Analyse environnementale multi-trame du Carré de Soie Vaulx-en-Velin/Villeurbanne

ANALYSE ENVIRONNEMENTALE DÉCOUPAGE MULTITRAME

CARRÉ DE SOIE

ÎLOT VILLEURBANNE-LA SOIE

S O U C H E

S O U C H E

CARRÉ

DE

SOIE

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S I T U A T I O N SGÉOGRAPHIQUE O U S T I T R E S I T U A T I O N

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G E O G R A P H I Q U E

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GEOLOGIE LYON

Coupe schématique du canal de Jonage

Villefranche s/ Saône

Composition des sols Villeurbanne

LYON

Vaulx-en-Velin

L’Est Lyonnais est constitué d’importantes nappes fluvio-glaciaires enserrant des collines et des plateaux d’origine morainique (qui est le produit d’une érosion glaciaire) sur une ossature molassique miocène (c’est à dire composée d’un calcaire avec, incrustés, des débris de coquillages).

Deux faciès principaux constituent ce complexe morainique : un de nature argileuse et l’autre de nature caillouteuse.

Vaulx est est situésitué dans dans les premices de la vallée Vaulx- -enen-Velin -Velin les premices de du la Rhône. vallée du La ville est danssituée la plaine delal’Est lyonnais.

Rhône.

Lasituée ville est dans plaine de l’Est lyonnais.

SOURCE : http://www.cartes-topographiques.fr/ SOURCE : http://www.cartes-topographiques.fr/

http://gesteau.eaufrance.fr/DOC/SAGE/upload/doc_SAGE06019-1190877437.pdf

H I S T O R I Q U E D U

R a

T E R R I T O I R E

HISTORIQUE pDU p e l g é TERRITOIRE o g r a p h i q u e RAPPEL

GÉOGRAPHIQUE

Villeurbanne A l’Ouest: le Rhône et ses collines

Vaulx-en-Velin

A l’Est, la Plaine

Lyon

La plaine de l’Est lyonnais est définie par son rapport important le fleuve Rhône. s’agit espace marécageux La plaineavec de l’Est lyonnaisduest définieIlpar sond’un rapport important avec soumis à de nombreuses inondations.

le fleuve du Rhône. Il s’agit d’un espace marécageux soumis à de nombreuses inondations.

SOURCE : http://www.cartes-topographiques.fr/

CARRÉ

DE

SOIE

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HISTORIQUE DU TERRITOIRE s l e X V I e s i è c l e

H I S T O R I Q U E

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T E R R I T O I R E

XVI

ÈME

SIÈCLE

Le Dauphiné

Villeurbanne Vaulx-en-Velin

Evêché de Lyon Lyon

Axe de communication lyonnais / dauphiné

Développement deLyon l’évéché de Lyon de manière concentrique Développement de l’évéché de de manière concentrique autour la Croix Rousse.

Villeurbanne et Vaulx-en-Velin, qui de la Croixautour Rousse.deVilleurbanne et Vaulx-en-Velin, qui tentent alors alors autorité face à l’évéché, appard’affirmer tentent leur atourité faced’affirmer à l’évéché,leur appartiennent au dauphiné tiennent au dauphiné jusqu’en 1852. jusqu’en 1852.

: Diagnostic patrimonial du Carré Soie SOURCE :SOURCE Diagnostic patrimonial du Carré de de Soie

Esprit des lieux Esprit des lieux

H I S T O R I Q U E

D U

T E R R I T O I R E

HISTORIQUE M o iDU t i é d u XTERRITOIRE I X e s i è c l e MOITIÉ

DU

XIX

ÈME

SIÈCLE

Département du Rhône Villeurbanne Vaulx-en-Velin

Lyon

Axe de communication lyonnais / dauphiné

Villeurbanne s’affirme comme entité politique et comme satelllite économique de Lyon. Villeurbanne devient un espace de Villeurbanne s’affirme comme entité politique et comme satelllite conquête industrielle.

économique de Lyon. Villeurbanne devient un espace de conquête SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie industrielle.

L’esprit des lieux

H I S T O I R E

D U

T E R R I T O I R E

HISTORIQUE 1 ère DU P h a s e d ’ iTERRITOIRE n d u s tr ialisation 1ÈRE

PHASE

D’INDUSTRIALISATION

Villeurbanne Vaulx-en-Velin Migrations artisanales

Lyon

Réalisation d’une grande digue en 1856-58 permettant le développement de l’urbanisation et de l’industrialisation.ImplanRéalisation d’une grande digue entextile 1856-58traditionnelle permettant le provenant développementdes tation d’une industrie de l’urbansation et ladeCroix-Rousse l’industrialisation.Implantation industrie pentes de à Charpennes etd’une à Maison-Neuve.

textile traditionnelle provenant desdupentes SOURCE : Diagnostic patrimonial Carré de de Soiela Croix-Rousse à

L’esprit des lieux Charpennes et à Maison-Neuve

H I S T O I R I Q U E

D U

T E R R I T O I R E

HISTORIQUE 2 ème DU P h a s e d ’ TERRITOIRE in d u s t r ialisatio n 2ÈME

PHASE

D’INDUSTRIALISATION

Villeurbanne Vaulx-en-Velin Migrations artisanales

Lyon

Diversification des activités industrielles. Des industries mécanique et chimique viennent s’implanter autour des industries texDiversification des activités industrielles. Des industries mécanique tiles, et à proximité des grands axes de communication.

et chimique viennent s’implanter autour des industries textiles, et à proximitéSOURCE des grands axespatrimonial de communication. : Diagnostic du Carré de Soie

L’esprit des lieux

H I S T O I R I Q U E

D U

T E R R I T O I R E

HISTORIQUE 3 ème DU P h a s e d ’ iTERRITOIRE n d u s t r ialisatio n 3ÈME

PHASE

D’INDUSTRIALISATION

Villeurbanne Vaulx-en-Velin Migrations artisanales

Usine de Cusset CFEL

Lyon

1881: achèvement du CFEL. Les usines TASE et SLSA s’implantent dans le prolongement de ce nouvel axe de communication.

1881: achèvement usines hydroéléctrique TASE et SLSA s’implantent 1899: misedu en CFEL. serviceLes de l’usine de Cusset. dans le prolongement de ce nouvel axe de communication.

Il en découle l’implantation d’activités liées à la branche éléctrique.

1899: mise en service de l’usine hydroéléctrique de Cusset.

SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie Il en découle l’implantation d’activités liées à la branche éléctrique.

L’esprit des lieux

CARRÉ

LE DE

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SOIE

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PATRIMOINE LA SOIE

P A T R I M O I N E

LL’USINE ’ U

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Grande cité TASE

L‘ u s i n e T A S E (Textile Artificiel du Sud-Est)

Eglise Saint Joseph

Petite cité TASE

Hôtel Jeanne d’Arc

DE

Commerces

Les castors, logements ouvriers

L’usine a ouvert ses portes en 1924 Vaulx-la-Côte.

Elle s’étend L’usineTASE TASE a ouvert ses portes en à1924 à Vaulx-la-Côte.

Ellesur 75s’étend hectares s’inspire du modèle des cités famille suret 75 hectares et s’inspire du jardins. modèleLades citésGillet jardins. aLa suivifamille les idéaux partenalistes l’époquepartenalistes en offrant à ses de employés Gillet a suivi lesdeidéaux l’époque àen la fois un lieu de vie et un lieu de travail.

Elle ferme en 1980. offrant à ses employés à la fois un lieu de vie et un lieu de SOURCE Diagnostic travail. :Elle ferme patrimonial en 1980. du Carré de Soie SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie

CARRÉ L E

DE

SOIE

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P A T R I M O I N E

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S O I E

LE PATRIMOINE DE L e s a u t r e s o b jLA e t s p a t r i m o n i SOIE aux du site LES AUTRES OBJETS PATRIMONIAUX DU SITE

Usine hydroéléctrique de Cusset

Stade et piscine d’été Chemins de halage et de contre-halage du canal

Cité Marhaba Site industriel EDF

Cité EDF (rue Ampère)

Ancien et nouveau cimetières de Cusset

L’implantion d’industries a aussi conduit à celle de logement. Tout L’implantion d’industries a aussi conduit à celle de logement. Tout comme la famille Gillet, les entrepreneurs installaient des logecomme la famille Gillet, les entrepreneurs installaient des logements ments dédiés à leurs ouvirers à proximité des industries. dédiés à leurs ouvirers à proximité des industries.

SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie

SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie

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ÉTUDE DU Typologie de l’amande S E C T E U R TYPOLOGIE

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Logement individuel

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Logement collectif

Logement individuel Logement collectif

UNE MIXITE FONCTIONNELLE ET TYPOLOGIQUE

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Logement individuel

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Logement collectif

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E C O M B E R O U S S E Logement individuel

Commerces Lieu de travail

OCCUPATION DU BATI SUR LE PARCELLAIRE

L’AMANDE

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Typologie de l’am

ÉTUDE DU S E C T E U R TYPOLOGIE

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DATATION DU BATI

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Faîtage

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1970-1980 1950-1970

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1990-2012 1980-1990

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HAUTEURS DU BAT

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HAUTEUR DU BÂTI

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ÉTUDE DU R E tS u d e d eE s é l éC ments T d e f a çE ades U ÉTUDE

DES

ÉLÉMENTS

DE

FAÇADES

TYPOLOGIES DE FACADES

L’implantion d’industries a aussi conduit celle de logement.

L’implantion d’industries a aussi conduit à celleàde logement.

Tout Tout la famille les entrepreneurs des dédiés logements la famille Gillet,Gillet, les entrepreneurs installaientinstallaient des logements à dédiés à leurs ouvirers. leurs ouvirers.

SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie

SOURCE : Diagnostic patrimonial du Carré de Soie

PRÉCONISATIONS

R E QLESU VOIES A L I F I E R REQUALIFIER

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CRÉER C UN R QUARTIER E E R À TAILLE U N HUMAINE Q U A R T I E R APPORTER D’AVANTAGE DE MIXITÉ FONCTIONNELLE

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RENOVER LE BÂTI EXISTANT A

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S E RVA N T E

S E RVA N T E

E N E R G I E S

Consommation de chauffage // État actuel

Principales sources d’alimentation en électricité

Réseau GAZ + ELECTRICITÉ sur le Carré de Soie

SOURCES : http://grandlyon.com Analyse Environnementale urbaine du Carré de Soie de l’agence TEKNÉ

E N E R G I E S

Réseau ELYVA et ELYO

Faisabilité d’un réseau de chaleur

Possibilité de rejoindre un réseau de chaleur à proximité, à condition de franchir le Canal de Jonage ou le Périphérique Laurent Bonnevay.

SOURCES : GIRUS Approche Environnementale urbaine du Carré de Soie de l’agence TRANS FAIRE

E

Stations d’épuration et de purification

A

Réseau d’assainissement sur le Carré de Soie

SOURCES : http://grandlyon.com Analyse Environnementale urbaine du Carré de Soie de l’agence TEKNÉ

U

G E S T I O N DES DECHETS Tonnages collectés dans les déchetteries: Villeurbanne Nord: 3189 à 6625 tonnes Villeurbanne Sud: 7953 à 10017 tonnes Décines: 6626 à 7952 tonnes Vaulx-en-velin: 3189 à 6625 tonnes

La qualité de la collecte est jugée moyenne à Vaulx-en-Velin (25 à 35 kg/hab/an) et Villeurbanne (35 à 50 kg/hab/an).

Fréquence de collecte sur les deux villes du Carré de Soie: Collecte des ordures ménagères: À Vaulx-en-Velin: Lun / Mer / Ve / Sa À Villeurbanne: Lun / Ma / Je / Ve / Sa Collecte selective: À Vaulx-en-Velin: Ma / Je À Villeurbanne: Me

Emplacement des silos à verre et déchetteries

Implantation des centres de gestion de dechets du Grand Lyon

SOURCES : http://grandlyon.com Analyse Environnementale urbaine du Carré de Soie de l’agence TEKNÉ http://www.mairie-villeurbanne.fr

PRÉCONISATIONS

ENERGIES

-

la consommation trop importante des anciens bâtiments

+

le réseau de gaz et d’électicité // la proximité des réseaux de chaleur // nappes de refroidissement possible

>> Réhabiliter les édifices existants thermiquement // Opter pour pour un chauffage collectif, se relier à un réseau existant //

Opter pour une pompe à refroidissement qui puise la fraicheur dans les nappes EAU // ASSAINISSEMENT

-

+

absence de gestion des eaux pluviales le réseau de d’assainissement

>> Créer un système de gestion des eaux pluviales et les séparer des eaux usées

-

+

GESTION DES DÉCHETS

la qualité de la collecte des déchets (tri selectif) proximité des déchetteries // organisation du réseau de gestion des déchets

>> Sensibiliser la population au tri selectif

CLIMATIQUE

CLIMATIQUE

PRECIPITATIONS P

Normales mensuelles de pluies (mm) - Étude sur la pé-

riode 2003-2011.

2011 : 130 mm (Juillet) 2008 : 180 mm (Juillet) 2005 : 190 mm (Avril)

U

I

Cumul annuel de pluies (mm) - Étude sur la période 20032011.

2010 : 104 mm (7/09/2010)

Nombre de jours de pluies (>1mm) par an - Étude sur

Nombre de jours de fortes pluies (>20mm) par an -

la période 2003-2011.

Étude sur la période 2003-2011.

Référence 1970

L

Horizon moyen 2055

Horizon lointain 2085

Pluviométrie octobre 2011 - Grand Lyon.

Horizon 2055 sur le site Carré de Soie Cumul annuel de pluies : 600-700 mm en moyenne annuelle Nombre de jours de pluies (>1mm) : 90-100 en moyenne annuelle Nombre de jours de fortes pluies (>20mm) : 5-10 en moyenne annuelle

Simulation des climats futurs - Cumul annuel de pluies (moyenne annuelle) - Modèle CERFACS France CNRM, scénario intermédiaire A1B. SOURCES :Météo France, station météo Lyon-Bron GRAND LYON communauté urbaine, Direction de l’Eau. DRIAS

E

S

PRECIPITATIONS NEIGE

Nombre de jours avec chute de neige par an - Etude

Nombre de jours de gèle par an - Température < 0°C -

sur la période 2003-2011.

Etude sur la période 2003-2011.

ETE : 11 juillet 2011

-

GEL

-

HUMIDITE

HIVER : 25 décembre 2011

Humidité relative (%) dans une journée d’été et d’hiver de

Normales mensuelles d’humidité relative (%) - En

l’année 2011.

moyenne mensuelle - Etude sur la période 2008-2011.

Nombre de jours par an avec chute de neiges.

Source : www.Météo-mc.fr

Humidité maximale le matin : 70-98% en été ou hiver.

Humidité minimale dans la journée entre 13h et 18h : 20-40% en été, 50-60% en hiver.

SOURCES : Météo France, station météo Lyon-Bron IDMP-ENTPE, Vaulx-en-Velin Météo-mc.fr

RELATIVE

TEMPÉRATURES CONSTAT

Normales mensuelles des températures moyennes

Évolution des températures extrêmes (°C) - Étude sur

et extrêmes (°C) - Étude sur la période 2003-2011.

la période 2000-2011.

Température maximale en moyenne annuelle : 25°C Température minimale en moyenne annuelle : 2°C

Températures mini exceptionnelles : 2012 : -13°C (Février) 1971 : -19°C (Janvier)

Nombre annuel de jours de chaleur - Température > 25°C - Étude sur la période 2003-2011.

ET

PRÉVISIONS

1965 : -23°C (Janvier) 1936 : -25°C (Décembre)

Écarts extrêmes journaliers de températures - An-

née 2011.

Températures maximales en moyenne annuelle - Grand Lyon - Étude sur la période 1970-2000.

Horizon 2055 sur le site Carré de Soie Températures maximales : 18-20°C en moyenne annuelle Températures minimales : 10-12°C en moyenne annuelle Nombre de jours de chaleur (T>25°C) : > 90 jours en moyenne annuelle

Simulation des climats futurs - Températures maximales (moyenne annuelle) - Modèle CERFACS France CNRM, scénario intermédiaire SOURCES : Météo France, station météo Lyon-Bron

GRAND LYON communauté urbaine, Direction de l’Eau. DRIAS

V A

Vent du Nord:

- froid et desséchant

- 50% des vents

- souffle 3/10jours

- 1,6% > 8m/s

- gène: 1/10jours

N

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A

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Vent du Sud:

- chaud, annonciateur de précipitations

- 30% des vents

- souffle 1/5jours

- 3% > 8m/s

- gène 1/10jours

- Vents N/S 1j/2, gene 1j/5 - Variations saisonières faibles - Trop faible potentiel éolien SOURCES : Station météo Lyon-Bron, CSTB Nantes

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P R E C O N I S A T I O N S

Rétrecissement

Porosité

Construire bas, réduire longueur des bras, densifier, ouvrir ou fermer les angles

Espacements de largeur L = 2H

Limiter les fréquentations, opérer des retraits, ceinturer par des bâtiments, filtrer par la plantation Nord

effet agora

Sud

Nord

Sud

+ largeur max= 12m

- Développer la rugosité du sol - Limiter les effets aggravants - Favoriser l’orientation Nord-Sud - Maîtriser les dimensions baties SOURCES :

Tekhne

ENSOLEILLEMENT ANALYSE

ET

PRECONISATIONS

Calcul du masque solaire sur site (Logiciel: Carnaval)

21 juin 2011, 12:00 1 956 heures d’insolation annuellement dont 789 heures pendant la saison chaude (juin, juillet, août) Forte variation été/hiver Un masque solaire faible, un gisement faorable à l’énergoe photovoltaïque

21 décembre 2011, 12:00

- Protection solaire horizontale Sud - Protection verticale Est et Ouest - Un gisement solaire favorable - Mettre en place des règles de distance SOURCES : Logiciel Carnaval, Logiciel Chronolux, Station météo Lyon-Bron, Tekhne

I R R A D I AT I O N ANALYSE

Irradiation mensuelle moyenne

ET

PRECONISATIONS

Bilan énergétique par fenêtre (kWh/m²)

Irradiation globale par face (kWh/m².jour) Ensoleillement journalier annuel moyen: 1300kXh/an Photovoltaïque: 10m² à 35° plein Sud = 1 250 kWh/an3.

Solaire thermique: 4m² à 45° plein sud= 1 800 kWh/an

Disque solaire - Irradiation maximale (0,92kWh/m² en décembre): - Orientation Sud + inclinaison entre 50° - Fenêtres Est et Ouest à équiper de vitrage peu emissif et occultations à prévoir SOURCES : Station météo Lyon-Bron, Calsol INES, Grand Lyon, BE Enertech

ILOTS DE CHALEUR URBAIN C O M P R E H E N S I O N

Gestion des implantation et dimensionnements Place de l’eau et du végétal Choix des matériaux SOURCES : Grand Lyon, l’Agence d’Urbanisme

ILOTS DE CHALEUR URBAIN A

N

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Des activités génératrices de chaleur Un espace très minéralisé Un manque d’eau et de végétal Une mauvaise ventilation SOURCES : Landsat, Grand Lyon, L’Agence d’Urbanisme

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ILOTS DE CHALEUR URBAIN P R E C O N I S A T I O N S

Surfaces perméables (Berlin)

ÉLÉMENTS GRAPHIQUES

Végétation et implantation (Barcelone)

Choix des matériaux (Lyon) - Homogénéiser et réduires les hauteurs - Favoriser la ventilation - Préférer des matériaux clairs et albédos faibles - Introduire l’eau et la végétation SOURCE : Grand Lyon, L’Agence d’Urbanisme, CSTB, Japan environment Agency

CLIMAT SENSIBLE TEMPÉRATURES

Températures ressenties - En fonction de la vitesse du vent et de la température de l’air donnée par Météo France prise sous abri.

Retour d’enquête auprès des habitants.

HABITANT «A» :

«Ben oui, il fait chaud, mais c’est la ville...c’est comme ça, c’est tout goudronné».

«J’habite dans une cour, c’est bien aéré...mais souvent dans la rue, on est souvent décoiffé» HABITANT «B» :

«Je n’habite pas ici, j’habite à Vaulx, mais ici c’est pareil...»

HABITANT «C» :

«J’habite plus au nord,mais j’aime bien me promener au bord du canal...ici il fait toujours bon, je ne vais jamais plus loin dans le quartier»

Climat ressenti sur le site - Approche du samedi 13 octobre 2012 à 15h.

SOURCES :

Laboiteverte.fr Enquête personnelle auprès des habitants Carte personnelle du climat ressenti

RESSENTIES

S Y N T H È S E

B L E U E

B L E U E

E

N

J

E

Enjeux de la gestion de l’eau : –> Se rapprocher du cycle naturel de l’eau.

–> La préservation et la réalimentation de la ressource en eau. (nappe de l’Est lyonnais) –> L’amélioration du système d’assainissement en limitant la quantité d’eau pluviale rejétée au réseau.

–> Une gestion économe de la ressource en eau.

Caractéristiques du site :

SOURCE : état des lieux, SAGE de l’est lyonnais, mai 2005

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X

HYDROGRAPHIE

AQUIFÈRES ET NAPPES SOUTERRAINES

Le site de projet est située sur la nappe fluvio-glaciaire de l’Est lyonnais à la limite de la nappe alluviale du Rhône (canal de Jonage) et à proximité des captages en eau potable de Décines et de Crépieux-Charmy.

–> possibilité de pompage thermique, ainsi que pour l’eau potable.

SOURCE : Agence d’Urbanisme de Lyon

HYDROGRAPHIE G É O L O G I E

ÉCOULEMENT DES NAPPES AQUIFÈRES – Ecoulement des nappes aquifères Située à l’exutoire d’un couloir fluvio-glaciaire la qualité de la nappe est dégradée par une concentration des polluants amonts (solvants chlorés).

– Géologie Le site de projet est situé dans les alluvions fluvio-glaciaires wurmiennes (Source: BRGM), à la limite des alluvions du Rhône matérialisée par le canal de Jonage.

–> sol perméable.

SOURCE :Commission locale de l’eau - 06/2007 BRGM

R I S Q U E S –Risque d’innondation Le risque est inexistant sur le site: les zones innondables sont situées de l’autre côté du Canal de Jonage. Cependant le rejet des eaux de surface peu aggraver le risque présent sur Vaulx-en-Velin.

–> minimiser les rejets en infiltrant sur place.

–Risque de pollution La nappe phréatique est soumise au risque de pollution du fait des activités industrielles et de la pollution des sols (ex : Arsenic, Plomb, Cuivre, au niveau du débouché du Métro).

–> éviter une infiltration dans les zones potentiellement polluées.

SOURCE :Commission locale de l’eau

PERMÉABILITÉ Le sol est peu perméable sur le secteur Villeurbanne la Soie -85%- du fait d’un bâti important ainsi que de nombreux parkings.

L’écoulement des eaux de ruissellement suit la pente naturelle du terrain orientée nord-ouest. Celles-ci sont récupérées par le réseau d’assainissement unitaire afin d’être traitées à 15km (Saint-Fons).

En cas d’orage, la surverse est rejetée dans le canal de Jonage au niveau du barrage hydro-électrique de Cusset.

–> La forte perméabilité du sol permet de limiter les surfaces d’infiltration à 2% de la surface collectée. (temps de retour de 30ans) –> Possibilité dans les zones à végétaliser d’utiliser le principe de phyto-rémédiation pour dépolluer le sol.

SOURCE : Agence d’Urbanisme de Lyon

PRÉCONISATIONS La réglementation actuelle impose le traitement des eaux pluviales à la parcelle. Etant donné le risque de pollution des sols présent, deux solutions sont possibles: -dépolluer le sol afin d’infiltrer sur place : coût économique important.

-mutualiser le système d’infiltration en collectant les eaux pluviales des parcelles polluées : solution préconisée. (cf. carte) Exemple de dispostif d’infiltration à l’échelle d’un quartier au parc technologique de la porte des alpes :

V E R T E

V E R T E

VILLE ET BIODIVERSITÉ

TRAME VERTE ET BLEUE : UNE POLITIQUE GLOBALE AU SERVICE DE LA BIODIVERSITÉ

Croisement d’écosystèmes Changement climatique Densification et étalement urbain : Imperméabilisation des sols et fragmentation des écosystèmes régionales Une biodiversité en zone Évolution de la consommation d’espaces urbanisés dans l’air métropolitaine de Lyon

LYON au carrefour de 4 zones biogéographies.

Trame verte et bleue, un engagement du Grenelle de l’Environnement.

Consommation humaine de l’espace entraîne une simplification, une fragmentation et une extinction des écosystèmes.

SOURCE : INPN (Inventaire national du patrimoine naturel) http://www.developpement-durable.gouv.fr/-Natura-2000,2414-.html

VILLE ET BIODIVERSITÉ COMPOSANTS DU RÉSEAU VERT DE L’AGGLOMÉRATION LYONNAISE

C O E U R S V E R T S

T R A M E V E R T E

COURONNE V E R T E

ZONE

POCHE

COURONNE NOURRICIÈRE

RÉSERVOIR

VERTE

Le SCOT prévoit un maillage continu d’espaces naturels et agricoles à valeur d’infrastructure. On la nomme ici la charpente environnementale.

SOURCE : SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) http://www.scot-agglolyon.fr/

VILLE ET BIODIVERSITÉ TENDANCE : RÉSEAU L’AGGLOMÉRATION

VERT DE LYONNAISE

LIAISONS V E R T E S Il s’agit d’espaces verts structurants reliant les différents composants du réseau vert (coulée verte, valorisation d’espaces verts, mise en place de voie douce). Ce maillage vert à pour but de rééquilibrer et de contrôler la fragmentation des écosystèmes, lié à l’extension du territoire urbain.

Le SCOT prévoit de s’appuyer sur les parcs urbains pour relier les espaces verts à l’intérieure de la ville.

La tendance étant de créer des continuités végétales pour accompagner le mouvement de la biodiversité.

SOURCE : SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) http://www.scot-agglolyon.fr/

VILLE ET BIODIVERSITÉ DES DE

RÉSEAUX PROXIMITÉ

ÉCOLOGIQUES MENACÉS

V VERT NORD _ PLAINE DU BIÉZIN Enjeu d’insertion paysagère Des espaces agricoles en sursis Un espace grignoté progressivement

GRAND PARC DE MIRIBEL Véritable réservoir biologique Un système alluvial actif mais perturbée Des espèces rares Milieu menacé Le parc de Miribel-Jonage, avec les Monts d’Or, sont les deux zones nodales à l’intérieure de l’agglomération lyonnaise. Les Zones d’extension d’étire le long des zones aquatiques, puis le long des corridors écologiques.

SOURCE : http://www.cartorera.rhonealpes.fr/ «Ressources environnements, cantons de Bron, Décines-Charpieu, Saint-Priest, Vaulxen-Velin»_Conseil général du Rhône. Réseau documentaire MRE.

VILLE ET BIODIVERSITÉ

TENDANCE : UN PROJET URBAIN COMME SOUTIEN AUX CORRIDORS MENACÉS Des corridors grignotés

Un projet urbain qui se veut trame Le projet urbain de Bruno Dumetier met en place une coulée verte Nord-Sud prenant sa source à l’hippodrome le long du canal (extension et corridor écologique prenant source au Parc de Miribel-Jonage). Un maillage végétale («parc habité» et «îloi fertile) remplace la perméabilisation des sols qui menace la plaine du Biézin.

SOURCE : Agence d’urbanisme de Lyon http://www.urbalyon.org/ _ Strcucturation morphologique et paysagère

VILLE ET BIODIVERSITÉ ÎLOT YOPLAIT RAL DOMINANT

: UN SOL MINÉET DES BARRIÈRES

Un sol essentiellement minéral Amande : jardins privés Des arbres de hauteurs accueillant des oiseaux L’abandon ou la mise en friche de certaines parcelles entraîne la prolifération de plantes invasives

Avec le projet urbain, les espaces se ferment dans l’attente d’une requalification. La biodiversité qui se trouve encore au sein des jardins privés de l’Amande, sont menacé par les plantes invasives qui se développent sur le site. La nature réapparait de façon anarchique.

SOURCE : Approche Environnementale de l’Urbanisme (AUE) Zac Yoplait et Tase_2008_TRANSFAIRE

VILLE ET BIODIVERSITÉ UNE FAUNE QUASI-INEXISTANTE SUR L’ÎLOT YOPLAIT

Chevreuil

Libellule

Martin pêcheur

Castors

Renard

Citron

Rapaces

Truites

Lièvre

Agrion de Mercure

Hérons

Blaireau

Lucane

On observe un affaiblissement des espèces présentes en milieux urbains. Alors que le parc de Miribel-Jonage accueille une faune variée, on ne trouve sur l’îlot Yoplait que quelques espèces visibles comme les oiseaux venant de la plaine du Biézin (ex:moineaux).

SOURCE : INPN (Inventaire national du patrimoine naturel) http://www.developpement-durable.gouv.fr/-Natura-2000,2414-.html

VILLE ET BIODIVERSITÉ TRAME VERTE ET BLEUE : UNE POLITIQUE GLOBALE AU SERVICE DE LA BIODIVERSITÉ

MORPHOLOGIE

Lien au sol

>> Relier les corridors écologiques de proximité par une continuité végétale >> Agrandir les voies douces pour laisser la place à une végétation variée et de hauteur différente.

Végétation des toitures : un relief utile en ville

>> Rendre les îlots perméables aux passages des animaux.

QUELLE TYPE DE VÉGÉTATION >> Préserver la diversité d’arbres déjà présent sur le site et s’appuyer dessus comme base végétale.

Jachère et prairie dans la ville : liberté naturelle

>> Éradiquer les plantes invasives induites par les friches. >> Choisir des plantes avec un faible besoin d’eau, car le sol est poreux et retient mal l’eau.

Zone de refuge pour les animaux (parc, haies, plantes grimpantes...)

>> Ou amener une terre plus dense >> Prévoir une dépollution des sols SOURCE : 1. Agence d’urbanisme, TRIBU 2. ZAC des Bords-de-Seine, située sur une friche industrielle de 16 hectares à Issy-lesMoulineaux 3. Cracovie dans le quartier de Nowa Huta

SENSIBLE

SENSIBLE

QUALITE DE L’AIR

L’AGGLOMERATION TRES

LYONNAISE POLLUEE

LOI SUR L’AIR ET SURVEILLANCE

Concentration moyenne du NO2 sur l’agglomération lyonnaise en 2009

Nombre de jours de dépassements du seuil journalier de 50 μg / m3 sur l’agglomération lyonnaise en 2009

Comparée aux villes lauréates du prix Capitale Verte Européenne, l’agglomération lyonnaise observe une très mauvaise qualité de l’air.

Echelle ATMO de la qualité moyenne de l’air La loi sur l’air du 30 décembre 1996 : > valeurs guides et limites > surveillance, information, planification locale (le PRQA, le PPA, le PDU) > objectif de qualité de l’air = enjeu de santé publique Observatoire Air Rhône-Alpes pour le suivi de la qualité de l’air > 22 stations de mesure dans différents sites :

urbain, périurbain, trafic, industriel, rural Indice ATMO représentation quotidienne sur une échelle de 1 à 10 la qualité moyenne de l’air (observations de 4 polluants) Sources : site du Grand Lyon http://www.grandlyon.com/ http://www.air-rhonealpes.fr AUE Projet urbain Carré de soir, Novembre 2005, Tekhnê/Soberco Environnement http://www.lyon-spiral.org/rubriques/?keyRubrique=qualite_de_ lair&keyMessage=loisurlair «Grand Lyon, Capitale verte de l’Europe?» Synthèse du diagnostic comparatif Juin 2011 Atelier Professionnel Institut d’Urbanisme de Lyon

QUALITE DE L’AIR PRINCIPAUX ORIGINES

Origines NOx - Oxydes d’azote (NO et NO2)

O3 - Ozone

trafic routier

Effets sur la santé

Objectif de qualité

affections respiratoires chroniques, des muqueuses

40 μg / m3 en moyenne annuelle

polluant secondaire troubles des pou(réactions entre rayonnement mons, effets lacrymogènes, irritasolaire et oxydes d’azote/ hydrocarbures) tion des muqueuses

SO2 - Dioxyde de soufre processus indistriels, moteurs affections respiradiesels toires CO - Oxydes de carbone asphyxie à forte / monoxyde de carbone trafic routier concentration (CO2) dans l’air respiré PM - Particules en circulation automobile, indusirritation appareil suspension trie, chauffage urbain respiratoire, asthme (PM10, PM2.5) foyers de combustion domesCOV - Composés tiques ou industriels, gaz gène olfactive, irritaorganiques volatils d’échappement des automotions, cancers HC - Hydrocarbures bileà essence cancérigène, diminuBenzène COV dangereux tion défense immunitaire combustion du charbon, la métallurgie des non feraffection système Pb plomb reux, sidérurgie, production nerveux de ciment, incinération de déchets

ET

POLLUANTS, EFFETS

110 μg / m3 en moyenne sur une plage de 8 heures pour la santé humaine 50 μg / m3 en moyenne annuelle.

10 mg / m3 en moyenne sur 8 heures 30 μg / m3 en moyenne annuelle

Inventaire d’émissions de polluants par secteurs d’activité en Rhône Alpes (2007)

2 μg / m3 en moyenne annuelle 2 μg / m3 en moyenne annuelle

NOx = bon révélateur de la pollution d’origine automobile O3 = se retrouve loin des sources de pollution SO2 = caractéristique des agglomérations industrialisées

0,25 μg / m3 en moyenne annuelle

Les principales sources de pollutions de l’air :

. industries

. trafic routier

. chauffage domestique ou tertiaire

SOURCES : AUE Projet urbain Carré de soir, Novembre 2005, Tekhnê/Soberco Environnement http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ECO_CLIMAT_RHONE-ALPES_ HD.pdf http://www.developpement-durable.gouv.fr/Normes-et-valeurs-limites.html

QUALITE DE L’AIR

SOURCES DE POLLUTION SUR LE SITE Sur notre site, les principales pollutions de l’air sont : - les émissions liées au chauffage et aux activités

. la chaufferie de Vaulx-en-Velin (émissions SO²)

. la chaufferie de Villeurbanne (émissions SO², NOx)

. ALSTOM (émissions SO², NOx, COV)

- les émissions liées à la circulation automobile sur les voiries du site, avec des effets

. directs (aux abords immédiats des infrastructures, sur quelques mètres de part et d’autre de la voie)

. indirects (phénomènes de transport, réactions des différents polluants entre eux (ozone) et effets cumulatifs à l’échelle d’une agglomération)

Les chaufferies environnantes et les voies de circulation automobile, sources de pollutions

Un bon révélateur de la pollution d’origine automobile, la teneurs en dioxyde d’azote NO2 en bordure de voie : + Teneur NO2 (μg/m3) mesurée -

Les facteurs influençant la dispersion des polluants

Brd périphérique L.Bonnevay : 62,5 μg/m3 RD 517/rue L.Blum/av. de Bohlen rue Salengro : 56,7μg/m3 rue de la Soie : 55,9 μg/m3 rue Grosso/av. des Canuts : 46,7 μg/m3 rue Poudrette Canal de jonage : 24.0 μg/m3 Hippodrome : 26,9 μg/m3 SOURCES : AUE Projet urbain Carré de soir, Novembre 2005, Tekhnê/Soberco Environnement http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php Révision du PPA de l’agglomération lyonnaise, juin 2012, DREAL Rhone-Alpes

NUISANCES ELECTROMAGNETIQUES D

E

F

I

N

I

T

I

O

N

S

Le champ éléctrique = proportionnel à la tension, due à une différence de répartition de charges électriques

Le champ électromagnétique = nuage invisible qui rayonne autour de tout appareil électrique branché, = présent dès que des charges électriques sont en mouvement

W/m²

(watt par mètre carré)

V/m

(volt par mètre)

Flux d’énergie se décomposant en 2 champs distincts : . un champ électrique . un champ magnétique

Le champ magnétique = lié au passage d’un courant électrique Plus le courant est élevé, plus le champ magnétique est grand

T Présence du champ électrique et du champ magnétique : exemple d’une lampe

(tesla) ou A/m (ampère par mètre) ou G (gauss) 1 µT = 10 mG = 0,8 A/m

SOURCES : Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements Electromagnétiques http://www.criirem.org http://www.bioelectric.be/ http://www.inrs.fr/accueil/risques/phenomene-physique/champ-electromagnetique.html

NUISANCES ELECTROMAGNETIQUES NUISANCES

SUR

LE

SITE

TEXTES REGLEMENTAIRES . Recommandation européenne du 12 juillet 1999 sur l’exposition du public aux champs électromagnétiques . Application française :

Arrêté technique du 17 mai 2001

Décret du 3 mai 2002 Seuils d’exposition limites aux champs électromagnétiques Champ Champ électrique 50Hz magnétique en kV/m en μT Exposition résidentielle 5 100 (24h/24) (5h/jour) Exposition profession10 500 nelle Distance de précaution :

pour une ligne THT 225 kV = 150 m

pour une ligne HT 63 kV = 100 m EXEMPLES DE CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES CHAMP ELECTRIQUE sous une ligne à très Haute Tension (2 x 400 kV) : 2000 V/m sous les câbles. près d’un ordinateur, à 10ccm : 100 V/m près d’un téléphone portable, à 2 cm : 50 V/m CHAMP MAGNETIQUE sous une ligne à Très Haute Tension (2 x 400 kV) : 20 µT sous les câbles. près d’un ordinateur, à 10 cm : 2µT près d’un radiateur électrique, à 30 cm : 1µT

De nombreuses nuisances électromagnétiques sur le site SOURCES : http://www.clefdeschamps.info/ http://www.cartoradio.fr/cartoradio/web/ AUE Projet urbain Carré de soir, Novembre 2005, Tekhnê/Soberco Environnement

R I S Q U E S

TECHNOLOGIQUE / SISMIQUE / RADON

Pas de risque technologique repéré sur le site ( pas de PPRT)

Aléa sismique faible

Absence de risques liés au Radon

RHONE (69) CARTE DES ACTIVITES VOLUMIQUES DU RADON DANS LES HABITATIONS BILAN JANVIER 2000

Inventaire des risques technologiques de l’agglomération lyonnaise Risque lié au transport de matières dangereuses : site à proximité d’un axe de transport secondaire (Bd périphérique)

Les recommandations de l’EUROCODE 8 doivent être appliquées aux bâtiments de catégorie III et IV ( établissements scolaires, habitations collectives et bureaux de h >28m, bâtiments pouvant accueillir + de 300 personnes, établissements sanitaires et sociaux...)

Sources : Les risques naturels et technologiques - Scot de l’agglomération lyonnaise Rapport de présentation «Etat initial de l’environnement» http://www.lyon-spiral.org/medias/cr_tmd/transit1.jpg MEDDTL. Réalisation : J. Boussageon / IRMa, mai 2011 ATLAS RADON : http://www.irsn.fr/FR/base_de_connaissances/Environnement/radioactivite-environnement/radon/Pages/4-Campagne-nationale-mesure-radon.aspx

P O L L U T I O N DES SOLS POTENTIALITÉS DÉGRADATIONS

DES

DE SOLS

Synthèse de l’occupation historique des sols (1900 à 2003)

Ces cartes montrent une potentialité non vérifiée de pollution des sols. Il est nécessaire d’effectuer des études complémentaires afin de valider ou non la présence de polluant.

SOURCES : AEU, ZAC de Yoplait et Tase - Villeurbanne et Vaulx-en-Velin, Avril 2008. TRANSFAIRE, Communauté Urbaine du Grand Lyon

ACOUSTIQUE

N

Nuisance sonore ponctuelle Largeur affectée par le bruit autour des voies au sens des arrêtés préfectoraux

U

I

S

A

N

C

E

S

L’ambiance sonore est altérée à proximité des voies : le bruit correspond à 70-75 dB ou 65-70 dB sur certaines voies, ce qui est considéré comme « gênant à nocif » selon les règles acoustiques en vigueur.

Plan d’Exposition au Bruit de l’Aérodrome de Lyon-Bron (zone d’incertitude) Ligne de Tramway Mesures effectuées de 2002 à 2005

Tout bâtiment construit dans un secteur affecté par le bruit

routier doit respecter un isolement acoustique

minimal de 30dB(A) à 45dB(A).

L’objectif est intérieurs à dB(A)

de

de limiter 35dB(A) nuit

(arrêté

les de

bruits jour

du

30

mai

résiduels et 30 1996).

SOURCES : http://www.bruit.fr/tout-sur-les-bruits/transports/trafic-routier/habitation-nouvelle/classement-des-voies-bruyantes.html AEU, Projet Urbain du Carré de Soie, Nov. 2005. TECHNE, Communauté Urbaine du Grand Lyon

PRÉCONISATIONS

QUALITE DE L’AIR >> Limiter les émissions de polluants (réduction du trafic, renouvellement des véhicules, conception bioclimatique) >> Limiter l’exposition des populations (maîtrise des densités) et mettre les espaces publics à l’abri des nuisances (fronts bâtis comme obstacles aux polluants). >> Limiter les effets d’accumulation : favoriser la dispersion des polluants en éloignant les façades des axes de circulation (profil favorable à une bonne ventilation) >> Ménager des ouvertures et des prises d’air sur des espaces moins dégradés dans les logements (aération des logements, logements traversants) NUISANCES ELECTROMAGNETIQUES >> S’éloigner autant que possible des sources de nuisances (lignes HT, antennes relai pour radiotéléphonie) >> Respecter les seuils d’exposition réglementaires par une distance de précaution sanitaire >> Enfouir les lignes HT et THT RISQUES TECHNOLOGIQUES >> Absence de risque ou risque très faible.

SISMICITE Le classement en zone 2 impose d’appliquer les recommandations de l’EUROCODE 8 à toute construction de bâtiments de catégorie III et IV. RADON Absence de risque ou risque très faible.

POLLUTION DES SOLS Privilégier l’implantation de programmes adaptés à la qualité des sols : industrie sur sol potentiellement pollué et habitats sur sol propre afin de limiter les frais importants dûs à la dépollution des sols.

HABITﾃ右

HABITﾃ右

ÉVOLUTION DE LA POPULATION

Popula'on Popula2on

UN QUARTIER TRANSFORMÉ PAR L’INDUSTRIE: BASSIN HISTORIQUE DE L’EMPLOI 1890: implantation usine hydro-électrique

44160

40339

Entre-deux-guerres: implantations massives d’usines (INEO-TASE-1924) 1960-1970: Créations des zones industrielles de la Soie, du Parc d’activité Decomberousse, Léon Blum...

44174

37866

39128

20726

Depuis 1980: moins de grosses entreprises, plus de PME. Bassin Urbain de l’emploi

1968

1975

1982

1990

1990-­‐1999

1999-­‐2009 3,8

Départ de la main d’oeuvre

2009

Varia%on de l'âge démographique Une population stagnante mais qui a tendance à vieillir entre 1990 et 2009

Arrivé massive de main d’oeuvre

Transformation des entreprises

1999

1,8 0,1 -­‐1,7

2,5

Total 3,2

3,2 0

-­‐2,4

-­‐0,4 -­‐1,3 -­‐1,7

-­‐1,3

30-­‐44

45-­‐59

3,26 2,1 1,16

-­‐5 0-­‐14

-­‐7,4 15-­‐29

SOURCES : tions principales

60-­‐74

75+

•INSEE, RP1968 à 1990 dénombrements - RP1999 et 2009 exploita•FORET Catherine. Carré de Soir: Esprit des lieux en 10 caractères

MIXITÉ CULTURELLE ET FONCTIONNEMENT DES MÉNAGES UNE HISTOIRE D’IMMIGRATION ET DE CULTURE : DIVERSITÉ CULTURELLE Ouverture des usines dans les années 1920

Répartition de la typologie et la taille des ménages à Vaulx-en-velin en 2009

Premières vagues d’immigration dès 1925: Italie, Pologne, Hongrie, Arménie, Espagne, Indochine, Afrique du Nord Regroupement des populations dans des associations de quartier

14 000 habitants à Carré de Soie (1% de la population Grand Lyon) Sortie d’usine et photo de classe à la TASE1926

Carte des associations des secteurs TASE et Yoplait

5 100 ménages (1,2% du Grand Lyon) 2,7 personnes par ménage (2,3 pour le Grand Lyon)

«Il existe dans notre quartier une mixité acceptée, qui se passe bien, avec la cohabitation de riches, de pauvres, d’une église protestante en plein quartier à forte immigration d’origine maghrébienne»

Intervenant, Compte rendu Atelier du 17 Mars 2009 sur Travailler, Habiter, Vivre

SOURCES : •INSEE, RP1999 et 2009 exploitations principales

•Concertations sur les secteurs TASE et Yoplait du 24 Mars 2009

•MARQUET, GUERIN, ATELIER D’ARCHITECTURE BRUNO DUMETIER, 2007, Projet Urbain - Carré de Soie, séquences 1 à 3

EMPLOI-CHÔMAGE-PRÉCARITÉ UN

SITE

SITUÉ

DANS

UNE

RÉGION

PRÉCAIRE

UN BASSIN D’EMPLOI MARQUÉ PAR LE CHÔMAGE

SITUATION ET ÉVOLUTION DE L’EMPLOI Évolution de l’emploi entre 1999 et 2009 à Vaulx-en-velin

1999

Carte des indices de précarité par commune de l’agglomération lyonaise

Indice de précarité très élevé (18) Calculé en fonction de la précarité monétaire, de l’emploi, et de la famille

Répartition du plus haut diplôme parmi les plus de 15 ans non scolarisés

2009

-Un secteur industriel en chute libre -Une offre commerciale qui explose -Taux de chômage à Vaulx-en-Velin en 2009: 19,9% -Une non-qualification des habitants

Vaulx-en-velin, plus faible revenu médian de Rhône-Alpes, n°6 en France

SOURCES :

•INSEE, RP1999 et 2009 exploitations principales •CAF 2006, DADS 2006, ANPE 2006, Cnam 2007

C O M M E R C E

MIXITÉ UNE

MIXITÉ

DE

FONCTIONS

DES

FONCTIONS

URBAINES

URBAINES Quelques entreprises présentes:

De plus en plus de services aux entreprises et peu de services à la personne.

La plupart des grandes entreprises compte moins de 20 salariés.

Le projet urbain en cours vise la création d’environ 9 000 emplois d’ici 2020, avec la création d’un pôle tertiaire alternatif à la Part-

Dieu M. GRAPIN: “On n’a pas forcement besoin de spa ou de fitness, on a juste besoin d’une boulangerie, d’un bureau de tabac, d’un boucher et quelques arbres.” mai 2004 INTERVENANT: “L’habitat de Vaulx Sud est essentiellement fait des personnes âgées qui n’ont aucun commerce de proximité, de qualité disons et pour qui ça pose un énorme probleme.”

SOURCES : •MARQUET, GUERIN, ATELIER D’ARCHITECTURE BRUNO DUMETIER, 2007, Projet Urbain - Carré de Soie, séquences 1 à 3

RESSENTIMENTS

LA

POPULATION

ABANDONNÉE

Sentiment d’abandon de certains groupes de Les ROMS de la RIZE populations à cause d’entretien insuffisant des ensembles d’habitat et des espaces publics, et surtout de l’absence de la mairie sur le site.

Astroballe Service cimetière

Côté Villeurbannais La Maison du Rhône Écoles La Maison de quartier La Maison sociale Cyprian les Brosses Le Centre social de Cusset La mairie annexe Côté Vaudais Un centre de loisirs sans hébergement, attaché à Bibliothèque-pôle enfance l’école Curie La salle Curie, dans laquelle les associations se réunissent Le centre social Service cimetière La bibliothèque la Paix

Installation des Roms sur un terrain privé (500 personnes).

Procédure d’expulsion: 270 Roms sont évacués début août 2011 pour être relogés dans l’urgence.

Aujourd’hui 150 personnes, dont une cinquantaine d’enfants, sont toujours là. Les riverains sont gênés par leur présence et ils ont des inquiétudes de santé et de sécurité.

Lassitude de la population vis-à-vis de la nonaction de la mairie.

INTERVENANT: ‘‘... les no man’s land, les endroits insalubres ou il n’y a pas de lumière, ça fait peur...’’

Jean VIDAL: ‘‘... c’est quand même un quartier qui est a l’abandon depuis des années...’’

Après l’ouverture du pôle de commerce et loisirs et les pistes cyclables : “On vient plus volontiers ici, pour des sorties familiales ou des visites culturelles, inimaginables il y a encore quelques années.”

SOURCES : •http://www.liberation.fr/societe/2012/08/31/que-deviennent-les-romsexpulses_843089

•Concertations sur les secteurs TASE et Yoplait du 24 Mars 2009

-une mixité culturelle à ne pas briser pour apporter une mixité sociale

PRÉCONISATIONS

Une revalorisation du quartier apportera indéniablement des nouvelles classes sociales dans la zone.

Elles ne doivent pas chasser la classe existante, et celle-ci doit toujours pouvoir s’identifier au quartier -offrir des lieux compatibles avec toutes les classes -garder l’esprit associatif du secteur

-une nouvelle typologie d’emploi -un nouveau quartier pour une à proximité nouvelle population

L’emploi a domicile changera l’usage du loge- Alors que la population vieillit, des aménagement. Il faut donc prévoir l’introduction d’une ments doivent être pensés pour qu’il puissent nouvelle cellule logement qui permet le travail avoir de l’affection pour le nouveau quartier à domicile -aménagements d’accessibilité -structures d’accueil et d’accompagnement

-une nouvelle identification de la population au quartier: marquer l’intéressement des services publics Pour contredire le sentiment d’abandon de la population, il faut marquer la présence publique: -nouveaux services communaux -qu’ils soient situés proche des lieux de travail / logement

SOURCES : •(fond de carte): MARQUET, GUERIN, ATELIER D’ARCHITECTURE BRUNO DUMETIER, 2007, Projet Urbain - Carré de Soie, séquences 1 à 3-p.14

D O U C E

D O U C E

ACCESIBILITE UNE

SITUATION

REMARQUABLE

17’ 7’ 11’

Vaulx-en-Velin Centre

18’ 14’ 27’

Part Dieu

20’ 23’ 40’

15’ 15’ 29’

Gare de Perrache

Eurexpo

Temps moyen en transport en commun Temps moyen en voiture Temps moyen en vélo Pôle Important de l’agglomération Lyonnaise Ville Centre

21’ 27’ 60’

26’ 17’ 41’

Aéroport de St Exupéry

Gare de Venissieux

Périphérique

Une proximité avec le centre de Lyon, un site à la croisée des grands axes de transports routiers et de transports en commun offre à Carré de Soie une place stratégique dans l’agglomération Lyonnaise.

SOURCE : fr.mappy.com ; www.tcl.fr ; www.geovelo.fr ; «Cadrage du projet Carré de Soie à l’échelle de la couronne ESt .», Agence d’Urbanisme pour le developpement de l’agglomération Lyonnaise, 2005.

V UN

I

A

TERRITOIRE

I

DE

R

E

TRANSIT

Voie d’agglomération Voie d’agglomération

nt Bonnev ay rd Laur ent Bonne vay Bouleva

rd Laur e Bouleva

Poudrette Rue d e la

Poudrette Rue d e la

Réseau LESLYS Réseau LESLYS Places de Parking Places de Parking

471

1800

R Rue GrousesoGrosso

Rue R. Salengro

Rue Rue de de l la S a Soie oie

Voie de distribution

Avenue F .

R o o sevelt Avenu e F .

R oosevelt

1800

en

Rue R. Salengro

680

680

eBnolh h l e o d dneuBe e e u v n A Ave

2 x 3 voies séparés 90 km Absence circulation piétonne Absence végétation

471

Rue A. Dumas Rue A. Dumas

Voie de distribution 2 x 2 voies 50 km Circulation piétonne limitée Absence végétation

Liaison Interquartier Liaison Interquartier 2 x 1 voies 50 km Circulation piétonne confortable Absence végétation

Desserte de quartier Desserte de quartier

Rou Route te d de e G Gen ena as s

1 x 1 voie 50 km Circulation piétonne confortable Absence végétation

Le quartier est cerné par de grandes voies de circulation routière, le rendant facilement accessible mais exposant les riverains à une multitudes de contraintes ( Bruit, Pollution, Traffic). Il est necessaire de repenser une hiéarchisation de la voirie et de favoriser le maillage es desserte de quartier.

SOURCE : «Carré de Soie - Etude de déplacement «, égis mobilité,2009.

TRANSPORT EN COMMUN UN CARREFOUR STATEGIQUE POUR L’AGGLOMERATION

Deux pôles multimodaux importants à l’échelle de l’agglomération avec Vaulx-en-Velin La Soie et L. Bonnevay

Tramway T3 (liaison Part-Dieu – Meyzieu Z : fréquence de 8

minutes aux heures de pointes

Métro A (liaison presqu’île – La Soie) : fréquence de 3 à aux heures de pointes

6 minutes

Réseau de Bus Arrêt de Bus : Aucune zone à plus de 200

m d’une ligne

Bonne couverture géographique du réseau de bus : 8 lignes de bus : de10

à 20 minutes aux heures de pointes

Le site possède de infrastructure permettant une bonne accessibilité en transport en commun. Toutefois les liaisons Nord / Sud ainsi que les voies aménagées pour les transport en commun restent très limitées.

SOURCE : www.tcl.fr ; «Carré de Soie - Etude de déplacement «, égis mobilité,2009..

C Y C L A B L E

UN

RESEAU

A

DEVELOPPER

Bande cyclable

Espace défini le long de la chaussée.

Pas de séparation physique entre les voies automobiles & les voies cyclables.

Utilisé pour les déplacements quotidiens.

Piste cyclable A

v

v v

Espace défini le long d’un axe routier.

Séparation physique entre les voies automobiles & les voies cyclables.

Voies végétalisées Utilisé pour les déplacements quotidiens (Voie Rapide).

Piste cyclable B

v

Axe défini le long du T3.

Séparation physique entre les voies automobiles, le tramway,et les voies cyclables.

Voies végétalisées Utilisé pour les déplacements quotidiens ( Voie Rapide).

Promenade

Axe défini le long du canal de Jonage.

Absence de voie automobile.

Cadre «naturel» (Canal & Végétation) Utilisé pour le loisirs (Promenade)

Le site est traversé d’Est en Ouest par une piste cyclable confortablement aménagée, mais le réseau reste discontinu et les voies incommodes voir dangereuse. Il est nécessaire de rénover le réseau cyclable, de le densifier et de relier par des voies douces le sud du site à la promenade le long du canal.

SOURCE : www.velov.grandlyon.com ; «Carré de Soie - Etude de déplacement «, égis mobilité,2009.

P

Consomation courante 1 2 3 4

3

1

4

3

2 1

2

2

1

2

Boucherie Café-Bistrot Coiffeur Epicerie

2 1

2

2

1

4

5 min

10 min

O

N

Pôle Multimodal Vaulx la soie Pôle Multimodal Laurent Bonnevay

Education 1 2 3

Hyppodrome Centre Commercial Centre Nautique Astroballe

Santé 1 2

Ecole maternelle/primaire Collège Lycée

Pharmacie Service de santé local

3

1

1

3

T

Transport en commun 1

Culture 1 Cinéma 2 Bibliothèque

1

E

2

Loisirs

3

I

2

2

4

Circulation piétonne agréable et facilitée

Promenade piétonne Canal de Jonage

15 min

Les nouveaux aménagements (en particulier le long de T3) reflètent une volonté de développement du confort des piétons sur le secteur. Mais les distances à pied pour les déplacements de la vie quotidienne reste importante.

SOURCE : «Approche environnementale de l’urbanisme», Transfaire, 2008 ; maps. google.fr.

VILLEURBANNE LA SOIE HIEARCHISATION

Pôle Multimodal Vaulx la Soie Arrêt transport en commun (Bus, Tram)

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Voie de distribution Liaison inter-quartier Desserte Douce (Voie piétonne & cyclable aménagée

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Le passé industriel explique le faible nombre de voiries sur le site de Villeurbanne-Carré de Soie. Les voies sont toutes dévolu au transport routier et les modes de déplacements doux sont absences sur la parcelle.

SOURCE : «Carré de Soie - Etude de déplacement «, égis mobilité,2009. ; Mesures sur le terrain.

PROJET CARRE DE SOIE

NOUVELLE HIEARCHISATION DES VOIES

Voie de distribution Liaisons inter-quartiers Dessertes locales Voies douces (piéton & Cyclable

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Dans le cardre du projet urbain carré de Soie, les voiries de la Zac Yoplait ont été redéfinies pour faciliter le déplacement à pied et en vélo. Les voies routières sont réduites et la végétation redonne de la qualité aux espaces publics.

SOURCE : «Quartier Villeurbanne-La Soie Comité de pilotage», Dumetier Design, 2012.

PRÉCONISATIONS

1_1_ Franchir lesles limites physique du site et et Franchir limites physique du site renforcer lesles liens avec les les territoires envi-envirenforcer liens avec territoires ronnants. ronnants.

2_2_ Limiter la vocation de transit du quartier Limiter la vocation de transit du quartier uneune fonction et et réserver à laà voirie internes fonction réserver la voirie internes essentiellement de de desserte desdes quartiers. essentiellement desserte quartiers.

3_3_Developper la la desserte Nord/Sud du du Developper desserte Nord/Sud quartier et notamment les accès aux esquartier et notamment les accès aux espaces de loisirs au Nord. paces de loisirs au Nord.

4_ Concevoir un maillage performant de 4_ Concevoir un maillage performant de cheminements piétonniers et de pistes cycheminements piétonniers et de pistes cyclables et leur permettre une convergence clables leur permettre une convergence très forte et vers le pôle multimodal Vaulx la très forte vers le pôle multimodal Vaulx la Soie.

Soie.

5_ Hiéarchiser et caractériser les voies de 5_ Hiéarchiser et de caractériser les voies Villeurbannes Carré Soie. Imaginer les de Villeurbannes Carré de déplacements essentiels surSoie. le siteImaginer (chemi- les déplacements essentiels nement vélo, sortie d’école...)sur le site (cheminement vélo, sortie d’école...)

6_ Offrir un cadre agréable à la circulation piétonne cyclable : Séparation les 6_ Offriretun cadre agréable à laavec circulation voies routière, piétonne etvégétalisation... cyclable : Séparation avec les voies routière, végétalisation...

AMBIANCE

AMBIANCE

A C O U S T I Q U E AMBIANCES

SONORES

1

2

1 Le bruit de la circulation automobile domine. A proximité des voies, il est impossible de s’en extraire.

Les rues situées à l’écart offrent une protection face à ces nuisances, un temps de pause.

2 L’atemporalité qui règne au coeur du site est rompue ponctuellement par les bruits des lieux de rencontre et de travail dont on reconnait clairement les signatures sonores.

LUMIERE NATURELLE QUALITES

12 OCT 12h

27 SEPT 15h

4 OCT 18h

D’AMBIANCES

LUMINEUSES

Ciel couvert, lumière diffuse.

Atemporalité, cette lumière laisse en marge du temps.

Ciel dégagé, lumière ponctuelle.

Perception du temps qui passe grâce aux variations lumineuses et aux déplacement des ombres.

La couleur de la lumière évolue en fonction des conditions atmosphériques et du moment de la journée.

Dans tous les cas, lumière intense grâce à la forte présence du ciel. et à la faible hauteur du bâti

ECLAIRAGE PUBLIC

POLLUTION

LUMINEUSE

Les éclairages publics sont situés d’un seul côté des voies éclairées selon des espacements aléatoires. Les espaces privés possèdent leur propres équipements.

Les systèmes d’éclairage nocturne du site sont très hétérogènes.

SOURCE : Carte de pollution lumineuse AVEX

RAPPORT A L’EAU POLITIQUE DU GRAND LYON PAR RAPPORT A L’EAU Les berges du Rhône

Les rives de Saône

© Base - juin 2011

Le projet de l’Anneau bleu, à la reconquête des berges du canal de jonage Le rapport entre l’eau et la ville, différentes évolutions au fil du temps :

. gestion du risque (inondations, digues)

. aspect utilitaire (transport fluvial, hydroélectricité)

. loisirs (détente, sport, promenade) > outil d’aménagement durable : amélioration du cadre de vie (loisirs, sports, paysage) contribution à la biodiversité

SOURCES : site du Grand Lyon http://www.grandlyon.com/ «Les berges du Canal de jonage, au bord de l’eau entre ville et nature» sur www.meyzieu.fr

RAPPORT A L’EAU

RAPPORT AU CANAL DE JONAGE SUR LE SITE

Un canal accessible, sans barrière topographique, mais lointain

Un site non sécurisé et non mis en valeur

De premiers espaces publics créés

Des lieux pour les sportifs et les promeneurs déjà présents

Les quelques accès au Canal de jonage depuis notre site ne sont pas assez mis en valeur.

L’exploitation des berges du Canal de jonage est pourtant déjà en cours (Anneau Bleu), comme en témoigne la présence de premiers aménagements.

Projet de l’Anneau Bleu : Halte de Montaberlet

SOURCES : «Les berges du Canal de jonage, au bord de l’eau entre ville et nature» sur www.meyzieu.fr

P R É C O N I S AT I O N S

AMBIANCE SONORE Protéger les habitations des nuisances sonores causées par la circulation automobile de la rue Léon Blum.

Préserver les zones qui offrent un temps de pause.

LUMIERE NATURELLE Conserver la forte intensité lumineuse disponible sur le site.

ECLAIRAGE PUBLIC Requalifier et harmoniser l’éclairage public du site tout en limitant la pollution lumineuse.

RAPPORT AU CANAL DE JONAGE Mettre en valeur l’accès au canal

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PRÉCONISATIONS Pénétration / Continuité Maillage routier Bassin de rétention / Inflitration Pôle multimodale Mise en valeur des Berges (potentiel paysager)

PRÉCONISATIONS

ÉTUDIANTS ENSAL/ENSAG M2 AA&CC AUBLANC Amélie BOUILLE Leslie CHERRIER Julia CLOUZEAU Baptiste DEMIREL Eda FUZELLIER Lucille LAGADEC Ronan LURIN Xavier PELLISSIER Eugénie RASOLONJATOVO Fanny ROGNARD Ned MEVIN Ismaël SEWANOU Marcel