière en duo En effet, Yanagi a été en duo avec la chanteuse Annabel, connue pour avoir interprété « Above your Hand » ending de Sankarea. Ensemble donc formait Binaria qui faisait dans les sons ballade et parfois pop-rock. Elles ont sorti donc 2 mini-albums, un album best of et 5 singles dont un avec la chanteuse Cassini. Mais apparemment, le duo continue de travailler ensemble et ont sorti un album plus tôt dans l’année.

Collaboration avec le groupe Supercell En 2007 lorsque Yanagi faisait ses reprises des sons elle a été repérée par Supercell après avoir repris un titre du groupe(Melt). Ensuite, elle a discuté avoir la chanteuse de supercell d’une possible collaboration avec le groupe.

Cela fait, elle sort le morceau « Kimi no Shiranai Monogatari » qui est l’ending de Bake-monogatari et un single de l’album « Today Is A Beautiful Day » sur lequel elle participera aussi.

Elle collaborera aussi avec Jun Maeda connu pour être l’auteur d’Angel Beats! sur un album concept du nom de « Owari no Hoshi no Love Song » en 2012.

Discographie

En solo

- 2006: EN (Musique Chill out) - 2007: Leonis (J-pop ballade) - 2008: Freirinite (Downtempo) - 2010: Ōrito no Yume(J-pop mélange au jazz) - 2011: Ame no Umi (Album Best Of) - 2012: Owari no Hoshi no Love Song (Jpop) - 2013: Euaru (assortiment électrique de downtempo, J-Pop et Rock - même quelque chose qui ressemble à une surface composé jazz / métal) - 2014: Polyomino (J-pop) - 2016: Follow My Tracks (Pop rock)

Binaria En somme Nagi Yanagi est un artiste très talentueuse faisant plus dans le downtempo sans être mauvaise dans les autres styles musicaux tels que le Rock le Jazz. C’est une artiste à suivre de très prés, à seulement 29 ans, elle a encore toute une belle carrière devant elle.

- 2008: Epoca - 2009: Alba - 2010: Delightful Doomsday - 2011: Nachtflug - 2017: Tsudzuri

Supercell

- 2009: Kimi no Shiranai Monogatari - 2010: Sayonara memories - 2010: Utakata Hanabi - 2010: Hoshi ga Matataku Konna Yoru nié

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«Gorillaz» est un groupe musical britannique virtuel, formé en 1998 par Damon ALBARN et Jamie HEWLETT, est composé de 4 membres fictifs animés. Leurs styles représentent plusieurs styles musicaux incluant rock, alternative, britpop, hip hop, electronica, rock indépendant, dub, et reggae.

Débuts Damon ALBARN et Jamie HEWLETT se rencontre en 1990, puis un jour pendant que les deux amis regardaient une chaine de musique, HEWLETT explique a son binôme «si on regarde trop la TV, ça devient l’enfer » car selon lui il n’y a rien d’intéressant. Il proposa donc l’idée qu’ils pourraient créer un groupe d’animation qui eut d’abord pour nom « Gorilla » et le premier titre enregistré s’intitule « Ghost train » plus tard publié comme face B de leur single «Rock the House» et de leur compilation «G Sides».

En 2000, le groupe se lance et publie « Tommorrow Comes Today », puis le 5 mars 2001 leur tube «Clint Eastwood», qui atteint immédiatement la quatrième place en Angleterre. Pour se faire, le groupe encore tout jeune à l’époque fait sa première collaboration avec le plus expérimenté Dan the Automator du groupe hip-hop Phi Life Cypher, et plus tard avec Del the Funky Homosapien, sur la version final de la chanson,

qui sera l’esprit du batteur Russel Hobbs. La version originale de «Clint Eastwood» apparaît sur la face B de la compil «G Sides».

Plus tard le même mois, leur premier album homonyme, «Gorillaz», est publié et contient quatre titres : Clint Eastwood, 19-2000, Tommorrow Comes Today, et Rock the House.

En fin 2004, le site web interactif du groupe gorillaz.com débute avec la clip de «Rock It».

L’album mythique «Demon Days» contenant des titres tels que «Feeling Good inc.», «Dare», «Last living Souls»,... Est publié le 11 mai 2005 d’abords au Japon avec un style très illustré et expérimental auquel ce publique est plus réceptif, et à partir du 23 Mai pour le reste du monde.

En moins d’un an, l’album devient le cinquième album le plus vendu de l’année aux USA, et depuis certifié quintuple disque de platine aux UK, double platine aux USA, et triple platine en Australie avec plus de six millions d’exemplaires a l’international. Aux MTV Video Music Awards de 2005, Gorillaz est récompensé pour «Feel Good Inc.», catégorie de « meilleure nouvelle vidéo ».

En fin 2007, ils se lancent dans Carousel, qui deviendra le troisième album du groupe, «Plastic Beach». Albarn explique : « [...] Le plus grand album pop que jamais fait [...]. » avec Snoop Dogg, Lou Reed, Mos Def, Bobby Womack, Hypnotic Brass Ensemble, et bien d’autre grands noms.

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M.S. MUSIQUE : Gorillaz

L'Univers Ce groupe a la particularité d’être composé de membres de fictifs ayant leurs propres identités et personnalités, complètement inventées par les créateurs du groupe, pour leur musique.

Albarn a été chargé de l’illustration des personnages, car il est lui-même BDiste, Auteur et illustrateur de la BD anglaise «Tank Girl».

Pour ce qui est des réels musiciens derrière les personnages, ils ont beaucoup changé au fil du temps, gardant depuis ses débuts le co-fondateur Damon Albarn à la voix, Cass Browne à la batterie et Mike Smith au Clavier, artistes qui les représentent dans les lives du groupe, aux côtés des autres artistes (temporaires) du groupe. Jaimie Hewlett quant à lui est chargé des visuels du groupe, posters, illustrations, clips, etc...

L’univers des personnages est assez atypique; très punk rock, avec des mondes fidèles à ceux-ci, très variés, allant d’un monde fantaisiste comme dans «Feel Good Inc.», à l’univers plus réel de «Stylo», au WTF de «Dare». On peut dire avec certitude que leurs mondes sont aussi expérimentales que leur musique, et dans les deux cas les résultats non seulement démarquent tout particulièrement le groupe du lot, et en bonus sont très beaux, le plus souvent faisant l’unanimité même auprès des nonfans qui voient leurs curiosité titillée par cet univers enchanteur qu’est celui des Gorillaz.

Alors, qui sont nos artistes virtuels?

2D (Stuart Tusspot / Stu-Pot) Chant / Clavier Le membre le plus en vue et aimé des fans(Tout partiulièrement des fan Girls). Il a des yeux noirs et ronds, comme des trous, , une mauvaise dentition, due au fait qu’il fume, et on supposément une mauvaise santé. On dit aussi de lui qu’il une feuille de papier à la place du cerveau («A blank sheet of paper where a brain should be»).

Murdoc Niccals Basse Véritable leader du groupe selon les prévisions du groupe, c’est aussi le membre le plus colérique de la bande, suite à son enfance torturé dans sa famille, et ses fréquentations douteuses, dont un groupe de métal. Il monte gorillaz après avoir causé un accident blessant gravement 2-D, dont il a été obligé de s’occuper par la suite.

Russel Hobbs Batterie / Percussions

Noodle Guitare / Backs

Dans le quartier de Brooklyn Heights il entre dans un groupe de DJ’s et de rappeurs, qui est décimée suite à une descente d’un gang de rue rival, faisant de lui le seul survivant. À ce moment, les esprits errants de toute sa bande entrent en lui donnant des talents de batteur, de rappeur et de danseur.

Par la même occasion, ses yeux deviennent blancs.

Probablement la moins remarquée, déjà c’est la seule fille et Japonaise, et membre la plus jeune du groupe, recruté alors qu’elle n’avait que 10 ans quand elle a été envoyée dans une boîte FedEx suite à l’annonce du groupe disant qu’ils recherchaient un guitariste. C’est aussi la proprio de l’insta du groupe: WatashiwaNoodle.

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Les histoires mentionnées dans la page précédentes sont des résumés très brefs des histoires bien plus complexes et surtout bien plus profondes et déprimantes des personnages. Ils sont avant tout des personnages d’un BDiste, et donc ont des passés bien complets. Ces histoires peuvent êtres suivies dans un audiobook auto biographique disponibles gratuitement sur youtube, en anglais, ou en lecture gratuite sur les pages Wikipédia de chaque personnage, et éventuellement dans la série animée que le groupe a annoncé plus tôt dans l’année.

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M.S. MUSIQUE : Gorillaz

Recompenses 2001 3D Expressions Film Festival : Best Music Video : «192000»

Billboard Video Music Awards

Maximum Vision Award : «Clint Eastwood» Best Modern Rock New Artist Clip : «Clint Eastwood» Best Rap/Hip-Hop New Artist Clip : «Clint Eastwood»

Dancestar Awards

MTV Best Dance Video : «Clint Eastwood» Best Marketing Campaign

Dotmusic Online Music Awards

Artist Of The Year Best Rock/Alternative Artist Online : www.gorillaz.com Best Online Design : www.gorillaz.com Music Website Of The Year : www.gorillaz.com

German Online Music Awards

Best Fan Site : fans.gorillaz.com Best Designed Music Site : www.gorillaz.com Best Online Music Innovation

MTV Europe Music Awards

Best Dance Act Best Song : «Clint Eastwood»

NME.COM NetSounds Awards : Best Online Marketing Campaign

BT Digital Music Awards Artist Of The Year Best Dance Artist

MTV Video Music Awards

Breakthrough Video : «Feel good inc» Best Special Effects : «Feel good inc»

MTVU Woodie Awards : Best Animated Video : «Feel good inc»

2006 MTVU Woodie Awards : Best Animated Video : «El mañana» Danish Music Awards

Best Foreign Album : Demon Days Best Foreign Song : «Feel good inc»

Grammy Awards : Best Pop Collaboration With Vocals : «Feel good inc»

Ivor Novello Awards : Songwriters Of The Year : Damon Albarn & Jamie Hewlett

Vodafone Live Music Awards : Best Show Production MTV Video Music Awards Japan : Best Dance Video : «Feel good inc»

BMI London Awards : College Song Of The Year : «Feel good

Q Awards : Best Video : «Clint Eastwood»

inc»

Rushes Soho Shorts Festival : Innovation TK Music Video

Technical Excellence & Creativity Awards : Record Produc-

Award : «Clint Eastwood»

Yahoo Internet Life Awards

Best Official Artist Site : www.gorillaz.com Best Of The Net : www.gorillaz.com

tion/Single : «Feel good inc»

British Animation Awards : Favourite Music Video : «Feel good inc»

Webby Awards : Artist Of The Year

2002

2007

MIDEM : Meilleur Artiste

Imagina Awards : Grand prix vidéo : «El mañana» BMI London Awards : Dance Award : «Dare»

2005 MTV Europe Music Awards : Best Group Q Awards

Best Video : «Feel good inc» Best Producer : Gorillaz / Danger Mouse

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2010 GQ Award du meilleur groupe de l’année BT Digital Music Awards : Best Artist Promotion

Playlist - Clint Eastwood - Feel Good Inc. - On Melancholy Hill - 19-2000 - Saturnz Barz - Dare - Tommorrow Comes Today - Demon Days - Dirty Harry - El Manana - Rock Da House - Andromeda - Momentz

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GAMING

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«Mobile Legends: MOBA 5V5 MOBA» est un Jeu RPG MOBA(Multiplayer Online Battle Arena), pour mobiles sur les plates-formes d’IOS et Android. Le jeu a été développé par le studio chinois Shanghai Moonton Technology et

est sorti le 14 Juillet 2016.

Le jeu fait partie d’un ensemble de 3 jeux, les seuls jeux actuellement publiés par les développeurs, qui tous sont largement inspirés de «League of Legends», ou pour le moins ont beaucoup d’éléments tirés du jeu phare, chose qui a généré une polémique, où Riot Games, propriétaires de «LoL» ont porté plainte aux Chinois pour plagiat. Ils ont ceci dit dû parvenir à une entente étant donné que la suite à ce procès n’a tristement pas été divulguée, à moins que celle-ci soit toujours en cours.

Le gameplay du jeu est assez simple. Pour les connaisseurs. Contrairement aux MOBA sur Ordinateur et leur «point and click», ici nous avons un stick pour déplacer le personnage des contrôles style arcade. Un stick sur la gauche pour déplacer le personnage, et des boutons sur la droites pour les différentes attaques des personnages.

L’écran est assez original pour les plateformes concernées, et sont il faut le dire, assez chargés, tout en n’étant pas encombrant durant le jeu.

Le reste de ce que l’on pourrait dire du jeu étant complètement tiré de LoL, on va directement les comparer pour la suite. Go.

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M.S. GAMING : Mobile Legends

Les Exécutions: où les joueurs cherchent le maximum de kills en embuscades,

Gameplay

Comme le titre le sous-ligne, c’est jeu multijoueurs en ligne, où les joueurs se retrouvent dans une arène pour des combats à mort en équipe contre une équipe adverse. Contrairement à League of legends et ses 5v5 ou 3v3, Mobile Legends ne fait que des 5v5.

Il y a alors le concept de stratégie égale à celui de LoL, où nous avons des joueurs de différentes classes(Tireur, Tank, Assassin, Mage,...), et 4 rôles disponibles, reparties sur le terrain: Voie du haut, voie centrale, voie du bas, et Jungle. Les différentes voies sont justes les positions que doivent adopter les joueurs, tandis que Jungler est un rôle un peu spécial, ayant le droit de se balader sur tout le terrain, et aider ses coéquipiers à éliminer les adversaires sur leurs voies respectives.

Les parties ont une durée moyenne d’une quinzaine de minutes sur Mobile Legends, contre une trentaine sur LoL. Dans les deux cas, les parties peuvent êtres reparties en trois sections.

Le Feed: la prise de niveau et achat d’équipements en début de matchs,

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Les Mêlées: Où les équipes se mesurent directement, et le vainqueur de la partie en sort.

P.S.: Les noms sont un peu forcés par la rédac., mais c’est l’idée qui importe, c’est bien ça.

Un accent tout particulier est mis sur les niveaux et l’équipement, et donc implicitement le feed, car ceux-ci déterminent l’efficacité du joueur in-game.

Vitesse, résistance, force, magie,... Tout peut être amélioré, et savoir aussi de quoi à besoin ton joueur par rapport à sa classe et ses spécialités individuelles est vital au bon déroulement d’une partie.

La carte aussi, un élément essentiel sur LoL, l’est un peu moins sur Mobile Legends ceci dit elle reste tout de même très utile: permet d’avoir une vue d’ensemble du jeu, partage le champs de vision des co-équipiers, bien qu’il y ait des endroits que l’on ne peut pas voir; des zones où personne n’est, derrière les murs ou derrière et dans les broussailles. Cette vision globale aide les joueurs, associé aux barres de vies de tous, à savoir qui a besoin d’aide, et de savoir où et quand préparer une embuscade, tout comme ça nous permet de savoir qui est le suicidaire de l’escouade, et se servir de la messagerie intégrée, bien plus inconfortable sur mobile que sur ordinateur pour lui dire de se calmer, ou pour les rageux de montrer à quels points ils savent être grossiers.

des désynchronisation 3-4 fois par parties en moyenne, et vu le format relativement court des parties, ça pourrait être gênant, et ce n’est pas le seul problème de serveur du jeu, car même les plupart des autres fonctionnalités ont des difficultés tels que la création d’équipe et discussions instantanées.

Problème que l’on espère qu’ils régleront avec les mises à jour.

Critique

Également la charge sur la batterie que le jeu a est assez frustrante. Environs 10 parties sont suffisantes pour vider une batterie pleine, ce qui n’est pas très encourageant pour un casual gaming, et avec le lag, décourage également pour le e-sport mobile.

Les modalités alternatives de jeu sont inexistantes. Un seul mode de jeu où s’enjailler ou d’où se barrer. Compréhensible pour un jeu mobile cependant, car de ses hauts d’approximativement 500MB, il se rend ouvert à tous les joueurs mobiles, ayant des téléphones plus ou moins puissants.

Ce qui dérangerait en revanche est le serveur même qui est un peu lent, et même sur une bonne connexion, il y a des fortes changes d’avoir

En résumé, le gameplay très «inspiré» de league of legends, rendent le jeu assez intéressants pour les fans de MOBA, mais les charges sur mobile sont assez négative cependant. Les communautés in-game, partie importante d’un jeu en ligne, est aussi assez décevante. En gros ce jeu est vivement conseillé pour les fans et les curieux, qui en tireront néanmoins une bonne expérience. Pour ce qui est des fans hard en revanche, allez-y à vos risques et pé... En fait non, Ce sera au risque des pauvres noobs et des développeurs sur qui vous ragerez comme des taureaux. Non n’y jouez pas, on vous en conjure.

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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92 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

L’un des problèmes majeurs de l’Afrique est que les africains euxmêmes ne savent pas tirer profit de leurs ressources, pire encore, parfois ils en négligent la valeur. Le camerounais sera fier d’utiliser un produit d’une grande marque étrangère et s’en vantera même, car règne l’idée que tout ce qui viens de « Mbeng » est meilleur et de ce fait la plupart des produits locaux sont délaissés au profit de ceux importés.

D’ailleurs, ces produits qui nous sont vendus où se les procurentt-ils? …La suisse est réputé pour son chocolat, mais saviez-vous qu’ils ne possèdent pas le moindre champ de cacao dans ce pays?

Il est impératif que nous comprenions que le Cameroun ne se développera pas sans le «Made in Cameroun», et qu’il faut arrêter d’attendre de l’extérieur. Un pays n’en a jamais développé un autre.

EN RELATION INTERNATIONALE IL N’Y PAS D’AMIS, MAIS DES INTÉRÊTS.

Petit Rappel Historique: Le Cas U.S.A. Vous êtes non sans savoir que les U.S.A. sont une ancienne colonie britannique, et de ce fait les produits anglais inondaient le marché Américain si bien que les locaux avaient du mal à s’en sortir ; situation similaire à la nôtre. Qu’ont-ils alors fait pour y remédier? Taxer sévèrement les produits importés pour obliger les gens à consommer local. Vous vous doutez bien qu’à cette époque et manquant d’expertise ces produits n’étaient pas de très bonne qualité, mais ils ont «mouillé le maillot» et au fil du temps, d’année en année, les innovations technologique, l’expérience, et surtout la compétition, leurs ont permis d’être l’un des plus grand producteurs mondiaux, aux côtés d’une autre nation ayant su se serrer la ceinture, la Chine.

Le camerounais veut le beurre et l’argent du beurre. Nous voulons rouler dans une… Non, des grandes voitures Allemandes, vêtis des dernières collections européennes, avec à la main le dernier appareil Asiatique, sans savoir que ces entreprises ont pour certaines plus de cent ans, voire plus (Ford Ferrari, l’Oréal paris, chanel, Dior …) et ont trimées pour devenir ce qu’elles sont aujourd’hui.

Quand tu demandes a un kmr d’utiliser express union au lieu d’Orange Money il va te sortir que si toi tu es patriote ça te regarde, Monsieur ou Madame ne « consomme pas la boue », et pourtant ce sont ces entreprises prônées qui sont en réalité des « vampires » qui nous pompe nos ressources à petit feu.

Quand les kmr comprendront-ils que consommer local n’est pas négociable ou optionnel, c’est une question de survie?

Mangas Shonen | Septembre 2017 |

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CAMER POWER : Afrique Genius

« Il n y’a pas de mauvaise jeunesse mais de mauvaises idées » Boris Ambo’o, Ingénieur L’Afrique en général et le Cameroun en particulier a besoin de jeunes entrepreneurs ambitieux qui constitueront la relève pour le développement économique. Alors nous jeunes, avons pour devoir de nous réveiller, bosser et innover, afin d’arrêter la profusion de produits d’importations de masse venant d’Europe et d’Asie au détriment des nôtres.

Nous avons à notre disposition le savoir faire, l’historique des entreprises à succès aujourd’hui, leurs méthodes et également les erreurs que ces géants ont fait sur leurs parcours qui ont pu entraîner des conséquences catastrophiques, tels que le réchauffement climatique, désertification, pollution de l’air, etc… Avec toutes ces armes à notre portée, quelles excuses avons-nous encore? Sans le savoir nous sommes en train de creuser notre propre tombe.

Nous connaissons nos besoins, et ce que nous jalousons de l’extérieur, nous y engageant même petit à petit. Beaucoup sont dans les business de vêtements à moitié made in Camer, la bande dessinée, les services informatiques, Musicaux, décoratifs, e-commerce, etc...

Beaucoup d’entre nous participent déjà activement à ce développement, bien qu’encore écrasés par le marché Camerounais qui reste assez sceptique.

Mais encore, le gros reste à faire, bien que beaucoup se lancent, ils sont toujours obligés d’être consommateurs de produits extérieurs pour fournir leurs produits, les informaticiens achètent encore des machines extérieurs, les stylistes(ou pseudo stylistes), achètent encore leur matière première(T-shirts vierges, Jeans, Chaussures,...) de commerces extérieurs, avant d’y appliquer leurs concepts par la suite, souvent même mal fait à cause de nos travailleurs qui manquent de motivation au vu de la clientèle souvent peu enthousiaste.

Nous avons pour devoir, surtout en tant que producteurs déjà, d’être plus qu’exigeants envers nous-mêmes, s’assurant jusqu’à la plus infime des tâches de donner le maximum, et que le résultat au point près, soit digne de se vanter comme le ferait un vainqueur de médaille olympique, ne donnant aucun motif valable aux éventuels clients de bouder nos produits. Car seulement ainsi nous pourrons nous rapprocher et éventuellement surpasser les produits étrangers, s’imposant chez nous, et chez eux.

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AFRIQUE AFRIQUE GENIUS GENIUS

« Entreprendre pour réussir » De jeunes entrepreneurs l’ont compris et au travers de leur association l’ASSIENA (Association entrepreneurs ingénieux d’Afrique) crée en 2016 à Yaoundé, l’ASSIENA est une initiative jeune dont la dynamique concourt à insuffler une bouffée d’air frais à l’entrepreneuriat jeune en Afrique en générale et au Cameroun en particulier.

Elle travaille pour mettre en avant le potentiel des richesses du continent mais aussi et sur celle de sa jeunesse en vantant le slogan «Consommons made in Cameroun» à travers le forum Afrique Genius.

Le FORUM AFRIQUE GENIUS est une plateforme d’échanges intellectuels et d’exposition de biens, services et marques du terroir. Elle est spécialement conçue pour tous les chômeurs, les entrepreneurs, les investisseurs Africains, ainsi que pour toutes ces personnes dont le souhait est de bâtir une économie locale forte. Il s’agira donc de vous présenter les avantages de la consommation des créations de chez nous. À de tels rencontres, nous pouvons découvrir de nombreux Camerounais et Africains avec des idées diverses et variées, toutes ayant le but de développer nos régions dans différents champs, que ce soit économique, social, ou encore technologique. Ces porteurs d’idées peuvent alors y rencontrer des potentiels investisseurs avec qui bien-sûr ils trouveront un arrangement au préalable(Phase particulièrement importante, car on ne le dit pas souvent, mais il ne faudrait pas non plus accepter un investisseur qui étoufferait le but de développement d’un projet, en faveur d’un but de ses intérêts, comme le voudraient la plupart de ces investisseurs). Aussi très important, ces porteurs d’idées s’offrent la chance de rencontrer d’autres individus ayant les mêmes idées, ou pour le moins pouvant aider à porteur mutuellement leurs projets en avant, comme par exemple un une start-up de magazine, et une start-up d’impression. Nous y reviendront plus tard dans l’article.

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CAMER POWER : Afrique Genius

Leurs Leurs Missions Missions 1

Créer un espace représentatif pour les jeunes entrepreneurs dont l’objectif encouru est d’apporter plus de visibilité à leurs entreprises, idées et initiatives.

2

Donner un espace d’expression et d’exposition aux entrepreneurs de la diaspora africaine.

3

Vulgariser la chaîne de valeur des différents constituants d’une entreprise; de l’idée à la conception en passant par la gestion et la réalisation.

4

Appeler et encourager les investisseurs à mettre à la disposition des jeunes entrepreneurs les capitaux privés dont ils ont besoin.

5

Suivre pas à pas l’évolution d’une entreprise embryonnaire locale.

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Leurs Opportunités Rencontres d’Affaire Participez en tant que porteur de projet et faites connaissance avec les acteurs à l’expérience affirmée. L’objectif est de retenir l’attention des hommes d’affaires et de tisser des liens fructueux et enrichissants dans la perspective d’une synergie nouvelle entre jeunes ingénieurs et d’autres valeurs sures pour une exploitation de créativité et d’inventivité pour booster les talents, les énergies et les potentiels

Conférence / Formation Prenez part en tant qu’expert, entreprise ou participant aux formations de communication riche et innovante. Venez trouver des réponses aux préoccupations de vos défis entrepreneurial; collecte d’informations, formation et rencontres avec des jeunes africains, acteurs dans les TIC, les Start-up, des valeurs sures, des génies dans des domaines variés et bien définis.

Exposition / Vente Véritable opportunité de représentation pour les entreprises sérieuses, l’occasion est donnée aux jeunes ingénieurs d’exposer leur savoir-faire, savoir créer, savoir innover avec une forte facilité de commercialisation des produits et des services de votre génie

Success Story / Success Challenge Soyez cet acteur; modèle de réussite ou succes story qui entretiendra pendant 60 min les participants : osez partager vos défis ou success challenge en échangeant directement avec la jeune génération d’entrepreneurs africains présente.

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LECTEUR Merci une fois de plus d’avoir lu notre cher magazine. Nous espérons qu’ils vous aura plu malgré certains changements imprévus. Nos projets sont toujours à l’ordre du jour, et dès le prochain numéro reprendront notre rythme normal.

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Mangas Shonen Retrouves nous MANGAS SHONEN @ MS_CM_OFFICIAL @ MS_CM_OFFICIAL 100 | Septembre 2017 | Mangas Shonen

À LA PROCHAINE

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N° 6 PROPRIÉTÉ DE MANGAS SHONEN RÉALISÉ PAR LIGHT DESIGN

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