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OUATITÉ DE NOTRE ENVNONNTÀIiEM.
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PAPÊÊTE
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MAGAZINE N.2
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DruxrÈME aD]no,! dtt mngûzinc d'infornnlion
ln.'ille de Pnpeele.st plncdr sous Le siSne Llu r onenu. Nou?elle placc Vaiete,lta ïeau PInn gétûal d'anÉMgeule t (PGA), nourmuli lotisse cnts, toa)enut lr lsports ett cafitfiun, nou.,elles cottsh'uîtio de
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Vaietefaitplaceàlafête....................................... Aménagement I Papeete adapie son urDanisme
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Lotement social i Nouvelle ténération de lotissements à lâ Mission ... ..... 10 Transports: Oti le truck, bonjou le bus............. ---... --.. 18
.... ..... ..22 : Au service des jeunes entreprises ..... .24
Atisanat : Ilinitiâtive exemplaire d'Art Tahiti Atelierc - relâis
HôtellerieIRénovationduMandarin.......
... .... --..
Tôurd'horizonduNet..... -..................... ......... .....
@ Le.êntrevillesedensifie................................
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pout un centrc r,ilLe elt pleinboônt... Le naire, Michel
Builllrd,
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nicipûlité et L:s citoyens
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Papecte esl résolut't.fi|entÉe dansle
na |'ea millénnirc' Ellc dtl,i,:nt rcpidetnent utrc otiic rille, dt phLs etl PIus caqutltt, tryÉallc à,ri|,re el rttiltie, ûne si ce dlr.clopltet elt,1e |ja pas loujarrc snns poset quehl es
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Côté montagne: La face cachée de
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Tipaerui ..........
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Btuttt.
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LecarnavaldeTahiti2001...................................................55
trEE Comment voient-ils leur ville ?:
..... .. ...... -..58 .femme-Ilic' à Papeete. ....... 59
Le peintre Gilles Le Guen........................
Portrâit : Mâité Sacault
ans .... ..... --...61 Collège api à Fadipiti .................................... ... ........ ..... 62 Le lycee Paul Gauguin a fêté ses 100
@ ......
....64
... .....
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Le nouveau conseil municipal de Papeete..........
Cons€ilsdequartier:Taunoâouwelâvoie.. Organigramme de 1â Mairie de Papeete..............
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Pour une police de proximité Plus efficace Annuaire des administrations de la ville ..... ......
Sécunté
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à décou?rû cettaitl.
nsf,:cts c]ltltn( In i,nllle dc laTipûerui,la qunlilé et lo
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Uavenue Bruat, d'hier à aujourd'hui
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s?ûld l rc oltrdée. O constatt, e plttictùier, l'apparitiott de tnnbrùses fenncs calÉeillèrcs rtunicholes, très molirets el dvnnniq es. Grantle lto uii té, en|itl,Ies cot.seils de q tûtict, 1,li ltables coutroies fu *nnsnission fu ]a contntLtiicitialt cttlrc la
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Desarbresdans14vilIe..................................... Gestion des déchets I Le centre de tri de Motu Uta
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dcs drhres dans Ia L,ille ou
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rbanisme
Pareete bv night
Vaiete Depuis sa rénovation, la place Vaiete est redevenue un haut lieu d'animalion et
de rencontre, À la tombée de la nuit, elle vibre de nombreuses
bû|8 ntia" de1rlllaeVaietè\e16Jtrriùr 2au ( h
Présidûû
Flasse
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r1escs
nnisrre et
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M.
Britld
ûûnedeIapEtu
manilestations publiques et accueille
désormais les roulottes dans
d'excellentes conditions. Dans le prolongement des bars et restaurants
de la rue des Ecoles, réservée aux piétons, un
UE DE CHANCEI\,IENTS
était malheureusement d€l'e
véritable pôle
sûr le frôni de mer ! Depuis le 16 février
Désormâis, les promeneurs
d'attractlon
2001, date de son inauguraiior! Vaiete fait place à la fêie,
ont retrouvé le chemin de Vaiete, la nouvelle piace ac-
renouant ainsi avec son an-
cueillani à Ia tombée de la nuit, en pârticulier le weekend, de plus en plus de tou
nocturne s'est créé
pour le plus grand bonheur des citadins et des visiteurs.
I
cienne tradition. Jusqu'à l'avènement de la place To'ata 2000, Vaiete accueillait en €Ifet les troupes de chant et
enjujn
de dânses du Heiva, mais aussi les roulottes du ûont de mer Mais, depuis le dépârt de ces dernières, l'esplânade
ristes et de résidenis attirés par les nombreùses manif€s
tations organisaes sur cette
d'un kiosque à musique. Artistes et artisans (sculp teurs, musiciens, danseurs, €ic.) se relaient châque semâine sous la houlette du GIP, gestionnaire du site,
pour
en âssurer l'animation, âtti' rant pârfoisjusqu'à 4 000 vi-
siteurs I Conçu comme n tremplin artistique, ouvert à touies lcs formes d'expres'
200 rnZ dotée
sion, la Tôhuâ Vaiete €st bel
de bâncs eiré\'erbères, dc sa-
€t bien partic pour rencontrer
nitâires publics (merci
un réel succès populaire-
esplanade de
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1)
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Ci-dlsirs : Lekiotque à ntÉique Q ro
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Vaiete = Papeete
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Vâiete ou Vdi'ete ( 'eôu qui jaillit) pourrait être l'êncien nom d€ Papeete,val signifiant eau, tout comme pape, lulals, le mot serail devenu tâpu (interdit), car â coutume appelée pi'i interdlsail aulrefois l'usage d'un lerme faisant partie du norn d'!n chef (il pourra t s'agir du chef Vâitua). Dès ors, va, alrait été remplacé par pape (source :. Dictionnaire illustré de la Palynésie). Il y â environ 150 ans, la rivière Papeava débouchêit au niveau de la place Vaiete, jusqu'à ce que € gouverneur Bruât fit recllfier son cours, âsséchant les marécages alentoLrr el créant, à proximité lmmédiate (à
halteur du quai des paquebots), un marché aux poissons (volr rubrique Histaire). C'esl aussi sur lâ Tahua Vaiele que fut implantée, ef 1945, a prenrière Assemblée territoriale. Enfin, avant l'aménôgement de l4olu ljla en 1962, cette partie du front de mer accueillail les pontons et es goélettes des comptoirs des négociants et, jusqu'au début des années 1970, Les hangars liés à l'activité commercia e du port.
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Papeete adapte
son urbanisme
Depuis 1965, Papeete a vécu sur un même plan d,urbanisme. L'essor de la ville et l'évolution des besoins exigêaient l'élaboration d'un nouveau Plan cénéral d'Aménagement (pcA). Quelles seront, demain, les règles déIinissant la hauteur des immeubles, le style des toitures ou la création de parkings et de végétation ? Autant de questions auxquelles le projet de PGA, actuêllement en cours, s'attache à répondre.
onne
N MArIÈRE D'URBANrSME,
peut
n'imporre
pas faire n'importe quoi,
En dehors du centre Zones d'habitat (de moyenne densité) i hauteur des imrneubles portées à 15 m (comme au centre ville), excepté surtout le secteur de l|âmâo oir les constructions seront autorisées jusqu'à 20-25 m
indique François Dupuis, l,urbâniste chargé d,élaborer le tutur pcA.
où et n'importe comment. Des règles de conshuction et d'architecture
doivmt eûster et s'adapter selon les zones d'une ville et leur vocation (habitat, com-
"Un programme d'aménageheflt est la science,I'att,la politique dont I'objel est de ûéet le nilieu nécæsaire à Ia production et au M-
velolryent
d.es
ut-
Ieurs humaines,
industries, etc.) définies par le
PGA. Avec le
4.5 étages en centre
rille
rehait). Une disposition qui a conduii, d'une part à multiplier les retraits de
Papeete où I'on
vit avec le même
nisme
depuis
néitedefxet néraks qae
Ie
n
proiet en
æ*s ie renet
q!
d'alffl.r
(Fare Ute, Tipaerui, Titioro..,) I redélimitation de ces zones compte tenu de leur propagation naturelle depujs
le premier
srsté
d'une nouvelle zone (quartier Bntat
disposons d,un zo-
par exemp e) oir lâ <végétalisâtion>
conL'ient sjmplenent d'onétioft. d'adîptt àI'éoalutinn d.1' cîpitale (hÈ
11
et
les
co
in?s,
PGA
Zone dite d'équipements (administrâtions. écoles, etc.) | il s,agit
gé-
rifeotin du ce tEù11e...), sans p1ut o ta t fûte t|ble rase tu passé,, bitat
I
sn
pns
s
charge du pro-
(zone d' ctivité)
a eu le
cerkin nonbe d'oÀdtotio
fttltiq eneit etl carse. Nolts qqe
plan
Ja
Zone ind0stdelle ou
l'architecte Rodolphe "Ce
même limitation
moteur
mais officialisé. Il faudrâ donc attendre 1965 poû que le premier PGA de 1â vilte, Weinmann, soit approuvé .
i
de hauteur qu'en bord de mer mâis,
delà, elles seront à
schéma d'aménagement qui ne sera ja-
par
Sur les collines
prévoir les infrastructures de base (voirie, stations de pompage...). A!-
trente-cinq ans. Dans les années 50, l'urbaniste Robeft Auzelle, en mission sur le Terdtoire, avait déjà jeté les bases d,un
mené
.
mentaire concernant la constructibÈ lité des terrâins en pente. Jusqu'à la cote 100, Ia commune est tenue de
le câs à d'urba-
rehausser les façades de 7 à 10 m
surtout, définition d'un cadre régle-
doivent évoluer
plan
gement, si ce n'est la possibilité de
en c€nhe ville est en p ncipe limitée à onze mètres (avec possibilité d'éra8e en
temps, ces règles
C'est
Bord de mer : pôs de grând chan-
La hauteur des façades des immeubles
et lâ rénovation des bâtiments anciens seront encouraqées,
de
Inndble
To'a Tiaft tue
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bgotàe
I
ganls
mornÛnts de votre
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vec les produits que séIectinnne Cécile
wiceriï fine, chnrcuteie et bouchaùe,
toû aulong
de l'année, dmrs ses rororls
sa crémeie, sa viennoisefie mais
caw excepfnntwlle; vos fêtes, réceptims ourepas entre ami,s seront touiours un etrchantement pour les palais arcrtis, comme autnnt de sotnenirs inoublinblns, dont vous serez Ie digne maître d'æuvre... et dont Cécile demeurera conplire. sa
Swetmarché - Epiceie fne " Pâtlssede - Ul/,tùtoiÂeri.e - Seûwe Cocktail - Cave 104, avenùe du commandânt outeftutu
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arcsi
û
[,,/
rbanisme Plus de vert
nouvelles règles ne sont pas encore définitivement figé€s. Parmi les solutions €n'isatées, on étudie, entre âutres, la
!
ljun des fléaux du développement urbâin est la prolifération du béton, au détrlment de la végétation. Dâns les zones d'habitation (hormis le centre ville oir les terrâins sont constructibles à 100 o/o) l'actuel plan d'urbanisme êvâit prévu une imitation à 50 qo de la surfèce de toitures. cependânt, l'expérience è montré qle ce taux pouvait très bi€n être respecté sans pour autant enqendrer lâ création d'espaces verts, l'aLltre moilié de I'espace se métamorphosânt en p-àrking bituûé | Dôns la nouvelle régle_ mentation, lâ surface ne serait plus limitée, mais un pourcentage de véqétation serait imposé. Dès lors, outre lesjardinières en façôde, les jardins suspendus et autres, un pàrking pla nté d'ârbres ou pourvu d'une dalle de gazon, par exemple, pourrait être considéré comme <surface végétalisée>.
façon pa#ois anârchique, d'âutre part, à recourir d e plus en plus aux dérogations
afin de pouvoir construire desR+4(rczde-châussée plus quâtre étages). Aussi, le lutur PGA prévoit-il désormâis de por ter cette hauteur à quinze mètres pour pennettre la réalisâtion debâiiments de quatre voire cinq étâ8es âv€c conbles, à
r
toit'terrasse destiné à accueillir un par-
tagit uloùt tu toihts de Papæk A iotrdhui,hsi lteùbkstes pltLs t1ûtothnts de tn I)iue so te lait les poquebats de misiit !Ar, que ûieht lès loutkks ?
king poùvani être jûstifié.,tl
possibilité pour un promoteur de réaliser tout ou partie des plâces de parking nécessaires à son projet sur un terrain vôisin ô! de.oniribuêrà lâ créâlion d un parking collectif ou public..
Pa*inç dt I'iùft.able
To o
Tiot
Robèrt Auzelle avait vu iuste
d aùéLiarer |'tsthélique et I honû*énéita
LIn anûs
d.
tôles turillées
tt
d
appùttis", dé-
En 1950, l'urbaniste Robert Auzelle,
en mission sur l€ territoire, élôborait un plan d'aménagement de Pêpeete qui ne sera, cependant,
ja-
mais approuvé officiellement par les
plore Franço]s Dupuis. Autre argument plaidant en faveur des toitures à pans : la
autorités, bien que certâines
immobilièl€s en cours, en particulier dans le secteur de la Câthédrale.
possibilité d'anénager l'intérieur des
constructions (rue Gauguin, angle
combles en mezzanine, bureau ou autres.
rue Colette, par exemple) furent
T)itures plus honmgènes
Pârkings nieux définis
l'image d'un bon nombre d'opérâtions
Au sol, pas de chângementnotable I Le princlpe de la galerie couverte est réal firmé. En rcvanche. la toiture à 45" (conme celle de l'inneuble rénové récemment en fac€ du Loto), sera préconi sée sans pour autant être obligâtoirc, un
Si les disposiiions actuelles en matière
de parkings soni relativement claires pour les habitations (une place par 1oSement) et les commerces (le nombre de places variant suivant la surface commeiciale), ûn flou total subsistait pour les bureaur et se ices. Faut il traduire
une place de parking par bureau par place po r tout le local,, ou uune "une place pour la secrétaire,
plus
ne pour le
Leprcjetde PGA prévoit de clarifierla situaiioû en calculant à l'avenirle nombrc de places à pardirecteur plus...', etc.
?
tir des surfâces âffectées. Le problèm€ du stationnement au centre ville est plus compliqué. Jusqu'à prés€nt, I oblitaiion fâite aux promo-
Toitute à 45' de l'inneuble
c
lûce
dr
teurs immobiliers de construjrc des parkjngs y â souvent été souvent tournée par un recours àla dérotâtionsans com1ot0
pensation. Ce ne sera plus possible. Les
réalisées pàr la suite conformément à ses recommandations, En celte époque d'âprès-guerre, la voiie de Papeete, en mauvais étât,
était celle d'un gËnd village. Les feux rouges n'existaient pas, la circulation était hasardeuse, Aussi, préconisa-t-il un élargissement de la voirie et la construction de trottoirs, Pâr ailleurs, l'accroissement démographique fut tel, qu'en 1956, Pape€te concentrait la moitié des hôbitarlts de Tahiti. (déjà l) Le "plan Auzelle>prévoyâit des opérations d'assâinissement par
un réseâu d'égouts évacuant les eâux usées et de ruissellement. Il proposait égôlement la création de cités de reloqement pour résorber les bâtisses lnsalubres et la réalF sâtion de nouveaux quartiers d'habilations... LJne préoccupation tou-
jours d'actualité
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Mi s sr0n .
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À deux pas du centre
^ .\ile\, L,l|L\
ville, le quanier de la
CEP, sont venues s'installer en ville.
èliirees
parlesmirdtesdu
elles le nLhc t'anille logemetl plus .ouvent Dàr ile Ia capitale. Ouire le ftssel,,bte a dts oispau\ sa |tià. d'orisine, et ont dësecteur dê Màm;o oir u nepc tPûsil? elletne l r elop"pê un habirar une $os.e operàrion anarchique, composé tolet et ne pas se rcposer.-, de résorytion de l'hade construciions préBiattiet Vt&uttor. bitat insalubre est en .a YillÙe Ettilotinh cours (300 relogements caires, plus ou moins insalubres. Les nomprogrammés), la s'agrandissânt,
Mission accueillera, en
2002, cinq lotissements sociaux, soit 300 logements implantés dans un secteur à
I'environnement préservé. Les derniers
se
sont regroupées,
breuses opérations immobilières sent auiourd'hui à l'expulsion de
conduifamilles
Mission a fait l'objet de deux récentes opérations menées par I'OPH (Office Polynésien de l'Habitat) sur les hauteurs
qui, ne possedant généralement pas de terrains, ne peuvent prétendre ni au fare du quartier, dont une linable en 2002.
programmes, bâtis sur les hauteurs, reflètent l'émergence d'une nouvelle génération
d'habitat social, plus agréable à vivre,
I
une priorite màleurepour ld ville. Surles T00logements sociaux par an piogram, rnés sur Tahiti, 50 o/o sont con.entrés dans sans
En
lô.
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B.P. 11990 MAHINA . TAHITI
Vallée de TUAURU Tél:(689) 50 38 38
Faxtlml
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E-mail i rotopol@mail.pf
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ROTOMOULAGE DE POLYN ESIE
CITERNES
POUBELLES SUR ROUTETTES ,-
1ù.-
T
& CUVES TOUTES TAILLES
!f rbanisme les nouveaux venus sont resiés ei, aujourd'hui, quarante-deux famill€s viveni à Te Arohâ sur des terrains communaux
acheté au CAMICA.
d'Administration d€
le Consêil lâ Mission
Câtholique qui, régutièrement, continue de céder une partie de ses nombreuses terr€s poul permettre la constnrction de logements sociaux,
Aux trois premiers
lotissements, construits il y a une quinzâine d'années , Papeava, enbas de Ia vallée, puis Tepapa
oir viveni des famiues de Titioro "relogées, et les Hauts du Tira -, est venu s'ajouter (]es Balcons deTepapa, achevé en novembre 2000.
Nourellc gindrâtion locâti
t
e
quatier de la Missior! dont 90 % de population est odginaire des Tûamot! , Le
lâ
Iait un peu figure de s€cteur .privilégié,
:
voirie rcfaite, €nvironnement (v€rt,, hauteurs épargnées par la châIeur... .I Vl? Lolisseftent ,ler Hnuts
d
cettes
Titd,
tiet
tauiat5
est
plutôl
des
pnblèûfts
ûtiae d6 o$o.intians et
3 De llâmâo à lâ \lissiôn
Iotial... "Er1955-60,iln1J otoit 4 asi enttun
Le développement du quartier de la Mission date des années 70 avec ]a naissance, dans la
destiné
à
vallê. du quariier
Te
Aroha
reloSer l€s habitants de Mamao,
lors de la construction de l'hôpital terri-
do s to rillle : iuste des gald.tierc et des Mches q an laissrit diois û daltslln hîd...,, évoque
Marcelino Teata, président de la fédération Te Ui api no Papeete (regroupement d'associations de quariiers), qui habiiela Mission depuis quârante'cinq ans. Puis,
MTR temporaires pour des familles de Mamao
socût\
ctrln., atoftndl
nnis
grâce à la
des p6roisses;,
le
quûr
pés.np
indique
Mârcelino Teata. Un contexte favorable, conforié pâr l'émergence d'une nouvelle génération de lotissements sociaux mieux .pensés' donc plus agréables à vivre, à l'image des cinquante-six logements des Bâlcons de Tepapa. Plutôt qu'une <barre, de béton, l'architecte Philippe Grandou a opté pour un ensemble réparii en cinq
Aide Familiale au Logement
:
pour qui, comment ? Plusieurs familles du quartier f4âmao Aivi. menacé par les éboulements de la falaise, ont été relogées temporairement dans six fare I4TR constrLrits, en urgence, à
proximité du lotissement social des Hauts du Tira sur les hêuteurs de la Mission, Elles devront ensuite regôqner le tefêin Ah Fat mière tranche de logements (20 logements
smig (150 000 Fcfp). Cependant, pour les nouveô!x logements sociaux (livrés en 1999-2000 et à venir. parmi
collectifs et 18 maisons individuelles jumelées -
lesquels les lotissements Tepapa et les Hauts de Vallons à lâ Mission) une aide
à l4amao oil une pre-
baptisée AFLa été mise en plâce. Cette
voit Papeete fa Tatou Oire no 1 - 2000) est progrêmmée dans le
aide fômjliale au logement n?st pas versée directement aux familles mais à loffice Polynésien de l'Habitat (OPH. ex, OTHS quiprend en charqe une partie du loyer selon la tâille du loqement et Ie nombre d'enfants à chàrge,
cadre d'une vâste opération de résorption de l'habitat insalubre. r
I
Ne peut pÉtehdre à un logement social, en location, qu'une famille disPosant d'un revenu mâximum de 1,5
i
-
la-
l
GROUPE
INTEROUTE B.P 380580
Tél r 50 24 00 Dîecton Tél | 50 24 05 Compiabiilé
Tél r 50 24 03 Tél : 50 24 06 Tél : s0 2411 Fax | 5A 25 78
a.P 380584
Tél :50 24 00 Fax i 58 25 78
I
LOCAMAT
È
B.P 380547
Tél : 50 24 00 Fâx r 58 25 78
s.E.R.ïM B.P.381800
Tél : s0 24
11
Fâr : 43 A5 91
Z.I. PUNARUU r:l
[,/ rbanisme Lotisse ent (Ies holcoss de Tepapa, de près d'un hectare et demi, est
pour
le moins surprenant. Le site, sur les hauteurs de la Mission, domine la ville et olIre un magnifique panorama à la fois sur les montagnes environnantes et sur l'île de Moorea. Du sociâl presque résidentiel... .Ce deonit êtrc en effet tn beda projet, confrmc
sprofiterdelab e labôtnnents Uo tout d'une
|'architectc. Noas alla pour décliflet
ce trole en anénagea tdespercéesdc sotte que les appatte e,lts puisse t offlit plûce
ane rue à lû fois sut le panorcna et ]a place, co ç epour accue n ks pa*ings tik ûussi, patltquoi pas, u parc pout tes jeanes, des
petites haisons pour les noutements ûsso
ciitiJs, etc. A charge po r
Ies
panairc
p
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blics, de réalÀet ultérieure"Ent des éqaipe nents de prcximité. Act clleflent, ous
soltîEs dtlns une
pétiode faste et la quûIité
l'îtchitecturc des lagene ts sociaw s'er1 rcssent pasilipenent. Cepefldant, iI na que cncorc à ce tlpe d'habitlt une cohércflce, ne apprëlvnsiofl Slobale des progninnes qui perftettrlit de pôaoan i tégreL à'enblée, l'a énagenent d'éq ipenents saciaux, cultutels et aulrcs, a x appels d'offres., de
Livraison des Hauts de Vallo'ns au deuxième semestr€ 2002.
r petits bâtiments de faible haureur (deux et trois étages), rassemblant des en location.
F3, F4 et
F
Du social, presque résidentiel
À peine achevés, les Balcons de touvé preneuls. Aussi, un nouvel ensemble de 80loSements (du F3 au F5) est d'orcs et déjà en cours au-dessus de l'ancien lotissement des Haut du Tira. Signé p l'architecte Jean Chicou, ce proSramme, réparti sur sept bâtiments (de un à trois étages) sur un terrain Tepapa avâient déjà
I
Lotisse eflt ales Hnuts
-14-
de
Vallons,
r
ffi ffi
!f rbanisme LE BONHEUR EST DANS LE LOGEMENT
Maeva et ses deux tilles Née dans le quarlier, Nlaevâ qui vivait plus bâs dans la val-
lée, chez ses parents paumotu, a emménôgé l'ànnée dernière. Enfin | <J'avais fait une demande depuis 1988, mais il n'y avait plus en de libre dans le quartier ; alors je me suis mlse sur /es /lstes et j'ai patienté.> Désormais, elle peut vivre avec ses deux filles dêns un F4 clair et spôcieux doté, en rez-de-chaussée, d'une terrasse et d'un jardinet donôant sur la vallée, <Chacune de nes filles peut avoir sa chambrc et nous avons mêrTte une peti te buanderie pour faire séchet le linge>, se réjolit-elle. Pour gagner sâ vie, Iqaevâ âide la mama à vendre des couronnes de fleurs à l'aéroport de Faaa, Son loyer est de 45 000 Fcfp par mois, mâis elle bénéficie de IAFL (Aide Familiale au Logement) et, ainsi, ne paie que 18 000 Fcfp.
Tori, à deux pas de son travail Tori, pour sa pàrt, vit
à
proximité immédiate
des
imme!bles dans un des quatre fare construits pour reloqer les familles demeurant, autrefois, dans les habitations en pinex sitJées en contrebas des Bàrcons de Tepapa, À leur
erulacement, la municipalité prévoit d'aménager un teÊ rain de jeux pour tout le quartier Tepapa. Tori a 43 ans et vient, lui aussi, des Tuômotu, Il ne se plaint pôs, Sa nouvelle maison en dur, qu'il partage ôvec
sô femme, son fils et son beau-père, compte
trois
chambres et dispose d'un chauffe-eau solôire, Elle lujô été attribuée en location-vente; il a conservé les mêmes voisins et n?ura que
cent mètres à faire pour se rendre sur son lieu de tËvail,,. Tori attend en effet sa pâtente pour prendre en charge le gârdiennage et l,enlretien de tout le lotissement, <Le nouvel ensemble manque encore de végélhtion. Aussi, j'ainerais organiser un concourc des jardins les nieux fleuris afin que les gens d'ici pafticipent à lbtûélioration de leur cadre de vie. Et puis, ça occuperait les femmes qui ne travaillent pas,,.> a
Aide au toit, la CPS t'aldera
1...
Peu connu, le FAS (Fonds dîctiôn Sociale) de la CPS comprend une
aide au logement destinée à épauler provisoirenent ies personnes confrontées à des difficultés de paiement de loyen Le FAS peut ôssurer une prise en charge ponctuelle (quelques mois). Cette
aide au logement est ôttribuée sur dossier, après exômen de la situation du locatôire par le service des Affâires sociales.
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I
t6.
Bd
Hôul de 38 chombres en plein cceur de lo ville ô côté de lo
poste
cenfole qvæ vue mognifique sur le port et Mooreo.
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to the centrol post office o brond beoutiful 38 rooms hotel in the heort o[
fie city with mogniffcient view on fie horbor ond Mooreo
. B.P 2359 PAPEETE TÉL : 500 100 - t/,J : 43 68 47
HÔTEI TIARE TAHITI
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ift
!f rbanisme
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Oti letruck lls faisaient intégrante de paysage quotidien depuis les années 20, on ne les
verra bientôt plus... Les trucks sont
progressivement remplacés par des bus avec, à l'appui, des arrêts, des horaires et des billets... Une concession au
modernisme prévue par Ia
nouvelle réforme des transports en commun.
ï tr':
[ I LJ
I
.\ RÉFonME DEs TRANcrot{Ts
en commun (adoptee par
cules existants auraient plus de quinze ans), polluants et inadap, tés (confort, régularité d€s ho-
t
véhictle de 50 places pour les longues distânccs, micro,bus pour
le gouvernement en septernbre 1999), esi en phase d'abou, tissement Les trucks, jugés
raires, desserte des collines... ), doi-
À l'origine de cette réforlne, un
vent disparaître de ]a circulation
constat : en vintt-cinq ans, ]a tué-
i'ieilhssants, voire dangereux
au profit des bus: modèle urbain
queniaijon des
(plus de la moitié des 250 véhi-
à
plancher bas en agglomération,
- t8
-
ftrck aurait chuté de 30 %, les 20 000 usagers f,
N ""ql"r
!f rbanisme
ffi
D
bonjour le bus
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quotidiens n€ représentant Plus que 5 % des déplâcements en agglomérâtion.
D'Ortùmâoro au rond point d'Àrue Au plogramme de la réfome : lâ constitution d'un réseau divisé en trois secteurs - zone urbaine ' d'Outumaoto au rond point d'Arue -, côte ouest/presqu'île et côte est / presqu'ile -, âssortis d'arrêts de bus. En zone urbaine, en pâriiculier à PaPeete, des dessertes .omnibus, sont
prévues toutes les 5 mn, les lignes
VILLE DE
.express' éiant affectées aux
PAPEË]E
longues disiances. La plâge horaire sera étendue, notamment le soir,
afin que en
1es
personn€s travaillant
ville puisseni regagner leurs
domiciles âprès 17h. Une notion de servjce public mise en avant par cette rélorme qui prévoit é8alement la créaiion de lignes localipermettant le mccordement des val' lées et lotissements aux principaux pôles d'activités de proximité (mairies, comsées
Quant aux tarifs, ils sont censés, selon le ministère d€s TransPorts, "n€ pas augmenter" bien que le prix, en zone urbaine, risque de passer de 120 à 160 IcfP avec, touiefois, une corrcspondance incluse... Cependant, il n'en coûterait que 100 Fcfp pour emprunter une docalisée" et des formules d'âbonnement devraient voir lejour pour les usâ8ers réguljers-
r
ouatre sociétés retenuès Confrontés à la no!velle donne des transports en cornmun, les professionnels, artisôns en majorité (pro-
priétaires ou locataires de leurs trucks) n'ont eu d'autre choix que de s'âdapter. Aussi, se sont-ils consu-
tués en société êfin d'acquérir les
Couloirs en ville ? Belle
s!r le papier, la réforme
suscite néanmolns des inlerrogâtions. Comment
imposer aux chauffe!rs de bus le respect d'une qrille horaire s'ils demeurent coin_ cés dans les emboutejlages ? fidéal seÉit bien sûr d'aménôger un couloir prio-
rltaire, toul au moins dans Papeete. Or, une telle mesure exigerôit une emprise sur une voirie déjà saiurée par es voitures et dont la réduction engendrerôit de nouveâux emboulei lages I On tourne en rond,,, Cependant, lâ faisabi iié d'un site propre surla portion Pirae - Pâpeele - Faaô que pourraient emprunter bus ettaxis, serâit à l'étude.
r
nouveaux bus et répondre aux appels à cardidâtures lancés par le ministère des Transports. Pour les lignes desservant les côtes est et ouest, deux transporteurs ont éié désiqnés I Nouveau Transporteur de la Côte Est et Transport Collectif
Côte 0uest (ex. TCP/Transport Collectif de Polynésie). En zone urbaine, lâ desserte a été âttribuée aux
sociétés
lu1âeva
Transpofts et TRT
2000 (Tefana Ruma Ruma Transports), r
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500 rn
comp
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nrour l-:
enire lc pon i Belay (permet
ianiderejoindrc Pirae) ei la s€rvitud€ oni pris fin
€n août 200i.
En prime : lâ mlse en place dc hottoirs, d'une piste cyclable et
\or
\ \r ro-,.D or\.
âu
port de lapeae po"r li.Luprl dê- bdrpdu\ dc L oi-iqru.
(au niveau de la darse des boniiiers) visant à doubl€r la capa cité d'accuejl aciuelle, devrait démarr€r en avril 2002 par lâ réâ'
h,.tion dê I êpi nord dê-ti-c,r '"c.' oi L- g o. n-\jre.
d'un réseau d'assâi'
Par aillcurs, le Port auionone a lancé, dans le cadr€ de l'ex-
nissement des eaur(
icnsion du quai des ferries, le concours d€ mâitrise d'æuvre pour la réalisation (entrc Ia zon€ d'appontement des navettes int€ril€s €t celle des ferrics), d'unc véritâble gare naritime ras semblant des aires d'embarquem€nt, un hall pour les voyageurs (guichets des armatcurr prestataires, boutjques, snacks, etc.) ctquelque500 plac€s de parking sout€rrain (r,oireen partic aéricn). Début d€s travâux en 2003.
pluvial€s. tiaù
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NJo d Lb .ùt( ûlue où Ésitl. t ptas d. 5 A0A
pùsonr.s,st pùr1
ltn
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.ù r. t$ ù1 ,ds à r.rir,, a promis Michcl Buillard, ù1
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Oti lcs bouchons
?
mane de Papeete. Ce
chantier est la pre mière étape dû proj€t d€ revâlorisation
et
d'â1nénagemeni
iouristique
de la
i'al-
lée d€ la Fautâuâ, en-
gagé par 1a com
Désrnclâ!enrort du quartier listall
T\. Ia,
,r. qr \or \r \' ICA de lrpcctc. le.Je-enclr\.ment qru' t e. t-tutt,t'.o, . ompfl - entre lp coua de l Lnio'l
etle chernin vicinal de Taunoa à ]'ouest)p la création d'unc nouvelle voiebapti sée avenue Bougâinville, esi toujours programmé. Les fonds nécessâires à sa réalisaiion sont prévus dans lebudget de la rnunicipalité et le projet, r€tardé par des revendications fon.ières, devrait pouvoir prendre forme dans le courant de sacrée à l'est,l'avenue Pomare âu sud
l'annéc 2002. À suivre...
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T arLrr.A\r Bo.,.o\-.onl'nue'An\i êpônrd. Urànie. Ld ld -orriê ouê.| dê là ! i lc. rà ctrc d^ub. puur p,*pr de troi. dLrnq\oiê-.lc.Lànrirrde\..
t durer eir\ rron dr\ mor. d!e,.; terme, la possibilité d'utiliser deux voies en rnontant vers la RDO. deur rore- pour en.rc- dan. lapeae e unc cir)quicn(
voie permettântde rouvrir la bretelle d'accès
à
la RDO.
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I créations, objets d'artisanat d'art polynésien à tendance conlemporaine, sur ies marchés à l'export. Une initiative exemplaire et une àventure qui semble bien panie pour réussir.
Soutenus par la CCISM (Chambre de Commerce, d'lndustrie,
ANVTER 2000.
des Services et des Métiers), ùn Sroupe d'artisans s'envolent vers Paris pour participer, sur un même stând, âu
salon professionnel Moisafl et
abjet.
Uexpérience est enrichissante mais révélâtdce des faiblesses du secteùr artisanal
local I atomisation de la profession, manque de moyens, isolement géogra, phique.
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oisé,part ult aûkan local, d!
its nlicni s ou intloltéstens. pasitiannû t Ft rct non sdr
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Frodu.tian,, souligne Nelson Tâpare-Pin du se ice d€ Développement et Prcmotion des entreprises de la CCISM.
Qui sont-lls ?
à la capûcité de
Le salon Ma,so" el Obicl de septembre
- Tâmâra Devendeville (présidente du GIE, artisan bijou-
2001 leur a foumi l'occasion de metire en plâce un réseau de distribution en métro-
tier) - Gérard Dumora
pole (boutiques de décontion, d'agencem€nt etc.). .No!s ,. /e.rel.hans Ns lor.û e t
(trésorier, bois-lunrinaires) - Woi'tâ Prokop (artisan nacrier)
de tros ùrrchis 'bjen 4r1rne caûùû,1de d hôlNl pukse tnais, stttott, 1archés de
dtilft !
d6
r.1.,, conclut Gérard Dumora, créateur de luminaires ettrésorier dù cIF r
- Philippe Pellaton (âftisan nacrier) - Stéphane Chagne (poteries)
- Gilles Narlas (ôrtisan du bois)
- Carole Tapeta (tableêux de sable) - Café noir
Mus par une volonté commune de rompre avec ces lacunes, ils décident de cÉer le groupement d'intérêt économique Art Tâhiti autour du thème ettenàa
ces
conkftpafli
(communication)
Pârtenaires : CCISM, ser,/ice du Comnerce extérieuL ninistère de
Esptit patlnésien
l'Économie.
es.
.
Dâns la foulée, Ie nouveâu clE muliiplie ses
actions I exposition à I'hôiel Sherato& de présentation et si-
éditiond'undossier
gnature d'une première æuvre collective destinée à la décoration du nouveau bâtiment d'Air Tahiti à I'aéropoit de Faaa I
Un
Cet âudacieux GIE, promoieur d'une
chate de qualité, semblebel etbienparli pour devenir une référence et réussir son pari : vendre ses créâtions en métropole et à l'étranger, en particulier arx ÉtaisUnis. Art Tahiti a choisi pour cible le marché <milieu et haut de gamme,, notammeni le créneau à tendance ethnique, très
I
prisé actuellement.
"y,I,7oig
elnent
ù
clE pour quoi faire ?
Un groupement d'intérêt économique permet à ses membres, en vue de développer leur activitér d'effectuer des études de mêrché, de participer à des mônifestations, d'organiser des aclions de prospection et de promotion. de créer des bureaux, etc,
Avantages: aucun capitâl minimum n'est requis et le GIE n'est pâs imposâbJe sur son chiffre d'âffaires, seuls ses membres
étanl, châc!n, assujettis,
Conlrairement à une âssocialion, un GIE a le droit de réâliser des bénéfices dont chaque membre peut prétendre à une part. I
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-22-
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Commuri
't ^ ^^-^L-<l \.t)| ll
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À partir de
conomie
11 7Oo
Fcfp
ateliers relais comptenttrois modules d€ 26, et 83 m., oués à moit é pnx pour les six premiers mois, soit 1t 694, 14 105 et 32 487 Fcfp. Au-oelà, les loyers augmentent graduellement, par tranches de sax mois, pour âtteindre 100 o/o Les
ll
ATELIERS RELAIS
de leur valeor à la fin du bail (23ème moia). Il €onvient d'ôjouter les charges (eô!, entretien, rarnassâge des déchets...), de 2 000 à 5 000 Fcfp
l. I ---'-:
pre
À Tipaerui, les ateliers relais offrent la possibililé à de jeunes entreprises qui se créent, de disposer d'un local immédiatement opérationnel et à moindres frais. Un bon moyen de démarrer une activité, comme en
témoigne la réussite professionnelle ultérieure, d' "anciens de Tipaerui"
Success story Enlrée en mâi 1999 aux ateliers de Tipaerui, l'entreprise Olivier Créallons, spéciallsée dans a fôbrication de livres,
jeux, âlbums pholos et dans l'encadrement de tableaux, esl maintenant instâllée (depuis janvier 2001) dans une boutjque de la rue Gaug!in, âu cenlre vi le, <flous avons démaffé avec un 25 m2 à 11 A00 Fcfp de loyer, puis naus somnes passés, au b,aut de six 1998 dâns la zone
nois, à un 83 m2, ce qui naus a per'
industielle de Tipaerui, les atepremjers du genre. La lornule, lancée
mis dbmbaucher trois personnes, puis deux autres en stàges, transformés pât la
sous 1'égide du ministèlE de l'Économie,
suite en contrât
avec la collaboration du SDIM (service du Développenent de l'lndustrie et d€s Métierst de la direction de l'Équipenent, de la commune de Papeete et de ]a
dtrée indéterninée',
RÉÉs EN rvraRs
liers relais, (18]ocaux) turent l€s
Chaûbr€ de Commerce, d'lndùstrie, des Senices et des Métiers (CCISM), ges' tionnaire, a connu un tel succès que d'autres ateliem relais ont
300 000 Fcfp de chiffre d'affâires mensue . Aujoud'hui, sa soclété atteint les
2,5 milions. lJne vérilable success story qu'il doit bien sûr à son travail, môis
aussi au coup de pouce reçu au dé_ mârrage, <Ces ateliers sont une bonne formule pour mettre le pied à l'étrier. on peut commencer facileneht, sans investir des millions etse retiret à taut nonent. Pou ma part, i'ai comrnencé avec une enveloppe de 500 000 Fcfp, puis j'ai demandé deux aides- de la
na banque et aù SDIM, vous la cannaissez,,,>, La suite, même somme à
résume-t-il.
r
à
précise 0livier Giraud,
le <papa) d'Olivier créêtions. Avant d'emménager âux ate iers, Olivier travailâit en ln-
dépendant et faisait
été ouverts à
Taravao et à Moorea.
Il s'agii daider
les jeunes entrepdses
leur disposiiion, pour une durée de 23 rnois (non renouvelâbl€) des locâux à loyer modique (roi/ cr.i?ddl, livrés nus, nais . clé en mâin,'(étectdcité, eau, iéléphon€, eic.)et avec pârkingPeuveni enbénéficier, principalemenL les entreprises travajllant dâns les secieurs de la production et de ]a hanslor en phase de démarrage, en mettant à
mation..
I
r
Com
meni en bénéficier
?
La procédure è suivre pour postuler à un atelier relais est relativemenl simple et rôpide (cornpter trois mois en moyenne). suffit de remplir un form!laire de candidature à lô CCISM (identification du demândeur, description du projel d?n_
I
treprise, prévisions d'exploitâtion), La demande est ensuite examinée en cornraission. Par ailleurs, même si les ateliers afficheni complet, i est quand même conseilé de déposer sa candidature, des locaux se libérânt ré9u ièrement Contact: Belle Lilin, à la CCISM :47 27 64' r
€laboÉ€ poqr pFotige
de
chocs |Gs pfus E6ràrÉ,
la P€ugcot 3O7 mulupll€ l€s équlp€mcnts d€ sécurlté : Asslstàncc au frclnagc d'urg€nce 4 ftclns à dlsqu€s, 5 alrbagç dont 2 âl.bags rld€au (lèr€ mondlâlc dans c€tt€ catÉgo.le) àppuls-tÊtc àvànt ântl-affaissÉm€nt rÉpa.tlt€urs él€ctu'onlqu€s d€ fr€lnàgq sqstèmc àntl-patinagE €tc...
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SOPADEP PEUGEOT T SOPADEP
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E conomie HÔTELLERIE
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Vrali'aarin itué près de lâ môirie de Pap€ete, rùe Colcttc. l'hôtel I-e Mandarh â fâit ltb jet d'un inrportant progrâmtrlc dc réno vation intérieure: réfection de scs 38 chanbr€s (peinture chiffonnéc bleu et saumon, mobilier
uu
en tcck, nouvell€s moquettes ct salles debalns)
et de ses cspâces publics (couloirs, récrption,
coffec shop). Ouvert en février 1988, cet éta, blisscment appartenant à la SRHT (Société de RcsiaLrraiion et d'Hôtellc c Touristjque, dlrité€ parAdrien Beâumont, avait en clfetb€ soin d'Lrne cured€jouvence. UD liftingdeprès
de 65 millions de Fcfp, pour lcqucl Le Mând.rin a obtenu une aidc de 8,9 nillions âu tiire du Code d€s Invcsiissements. . L iù 2AA1, lr fa.0d. 11.1\1tit t:gtlù . nt trûrilicitr t] .aryt d. îai.htit û nt)h1't .ç.it . tÉùtù ùn r@ûr
t1!tig,,
ptts
Dt1.t
.,,
précise Christophe
Beaumont, dirccieur d€ c€t établisscmcni in dépendant de 2/3 étoil€s (en cours de classemcnt) dont leconfort (TV minibar cljmatisà,
tion), les services (coffee shop,
deLrx
restaurântr sallc deréunion de 50 personnes) et les prix (14500Fcfp en ch.nbre ctoubl€)en
font un produiihôielier de qualité. Selrlpoint
noir : il ne dispose pas de parkhg. En 2000, l'hôiel a enregistré un taux d'oc, cupâtion noyen d€ 70 %, près de 30 % de sâ f réquentation (europicnne ess€ntiellemeni) prolenant d€ la clienièle d'affaires. r
- Pubti ,eportage -
Les Soc iétés AAA
SOS Pacflc Oépannage est créé en 1992. C'est en effet à partir d€ cette périodê, que tes demandês sont de plus en plus nombreuses pour le dépânnag€, la rénovalion et dans les chantiêrs. Deux autres sociétés voient lê jour pârâllelement et forment ainsi le groupê des sociétés AAA : - AAA DEPANNAGE (société motdce du gtoupe,l qui rêprésente I'enseigne commerciate SOS pacific Dépannage. Elle assure le dépannage, la rénovation dans tous les secteurs du bâtiment. Elle procède à plus de 400 intetuentions par mois pour les partiêulierc et les protessionnets. - AAA PISCINES qui représente les piscines en kit WATERAIR teader en Europe avec ses SO ans d'expérience_ - AAA PLOMBERIE spécialisée dans la plomberie du bâtiment. . Monlage de station épuÊtion a bio dlsques , Reprise de chanlier en cours (résidence gadiot) . Plombeie du nauvel hôpital psychiatrique du Taaone
t
Ces 3 sociélés quicornpienl déià 25 employés sont en plerne crossance. En se positonnani sur l€s offres de marchés pub ics quiconnaissent une vrve accéléralon de l'acuvilé, AAA plomberie, devrait générer des ernptois pour tâ potynésie.
{-un veeûéoér, oé. oé. oé.
AAA Plombede
Paclffc Dépannage "...
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u.*.".L. o€o&
0ep*-""ge
"4ab4 ÉTUDES EI INSTALIANONS ".
.Plornberie .
ptouannrc nÂnMENT
.Él.ec|rtciÉ
Références .
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cii:on
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la nuit (âux alentours de 23 h 30 - minuit, t'heure précise étant spécifiée dès 7 h du matin), a! site de Nouveltes Frontières. Chaque semêine, une poignée de bittets d'avion aller et relout au dépârt de Papeete, est mise aux enchères à des prix imbattables... Les dépaÉs ont tieu le samedi
o!
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lundi suivants et sont garantis, Ainsi, un internaute n'ayant pas eu la chance de conclure la venle en ligne, pourra tou-
jours se rabâttre sur un siège disponible au tarif habituel.
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infor.fations sur les différenls ré9imes (salariés, non-sala, riés, RST, etc.), les prestations, les cotisations (tôbteaux des taux et plafonds, dates timites de paiement.,,), les formulaires (déclèraiion de revenus, demônde d'affiliation, d?llocations,,,), l'actualité. J!dicieux : a recherche par mots clés.
zttzuw.cps.pf Carnaval à l'écran Pour retrouver, en images. les meilleurs moments du Cârnaval de Tâhiti, tout sâvoir sur I'historique, la préparâtion de t'évé-
Papeete-Los Angeles-Paris aux enchères Comment payer 20 000 Fcfp son billet pour Los Angeles ou 60 000 Fcfp pour Pôris ? En se connectônt/ chaque lundj dans
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Lê Fédérâtion Générale du Commerce (FGC) dispose d'un slle web qul devrait relenir l'êttention, des commerçants en parllc! ier. Essentiellement informatit il rassemble des rubriques blen alimentées - économie, fiscalité, conventions co lecllves, droit du travâil, douanes - agrémentées de dossiers sur des sujets à thème ou d'actualité. On y trouve égaernent un service de petites annonces, des grllles sa ariales et les adresses d'organisations syndicales. Enfin, une âssistance technique est développée en ligne sous forme de questions/répons€s abordant les prob èrnes les plus cou-
Oflres d'emploi en ligne Enfin I On l'attendait depuis longtemps... Le SEFI (servlce de 'Emploi et de La Forr.ation professionnelle, ex AEFP) est accesslble sur Internel, ConçLl cornme un espace de rencontre entre demandeurs d'emp oi et employe!r5, il permet de consuter non seulement les offres d'emploi en cours (avec possibilté de s'inscrire, de laisser !n CV ou d'adresser une lellre de candldal!re), màis aussi les différentes forma-
outil efflcace.
tjons proqrammées et les mesures en faveur de l'emploi Un outi fori pratique, en particu ier pour les habitants des îles.
7.u7uw.fgc.pf
zDTLtw.seJt.pI
rânts auxquels sonl confrontés es chefs d'entreprise.
Un
Au service des entreprises Lancé officiellement le 30 août 2001, en présence du dépu-
té mâire de Papeete, lvlich€ BuiLârd, venu soutenir le projet, le nouveau podail lnternet de la socléié Papeete-onLlne esl une véritable base de données âu service des entreprises d! Terrlto re, Au menu : Lln moteur de recherche (par nonr, motc ef, locâ ité...) permettant d'accéder à un listing gratuit (nrai, fax, Be etc. de q!elque 8000 entreprises), assorti
d'!ne barre d'icônes par secieur d'acllvité
(dépannage,
agenc€s de voyages.,.). Par aileurs, p usleurs entreprises locales ont d'ores et déjà chois de confier la création, l'héberqement el la maintenânce de le!r page-vitrine ou de leur
Quelques indisPensables
- w\u'u.&fln airc,opt.pf
:
L'annuaire téléphonlque, mais sur support électroniq!e. Prâuque.
- www.oirc.pf
:
Répertorie quantité de sites po ynésiens par secteur
institullons, vle pratiq!e, culture, sporls, santé, men Facillte es recherches ultérieures,
t
MS,P,H,Û, w
È-=q ""iË"x :F=
.COUVERTURE .CHÀRPENTE MÉTALI,IQUI' .PORTAILS & CLÔTURES .BALUSTRADES & RAMPES .PORTES MÉTALLIQUES .GRILLES DE DÉFENSE .FERRONNERIE D.ART
?articuliers'
Arti sans, Professionnels
--!l
- Z.l Punaruu - Puna aut a e.p. lse - ti 713 Papeste (689) 58 41 88 - Fax : (689) 42 68 79 SARL S.P.F.G.
Tél :
. .,e
:
lt se passe tOujOurS quelque chose en Ville... NOUVELLE CLINIQUE Dour |es INTERVENTIONS de JOUR
SALLE RÉFRIGÉRÉE au MAFCHÉ
Dotée d'unbloc opératoir€ rnode$e et d'une sane de réveil,la
nouvelle clinique du Taina, située en face de l'hôpital de Mamao, permet de subir une inteffention le matin, puis de sor-
tir quelques heures plus tard. On y trouve un grand nombre de consultations (médecine interne et générâle, gynécolo8ie, kinésithérapie,anesthésie, ûirurgie dentaire,orthoÉdique, etc.) et un service d'échographie et de radiologie numérique. Des
complets (bilan sanguin, pulmonaire... ) peuvent aussi être effectués dans la joumée. d}ect
p
Le marché d€ Papeete possède une nouvelle salle réfri8érée mise à la disposition des commerçants poùr qu'ilspuissent y entreposer leurs déchets. Auparavant, ceux"ci stagnaient dans des conteneurs laissés à I'extédeur en attendant la collecte du soix Il s'agit donc, avec ce local appropdé (réfiigéré à une température de 10") d'en finir avec les mauvaises odeurs et les ordures. Désormais, de petits conteneurs de 80 l, munis d'un couvercle, sont distribués aux commerçants de la place qui n'ontplus qu'à les vider dans la salleprévue à ceteffet.
r
r
LES
TOURNÉES dU CYBERBUS
Les habitants des quartiers de Papeete ont eu, demièrement, l'occasion de découvrir un véhicule d'un tout nouveau Benr€... en effet de f, H0r0 (le lien), premier ryberbus polyné-
Il s'agit
sien. Cette station mobile informatique, équipée de huit ordi-
nateurs
à
écran plat, comectés à Internet, a pour arnbition de
mettre les nouvelles technolo8ies de l'information et de la communication à la portée du plus grand nombç. .si tlr ne ïie s pûs à lfltetflet,Intetnet Die"d/, à idi l...,. Différents siies, dans la vallée de Tilioro, à Hamuta ou encore à Tipaerui, seront régdièrement visités par ce cyberbus opérationnel six jou$ sur sept, de 12 h d 18 h. r
EI dE DEUX
SALLE de BOXE
à
TAUNOA
Situé dans la servitude Pékin" le nouveau bureau de l'association Te Ui Api No Taunoa, présidée par Viri Tahutini, et qui regroupe quelque 110 jeunes du quartier, dispose d'une sâtle de boxe. Finâné pâ] l'association âvec le soutien logistique et matédel de la municipalitô cet espace est ouvet aux jeunes de Taunoa qui
peuvmt ainsi venï s'entrainer chaque sok
et
pé
parerles rencontres sportives inter-quartiers. Renseignements
:
72 49
38
r
REMISE EN FORME Star Gym, centre api de remise en forme, s'est installé dans les
locaux de l'immeuble Mayeva (calrefoû de la Fautau4 audessus des No!?elhs de Trliili). Au programme de ce temple de la forme de 700 m2 : musculation, fitness, yoga, cardio-trai ning ou encore danse tahitienne, Esthétique, sauna, massages et restauration oé*re l) sont également à l'affiche. Pour les plus assidus, sont proposés des fo aits mensuels multidisciplinaircs. Ouvert de I h à 20 h en ioumée continue et le samedi
I
iusqu'à 12 h.r
!
Une nouvelle boutique The Matic Pearl a ouvert ses portes rue Colette. Reconnaissable à sâ devanture, constituée de nades, cet espace dirigé par Vaiana Tehaamatai et aménagé pal la décorahice Jocelyne Cadet présente des créations haut de gamme en perles et diamants, et conmerciâlise également des perles nues (qualité A). Cette deuxième €nseigne The Magic Pearl en cenhe ville vient s'âjouter à celle, plus touristique, déjà située sur le ftont de mer (à pmximité de la Pharrnacie du
Pori).
r
fiei a Papeete au sERvlcE de
NOUVELLE AGENCE d'AIR FRANCE Inaugurée en septembre 2001 en présence du nouveau directeur régional, Jean'Marie Cornetteau, l'agence Air France de la rue Lagarde, a emménagé dans le nouvel immeuble To'â Ïare (à côté du Trésor public), réalisé par l'architecte Jean-Hugues Tricard. Les locaux de Ia compagnie rassemblent un espace uréservations, entièrement informâtisé au rez-de-chaussée et une salle
"VIP', à l'étage.
r
\
I'ARTISANAT
le LiTaurea'ljma'i,leleslle nom de cette ieune assoodtion presrdëe parTeurd lriti. Sa raison d'ehe ? ReprelenlereL defendr€ les intérêts des artisans de la commune de Papeete, en encoungeant 1â productionet la vente d'objets d'artrsanatlocal. Un secteu qui souffte âctuellement des contrefaçons et de la concun€nce de produits fabriqués à moindre coût, en provenance de l'étranger Adlesse postale : Papeete, Fâre Ute, 8.P.4451.
ENTREPRENDRE La Chambre de Commerce, d'lndustne, des SeNices et des Métiers (CCISM) abdte une cellule Entreprendre destinee aux créateurs et repreneurs d'entreprises âfin de les aider dans leur démarche. Installé au rez-de-chaussée de l'immeuble de la CCISM, cet espace réunit notamment de la documentation (magazines, guides, études de marchd notes de conjoncture) €t des micro-ordinateurs avec accès Intemet. Ouvert uniquement le matin.
r
POMPIERS ÉOUIPÉS Les sapeurs-pornpiers de Papeete ont fait l'acquisition d'une
nouvelle motopompe et d'un bateau de 115 CV doté d'insta! latons de secours- Destiné avant tout au sauvetate des personnes, ce baieau devrâit êhe également aflecté à Ia surveillance
.
de. mrni{e5tàiion5 >porLive' âqudtiquer. .7.5 millioirs de Fcfp ont été déboursés par la Maide pour cet équipement de
PLATEAU SPORTIF à la MISSION
sécudté ati.
r
Les habitants d€s quariiers de Raimanuiea et du Tira, sur les
hauteurs de la Missiory vont pouvoir profiter d'un espace de loisirs tout neut aménagé par la commune sur le terrain de lâ Mission catholiqu€ et situé à proximité imrnédiate des fâre Mm. Au programme: une aire réseivée aux petits, un plateau sportil (volley-ball, basket...)et un ieÛain de pétanque.
r
ARTISANAT d'AFT Menuisier-ébeniste et décorateut Stéphane Soustelle a repris, aux ateliers-relais de Tipaerui la suite de Gérârd Joly. Son entrepnss Design Polynésie, est éBalement spécialisée dans 1â création de luminaires .drsigr" à base de mâtériaux nâturels
Un FOYEF pour les MATAHIAPO
(palmes de coco, tapa ...) et de mobilier en fer forgé, âuxquelles Siéphane Soustelle a apporté sa griffe (créations en fer rouillé,
Les Matahiapo (personnes âgées) de Papeet€, réunis au seh de
en nacre, en résine...) tout en élarSissant son champ d'activité
l'association Utuâfar€ Oa Oa (150 membes, organisaton d'âni-
(pa enaiat avec les décoraieurt architectes et hôtels de la place). Il a notamment réalisé une partie du mobilier du câfé
mations...) disposent désoimais d'un lieu de rencontre à Vaininiore, spécialement conçu à leul aitention (ang1e rue Bernadino. à!enue Pomare). Ils pourront ain.i mieu\ ie rds
Koké (rue Paul Gauguin) et travaille avec la nouvelle boutique de
semblet organiser
décoration Firr Nape
des activités (culturelles, culinaires, de plein air..) et recevoir
(MamaoJ.
les plus jeunes à l'oc-
casion d'animations socio-pédagogiques. Financé par la cornmune de Papeete et le Conhat de villq ce
nouveau centre veut, en efiet, un
se
tlâit
d'union entre les gé-
r
D
-1 Ul
f mmobilier
J
Ça bouge au centre ville oir I'on
constate une recrudescence de programmes immobiliers privés,
lulion que le noû\eau I'làn Canardl d'Aménagencni dr Pâpccie (PGA) de
en padiculier dans le secteur
vrajt bicniôt contirmer ct préciser rrd, nù,,,!l'rit!. Lùlrrriir,).
de la Cathédrale. Une Itue Lâtardc (entrc lc Trésor Public €i \Iin T.,ng), un nouvel immeubl€ Lriptjsé To'a Tiar€ (Rocher fl€uri) eçt âujourd'hui acheli.,,\u ncnL, do.€tte opé r.rtion de 700 n], réalisée par deû\ proI]lot€urs (Phùrmàcie Trân ci la Socié!é le Kuo
va contribuer à transforrner le
cæur de Papeete.
ct\JRL
vlllt
en pleine mùtâlion. Lcs construcijons nc!vcs ct les chantiers prolifèr€nt Lcs nouveau\ programnles lont considérablement denslfier le tissu urbain, cn
pariiculier dans
DL P]\tEErE €st
lc
srctcu. de
résolumeni coniemporaine, mur-r'idcau en facade ettoûchcs dcvagélation. (près du magasin Itue Edouàrd
^hnnc HoDolulu), I'immcuble SCI LiLtà (consiruit par la société 1B ltomotion de lhierrv Barbion) privoii égalcmeni (sur 900
n:
-a
5
leahraf) : comtncrccs cri rcz'dc-chaussée (3), bureàu\ dù 1È. au.1e étage (161o càux), losemcnts au 5e ct 6e (mansardé),
d€ parking sôus-sol.
€n
SiSDa
Picari, I'archiiecie
1a
Cathédrale et sc\ ilcnioùrs. Surtout, c€s opér;riions inmobjlières, frults d'ini,estissemenis pri\'és, triduiscnt un€ même
(livrablc
débL,i
2002) affiche le
desconsiruciionsplushautes (cnrq niveaux, voire six sous contJlc\), tcndance
:
dotées de pârkhgs et rasscnblini dcs commerces cn rcz-dc'cha!ssée, des bu
I
rc.ù\
tlal:et.
Larchitect€ lcàn-Hug!cs Tricard (et ac tionnanc dc lc.]hr.l) qui €si éÈalement l'auteur du Trésor Public, a opté poûr lc méme style dc bâtinreni : archjtectur€
\,ité
densification qui, d'ici à 2003,
F
oulLage d€ parklnt.\ I'ànièrc (15
ct dcs bgen€nts à l'étag€. Un€ évo-
en façad€) et fonc-
nÂH01,
lll|./,cÉ,
nûBU'lÊ,
LEAEE
Surdité de Polynésie
'illPLE,
Quartier du Commerce, près Ets ftacqui Rue J,
LEïOP DzS MCt6
ffi,
M
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Gilber!
1er étage
(ouil$Âlrlt ^@n
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MU Audioprothésiste Diplômée dëtat
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RQnrations
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lTqisage DrsrRtBUÉ PAR îét. $8 a00 - Fâx. 110 E66 B.P. :
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gogl - 9E715 Motu
w.!q.equ tpz
ltcta h N. pl
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f- mobil ter 25 000
m, répartis sur cinq niveâux, dont
1 800 n12 de
bureâux et 510 places de par
king:auiant dire qu€
le projet SCI Aorai,
m€né parle groupe Marury ne devrâitpas passer inaperçu. C€tte opéntion d'envei-
gurc ' Ia plus importante en c€ntre ville doni le gros ceuvr€ est en cours/ sera en partie livrée début 2002 (la demièretranche
.\l
étant prévue pour ûn 2002). Situé sur un
terrain de 4 500 nr, €ntre la rue Edouard Ahnn€ et lâ Cathédralc, Ie tutur complexe, traversé par une allée piéionne, rassem' blera des commerces de E0
à 200 m2
N
en rez-
de'chaussée, des grandes surfaces..., le
nouveau siè8e de la Brâsserie de Tahlti (donnant sur Note-Dâme), +ntu: plateaux de 450 m, de bureaur (côté rue Edouârd
Almne) et quatre ùiveaux de parkint
ière
à
g
l'aF
Ë
(côté ru€ Nansouty).
Cette opération, dont le coût est estimé à plus d'un milliard et den1i de Fcfu, de-
vrajt étre, dâns un
futu
[H
proche, prolongée
par unréâménagement dela place NotreDane. La ville de Papeet€ projett€, en €fet, une restàuraiion de lâ câthédralc- dontelle est propriétairc, accompagnée d un€ mis€
ei vâleur du
site. En conc€rtation âvec les
comnerçants, un €space piéton pourlâit voir le iour à cet endroit....
Craryis
puspthl d| fratct I Aorût,
Et aussi...
"lt1t'ttdùht tnbrbhr.c t t'lrs tk]rtujtt d aù' tlcrt éqùi1trlùtt i.thitu h Bhl$ùic d. Tuhlti
D'autres chanllers et projets se dess nenl en centre ville, La réfection de l'immeuble Levy (en face du Loto) est enfin âchevée, Deux pelits immeubles à usage cornmerciâl et d'habitation sont en construction à l'an9le des rues Viénot et Nansolty et dans la rue Caste naLr (résidence Reo Hill, ivrabe fin 2001). Un autre petit bâtiment (5 niveaux sur 7 m de large et 20 m de profondeur)
sera bientôt construit place Notre-Dame (jouxtant la Brasserie). Enfin, trois a!tres opéralions
sont à létude
I
sur le site des anciens locaux de a CPS rue Charles Viénot, derrière le
Loto un projet d'immeuble des
frères
(But
-
Amouyal lr4asler
Price) et un prodes
jet rue
Remparts derrière la mairie...
t
r
û a tr. till.,
esiime l'architecte lean
r, .orrr..r rJ,roiq,,:"r /.s atétatio$ eotti, Ls irn'.siÀsùrdts tlriÛs sa t ùr pha! iîùrdûnt. Il elstùit ka lnr rùnt.t1ùra d{ t.b tût! datis tl. plaes te pitkiùgat.dtt rilh, laisquideûnit titù
Chicou. ,4.l& l/irr.r dtîitlt1t.s
En deux ans, qu€lque 6 000 m, de bu' reaux vont êtr€ mis sur le marché dâns un périmètre relatir€ment étroit. En ouirE, les terrains se faisant de plus cn plus rares, l€s prix grimpent (de 120 000 à 350 000 le m,) et dissuâdeni l€s promo teurs ne maîtrisant pas le foncier. .Pdf 100a f, il t'ûrt caùItter 150 tillia s. Si t'oû tieltt .artpt tu 50A ù 6A0 illil s tle,nùi|x ûl.ts-
siiîs à lr liilisatia paw
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. iffatu lst tl. gng erùhûù.
tot\uai l.i tohslnrctia s a.trcll$
à ëû. ptt6lk'rées", explique lean Chjcou. Cepeûdant, peu de propriétaires
ont les moyens de tels programmes.
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Cénûnlk*rs rk''hrulitiu rs Brrtssirtrlt's...
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PLAN DE PAPEETE & ses quartlers
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nvironnement
l# rr.oruro'
ffiæm
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'Arunt
Dur, dur d'être un arbre
dans la ville ! Le béton,
ffitrh-ryffia;:a
DANS LE pAysAcE
ùlr,rrN, occupe une place importante. Il apporte
Ëm
sa poésie, sa
force et sa faiblesse, ses couleurs et son ombrebienlaitrice. Affirmaiion du végétal dans
un environnement minéral, il réconcjlie la natui: et ]a ville qu'il contribue à valoriser en soulignânt une perspective, des éléments architechrraux, une place, ei en cÉant des aûbiances
la pollulion sont autant
par un jeu subiil d'ombre et de lumièrc. Aussi, l'arbre est bien sorvent un repère, permettant d'identifier un lieu, servanimême de pointde rendez-vousaux Polynésiens qui aim€nise ré-
de f acteurs d'agression
unil
qui, peu à peu,
atfectenl les arbres. En
le.capital arbres" de Papeeie a malheureusement réanr il reste en ville quelques b€lles vâriétés : dilo de la banque de Polynésie, ficus du quai des ferries, rri"r ,rnr! de l'avenue Bruat... Hommage, en images, aux arbres de sous sesfeuillâg€s pourdiscuter. Si
gressé au
Papeete
fil
des
I
ville outre leur lraîcheur et leurs couleurs, ils (C as u ar i na Eq
nous apportent
u i setifal i â
Arbrc de fer) cependant une Lcs ,ilo (arbre de fer ou filao) se font de
meilleure qualité de vie
plus en plus raæs
et contribuent à
Papeete en compte
encore de beaux spécimens qui sont
autant de repères, symboles vlvants d'un lieu ou d'une histoire... Balade à la découverte des arbres de Papeete.
(Ficus prolixa / Banian) l)méiierait d'être proiégé àplusieurs titres. D'unepart, parc€ qu'il s'avèiE probâblement être la seule esCe bânian d'un âge vénérabl€ (300 àa00 âns
I
Planté dans
cet arbre-relique aurait 70/B0 ans.
embellir la ville.
Renercienenls à Mbhel Guûk,
p€ce indigene \ isible en vil)e lplânle donl )à presence dest pas liée à l'homme). D'autre part, parce
ingénieu hoticale,
qu'iI s'a8it d'un .baniân historique, près duquel
pou nous avotr aidés
une plateJorne arnénâgée fâisaii ofiice, àl'époque
à éaliset ce suiet.
à Papeete.
un peiii jardirr en retrait de la voirie,
l'on vena:lboi€ loindu kiosque à musique. r
de GÀuguin, de lieu de rencontre ou
d€ l'absinthe, non
r
f (Albizia Lebbeck
/
Bois noir)
nvironnement
D
q
D
Queserait l'âvenue Bruat sans la majesté de ses mal,r rrdl! au moins centenaires ? Contrairement à ses cousins du front de m€r, sans douie affectés dans leur développement par les voitures et la proximité de la nappe phréatique, ceux-ci font partie des plûs beaux exemplaires de
Papeete. 11
y a une trentaine d'années, l'avenue
Clérnenceau, en montant vers Mamao, en étâitégalement bordée...
r
Seule sô pôrtie ôérienne retient généralement l'âttention. Et pourtant, l'arbre remplit quantité de fondions <invisibles) et précieuses, surtout en ville. À llmage d'une pompe, il va aspirer l'eau
puis transpirer, créant ainsi une sensation de frai cheur. Chaque maru maru de l'avenue Bruat peut, par exemple, transpirer 3 à 4 m3 d'eâu pâr jour !
Sorte de poumon artificiel, il contr:bue à lutter contre la pollution en absorbant le gaz carbonique. Enfln, il protège des méfaits du v€nt (sur les cultures), assainit les sols (notômment les zones marécageuses) et absorbe le bruit
lr
TRAITEMEI{T DES EAUX
Étude conception et réalisation de stations d'épuration, stations de pompage ou de relevage (+ de 80 réalisations sur le territoire)
Travaux de pompage pour chantiers ou particuliers (usqu'à 1200
m3 /
de débit)
Fournitures de tous types de pompes (relevage, forage, adduction...)
Représentant de la marque allemande HOMA
I
f
nvironnement
(arbre à pain) pa ois l'histoire des hommes... Depuis des siècles le pain - l'ùn des arbres les plus 9?iques du territoirc - a fas-
Les arbres racontent naiore ou
aùre
à
ciné les obseNateurs, à commencer par les découvreurs européens subjugués de constater qu'un seul fuuit cuit (!r!) pouvait nouÛù toute une fa-
mille ! Aussi, les Anglais n'hésitèrent pas à armer un bateaq la 80!ary, afin d'impofter cet arbr€ fabuleux. De même, il lâissa les botanistes perplexes : comment une telle plante pouvâit-elle êhe issue d'îles volcaniques
surgies de l'océan ? Il s'avéra que l'arbre à pain existait aussi en IndoMalaisie mais ses fruits, bien plus paur,res en chair, étaient peu consommés. Dès lols, l'histoire de l'arbre à pain tendrait à prouver l'origine indomalais€ des Polynésiens. Dans leur isolement, ils auraient sélectionné des fli?,ore sans graine, donc plus riches. Tahiti (à f instar de la Nouvelle-Zélande avec le kiwi .hinois) serait ainsi devenu le cenhe de domestication de l'arbre à pain. On peut en voir, à Papeete, dans le patc Bougainville.
r
pÉmière \,ue, plutôi arodins... En fait c'est au mois de mai qu'ils prennent toute leur valeur, offrant aux regârds des passants une symphonie de fleurs roses ou mauves. On peut en admirer également sur le front de mer (devant Ie bloc Ces arbres paraissmt, à
Donatd) et autour du srade de Tipâerui.
I
Quel s€râ, dans l'âveni! farbre dominant en zone urbaine ? Probablement le palmier. Eu étard à l'étroitesse de la voirie et à lâ multitude des réseaux soute ains, Ie palmier s'adâpte bien à la ville car il offre l'âvantage d'êhe élancé sans pour autant réclamer une emprise racinaire impottante, contraircment aux grands arbres volumineux. Au demeurant, tous les espaces publics créés récemment ont opté pour le palmier (classique ou piétonnes du quartier du Commerce, place To ata, "multiplianb' : rues placeVaiete... Dommage, ilsne procul€nt pas d'ombre... La cour de l'hôpitdl de Vdiami en comple deu\ beau\ e\emplaires.
r
r q
nvl ronnemenl
D
D
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Espèce du genre /i.!s, le caoutchouc est originaire
d'Asie.Il
se
dis-
tingue par son entrelac de racines aériennes €t sâ croissânce relativementrapide. Cclui du quâi des ferrieç, déjà rnonumental, doit avoir envimn 30 ans.
r
Sans doute le plusbeau spécim€n de Papeete I Cetarbre
imposant, introduiten Polynésie, vient deJava-
Cegele. Polynésle S.A. S P 5020 Pirâê - Tàhlti Tér. (689) 41 41 41
Cesel@
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orsrnreurEun ExcLUsrF I. D'ENGINS DE TRAVAUX PUBLICS
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I Tél : 50 37 ,
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Fax : 53 46 00
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f nvironnement
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cEsrroN DEs nÉcaers
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Motu Uta
À hur anivée, les camioræ tansportant
les bacs
verts sont peses
et leùr provenânce etu€dshée. Le CRT accueille egalelnerlt les ca-
mions d1ârge6 de collecter les bacs gris de la zone urbaine (Pap€ete - Pirae - AIue). Leur contmu est déversé dans la partie transfert a6n d'êtr€ contrôlé et d en extraire les dndésiËbles,(batteri€6, pols de peinture, bidons dhuile et autres) avant que les non-iecyclables repârtent vers le CET de Paihoro.
.
I,es déclEts sont acheminés devant le5 hieuÉ qui, repartis le Iory du
tapit pro-
td
par produit. À chaque étape, les déchets triés sont éjectés de la chaîne et viennent att€nir dans difléImts boxes de réception. À chaque hieur cedent à un
spécialité | bouteilles en plastique, papier blanc, "girs de magasin"(carton un peu souillé, cartonnettes bas d€ gamme...), papier J'oumal, flacons d,adoucissant et de lessiv€... Une machine pemet d'extraire les ferrailles par magnésa
tisation. Toutes les canettes en aluminium sont Écupérées.
Ici sont enheposées les balles destinees à l'export, la Pol''nésie fmryâise ne disposant pas d'usine de recyclage. Mais où vont nos déùets ? Jusqu à pIésent, Hont Kong nous achète Expédition en attente.
de l'aluminium et du plastique, Djâkarta des ferrâitles, du papier et des cartons, la Malaisie du papier ioumal. Cependant certains
plastiques, comme le PVC, n'ont pas encore de dôouché dans la zone Pacifique. Au terme d'une année de fonctionnement, le CRT a permis l'exportâtion de quelque 800 tonnes de recyclables.
.
I
-44-
.
f
f Les déchets ménagers sont désormais triés.
nvironnement
N
trL
l\,4ais
chaque de [/otu Uta (CBT),
que se passe{-il ensuile ? Colleclés dans
commune, les bacs veds el grrs vonl gagner le Centre de Transfertet de Recyclage
ouverl depuis mars 2000. Sa mission ? Prendre en charge les bacs verts, contenant les recyclables
part, destinés au centre d'enfouissement technique (CEI) de Paihoro. Sur le site du CRI, douze personnes
travaillent pour assurer, de la réception des déchets à leur conditionnement en balles, le bon fonctionnement de la chaîne. Reportage, en rmages.
des bacs vefts est déveEé dans une fosse. Un rapide coup d'ceil permet de constater que les €onsignes de td sont assez bien respeatées : consewes propres, peu de bouchons de bouteilles et de sacs d'ordurcs ména8ères... Les déchets emprunt€nt ensuite un tapis mécanique pour gagner la chaîne de td situee en surylomb-
r
l'équipe de trieu$. Équipés de câsques et de gants, iis plomanuel aJin d'extraiæ de la chaîne les gtos cartons et sacs d'odures rnénâgèr€s induits par eneur. Au moindre pmblème, il suffit de tirer sur l'un des câbles de s€cunté pour que le tapis s'anête. Passage dans le Ce $and cylindre rotatit constitué de mailles, per"trommeb. met de filter tous les p€tits objets indésirables i capsules, saletés diverses. Entrjee en âction de
cédent à un
pré"i
r
Quand un boxe est plein, un âutre tapis empode les déchets vers une fom€r des balles d'environ 1m3, lesquelles partiront ensuite à l'export pour être valorisées et rEcyciées. Les différentes opéraiions de tri aûront duré trente minutes pour un coût de 34 000 Fcfp la tonne (pds en charge par Ia SEP ainsi que ious les frais d'expéditio& soit 3 450 Fcfp supplémentaires la tonne, prix de vente déduit). Certains déchets sont €ependant nieux vâlorisés que d'aûhes. Ainsi, I'aluminium estmieux coté que le carton. presse qui va les compactff pour
r
il
pour lz
procéder au tri des différents lypes de déchets qui seront ensuite exportés, les bacs gris étant, pour Jeur
l€ contenù
D
f
nvironnement
côrÉ, tvtot,tr,qcNr,
U faCê cachée de Ttpnuui .
À la sortie ouest de Pôpeete, prendre vers la zone industrielle
et monter jusqu'âu fond de la vallée. La route se termine après les derniers lotissements
.
Laisser la voiture près du fâre potee qui mârque le début de
lâ promenôde. . Emprunter le chemin pavé, Après environ un quart d'heure de marche, celui-cifait place à un sentier longeant la rivière (châussures en plastique conseillées pour traverser les qués). . Arrivé à un embranchement (sorte de Y), prendre à droite pour la cascâde Fôaiti (la plus proche) ou à gâuche pour la cascade Fââroâ (2 h). La vallée de
ïpaerui est surtout
connue pour sa zone industrielle... Mais, sait-on que toul au lond jâillissent deux cascades auxquelles mènenl des chemins de randonnée bordés de fougères et de
NE Fols PAssÉs
la zone industriell€,
l'usine désaffectée de Tamaraa Nui et Ies demiers lotissements sociaux, la ville fait place à la végétation tropicale, les rumeurs de la vallée au bruissement des,/,et au mu nuredela rivière Tipaerui. Là, subsiste un petit havre de paix menant aux deux cascades nichées au fond de la vallée.Le fare potee construit par la mairie de Papeete indique le dôut du parcours qui emprunte le domaine communal puis des terres privees,
mais dont I'accès est toléré. Deux smtiers s offunt âux pmmmeurs
:
bananrers sauvages. Un
l'un menant à la cascade Faaiti (acc€ssible en une demi-heure, mais moins impo-
parcours inattendu, à cinq
sante et prés€ntant, à certains endroits, des risques d'éboulement), l'autre condui-
minutes du centre ville
sânt à la cascâde Fâaroa, plus grande (40 m de hauteur), mais qui requiert
I
quahe heures de marche aller-ætout, une :)
Avertissements
I
.
Après la galerie drâinônte, le parcours en direction de la cascade Faaroa, envahi pâr lô végétation, est réservé aux rândonneurs avertis ou accompaqnés d'un quide et aux amateurs de canyoning. . L?ccès à la cascade longeant
lô rivière, il est impératif de consulter Ià météo avânt d'êffectuer la rândonnée. Le fond de la vallée est un cul-de-sac et une demj-heure de pluie peut sufire à interdire tout retour
r
nvl ronnemenl
E
partie de l'itinéraire éiant actuellem€nt enfoui sous la végétation. Aussi, la présence d'un Suide est'elle conseillée.
r.',.r.
; :..,i. i '.
; Créé en juin 1999, e comilé Polynésien de la
.
À parti du /nr. pkc, on emprunte un large chenin pav4 bordé de/.i(banânier
Rândonnée rassemble et forme des guides. Présidé
sauvage), de grandes fougères ei de ri,r
par Noél Tauira (également
(in," aux lart€s Ieuilles) ,,dd,r l.s r,8.s s. crisitlùtt égrlùItùt Dtûis tN it frrt ùûiiû dili
chargé des
cat.
t.
t caL
ue
lois cary)l$, tll.s
td,.dri
imations
sporllves et de la randon-
née à la l"lairie
t,ftr
roqld.lÆ i,f,1liûd", explique Noël Tauira, nohE guide, qui connaît les richesses de cetie vallée sur le bout de sa macheite.
::r*]f
-?
de Papeete), ce comité peut fourn ir différentes infoÊ
dc la vâllée, servâii, jusqu'à l'ouverture descaptagesde la Fautaua, à puiserl'eau
mations sur les parco!rs de randonnée à Tâhiti et dans les îles. On peut également le contâcter pour obtefir les services
destiné€ à la ville de Papeete.
d'1]n guide.
\h
n1r'i1)ici8E tupie s, k Ja'1d ,le ]d "r1' lie itrit lliljité r0 seùhù.|ût tûr hs Tûhitiùs, ca ne.n tiDtoi\ . tI.sr.ttii6tl. an , ùaÀ olsi far lij corlors sd .ds.s", indique-t il.
a n
Tél : 43 77 38.
I
.',r
l:,
1
r ..
Au-delà, le sentier devi€nt de plus en
Orgâniser
des
rândonnées équestres dans la forêt : tel est le projet soutenu pôr l'association Tômarii Pinai reg.oupônt, autour d'activités sportives, une soixantaine d'enfânts de la vallée de Tipaerua. <Dans un premier temps, précise Léon Reia,
il
,. :r.,, Après un premier passage à gué - le
Parcours en compte unebonne dizaine -
une sorte de Y se d€ssine, le sentier gauche conduisant à la câscad€ Faaroa. La végétation devient plus dense, le chemin plus étroii, mais le irâcé reste aisé ment repérâbie moyennant quelques coups de machetie. Notre prcgression se poursûii agrémentée de la beauté des orchidées sâuvag€s, d€s senteurs eniêtanies
du ylang-ylâng et du passage furtifd'un épervier sauvage. Jusqu'à la galeri€ drai nânte (à environ i'inglcinq minûtes du /a8 tot.i), l'itinérâire resie âccessible à tous et se prête à la balade en famille. Cette galerie, qui n'approvisionne plus désormais que les demiers lotissements
président de l'associôtion et conseiller municipal, / sâglialf d'aménager le fare potee construit par la mairie (sanitaires, parkingr qatdiennage, pa n neau d'i nfomation, etc. ), puis dbrganiser, à lbttention des écoles et des familles, des balades à chevalsur la poftion actuellement pavée (environ 1 km). Le long de ce chemin, on pourrait créer de petites parcelles de démonstration (manioc,
fei, taro ou autre). Cette initiative pourrait donner lieu à la création, sur place, d'un petit ranch exploité, de préférence, par des jeunes du quartier, sous forme par exemple d'une conces-
sion accordée par Ia commune,,
Avis âux cândidâts...
r
plus contus. Aménâgé,
ilyâ
quelques an-
nées, par l'association Social Policc (re-
groupant des policiers bénévoles de la direction de la Sécudté publique), il â, faute d'entretien régulier, été rcconquis par la vététation. Aussi,le deuxiène tron-
çon (et le plus long) d€ la balâde, est'il réser\,é à des rândonneurs avertis ou ac-
compagnés d un guide. La fin du par cours, qui p€rmetd'accéder à la cascade Iaaroa, iient davaniage du canyoning.ll suffirait cependant d'un nouveau défrichâge pour qu'il redevienne praticâble par tous, car la monté€ estrégulièrc etle
dénivelépeu important. Et au boutde lâ vall€€, quelle récornp€nse... La vill€, pourtant si proche, semble n'avojr jamâis exisié...
r
istoire $
CENTRE POLITIQUE
rti
fhistoire de I'avenue Bruat est intimement liée à celle du premier gouverneur de ïahiti, Armand Joseph Bruat, qui fit de Papeete une véritable capitale,
fune des plus anciennes artères de la ville est devenue le
cæur d'un quartier historique, politique et administratif en pleine mutation. Nouvelle présidence, Bâliment de la
Culture, projet Bounty.,,
I
l'avenue Bruat dévoiie peu à peu son nouveau visage,
I
istoire
a\ =\SR
ts
E oRseuE LE GoUVERNEUR BRUAT la
bâtiment p0ur la Culture
choisit pour capitale en 1843, Papeete n'était encore
Un
qu'unvil
lâge. Aussi, favenue Bruat fut-elle, avec
le Broom {artère parallèle au rivase). certainement l'une des premières voies construites à hâvers l'agglomération de /d/s et de maisons. Elle permettait, en effet, d'accéder au quartier SainteAmélie où logeaient les familleè'deco-
Situé à l'angle de lâvenue Bruat et de la rue des Poilus Tahitiens, le Bâtiment de la Culture a pris forme. Le nouvel ensemble devrait être opérationnel vers mars 2000. Il comprendra, deux niveaux de parking souterrain (200 places réservées au personnel), en rez-de-chaussée, I'Académie tahitienne et un hall d'exposition ouvert au public ; le ministère de la Culture et le département des Langues poiynésiennes aux niveaux 1 et 2. Confié à Jean-Pierre Carlotti, architecte au ministère de l'Équipement (l'aménagement intérieur revenant à Philippe Grandou), le Bâtiment de la Culture devrait ressembler, à s'y méprendre, à son grand frère le CESC. avons choisi de reprendre |es "/vous mêmes éléments d'architecture (enduits, briques, tuiles.,,) typiques des anciens bâtiments coloniaux afin de créer un ensemble homogène, Aussi, une cour intérieure compottant un parc paysager ouvert au public assurera la Iiaison et la cohésion entrc les deux édifice>, précise l'architecte. r
à Tahiti pour bâtir le Papeete français. Elle fi$re ainsi sul €ertaines cârtes postâles ânciennes sous le nom
lons venus
d'avenue Sainte-Amélie.
Lactuelle avenue Bruat était divisée en deux honçons I lâ rue Bougainville
(portion deux fois moins larte allant du front du mer jusqu'au premier croi-
sement), puis
lâ me de la
Reine
Blan€he. Ceite dernière doit son nom au navire qui débarqua à Papeete le ler novembre 1843 avec, à son bord,
l'amiral Dupetit-Thouars. À rant, ta situation étâit tendue. Poussée par le consul de Grande-Bretâgne, Pritchard, la rcine Pomare IV rejetait leprotectorat. Le 6 novembre, le signal d'expimtion de l'ultimatum sommant la rcine
d;arborer à nouveau le drapeau fran-
fut donné de la Reine Blonche. DupetirThou s fit âlors débarquer ses çais,
troupes. Lombre de la guerre ftancotahitienne planait déjà sur Pâpeete...
lll
r1r\ ot toujours courtisaa
:
L"avenue Bruat a 121 ans. C'est en effet, le 15 juillet 1880 (par allêté du
aommândant commissaire
de
la
République Chessé) que les ânciennes voies furent rebaptisées en avenue Bruat, la rue Bruat devenant l'avenue Dupetit-Thouars. Au début du siècle, le commissadat, le pâlâis de Justice et la caseme étaient d4à situés de part et d'autle. On noie également la présence de la rue de I'lnfanterie (en souvenir
r
socorEc
<E
PoLYNESTE
Société de contrôle technique
a
t
ff istoire f,û du premier
régiment d'infanterie de
marine, en activité en 1844), des Établissements Buillard au croisement de la rue de Rivoli (rue du Cénéral de
Gaulle) puis, en 1923, du monumenr aux mots, alors édifié au milieù de l'âvenue. Ën 1933, l'avenue Bruât devint propriété de lâ commune et vint s'intégrer au nouveau plan d,alitnement portant élargissement de dix mètres les rues de la ville Bord€€ pat ses majestueux ftalr r,an, l'avenue Bruat est l'une des plus belles
a
ment du CESC - reconstruit en 1990 sur Ie modèle des an€iennes écuries du parc de l'artillerie - puis l'inau$rratio& en
Erruc prqets et alubitions
2000 de la nouvelle présidence (adap, tation assez libre de la caseme Bncche), c'est désormais au tour du nouveau Bâtiment de la Culture d€ s'installer avenue Bruat,
mités de l'avenue, des giratoires de la présidence et du front de mer, puista dériva-
.C'est le seul ryartiet depapeetequi, ûr0 t co ætù quelques constttlctio"s anciennes, a
lait
I'objct de Énototions,la denièrc à tpnn
co cernant I'hôpitol de y4idhi , indiqûe François Dupuy, urbâniste. A ssi,te quarti.r Btaat doil ildonnet lies àla cÉation d r e
ères de la ville. Rien d,étonnânt que les administrations et les politiques aient choisi de s'y installer, s,inspirant de l'architech-ue militaire er cotoniale
pûces
du début du siècle. Après l,aménate-
ils
o
L'elle zone
div d'éqtipelnent e coungeant anck s et ttes es-
]a pÉsen)otioh des édilices
ærts. Qrant oux ouueaux bâti ûns, lleùo t s'intégtet atchitecturatenent.,
Aprè l'aménagement âux deux exhé,
tion de la dvière Vaiami, les travaux se pouHriveni avec la oéation d,un tuturel (detlx fois deux voies) sous l,actuel rcndpoint du front de mer À terme. favenue Bmat pouÛait préændre à devenir un pôle supplémentaire d'âttraction poul les tou-
dstes. Un projet visant à aménager ses conhe-allees afin de les r€stituer aux pié tons, serait toujours dâns I'air... fâvenue Bruat est donc appellée à r€houver sa vocâtion d'urc des mes les plus prestigieuæs
de
Pâpeete.
I
Opération Bounty AMENAGEIUENT GARE IVARITIMF
ouar oEs
FERRTES
o EXTENSION DU OUAI DÊS P
AMENAGEIUENT OU EOUNTY
OUAI DES AON|ÎJERSSUD
Au bas de l'avenue, sur le front de mer, le quai des yachts dont l'extension a nécessité lô construction d'un nouveâu deck, pourra bientôt accueillir une vingtaine de gros yachts. en plus des trente à quarânte <petits> pouvant déjà s,y amarrer <Lhncien quai était saturé et ne disposait pas d,ins_ tallations (avitaillement en eau et étectricité) pe| mettant d'accueillir, Ies gros yachts>. explaque Jeân_ llarc Lannuzel, directeur adjoint du port àutonome, chargé de lô division technique.
Quant à la deuxième phase du projet Bounty, qui de-
vrait permettre d'ouvrir l,avenue BrLlôt sur la mer, elle a faat lbbjet d'un concours de mâîtrise d,ceuvre. lancé en février 2001. favant-projet prévoit la réaljsâtion d'un pârking souterrôin à deux niveaux (2BO places), d'une mâison de plaisance (c[rb house, boutiques, lavomatic.,,) et d,un restaurânt gâstronotique donnant sur le lagon, le tout aménagé sur ùne esplanade de 12 000 m2. âccessible aux promeneurs. Coût global : 1,5 mi iard de Fcfp..
-50.
til
4
u
re
PORTRAIT
ffi
Bruat choisit
P11>..JLç, oMMISSATRE DU Rot
Aùt
RÈs DE LA REINE
Pomare IV, Armand
Joseph Bruat (1796-1855, né
à Colmar) succède à DupetitThouârs et devjent le premier gouverneur de Tahiti. Cep€ndant, il hérite d'une situation difficile. L ordre imposé par les Français et la confiscation des terres de la reine vont engendrcr une rébellion des ch€fs et déboucher sur la triste et sanglanie guerre franco-tahitienne (18441846) au terme de taquelle la reine
Pomare va se soumettre. Soucieux de proiége( papeete, Bruat fit procéder à la construction d'un village militaire dans la valée de Sâinte-Amélie et de divers ouvrâges de défense : camp de
l'Uranie, fortifications au niveau de l'actuelle rïe Cassiaq hôpi, tal militaire à Vaiami... .Si papeete est nctuellene t le
chefle
prit
de
de ]a Polvnésie 1|nçaise, elle te doit à t'es-
décisio etàl'é crrie tu Bturt, qui cô seillate
choix d.
ce
site et le del.ildit drec
très côntesté par des
D\uew. Cat
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ftati s qui prélénie t
le
nouillo\. histotiqÆ de Matatai a, la nde de Pat Iraàlor, (lournal de laSociéiédes Océanistes - décembre 1959).
Un des derniers arêtés signés pârl'ami-
ral Bruat (il quiite le fenua en
1847)
concerna la divatation des animaux et leur mise en fourrière. Un âutre texte (du 28 avdl 1847) porte cÉâiion officielle de deux marùés à Papeet€ : l'un aux poissons sur le 6ont de mex à la hauteur du quai des paqrebots, et l'autllr aux fruit' lé$mes et viande, à l'ernplacement du mârché âctuel
r
lyl6 il
srAo & Frrs Entreprise
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NTB EPR ISE
ENROCHEMENT
DE
TRAVAUX PUBLICS
LOCATION D'ENGINS
TERRASSEMENTS
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. B.P. 3AOI52 TAMANU PUNAAUIA . TAHITI
ts toire
Le saviez-vous Depuis 1890. les rues soÊt ôonrmées par arrêté du
maire, après délibération du conseil mLrnicipal. Certains noms exrstaient, d'àutres ont été créés ou modifiés. Bordant le temple de Paofai, Aroa 5 no lvlati 1797 (tue du 5 mârs 1797), date de l'arrivée de l'Évangile en Polynésie, a été, en 1996, la première à recevoir un nom tahitien. r
?
Papeete compte aujourd'hui quinze écoles cofi munales accueillônt quelque 2 600 élèves. Avônt la fondatjon, en 1810, de la première école pâr le missionnaire Davies, les jeunes se rendaient âu fare yaraâ (mâison de la
connaissance)
oir les anciens leur
enseignaient les
légendes, la généalogie des chefs et l'art oratoire. C?st à la fin du 19ène srècle qu'àppàrurcnt les premières écoles publiques la'iques.
r
Alors que la population a élll, en mai 2001. les 49 conseillers de llssemblée de Polyrésie française, lâ vieF le dame de la place Târôhoi venait de fêter ses 150 ans. C'est en effet en 1851 que la reine Pomare IV décida de créer une assemblée composée de députés..
Le 6 mars 2001, le cinéma l'4amao Palace, crée par Guy
Dupont, a fêté ses vinqt-cinq ans d'existence. Plus de 800 films ont déjà été projetés sur les écrans des salles noires de l'avenue du Commôndant Chessé,.t
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Tel 454220 Vtnl 77 1636
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GILLES LE GUEN, ARTISTE PEINTRE
*'une
ville-île oe rêvæ...,, On t'a vu, par le passé, camper ton chevâlet les trottoirs de
s!r
Papeete, pour peindre dans la rue. Pourquoi une tele démârche, peu
comm!ne chez les artistes Jocêux
?
Il y a quelques années, j,aimais, il est vrai, m'i,rstall€r autour de la câthédrale. dans leparc Bougainvilie ou sur le front de mer... C'était une fâçon de travailler plûs humâine, qui rne permettait de rencontrer des habitants de Papeete, mâis aussi d€s touristes - je suis égalementun grand voyaS€ùr 1- et de leur faire parrager lnon amour de la peinture, toût en répondant à leurs questions. Lesenfânts, notamment, se montrâient souveni très cud€ux. Bien que j'aie mon atelier chez
Quel(s) souhait(s) formulerais-t! poLrr l'avenir de là capitale
?
Que lâ ville sache maîrriser son déve, loppement, de toutes façons inélûctablg dans le s€ns du r€spect de l'environne, meni. Pour ce fâire, il faudrait éduquer davantate, renforcer l'information et la sensibilisâtion de lâ population à notre pairimoine naiurel. Ma vision idéâle de Papeete rcssemblerait à un grand jardjrr
réputé mondialemeni pour ses fl€urs , une ville-île de Éve adapiée à la société moderne, mais où il ferair toujours bon flâner...
r
Un "moine copiste"
Plânète Ëmeiâude, j'ainerais réitér€r ceite
démarche...
Bien connu pour sa silhouette de patrjarche, ses talents de copiste
Né à Paris, cllles le cuen s,est ins-
Quel regard, en tant qu,artiste, portes-lu sur ia v lle de papeete telle qu'elle est âujourd,hui
?
et sa gentillesse communicative, Tout d'abord, j'aime cett€ ville. Je l,ai vue se hansform€r au fil des annéesetje trouve qu'elle éi'olue plutôt dans Ie bon sens, malgré l'omniprésence des voi-
Gilles Le Guen a installé son atelier, avenue du prince Hinoï,
dans les locaux du magasin
iures... l'affectionn€ particulièrement les quariiers oir il subsiste d€ beaux arbres -
Planète Emeraude, Le pejntre, à
vers l'Evêché, dans Taunoa, au parc
travers son regard d'artiste, nous livre sa vision idéale de Papeete une "ville.île de rêve" qui saurait concrlier modernité et environnement.
:
Bougainville -, les parterres de fleurs plantés récemment le long du froni de mcr et les lumjèrcsdu soir,
surleport
et scsba,
teaux. A Pap€ete, on est en ville, nais on aperçoit les montagnes. J'ai d,aill€urs eu l'occasion de réâliser untableau du mas-
sif du Diadème.
tàllé dans le teftitoire en
1983.
D'orrgine bretonne, le peintre €xerce son art depuis une dizaine d,années,
avec une préd €ction pour la pe n-
ture acryiique, Sa passion
le découvrir à Planète Émeraude (ave-
nuè du Prince Hinoi,
à là
tirnite de
Papeele et de Pirae), boltique d,art
et de décorâtion drqée pôr Bouchard,
I
f4aite
L'ÉNERGIE PRoPRE DU NoUVEAU uITTÉNAIRE Zohe d€s hydrocarbures de Tamoa . B.p. 9083 - 98715 Molu Utâ , TAHtTt - polynésie françârse Té1.: (689) 508.400 . Fax : 508.408 - E-mâit I gaz@lâhitigaz.if {689)
5Â-
?
Reprodulre les @u\!rcs, <à tâ façon des anciens moines copistes>, sauligne-t'i. Doté d'un talenr ndéniable en la matière, G lles Le Guen a ainsi acquis, à 47 ans/ une solide réputation dans la copie de toiles de maîtres (Gau9u n, les lmpressionnistes,,.), en particulier de paysages, On peut
t-
$ociété
I\tl,ni'le Sncnult,
PORTRAIT
Lieutenant à la DSP (Direction de la Sécurité Publique), lvlaïte Sacault est, à 42 ans, la seule femme ofiicier de son unité. Responsable de la voie publique, elle a choisi d'endosser l'uniforme et a accepté d'évoquer, pour nous, sa difficile profession.
1!l
Portrait d'un llic de et de
choc
ci;iti;irL',,.
Unité de voie publique, mode d'emploi funilé de voie publque de la lTrNÉRÀrRE DE MaiTE SAcauLT est
peu commun. Ancienne institutdce à Taunoa - et Iicenciée de L ljniversité deToulouseen Sciences de
E
o tt!, it ltis l2rnnî'tu ùtent phlsiqùe abli|itane porl lors Goil ddlr heur.s lntinl n Ft së'ndi't dt tit et de 5!tJ' à le
n
alfeltEs,,.
i ai ]i
dti
ce
dh'jrn, à tû lak pL' r
her à ]a DSP après avoir éié r€çue au
caùtpq a'1 et potr lils, lnaisoû,lo . rtri.ôrtpt
d.tr ût. llrs de tlùn lien hs né.es-
concours d'inspecteur (ancienne appellation de iieutenant). Elle devient ainsi
ds
l'éducaiion elle décide, en
CEAPF (Corps
1986, d'en-
de l'État
çaise, dépendant de la Police nationale)
et gère, toui d'abord, les enquêies et procédures âu sein de l'unité d'investi gâtion, deuxième branche de la DSP, chapeautée aujourd'hui pâr le capiiaine
Loïc Hanuse.
dir
h
ans d'investigation, la
Sur Ia carte placardée au mur du bureau de Maite Sacault, Papeete est
blissanl des conlacts avec les commerçants et les citoyens,
etetnple d'êtrc ntpetée
préventive, Ils sonl en bleu et sont
découpée en six secteurs d'int€rventiory
le 1 (centrc ville) et le 2 (jusqu'à Fare Ute, i'iâ Vaininiore et Manuhohe) étant "les plus ehrryés en ûetes de délinq ittdittrc Ie
li.tte
F"
pl
risùù
atLlreau
e rec
.nndt. lts
dsænce et saûI prablél
aur
eor le lrhé a, è e
.st diflieih à
fatts,, admelelle avec un sorrire. Sui les 107 personn€s qui
Cepndûnt, ks i:)ok
û1)ëc
hanrles
ya
est ?rai,
ôt
ds et
aùaûs
p
cnli drc
composent son équipe, une quinzaine
Ns
de fenmes seulement ont opté poui
noÆ a?ofls
l'uniforme et le terrain. "Oû
ercot loijt de la paùti dn slapalic. !,, s'amuse-t-elle, tott en précisant at o@it io tiis senti de
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W ercnie tals de ]d 1)isi te du ptiside t chiûais l\oit tohe encadré), tndnqtuors d'efeetih,
naus pawoûs lone nppel à
Leur rôle est davantage répressif,
sa t dt
àlûlalllreL analyse-t-e1le. Pû aille
la
noir) qui la composent contrôlent tien de l'ordre et a sécurisation,
aialenæ, dant no s
grtetla|io
leu$ sen icts".
d'intervention.
Baptisés <ninjas), les <hommes en
et
rôls à ld
iStsé,
- La section
ûnce,
trnt. Lc tûÆ de catllbtiolage
nrlatte q i otaient ldryùnent
il
en service 24hl24
chargés de pârcourir lâ ville, en étâ-
y
ptafessia|,
ger d'alf€ctation €t accepte un posie à l'unité de voie publique (.)an rctrc elÊn aiÆ,
- Les brigades de roulement (ou Police Secours),
Six secteurs à couvrir
h
rilh dù .utz .tnbb.
'da'
:
n!;i...,, explique-t-el1e.
sjtés de
jeune femme éprouve l'envie de chan-
dré),
DSP
(numéro d'urgence 17). - Les llotiers, Ils assurent une police de proximité, €ssenliellemenl
pour
l'Administraiion de la Polynésie fran-
Après
défeast) et
rassemble plusieurs entités
.
L'UTJTR. Celte Unité
de
itement .l udiciô ire en Temps Réel les plàintes et de traiter les pelites pro-
ê pour vocation de recevoir
cédures rapides, contraventionnelles,
- Le bureau des accidents (de
la
route).
- La BMU ou Brigade lvlotorisée lJrbâine (les motards).
-
La BAC
Crirninalité.
I
Brigade de nuit Anti-
r
ry
ill
"*..:*l
f ducation
Le lycée
ANNIYERSAIRE
Gauguin a fêté ses
périeure de Papeete qui allait devenit le 15 novembre 1960, le lycée Paul
Paul Gâuguin. Il esi désormais possible de poursuivre ses études à Papeete, sâns âvoil à se rendre en ûétiopole ou en Nouvelle-
Gauguin. Depuis cette date, les élèves peuvent passer leur bac à Tahiti. L'année 2001 a
Calédonie Or8ânisées par l'Amicale des an.iens élèves de
donc marqué le centenaire de
Centrale, du collège et du
l'établissement et de l'avènement de l'école laiqùe en Polynésie française. C'€st en 1903 que l'école primaire s'installe sur le site actuel de Tipaerui. Deux ans plus tard, elle prend le nom
lycée, présidée par Roméo Le
16 IANVTER 1901 naissait I'École primaire suE
d'École Centrale,
puis I'ads'agrandit en 1923 avec ionction d'une maternelle. Il fâudra encore attendre une quinzaine d'années avant que naisse l'association sportive appelee à devenir par la suite, le célèbre club Central Spolts. En 1950, l'établissement se dote d'un centre d'apprentis-
sate, première pierre de l'enseignement t€chnique dans le territoire. Enfin, le 10 août 1953 mârque également une
date importante âvec l'ouverture dn collège, à l'occasion du cjnquantième anniversaire dela mort du peintre
Gayic, adjoint au maire de Papeetg les festivités du centenairc ont donné lieu à de nombreuses manilestâtions : expositions de photos à la maiûe et au lycée, reconstitution d'une classe de l'époque de l'École Centrale, inauguration d'une stè1e commémorative, organisation d'un cross relais de 100 km, danses, etc. Le lycée Gaugùin a vu passer quantité d'élèves qui ont fait l'histoire locale (Francis
Sanford, Tetua Pambrun, Napoléon Spitz, Jacques Drollet...) ou occupent aujourd'hui des postes clés
(Louise Peltzet Nicolas Sanquei, Nelson Levy, Maiana Bambridge...).
À la rentrée 200i, il a accueilli 1700 élèves et 141 professeurs,
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Onduleurs Pulsar ellipse
ddùi I r à la poinr€ d€ la tchnolosie, I r .ompa<t êt malin,
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nouveau col lège privé de la Missiorl adveniiste était opérationnel pour la rruÉ. À FaRrrPrrr. le
de 120 élèves,
il
dispose de quâtre
salles de classe ainsi que de salles
d'in-
formatique, de sciences et d'ûn centre
par l'architecte-urbâniste Rodolphe Weinmann, remplace l'ancien collège du Pic Vert implanté sur les hauteurs de Tipaerui et difficilement accessible.
de documentation. Sùrtout, ilesi accolé au groupe scolaire adventiste déjà existant et comprenânt une maternelle (85 élèves), ùne école piimaire (135 élèves), une
Bâti sur deux étag€s, d'une capacité
cantine-cuisine et des aménagements
rentrée 2001. Cet établissemeni, signé
extérieurs (cours de récréatio& parking). Ces infrastructuies vont bénéficierde trâvâux de rénovation. de ré-
aménagemerlt
et de mise
en
conformité, "rrsdrt, d! idn c de ette ôpéntion de ihîbilitîtioù ct de restt ct ratia ,
t tê esite,t centtccoû\lt horngà18,, souligne Rodolph€
àfôntt,s
et
SHRM-P
SHRT
lmportateu r / Distributeur de produits alimentaires tét.50.61.00
Restauration publique et collectivités Tét.50.61.00
Catering aérien Té1. 83.53.15
COGERES
Restauration collective et service traiteur
Bars / restaurant des aéroports et service traiteur Tét.82.07.03
Tét. 42.4A.29
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f-l airie
Vive res
En ma6 2001, Michel secofid fiandat.
À
ses
B illaù
étail réélu à la tête de In municipttlité
polt
11
côlés, une équipe reptésent,fit toùtes les communauté,
doxf seize nouoelles nrecrues,. Parmi elles : douze femmes, issues ilu monde de I'entreprise, de |'éducation ou de la santé, témoins actifs tL'une parité bel et bietl
Ê
:
en mofche. Ceflûines ont intégré des postes àe responsabilités à la Mairie :
Florienne Panai (70e atljoint
l'Éd
û
mairc) à I'Actiolt sociale, M|rcoa Ttaftoh à
lille ot encore Guendaline de bonne oolonté 'ont pas
cafion. Danielle Lioine à l'Embellissefieftt de la
Colombani à Ia leunesse. Dep is lofs,
ces
femmes chômé : gestioll de Iû rentrée scolaire 2001/2002 pour Mareoa Trafton, inaugara-
lion du nouoeau foyer
d.es
malahiapo (personnes
âgée
de Vainitriorc pout
Florienne Pûnai, mise en place du Carnaoal el dlt prefiier conseil ile quattier
pour Chantal Galenon, po r fie citet qu'elles. Alors... Vioe
Maire de Papeete
-â4-
les
femmes !
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Ttlutioi
olr\zre la rzoie Annoncée lors des dernières élections
municjpales, la création de conseils de quartiers,
concept inédit dans le Territoire, est en marche. Le premier du genre a
\
so tes. Altssi, illallait argan6d.dcs rouri/hj st111ctttr?s, ph6 tûdrs dts ptlotcùNtiaûs qùa-
titlitùn(
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rûin(. Lkw tf ieaut. ct d. Ltilusiaû tte t int'ot titia , cts arÉ.ik rglra t.arw n.s r.lais, thdryis deip!rcttÛ lcsblsaiûs, d'tlptût|t tcs pnfts el t rrrù.ù d6 pr\]its to6,, explique
en effet été créé à
le ]nairc, Michel Buillard.
Taunoa. Une expérience
Structure de proximité
de démocratie de proximité que la municipalité entend
it secteurs de Papeete
disposeront, à terme, d'un conseil quartier, Ainsi, après Taunoa, sont
guersix hommes eisix
de
prévus:
- La Mission
- Tipaerui - Patutoa/Fariipiti - Titioro
- Mâmao - Paofai I
Sainte-Amélie/Orovini - Centre ville/Fare Ute r
rcpréseniatifs de leur qûartiea et d'au moins dix membres extérieurs au conseil municipal (représentants d'associaiions, personnalités particulièremcnt acti!,es...), mandatés pour deux ans Parité oblige, le conseil de Tàunoa a choisi d€ distin-
développer.
Hu
Conoètemenl chaque conseil æra composé d'un ou plusieurs élus municipaur
'tsr
biliti
PAR] t
lLe premier consell de
quârtier est né le 14 septembre 2001à làunoa, sous lâ rcsponsa, de Rend T€meharo (7e adjoint au
naire). Bien connu deshabjtantsdu quar,
iier, le présideni de
l'association
Vaitavatâva,
"village, de près d€ 1 000 personnes, était tout désigné pour oûvir le fcu dans son secteur et montr€r lâ voie aux fûturs autrcs consejls dc quariie.s doni la g€stion lui a été coùfiée, ai,ec laide ct le soutien de Chântal GalenonPourquoi une telle struciur€
?
"prl)dk .n
dùt rc ù..othr rl itat) ]r tc aii tnrattrnt tt riljr t ttitÆi.tt": dizritts nt ùilli.ts tit pù-
-66-
fem
es.
Ramassage des ordures, scnsibilisation cn matièrE d'cnvjronnenent, préparation
des études pour dcs projets d'équipe, mcnts sociocû Iturels ou sportifs... : quan tité de sujcts soni suscepiibles d'êbe abor-
dés par ces cellules de proxirniié qui, . aptis tù! itn)tl. tl'ôLjt.taotian d! h1)À à quatt d s,pirtnic t,siIerpiri.ne. s n1)i1èûn luûn?, dislr1ît d Me *tit. ùûEtot1t1. bu4étutu 1. r pefl ttttlrt d. lt nûcù ui..ttai ùù bt t1're t1ons,
à!dg.l
ûctrdk
lù
jrrr"l,,,
Deux
âu
Elohrliséts
dr
s
L,
dft dt
indique Michel Bùillard.
tres conseils devrâieni rapide,
ment voir l€ joùr à la Mission et Tipaerui.
r
à
ORGANIGRAMME de Ia MAIRIE DE PAPEETE
I
Secrétarial Conseil Mùnlclpal
C"r"i"t charees de m
ssron
cellure
Juridique
secrétâriat Pârticulier
I
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Secrélaire Général _ | I
I
I
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Direcron Itrrarche municieal
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Depa4êmFnl
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SOTAPOR Mamao : 42 51 61 - 42 53 14
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Peinture - Carrefage Moquette / Lino Faux y[aJonds - sanitaire
Raiatea: 66 1819
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f-l airie re
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ffr:;*.r ufiç:
sÉcunrrÉ EN vrLLE
police #* ptoximité Faire que
Papeete -
plus efficace
devienne une ville encore plus sûre par le
développement d'une police de proximité davantage présente sur le terrain el plus efiicace. Tel est I'objectif de la
réorganisation des seryices de la police municipale actuellemenl en cours. lJne réorganisation à la fois
fonctionnelle, struclurelle et humaine, comme I'explique le directeur du
Comnent fonctionne la polire municipale ?
cabinet du maire, Jean. lVarie Suhas.
À lapectc, la police municipâle €xiste dcpLris une vingtaine d'annécs.
@E@@ P m t*t
fm 61ffi*"'"
ffi@ Vi* ww^ .-
POKKA
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@ I
H ffi
QiE) t+Ht
-68.
5.1mission cst double. D'rùrc pari,.rssurer lâ sacurité en \.ille 0nainiien de l'ordrc, de la tlanqùillita, de la sâlùbrité...) par ùnc présence sur lc ier râh (circulatiorl, patrouillcs, ilotâge...).
"a[ef]â Àr
Q.*fvE
rffie
.
f-l airie aD'auke parL assumer diverses tâches administraiives : police funéraire,
chaussée du bâtiment administratif de l'Hôtel de ville (avec une entrée
contrôle des denrées alimentaircs, réglementation des débits de boissons,
rue des Ecoles), ce qui va nous permettre d'avoù une deùxième unité en centre ville. Parallèlement, grâce aux nouveaux postes décentralisés d'Ampa (réaménagé), deVaitavatava et, dans le futur, de Tipaerui, nous pourons dév€lopper une police de
notifications de décisions du tribuna1, etc.
Pourquoi réorganiser cette police ? Depuis 1995, notre souci a été de rétablir l'ordre en mettant l'accent sur la sécurité par une présence physique accrue sur Ie terrain, en collaboration avec la DSP (Direction de la Sécurité Publique). À cet effet, le premier poste de police de Papeete (au marché) a été inauguré en 1996 et les effectifs
Septième adjoint au maire, René Temeharo a
proximité. Objectil : mieux couvrir les quatiers mais aussi rapprocher 1'administration des habitants qui ainsi, pourront faire une demande d'acte de naissance ou retirer une
désormais la
charge de la
sécurité de
t bunal sans avofu à déplacerjusqu'à la mairie. Enfi& nous avons d'ores et déjà reçu une quinzaine d'ordinateurs en vue d'informatiser nos se ices. convocation au
la ville et du Cadre de vie, nou-
se
velle attribution comportant no-
tamment la mise en place du premier conseil de qu artier, maillon de rapprochement entre les habitants et l'administration municipale. Né à Papêete en 1972, René Temeharo est entré au conseil municipalà 23 ans. Ila travaillé
sont passés de 33 à 53 agents.
Cependant, un
nrfoi monopolisé
Les policiers municipaux
par des tâches administratives estun aænt de moins sur le terrain. Aussi, une meilleure définition d€s attributions de chacun s'impose.
réclament plus de compétences.
Quels sont les changements à venir ?
- mais cela ne dépend pas de nous -
Pourquoi
?
Nous souhaiterions effectivem€nt
La direction de la police municipale seiâ désormais scindée en deux divisions distinctes : la police administrative et la sécurité ville, secteur
sur lequel je souhaite concentrcr la majorité des effectifs. Le siège de la police, actuellement basé à Arupa, dans les locaux de la caserne des pompiers, va emménager au r€z-de-
en 1996-1997 aux côtés
que nos policiers municipaux puissent bénéficier d'unstatut similaire à leurs homoloSues métropolitains. Ici, leur mission est essentiellement préventive. Ainsi, un rrrloi peut procéder à une interpellation, mais il ne peutmener une enquête, dresser des procès verbaux, etc. Notre député, Michel Buillard, essaie de faire avancer ce dossier, afin qu'un décret, adapté au Territoire, puisse être promultué prochainement. r
y
restera jusqu'en 1999. Président de l'association
Vaitavatava f4atairea, quartier oir vivent près de 1 000 personnes, il s'est attaché en particulier à développer les structures de proximité (maison de quartier, centre socio-éducatif, nouveau poste de police,,,), r
ROSE WONG
FLirt i il f qT il
Rue BAMBRIDGE - B.P 21.153 Papeete - Tahiti - Polynésie lrançaise
1é11428257
/
de
14iche Buillard, alors ministre de la Jeunesse et des Sports et
Dom:43 1838
Fax:436934-
MAGASIN OUVERT DU LUNDI AU SAMEDI INCLUS DE 7 H
OO
A 18 H
f-l airie
ANNUAIRE TELEPHONIQUE MAIRIE DE PAPEET
MAI rToUS PoSTE DE
SECREIARAT
SIRVTCES....,........................,..,....,...,,,,,,.......{157m
GARDI
rÉfrfi!Élilllltlf !
........ . . . ... . . ..............
DEP4IiTIMENT DIS M0YENS
...,............,..,,".,........,......,,,.,,.,.,.,.,.,.,,.,,,...{1 5? 76
8rJR84U 4DMI]iISTMT]F..
DIRTCTEUR DE CABTNET ....
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BURI4U DIS MARCHES
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..
CHEF DE CA8INET .. . ............
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P4RKINC.......
SECRETARIAT....................................................................415706/415707
ctMtTIERE
COMMUN]CATION & RELATONS PUILIQUES
DEPARTEMINT E]1tDES
CHARCE DE
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78 37 83
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FINANCTS RrCtE......
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BUREAU DE LAIEUNESSE ET DEsSPoRTS.....................42 15 13 . . . ...... . . . ...... . ..... . . . . ...... . .
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. . . ... . . . .............. . . . ....... . . ............
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