Paperjam Octobre 2002

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Dossier 30 pages: Le futur de la Place financière

Télécoms Les nouveautés de la rentrée

Utopolis

Schmvt

Les bons plan(t)s de la SNCI

Objectif Benelux

;now-How: Foires et Salons ■ A urora TV: la clé sous la porte ■ Know -H ow : Cadeaux d'affaires ■ Tango en deuil ■ K now-How : Leasing automobile


Les rêves d'aujourd'hui seront la réalité de demain

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paperJam # 10.2001

La saison nouvelle com m ence, et paperJam se réorganise cette année encore. Nous vous proposons désor­ m ais trois parties, à vocations bien distinctes. Un partie Actualité, dans la q uelle

nous

vous

présenterons,

m ois après m ois, les entreprises, ini­ tiatives, organisations... qui fo n t l'a c ­ tualité économ ique du Luxembourg. La deuxièm e partie, Opérationnel, regroupe les dossiers et les know ­ how. Vous trouverez dans ces pages des

in fo rm a tio n s

pra tiq u e s,

co n ­

crètes, qui s'adressent aussi directe­ m ent que possible à des problèm es de gestion et de fonctionnem ent des entreprises. Le Tim e Off, quant à lui, est là pour vous accom pagner dans vos loisirs et vos sorties. Pour la nou­ velle m aquette, nous vous donnons rendez-vous d 'ic i à la fin de l'année! Ce m ois-ci, dans le dossier Finance, nous nous penchons sur les futurs d é ve lo p p e m e n ts

de

la

Place

de

Luxem bourg. En effet, celle-ci pense, sinon à sa reconversion, à to u t le m oins à son évolution. C om m ent le private banking va-t-il évoluer? Les fo n ds sont-ils à même de servir de nouveau m oteur de croissance pour le secteur financier? Les nouvelles règles de Bâle II vont-elles avoir des conséquences sur les banques? ■

paperJam 10.2002

Edito C03


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paperJam # 1 0 .0 2 Actualité: 012 -> Utopia élargit son écran Intégration du néerlandais Polyfilm 016 -> On remplit son cartable... Téléphonie mobile et fixe, Internet.,. parés pour la rentrée! 020 -> Le crépuscule d'Aurora La plate-forme de convergence 7VInternet ne verra jamais le jour... 024 -> Strawberries fields forever Une nouvelle entreprise d'investisse­ ment est lancée au Luxembourg 028 -> Tango orphelin Le décès de Jan Stenbeck 030 -> Reuters sur tous les fronts Les nouveautés de l’agence financière Useful): 032 043 048 050 052

-» -> -> -> ->

Flashback People BusinessWebDirectory Agenda Campagnes

Coverstory: 054 -> Les bons plan(t)s de la SNCI L’argentier de l’économie luxem­ bourgeoise fête ses 25 ans 062 -> Il est partout... Le rôle de l’Etat dans l’économie luxembourgeoise 054-> Les bons plan(t)s de la S N C I paperJam 10.2002

Som m aire C05


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paperJam # 1 0 .0 2

Opérationnel Dossier “Le futur de la Place financière”: 068 -> Le sulfureux secret du Luxembourg Le secret bancaire fait plus parler de lui en mal qu'en bien

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076 -> Private banking, défis, stratégies Les perspectives de développement 084 -> La forme par les fonds ? Les fonds d’investissement, locomo­ tive de la Place financière ?

Ö V 116 -> La fo rm e p a r les fo n d s ?

090 -> Un Bâle pour un bien La nouvelle réglementation en matiè­ re de fonds propres paperJam KnowHow: 096 -> Plaisir d'offrir... Les cadeaux d’affaire 102 -> Trouver voiture à son pied Conseils des leasers automobiles 108 -> Quand les foires font salon Les foires et salons de la grande région

134 -> Trouver voiture a son pied paperJam 10.2002

Sommaire 007


Software & Internet Expo 02 October 2002

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paperJam #10-02

Catalogue Officiel Cahier inséré entre les pages 066 et 067 > Software&lnternet Expo Le catalogue officiel du salon 0 6 7 -> S o ftw a re & ln te rn e t Expo

Time Off 116 -> Portrait Patrick Bartz, codirecteur de la salle de concerts L’Atelier

117 -> Culture Expos, concerts, CD, Nico, Spidergirl 2003

121 -> Art de vivre / Objets Thé, parfums, papiers, Lomo

124 -> Resto-News Restos, recette

126 -> Club paperJam @ Chiggeri

paperJam 10.2002

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paperJam #10.2002 en couverture M. Georges Schmit photo Andres Lejona (Blitz) Installé actuellem ent à Lisbonne, ce photographe espagnol est revenu en Europe après un séjour de 8 ans à Cartagène (Colombie), où il a réalisé des portraits insolites, des repor­ tages inédits e t des photos de m ode p o u r Vogue Colombia. Andres Lejona est représenté au Luxembourg p a r l'agence Blitz.

éditeur mké S.A. téléphoné +352 - 29 66 18-1 fax administration - rédaction +352 - 29 66 19 fax tempo! (régie pub) +352 - 26 29 66 20 e-mail info@mke.lu e-mail paperJam info@paperJam.lu bureaux 39, rue Anatole France, Luxembourg-Bonnevoie courrier BP 728, L-2017 Luxembourg web www.mke.lu

directeur de la publication Mike Koedinger mike.koedinger@mke.lu (ext -66) rédacteur en chef Vincent Ruck Vincent.ruck@mke.lu (-45) directeur commercial Aurelio Angius aurelio.angius@tempo.lu (-37) directeur artistique Guido Kroger (xGraphix) guido@xGraphix.de photographie Frédéric Di Girolamo et Andres Lejona (Blitz) contact@blitz.lu illustrations H! rédaction Olivia Arend olivia.arend@mke.lu (-47) Jean-Michel Gaudron jean-michel.gaudron@mke.lu (-48) ont contribué à ce numéro: Jacques Démarqué - Laurent Husser David Laurent tempo! (régie pub) Aurelio Angius - Jung Ae Descamps - Francis Gasparotto - Anne-Gaëlle Lefort - Philippe Raïssis administration Stéphanie Simon composition/mise en page Céline Pecyna (mké) - Tudor Baican, Marc Berens, Katarina Kowol (xGraphix) www.xGraphix.de impression Imprimerie Centrale S.A. www.ic.lu papier Mediaprint Silk diffusion Luxembourg Messageries Paul Kraus

paperJam online www.paperJam.lu chef de projet Joanna Grodecki joanna.grodecki@mke.iu (-56) développement/ hérbergement Global Media Systems S.A. www.gms.lu

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paperJam

10.2002 l ’ O U T S

01 1


t l v i i a ê é a i p o t U

dm on (c o -a N ic o S im M ut s e t o u de w ijn

in is tr a te

p ia u rs d ’U to

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e o is e m b o u rg x lu e u iq a to g ra p h rp o ra n t m o é c in in c n t e n lo it a e lu x - > L 'e x p u r le B e n s e is r p n em é te n d s o lm a is P o ly fi d n la r e é le n B

D IV IA AR EN TEXTE OL

A c tu a lité

ÉD ÉR PH OTO FR

RO LA IC Dl GI

TZ ) M O (B LI


La nouvelle a été annoncée au milieu du trad itio n n e lle m e n t calm e m ois d 'a o û t: après les incursions réussies en Flandre puis, dernièrem ent, à Longwy, U to p ia S.A. se la n ce à la conquête d 'u n nouveau pays. En a b s o rb a n t le “n°5 h o lla n ­ dais", la so cié té Polyfilm , fo rte de 22 écrans répartis sur 5 villes (Alm ere, O ss, Z oe te rm e e r, Lelystad et M eppel) et ayant attiré pas m oins de 980 .0 0 0 visiteurs en 2001, U topia S.A. fra n c h it un pas d é c is if p o u r devenir, p o u r re p re n d re les term es de N ico Sim on, a d m in is­ trate u r-d é lé g u é d 'U to p ia S.A., “le p re m ie r g ro u p e c o h é re n t d 'exp lo ita n ts de salles de cin é ­ ma o p érant dans les 3 pays du Benelux". Un joli chem in parcouru pour cette ancienne Asbl, co n stitué e en S.A. d e p uis son lancem ent d ans le c in é m a co m m e rc ia l avec la création des 5 salles du ciném a U topia au Lim pertsberg en 1989... Et la co n tin ua tio n de la logique des choses, après l'ouverture d 'U to p o lis en 1996 (1,1 m illion de sp e ctate u rs par an), la reprise d 'u n c irc u it de salles en Belgique fin 1999 (3 sites et 22 salles) et l'entrée en Bourse en d é ce m b re 1999.

GENÈSE D'UNE ABSORPTION Polyfilm a été repris il y a d eux ans p a r un g ro u p e de financem ent belge d o n t fa it p a r­ tie B o u d e w ijn M uts, an cie n general b u s in e ss d ire c to r de Kinepolis G roup devenu d ire c ­ te u r de P o lyfilm . Ce m êm e B oudew ijn M uts est a d m in istra ­ teur au conseil d 'a d m in istra tio n d 'U to p ia S.A. d e p uis 1997. Les liens entre les deux so cié té s sont renforcés en 2000, avec une p rise de p a rtic ip a tio n d 'U to p ia dans Polyfilm à hau­ teur de 5% , puis de 33% d é b u t 2001. N ico Sim on, qui siège depuis lo rs au c o n s e il de P o lyfilm , co m m e n te la suite des événe­ m ents: "Nous avons estim é que les Pays-Bas rep ré se n ta ie n t une o p p ortu n ité intéressante, p a rce que c 'e s t un pays q u i p ossède encore un p o te n tie l certain. Son

nom bre de salles d o it encore être développé, de m êm e que la qualité de ses infrastructures, q u i est n ettem ent insuffisante. Il y a très peu de salles m odernes là-bas et, là où de nouveaux m ultiplexes o n t été construits, la fréquentation m onte sensible­ m ent, grâce ju ste m e n t à une infrastructure digne de ce nom, com m e il en existe depuis un certain tem ps déjà aussi bien au Luxem bourg qu 'e n Belgique, en France e t en A llem a g n e “. La chance à saisir et la p roxi­ m ité entre les adm inistrateurs des deux sociétés n 'on t pas été les seules raisons du rappro­ chem ent de plus en plus étroit de P o lyfilm et U to p ia . H isto riq u e m e n t, to u te s deux so n t nées des in itia tiv e s de cinéphiles, qui m élangent allè­ grem ent leurs com pétences en m atière de bu sin e ss et leur am our pour le 7“ art en créant des m ultiplexes de 5 à 12 salles bien plus rentables, d 'un point de vue économ ique com m e c u l­ turel, que les vieilles salles de n o tre enfance. Last b u t not least, la philosophie générale de déve lo pp e m e nt des m em bres du duo était - et dem eure - la suivante: développer des salles de cin é m a d ans des ville s m oyennes en offrant une infra­ structure m oderne. Par exem ple, aux Pays-Bas, Polyfilm a co n stru it de petits m ultisalles à Almere et Lelystad, lo ca lité s en plein d é ve lo p p e ­ m ent qui, au m om ent de l'o u ­

verture des com plexes, étaient encore de petites villes dans les P o ld e rs, et so n t m a in te n a n t considérées com m e des villes m oyennes: "Ce genre de villes est en croissance perm anente, il y a d o n c un p o te n tie l énorm e à y exploiter, e t un be so in de d éveloppem ent assez co n sid é ­ rable ". A u ta n t d 'é lé m e n ts qui ne pouvaient q u 'a b o u tir à la d é ci­ sion su iva n te, selon N ico Sim on: “Dans le cadre du déve­ lo p p e m e n t des deux sociétés, les c o n se ils d 'a d m in is tra tio n respectifs o n t pensé que cela fe ra it b e a u co u p de sens de réunir nos efforts e t de ne plus fo rm e r q u 'u n ".

QUELS CHANGEMENTS? Pas de grands bouleverse­ m ents en perspective au niveau de ce qui se passe sur le terrain. Nico Sim on note to u te fo is que la gestion structurelle sera fa c i­ litée grâce à la m anière d o n t les c o -a d m in is tra te u rs v o n t tra ­ vailler: “N otre collaboration est journalière, nous utilisons des p ro c é d u re s sim ila ires pour suivre nos activités e t dévelop­ p e r la rentabilité, c 'e s t évident. Q uotidiennem ent, je p o u rra i en outre m ieux me co n ce n tre r sur la p a rtie francophone de nos e x p lo ita tio n s (Lu xe m b o urg et ré g io n fro n ta liè re française), alors que Boudew ijn M uts -»

“Le principal est de constituer un groupe qui, au niveau du Benelux, assure une rentabilité certaine” NICO SIMON paperJam 10.2002

Actualité 013


-è pourra se co n ce n tre r sur la partie néerlandophone (Flandre e t Pays-Bas)". Nico Sim on table sur le futur et les divers bénéfices de l'a b ­ sorption: création de synergies de développem ent de projets et d 'a c h a ts p o u r les c o n s o m ­ m ables et les p ro d u its vendus, qui ne seront plus achetés sépa­ rém ent, ce qui p e rm e ttra au groupe d 'o b te n ir des co n ditions avantageuses,... Il ajoute: “// ne faut pas o u b lie r que le Benelux constitue un m arché structuré p o u r de n o m b re u x p ro d u its, égalem ent en m atière de droits audiovisuels. Nous saurons cer­ tainem ent m ieux n é g ocier cer­ tains contrats avec les ayants d ro it et, surtout, m ieux déve lo p ­ p e r un m arketing su r certains film s au niveau des dates de sor­ tie, des pro m o tio n s. M ais le p rin ­ cipal, en to u t cas, c 'e s t de c o n s titu e r un g ro u p e qui, au niveau du Benelux, assure une rentabilité certaine". Ce qui a d 'ore s et déjà chan­ gé, c'e st l'in té gra tio n des titres de P o lyfilm dans le ca p ita l d 'U to p ia S.A., signe tan gible de la nouvelle identité du groupe, co m m e le co m m e n te N ico Simon: "Depuis le 6 septem bre, nous avons d o n c co n stitué un groupe q u i s'a pp e lle Utopia S.A. e t opère de façon plu s stru ctu ­ rée dans les tro is p a ys du Benelux, avec une p e tite in cu r­ sion en France". Le m anage­ m ent détient 46,33% du groupe,

les in ve stisse u rs fin a n c ie rs L uxem part/A udiolux et S ofindev (B) se partagent 36,58% ( res­ p ectivem ent 27,72% et 8,86% ), tandis que 17,09 % restent dans le public.

MANNE À PROJETS Au Luxem bourg, U to p ia S.A. travaille bien sûr de fa ço n in te n ­ se au développem ent d 'u n p ro ­ je t à Esch-Belval, qui s'in tég re ra dans ce lu i, plus g lo b a l, des friches de Belval-O uest. On sait déjà q u 'il s'a gira d 'u n centre dédié au cinéma, m ais où la dim ension "loisirs" sera plus lar­ gem ent exploitée q u 'à l'U to p o lis Kirchberg. Des inform ations plus concrètes devraient être d é vo i­ lées d 'ic i deux à tro is m ois. Dans le courant 2003, c 'e s t un p ro je t in itia le m e n t p o rté par P o lyfilm qui verra le jo u r à Emmen. En Belgique, l'o u v e rtu ­ re d'un m ultiplexe à Turnhout aura lieu le 17 décem bre p ro ­ chain. Et en Belgique fran cophone? "En Flandre, la densité de p o p u ­ lation est plus im p orta n te q u 'e n Wallonie, explique N ico Sim on. Nous étions intéressés p a r c e r­ tains pro je ts su r le te rrito ire w al­ lon, m ais nous ne les avons abandonnés, parce que le u r ren­ ta bilité ne nous s e m b la it pas assez intéressante". L'occasion pour Nico Sim on de ra p p e le r sa v isio n des affaires: "Nous n'avons jam ais

“Il vaut mieux renoncer à un projet intéressant plutôt que de se laisser surprendre par son endettem ent” NICO SIMON 014 Actualité

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re g re tté les pro je ts que nous n 'avons finalem ent pas co n c ré ti­ sés, p a rce que nous aurions dû co n se n tir à trop d 'e ffo rts p h y ­ siques e t financiers sans p o u v o ir o b te n ir la nécessaire rentabilité à lo n g terme. N otre idée e st de c o n n aître une croissan ce ra i­ sonnable, lente, mais q u i assure une ren ta b ilité suffisante. Nous ne voulons pas, en raison de n o tre croissance, a rrive r à un e n d e tte m e n t te l q u e nous serions fragilisés et, finalem ent que nous ne po u rrio n s p lu s faire fa ce aux re m b o u rse m e n ts. Il vaut m ieux ren o n ce r à un p ro je t intéressant p lu tô t que de se lais­ se r su rp re n d re p a r son e n d e tte ­ m en t".

UNE VOLONTÉ D'EXPANSION RÉFLÉCHIE U to p ia S.A. ne cède pas aux sirènes d 'u n e expansion à to u t va hors du Benelux. U to p o lis L ongw y existe certes bel et bien - la fréq u e n ta tion des 7 salles du com p le xe dépasse les p ré vi­ sions des tenanciers du projets - , m ais est avant to u t le fru it d 'u n e o p p o rtu n ité d o n t a su p ro fite r la réfléchie U topia S.A.: "L o n g w y nous a in té re ssé e p a rce que c 'e s t une ville très frontalière. Nous n'au rio n s pas vo u lu q u e q u e lq u 'u n d 'a u tre vienne s'in sta lle r ju s te à côté d 'E sch -B e lva l! C 'e st un in ve stis­ se m e n t stratégique q u i ne p ré fi­ g u re en rien une p é n é tra tio n u lté rie u re p lu s im p o rta n te en France. N ous in s ta lle r dans d 'a u tre s villes françaises n 'e st pas à l'o rd re du jour. La décision que nous venons de p re n d re de d é ve lo p p e r un gro u p e B enelux m o n tre clairem ent nos p riorité s de développem ent. Il ne faut jam ais dire jam ais, m ais notre stratégie actuelle e st de fo rtifie r n o tre p o s itio n dans les trois pays du Benelux e t de d é ve lo p ­ p e r un gro u p e fo rt e t rentable. " Exit d o n c l'Allem agne, pays au dé ve lo pp e m e nt sauvage des salles de ciném a, où la c o n c u r­ rence est fo rte et où les grands c irc u its s o n t fra g ilisé s. N ico S im on: "N ous n'avons ce rta in e ­ m ent pas l'in te ntio n de nous y la n ce r". ■


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On remplit son cartable... -> Téléphonie m obile et fixe, Internet... parés pour la rentrée! TEXTE OLIVIA AREND PHOTO FRÉDÉRIC Dl G IROLAM O (BLITZ)

016 Actualité

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Il est loin le te m p s où le ch o ix entre plusieurs o pérateurs et service providers ne se présentait pas au consom m ateur, ni aux professionnels, lors­ q u 'ils devaient faire leur m arché. CMD, M obilux, Tango, Tele2 et l'EPT sont autant de noms connus du ré s id e n tie l... a lo rs que C egecom , avec Bam boo, la m arque qu 'il a lancé au printem ps der­ nier, entend bien se faire connaître de ces mêmes résidentiels, de la m êm e m anière q u 'il a su im po­ ser son nom aux p rofessionnels... un Bam boo qui, à l'heure de m ettre paperJam sous presse, n'avait pas encore dévoilé ses nouveautés, mais dont Jacques Ruckert, son directeur technique, rappe­ lait q u 'il est à ce jo u r "la seule alternative face à l'E P T en téléphonie fixe p a r accès direct".

MOBILE: FIDÉLISATION, SM S, M M S ,... C hris Maes, le d irecteur général de M obilux, présente trois nouveautés aux alentours de la ren­ trée, qui s 'o rie n te n t to u tes vers une dém arche de fidélisation: "Le 'favorite nu m b e r' est so rti il y a quelques semaines déjà. Il s 'a g it d'un e réduction de 25% su r les appels effectués vers un numéro. C 'e st une o p tio n g ratuite q u i sera b ie n tôt élargie à plusieurs numéros. Nous allons aussi o ffrir une rem ise co n sé qu e n te su r un pays étranger au ch o ix". La genèse de ces offres est sim ple: M ob ilux a co n staté que beaucoup de gens appel­ lent les m êm es num éros et, pour un résident étranger, cet état de fait est élargi à un pays, celui dans lequel habite sa fam ille. Puisque la pénétrati­ on du m obile au Luxem bourg est chose acquise, M ob ilux annonce que sa dém arche de fidélisation sera élargie dans quelques m ois... à suivre! Chez CM D, Yves Gordet, d irecte u r général, table quant à lui sur le développem ent du pro­ gram m e 22M ax, destiné aux jeunes, et annonce l'ouverture, le 19 septem bre, d 'un nouveau m aga­ sin à Ettelbruck, sous l’enseigne ‘Telecomhouse by C M D ’: "Plus grand, plu s beau que celui q u i exi­ ste actuellem ent. Son design sera identique à celui de notre siège social, p o u r que la clientèle puisse être 'relax'. D ébut octobre, ouvrirons un nouveau magasin au C ity C oncorde Le 2 septem bre, LUXGSM a lancé un nouveau kit, K o m ’Unity, co m p o sé d 'u n téléphone Nokia 3410 et de deux recharges de 25 Euro, le to u t pour 199 Euro TTC, pour la jeune clientèle Tip Top. Un nouveau kit, c 'e s t bien, un nouveau m ode de pai­ ement, c 'e s t m ieux. En exclusivité pour les clients TIPTOP, Tiny Cash. M arc Sauer, du départem ent m arketing, explique: "Dans la lignée du partenariat RTL - LUXG SM Talents 2002, nous lançons autour du groupe gagnant, ODC, un m icro -site où l'on p e u t a ch e te r du contenu m ultim édia à télécharger (vidéociip, chansons, sonneries, logos, e-cards). Avec Tiny Cash, l ’internaute envoie un SMS avec le code du contenu choisi. Son cré d it est alors débité, e t il re ç o it le téléchargem ent en contrepar­ tie ", Chez Tango, la fo n ction n a lité "Friends" (réduc­ tion de 10% pour les appels vers 5 numéros déter­ minés) disp o n ib le sur le pre-paid va l'être égale­

m ent sur le p o s t-p a id , ta n d is que "Tandem" devient gratuit: il suffira de payer la seconde carte... "nous voulons vivre des com m unications, pas des abonnem ents", rappelle Pascal Koster, directeur général. Des com m unications qui vont bon train avec le nouveau service de SMS push, "Tango Tatoo" (voir aussi p .040), pour lequel cha­ que abonné peut recevoir du contenu "p re m iu m " moyennant paiement. Yves G ordet précise que les services SMS sont basiques - p u isq u 'ils fonctionnent rapidem ent et sont utiles - pour lequel CM D est prêt et que, via l'EPT, l'envoi de photos est déjà possible et fo n c­ tionne bien. Intéressant, puisque le SMS push devrait évoluer vers le MMS ("m ultim edia message system ", pour les m oins avertis... et ils sont nom ­ breux), service testable gratuitem ent depuis juillet ju sq u 'à octobre inclus sur la plate-form e Tango. Les term inaux sont pour le moins rares, mais fonctionnent. A noter, le Nokia 7650 avec caméra intégrée et le T68 d ’Ericsson ainsi que la caméra à ‘clip e r’ d ’Ericsson fonctionnant notam m ent sur les m odèles T67 et T39. En octobre, Ericsson sortira le P800 avec cam éra intégrée (vente et form ation dans les shops CMD). Ericsson et Nokia sortiront sous peu des term inaux M M S d'entrée de gamme, pour les jeunes. Tango offre un com pte e-mail si nécessaire afin de pouvoir lire les MMS reçus. Il suffit d'envoyer un SMS pour établir le dialogue qui aboutira à la configuration du téléphone... ou du PDA. En effet, Tango so rt en novembre son propre PDA, avec m odule GPRS, term inal m ultim édia (téléphone, WAP, Internet, e-m ails, M M S)com plètem ent préconfiguré sur le réseau et les services Tango. Une offre basique sans abonnem ent sera disponible en pre- et en post-paid.

UMTS La raison de to u s ces efforts chez Tango, c'e st la préparation à l'U M TS ... Le groupe Tele2 est prêt à lancer son réseau 36 génération en Suède et a perm is à Tango de profiter de son expérience: "Nous devons com m encer à construire les stations de base en o cto bre p o u r p o u vo ir lancer un réseau fin janvier, com m e prévu. Le système de facturati­ on en p re - e t p o s t-p a id est prêt, le fournisseur choisi. M aintenant, il faut que l'E ta t fasse son devoir, de façon à faciliter aux opérateurs la créati­ on d 'un réseau e t les procédures d'autorisations nécessaires p o u r créer les sites. La nouvelle régle­ m entation, telle q u 'elle est prévue, va peut-être rendre im possible la création d 'un réseau UMTS au Luxem bourg". Les prix devraient chuter selon Pascal Koster avec l'UM TS, parce qu 'il va rendre possible la su bstitution du réseau fixe par le fait q u 'il perm et une capacité beaucoup plus élevée pour la transm ission de la voix: "On sera donc en mesure de baisser la tarification au niveau du prix à la m inute ". Du côté de l'EPT, sur la question de l'UM TS, on préfère rester discret: on continue à développer différentes applications, m ais on n'annonce rien. Sandrine Bourdillon, du départem ent com m er- ->

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-> cial, précise d'ailleurs que "dans les différents pays q u i avaient annoncé p o u r la rentrée que l'UM TS franchirait un g ra n d pas, on voit bien que to u t est re p o rté ..." On attend par exemple les te r­ minaux, et d'aucuns estim ent que la technologie n'est pas stable. L'UM TS se conjugue au futur proche pour certains, au futur sim ple pour d 'a u t­ res... les m ois prochains devraient en dire plus. Aux yeux d'Yves G ordet, “je crois q u 'il faudra attendre 12 à 18 m ois avant que l'UM TS ne p u is­ se être utile aux clients CMD".

ET LES SENIORS? Souvent oubliées - également parce qu'elles ne se différencient plus toujours autant q u 'aupara­ vant - , les personnes âgées com m encent à intéresser les opérateurs. On pense par exemples aux conférences organisées pour les sensibiliser à la m obilité, aux services de la téléphonie m obi­ le. CMD innove et, se considérant com m e un pre­ stataire de services qui développe une dém arche éthique par rapport au marché, explore ce seg­ ment il est vrai m oins porteur au niveau com m er­ cial que la cible jeune. Yves Gordet présente ces nouveaux services: "Dès la rentrée, nous co m ­ m ençons à traiter les segments des personnes âgées qui, p a r leur culture e t leur vécu historique, n 'o n t pas l ’habitude d 'u tilise r un GSM mais veu­ lent m ener une vie active. Dans la partie produits, nous proposons un abonnem ent e t un téléphone, choisi p o u r fa cilite r l'utilisation de personnes qui o n t parfois des problèm es de vision e t n 'o n t plus autant de souplesse. L'ergonom ie et la taille des appareils a d o n c été étudiée. Cela n'a pas été facile de les trouver, c 'e s t un m arché q u i n ’intéresse pas les constructeurs Mais c 'e s t sur la partie services qu'Yves G ordet insiste: “Un de nos employés a été formé p a r des spécialistes p o u r lui-m êm e form er les p e r­ sonnes âgées. La form ation sera ouverte à tous, pas seulem ent à nos clients. Nous m ettons égale­ m ent en pla ce des services liés à la logistique: on a trouvé une solution p o u r que les personnes âgées n 'aient plus besoin de venir chez nous p o u r régler les problèm es q u 'ils rencontrent. Il y aura aussi une ligne de secours gratuite spécifique où nous prendrons le tem ps de leur expliquer les choses, sans stress. Enfin, grâce à la carte SIM, on pourra leur co n fig ure r un certain nom bre de choses su r leur téléphone (médecin, SOS,...). Tout ceci a une utilité absolum ent concrète".

TÉLÉPHONIE FIXE ET INTERNET Bam boo, de son côté, est donc devenu le seul opérateur chez qui les gens peuvent aller sans plus avoir d'ab o n n e m e n t EPT. L'offre en accès d irect - téléphonie fixe et Internet - est limitée pour l’instant à la ville de Luxembourg et ses envi­ rons, mais la fin du déploiem ent sur tout le pays est programm ée pour 2004. La présélection est disponible partout dans le pays, évidemm ent, et Bam boo a déjà une centaine de clients en télé­

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phonie directe résidentielle depuis le printem ps. A l'EPT, la grille actuelle des prix de l'offre Passport va être élargie, avec de nouvelles d e sti­ nations et de nouvelles remises. Plus terre à terre, Tele2 vient de lancer un nouveau téléphone ergo­ nom ique iHear, pur design. Pour début octobre, com m e chaque année, une nouvelle version du C lassicC ube verra le jo u r chez l'EPT, qui va égalem ent lancer une offre de router ADSL, com m e l'e xp liq u e S andrine Bourdillon: "C 'est l'id é a l p o u r un résidentiel ou un p ro fe s­ sionnel q u i souhaite co n n ecte r plusieurs les o rd i­ nateurs avec TADSL. Au niveau technique, c'e st beaucoup p lu s facile q u 'u n m odem , car les p ro to ­ coles e t les softw ares so n t inclus dans le router". Chez Tango, Pascal Koster avoue ne pas écar­ ter l'id é e de lancer une offre ADSL, mais pas avant de p ouvoir proposer un prix raisonnable (aux alen­ tours de 30 Euro), ce qui est à ce jo u r im possible: "Pour nous, l'o ffre hig h -sp e e d in te rn e t co m p é titi­ ve sera basée sur l'UM TS. A vec l'U M TS de Tango, l'In te rn e t rapide va e n tre r chez to u t un chacun! C ontrairem ent à l'ADSL, c 'e s t une technologie q u i nous p e rm e t de ne pas avoir besoin de l'E P T p o u r rem placer les services de fixe". Bam boo pousse bien sûr son ADSL à l'avant de la scène et annonce que, via Cegecom , elle va égalem ent co m p lé te r son offre ADSL pour les pro­ fessionnels grâce à des produits haut de gamm e ADSL avec adresse IP fixe. Jacques Ruckert en dit un to u t p e tit peu plus sur les o b je ctifs pour la fin 2003: "Nous espérons a voir 1.500 clients rési­ dentiels en ADSL".

SERVIR... A la Softw are & Internet Expo, l'EPT va lancer à l'a tte n tio n des professionnels un nouveau service de conseil, W izard, com m e en tém oigne Sandrine Bourdillon: "Nos clients o n t leurs p ropres chargés de com pte, e t nous allons ren fo rce r ce service. Cela concerne to u t ce que la Poste p ropose: les télécom m unications, les services postaux e t finan­ ciers avec le CCP". L'événem ent sera également l'o cca sio n de lancer un nouveau site web, qui sera la po rte d'en tré e unique pour to u tes les divisions de l'entreprise: charte graphique plus claire, pré­ sentation des pro d u its et services, m oteur de recherche et, su rto u t une base de données de FAQ en télé co m m u n ica tion s sont au program m e. Au to u r de Jacques R uckert de présenter la phi­ losophie du to u t jeune Bam boo: "Pour o b te n ir le succès auprès des résidentiels, il faut être en m esure d 'o ffrir des p ro d u its q u i co m p o rte n t un asp e ct ludique, alors que C egecom est p lu tô t reconnu p o u r sa p la te -fo rm e technique auprès des professionnels. P o u r un résidentiel, il faut que le p ro d u it fonctionne, réponde à ses besoins, soit facile à u tilise r e t associé à une bonne im age de marque. L'im age co n trib u e beaucoup au succès. Nos p ro d u its vont d o n c p o rte r de nouveaux noms, e t nous allons lancer un site web a ttra c tif p o u r c li­ ents résidentiels". Et pour to u t le reste, qu 'o n n'a pas voulu nous d évoiler... rendez-vous à la Software & Internet Expo! ■


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Le crépuscule

d'Aurora

La plate-form e , h t a e w l r de su p p o rt devait ser . de \a

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décidé a u tre m e n t. . .. r H E L GAUO BON JEAN-M1CHEVG

Le beau rêve luxembourgeois de l'Américain Jeff Jackson a pris fin, cet été, avec la mise en faillite d'Aurora Investments S.A., mai­ son mère du réseau SelecTV, le réseau de télévision numérique dont il était à l'origine, et qui avait comme ambition de révolutionner le secteur des télécom m unica­ tions en proposant une plate­ forme unique de télévision payan­ te, vidéo on demand, jeux vidéo, Internet à ultra-haut débit vaste centre de commerce électronique, le tout à partir d'un même déco­ deur. C 'est à la fin du m ois de novembre 2000 que SelecTV fut "on air", avec une offre initiale d'une trentaine de chaînes de

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télévision réparties en bouquets thématiques. Mais ce n ’était là qu'une première étape dans le projet beaucoup plus ambitieux qui germ ait dans l'e s p rit de Jackson depuis un bon nombre d'années déjà, en prélude au grand chantier de eLuxembourg dont il aurait pu être un des piliers. "Notre business plan prévoyait quatre étapes. D 'abord l'installa­ tion du pay-TV; ensuite le lance­ m ent de la convergence; en troi­ sième lieu un développem ent vers l'Allemagne et la Belgique e t enfin une expansion internationale plus large" explique Jeff Jackson lar­ gement soutenu, à cette époque, par 3i, la plus ancienne et la plus importante des sociétés d'inves­

tissem ent de ca p ita l-risq u e en Europe (avec un portefeuille d 'in ­ vestissement de près de 2 m il­ liards d'Euro), qui détenait près des trois quarts du capital social d'Aurora Investments S.A.. Basée à Londres, mais gérant le dossier "Aurora" depuis son bureau de Munich, 3i avait planifié un engagement de l'ordre de 40 millions d'Euro. "Seulement" 6,2 millions d'Euro furent consacrés à la première phase du projet, la télévision payante. Cette première phase fut un succès. En quelques semaines, le stock de décodeurs avait fondu et près de 2.000 personnes avaient rejoint la comm unauté des abon­ nés, le break even étant fixé ->


-> autour de 5 000. Le baromètre était au beau fixe et personne n'y trouva à redire lorsque fu t décidé l'enclenchem ent de l'épisode II. "Peut-être aurait-il fallu insister sur le développem ent de ce m ar­ ché de la télévision payante et thématique. Nous avons toujours plaidé la cause de la plate-form e existante. Je crois q u 'il ne fallait pas brûler les étapes! Il aurait d 'ab o rd fallu capitaliser l'existant, avant d'envisager de nouveaux d é veloppem ents" tém oigne, après coup, un ancien collabora­ teur d'Aurora, qui a, en la circons­ tance, une vision bien opposée à celle de Jeff Jackson. "Encore une fois, le pay-TV n'était pas

l'o b je ctif final de SelecTV. Et puis, nous avions une faiblesse: l'a b ­ sence d'une masse suffisante de programmes allemands, dans la mesure où les droits de diffusion n'étaient pas disponibles pour le Luxembourg. Nous avions pour­ tant des contacts avancés avec le bouquet Premiere, mais les droits p o u r ses programmes ne nous étaient pas ouverts Le plan de financement de la convergence prévoyait un inves­ tissement de 25 millions d'Euro, dont 8 millions à nouveau débour­ sés par 3i. Le développement du boîtier décodeur était par ailleurs assuré en partenariat avec Siemens.

C'est à partir de là que les pro­ blèmes vont s'enchaîner. Le projet avait déjà été une première fois retardé, en amont du lancement initial, en raison des difficultés techniques et surtout politiques à fédérer pas moins de 152 réseaux propriétaires différents (essentiel­ lement des communes, surtout) et plusieurs câblo-opérateurs (parmi lesquels on connaît surtout Eltrona, Coditel et Siemens) pour un to ta l de quelque 130.000 foyers clients. Dans cette seconde phase, c'e st du côté des P&T, actionnaire à 35% d'Aurora Media Services, la filiale commerciale et marketing d 'A urora Investm ents dans -è

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-> laquelle était logée le "pack" d'abonnés, que les problèm es semblent s'être concentrés. "Il était im portant de bénéficier de leurs ressources télécoms, notam m ent en ce qui concerne les modalités techniques de la voie de retour. Car la transmission du signal via le décodeur n'était pas bidirectionnelle. Le problèm e est que ce développem ent a été beaucoup trop long, en partie parce que les P&T n 'ont pas voulu d évelopper un c o n ce p t dans lequel le contrôle du trafic leur échapperait p a r la suite totale­ ment. Le développem ent qui leur était confié n'aurait pas dû durer plus de trois mois. Il en a pris plus de h uit..." Obligée de 'brûler' ses réserves financières dans l'attente de la finalisation des développements technologiques, Aurora va subir un autre coup dur, qui lui sera finalement fatal: l'im plosion du groupe 3i, foudroyé par l'éclate­ ment de la “bulle Internet": 85% de pertes sur les portefeuilles de participations; des investisse­ ments stoppés du jour au lende­ main; des licenciem ents mas­ sifs... les dégâts collatéraux seront également importants. "3i n'est rien d'autre qu'un fabriquant d'investissement analyse, à froid, Jeff Jackson. Lorsque to u t va bien, l'ambiance est fantastique et on se donne des claques dans le dos. Lorsque ça va mal, on ne

prend aucun gant p o u r je te r le bébé avec l'eau du bain. Et ii y a eu beaucoup de bébés jetés dans cette période-là. Si les développe­ ments technologiques que l'on nous avait prom is avaient été ter­ minés en mai, nous aurions enco­ re pu avoir des chèques de 3i. En août, il était déjà trop tard". Privée des ressources de son principal actionnaire, Aurora va alors commencer une lente des­ cente aux enfers. En novembre 2001, 3i se retire définitivement du jeu et Jeff Jackson devient action­ naire m ajoritaire, avec l'e sp o ir d'une redistribution rapide des cartes. "Le problèm e était qu'à cette période-là, le secteur était sinistré, et que nous étions égale­ m ent en train de perdre notre com m issaire aux com ptes, Andersen. À partir de mars 2002, il n'était plus possible de faire une réelle prom otion de l'investisse­ ment". En dernier recours, avec le sou­ tien de Deloitte, une ultim e démarche fut menée afin d 'im agi­ ner une structure financière telle qu'un investisseur potentiel ne prendrait qu'un risque limité en s'engageant. l'Adm inistration fis­ cale donna son feu vert à un sché­ ma qui plafonnait à 10% le risque de pertes. Une banque luxem ­ bourgeoise était prête à s'y lancer lorsqu'un article de presse étala au grand jour la situation de ces­ sation de paiement de SelecTV,

“À première vue, le passif ne devrait pas dépasser les 1,5 million d'Euro, ce qui est loin des 5 millions d'Euro que certains veulent bien laisser croire” ME OSSOLA CURATEUR 022 Actualité

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"alors même que je n 'avais jamais rencontré ce journaliste ni eu le m oindre contact avec lui" regret­ te Jeff Jackson. C'en était cette fois fini des derniers espoirs de capitalisation, et la faillite, inéluctable, tomba cet été, après que M. Jackson ait, dans un premier temps, mis sa société en liquidation volontaire et procédé à un plan social qui a co n ce rn é neuf personnes au total. "Il n 'y a aucune créance en cours concernant les salaires et, apparem ment, il n 'y a aucune déclaration de créance de l ’Etat, que ce soit p o u r les impôts, le centre com m un ou la TVA. Peutêtre même la société pourrait-elle bénéficier d'un crédit de TVA" constate Me Ossola, le curateur en charge du règlement de la faillite d'Aurora. "À première vue, le passif ne devrait pas dépasser les 1,5 millions d'Euro p o u r l'en­ semble des trois sociétés (1), ce qui est loin des 5 m illions d'Euro que certains veulent bien laisser croire. Je dois d ire que j'a i d'ailleurs été surpris de la diffé­ rence entre la situation décrite dans la presse ou p a r les rumeurs e t ce que j'a i pu trouver sur place". Le bail de location des locaux de la société, rue Heine, arrivant à échéance fin septembre, Me Ossola espère bien, d 'ici là, par­ venir à négocier la cession de la plate-form e technologique exis­ tante. Des co n ta cts sont en cours, au-delà des frontières du Grand-Duché: "Cet a c tif est très im portant, à condition q u 'il reste en entier. Si la plate-form e devait être démantelée, elle perdrait évi­ dem m ent toute sa valeur. Si on parvient à la vendre, on com pen­ serait pratiquem ent tout le passif, ce qui est rare dans le cadre d'une faillite" remarque l'avocat. Jeff Jackson, lui, contraint de tirer un trait sur une entreprise qui aura occupé dix ans de sa vie, a déjà d'autres projets en tête, mais certainem ent pas à Luxem bourg... ■ (1) Le holding faîtier, Aurora Investm ents S.A.; sa filiale à 100% Aurora Media Technologies S.A., qui regroupait toutes les com pétences technologiques, et sa filiale à 65% Aurora Media Services (les P&T détenaient les 35% restants), q u i gérait les abonnements.


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Strawberries fields forever -> Une nouvelle entreprise d'investissem ent est lancée au Luxembourg VINCENT RUCK

FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)

Personne n'ose affirm er que le Luxem bourg est un pays d 'e n tre p re n e u rs et de prise de risques. De n o m b re u x re sp o n sa b le s é c o n o ­ m iques en fo n t le constat, et te n ten t de le fa v o ri­ ser. Après que les responsables de la G rande Région se soient penchés sur l'entrepreneuriat, après le lancem ent il y a quelques années du Technoport Schlassgoart, c 'e s t au to u r du se c­ teur privé de lancer une initiative nouvelle. Son nom? Straw berries. De quoi s 'a g it-il? Trois asso­ ciés (Carlo Kissen, Carlo R ock et Pierre Brahms) ont créé une nouvelle société - Straw berries, donc - qui se définit, selon les term es des a sso ­ ciés, com m e une société d 'investissem ent. Investir, m ais dans quoi? Dans des 'p orte u rs

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de p ro je ts'. Des entrepreneurs, à la recherche d 'u n soutien initial. Pour les p ro m o te urs de l'o p é ­ ration, il s'a g it d 'a id e r des personnes ayant des idées, et ne vo u la n t pas 'perdre' leur projet, d ura n t une phase interm édiaire. A u tre m e n t dit, S traw berries co m p te in te rve n ir à un m om e n t où les b anques o n t arrêté de prêter de l'argent, et où les 'tra d itio n n e ls' c a p ita u x-risq u e u rs ne regardent pas e n co re le d o ssie r du ca n d id at: le risque fin a n ­ cier est tro p grand p o u r les prem ières, et les p ro ­ je ts tro p p e tits p o u r les seconds. Ce p o sitio n n e m e n t se fa it d 'a b o rd par les som m es m axim ales investies: 25.000 Euro. Carlo Rock reconnaît la 'm o d e stie ' de l'investissem ent: "25.000 Euro, en soi, ce n 'e s t pas g ra n d chose. M ais co m m e nous ne voulons pas la m ajorité, se


re tro u v e r avec des associés à h a u te u r de 20% qui d o n n e n t 25 .00 0 Euro, c 'e s t reconnaître que l'e n ­ treprise vaut 125.000 Euro! Ca co m m e n ce déjà à faire une belle so m m e !" L'au tre originalité, so u li­ gnée p a r C arlo Kissen, c 'e s t la réa ctivité et la per­ so n n alisa tion des co n ta cts. “N ous n'avo n s pas un qu e stionnaire lo n g de 20 p a g es que nous devons cocher. N ous re n co n tro n s les candidats, nous dis c u to n s avec eux, nous d iscu to ns entre nous trois, p a s un de p lu s . N o u s d é cid o n s. S traw berries, c 'e s t nous e t pe rso n n e d 'au tre ". Q u 'a p p o rte d o n c S traw berries, en plus d 'a r­ g ent? Le réseau des tro is associés, qui possè­ dent des relais ta n t au Luxem bourg q u 'à l'é tra n ­ ger, s u sce p tib le de servir d 'a ccé lé ra te u r à un pro­ jet, en plus de leurs co m p é te n ce s. La m ise en

c o n ta c t d irecte avec un parte n a ire/clien t/fo u rn is­ seur peut faire é co n om ise r de grandes som m es e t/o u ouvrir des p e rspectives peut-être initiale­ m en t n o n -so u p ço n né e s. S traw berries co m p te m ettre des locaux à d isp o sitio n des entreprises dans lesquelles les investissem ents seront faits (voici donc un incu b a te u r privé! La fin des travaux est prévue pour le 15 octobre), dans l'idée de pouvoir dé ve lo pp e r des synergies. Une aide ju ri­ dique, a dm inistrative, soutiendra égalem ent les entreprises. Mais, au fait, quelles entreprises? Les contacts développés s 'é te n d e n t à travers to u te la G rande Région; les Universités en Allem agne, Belgique et France ont été con tacté e s, des projets o n t d'ores et déjà été 'a ud itio n n é s'. Affaire à suivre! ■ paperJam 10.2002

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bienvenue sur le site du

Le Gouvernement

Ministères et Administrations

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l o u v e r n e m e n t du Grand-Duché de Luxembourg

www. gouvernement.lu

Après deux ans de fonctionnem ent , près de 2 0 0 0 p a g e s a jo u té es, 9 0 0 v isite u rs e t 5 0 0 0 pages visitées p a r jour, le g o u v e r n e m e n t lu x e m b o u rg e o is a le plaisir de vous présenter la nouvelle version de son site . w w w . g o u v e r n e m e n t . lu



-> Jan S tenbeck, le fondateur du groupe Millicom, d é cé d é ce t été, laissera un grand vide à . .. Luxem bourg TEXTE JE A N -M IC H EL GAUDRON PHOTO FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)

Le 19 août dernier, les groupes internationaux de télécom m uni­ cations M illicom et Tele2 - maison mère du réseau Tango - perdait son p ré sid e n t fondateur, Jan Hugo Stenbeck, terrassé, à Paris, par une crise cardiaque à l'âge de 59 ans. "Un hom m e avec un charisme énorm e e t un visionnaire com m e il n 'e n existe pas b e a u co u p " té m o ig n e Je a n -C la u d e Bintz, adm inistrateur-délégué de TangoTele2 à Luxembourg, qui a eu le privilège de le côtoyer pendant 13 ans, puisque le grand patron sué­ dois avait choisi Luxembourg plus p ré cisé m e n t B ertrange com m e lieu de résidence person­ nelle. Hom m e d'affaires averti, om ni­ potent dans la gestion de son business, Jan H. S te n b e ck régnait com m e en maître sur un em pire qui co m p re n a it aussi q u e lq ue s-u n s de ses autres beaux "bébés" tels q u 'ln vik & Co. AB, Tele2 AB, M o d e m Tim es Group, Metro International S.A. ou encore Transcom W o rld w id e S.A. C om ptant parmi les plus riches personnalités suédoises, il déte­ nait, au total, sept entreprises cotées en bourse et estimées à plus de 10 milliards d'Euro fin 2001. Une valeur qui avait néan­ m oins sévèrement chuté depuis le début de l'année, puisqu'elle était retom bée à m oins de 4 m il­ liards d'Euro cet été. L'un de ses derniers engage­ m ents a été le financem ent du défi suédois V ictory Challenge

engagé dans la Coupe de l'Am érica 2003, la grande épreu­ ve de voile, pour laquelle il n'a pas hésité à investir des cen­ taines de millions de couronnes suédoises (1 Euro= 9,21 SEK). Son parcours de businessman com m ence au début des années 80, à sa sortie de Harvard, lors­ qu'il hérite, à la m ort de son père, du groupe d iversifié Kinnevik (entreprises sidérurgiques, fores­ tières, papetières...), q u 'il va restructurer en profondeur. Parmi les plus beaux coups réalisés par ce magnat venu du froid: le développement, à partir de 1995, du premier quotidien gratuit d'inform ation, Metro, qui aujourd'hui existe en 24 éditions dans 15 pays, et tire au total à plus de 4 millions d'exemplaires. Il fut également un des pre­ miers à surfer sur la vague de la libéralisation des marchés des télécom m unications et de la télé­ vision, d'abord en Suède, puis dans toute l'Europe. Tele2, qu'il a créé, ainsi, est aujourd'hui pré­ sent dans 21 pays en Europe, en tant qu'opérateur de téléphonie fixe ou mobile (Tango mais aussi Com viq en Suède), et a été clas­ sé par les spécialistes de la revue am éricaine Business Week com m e l'opérateur ayant affiché la plus forte croissance au monde en 2001. On le retrouve encore à l'origi­ ne de l'aventure de Vodafone, m ais aussi de ... la Société Européenne de Satellites, dont il fut un des premiers principaux actionnaires "privés". Une pré­

sence qui n'avait rien d'hasardeuse, puisque c'e st à partir de trans­ pondeurs d'A stra que TV3, la pre­ mière chaîne comm erciale "pira­ te" émise à partir de Londres dès Noël 1987, concurrença fo rte ­ m ent la télévision publique sué­ doise. La disparition d'une figure aussi em blém atique à la tête d'un grou­ pe aura-t-elle des conséquences particulières, surtout à une pério­ de délicate où les rumeurs de faillite vont bon train? "Au niveau de sa succession, to u t a été plani­ fié, puisque c'e st sa fille, Cristina, 24 ans, q u i d o it reprendre les affaires en mains. Evidemment, personne ne s'attendait à ce q u 'il nous quitte aussi tô t" explique Jean-Claude Bintz, qui fait remar­ quer qu'a u cu n e assem blée ou aucun conseil extraordinaires n'on t été convoqués pour cham ­ bouler quoi que ce soit. Dans le fo n ction n e m e nt du groupe, ce sont les autres cadres dirigeants qui assureront la conti­ nuité. On peut toutefois s'attendre à ce que, sans l'om niprésence de Jan Stenbeck, les entités du grou­ pe (re)découvrent qu'il est pos­ sib le d 'a v o ir une existence propre... C 'e st Hâkan Ledin, 64 ans, adm inistrateur de Tele2 AB, et qui o ccupait, depuis 1995, les fo n c­ tions de vice-président du conseil d'adm inistration de M illicom, qui succède à Jan Stenbeck à la tête de M illicom International Cellular. Il fut, pendant de nombreuses années, un des conseillers per­ sonnels de Stenbeck. ■

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Actualité 029


Reuters sur tous les fronts -> Etre présent d'un bout à l'autre du processus opérationnel d'un établissem ent financier: tel est l'objectif du géant de l'information et de la technologie TEXTE JEAN -M ICHEL GAUDRON PHOTO FRÉDÉRIC Dl GIROLAM O (BLITZ)

Longtemps connu pour ses seules activités d ’agence de pres­ se et de fournisseur d'informations économiques, Reuters a progressi­ vement développé toute une palet­ te de nouveaux services et d ’applicatifs financiers. Un processus ini­ tié depuis une bonne trentaine d'années, alors que la société fête­ ra, ce mois d'octobre, ses 151 ans d'existence depuis l'ouverture du premier bureau à Londres. L 'objectif se veut clair: être capable de répondre à toutes les attentes du marché, sur l'ensemble du processus, depuis la mise à dis­ position et l’analyse de l’informa­ tion financière jusqu'au débouclement (messagerie SWIFT, fax, courrier, comptabilité...) des opé­ rations financières passées par la banque. Cela concerne ainsi la gestion de portefeuilles, la gestion de risques (de marchés, de crédits et opérationnels tout en intégrant les dernières directives des accords Bâle II), mais aussi les rou­ tages des ordres de bourse et le traitement des opérations de règle­ ment. Dans les quelques semaines à venir, cette gamme de produits Reuters va encore s'étoffer, avec trois nouveaux développem ents d'importance : une gestion "front to back" des flux d'informations avec une intégration plus élaborée d ’une nouvelle application de trai­ tement des opérations de salles de marché ; une nouvelles base de données complète avec des cours validés et des opérations sur titres pour la réévaluation des positions de portefeuille et les calculs de VNI dans le domaine des fonds et enfin un service de messagerie instanta­

030 Actualité

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née développé conjointement avec Microsoft permettant un dialogue en tem ps réel entre tous les membres de la communauté finan­ cière à travers le monde. "Nous souhaitons aller le plus loin possible dans notre rôle d'inté­ grateur. Le marché attend de p o u ­ voir suivre et analyser les données financières, de gérer les risques et les positions, enfin, de passer des ordres à partir d ’un seul et même terminal. Une telle concentration de fonctionnalités aussi variées ne s'avère possible que si les sys­ tèmes et applications en amont sont interfacés de façon très effec­ tive" explique Patrice Roy, direc­ teur général Reuters Luxembourg et Belgique. L’entité Luxembourg / Belgique, emploie quelques 140 personnes, réparties équitablement entre les deux capitales, et com pte quelques 5.000 utilisateurs parmi ses 550 clients. L'activité de la société se décli­ ne en quatre grands segments. Le plus important étant, pour des rai­ sons historiques, la trésorerie (avec entre autre le développement d 'ou ­ tils transactionnels et de contrôle de risques pour les marchés des changes et monétaires), mais c'est I' "Investment Banking and Brokerage" qui s'affiche en plus forte croissance. On y com pte également encore I' "Asset M anagem ent" et une activité "Corporate & Media", dans laquel­ le est incluse le secteur des matières premières et de l'énergie. "Au Luxembourg, nous sommes évidemment actifs principalement dans les trois premiers segments. Nous avons p a r exemple une

pénétration très importante dans les produits de "Risk Management", avec 400 positions réparties chez 1 6 clients" explique Patrice Roy, qui croit en un rôle accru de sa société sur la place financière : "La diversi­ fication de notre offre et l'approche intégration peuvent nous permettre de devenir, à terme, un des princi­ paux fournisseurs de solutions. Nous sommes déjà très présents dans les salles de marché, mais nous avons encore tout à faire en matière de consulting et de déve­ loppements technologiques. Il y a une croissance im portante à attendre dans les années à venir". ■


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Prêts pour la rentrée ? Petite séance de rattrapage pour ceux qui n'auraient pas été très attentifs à l'actualité cet été...

Pas de cours de langues pour les avocats

b ourgeois p a r les avocats devra être une co n n a issa n ce générale p e r m e tta n t d e co m m u n iq u er avec les clients, les confrères et le tribunal, co n n a issa n ce q u i po u rra s'a cq u érir dans les cours p rivé s e t p u b lics o fferts" a rap ­ pelé Luc Frieden.

Moins de noms de domaines dans le monde Interrogé, en toute fin de session parlem entaire, par le député dém ocrate X avier Bettel, le m inistre de la Justice a affirm é qu'il n'était pas prévu d'organiser des cours spécifiques de langue luxembourgeoise à l'attention des avocats. Luc Frieden répondait ainsi à la question ayant trait à la nouvelle loi concernant l'inscrip­ tion des avocats aux barreaux du Luxembourg, et qui prévoit que l'avocat soit dans l'obligation de connaître la langue luxem bour­ geoise. "La connaissance du luxem ­

032 Actualité

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Selon les derniers chiffres établis par N etN am es - D om ainStats, en juillet 2002, le nom bre total de nom s d e d o m ain e enregistrés dans le m onde était de 30,64 m il­ lions, soit un léger repli de 1,47% par rapport aux 31,1 m illions recensés en m ars 2002. C'est la confirm ation d'un mouvem ent de recul observé depuis l'été 2001. Pour le seul m ois de décem bre 2001, VeriSign, le leader m ondial des enregistrem ent de nom s de dom aine, avait com pté pas moins de 1,3 m illions de nom s non renouvelés.

A u Luxem bourg, les d erniers chiffres disponibles auprès de dns.lu datent du 31 juillet 2002 et fo n t état de 2.452 nouveaux enregistrem ents de sites ".lu" depuis le début de l'année, pour un total de sites de 15.464. A u 31 juillet 2001, ce chiffre était un peu supérieur ( 16.295)...

+7% pour le salaire social minimum ?

Le député Lucien Lux, consta­ tant "une redistribution inégale des fr u its de la cro issa n ce" de ces dernières années, a déposé


dans le courant de l'été une pro­ position de loi en vue de m odifier le salaire m inim um actuellem ent en vigueur au Luxem bourg. A ux yeux du bourgm estre de Bettem bourg, la réform e fiscale engagée aux 1er janvier 2001 et 2002 a surtout profité aux per­ sonnes disposant de revenus éle­ vés, les salariés et fam illes ne payant peu - ou pas - d ’im pôts n'étant guère concernés. "Un tiers des m énages n ’est p a s du tout soum is à l ’im pôt su r le reve­ n u " rappelle M . Lux, qui consta­ te égalem ent que la plupart des salariés rém unérés au salaire social m inim um ne bénéficient pas de conventions collectives susceptibles d'am éliorer quelque peu leur ordinaire. En conséquence de quoi le dépu­ té socialiste propose une rééva­ luation de 7% du salaire social m inim um à com pter du 1er ja n ­ vier 2003, le portant ainsi, pour des travailleurs non qualifiés, à 1.415.07 Euro par m ois (contre 1.322,47 Euro actuellem ent), soit un taux horaire de 8,18 Euro. Pour des travailleurs qualifiés, ce salaire est m ajoré de 20% , soit 1.698.08 Euro p ar m ois (9,81 E uro horaire).

Sociétés commerciales: pour un élargissement du champ des restructurations

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Le m inistre de la Justice Luc Frieden souhaite élargir les dis­ positions légales rég issan t les opérations de fusions, scissions ou autres grandes m anœ uvres assim ilées. D epuis 1987 et une précédente retouche de la loi du 10 août 1915 co n c ern an t les sociétés com m erciales, le cadre législatif était restreint aux seules sociétés anonymes. "// apparaît désorm ais que la sécurité ju rid iq u e offerte en vue d e réa lise r une opération de fu sio n ou de scission doive être éten d u e à l ’a ccom plissem ent d ’opérations co n cern a n t des sociétés autres que des sociétés anonym es, à l ’instar des p o ssib i­ lités ouvertes p a r les droits des p a y s voisins" estime, aujourd'hui, le m inistre de la Justice, qui sou­ haite donc une ouverture m axi­ m ale des opérations de restructu­

rations à l ’ensem ble des entre­ p rises économ iques: sociétés civiles, sociétés en nom collectif, sociétés en com m andite simple, sociétés anonym es, sociétés en com m andite par actions, sociétés à responsabilité limitée et socié­ tés coopératives, ainsi que les g roupem ents d ’intérêt écono­ m ique. N e sont pas concernées, en revanche, l’association agrico­ le ou l'asbl. U n second volet du projet de loi prévoit d'introduire en droit luxem bourgeois des techniques d'apports ou cessions d ’universa­ lités ou partiels d ’actifs, comme les transferts de branches d ’acti­ vités, ce qui p erm ettrait aux en trep rises de procéder à un transfert de patrim oine avec effet de transm ission universelle en un seul acte, c ’est-à-dire sans devoir procéder à des cessions indivi­ duelles de dettes et de créances.

(code pays, code banque, numéro de com pte, num éro de contrô­ le ...), et facilite ainsi sa recon­ naissance. A u Luxembourg, sous l'égide de l'ABBL, le standard IBAN-LUX a été adopté, sa m ise en applica­ tion par les banques de la place devant se faire d'ici à la fin de cette année. Les banques seront tenues de convertir, elles-mêm es, les ordres p erm an en ts et les domiciliations de leurs clients.

Quant aux PM E qui souhaitent convertir au form at IBAN tous les numéros de com ptes de leurs clients ou fournisseurs, un pro­ cessus standard de conversion est disponible auprès de la banque détenant le com pte de cette socié­ té, ou bien de Cetrel. Depuis le 9 septembre, la Banque centrale du Luxembourg a mis le format IBAN en application pour les com ptes ouverts dans ses livres.

Un marché intérieur peu praticable

Free Beep intronisée au Technoport Spécialisée dans le développe­ m ent et la vente de logiciels pour le recrutem ent et la gestion des ressources hum aines, la société Free-Beep a pris ses quartiers, cet été, au cœ ur du Technoport Schlassgoart. Free-Beep a notam m ent dévelop­ pé la p late-fo rm e Internet w w w .xenajobs.lu , récem m ent prim ée au concours 123 Go, per­ m ettant une com paraison auto­ m atique entre C V s et offres d'em plois; une com m unication interne entre em ployeurs et can­ didats et autom atisant le proces­ sus de recrutem ent. Le lancem ent officiel du site a été effectué au 1er septembre dernier (voir aussi notre rubrique B usiness Web Directory, page 048).

Nouveau format de numérotation des comptes bancaires IBA N, c'est l'acronym e d 'in te rn atio n a l B ank A ccount N um ber, nouveau form at de n um éro de votre com pte en banque, reconnu par les Etats m em bres de l'U nion européenne, et qui va perm ettre, une fois adopté p a r l'ensem ble des banques de ces pays, une auto­ m atisation des systèm es inter­ bancaires et, par extension, une réduction des délais d'exécution et des frais. U n num éro IBAN reprend toutes les inform ations essentielles concernant un com pte en banque

Selon le dernier rapport établi par la Com m ission européenne sur la situation du m arché intérieur des services - lesquels interviennent pour près des trois quarts dans le PIB et l'em ploi européens -, le paysage est loin d'être aussi idyl­ lique qu'il pourrait l'être: ainsi, entreprises et consom m ateurs s'estiment toujours pénalisés par l'énorme clivage existant entre la vision d'une économ ie européen­ ne idéalem ent intégrée et la réali­ té dans laquelle ils opèrent au quotidien. Parmi les principaux obstacles recensés par l'étude, on retrouve le nom bre d 'autorisations requises; la longueur et la com ­ plexité des form alités adm inis­ tratives, le pouvoir discrétionnai­ re que possèdent les autorités locales ainsi que le fait que les entreprises sont fréquem m ent obligées d 'acco m p lir dans les pays où ils souhaitent opérer les m êm es fo rm alités q ue celles qu'elles ont déjà accom plies dans leur État m em bre d'origine. Les restrictions touchant le déta­ chement de travailleurs dans un autre État m em bre, l'utilisation d'équipem ents ou de m atériels par des prestataires en dehors de leur propre État m em bre ainsi que le recours à des services transfrontaliers aux entreprises (tels que des services co m p ­ tables, les assurances, la publici­ té, etc.) sont égalem ent visés, sans com pter les difficultés à

m ener des activités prom otion­ nelles transfrontalières en raison des différences considérables qui existent entre les diverses législa­ tions nationales en m atière de com munications com merciales. "L 'im p o ssib ilité d 'u tiliser le mêm e m odèle d'entreprise su r tout le territoire du m arché inté­ rieur em pêche les entreprises de tirer p r o fit d es éco n o m ies d'échelle. Il en résulte un g a s­ pillage des ressources des entre­ prises, tandis q u e l'investisse­ m ent en innovation et la différen­ ciation des services s'en trouvent lim ités" déplore l'étude. A noter, tout de même, les initia­ tives de Bruxelles afin de venir en aide aux citoyens et aux entre­ prises confrontés bien souvent à de nom breux casse-tête: l'amélio­ ration du service déjà existant d'aiguillage des citoyens pour les particuliers (accessible par le num éro vert 00800 67891011 identique dans toute l'Europe, ou bien sur http://europa.eu.int/citizens), et la création d'un réseau de résolution de problèmes pour les entreprises appelé Solvit. La gam m e des sujets susceptibles d'être traités est aussi variée que la reconnaissance des qualifications professionnelles ou des diplômes entre E tats, la recherche d'un em ploi dans un autre Etat membre, les aspects fiscaux des prestations sociales ou des taux d'im position...

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Actualité 033


Mazars s'associe à Virtualia

Le cabinet d'audit et de conseil M azars a annoncé, à la mi-août, avoir signé un partenariat avec la société Virtualia, éditrice d ’une solution inform atique Ressources hum aines du m êm e nom. Cette collaboration est destinée à offrir un accom pagnem ent supplém en­ taire pour les entreprises dont l'activité des fonctions RH est bien souvent alourdie par de trop im portantes tâches adm inistra­ tives, au détriment des projets stratégiques à forte valeur ajou­ tée. L'objectif de cette collaboration est triple: satisfaire la couverture RH du client; optim iser les tem ps et les processus et enfin rationali­ ser les coûts. Le partenariat établi couvre l'en­ semble du marché européen et renforce par là-m êm e l ’infra­ structure de M azars organisée en centre de compétences.

Reprise du chômage dans la zone Euro De 8,3% en mai 2002, le taux de chôm age de la zone Euro, corrigé des variations saisonnières, a grim pé à 8,4% en juin, selon les données établies par Eurostat. Il est de 7,7% pour l'ensem ble des 15 E tats m em bres de l'U nion européenne. Le Luxembourg est toujours à la pointe en la matière, avec un taux de 2,3% , loin devant les Pays-Bas (2,8% , en m ai) et l'A utriche (4,1%), ce dernier pays enregis­ trant la hausse la plus im portante calculée sur les 12 derniers mois. C 'est l'Espagne qui ferm e la m arche avec un taux de 11,5%. U n an auparavant, le taux de chô­ mage de la zone Euro était limité à 8% et celui de l'UE 15 à 7,4% ... Sur ces douze mois de référence, le taux de chôm age des homm es dans la zone Euro a augm enté de 6,7% à 7,2% (de 6,4% à 6,9% dans l'U E 15) et celui des fem m es de 9,7% à 9,9% (8,5% à 8,8% dans l'UE 15). En ju in 2002, les estim ations d'Eurostat font état de 11,6 m il­ lions de chômeurs dans la zone Euro et de 13,6 millions pour l'ensemble de l'U nion européene.

034 Actualité paperJam 10.2002

Tunnels routiers à Luxembourg: expertise en cours Interrogé par le député dém ocra­ te X avier Bettel au sujet des mesures de sécurité existantes dans le tunnel du Saint-Esprit, long de 650 m ètres, sous le centre-ville de Luxembourg, la m inistre des Travaux Publics, Em a Hennicot-Schoepges, a pré­ cisé que son m inistère avait m an­ daté le bureau SECTEC TPI de Paris afin d'établir un diagnostic des tunnels actuellem ent en ser­ vice et la qualité de leur exploita­ tion, au sujet des norm es de sécu­ rité appliquées pour les usagers ou encore du niveau d'avancée technologique des équipements utilisés. Les conclusions de cet audit de sécurité sont attendues pour la fin de cette année.

2002, contre 25% en 2000) et surtout en .net (28% de cybersquattage contre 34% il y a deux ans). M êm e si le phénom ène apparaît donc en recul, les rédacteurs de l'enquête affirm en t q ue trois sociétés sur quatre n'ont pas vrai­ m ent résolu leurs problèm es de nom m age sur leurs nom s les plus stratégiques. A u Luxem bourg, en se basant sur l'indice L uxX , seules A rcelor, C egedel et RTL G roup sont p ro ­ priétaires de l'ensem ble de leurs dom aines en .net, .org et .corn. Aussi, l'o b jectif de la consulta­ tion m enée p ar la C om m ission Européenne est-il d'élaborer, à terme, des règles visant à em pê­ cher un enregistrem ent spéculatif et ab u sif de nom s de dom aine dans le fu tu r 'esp ace .eu'.

B ruxelles souhaite savoir com ­ m ent les personnes susceptibles d'être affectées estim ent que ces règles devraient s'appliquer: l'avis de tous, gouvernem ents, autorités publiques, entreprises de toute taille et particuliers est donc solli­ cité. Le questionnaire en ligne se trou­ ve à l'adresse http://europa.eu.int /yourvoice.

Promotic: six mois à deux digits A près un prem ier trim estre déjà fo rt h o norable (cro issan ce du chiffre d'affaires de 12,33%, voir notre dernière édition, page 048), la société de services inform a-

Chiffres ABBL 2001: Dexia en verve

Cybersquattage: Bruxelles enquête

L a direction générale M arché intérieur de la Com m ission euro­ péenne a lancé une grande consultation en ligne afin de cer­ n er les problèm es liés au "cybersquattage", dans la pers­ pective de la prochaine exploita­ tio n du dom aine de prem ier niveau ".eu", dont l'o b je ctif avoué est d'accroître la visibilité de l'Europe sur Internet. Le principe du cybersquattage est de s'approprier, légalement, mais avec des arrières-pensées mer­ cantiles, des noms de domaine, dans le but de réaliser un profit substantiel en les vendant, de préférence à un prix élevé, à des particuliers, entreprises ou orga­ nisations ayant un lien avec ces noms. U ne récente enquête réalisée par D NS News Pro pour le com pte du Journal du N et, auprès des 40 entreprises constituant l'indice boursier français, indique qu'en 2002, 8% des noms en .corn cor­ respondant à des m arques notoires du Cac 40 sont "cybersquattées", contre 14 % en 2001 et 20 % en 2000. En revanche, la proportion est bien plus forte dès qu'il s'agit des noms de domaine en .org (20% cybersquattés en

C om m e chaque été, l'A B B L a rendu public un ensem ble de chiffres relatifs aux banques m em bres de l'A ssociation des ban q u es et b an q u iers, Luxem bourg, soit 116 établisse­ m ents (plus la B C EE ) sur les 187 que com ptait la place au 1er ja n ­ vier 2002. A la lecture des tableaux, on constate que l'année 2001 a été, en quelque sorte, l'année DexiaBIL. En term es de résultat net, la banque de la route d'Esch a en effet décroché la prem ière place, avec u n résu ltat affich é de 314,795 m illions d'Euro (en pro­ gression de 119% p ar rapport à 2000), devançant assez large­ m ent le leader de l'année précé­ dente, la D resdner B ank (277,52 millions, + 74% ) et la B G L (213 millions, + 35%). La C om m erzbank, qui occupait cette prem ière place il y a encore deux ans, et qui avait fortem ent chuté l'année dernière, affiche une des plus fortes progressions parm i les principales banques: +136% à 135,52 millions d'Euro. En la matière, la palm e revient à J.R M organ B ank (ex-C hase

M anhattan), dont le résultat net a augm enté de 144% à 51,81 m il­ lions d'Euro. La D exia-B IL apparaît égalem ent au prem ier rang en term es de dépôts clients: elle est la seule à franchir le cap sym bolique des 20 m illiards d'Euro (20,39 milliards, en h au sse de 4% ). La BGL (19,138 m illiards) et la BCEE (14,539 milliards) com plètent le podium dans le m êm e ordre que celui des années précédentes. Là encore, c'est une banque allem an­ de qui affiche une des plus belles perform ances de l'année, avec une hausse de ses dépôts clients de 91% à 10,266 milliards). Pour ce qui est d es capitaux propres, en revanche, m algré une progression de 40% à 2,12 m il­ liards, D exia-B il est devancée, de peu, p ar la BG L, qui affichait 2,22 m illiards de capitaux propres au 31 décem bre 2001 (+32% ). La progression la plus spectaculaire est à m ettre à l'actif du Crédit Européen qui, dans le cadre d'une intense activité de filialisation, a p o rté ses capitaux p ro p res de 262,8 m illions à 1,05 milliard, soit 301% de mieux!


tiques Prom otic Luxem bourg a enregistré, pour le com pte du pre­ m ier sem estre 2002, un chiffre d'affaires de 1,49 m illion d'Euro, en progression de 10,70%. M êm e si la croissance de 47% affichée au cours de l'année 2001 ne sera évidem m ent pas reproduite, la perform ance reste notable dans le clim at que l'on sait. R appelons que Prom otic Luxem bourg em ploie 46 p er­ sonnes au G rand-D uché, mais que le groupe est égalem ent pré­ sent en B elgique (à N aninne) et en France (à Strasbourg) et a réa­ lisé, en 2001, un chiffre d'affaires global de 3,39 millions d'Euro (+15,74% ).

A.M.S. nouveau domiciliataire D epuis ce m ois d'août, la fidu­ ciaire A .M .S. Trust Luxem bourg a élargi son statut et ses com pé­ tences, puisqu'elle est désorm ais agréée auprès de la C SSF en tant que dom iciliataire de sociétés. Cela porte à 37 le nom bre de sociétés pratiquant cette activité tom bant sous le cham p de la loi du 31 mai 1999. Q uatre de ces sociétés sont établies en dehors de Luxembourg-Ville.

Welcome, Nico ! D epuis ce m ercredi, une nouvelle publication a fait son apparition dans le paysage culturel luxem­ bourgeois: Nico, qui s'inscrit dans la continuité de Nightlife, lu dont il prend la succession. A sa tête, David Laurent, qui est épaulé par Laurent H usser (lire aussi l'article en rubrique Tim e Off, page 149). Edité par un nouvelle société, N ico M agazines S.A., joint-ven­ ture entre m ké et Editions Revue, N ico se veu t le rendez-vous incontournable des je u n e s adultes, actifs et "sur-consom m a­ teurs" de vie nocturne, shopping, restos ou de culture. Il est égale­ m ent le prem ier program m e ciné­ m a hebdom adaire dans le form at de poche qui a fait le succès de Nightlife, lu. Tiré à 20.000 exem plaires (soit plus d'un m illion d'exem plaires par an tout au long des 51 num é­ ros), il est diffusé gratuitem ent et est notam m ent disponible aux caisses des ciném as U topolis. Vous pouvez le découvrir sur w ww .nico.lu. A noter qu'à com pter de janvier 2003, N ico M agazines S.A. reprendra égalem ent sous son aile le m ensuel ciném a Graffiti.

Banques: quelques nouveautés

Le centre Virtuel de Connaissance sur l'Europe en marche

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— T L'été a égalem ent été propice à certains établissem ents bancaires pour faire peau neuve, dans le cadre des grandes m anœuvres de restructurations. A insi, le 22 ju ille t, A rtesia Banque Luxem bourg a-t-elle définitive­ ment quitté le décor local, suite à sa fusion avec la B anca L om barda International S.A., ce qui réduit à 183 le nom bre de banques de la place. Trois autres établissem ents ont procédé à un changem ent de dénom ination: D GZ - DekaBank - D eutsche Kommunalbank, suc­ cursale de Luxem bourg est deve­ nue D ekaB ank D eutsche G irozentrale, succursale de Luxem bourg; R abo Robeco B ank (Luxem bourg) S.A. s'ap­ pelle désorm ais B ank Sarasin Benelux S.A. (suite à l'alliance avec la banque suisse du même nom ) et Rolo Banca 1473 SpA, succursale de Luxembourg agit m aintenant en tant que U nicredito Italiano SpA, succur­ sale de Luxembourg. A u 31 juillet 2000, la som m e des bilans provisoire des institutions financières m onétaires s'élevait à 779,14 m illiards d’Euro (-2,3% en un m ois), dont 676,07 m il­ liards d 'E uro pour les seules banques (-2,6% sur un mois et 3,1% sur un an).

Millicom sorti du LuxX Le 15 juillet dernier, le nouveau panier de l'indice LuxX est entré en vigueur, après que la C om m ission de la Bourse ait planché sur le sujet. Le principal événem ent consiste en la dispari­ tion de M illicom International Cellular, dont le poids, calculé en fonction de la capitalisation boursière (pour 60% ) et du volu­ m e traité (pour 40% ) était passé sous le seuil minim al des 1%. Il faut dire qu'entre le 14 janvier, date de l'entrée en vigueur du panier précédent, et le 15 juillet, le titre M illicom a perdu près de 90% de sa valeur, tom bant de 12,58 dollars à 1,47 dollars. Il est encore à noter que ce sont

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La période estivale est toujours l'occasion de l'adoption de nom ­ breux projets de loi, que les députés se font un devoir de clô­ turer avant les vacances parle­ mentaires. Parmi ceux qui ont franchi le dernier cap législatif au cours du m ois de juillet, il y a le texte de loi portant création du C entre V irtuel de la C onnaissance sur l'E urope (CVCE), une structure destinée à poser un regard approfondi sur l’évolution historique et institu­ tionnelle de la construction euro­ péenne dans un sens le plus large possible, ainsi que les nouvelles technologies de l’inform ation et de la communication. Le projet s'est basé sur le déve­ loppement, depuis 10 ans, du systèm e European N avigator (ENA), qui visait à m ettre à la disposition des étudiants et des enseignants, m ais aussi des cher­ cheurs, des journalistes et de tout public intéressé, une inform ation de haute qualité sur l’évolution historique et institutionnelle de l ’Europe co m m u n au taire de 1945 à nos jours. Le C V CE veut aller plus loin: plus qu'un "sim ple" centre d ’in­ formation sur l’Europe, il entend p erm ettre de dév elo p p er les facultés n écessaires à co m ­ prendre l’inform ation, à l’analy­ ser et à l’interpréter. Le Centre va ainsi prom ouvoir le "life long learning" et fournir les outils nécessaires pour mettre en com ­ mun le potentiel d ’inform ation et de connaissance existantes, adap­

désorm ais trois valeurs qui affi­ chent une pondération m axim ale de 20% , RTL G roup rejoignant à cette h auteur A rcelo r et SES Global. Une seule autre action se retrouve avec une pondération supérieure à 10%: K.BL Ord, qui voit son poids atteindre 15%. A noter, enfin, Le Foyer, qui était

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té et m is à jo u r en continu. Son approche se veut donc tout à la fois scientifique, pédagogique et non com merciale, perm ettant aux utilisateurs de se forger leur propre opinion sur différents sujets sans parti pris préalable. "La réalisation du CVC E p erm et de renforcer la p r é s e n c e du Luxem bourg au niveau européen et de conforter la p o sition du Luxem bourg com m e pla ce fo r te dans le dom aine audiovisuel et des nouvelles technologies " esti­ me le législateur qui en ten d par là-m êm e, "mettre en p la c e et consolider un réseau de coopé­ ration régional, européen et international de haut niveau". En dépit des réserves posées par la Cham bre des Fonctionnaires et des Em ployés publics et le Conseil d'Etat, le statut retenu pour le CV CE est celui de l'éta­ blissem ent public, placé sous la tutelle du ministre ayant dans ses attributions la culture, l’enseigne­ ment supérieur et la recherche. Il sera établi à Sanem et fonctionne­ ra avec un conseil d'adm inistra­ tion fort de neu f m embres - dont un, au moins, représentant du ministre des Affaires étrangères assisté d ’un co m ité d ’experts com posé, égalem ent, d e n e u f membres. Un am endem ent à la loi du 21 décem bre 2001 co n cern an t le budget des recettes et des dépenses de l’Etat pour l'exercice 2002 prévoit un crédit non limita­ tif de 100.000 Euro en guise de dotation au CVCE.

jusqu'à présent la valeur la moins "forte" de l'indice, a laissé ce pri­ v ilège à A udiolux, tom bé à 1,45%. Voici la nouvelle com position de l'indice, par ordre d'importance des valeurs: Arcelor: 20% (3.541 titres), RTL Group: 20% (1.352), SES G lobal: 20% (5.000),

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Actualité 035



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LUXEMBOURG


K redietbank Luxem bourg act. ord.: 15% (313), K redietbank Luxembourg act. prv.: 5% (136), Banque D egroof Luxem bourg: 4,78% (33), Luxempart: 4,19% (81), Cegedel: 4,61% (206), BGL Investm ent Partners: 3,01% (164), Le Foyer: 1,96% (2000), Audiolux: 1,45% (30);

Cargolux: un douzième avion financé

Alors que le débat de l'acquisition d'un treizième avion Boeing avait coûté sa place de président du com ité de direction de Cargolux à H einer Wilkens, il y a seize mois, le financem ent de l'achat du dou­ zième appareil de la flotte, un B oeing B747-400F, a été établi cet été. Le 15 août, en effet, le m inistre des Transports Henri Grethen a présidé à W ashington l’acte de signature de l’accord conclu entre C argolux, l'U.S. Export-Import Bank, la Banque Européenne d’investissement, la banque IN G ainsi que la Landesbank Kiel. Le tout pour un m ontant approxim atif de 150 m il­ lions d'Euro. Le choix de la capitale am éricai­ ne com m e lieu de l'événement n'est pas anodin: c'est en effet la prem ière fois que l'U.S. ExportImport Bank et la BEI collabo­ rent sur un plan de financem ent. Ce nouveau Boeing 747-400F, baptisé "City o f Sandweiler", est arrivé au Findel le 23 août.

KBL: résultat net en progression En dépit de la morosité écono­ mique, les banques parviennent encore à gagner de l'argent... C'est par exemple le cas de la K redietbank Luxem bourg, qui affiche, pour le com pte du pre­ m ier semestre 2001, un résultat net consolidé part du groupe de 82 millions d'Euro, en hausse de 4% par rapport au résultat sem es­ triel enregistré au 30 juin 2001. Si les revenus ont forcém ent bais­ sé, sous l'effet cum ulé de la dim i­ nution de l’activité et de la valori­ sation des avoirs de la clientèle, la banque a su com penser par l’inté­ gration dans le groupe des nou­

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velles sociétés acquises en 2001, les bons résultats des activités com plém entaires de la KBL ainsi que la maîtrise des frais d ’exploi­ tation, en dim inution de 4,1 % à périmètre constant. D eux acquisitions m ajeures ont été annoncées au cours du pre­ m ier sem estre 2002: celle de l’activité private banking de la WestLB en A llem agne et celle du gestionnaire de fortune Michaux G estion en France. En Italie, un accord de principe a par ailleurs été conclu pour l’acquisition de Banca Leonardo: il ne manque plus que le feu vert des autorités de contrôle. Enfin, en Suisse, le groupe a racheté les quelque 29% détenus dans KBS Lugano par des action­ naires m inoritaires, afin de concrétiser la fusion de toutes les entités helvétiques sous la seule étiquette de KBS Genève.

IPL rejoint les locaux de RTL Group

La régie publicitaire IPL a profi­ té de l'été pour quitter ses locaux du Val Fleuri et intégrer le giron familial au 45 boulevard Pierre Frieden, dans les locaux de RTL G roup. Ses coordonnées télépho­ niques (44 70 70-1) sont, elles, inchangées.

Europe Online toujours au top en Allemagne Pour la troisième fois consécuti­ ve, Europe O nline/Plenexis a été élu, en Allemagne, m eilleur four­ nisseur d ’accès Internet par satel­ lite, par Praxis, la principale revue allem ande des utilisateurs de PC. La société de Betzdorf devance Strato et D eutsche Telekom , et doit son succès, notam m ent, à son rapport qualité prix/perform ance m ais aussi à la com binaison "EOL SkyB ooster pow ered by P lenexis" perm ettant de surfer par satellite, pour des perform ances équivalentes au D SL, associée à de nombreux services multimédia: vidéo à la dem ande, paris sur courses de chevaux, ...

La Porte de l'Europe s'ouvre sur le Kirchberg

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A lors que le projet de loi relatif à la location - avec option d'achat d es deux futures to u rs du K irchberg, destinées aux institu­ tions européennes, approuvé par le conseil de gouvernem ent le 7 ju in , a été d ép o sé p ar Luc Frieden, m inistre du Trésor et du Budget, le 23 août dernier, on s'active sur les chantiers, sachant q ue la livraison de ces deux im m eubles, dessinés par Ricardo B offil, est p rév u e p o u r avril 2004. C'est au G roupe G iorgetti qu'a été confiée la réalisation de la Tour A, alors que la Tour B est entre les m ains de C F E Imm o, succu rsale de la C o m pagnie d ’en trep rises CFE (G roupe Vinci), pour ce qui constituera, au final, le com plexe "La Porte d e l ’Europe". Les bureaux d'ar­ c h itectes luxem bourgeois G ubbini & Linster et G oblet & L avandier so n t égalem ent concernés p ar le projet. La superficie totale des tours, hautes de 70 m ètres, s ’élève à 37.000 m 2, dont 16.911 m 2 pour les étages souterrains, répartis sur 4 niveaux d e construction avec 399 em placem ents de par­ king. Situées de part et d'autre de l’avenue J-F Kennedy, ces tours jum elles constitueront les pre­ m iers repères urbanistiques que le visiteur rem arquera du centre ad m in istra tif du K irchberg en venant de la "vieille" ville.

RIO: carton jaune pour les P&T C'est finalem ent un sim ple aver­ tissem ent qu'a prononcé l'Institut luxem bourgeois de régulation à l'encontre de l'E n trep rise des P&T, dans le cadre de l'adoption des m odalités de l'offre d'inter­ connexion (R IO ) pour l'année en cours. Le régulateur du m arché attend toujours, de la p art de

Le contrat de location d'une durée de 25 ans, soumis à l'avis des députés, porte sur un m ontant annuel global de 13,25 millions d'Euro (5,95 m illions pour la Tour A et 7,3 m illions pour la Tour B), alors que le prix d'acquisition pro­ posé s'élève à la modique som m e d e 172,5 m illions d'Euro (81,5 m illions pour la Tour A et 91 m il­ lions pour la B). L'objectif affiché par le gouverne­ m ent est double. D'une part faire face à un besoin im m obilier sup­ plém entaire considérable de la part des institutions européennes à partir de 2004, à l'heure de l'élarg issem en t, m ais aussi, d'autre part, assurer la prépara­ tion, dans de bonnes conditions, de la présidence européenne qui sera confiée au Luxem bourg en 2005. A fin de pouvoir réaliser la rénovation et l'ex ten sio n du C en tre de C onférence International, il est im pératif que les em ployés du Parlem ent euro­ péen fassent place nette à la fin 2 0 0 3 ... "Le recours aux deux b â tim e n ts-to u r d o tera l'E ta t lu xem b o u rg eo is d e b â tim en ts ta m p o n in d isp en sa b les p o u r répondre a u x besoins im m obi­ liers liés à l'éla rg issem en t" explique-t-on au gouvernem ent. C'est d'ailleurs le Parlem ent euro­ péen qui souhaite o ccuper les deux tours de la Porte de l'Europe

l'opérateur historique, la fournitu­ re d e l'ensem ble des inform ations nécessaire à l'approbation des m odalités tarifaires de la RIO, sachant que la partie technique a été, elle, approuvée (voir nos édi­ tio n s précédentes). L 'IL R se réserve tout de m êm e le droit de sanctionner les P& T d'une am en­ de d'ordre, ainsi que de prononcer toute autre sanction adm inistrati­ ve qu'il ju g era nécessaire. Les reproches portent toujours sur la qualité des docum ents four-


nis, l'em pêchant de "vérifier et de confirm er le raisonnem ent tari­ fa ir e d e l ’opérateur", alors que l'opérateur est tenu d'apporter les élém ents justifiant que les rede­ vances d'interconnexion propo­ sées, perm ettant une rém unéra­ tion de l'usage effectif du réseau de transport et de desserte des données et des voix, sont bel et bien déterm inées en fonction des coûts réels. D ans ce dossier qui traîne tout de m êm e depuis le m ois de décem bre, l'IL R avait m êm e m andaté un expert indépendant, lequel est égalem ent arrivé à la conclusion que la docum entation fournie par l'EPT ne perm ettait pas d'approuver la RIO 2002, y com pris après une nouvelle audi­ tion, le 10 juillet dernier, au cours de laquelle les P&T n'ont appor­ té, aux yeux du régulateur, aucun élém ent nouveau susceptible de faire avancer le dossier. "Le régulateur exige un pro jet concerté d e l'ILR avec la p a rtic i­ p ation de l'E P T perm etta n t de débloquer la situation actuelle q u i l'occupe d epuis p lu sie u rs exercices consécutifs" explique l'ILR. Interrogée sur le sujet, l'EPT s'est contentée de répondre que le dos­ sier est toujours en cours d'étu­ d e ...

Feder: appel à projets

Le program m e européen Feder (Fonds européen de développe­ ment régional) O bjectif 2, destiné à contribuer au renforcem ent des structures économ iques propres à certaines régions du pays (en l'oc­ currence 31 com m unes dans le nord, le sud et l'est du pays, voir aussi p aper Jam 03.2002 page 050) est en m arche. Jusqu'au 30 septembre 2002, il est ainsi pos­ sible, pour toute entité juridique privée ou publique (Etat, com ­ m unes, établissem ents publics ou entreprises privées) d'introduire des propositions de projets auprès d'un com ité d'accom pagnem ent, com posé de représentants du m inistère de l'E conom ie, des com m unes et de la C om m ission européenne. La période de ce program m e, qui a dém arré en 2000, s'étend ju s ­ qu'en 2006. La C om m ission européenne a accordé, au

Luxem bourg, une enveloppe de cofinancem ent d'un m ontant de 41 m illions d'Euro. Les res­ sources nationales publiques et privées, elles, s'élèvent à 131,4 millions d'Euro. Les projets doivent s'articuler suivant un des axes suivants: pro­ m otion du développem ent du potentiel endogène des régions; intégration des friches dans une politique de développement éco­ nom ique et spatial durable et am élioration des cadres de vie dégradés; prom otion de la recherche, du progrès technolo­ gique et de l'innovation; prom o­ tion de la protection de l'environ­ nem ent naturel; assistance tech­ nique au program me.

Format déménage L 'agence spécialisée dans la com m unication par l'exposition et la publicité sur lieu de vente a quitté le Limpertsberg et a pris ses aises à N iederanven, dans la zone industrielle Bombicht. Cela lui perm et de proposer un show­ room spacieux pour la présenta­ tion de ses produits et de mettre en œ uvre une nouvelle im pri­ m ante six couleurs pour l'im pres­ sion digitale grand form at inté­ rieur/extérieur, ainsi que de nou­ velles m achines pour le travail du bois et du métal. Format em m ène avec elle ses coordonnées télé­ phoniques (46 36 84-1)

publié dans l'Union leur fournisse l'inform ation claire et com plète dont ils ont besoin pour prendre leurs décisions d'investissement. Parm i les principaux ch an g e­ ments apportés: l'introduction de règles spéciales pour les valeurs m obilières ayant une valeur nom inale m inim um élevée (50.000 Euro) d estinées à la négociation entre professionnels, et qui a pour effet que les ém et­ teurs ne devront pas faire approu­ ver systém atiquem ent leurs pros­ pectus dans le m êm e Etat m em bre et qu'il n'y aura pas d'obligation d'enregistrem ent auprès d'une autorité unique; la création d'un régim e adapté visant à faciliter la vie des petites et moyennes entreprises, dispen­ sées d'établir un prospectus en cas d'offre d'un faible m ontant (2,5 millions d'Euro) ou encore le choix du format du prospectus laissé à l'ém etteur (docum ent unique ou je u de docum ents séparés). Pour ce qui est de la notion de "passeport européen ", une socié­ té pourra se contenter de notifier son prospectus aux autorités de n'im porte quel Etat de l'Union, à partir du m om ent où il aura été déjà approuvé une prem ière fois par l'autorité com pétente d'un autre État membre.

Systemat value added reseller du nouveau NEC Belux

Prospectus financiers: directive européenne modifiée

La directive européenne relative à la publication des prospectus d'inform ations en m atière de ser­ vices financiers, a été quelque peu retouchée par la com mission, su ite aux recom m andations ém ises par le Parlem ent euro­ péen. D es m odifications qui s'inscrivent dans l'esprit du "pas­ s e p o r t européen ", égalem ent destinées à renforcer la protec­ tion des investisseurs en faisant e n so rte q u e to u t prospectus

N E C C om puters In ternational (NEC CI), qui vient de constituer une entité Belux spécifique, a fait appel à System at en tant que value added reseller (VAR). D éjà num éro un du marché en F rance, N E C pro p o sera en B elgique et au Luxembourg des solutions serveurs sur PC et des solutions Internet, avec une nette concentration sur les serveurs haut de gam m e, le stockage et la m obilité. Le segm ent cible initial sera celui des grandes com ptes nationaux et des organism es gou­ vernem entaux. En choisissant Systemat com me VAR, l'am bition affich ée p ar N EC est d'atteindre le top 5 des acteurs sur le segm ent des ser­ veurs d'ici la fin 2003, en affi­ chant une part de marché totale à deux chiffres. D 'ailleurs, N EC Com puters BeLux entend m ettre

en œuvre un plan spécifique pour les PM E dès janvier 2003. Le partenariat établi doit p er­ mettre à N EC de proposer un éventail com plet de solutions en matière de mobilité, de serveurs (com me p ar exemple une techno­ logie unique de bas niveau insen­ sible aux défaillances) et de stoc­ kage pour les utilisateurs profes­ sionnels de toutes tailles, qu'il s'agisse de petites entreprises ou de sociétés opérant au niveau national. Au niveau m ondial, N EC em ploie3.000 personnes, et affiche une progression de son chiffre d'affaires de 20% en moyenne chaque années depuis six ans.

RTL Group: by bye London ! La direction de RTL G roup, à l'occasion de la présentation de ses résultats semestriels, a annon­ cé le retrait de la cotation des titres de la société en bourse de Londres, en raison d'un trop faible volum e de transactions qui y est enregistré. "Ce retrait d e la cotation n'affectera en rien les co ta tio n s s u r les bo u rses de Luxem bourg et de Bruxelles" a tenu à préciser Didier Bellens. Le retrait devrait être effectif au mois de novembre.

tempo!, nouvelle régie pub de mké L'expansion de m ké S.A. s'ac­ com pagne d'une restructuration interne du départem ent com m er­ cial, actif désorm ais en véritable régie publicitaire. Avec à sa tête Aurelio A ngius, directeur com ­ mercial, et Francis Gasparotto, ch ef des ventes (voir People, p. 043), elle aura sous sa coupe l'en­ semble des titres du groupe: le city insider hebdom adaire Nico, le business m agazine mensuel p a p er Jam et les deux publications annuelles E xplorator, le city guide, et Index, le business guide. Ses com pétences s'élargiront, à com pter du 1er janvier 2003 à la com m ercialisation des espaces de l'ensemble des sites et newsletters de spider.lu S.A.

La pub au point mort O n le sait, le marché publicitaire mondial est sévèrem ent touché p ar la m orosité économ ique am biante depuis plusieurs mois. RTL G roup en a suffisamm ent

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Actualité 039


fait les frais récemment. Et rien ne dit que la situation va énorm é­ m ent évoluer ces prochains temps. C'est tout du moins l'avis du groupe ZenithO ptimedia, une des principales centrales d'achat au niveau mondial, qui prévoit ainsi un recul de 0,5% des inves­ tissem ents médias pour l'année 2002 par rapport à 2001 (mais 4% par rapport à 2000). Ce repli toucherait l'ensem ble des m archés, dans des proportions toutefois variables: 1% en France; 1,2% pour les Etats-Unis; 1,3% en G rande-Bretagne, mais 2,9% au Japon ou bien 3,7% en A llem agne. S eule la C hine (+9,8% estimés par ZenithO pti­ m edia) semble devoir continuer à p rofiter de son ouverture à une économie de marché. Le retour à la croissance généra­ lisé, lui, n'est pas attendu avant 2003 voire 2004.

Le Wort perd de sa superbe Selon la dernière étude média 2002 réalisée par l'Ilres sur le taux de pénétration des journaux et m agazines au Luxembourg, l'hégém onie du Luxem burger Wort, si elle est incontestable, n'en dem eure pas moins un peu ébranlée. Pour la prem ière fois depuis bien longtemps, en effet, le quotidien du Groupe SaintPaul passe en effet sous les 50% de taux de pénétration, à 49%. U n repli assez conséquent au regard de l'évolution de ce chiffre: en 1996: le Wort affichait ainsi une part de m arché de 6 2 % ... Le plus inquiétant semble être que ce recul n'est pas directem ent accom pagné par une montée en

Abonnements téléphoniques: Tango attend une prise de position de l'ILR

Le Tribunal d'A rrondissem ent de Luxembourg a jugé non fondée la dém arche de l'opérateur télé­ phonique Tango qui avait déposé, en mars dernier, une requête en matière de concurrence déloyale, reprochant aux partenaires du réseau concurrent LuxGSM (en l'occurrence les P&T, CM D et M obilux) de donner des infor­ m ations inexactes sur leurs ser­ vices, leur qualité ou leurs pres­ tations. L'affaire était partie d'une cam ­ pagne publicitaire lancée le 2 mars et dans laquelle LuxGSM revendiquait une position de lea­ der sur le marché luxem bour­ geois avec un nombre total de 250.000 clients. Un chiffre que l'opérateur altern atif contestait vigoureusement, se basant, d'une part, sur l'étude Ilres/M indforest réalisée fin 2001 dans le cadre du program m e eLuxembourg, et qui faisait état d'un taux de péné­ tration du téléphone m obile de 68% au Luxembourg, soit un nom bre d'utilisateurs de p o r­ tables de près de 300.000 aux­

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quels il faut ajouter plus de 40.000 utilisateurs frontaliers; et, d'autre part, sur ses propres chiffres, revendiquant plus de 163.000 clients actifs sur un total de plus de 242.000 abonnements et cartes enregistrés. L'ordonnance du Tribunal d'Arrondissem ent, rendue le 14 juin dernier, a été officiellem ent notifiée aux parties fin août. La dem ande de Tango a été déclarée non fondée: l'opérateur a donc été débouté et devra payer à chacune des défenderesses une indemnité de procédure de 500 Euro. Du côté de chez Tango, on prend cette décision avec beaucoup de philosophie. "Notre intention n'était pas, à la base, d'intenter un procès, mais de rendre a tten tif tout le m onde à cette problém a­ tique. L'ILR a d'ailleurs pris le su jet en considération et devrait prochainem ent donner ses direc­ tives en la matière". M obilux, pour sa part, a annoncé se réserver le droit de toute autre action à l'encontre de Tango, notam m ent en diffam ation...

puissance des deux autres princi­ paux jo u rn a u x q u o tid ien s, le Tageblatt (stable à 20% de part de marché, en recul de deux points p ar rapport à 1996) et le Journal (stable à 5%).

Transactions via GSM Sécurisées

Syntegra, l'entité C onsulting et System s Integration de British Telecom, a conclu un partenariat avec M agicaxess, sp écialiste français en m atière de sécurisa­ tion num érique via G SM , afin de perm ettre des tran sactio n s via Internet parfaitem ent sécurisées via l'utilisation d'un sim ple navi­ gateur Internet et d'un G SM . C et accord a été signé pour le marché belge, dans la continuité d'expé­ riences p ro b an tes en G randeB retagne, aux Pays-B as et en F rance... Concrètem ent, M agicaxess génè­ re pour chaque transaction un m ot de passe num érique qu'elle envoie par SM S (celui-ci ayant p rio rité su r les au tres SM S). A près réception du SM S, l'utili­ sateur dispose de trois m inutes p o u r en trer ce m o t de passe unique et finaliser sa transaction en ligne. Le fait que, en plus de son code d'identification, l'utili­ sateur doive introduire son m ot de passe unique, garantit l'identi­ té de l'utilisateur. La sécurisation des tran sactio n s en ligne est double car les données transitent par deux canaux différents : l'uti­ lisateur envoie son code d'identi­ fication par Internet m ais reçoit son m ot de passe unique par le biais du réseau GSM . C e sy stèm e a p o u r p rin cip al attrait d'être utilisé en totale indé­ pendance d'un quelconque opéra­ teu r ou m odèle de téléphone. A ucune ad ap tatio n de l'in fra­ structure n'est nécessaire, puisque le G SM et la connexion Internet suffisent.

Ne dites plus Coutts Alternative ... m ais dites désorm ais Right Consultants. D epuis le 1er sep­ tem bre, la société d'outplacem ent et de g estio n du ch an g em en t

Coutts A lternative est passée sous le giron am éricain de R ig h t M anagem ent Consultants, qui a repris, au niveau m ondial, l'en­ sem ble du presq u e centenaire Coutts Consulting G roup, pour donner naissance au plus im por­ tant groupe de service en res­ sources hum aines au m onde (plus de 2.000 em ployés répartis dans 300 bureaux au travers de 35 pays). Le m ontant de cette acqui­ sition s'est élevé à 105 millions de dollars. Le ch an g em en t p o u r l'entité luxem bourgeoise est m inim e, puisque Lynn Coutigny conserve ses fonctions de m anaging direc­ to r et M ichel Lam brecht celles de deputy m anaging director.

Tango Tatoo: l'Info par SMS A près avoir rodé le systèm e au cours de cet été, Tango lance à grande échelle son offre Tango Tatoo: un nouveau service d'in­ form ation via SM S sur l'actualité nationale et internationale, cultu­ relle ou sportive, ou encore la météo, le ciném a, les concerts, les e x p o s ... L 'in scrip tio n - et la désinscription - à ce service est gratuite, et seuls les SM S reçus sont facturés, 12, 20 ou 35 cents selon l'inform ation. Votre business m agazine préféré participe activem ent à ce service, en alim entant la partie d'inform a­ tions "business" sitôt une infor­ m atio n en n otre po ssessio n . L'inscription se fait via le code #T#business#go au num éro 2000. De m êm e, les infos sur les ouver­ tures et les nouveaux restaurants rép erto riés dans le guide E xp lo ra to r sont tran sm ises en s'inscrivant à T #resto#go, to u ­ jo u rs au num éro 2000.

Toujours plus de GSM vendus

La d ern ière étude d e G artn er Dataquest indique que le marché des téléphones m obiles se porte bien: au cours du deuxièm e tri­ m estre 2002, 98,7 m illions d'ap­ pareils ont en effet été vendus à travers le monde, soit 0,8 de plus que lors du deuxièm e trim estre 2001. En tête des ventes, toujours le Finlandais N okia, dont la part


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Le centre d'affaires ateac à Luxembourg d'une surface de 1000 m2 a une capacité de 30 bureaux et peut accueillir de 50 à 60 personnes. Nos clients bénéficient d'installations de qualité, notamment de bureaux fonctionnels et modu­ lables, de salles de réunion et bureaux de passage ainsi que de services de secrétariat, de traduction, de coursier, de visioconfé­ rence et de téléréunion. Les postes de travail sont tous équipés de connexions réseau et Internet à haut débit et de postes télé­ phoniques numériques. ^ U n parking privé dans l'immeuble est à la dispo­ sition de nos clients.

Free y ou r business A N OFFICE FOR A N H O U R , A M O N T H , A YEAR... SERVI CES

The ateac business centre in Luxembourg has an accommodation area o f 1000 sqm and a capacity for 30 offices that provide work spaces for 50 to 60 people. Our clients benefit from having first-class facilities, in particular functional and modular offices, meeting rooms and visiting rooms, as well as secretarial, translation, courier, video and tele-conferencing services. The workstations are all equipped with high­ speed network and Internet connections as well as digital telephone links. A private car park is at our clients' disposal.

INFORMATIONS INFORMATION

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ateac Espace Kennedy 46a, avenue John F. Kennedy L-1855 Luxembourg-Kirchberg Tél.: +352 26 005-1 Fax: +352 26 005-255 E-mail: luxembourg@ateac.com Internet: www.ateac.com

ateac ce ntres d 'a f f a ir e s


P E O P L E de m arché atteint désorm ais 35,6% (contre 34,7% pour le pre­ m ier trim estre de l'année 2002), loin devant M otorola (15,7% ), S am sung Electronics (9,5% ) et S iem ens (8,4% ). C es quatres co n stru c teu rs gagnent, d'une année sur l'autre, des parts de m arché, au détrim ent de Sony E ricsson, qui n'affich e plus qu'une pénétration de 5,4% (contre 7,7% un an plus tôt). P arallèlem ent, un autre étude, m enée celle-là par les Japonais de N ikkei BP Consulting, prévoient que la production m ondiale de téléphones portables devrait frô­ ler les 420 millions d'unités en 2003, tout près du niveau record de 430 millions atteint en 2000. Pour 2002, cette production m on­ diale devrait atteindre un peu plus de 386 millions d'unités (+6,5% par rapport à 2001 ). Les deux analystes constatent, de concert, que l'apparition de nou­ veaux m obiles à écran couleur devrait redonner un élan nouveau au m arché, en particulier sur le continent européen.

Arcelor table sur une évolution positive de ses résultats

En dépit de la conjoncture actuel­ le, le groupe sidérurgique, qui présentait son bilan pour le pre­ m ier sem estre début septem bre, s'attend à une évolution positive de ses résultats, renforcés par une m eilleure adaptation des volum es produits et une am élioration sen­ sible du m ix produits. "U ne poli­ tique rig o u re u se en term es d ’adaptation de l’offre aux stricts besoins du m arché, privilégiant les prix de vente par rapport aux volum es, sera de nature à am élio­ rer la rentabilité des capitaux em ployés du G roupe" a prévenu G uy D ollé, le président de la direction générale d'Arcelor. Au 30 ju in 2002, le résultat net consolidé pro form a (part du G roupe) s ’est élevé à 93 m illions d ’Euro. U n résultat qu'il est diffi­ cile de vraim ent m ettre en paral­ lèle avec les 369 millions enregis­ trés au prem ier sem estre 2002, m ais qui dém ontre tout de m êm e les difficultés conjoncturelles tra­ versées actuellem ent. Le niveau du chiffre d'affaires global l'attes­ te aussi: 13,07 m illiards d'Euro

contre 14,3 m illiards un an plus tôt, le résultat net par action chu­ tant de 0,77 Euro à 0,20 Euro. C om paré au prem ier trim estre 2002, le redressem ent est toute­ fois très net, puisqu'A rcelor affi­ chait une perte de 22 millions d'Euro au 31 m ars dernier et un résultat net par action négatif de 0,05 Euro. L'activité du groupe pourrait éga­ lem ent se ressentir, positivement, d'un probable élargissem ent du périm ètre des exem ptions des surtaxes douanières américaines, espérées pour cet autom ne, selon G uy Dollé. 50% des exportations d'acier de l'U nion européenne vers les E tats-U nis sont déjà exem ptées de ces surtaxes am éri­ caines im posées par l'adm inistra­ tion Bush afin de protéger tem ­ porairem ent la restructuration de l'industrie sidérurgique am éricai­ ne. D ans ce dossier, l'U nion euro­ péenne a déjà déposé plainte devant l'O rganisation mondiale du com m erce et n'exclut pas de procéder à des représailles... A noter enfin l'annonce de l'ac­ quisition de 96,5% des parts de S tahlcord A ustria AG., via la filiale Trefilarbed Bettembourg. La société exploite deux sites de production de Steelcord (produit destiné aux principaux construc­ teurs de pneus en Europe et aux Etats-U nis): un à Fürstenfeld en A utriche, et le second à Szentgotthard en Hongrie. A près la clôture de cette transac­ tion, prévue avant le 31 décembre 2002, le volum e de production de T refilA rbed Bettem bourg SA et de Stahlcord A ustria AG s'élève­ ra à environ 35 kt de produits de Steelcord. Pour Trefilarbed, ce rachat repré­ sente un choix stratégique afin de suivre l'expansion progressive des principaux constructeurs de pneus en Europe Centrale et en Europe de l'Est.

100.7 dévoile ses nouveautés

La radio socioculturelle, établis­ sem ent de service public, entame sa dixièm e saison et a quelque p eu réam énagé sa grille de pro­ gram m es, et adopté une nouvelle devise "Mam 100,7 op enger W ellelângt" ("Avec 100,7 su r la m êm e longueur d'ondes!"), pour

Changement de fonction ou changement d'entreprise? Adressez-nous un message (avec photo si possible): par e-mail à press@paperjam.lu ou par courrier: paperJam, People, BP 728, L-2017 Luxembourg

People Suite à la nomination de Rémy Best (2) en la qualité de nouvel associé (au 1er janvier 2003) et responsable de Pictet Funds (au 1er juillet 2002) à Genève, Christian Gellerstad (1) reprend la res­ ponsabilité de Banque Pictet Luxembourg. Titulaire d'une licence en Finance et Economie bancaire de l'Université de Saint-Gall, Christian Gellerstad a débuté sa carrière chez Pictet & Cie à Genève en tant qu'analyste financier avant de rejoindre le département de la gérance privée au sein du même établissement le 1er avril 1994. Le 1er mars 1996, il a intégré l'équipe de Pictet Bank & Trust à Nassau en tant que senior vice president. Le 1er juillet 2000, il a rejoint la direction de Banque Pictet Luxembourg, en tant que responsable de l'administration de fonds. Il remplace donc Rémy Best, qui a rejoint le Groupe Pictet en 1997 à Genève en tant que responsable de certains projets spéciaux. Dès 1998, il reprit la direction de la Banque Pictet Luxembourg S.A., seule banque du Groupe au sein de l'Union Européenne spécialisée dans le dépôt et l'admi­ nistration de fonds de placement ainsi que dans le conseil à la clientèle pri­ vée. Auparavant chez McKinsey & Company, de 1991 à 1997, Rémy Best avait conduit des projets pour des clients essentiellement financiers. Titulaire d'un MBA de l'INSEAD, il a en outre obtenu son brevet d'avocat au barreau de Genève.

Un nouveau régional sales manager government, transport, trade & industry pour la Belgique et le Luxembourg a été nommé chez Mercury Interactive, société spécialisée en solutions de test et de gestion des performances. Erik Bessems, 44 ans, est ingénieur industriel en électroni­ que, diplômé de l'université d'Anvers, où il a également obtenu un MBA en 1989. Avant sa nomination chez Mercury Interactive, il a été, entre autres, district sales manager chez EMC Belgique, channel sales manager chez HP Europe du nord, channel account manager chez HP Belgique et account manager chez Rank Xerox Belgique. Erik Bessems a aussi travaillé pour Convergent Technologies, Interdata et SAIT Electronics, où il a commencé sa carrière. Il possède une expérience de plus de 20 ans dans le secteur IT.

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nouveNes têtes viennent renforcer l'équipe de mké S.A! Francis Gasparotto (1), ancien branch manager d'Ajilon IT (qui fut Euroskills avant de se muer en Computer People), a rejoint tempo!, la nouvelle régie publicitaire de mké S.A. (voir aussi p. 039), en la qualité de chef des ventes. Il est également en charge de la publicati­ on annuelle Index. Francis Gasparotto a débuté sa carrière en 1991, et s'est aguerri à l'économie grand-ducale à travers les fonctions qu'il a occupées au sein de Telindus et de Cetrel. La régie tempo! accueille également Anne-Gaëlle Lefort (2) jê diplômée de l'ISCOM à Paris (Deug en marketing et publicité). Celle-ci, au terme de son stage de fin d'études, a été engagée en tant qu'assistante commerciale et marketing. Toujours chez tempo!, Philippe Raïssis (3) devient conseiller de l'hebdo­ madaire Nico (voir encore p. 035) et du guide annuel Explorator. Licencié en communication sociale à l'IHECS (Bruxelles) et titulaire d'un certificat en lobbying auprès des Institutions européennes, cet ancien account chez Publilatina et rédacteur-animateur chez Radio Latina était déjà un collabora­ teur occasionnel de mké S.A.

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Actualité 043


Rre you an IT specialist looking for a n e lu job? search

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HARVEY NASH M o re in fo ? fe e l f r e e to c o n t a c t us : H a ru e y N ash L u x e m b o u rg

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P E O P L E mieux fédérer un auditoire qu'el­ le souhaite le plus large possible, enfants et seniors inclus. L'un des principaux changem ents réside dans le "relookage" du m agazine thém atique quotidien, qui consacrait un tel jo u r de la sem aine à l'économ ie, un autre à l'environnement,... Il est désor­ mais rem placé par une ém ission quotidienne - "D e M agazin vun der Redaktioun", du lundi au ven­ dredi de 12h40 à 14h et le sam e­ di dès 13h - dont la thém atique changera en fonction de l'actuali­ té, afin d'être plus proche de celle-ci. D u côté des ém issions franco­ phones, "Au L u xem b o u rg "- le m agazine interculturel en langue française - a changé de place sur la grille. L'ém ission est passée au vendredi à ll h 0 5 et 19h. Le m agazine d'in fo rm atio n s "Au jo u r le jo u r " donne rendez-vous aux auditeurs tous les jours à 8h30. La radio entend égalem ent augm enter la fréquence des infos trafics (en français) - com m e elle va d'ailleurs le faire pour les flash infos (les "N oriichteniw w erbléck"), qu'elle veut à la fois courts et com plets. Autre changem ent, m oins visible à l'antenne, m ais néanm oins cru­ cial: le dém énagem ent dans de nouveaux locaux (en l'occurrence ceux anciennem ent occupés par l'ILR, avenue M onterrey) prévus pour le 15 janvier. L a radio dis­ posera dès lors de deux grands studios, dont les travaux d'am éna­ gem ent ont déjà co m m en cé... E t com m e 100,7 n'est jam ais en reste au niveau des nouvelles technologies de l'inform ation et de la com m unication (voir leur site web w ww .100kom m a7.lu, à partir duquel vous pouvez écou­ ter la radio p arto u t dans le m onde), ce dém énagem ent cache un grand projet: celui de la num é­ risation des ém issions.

Merlin enchante la Commission européenne

Le procédé de brassage M erlin, développé p ar la brasserie Bofferding, a été nom iné aux E uropean Awards fo r the Environm ent m is en place par la Com m ission européenne dans le but de prom ouvoir et de récom ­ penser les efforts des entreprises

déployés en matière de protection de l’environnement. Le brasseur luxem bourgeois avait déjà reçu, p o u r ce m êm e procédé, le "G rand P rix de l ’environne­ m en t" attribué par la Fedil. C ela fait deux ans que Bofferding travaille sur ce systèm e de cuis­ son du m oût com plètem ent nova­ teur, selon une technique qui n ’avait, ju sq u ’à présent, jam ais été intégrée à une échelle indus­ trielle. 750.000 Euro, environ, ont été consacrés à ce projet qui a tout de suite porté ses fruits, notam m ent en term es d'énergie prim aire: une économ ie de 55% a été obtenue lors de la cuisson du moût, ce qui représente un gain de 40% au niveau de la salle de brassage et de 20% au niveau des b eso in s énergétiques de toute l'entreprise. Par ailleurs, la quali­ té des bières s’en trouve renfor­ cée dans le sens où cette nouvel­ le cuisson, à la fois plus douce et plus constante, perm et de conser­ v er parfaitem ent les élém ents nutritifs et les qualités gustatives du moût. C e procédé de cuisson, qui a fait l'objet, en am ont, d'un mémoire d e fin d'études mené à la faculté de techniques brassicoles de W eihenstephan - dépendant de l'Université de M unich - en colla­ b o ratio n avec la société Steinecker (le fabricant du systè­ m e M erlin) et Bofferding, est devenu une référence dans l’in­ dustrie brassicole mondiale: 26 nouveaux systèm es ont ainsi déjà été vendus à travers le monde. C 'est à Budapest, cet automne, que se tiendra la rem ise des "E uropean A w ards f o r the E nvironm ent".

Directive OPCVM: consultation de Bruxelles La réglem entation applicable aux dépositaires d'organism es de pla­ ce m en t collectifs en valeurs m obilières fait l'objet, jusqu'au 30 octobre prochain, d'une consultation publique en ligne initiée par la com m ission euro­ péenne. C ette consultation fait suite à une invitation du C onseil des m inistres des finances de juin 2001 et vise à déterm iner com ­ m ent, selon les parties intéres­ sées, la réglem entation appli­ cable aux dépositaires d'OPCVM peut renforcer la protection des investisseurs ainsi que le système financier. L e dépositaire est celui qui conserve les actifs d'un fonds en lieu sûr et garantit, également, aux investisseurs, la réalisation de l'investissem ent conform é­ m ent à la politique annoncée par

Enfin, Céline Pecyna, graphiste de formation et ancienne res­ ponsable du service publicité de l'Imprimerie de Gasperich, rejoint l'équipe de mké S.A. et Nlco magazines S.A. en tant que responsable du studio PAO chargée des mises en page des différents magazines, en collaboration avec le directeur artistique, Guido Kroger (xGraphix).

Eric Dubois, directeur du Centre d'innovation par les Technologies de l'Information (CITI) au Centre de Recherche Public Henri Tudor depuis fin 2001, a été nommé représen­ tant du Luxembourg au Board of Directors de l'ERCIM (European Research Consortium for Informatics and Mathematics), qui regroupe des instituts de recherche de 15 pays européens représentant plus de 7.500 chercheurs. Son objectif? Réunir les ressources et compétences nécessaires pour renforcer la position de l'Europe dans le domaine des NTIC et des mathématiques appliquées.

C'est Pit Hentgen, directeur de La Luxembourgeoise, qui remplace le regretté Pierre Werner au conseil d'administrati­ on de la société. Pour rappel, Pit Hentgen est devenu en avril 2002 le nouveau président-directeur général des sociétés d'assurance du groupe (voir paperJam 06.2002, p.49).

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EMC BDG, centre international R&D d'EMC (réseaux de stockage) basé à Malines, a désigné Wilbert Hawinkel au poste de technical evangelist. À ce titre, l'intéressé présentera à des clients et partenaires de toute l'Europe la vision et la stratégie liées aux nouveaux systèmes de stockage Centera d'EMC. Inversement, il relaiera les attentes desdits clients et partenaires afin de favoriser une optimisation permanente des

systèmes. Agé de 42 ans et titulaire d'un diplôme d'ingénieur commercial obtenu à l’u­ niversité catholique de Leuven, Wilbert Hawinkel a travaillé ces quatre der­ nières années comme consultant technico-commercial au sein du bureau de vente belge d'EMC à Zaventem. Auparavant, il a passé quatre ans chez Oracle et huit chez Wang, assumant chez ces deux employeurs diverses fonctions technico-commerciales. Il a entamé sa carrière comme analyste système au service informatique du Boerenbond.

Chlodwig M. Reuter, membre du conseil d'administration de la Dresdner Bank Luxembourg, en est devenu administrateur-délégué. Il assure donc la gérance au quotidien de la banque aux côtés de Wolfgang A. Baertz (admi­ nistrateur délégué et porte-parole du conseil de gérance), Walter H. Draisbach et Reinhard H.Krafft (tous deux administrateurs délégués).

Le 1er juillet, Marc Lacroix a pris la fonction de directeur général d 'Infonet Luxembourg S.A., filiale grand-ducale du groupe mondial de télécommunications présente depuis une dizaine d'années au Luxembourg et dont l'EPT est actionnai­ re à 49%. Le nouveau directeur général, fort d'une expérien­ ce commerciale et de management de plus de 10 ans, acqui­ se dans le secteur des télécommunications (BT, Global One et enfin Enterasys Networks) a également été nommé au conseil d'admini­ stration.

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Dexia Asset Management, la filiale de gestion d'actifs du groupe Dexia, a nommé le 15 juillet Anton Brender, spéciali­ ste mondial de l'analyse macro-économique, au poste de ■ JF chief economist. Titulaire d’un doctorat d’Etat en sciences économiques obtenu à Paris I, Anton Brender, 56 ans, est également diplômé de l'Institut d ’Etudes Supérieures de sciences politiques de la même université et a forgé sa réputation professionnelle en tant que direc­ teur du Centre d'Etudes Prospectives et d ’informations Internationales (CEPII), de 1991 à 2000. En 1992, il a rejoint le groupe CPR (Compagnie Parisienne de Réescompte), en qualité de directeur des études économi­ ques, tout d’abord, puis comme président-directeur de CPR Gestion.

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Actualité 045


le fonds. Il constitue, après l'O PCV M (le fonds) et sa société de gestion, le troisièm e pilier du systèm e européen des fonds col­ lectifs de placement (lire aussi notre article page 116 dans le cadre de notre dossier Finances).

Nouveau guide FIN-NET La Com m ission européenne a publié un nouveau guide du consom m ateur sur le site de FINNET, le réseau transfrontalier des recours extrajudiciaires en m atiè­

re de services financiers. C e guide, qui doit être distribué à un million et demi d'exemplaires, est disponible dans les onze langues officielles de l'Union et peut être obtenu notamment en contactant le centre d'appel Europe D irect par un numéro v ert "universel": 00800 67891011). Il apprend notam m ent aux consom m ateurs com m ent se plaindre d'un fournisseur de ser­ vices financiers d'un autre État membre; quelles sont les p ro cé­ dures, au sein de l'Espace Écono­ mique Européen (l'Union euro­ péenne plus la N orvège, l'Islande et le Liechtenstein) pour obtenir

Le déficit commercial s’amenuise

C om m e on pouvait s ’y attendre, la balance com m erciale luxem ­ bourgeoise s ’est ressentie, au cours du prem ier sem estre, du net ralentissem ent de l ’é ­ co n o m ie m ondiale, selon les données publiées début septem ­ bre par le Statec. Les exporta­ tions ont ainsi reculé de 4,7% par rapport à celles enregistrées au cours des six prem iers mois de l’année 2001: 4,54 m illiards d ’Euro contre 4,76 milliards. Le fléchissem ent a surtout été p ro n oncé p o u r les livraisons extra-U E15 (-9,1% à 0,65 m il­ liard d ’E uro), le repli étant m oins prononcé au sein de l ’U nion (-3,9% à 3,89 m il­ liards). La baisse enregistrée s ’est prin­ cip alem en t concentrée su r le secteu r des m achines et équipem ents (-17,8% ), des arti­ cles m anufacturés en m étaux com m uns (-11,1% ) et des bois­ sons et tabacs (-4,0% ). A noter que les m achines et équipem ents, ensem ble avec les articles en m étaux com m uns, représentent près de 50% de la valeur totale des exportations luxem bourgeoises. D u côté des im portations, le m ouvem ent est semblable: avec 6,06 m illiards d ’im portations au

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Luxem bourg, la baisse com parée au prem ier sem estre 2001 est de 4,9% , essentiellem ent observée sur le marché extra-com m unau­ taire (31,8% ) alors que les acqui­ sitions intra-U E15 ont presque stagné (-0,8% ). Le m atériel de tra n sp o rt (23,9% ), les m achines et équipem ents (-8,8% ), les articles m anufacturés en m étaux com ­ m uns (-6,5% ), les m atières brutes non-com estibles, huiles et graisses (-4,2% ) et les boissons et tabacs (-3,0% ), qui “pèsent” 54% de l’ensem ble des exporta­ tions, ont affiché les baisses les plus notables. Au final, donc, la balance com ­ m erciale luxem bourgeoise a légèrem ent am élioré sa position, avec, au term e du prem ier sem es­ tre 2002, un déficit de 1,52 m il­ liards, com paré aux 1,61 m il­ liards un an plus tôt. Le Statec a noté que la d écélératio n des im portations de m atériel de télé­ com m unication a eu pour con­ séquence une am élioration du solde des échanges extra-UE15, qui a enregistré au p rem ier sem estre 2002 un excédent de 0,06 m illiard d ’Euro, com paré à un déficit de 0,14 m illiard à la m êm e période de l ’année précé­ dente.

un règlem ent extrajudiciaire des litiges concernant des services financiers ou encore com m ent contacter les systèm es nationaux de recours m em bres du réseau. Le réseau, qui co m p te 41 m em bres, a d éjà traité, entre février et décem bre 2001, plus de 400 plaintes concernant des ser­ vices bancaires, d'assurance et d'investissem ent.

Dexia BIL honorée par The Banker Déjà récom pensée en 2000 par la revue spécialisée anglaise The B anker (G ro u p e F inancial Times), D exia-B IL est de nou­ veau sur le devant de la scène: la banque vient en effet de se voir attribuer le titre de "B ank o f the Year 2002 in Luxembourg". Ce "classem ent" est le fruit d'une étude m enée p ar les analystes financiers du magazine, qui pas­ sent à la loupe les perform ances de banques de 145. Les critères d ’analyse ne se basent pas uni­ quem ent sur les données bilantaires et les résultats, m ais aussi sur des indicateurs de croissance et de rentabilité, l’intégration de nouvelles technologies, des réali­ sations particulières durant l’an­ née écoulée et la stratégie globale des ban q u es...

Millicom se retire du Congo L 'o p érateu r in tern atio n al a annoncé, début septem bre, avoir vendu sa participation dans le réseau G SM qu'il explo itait co n jointem ent au C ongo avec O rton Investm ent H oldings Limited Cette licence avait été obtenue au début de l'année 2001 et était accom pagnée de la m ise en place d'une joint-venture avec l’Office C entral des P ostes et Télécom m unications (O.C.P.T.), l’opérateur historique local.

Microsoft à l’école Le M inistère de l ’É ducation N atio n ale, le Syndicat In terco m m u n al de G estion Inform atique et M icrosoft Belux ont annoncé, le 10 septem bre, la signature d ’un contrat de licence p o u r les éco les p rim aires et secondaires d u G rand-D uché.

De quoi s ’agit-il? Les licences d ’utilisation des logiciels sont onéreuses. Les écoles, dans leurs différents choix budgétaires, ne peuvent que difficilem ent respec­ ter la législation. En conséquen­ ce, la plupart du tem ps, ou bien les logiciels utilisés sont piratés, ou bien les écoles renoncent à s ’équiper. Pour ram ener les choses dans le “droit chem in” , le program m e annoncé perm et au x écoles de bénéficier de prix de licences par­ ticu lièrem en t attractifs; sont concernés W indows X P ou tout systèm e d ’exploitation inférieur, M icrosoft O ffice Professional et l ’encyclopédie électro n iq u e Encarta. Les tarifs se font à un prix “p a r p o ste”, pour tout ordinateur équi­ pé d ’au m inim um un Pentium.

Belval: ça se précise

Suite à la constitution du C onseil d ’adm inistration de l’établisse­ m ent public p o u r la réalisation des équipem ents de l ’É tat sur le site de B elval-O uest, le g o u ­ vernem ent a institué, lors de son C o n seil d u 6 sep te m b re, le B ureau prévu par la loi portant création de l’établissem ent pub­ lic. En fo n t p artie M m e M ary se S ch o ltes (m in istère de l’Intérieur), M. G uy B esch (m in­ istère d es T ra n sp o rts), M. G erm ain D ondelinger (m inistère de la C ulture, de l’E nseignem ent supérieur et de la R echerche), et M. Torn W eisgerber (m inistère des Finances), sous la présidence de M. Fernand Pesch (m inistère des Travaux Publics). Les m issions de ce bureau co n ­ sistent à accom pagner la gestion jo u rn alière de l’établissem ent, à organiser et à suivre les travaux du conseil d ’adm inistration.

CEP*L: cherche intervenants désespérément Dans le cadre de ses activités de form ation professionnelle conti­ nue, la Cham bre des Em ployés Privés (CEP*L) offre la possibili-


P E O P L E té d ’une coopération à des inter­ venants en form ation spécialisés dans les différents dom aines socio-économ iques: économ ie et finance, droit, inform atique et bureautique, gestion et com ptabi­ lité, gestion des ressources hum aines et enfin m anagem ent et qualité. Les activités de form ation de la C EP*L sont soutenues p ar le Fonds Social Européen. Les langues de travail sont le français, le luxem bourgeois, l’al­ lemand et l’anglais. Contact: C ham bre des Em ployés Privés, 13 rue de B ragance L1255 Luxembourg.

Le chômage remonte A la fin du m ois de juillet dernier, le Com ité de conjoncture a recen­ sé 5.485 personnes sans em ploi, soit 308 personnes de plus que fin juin, ce qui représente une hausse de 5,9%. Le taux de chôm age passe, ainsi, de 2,6% à 2,8%. A titre de com paraison, entre juin et juillet 2001, la hausse n'avait été que de 1,7%

RTL Group: moins de pubs, plus de revenus

B retagne, qui enregistre sim ul­ taném ent une progression de son audience (de 5,6% à 6,4% ) et de sa p art de m arché publicitaire (de 6,1% à 7,3% ). Pour autant, D idier Bellens a tenu à dém entir les rum eurs prêtant au groupe a u d io v isu el son intention de m o n ter en p uissance dans le capital de C hannel 5, que RTL détient déjà à hauteur de 65% . D e m ê m e, le CEO de RTL G roup a-t-il coupé court aux b ruits relatifs à une offre de rachat que son groupe prépar­ erait sur les groupes de m édia britanniques G ranada et Carlton, co-propriétaires de ITV, le plus im p o rtan t réseau te rrestre de télévision com m erciale du pays.

Deux répéteurs Astra de plus pour CanalSatellite Le p rem ier bouquet français de té lév isio n num érique C analSatellite a conclu un contrat à long term e avec SES Astra pour l'utilisation de deux répéteurs supplém entaires sur le systèm e de satellites A stra à 19,2° Est. C ette accroissem ent de la capa­ cité de diffusion est destinée à diversifier davantage l'offre du b o u q u et, v ia l'in tég ratio n de nouvelles chaînes généralistes, m ais aussi de nouvelles offres de ciném a et de sport, ainsi que des ap p licatio n s innovantes en m atière de télévision interactive. O bjectif: atteindre les 2 millions d 'ab o n n és d 'ici à la fin de l'année, soit un gain de quelque 100.000 unités par rapport à la situation actuelle.

Parallèlement, il mène une carrière académique au titre de professeur-asso­ cié à l’université Paris IX Dauphine et est actif dans les instances de coordi­ nation du secteur financier en France. Il est ainsi entre autres l’actuel prési­ dent de la Commission Economique de l’AFG-ASSFI (Association Française de la Gestion Financière), et l'auteur de diverses publications.

Bruno Colmant, directeur à la Banque Bruxelles Lambert (Belgique), est devenu le premier septembre administrateur délégué du Crédit Européen, filiale luxembourgeoise de la BBL, et country manager du groupe ING pour le Luxembourg. Bruno Colmant a obtenu un doctorat en économie appli­ quée à l'ULB et enseigne notamment à la célèbre école de commerce Solvay, à l'ICHEC Bruxelles et à HEC Liège. Il succède à Elmar Baert (60 ans), qui demeure administrateur du Crédit Européen et conseiller pour la banque en matière de commerce.

En sa première séance du 8 juillet 2002, le nouveau conseil d ’administration des Chemins de Fer Luxembourgeois a confirmé Jeannot Waringo (photo) et Marc Glodt dans leurs fonctions respectives de président et de vice-président du conseil d ’administration. Les mandats des membres du comité des directeurs de la société ont pour leur part été confirmés pour une durée de 6 ans. Ce comité se compose comme suit: Alex Kremer (directeur général, président du comité des directeurs, responsable de l’activité fret), François Jaeger (directeur, responsable de l’infrastructure), Nicolas Welsch (directeur, responsable des services voyageurs) et Marc Wengler (directeur, respons­ able des finances et de l’informatique).

Après une période de presque 3 ans à la direction de Carmignac Gestion Luxembourg, Lucien Dautresme quitte son poste. Le nouveau managing director de l'entreprise est Miriam Mascherin.

Ca bouge en plus haut lieu chez Hitachi Data Systems, filiale de Hitachi Ltd spécialisée dans le stockage, qui a nommé Scott Genereux vice-president global marketing and business development. Scott Genereux était vice-president US sales, service and support. C'est en 1989 qu'il est entré chez Hitachi comme Systems Engineer. Très vite, il a accédé à des fonctions dans le cadre desquelles lui ont été confiées des responsabilités en matière de gestion de produits, des ventes et opérations. Scott Genereux ne sera pas seulement chargé de diriger les opérations marketing au niveau mondial, il conduira également les activités de busin­ ess development avec des partenaires comme Sun Microsystems et Hewlett-Packard et sera responsable de la gestion des clients internatio­ naux.

Bourrage papier La diversification a du bon: en s ’affran c h issa n t d ’une trop grande dépendance des revenus p u b licitaires, RTL G ro u p est parvenu, au term e du prem ier sem estre 2002, à ren d re une copie p o u r le m oins honorable, affichant un bénéfice net de 17 m illio n s d ’E uro (co n tre 2,31 m illiards de pertes un an plus tôt, à relativiser com pte tenu de l’im portant niveau d ’am ortisse­ m ents et goodw ill pour un m on­ tant de 2,438 m illiards), et un chiffre d ’affaires en progression d e 5,1% à 2 ,102 m illiard s d ’Euro. Dans ce chiffre d ’af­ faires, la partie des revenus ‘'‘’non p u b lic ita ir e s” a tte in t presq u e 40% du total, alors q u ’il dépas­ sait à peine 20% à la m i-2 0 0 1. P arm i les faits m a rq u an ts à noter: les bonnes perform ances de C h an n el 5 en G rande-

Réparons ici un m alencontreux oubli, concernant notre dossier audiovisuel paru dans l’édition 08.+ 09.2002 de paperJam : dans notre guide pratique des acteurs de l’audiovisuel ne figurait pas l’ag en ce Interact (21, rue de P ont-R ém y; L -2423 L u x e m ­ bourg, tél: 48 49 73 1, fax: 48 49 66, w w w .in teract.lu ). A ctive dans l’ensem ble de la chaîne de réalisation de spots TV, ciné, rad io ; film s d ’en trep rises et institutionnels (conception, scé­ n ario , p ro d u ctio n , tournag e, m ontage, post-production ainsi que l ’ad ap tatio n en plusieu rs la n g u es, dup licatio n et transcodage, diffusion CD, DVD ou édition sur Internet), elle a notam m ent signé les génériques des ém issions de Tango TV, ainsi que des spots TV -cinéma pour C actus ou les P&T.

Suite au départ du nouveau ministre de l'Economie, des Finances et de l'in­ dustrie français Francis Mer du conseil d'administration d'Arcelor (voir paperJam 07.2002, page 055), Edmond Pachura, Président directeur général de la Sollac, a été coopté, le 30 août dernier, comme administrateur d’Arcelor.

Dans la suite logique de la prise de contrôle de Clearstream par Deutsche Bôrse, André Roelants, le CEO de Clearstream International, a été nommé, début septembre, Deputy CEO au sein du comité exécutif de Deutsche Bôrse.

paperJam 10.2002

Actualité 047


paperJam BusinessW eb-Directory

Les nouveautés

du Web luxembourgeois WWW.TANGO.LU

Le monde de Tango est présenté de manière bien plus claire depuis que tango.lu s'est mué en véritable portail d'informations bien structu­ ré. Rien de bien révolutionnaire du côté du look, corporate oblige, c'est au niveau de l'organisation du contenu que les concepteurs ont planché. Bref, vous trouverez tout ce que vous cherchez, et facilement! Les rubriques qui vous attendent vont du classique "Tango in fo s“ au "Club Tango" en passant par "Communication", "Shop" et, bien sûr, l'incontournable “Free & m obi­ le“, où vous découvrirez les offres de Tango, et serez abreuvés en MMS, SMS, GPRS et autres UMTS.

LANCEMENT DE XENAJOBS.COM

Un nouveau site pour l'emploi a vu jour le 1er septembre. Sous le site xenajobs.com se cache le projet Xena Recruitment Software, un des lauréats de la seconde édition du concours inter-régional de busi­ ness plans "723 Go" lancé par Business Initiative, dont le résultat est un logiciel qui vise à faciliter la gestion des ressources humaines.

048 Actualité

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Selon Xenajobs, la recherche d ’emploi et de candidats à Luxembourg et à l’étranger se joue au niveau de la "correspondance efficace et accélérée des demandes respectives grâce à une interface sim plifiée opérant en temps réel". Sur le site, employeurs comme candidats téléchargent CV et pro­ fils, mais peuvent donc également "gérer leur temps, leur processus de recrutement et bénéficier d'un centre de communication intégré". A vous de tester.

NOUVEAUX JEUX SUR YUPPILAND.LU

Cactus, qui propose depuis un an des jeux pour enfants sur www.yuppiland.lu, en luxembour­ geois et en français, vient de leur offrir une mise à jour qui devrait exercer les réflexes, la concentra­ tion et la créativité des plus petits ... et pourquoi pas des plus grands, d'ailleurs. La m ascotte, Yuppi, est plongée dans le monde des pirates, et propose par exemple à l'internaute de réaliser un puzzle, de jouer aux cartes, de participer à un stand de tir,... des cadeaux sont à la clé. Côté programmation, on retrouve Cropmark Luxembourg, tandis que les illustrations proviennent des Studios Legrain de Lille et que la musique et les bruitages ont été élaborés par Bora Productions à Goeblange.

MIKADO; LA DIFFERENCE

Tout nouveau tout beau, le nouveau site de M ikado Advertising. On commence par une intro Flash - on peut la passer, mais ce serait dom ­ mage - puis on entre au cœur ( au cerveau?), du sujet. M ikado.lu présente bien sûr M ikado Advertising, mais aussi les autres divisions luxembourgeoises (Mikado Online et Mikado Finances) qui font partie du groupe Publicis, lui aussi mis à l'honneur. L'actualité de l'agence et les offres d'em ploi ne sont pas en reste. Mais ce que l'on découvre surtout sur Mikado.lu , ce sont des créations. Celles d'autres agences ("Bravo la concurrence!") et, évidemment, celles de Mikado, présentes comme passées. N'hésitez donc pas à faire un to u r dans les archives, classées par secteur et par média, une mine d'or!

PUBLICIS, LA DIFFE­ RENCE AUSSI!

Mikado travaille aussi pour la gran­ de fam ille du groupe Publicis: l'agence luxembourgeoise a conçu le site www.publicis.be. Une nou­ velle fois, une intro flash digne ->


paperJam BusinessWeb-Directory -> de ce nom, qui ouvre sur un site qui se veut lui aussi le chantre de la différence. Au sommaire: la diffé­ rence (puisque c'e st elle qui ("donne la valeur aux opérations des annonceurs"), l'agence, les créations, les jobs, les news et l'in­ évitable contact.

L'INFO FISCALE SUR CODEX-TAXES.COM

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entre les auteurs venus de tous les horizons de l ’échiquier politique, sans pratiquer de censure si ce n'est dans un souci de prévention de publications extrémistes de tous genres". "Comme d 'ha b itu d e" avec Codex Online, le site se veut multilingue et permet aux utilisa­ teurs de publier eux-mêmes leurs informations.

AMÉNAGER SON INTÉRIEUR

seils fiscaux, forums de discussion, service de petites annonces et autres conseils pratiques sont de la partie. Et l'info trafic? Et le célèbre Lasdaq (baromètre de l'ambiance chez les em ployeurs luxembourgeois)?, nous direz-vous. Patience, patien­ ce. Ces deux fonctionnalités devraient voir le jour "dans les semaines à venir".

PLACE

^^r»M «ttmo«s:uriKi4iii*ui^ ^ g m Emncmmg10« M U *•«

Codex Online, après codex-online.com (infos juridiques) et ecodex-online.com (infos écono­ miques et financières), lance un site dédié aux informations pra­ tiques liées à la fiscalité et destiné aux professionnels com m e aux particuliers. Des documents en trois langues sont mis à disposition des inter­ nautes, qui peuvent eux-mêmes poster leurs propres informations. La société précise également que "Codex-Taxes a p o u r objet princi­ pal de favoriser le débat fiscal en ligne et veut contribuer directe­ m ent à la circulation et à l'échange des idées au niveau international".

CODEX ET POLITIQUE

Les Luxembourgeois de Codex Online sont encore de la partie, mais cette fois c'est à la politique q u 'ils s'attaquent, avec codexpolitics.com. Il ne s'agit pas d'une vitrine pour quelque parti ou quelque idéologie, mais d'un "forum d ’échanges et de dialogue

"Un aménagement d'intérieur aussi individuel que vous", telle est la devise du show-room KaufmannSerra (www.kaufmann-serra.lu), qui a mis en ligne un site on ne peut plus épuré, regroupant les marques, services et news de la société.

LES FRONTALIERS EN ALLEMAGNE o

m *

.jobs l u '

Neofacto a profité de l'été pour donner un petit frère à son site tel­ lement connu des travailleurs qui, tous les jours de la semaine, pas­ sent les frontières française et belge: Lesfrontaliers.lu accueille ainsi son alter ego allemand, Diegrenzgaenger.lu. Et comme on ne change pas les ingrédients d'une recette fort appréciée, le site édité dans la langue de Goethe reprend les thèmes qui ont fait le succès de la version française: suivi de l’actuali­ té de l’emploi et des loisirs au Grand-Duché, dossiers sur les démarches administratives, con­

Les sociétés e-connect et eleven saint-paul interactive ont signé un accord pour l’exploitation en com ­ mun du répertoire web luxembour­ geois www.plaza.lu, dans l'idée de fournir aux internautes un outil de recherche "rapide, pertinent, actua­ lisé et local". Rapide, parce que "les temps de recherche ont été privilégiés", et que l'insertion d'un site se fait endéans les 48 heures, après avoir envoyé le formulaire en ligne. Pertinent, parce que Plaza.lu délivre "directement l ’information recherchée par l ’utilisateur", sans polluer les résultats de la recherche par des informations non sollici­ tées. Actualisé, en raison de la pré­ sence d'une fonction "dead link checker", qui "permet de repérer et d ’éliminer les liens qui ne seraient plus actifs“. Les résultats sont affi­ chés dans l'ordre de popularité des sites chez les utilisateurs. Local, parce que Plaza répond à la ques­ tion suivante: si le Web regorge de répertoires et moteurs de recherche, quelle visibilité un site luxembourgeois peut-il pourtant espérer sur ces outils mondiaux? *

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Actualité 049


paperJam Agenda

L’Agenda Vous organisez une conférence, une form ation, un événem ent? Envoyez vos inform ations à press@paperjam.lu

L'o ptim isation de l'o rg an isatio n des ressources h u m aines sera le thème

central de la journée de conférences organisée par MeeTincs qui se tiendra le

Bourbon L-1225 Luxembourg, 45 99 45 1, conferences@meetincs.lu, www.meetincs.lu

24 sep tem b re à l'hôtel Hilton.

Infos: Carine Muller, 11 rue Béatrix de Bourbon L-1225 Luxembourg, 45 99 45 1, conferences@meetincs.lu, www. meetincs.lu

MR, Institute for International Research, organise, les 24 e t 25 s ep tem b re, sa 6è renco ntre ann u elle relative au blan­ ch im ent d 'a rg e n t.

Un focus particulier sera mené sur la politique de blanchiment dédiée aux OPC. Infos: www.iir-fr.com ou +33 (0)1 46 99 50 74

L'Association luxem bourgeoise des fonds d'investissement (ALFI) organise son 11 è Forum E u ro p e-U S A en colla­ boration avec la National Investment Company Service Association (NICSA). Celui-ci se déroulera du 24 au 26 s e p ­ te m b re à l'hémicycle des conférences du Kirchberg. La journée du 26 sera plus spécifique­ ment consacrée aux hedge funds. Infos: Irène Schultz-Gerstein, 22 30 26 20, 22 30 93 (fax), www.alfi.lu

Petit rappel: une nouvelle formation Medienakadademie aura lieu le 25 sep­ te m b re au Technoport d'Esch-surAlzette, cette fois centrée sur la problé­ matique suivante: e -R H : les T IC au

Le CRP Henri Tudor organise, du 1 e r au 3 o ctobre, avec l'Institut Supérieur de Technologie - où se déroulera la mani­ festation - et le Linux User Group Luxembourg, sous le patronage du ministère de l’Economie, la seconde édi­ tion des LinuxDays. Au programme: sém inaires, confé­ rences, exposition, mais également la présentation des Footnotes par Jon Maddog Hal, executive director de Linux International. Infos: Patrick Harpes, 42 59 91 1, info@linuxday.lu, www.linuxday.lu

MeeTincS organise, les 2 e t 15 octobre, deux déjeuners-conférence ayant pour objet Les acc o rd s de B âle II. La pré­ sentation sera en langue française le 2 octobre, et en langue allemande le 15 octobre. Infos: Carine Muller, 11 rue Béatrix de Bourbon L-1225 Luxembourg, 45 99 45 1, conferences@meetincs.lu, www.meetincs.lu

Le congrès 2002 sur L 'im p a c t d es réseaux dan s la G ra nde R é gio n aura lieu à Arlon les 3 e t 4 o c to b re à la Fondation Universitaire Luxem bour­ geoise à Arlon. Infos: Alain Stern, 0032 (0)63 23 08 60, stern@ful.ac.be, www.ful.ac.be/Nouveaute/RÈseaux/Acc ueil.htm

de la Place financière, débat politique sur l ’harmonisation fiscale en Europe, inauguration de la Luxembourg School o f Finance. Infos: Cynthia Wagner, wagner@abbl.lu, 46 36 60 305, 46 09 21 (fax), www.luxfinance2002.lu

Le Mouvement Luxembourgeois de la Qualité et le CRP Henri Tudor s’asso­ cient pour organiser l’édition 2002 de la J o u rn é e L u x e m b o u rg e o is e d e la Q u alité. Cette manifestation aura lieu à

l’hôtel Mercure Kikuoka Golf Club à Canach les 9 et 10 o cto b re. Infos: Ana Teixeira, 42 59 91 369, 42 59 91 301 (fax), sitec@ sitec.lu, www.sitec.lu

Sur le site de SAS (Strategy Advertising Systems, www.sas.lu), le "buzz" de sep­ tembre sera Le D é s ir D igital - "All You N e e d Is Love" ou c o m m e n t le m a rk e ­ tin g du coe ur veu t infiltrer l'am o u r d a n s v o tre b u s in e s s ", par Alex

Delgado, professionnel du relationnel client et de marketing stratégique. Dès octobre, vous pourrez découvrir sur le même site L 'a rt d e p a rle r fo rt e t de ne rien dire. L 'é m issio n e t la ré c e p ­ tio n d 'u n m essa g e dan s la c o m m u n i­ c a tio n c o rp o ra te , par Patricia Waddell,

spécialiste des méthodes de communi­ cation et du marketing conversationnel. Infos: Katja Rausch, Romain Seiwerath, SAS 42, place Lésigny L-5753 Frisange, 23 67 65 65, 23 67 65 67 (fax), sas@sas.lu

service des resso urces hum aines.

Infos: Jean Larock, 42 59 91 206, jean.larock@tudor.lu, www.nmo.lu

e-Business and Recovery Centre propo­ se le 27 sep tem b re une formation d'une journée sur les DN S Fun dam entals, et un petit déjeuner e-Security (Stratég ie

Les tech n o lo g ies m obiles au service l'en trep rise est l'intitulé de la rencontre

qui se déroulera au Technoport d'Eschsur-AIzette le 7 o ctobre prochain. Infos: Jean Larock, 42 59 91 206, jean.larock@tudor.lu, www.nmo.lu

sécurité: la vision des gran d s acteurs e-S ecurity) le 10 octobre.

Infos: C hristelle Am odio ou Adelia Soares, christelle.am odio@ ebrc.lu ou adelia.soares@ ebrc.lu, 26 06 1, www.ebrc.lu

Le 1er octobre, l'Hôtel Sofitel accueille un déjeuner-conférence organisé par MeeTincs sur le thème des dernières m esures fis c a le s en m atiè re d 'im m o ­ bilier.

Infos: Carine Muller, 11 rue Béatrix de

050 Actualité

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L u x Fin ance2002 se déroulera les 6 e t 7 o c to b re dans les halles des FIL au

Kirchberg et proposera diverses confé­ rences et plusieurs workshops concer­ nant l’actualité et les perspectives de développement de la Place financière luxem bourgeoise (voir notre dossier, p. 114). Quelques thèmes abordés: Où et com ­ ment investir son argent aujourd’hui?, Les fonds d ’ investissement au service de l’épargnant, table ronde sur l’avenir

Au programme de Spiral, en ce début d'autom ne, on retiendra: - R é fé re n tie ls q u a lité d e s systèm es d 'in fo rm a tio n e t IS O /S P IC E , le 2 5 se p te m b re - In tro d u ctio n à U M L e t à la m o d é li­ sation d es sys tèm es d'in fo rm atio n , le 3 0 s e p te m b re (matin) - Les en jeu x d 'X M L p o u r l'e-business, le 30 s e p te m b re (après-midi) - E c o le e-b usiness: Module 1: analyse

stratégique et conception e-business, les 1er, 2, 8, 9, 15 e t 16 octo b re - C o n d u ire une s tra té g ie in fo rm atiq u e

(méthode Cassis), du 15 au 17 octo b re - Rencontres thématiques organisées dans le cadre de la SI Expo, les 2 e t 3 o c to b re

Infos: Marylène Martin, 42 59 91 246, 42 59 91 301 (fax), sitec@sitec.lu, www.spiral.lu ■


BESOINS FINANCIERS ; QUI I N N O V E N T .

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À la S o c ié té N a tio n a le d e C r é d it e t d ’in v e s tis s e m e n t, n o u s s o u te n o n s le s p r o je ts e t a m b itio n s d e s a c te u r s d e l ’é c o n o m ie lu x e m b o u rg e o is e . N o s in te r v e n tio n s r e p r é s e n te n t p o u r d e p lu s e n p lu s d ’e n tr e p r i s e s le m o y e n d e d é v e lo p p e r le u r s a c tiv ité s d a n s le s m e i ll e u r e s c o n d itio n s , w w w .sn c i.lu SOCIÉTÉ

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C am pagne: D édalo

C am p ag n e: L ancem ent R o sp o rt

C am pagne: O p tip e n sio n

C am pagne: Sloggi W om en

A gence: M ikado-Publicis C lient: L oterie N ationale S u p p o r t: Presse A r t D irector: Didier Le­ clercq C o p y w riter: Frédéric Thill Illu stra te u r: Cécile Dandoy Ac­ co u n t M an ag er: Cam ille G roff

A gence: binsfeld communication C lie n t: S ources Rosport S u p p o rt: Print et affichage A rt D ire c to r: Frank K aiser C o p y w rite r: Frank K aiser G ra p h is te : Fred H ilger P h o to g rap h e : Pascal H abousha A cco u n t M a n a g e r: Frédérique Theisen, Claude N esser

A gence: M ikado-Publicis C lien t: B G L S u p p o rt: A bribus et Presse A r t D ire c to r: D idier Leclercq C o p y w rite r: F rédéric Thill P h o to g ra p h e : Stock A c c o u n t M a n a g e r: D om inique Godin

A g en ce: A d v an tag e C lie n t: Trium ph/Sloggi S u p p o rt: A ffi­ chage Decaux D irecteu rs a rtis ­ tiq u es: Sjoerd van Dijk et Dineke W ichers G ra p h is te : Yann Jolivald P h o to g rap h e : C hristian Ray Ac­ c o u n t m a n a g e r: Yannick Schum acker

C am p ag n e: Kiwi Exam ens

C am pagne: L u x fin an ce C am pagne: Sloggi M en

C am pagne: D é p a rt en vacances

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A gence: M ikado-Publicis C lient: M obilux S u p p o rt: P resse A r t D irector: Didier Leclercq C opy­ w rite r: Frédéric Thill I llu stra ­ te u r: D idier Leclercq A ccount M an ag er: Cam ille G roff, N adia Van de Berg

C am pagne: B G L B anque P rivée

A gence: M ikado-Publicis C lien t: BGL S u p p o rt: Presse et A ffi­ chage A rt D irector: D idier Leclercq C o p y w riter: Frédéric Thill P h o to g ra p h e : P atrick M uller (Blitz) A ccount M an ag er: D om i­ nique Godin

052 Actualité

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Agence: binsfeld com munication C lie n t: A utocenter G oedert S u p p o rt: Print A r t D irecto r: F ra n k K aiser C o p y w rite r: Frank K aiser G ra p h is te : Sandrine Feyereisen P h o to g rap h e : Fabrice M ariscotti (B litz) A cco u n t M an ag er: Claude Sauber, M arc Haas

A gence: M ikado-Publicis C lien t: A B B L S u p p o r t: P resse A r t D ire c to r: S téphane Joiris C o p y w rite r: Stéphane Lefebvre P h o to g ra p h e : B ernard Foubert A ccount M an ag er: C am ille G roff

C am pagne: P alp lan ch es série AU

A gence: oxygen C lien t: ISPC / P ro filA R B E D S u p p o r t: P resse internationale A r t D irecto r: San­ drine Feyereisen C o p y w rite r: Frank K aiser A cco u n t M an ag er: Frédérique T heisen. C laude Sauber

A g en ce: A d vantage C lie n t: T rium ph/H O M S u p p o r t: A ffi­ chage Decaux D ire c te u r a rtis ­ tiq u e: Samy G uenane C opy-w rite r : M ichaël M ertens G ra p h iste : Pietro N am ech e P h o to g ra p h e : Fabrice M ariscotti (B litz) A c­ co u n t M a n a g e r: Yannick Schum ackerm acker


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Les bons planfQs de laSNCI -> Depuis un quart de siècle, l'établissem ent public contribue avec succès, par ses interventions mesurées, au développem ent et à la diversification économ iques du pays ENTRETIEN ET TEXTE JEAN-M ICHEL GAUDRON ILLUSTRATION H! PHOTO ANDRES LEJONA (BLITZ)

054 Coverstory paperJam 1


C'est en août 1977 que fut promulguée la loi portant création de la Société nationale de crédit et d'investis­ sement Luxembourg (SNCI). Vingt-cinq ans après, cet établissement public, doté d'un capital de 173 millions d'Euro, est devenu l'un des instruments financiers incontournables pour un grand nombre d'entreprises luxembourgeoises. Au cours de l'année 2001, la SNCI a enregistré un volume d'opérations financières de près de 228 mil­ lions d'Euro, contre un peu plus de 160 millions d'Euro pour l'année 2000. Au total, la société gère un porte­ feuille de plus de 2 500 prêts à l’investissement alloués à pas moins de 1 800 entreprises dans le pays. Visite guidée de cette banque un peu particulière avec celui qui fut le président de son conseil d'administration jusqu’il y a quelques jours (voir page 057) Georges Schmit, premier conseiller de gouvernement au minis­ tère de l'Economie, qui avait succédé à ce poste, en 1995, à Romain Bausch, aujourd'hui président et chief executive officer de SES Global. M o n sieu r S chm it, la S N C I a 25 ans, m ais l'idée m êm e d e sa création est beau c o u p plus an cien n e...

En effet, la loi organique de la Société nationale date du 2 août 1977 mais, pour en arriver là, il a fallu une bonne quinzaine d'années de réflexions, de prépara­ tion et de discussions. Tout a commencé avec les premiers pas de la poli­ tique de diversification économique mise en place au début des années 60, sous la houlette des ministres de l'Econom ie de l'époque, MM. Paul Elvinger puis Antoine Wehenkel. Une triple structure, qui est loin d'avoir fait l'unanimi­ té en son temps, était prévue au départ pour mettre en œuvre trois objectifs: la fourniture de prêts et de cré­ dits, la prise de participations et une activité de rées­ compte et de garantie ayant pour objet de faciliter aux institutions de crédit la mobilisation de leurs créances. Cette dernière fonction n'a finalement pas été retenue. Les réflexions on t do nc pris du tem p s. E st-ce la crise éco n o m iq u e des an nées 70 qui a accéléré les ch oses ?

Au milieu des années 70, la crise sidérur­ gique et la tenue de la tripartite entre |-, Gouvernement, syndicats et patronat a en V effet fait fonction de catalyseur dans la mise en place de la SNCI. C'est d'ailleurs d'un accord tripartite que sa création a été amor­ cée. Pour autant, il ne s'agissait pas sim­ plement d'apporter une réponse à la crise financière de la sidérurgie, mais de co n trib u e r avant tout à la modernisation et à la diversification économiques. La SNCI a donc vu le jour en 1977 et s'est tout de suite offerte en tant qu'instrument contribuant à la solution d'un certain nombre de problèmes qui se sont posés dans le cadre de la restructuration financiè­ re de la sidérurgie, avec l'aide, évidemment, de l'Etat et du secteur financier privé, mais aussi à la diversification industrielle et à la modernisation des PME. C o m m e n t se so nt passés les prem iers pas de la S N CI?

Une de ses premières activités a été la reprise du portefeuille de crédits d ’équipements aux PME que le

Trésor gérait jusqu'alors. Il s'est agi d'un transfert complet qui a servi, en quelque sorte, de dotation en capital. La contribution de la SNCI à la politique de diversi­ fication économique s'est traduite par le financement des investissements des nouvelles entreprises s'éta­ blissant dans le pays. Dès son entrée en activité, la SNCI a plutôt été bien acceptée par le milieu économique. Les investisseurs industriels reconnaissaient évidemment l'intérêt d'un organisme de financement à long terme. Au début des années 80, les taux d'intérêt étaient particulièrement élevés, et la SNCI pouvait offrir des prêts à des condi­ tions avantageuses, car elle était en mesure de se refi­ nancer facilement au travers d'instruments tels que les obligations convertibles ou les bons d'épargne à capital croissant. Et depuis? Q uelles ont été les grandes lignes de son évolution?

En termes de politique de fonctionnement, la SNCI se caractérise par une très grande stabilité. Mais, bien évidemment, le poids des différents instruments a considérablement évolué avec le temps. Ainsi, le cré­ dit à l'exportation est-il pratiquement tombé dans l'oubli, ce qui ne veut pas dire pour autant que les entreprises n'exportent plus! Simplement, la structure et les besoins des entreprises ont également connu des bouleversements et les instruments aujourd'hui à leur disposition sont plus variés, comme l'Office du Ducroire ou bien un certain nombre de banques de la Place qui se sont impliquées dans ce métier. Parallèlement, l'activité de prise de participations a pris une im portance de plus en plus grande. Actuellement, la SNCI détient des participations pour une valeur comptable de plus de 100 millions d'Euro. Les participations représentent plus de la moitié de la performance financière de notre société. Si votre politique n'a pas spécialem ent évolué, il n'en va pas d e m ê m e des instrum ents que vous m ette z en œ u vre...

La SNCI a toujours cherché à s'adapter à l'évolution des besoins. Dans les années 80, deux nouvelles for­ mules de prêt ont été mises en place: le prêt à l'inno­ vation et le prêt participatif. Dans le premier cas, il s'agit de financements à moyen terme de projets de recherche-développement des entreprises. Dans le second cas, il s'agit d'un ins­ trument hybride qui tient du prêt - donc remboursable - et de la participation, sous la forme d'une rémunéra­ tion variable en fonction du risque et du résultat de l'entreprise. C'est une formule équivalent à des quasi fonds propres. Ces dernières années, ensuite, deux notions nou­ velles sont venues à l'avant-plan: le capital-risque et l'accompagnement des entreprises dans leurs déve­ loppements internationaux. Le capital-risque, en lui-même, n'est pas spéciale­ ment une nouveauté. Déjà au milieu des années 80, la SNCI s'est préoccupée de cet outil de financement en investissant dans des fonds de capital-risque, notam­ ment californiens, ce qui nous a permis, en quelque sorte, de nous faire la main dans ce domaine. Il s'agit là d'un métier tout à fait particulier dans lequel il est important de ne pas être seul, mais, au contraire, de trouver des partenaires complémen- ->

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-> taires sur des projets ayant d'importants besoins en capitaux propres. Notre objectif était double: non seulement apprendre le métier du capital-risque, mais aussi jeter les bases d'un transfert de technologies d'entreprises étrangères vers le Luxembourg. Il y a quelques années, le capital-risque est retour­ né au centre des préoccupations des entreprises et des décideurs politiques, ce qui a amené au déve­ loppement de deux nouveaux instrum ents au Luxembourg sous l'impulsion de la SNCI. Il y a tout d'abord la création, en 1998, de CD-PME - société luxembourgeoise de capital-développement pour les PME -, qui est un joint-venture entre la SNCI, d'une part, et les principales banques de la Place spécialisées dans le financement des PME, d'autre part (ndlr: BCEE, BGL, BIL, Banque Raiffeisen et Crédit Européen), et qui étaient en mesure de parta­ ger leur expérience et leurs connaissances, sachant que le marché était trop petit pour envisager que cha­ cun agisse de manière autonome. La cible de ce joint-venture - qui est active à la fois dans les prêts participatifs et les prises de participa­ tion directes - sont les jeunes entreprises innovantes, que ce soit sur un plan technologique ou commercial. L'autre instrument, introduit au début de cette année, est le prêt de démarrage. Il répond à deux attentes du marché: tout d'abord, un très grand nombre de dirigeants de PME sont à la recherche de solutions dans une optique de succession ou de transferts de sociétés. Ensuite, le Luxembourg souffre d'un manque de jeunes entrepreneurs ayant de surcroît les moyens nécessaires pour se lancer dans l'indépendance. L'instrument classique de la SNCI, le crédit d'équi­ pement, est limité au financement des équipements professionnels et les bâtiments. Nous avons pensé qu'il était également important de tenir compte du fait que de nombreux métiers se font sans qu'il y ait nécessairement besoin d'équipements lourds, et que les besoins de financement se situent également dans le domaine de la constitution de stocks, voire de la promotion et du développement de marchés nou­ veaux.

“La SNCI n’a pas vocation à s’impliquer dans les strategies à long terme des entreprises” 056

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Nos prêts de démarrage sont clairement destinés à des entrepreneurs qui créent des entreprises nou­ velles ou qui reprennent des activités existantes. En l'espace de quelques mois, plusieurs projets, ont déjà pu être accompagnés à travers cet in stru m e n t. Et q u 'en es t-il du second as p ec t, celui des fin an ­ cem en ts à l'étranger?

Cette formule est destinée à accompagner les entreprises luxembourgeoises, qu'elles soient indus­ trielles ou prestataires de services, dans leurs projets de développement d'une présence à l'étranger. Dans cette optique, elles peuvent avoir besoin d'établir leur réseau de distribution ou de produire à l'étranger, tout en permettant à l'activité principale de se développer au Luxembourg. Ainsi, il peut être dans l'intérêt de l'économ ie luxem bourgeoise d'accom pagner les choix stratégiques qui doivent ainsi être faits. Les financements que nous proposons prennent plutôt la forme de prêts à long terme, ou bien de prêts participatifs, destinés à la maison mère au Luxembourg. Y a t-il eu ég a le m e n t des ad ap tatio n s p u rem ent structurelles d e la S N C I ?

Oui, ce qui est indispensable pour être en mesure de répondre aux défis nouveaux qui se présentent. Ainsi, par exemple, nous avons adapté la structure bilantaire pour répondre à notre engagement dans l'économie luxembourgeoise. Mais, la SNCI n'a pas seulement atteint son objec­ tif de financement de l'économ ie luxembourgeoise; elle a également rempli ses propres objectifs finan­ ciers en dégageant des résultats positifs sur les opé­ rations réalisées. Actuellement, la SNCI dispose de plus de 500 mil­ lions d'Euro de fonds propres pour une somme de bilan de 750 millions d'Euro. O utre les prêts, la S N C I prend ég a le m e n t des p a r­ tic ip a tio n s d a n s d e s e n tre p ris e s lu x e m b o u r­ geoises. C o m m e n t c e tte activité se p ré s e n te -telle ?

On peut distinguer quatre catégories de participa­ tions détenues par la société. Il y a d'abord celles apportées par l'Etat, soit lors de la constitution de la SNCI, soit lors d'augm entations de capital. On peut citer à ce titre les participations dans le domaine de l'énergie (Cegedel, Soteg) et de la sidérurgie (Arcelor, Ares). Ensuite, il y a les participations prises à la deman­ de du Gouvernement lorsqu'il s'est agi de résoudre certains problèmes dans le cadre de la restructuration économique à la fin des années 70 et au début des années 80 (WSA, Luxcontrol). Mais il y a aussi des participations plus significatives telles que celle dans la SES. Ce sont ce qu'on pourrait appeler des partici­ pations d'intérêt national. On peut ensuite distinguer les participations que la SNCI a acquises dans le cadre d'opérations de restructuration d'entreprises par le biais, par exemple, de la conversion de prêts existants. D'une manière générale, la SNCI a accompagné les restructurations proposées par les actionnaires ou autres établisse­ ments financiers. Il s'agit de sociétés comportant un intérêt technologique et économique prononcé (Paul Wurth, Sisto Armaturen, CTI Systems, Cargolux). ->


SNCI -> Enfin, d'autres participations ont été prises à l'ini­ tiative de la SNCI, ensemble avec d'autres investis­ seurs, au travers de fonds de capital-risque ou d'ins­ truments similaires. Il s'agit de participations dans le domaine des technologies nouvelles comportant un potentiel de développement économique important (IEE, Primorec, SecureWave, ...). En principe, toutes les participations ont un carac­ tère temporaire. La SNCI n'a pas vocation à s'im pli­ quer dans les stratégies à long terme des entreprises. Lorsqu'on fait l'analyse du portefeuille actuel, on constate qu'il est assez équilibré, avec des participa­ tions dans les domaines des technologies indus­ trielles, des technologies de l'information et des com ­ munications, de l'énergie et de la finance (capitalrisque) . C o m m e n t, co n crètem e n t, ce s prises d e p a rticip a­ tion se réalisent-elles?

Il faut d'abord bien avoir à l'esprit que la SNCI agit à la demande et en complément, mais ne se substitue en aucune façon aux promoteurs privés. Par ailleurs, sauf l'une ou l'autre exception historique, la SNCI n'est jamais l'actionnaire majoritaire ou dominant. Si on se penche sur les dernières années, on peut noter que nous sommes devenus plus actifs en matiè­ re de prises de participation, dans la droite ligne de la volonté du gouvernement affichée par sa déclaration du 12 août 1999. Les demandes qui nous sont adres­ sées, sont examinées en fonction de plusieurs critères dont ceux de la viabilité économique et de l'intérêt national du projet d'entreprise. D'une manière générale, je ne pense pas que la SNCI ait jamais pris de participations de manière inconsidérée. Bien au contraire, je constate qu'elle s'efforce à faire preuve d'un très grand professionna­ lisme dans le processus de décision, tout à fait com ­ parable à ce qui peut se faire dans le secteur privé. La SNCI a en la matière un comportement en bon père de famille. Cela ne veut pas dire non plus qu'elle ne prend jamais le moindre risque. Bien au contraire, c'est son rôle. Nous gérons l'argent du contribuable, mais nous sommes en mesure de justifier qu'une par­ tie de cet argent soit affectée à des projets un peu plus incertains, com portant des interrogations tech­ nologiques ou commerciales . Q u itte à subir d e s éc h ec s c o m m e celui d'E urope O nline, par exem p le?

Oui, Europe Online, dans laquelle nous avions investi avec des partenaires du métier de l'édition notamment, a été un échec. Mais c'est aussi au tra­ vers de tels échecs que nous avons beaucoup appris, notamment sur le marché de l'Internet et le marché des médias. Entre-temps, la "bulle Internet1' a explosé faisant disparaître bien des acteurs, mais il reste des survivants. Surtout dans les technologies nouvelles, des entreprises naissent, d'autres disparaissent: c'est tout à fait normal dans notre système d'économie de marché. Il ne faut donc pas avoir de regrets lorsqu'on a la conviction qu'on a exécuté son métier suivant des critères de professionnalisme. Vous a -t-o n déjà reproché l'é c h e c d 'u ne société parce qu e vous n'y aviez pas investi?

Prétendre qu'un projet échoue parce que nous n'y aurions pas contribué financièrement, c'est nous lan-

,

MODE

D ' E M P L O

Past & present La première approche législative de la création d'une structure telle que la SNCI date de février 1967, avec un avant-projet "d 'in stitu t national d'investissem ent et de garantie" qui ne franchira jamais le premier seuil d'approbation du conseil de gouvernement de l'époque présidé par Pierre Werner. C'est pourtant M. Werner, en tant que ministre des Finances, qui, presque trois ans plus tard, en décembre 1969, présenta un autre projet de loi "portant création d'organismes financiers dans l'intérêt de l ’investisse­ m ent p ro d u c tif de la croissance économ ique", qui ne fut pas adopté par la Chambre des députés. Il fallut ensuite attendre 1977, et la grave crise écono­ mique de cette époque, pour que le gouvernement de Gaston Thorn, sorti vainqueur des élections de mai 1974, relance le processus. Le 17 mars 1977, les amendements gouvernementaux au texte du projet de loi de 1969 étaient présentés aux députés, la loi por­ tant création de la SNCI étant finalement votée juste avant les vacances parlementaires estivales. Signée le 2 août 1977, la loi fut publiée au Mémorial le 8 août. Enfin, les trois règlements grand-ducaux fixant les conditions générales des crédits d'équipem ent, des prêts à moyen et long termes et des crédits à l'expor­ tation furent pris le 30 novembre 1977 et publiés le 7 décembre au Mémorial. Le conseil d'adm inistration de la SNCI est fort de douze membres et opère sous la responsabilité poli­ tique des ministres des Finances et de l'Economie. Sa com position se base sur le principe tripartite: les repré­ sentants de l’Etat ont quatre mandats (avec un double vote); ceux du patronat et ceux des syndicats en ont quatre chacun (avec un droit de vote simple). Au total, la SNCI fonctionne avec un staff de sept personnes à tem ps plein. A la m i-septem bre, le Connseil du gouvernement a pro­ cédé à une réorganisation de la direction de la SNCI, M. Gaston Reinesch succédant à Georges Schm it au poste de président, M. Schm it devenant alors vice-pré­ sident. Le Conseil d'Adm inistration prend les décisions de prêts et crédits et décide des prises de participations sur la base de dossiers et recom m andations des com ­ missions techniques à com position tripartite et du Com ité exécutif com posé du président, du vice-prési­ dent et du directeur de la SNCI Georges Bollig. ■

cer une fleur énorme et nous donner peut-être beau­ coup plus d'importance que nous n'en revendiquons! A contrario, nous attendons toujours d'avoir des exemples de projets que l'on nous aurait proposés, auxquels nous n'aurions pas participé, mais qui auraient quand même été des réussites retentis­ santes. Une fois la participation prise, quelle es t la nature des relations en treten ues avec ces entreprises?

Le fait que la SNCI n'ait pas vocation à développer la stratégie d'une entreprise ne veut pas dire pour autant qu'elle se désintéresse complètement de sa vie. L'une des conditions liées à l'entrée dans le capi­ tal d'une entreprise est la participation au conseil -> paperjam 10.2002

Coverstory 057


-> d'administration par un représentant de la SNCI. Nous estimons que le fait d'être actionnaire nous donne une responsabilité qui doit se refléter au tra­ vers de notre présence dans l'organe d'administra­ tion et de surveillance d'une société. Cela nous per­ met d'être informés de l'actualité et de la situation financière de l'entreprise, mais aussi de participer à sa vie et à son développement. En tant q u 'établissem ent public, nourrissez-vous des relations particulières avec l'Etat?

Il va de soi qu'au regard de la vocation première de la SNCI nous travaillons en association très étroite avec les ministères et administrations dans le cadre de la politique économique structurelle. La SNCI est, en fin de compte, un instrument, aux côtés d'autres, qui participe à la mise en œuvre de cette politique . Mais elle est aussi responsable de son bilan, et doit donc faire sa propre analyse et sa propre gestion, même si certaines décisions dépendent de l'appro-

“On ne peut pas parier de marasme économique au Luxembourg”

bation des ministres responsables, en l'occurrence les Ministres des Finances et de l'Economie. Ainsi, pour les prises de participation, l'attribution de prêts à long terme et de financements à l'étranger dépassant un certain seuil, les ministres de tutelle doivent don­ ner leur accord. Q uelle es t la situation de structures de fin a n c e ­ m en t sim ilaires dans les pays voisins?

A l'étranger, la situation est très variée. En tant que membre du "Club des Institutions de crédit à long terme de la Communauté européenne" la SNCI a pu observer au cours de ces dernières années des bou­ leversements importants au niveau des membres de cette association: certains ont été privatisés, d'autres ont carrément disparus ou ont été intégrés dans des structures publiques ou privées plus larges. C'est par exemple le cas en Belgique, où il existait aussi une SNCI, ou en Irlande. En France, la fonction de financement des PME a été reprise par la Banque de Développement des PME, qui est également active dans le financement et l'o c­ troi de crédits ainsi que dans la prise de petites parti­ cipations et de l'octroi de garanties. Le système en place le plus proche du Luxembourg est celui de l'Allemagne: la KfW - Kreditanstalt für Wiederaufbau - et la DtA - Deutsche Ausgleichsbank - disposent de structures, de missions et mandats politiques similaires à ceux de la SNCI. Le p aysag e des établissem en ts d e fin an cem en t a évolu é da n s les au tres pays. E v o lu e ra -t-il au Luxem bourg?

Je ne suis évidemment pas prophète et j'ai déjà dit que la SNCI a évolué au cours des dernières années, mais je pense aussi être en mesure d'affirm er que la politique économique de ce pays est caractérisée par une très grande stabilité dans le temps. Et s'il y a eu quelques petites modifications dans les objectifs et instruments, cela a toujours été dans un souci d'adaptation par rapport au besoin du marché ou aux dispositions communautaires. Il faut voir aussi que, dans d'autres pays, les évolu­ tions en matière de déréglementation et de libéralisa­ tion, y com pris la réforme des instruments de finan­ cement publics ont été en bonne partie influencées par la nécessité de l'assainissement budgétaire. Le Luxembourg n'en est pas là... mais son économie continuera à évoluer et avec elle la SNCI.

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A quel niveau resse n te z-vo u s les effets du m ara s­ m e éc o n o m iq u e actuel?

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68

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Heureusement, au Luxembourg on ne doit pas par­ ler de marasme économique. On retourne plutôt à une conjoncture économ ique m oins dynamique. Quant à la SNCI, on se rappelle qu'au premier semestre 2001 nous avions effectué pour 150 millions d'Euro d'opérations assez exceptionnelles en volume. Au premier semestre 2002, nos interventions se sont limitées à des seules opérations de prêts. On note également que, si au 1er semestre les prêts à l'innovation ou les prêts de démarrage sont en progression, cela n'est pas le cas des crédits d'équi­ pement, pour lesquels on observe un recul de quelque 20% . Cela pourrait indiquer une certaine pru­ dence ou un certain attentisme dans le chef des entreprises en ce moment. ■


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-> L'État intervient, aujourd'hui, dans l'économie, de manière directe et

'indirecte... Il réfléchit également à comment intervenir, demain,,. TEXTE VINCENT RUCK PHOTOS FRÉDÉRIC DI GIROLAMO (BLITZ)


Un État a, à disposition, plusieurs armes pour intervenir sur le plan économ ique. La première est celle de la législation et de la régulation. C'est l'État qui fixe les règles du jeu et assum e le rôle d'arbitre. Le Luxembourg est plutôt doué dans ce domaine. SES, le pôle financier, RTL Group, ces trois exem ­ ples ont une origine semblable: la souveraineté de l'État, sa capacité à créer un environnem ent attrac­ tif. Le seul problèm e de ce type de pratique, c'est qu'au fur et à mesure de la construction européen­ ne, ces espaces de souveraineté se réduisent. L'État (et les collectivités locales) peut aussi intervenir plus directem ent. Il est, lui également, un employeur, il a des dépenses. Selon les chiffres du Statec, en 2001, environ 15.200 personnes travail­ laient dans les “Services d'adm inistration publique" (qui ne se lim itent, a priori, pas à l'État, certes...). Les dépenses budgétaires approchent les 6 m il­ liards d'Euro. Voici donc une force de frappe im por­ tante: l'État loge dans des im meubles, loue d'autres immeubles, achète des ordinateurs, du papier, du mobilier, des véhicules... En plus de ces interventions "de fonctionne­ m ent", la puissance publique dispose d'un certain nom bre d'ou tils financiers. La SNCI et la BCEE sont propriété com plète de l'État, quand bien même leur fonctionnem ent les force à être rentables. Ces interventions directes fo n t que de nombreux sec­ teurs de l'économ ie sont ainsi "infiltrés" par l'Etat. Les entreprises sont privées, m ais les capitaux qui les financent sont publics. Le schéma, sur les 2 pages suivantes montre, rapidem ent, un certain nom bre d'investissem ents de l'Etat, de la BCEE et de la SNCI dans l'économ ie luxem bourgeoise. On y remarquera, régulièrem ent, des croisem ents de participations. Ce schém a a été construit sur la base d'inform ations publiques. Si l'É tat intervient aujourd'hui, il pense aussi aux m odalités de son intervention de demain. En 2001, le Conseil Économ ique et Social (CES) a rendu un avis sur le rôle de l'État, à la dem ande du gouver­ nement. Les quelque 150 pages du docum ent se penchent sur le rôle social et économ ique de la collectivité. Q uelques-unes des recom m andations qui sont faites sont m arquantes. La 7" recom m andation pré­ conise ainsi d 'a d o p te r l'approche du "mieux d'État" et souligne que "le rôle de l'É ta t découle des fonc­ tions q u i lui so n t attribuées dém ocratiquem ent. Celles-ci contribuent à réaliser une qualité de vie soutenable e t élevée de la pop ulatio n du pays, tout en utilisant les m oyens les plus efficients p o u r y arri­ ver. " La 8è re co m m an d a tio n n 'e s t pas en reste: "Trouver les m oyens les plus adaptés - prestations publiques ou privées - p o u r g arantir un service d 'in té rê t général de qualité choisi p a r le législateur. Selon le type de service, il a ppartient au législateur e t au G ouvernem ent de déterm iner les niveaux de qualité requis e t les m odes de prestation et finan­ cem ent correspondant". Le CES affirm e clairem ent que "les missions im parties p a r la société à l'É ta t ou aux collectivités locales ne doivent pas nécessairem ent être exé­ cutées p a r les adm inistrations publiques, mais peu­ vent l'ê tre p a r des établissem ents publics, par des entreprises privées sous co n tra t ou encore en p a r­

tenariat avec des associations ou sociétés du sec­ teur non-m archand". En suivant, à la lettre, ces recom m andations, il n'y a donc plus de barrières, a priori, pour confier à des entreprises 'non publiques' des tâches nor­ malement dévolues au privé, pourquoi pas dans le domaine de l'éducation ou de la sécurité. Un des participants à l'étude n’hésitait pas à aller chercher les exemples à l'étranger (les universités américai­ nes) ou ici même (les entreprises de gardienna­ ge...). Ces domaines particuliers sont cependant sensi­ bles. En effet, les enjeux ne sont pas, ici, q u 'é co ­ nomiques, mais également sociaux. Sans com pter que, dans certains domaines, le passage au privé peut entraîner des coûts de contrôle im portants (supprimant par là même une partie de l'intérêt financier de l'opération, sans en occulter les ris­ ques sociaux). Ceci étant, la question est intéres­ sante et mérite débat. Un des exem ples les plus récents du passage au privé d'un service auparavant dit "public" est la libéralisation du marché des télécom m unications. La construction des infrastructures, le dévelop­ pement d'une offre initiale n'avaient été possibles que via l'intervention de l'Etat. Les investissements à réaliser ne pouvaient être rentables qu'à long terme, avec des échelles et des risques d'investis­ sements trop élevés pour un acteur privé. A u jo u rd 'h u i, les anciens m onopoles - P&T Luxembourg, France Télécom , Deutsche Telekom, British Telecom ... - sont concurrencés sur leurs activités professionnelles et grand public par de nouveaux entrants aux dents acérées. Voici pour l'aspect économ ique: on suppose meilleur, aujour­ d'hui, pour le développem ent de l'économ ie, d 'in ­ troduire de la concurrence dans les offres. Mais pour autant, on n'oublie pas le rôle social de l'Etat, via l'introduction d'une obligation de service univer­ sel. Il s'agit d'une mission, dévolue de pays à pays selon des m odalités différentes, à un ou des opéra­ teurs. C'est le "service m inim um " que chacun des consom m ateurs-citoyens d'un pays est en droit d'attendre. Pour le Luxembourg, les modalités sont fixées dans le Règlement grand-ducal du 26 mai 1998 sur le service universel de télécom m unications. Il co m ­ prend “la fourniture du service de téléphonie de base à toute personne qui en fait la demande, à des conditions tarifaires raisonnables, indépendam m ent de sa localisation géographique sur le territoire du Grand-Duché de Luxembourg". Le service co m ­ prend une facturation suffisamm ent détaillée, la numérotation au clavier et l'interdiction sélective d'appels. Est également inclus l'accès aux services ISDN, sous conditions particulières de tarification. Les deux dernières com posantes sont "la fournitu­ re du service de postes téléphoniques payants publics" (les cabines téléphoniques) et la publicati­ on et la distribution d'un annuaire téléphonique (gratuitement). Les télécom m unications ne sont qu'un exemple, mais dém ontrent com m ent l'État voit son rôle évo­ luer au cours du tem ps, abandonnant certaines missions, en recevant de nouvelles, utilisant d if­ férentes pratiques. ■

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P&T Consulting

Editus Luxembourg A

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Visual Online ^ 51%

TNT Express Luxembourg

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Les principales Participations Ce graphique présente les principales participations détenues par l’Etat luxembourgeois, soit en direct, soit au travers de la BCEE et de la SNCI. Les données chiffrées sont données sur la base d ’inform ations publiques (rapports annuels,...) ■

064 Coverstory paperJam 10.2002

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Société de la Bourse de

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Distribution

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Conseil d'Administration.

Inscriptions et mises-à-jour: www.paperJam.lu Responsable Index: Francis Gasparotto. Rédacteur en chef: Vincent Ruck. Directeur commercial:!


Mode d'emploi pour les inscriptions et actualisations L'inscription non-payante se fait en ligne à partir du site www.paperjam.lu. Il suffit de cliquer sur le lien «S'inscrire» dans la partie Index 2002. Le formulaire d'inscription se compose de plusieurs parties contenant un ensemble de champs à remplir: entreprise, personnes de contact, secteurs d'activités. Une fois l'inscription terminée, l'entreprise choisit un mot de passe et valide son inscription. Si votre entreprise est déjà dans le guide procédez vous-mêmes aux actualisations de vos données avec votre mot de passe et votre adresse e-mail. Chaque entreprise est responsable de son inscription, de son mot de passe, des données contenues dans Index 2002, il lui revient donc de les actualiser et de les contrôler régulièrement. Pour actualiser, le processus est comparable, il vous suffit de cliquer sur le lien «Actualiser», sur la même page d'accueil du site www.paperjam.lu. puis de saisir votre mot de passe et votre adresse e-mail dans les champs prévus à cet effet. Vous entrez ainsi dans la page d'actualisation de votre société et pourrez faire toutes les modifications nécessaires dans les différentes parties de votre inscription.

A urelio Angius. D ire cte u r de la publication: Mike Koedinger. Edité par m ké s.a.


PLAN DU HALL D’EXPOSITION

1 SOFTW ARE I & INTE RNE T

Entreprise

Numéro de stand

ABC Luxembourg .............................................. 152

Lecando............................................................ 138

Agfa ................................................................... 67

Key Job .............................................................139

Alti ....................................................................134

Mercury Interactive ...............................................77

ArsysSA............................................................142

Nashuatec .......................................................... 30

Attachmate..........................................................68

Novell.................................................................. 80

Aubay-Si / Offis.................................................. 127

OMNIS ECM Services.............................................7

Banque et Caisse d’Epargne de l'Etat ................. 136

Optec.................................................................... 2

Beta Systems Software.......................................... 4

Orda-S...............................................................114

Bit Informatik GMBH ...........................................115

Paperjam (mké).....................................................1B

Bull..................................................................... 90

Partenaires Sociaux...............................................40

Callataÿ & Wouters .............................................140

Peopleware.........................................................149

Centre de Recherche Public Henri Tudor / spiral .. .75

Pixelixir .................................................................. 3

Chryos Finance Technology B V ............................. 97

Primesphere ........................................................ 42

Comparex Information Systems.............................48

Promotic s.à.r.l....................................................... 61

Computer Business Center................................. 110

RISC Technology...................................................86

Concepts & Applications Bureautiques..................... 8

Sage France.......................................................129

CTG Luxembourg ................................................ 77

Siemens Business Services................................... 46

CW Consulting .................................................. 132

SAP ...................................................................141

EASI

................................................................. 94

Silverstream Software ...........................................80

EFT Consultants ................................................ 138

Software A G ........................................................ 60

Eleven - Saint-Paul Interactive ...............................88

S.P.I.C.S................................................................ 79

Entreprise des Postes & Télécommunications . . . ,106

S Q S .................................................................... 54

Eri Bancaire............................................................5

Surfcontrol .......................................................... 87

FIL ...................................... i ........................... 124

Symantec...........................................................145

Finance Technology Systems.................................45

Technopole Metz...................................................74

GFI Benelux ...................................................... 138

RMS...................................................................... 1

IBM..................................................................... 92

Vanenburg Business Systems............................. 125

Infodata................................................................91

VDS Computing .................................................. 66

I.R.I.S. Luxembourg ...........................................104

Viasolutions.......................................................... 96

IT - Solutions, lu (ICM) ...........................................1A

VMS Keytrade.....................................................135

Lab Services S/VArcStore S A ...............................50

MSIExpo C a ta lo g u e O ffic ie l

paperjam 10.2002


2 & 3 . 10.2002 Foires Internationales Luxem bourg

71

48

84

94

104

118

132

142 152

29

h

82 68

46

115

92

129

80 67

45

32 33

44

54

79

91

65

90 77

34

63

37

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38

41 50

39

126

138

124 75

62

139 149

125

42 36

127

110

64

35

140

1}4

66

10

141

PLAN

30

HALL D’EXPOSITION

SOFTWARE & INTERNET EXPO

136

88

74 60

40

106 87

97

86

135

145

96

134

SNACK 1B

m 1A

EN TRAN CE/ENTREE

paperjam 10.2002

SI Expo C a ta lo g u e O ffic ie l V


SOFTW ARE & IN TE R N E T

Stand 152

Stand 134

ABC Luxembourg

ALTI

9 montée de Clausen L-1343 Luxembourg Tél : (+352) 26 20 05 51 Fax : (+352) 46 92 97 www.abcluxem bourg.com info@abcluxembourg.com

321 route d ’Arlon L-8011 Strassen Tél.: (+352) 31 35 02 1 Fax: (+352) 31 35 02 300 www.alti.lu

AB C Luxembourg is a Consulting and Software Com pany speciali­ zed in Business Process Engineering and W orkflow Management. We offer holistic solutions from the analysis o f a com pany’s organization and business processes with ARIS, to the business process automation with Staffware. Logiciels d ’application/Business applications: * Knowledge Management & Business Intelligence * Business Process Management (core business)

ALTI se distingue p a r une équipe m ultidisciplinaire, des com pé­ tences Métier, un savoir-faire: design, réalisation & technologies Internet / Intranet, bases de don­ nées, plateform es E-Business, intégration 3 tiers, Systèmes d ’inform ation et Groupware. Logiciels d ’application/Business applications: * Customer Relationship Management * ERP & Supply Chain Management * Financial Software & Services * Knowledge Management & Business Intelligence Logiciels de syst. & dev/Systems & Dev. Softwares: * Application servers & web servers * Component Models * Web services & Development

Stand 67 e-Business & Internet: * E-Business Security * Enterprise portai * e-governement * IT-Consulting & Services

AGFA ^ AGFA Luxembourg S.A. 74 route de Longwy L-8080 Bertrange Tél. : (+352) 44 20 44 1 Fax : (+352) 45 04 37 w ww.agfa.com /m ds/ veronique.turbang.vt@belux.agfa.com

<

Agfa “Solutions com plètes d ’ar­ chivage”: Hardware e t Software. La division Agfa M icrographics and Docum ent Storage offre des “Solutions de gestion de d o cu ­ m ents" afin d ’optim iser la conservation, l ’adm inistration et la distribution de vos données.

Logiciels d'appllcatlon/Buslness applications (Knowledge Management & Business Intelligence)

Stand 68

a tta c h m a te ' enterprise solutions fo r the e-worid

ATTACHMATE Sales Belgium BVBA 43 Am biorixlaan 43 boite 001 B-1780 Wemmel Tél.: (+32) 2 481 07 50 Fax: (+32) 2 481 07 57 www.attachm ate.com

Attachm ate addresses legacy integration through the Web-service approach o f myEXTRAI, which positions itse lf as a hub betw een the back-office secure storage o f data and the front-office presentation layers that are needed to actually manage and extract value from that inform a­ tion.

Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware * Web services & Development -

* * *

e-Business & Internet: EbXML Network infrastructures Others: Host Data Integration

Stand 142

ARSYS S.A. 85 route de Luxembourg L-8440 Steinfort Tél.: (+352) 39 55 65 Fax: (+352) 39 55 75 www.arsys-europe.com info@ arsys-europe.com

900 im plementations: Arsys speciality is Intelligent D ocum ent Delivery, Trusted Transaction Systems and D istributed Client Solutions that can be integrated with yo u r existing production systems w ithout changing yo u r code. www. arsys-europe. com e-Business & Internet: * Others: Trusted Transaction Management and Intelligent Document Delivery

VI SIExpo C a ta lo gu e O ffic ie l

^

■:

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paperjam 10.2002

Stand 127

©ubay AU BAY Luxem bourg/Offis Im meuble de Beauvoir 51 rue de Strasbourg L-2561 Luxembourg Tél. : (+352) 29 92 50 1 Fax : (+352) 29 92 51 www.aubay.com Aubay Luxem bourg est née du rapprochem ent opérationnel des sociétés Aubay-SI Luxembourg e t Offis Luxembourg. Ces deux entités, m em bres du groupe Aubay, so n t regroupées depuis le


1er ju ille t 2001 e t co m p te n t envi­ ron 40 collaborateurs. Aubay Luxem bourg se positionne com m e intégrateur, offre des ser­ vices de conseil e t réalise des solutions de développem ent In House, accom pagne les grands com ptes dans l'adoption de nou­ velles technologies de l ’inform a­ tion. N otre principale volonté est d ’anticiper les évolutions techno­ logiques des systèmes d ’infor­ mation, les utiliser e t les m aîtriser p o u r répondre aux exigences « Business » de l ’entreprise. Aubay Luxem bourg possède tant de références dans le secteur public que dans le secteur privé. Le groupe Aubay, de dim ension européenne, a p o u r vocation de fédérer des entités évoluant dans les technologies de l'inform ation. Aubay respecte l ’autonom ie opé­ rationnelle de chaque entité, afin d ’assurer une collaboration loca­ le et étroite avec ses clients. Aubay est présent dans 6 pays européens, représente un e ffe ctif de 650 collaborateurs e t profite d ’un a c tif sur fonds propres. Les dom aines co u ve rts p a r A u b a y Lu xe m b o u rg s o n t les s u i­ vants: * Applications de type Intranet, Extranet e t Internet (développe­ m ent et maintenance) * Solutions de type « Docum ent and Content M anagem ent » (implémentation, intégration et évolutivité) Les m étiers d ’A u b a y Lu xem bourg s o n t les suivants: * Le coaching, m entoring e t la consultance ; * La réalisation au forfait ; * La mise à disposition de spé­ cialistes opérationnels. Les représentants d ’Aubay Luxem bourg seront heureux de vous recevoir à l ’occasion de ce salon.

- Logiciels d'application/ Business applications: * Knowledge Management & Business Intelligence

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Component Models * Web services & Development * * * * * *

e-Business & Internet: E-Business Security EbXML Enterprise portai e-governement IT-Consulting & Services Others

S ta n d 1 3 6

^ net o n li n e b a n k i n g

BANQUE & CAISSE D’EPARGNE DE L’ETAT 1-2 Place de Metz L-2954 Luxembourg Tél. : (+352) 4015-1 Fax : (+352) 40 43 22 www.bcee.lu

S tand 4

-b e ta s y s te m s BETA SYSTEMS SOFTWARE 1 avenue des Chasseurs B-1410 Waterloo Tél.: (+32) 2 352 04 80 Fax: (+32) 2 352 04 80 www.betasystem s.com BETA Systems Software busi­ ness areas are Document Management, Storage M anagem ent and Data Center Management. For these areas, BETA Systems develops and provides solutions for increased pro d u ctivity and efficiency in the IT managem ent infrastructure o f large and m id-sized companies. Logiciels d ’application/ Business applications: * Others: Document Management, Data Center Management, Storage Management

S ta n d 1 1 5 Les solutions Electronic Banking de la BCEE: flexibles et dispo­ nibles 24h/24, 7j/7. Entreprises et associations: S-MultiLine, S-LINEbis, S-Net p@y, S-net Consultation. Clientèle particulière: S-net, S-PHONE, S-BANK, S-net Consultation, S-W@P. - Logiciels d'application/ Business applications: * Banking Solutions * Financial Software & Services - e-Business & Internet: * Mobile Internet * (Secure) Internet Banking

BIT INFORMATIK GmbH 1 2 - 1 4 Heckingstrasse D-54439 Saarburg Tél. : (+49) 65 81 99 57 0 Fax : (+49) 65 81 99 57 100 w w w .bit-inform atik.de The b it Inform atik Gm bH is as a Lotus-Business-Partner speciali­ sing in conception and realisation o f the concepts o f com m unica­ tion. As one o f the greatest p a rt­ n er in Germany o f savings banks, cooperative banks and euro banks, the b it Informatik Gm bH attends to more than 100 banks a ll over Germany. Key aspects o f its activity are consulting, deve­ lopment, trainings and work­ shops in the domain o f Lotus Notes/Domino.

CO

- Logiciels d ’application/ Business applications: * Financial Software & Services

paperjam10.2002 SIExpo Catalogue Officiel VI


* Knowledge Management & Business Intelligence - Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Component Models * Web services & Development * * *

e-Business & Internet: E-Business Security Mobile Internet IT-Consulting & Services

S ta n d 9 0

Bull

&

Stand S

CAB - CONCEPTS & APPLICATIONS BUREAUTIQUES 3 rue d ’Arlon L-8395 Septfontaines Tél. : (+352) 72 66 50 Fax : (+352) 261 03 550 mfcab@interway.lu site web en construction Logiciels de gestion, développe­ m ent sur mesure, sites WEB, ins­ tallation et gestion de Réseaux intranet (NT4, NOVELL, W2000), FORMATION, ANALYSE, Body Shopping. Logiciels :GesCar GesWin - GesTrans -GesParc GesTec - GesPro - HepDesk

BULL - Logiciels d ’application/ Business applications: * Business Relationship Management * Customer Relationship Management

163 rue du Kiem L-8030 Luxembourg Tél. : (+352) 45 69 451 Fax : (+352) 45 80 17 www.bull.lu Bull est un groupe inform atique international, présent dans près de cent pays. Bull axe sa stratégie sur les ser­ veurs, les infrastructures sécuri­ sées e t les services, du conseil jusqu'à l ’intégration de systèmes e t l ’infogérance. Bull a une forte présence dans le secteur public, le secteur bancai­ re, l ’industrie et les télécom m uni­ cations.

ü a

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Others: Infrastructure integration * * * *

e-Business & Internet: Enterprise portai Mobile Internet IT-Consulting & Services Others: e-infrastructure

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware - e-Business & Internet: * Network systems Management & Management Service Providers * IT-Consulting & Services

S ta n d 1 4 0

CALLATAY & WOUTERS 25c Boulevard Royal L-2449 Luxembourg Tél. : (+352) 46 65 48 1 Fax : (+352) 46 65 49 www.c-w.lu Established in Luxembourg, Brussels, London and Paris, Callataÿ & Wouters provides IT services and software fo r the banking and finance sector, sup­ plies the THALER integrated uni­ versal banking engine, Internet banking system KYUDO and business intelligence solution for banks, TERAN.

- Logiciels d'application/ Business applications: * Banking Solutions

SI Expo C a ta lo g u e O ffic ie l

paperjam 10.2002

* Custom er Relationship Management * Financial Software & Services * Knowledge Management & Business Intelligence - e-Business & Internet: * (Secure) Internet Banking * IT-Consulting & Services

Stand 75

s p ir a l

RESEAU SPIRAL C entre de R echerche Public Henri Tudor 6 rue Cotidenhove-Kalergi L- 1359 Luxem bourg-Kirchberg Tél.: (+352) 42 59 91 - 354 Fax: (+352) 42 59 91 - 777 w w w .www.spiral.lu SPIRAL est une plate-form e de transfert technologique p ro p o ­ sant des conférences, des for­ mations, des groupes de travail, des program m es de qualification et des services télématiques organisés en filières liées aux m étiers de l ’inform atique, en vue d ’échanger e t de diffuser les m eilleures pratiques. En m obilisant les professionnels de l ’inform atique, SPIRAL a p o u r o b je c tif de prom ouvoir la qualité et l ’innovation dans les pratiques liées à la gestion, la stratégie et l ’ingénierie des systèmes d ’infor­ m ation. Il en résulte une am élio­ ration de l ’efficacité du marché inform atique régional e t de sa visibilité. - Logiciels de syst. & dev/ Systems Dev. Softwares: * Others: Research, Technology and Innovation. - e-Business & Internet: * Others: Research, Technology and Innovation.

&


Stand 110

Stand 97

CHRYOS FINANCE TECHNOLOGY S.A. 12 rue Jean Engling L-1466 Luxembourg Tél.: (+352) 26 43 27 67 Fax: (+352) 26 43 27 68 ww w .chryos.com contact: Mr. Tariq Beg Email: tariq.beg@ chryos.com Chryos Finance Technology sup­ plies total banking solutions for corporate, investment, retail and internet banking to the financial services industry. In the Benelux and United Kingdom , Chryos is distribu to r fo r FLEXCUBE, the universal banking solution o f iflex solutions.

Logiciels d'application/ Business applications: * Banking Solutions • Financial Software & Services -

Stand 4 8

COMPAREX N **r

LUXEMBOURG

COMPAREX INFORMATION SYSTEMS 37 Val Saint André L-1128 Luxembourg Tél.: (+352) 250 750 350 Fax: (+352) 250 750 242 w w w .com parex-lux.lu pierre.wautier@ comparex.be COMPAREX, intégrateur techno­ logiquem ent indépendant des constructeurs e t des éditeurs, réalise des systèmes de traite­ m ent de l ’inform ation, qui repo­ sent sur le choix des meilleurs standards du m arché et q u i s ’ap­ p u ie n t su r la com pétence d ’ex­ pe rts certifiés. - e-Business & Internet: * IT-Consulting & Services

réseaux, Etudes actif, passif, design, Produits dans des envi­ ronnem ents M ultiVendor,Câblage inform atique structuré...

CBC COMPUTER BUSINESS CENTER S.A. Rue Robert Stum per 18 L-2557 Luxembourg Tél.: (+352) 40 06 30 1 Fax: (+352) 40 06 34 www.cbc.lu Notre am bition est de devenir votre prem ier partenaire distribu­ tion, services e t logistique en inform atique professionnelle ! L’im plication dans le devenir des produits, leur profonde connais­ sance nourrie du contact q uoti­ dien, le respect des accords nous donnent la position enviée de véritable collaborateur de nos fournisseurs. Notre gamme de prestations com plète est p o u r vous un gage de sécurité ! Pour vous, nous déclinons une palette de services pour répondre à chacune de vos attentes, recherchons l ’innova­ tion qui saura doper vos perfor­ mances et vous rendre quoti­ dienne la certitude que CBC c ’est professionnel! Nous vous proposons une sélection com plè­ te sans cesse enrichie p a r les attentes du marché, reprenant les logiciels e t le matériel relatifs aux environnements Windows, M ac OS, mixtes... Fournisseur e t intégrateur de solutions verticales complètes (Architectes, Gestion de chantier, Gestion Médicale, Comptabilité, Etudes et développem ents spé­ cifiques...) Fournisseur e t intégrateur de solutions com ptables e t com ­ merciales com plètes- Intégrateur systèmes de réseaux basés sur les concepts “client-serveur" Expertise dans divers Network Opérating Systems - Expertise en O ptical Storage Solutions et Entreprise E-Mail Intégration Consultant en structuration de

Com pétences en édition vidéo non-linéaire sur équipem ent inform atique - Fournisseur de ressources humaines (Outsourcing) - Service de form a­ tion en bureautique, systèmes et organisation - Consultant en ser­ vices Internet - Abonnements privés e t entreprise - Création et gestion de sites Web - Sous-trai­ tance dessin architectural...

Logiciels d ’application/ Business applications: * e-Procurement -

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools ‘ Application Integration & Middleware * Application servers & web servers ■ Web services & Development - e-Business & Internet: * Collaborative Commerce * E-Business Security * E-Market places * Enterprise portai ’ Network infrastructures * Network systems Management & Management Service Providers * Peer-to-Peer technology * e-governement * IT-Consulting & Services

Stands 77 / 78

C tg

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CTG 10 ZI de Bourmicht L-8070 Bertrange Tél.: (+352) 29 87 27 1 Fax: (+352) 29 87 27 298 ww w .ctg.com IV e V e been where you w ant to go™ Backed b y 36 years’ experience, CTG provides IT application management, consulting, software developm ent and inte­ gration, and staffing solutions to help Global 2000 clients focus on

paperjam 0 200?

SIExpo Catalogue Officiel

i


SOFTW ARE & IN TE R N E T

I

Stand 132

their core businesses and use IT as a com petitive advantage to excel in their markets. Our 2,800 IT professionals in nearly 50 offices in N orth Am erica and Europe have a proven track record o f delivering solutions that work. Our IT specialists will take you there. CTG Luxembourg has the spe­ cialists and the expertise to sup­ p o rt its clients with e-business, e-banking, CRM, testing, Lotus Notes, and other solutions. We are able to globally manage knowledge and deliver high-value IT solutions when and where our clients need them. We have an integrated approach to facilita­ ting the introduction o f IT solu­ tions to our clients. By leveraging y o u r IT and human capital, we give you a com petitive advantage in yo u r market. In this way CTG assists his clients in increasing the top line perform ance and bottom line results o f their orga­ nization. - Logiciels d'application/ Business applications: * Business Process Management * Financial Software & Services - Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Web services & Development - e-Business & Internet: * EbXML * Network systems Management & Management Service Providers * (Secure) Internet Banking * e-governement * IT-Consulting & Services

CW CONSULTING

EASI S.A.

69 A W ijngaardstraat B-1755 Gooik Tél.: (+32) 2 532 12 75 Fax : (+32) 2 532 32 43 w ww.cwconsulting.be

28 Dernier Sol L-2543 Luxembourg Tél.: (+352) 26 18 58 11 Fax: (+352) 28 18 58 00

Our Software Solutions: Optio Software captures, trans­ forms and delivers inform ation to any recipient in any form at ! You can rapidly leverage inform ation in existing enterprise, legacy, ebusiness, supply chain a nd CRM applications, apply rules-based processing to autom ate collabo­ rative processes with y o u r p a rt­ ners and customers: and then distribute that inform ation via print, email, fax, and the web - all w ithout costly, tim e-consum ing program m ing CompressW riter minimizes the capacity o f yo u r data transfers over yo u r com m unication lines Databeacon, a pow erful internetbased data publishing, analysis and reporting software DPii Telecom, fax software for AS/400 and network environ­ ments Minos Web 400, web to host connectivity solution fo r AS /400

EASI is developing three ranges o f com petences that make up a com prehensive solution to the custom er needs and market expectations: * e-W ork: messaging, CRM, docum ent m anagem ent and managem ent o f Web sites, Lotus Notes * System Integration: technical infrastructure (iSeries, NT-2000, Linux, AIX, Lotus Notes), firewall & routers * Enterprise Applications: co m ­ m ercial m anagem ent and a ccounting package (EASI SM B was elected “Best A ccounting Software 2001”) and tailor-m ade applications EASI Web C ontent M anager is a software that allows you, w ithout any technical knowledge, to defi­ ne the content and the hierarchy o f y o u r Internet, Intranet o r Extranet site. EASI Web Content M anager features the follow ing functions: w orkflow approval o f docum ents, docum ent status, publication priority, news, search engine, multi-lingual, dynamic navigation, “C ontact Us”, ...

- Logiciels d’application/ Business applications: * Business Relationship Management * Customer Relationship Management * ERP & Supply Chain Management * Knowledge Management & Business Intelligence

- Logiciels d'application/ Business applications: * Customer Relationship Management * ERP & Supply Chain Management * Financial Software & Services * Knowledge Management & Business Intelligence

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools * Application Integration & Middleware ‘ Application servers & web servers

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Web services & Development

* * *

XSIExpo Catalogue Officiel

Stand 94

e-Business & Internet: EbXML Enterprise portal IT-Consulting & Services

paperjam 10.2002

* * * *

e-Business & Internet: Collaborative Commerce E-Market places Enterprise portal Mobile Internet


* Network infrastructures * Network ystems Management & Management Service Providers * e-governement * IT-Consulting & Services

S «and 1 3 8

EFT CONSULTANTS 157 avenue Plasky B-1030 Bruxelles Tél.: (+32) 2 736 89 11 Fax: (+32) 2 736 88 53 ww w.eft.be pbossaert@ eft.be EFT Consultants is a software house providing consulting, p ro ­ je c t m anagem ent services and software packages to the ban­ king sector. Its e-Banking solu­ tion, Net-Bank, is the ideal solu­ tion to banks wishing to offer internet a nd m obile Banking ser­ vices. - Logiciels d ’application/ Business appl. * Banking Solutions * Financial Software & Services - Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Web services & Development - e-Business & Internet: * (Secure) Internet Banking

S ta n d 8 8

ELEVENSAINT PAUL INTERACTIVE S.A. 2 rue C hristophe Plantin L - 2339 Luxembourg Tél.: (+352) 4993 9100 Fax: (+352) 4993 9109 www.eleven.lu Eleven S.A. articule ses co m p é ­ tences a utour de deux pôles d ’activités: la pro d u ctio n d ’a p p li­ cations interactives (sites in te r­ net, CD-Rom, bornes interac­ tives, applications mobiles) e t la régie publicitaire internet. Eleven s.a. accom pagne les entreprises

cherchant à optim iser la prom o­ tion de leurs activités internet tout au long du processus de communication.

The OLYMPIC Banking System provides a real-time STP-enabled integrated solution in a m ulti-currency, m ulti-entity and m ulti-lingual environm ent for private ban­ king: asset management and securities processing: retail and general com m ercial banking: and m utual fund management. The highly parameterisable OLYMPIC Banking System can be easily adapted to m eet requirements ranging from Internet access for clients and third parties, through STP-enabled transaction proces­ sing, to flexible reporting and analysis. Flexible ease o f interfa­ cing to o ther systems is b u ilt in through the availability o f APIs.

- e-Business & Internet: * EbXML * E-Market places * Enterprise portai * Others: XML & EbXML, Project Design, IT-Development, Content pro­ duction and management, Graphie Design, Web-Marketing and Cross Media Consultancy, Maintenance

S ta n d 5 -8

c

Â

i Logiciels d'application/ Business applications: * Banking Solutions -

O L Y M P I C

ERI BANCAIRE Luxembourg S.A.

S ta n d 4 5

FinancE

3b Boulevard du Prince Henri L-1724 Luxembourg Tél.: (+352) 22 53 53 Fax : (+352) 22 42 22 www.eri.ch ou www.olym pic.ch

ERI is a leading supplier o f inte­ grated application packaged software to the Banking, Asset & Fund Management sectors. M arket leader in Switzerland and Luxembourg, with offices in 11 countries and with users in over 30 countries, ERI has developed to be recognized as a key player internationally by providing a p ro ­ ven robust, real-tim e integrated solution, the OLYMPIC Banking System, which clearly meets the needs o f the market. ERI also offers a full range o f develop­ ment, implementation and sup­ p o rt and maintenance services. OLYMPIC Banking System, inte­ grated and real time banking software covers Front, Middle a nd Back-office needs, for the m ost demanding banking institu­ tions, including e-banking ser­ vices.

FINANCE TECHNOLOGY SYSTEMS 44 route d ’Esch L-1470 Luxembourg Tél.: (+352) 26 33 0369 Fax : (+352) 26 33 0468 www.fitech.lu

liü

Illllllll II

Fondateur du Global Banking Business “IBBA", International Banking Business Application, Finance Technology offre aux banques et aux institutions finan­ cières une solution back-office bancaire com plète basée sur le co n ce pt « open system ». Depuis sa fondation en 1991, Finance Technology a acquis une solide réputation dans le dom ai­ ne du Private Banking e t des nouvelles technologies. La socié­ té com pte actuellem ent plus de 90 employés et est implantée à Bruxelles (siège social), au

paperjam10.2002 SIExpo Catalogue Officiel XI


Luxembourg, en Suisse e t au Royaume-Uni. IBBA est un logiciel de gestion bancaire destiné aux banques ayant une ou plusieurs des activi­ tés suivantes : - Assets & Treasury management - Securities & Capital Markets - International & Corporate Banking - Private Banking - Retail Banking. En plus des fonctions génériques présentes dans les structures de base, notre système Back-Office IBBA est doté de m odules-applications. Globalement les m odules sont classés en 3 caté­ gories: - Les fonctions “Banking” - Les fonctions “Investm ent” - Les fonctions "Integration”.

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RMS.LU S.A. 16 rue de la Gare B.P. 72 L-9001 Ettelbrück Tél.: (+352) 81 67 57 Fax: (+352) 81 67 56 info@rms.lu www.rms.lu Rms.lu S.A., im planté à Ettelbrück depuis 1992, propose des solutions com plètes dans les domaines de „identification auto­ m atique”, le „m obile com puting", et les „péréphériques pos". Nous assurons la vente, la loca­ tion et le service après-vente de lecteurs et im prim antes barcode, terminaux portables p o u r inven­ taires, imprim antes e t acces­ soires p o u r cartes plastiques.

Les progiciels sont disponibles en base de données propriétaire mais s ’appuient également sur les bases de données standards du marché: SQL Server et Oracle 8i, pour les lignes 100, et 1000. A noter que les lignes 30 et 100 incluent désor­ mais une offre Métiers destinée aux professionnels du Bâtiment, avec le logiciel Multi Devis. - Logiciels d'application/ Business applications: * Business Relationship Management * Others: Supplier of business manage­ ment software

- Logiciels d’application/ Business applications: * Customer Relationship Management ■ ERP & Supply Chain Management

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Others: Application Development Softwares

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware

- e-Business & Internet: * Others: E-Business for our softwares

- e-Business & Internet: * Mobile Internet * IT-Consulting & Services

XX)

SI Expo C a talogu e O ffic ie l

Stand 1 *1

paperjam 10.2002

166 Terhulpsesteenweg B -1 170 Bruxelles Tél. : (+32) 2 674 64 61 Fax : (+32) 2 674 67 69 www.sap.com cynthia.de.rijcke@ sap.com

Stand 4 6

SIEMENS BUSINESS SERVICES Rue des Peupliers 20 L-2328 Luxembourg Tél.: (+352) 43 843 1 Fax: (+352) 43 843 875 www.sbs.lu

Siemens Business Services is a leading p ro vid e r o f electronic and m obile business solutions. With its kn o w -how and specific se cto r knowledge, SBS offers solutions and services from a single source - from consulting through system integration and m anagem ent o f IT infrastructures to IT outsourcing.

- Logiciels d ’application/ Business applications: * Banking Solutions * Business Relationship Management * Customer Relationship Management * e-Procurement * ERP & Supply Chain Management * Financial Software & Services * Knowledge Management & Business Intelligence - Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Integration & Middleware * Application servers & web servers * Web services & Development

- e-Business & Internet: * Collaborative Commerce * E-Business Security * E-Market places * Enterprise portal * Mobile Internet * Network infrastructures * Network Systems Management & Management Service Providers * (Secure) Internet Banking * e-governement * IT-Consulting & Services


Stand 46

SIEMENS INFORMATION AND COMMUNICATION NETWORKS 20 rue des Peupliers L-2328 Luxembourg Tél : (+352) 43 843-1 Fax :(+352) 43 843 369 www.icn.siem ens.lu

A leading pro vid e r o f integrated voice and data networks for enterprises, carriers, and service providers. The p o rtfo lio co m ­ prises, in particular, IP-based convergence solutions, broad­ band access, o p tica l transport networks, and integration, ser­ vices, and applications business

Logiciels d'application/ Business applications: * Customer Relationship Management -

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Others: Converged Communication Solutions - e-Business & Internet: * Network infrastructures

red in native XML form at? Tamino XML Server is yo u r ans­ wer. For more information, go to: www.softwareag.com/tam ino or <http: / / www.so softwareag. com /tam ino> Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application Development Tools * Application Intergration & Middleware * Component Models * Web services & Development -

* * * * * * *

Stand 54

SQS - SOFTWARE QUALITY SYSTEMS 11 Stollwerckstrasse D-50931 Cologne Tél.: (+49) 22 03 91 54 0 Fax: (+49) 22 03 91 54 15 www.sqs-group.com

The Software Testing and Quality Managem ent Company SQS Group is Europe’s Leading software testing and quality managem ent provider with com ­ prehensive experience in a broad range o f testing projects. Extensive knowledge o f the verti­ cal markets ensure that cost reduction, risk reduction and tim e-to-m arket benefits are assu­ red fo r o u r customers.

e-Business & Internet: Collaborative Commerce EbXML Enterprise portal Mobile Internet Peer-to-Peer technology e-governement IT-Consulting & Services

Stand 79

§

Logiciels d’application/ Business applications: * Others: IT-Consulting and Services: Software Testing and Quality Management -

S.P.I.C.S. S.A. 50 rue de Koerich L-8437 Steinfort Tél.: (+352) 26 305 907 Fax: (+352)26 305 927 www.spics.be info@spics.lu

- Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Others: IT-Consulting and Services: Software Testing and Quality Management

S.P.I.C.S. Com puting solutions est un partenaire H. P. qui offre autant les produits du construc­ teur que des services accom pa­ gnant. Les produits offerts cou­ vrent la gamme totale de H. P. et

- e-Business & Internet: * Others: IT-Consulting and Services: Software Testing and Quality Management

S ta n d 8 7 S ta n d 6 0

Q S O ftlU R R E FIG THE

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COMPANY

SOFTWARE AG 11 avenue des Pléiades B-1200 Bruxelles Tél.: (+32) 2 777 02 90 Fax: (+32) 2 771 99 63 w w w .softw areag.com /benelux Do you need a way to efficiently manage all types o f content? Do you want to Web-enable y o u r b ack-end IT systems a nd have high-speed access to data sto ­

Compaq, de la petite im primante ju squ'au serveur connecté dans un environnem ent SAN. En plus de cela S.P.I.C.S. offre deux solutions logicielles: 1) une gestion comm erciale et de gestion de prodcution TOLTECH sous rdbm s Oracle. 2) Une gestion des temps et de planning des ressources humaines Sm art Peopletime

- Logiciels d’application/ Business applications: * ERP & Supply Chain Management * Others: Planning of Human Ressources

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SurfControl SURFCONTROL B.V. 30-34 Schouwburgplein NL-3001 AT Rotterdam Tél .: (+31) 10 402 00 00 Fax : (+31) 10 402 00 99 w w w .surfcontrol.com info.nl@surfcontrol.com

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paperjam10.2002 S IE xpo C a ta lo g u e O ffic ie l XA




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- Logiciels d'application/ Business applications: * Others: Security Software and Security

S ta n d 6 6

L u x e m b o u r g

^

S ym an tec

SYMANTEC 224 rue I. Meyskens B-1780 Wemmel Tél. : (+32) 2 531 11 40 Fax : (+32) 2 531 11 41 www.sym antec.com

Symantec, leader m ondial en matière de technologie de sécu­ risation Internet, propose aux entreprises, aux prestataires de service et aux particuliers un large éventail de solutions so ft­ ware et hardware de sécurisation de contenu et de réseau. Symantec est le plus grand four­ nisseur de protections antivirus, de firewall e t virtual private n e t­ work (VPN - réseau virtuel privé), de gestion de la vulnérabilité, de détection d'intrusion, de filtrage e-m ail et de contenu Internet, d ’administration à distance ainsi que de services de sécurité sur le marché professionnel. Sur le marché des particuliers, Symantec est connue surtout p o u r ses produits de marque Norton. Son siège social est éta­ b li à Cupertino, en Californie, et la société com pte des filiales dans 38 pays. Le bureau de Symantec Belux est établi à Wemmel.

X xM

SI Expo Catalogue Officiel

125

©Vanenburg business system s

- e-Business & Internet: * E-Business Security

VDS COMPUTING S ta n d 1 4 5

Stand

3 rue Belle-Vue L-1227 LuxembourgLimpertsberg Tél.: (+352) 26 26 32 21 Fax: (+352) 26 26 32 32 w w w .vds-com puting.lu

For 20 years, VDS-Com puting delivers high quality services within large projects : from consultancy to program m ing and support. VDS-Computing targets BANKS, INSURANCES and FACTORIES through manufacturing, financial o r turn-key applications.

- Logiciels d’application/ Business applications: * Banking Solutions * ERP & Supply Chain Management * Financial Software & Services * Knowledge Management & Business Intelligence * Others: Insurance applications deve­ lopment - Turn key applications Accounting software - Logiciels de syst. & dev/ Systems & Dev. Softwares: * Application servers & web servers - e-Business & Internet: * Network infrastructures * IT-Consulting & Services * Others: Large projects Management

10.2002

VANENBURG BUSINESS SYSTEMS Route d ’Arlon 241 L -1 150 Luxembourg Phone +352 2600 85 21 Fax +352 2600 85 22 w ww.vanenburg.be gtimmermans@ vanenburg.com

Vanenburg business systems offers fo r m ore than 12 years to the m idm arket and m ultinational com panies its expertise in the im plem entation, consulting, trai­ ning a n d on -going custom er care o f the best standard applications in ERP, CRM, e-business, SCM, Knowledge Management, ..., with M icro so ft Navision AXAPTA and iBaan ERP.

- Logiciels d’application/ Business applications: * Custom er Relationship Management * e-Procurement * ERP & Supply Chain Management * Knowledge Management & Business Intelligence * Others: Business Process Management


Stand 36

olutions VIASOLUTIONS 64 rue de la Fusée 1130 Bruxelles Tél. : (+352) 26 84 55 71 Fax : (+352) 26 84 55 72 ww w.viasolutions.be info@viasolutions.be

Viasolutions is specialised in long distance m eeting services (audioconference, videoconference and webconferencing) a nd equipment. Within the field o f conference call Viasolutions offers to connect up to 100 persons with greatest o f ease and comfort.

e-Business & Internet: * Others: Collaborative work on the Internet -

Stand 135

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INDEX THEM ATIQU

L o g ic ie ls d ’a p p lic a t io n / B u s in e s s a p p lic a tio n s

C u s to m e r R ela tio n sh ip

CHRYOS FINANCE TECHNOLO­

M a n ag em en t:

GY S.A.

ALTI

CTG

CAB - CONCEPTS & APPLICA­

EASI S.A.

TIONS BUREAUTIQUES CALLATAY & WOUTERS

EFT CONSULTANTS

BCEE

CW CONSULTING EASI S.A.

TEMS

CALLATAY & WOUTERS

GFI

GFI

CHRYOS FINANCE TECHNOLO­

IBM

IBM

GY S.A.

INFODATA

INFODATA

EFT CONSULTANTS

I.R.I.S. Luxembourg

LAB SERVICES-ARCSTORE

ERI BANCAIRE Luxembourg S.A.

ORDA-S S.A.

OMNIS ECM SERVICES

FINANCE TECHNOLOGY SYS­

PIXELIXIR

ORDA-S S.A.

B anking S olutions:

FINANCE TECHNOLOGY SYS­

TEMS

RMS.LU S.A.

SIEMENS BUSINESS SERVICES

GFI

SIEMENS BUSINESS SERVICES

VDS COMPUTING

IBM

SIEMENS INFORMATION AND

I.R.I.S. Luxembourg

COMMUNICATION NETWORKS

OMNIS ECM SERVICES

K n o w le d g e M a n a g e m e n t &

SIEMENS BUSINESS SERVICES VDS COMPUTING

B usiness In tellig en ce: e -P ro c u re m e n t:

ABC Luxembourg

COMPUTER BUSINESS CEN­

AGFA

TER S.A.

ALTI

B usiness R ela tio n sh ip

IBM

AUBAY Luxembourg

M a n ag em en t:

ORDA-S S.A.

Bit Inform atik

CAB - CONCEPTS & APPLICA­

PEOPLEWARE

CALLATAY & WOUTERS

TIONS BUREAUTIQUES

PRIMESPHERE S.A.

CW CONSULTING

CW CONSULTING

SIEMENS BUSINESS SERVICES

GFI

EASI S A . GFI

IBM

IBM

INFODATA

ERP & S upply C hain

I.R.I.S. Luxembourg

LECANDO BENELUX

M a n a g e m e n t:

LAB SERVICES-ARCSTORE

OMNIS ECM SERVICES

ALTI

PIXELIXIR

ORDA-S S.A.

CW CONSULTING

PRIMESPHERE S.A.

PIXELIXIR

EASI S.A.

SIEMENS BUSINESS SERVICES VDS COMPUTING

PRIMESPHERE S.A.

IBM

SAGE France

INFODATA

SIEMENS BUSINESS SERVICES

ORDA-S S.A. PEOPLEWARE

O th ers:

RMS.LU S.A.

* Others: Document

B usiness P ro cess

SIEMENS BUSINESS SERVICES

Management, Data Center

M a n ag em en t:

S.P.I.C.S. S.A.

Managem ent, Storage

ABC Luxembourg

VDS COMPUTING

Managem ent

CTG

BETA SYSTEMS SOFTWARE

MERCURY INTERACTIVE

* Others: Certified Business

NOVELL - SILVERSTREAM

Finan cial S o ftw a re & S ervices:

SOFTWARE

ALTI

O bjects Training Center GFI

BCEE

* Others: E-Commerce intégré à

»VIII SI Expo C a ta lo gu e O ffic ie l

Bit Informatik

l’ERP

CALLATAY & WOUTERS

INFODATA

paperJam 10.2002


SYMANTEC

Docum ent, Content & W orkflow

* Others: Insurance applications

Management, G roupware Lotus

developm ent - Turn key applica­

w e b servers

tions - Accounting

ALTI

I.R.I.S. Luxembourg

AUBAY Luxembourg

* Others: Publishing

Bit Informatik

IT-SOLUTIONS.LU / LUXEM­

BULL

L o giciels d e syst. & d e v /

BOURG BUSINESS

S ystem s & Dev. S o ftw ares:

COMPUTER BUSINESS CEN­

* Others: Office software training

* Application Development Tools

TER S.A.

(MS-Office, Notes...)

AUBAY Luxembourg

CTG

KEY JOB

COMPUTER BUSINESS CEN­

CW CONSULTING

* Others: Document

TER S.A.

EASI S.A.

M anagem ent and Archiving

CTG

GFI

LAB SERVICES-ARCSTORE

CW CONSULTING

IBM INFODATA

* Others: E-Learning & w orkflow

EASI S.A.

LECANDO BENELUX

GFI

* Others: services d ’ im plantation

IBM

NOVELL - SILVERSTREAM

I.R.I.S. Luxembourg

METZ TECHNOPOLE

INFODATA

SOFTWARE

* Docum ent Managem ent

I.R.I.S. Luxembourg

PIXELIXIR

NASHUATEC

MERCURY INTERACTIVE

PRIMESPHERE S.A.

* Others: Document

NOVELL - SILVERSTREAM

VDS COMPUTING

Management, Content

SOFTWARE

Management

PARTENAIRES SOCIAUX S.A.

OMNIS ECM SERVICES

PIXELIXIR

C o m p o n e n t M o d els

* Others: E-Com merce intégré à

PRIMESPHERE S.A.

ALTI

i’ERP

SOFTWARE AG

AUBAY Luxembourg Bit Inform atik

ORDA-S S.A.

IBM

* Others: C ontent M anagem ent PRIMESPHERE S.A.

A p p lica tio n In te g ra tio n &

PARTENAIRES SOCIAUX S.A.

* Others: Développem ent de pro­

M id d le w a re

PRIMESPHERE S.A.

jets et de solutions sur mesure -

ATTACHMATE

O utsourcing (Help Desk - PC

AUBAY Luxembourg

S upport - Normes ITIL) -

Bit Informatik

Consultance - Mise à disposition

BULL

SOFTWARE AG

W eb se rvices & D eve lo p m e n t

de personnel qualifié

CAB - CONCEPTS & APPLICA­

ALTI

PROMOTIC Luxem bourg S.à.r.l.

TIONS BUREAUTIQUES

ATTACHMATE

* Others: Supplier o f business

COMPUTER BUSINESS CEN­

AUBAY Luxembourg

managem ent software

TER S.A.

Bit Inform atik

CTG

COMPUTER BUSINESS CEN­

* Others: planning o f human res­

CW CONSULTING

TER S.A.

sources

EASI S.A.

CTG

S.P.I.C.S. S.A.

GFI

EASI S.A.

* Others: IT-Consulting and

IBM

EFT CONSULTANTS

Services: Software Testing and

I.R.I.S. Luxembourg

GFI

Quality Managem ent

NOVELL - SILVERSTREAM

IBM

SQS - SOFTWARE QUALITY

SOFTWARE

INFODATA

SYSTEMS

PARTENAIRES SOCIAUX S.A.

I.R.I.S. Luxembourg

* Others: Secure C ontent

PIXELIXIR

KEY JOB

Management

PRIMESPHERE S.A.

LAB SERVICES-ARCSTORE

SURFCONTROL B.V.

RMS.LU S.A.

* Others: Security Software and

SIEMENS BUSINESS SERVICES

SAGE France

INDEX

D om ino/Dom ino.doc

A p p lica tio n servers &

THEMATIQUE

* Others: System & Storage,

NOVELL - SILVERSTREAM SOFTWARE

Security

paperjam 10.2002

SIExpo

Catalogue Officiel X*K


INDEX

THEMATIQUE

SOFTW ARE t & INTE RNE T

PARTENAIRES SOCIAUX S.A.

I.R.I.S. Luxembourg

PEOPLEWARE

PIXELIXIR

PIXELIXIR

PRIMESPHERE S.A.

PRIMESPHERE S.A.

SIEMENS BUSINESS SERVICES

SIEMENS BUSINESS SERVICES

SOFTWARE AG

SOFTWARE AG

O thers:

ALTI

* Others: Infrastructure integra­

AUBAY Luxembourg

tion

Bit Informatik

BULL

COMPUTER BUSINESS CEN­

* Others: Research, Technology

TER S.A.

and Innovation

GFI

RESEAU SPIRAL - Centre de

IBM

Recherche Public Henri Tudor

I.R.I.S. Luxembourg

* Others: Enterprise Information

NOVELL - SILVERSTREAM

Portal

SOFTWARE

I.R.I.S. Luxembourg

PRIMESPHERE S.A.

* Others: Publishing

SIEMENS BUSINESS SERVICES

IT-SOLUTIONS.LU / LUXEM­

SYMANTEC

BOURG BUSINESS

BULL TER S.A. CW CONSULTING EASI S.A. ELEVEN- SAINT PAUL INTERAC­ TIVE S.A. GFI IBM INFODATA I.R.I.S. Luxembourg NOVELL - SILVERSTREAM SOFTWARE OM NIS ECM SERVICES PEOPLEWARE PIXELIXIR PRIMESPHERE S.A. SIEMENS BUSINESS SERVICES

* Others: Visual Basic, VBA, Access: developm ent and trai­

EbXM L

ning

ATTACHMATE

KEY JOB

AUBAY Luxembourg

* Others: services d ’ implantation

CTG

METZ TECHNOPOLE

CW CONSULTING

* Développement de projets et

ELEVEN- SAINT PAUL INTERAC­

de solutions sur mesure

TIVE S.A.

PROMOTIC Luxembourg S.à.r.l.

IBM

* Others: Application

INFODATA

Development Softwares

PIXELIXIR

SAGE FRANCE

SOFTWARE AG

* Others: Converged

SOFTWARE AG

M o b ile In te rn e t

BCEE Bit Inform atik BULL EASI S.A. IBM NOVELL - SILVERSTREAM SOFTWARE POSTES & TELECOM MUNICA­ TIONS LUX.

Com m unication Solutions SIEMENS INFORMATION AND

E -M a rk e t places

COMMUNICATION NETWORKS

COMPUTER BUSINESS CEN­

* Others: IT-Consulting and

TER S.A.

Services: Software Testing and

EASI S.A.

Quality Management

ELEVEN- SAINT PAUL INTERAC­

SQS - SOFTWARE QUALITY

TIVE S.A.

SYSTEMS

GFI IBM OMNIS ECM SERVICES

e -B u sin ess & In tern et:

POSTES & TELECOMMUNICA­

* Collaborative Com merce

TIONS LUX.

COMPUTER BUSINESS CEN­

PEOPLEWARE

TER S.A.

PRIMESPHERE S.A.

EASI S.A.

SIEMENS BUSINESS SERVICES

INFODATA

AUBAY Luxembourg COMPUTER BUSINESS CEN­

E -B usiness S ecu rity

IBM

E n te rp ris e p o rtai

ALTI

PRIMESPHERE S.A. RMS.LU S.A. SIEMENS BUSINESS SERVICES SOFTWARE AG

N e tw o rk in fra s tru c tu re s

ATTACHMATE COMPUTER BUSINESS CEN­ TER S.A. EASI S.A. GFI IBM I.R.I.S. Luxembourg LAB SERVICES-ARCSTORE POSTES & TELECOMMUNICA-


Design, IT-Development, Content

PRIMESPHERE S.A.

SIEMENS BUSINESS SERVICES

production and management,

SIEMENS BUSINESS SERVICES

SOFTWARE AG

Graphic Design, W eb-Marketing

SIEMENS INFORMATION AND

and Cross Media Consultancy,

COMMUNICATION NETWORKS VDS COMPUTING

Maintenance IT-C on sulting & S ervices

ELEVEN- SAINT PAUL INTERAC­

AUBAY Luxembourg Bit Informatik

TIVE S.A. * Others: Training in New

N e tw o rk sy s te m s M a n a g e m e n t

BULL

Technologies : Java, XML, UML,

& M a n a g e m e n t S ervice

CAB - CONCEPTS & APPLICA­

EJB,

P ro vid ers

TIONS BUREAUTIQUES

GFI

CAB - CONCEPTS & APPLICA­

CALLATAY & WOUTERS

* Others: System & Storage,

TIONS BUREAUTIQUES

COMPAREX INFORMATION

Central Backup, Disaster

COMPUTER BUSINESS CEN­

SYSTEMS

Recovery Plan

TER S.A.

COMPUTER BUSINESS CEN­

I.R.I.S. Luxembourg

CTG

TER S.A.

* Others: Publishing

EASI S.A.

CTG

IT-SOLUTIONS.LU / LUXEM­

IBM

CW CONSULTING

BOURG BUSINESS

I.R.I.S. Luxembourg

EASI S.A.

* Others: Web training (Flash,

LAB SERVICES-ARCSTORE

GFI

Dreamweaver...) and develop­

POSTES & TELECOM MUNICA­

IBM

ment

TIONS LUX.

INFODATA

KEY JOB

PRIMESPHERE S.A.

I.R.I.S. Luxembourg

* Others: services d ’ implantation

SIEMENS BUSINESS SERVICES

KEY JOB

METZ TECHNOPOLE

* Peer-to-Peer technology

LAB SERVICES-ARCSTORE

* Others: Internet Service

COMPUTER BUSINESS CEN­

OMNIS ECM SERVICES

P ro v id e r, Global Solution,

TER S.A.

PEOPLEWARE

(Secure) redundant Internet

SOFTWARE AG

PIXELIXIR

connectivity, Streaming technolo­

PRIMESPHERE S.A.

gy

PROMOTIC Luxembourg S.à.r.l.

POSTES & TELECOMMUNICA­

(S ecure) In te rn e t B an king

RMS.LU S.A.

BCEE

SIEMENS BUSINESS SERVICES

TIONS LUX. * Others: E-Business for our soft­

CALLATAY & WOUTERS

SOFTWARE AG

wares

CTG

VDS COMPUTING

SAGE France

EFT CONSULTANTS

T H E M A T IQ U E

* Others: XM L & EbXML, Project

PRIMESPHERE S.A.

.'EX

OMNIS ECM SERVICES

PIXELIXIR

IN

TIONS LUX.

* Others: IT-Consulting and

GFI

Services: Software Testing and

IBM

O thers:

Quality Management

POSTES & TELECOM MUNICA­

* Others: Trusted Transaction

SQS - SOFTWARE QUALITY

TIONS LUX.

M anagement and Intelligent

SYSTEMS

SIEMENS BUSINESS SERVICES

Document Delivery

* Others: Large projects

V.M.S. - KEYTRADE Luxembourg

ARSYS

Management

* Others: Host Data Integration

VDS COMPUTING

ATTACHMATE

* Others: Collaborative work on

e -g o v e rn e m e n t

* Others

the Internet

AUBAY Luxembourg

AUBAY Luxembourg

VIASOLUTIONS

COMPUTER BUSINESS CEN­

* Others: e-infrastructure

TER S.A.

BULL

CTG

* Others: Research, Technology

EASI S.A.

and Innovation

IBM

RESEAU SPIRAL - Centre de

I.R.I.S. Luxembourg

Recherche Public Henri Tudor

paperjam 10.2002

SIExpo C a ta lo g u e O ffic ie l XXX



paperJam # 10.02 Dossier “Le futur de la Place financière": 068 Le sulfureux secret du Luxembourg Le secret bancaire fait plus parler de lui en mal qu’en bien 076 Private banking, défis, stratégies Les perspectives de développement 084 La forme par les fonds? Les fonds d’investissement, locomotive de la Place financière? 090 Un Bâle pour un bien La nouvelle réglementation en matière de fonds propres paperJam KnowHow: 096 Plaisir d'offrir... Les cadeaux d’affaire 102 Trouver voiture à son pied Conseils des leasers automobiles 108 Quand les foires font salon Les foires et salons de la grande région

paperjam 102002

Opérationnel 067


paperjam Dossier Le futur de la Place financière

Le sulfureux secret

du Luxembourg 068 OpĂŠrationnel

paperjam 10.2002


paperJam Dossier: Le futur de la Place financière

Pierre angulaire du succès de la Place financière, le secret bancaire fait plus parler de lui en mal qu'en b ie n ... TEXTE JEA N -M IC H EL GAUDRON

PHOTOS FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ|

Q u ’il se m b le bien loin le soleil de Santa M aria de Feira, c e tte p e tite ville p ro c h e de Lisbonne, théâtre, en juin 2000, d ’un som m et européen qui fa it encore parler de lui a u jo u rd ’hui, et p o u r cause: on arrive à la fin de l’année 2002, échéance fixée p ar le C onseil européen pour l’a d o p tio n d ’une d ire c tiv e européenne sur l’ensem ble du “p a q u e t fisca l” , un des grands chantiers de l’harm onisation au sein de l’Union européenne. Au cœ ur des d iscu ssio n s de l’époque, la levée du secret b an­ caire à l’horizon 2010 ou, plus précisém ent, la p o ssib ilité d ’une coo p éra tio n plus q u ’é troite entre les d iffé re n te s a d m in is tra tio n s fiscales des Etats m em bres, ce q u i, au fin a l, re v ie n d ra it au m êm e... Que reste -t-il, deux ans plus tard, du d é b a t passionné qui anim a la classe p o litiq u e in te r­ n a tio n a le p e n d a n t p lu sie u rs mois, de so m m e ts européens en conseils Ecofin, de rap p o rts p a r­ le m en ta ire s en in te rv e n tio n s p u b liq u e s ? À vrai dire, pas grand-chose, dans la m esure où le dossier n ’a guère évolué. On se souvient q ue le Luxem bourg avait arraché un c o m p ro m is bien habile, n’a c c e p ta n t de réviser sa position sur le secret bancaire q u ’à la seule c o n d itio n q u ’il en s o it de m êm e d a n s c e rta in s p a ys e x té rie u rs à l’ U nion eu ro p é e n n e, en p a rtic u lie r la S uisse, m ais aussi le

Liechtenstein ou encore les Iles anglo-norm andes. Or aucun de ces pays n’a réellem ent bougé le p e tit d o ig t de p uis, à co m m e n ce r par la Suisse qui n’a pas vraim ent l’in­ te n tio n de risq ue r que l'o n prenne l’H e lvé tie p o u r une lanterne et que l’on s ’im agine que le secret bancaire y soit “négociable". Oui à un co m p ro ­ mis, mais non à la levée du secret: tel est en substance le d isco u rs tenu par le président de la confédération helvétique, Kaspar Villiger, lors d ’une visite à C openhague début septem ­ bre. Plus q u e ja m ais, L u xe m ­ bourg peut ju s tifie r de son surnom de G ibraltar du Nord, d 'a u ta n t plus que les A m é ri­ cains, eux aussi, y ont mis leur g rain de sel. “ Le systèm e d ’é change d ’in fo rm a tio n s te l q u ’il est souhaité n ’est pas p o u r dem ain e t il su ffit de voir les très grandes d ifficu lté s à l ’a p p liq u er au sein m êm e des Etats q u i le p ré c o n is e n t..." d é cla ra it Luc Frieden, il y a déjà un an et demi, lors d ’un sém inaire co n sa cré aux prem iers effets de “l ’aprèsFeira". Son d is c o u rs ne d o it guère être différent aujourd’hui. À ce stade de la réflexion, y a -t-il donc réellem ent un d é b at sur la question? “ Il est tem ps de d é m ystifie r le se cre t bancaire e t de sim p lifie r le d é b a t” prévient Lucien T hiel, d ire cte u r de l’A sso cia tio n des Banques et

Banquiers, Luxem bourg (ABBL), p o u r qui la fro n tiè re entre ingénierie fiscale et fraude fis­ cale reste encore bien floue: “ Le s e cre t bancaire a certainem ent été utilisé abusivement, p a r le passé, p a r des personnes ayant voulu ca ch e r leur argent vis-à-vis de leurs autorités, p o u r ‘frauder le fis c ’ en quelque sorte. M ais la m atière reste com plexe e t p e r­ sonne ne sa it vraim ent très bien où com m ence la vraie fraude fis­ cale e t où s ’arrête la planification fiscale. On se retro u ve d o n c dans une sorte de zone grise dans laquelle le secret bancaire se m élange au cœ u r de to u t le d é b a t s u r la fiscalité” . Par sa sim ple appellation, le secret bancaire a toujours sus­ c ité s u s p ic io n et regards o bliques de la part des pays étrangers. Il est m êm e encore ta b ou pour beaucoup de profes­ sionnels de la Place, sans doute craintifs des am algam es q u ’il est fa c ile de faire sur le sujet. D e rnier exe m p le en d a te de c e tte m éfia n ce universelle: le “ fam eux" rapport de la mission parlem entaire française sur les o b stacles au contrôle et à la ré p re ssio n de la d é lin q u a n ce financière et du blanchim ent des ca p ita ux en Europe, qui a fustigé l’a ttitu d e du G rand-D uché, lui re p ro ch a n t de ne pas re co n ­ naître l’évasion fiscale com m e une infraction donnant d ro it à la coo p éra tio n luxem bourgeoise et d onc à la levée du secret paperjam 10.2002

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paperjam Dossier: Le futur de la Place financière bancaire dans le cadre d ’une procédure judiciaire. Mêm e si le “ M o n te b o u rg sh o w ” n ’a finalem ent guère eu d ’im pact, il illustre néanm oins parfaitem ent l’idée que peuvent se faire les “ non in itié s " du sujet: secret bancaire = crim i­ n a lité ... “ Il fa u t re d é fin ir la notion de se cre t bancaire, afin d ’éviter to u t am algam e avec le b lanchim ent d ’argent. Il va main dans la m ain avec le co n ce p t de s e c re t p ro fe ssio n n e l. Il faut changer cette p e rce p tio n e t le Luxem bourg se d o it p lu tô t de m ettre en avant ce co n ce p t de secret professionnel, e t essay­ er, ainsi, de faire disparaître l ’im age négative que véhicule l ’expression ‘se cre t b a n caire ” ’ e stim e ainsi A lain M estat, d irecteur-adjoint à la Banque Privée E. de R o th sch ild à L u xe m b o u rg , qui p o rte un regard “suisse” sur la question et reco n n a ît v o lo n tie rs , à L u xe m b o u rg , le rôle prépondérant de la CSSF, dont la qu a lité de l’actio n , à ses yeux, g arantit le bon fo n c tio n n ­ aient du secteur financier. M ais le G ra n d -D u ch é se d o n n e -t-il p o u r a u ta n t les moyens de chercher à ce que cette perception so it différente? Il est d ifficile d 'a ffirm e r avec fo rc e q ue l’A g e n ce de Prom otion de la Place finan­ cière (Profil), voire le C om ité de d é v e lo p p e m e n t de la Place

fin a n ciè re (C o de p la fi) a ie n t a ctive m e n t et s p e c ta c u la ire ­ m ent opérés dans ce sens. Pourtant, la prem ière no m ­ mée, dans ses a m b itio n s ini­ tiales, entendait veiller à diffuser une im age “ é q u ilib ré e , hom ogène e t véridique" du ce n ­ tre financier international lu x­ e m b o u rg e o is, m ais a u ssi à coordonner la p rom otion g lo b ­ ale de la Place et à faire en sorte que les messages véhiculés à l’e xté rie u r re ste n t c la irs et cohérents... “Je ne crois pas q u 'il s o it forcém ent nécessaire de faire ce travail d ’explication su r le s e c re t b a n caire a u p rè s du g ra n d p u b lic e stim e Je a n N icolas Schaus, d ire c te u r général de la C om m ission de surveillance du secteur fin a n cie r (CSSF). Il est bien s û r in d isp e n ­ sable que chacun des acteurs de la p la ce p a rticip e au m ou ve ­ ment, mais le p u b lic n ’e st pas vraim ent intéressé p a r le sujet, sa u f à savoir ce q u i va se pass­ er si jam ais le se cre t bancaire venait à disparaître. E t m êm e si a u jo u rd ’h u i on explique e t a rg u ­ m ente correctem ent, les gens n ’é co u te n t p lu s ca r ils o n t déjà une opinion bien arrêtée su r la question. Le m al a déjà été fait. Il est cla ir que les abus d ’h ie r du s e c re t b a n caire p o s e n t les problèm es d ’a u jo u rd ’hui". Parmi ces abus du passé, on peut ranger, par exem ple,

“La très grande partie de la richesse du pays dépend directement et indirectement de la place bancaire” JB \N FUCHS, ALPP

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L É G I S L A T I O N

Bientôt dix ans D epuis 1993, le secret b a ncaire est fixé dans la législation. M ais 11 y a eu be a uco u p d ’a n té cé ­ d e n ts réglem entaires et lé g isla t­ ifs auparavant. Dans les faits, le secret bancaire entre dans le ca d re de l’a rticle 458 du C ode Pénal. En 1978, un arrêté de la c o u r de cassation en Belgique avait lais­ sé entendre que le b a n qu ie r n’é­ ta it pas un d é ten te u r de secret. Une certaine insé cu rité ju rid iq u e s ’é ta it in sta llé e à l’é p o q u e à Luxem bourg, c a r le te xte n ’é ta it pas d ’une cla rté absolue. En 1981, la prem ière d irective bancaire européenne avait par­ tie lle m e n t d ilu é la n o tio n de se cre t bancaire par le biais des liens e xistant entre une m aison m ère et ses filia le s et su c c u r­ sales. La loi du 23 avril 1981, p o rta n t a p p lica tio n de la prem ière d ire c­ tiv e du C o n se il des C o m m unautés européennes du 12 d é c e m b re 1977 v is a n t la c o o rd in a tio n d e s d is p o s itio n s lé g isla tive s, ré g le m e n ta ire s et a d m in istra tive s c o n ce rn a n t l’a c ­ cès à l’a ctivité des é ta b lisse ­ m en ts de cré d it et son exercice, ap p liq u e, dans son a rticle 1.6, les d isp o sitio n s du co d e pénal et de son article 458, qui in te rd it aux a d m in istra te urs, aux m em ­ bres des organes directe u rs et de surveillance, aux dirig ea n ts e t aux a u tre s e m p lo y é s des é ta b lisse m e n ts de révéler les se c re ts q u ’on le u r c o n fie en c e tte qualité. En 1989, le règ le m e n t g randdu ca l du 24 m ars p ré cisa n t le se cre t bancaire en m atière fis ­ cale et d é lim ita n t le d ro it d ’in ­ ve stig a tion des a d m in istra tio n s fisca le s est publié. La m êm e année, le Luxem bourg s ’é ta it o p p osé à la d irective sur l’e n tra id e a d m in is tra tiv e , lui pré fé ra nt l’en tra id e jud icia ire., n


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paperjam Dossier: Le futur de la Place financière certaines p u b licité s fa ite s à la fin des a n n ée s 80, où q u e lq u e s b a n q u e s va n ta ie n t, presque ouvertem ent, la p o ssi­ bilité, pour les clie n ts étrangers, de co n to u rn e r leurs a d m in istra ­ tio n s fiscales sous le co u ve rt du secret bancaire. “ Ce genre de p ro m o tio n é ta it é v id e m m e n t d a n ge re u se p o u r une p la c e fin a n c iè re co m m e la n ô tre " juge, a u jo u rd ’hui, M. Schaus. M ais il s ’a g it là d 'a c tio n s du passé et a u jo u rd ’hui, p lu s p e r­ sonne, ne p ra tiq u e ce genre de com m unication. C ’e st la qualité d u service q u i a p ris a u jo u rd ’hui une p a rt p ré p o n d é ra n te e t il co n vie n t de co n sid é re r le se cre t bancaire com m e un p lu s q u i vient e n ric h ir la qu a lité de ce service, e t non pas co m m e un b u t en soi". Et quand on sait que la réputation d ’une place fin a n ­ ciè re tie n t, p o u r b e a u co u p , dans son im age, les banques n ’o n t d ’autre ch o ix que de per­ sévérer dans un processus de c o n trô le p lu s s tric t de leur clientèle, p a rta n t du p o stulat de base que ce n’est pas parce q u ’un clie n t p o ssède beaucoup d ’argent q u ’il est a u to m a tiq u e ­ m ent intéressant. C et argum ent de la qu a lité des p re sta tio n s est d ’ailleurs largem ent m is en avant lorsque s ’engage la réflexion sur les conséquences d ’une éventuelle levée - to ta le ou partielle - du secret bancaire à Luxem bourg. Il reste q u ’il est peu probable q u ’un clie n t venu de loin m ain­ tienne ses in ve stisse m e n t au Luxem bourg une fo is privé de ce rem part protecteur. “ La p e rte é ve n tu e lle du se cre t bancaire p o u rra it en e ffe t très bien être rem placée p a r une p lu s grande co m p é te n ce e t un m eille u r service. On viendra q u a n d m êm e à L u x e m b o u rg p o u r être m ieux servi q u ’ailleurs se persuade Lucien Thiel, qui se rappelle de l’é vo lution de c e rta in e s m e n ta lité s su r la Place. Tous les o pérateurs p e n ­ saient que dans la foulée de l ’in té g ra tio n e u ropéenne, il y a u ra it in té g ra tio n fin a n ciè re . L’im p a c t é ta it re la tif au sta tu t o ff-s h o re d u L u xe m b o u rg . /À

l'époque, on d é pendait en effet largem ent du secret bancaire, c ’é ta it la principa le m otivation de ve n ir à Luxe m b o u rg . Les choses o n t changé depuis. Le private banking ne représente q u ’un tiers de la p la ce finan­ cière. Il ne faut donc pas suré­ valuer l ’im p o rta n ce du se cre t bancaire. Tout le m onde a l ’im ­ pression que l ’avenir de la place d é p e n d du s e c re t bancaire. C ’est faux!” Ce co n sta t, p a rta g é par l’ensem ble des “ voix officielles" du pays, est to u te fo is loin de re n co n tre r une a p p ro b a tio n aveugle de la part de bon nom ­ bre d ’acteurs directem ent c o n ­ cernés. D’autant plus que la per­ spective d ’une m utation de l’a c­ tivité de private banking (tout aussi bien dans les m entalités que dans les réalisations co n ­ crètes) ne pourra pas se faire en un clin d ’œil et risq ue d o n c

d ’être très coûteuse, en pertes d e c lie n ts , to u t au long du processus d ’adaptation. D ’a ucuns vo ie n t m êm e la légitim ité de la présence de ce r­ tains établissem ents remise en cause faute d ’être capable de s ’adapter à la nouvelle donne (voir aussi l’article consacré au sujet p. 108). “ C ontrairem ent à ce q u ’on p e u t entendre ça e t là, le private b a n kin g rep ré se n te c e rta in e ­ m e n t bien plus que 30% des revenus de la p la ce financière estim e ainsi Jean Fuchs, prési­ d e n t de l ’A s s o cia tio n lu xe m ­ bourgeoises des professionnels du patrim oine. Je pense que la clientèle à Luxem bourg est là, au m oins à 50% , à cause du secret bancaire. A près tout, à bien y regarder, l ’ensem ble des indus­ tries financières, que ce so it le p riv a te banking, les OPC, le retail banking ou les crédits,

T É M O I G N A G E

Jean-Nicolas Schaus (CSSF) “ M êm e si le Luxem bourg n ’a pas toujours été présenté, au travers des médias, sous un bon jour, je m 'im agine pas que des clients puissent venir avec l ’espérance de p o u voir y réaliser des coups tordus. Au contraire, d ’une m anière générale, de p uis quelques années, e t su rto u t suite à ces p ublications m édiatiques, il a p lu tô t fallu co n va in cre les gens de rester ici ! N ’oublions pas que si le secret bancaire réside dans l ’obligation faite au banquier de ne jam ais d ivu lg u e r la m oindre inform ation concer­ nant ses clients, cette obliga­ tion to m b e dès que la dem ande émane de l ’autorité de su rve illa nce ou d 'u n e autorité judiciaire. En matière judiciaire, le secret bancaire n ’existe pas e t n ’a pas à exis­ ter. Trop souvent on assimile le secret bancaire à un acte de p ro te ctio n du terrorisme. C ’est faux ,'” ..n paperjam 102002

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paperjam Dossier; Le futur de la Place financière to u rn e a u to u r des seuls clients. La question n ’e st donc pas de savoir q u e l e st ou quel sera l ’in stru m e n t utilisé lo rsq u 'il n ’y aura p lu s de se cre t bancaire, m ais bel e t bien de savoir s ’il y aura encore assez de clients! Et il e st certainem ent exagéré de croire que la croissance de l ’in­ dustrie des fonds, à elle seule, m e t la pla ce à l ’abri. A près tout, un fonds ne rap p o rte de l ’argent que lorsque des clie n ts achètent des fonds. Et là, on entre typ ­ iquem ent dans une activité de private banking". Se pose aussi, évidem m ent, la question de to u s les d o m ­ m ages c o lla té ra u x que p o u r­ raient provoquer des rem ous au sein de l’a ctivité de la place, que ce soit auprès des avocats, des fiduciaires, et de to u t l’environ­ nem ent de la place financière, m ais aussi dans les a ctivité s de restauration. “ Une grande partie de la richesse du pays d é pend directe m e n t e t in d irecte m e n t de la p la c e ban caire . Tout est é tro ite m e n t lié ’’ assure M. Fuchs, bien c o n scie n t que la te n d a n c e a c tu e lle e st à une généralisation de la coopération entre les Etats, que ce soit pour

des a ctivité s hum aines, c o m ­ merciales et financières. “ Tout e st de p lu s en p lu s connu, o u ve rt... S ur une d u ré e d ’un dem i-siècle, un se cre t ne p e u t p lu s exister. En revanche, nous, les professionnels de la finance, su r un horizon de 5 à 10 ans, nous d evons to u t faire p o u r préserver les intérêts de la c lie n ­ tèle. N otre engagem ent en la m atière est personnel. Le se cre t bancaire va bien au-delà de son seul visage p o litiq u e ou finan­ cier. Il a une dim ension hum aine, voire ph ilo so p hiq u e ! On ne sait pas a u jo u rd ’hui de q u o i dem ain sera fait, et on veut clairem ent re ste r un havre de lib e rté et p ré se rve r l'e s p rit d ’entreprise, sans que cela soit, p o u r autant, un prétexte p o u r la fraude". Q u ’a d v ie n d ra -t-il donc après cette date bu toir de 2010? C om bien de te m p s le se cre t bancaire p o u rra -t-il encore te n ir dans sa configuration actuelle? Et la Place financière s ’y pré­ p a re -t-e lle vra im e n t? Je a n Nicolas Schaus le souhaite et le de m ande: “ Le m essage q ue nous tenons à faire p a sse r aux banques est q u 'il fa u t se te n ir p rê t à toute éventualité, e t envis­

“Le secret bancaire a certainement été utilisé abusivement par des personnes ayant voulu cacher leur argent visà-vis de leurs autorités, pour 'frauder le fisc1...” LUCIEN THIEL, ABBL

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a g e r a u ssi l ’h yp o th è se , aussi p e u p ro b a b le s o it-e lle , d ’un c h a n g e m e n t en m a tiè re de se cre t bancaire: se p ré p a re r à vivre avec un se cre t bancaire d ifférent. Il y a cin q ans, l ’hy­ p o th è se de la levée du secret b a n ca ire ou du s e c re t fisca l a u ra it eu des c o n sé q u e n ce s b ie n p lu s im p o rta n te s . C ’e st bien m oins le cas a u jo u rd ’hui. Et ce de vra it être encore m oins le cas dans cin q ou dix ans” . D 'ici là, rien ne d it que l’état d ’avancem ent de l’harm onisa­ tion fiscale sera fo rt d ifférent de celui qui est le sien a u jo u rd ’hui. L’a lig n e m e n t de q u in ze p o li­ tiq u e s d iffé re n te s relève d ’un exercice de haute vo ltige q u ’il se m b le bien illu so ire de vo ir ab o utir. Et d ’a illeurs, l'in té rê t n’e st-il pas dans la m ultiplicité p lu tô t q ue dans l’unicité? “Je ne vois pas l ’u tilité de ce tte har­ m o n is a tio n fisca le co m m e n te a in si O liv ie r de Ja m b lin n e , a d m in istra te ur-d élé g u é de Ban­ q u e P u ila e tc o (Luxem bourg). A u x Etats-Unis, avec une m o n ­ naie unique e t un E tat fédéral, il y a a u ta n t de p o litiq u e s fiscales q u ’il y a d ’Etats, e t personne ne se m b le s ’en p la in d re . L’h a r­ m onisation fiscale n ’e st pas une c o n d itio n sin e qua non p o u r b ie n vivre en co m m u n a u té ” . Un c o n s ta t c o m p lé té par Lucien Thiel: “ On a tro p so u ve nt pris l ’h a b itud e de vo u lo ir co m b a ttre les excès e t les abus des fraudes p lu tô t q ue d 'e n rech e rch e r les ca u se s réelles. S i ce rta in s resso rtissa n ts d ’un pays vo n t avec le u r a rg e n t dans un autre pays, ce n ’e st pas forcém ent avec une arrière-pensée crim ­ inelle, m ais p e u t-ê tre p lu tô t le se n tim e n t d ’être trop m is à co n ­ trib u tio n chez eux” . Essentiellem ent m is en avant, aussi, p o u r être le garant de la p ro te ctio n de la sphère privée dans une so cié té où la prim auté de l’individu sur to u t le reste c o m p te avant to u t, le se cre t bancaire co n tin u e ra -t-il encore lo n g te m p s à véhiculer d o u te et su sp icio n a u tou r de lui? Sans d o u te ne fa u t-il pas se m ontrer tro p pressé p o u r connaître une partie de la réponse... n


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paperjam D ossier Le futur de la Place financière

Private banking, défis, stratégies

À ceux qui pronostiquent un essoufflem ent, les banquiers privés luxem bourgeois répondent: ils participent à un m arathon où les principales e m b ûch e s ne sont pas forcém ent celles que l'on croit TEXTE OLIVIA AREND PHOTO FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)

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“Pour ce qui est d'une éventuelle levée partielle du secret bancaire pour raisons fiscales, il n'y a pas de vrai problème jusqu’en 2010. La condition sine qua non posée par le Luxembourg est de ne pas perdre un avantage comparatif par rapport à la Suisse et à d'autres membres de l'OCDE. Et le Luxembourg ne lâchera pas".

- comme la Suisse - ne pourra s'opposer à des mesures d'amnistie fiscale qui pourraient être prises par certains Etats pour favoriser le rapatriement ou l'officialisation de fonds précédemment détenus et non déclarés - à l'étranger, comme l'a déjà fait l'Italie et comme projette de le faire l'Allemagne". C e

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L u x e m b o u r g , a j o u t e : "Si un jo u r le client affiche une transparence fiscale totale vis-à-vis des auto­ rités de son pays, il voudra peut-être rapatrier son argent et en confier la gestion à un banquier local... et nous devons disposer d'arguments objectifs pour le convaincre de ne pas le faire. Transparence fiscale ne signifie pas rapatriement de capitaux!" A u t o u r d e M a r k u s P o s t ie r , h e a d o f m a r k e t in g à la S E B d o it

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le

c lie n t s

L u x e m b o u rg q u e

le

se c re t

s u f f is a n t p o u r s u r v iv r e :

"La

pression des autres pays va augmenter au fur et à mesure que l'Union européenne s'agrandira. La vieille stratégie de se reposer sur le secret bancaire fonctionnera de moins en moins. Les mots-clés sont à présent un positionnement clair, une poli­ tique d'acquisition diversifiée, le travail de relations publiques, l'utilisation des outils IT, le relationship management. Il faut plus de créativité et d'esprit d'ouverture, le courage d'essayer de nouvelles façons de faire du private banking. Nous devons faire comprendre au client que même si n'avons pas forcément une succursale chez lui, nous pou­ vons répondre totalement à ses attentes depuis Luxembourg. L'Etat doit quant à lui continuer à off­ rir un environnement séduisant en termes de stabi­ lité sociale et politique ainsi que de taxes". O liv ie r

d e

J a m b lin n e

d é lé g u é d e la B a n q u e

d e

M e u x,

a d m in is t r a t e u r

P u ila e t c o ( L u x e m b o u r g ) S .A .,

discussions de Feira et de Bruxelles ont peut-être amené certains clients à repositionner une partie de leurs avoirs, mais pas en sens unique. Certains ont considéré qu'il était tout aussi probable, dès lors que la levée du secret ban­ caire était mise en place, que des mesures coercitives au niveau fiscal local le soient également". c o n t in u e e t n u a n c e :

"Les

AMNISTIE FISCALE O liv ie r d e J a m b lin n e , q u i n e c r o it n i e n à

la

m is e

q u 'e lle

a

en é té

p la c e

d e

d is c u t é e

l'h a r m o n is a t io n à

F e ir a ,

q u 'il f a u t p r e n d r e c o n s c ie n c e

s o u lig n e

q u e

l'u t ilit é n i

f is c a le

“le Grand-Duché

m a is o n

q u e

-

le

p a y s la

2001

un

d an s

c o n n a ît r e le u r s d e

d e

c e tte

c o n s e ils

d e s fo n d s n é a n m o in s

s 'e s t

W eyer

L u x e m b o u rg

c o n s e il

n o u vea u x

h a r m o n is a t io n

P o u r l'y

Léo n

r e jo in t

n a t io n a lit é

sa n s

la n c é e

c o m m e r c ia l

d e r n iè r e .

( p r é s id e n t

so n

a lé a t o ir e ,

s e s c lie n t s

d è s

d e s t in é

à

l u x e m b o u r g e o i s e e t à s e f a ir e

a v is é s ,

S a in t - P a u l

à

p o u r r a it

p la n

S c h w e rtze r

d eu x

ou

P u ila e t c o

v a s te

in t é r e s s e r la c lie n t è le

p lu s

r e lo c a lis a t io n

d 'o r ig in e

B a n q u e

co m m e

d e

m è re .

a vec

le m o u v e m e n t d e

s 'a c c r o ît r e ,

d e

a id e r g r â c e

S .A .)

et

L u x e m p a rt

g e s t io n n a ir e s

G a sto n

S .A .),

d 'a d m in is t r a t io n ,

lu x e m b o u r g e o is e

ont

t a n d is

q u e

e x p é r im e n t é s

ont

à

( a d m in is t r a t e u r

é té

d e

e n g a g é s

en

2001. La

B a n q u e

P u ila e t c o

e n t è le g r a n d - d u c a le d e

se s

lie n s

e s t im e

d e

p lu s

q u e

a a u j o u r d 'h u i p e r d u

a f f e c t if s

h is t o r iq u e s

a vec

la

une

le s

c li­

p a r t ie

g ra n d e s

"locales " . O l i v i e r d e J a m b l i n n e c o n s i d è r e q u e "cette fidélité historique n'a en fait plus vrai­ ment de s e n s " . L a p r i o r i t é d o n n é e a u c l i e n t e s t l ' u n e b a n q u e s

d e s

p r in c ip a le s

c a r a c t é r is t iq u e s

d e

la

g e s t io n

p ra ­

t iq u é e à la B a n q u e P u ila e t c o . C e t t e g e s t io n e s t p e r ­ s o n n a lis é e , f e u ille

c 'e s t - à - d ir e

ty p e

im p o s é

d e s

c lie n t s

P u ila e t c o , a tta c h é e

p a r

q u 'il

e t, a u

s u r la c o n n a is s a n c e

c e

a

p a s

d e

e lle

est b asé e

a u s s i e x h a u s t iv e

le s

d e p u is

c a ra c tè re .

p o s s ib le

La

B a n q u e

so n

O liv ie r

p o rte ­

q u e

g e s t io n n a ir e s .

in d é p e n d a n t e à

n 'y

c o n t r a ir e ,

o r ig in e ,

d e

est

J a m b lin n e :

"Nous considérons que plus les activités sont mélangées sous même toit, plus le risque de conflit d'intérêt est présent". L a s p é c i a l i s a t i o n d e s m é t i e r s d e

la

b an q u e

a u to u r

d e s

v a le u r s

m o b iliè r e s

et

du

p a t r im o in e d e s c li e n t s n 'e s t p a s é t r a n g è r e à c e t é t a t d 'e s p r it .

DE L'OFF-SHORE À L'ON-SHORE À

la B a n q u e

q ue, d an s c e

P r iv é e

c lie n t s

d e

la B G L , o n

e s t c o n s c ie n t

c o n t e x t e , il e s t n é c e s s a i r e

"on-shore“

c e r le

p o u r ré p o n d re

r é s id e n t s

d e s

p a y s

aux

d e re n fo r­

a tte n te s

d e s

lim it r o p h e s .

L u c

R o d e s c h e x p l i q u e : "Jusqu'il y a peu, notre mission était de gérer un portefeuille pour maximiser le ren­ dement. Maintenant, nous devons le maximiser après impôts, en tenant compte de la situation fis­ cale du client dans son pays de résidence". En

t e lle

p a r c o n tre

L u x e m b o u rg

n 'o f f r ir a it r ie n

p a r ra p p o rt à s a

f is c a le -

fu tu r

fu tu r à

lo r s q u 'e lle

d o n c d e n e p a s s e f ig e r s u r c e s e c r e t b a n c a ir e p o u r le u r

s u c c u r s a le

m e t t r a it e n p la c e c e t y p e d e m e s u r e s , v e r r a it c e r t a i ­

L e s p r o f e s s io n n e ls d u p r iv a t e b a n k in g c o n s e ille n t

d e

s u b s t a n c e , q u 'u n e

é t a b lis s e m e n t f in a n c ie r d o n t le p a y s d 'o r ig in e

la

p r e m iè r e

B a n q u e

lig n e

P r iv é e

g e s t io n n a ir e s ,

qui

d e d e

la la

s t r a t é g ie

d é p lo y é e

B G L

c e

re p ré s e n te n t

en un

c a p it a l

paperjam 10.2002

par

se n s,

le s à

Opérationnel 0 7 7


paperjam Dossier; Le futur de la Place financière h a u te

v a le u r

s e r v ir le d e s

r a is o n s

p r iv a t e

-

d e

e t,

sa

-

d u

b a se

p ie r r e

d e

d u

est

lié e

la

p e rso n n a ­

d e

du

p la n if ic a ­

p a y s e n q u e s t io n .

e n s e m b le d e r a is o n s q u i f o n t d ir e à

P r iv a t e

du à

c o n n a is s a n c e

sy stè m e

d e

p o u r

a n g u la ir e

o n e -to -o n e

c la ir e m e n t ,

t io n s u c c e s s o r a le

d e

m a t e r n e lle ,

é m in e m m e n t

le

r é g im e f is c a l a in s i q u e

U n

la

a c t iv it é

d e m e u ra n t trè s

L 'id é e la n g u e

c u lt u r e

b a n k in g ,

c o n f ia n c e , lis é

a jo u té e .

c lie n t d a n s

B a n k , d a n s la b o u c h e d e

la S E B

M a r k u s P o s t ie r

n é c e s s a i r e d e "développer les compé­ tences de nos banquiers privés pour qu'ils deviennent de plus en plus de véritables relati­ onship managers". q u 'il e s t

T o u t a u s s i c r u c ia l é v id e m m e n t , p o se r d e s

p r o d u it s

collage des marchés boursiers, lorsqu'il aura lieu, sera rapide et concentré sur des périodes courtes, comme c'est quasiment toujours le cas. Il est donc très dangereux de se tenir en dehors des marchés boursiers. C'est vrai qu'il est difficile de prévoir. Il faut par conséquent diversifier au maximum son portefeuille entre actions, obligations et autres investissements alternatifs. Et c'est certainement

le f a it d e

p e rm e tta n t d e

d is ­

M A R K E T I N G

Pour l'extérieur comme pour le client!

r é a lis e r c e t t e

o p t im is a t io n f is c a le , e t q u i s o ie n t c o m p é t it if s p a r

S e lo n

ra p p o rt

a e u trè s p e u

à

é tra n g e r ra n ce s L a

ce

q u e

o ffre ,

le

co m m e

e t la g e s t io n

p o s s ib ilit é

d e p u is

so n

b a n q u ie r le s

d 'a c c é d e r

b u re a u ,

c o u r t - c ir c u it e r m a is a u La q u a n t

a b s o lu m e n t

la

r e la t io n

c o n t r a ir e d e

B a n q u e à

une

p ro c h e , e n e x p liq u e

o u v r ir a c e tte

P r iv a t e p a s

ave c

E.

d e

d 'o u v r ir

a u tre

p a r t ie

P r iv é e

B an k.

p o u r

le

d e s

but

à

u ne

s u c c u r s a le

M a d r id

un e à

e t,

d a n s

un

B r u x e lle s . A la in

s t r a t é g ie

d e

au

M e s ta t

d é v e lo p p e m e n t

o u

p as. D an s ce

c o n t r e r le s id é e s f a u s s e s . . .

m a is le s e c t e u r s e m b le t o u t d is p o s é q u e r, c o m m e

le p r o u v e l'in it ia t iv e

à c o m m u n i­

L u x F in a n c e , à

la q u e lle o n t a c t iv e m e n t c o n t r ib u é le s d ir e c t e u r s

p la c e .

fu tu r

d e m a n d e s d 'in t e r v ie w s é m a n a n t

c o n t e x t e , p a s f a c ile d e

m a r k e t in g

v ie n t ,

d e

la p r e s s e é t r a n g è r e , s p é c ia li s é e

d e

g e s t io n n a ir e ,

R o t h s c h ild

d e

c e r t a i n s b a n q u i e r s , c e s d e r n i è r e s a n n é e s , il y

U n

la r e n f o r c e r .

P r iv é e

e lle ,

P o r t u g a l,

S E B

F o r t is .

p o r t e f e u ille

B a n q u e

co m m e

n 'a

so n

a v a n t la

m et en

qui

g ro u p e

f a it

q u e

c lie n t

b a n c a ssu ­

In te rn e t,

to u t

s e r v ic e

à

d u

v ia

p lu s - v a lu e s B G L ,

p r o d u it s

p a r fo n d s d u

d e

la

lo c a l

d e c e r t a in e s b a n q u e s p r iv é e s d e

L e t r a v a il d e

b r a n d in g

ê t r e n é g lig é

non

m a r k e t in g

la S E B

à

e n v e r s le s c lie n t s n e d o it p a s

p lu s , e t

é le v e r le c o n c e p t a u

M a rk u s

P r iv a t e ra n g

P o s t ie r , h e a d

of

B a n k , n 'h é s it e p a s à

d e s

p r in c ip a le s t r a n s fo r ­

m a t io n s n é c e s s a ir e s à la s a n t é d u au

la

p r iv a t e b a n k in g

L u x e m b o u r g , e t p lu s p a r t ic u liè r e m e n t le c u s t o ­

m e r r e la t io n s h ip

m a n a g e m e n t . C a r le s t e m p s o n t

"Il est important d'être près de nos clients. Nous envisageons des succursales là où se fait sentir le besoin de la clientèle". S E B

c h a n g é : le s c lie n t s é t r a n g e r s o n t à c h o is ir a c t iv e ­

P r iv a t e

m è r e s , il f a u t d o n c c o n s t r u i r e d e s c a n a u x

p a n e u ro p é e n n e :

B a n k

e s t,

L u x e m b o u rg , M a r b e lla , se s s 'e s t

é la r g ie

a v e c

la

m ent so n

et

la

g râ c e

à

lu i

a

la

D an s

le

ch e f

é g a le m e n t

d e

Z u r ic h ,

g é o g r a p h iq u e

il y

B F G .

à

"rencontrer"

p o u r

f u s io n ,

a lle m a n d e

a

U n

p e r m is

d e u x

ans,

ra p p ro c h e ­

d e

d iv e r s if ie r

le p r o f il d e s e s c lie n t s .

M a rk u s

n é c e s s a ir e

p ré s e n te

G e n è v e ,

r é p a r t it io n

p o r t e f e u ille a in s i q u e

fo rc é m e n t

e lle

S in g a p o u r

d o n t

b a n q u e

q u i

à

L o n d re s ,

N ic e

c lie n t s ,

q u a n t

d e

P o s t ie r ,

il

n 'e s t

s 'im p la n t e r

p as

d a n s

le

exemple, depuis 3 ans, nous avons mis en place un private banking moins traditionnel, / ' 'expatriate business', avec des clients envoyés à travers le monde par la société qui les emploie, qui utilisent notre plate­ forme Internet et sont clairement 'on-shore dri­ ven' “ . p ays

d e s

c lie n t s :

"P ar

m e n t le p r iv a t e p lu s a m e n é s a u

d e s

ne

p eut

m a rc h é s

n ie r

l'e n v e r g u r e

d e p u is

le

e n g e n d ré u n e p e rte -

la

p r in t e m p s

e x c e s s iv e ? -

2000 ,

in c it e r le s c lie n t s à s e

le u s e m e n t

le s

liq u id it é s

c o r r e c t io n qui

a

d e c o n fia n c e

q u i p o u r r a it b ie n su r

d 'u n

r e p lie r f r i­ c o m p te

à

t e r m e . . . e t m e t t r e a i n s i l e u r b a n q u i e r p r i v é s u r la to u c h e . L u c

R o d e sch

c o n tre -a rg u m e n te :

078 Opérationnel paperjam10.2002

s a it q u e

"Le

redé­

v e n d re d e

d e v e n te

m a n iè r e p e r t i­

la c o m m u n ic a t io n , in t e r n e c o m m e

e x te rn e , p e u t ê tre m è re

d e

p a r le s m a is o n s -

n e n t e : "Pas besoin de campagnes publicitaires très voyantes, mais nous devons marketer nos services, communiquer de façon transparente et active afin que ce qui doit être compris par le client et le pros­ pect le soit: offre bien segmentée, précisions sur ce qu'ils peuvent attendre ou non, vocabulaire le plus compréhensible possible, rencontres pour minimi­ ser la distance qui peut nous séparer, newsletters sont au programme. De plus, pour être sûrs de connaître les besoins actuels et futurs du client, il faut les lui demander régulièrement, parce que les attentes changent. L'enquête écrite doit être com­ plétée par une conversation. Cela représente un investissement en temps, c'est certain, mais qui s'avère très productif".

b ie n O n

lu x e m b o u r g e o is , ils n e s o n t

L u x e m b o u rg

s t r u c t u r é s ... e t s a v o ir s e

E t D ie u

DIVERSIFICATION

b a n k in g

d e s

d e b ie n

m is è r e s , c o m m e

d e s b o n h e u rs et d e

le c o n s t a t e

e n co re

"Si vous ne pouvez pas transmettre un message positif à v o s clients, vous pouvez avoir les meilleurs services, les meilleurs produits, les meilleurs relationship managers, une image négati­ ve restera toujours plus longtemps en mémoire. Et vos clients commenceront à se poser des ques­ tions, le secret bancaire devenant un facteur de stress pour certains", n M a r k u s P o s t ie r :


Finance has R E A L colors. t

v,

,

■i

L W

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ir:-

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h T h e f in a n c ia l c o m m u n ity k e e p s discussing about : STP, eBanking, B2B, security, process flow , au tom atio n, custom er service quality,... and further key topics to m a k e you r business s u c c e s s f u l . W e b e l ie v e in t h e s e requirem ents, too. This is why w e have been developing strategies, architectu­ res and so ftw a re solutions able to satisfy (already today) these needs. W hy not changing ideas and discovering an innovating banking environm ent with

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m

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R

eal


U p to d a te o r w o rk in g la te ?

C elu i q u i f a it p re u ve de b o n se n s n 'a p a s b e so in d 'é q u ip e de tra v a il d u so ir p a rc e q u 'il s'e st d é cid é d e p u is lo n g t e m p s p o u r

15

u ne sa isie p ro d u c tiv e et efficace. V o ic i e x a c te m e n t les a to u t s d u sc a n n e r de d o c u m e n t s A D M IS .

'W

Il tra ite les d o c u m e n t s les p lu s variés: d e p u is le tic k e t d e caisse ju sq u 'a u ro u le a u de p a p ie r d e 6 m d e lo n g , d e p u is le p a p ie r p e lu re ju sq u 'a u x d o c u m e n t s a g r a fé s d e 2,5 m m d 'é p a isse u r. D es r é s o lu tio n s a lla n t ju sq u 'à 4 0 0 d p i et la t e c h n o lo g ie ICE B o a r d v e ille n t à ce q u e la q u a lité d 'im a g e s o it im p e c c a b le . La v ite sse est p a r tic u liè r e m e n t r e m a rq u a b le ! En r e n d e m e n t m o ye n , l'A D M IS S S I tra ite ju sq u 'à 180 im a g e s à la m in u t e sa n s p ro b lè m e et en to u te sé cu rité p o u r la p ro d u c t io n . A h a u t ré g im e , l'A D M IS S 61 d é p a sse to u te s les lim it e s a tte in te s ju sq u 'ici p o u r la saisie d e d o c u m e n t a ve c ses 4 8 0 im a g e s m a x im u m à la m in u te U tilise r u n sc a n n e r d e d o c u m e n ts A D M IS est s y n o n y m e d e tra v a il p r o d u c t if et é c o n o m iq u e . Finies les é q u ip e s d e t r a v a il d u soir!

Capturing

S ystem

p S jjo ^u x ®m h o u ,'9

A g fa B e lg iq u e S.A. Division MDS^

Tel: +352 44 20 44 1 Fax: +352 45 04 37 Email: veronique.turbang.vt@belux.agfa.com

Tel: +32(0)3 450 97 75 Fax: +32(0)3 450 96 59 Email: katrien.vantulder.kv@belux.agfa.com

j


paperjam Dossier; Le futur de la Place financière notre plus grand défi que de faire accepter cette idée à notre clientèle". L a

B a n q u e

a tte n ta ts b le s

P u ila e t c o

e t,

s u rto u t,

e s t im e

le s

m e ttr o n t lo n g t e m p s à

r e r la

c o n fia n c e ,

c o n s t it u e n t

m a is

to u jo u rs

p la c e m e n t

d è s

q u e

e x c e lle n t

q u e

c o m p ta ­

s 'e f f a c e r p o u r r e s t a u ­

c o n s id è r e

un

lo r s

q u e la c r a in t e d e s

m a n ip u la t io n s

le

le s

a c t io n s

in s t r u m e n t

c lie n t

a c ce p te

de

d 'e n

m e s u r e r le s p e r f o r m a n c e s s u r le lo n g t e r m e e t le s r is q u e s

su r

le

c o u rt

"equities first..."

te rm e .

p o u v a it ,

S i

le

p o u r

m ot

u ne

d 'o r d r e

c e r t a in e

c li­

e n t è l e , r e s t e r d ' a p p l i c a t i o n , il d e v a i t c e r t a i n e m e n t ê tre

c o m p lé t é

p a r

"...but not equities only"

d o n c,

n o t a m m e n t , p a r u n e d iv e r s if ic a t io n

t a ir e .

O liv ie r

d e

J a m b lin n e

c o n s id è r e

et

o b lig a ­

d 'a ille u r s

"notre métier est autant sinon plus de gérer le risque que de gérer l'espérance de gain". q u e

L a

B a n q u e

P r iv é e d e

la B G L

p r o p o s e d 'in v e s t ir

g é n é r a t io n n e l. “En Europe, e x p o s e A l a i n M e s t a t , les pensions d'Etat ne suffiront plus à payer les pensions des personnes qui entrent dans le monde du travail. Il faut donc absolument que les gens se dotent de pensions complémentaires via le financi­ al planning, qui permet de faire face au dépenses que le client aura à faire dans le futur. Cette indu­ strie devrait se développer en Europe, et spécifi­ quement au Luxembourg, qui maîtrise déjà indivi­ duellement les aspects assurance, fiscalité, gesti­ on, analyse patrimoniale, fonds de pension. Il s'agi­ ra pour les banquiers privés mass affluent de la place financière luxembourgeoise de les structurer en proposition de service". L e m ent

f in a n c ia l

p la n n in g

p ro p o sé

P u ila e t c o R o d e sch

et

p ar la

r e v ie n t

S E B

B a n q u e su r

le

e st

d ’a ille u r s

P r iv a t e P r iv é e f a it

q u e

d é jà

B an k, d e la

la

la

n o ta m ­ B a n q u e

B G L .

g e s t io n

Lu c

du

v ia d e s f o n d s d 'in v e s t is s e m e n t s d e tie r s , c 'e s t - à d ir e

d e

la

c o n cu rre n ce

d e

F o r t is ,

n e u t r a lit é . F r é d é r ic W a t s , h e a d lo p m e n t

p r iv a t e

b a n k in g ,

p ar

so u ci

d e

o f b u s in e s s d e v e ­

e x p o se

le

p r in c ip e :

"Nous conservons la responsabilité de la réparti­ tion du portefeuille par catégories d'actifs et nous déterminons quel est le meilleur gérant de fonds par segment de marché. Par l'intermédiaire du fonds sélectionné, c'est le gérant qui modifie alors le contenu du portefeuille du client en rem­ plaçant progressivement les actions individuel­ les". L a B a n q u e P r i v é e d e l a B G L a m i s e n p l a c e u n e é q u ip e d 'a n a l y s t e s s p é c ia li s é s d a n s la s é le c ­ t io n d e

f o n d s e t in d é p e n d a n t s d e s

F a ce

à

f in a n c e ,

un c e

c lie n t

d e

c o n ce p t

p lu s

en

p ro m o te u rs.

p lu s

d 'a r c h it e c t u r e

é d u q u é

à

o u v e rte

la

p e r­

m e t d e g a g n e r e n c r é d ib ilit é : u n b a n q u ie r p r iv é v a c o n fie r

à

un

g é ra n t

lo c a l

le

s to c k

p ic k in g

d 'u n

p a y s , p a r c e q u e c e lu i- c i a p lu s d e v is ib ilit é s u r le s r é s u lt a t s

d e s

n a is s a n c e m o in s d e je c t if d e

e n t r e p r is e s

d u

c o n te x te

c lie n t s

I ls

q u e

s e lo n

h e d g e

la

un

p a r d e s

le s

m e ille u r e D e

en

l'o b ­

“faire mieux que

B a n q u e

re tu rn

c o n ­

m o in s

a c c e p t e n t p a r a ille u r s q u e

a tte n d e n t

p e u t ê t r e v is é t e ls

u ne

le u r g e s t io n n a ir e s o it d e

le benchmark", B G L .

et

p o lit iq u e .

P r iv é e

a b s o lu

d e

p o s it if ,

la qui

in v e s t is s e m e n t s a lt e r n a t ifs

fu n d s

et

le s

p r o d u it s

s tru c ­

peut présenter au client une approche d'investisse­ ment sur-mesure dans laquelle il participe à la hausse des marchés, et on lui donne un horizon clair et déterminé au terme duquel il a une garan­ tie sur le capital investi. Dans le contexte actuel, cela sécurise le client". tu ré s

à

c a p it a l

g a r a n t i.

F r é d é r ic

W a ts:

"O n

FINANCIAL PLANNING P o t e n t ie l é n o r m e d e

la

A la in

p la c e

p o u r le

f in a n c iè r e

d é v e lo p p e m e n t fu tu r

lu x e m b o u r g e o is e

M e s t a t , le c o n c e p t a n g lo - s a x o n

al planning",

c 'e s t - à - d ir e

d u

la p la n if ic a t io n

s e lo n

“financi­

“Le Grand-Duché, comme la Suisse, ne pourra s'opposer à des mesures d'amnistie fiscale qui pourraient être prises par certains Etats pour favoriser le rapatriement des fonds précé­ demment détenus - et non déclarés à l'étranger” OLMER DE JAMBLINNE, BANQUE PUILAETCO

f in a n c iè ­

re p o u r d e s c o u p le s a y a n t u n re v e n u e n tre 7 5 .0 0 0 e t 2 0 0 .0 0 0 s t it u t io n n iv e a u

E u r o e t é t a n t à la r e c h e r c h e d e la c o n ­

d 'u n d e s

p a t r im o in e

a ss u ra n ce s,

q u 'il d u

fa u d ra

p la n n in g

g é re r f a m ilia l

au et

paperjam

10.2002 Opérationnel 0 6 1


paperjam Dossier Le futur de la Place financière p o r t e - f e u ille p o in t

d e

d u

d é p a rt

c lie n t

p o u r

n 'e s t f in a le m e n t

le s

b a n q u ie r s

q u 'u n

p r iv é s :

"Le

client veut aller au-delà de la simple gestion de ses actifs financiers. Un de nos axes stratégiques est de renforcer nos équipes en matière de ser­ vices patrimoniaux globaux. Cela inclut le conseil en planification successorale, la transmission de patrimoine d'une génération à l'autre, l'optimisa­ tion fiscale prenant en considération le patrimoi­ ne global, y compris le patrimoine immobilier. Même si le besoin en financial planning n'est pas toujours exprimé par les clients, nous devons être proactifs et anticiper les besoins". L a B a n q u e P r iv é e E . d e R o t h s c h ild m e n t un ty p e

d e

s e r v ic e

e n t è le ,

c o m p o sé e

tra v e rs

le c o n c e p t d e

tu e à

u n e g e s t io n

100%

f a it q u e tê te

d e

p lu s

trè s

p a t r im o n ia l p o u r s a

trè s

la

g ra n d e s

en

p lu s d e

g ra n d e s

est

c li­

fo rtu n e s ,

"family office",

p é r e n n it é

fo rtu n e s ,

à

q u i c o n s t i­

d e s

in t e r v e n a n t s

p ar

le

a r r iv e n t à

la

h é r it é e s

ou

C O M M U N I Q U E R

Une place financière active e t proactive L e s

b a n q u ie r s p r iv é s o n t e u

à f o u r n ir à

t iq u e s p a r r a p p o r t à

ce

q u ' i l s p o u v a ie n t lir e o u

vu

d e

ce

qui

q u e s t io n

n e

se

p o se

é tra n g è re s é té

a

é té

im p la n t é e s

in t e r v ie w é e s .

R o t h s c h ild

d it

m êm e

La

p o u r r a it s e

p ré c é d e m m e n t, p lu s su r

p o u r le

B a n q u e

le s

t e r r it o ir e P r iv é e

la

b a n ­

E.

qui d e

r e p lie r s u r la S u is s e , m a is

n 'e n a p a s la m o in d r e in t e n t io n e t n e v o it p a s s o n

"Nous parcou­ rons avec nos clients une évolution patrimoniale dans la tradition et la pérennité. Sur la place financière, beaucoup de structures se font racheter. Il y a de moins en moins de petites ban­ ques privées familiales à l'échelle mondiale... nous avons toujours notre carte à jouer", c o n c l u t a c t iv it é b o u le v e r s é e d a n s le f u t u r :

A la in

M e s ta t.

C o n f ia n c e B ank,

é g a le m e n t d u

d o n t

le

d ir e c t e u r

c ô té

d e

S E B

m a r k e t in g

P r iv a t e

e s t im e

q ue

"Tôt ou tard, les petits comptes vont disparaître, les clients qui ont ces comptes vieillissent et veu­ lent consommer leur argent. Les grands comptes resteront tant que Luxembourg leur offrira une valeur ajoutée. Le secret bancaire est une chose, les bonnes infrastructures, des produits équili­ brés et, surtout, le relationship management en sont d'autres particulièrement essentielles. Il ne faut pas oublier que Luxembourg est un centre de compétences en termes de private banking... et il ne faut pas s'en cacher! La mauvaise image que le Luxembourg a actuellement est un facteur de risque d'un point de vue marketing, nous avons un travail de relations publiques à effectu­ er, c'est évident". O n g ie

l'a

b ie n

q u 'e lle

c o m p r is a

a u s s i, a u

m is e

en

vu

d e

p la c e ,

e n tr e s e c r e t b a n c a ir e

e t s e c r e t p r o f e s s io n n e l, . . . ) , p o u r e f f a c e r c e t t e d e

ont

u n t r a v a il d 'e x p li c a t i o n

le u r s c lie n t s , s o u v e n t e u x - m ê m e s c r i­

q u a n c e f in a n c iè r e , c o n f u s io n

ON FAIT LES CARTONS?

q u e s

f in a le ­

e n t e n d r e ( a m a lg a m e e n t r e s e c r e t b a n c a ir e e t d é lin ­

c ré é e s.

A u

e t,

qui fait l'avantage comparatif, c'est le banquier. Si le secteur financier au Luxembourg parvient à développer ou à maintenir une expertise reconnue dans certains métiers, il disposera d'un avantage certain par rapport à d'autres places en cas de levée du secret bancaire. C'est déjà le cas par exemple dans l'administration de fonds ou l'ingénierie financière. Dans le cas contraire, il sera une place financière comme une autre", n "ce

su r-m e s u re

a ss u ré e

f a m ille s

p r o f e s s io n n a lis m e

m ent

o ffre é g a le ­

p a t r im o n ia le g lo b a le

et d o n t d e

d e

le

la s t r a t é ­

q u it t e r

le

" m a u v a is é lè v e " q u i c o lle

à

la p e a u

im a g e

du

Lu x e m b o u rg . A la in

M e s t a t , d ir e c t e u r a d jo in t à

la B a n q u e

P r iv é e

E.

de Rothschild estime que "le gouvernement et l'ABBL ont bien compris qu'ils doivent non seule­ ment réagir sur des articles pour pouvoir faire un démenti ou contrer certaines idées par des argu­ ments objectifs, mais aussi être proactifs, et donc disséminer des informations claires sur la place du pays au sein de la Communauté Européenne et de la place financière mondiale. Le lancement d'un évé­ nement comme LuxFinance ( 1 ) s'inscrit dans cette optique de positionner le Luxembourg en tant que lieu d'excellence du professionnalisme en matière de gestion patrimoniale". A

la B a n q u e

s ib le

à c e tte

in t é r ê t s d e

P u ila e t c o , o n

s e m b le

d é f e n s e e t p r o m o t io n

é g a le m e n t s e n ­ à c o u rt te rm e

d e s

la p la c e f in a n c iè r e , c o m m e e n t é m o ig n e

O l i v i e r d e J a m b l i n n e : "L'un de nos souhaits serait que celle-ci se fasse, encore plus que par le passé, d'une seule voix, commune à tous les membres du gouvernement. Face à la forte pression exercée par leurs homologues européens, il nous paraît impor­ tant - sinon vital - pour l'avenir de la place que ses politiques soient solidaires et unis dans ce domaine. A plus long terme, nos attentes se situent dans une plus grande transparence dans l'exercice de nos métiers au travers d'une réglementation pragma­ tique, et non pas purement théorique. La CSSF l'a d'ailleurs bien compris et a de plus en plus fréquem­ ment recours aux conseils de professionnels du sec­ teur, directement impliqués". n

L u x e m b o u r g e s t b ie n lo in d e s p r é o c c u p a t io n s d e la il y

B a n q u e a

d e s

P u ila e t c o .

p e rm a n e n te s , p r o d u it s ,

P o u r O liv ie r d e

p r o b lé m a t iq u e s

la

co m m e

q u a lit é

d e

082 Opérationnel paperjam10.2002

le la

J a m b lin n e ,

é m e rg e n te s ,

d 'a u t r e s

r e n o u v e lle m e n t

p r e s t a t io n

d e

d e s

s e r v ic e s ,

(1): Sponsorisé par Profil, l ’agence de promotion de la place financière (voir notre agenda p. 050)


Bâle II

R iskpartner Your partner in risk management

Risk Partner est une société de Conseil en Risk Management. Conseil en organisation, Séminaires, Formations, Analyse stratégique Bâle II

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Tel : 260.914.1 Fax : 260.914.35


d e fu tu r

la

e m r o f

n e n t vers r u o t e s re g a rds n évoq u e 'o u q Tous les s è s d d es fo n d ie r t s ppem ent u lo d e v l'in é d e e c tiv e s d p s r e p s le ce de la Pla TEXTE

fionne/

'0.2002

OS RON PH OT HE L GAUD JE AN -M IC

OLA M IC Dl G IR

FRÉDÉR

) O (BLITZ


paperjam Dossier: Le futur de la Place financière L a

re n tré e

s ’a n n o n c e

r ic h e

m o u v e m e n t é e s u r le f r o n t d e d u s t r ie

d e s

fo n d s

m e n t.

Q u a to rze

é té

le

p r e m ie r

en

d r o it

d ’ in v e s t is s e ­

a n s E ta t

a p rè s à

n a t io n a l

D ir e c t iv e

et

l’ in ­

a v o ir

tra n s p o s e r

la

p r e m iè r e

e u ro p é e n n e

en

b le d e s e x p é r ie n c e s d e t r a n s p o s i­ t io n ,

le

c h o is i

L u x e m b o u rg la

p r e m iè r e

l’ in n o v a t io n , d e q ui ne ç a

m a t iè r e

lu i a

a

c la ir e m e n t

v o ie ,

c e lle

d e

l’a v a n t - g a r d is m e ,

p a s si m a l ré u ssi q u e

p a r le p a s s é . L ’a m p le u r

p r is e ,

a u j o u r d ’ h u i,

“ L a tendance serait plutôt à ce que les directives ne produisent leurs effets qu ’à partir de la date effective d ’entrée en vigueur, en février 2004. D ’ici là, le passeport européen ne pourrait avoir qu’une existence théorique” e s t i m e M e

d ’ in v e s t is s e m e n t

C la u d e

K re m e r,

m e m b re

d a n s le p a y s a g e f in a n c ie r - c e q u i

C o m it é

O P C

la C S S F , e t q u i a

(O P C V M ), c e q u i a d o n n é au p a y s

n ’ é t a it p a s d u t o u t le c a s e n

p a ssé

u n a v a n t a g e c o n c u r r e n t ie l a u j o u r ­

-

d ’ h u i c o n c r é t is é

p a r le le a d e r s h ip

c la ir e m e n t ,

e u ro p é e n

te rm e s

s t r a t é g iq u e

d ’o r g a n is m e s le c t if

en

g é ré s,

v a le u r s

en

d a n s

p o u r

le s

d ir e c t iv e s

m a t iè r e

c o l­

m o b iliè r e s

d ’ a c t if s

e s t a u jo u r­

s t a r t in g - b lo c k s

im p lé m e n t e r

v e lle s

2 0 0 2

p la c e m e n t

le L u x e m b o u r g

d ’h u i

la

d e

le s

d eu x

n o u ­

e u ro p é e n n e s

a d o p té e s

le

21

p a r le C o n s e i l d e s

en

j a n v ie r

M in is t r e s

p r e m iè r e

d ir e c t iv e ,

“produits", va

d ir e c t iv e

le s

e st

fo n d s

t e lle

d it e

é la r g ir

d ’e n tré e l’a c c è s

n e ts

nent

t iv e

f a is a n t

n o ta m m e n t

fo n d s ,

le s

p r o d u it s

d e

le s

fo n d s

tr é s o r e r ie , c e u x le s

e n tre r d a n s la

le

d ir e c ­

fo n d s

d e

m o n é t a ir e s ,

d e

in v e s t is s a n t d a n s

d é r iv é s

et

le s

fo n d s

es",

se co n d e

d ir e c t iv e ,

f o r m u le

un

d ’ e x ig e n c e s

à

s o c ié t é s

d e

à

(p a rts d e

d e

c o n t r ô le

et d e

m ê m e

te m p s

E lle le

tra

à

une

p ro p re e rce r

su r

le

a g ré é e

d e

d e s

n o ta m m e n t,

sa

a u tre s p o u r

a g ré m e n t.

su r

le q u e l

ont

le s s p é c ia l­

S i d e

la

d e v r a it a u p rè s

b ie n t ô t d u

p u is s e

d e v a n ts d e s

ê tre

d e

v is - à - v is

d e

p a y s

e u ro p é e n n e

o u

t o u t d e r n ie r

m o m en t

b ie n

p re n d re

le s

l ’e n s e m b le d e

l’ U n io n

a tte n d re ( la

le

d ir e c t iv e

p lu s

d a v a n ta g e fo rte

en

sa

p o u r

o b s t a c le s m a ît r is e

v o ir e

re n fo rc e r d e

t a ille

à

q u e lq u e s

d o n t

e lle

ne

d ’o r d r e

e n tre

S e

et

m a in s su r

le s d é jà

n ’ im p liq u a n t

d e s

d is p o s it io n s

p o lit iq u e , o n

p eut en

s u p p o s e r q u ’ il n e s e tro p

le s

b asan t

e u ro p é e n n e s

a u cu n e m e n t

e ffe t

h e u rte p a s à

d ’ a v is c r it iq u e s e t c o n t r a ir e s .

PRIORITÉ A L’INVESTISSEUR

s ib ilit é

d e

fo n d s à

p a r t ir d ’ u n

la p o s ­

c o m m e r c ia lis e r

tra n s p o s é

p ays

le s

e u ro p é e n n e s l'a u r a

p a s

un

a u tre

p ays

e n c o r e f a it ?

le s

a u t o r it é s

p o u r

ju g e r

Et

c o m ­

en

la

a t t e n d a it ,

te m b re ,

q u ’un

e u ro p é e n

re n d e su r

le

e x p e rt un

a in s i,

p o rte r

é lé m e n t

un

a u tre

s a v o ir

s ’ il

en

en

le q u e l

m e su re d e

fa u d ra

lé g if é r é

a v a n t q u ’u n e s o it e f f e c t iv e .

d é b a ts ,

a u s s i,

à

à

d ’u n e

c e lle

à d e

q u e

m is e

en

cœ u r

re c h e rc h e ,

eu x

q u i le u r f a it e n c o r e

sp é ­

d é fa u t

L u x e m b o u rg . V en u s

to u t

d r o it

d e s

E ta ts -

U n is , e t a p p a r u s a u le n d e m a in d e la

se co n d e

g u e rre

h e d g e

fu n d s

so n t

p eau x

d e

q u e

c e

p r o d u it s m e su re

ils

le s

m a rc h é s d u c t io n vent à fu n d s c e s

d e

a p p e lle

le s

d a n s

o ffre n t

un

la

la r g e

d ’in v e s t is s e ­

aux

fo n d s

p lu s

C a r a c t é r is é s c o r r é la t io n

par

d ir e c t e

p e rfo rm a n c e s

b o u r s ie r s d e

d e

d e s la

p r o f it s

r is q u e ,

re n c o n tre n t

te m p s

et p ar

m e ille u r s

m o in d r e

m a rc h é s

le s

p o rte -d ra ­

l’ o n

s t r a t é g ie s

l’ a b s e n c e a v e c

m o n d ia le , le s

a lt e r n a t ifs ,

‘t r a d it i o n n e l s ’ .

se ra

c a p it a l

au

r é g le m e n t a t io n

d r o it

d ’a p ­

se u l

re n tré e .

v e n tu re

la

c o m p a ré

a tte n d re

a p p lic a t io n

d e s

et

c o n ­

le

la

é g a le m e n t

d e

l’e n s e m b le d e s 1 5 E t a t s m e m b r e s a it

fu n d s so n t

m ent

ré p o n se

in t e r r o g a t io n :

H ed g e fu n d s

d e

d e u x

ne

p a s

lé g is la t if

panel

a v is ju r id iq u e

s u je t,

p e u t-ê tre ,

un e

d éb u t

.c e p e n d a n t

c h a n t ie r

d e s

e u ro p é e n n e s

se p ­

m a t iè r e ? L ’A L F I

t r a n s p o s it io n

s t it u e

un

q ui a u ra

d ir e c t iv e s

ve rs

se ro n t

L a

d ir e c t iv e s

c if iq u e

p a s e n c o r e la h a u t e u r .

A in s i, q u ’ e n s e r a - t - il d e

qui ne

p la c e

d e f o n d s , e lle s e

l’ h e u re ,

d e

e st

p a r la v o l o n ­

p o s it io n

m a t iè r e

h e u rte ,

v it e

2 0 0 4 ) a f in

c a p it a lis e r l'e n s e m ­

p o sé

d ir e c t iv e s

lu x e m b o u r g e o is e

d o it e n t r e r e n v ig u e u r le 1 3 f é v r ie r d e

à

d ’ in v e s t is s e ­

au

p é r e n n is e r ,

a u t o r is é

l ’a n n é e c iv ile .

c h o is ir e n t r e

a u tre s

c o n c r é t is é

f o is

d é p u té s .

D ir e c t e u r

lu x e m b o u r ­

fo n d s

d e s

a p p ro u v é e s

p u b liq u e s

é v id e m m e n t g u id é e

d e

p a s s a g e d e v a n t le s

a v a n t l a f in d e C a r à

d é p o sé

g o u v e rn e m e n t,

so rte q u e s o n d é p u té s

ê tre

et

r e la t io n s

v o lo n t é

p é te n te s

C S S F

au ssi

1 1 9 ).

P ic a r d ,

lé g if é r e r

p a sse r

c a s e

v o ir

le s

m e n t.

q u e lle s

la

ju in ,

p ag e

Je a n -Ja cq u e s

i s t e s d e l ’A L F I , e s t s u r l e p o i n t d e p a r

30

p o u r

p our

“Il faut bien voir qu'il s ’agit là d ’un tout nouveau texte de Loi et non pas d ’une simple adaptation de la législation de 1988” p r é c i s e

d ’e x ­

l’ a c t iv it é

d o cu m e n t,

p la n c h é ,

d u

p a r

t u t e lle

t e r r it o ir e

m e m b re s

d e

q u i p e rm e t­

la q u e lle e lle a r e ç u s o n L e

et

p r in c ip e

s o c ié t é

a u t o r it é

E ta ts

d ’o r­

in t r o d u it e n

p a s s e p o rt e u ro p é e n ,

au

n o tre e n c a d ré

d ’O P C V M

m é c a n is m e s

in te r n e .

té , u n e

1 7 ,8 %

g e o is e

a d m in is t r a t iv e

c o m p t a b le

2 4 ,6 %

d e

d e

n o m b re

c a p it a lis a t io n ,

g a n is a t io n

L e s s p é c ia lis t e s o n t b o n e s p o ir

l’A s s o c ia t io n

en

la

d e v o ir le t e x t e r a p id e m e n t a d o p ­

et

d e s

su r

e u ro p é e n n e

m a rc h é

S u is s e

p r o v i­

h e u re s

“Même si cela devait être le cas, le Luxembourg se doit de légiférer au plus vite » a f f i r m e M e K r e m e r . << En tant que leader européen du marché, c ’est à lui de montrer la voie. Et puis psy­ chologiquement, il est important de bien se positionner vis-à-vis des places concurrentes” . q u e s t io n .

l’ U n io n

d e s

n o ta m m e n t

p o u r

e u ro p é e n s.

lo n g u e s

a c t if d u

n ’ a p p a r t ie n ­

l ’A L F I ,

d e s

p o rte

g e s t io n

c h a rg é

l’ é g a r d

g e s t io n

c o o rd o n n é s, m a t iè r e

c e r t a in

Le

la

d e

d e

qui

“servic­

in d ic ie ls . L a

so u s

p a y s

p a s

E t a t s - U n is

en

m a rc h é s

d e

p euvent

d 'a p p lic a t io n

est d even u

im p o r t a n t s s u r la p la c e e n t e r m e s d ’a c t if s

le s

in v e s t ir ,

o r ie n t a t io n

in d is c u t a b le .

D ’ a ille u r s , le s p r o m o t e u r s le s p lu s

la

ch a m p

1988

m êm e,

in c o n t o u r n a b le

le s q u e ls

co o rd o n n é s

s ’ a g it

d 'u n e

aux

l’é v e n t a il d e s a c t if s d a n s O P C V M

q u ’ il

L u x e m b o u rg

en nent

e t le P a r le m e n t e u r o p é e n . L a

p a r

le s

p ro ­ so u ­

h edg e

fo rc é m e n t,

m o r o s it é

f in a n c ie r s ,

un

su r

en le s

c e r t a in

su ccè s.

paperjam10.2002 Opérationnel

085


paperjam Dossier: Le futur de la Place financière Il r e s t e c e p e n d a n t , a u p r è s d e s in v e s t is s e u r s , g oût d e la

co m m e

m é f ia n c e

L o n g

M a n a g e m e n t n o ta m m e n t,

d é b â c le T e rm

(L T C M ). p ar

1997

p o u r

p r o d u it s

a v e c

d e

d e u x

m illia r d s l’ e ffe t e n tre

le

a c t iv it é la

d e

d e

ce

4 ,8

é c o n o ­ N o b e l en su r

fo n d s

d o lla r s ,

en

( la

d e

e t le

co û t qui et

de à

200

u sa n t de d if f é r e n c e

r é s u lt a t e s c o m p t é

f in a n c e r )

é t a it

p ro p re s,

p o r t e f e u ille

le v ie r

le s

m illia r d s

c a p it a u x

c o n s t it u e r u n

G é ré ,

tra v a u x

d é r iv é s ,

p a rv e n u , d o lla r s

le u r s

du

C a p it a l

m is t e s d e h a u t v o l, p r ix

b le d e

a r r iè r e -

e n s o u v e n ir d e

s p e c t a c u la ir e

fo n d s

un

l ’é c o n o m ie a m é r ic a in e . . .

R even u s, d e r n ie r s ne

te m p s,

b é n é f ic ie n t

v is ib ilit é

à

sta tu t

re co n n u .

LT C M

a v a it

d e

f in

98, su r une

31

e x p lic it e m e n t c h if f r e s

à

d e s

p u b ­

ra p p o rt

une

g e s­

L u x e m b o u rg 17

m illia r d s

d é ce m b re ,

is s u s

le u r

d o n t

h e d g e

12

fu n d s .

N e f ig u r e n t p a s , d a n s c e s c h if f r e s , le s

fo n d s

d e

C a y m a n ,

d e s

B e r m u d e s e t d e s B V I ( I le s v ie r g e s

p e rm e t d e

b r it a n n iq u e s ) , h e d g e f u n d s é g a le ­

p r o d u it s

p e rfo rm a n c e s

en 1995 et 1996, q uoi

d ’u n e

d e s

M a is

d e

e n v ir o n

au

m illia r d s

m e n t a d m in is t r é s

lig e r .

in v e s t is s e u r s . . .

D u b lin . P o u r l’ h e u r e , la p o s s ib ilit é

r é e lle

a lt e r n a t iv e

d ’E u ro

a t t ir e r en

le s

m is a n t ,

c o n v e rg e n ce

d es

C e

l ’A L F I ,

p o id s

à

Lu x e m b o u rg ,

n ’e s t

p a s à

q u i e x p liq u e , d e

m o n ta n t

so n

d e s

h e d g e

c ilié s à L u x e m b o u r g

n é g ­

a u s s i,

c ô té ,

e s t im e

fu n d s

q u e le

d o m i­

à 3 0

m illia r d s

a n e c d o te

c h if f r é e

d ’E u ro . C e tte

s e u le

t a u x d ’ in t é r ê t , le f o n d s s ’ e s t t r o u ­

s u f f it à e lle s e u le

v é a u b o r d d ’ u n e f a illit e q u i a u r a it

c h e m in

e u u n im p a c t c e r t a in s u r l’ e n s e m ­

p o u r

q u ’ il

p o u r m e s u r e r le

re s te

m ie u x

à

p a r c o u r ir

p o s it io n n e r

“Un promoteur qui s’intéresse au Luxembourg doit avoir toutes les cartes en mains lui perm ettant d’avoir une vision précise de ce qu’il est possible de faire ici” JEAN-JACQUES PICARD, ALFI

c r é e r e t d o m ic ilie r d e s

hedge

fu n d s à L u x e m b o u rg e s t tro p co n n u e la

m al

e t s e u le u n e c ir c u la ir e d e

C S S F

d a ta n t d e

1991

p e rm e t,

in d ir e c t e m e n t , la c r é a t io n

d e te ls

p r o d u it s .

“ Une réglementation claire­ ment définie en la matière, sur laquelle il pourrait s e baser, faisant actuellement défaut au Luxembourg, un prom oteur étranger de hedge funds a ten­ dance à s ’orienter vers d ’autres législations pour domicilier son fonds. Un cadre spécifique est indispensable si nous voulons développer le secteur des fonds alternatifs au Luxembourg “ n o t e Je a n -Ja c q u e s P ic a r d . “ Mais créer un cadre légal spécifique pour les hedge funds ne signifie pas verser dans le libéralisme absolu en autorisant ce type de fonds à prendre des risques démesurés, au contraire. Notre objectif prioritaire reste, dans ce domaine également, de garantir un certain niveau de protection de l ’investisseur. Il n ’est pas question de courir le risque que le Luxembourg soit un jour le théâtre d ’une faillite spectacu­ laire du style de LTCM. Un inci­ dent pareil serait néfaste pour notre réputation de place finan­ cière “ . L a b a l le e s t , là e n c o r e , d a n s le c a m p

d e

la

e n c o re ,

C S S F ,

le s

qui a

re çu ,

a p p r é c ia t io n s

là d e

l’A L F I , e t q u i d e v r a it p u b lie r , t r è s p r o c h a in e m e n t ,

u n e

c ir c u la ir e

s p é c if iq u e . P o u r

ce

qui

c a p it a l

fu n d s

fu n d s ,

a u tre s

f a m ille

d e s

d o n t

la

m ent

se

e st et

d e s

v e n tu re

p r iv a t e

e q u it y

m e m b re s

p r o d u it s

p o lit iq u e

d e

la

a lt e r n a t ifs ,

d ’ in v e s t is s e ­

c o n c e n tre

n o ta m m e n t

s u r d e s s o c ié t é s n o u v e lle s q u i n e so n t

p a s

B o u rse p r o f il e st

-

d e

trè s

r is q u e

c o té e s

é le v é à

en

p ré s e n ta n t -

une

au

un

, l’h e u re

r e c o n n a is ­

tra v e rs

d ’un

lé g is la t if a p p r o p r ié . E n c o r e

m a r g in a u x le u r

m illia r d s

m illia r d s à

d o n c

a ccru e

e s t im e 3

e n c o re et

é g a le m e n t

sa n ce c a d re

086 Opérationnel paperjam10.2002

il

p ar

fu n d s

s u iv a n t

‘p e s a ie n t ’

m a rc h é , o ù

d e v a n c é

d ’u n e

2001, t io n

sur c e

la r g e m e n t

h e d g e

le s

fo n d s

e st

le s

d a n s so n

le s

Lu x e m b o u rg

ce s

p a s

p a s

S e lo n

1 . 2 5 0 m illia r d s d e d o lla r s . . .

d e p lu s d e 4 0 %

g râ c e

lié s p a r la C S S F

e t d o n t le

d e s

en

L u x e m b o u rg ,

n ’e s t

d é r iv é s d ’ u n e v a le u r t h é o r iq u e d e

A f fic h a n t

d o n c,

su r

p o id s d ’E u ro

la à su r

P la c e

(o n

q u e lq u e le s

890

d ’E u ro

d e

fo n d s

g é ré s

L u x e m b o u rg ),

ils

d e v r a ie n t


paperjam D ossier Le futur de la Place financière f a ir e l’o b j e t d ’ u n p r o c h a in je t d e L o i é g a le m e n t e n

p ro ­

p h a se

d e

t iv e s

à

p lu s

L u x e m b o u rg ,

q u e

to u t

le

d ’a u ta n t

m o n d e

-

ou

f in a lis a t io n .

p r e s q u e - y v o it u n s e g m e n t d ’ a u ­

Idéalement, il est indispensa­ ble qu ’un promoteur qui s ’in­ téresse au Luxembourg puisse avoir toutes les cartes en mains et tous les textes appropriés lui perm ettant d ’avoir une vision réaliste et précise de ce q u ’il est possible de faire ici” c o m m e n t e

t a n t p lu s

Je a n -Ja cq u e s

d ia le a c t u e lle a , é v id e m m e n t , d e s

A u tre s

P ic a r d .

p r o d u it s

à

b a lb u t ie r ,

q ue

p o r t e u r q u ’ il s e

d e t o u t le d é b a t s u r le s e c r e t

R e s te

un

im p o s s ib le ,

m a rc h é .

d e r n iè r e s

E x ch a n g e d o n t

le

p lu s

bel

T ra d e d

but

est

F u n d s

d e

f id è le m e n t

a v e n ir :

le s

(E T F ),

r e p r o d u ir e

p o s s ib le

la

le

p e r­

Le

sé v è re

r é p e r c u s s io n s

b le n t

un

q u ’ il

est p a r­

r a le n t is s e ­

m e n t q u i t o u c h e l ’é c o n o m ie m o n ­

d u s t r ie

à

é lé m e n t

p o u r l’ h e u r e , d e

f a it e m e n t m a ît r is e r : le s c o n d i t i o n s d e

p a r la d e s

d ir e c t e s

d e s

fo n d s .

su r

l’ in ­

S e lo n

le s

s t a t is t iq u e s

C S S F , O P C

b a is s e

le

a

p u b lié e s

p a t r im o in e a f f ic h é

d e p u is

g lo b a l

u ne

fo rte

q u e lq u e s

m o is ,

f o r m a n c e d ’ u n in d ic e b o u r s ie r , e n

s ’ e n f o n ç a n t s o u s le s 9 0 0 m illia r d s

c a lq u a n t

d ’ E u r o ( 8 6 6 , 1 5 m illia r d s a u 3 1 j u il­

t it r e s

r é p a r t it io n

d a n s

t io n s Il

la

le s

m ê m e s

q u e

c e lle s

en

e ffe t

e st

fo n d s

d e

d e s

se s

p ro p o r­

l ’ I n d ic e

trè s

ra re

‘t r a d i t i o n n e l ’

g é n é re r

d e

s u iv i.

le t,

p a r v ie n n e

p e rfo rm a n c e s

à

se m ­

b l a b l e s a u x I n d i c e s d o n t il s e r a p ­

s o it

un

r e m p li

d e p u is le d é b u t d e

q u ’un

M a is d o u te ,

un

a u tre

d e

6 ,7 1 %

l'a n n é e ) .

c h if f r e

e n co re

D o it - o n

d u s t r ie

p lu s

p a r la n t :

au

1 9 9 6 , le s

P ic a r d .

a in s i im a g in e r d e s

p e r­

a s s o m b r ie s

l’ in ­

s p e c t iv e s

p o u r

lu x e m b o u r g e o is e

d e s

Non, tra n ch e M . P ic a r d . “L’accroisse­ ment récent important des actifs nets gérés par les fonds oblig­ ataires et les fonds monétaires montre que la confiance des investisseurs dans le produit ‘fonds d ’investissement’ en tant que tel reste intacte. Je suis per­ suadé que dès que les perspec­ tives économiques vont s ’amélior­ er, le secteur luxembourgeois des fonds d ’investissement va pour­ suivre sa croissance”, n d ’ in v e s t is s e m e n t

?

S T A T I S T I Q U E S

e s t, s a n s

m o i s d e ju in , p o u r la p r e m iè r e f o is d e p u is

e x p liq u e J e a n - J a c q u e s

fo n d s

b a n c a ir e .

e n c o r e , e n E u r o p e , m a is q u i s e m ­ p r o m is

d é m a r­

dans lesquelles investit le fonds,

A u

31

is m e s d e

ju ille t 2 0 0 2 , 1 . 9 4 6

o rg a n ­

p la c e m e n t c o l l e c t if s é t a ie n t

r e c e n s é s a u L u x e m b o u r g , d o n t 1 .1 8 1

in v e s t is s e m e n t s a y a n t u n e s t r u c t u r e à c o m p a r t im e n t s

p ro c h e

le

p lu s .

D ’o ù

l’ id é e

le s

c a lq u e r d ir e c t e m e n t d e s s u s . . . S i le s te r

un

la

p u r is t e s

c e r t a in

p e u v e n t re g re t­

é lo ig n e m e n t

‘ p h ilo s o p h ie ’

fo n d s ,

in it ia le

t r a d it io n n e lle m e n t

n e t s o n t é t é n é g a t if s ( c ’e s t - à - d ir e q u ’ il

a vec

un

d ’un

2 ,9

o r ie n t é

y

a

eu

b e a u co u p

v e n te s d 'O P C m o n ta n t

non

m illia r d s

m ent

p lu s

d e

q u e d ’a c h a ts ) p o u r n é g lig e a b le

d ’E u ro .

ven d e u r

U n

e n ra y é ,

d e

m ou ve­

t o u t e fo is ,

d a n s u n e s p r it d ’ in v e s t is s e m e n t à

e n j u ille t ( 1 ,7 8 m illia r d s ) .

lo n g

“Il est vrai que l’environnement boursier est actuellement extrêmement difficile. Les scan­ dales financiers autour de Enron, WorldCom et autres Tyco ont sans doute découragé beaucoup d'épargnants privés à investir en Bourse. Les entreprises devront œuvrer dur pour renforcer, voire restaurer la confiance dans le pro­ duit d ’investissement ‘action’",

te r m e , la g r a n d e

ce

p r o d u it

d ’un

et

le s

p r o c h a in

te n d a n c e jo u r o u

-

liq u id it é

d e

p e r s p e c t iv e s

re n v e rse m e n t

qui

a r r iv e r a

d e

b ie n

l’a u t r e ... - e n fo n t u n

un p ro ­

d u it p o t e n t ie lle m e n t t r è s a t t ir a n t . L ’E u ro p e p a r t ic u lie r

c o n t in e n t a le , l ’A lle m a g n e ,

p ré s e n ts s u r c e la D e u t s c h e

à

le

l’ in it ia t iv e

b a n q u e

trè s

p u is q u e

d e s p a rts.

to u t

p r e m ie r

d a t e d ’ il y a t o u t j u s t e

la n c é

en

B ô rs e e t E u ro n e x t s e

L u x e m b o u rg ,

ET F

so n t

m a rc h é ,

p a r t a g e n t p lu s d e 8 0 % A u

et

le a d e r

d e

d e

la

un an,

U B S , p la c e

la en

n o te J e a n -J a c q u e s D an s m ent

un

c lim a t

m o ro se ,

p re n a n t

q u e

il la

7 .7 9 3 c o m p a r t im e n t s . L a m a jo r it é d e c e s O P C

(5 2 % ) o n t é t é c o n s t it u é s

s o u s le r é g im e d e s f o n d s c o m m u n s d e

p l a c e m e n t . I ls r e p r é s e n t e n t 5 1 %

d u to ta l d e s 8 6 6 ,1 5

P ic a r d . b o u r s ie r

n ’e s t

m u lt ip le s r e p r é s e n t a n t u n t o t a l d e

m illia r d s d ’ E u r o

d ’ a c t if s . L e s S ic a v , e lle s , r e p r é s e n t e n t 46%

d u to ta l e n

n o m b re et 4 8 %

p a r d iv e r s a u t r e s in s t r u m e n t s . L ’o r ig in e g é o g r a p h iq u e d e s p r o m o ­ te u rs d e s O P C

lu x e m b o u r g e o is s e

c o n c e n t r e p r in c ip a le m e n t s u r t r o is pays:

la S u i s s e

(2 4 ,6 % ), le s E t a t s - U n is

( 1 7 , 8 % ) e t l ’A l l e m a g n e ( 1 7 , 6 % ) . C e d e r n ie r p a y s e s t c e lu i q u i a a f f ic h é p lu s f o r t e p r o g r e s s io n

t e lle ­

p as

c r o is s a n c e

su r­

en

t e r m e s d ’ a c t if s . L e r e s t e e s t c o n s t it u é

s ix

“part de

p r e m ie r s m o is , p u is q u e s a

marché”

n ’é t a it q u e

d e

la

au c o u rs d e s

1 6 ,7 %

a u 31

du d é ce m b re .

m a t iè r e m ent d e

d e

10%

l’ h e u re m is e

fo n d s

(a v e c

u ne

e n v ir o n ) .

est

en

à

la

p la c e

d ’ in v e s t is s e ­

p a rt

d e L à

m a rc h é e n co re ,

p r o m o t io n

d ’u n

et

la

e n ca d re m e n t

lé g is la t if a d é q u a t .

UNE CONFIANCE A RETROUVER O n

le

p o u r m a rc h é m ent

v o it ,

le

le s

p e r s p e c t iv e s

d é v e lo p p e m e n t d e s

so n t

fo n d s p o u r

le

du

d ’ in v e s t is s e ­ m o in s

p o s i­

s e c te u r

d e s

fo n d s

d 'in v e s t is s e ­

“ Un investis­ seur qui fuit la Bourse parce qu ’il doute de l’exactitude des chiffres publiés par des entreprises de réputation mondiale, de l ’hon­ nêteté de leurs dirigeants, de leurs perspectives de croissance, ne va pas non plus se tourner vers des fonds d ’actions. Il ne faut pas oublier en effet qu’en plaçant ses économies dans un fonds actions, un épargnant n ’investit pas dans une structure abstraite, mais bel et bien dans les actions m ent

a

é té

En

fr e in é e .

g ra n d e

m a jo r it é , le s O P C

lu x e m ­

b o u r g e o is in v e s t is s e n t d a n s d e s v a le u r s m o b iliè r e s à r e v e n u f ix e

- o b li­

g a t i o n s - ( 3 6 8 ,4 m illia r d s d ’a c t if s , s o it 4 1 ,5 %

d u t o t a l, a u

3 0 j u in 2 0 0 2 ) e t e n

v a le u r s m o b iliè r e s à r e v e n u v a r ia b le a c t io n s - ( 2 9 3 ,8 m illia r d s / 3 3 % ) . P a r ra p p o rt a u d é b u t d e d u

l’a n n é e , o n

r e s t e , u n t r è s n e t r e g a in

n o te ,

d 'in t é r ê t

p o u r le s o b lig a t io n s - c o n jo n c t u r e

d es

m a r c h é s b o u r s ie r s o b li g e - , d o n t le p o i d s é t a it lim it é à 3 5 , 3 % p lu s tô t.

s ix

m o is

n

paperjam10.2002 Opérationnel 087


^ vvcinn se moiesjëscbeßin JußpetcßJußpeicfa K ënnt der s 'op der Gareßesin Juppeidi heida D 'A nßfen heich an d'Scßonßßcschmtert, wann den Z u cß a n d'EisfecliJtrt

Jupp-eidi Jujy-eida Jußp-eidt-ßeida .. "D’F ëscherlidd" Ba t t y W

eber


... wéi laang as et schons hir? Kënnt Dir Iech nach erënneren..., bestëmm t, m at en g erT réin am Knäpplach. Dertëscht louch d'Liewen m at ail séngen Erausfuerderungen, esou eenzegaarteg wéi Dir och.

personnalisée, dans le respect des traditions.

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paperjam Dossier: Le futur de la Place financière

U n B p o u r

â l e . . u n b i e n lu » ,. ■ i

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R

y

IM A I/ /

Mieux contrôler l'adéquation des fonds propres avec l'activité économique: tel est le défi désormais proposé aux banques TEXTf JEAN-MICHEL GAUDRON PHOTO FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)

090 Opérationnel paperjam102002


paperjam D ossier Le futur de la Place financière I n c o n t e s t a b le m e n t , se

p ré p a re r à

le s

b a n q u e s

so n t en

t r a in

de

u n e g r a n d e r é v o l u t i o n . Il n e s ' a g i t p a s

d e n o u v e a u x d é v e lo p p e m e n t s e n

m a t iè r e d 'e le c t r o ­

n ic o u d 'I n t e r n e t b a n k in g , p a s p lu s q u e d e la p r é p a ­ r a t io n

d e

g ra n d e s

on, et e n co re

m a n œ u v r e s d e f u s io n

m o in s d e

/ a c q u is it i­

la c o m m e r c ia lis a t io n

à v e n ir

d e n o u v e a u x p r o d u it s p lu s p e r f o r m a n t s , p lu s a t t r a c ­ t ifs . .. L a r é v o lu t io n e n q u e s t io n c e p t ib le

p o u r

n é a n m o in s t iq u e s

le

co m m u n

b o u le v e r s e r

u s u e lle s

au

un

s e in

s e r a p r e s q u e im p e r ­

d e s

m o r t e ls ,

c e r t a in

d e s

m a is

n o m b re

d e

é t a b lis s e m e n t s

va p ra ­

f in a n ­

C e u x -ci vo n t en d e

B â le

m a t iè r e fo n d s ta u x

c o n s t it u e c e

q u i e s t c o m m u n é m e n t a p p e lé

m ie r d e s t r o is

c ie r s .

re

du capital social de ta banque doit se faire avec le profil de risque actuel, ce qui implique qu'il faut évaluer cette adéquation en permanence, et être capable de mesurer systématiquement l'impact en besoin de capital lorsqu'une nouvelle activité doit être lancée. De plus, le modèle mis en place est tenu de s'adapter à n'importe quelle conjoncture, de sorte que même en cas de très mauvaise passe économique, tout ne s'effondre pas". L ' é t u d e d e c e "rapport" c a p i t a l / p r o f i l d e r i s q u e

II, e n v i s a g e r

d e

-

à

la

e m p r u n t é s -, q u i s e r a q u e

n o u v e lle

et

c e ssu s

a p p ro c h e

d 'u n e

d 'é v a lu a t io n

c 'e s t - à - d ir e

a p p a rte n a n t

n o m iq u e

une

d é t e r m in a t io n

p ro p re s

r é g le m e n t a i­

e ffe t, d a n s le c a d r e

l'e n s e m b le

b a n q u e

et

q u i

p lu s p r o c h e d e

l'a c c o r d

d e

B â le

I

en

d e

le u r s

d e s

c a p i­

ne

so n t

pas

la r é a lit é é c o ­

e x is t a n t

d e p u is

d e

p ilie r s

B â le .

p a rt, u n

su r

L e s

le s q u e ls

d eu x

se

a u tre s

re n fo rc e m e n t d u

le p r e ­

b a se

le

p ro ­

c o n c e rn e n t,

r ô le d e s

a u t o r it é s

d e t u t e lle e t, d 'a u t r e p a r t , u n e p lu s g r a n d e d is c i p l i ­ ne

d e

m a rc h é ,

n o u v e lle s

qui

se

o b lig a t io n s

t r a d u it en

n o ta m m e n t

m a t iè r e

p ar

de

d e

p u b lic a t io n

d 'in f o r m a t i o n s , c e c i d a n s le b u t d ' u n e

p lu s g r a n d e

t r a n s p a r e n c e v is - à - v is d e t ie r s .

1988. C 'e s t B â le ,

ce

q u 'il

re s s o rt d e s

le q u e l e s t

r e la t if a u x re s ,

en

t r a in

d is p o s it if s

p lu s

co n n u

m e ttre

en

c h r o n o lo g ie

p la c e

p a g e

tra v a u x

le

q u e

C o m it é

un

d e

d o cu m en t

d e s fo n d s p ro p ­

te rm e

to u te

d a n s

d u

p e a u f in e r le

d 'a d é q u a t io n

s o u s

"accords de Bâle II", d e

d e

g é n é r iq u e

b a n q u e

a v e n ir

s e ra

p ro c h e

d e s

( v o ir

la

"C'est clairement une révolution pour tout le sec­ teur bancaire, car désormais le capital réglementai­ re devrait se rapprocher du capital économique, et pourrait se baser sur l ’identification et la maîtrise des risques par les banques elles-mêmes“ c o n f i r m e

p la n c h e

L e s c ro a rt, la

du

é v id e m m e n t , le s

q u e

le C o m i t é

r e s p o n s a b le

K r e d ie t b a n k

d e p u is q u e lq u e

d u

C r e d it a n a ­

L u x e m b o u rg , qui

Il n ' e m p ê c h e p a s

a tte n d u

d o it e n s u it e

p a s

v e a u té s

v e lle

ce

su r

la

b a se

d e

c r it è r e s

f é r e n c ié s q u e c e u x

d e

p lu s

g e s t io n

d e s

e x h a u s t if s

et

r is q u e s , p lu s

d é f in is d a n s c e q u i fu t, e n

d if ­

1988,

D e u x t y p e s d e r is q u e s s o n t , a u j o u r d 'h u i, a u c œ u r d e s

d é b a ts :

le

r is q u e

d e

c r é d it

et

le

r is q u e

o p é ra ­

ayant bien à l'esprit que lorsqu'on parle de gestion de risques, il ne s'agit pas de se limiter au seul fait de trouver des problèmes et de les résoudre" e x p l i q u e M a r k u s G e g i n a t , m a n a g i n g t io n n e l,

d ir e c t o r

"en

d e

s p é c ia lis é e

la

to u te

d a n s

le

n o u v e lle c o n s e il e n

s o c ié t é r is k

R is k

P a rtn e r,

m a n a g e m e n t, e t

p lu s p a r t ic u li è r e m e n t d a n s l ' a c c o m p a g n e m e n t d e la m is e

en

p la c e

d e

la

r é g le m e n t a t io n

r e la t iv e

aux

gestion du risque doit être saine et complète: elle doit couvrir l'ensemble des risques possibles - c'est-à-dire le risque crédit, ris­ que opérationnel, le risque de liquidité et le risque de marché - et ne doit générer aucun conflit d'intérêt entre ceux qui prennent les décisions et ceux qui en mesurent les impacts. Cela implique la création de nouvelles fonctions organisationnelles. Ce qui apparaît fondamental est que l'adéquation a c co rd s

d e

B â le

II.

"La

n 'o n t p a s a t t e n ­

p u b lie s e s p r o p r e s c o n ­

qui

d 'u n e

la

d o cu m e n t

m is e

p la c e

co n ce rn e

la

p r is e

en

a u tre m e n t

im p u t a b le s

d e s

n é c e s s it e

to u s

qui

‘ b r u x e l­

q u e lq u e s

c o m p te

d it à

n 'e s t et

e u ro p é e n n e

c o m p o rte

en

qui

e n co re ,

a d a p t a t io n

d ir e c t iv e

2 0 0 5 ),

f in a l,

m o is

p r o f o n d e u r . C 'e s t p a r e x e m p le

tio n n e m e n t s d e

le

q u e lq u e s

l'o b j e t d 'u n e

avan t

o p é r a t io n n e ls ,

ou

le p r e m ie r d o c u m e n t d e t r a v a il s u r le s u j e t .

f a ir e

d o n t

t r a v a il e n

m a t iè r e

q u e

avan t

lo is e ’ a u tr a v e r s

m in a t io n d e s f o n d s p r o p r e s in t è g r e n t a in s i u n e n o u ­ en

b an q u es

B â le

p e n c h e r s u r l a q u e s t i o n . "Un cer­ tain nombre d'outils a déjà été mis en place au fur et à mesure des années, car il faut bien voir que le monde économique évolue bien plus vite que le monde réglementaire. Bâle II, d'une certaine façon, n'a fait que valider et reconnaître un certain nom­ bre de ces outils" e s t i m e a i n s i M . G e g i n a t .

d o u te

t e m p s d é j à s u r le s u je t .

C e s n o u v e lle s r è g le s à a p p li q u e r q u a n t à la d é t e r ­

a p p ro c h e

d e

c lu s io n s p o u r s e

1 2 7 ).

ly s is d e p a r t m e n t à

B ie n

te n u e

TROIS PILIERS

a in s i T h ie r r y

CRÉER UNE CULTURE DU DÉFAUT

un

(s a n s n o u ­ g ro s

le c a s

d e s

en

r is q u e s

le s

d y s fo n c ­

e rre u rs

h u m a in e s

p r o c é d u r e s , t a n t in t e r n e s q u 'e x t e r n e s . C e la

t o u c h e t o u t e s le s b u s in e s s lin e s d 'u n e

b anq ue, du

c o rp o ra te

en

f in a n c e

p a r le t r a d in g

au

& s a le s ;

k in g ; le p a y m e n t a n d

r e t a il

b ro k e ra g e

p assa n t

le r e t a il e t c o m m e r c ia l b a n ­ s e t t le m e n t ; le s a g e n c y s e r v i­

c e s o u e n c o r e l'a s s e t m a n a g e m e n t . " L e risk management ne doit pas être assimilé à du problem solving, et beaucoup ont encore peur d'avoir à faire face à des problèmes ou des risques n o t e M . G e g i n a t . Accepter un risque, c'est accep­ ter que des gens puissent faire des erreurs, et non pas chercher à les ignorer et à les balayer discrè­ tement sous la moquette. Car, à ce rythme-là, ça finit toujours tôt ou tard par exploser! C'est aussi là que réside, pour bon nombre d'organisations, un changement radical de culture, une prise de cons­ cience qu'il est nécessaire de savoir identifier et prendre compte les risques et les erreurs. Il s'agit de créer une culture de défaut et d'instaurer un suivi de ce défaut".

paperjam

102002

Opérationnel 0 9 1


paperjam Dossier Le futur de la Place financière A u

n iv e a u

o n s d e

d e s

B â le

b an q u es,

a lo r s

q u e

le s

I é t a ie n t r e la t iv e m e n t p e u

d is p o s it i­

n o r m a t iv e s , le

p o n d é r a t io n f o r m u le

f in a le q u ' i l c o n v i e n t d e lu i a t t r ib u e r . U n e

m a t h é m a t iq u e a v a it é t é p r o p o s é e

e n j a n v ie r

n o u v e l a c c o r d o f f r e le c h o ix e n t r e la m is e e n p la c e d e

2001 ,

p lu s ie u r s m o d è le s d e c a lc u l d e c a p it a l, s e lo n

le p r in ­

c a t io n ,

c ip e

p e rm e t

I R B . " O r , le principe de base est tout de même que le choix d'une solution interne permette d'être, en moyenne, moins gourmand en termes de fonds pro­ pres que le choix d'une solution standard, ce qui n'était pas le cas avec cette formule" r é s u m e M .

que

p lu s

la

f o r m u le

d 'e s p é r e r u n e r é d u c t io n l'o r g a n is a t io n

à

m e ttre e n

E n m a t iè r e d e g e s t io n d if f é r e n t ia t io n

d e

d u

c a lc u l

re te n u e

m o n ta n t d u

c a p it a l, p lu s

p la c e s e r a s o p h is t iq u é e .

d e r is q u e , g lo b a le m e n t , u n e

e s t d é s o r m a is

in d is p e n s a b le

en

fo n c ­

t i o n d e la q u a l it é d u d é b i t e u r d u c r é d i t a c c o r d é . P o u r le s r is q u e s o p é r a t io n n e ls , t r o is p o sée s:

l’a p p r o c h e

d e

a p p ro c h e s

l’in d ic a t e u r

(u n

seul

in d ic a t e u r d e r is q u e o p é r a t io n n e l e s t a p p liq u é à l ’e n ­

b ie n

f é r e n t e s lig n e s d e

le

m esu ­

e lle

é t a it

c o u rs

d e

p o u r

l’a p p r o c h e

p é n a lis a n t e

m o d ifi­

d e v r a ie n t

ê tre

a p p liq u é e s ,

s e lo n

q u e

l'é t u d e

d u r is q u e d e c r é d it c o n c e r n e u n s im p le p a r t ic u lie r o u

un

la

e s t a u j o u r d 'h u i e n

D a n s le m ê m e o r d r e d 'id é e s , d e s f o r m u le s s p é c i ­

s t a n d a r d is é e ( d e s in d ic a t e u r s s o n t a p p liq u é s a u x d if ­ d e

c a r

f iq u e s

s e m b le d e s a c t iv it é s d ’ u n é t a b lis s e m e n t ) , l’ a p p r o c h e

m é t ie r ) e t l ’a p p r o c h e

e lle

L e s c ro a rt.

so n t p ro ­

u n iq u e

m a is

un e

e n t r e p r is e ,

v o ir e

une

c o lle c t iv it é

lo c a le

ou

E t a t. D a n s c e d e r n ie r c a s , u n e n o u v e a u t é d e t a il­ e st

é g a le m e n t

à

s ig n a le r :

B â le

II i m p o s e

é g a le ­

re in t e r n e , q u i s e b a s e s u r le s s t a t is t iq u e s in t e r n e s d e

m e n t d e c o n s id é r e r d e s r a t in g s p o u r c e t y p e d e c r é ­

p e r t e s p o u r l'e s t im a t io n

d it

P o u r ce d eu x

qui est d e

g ra n d s

p r in c ip e s

"standard",

d it e

d e s f o n d s p r o p r e s r e q u is .

la g e s t io n se

du

r is q u e

d é g a g e n t:

c 'e s t - à - d ir e

se

d e

une

b asan t

c r é d it ,

a p p ro c h e

d e

s o rte

l'A r g e n t in e co m m e

q u 'o n

ave c

ne

t r a it e r a

le m ê m e

p lu s

p r o f il d e

un

E ta t

co m m e

r is q u e q u 'u n

E ta t

la F r a n c e . . .

u n iq u e m e n t

s u r d e s d o n n é e s e x t e r n e s , fo u r n ie s p a r d e s a g e n c e s d e

n o t a t io n

re c o n n u e s;

ty p e

IR B

(In te rn a l

nom

l'in d iq u e ,

im p liq u e

d é v e lo p p e m e n t p lu s

d e

a s s o rti

"testé"

une

C e

d 'u n e

d e

la

a u tre

q u i,

p a rt d e

d e r n ie r

in t e r n e

co m m e

d e

la

de so n

b an q u e

n o t a t io n s

s y s tè m e

c o n t r a in t e :

p e n d a n t t r o is a n n é e s

le

in t e r n e s

est

é g a le ­

c e lu i

d 'ê t r e

G R O S

Le Com ité de Bâle Le

v a lid é ,

ce

T y p iq u e m e n t , p lu t ô t

q u i n 'e s t

"petites"

d e s

v e rg u re

o p t io n

au

le

c a s

d e

s ta n d a rd l'I R B

p o u r

é t a b lis s e m e n t

to u t

ave c

s e in

d e

d e

B â le

du

é ta n t

l'o b lig a t io n l'e n s e m b le

ch a u d e ­

d e

1974

re ch e rc h e

c ip a le s d é c is io n s

d e s f ilia le s e t

ENCORE DES INCERTITUDES

d u

C a n a d a , d e

la

trè s

in t e r n a t io n a u x , B â le

II

se

la

fe ra

m is e

so u s

g ra n d e

en

p la c e

le s

m a jo r it é

d e s

d e s

L u x e m b o u rg , d e

S u è d e , d e

S u is s e , d u

b a n ­

p ro c é d u re s

in d ic a t io n s

d e s

de

m a is o n s

p a r d e s é q u ip e s d é d ié e s .

une

le

d e s

c a s

ra re s

m a is o n s

la

m è re s

K r e d ie t b a n k ,

qui est

lu x e m b o u r g e o is e s ,

la

"Compte tenu des incertitu­ des qui demeurent, nous n 'avons pas encore arrêté l'approche définitive qui sera la nôtre. Ainsi, on n 'exclut pas encore de se limiter à une simple appro­ che standard car, à l'heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de mesurer le bénéfice à retirer de la mise en place d'une solution de type IRB" e x p l i q u e C o n c e rn a n t p ro c é d é

nant

à

a f in

une

une d e

sta n d a rd ,

s é r ie

d e

c la r if ic a t io n p o u v o ir

en

e x e m p le

p a rm i ta n t

d 'a u t r e s :

e n tre

p r o b a b ilit é

d e

la

F lo lla n d e , d 'E s p a g n e , d e

R o y a u m e -U n i et d e s e s t W illia m

d e

E ta ts -

J. M cD o n o u g h ,

la b a n q u e d e

r é s e r v e s f é d é r a le

Y o rk .

L e C o m it é

ne p o ssè d e

n e fo n t p a s fo rc e d e é té

a u c u n e a u t o r it é d e s u r ­

lo i; e l l e s n ' o n t d ' a i l l e u r s j a m a i s

p r é v u e s p o u r c e la . E lle s s e

m u le r d e

la r g e s

re co m m a n d e r d e s

s u it e , lé g if é r e r e n Le

C o m it é

d e

'c o n t e n t e n t ' d e f o r ­

n o r m e s d e s u r v e illa n c e e t d ir e c t iv e s ,

le s d if f é r e n t e s a u t o r it é s

C92 Opérationnel

d e s a p p ro c h e s

"best practices",

a f in q u e

n a t io n a le s p u is s e n t , p a r la

s u iv a n t le s m ê m e s d ir e c t io n s .

B â le

e n co u ra g e

p rô n e

paperjam

le

d é fa u t

10.2002

la

K B L

a

s im u la t io n s , d e s f a ir e

te x te s d e

m a is

c o n ce r­

m êm e.

c a lib r a g e d 'u n

d é jà

à

U n

r é a lis e r

d é b it e u r

et

la

et d e s

la c o n v e r g e n c e

ve rs

n o r m e s c o m m u n e s , m a is n e

p a s p o u r a u t a n t u n e h a r m o n is a t io n

d e s t e c h n iq u e s d e s u r v e illa n c e d e s S o n d e

o b je c t if e s t d e c o m b le r le s

s u r v e illa n c e

b a sa n t su r d e u x b a n c a ir e

l'a p p r o c h e

to u te

to u jo u rs

l'I R B

B e lg iq u e ,

d 'a d o p t e r .

T h ie r r y L e s c r o a r t .

a tte n d

et

v e i lla n c e s u p r a n a t i o n a le f o r m e lle , e t s e s c o n c l u s i o n s

r é f le x io n e s t t o u j o u r s e n c o u r s q u a n t a u m o d è le q u 'il c o n v ie n d r a

N e w

et d e

p a r t ic u lie r d e

c o m p te

q u i e s t d e s p r in ­

F r a n c e , d 'A ll e m a g n e , d 'I t a lie , d u

p r é s id e n t e t C E O

m è r e s , m a is d e v r a n é a n m o in s ê t r e t r a it é e e n in t e r n e ,

P o u r

in s t it u é

b a n q u e s

p r is e s .

Ja p o n , du

d e

q u e s é t a n t f ilia le s o u s u c c u r s a le s d e g r a n d s g r o u p e s

p o u r ce

A u j o u r d 'h u i, s e s m e m b r e s v ie n n e n t d e

d 'e n ­

ré p e rc u ­

G - 1 0 , a u p r è s d e q u i il r e n d

le u r a p p r o b a t io n

U n is . L e p r é s id e n t e n

L u x e m b o u rg ,

b a n c a ir e e s t u n

à l'in it ia t iv e d e s g o u v e r n e u r s d e s

c e n t r a le s d u

s u c c u r s a le s .

À

c o n t r ô le

b ie n t ô t t r e n t e n a ir e , p u is q u 'il a é t é

l'a p ­

co n ce rn e

b an q u es,

in t e r n a t io n a le ,

te r c e tte

p as

"immédiatement".

l'a p p r o c h e

re co m m a n d é e

C o m it é

o r g a n is m e en

p o u v o ir ê tr e

P L A N

c o n s é c u t iv e s a v a n t d e

p r o c h e s t a n d a r d , a p p lic a b le

m ent

a p p ro c h e

based)

s y s tè m e s

s o p h is t iq u é s .

m ent

et

r a t in g s

à

l'é c h e lle

d é t a illé e m e m b re s.

la c u n e s e n

m a t iè r e

in t e r n a t io n a le , e n s e

p r in c ip e s : a u c u n

é tra n g e r n e

p a y s

é t a b lis s e m e n t

d o it é c h a p p e r à

la s u r v e illa n c e ;

e t c e t t e s u r v e illa n c e d e v r a it ê t r e p r o p o r t io n n é e . C 'e s t e n

1 9 8 8 q u 'a

é t é é d it é

B â le , p r o g r e s s iv e m e n t m is e n d e s s e u ls p a y s en

m e m b r e s . D e p u is

c o u r s d e g e s t a t io n . S a

d ir e c t e m e n t u n e

le p r e m ie r a c c o r d p la c e

1999,

m is e e n

c e n t a in e d e

b ie n

p ays,

d e

a u - d e là

"Bâle II"

est

œ u v re c o n c e rn e

n


V o u s la t ê t e N o u s le s y s t è m e

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Inform atique Financière ■ N o s c lie n t s c o m p t e n t p a r m i le s p lu s p r e s t ig ie u s e s in s t it u t io n s f in a n c iè r e s in t e r n a t io n a le s . P o u r e u x e t a v e c e u x , n o u s m e n o n s u n t r a v a il d 'e x p e r t i s e r e p o s a n t s u r la c o n n a i s s a n c e d e l e u r s m é t i e r s e t s u r l ' i n n o v a t i o n t e c h n o l o g i q u e , e n t o u t e d is c r é t io n . L i n e d a t a S e r v i c e s m e t à la d i s p o s i t i o n d e s e s c l i e n t s l e s o u t i l s i n f o r ­ m a t i q u e s i n d i s p e n s a b l e s à l e u r s a c t i v i t é s d a n s l e s d o m a i n e s d e la G e s t io n

de

P o r t e f e u ille s ,

d es

C r é d it s

&

F in a n c e m e n t s

et de

l 'E p a r g n e d 'E n t r e p r is e . É d i t e u r , i n t é g r a t e u r e t p r e s t a t a i r e d e s e r v ic e s

G e s t io n d e P o r t e f e u ille s

A S P , n o u s a p p o r t o n s à la m a j o r i t é d e s a c t e u r s m o n d i a u x d u m a r c h é d e la F i n a n c e , l e s t e c h n o l o g i e s q u i c o n t r i b u e n t à l e u r s u c c è s .

C r é d it s & F in a n c e m e n t s

M a i s ç a a u s s i, b ie n s û r , c ’e s t u n s e c r e t . . .

www.linedata.com

L I NE DAT A S E R V I C E S Linformatique au service du monde financier international

E p a r g n e d 'E n t r e p r is e


paperjam D ossier Le futur de la Place financière "Au final, le but n 'est pas seulement de mettre en place un système de gestion de risques, mais un bon système" i n s i s t e M a r k u s G e g i n a t . E t , p o u r c e f a i r e , l e

d e

r ô le

n ’e s t ,

par

m ent

un

d e

l'a u t o r it é

p o u rq u o i

la

d e

t u t e lle

C o m m is s io n

f in a n c ie r ( C S S F ) s e

se ra

d e

p r é p o n d é r a n t . C 'e s t

s u r v e illa n c e

du

s e c te u r

p r é p a r e , e lle a u s s i, a c t iv e m e n t , à

“révolution". “Pour l'heure, notre activité de sur­ veillance est, en quelque sorte, un processus stan­ dardisé c o n s t a t e J e a n - N i c o l a s S c h a u s , l e d i r e c t e u r d e l a C S S F . Là, il y aura une analyse banque par ban­ que, avec des discussions approfondies quant aux interprétations des règles. Cela implique que nous allons avoir besoin de beaucoup de collaborateurs capables de comprendre et de transmettre leur savoir-faire aux banques ", c e tte

A in s i,

a c t u e lle m e n t ,

b re s d u

p e rso n n e l d e

f o r m a t io n

-

s o it

C o m m is s io n c e rn é e

un

u ne

a

d e

un

la

c in q u a n t a in e

p la c e

d e

m em ­

q u i s u it le u r s t a g e

q u a rt

t r e n t a in e

p a r la m is e e n

à l'a c c o r d Il y

-

su r

la C S S F

d e s est

d e s

e f f e c t if s

de

d e

d ir e c t e m e n t

la

co n ­

p r o c é d u r e s r e la t iv e s

B â le .

an,

un

q u e s t io n n a ir e

a v a it

é té

en vo yé

à

b a se s

de

d o n n é e s

p a r t ic u lie r s ,

d é fa u t,

p o u r

e x e m p le , p r o f il

à

A u

f in a l, l'u n e

d e s

b a n q u ie r s ,

ce sse

f in a l.

S u r

127

b a n q u e s

en

ayan t

œ u v re

ré p o n d u

ge", 9 3 ( s o i t 7 3 % ) e n v i s a g e a i e n t u n e dard" e t 3 4 i n d i q u a i e n t v o u l o i r s u i v r e d e s n o t a t io n s in t e r n e s e n La

b o n n e

q u e s

en

te rm e s

en

d e

r a is o n

m e su re s

c o n s id é r é e 39%

d e s

p ro c h e

d e

la

d e s

le

m an q u e et

le

r is q u e

p ré p o n d é ra n c e

d 'in ­

n o m b re

tro p

p lu s

é le v é e

s o p h is t iq u é e

l'a p p r o ­

u n iq u e

et

r is q u e

de

n o m b re

trè s

m o in s h o m o g è n e s .

d e s

d a n s

la

c o m p le x it é

d is p o s it io n s

du

sa n s

te x te ,

au

g ré

le

f a it

d 'a v o ir

une

d e s r i s q u e s p e r m e t d e r é d u ir e le s

c o û t s a t t e n d u s , e t d o n c d 'a v o ir u n e m e ille u r e s u p e r ­ v is io n

d e s c o û t s in d u it s p a r le s r is q u e s .

A u

re g a rd

b a n q u e s, d e m a in ,

d e

on

le

une

le s

e ffo rts

a u j o u r d 'h u i,

ne

l'im p o r t a n c e d a n s

to u s

d é jà

p eu t

q u e

m on d e

s 'e m p ê c h e r

p o u r r a it d e

p o ssè d e

d é p lo y é s

m a is

a v o ir

d e

d 'im a g in e r

to u te

é lé m e n t a ir e .

C e

t e lle

le c o n t r a ir e . . .

a p p ro c h e

S 'a s s u r e r

c a p it a u x

a c t iv it é s e m b le , d u

d é m a rc h e

le s p lu s

une

l'e n t r e p r is e .

a sse z

p ar

e n co re

p ro p re s

q ue

sa

a f in

de

re s te , ré p o n d re à ne

so n t

a c t io n n a ir e s d 'E n r o n o u d e W o r ld C o m

p a s

le s

q u i p e n se ro n t

n

e s t to u jo u rs et

e x ig e a n t e :

o n t a in s i in d iq u e r e n v is a g e r l'a p ­

l'in d ic a t e u r

un

d ’u n

m é c a n iq u e m e n t ,

p é r e n n is e r s o n

"risque opérationnel", le

a ille u r s ,

d e

le u r s

avec

il

f a c ile ­

c e r n é e s . " L e document de consultation du mois de janvier faisait 500 pages. J'ai déjà peur de voir celui publié en mai!“ s ' i n q u i è t e p r e s q u e M . L e s c r o a r t . “Bien sûr, Bâle II est relativement contraignant dans certains aspects de la mise en place des procédures c o n f i r m e M . G e g i n a t . Mais il s'agit également d'une opportunité pour une banque dans la mesure où cela permet, par exemple, une déduc­ tion des sûretés dans le calcul de la charge en capi­ tal. Dans certains cas, ces sûretés financières peu­ vent même contribuer à une charge en capital nulle“.

s o c ié t é

e x p li q u e n t , a u x y e u x d e la

e n t r e p r is e ,

d ’a s s o c ie r

d e s a p p o r t s s u c c e s s i f s d e c h a c u n e d e s p a r t ie s c o n ­

d e c r é d it

r é s u lt a t s .

in t e r n e

co m m e

b a n q u e s

d e

la m é t h o d e I R B

c o û t s / b é n é f ic e s

C o n c e r n a n t le v o le t d e s

g é n é r a l,

b a n q u e s e n co u ra n t un

C S S F , la p r o p o r t io n

ch e

en

“private banking",

a c t iv it é s

"sonda­ "stan­

c e

a p p ro c h e

c a p it a lis a t io n , le s r a t io s é le v é s d e s b a n ­

im p o r t a n t d e f a ib le ,

à

d is p o s it if

m a t iè r e d e r is q u e d e c r é d it .

lu x e m b o u r g e o is e s

c it a t if s

du

au

p r in c ip a le s c r a in t e s , a c t u e lle s ,

r é s id e

c r o is s a n t e

p ro b a n te

'p o r t e f e u ille ' é v id e n t

d is p o s e r

d e s

b o n n e s u p e r v is io n

m is e

fo rc e

c o n t r a ir e d ’ u n e c lie n t è le

im p o r t a n t d e d é b it e u r s , p lu s o u

P a r

la

un e

p o p u la t io n d e

in t e n t io n s

à

un p a s

d e

m o in s

t o u t e s l e s b a n q u e s d e la p la c e a f in d e c o n n a î t r e le u r s q u an t

ayant

p o in t d e v u e s t a t is t iq u e . A u

42%

A

G

E

N

D

A

l'a p p r o c h e

s t a n d a r d is é e .

La mise en place de Bâle II

LES ENTREPRISES APRÈS LES BANQUES?

- O c t o b r e 2 0 0 2 : la n c e m e n t d e la t r o is iè m e é t u d e d 'im ­ p a c t q u a n t it a t iv e

( Q .I .S .) r e la t iv e a u c a li b r a g e d e s

p a ra m è tre s - 2 0 d é c e m b r e 2 0 0 2 : r e m is e d e s c o n c lu s io n s d e s

P o u r l'h e u r e , m e n t p o s s ib le

a u cu n e q u an t à

d o n n é e

c h if f r é e

l'é v a lu a t io n

m is e e n œ u v r e d e B â le

d e

n 'e s t r é e lle ­

l'im p a c t d e

la

b a n q u e s s u r l'in f lu e n c e d ir e c t e d e s c o m it é d e

B â le

II s u r l e s b a n q u e s e t , a u - d e l à , - 2 è t r im e s t r e 2 0 0 3 : p u b lic a t io n

su r

l'e n s e m b le

d e

la

p la c e

f in a n c iè r e .

M a is ,

ce

c o n sé q u e n ce s

se ra

d 'o r d r e

t e c h n o lo g iq u e ,

p u is ­

q u e le s s y s t è m e s in f o r m a t iq u e s e t d e g e s t io n d e s r is ­ q u e s s e r o n t p a r t ic u liè r e m e n t s o llic it é s . " C ' e s t déjà budgétisé c o n c è d e T h i e r r y L e s c r o a r t , mais cela sera surtout nécessaire si nous retenons l'approche IRB, qui nécessitera un traitement plus poussé de nos bases de données et des informations historiques en notre possession. Du reste, en plus de compétences en statistiques, nous aurons un besoin très important en expertise sur le sujet, car nous ne pourrons évi­ demment pas faire n'importe quoi". L ’a p p r o c h e

IR B

re p o s e

a in s i

su r

l ’e x p lo it a t io n

du 3 è d o cu m en t d e

qui

a p p a r a ît c o m m e a c q u is , c 'e s t q u e l'u n e d e s p r in c ip a ­ le s

p r o p o s it io n s d u

II

d e

c o n s u lt a t io n - 4 è t r im e s t r e 2 0 0 3 : a c c e p t a t io n c o m it é d e - 2003

d e

l'A c c o r d

p a r le

B â le

- f in 2 0 0 6 : m is e e n

l'o r g a n is a t io n

p la c e d e s s y s t è m e s e t d e

n é c e s s a ir e à l'A c c o r d

d e

B â le

II d a n s l e s

b a n q u e s e t l e s a u t o r it é s d e t u t e lle - 2 0 0 4 : p u b lic a t io n la C o m m i s s io n

d 'u n e p r o p o s it io n

d e d ir e c t iv e

par

E u ro p é e n n e

- D é b u t 2 0 0 6 : le s b a n q u e s q u i u t ilis e n t le s m o d è le s IR B

et A M A

l'A c c o r d - A

d u

d o iv e n t d é m a r r e r u n e p h a s e p a r a llè le a v e c c o m it é

d e

B â le

p a r t ir d e 2 0 0 7 : m is e e n

p ro c é d u re s d e

B â le

a p p lic a t io n

c o n c rè te d e s

II n

paperjam10.2002 Opérationnel CQ5


paperjam KnowHow: Cadeaux d’affaires

... joie de recevoir. L'expression prend toute sa valeur dans le milieu professionnel, qu'il s'agisse de cadeaux destinés aux clients ou au personnel TEXTE OLIVIA AREND PHOTOS FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)

096

Opérationnel

papeuam 10.2002


paperjam KnowHow: Cadeaux d’affaires Q u 'u n

cad eau

s o it

d e s t in é

à

la

d is t r ib u t io n d e m a s s e à la c lie n t è le ou

à d e s a c t io n s

au

lo n g d e l'a n n é e -

m ent à N oël - , c o n n a ît r e du

b ie n

c ib lé e s to u t

e t p lu s s e u le ­

l'e n t r e p r is e n e p e u t

to u te s

le s

d is p o n ib ilit é s

plutôt des séances de dégustati­ on, souvent sous forme de cock­ tails 'wine & cheese'. Une entrepri­ se peut également offrir des cours d'œnologie, ou encore un dîner explicatif accords mets et vins ". Le

m a r c h é . Il e s t n é c e s s a i r e q u ' e l ­

le

p u is s e

d ia lo g u e r

avec

un

sp é ­

r e n o u v e lle m e n t

m is e

é g a le m e n t :

d o it

ê tre

de

si un c a d e a u

GUIDE

PRATIQUE

Quelques adresses utiles... M a g a s in s “s p é c ia lis é s ”:

f a it

c i a l i s t e a f i n d e d é t e r m i n e r , a v e c lu i,

l ' a n n é e d e r n i è r e a b e a u c o u p p l u , il

A la c a r te sàrl (vin)

l'im a g e

p r é c is é m e n t

f a u t t o u t e f o is le r é a c t u a lis e r . D a n s

p as

le

113, avenue du X septem bre L-2551 Luxem bourg Tél: 44 25 35, Fax: 44 01 40

q u 'e lle

v é h ic u le r . un

Il n e

ca d e a u

q u e lle

veut s 'a g it

q u i,

p o u r

r a is o n , v a

d e

f a ir e

n 'im p o r t e

t e r n ir l'im a g e

de

la s o c ié t é ! R è g le aux

d 'o r e n

d 'a f f a ir e s ,

m a t iè r e

p our

en

d e

a ss u re r

"retour sur investissement"', so n n e

qui

le

r e ç o it

l'o u b lie r d a n s d o it

d o n c

q u o i

un

ê tre

c e la

ne

c o in .

Le

s e r v ir a it - il

le

la p e r ­

d o it

p as

u t ile .

d 'o f f r ir

q u i n 'e n

A un

a au cu ­

Il f a u t a u s s i q u e

b ie n

G u y

le s

rê n e s

d e

so n

d e

q u i l'a

G o e re s,

S y n c h ro n e

c o u s in

une

re ch e rc h e

p lu s p a r t ic u liè r e , c o m m e c e la a é t é le c a s p o u r I p s o F a c t o lo r s d u f e s t ­

C u b a n a H u m id o r (cigares)

iv a l

2, rue Alphonse Weicker (centre com m ercial Auchan) L-2721 Luxem bourg Tél: 42 58 58, Fax: 22 41 35

du

f ilm

C in e n y g m a : une

le s

f a n t a s t iq u e in v it é s

c h a u v e - s o u r is

en

ont

p la s t iq u e . . .

e f f e t g a r a n t i! P o u r m e ttr e e n a v a n t u n e im a g e m o d e rn e Ip so

p our

F a c to

d 'e a u

et

a

un

g ra n d

fo u rn i d e s

c a n e tte s

b o u t e ille s

o r ig in a le s

lo r s

é g a le m e n t ,

qui

p re n d

a n d s - c o lle c t io n n e n t le s c a n e t t e s ,

à

s u it e

le s c o n s e r v e n t e t a s s o c ie n t à c e t t e

la

R o b e r t ( v o ir l 'e n c a ­

CADEAUX PALPABLES... ET AUTRES

e n t r e p r is e d e s

le

d o m a in e

E t ie n n e

C o llin ,

une

p r é c is e

p u is q u e

id é e

p o s it iv e .

la le

S té p h a n e

P u p it a ,

LARGE GAMME, PERSONNALISATION ET GRAVURE La peut

g am m e a lle r haut

d e s

p r o d u it s

ju s q u 'à

d es

v o l,

il

d 'a s s o c ie r

et

lo r s

d 'u n

c lie n t s ,

du

v in ,

trè s

œ n o lo g u e

et

Ip so

F a c to

s é m in a ir e s ,

u t ile

p ro p o se ,

d 'o f f r ir

im m é d ia t e m e n t

f é r e n c ie r , . . . ) ,

t a n d is

un

le s

V in o

V e r it a s

l'e n c a d r é ca d e a u x

so n t

"Bien sûr, les bouteilles de vin en coffret cadeau, les sommeliers personna­ lisés, les carafes et verres gravés, les livres ou encore les coffrets d'arômes sont très prisés. Mais, pour les séminaires d'entreprise par exemple, nous organisons fo rc é m e n t

S y n c h ro n e

p .1 3 0 ), ne

m a t é r ie ls :

pour sa d e s

p a rt

m a rq u e s

C h r is t o f le ,

( s t y lo ,

p ro p o se d e s

n o ta m m e n t

o b je ts

(O m e g a ,

re s ,

o u v r e - b o u t e ille s ,

o b je ts

d e

s in

du

d e

b u re a u en

et de

s o n n a lis a t io n

m o n t­ c a n ifs ,

b a rs

(v e r­

a rg e n t a v e c

d e s­

L u x e m b o u r g ,...) ,...

p a r s e s s o in s .

g ra n ­

L o n g in e s ,

D u p o n t...)

g ra v é s

E n t o u t c a s , la p e r ­ re ste

d e

gravures) 105, avenue du X septem bre L-2551 Luxem bourg Tél: 44 85 35, Fax: 45 75 65, w w w .synchrone.com M a g a s in s “G é n é ra lis te s ” : F o rm P u b lic ité (publicité sur objets, brode­

rie, sérigraphie) 18a avenue Sébastopol F-57070 Metz Tél: +333 87 21 12 62, Fax: +333 87 35 05 08 Ip s o F a c to (objet publicitaire - com m unica­ tion visuelle) Bâtim ent Celula 63-73, route de Dudelange L-3222 Bettem bourg Tél: 55 44 58 31, Fax: 55 44 84 P u b lic h ic & P ro m o c h o c

(cadeaux d'affaires, cadeaux publicitaires) 34, Val Sainte-Croix L-1370 Luxem bourg Tél: 44 08 22, Fax: 45 87 17

co n ­ a u tre ,

à c a r a c t è r e f a m ili­

S .T .

r e s , p la t e a u x

lo r s

cad eau

q u 'u n

a l, s e r a d i s t r i b u é à la f in .

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m êm e

é v é n e m e n t . P a r e x e m p le , p o u r s e s

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S y n c h ro n e sàrl (objets haut de gam m e et

co m ­

m e r c ia l c h e z I p s o F a c t o : "inutile d'essayer de faire porter une cas­ quette remplie de logos voyants à qui que ce soit, aussi belle en soit la matière".

a s s o c ié , a v e c le s o m m e lie r F r a n c is d 'ln

P ou r

s e r a d e m is e , c o m m e

p lu s

In V in o V e rita s C o n s u ltin g (vin et objets du vin) 50, rue de Koerich L-8437 Steinfort Tél: 39 56 88, Fax: 39 56 89, ivvc@ pt.lu, w ww .invinoveritas.lu

le s

"classiques",

cad eau x

d is c r é t io n

d e

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c lie n t ,

s u r t o u t le s je u n e s , t r è s f r i­

trè s

p r é c is e

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B in g o

"L'équipe est la force qui fait avancer une entrepri­ se. Elle est en droit d'attendre un remerciement, via un geste un peu plus personnel. Après une certaine ancienneté, un salarié peut rece­ voir une prime, durant une fête, un cadeau plus personnel, comme une montre gravée à son nom. Du point de vue de la valeur monétai­ re, la prime est supérieure, mais le plaisir que cette attention accor­ dée par l'entreprise procure est sans commune mesure. C'est une forme de rémunération complé­ mentaire".

D ans

n é c e s s it e n t

événe­

g en s -

d r é p . 1 3 3 ), a jo u te :

p r is é ,

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d e s f o ir e s , a v e c d e s ig n a n n é e s 6 0 .

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s t y lo à q u e lq u 'u n

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m êm e

m is e ,

R itilu x S .A .

48, avenue de la Liberté L-1930 Luxem bourg Tél: 48 56 54, Fax: 48 54 17, ritilux@pt.lu S a lt a n d P e p p e r (com m unication visuelle)

49, boulevard Dr Charles Marx L-2130 Luxem bourg Tél: 48 10 05 1, Fax: 40 07 79, sppub@ vo.lu S. F e lte n (cadeaux publicitaires et d'affaires)

21, rue de Goeblange L-8392 Nospelt Tél: 30 81 92 1, Fax: 30 87 07 n

paperjam

102002

Opérationnel 0 9 7


co m m e

en

G u y G o e re s

t é m o ig n e

pour ce

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qui co n ce rn e

"Cela arrive que nous asso­ cions du vin à un objet. La tendan­ ce actuelle, c'est de diminuer les quantités de vin offertes pour pri­ vilégier la qualité. Par exemple, un patron veut savoir à qui va être destiné précisément le cadeau, et fera en sorte que les exceptions soient prises en compte, comme c'est le cas pour un client qui ne boit pas de vin, mais uniquement du whisky". le v in :

S té p h a n e

P u p it a

n 'e s t p a s d 'u n

"Pour cer­ tains clients, il s'agit de grande distribution auprès du public pour véhiculer leur image de marque en rappelant simplement le logo d'un nouveau produit, les couleurs de la compagnie sur des stylos, des tshirts, des parapluies,... Mais il peut s'agir également d'objets d'une catégorie supérieure, en quantité inférieure, qui seront destinés à un public ciblé, où cha­ cun recevra par exemple un objet à son nom, comme un portedocuments en cuir ou encore une calculatrice design". D ' o ù l ' i m p o r ­ a u tre

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098 Opérationnel paperjam10.2002

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p a r e r u n e é v e n t u e lle d é f e c t u o s it é . Et

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N o k ia son 8910,

V IP

une

p e rso n ­ é t iq u e t t e

“Il y a dès lors un travail avec l'agence de communication, qui donne ses impératifs graphiques et chroma­ tiques. Nous prenons en charge les mentions légales à mettre sur l'étiquette, sa réalisation et son collage". L a p e r s o n n a l i s a t i o n d e s d é d ié e

à

LE

l'é v é n e m e n t :

VIN:

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C o llin

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in s é r é

p y ro g ra b o u t e ille c o n t in u e :

“Dans un séminaire, un sommelier gravé au nom de la personne ou de la société, inséré dans un coff­ ret de pralines, et offert après

VALEUR

SURE

Etienne Collin, In Vino Veritas Consulting “J'ai été formé à la Faculté d'œnologie de Bordeaux, tandis que mon associé, Francis Piraux, est un sommelier issu d'une école hôtelière. Nous sommes complémentaires et, il y a 5 ans, nous avons créé In Vino Veritas Consulting, qui a fait tout d'abord du négoce pour la res­ tauration et des cours d'œnologie. La division cadeaux d'affaires et objets du vin s'est greffée il y a deux ans. Nous proposons des services de communication œnologique en entreprise. Le vin représente un vecteur de communication très appré­ cié aujourd'hui. Des gens de milieux différents, de diverses cultures peuvent se réunir autour de ce point commun. Il peut devenir aussi un véritable objet de luxe: offrir un grand vin est presque aussi précieux qu'offrir un bijou. Et quel plaisir que de découvrir un vin original, méconnu, au rapport qualité-prix extraordinaire, ou bien de goûter aux grandes collections et vins d'exception, comme nous le faisons dans les formations, teambuildings et autres incentives que nous (co)organisons! Certains clients ont besoin de cadeaux prestigieux avec des noms connus et, pour les satisfaire, nous sommes en contact avec les grands négociants du Bordelais et les grandes propriétés d'autres régions viticoles. Mais nous travaillons également en direct avec des propriétés extrêmement sélectionnées de vins de très bons rapports qualité-prix que, souvent, on ne trouve pas ailleurs. Ces vins sont beaucoup plus destinés aux connaisseurs et aux véritables amateurs de très bons vins. Enfin, les objets du vin sont des cadeaux idéaux, qui peuvent être ou non personnalisés, prestigieux ou non, combinés ou non. On peut offrir une bouteille de vin dans un coffret et, à l'intérieur du coffret, on trouve un sommelier personnalisé non périssable. Ou encore des paniers gourmands composés de foie gras auquel on associe un vin liquoreux, voire un coffret 3 bouteilles dans lequel la 3è est remplacée par une terrine de foie gras, du confit d'oignons aux noix et un ballotin de truffes au chocolat... Dans le cadre d'un teambuilding pour une grande société d'assuran­ ce qui visait à resouder l'équipe, nous avons été chargés d'organiser, lors de la soirée qui suivait les activités, une initiation à la dégustation, avec vins et fromages. Après un verre ou deux, on peut dire que les tensions qui pouvaient exister entre les gens s'étaient dissipées... in vino veritas!" n


Vos références

Toute votre pub licité

Show Room: 18a Avenue de Sebastopol - 57070 Metz Tél.: +33 3 87 21 12 62 - Fax: +33 3 87 37 05 68 www.form-publicite.com - form.publicite@wanadoo.fr


P R O L IN G U A Language Centre - Form ations Langues 4 , place de Strasbourg L -2 5 6 2 Luxem bourg w w w .p ro lin g u a .lu e -m a il: in fo @ p ro lin g u a .lu T é l.4 0 3 9 Fax 4 8 61

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« fa r te BVancbe” C o u rs

'en ° 'm A Z S entrePnse

m e su re

■ matin, midi ou soir OU

■ groupes d e 3 à 6 personnes ■ n o u v e a u * cours du samedi matin Centre d’examens__________ London Cham ber of Commerce and Industry L .C .C .I Chambre de Commerce et d'industrie de Paris C .C .I.P Test o f English fo r International Com m unication T .O .E .I.C Test de Français International T .F .I


paperjam KnowHow: Cadeaux d’affaires une dégustation de vins et cho­ colats, a un impact très important et bénéfique pour la communicati­ on de l'entreprise!" Le s

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Passage de relais chez Synchrone

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b e s o i n s , a u f il d e l 'a n n é e , d u c l i e n t .

S y n c h r o n e ( d o n t le s 4 p ilie r s s o n t le s c a d e a u x ju b ila ir e s , le s c a d e a u x d 'a f f a ir e s , le s g iv e a w a y e t la g r a v u r e ) a é t é c r é é e e n a c t iv it é f a m ilia le q u i s e f a is a it a u p a r a v a n t à

s a b l e d e S y n c h r o n e ( il a r e p r i s

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S té p h a n e

P u p it a : “Cela s'est directement décliné dans les calculatrices, les stylos, les montres de type 'Swatch', qui connaissent toujours un grand succès et peuvent être entièrement designées aux cou­ leurs d'une entreprise... qui pourra être sûre que les jeunes vont la por­ ter", c o m m e n t e - t - i l . I d e m p o u r l e m é la n g e d e s m a t iè r e s , c o m m e l'a l­ u m in iu m

e t le b o is ,

n

d e G o e r e s H o r lo g e r ie ) ,

G o e r e s (à d r o it e s u r la p h o t o ) q u i a p r is le s c o m m a n d e s d e

S y n c h r o n e , n o n s e u le m e n t d u

fo rc é m e n t

d e

la d ir e c t io n

"Auparavant, je m'occupais à la fois de Synchrone et de l'horlo­ gerie. Ces deux activités ont connu une telle croissance que nous avons dû les séparer. Le processus ". e x p liq u e :

s u rto u t p o u r c e q u i c o n c e rn e nom ènes

1 9 9 7 s u it e à u n e

l'h o r lo g e r ie G o e r e s e t n 'a v a it

j a m a is é t é s é p a r é e . R o b e r t G o e r e s ( à g a u c h e s u r la p h o t o ) , e x - r e s p o n -

C 'e s t G u y

EVOLUTIONS? Il n ' y

L

P u p it a .

lig n é e

le

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"Un objet ordinaire, tel qu'une casquette, peut devenir très attrayant, simplement en jouant avec les structures du textile, les couleurs, afin de la modeler totale­ ment puis, au dernier moment, d'y intégrer au mieux un logo", c o n t i ­ D ans

A H

---------- SSh I -***

p a n to n e s .

n u e S té p h a n e

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d e s g r a v u r e s d e s p r o d u it s , m a is

la s t r a t é g ie : p lu t ô t q u e d 'ê t r e e n a t t e n t e d u

c lie n t , S y n c h r o n e s e v e u t p r o a c t iv e , a f in

d e d é v e lo p p e r c e

m a rc h é

p o r­

te u r. G u y G o e r e s e x p l i q u e : " L e processus de reprise a débuté avec l'année 2002, mais j'avais déjà un pied dans le secteur puisque, il y a 6 ans, j'ai créé la société A l a c a r t e , qui commercialise du vin, surtout français, majoritairement pour les cadeaux de fin d'année. Je m'occupe du choix du vin et de la distribution directe chez le client. Dans ce cadre, avec Synchrone, nous allons évidemment continuer à créer des coffrets spé­ ciaux comprenant du vin et un objet gravé“. C a r t e lle e s t la v a le u r a j o u t é e p r in c ip a le q u 'a p p o r t e S y n c h r o n e à s e s o b j e t s ( m o n t r e s , s t y lo s , o u v r e - b o u t e ille s , c a d r e s p h o t o s , p la q u e s , . . . ) : s o n s a v o ir - f a ir e e n d e a c o rp o ra te

g ra v u re , q u i p e rm e t d e id e n t it y d e

o ffe r t le c a d e a u , à la d a t e m e n t n u m é r iq u e d e

p e r s o n n a lis e r le s o b je t s e n f o n c t io n

la s o c ié t é , a u d 'u n

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d e

la p e r s o n n e à q u i e s t

é v é n e m e n t, e t e s t p o rté e

p a r u n é q u ip e ­

p o in t e q u i p e r m e t la g r a v u r e s u r m é t a u x p r é c ie u x e t

d u r s a in s i q u e s u r le p la s t iq u e . L 'in v e s t i s s e m e n t e n g r a v u r e e s t à l'o r d r e d u j o u r c h e z S y n c h r o n e , d a n s l e b u t d e " proposer une gamme plus com­ plète au niveau matériel. Actuellement, la machine ne fait que graver. Nous voulons pouvoir disposer des matières premières, notamment pour couper le métal sur mesure... et ainsi répondre encore plus vite aux demandes des clients", i n d i q u e G u y G o e r e s . L e s o b j e c t i f s d e S y n c h r o n e p o u r 2 0 0 2 : a s s u r e r la c o n t in u it é e n c lô t u r a n t la t r a n s i t io n

e n tre

R o b e r t e t G u y G o e r e s , e t a c c u e illir le s c lie n t s d e

S y n c h r o n e d a n s le s n o u v e a u x p o u r l'a n n é e re n fo rt,

p r o c h a in e ?

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102002

Opérationnel

101


paperjam KnowHow: Leasing

T to u v e r v o it u r e à s o n p ie d Pas toujours facile de déterminer le bon modèle et la bonne marque dans un budget donné... avant d'aller frapper à leur porte, voici les conseils des leasers TEXTE OLIVIA AREND

102

Opérationnel

paperjam

102002

PHOTOS FRÉDÉRIC Dl GIROLAMO (BLITZ)


paperjam KnowHow; Leasing ■

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d e s o c ié t é

m a t iq u e m e n t c it é e c o m m e v o it u r e t y p e , m a is V in c e n t

i n v e s t i s s e m e n t u t ile a u s e n s le

H e n n e a u x c o n s e i ll e é g a l e m e n t l 'A u d i A 3 s i le b u d g e t

p lu s t e r r e à t e r r e d u t e r m e : e lle f a it p a r t ie d e l 'im a ­

le a ­

l e p e r m e t : "la Golf, toujours si présente, est un choix rationnel, puisqu'elle est très bien cotée au niveau de sa valeur résiduelle de revente, ce qui influence posi­ tivement le prix du loyer de leasing“, c o m m e n t e - t - i l .

2 0 0 1 , le s e n t r e p r is e s lu x e m ­

M a is e lle p e u t t o u t e f o is t r e m b le r , d 'a u t a n t p lu s q u 'e l ­

q u e m e n t c h e z le s e s t b ie n

g e

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s e r... e n to u t c a s , e n b o u r g e o is e s d e 2 0 .5 1 1 f u ll

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p a r c ) e t p r é s i d e n t d e l a F L L V : “En fonction du budget alloué et de la durée du contrat, LeasePlan va tenter de fournir la voiture qui aura la meilleure consommation, le moins de risques techniques, la meilleure valeur résiduelle, la meilleure image pour l'entreprise et le conducteur en question". en

D es

c o n d it io n s

s u p e r v is o r

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V in c e n t F le n n e a u x , a c c o u n t

H e rtz L e a s e

(2 .5 0 0

v o it u r e s

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"L'objectif du leaser est de fournir le meilleur rapport qualité-prix, et ce en toute objectivité. Le profil du véhicule est défi­ ni selon le kilométrage dans certaines sociétés: à budget identique, quelqu'un qui fait 60.000 km par an aura droit à une voiture de catégorie inférieure par rapport à quelqu'un qui n'en fait que 15.000. La situation familiale, les loisirs pratiqués, les goûts en général pèsent également dans la balance". p a rc ),

Id e m

d é f in it c o m m e

t e lle s

:

p o u r le s c o n d it io n s d ’ e m b a u c h e .

I s a b e lle L e a s e P la n ,

P ré v ô t, p o in t e

d ir e c t r ic e

c o m m e r c ia le

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de

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l u i a u s s i , e t p a r f o i s n é g l i g é : " C ' e s f la qualité du service après-vente. Un conducteur aura l ’impres­ sion d'avoir choisi un 'masterpiece', mais le servi­ ce après-vente ne correspond pas aux attentes qu'il pouvait avoir. C'est lourd de conséquences! Cela fait partie de nos missions d'anticiper ce pro­ blème et de nous interposer entre le conducteur et le constructeur - ou le garage - si besoin est".

MY FIRST CAR sa n s

u n c a b in e t d e c o n s u lt in g a n s

d 'e x p é r ie n c e

5 0 .0 0 0

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c a r r iè r e :

le s v a le u r s m o n t a n t e s s e

b o u s c u le n t a u p o r t illo n . A u x yeux d e B o b W a lt é , "la nouvelle Renault Mégane va innover et devrait bien fonctionner, grâce à son équipement et à une cible plus jeune. Il ne faut pas oublier la Toyota Avensis Verso, un monospace compact très récent qui, en bonne japonaise, offre un bon rapport qualité-équipements-prix. Sans surprise, la nouvelle Audi A3 devrait être la nouvelle reine du leasing. L'actuelle A3, très fiable, est elle-même très prisée sur le marché de l'occasion: pour les jeunes, neuve, elle n'est pas toujours accessible... donc sa demande est automatiquement renforcée au second degré, après 2 ou 3 ans". La

P eu g eo t

( L e a s e P la n Je an

e lle

l'u n a n im it é

la c o n s id è r e d é j à c o m m e u n

307

f a it

quant

à

"classique").

K e r s c h e n , d ir e c t e u r d 'I n t e r le a s in g e t v ic e - p r é s i­

d e n t d e la F L .W , e s t im e d 'a i ll e u r s d a n s le m ê m e s e n s q u e "Peugeot, avec la 307, a créé une voiture au rap­ port qualité-prix imbattable dans sa catégorie! Elle distance la Golf. Les marques françaises reviennent bien sur ce segment des voitures moyennes : aupa­ ravant, sur plus de 1.200 voitures en parc, j'avais peut-être une ou deux 306. La Golf 5 sera présentée au mois de septembre, tandis que la 307 est sortie en 2001. Pour moi, cette dernière a donc une meilleure valeur de revente, à utilisation équivalente“. A u r a y o n d e s v o i t u r e s "coups de cœur" - q u i n ' o n t p a s u n e v a l e u r r é s i d u e l l e a u s s i b o n n e q u e l e s "clas­ siques" - , c ' e s t l e s t y l e d e s A l f a R o m e o 1 4 7 e t 1 5 6 q u i tro u v e

g râ c e

ch e z

le s

le a s e r s , d e s

v o it u r e s

p lu s

“Et pour­ quoi pas la Peugeot 206 cc, d'autant plus que, comme beaucoup de cabriolets, elle est déjà bien cotée sur le marché de l'occasion? Ou encore une Toyota Corolla?", s e d e m a n d e V i n c e n t F l e n n e a u x o r ig in a le s q u e

la

G o lf, v é h ic u le

de

m asse.

a v a n t d 'a j o u t e r q u e c e t t e d e r n iè r e n 'e s t p a s s o u v e n t

Q u e c o n s e ille n t le s le a s e r s d u s u lt a n t c é lib a t a ir e ,

le a r r iv e e n f in

e n fa n t,

m a rc h é à un c o n ­ q u i t r a v a ille

d ans

IT , a e n t r e 2 5 e t 3 0 a n s , 5

p r o f e s s io n n e lle

k ilo m è t r e s p a r a n ?

et

r o u le

e n v ir o n

c h o is ie , a lo r s q u 'e lle e s t "relativement bien consi­ dérée en occasion, et très fiable". L a "jeep" R a v 4 r e n ­ c o n t r e s e s s u f f r a g e s é g a l e m e n t : “il y a des sociétés qui veulent limiter les catégories de voitures accep­ tées mais, de plus en plus, le choix est laissé à l'utili­ sateur...", c o n t i n u e - t - i l .

paperjam

102 Q 0 2 OpératiOnnel

103


paperjam KnowHow: Leasing POUR UN CADRE MOYEN À SUPÉRIEUR D a n s q u e lle v o it u r e c e c o n d u c t e u r d e 4 0 a n s q u i t r a ­ v a ille d a n s u n e e n t r e p r is e d e s e r v ic e s p a r c o u r r a it - il s e s 3 0 .0 0 0

km

a n n u e ls ?

to u jo u rs p a s d e

s e t a ille n t la p a r t d u (a u tre s

c h o ix :

P a rm i

s u r p r is e : c e

le s

v é h ic u le s

s o n t le s

lio n p o u r L e a s e P la n

v o ir

l'e n c a d r é

p.

c la s s iq u e s ,

B M W

1 3 9 ).

K e rs c h e n c o m m e n te : "C'est un nouveau type de véhicule qui est de plus en plus demandé, ainsi que les monospaces. Beaucoup de gens les considèrent comme une alternative, parce qu'au fur et à mesure de l'âge, et pas forcément de la carrière, les besoins de place sont de plus en plus importants. Il y a de plus en plus dans notre clientèle de gens qui ont 2, 3 voire 4 enfants. Donc un type normal de véhicule n'est plus tenu en compte". L e s Je a n

s é r ie 3 q u i

e t I n t e r le a s in g I s a b e lle

P ré v ô t

e s t i m e q u a n t à e l l e q u e "pour certains conducteurs, ta BMW reste un signe extérieur combinant réussite pro­ fessionnelle et dynamisme". L a B M W r e v i e n t é g a l e m e n t c h e z H e r t z L e a s e , a v e c la s é r i e 5 , b ie n q u ' e l l e s o i t e n f in

co u p é s

M e rc e d e s

d e s t in é e

à

M e rc e d e s

est

des

p a r f o is

p e rso n n e s

C la s s e

H enneaux, ou

p e rçu e

E,

p lu s

v a le u r

e n co re

la

com m e âgées,

une

si

m o n ta n te

ce

v o it u r e n 'e s t

s e lo n

la

V in c e n t

M e rc e d e s S L K , c o u p

d e coeur

d e J e a n K e r s c h e n . A u t r e s v a le u r s m o n t a n t e s p a r e x e m ­ p le :

la

V o lv o

S60,

dont

on

r e c o n n a ît

le s

q u a lit é s

de

s é c u r it é e t d e p la is ir d e c o n d u it e . P a rm i

le s

co u p s

d e

cœ u r,

r e t ie n d r a

s u rto u t

la

"probléma­ tique" q u i e n t o u r e l a v o i t u r e : "C'est un véhicule rarement choisi, en raison de son image, mais dont la qualité de fabrication, les finitions et les qualités routiè­ res sont très élevées. Skoda appartient maintenant au groupe VW, il faut le savoir. Son rapport qualité-prix est excellent. Malheureusement, nos valeurs de revente sur le marché sont encore trop faibles pour que cela devienne une étoile montante proprement dite. Mais c'est un véhicule qui a l'étoffe pour le devenir". P a r m i S ko d a

le s

S u p e rb . Je a n

p a r t ic u lie r s ,

la

K e rsch e n

e x p liq u e

p é n é t r a t io n

d es

la

S ko d a

F a b ia

et

O c t a v ia e s t d 'a ille u r s d é j à b ie n e n r o u t e .

VOITURE DE "CHEF D'ENTREPRISE" U n a s s o c ié - g é r a n t d e f id u c ia ir e d e 5 0 a n s q u i e m p lo ie une

v in g t a in e

k ilo m è t r e s une

de

p e rso n n e s

par an

v o it u r e

c la s s iq u e s

de

se

v e r r a it

et

r o u le

c o n s e ille r

h a u t s t a n d in g , c e la

c h o is ir o n t

C la s s e E , u n e B M W

une

A udi

va A 6,

e n v ir o n

2 0 .0 0 0

par

le a s e r s

d e

le s

s o i.

une

L e s p lu s

M e rc e d e s

s é r i e 5 . P lu s o r ig in a l, la B M W

X 5 , la

L e x u s R X 3 0 0 e t la M e r c e d e s M L . P a r m i le s v a le u r s m o n t a n t e s , o u t r e le R e n a u lt V e ls a t is dont

L e a s e P la n

r e t ie n t d e p lu s e n

r e t ie n t p lu s

le d e

"confort exceptionnel", o n "SUV" ( s p o r t u t i l i t y v e h i c l e s )

d u s t y le M e r c e d e s M L , B M W

X 5 o u e n c o r e V o lv o X C 9 0 .

s p o r t if s

so n t

le s

co u p s

d e

cœ ur

C h e z

L e a s e P la n ,

le s

fa v e u rs

vont

à

l'a v a n t - g a r d is t e

R e n a u lt A v a n t im e , à la J a g u a r S - T y p e ( c h o is ie é g a l e m e n t par

H e rtz L e a s e ),

qui

n 'e x is t e

m a lh e u r e u s e m e n t

p a s

en

"la Lexus GS300, fiable, n'est pas mal considérée.... Et on sort des habituelles voitures allemandes!" d ie s e l,

et

à

la

B M W

M 3.

P ou r

V in c e n t

H enneaux,

Q u i d it v o it u r e h a u t d e g a m m e d it a c c u m u la t io n d e c e r ­ ta in e s

on

c a b r io le t s

"L'état d'esprit est le suivant: le premier véhicule, pour se rendre au travail, sera un 'fun car' comme le nouveau coupé Mercedes CLK ou encore l'Audi A4 cabriolet, tandis que le deuxième véhicule sera un monospace".

d e c a r r iè r e . L a m a r q u e a u n e im a g e s p o r t iv e , a lo r s q u e la

et

d 'I n t e r l e a s in g :

o p t io n s ,

qui se

p o u r le v é h i c u le c o m b le r c it e n t

le

“trou"

d e v r o n t d 'ê t r e

u t ile s , v a l o r is a n t e s

s in o n , g a r e à la f la m b é e d an s

p r in c ip a le m e n t

la

la

v a le u r

du

r é s id u e lle !

p e in t u r e

lo y e r p o u r

Les

m é t a llis é e ,

l'a ir

le a s e r s c o n d i­

t io n n é , le t o it o u v r a n t ( to u t c e c i é t a n t v a la b le p o u r t o u t e s le s c a t é g o r i e s d e v o it u r e s ) , m a is a u s s i l e s s i è g e s e n c u ir e t,

d e

p lu s

en

p lu s ,

le s

s y s tè m e s

d e

n a v ig a t io n

(G P S ),

l'a n t i c a r - j a c k in g , l'in s t a ll a t i o n t é l é p h o n e , le c h a r g e u r C D . C e r t a in e s

o p t io n s

se ro n t

d o n c

v iv e m e n t

c o n s e illé e s

"Nous essayons d'orienter le tir: Pour les voitures de haute caté­ gorie, la climatisation et le cuir sont des options qui aident à valoriser: un véhicule de 40.000 Euro sans climatisation ne sera pas facile à revendre! Idem pour une voiture blan­ che, qui sera un excellente support publicitaire, mais très difficile à revendre". aux

c o n d u c te u rs ,

co m m e

le s o u l ig n e

B o b

W a lt é :

LES ALLEMANDES, LE DIESEL... ET LES RISQUES Les que

v o it u r e s

c e r t a in

sur

a lle m a n d e s le

m a rc h é

re n c o n tre n t d e

la

un

lo c a t io n

su ccè s à

lo n g

p lu s

te rm e .

I s a b e l l e P r é v ô t e n e x p l i q u e l e s r a i s o n s : "La valeur de revente après 3 ou 4 ans - c'est-à-dire en fin de contrat de leasing - est nettement supérieure à celle des autres voitures, en général. Même si son kilométrage est élevé. En Espagne, une enquête sur la flotte de LeasePlan a démontré qu'au niveau du nombre de jours d'immobilisa­ tion sur une année pour raisons techniques, 3 des 5

K O M P ffE S S D R —— 5j

M IN I

* \

104

Opérationnel

paperjam

10.2002


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te n d a n c e :

en

g é n é r a l,

d an s

to u s

le s

ty p e s

de

v é h ic u le s q u e l'o n v a r e n c o n t r e r , b e a u c o u p s o n t d e s d ie ­ s e l s . "Pour faire un calcul de leasing valable, il faut partir d'un budget qui comporte tous les frais, même si le cli­ ent désire par la suite ne pas incorporer à son loyer le carburant, n o t e e n c o r e V i n c e n t H e n n e a u x , parce que ce carburant rentrera directement dans les coûts du véhicu­ le". E t c ' e s t l à q u e l e s l e a s e r s f o n t r e m a r q u e r q u ' u n d i e ­ s e l c o û te e n tre 3 5 e t 5 0 %

qui se

t r a d u it p a r u n e f o r t e

l'o c c a s io n , m ê m e f a c e à u n O n

l'a u r a

e ille n t

p as

c o m p r is : le s

avec

lo g iq u e , n e v e u le n t p a s

d e

b u d g e ts

de

I ls

l'o c c a s io n ,

ne

et

s a u te ro n t

si

sont

le s

p re n d re d e une

n e re cu ­

c lie n t e s

e lle s - m ê m e s :

K e rsch e n :

g é n é r a l,

un

c lie n t

une

d e m a n d e ra

v é h ic u le

d 'u n

d 'a r r ê t

p ré m a tu ré

d é p a rt d 'u n

525D

e t R e n a u lt E s p a c e -

B M W

X 5 30

D (e n tre

s o c ié t é

au

c h o is it

C la s s e

c o n tra t,

la

le a s e r

ou

V W

320

D et

S h a ra n )

V W

G o lf -

S é r ie 3

B M W

e t c la s s e C

q u e lle

q u 'e n

d if f é r e n c e

cas

e n tre

Peugeot 307

H D I 1 1 0 P s 5 p o rte s , V W

C a lif o r n ia 5 p o r t e s o u A u d i A 4 B M W

M e rc e d e s -

B M W

E et A u d i A 6

G o lf T D I 1 3 0 P s

1 ,9 T D I 1 0 0 / 1 3 0 P s -

3 3 2 0 D , A u d i A 4 A v a n t 1 ,9 T D I 1 3 0 / 2 ,5 T D I o u

C

p lu s f a c ile m e n t c e

e m p lo y é

le c o n s u lt a n t j u n io r e t le c a d r e s u p é r ie u r : B M W

LeasePlan:

p r o b lè m e , c o m m e e n t é m o ig ­

s é r ie u x

d e

G o lf T D I 1 3 0 , A u d i A 3 , O p e l Z a f ir a e t R e n a u lt S c é n i c

B M W

en

"La

“recycler"

ca s

-

le a s e r s ,

r is q u e s in c o n ­

M e rc e d e s

v o it u r e c h o is ir p o u r p o u v o ir en

Hertz: V W

S é r ie 5, M e r c e d e s C la s s e

valeur de revente d'un véhicule sur-équipé ne devra jamais pouvoir dépasser le prix neuf d'un véhicule non équipé. Dans le cas présent, face à une société 'à risque ', il faudra que notre valeur de reven­ te du véhicule soit à peu près équivalente à un véhicule non équipé qui aurait un an. Parce qu'il y a des options qui valorisent le véhicule et d'autres qui ne servent à rien". E n d ' a u t r e s t e r m e s , c o m m e l e r é s u m e b i e n V i n c e n t H e n n e a u x , “le risque se traduit dans le pricing" m a i s , e n Je an

Voitures types ( les plus systém atiquem ent choisies):

en

d o n t o n a d o u b l é la v a l e u r e n o p t i o n s e t d o n t le c li e n t f a it f a illit e u n a n a p r è s p o s e r a ne

D ' Œ I L

Quelle voiture pour quel poste (consultant - cadre - haut responsable)?

pas

t o u t e f o is c e g e n r e d e v é h ic u le . A u t r e t y p e d e r is q u e , le s s o c ié t é s

C L I N

Interleasing:

“exotiques“

le a s e r s .

lig n e

Les

m a rc h é

d e s

m a rc h é

k ilo m é t r a g e é le v é .

to u te

s id é r é s .

le

v a le u r s u r le

le s v é h ic u le s

fa v e u rs

UN

m o in s c h e r a u n iv e a u d e s f r a is

d e c o n s o m m a t io n q u 'u n v é h ic u le é q u iv a le n t e n e s s e n c e . C e

EN

la

R e n a u lt L a g u n a G r a n d t o u r 1 ,9 D C I 1 2 0 P S - A u d i A 6 2 .5 T D I O u a ttr o , M e r c e d e s E 2 7 0 C D I , B M W

X 5 3 .0 D

ou

M e rc e d e s M L 2 7 0

Valeurs m ontantes (dont la part de m arché et/o u l’im age s ’am éliorent) Hertz: Peugeot 307

HDI 110 -

Peugeot 807 -

M e r c e d e s C la s s e E 2 2 0 C D I e t

M e r c e d e s C la s s e

E320 CDI et Lexus

R X 3 0 0 ( e n t r e le c o n s u lt a n t j u n io r e t le c a d r e s u p é r ie u r : A u d i A4)

Interleasing: Peugeot 307

v a le u r n o n a m o r t ie e t la v a le u r d e m a r c h é s o it la p lu s f a i­

M L, B M W

b le p o s s ib le .

LeasePlan:

- V o lv o S 6 0 e t R e n a u lt L a g u n a -

X 5 , V o lv o X C

M e rc e d e s

90

N o u v e lle R e n a u lt M é g a n e D C I , T o y o t a A v e n s is V e r s o

AIDES À LA DÉCISION

D 4D

F le e t o u

la f u t u r e A u d i A 3 T D I -

N ouveau

R e n a u lt

E s p a c e 2 ,2 D C I , V o lv o S 6 0 D 5 o u n o u v e lle M a z d a 6 S o u v e n t, le n t -

le s c lie n t s

d e s

le a s e r s

savent ce

q u 'ils v e u ­

m ê m e s i la p a r t é m o t io n n e l le e s t f r e in é e p a r le b u d ­

TD CI -

N ouveau

V 6 o u V o lv o X C

B M W

5 530

D , R e n a u lt V e ls a t is 3 ,0 D C I

90 D5

g e t e t la r a is o n ! - , m a is l e s l e a s e r s e t le u r s o u t i ls d 'o f f r e s in f o r m a t iq u e s ( v o ir le s s i t e s w e b w w w . in t e r le a s in g . lu , q u i a

re çu

en

B e lg iq u e

le

F le e t I n t e r n e t A w a r d , e t w w w . le a -

s e p la n . lu , q u i p e r m e t t e n t t o u s g e s t io n

du

p a rc

par

la

d e u x , o u tre

s o c ié t é )

so n t

le s o ffr e s ,

la

p o u r c o n s e ille r

p lu s s p é c if iq u e m e n t le u r s c li e n t s v ia d if f é r e n t s p a r a m è t ­ re s à

"entrer dans la machine"

e t à d is c u t e r a v e c le le a ­

s e r . I s a b e l l e P r é v ô t p r é c i s e q u e "le site web permettra de passer à la moulinette une série de véhicules avant d'ar­ river à quelque chose de plus affiné, mais aussi de sortir des offres qui correspondent uniquement aux critères définis dans la car policy, par exemple 'contrat de 36 mois et 30.000 km par an'. C'est très utile pour le cost planning". V i n c e n t H e n n e a u x i n s i s t e p o u r s a p a r t : "Nous sommes là pour conseiller au-delà du choix de la voiture. Les sociétés veulent outsourcer tout ce qui concerne leurs véhicules. Un confort de gestion qui implique par exem­ ple la prise en charge des entretiens périodiques sans intervention directe de l'utilisateur", n

Coups de cœ ur (rarem ent choisies... à tort) Hertz: N o u v e lle M é g a n e , P e u g e o t 2 0 6 c c , C it r o ë n P ic a s s o , T o y o ta R a v 4 V oyager -

R e n a u lt V e ls a t is 2 .2 . D C I e t C h r y s le r

L e x u s G S 3 0 0 e t J a g u a r S t y p e 3 .0

( e n t r e le c o n s u lt a n t j u n io r e t le c a d r e s u p é r ie u r : V o lv o S 6 0 et M e rc e d e s S L K

200)

Interleasing: P e u g e o t 2 0 6 c c e t A lfa R o m é o A udi TT -

147 -

M e rc e d e s S L K

et

M e r c e d e s C L K , A u d i A 4 c a b r io le t .

LeasePlan: A lfa

R om eo

1 4 7 /1 5 6 S W

C o m pact 320 T D

ou

JT D

N is s a n

D is t in c t io n , B M W

R a v 4 5 p l. D 4 D , S k o d a S u p e r b C a b r io B M W

3

P r im e r a d ie s e l - T o y o t a 1 ,9 T D I 1 3 0 o u A u d i A 4

R e n a u lt A v a n t im e 2 , 2 D C I , J a g u a r S - T y p e o u

M 3 n

paperjam10.2002 Opérationnel 0107


l'offre se , g r u o b em ... ck et Lux u r b e r r a S o n n a lis é e , s r tz e e p M t e e Entr ta ire m p lé m e n o c is fo veut à la AN -M TEXTE JE

IC HE L GA

PH OTOS UDRON

10.2002

FRÉDÉRIC

) O (BLITZ

M Dl GIROLA


paperjam KnowHow: Foires-Salons L 'a u t o m n e , P o u r

le s

m en t

c 'e s t

p o u r

s o c ié t é s

le s

d e s

e x c e p t io n

à

Issu e s

m a l,

d e

a,

à

ta n t

s a lo n

e st a u ssi b o n n e

q u e

le u r

é p o q u e

o ù

d e

s a v o ir -

le

p u b lic

t e lle m e n t d e

d is t r a c ­

"Ce constat, tous les p ro ­ fessionnels le font: le public a tendance à tourner le dos à une foire traditionnelle avec des stands alignés. Il est donc nécessaire de lui apporter autre cho se“ e x p liq u e M a t h ia s a d m in is t r a t e u r - d é lé g u é

F o ir e s

I n t e r n a t io n a le s

L u x e m b o u rg , to u s

c o n fro n té

le s a u t r e s à

un

à

c o m m e

c e r c le

in f e r ­

n a l: s i l'o f f r e n e p a r v ie n t p a s à s e r e n o u v e le r , q u e

d e

te u rs ,

la

te n té s

d e

a n n é e

f r é q u e n t a t io n

b a is s e r .

d o n c

M o in s

m o in s

r is ­

d e

v is i­

d 'e x p o s a n t s

v o u lo ir

r e v e n ir

s u r l'a u t r e ;

sa n ts , d o n c

la f r é q u e n t a t io n

a u r a p lu s q u e ja m a is t e n d a n c e le

b o u c le En

m ê m e

d 'o f f r e F o ir e

c h e m in .

o r ig in a le

J u s q u 'e n

au

la

et

y

f a ir e .

f r é q u e n t a t io n s a

m a n i­

p e rs o n n e s

é la n :

e x p o s a n ts .

e t d e

en

2 0 0 1 ,

é té

la

s a i­ d e

Q u e lq u e s

d e s th è m e s

n o u v e lle s a n i­

lu i o n t d o n n é

1 6 8 .0 0 0 o n t

d a n s

n iv e a u

c e

e n tré e s

un

n o u ve l

so n t

a in s i

p a y a n te s

d e

d e u x

axes.

so n t

b ie n

le s

m a n if e s t a t io n s p u b lic ,

q u e

g ra n d e

a u j o u r d 'h u i d e m a in ,

s t y le

p o u r

u n e

n e

t o t a le

p a s

d 'a ille u r s ,

é q u ip é e , to u t

c e

p a r a llè le m e n t

F o ir e

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q u 'il

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d 'a u t o m n e

D a n s

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p a r le r

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un M e tz

r é e lle

tro u v e ra lo r s

au

d e

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K ir c h b e r g ?

c a d r e - là ,

d e

d if f ic ile

d e

c o n c u rre n c e

e n t r e le s t r o is s it e s , d o n t la p r o ­ x im it é

g é o g r a p h iq u e

t iè r e s e m b le

fo rte

b ie n

a u x

tra n s fro n ­

m o in s p r o b lé ­

ce

q u i d e s

p eu t

ê tre

r é g io n s

d e n s it é

d e

f o ir e s ,

le

d e

l'A lle m a g n e

n o rd

à

co m m e ou

P a y s-B a s.

"Chaque foire a sa clientèle régionale, fidèle à la devise 'ail business is lo cal'" r é s u m e p o n s a b le

a v e c

la la

in t é r ê t ,

a v o ir

d 'a lle r

a lo r s

q u 'il

r is q u e r ,

d 'ê t r e

q u el

e st

e ig n e r p o u r a c h e t e r u n e c u is in e

M e c h t ild

a p p ro fo n ­

ty p e

o u à S a r r e b r u c k a f in d e s e r e n s ­

m is e n t

d é s a f f e c t io n .

r é fle x io n

d o it ,

et

m a n ife s t a t io n s

a m p le u r

U n t r a v a il d e se

d u

le s s o c ié t é s

p lu s v is i­

d e

p e u t

L u x e m b o u r g e o is

et en

é v id e m m e n t

"domestique"

c lie n t è le

à

re n o u v e a u

f o ir e s

p o u r le s q u e lle s

p a s s é

c ré ­

Le

c e

d 'e x p o s a n t s

d u

m e n é

g ra n d s

b le ,

d a n s

l'im a g in a t io n

ré su m é e ,

d é c lin e r

q u e

c e

d e

p eu t

m a t iq u e

su r

g é n é ra l

d e

se

et

G ra n d m o n ta g n e , d e

m e m b re

d e

S a a rm e sse L à

c iè r e m e n t

la

re s­

d e s

s u s c e p t ib le

q u a tre

P o u r

p eu

p ro p o sé s

a u ra ,

q u e

fo rc é m e n t,

le s

du th è ­

v o is in s ,

d e

la

il

p a rt

v is it e u r lo in t a in , u n c h o ix

à

L a

s o lu t io n

p o u r

g e ?

L 'in t e llig e n c e

c 'e s t

fo n ­ su r

la

c o n c e r­

q u e

M a t h ia s T r e in e n . U n e a n a ly ­

s e

p a rta g é e

p a r

J e a n - P ie r r e

“Il est clairement ridicule de marcher sur les plates-ban­ des les uns des autres, tout comme il serait idiot de vouloir se couper du monde. Pour cer­ taines manifestations, on peut tout à fait promouvoir Metz au travers de Luxembourg ou Sarrebruck, et inversement. Il faut être intelligents ensemble. C'était un peu subi auparavant mais, désormais, entre Metz, Sarrebruck et Luxembourg, c'est plus automatique et par­ tagé". Ja g e r:

C e tte

m is e

en

c o m p é te n c e s p la id é e

d u

c ô té

co m m u n

d e s

e s t

é g a le m e n t

d e

S a rre b ru c k :

"Nous nous considérons plutôt comme des partenaires ayant comme objectif de faire des échanges du po tentie l des exposants. Dans ce but, nous avons désigné, dans chaque société, un délégué spécial p o ur la Grande Région. Son rôle est de soutenir et d'épauler les exposants dans leur décision d'exposer dans une autre ville sur le plan linguistique, logi­ stique et administratif et, ainsi, leur donner la possibilité d'a­ grandir leurs chances de mar­ ché au-delà des frontières" e x p liq u e L e s

M m e

G ra n d m o n ta g n e .

p o s s ib ilit é s

d ir e c t e m e n t

d e

s y n e r g ie s ,

d é p lo y é e s

a u tre

e st

e t

"Le meilleur moyen est de faire en sorte que lorsqu'une m anifestation a lieu à Metz, Luxembourgeois et Sarrois y ail­ lent, et réciproquement" i n d i ­

u n e

d e

une

t a t io n .

la

d ir e c t io n

é v it e r

tro p g ra n d e c o n c u rre n c e s a u v a ­

p e u v e n t

d if f é r e n t e ,

d e

c o in s

s o ie n t

s it e s ,

s it u a t io n

"qualitative­

c ib lé

m a is

c o m m u n ic a t io n

G m b H .

la

m a n ife s t a t io n s

f a ir e à u n m o m e n t o ù à u n a u t r e .

s o c ié t é s

s a lo n s

d a n s

q u i

d e s

o b se rv é

o r g a n is a t r ic e s d e

d i

G r o s s iè r e m e n t l'o f f r e

d e s

p lu s

v e n ir

d 'u n

M e tz .

un

c la ir e m e n t

p u b lic

m ent",

y

I n t e r n a t io n a le

q u i

C 'e s t

d e

d ir e c t e u r

F o ir e

p o u r

700.

n eau

Ja g e r,

la

c o m p t a b ilis é e s

n o m b re

d e

P ie r r e d e

re p ré s e n té e :

-1 2 0 .0 0 0

m a t io n s

e x p o ­

"Il n'est pas dans nos intenti­ ons d'être un piège à cons, une simple incitation à dépenser po ur le visiteur. En apportant des animations parallèles à caractère historique, culturel ou géographique, nous souhaitons qu'il ait déjà l'impression d'en avoir pour son argent rien qu'en se promenant dans les stands. Le comm erce q u 'il pourra ensuite faire auprès des expo­ sants n'est qu'une opportunité supplémentaire" a n a l y s e J e a n -

e ffe t,

a u to u r

d 'e x p o s it io n

se s

INTELLIGENCE(S) COMMUNE(S)

p lu s

s t a b ilis a it

6 0 0

f o ir e

m e s

e n

so n ,

p o u r

U n e

th è m e

m o n d e .

la

d 'a u t o m n e ,

re to u c h e s a u

l'ê t r e

a,

m a je u re

1 1 5 .0 0 0

d 'u n

e t in t é r e s s a n t e

M e tz

f e s t a t io n se

f o ir e .

p u b lic , à

su

1998 ,

f o ir e

p eu ve n t

g ra n d

I n t e r n a t io n a le

sa

La

d 'in n o v a t io n

a p p a re m m e n t,

d e

à

e s t b o u c lé e ... m a t iè r e

d 'u n e

r é u s s it e

s a n ts ...

d 'u n e

m o in s d 'e x p o ­

m o in s d 'in t é r ê t ; e t s i

l'in t é r ê t d é c lin e ,

s u iv r e

ou

la

L e s

t io n .

d e s

p r o f e s s io n n e lle s , d e s t in é e s à u n

p ar

p a s

so u v e n t

b ie n

p o s s ib ilit é s

T r e in e n ,

le

c o n ce rn é s

f o ir e s - e x p o s it i-

d is p o s it io n ,

d 'a u t r e s

e x p o s a n ts , q u i s o n t to u t a u ta n t

q u e

p e rp é tu e r

s a

fo n t

t r a d it io n s le s

un e

à

n e

r è g le .

te n te n t,

f a ir e

é g a le ­

e n t r e p r is e s .

la

d e

re n tré e .

m a is

F o ir e s

a n c e s t r a le s , o n s

la

é t u d ia n t s ,

p re n d re

fo rm e .

A in s i,

L u x e m b o u rg

t r a v a ille - t - il,

e lle m e n t ,

c o n ce rt

c h a în e

d e

e n tre

a u s si

a lle m a n d e

a c tu ­

a v e c

une

d 'o r g a n i-

paperjam10.2002 Opérationnel 109


paperjam KnowHow: Foires-Salons s a t io n

d e

t a ille

p o u r

ne

m un d e

d e

s a lo n s la

d e

p r is e

lic e n c e s

a lo r s

c o m ­

d 'e x p lo it a t io n

m a n ife s t a t io n s ,

s e r a ie n t

m o y e n ­ en

le s q u e lle s

o r g a n is é e s

en

p lu s ie u r s e n d r o it s d if f é r e n t s . L e s

t r o is

p ô le s

t r a v a ille n t

é g a le m e n t s u r q u e lq u e s co m m u n s

d a n s

le

p r o je ts

d o m a in e

l'a c ie r , d e la lo g i s t i q u e o u

d e

e n co ­

but serait que chacun développe son salon, le fasse grandir, puis de les faire tourner sur les trois sites " e x p l i ­ re

d e

q u e

l'e a u .

q u i

d a n s d e

le

T r e in e n .

tro u v e

à

la

l'e s p a c e

lie r

il

y

s a lo n

2001

et d u

en

m o b i­ c ré é

u n e

q u i

d e p u is ,

d iz a in e

s 'e s t

à

à

L ' O F F R E

et

à

"La

UNE IMAGE À GROSSIR

d a n s au

in it ia t iv e ,

f o is - c i le

d e s f o ir e s d a n s

4

m illi-

d e

n o tre

r é g io n

e s t p lu s q u e

e t d 'e x p lo it a t io n

o n t su

m illé n a ir e , m a is

se

m o d e r n is e r a u

A L u xem bo urg,

Luxembourg", née en

la

"Foire Commerciale Officielle du "Foires Internationales de Luxembourg"

la p r e m iè r e

a n c ê tre d e s

1 9 2 2 . D 'a b o r d

lo c a lis é e

au

se s

l'o n

d o it

a c t iv it é s

F é d é r a t io n d e

est

L im p e r t s b e r g , e lle a é m ig r é v e r s le

K ir c h b e r g

en

1 9 7 4 . L e s it e s 'e s t e n s u it e

e n r ic h i, e n

1 9 9 1 , d 'u n

d e C o n g r è s e t d e C o n f é r e n c e s , c o m p lè t e m e n t in t é g r é a u in s t a lla t io n s . A u j o u r d 'h u i, 4 2 . 0 0 0 t io n

s o n t d is p o n ib le s , a v e c

t a ir e d e

1 0 .0 0 0

m 2 en

o ffr e n t u n e c a p a c it é

A M e tz ,

F o ir e

le m ilie u

p é r ip h é r ie d e

m u n ic ip a lit é

à 2 .0 0 0

a n n é e s 70

c o n c e s s io n

m v d e s u r f a c e s d 'e x p o s it io n 2 4 0 .0 0 0

m 2 en

p la c e s d e s

I n te r n a t io n a le d e

1 9 2 7 . E lle b o rd s d e

m is à d is p o s it io n

p a r la

d e 3 0 a n s . L e s it e

d is p o s e

c o u v e rte s p e rm a n e n te s a u x ­ p le in

a ir . L e

u n a u d it o r iu m

C e n tre m o d u la b le d e

e t 1 3 a u t r e s s a lle s d e

10 à 8 0

en

1 9 4 7 . L a p r e m iè r e é d it io n

la S a r r e , q u i s e r a

r e c o n d u it e

600

p la c e s .

F o ir e s e t E x p o s it io n s S a a r m e s s e

e s t p lu s r é c e n t e , p u is q u e f o n d é e F o ir e

M e tz d a te d e

p o u r b o u g e r, d e s

la v ille , s u r u n t e r r a in

la S o c ié t é

s u p p lé m e n ­

p e rso n n e s.

I n t e r n a t io n a le d e

p o u r u n e d u ré e d e

A S arre b ru c k ,

d 'e x p lo it a t io n

a ir . P a r a l l è l e m e n t , 9 s a l l e s d e c o n f é r e n c e s

d e s

180

C e n tre

re s te d e s

m 2 d e s u r f a c e s c o u v e r t e s d 'e x p o s i­ p o s s ib ilit é

d 'a c c u e il d e 2 0

“nouvelle"

la

a u s s i a a tte n d u S e ille e n

p le in

u ne

I n t e r n a t io n a l d e s C o n g r è s , lu i, a b r i t e

L u x e m b o u rg ,

d e

F o ir e s e t S a lo n s

G m b H d e

la

p o u r l a 54® f o i s

d e

B e lg ia u e

et

c e tte a n n é e , d a te d e

1 9 5 0 . S it u é

à

p r o x im it é d e

la v ille e t à 5 m in u t e s

d e la f r o n t iè r e f r a n ç a is e , le s i t e o f f r e 2 6 . 0 0 0

m 2 d e s u rfa c e s c o u v e rte s

s it io n "événement des événe­ ments", q u i s e r a i t i n é r a n t a u

(1 3 h a lle s ) e t 2 5 . 0 0 0

e x t é r ie u r . U n

tra v e rs

c o n g r è s , e t le g r a n d

d u

L u x e m b o u rg , un s h o w

d e s

s 'a d r e s s e r a f o ir e s

et

d e u x a u x

p ays,

e x p o ­

et

qui

u t ilis a t e u r s d e s

s a lo n s :

a n n o n ce u rs,

f il

d u te m p s .

q u e ls s 'a j o u t e n t j u s q u 'à

q u e

à

c a d re

s e in

q u e

C U M U L É E

le s s o c ié t é s d 'o r g a n is a t io n

p la c e s , u n e s a lle d e A u tre

in d iq u a n t

Plus de 100.000 m2 couverts L a t r a d it io n

d e 3 2 .0 0 0

c e tte

su r d e ré c e n te s é tu d e s d e

m a rc h é

d é v e ­

N a n te s

réussite de cette manifestation a fait réagir nos voisins, r e c o n n a î t J e a n - P i e r r e J a g e r , notamment les Sarrois, qui nous ont proposé de conti­ nuer les années prochaines ensemble. Mais nous allons d'abord le laisser grandir chez nous deux ou trois ans avant d'envisager de le faire bouger". T o u lo u s e ) .

D u c ô té d e S a rre b ru c k , o n se b a se

U r b e s t ( le s a l o n

a

et

c o n ­

d u

é g a le m e n t

d 'a n n é e s , lo p p é ,

en

p u b lic

u r b a in ,

M e tz

M . Ja g e r.

o r ig in e

c o n s t r u c t io n ,

M e tz

m a r g e d u s a lo n d e

U n

so n

ré c e n t s u c c è s

l'a c ie r d a n s

o r g a n is é

parvient à mettre l'accent sur trois ou quatre manifestations, adaptées à la zone de chalandise, dans une perspective européenne, alors on est gagnants" n o t e , p o u r s a p a r t ,

"Le

M a t h ia s

c e p t

eillera ainsi parallèlem ent le Salon de l'enfant qui, jusqu'à présent, se tenait à la Halle Victor Hugo au Limpertsberg. Nous visons aussi une collabo­ ration plus poussée avec nos collègues étrangers, frontaliers ou pas" e x p l i q u e M . T r e i n e n . "On ne peut pas développer 50 produits tous les ans. Mais si on

m a is

m 2 s u p p lé m e n t a ir e s e n

d ' e n t r é e ( 8 0 0 m 2) p e u t a c c u e i l l i r j u s q u ’ à 4 0 0 h a ll n ° 1 , q u i s 'é t e n d

n o u vea u

p e rso n n e s en

s u r 2 .8 0 0

r é u n io n

m 2 p e u t, e n

p lé m e n t , a c c u e il lir d e s m a n if e s t a t io n s j u s q u 'à 3 . 5 0 0

h a ll ou

su p ­

p e rso n n e s.

e x p o s a n ts , a u ssi

n o n -

Prochaines dates clés:

a n n o n c e u rs ... " L a clé réside aussi dans la mise en place de salons profes­ sionnels de plus en plus poin­ tus, des salons de niche qui ont un sens économique, et l'im bri­ cation d'événements complé­ mentaires dans les manifestati­ ons classiques. La Foire d'Automne, cette année, accu­

110 Opérationnel paperjam10.2002

Lu xem bo urg: 0 2 /1 0 e t 0 3 /1 0 : 27 /1 0 :

la F o ir e d 'a u t o m n e ;

M e tz: du 2 8 /0 9 au 0 8 /1 0 : V e n is e e n

in v it é e v e d e t t e ;

S arreb ru ck: o c to b re : S t e lle n b ô r s e ;

S o ftw a re &

6 6 è

F o ir e

E x p o g a st

I n t e r n a t io n a le , a v e c

du 2 1 /0 1 au 2 3 /0 1 /2 0 0 3 :

D e u t s c h - F r a n z ô s is c h e

30 /11 e t 0 1 /1 2 :

du 1 9 /1 0 au

In te rn e t E x p o ;

du 16/11 au 2 0 /1 1 :

la v ille

S a lo n

S t u d ie n m e s s e

und

A m t e k , I n t e r n a t io n a le A u s s t e llu n g

A m a t e u r f u n k C o m p u t e r t e c h n ik

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H o b b y e le k t r o n ik .

n

d e

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DOGEXPO - Salondu Chien 1otg. en collaboration

19.10.-27.10.

18.10.-26.10.

19.10.-27.10.

18.10.-26.10.

I9.10.-27.I0.

18.10.-20.10.

FOIRE INTERNATIONALE DE LUXEMBOURG foire d'Automne ( biens d'investissement ! HANDICAP? - Salon des solutions pour lous ( en collaboralionavec Imohandicap, Luxembourg)

avec l'Union Cynoiogique Sairtt-Hubert Luxembourgi 30.03.-31.03.

29.03.-30.03.

EXPOSITIONCANINEINTERNATIONALE Org UnionCynoiogiqueSamt-HuhatI uwrtbrug

10.04.-12.04.

09.04.-11.04.

TELEMEDICINE & TELECARE

19.04.-21.04,

25.04.-27.04.

EUROCLASSICCARSHOW-(Org.: PolePositionSA, L-STEINFORT >

04.0S.-12.05.

10.05.-18.05.

FOIRE INTERNATIONALE DE LUXEMBOURG

le nouveau SALON DE L'ENFANT ( Org.: Salon International du Livre de l'Enfance el de la jeunesse a.s.b.l. & Action Familiale et Populaire a.s.b.L, Luxembourg )

07.11.-08.11.

06.11.-07.11.

FOIRE DE L'ETUDIANT ( organisée en collaboration avec le Ministère de la Culture,

Foire de Printemps ( hrens de consommation !

_

22.05

22.05.-2S.05. 31.08.-01.09. 13.09.-15.09. 13.09.-15.09.

_

de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche - CEDIFSj

M+R - Salon de l'Instrumentation de Mesure et de Régulation

16.1I.-20.il.

f Otg.: Fairtec S.A., B-2160 WOMMELGEM!

I6.11.-20.il.

SALON DU CHOCOLAT EXPOGAST 2002 - 9e Salon International de la Gastronomie

ACI - 6th EUROPEANCONGRESS i i 'ry.: Al 1, Luxembourg}

06.09.-07.09. 12.09.-14.09.

"CULINARY WORLD CUP'

EXPOSITION CANINE INTERNATIONALE

16.11.-20.11.

13.11.-14.1!.

i Org.: UnionCynoiogiqueSdim-Hubert Luxembourg!

30.11.-01.12.

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WAlkUES • dégustationde vins luxembourgeois( Org.: O.P.VJ. 1 BAZAR INTERNATIONAL

ITALIA DIMENSIONS 2000 - ( Og.: Cameradi Commercio llalolussenihurghese i

au profit d'oeuvres philantropiques internationales

OEKO-EOIRE - i Org.:'Oeko-fondset Mouvement écologique'

i Org,: "Bazar International de Luxembourg" 1

en collaborationavec, les Fil. i

13.12.-15.12.

12.12.-14.12.

13.09.-14.09.

BRITAIN IN LUXEMBOURG - i Org.:Amlussade Britanniqueà Luxembourg 1

02.02.-03.02.

01.02.-02.02.

FOIRE A LA BROCANTE

_

30.09.-03.10.

eme - FORUM DES MÉDIAS Sarre-Lor-Lux-Wallonie

14.09.-1S.09.

13.09.-14.09.

( Org.: Fédération des Antiquaires et

30.09.-03.10.

8UREAUTEC - 11e Salon Interrégional desNouveaux Médias,

09.11.-10.11.

08.11.-09.11.

_

02.10.-03.10.

EURO RACING SHOW • ( Org.: Pole PositionSX., L-STEINFORT I

Brocanteurs du Luxembourg)

de la Bureautique et desTechniquesdeCommunication

18.0t.-20.0J.

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HOUSE FINISH - Centre d'information pour

SOFTWARE & INTERNET EXPO

07.03.-10.03.

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le parachèvement et la rénovation de l'hahilat

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P r e m ie r é t a g e

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Superficie

Foyer Sièges en rangées

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S alle 1

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1000

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450

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S alle 3 m od. {1 -4 salles)

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S alle 4 m o d. ( 1-6 salles)

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paperjam KnowHow: Foires-Salons o n s d e c o n s o m m a t e u r s v is i­ te n t

r é g u liè r e m e n t ,

m illio n s

d e

fa ç o n

c o n ta c t

d e u r

q u 'ils

d ir e c t n e

p ré fé ra n t

a v e c

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v e n ­

re tro u v e n t

fo rc é m e n t s u r In te rn e t o u le s

11

s p o r a d iq u e ,

le s f o ir e s e t s a lo n s , y le

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c a t a lo g u e s

p a r

p a s d a n s

c o rre sp o n ­

"Mais, en tant qu'orga­ nisateur de foires, nous devons mettre sur pied des concepts attractifs: forums économiques dans le domaine professionnel; réunions d'inform ation sur les thèmes de la santé et de l'éco­ logie; program m es pour enfants, garderie; mais aussi grandes manifestations sporti­ ves accompagnant un salon, comme une course de super m otard pendant le salon Interm oto ou encore des reportages 'tourisme' lors du salon Loisirs" é n u m è re d a n ce .

M e c h t ild

le d é s in t é r ê t d u

l'é v o lu t io n

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c r o is s a n c e

R é g io n , d e s

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m e s s in ,

lu x e m b o u r g e ­

s a r r o is

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le u r p o u r

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s a v o ir - f a ir e

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le

é g a le m e n t

f a ir e -

“Nous revendiquons un poids économique d'importance pour le GrandDuché". C e c o n s t a t , b r u t , M a t h i a s T r e i n e n , a d m i n i s t r a t e u r - d i r e c t e u r d e l a

v it a l:

"Aujourd'hui, au niveau des groupes industriels, les gens ne respectent que le marché. Or, si, bien souvent, les gens ont une image plus grosse que ce qu'ils ne son t vraiment, pour nous ce serait p lu tô t le contraire, on a de nous une image plu tô t réductrice, c o n ­ s t a t e J e a n - P i e r r e J a g e r . Nous avons pourtant un potentiel qui existe sans doute nulle part ail­ leurs. C'est notre chance, mais il faut faire passer le message tant que la population possède encore un certain dynamisme. Il n'est pas dit que, dans 15 ans, nous ayons encore ce même dynamisme et ce même potentiel" E t d e c o n c lu r e s u r u n v ib r a n t a p p e l:

ÆF Æ W

p r o c h a i­ f o ir e s

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p u b lic

g a r a n t ie s

d a n s

a n n é e s ,

et

M athias Treinen (adm inistrateur-directeur des FIL)

d é m o g r a p h iq u e

G ra n d e

p ré s e n te

n e s

T E M O I G N A G E

G ra n d m o n ta g n e .

E n tre et

amenés à réduire la durée des manifestations, car les gens auront la possibilité de faire un aller- retour vite fait depuis Paris! Il faudra alors être déjà très forts lorsque le TGV arri­ vera". n

ble de promouvoir une façon d'être pour qu'on ne perde pas notre culture! Dans quelques années, l'arrivée du TGV Est ne sera pas forcément un bien pour tout. Ainsi, on va sans doute être

"Essayons donc ensem­

S o c ié t é

d e s f o ir e s in t e r n a t io n a le s à

L u x e m b o u r g , le t ir e d e p u i s q u e l q u e s

“Il y a deux ans, lors d'un salon hautement tech­ nique consacré aux brosses et pinceaux, nous avons eu 2.500 visiteurs venus de 63 pays, auxquels il fallait ajouter une centaine d'exposants. Tout le monde était présent sur deux jours minimum. Comptez le nombre de nuitées à 250 Euro de moyenne... Les hôtels de la ville s'en souviennent encore !" a n n é e s , c h if f r e s à l'a p p u i.

E t le s c o m m e r ç a n t s lu x e m b o u r g e o is a u s s i, s a n s d o u t e , q u a n d q u e

le s é t u d e s in t e r n a t io n a le s e s t im e n t e n t r e

175 et 250

m o y e n d e s d é p e n s e s q u o t id ie n n e s d ’ u n e x p o s a n t o u

E u ro

o n s a it

le m o n t a n t

d ’ u n v is it e u r é t r a n g e r

p r é s e n t à u n s a lo n . A u t r e a t o u t p o u r le p a y s : l'im a g e d u

L u x e m b o u rg

q u i p e u t s 'e x p o r t e r t r è s

"Il y a quelques années, raconte ainsi, pour l ’anec­ dote, M. Treinen, je suis allé dans un restaurant à Sydney et la première chose que j ’y ai vu, ce sont les diplômes et médailles gagnés au Salon ExpoGast à Luxembourg”. lo in

à t r a v e r s le m o n d e :

A t t ir e r d u

p u b lic , in t e r n a t io n a l e t h a u t e m e n t p r o f e s s io n n e l, p o u r u n e

d u r é e d e q u e lq u e s jo u r s , a f in

q u 'il r e s t e d a n s le s h ô t e ls , q u 'il f a s s e

a c h a t s e n v ille , q u 'il c o n s o m m e

se s

s u r p la c e e t p r e n n e le s t a x is : t e l e s t , g r o s ­

l a "mission économique" d é v o l u e a u x F o i r e s . “Et n'oublions pas que nous sommes la capitale d'un pays et, qui plus est, une capitale européenne. Ca fait forcément un plus!" n s iè r e m e n t b r o s s é , le p r o f il d e

paperjam10.2002 Opérationnel 113


Vivez une nouvelle expérience. La Saab 9-3 Sport Sedan. Il existe déjà une Saab 9-3 Sport Sedan 2.2Turbo Diesel à p a r tir de € 2 2 .8 7 0 T V A C ou € 51 0 /m o is *

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paperjam #10.02

Time Off 116 Portrait Patrick Bartz, codirecteur de la salle de concerts L’Atelier

117 Culture Expos, concerts, CD, Nico, Spidergirl

121 Art de vivre / Objets ThĂŠ, parfums, papiers, Lomo

124 Resto-News Restos, recette

126 Club paperjam @ Chiggeri

paperjam 10.2002

Time Off

115


paperJamTimeOfï p o r t r a it

A C T IV IT Y M A N Pour débuter cette nouvelle rubrique de portraits de personnalités du m onde de la culture, fallait un personnage protéiforme. C 'e st le cas de Patrick Bartz, codirecteur de la salle de concert L'Atelier à Luxem bourg et journaliste-baroudeur free lance.

A u

déb ut d e

l'e n t r e t ie n , P a t r ic k

B a rtz

n o u s f a it

u n p e t it a v e u , p o u r n o u s d ir e q u 'il e s t in c a p a b le jo u e r d 'u n f e s s io n n e ls

de

mesure des concerts, les contacts se sont intensi­ fiés".

in s t r u m e n t . . . I m p o r t a n t p o u r u n d e s p r o ­ in c o n t o u r n a b le s

d e

la

scèn e

m u s ic a le

L 'a t m o s p h è r e b eau co u p .

D e

p a r t ic u liè r e d e

p lu s e n

p lu s

d e

l'A t e lie r y e s t p o u r

g ro u p e s

ne

su p p o r­

lo c a le ! N é a u G r a n d D u c h é , a y a n t f a it d e s é t u d e s d e

te n t

j o u r n a l i s m e e t c o m m u n i c a t i o n à B r u x e l l e s , il s e s p é ­

n é e s . U n e s a lle

c ia l is e d a n s l'a u d io v is u e l.

a i s é m e n t . " L e s artistes adorent le côté familier de notre salle et du personnel. Il n'y a pas de soucis de sécurité, nous les accueillons chaleureusement. Massive attack est un bon exemple, puisqu'ils ont aimé jouer ici et ont largement répandu la nouvelle".

A u

déb ut

com m e

d es

re p o rte r

années

g é n é r a lis t e .

90,

il

D ès

d é b u te 1995,

à un

R TL a u tre

"j'étais un fan de musique et je me désolais qu'à Luxembourg, il n'y ait que des gros concerts de dinosaures comme Scorpions. Alors, avec des amis, nous avons décidé de profiter de la vague de l'année culturelle, en 95. Il ne fallait pas que l'enthousiasme pour le rock se perde. Je ne comprenais pas pourquoi il fallait se déplacer à Londres, Paris ou Cologne pour voir des groupes passionnants. Un soir, en sortant du Marx, on tombe sur un hall à louer et tout s'est vite enchaîné. Au début, c'était difficile, il fallait qu’on ouvre aussi comme discothèque pour couvrir les frais. Quand on est nouveau dans le circuit des tournées, c'est com­ pliqué, j'étais souvent à Londres pour négocier et me faire connaître des agents. Jimmy Sommerville a été notre premier vrai concert. Puis, au fur et à p r o je t s e f o r m e :

p lu s

g u è re

le s

g ro s s e s

m a c h in e r ie s

in t im is t e c o m m e

d e s

to u r­

ic i le s s é d u it d o n c

C 'e s t m a v r a ie v ie

M a is P a t r ic k B a r t z a u n a u t r e v is a g e , t o t a le m e n t d if f é r e n t . A

u n t e l p o in t q u 'o n

re s te é to n n é

par une

ne faut pas perdre de vue que je suis journaliste à la base. Je travaille toujours pour RTL, mais la majeure partie de mon temps je le passe à travailler pour des maisons de production, sur des documentaires politiques. Je pars en Colombie dans quelques jours, pour un travail sur la guérilla marxiste. J'étais aussi en Angola, en Inde, lors d'un tremblement de terre, en territoire palesti­ nien. C'est là-bas que cela se passe vraiment, et on est loin des problèmes culturels dans ces cas là ! J'aime la juxtaposition entre ce travail prenant et mes loisirs, avec la programmation à l'Atelier. C'est d'ailleurs ce qui fait notre force. On est trois asso­ ciés, Laurent Loschetter et Ferd Feidt. L'un est dans l'informatique, l'autre est architecte. Du coup, nous ne sommes pas des purs promoteurs, c'est d'abord une passion pour la musique et c'est pourquoi on peut se permettre d'être sélectif et de présenter ce qu'on aime. Journaliste, c'est mon vrai boulot, mais grâce à mon téléphone satellite et mon portable, je peux faire aussi des négociations de concerts, n'im­ porte où dans le monde” . t e l l e d i c h o t o m i e ! "I/

M a is B a rtz

le s

p r é o c c u p a t io n s

r e p r e n n e n t v it e

G ra n d -d u c h é ,

ils

sont

c u lt u r e lle s

le d e s s u s . peu

d e

P a t r ic k

C a r, a p rè s to u t, a u

n o m b re u x

à

se

p lo n g e r

est un si petit pays et c'est vraiment dur de faire bouger les gens ici. Ils préfèrent dépenser de l'argent en vacances ou d'autres loisirs que de se déplacer dans une salle pour écouter un groupe qui ne passe pas à la radio locale. Mais les choses ne peuvent que changer, on y travaille à notre niveau. En plus, il y a une vraie volonté politique, puisqu'une salle rock va être construite bientôt, sur les friches de Belvaux” . d an s

le s

n o u v e lle s

P a sse r re p o rta g e

d e su r

L 'A t e lie r , le

p a y s e n é b u llit io n lis a b le .

Et

q u e

vag ues

d e

m u s ic a le s .

se s

P r o c h e - O r ie n t

"O n

g ro u p e s ou

d an s

ro c k un

à

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a u tre

m o n t r e q u e le g r a n d é c a r t e s t r é a ­ n o tre

hom m e

s a it

v iv r e

se s

p a s­

s io n s ...

Kraftwerk en concert à L'Atelier le 22 septembre. Location: points de vente habituels.

116 Time Off paperjam 10.2002


paperJamTimeOff c u l t u r e

Frank S inatra in H o llyw o o d (Dist. R e p ris e /W a rn e r) • Une pluie d'étoiles s'abat sur ce début d'autom ne. Le coffret 6 C D des chansons que Frank Sinatra a enregistré pour des dizaines de films pour Hollywood s'avère nécessaire à ceux qui connaissent le prix de la nostalgie en N&B et en Technicolor flam boyant. Avec Sinatra, rien n'est simple pour l'am a­ teur. Qu'il se décide à acquérir les presti­ gieuses intégrales pour Colum bia (12CD), Capitol (16 CD) ou Prestige (20 CD), il n'au­ ra pas fait le tour de la question d'un des sym boles les plus passionnants des États-

Unis. Débarquent soudainement ce Frank S inatra in H o lly w o o d (1940-1964), couvrant une partie différente de la carrière de grand chanteur de jazz et de variétés, celle des prestations pour le cinéma. Qu'il soit acteur, par exem ple dans L 'h o m m e au bras d 'o r e t H igh S o c ie ty ou tout simplement interprète de chansons qui illustreront certains films hollywoodiens de l'époque com m e Las Vegas N ights e t The Victors, Sinatra est omniprésent, surtout depuis son succès dans T an t q u 'il y aura des h om m es. Se souvenir qu'à l'époque le ciném a était

vraiment du cinéma, avec ses histoires m agiques, ses stars rayonnantes. Et se souvenir aussi que le ciném a en tant que tel a définitivement disparu, et avec lui ces musiques aux couleurs sépia. Enfin, graver dans sa mém oire ces interprétations d'un chanteur qui n'aura jamais été si touchant que dans ses ballades, com m e ici H o w de e p is th e ocean ou I fa ll in love too ea s ily ou clouant sur place celui qui enten­ dra I d id n 't k n o w w h at tim e it was. Le cof­ fret, toilé noir, avec son livret précis, aux multiples photos tirées des tournages devrait aider ce travail de conservation.

U n n o u v e a u déi Après cinq années de bons et loyaux services, Nightlife.lu n'est plus. Mais il se transforme en une forme hebdomadaire plus réactive, plus claire, plus mature, nommé Nico. Une diffusion augmentée à 20 000 exemplaires par semaine, une pagination plus resserrée, une réactivité à l'événement renforcée en feront un outil indispensable pour sortir et vivre à Luxembourg, comme il n'en existait pas encore ici.... Le city-guide actuel, en somme. Nico deviendra en quelque sorte le reflet des envies urbaines d'un public plus large, qui ne se contentera pas de plans branchés, mais se montrera exigeant par exemple, à certaines informations et à la manière de se cultiver ou de sortir à Luxembourg et dans la grande région. Chaque semaine sera consacrée à un dossier plus important, que ce soit la culture, le shopping, les restaurants et nightlife, histoire de couvrir plus en profondeur les joies des sushis, des nouveaux bars ou des dernières expositions en vue. Pour faire partie du futur club très select des lecteurs privilégiés, il suffira de s'abonner, pour être sûr de recevoir son magazine. Par ailleurs, Nico sera distribué gracieusement dans certains lieux sélectionnés et sera vendu en kiosques, comme l'était Nightlife.lu. A noter qu'il existe un site www.ilovenico.lu, qui vous permettra en plus des infor­ mations, de l'agenda, des photos, de vous équiper avec tee-shirts et autres objets ludiques et utiles, avec devinez quoi: le logo “/ love Nico L 'h eb o m ad aire Nico est distribué c h a q u e m ercred i w w w .ilo ven ico .lu

IVNIC0

,

w w w .ilo ve n ico .lu r


paperJamnmeOflF c u l t u r e POETIQUE DU REEL: deux expositions pho­ tographiques : à la Médiathèque de Forbach, ce sont des œuvres modernistes, poétiques qui sont présentées. Lin Delpierre (prises à Kyoto, sur les traditions et la contemporanéité du Japon), Ralph Eugene Meatyard, (portraitiste américain important des années 60) et enfin Knut Wolfgang Maron, qui travaille sur la géo­ métrie des paysages: au Musée Louis Français, les photos sont accrochées comme dans un cabinet de curiosités, entre d'autres œuvres du musée. Paysages et portraits à nouveau, sur des sujets originaux. A la Médiathèque de Forbach (4, place Aristide Bruant - +33 3 87 84 61 90).et au Musée Louis Français (30, av. Louis Français - 88370 Plombières-les-Bains - +33 3 29 30 06 74) -jusqu'au 12 octobre 2002

POKEMON: la subculture japonaise fait des ravages. Pour faire le point sur ce reflet de la culture japonaise actuelle, cette exposition grâce à Takashi Murakimi. Sous esthétique Pokémon, des personnages dingos comme issus de champignons magiques percutent des lolitas sexy en diable. Marquant une nette auto­ nomie par rapport à l'art occidental, même si sous influence américaine de rigueur, cette exposition qui a fait fureur durant l'été, devrait rameuter amateurs de Totoro et Albator. A la Fondation Cartier jusqu'au 27 octobre (261 Bd Raspail 75014 Paris). Tel +33 1 4218 56 50. www.fondation.cartier.fr

LENI RIEFENSTAHL: la cinéaste et photo­ graphe allemande vient d'avoir 100 ans. Ses relations avec le régime hitlérien, ses films à l'esthétique grandiose et antique lui ont hélas coûté quelques soucis avec la morale bienpensante. La chose est tranchée, la vision du beau, par-dessus tout - que ce soit au cinéma, chez les athlètes des Jeux Olympiques de Berlin ou chez les Nubas au Soudan - chez cette artiste est impressionnante de classicis­ me. Ces deux livres qui paraissent aux Éditions Taschen le prouveront largement. Olympia (32 Euro) et Africa (en souscription jusqu'au 1er octobre - 1 250 Euro)

GRAVURE: dans une demeure datant de 1632 se tiendra le 2eme Salon de la gravure. Près de 6 artistes présenteront diverses œuvres et du matériel pour graver. Jean-Marcel Bertrand tra­ vaille pour le milieu bibliophilique comme Hélène Nué. Le Tchèque Pavel Hlavaty œuvre sur du métal, Koji Ikuta est un spécialiste de la "matière noire" et enfin Mariette Flener est la Luxembourgeoise du lot. Présente dans des collections publiques, elle intègre aussi des matériaux variés comme le textile et le papier à ses gravures. A la Maison du Bailli jusqu'au 6 septembre (10, rue St-Pierre - 57340 Morhange- F). Tel. + 33 3 87 86 30 81.

FOKUS 01: Le Museum Moderne Kunst de la capitale autrichienne présente actuellement une exposition remarquable sur ce qui fonde la modernité en art, avant l'abstraction totale. Ici, le spectateur vit, ressent ce que pouvaient transmettrent aussi bien Yves Klein, avec son Saut dans le vide que Rudolf Schwarzkogler et ses automutilations impressionnantes. Le fonds du Momuk concernant les mouvements Fluxus, Nouveau réalisme, Pop art et surtout d'Actionnistes est suffisamment intéressant et judicieux, pour que cette exposition soit nette­ ment excitante. Au Momuk de Vienne, jusqu'au 26 octobre (MuseumsQuartier - Tel. +43-1-52500-1313). www.momuk.at

118 Time Off paperJam 10.2002

C'est bien connu depuis Cindy Lauper, "girls, ju s t wanna have fun". Environné d'images, d'inform ations et de photographies, l'être occidental moderne ne sait plus où donner de la tête ni surtout des yeux. Que ce soit mecs en caleçons moulants, chemises au vent ou filles en culottes charmantes et jupes affolantes, il y en a pour tous les goûts. Et devant toutes ces représen­ tations, pourquoi ne pas allier amusement et charme ? Le concours spidergirl.lu qui en est à sa quatrième édition, est un cas particu­ lier. 25 jeunes filles après un casting serré se prendront au jeu de la mode. Être mannequin n'est peut-être pas la voie certaine du succès mais permet en l'o c ­ currence de vivre un moment amusant, léger et virevoltant, entre photos et défi­ lé, histoire de vivre son quart d'heure de célébrité warholien. C'est à ça que s'emploieront ces jeunes filles et c 'e st le public qui départagera les plus marquantes via sms sur Tango et le site w ww.spidergirl.lu. La gagnante se verra offrir, un lot particulièrement tentant, la fabuleuse Mini One de couleur rouge, idéale pour se dém arquer à Luxembourg et arriver en fanfare au bureau ou devant les boîtes ! Ne pas oublier : il ne suffit pas d'un corps de rêve, il faut aussi de la personnali­ té, du caractère. Tout se lit au travers d'un regard... R e n d ez-vo u s sur w w w .sp id e rg irl.lu e t v o te z po u r le p re m ie r to u r ju sq u 'a u 31 o ctobre 2002. Possibilité d 'ê tre in fo rm é g ra tu ite m e n t d es s o rtie s nightclubbing des spidergirls via sm s av e c Tango TV : e n v o yer un sm s au n° 200 0 :#T#sp iderclubb ing #90. Les 20 p re m ie rs à l'en d ro it indiqué recevro nt un w e lc o m e drink.

Une nouvelle aube atomique..

Florian Schneider et Ralf Hütter, étudiants en musique décident de bâtir le studio Kling-Klang fin des sixties et sortent un premier album intitulé Kraftwerk. Sous influence de musiques improvisées et de Stockhausen; principalement acoustiques, ces plages instrumentales détonnent. Mais ce n'est qu'en 1974 que le Kraftwerk mythologique apparaît réellement avec Autobahn. Les fondements d'une musique électronique révolutionnaire sont déposés. Wolfgang Flür et Karl Bartos ont rejoignent le grou­ pe. En costumes raides, cravatés, quasi-militaires façon '‘HitlerJugend’’, les Kraftwerk exaltent l'âge électronique à venir et l'informatisation tous azi­ muts. A la manière du Bauhaus, ils sauront intégrer la technologie à l'art. Radioactivity signalera au monde ébahi que l'ère atomique peut être d'une beauté vénéneuse. Qu'ils aient influencé et impulsé la new wave, devancés de 15 ans la techno, fascinés un David Bowie en phase Mitteleuropa en 77-78 n'est pas le moindre de leurs faits de gloire ! Kraftwerk en concert à l'Atelier le 22 septembre. Location: points de vente habituels.


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"Un parfum d'aventure et de poésie s'évade à l'infini de chaque tasse de thé". C ' e s t a i n s i q u ' H e n r i M a r i a g e l e

r e e t l'a t t a c h e m e n t in d é f e c t ib le d e s e s

c o m m e a v e c le s F ir s t F lu s h e t S e c o n d

a m a t e u r s . O n c o n n a ît d e s je u n e s f ille s

F lu s h d e s ja r d in s n u a g e u x d e C a s t le t o n

q u i c o n t in u e n t a n n é e s a p r è s a n n é e s à

o u B lo o m f ie ld . L 'a r t d u t h é v o u s p a r a ît

f o n d a t e u r d e la m a is o n d e t h é M a r ia g e

b o ir e le u r s m é la n g e s e x c lu s if s M a r ia g e

u n t a n t in e t é s o t é r iq u e ? N e le c r o y e z

F r è r e s d é c r i v a i t c e t t e b o i s s o n d o n t il

n o m m é s r ê v e u s e m e n t M a r c o P o lo o u

p a s , c 'e s t ju s t e u n e a u t re f a ç o n d e

f a is a it c o m m e r c e .

P o d r é a , a c c o m p a g n é s a v e c s o in d e

c o n n a ît r e l'in f in i s o u p l e s s e d u t e m p s e t la c o u le u r d e s n u a g e s . . .

N o u s n e s o m m e s d o n c p a s ic i d a n s

g a le t t e s d e L a M è r e P o u la r d .

l e s d é r iv e s p s e u d o - m o d e r n i s t e s d e la

L e s p u r is t e s s e la is s e r o n t e n iv r e r p a r

c h a î n e P a la is d e s T h é s , m a is b ie n

le s d iz a in e s d e t h é s c h in o is , d e t o u t e s

T h é s M a r ia g e s F r è r e s . U n e s é le c t io n

d a n s u n e t r a d it io n r a d ie u s e . Q u a n d o n

l e s p r o v in c e s r e c u lé e s , a u x p a r f u m s e t

d is p o n ib le c h e z W e n g é (1 5 ,r u e

p a s s e le p a s d 'u n e d e d e s b o u t iq u e s

g o û t s s u b t ils s e lo n le s t e r r o ir s . E t s e

L o u v ig n y -

M a r ia g e F r è r e s p a r is ie n n e s ( s u r to u t

p a s s io n n e r o n t p o u r le s d if f é r e n c e s d e s

T e l. 2 6 2 0 1 0 5 8 ) . M a g a s i n p r i n c i p a l

d a n s le M a r a is ) o n e s t s a is i p a r l'a t m o ­

D a r j e e lin g r a r e s à la r o n d e u r e n

a u 3 0 & 3 5 r u e d u B o u r g - T ib o u r g

s p h è r e d o u c e m e n t c o l o n i a l i s t e d u lie u .

b o u c h e r e m a r q u a b le e t a u x a r ô m e s

7 5 0 0 4 P a r is . P a r c o r r e s p o n d a n c e :

L e t h é M a r ia g e é to n n e , p a r s o n

in t e n s e s , o ù s e d é c o u v r e le m u s c a t

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L -1 9 4 6 L u x e m b o u rg

DE FRAICHEUR. Le dilemme de l'été a été résolu. Comment en effet conjuguer chaleur suffo­ cante, rafraîchissement et parfum délicat ? A croire que l'Eau d'Orange Verte a été inventée pour cela. Comparable en qualité aux eaux de Cologne Guerlain comme l'Eau du Coq ou l'Eau Impériale, l'Eau d'Orange Verte d'Hermès sait être indispensable car utilisable par tous. Son pouvoir rafraîchissant se trouve multiplié par les zébrures d'agrumes, qui fouettent littéralement l'odorat, après l'attaque alcoolisée, où se décèlent quelques traces poivrées, au travers des charges hespéridées. Eau d'Orange Verte existe depuis 1976 et c'est depuis cette année que sa gamme s'est élargie, avec la ligne Aroma d'Orange Verte. Pour prolonger les effets énergiques de son eau, une Orange Givrée, une Marmelade d'Oranges, une Huile de Paresse et un Lait Caresse ont été créés. Couleurs et textures se mélangent, pour créer ces multiples produits, servant pour les uns au réveil du matin et les autres au repos du soir. On appréciera tout particulièrement le gel exfoliant, qui est tout bonnement étonnant tant il explose d'odeurs d'orange et de mandarine lors de l'utilisation. D'ailleurs, rien n'empêche qu'on use et abuse de cette eau, à tout moment de la journée et de l'année, tant sa force revigorante redonne force et vigueur. Après tout, comme une promenade dans un jardin ombré d'agrumes.... En v en te à la b o u tique H e rm è s (1r. Philippe II L-2340, Tel. 22 09 91) e t ch e z certain s parfum eurs.

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paperJamflmeOlf o b je t s / t e c h n o lo g ie

Travail d'exception Devant la montée du mauvais goût généralisé, de la perte de savoir-vivre, l'usage du papier à lettres et de la carte de visi­ te personnalisés permet de se singulariser et, simplement, de montrer que l'on connaît encore les usages de la correspon­ dance privée, l'un des derniers sanctuaires pour les esthètes. La maison Benneton existe à Paris depuis 1880 et a toujours été dirigée par des femmes. Le papier à lettres y est ici une tradition, et chacun pourra choisir dans des dizaines de motifs, de textures et couleurs, ce qui le personnalisera le mieux, ou bien proposer ses propres dessins et illustrations qui lui convient: La gravure héraldique est aussi proposée, avec tous les soins nécessaires à l'élaboration de blasons et armoiries, travail qui pourra aussi être réalisé pour des chevalières ou des sceaux. Enfin, les cartes de vœux et de visite sont les territoires favo­ ris de rarissimes artisans pratiquant la véritable taille douce, entièrement à la main. Chez Benneton (comme chez Cassegrain, l'autre maison de luxe du papier), cet art de la gravure est encore proposé glorieusement. D'ailleurs la direc­ trice de Benneton, Mme Laurent espère "qu'il restera encore très longtemps des artisans capables de prendre la relève des actuels graveurs". On ne peut que l’approuver, d'autant plus que ce service soigné se retrouve aussi Luxembourg... Benneton Graveur (75, bd Malesherbes 75008 Paris). Tel. +33 1 43 87 57 39 ; www.bennetongraveur.com ainsi que chez Museal (19, rue du St-Esprit L-1475) Tel. 46 59 60; Cassegrain (422, rue Saint-Honoré 75008 Paris) Tel. +33 1 42 60 20 08

ELLYPSE: Renault présente un nouveau Concept Car étonnant: l'Ellypse, bien résu­ mé par son slogan: “une bulle d'optimisme dans le paysage automobile". A voir cette voiture relativement petite, on est en effet charmé par son aspect tout en rondeurs. Un choix minimaliste au niveau de l'exté­ rieur lui confère cet aspect détaché, presque apaisé. Il faut aussi noter le souci des concepteurs d'avoir un véhicule propre et recyclablee. Renseignements chez tous les conces­ sionnaires Renault TIRE-BOUCHONS; chacun s'est déjà débattu avec un tire-bouchons minable, tout juste capable d'exploser le bouchon de votre précieux Château Yquem 1976. Vous en pleurez de rage, mais il fallait investir dans un Screwpull .Facile d'utilisa­ tion, solide, utile et efficace, cet objet se décline même sous des design différents du classique au plus moderne. En vente chez certains cavistes comme Nicolas, w w w .Screwpull.fr BMW; par tous types de temps et de routes, l'automobiliste est amené à avoir une bonne réaction au volant. BMW vient de concevoir l'ActiveSteering, un système de direction dynamique qui va encore faci­ liter la tâche du conducteur. Plus d'agilité, de confort mais aussi plus de sécurité, font de l'ActiveSteering le système de direction innovant du moment. Renseignements au garage Kontz (184, Rte de Thionville). Tel. 49 19 41. www.bmw.lu DIPTYQUE: parce qu'elles sont rares, authentiques et terriblement raffinées, les bougies Diptyque sont indispensables à qui veut donner à sa maison un parfum unique. Depuis 1963, cette boutique édite bougies d'ambiances, parfums d'intérieurs et eaux de toilettes originales, qui portent des noms poétiques comme L'ombre dans l'eau ou Philosykos. La liste des parfums est effarante,: œillet, figuier, myrrhe, ou encore recettes anciennes, ressuscitant les pots-pourris anglais du XVIe siècle. Diptyque au 34, Bd Saint-Germain 75006 Paris (+33 1 43 26 45 27) et à Bruxelles chez Les Précieuses 83, rue Antoine Dansaert 1000 Bruxelles (02 503 28 98)

Parce que l'on n 'a pas to u jo u rs le dernier bijou te ch n olo giq u e in so us la m ain (au hasard un c o m p a c t C ontax T3), les fanas de p ho tos to rd u e s et étranges se p e n ch e ron t s u r un appareil aussi original que russe : le Lom o. Venu d es neiges d e S t-P etersbourg, fa b riq u é dans une ancienne usine d 'E ta t, ce t appareil a to u t p o u r séduire les expérim entateurs. In cid e n ts de mise au p o in t à répé titio n , im ages q ue lq ue fo is d istordues, c o ule u rs s a tu ­ rées, m ais sim p licité d 'u tilis a tio n hors pair. A joutez à ç a un lo o k rétro (le genre vieux ta n k soviétique), com m e un appareil p h o to -jo u e t un peu fru ste m ais rigo lo e t d es ré sulta ts p ho tog ra ph iq ue s étonnants. V ous co m pre n d rez ainsi pourquoi ce t o b je t est un des m ust à d é co u vrir ces te m p s -c i. En plus, il s'a ch è te quasi e xclu sive m e n t sur un site basé à Vienne, en A u triche , où l'on découvre é galem ent un club de fa n a tiqu e s de ces prises d e vues, les lo m o g ra p h e u rs... w w w .lo m o g ra p h y .c o m

ROSPORT: il restait à imposer un nouveau produit et surtout son nouveau condition­ nement. La Rosport Blue pourra se dégus­ ter maintenant dans une contenance plus pratique de 1L. La bouteille bleue azur per­ met une identification rapide et claire, avec une eau plus légère et finement pétillante. www.rosport.com HAVANE: parce que le cigare cubain a besoin d'amour et de spécialistes, il existe la maison Gérard. En se promenant sur son site, on ne peut que se désespérer de ne pouvoir s'occuper de tous les magni­ fiques modules présentés. A découvrir: quelques pièces rares, que l'on peut com­ mander directement: Hoyo de Monterrey, Bolivar ou Partagas..., le choix est très vaste. En attendant d'entrer dans le saint des saints, ce fameux magasin genevois,.. Maison Gérard Père & Fils (GrandCasino, Noga-Hilton - 1201 Genève (S)). Tel. +41(0) 22 908 35 35. www.gerard.ch


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new s

Carpaccio d’espadon et foie gras de canard, vinaigrette émulsionnée à la noisette et gingembre

P r o p r ié t a ir e

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g. d ’espadon frais 200 g. de foie gras de canard mi-cuit ou cru Mesclun de salade 1 c. à soupe de vinaigre de vin blanc 1 c. à soupe de fumet de poisson 1/2 c. à soupe de soja 4 c. à soupe d ’huile d ’arachide 2 c. à soupe d ’huile de noisette Gingembre frais selon son goût 5 0 0

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m u lt i c o l o r e s . L a n o u r r it u r e e s t s i m p l e c h ic , a v e c q u e l q u e s g r a n d s c l a s s i q u e s s a v o u r e u x c o m m e le m a g r e t d e c a n a r d o u le c a r p a c c i o , q u e l ' o n p e u t c h o i s i r p lu s é l a b o r é a v e c c o p e a u x d e t r u f f e s b la n c h e s . A

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Préparer la vinaigrette 24 heures à l ’avance. Couper l'espadon en fines tranches et les disposer s i / I l'assiette. Badigeonner les tranches avec la vinaigrette\ et réserver au froid pendant 1/2 heure. Couper le foie gras très fin et le disposer sur l ’assiettef (l’assaisonner de fleur de sel s ’il est cru). Emulsionner la vinaigrette au mixeur et la verser entre \ les tranches d ’espadon. Assaisonner le mesclun et servir.



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Voici la liste d e s v in s et m ets d é g u sté s c e s o ir là, d an s l’ordre d e s b o u teilles p ré se n té e s, de g au ch e à droite, su r la photo...

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1 990

A c c o m p a g n e m e n t: A m u s e b o u ch e : s e

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- A b t e i M û r i L a g r e in A lt o

A d ig e

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A c c o m p a g n e m e n t : S o u r is d 'a g n e a u n e a v e c -

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P o rtu g a l 1 9 7 5 - P e t e r S c h m it t R ie s lin g W ü rtg a rte n

Ü r z ig e r

M o s e l A lle m a g n e

1 975

Anne-Françoise Béchet

A c c o m p a g n e m e n t : A s s ie t t e

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E a s t I n d ia C r e a m

S h e rry A c c o m p a g n e m e n t: d e

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S h e rry

Karine Touati (CMI Creative Communication)

Eric Hieronimus

paperjam 10.

2002 Time Off 127


paperjam Index Index des entreprises et institutions citées Cet index reprend l'ensemble des 345 entreprises, organisations et institutions citées dans cette édition. Les annonceurs sont signalés en gras. Entreprises e t institutions

no. de pages

A la carte sàrl A.M.S. Trust Luxembourg ABBL 33,34, Academy Finance Advantage Agfa Agora Ajilon IT Alfa Roméo ALFI ALPP Arcelor 34,35, 43, Ares Artesia Banque Luxembourg ATAG Asset Management Audi Audiolux Aurora Aurora Investments Aurora Media Services Aurora Media Technologies

B Banca Lombarda International 35 Bank Sarasin Benelux 35 Banque Bruxelles Lambert 47 Banque Degroof Luxembourg 38 Banque Européenne d'investissement 38 Banque ING 38 Banque Pictet Luxembourg 43 Banque Privée de la BGL 52, 77 Banque Privée E. de Rothschild 70, 77 Banque Puilaetco Luxembourg 74,77,88 Banque Raiffeisen 56 BCEE 34, 56, 63, 65 Benoy Consulting 100 BGL 34, 52, 56, 131 BGL Investment Partners 38 BIL 56 binsfeld communication 52 Blitz 60 BMW 103 Boeing 38 Bofferding 45 Bofferding 127 Bora Productions 48 Boutique Hermès 121 British Telecom 40, 63 Business Initiative 48

Cactus 4 7,48 Cargolux 38, 56, 65 Carlton 47 Carmignac Gestion Luxembourg 47 Cegecom 4 ,1 7 ,6 5 Cegedel 34, 38, 56, 65 Centre de Conférence International 38 Centre de Congrès et de Conférences 110 CEPII 45 Cetrel 33,6 4 CFE 38 CFL 64 Chambre des employés privés Luxembourg 46, 72 Chase Manhattan 34 Chemins de Fer Luxembourgeois 47 Chiggeri 127 Christofle 97

128 Index

paperjam 10.2002

Circuit Foil 64 CITI 45 Clearstream 47, 127 CMD 17, 40, 64 cmi 127 Codeplafi 70 Codex Online 49 Coditel 21 Commerzbank 34 Compagnie belge d'assurance-crédit 64 Compagnie Parisienne de Réescompte 45 Computer People 43 Comviq 29 Conseil Economique et Social 63 Convergent Technologies 43 Coutts Alternative 40 Coutts Consulting Group 40 CPR Gestion 45 Crédit Européen 34, 47, 56 Cropmark 48 CRP Henri Tudor 45, 50 Cruchterhombusch 64 CSSF CTI Systems Cubana Humidor CVCE

Danica Life S.A. Danica Pension Danske Bank Group Danske Bank International DekaBank Deutsche Girozentrale Deloitte Deutsche Borse Deutsche Telekom Dexia Asset Management Dexia-BIL DGZ-DekaBank-Deutsch Kommunalbank Dresdner Bank DtA (Deutsche Ausgleichsbank)

eBRC 50, 64 e-connect 49 e-guests Editions Revue Editus Luxembourg EDS eleven Eltrona EMC EMC BDG Enron Entreprise des P&T EPT 17, 22, 38, 40, ERCIM Ericsson Etat luxembourgeois Euronext Europe Online Euroskills

FEDIL 45 FIL 65, 109, 112 FLLV 103 Foire internationale de Metz 109 Fondation Cartier 118 Fondation Universitaire Luxembourgeoise 50 Format 39

Fortis France Télécom Free Beep

Gartner Dataquest Goblet&Lavandier Goeres Horlogerie Granada Grand Link Participations Groupe Dexia Groupe Giorgetti Groupe ING Groupe Pictet Groupe Saint-Paul Gubbini&Linster

H

Halle Victor Hugo Harvey Nash HertzLease Hewlett-Packard Hilton Hitachi Data Systems Hitachi Ltd HP

IEE 64 ILR 38, 40, 45 ILRES 40 Imprimerie Centrale 126 Imprimerie de Gasperich 45 In Vino Veritas Consulting 66, 97 Infomail 64 Infonet Luxembourg 45, 64 Institute for International Research 50 Interact 47 Interdata 43 Interleasing 103, 106 Investar 64 Invik & Co. AB 29 IPL 38 Ipso Facto 97

J.P. Morgan Bank Jaguar

K Kaufmann-Serra K&F KBL Ord KBS Genève KBS Lugano KfW (Kredietanstalt für Wiederaufbau) Kinepolis Group Kredietbank Luxembourg 3 5 , 3 8 , 91

L2S La Luxembourgeoise La Luxembourgeoise-vie Landesbank Kiel L'Atelier Le Foyer Le Royal LeasePlan Lexus Linedata Linux International


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Rabo Robeco Bank (Luxembourg) S.A. 35 Radio Latina 43 Rank Xerox 43 Real Solutions 79 Renault 103 Reuters 30 Right Consultants 40 Right Management Consultants 40 Risk Partner 83, 91 Ritilux S.A. 97 Rolo Banca 1473 SpA 35 RTL 36, 116 RTL Group 17, 34, 35, 38, 47, 63

M Magicaxess Maison du Bailli Mazars Mazda McKinsey & Company Médiathèque de Forbach Meetincs Mercedes Mercure Kikuoka Golf Club Mercury Interactive Metro International Michaux Gestion Michel Greco Microsoft Mikado Mikado Advertising Mikado Finances Mikado Online Mikado-Publicis Millicom Mindforest mké S.A. £ Mobilux 1 Modem Times Group Momuk de Vienne Motorola Mouvement Luxembourgeois pour la Qualité Mundialis Musée Louis Français

S.T. Dupont Saab (Garages Kremer & Grü n) SAIT Technologies Salt and Pepper Samsung Electronics SAS (Strategy Advertising Systems) SEB Private Bank Secure Wave SecureWave Finance Service Information et Presse SES 29, 56, 63 SES Global 35, 55, 65 Siemens 10, 21, 43 Sisto Armaturen 56 Skoda Sloggi SNCI Société de la Bourse de Luxembourg Société des foires et expositions Saarmesse GmbH 109 Société électrique de l'Our 64 Société nationale de contrôle technique 64 Société nationale des habitations à bon marché Société Vieux Luxembourg Sofitel Sollac Sony Ericsson Soteg Sources Rosport Spiral Stahlcord Austria AG. Statec Steelcord Steinecker Strato Strawberries Studios Legrain Sun Microsystems Surré Sylvie Felten Synchrone sàrl Syntegra Systemat

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Nationwide Global Holdings Inc. NEC Computers International Neofacto Netbizz NGH Luxembourg S.A. Nico Magazines S.A. Nightlife.lu Nikkei BP Consulting Nokia

Océ OCPT Office du Ducroire Omega Opel Oracle Orton Investment Holdings Limited Oxygen

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40

Prochains dossiers à paraître # 11.2002: Entrepreneurial Les entrepreneurs sont présentés par les pouvoirs publics comme des "nou­ veaux héros". Par leur volonté de créer de nouvelles activités, ils sont la plupart du temps présentés comme les vérita­ bles créateurs de richesse dans une économie. Qui sont-ils? Comment et pourquoi se sont-ils lancés? Que font les institutions pour les soutenir? Existet-il une "économie" des entrepreneurs?

Parution: 17.10.2002 - Réservations: 27.09.2002

# 12.2002: RH et Communication Gérer des ressources humaines, c'est gérer des individus, c'est communiquer avec eux. De la même manière que dans la communication avec le client, il est nécessaire de penser les objectifs et les modalités de la communication avec

P&T Consulting PanEuroLife paperjam Parking du Théâtre Paul Wurth Peugeot Pictet Bank & Trust Polyfilm PricewaterhouseCoopers Primesphere Profil ProfilArbed Prolingua Promotic Luxembourg Publichic & Promochoc Publicis Publilatina

130 Index

paperjam 10.2002

64 46 119 65 56, 65 103 43 12 75 8 70, 82 52, 65 100 34 97 48 43

ses employés - actuels et futurs. Tango 17, 28, 40, 47, 48, 126, 132 Tango TV 118 Tele2 17,2 9 tempo! 3 9 ,4 3 ,1 2 6 TNT Express Luxembourg 64 Toyota 103 TransCom Worldwide S.A. 29 Trefilarbed 43 Triumph 52

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U.S. Import-Export Bank UBS Unicredito Italiano SpA Utopia

Comment s'y prend-on? Quels sont les professionnels? Quels sont les outils?

Parution: 14.11.2002 - Réservations: 25.10.2002 # 01.2003: Espace et Workflow Par l'organisation d'un espace de tra­ vail, on peut ainsi améliorer l'ambiance et l'efficacité d'une équipe. Exemples et techniques dans différents lieux au Luxembourg

Parution: 05.12


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