Paperjam Mars 2003

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Im m obilie r d'affa ires 2 m illions de m 2


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Il ne vous manque pas quelque chose?

eCabinet: le cerveau "C haque jo u r, nos co pie u rs, im p rim a n te s e t fa x p ro d u ise n t des

Jusqu'au m o m e n t où nous avons fa it la découverte de l'eCabinet.

m on ta g ne s de papier. Logique e t in évita b le , direz-vous, si on veut

Comme son nom l'ind iq ue , il s'a git d 'un e arm o ire é lectronique qui

que l'e n tre p rise tou rn e . Oui, m ais les tiro irs du bureau de Louis aussi

archive a u to m a tiq u e m e n t sous fo rm e n um érique e t classe to u t ce qui

sont pleins d 'in fo rm a tio n s vita le s pou r la société. Et que dire de

passe sur le réseau d 'en tre prise: une télécopie, une lettre, une photo

Jeanine, qui m a îtrise co m m e personne l'a rt de to m b e r sur le bon

num érisée, un site visité ... C'est g én ia le m en t pensé. Il su ffit d 'un clic de

site, où l'o n tro u ve to u t de su ite l'in fo rm a tio n voulue? Ce sont des

souris pour parcourir l'h isto riq ue de vo tre entreprise. Nos clients aussi

collègues co m p éte nts e t dévoués. M ais quel dom m ag e que toutes

v o ien t la d ifférence. Jusqu'ici, lo rsqu'ils nous appelaien t pour avoir une

ces données so ien t dispersées dans tous les coins!

précision, nous devions n ote r le ur question e t les rappeler... après avoir

L'année dernière, la fusion nous a am e né d 'un seul coup un paquet

passé quelques heures à chercher dans le 'k o t aux archives'.

de nou vea u x c o lla b o ra te u rs... e t de n ouvelles in fo rm a tio n s. Une

M ain ten an t, nous les m e tto n s sagem ent en lig n e d 'a tte n te , cherchons

vache n 'y a u ra it pas re tro uvé son veau. La firm e ressem blait à un

le d ocu m e nt voulu dans l'eCabinet et le ur donnons la réponse sur-le-

b o lide sans p ilo te .

cham p. Vous avez d it gain de produ ctivité? "

Pour plus d'inform ations, appelez le 335888 ou documentsolutions@nashuatec.lu

- Un em ployé de bureau a en m oyenne entre 3 e t 5 arm oires à archives - Il passe 60% de son tem ps à travailler sur des docum ents, papier ou électroniques - M e ttre la m ain sur un docum ent papier dure en m oye nn e 17 m inutes L'eCabinet retrouve un docum ent électronique en quelques secondes - L'eCabinet a une capacité d'archivage de 25 m illio ns de pages

Cabinet.

Save everything. Find anything.


paperJam #03.2003

G U E S T W R IT E R : L o u ise C ou rtem a n ch e (lo u ise .c o u rtem a n c h e d ÿm a trix .lu ) e st d irectrice d e la so c ié té M a trix C o n su ltin g sârl.

Le marketing: effet de mode? Il y a dix ans au L uxem bourg, presq u e personne ne parlait de m ark e­ ting. La m ajorité des entreprises n 'a v a it pas de départem ent m arke­ ting (au m ieux un dép artem en t de com m unication ou publicité) e t les form ations spécialisées n ’existaient pas. A u jo u rd ’hui l ’E cole de com m erce et gestion, les universités étrangères ou des instituts com m e la Pw C A cadem y p ro p o se n t des cursus ciblés. L es entrepri­ ses ont créé d es services m arketing et tout le m onde a le m ot "m ar­ keting" sur le b o u t des lèvres. B ref, tout le m onde fait du m arke­ tin g ... E ffet de m ode? S ûrem ent pas. Le m arketing est u n concept am éricain apparu à la fin du X IX ' siècle avec l’avènem ent de la pro d u ctio n de m asse. P our la p rem ière fois, l’offre excédait la d em ande et les com pagnies devaient trouver c o m ­ m ent écouler leu r stock. N ous som m es désorm ais loin de cette p h ilo ­ sophie de production (du m oins, nous devrions l’ê tre ...). Q uel est donc le rô le d u d ép artem en t m arketing? V endre? Faire de la pub? O ui, m ais e n c o re ... D u te rm e "m arketing", o n p e u t décliner trois activités p rincipales p ar ordre chronologique: l’analyse de m arché (ou m arket research), la stratégie e t les tactiques (ou l’opérationnel). L e volet publicité et com m u n icatio n fait donc pa rtie des tactiques, c ’est-à-dire un m oyen de m ettre en œ uvre la stratégie po u r atteindre des objectifs clairs et précis. La fonction m arketing sert donc à: id e n tifie r les beso in s et les désirs des consom m ateurs, d é te rm in e r q uels segm ents du m arché la c o m ­ pagnie p o u rra au m ieux d esservir, concevoir des p roduits e t services avec une forte v aleur ajoutée et étab lir des relations durables de q u a ­ lité avec ses clients. E n fait, to u s les em ployés de la com pagnie devraient se sen tir co n cern és c ar le développem ent de relations d u ra ­ bles avec les clients passe p a r tous les départem ents, de l’accueil à la com ptabilité, d e la p roduction à la vente. C e n ’est q u ’en plaçant le client au centre de ses activités que la com pagnie réu ssira à les fid é ­ liser. L e client est roi? N o n , il est partenaire. C ’e st différent. ■

paperJam 03.2003

Edito



paperJam #03.2003

sommaire actualité Actualité: 014 Toujours debout ! Pol W irtz n'est pas du genre à baisser les bras 0 1 6 -> Tango Sunshine, le crépuscule avant l'aube? Le pourquoi d ’un brutal silence radio

0 1 4 - > T o u jo u r s d e b o u t !

0 1 8 -> Inlingua mise sur le e-learning L'apprentissage des langues assisté par les technologies modernes 0 1 9 - ^ En 2003, la formation vous en fera voir de toutes les couleurs Polyvalence et m obilité interne sont les objectifs principaux en matière de form ation en entreprise

016

T a n g o S u n s h in e : le c r é p u s c u le a v a n t l ’a u b e ?

Rubriques: 020 -> Actualité express 028 People 030 Place financière: Bâle II et Banque Degroof Luxembourg 032 -> IT & télécoms 039 -> Ressources humaines, avec Olivier Orban (Dexia-BIL) 040 -> Agenda 046 -> BusinessWebDirectory 048 -> Communication

1 0 1 9 -> E n 2 0 0 3 , la fo r m a tio n va v o u s en fa ir e v o ir d e to u te s le s coule*

Coverstory: 050 L'im m obilier toujours gagnant? Le m arché de l'im m obilier de bureaux à Luxembourg, pour l'heure, ne souffre pas trop du ralentissem ent économique général. Mais les professionnels restent vigilants

0 5 0 -> C overstory:

Vim m obilier to u jo u rs gagnant?!

n03.2003 Som m aire C07


WHY NOT MAKE COMPUTERS MANAGE THEIR OWN COMPLEXITY? A s data centres become more complex, there are tw o choices: C reate co m p u te rs th a t are sim ple r to manage. O r c onvince one o u t of every tw o college graduates to become a system s a d m in is tra to r. A sim ple r way is at S U N . C O M /W H V N O T

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S

u

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m icrosystem s

Š2002 Sun M ic ro s y s te m s , Inc. A ll rig h ts rese rve d. Su n, S u n M ic ro s y s te m s and th e Sun log o are tra d e m a rk s o r re g is te re d tra d e m a rk s o f S u n M ic ro s y s te m s , Inc. in th e U n ite d S ta te s and o th e r c o u n trie s.


paperJam # 03.2003

sommaire b2b only

>€>???

Case study: Logiciels 068 -> Logiciels bancaires:

après l'Euro, quoi de neuf? L'an 2000 et l'Euro ont constitué deux étapes m ajeures dans les développem ents de logiciels bancaires. M ais l'activité dem eure intense et les nouvelles obligations réglem entaires apportent du pain sur la planche

Case study. Securité 072 -> Com m ent verrouiller

votre systèm e d'information? A ttaques virales ou m alveillance: les systèm es d'inform ation n'ont jam ais été autant vulnéra­ bles. D 'où l'im portance d'une protection proche de la perfection

Supplément Pub & Médias Pour sa 3e édition, le dossier "Pub & Médias" du mensuel paperJam devient un supplém ent à part entière, riche de 132 pages. Galeries thém atiques, guide pratique, portraits de “stars”, descriptif des métiers: un docum ent à conserver, un outil de travail au quotidien...

S u p p lé m e n t P u b

& M é d ia s

paperJam 03.2003

Sommaire CC9


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10 numéros

Professions libérales, TPE/TPI, particuliers reçoivent ^ exem plaire chaque m ois

Institutions, banques-assurances, grandes entreprises, PME/PMI reçoivent Q exem plaires chaque m ois

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paperJam # 03.2003 en couverture M artin H eyse (D T Z ), P itt P irrotte (P ro p e rty P artners), R om ain M uller (Jones L ang L aS alle) photo David L aurent (B litz) w w w .blitz.lu

EDITEUR m ike koedinger éd iteu r - m ké S.A. téléphoné + 352 - 29 66 18-1 fax *352 - 29 66 19 e-m ail info@ m ke.lu url w w w .m ke.lu bureaux 39, ru e A natole F rance, L uxem bourg-B onnevoie courrier BP 728, L -2017 Luxem bourg d irecteur de la publication M ike K oedinger (29 66 18-66) m ike. koedinger(àpuke. lu administration S téphanie S im on (-29) Stephanie.sim ontœ m ke.lu N acim a Tiliouine (-20) o fjic e% m ke.lu

REDACTION Les Seiçpieirs des Locaux

téléphoné + 352 - 29 66 18- (extension) fax +3 5 2 - 2 9 66 19 e -m ail p ress@ paperJam .lu u r l w w w .paperjam .lu

rédacteur en chef V incent R uck (-45) vincent.ntck@ ,m ke.lu rédaction Jean-M ichel G audron (-48) jea n -m ichel.gaudronlqm kedu rédaction “tim e off” L aurent H u sser (-44) laurentJnisserCqjmke.lu Jacques D ém arqué ja cq u e s. dem arqueia mke. lu photos E ric C henal, F rédéric D i G irolam o, D avid L au ren t (B litz) w w w .hlitz.lu illustration H! (B ruxelles) com m uniqués de presse M erci d e n o u s faire p arv en ir v os com m uniqués d e p re s­ se de préférence en trois langues (F, D, G B ) accom pagnés d ’illustrations à l ’ad resse e-m ail press@ paperJam .lu ou p a r co u rrier B P 728, L -2017 L uxem bourg. New sletter électronique P arution vendredi. A b onnem ent gra tu it depuis w w w .paperJam .lu

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paperjam03.2003 Mode d'emploi013


Toujours debout!

-> Une conjoncture défavorable et un employé indélicat ont ruiné deux de ses sociétés. Mais Pol Wirtz n'est pas du genre à baisser les bras

TEXTE J E A N -M IC H E L G AU O R O N PHOTO ER IC C H E N A L (B LITZ )

A 56 an s, P o l W irtz p e n sa it av o ir to u t vu ou p re sq u e. P io n n ie r d e l’a c ­ tiv ité d e " c h a s s e u r s d e tê te " à L u x e m b o u rg , lo rsq u 'il c ré a sa p r e ­ m iè re so cié té , e n sep te m b re 1983, a p rè s av o ir é té re sp o n sa b le d e s re s ­ so u rc es h u m a in e s d e M o n sa n to p u is de C arg o lu x , so n e x p é rie n c e e t sa ré p u ta tio n n e so n t p lu s à fa ire su r la p la c e lu x e m b o u rg e o ise. M a is à so n âg e, o n p e u t e n c o re a p p re n d re b e a u ­ co u p , m ê m e si c ela d o it se fa ire à ses d ép en d s... P o u v ait-il a in si s 'im a g in e r q u e le co m p ta b le q u 'il em p lo y a it, d e p u is six an s, p o u r s 'o c c u p e r d e l'e n ­ sem b le des s o c ié té s c ré é e s au fil d es an s, alla it " ta p e r darts la c a isse ", au p o in t d 'e n p ré c ip ite r le u r c h u te ? S an s d o u te p as. C 'e st p o u rta n t le cas, e t la p re ­ m iè re v ic tim e a été la so c ié té Pol W irtz & P a rtn e rs, le c a b in e t d 'e x e ­ cu tiv e search , c o n tra in t d e d é p o se r le b ila n le 2 4 d é c e m b re 2 0 0 2 . U n e te n ta tiv e d e re c a p ita lisa tio n a b ie n é té p ro p o sé e p a r u n e p a rtie d es actio n n aires, m a is u n a n cien a d m i­ n istrateu r, q u i, b ie n q u 'a y a n t q u itté le m a n a g e m e n t d e la s o c ié té en 2 0 0 1 , é ta it to u jo u rs fin a n c iè re m e n t im p liq u é , a so u h a ité a rrê te r le s frais, p ré c ip ita n t a in si le d é p ô t d e b ilan .

014 Actualité

paperjam 03.2003

P our a u ta n t, l'activ ité d e c h a s s e u r de tê te n 'a p as été ab an d o n n é e : elle e st d é so rm ais re p rise sous le nom c o m m e rc ial d e P o lW irtzS ea rc h , au se in d e In te rn a tio n a l E x e c u tiv e S earch G ro u p S.A . O u tre so n activ ité p rin c ip a le , la so ciété d é v elo p p e d eu x ax es su p p lé ­ m e n ta ire s d 'in te rv e n tio n : du c o a ­ ch in g , à d e stin atio n des p o s te s de

Si l'ac tiv ité , en e lle -m ê m e , n'a d o n c p a s é té tro p p e rtu rb é e p a r ces p ro fo n d s c h a n g e m e n t, l'h e u re est, a u jo u rd 'h u i, à la re m is e e n p la c e d 'u n e stru c tu re in te rn e fin a n c iè re ­ m e n t stab le. L es d é to u rn e m e n ts de fo n d s a y a n t é g a le m e n t im p liq u é des tr u c a g e s d a n s le s é c r itu re s , Pol W irtz e t se s a s s o c ié s tra v a ille n t d o n c , a ctiv e m e n t, au ré ta b lis se m e n t

m a n a g ers e t au -d e là , a in si q u e la m ise à d isp o sitio n , p o u r le s c o n se ils d 'a d m in istra tio n des so c ié té s in té ­ re ssé e s, d e re p ré sen ta n ts "a ctifs" e t n o n p a s "honoraires" - s u sc e p ­ tib le s d e s 'im p liq u e r p le in e m e n t

d es c o m p te s d es d iffé re n te s so cié té s a fin d e re p a rtir su r d e s b a se s saines.

d an s les p rise s de d é cisio n s s tra té ­ g iq u es.

R e p a rtir... C ela n 'a p a s é té p o s ­ sib le p o u r to u t le m o n d e . A in si, u n e s e c o n d e v ic tim e e st à d é p lo re r: le jo u rn a l jo b s .lu , cré é le 10 no v em b re 2 0 0 0 , u n e p u b lic a tio n d é d ié e au

Les a c tiv ité s d ’A s s e s s m e n t C en ters, d e re c ru te m e n t p a r a n n o n ­ ce e t file s e a rc h , d e T ra in in g C o n su ltin g (a n a ly se e t c o n se il en b e so in s de fo rm atio n s d es e n tre ­ p ris e s ) et d 'O u ts o u rc in g HR M an a g e m e n t (m ise à d is p o sitio n d e re sso u rc e s e x te rn e s en m a tiè re d e R H ), q u a n t à e lle s , a v a ie n t é té "d élo ca lisées" en fé v rie r 1999 au se in d e H R C , T h e H u m a n R e ­ so u rces C o n su ltan ts S.A . q u i, elle , n 'a p a s eu tro p à so u ffrir d e s m a lv e r­ s a tio n s fin a n c iè re s d e l'e m p lo y é in d élicat.

C risis is opportunity

m a rc h é d e l'em p lo i, qui a c e ssé de p a ra ître à la m i-ja n v ie r 2 0 0 3 , en p ré ­ lu d e à u n d é p ô t de b ila n p ro n o n c é le 24 ja n v ie r 2 0 0 3 . "N o u s a v o n s bien te n té d e tro u v e r une s o lu tio n d e s a u ­ v eta g e a u tra ve rs d e d e u x p r o je ts d iffé ren ts, s u r le sq u e ls n o u s a v o n s tra v a illé p e n d a n t trois m ois. M a is le s c o n d itio n s d e m a rc h é n e n ous o n t p a s p e r m is d e tro u v e r le s f i n a n ­ c e m e n ts n é c e s s a ir e s , d e s é tu d e s a p p ro fo n d ie s a y a n t e stim é q u e le ->


-> p r o d u it n 'é ta it p lu s via b le p o u r le m o m en t" e x p liq u e Pol W irtz , q u i é ta it a u ssi a d m in is tra te u r-d é lé g u é d e jo b s S .A ., la s o c ié té é d itric e . L a n c é à u n m o m e n t o ù le m a rc h é d e l'em p lo i é ta it e n c o re flo riss a n t, jo b s .lu av ait, to u t d e su ite , re n c o n tré u n g ra n d su c c è s, ce q u i é ta it, de to u te fa ç o n , u n e d e s c o n d itio n s in d is p e n s a b le s p o u r a s s u r e r so n e x isten c e . D u c o u p , to u te s le s re s ­ so u rc es fin a n c iè re s d is p o n ib le s o n t é té s y sté m a tiq u e m e n t ré in v e stie s en p ro m o tio n e t e n m a rk e tin g , a fin d 'o c c u p e r le te rra in . " C 'e s tp e u t- ê tr e là o ù n o u s a v o n s c o m m is u n e e rr e u r re g re tte , a p rè s c o u p , Pol W irtz . S a n s d o u te a u ra it-il f a l l u a u s s i c o n stitu e r q u e lq u e s rése rv e s, a fin d e s e m e ttre à l'a b r i d e m a u v a is e s s u rp r is e s . M a is on n e s 'a tte n d a it é v id e m m e n t p a s à vivre c e g e n re d 'é v é n e m e n ts " . L e ra le n tis se m e n t é c o n o m iq u e , le q u a si-g el d e s re c ru te m e n ts d a n s les so cié té s au L u x e m b o u rg o n t, fo rc é ­ m e n t, g ra n d e m e n t p é n a lis é u n e p u b lic a tio n d o n t le s re v e n u s é ta ie n t q u a si e x c lu siv e m e n t a p p o rté s p a r le s a n n o n c e s d e re c ru te m e n t. M ais san s d o u te a u ra it-e lle p u s im p le ­ m e n t ré d u ire la v o ilu re e t la is s e r p a ss e r la v a g u e a v an t d 'e n v is a g e r d e re p a rtir d e p lu s b e lle . "O n s 'e s t v ra i­

m e n t b a ttu c o m m e d es loups, j u s ­ q u 'a u bout. L e s em p lo yés o n t to u t d o n n é d a n s c e jo u r n a l e t é ta ie n t m ê m e p r ê ts à c o n se n tir d es r é d u c ­ tio n s d e s a la ire s p o u r p e rm e ttr e de s'e n s o rtir " . L e s m a lv e rsatio n s d'u n co m p tab le, v is ib le m en t a cc ro aux je u x d e casin o , o n t fini de l'achever, laissan t, au fin a l, six e m p lo y é s sur le carre au . L e s a u tre s p u b lic a tio n s, d a n s le s­ q u e lle s Pol W irtz est aussi e n g av g é (L u x e m b o u rg B u sin e s s , L u x e m ­ b o u rg N e w s , G o lf N e w s e t IT So lu tio n s), a b rité e s d ans u n e a u tre s tru c tu re , In te rn a tio n a l C ity M a ­ g azin es, c ré ée il y a to u t ju s te 10 ans, ont, é g alem e n t, été p ro fo n d é ­ m e n t to u c h é es p a r les c o n sé q u e n ce s d es d é to u rn e m e n ts de fon d s. "M ais l ’éla n d e l ’é q u ip e e t d e n o u v e lle s id ées p e rm e ttr o n t c e rta in e m e n t à les g a r d e r en a c tiv ité " a ffirm e , c o n ­ fia n t, Pol W irtz. B ien é v id e m m en t, la d isp a ritio n de jo b s .lu , a u ssi c ru e lle so it-e lle p o u r l'en tre p re n e u r qui l'a p o rté à b o u t d e b ra s, n 'a rien eu d e c o m p a ­ ra b le avec c e lle de la so c ié té Pol W irtz & P a rtn e rs, p o u r la q u e lle l’in ­ té re ssé a to u t de m êm e c o n sa c ré v in g t an s d e sa vie, et q u 'il a d o n c lé g itim e m e n t v é c u com m e u n d ra m e

A p rè s a v o ir traversé une grosse zo n e d'om bre, P ol W irtz entre v o it à no u vea u la lum ière, p lu s m o tiv é e t e n th o u sia ste que ja m a is

p e rso n n el, au p o in t d e tra v e rse r des h e u re s b ie n d iffic iles. "Je su is p a s sé p a r u n e p e tite p h a s e p lu tô t d é p re ssi­ ve, m a is c e t é vé n e m en t m 'a a ussi r e n fo r c é e t a p p r is b e a u c o u p d e choses, ta n t s u r un p la n p e rs o n n e l q u e s u r d e s a sp ec ts lé g a u x o u f i n a n ­ c ie rs. J e c ro is q u 'a u fin a l, m on e sp r it b a tta n t s'en trouve renforcé. J e d o is a u s si dire q u e j 'a i é té é n o r ­ m é m e n t s o u ten u p a r b e a u co u p de m o n d e à L uxem bourg, y co m p ris d e s g e n s a v e c q u i j e n 'avais p a s f o r ­ c é m e n t eu d es co n ta c ts d e p u is lo n g ­ tem ps, e t qui, non s e u le m e n t m 'o n t a p p e lé , m a is m 'o n t é g a le m e n t c o n sa c r e r de le u r te m p s p o u r m 'a i­ der. C ela f a i t c h a u d au c œ u r " . Q u 'o n se le dise, do n c, Pol W irtz e st to u jo u rs là, e t b ie n là. P as q u e s­ tio n p o u r lui d e p a s s e r la m a in im m é d ia te m e n t, m ê m e si, fo rc é ­ m en t, la ré fle x io n est en g ag é e . "Je tra va ille to u jo u rs s u r l ’o p p o rtu n ité d e conclure, à term e, d e no u velles a llia n c e s , a fin d e p r é p a r e r m on retra it p r o g r e s s if d es affaires. M ais j 'a i e n co re l'in ten tio n d e tra va iller a u m o in s d ix ans !" ■

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ACtUSÜté 015


Tango Sunshine, le crépuscule avant l'aube? -> Il y a quelques semaines, la Commission nationale des programmes supprimait à Tango Sunshine son autorisation d'émettre. Récit vu du côté de la radio.

T ango S u n s h in e n 'é m e t p lu s , in te r d it p a r la C o m m issio n d e s p ro g ra m m e s. E t p o u r ta n t. D ie u s a it q u e so n p r é s id e n t e stim e a v o ir resp e cté to u te s le s règles.

TEXTE V IN C E N T R U C K PHOTO F R É D É R IC Dl G IR O LA M O (B LITZ )

Tango S unshine n'était pas une radio com m erciale, contrairem ent à ce que l'on peut croire. C 'était u n e radio associative, créée à la fin de 1986 suivant les règles de toutes les autres radios associatives. D evant les frais n éces­ saires au fonctionnem ent d'un program m e radiophonique, la radio avait décidé, en 2000, de se trouver un sponsor capable de soutenir les coûts fin an ciers d'une présence p er­ m anente sur les ondes. C e fut Tango qui apporta ce soutien à celle qui à l'époque était encore 'Sunshine' tout court. Q uelles étaient donc les prestations du sponsor? Des prestations techniques en p rem ier lieu. U n studio; une ligne louée p o u r ach em in er le signal ju sq u 'à l'ém etteur; le paiem ent de la production de certain es ém issions. Pour 'rem ercier', selon les pro p res m ots du p résident de l'association gérant la radio, il fut décidé en 2001 de rebap­ tiser la station de Sunshine en Tango Sunshine (un change­ m ent avait déjà été effectué en 1997, R adio Sunshine étant devenue 'Sunshine' to u t court). Fin 2002, alors que la radio effectue les dém arches p our sig n aler le d ém é n ag e m e n t de so n siège so cial, la C om m ission N atio n ale des P rogram m es dem ande des for­ m ulaires sur lesquels doit être indiquée la durée du tem ps de publicité. En O ctobre, la co m m issio n attire, entre autres choses, l'attention sur l'obligation, p o u r une radio associa­ tive, de ne pas avoir un chiffre d ’affaires publicitaire supé­ rieu r à 12.400 Euro (500.000 L u f p o u r être 'exact'). Elle rappelle égalem ent à Sunshine q u'un annonceur ne peut pas dépasser 10% du chiffre d'affaires total de la radio. Enfin, elle s'inquiète du 'changem ent' suite à la collabora­ tion avec Tango et le changem ent de nom de la radio. La radio p ro d u it alo rs à la C o m m issio n les d o c u ­ m ents n écessaires p o u r p ro u v e r sa co n fo rm ité avec la lettre de la loi. L e chiffre d’a ffa ire s p u b licitaire s'est élevé à 9.755 E u ro , et le g ro u p e Tango/T ele2 rep résen te 9% de l'espace p ublicitaire. A u sen s strict du term e, le spon so rin g n 'e st a u cu n em en t in terd it, e t il ne s'agit pas d 'espace pub licitaire. D ébut décem bre 2002, le p résid en t e t un représentant de Tango passent devant la C om m ission p our ex pliquer la

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situation de Tango Sunshine, notam m ent la volonté de Tango 'd'expérim enter' la radio avant le lancem ent, sous une licence com m erciale, de sa propre radio. P ar u n c o u rrier du 18 décem bre, la c om m ission inform e Tango Sunshine qu'elle ne peut pas prolonger son autorisa­ tion d'ém ettre po u r 4 raisons: l'exploitation de la radio n 'est pas assurée p a r l'asbl, m ais p a r Tango; le plafond de recettes publicitaires a été dépassé; la dénom ination de la radio est en contradiction avec celle du cahier des charges; enfin, il a été constaté que la puissance d'ém ission de la radio d épassait celle légale de 100 W atts. C onséquence: Sunshine se tu t le 1er janvier, n on sans déposer un recours contre cette décision devant le tribunal adm inistratif. C ette suppression de l'autorisation d'ém ettre n'est pas sim ple à évaluer. Le président de l’association opérant Sunshine crie à l'abus de pouvoir, la radio ayant respecté les règles - ou, dans le cas de la puissance de l'ém ission, l'ayant ram ené au niveau légal dès l'avertissem ent de la com m ission. L à où les choses se com pliquent, c'est que le président de l'association n'est autre que M e T hierry Reisch, accessoirem ent avocat du groupe Tango/Tele2 au Luxem bourg. 11 est donc facilem en t accusable de jo u e r le rôle d ’un 'hom m e de paille' au p ro fit du groupe télécom , l'autorisant à gérer une radio com m erciale sans en avoir à supporter les coûts. C e à quoi il répond: "Et alors, quand bien m êm e? L es p rescrip tio n s d e la loi o n t été entièrem ent respectées. L e sp o nsoring n 'est p a s interdit! L e législateur a p rév u un p la fo n d p o u r la publicité, e t uniquem ent la pu blicité! R ien que ça e t rien d'autre! On n'y p a r le p a s de sponsoring. E t q u a n d à dire que c'est une radio com m er­ ciale, bien entendu q u 'il y en a un, dès lors que l'on p e u t vendre d e la p ublicité. C 'est évident. " O n sent, derrière les p ropos des différents acteurs que l'enjeu e st en fait la libéralisation du m arché de la radio au L uxem bourg, grand cheval de bataille de M e R eisch. Q uoi qu'il en soit, le do ssier 'T ango Sunshine' est lancé, et durera probablem ent aux a lentours d'une année, au m oins (le tem ps que le T ribunal A d m in istra tif prononce son ju g e ­ m ent). À s u iv re ... ■


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-> Du nouveau dans l'apprentissage des langues: l’appel aux technologies de communication modernes TEXT! JE A N -M IC H E L G A U D R O N PHOTO FR É D É R IC Dl G IR O LA M O (B LITZ)

En m êm e tem p s q u e son d ixièm e a n n iv ersaire, In lin g u a L u x em b o u rg fête, en 2003, l'avènem ent d e n o u ­ velles m éth o d es d 'ap p ren tissag e u tili­ sa n t d ire c te m e n t les te c h n o lo g ie s m o d ern es de co m m u n icatio n . L e p rin ­ cipe est sim ple: a llier les m éthodes tra d itio n n e lle s d 'a p p re n tissag e avec les facilités o ffertes p a r les su p p o rts num ériques (de type C D -R o m ) e t les liaisons Internet, que l'on p eu t re g ro u ­ p e r sous le thèm e général du e-learning. " // n 'est p a s question, p o u r nous, de to u t m iser su r le e-le a rn in g e t de n e p lu s travailler selon les m éth o d es p é d a g o g iq u e s d é v e lo p p é e s d e p u is toutes ces a nnées" p rév ien t C hristian Schm idt, responsable de la to u te nou­ velle l'activité In lin g u a Interactive. Le b u t n 'est évid em m en t p a s d e su p p la n ­ te r les fo rm a teu rs, m ais d 'o ffrir des su p p o rts co m p lém en ta ires q u i p e r ­ m etten t d e rép o n d re a u x b e so in s d e fle x ib ilité , d e variété, d 'autonom ie, m ais a u ssi d e m otivation, d em andés p a r les clients. N o u s m iso n s a u ssi su r une im plication p lu s g ra n d e d e la p a r t d e chaque a p p ren a n t". M ulti M ed ia B u sin e ss T rain in g C ourse: tel est le n o m de code d u n o u ­ v eau type de fo rm atio n en langue anglaise courante, a n g laise "b u sin ess" et allem ande (en atten d an t, d an s un p ro ch e avenir, l’espagnol), dév elo p p é

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en p a rte n a ria t avec C o m m est, une société établie en France (à M ulhouse) e t qui a développé, sur m esure po u r Inlingua Luxem bourg, un C D -R om d'apprentissage "Reflex" e x c lu sif dans la G rande R égion, qui c o m plète les supports habituellem ent utilisés. C e support, à la navigabilité p lutôt agréable, est scindé en deux p arties d'utilisation. U ne zone "off-line", qui p erm et un travail sur le seul C D -R om , et une zone "on-line", à p a rtir de laquelle il e st n otam m ent p o ssible d'accéder à des forum s de d iscussion avec des form ateurs, ainsi qu'à u n ser­ vice de support p ar e-m ail. D ans la partie propre au C D -R om , l'utilisateur a, à sa disposition, dix u n i­ tés de cours, de niveaux progressifs, c o n te n an t des ex ercice s a llia n t le texte, le son et l'im age. A u m enu: faire g lisser des m ots su r les im ages c o rre s­ pondantes d'un sim ple clic de souris; replacer des m ots dans leur contexte, p erm ettant, ainsi, de ne pas se lim iter à la seule co m préhension d u sens "brut”', m ettre en rapport une expres­ sion avec sa définition; rem placer des m ots m anquants dans un texte après l'av o ir é co u té; o u bien e n co re répondre à des questions liées à la d if­ fusion d'u n p etit film v id é o ... A chaque exercice, une é v aluation au to m atiq u e indique le no m b re de bonnes et m auvaises réponses et pro-

V 'a p p re n tissa g e d es la n g u e s p a r les n o u v elles te c h n o lo g ies: un p u s d e p lu s vers lu s p ira le d e la réu ssite, selo n C hristia n Schm idt, c o n su lta n t du s e r v ic e e -le a rn in g p ose de reco m m en cer ou de p a sse r à l'étape suivante. A la fin d e chaque unité, il est possible d 'avoir u n récap i­ tu la tif de ses "perform ances", et des indications sur les thèm es précis à re tra v a ille r, é v e n tu e lle m e n t, p o u r progresser. C es données, stockées sur le C D -R o m , so n t é v id e m m e n t c o n su ltab le s p a r le fo rm a te u r qui peut, ainsi, com pléter l'apprentissage. S e lo n les form ules p ro p o sé es, les co n ta cts "directs” avec les fo rm a ­ teurs, via des forum s en ligne o u des é ch a n g e s p a r m ails, seront p lu s ou m oins nom breux e t à des fréquences p lu s ou m oins rapprochées. O utre les nom breux avantages p ra­ tiques que p rocure cette m éthode, l'utilisateur (en l'occurrence la socié­ té qui propose la form ation à ses e m p lo y é s) y tro u v e so n c o m p te fin a n c iè re m e n t, p u isq u e se lo n les fo rm u les choisies, l'économ ie peut varier entre 7,5% et 50% p ar rapport à une form ation "cla ssiq u e ". 11 est m ê m e p o ssib le d 'a c q u é rir d ire c te ­ m e n t la lic e n c e d e la p a rt de C o m m est et d'installer l'ensem ble du systèm e, sur son propre serveur, pour u n u sag e p o ssible ju s q u 'à dix u tilisa ­ teu rs au m axim um . D ans ce cas là, la so ciété a, d e surcroît, la possibilité d 'a c c é d e r d ire c te m e n t a u x p e rfo r­ m ances de ses em ployés e t de m esu ­ re r le u r progression. ■


En 2003, la formation vous en fera voir de toutes les couleurs -> Même avec des budgets plus restreints, la formation reste une priorité pour de nombreuses entreprises. Objectifs: polyvalence et mobilité interne. TEXTE V IN C E N T R U C K PHOTO F R É D É R IC Dl G IR O L A M O (B L ITZ )

E n 2003 la fo r m a tio n d ans les g randes stru c tu res visera p r in c ip a le m e n t à rendre le s e m p lo yé s p lu s p o lyva len ts. L a fo rm a tio n du p e rs o n n e l e st u n im p é ra tif, a u jo u r­ d 'h u i. p o u r to u te s les g ra n d e s s tru c tu re s. Im p o ssib le de p a s s e r o u tre . D a n s le s e c te u r fin a n c ie r, la c h o se est e n c o re p lu s se n sib le , é ta n t d o n n é le ra le n tis se m e n t c o n n u su r les d e rn ie rs m o is: p a r la fo rm a tio n , u n é ta ­ b lis se m e n t f in a n c ie r e st à m ê m e d e m ie u x a ffro n te r la c o n jo n c tu re a c tu e lle . U n e m e ille u re p o ly v a le n ce du p e r­ so n n el p e rm e t ce q u e le s p ro fe s sio n n e ls d u d o m a in e a p p e lle n t le 'Jo b ro ta tio n '. À la B a n q u e e t C a iss e d 'E p a rg n e d e l'É ta t, p a r e x e m p le , o n p ré v o it u n e a n n é e un p e u 's p é c ia le '. L 'é ta b liss e m e n t. 1 00% p ro p rié té d e l'éta t, e m p lo ie des 'a s sim ilé s fo n c tio n n a ire s '. D a n s le c a d re d 'u n e loi e n c o ­ re à l'é tu d e - m a is p ro b a b le m e n t v o té e au co u rs d e l'a n ­ n é e - les d iffé re n ts c h e fs d 'é q u ip e et de d é p a rte m e n ts s e ro n t a m e n é s à c o n d u ire , avec le u rs c o lla b o ra te u rs, d es "e n tre tie n s d e d é v e lo p p e m e n t" . A in si sera m is en p la c e, a u p re m ie r s e m e s tre , u n e s é rie d e fo rm a tio n s p o u r les p e rs o n n e s a y a n t à m e n e r c es e n tre tie n s. A u tre p o in t s p é c ifiq u e p o u r la B C E E , la p ro b a b le m ise e n p la c e d 'u n e fo rm a tio n p o u r le ré se a u des a g e n c e s, s u ite à u n e é v o lu tio n d u sy stè m e in fo rm a tiq u e , é g a le m e n t au c o u rs d e l'an n é e . L e s p e rs o n n e s c o n c e r­ n é e s ? C e lle s a u c o n ta c t d e la c lie n tè le . À c ô té de ces fo rm a tio n s 'e x c e p tio n n e lle s ', M . S treff, e n c h arg e d e la fo rm a tio n d a n s la b a n q u e , p ré v o it de p ro p o s e r aux em p lo y é s to u te u n e s é rie d e m e su re s p lu s c e n tré e s sur l'em p lo y é lu i-m ê m e : q u e l p o s te o c c u p e -t-il? En fo n c ­ tio n d e s o n p o s te , e t de la s tra té g ie d e la b a n q u e, q u e lle s c o m p é te n c e s s u p p lé m e n ta ire s d o it-il m a îtrise r?

A u tre m e n t d it, avec d es b u d g e ts fo rm a tio n lim ités, il e st n é c e s sa ire d e m a in te n ir un h a u t n iv e a u de q u a lité de fo rm atio n , E T d e c h o isir d e s d o m a in e s o u le 're to u r sur in v e stisse m en t' sera ra p id e , e t p o u r l'em p lo y é , e t p o u r l'em ployeur. De m a n iè re g é n é ra le , d o n c , ces fo rm a tio n s o n t donc é g a le m e n t p o u r o b je t de fa c ilite r la m o b ilité in te rn e au sein d 'u n e stru c tu re . T o u jo u rs à la B C E E , le s em p lo y és p e u v e n t b é n é fic ie r, d a n s une te lle o p tiq u e , d'u n p la n indiv id u el d e fo rm a tio n , le b u t étan t d e ne p lu s p ré s e n ­ te r le c h a n g e m e n t de s e rv ic e co m m e u n san c tio n , suite à une m é se n te n te avec le re s te de l'éq u ip e ou le s u p é ­ rie u r h ié ra rc h iq u e , m a is c o m m e une d y n a m iq u e p o s iti­ ve, p e rm e tta n t à c h a q u e s e rv ic e de v o ir a rriv e r du san g n e u f, c o m p é te n t. E t p e rm e tta n t à des a ctiv ité s en recul d e 'lib é re r' la m a in d 'œ u v re et la c o m p é ten c e vers d 'a u tres a c tiv ité s, p lu s p o rte u ses. C ette a n a ly se e s t c o n firm é e p a r G ilb e rt R en e l, de D e lo itte & T ouche. L e s c o n ta c ts avec d ifféren ts a cteu rs du s e c te u r fin a n c ie r c o n firm e n t que, d a n s to u te s les e n tre p rise s, o n jo u e s u r le ta b le a u de l'e ffic a c ité a ccru e, avec une a tte n tio n p a rtic u liè re au ra p p o rt q u a lité -p rix de la fo rm a tio n , e t su r les m o u v e m e n ts tra n s v e rsa u x au sein d 'u n e e n tité . U n e a tte n tio n p a rtic u liè re au ra p p o rt q u a lité -p rix , c o m m e m e n tio n n é e p lu s h a u t, s ig n ifie , en fait, une q u a lité m a in te n u e , su r d e s su jets p lu s o p é ra ­ tio n n e ls, avec d es b u d g e ts ... en ba isse . L 'a m p litu d e ? O n m u rm u re d e g a u c h e e t d e d ro ite, que les b a isse s so n t à 2 c h iffr e s ... M a is, p o u r des ra iso n s d 'im ag e , on n e le d it p a s tro p fo rt... ■ paperjam 03.2003

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Gouvernement

Protection des petits actionnaires: un texte en préparation

30/12 Depuis "l'affaire RTL Group", et le traitem ent de d éfav eu r dont estim ent (à ju ste titre, d'ailleurs) avoir été v ictim es les petits a ctio n ­ n aires, devant le niveau auquel fut traité un échange d ’actions entre Bertelsmann et le groupe belge GBL, la ques­ tion d'une législation concer­ nant la protection des action­ naires m inoritaires est plus que jam ais d'actualité. C et été, le député socialiste Ben Fayot avait déposé une proposition de loi relative à cette protec­ tion des actionnaires m inori­ taires et à l'obligation de lan­ cer une offre publique d'acqui­ sition (voir paperjam 11.2002, page 038), et il aura fallu attendre la toute fin de l'année pour que le gouvernem ent prenne une nouvelle position sur la question. On se rappelle qu'il y a un an, le prem ier m inistre JeanC laude Juncker avait, lors d'une réponse à une question parlem entaire, insisté sur le fait que rien ne se ferait en la m atière sans qu'une directive européenne n'ait vu le jour. A près une première proposi­ tion rejetée en ju illet 2001, une seconde a été présentée le 2 octobre 2002. "Elle consti­ tue la base dont il convient de s'inspirer p o u r préparer une législation nationale dans le dom aine" explique le docu­ m ent du gouvernem ent qui annonce que les ministres des Finances et de la Justice vont préparer un texte "qui sera largem ent com patible avec le fu tu r cadre européen et qui s'inspirera des meilleures pra ­ tiques étrangères". Le texte de la proposition de directive: www. europa. eu. int/co mm/in ternaljmarket/fr/company/company/news/index. htm

Commission européenne

Transpositions de directives: recul général 31/12 Selon les données actua­ lisées au 31 décembre fournies par la Commission européenne, communiquées début janvier, les Etats membres ont quelque peu ralenti, en fin d'année, leur rythme de transposition, dans leur législation nationale, des directives européennes. Ainsi, si au 31 octobre, le taux de communication des mesures nationales d'exécution des directives était, pour l'ensemble de l'Union, de 96,64% , il a reculé à 95,51% à la fin de l'an­ née 2002. Pour ce qui est du Luxembourg, ce taux glisse de 96,82% ( 1.490 mesures communiquées sur un total de 1.539 directives appli­ cables) à 95,98% (1.503 sur 1.566). Le pays demeure en sixième position européenne, derrière le Danemark (96,99%), la Suède (96,68%), la Finlande (96,56% ), les Pays-Bas (96,30% ) et l'Espagne (96,29%). Le dernier de la clas­ se demeure, depuis un moment déjà, la France, avec un taux 94,19%, assez loin derrière la Grèce (94,69%). Statistiques détaillées sur: http://europa. eu. int/coin m/secret ariat j*eneral/sgb/droit com/ind ex_fr.htm

Gouvernem ent

Budgets de construction adaptés 10/01 Le Conseil de gouverne­ ment a approuvé, le 10 janvier, le projet de loi relative à l’adap­ tation budgétaire de construc­ tion de l’immeuble du Centre de recherche public Henri Tudor et du C entre de Technologie de l’Éducation à Luxembourg Kirchberg, dont le budget initial était régi par la Loi du 19 juillet 1997. Selon le texte, la construction de l’im m euble ne pouvait dépasser la somme de 455 m il­ lions de francs (11,3 millions d'Euro), avec un montant de 22 millions de francs (0,55 million d'Euro) pour les équipements fixes (hors, donc, équipements m obiles et électroniques). Compte tenu que le bâtiment concerné se trouve à un stade

très avancé d ’achèvement, le gouvernement a estimé qu'une solution d ’urgence s’imposait pour le financem ent des pre­ miers équipements, afin de per­ mettre sa mise en service dans des délais jugés raisonnables. Le plafond proposé des dépenses a été établi à 2,47 mil­ lions d'Euro. www.gouvernement. lu

Soteg

Accord industriel avec Vaillant

13/01 L'introduction de sys­ tèmes de piles à combustible à Luxembourg pour le marché des privés et des petites entre­ prises a fait l'objet, le 13 janvier, d'un accord de coopération signé entre Soteg, principal im portateur de gaz naturel au Luxembourg, et Vaillant GmbH, constructeur allem and de ce type de piles. 11 s'agit d'équipements qui pro­ cèdent à la transformation du gaz naturel (ils sont directement branchés sur le réseau de distri­ bution) en hydrogène, lequel est alors mis en réaction avec l'oxy­ gène de l'air, ce qui entraîne un phénomène connu sous le nom de "combustion froide". Ce procédé silencieux produit à la fois du courant électrique et de la chaleur. Il est, de surcroît, beaucoup moins polluant par rapport aux techniques conven­ tionnelles pour produire la même quantité de courant et de chaleur: non seulem ent les émissions de dioxyde de carbo­ ne sont réduites de 30%, mais ailleurs les ém issions des oxydes d'azote et de soufre dis­ paraissent pratiquem ent com ­ plètement... C oncrètem ent, deux installa­ tions pilotes, qui serviront de "laboratoire grandeur nature", seront installées dans des bâti­ ments publics luxembourgeois, pour lesquels Soteg reste encore discret, dans l'attente de la signature définitive des contrats.


Fin 2004, Soteg prévoit l'instal­ lation d'une trentaine de sites de ce type dans la Grande-Région (Luxembourg, Sarre, Wallonie). A la fin de la période d'étude et d'essai, Soteg et Vaillant ont l'intention de continuer leur coopération pour la commercia­ lisation d'installations à destina­ tion d'une clientèle privée et de petits commerces. Inform ations su r les portuaires: m vw .soteg.lu et www.vaillunt.de

Le montant total des dépenses d ’investissem ent de l’Etat atteindra ainsi presque 790 mil­ lions d'Euro en 2003, soit 11,8% des dépenses totales de l’Etat en 2003. Selon les estim ations de la Com m ission européenne publiées au printemps 2002, le niveau d ’investissement atteint par le Luxembourg (4,8% du PIB en 2002) est le plus élevé des pays de l ’Union Européenne (2,3% en moyen­ ne).

Gouvernement

ww w.gouvernem ent. lu

Programme de stabilité et de croissance actualisé

Hitachi

Quels besoins de stockage pour 2003 ?

Fin 2002, L u x e m b o u rg é ta it s o u s le c o u p d e 9 sa isin e s d e la C our d e ju s tic e eu ro p é e n n e

Commission européenne

Prestation de services: procédure contre Luxembourg 15/01 Le ministre du Trésor et du Budget, Luc Frieden, et Jeannot Waringo, directeur de l'Inspection générale des Finances (photo), ont présenté le 15 janvier, la 4e actualisation du programme de stabilité et de croissance du G rand-Duché de Luxem bourg, qui couvre la période 2001-2005. Selon les prévisions établies, la croissance du PIB, pour 2002, devrait se limiter à 0,5%, après les 1% enregistrés pour 2001. Par la suite, le redressement devrait s'amorcer: +1,2% pour 2003, +2,4% en 2004 et +3,1% en 2005, selon le scénario "bas" du m odèle de prévision du STATEC. De même, l'inflation, qui a atteint 2,1% en 2002, devrait durablement s’établir en des­ sous de 2% dans les années sui­ vantes, alors que dans le même temps, l'emploi intérieur devrait croître de 1,4%, 1,3% et 2,5% ces trois prochaines années. Pour 2003, le solde budgétaire de l’adm inistration centrale luxembourgeoise devrait être négatif - ce qui va à l'encontre des recom m andations euro­ péennes - en raison du recours aux fonds spéciaux pour finan­ cer les dépenses d ’investisse­ m ents futures. Le gouverne­ ment s'est engagé à continuer à accorder une première priorité au développement des infra­ structures publiques.

16/01 Selon une étude réalisée par H itachi Data Systems (HDS), filiale d'Hitachi Ltd. (“H itachi Data System s European Storage Index”, reprenant 570 interview s de directeurs IT dans 12 pays européens), et rendue publique le 16 janvier, il apparaît qu'au­ cun des managers ICT belges et luxembourgeois interrogés, et seuls 10% des directeurs IT néerlandais, s'attendent à une augmentation de la demande de stockage de plus de 75% pour 2003. Or, pour les analystes de marché et HDS, 75% corres­ pond à un pourcentage de crois­ sance réaliste, basé sur des chiffres de croissance histo­ riques. HDS prévoit donc que la crois­ sance du stockage sera supé­ rieure aux prévisions des res­ ponsables IT, partant du princi­ pe que cette demande de stoc­ kage double environ tous les 16 mois, sur une base annuelle de 75%. Du point de vue des investisse­ ments de stockage, il apparaît que 36% des entreprises inter­ rogées au Benelux réservent une grande partie du budget IT 2003 au stockage. Dans toute l'Europe, ce pourcentage oscille entre 32% (pour les entreprises qui ont un chiffre d'affaires

13/01 La Commission européenne a décidé de saisir la Cour de Justice contre le Luxembourg, estimant que les conditions imposées au GrandDuché aux employeurs communautaires qui, dans le cadre d'une pres­ tation transfrontalière de services, souhaitent détacher des travailleurs ressortissants de pays tiers, sont contraires aux règles de l'article 49 du Traité en matière de libre circulation des services. Trois points essentiels ont motivé la décision de Bruxelles: la difficul­ té constatée, pour certaines entreprises établies dans d'autres Etats membres, d'effectuer une prestation de services au Luxembourg; l'im­ possibilité pour les entreprises établies au Grand-Duché de choisir librement leurs fournisseurs de services sur l'ensemble du marché euro­ péen, et donc obtenir le meilleur prix possible; et enfin le risque, pour le consommateur final, de payer plus cher que nécessaire le produit ou le service qu'il achète. Concrètement, au Luxembourg, le détachement de travailleurs des pays tiers dans le cadre d'une prestation de services reste subordonné à l'exi­ gence d'une autorisation de travail, qui n'est délivrée qu'après examen de la situation du marché de l'emploi, ce qui est contraire aux principes dégagés par la Cour. Une entreprise peut certes obtenir une autorisation de travail collective, mais uniquement si les travailleurs concernés sont liés à l'entreprise par un contrat de travail à durée indéterminée et à condition que ce contrat soit antérieur d'au moins 6 mois au détachement. De telles exigences paraissent, aux yeux de la Commission, disproportionnées et suscep­ tibles d'interdire, dans la pratique, de tels détachements. C'est le cas, en particulier, dans les secteurs où l'emploi de ressortissants des pays tiers joue un rôle important et qui sont habituellement caractérisés par des emplois limités dans le temps et par des changements fréquents d'em­ ployeur. Une garantie bancaire de 1.490 Euro par travailleur est en outre exigée afin de couvrir les frais de rapatriement éventuels des travailleurs concernés. Ceci constitue également, pour Bruxelles, une condition restrictive disproportionnée. La Commission avait déjà, en avril 2002, envoyé un avis motivé, pour lequel elle n'a reçu aucune réponse. D'où la décision de traduire le Luxembourg devant la Cour de justice. Selon les dernières statistiques arrêtées par la Commission au 17 décembre, le Luxembourg est sous le coup de 9 saisines de la Cour, de 10 Avis motivés et de 3 mises en demeure. Détails relatifs aux procédures d ’infraction en cours: http://europa.eu.inl/comm/secretariat_general/sgh/droit_com/index_fr.ht mttinfructions ■

paperjam 03.2003

Actualité 021


Les p o r te s d e l'In d ic e s e s o n t refe rm ée s s u r A u d io lu x

Bourse de Luxembourg

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entre 75 et 380 millions d'Euro) et 40% (pour celles affichant plus de 380 millions d'Euro de C.A.). "L'entreprise su r onze qui investit de façon substantielle dans le stockage est bien plus réaliste que les entreprises qui se disent que l'augmentation de 75 % n'aura pas lieu" estime John Taffinder, Vice-Président EMEA d'HDS, qui estime que l'une des raisons pour lesquelles les directeurs IT estiment avec m odération la croissance du stockage vient du fait que les coûts de stockage par megabyte diminuent annuellement: "Ain­ si, la capacité de stockage croît quand même, tandis que les investissem ents restent au même niveau". Infos complémentaires: www. eu. h ds. com

programmes entre leurs réseaux sont uniformisées, l'accès Internet commence à être propo­ sé. Pour ce qui est de l'UMTS, dont le déploiement au Luxembourg semble être soumis à caution, dans l'attente de décisions du régulateur et du législateur, P&T Luxembourg a choisi Siemens mobile pour son équipement UMTS. Le contrat cadre court jusqu'à la fin 2007. Dans son m essage, Siemens insiste bien sur le fait qu'elle est une entreprise 'Service-Driven'. C'est par le développement des services que l'entreprise entend être prospère. Actuellement aux alentours du tiers du chiffre glo­ bal, les revenus des services sont destinés à atteindre, d'ici quelques années, les 50%. www.siemens. lu

Siemens

High Tech Consulting

2002 dans le prolongement de 2001

Audiolux sorti de l'Indice 13/01 A chaque révision de l'Indice LuxX de la Bourse de Luxembourg, son lot de nouveautés... Après l'éviction, il y a six mois, de Millicom International Cellular, le titre ayant vu sa valeur fondre de 90% en l'espace de 6 mois, c'est au tour de Audiolux de sortir de la liste des titres repris dans l'indice de référence luxembourgeois. La société holding, cotée en Bourse depuis juillet 1989 et qui investit dans les médias et les télécoms (SES Global et RTL Group constituent ses deux principales participations), est "victime" d'une nouvelle dispo­ sition réglementaire qui restreint à 10 le nombre d'actions reprises. Exit, donc, Audiolux, et place, depuis le 13 janvier, au nouvel Indice LuxX qui se caractérise également par un réajustement de la pondéra­ tion de ses principales composantes. Ainsi, c'est désormais Arcelor qui occupe la part la plus importante, avec un "poids" de 22,5%, devançant SES Global (20%), RTL Group (17,5%) et KBL Ord. (15%). Cette répartition est également une conséquence d'une nouvelle approche en matière de pondération des valeurs décidée par la Commission de la Bourse. Car avec "l'ancienne" méthode, ces quatre valeurs disposaient d'un poids de 20% chacune, alors qu’au niveau des poids réels il y a de nettes différences dues au free-float (poids réels: Arcelor 65,26%, SES 12,54%, KBL 9,36% et RTL 7,48%). La nouvelle composition exacte de l'Indice LuxX est la suivante: A rcelor (poids de 22,50%); SES Global (20,00%); RTL Group (17,50%); KBL ord. (15,00%); Luxempart (6,93%); KBL prv. (5,00%); Cegedel (4,47%); BGL Investment Partners (4,08%); Banque Degroof Luxembourg (2,83%); Le Foyer (1,69%). Rappelons qu'au cours de l'année 2002, l'Indice LuxX s'est déprécié de 29,21% (à mettre en perspective des performances des places voisines: -27% à Bruxelles, -34% à Paris ou -4 4 % à Francfort), mais que les valeurs TMT ont, une nouvelle fois été parmi les plus touchées: 34,73% pour RTL Group, -47,76% pour SES Global et -47,62% pour Audiolux. La "palme" au niveau de l'Indice revient à BGL Investment Partners, qui a chuté de 56,36%. Quant à Millicom International Cellular, sa dégringolade s'est finalement chiffrée à 84,90%... Les premiers jours de 2003 n'ont guère été annonciateurs d'améliora­ tions: au 31 janvier, l'Indice LuxX "nouvelle form ule" affichait déjà un déclin de près de 15% par rapport au 31 décembre. www.bourse.lu ■

022 Actualité paperjam 03.2003

16/01 Siemens Luxembourg affiche, pour 2002, une situation qui, si elle est en retrait par rap­ port à l'année dernière, n'est pas pour autant mauvaise. Succrusale de Siemens Belgique, la société a conservé un EBIT de 8,6 millions d'Euro en 2002, avec un chiffre d'affaires en repli de 6%, passant de 117,3 millions à 110,2 millions d'Euro. Globalement, l'année 2002 a été, d'une certaine manière, le pro­ longement de 2001. Des techno­ logies prometteuse, comme la Voice over IP, ont commencé à être déployé. Arcelor, CFL et la DGZ-Dekabank ont ainsi choisi Siemens pour équiper leur infra­ structure. Pour ce qui est de la câblo-distribution, et des télécom s plus généralement, Siemens continue son 'partenariat privilégié' avec l'entreprise des Postes et Télécommunications. Eltrona et Siemens Luxembourg ont signé l’an passé un contrat de collabo­ ration pour l'exploitation des têtes de réseau, les grilles de

Un marché uir Ëectrolux 17/01 C'est une société luxem­ bourgeoise, High Tech Consulting, qui est intervenu pour guider Electrolux IT Solutions (ITS), division de Electrolux Home Products, dans le choix d'une solution de stoc­ kage en vue de protéger les don­ nées du quartier général euro­ péen du groupe à Bruxelles. Toute la négociation, la consul­ t a n t et les contacts ont été réa­ lisé a Luxembourg, et au final, c'est sur la solution EMC CLARiiON recommandée par HTC que s'est porté le choix d'Electrolux, le marché ayant été enlevé au nez d'autres grands acteurs tels que IBM, Compaq ou encore Deloitte. La décision de faire appel au consultant HTC a été prise par Joel Decker, O peration and A ccount M anager au sein d ’ITS, responsable de l’infor­ matique pour les implantations du Benelux, engagé dans un grand processus de consolida­ tion. "Suite aux nombreuses acquisitions du groupe, on a dénombré à un moment donné 500 systèm es A S/400 chez Electrolux. La première étape logique consistait donc à stan­ dardiser notre m atériel et le nombre de centres de données" explique M. Decker, dont les bureaux se trouvent... au Luxembourg: "je préfère tra-


vailler avec des entreprises locales qui ont des succursales et des partenaires dans tout le Benelux". Fondée en 2000, HTC, qui emploie aujourd'hui une douzai­ ne de personnes, s'est principa­ lement spécialisée, dans l'audit et le conseil informatiques, de l'architecture et l'infrastructure servers jusqu'au project mana­ gement en audiovisuel, en pas­ sant par le développement et design de sites Internet (w w w .M obilux-junior-open.lu ou www.abys.lu). Parmi ses principales réfé­ rences: D resdner Bank, Swedbank, Dexia Nordic Bank, Offices des Brevets (Réseaux, help-desk, sécurité, firewall) ou encore Nordea Bank, Mitzuho Trust & Banking, VP Bank (Gestion de projets) www.htc.lu

ganiser un fonds de pension pour les salariés des deux groupes travaillant au Luxem­ bourg. C ela porte donc à huit le nombre de fonds de pension autorisés à exercer leur activité et soumis au contrôle de la CSSF: six de type Assep (Dexia Pension Fund; K Bridge; Prime Pension, BGL Assep B, The Unilever International Pension Plann The Clearstream Lux­ em bourg Pension Fund et Pensioninvest) et deux de type Sepcav: KPM G-Lombard In­ ternational Pension Scheme et Ernst&Young-Lombard Inter­ national Pension Scheme. www.cssf.lu

Caves Bemard-Massard

Ca roule !

Clearstream, HVB Banque Lux, E&Y

Banque Degroof Luxembourg

Trois nouveaux fonds de pension internationaux 17/01 Les fonds de pension internationaux se développent à petite vitesse à Luxembourg. M ais ils se développent ! Trois nouvelles initiatives ont ainsi vu le jo u r en ce début d'année. Le 17 janvier était annoncé la création d'un fonds dénommé The Clearstream Luxembourg Pension Fund, constitué sous la forme juridique d ’une associa­ tion d ’épargne-pension (assep, dans laquelle les droits des affi­ liés et bénéficiaires prennent la forme de droits de créance, et le versement se fait, au moment de la retraite, soit en capital, soit par le paiement d ’une rente à verser et, le cas échéant, de prestations accessoires). Dix jours plus tard, c'est au tour des allemands de HVB Banque Luxem bourg de lancer leur propre produit, également sous form e d'assep, baptisé P en sioninvest. Le 29 janvier, enfin, une sepcav (société d ’épargnepension, dans laquelle les affi­ liés et bénéficiaires sont les actionnaires de la structure et reçoivent le bénéfice d ’un capi­ tal au moment de la retraite) à compartiments multiples était annoncée: celle Ernst&YoungLombard International Pension Scheme. Dans les trois cas, il s'agit d ’or­

C et été, B a n q u e D e g r o o f L u x e m b o u rg quittera so n sièg e h isto riq u e d u b o u le v a rd J o se p h II e t installera l'en sem b le d e ses p e rs o n n e ls à la C lo c h e d'Or.

"Satisfaits et confiants"

20/01 Les Caves BernardM assard ont agrandi leur parc autom obile par l'acquisition d'un nouveau camion décoré entièrement aux couleurs de la société. Ce camion Mercedes "A teg o" de 6.374 cm 3 peut transporter 15 palettes ce qui correspond à un maximum de 7.200 bouteilles... Cela porte à six le nombre de camions et camionnettes aux couleurs de la société. www.hernard-massard.com

Gouvernement

Le secret bancaire en sursis

21/01 Une avancée certaine a été réalisée dans l'épineux dos­ sier de l'harmonisation fiscale européenne à l'occasion de la réunion des m inistres des Finances et de l’Économie de

16/01 Dans le contexte économique que l'on sait, Banque Degroof Luxembourg la banque de l'avenue Joseph II (pour quelques mois enco­ re ...) s'estime satisfaite des résultats affichés et confiante dans l'avenir. C'est, du moins, en ces termes exacts, que s'est exprimé Geert De Bruyne, l'un des deux administrateurs-délégués de la banque (avec Patrick Keusters), en poste depuis le 2 octobre dernier, c'est-à-dire depuis le départ surprise de Fernand de Jamblinne, qui occupait, seul, ces fonctions depuis six ans. "Il fa u t bien voir que la correction boursière que nous vivons actuelle­ ment est la troisième plus importante de l'histoire. Le krach boursier de 1987, à côté, paraît minuscule, tout comme les conséquences des deux chocs pétroliers des années 70" remarque M. De Bruyne, forcément satisfait du maintien à un niveau assez élevé du fonds de commerce de la banque: si la partie "administration de fo n d s" recule de 5,5%, les fonds amenés par la clientèle privée augmentent de 0,36% et surtout ceux venant de la clientèle institutionnelle croissent de 11,21%. "Nous avons bénéficié d'un développement commercial remarquable, allé à une approche de gestion éprouvée, mais aussi d'une grande fid é ­ lité de notre clientèle" estime M. De Bruyne, nullement traumatisé par la baisse de 21,5% du bénéfice net courant, part de groupe (12,9 mil­ lions d'Euro). Le revenu d'exploitation, lui, est en repli de près d'un tiers par rapport à la période septembre 2000-septembre 2001. La chute du Produit net bancaire est, quant à elle, limitée, à 7,9% (65,7 millions d'Euro),alors que dans le même temps, les frais administratifs ont gonflé de plus de 10% à 51,6 millions d'Euro. Du coup, le "Cost Income Ratio" bondit de plus de 10 points, passant de 64,3% à 74,4%. "Nous savons que nous avons un outil de production bien calibré par rapport à notre activité, ce qui devrait nous permettre, à partir du moment ou une embellie sera notée, d'avoir un effet de levier sur nos résultats. Idéalement, on peut espérer ramener ce ratio autour de 6065%" analyse Patrick Keusters. L'administrateur-délégué de Banque Degroof Luxembourg a également tenu à couper court à toute rumeur éventuelle concernant des réduc­ tions d'effectif d'un groupe comptant près de 320 collaborateurs (dont 260 au Luxembourg): "Aucun plan social n'est actuellement prévu. On a toujours été prudents les années précédentes si bien que nous sommes tout à fa it capables d'absorber la situation actuelle. En revanche, si on devait fa ire fa c e à une ou deux années supplémentaires de marasme, les choses pourraient être différentes. M ais il n'y a pour l'heure aucune raison de le fa ir e " a-t-il affirmé. ■

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Actualité 023


L a B a n q u e C entrale d u L u xem b o u rg , sp ec ta tric e a tte n tiv e de la n e tte b a isse de l'e m p lo i d a n s le s e c te u r b a n ca ire s u r la P la ce

CSSF, BCL

Secteur financier en 2002: seules les apparences sont sauves 17/01 Avec un résultat brut, avant provisions, de quelque 4 milliards d'Euro pour l'ensemble de l'année 2002, le secteur financier affiche une progression de près de 10% par rapport aux 3,6 milliards enre­ gistrés pour l'année 2001, selon les données provisoires communi­ quées le 17 janvier par la CSSF et couvrant 85% du total réel). En ces temps de ralentissement économique, une telle performance ne manque pas de titiller les neurones, et nécessite, évidemment, un regard plus approfondi... Ainsi, les banques ont-elle bénéficié, en la circonstance, d'un niveau élevé de plus-values réalisées sur vente de participations, notamment celle touchant à la société Cedel International (actuellem ent Clearstream), au moment de la prise de contrôle de Deutsche Bôrse. Au total, 850 millions d'Euro de revenus exceptionnels sont venus grossir les caisses des banques de la Place. Du coup, en ne tenant pas compte de cette manne forcément non-récurrente, le résultat brut avant provisions des banques de la place serait en recul de l’ordre de 13% avec un montant de 3,15 milliards d'Euro. On peut d'ailleurs s'at­ tendre, pour l'année prochaine, à ce que le comparatif des chiffres 2001/2002 provoque un phénomène inverse à celui de cette année. Sans surprise, les deux principales sources de revenus des banques ont nettement reculé en 2002: -5,2% pour les marges d'intérêts et 3,7% pour les revenus sur commissions. Qui dit recul des revenus dit, également, contrôle plus strict des dépenses: les banques ont réussi à comprimer leurs frais généraux de l'ordre de 3%, avec, notamment, un repli de 9% des frais d'exploita­ tion. Impossible, en revanche, de "jouer" sur les frais de personnel, qui s'affichent en hausse de 3,9% en glissement annuel. C om plém ents chiffrés apportés par la Banque centrale du Luxembourg: la somme des bilans provisoire des banques s'élevait, au 31 décembre 2002, à 663,4 milliards d'Euro, en recul de 8% sur l'en­ semble de l'année. Quant à l'emploi bancaire, la baisse affichée pour l'ensemble de l'an­ née 2002 a été de 2,4%, la BCL ayant recensé, au 31/12, 23.300 per­ sonnes employées dans les établissements de crédit de la Place. Fusions, restructurations et plans sociaux divers sont, aux yeux de la BCL, la cause de ce repli. Il aut dire aussi que le nombre de banques, qui était de 189 fin 2001, n'était plus que de 177 fin 2002. www.cssf.lu;www.bcl.lu B

024 Actualité

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l’Union européenne, parvenus à dessiner, le 21 janvier, ce qui ressemble à un contour d'accord. Au 1er janvier 2004, 12 des 15 Etats membres de l’Union euro­ péenne appliqueront un échange automatique d ’informations sur les revenus de l’épargne des non-résidents. Les trois autres, le Luxembourg, l’Autriche et la Belgique, appliqueront à cette date, pour leur part, une retenue à la source de 15%, qui sera por­ tée à 20% au 1er janvier 2007 et à 35% à compter du 1er janvier 2010. Ne sont donc concernés que les revenus d'intérêts (pro­ duits d'épargne, obligations) et pas les dividendes d'actions, les bénéfices des Sicav ou les fonds d'investissement.. Mais, comme annoncé dès le sommet de Feira en juin 2000, rien ne se fera sans l ’adoption de mesures équivalentes par la Suisse, le Liechtenstein, Andorre, M onaco, SaintMarinet les Etats Unis. C'est en mars que doit être signée la convention entérinant définiti­ vement cet accord de Bruxelles "Les intérêts vitaux du GrandDuché ont été préservés" a com­ menté le premier ministre JeanClaude Juncker, satisfait d'avoir préservé, au moins pour un temps, le sacro-saint et sulfu­ reux secret bancaire. L'ensemble de la communauté financière a également accueilli avec une certaine satisfaction les termes de l'accord qui laisse un certain laps de temps à la Place pour mettre au point de nouveaux produits et services susceptibles de soulager la clientèle du haut niveau du taux de retenue final annoncé (35%). Il s'agira notam­ ment de trouver une alternative au private banking, moteur his­ torique du succès de la place financière, et dont l'une des principales raisons d'être était la garantie d'un taux d'imposition nul. Les conclusions du Conseil Affaires économiques et fin a n ­ cières du 21 janvier 2003: http://www.gouvernement.lu/sall e _presse/actualite/2003/01/20Ec ofin/23ecofin CCL.pdf

Millicom

Cotation au Nasdaq menacée 21/01 Déjà sortie de l'Indice LuxX de la B ourse de Luxembourg, l'année dernière,

l'action Millicom International Cellular, société dont le siège se trouve au Grand-Duché, se voit, aujourd'hui menacée de "delis­ ting" du N asdaq, le m arché américain des valeurs technolo­ giques. Les dirigeants de Millicom ont, en effet, reçu une confirmation écrite que le titre serait retiré de la cotation (au moins provisoirement) si, d'ici au 17 février, le cours ne se m aintenait pas à un niveau m inim um de 3 Dollars US Dollars sur une période de 10 jours de cotations consécutifs ou bien si les fonds propres de la société atteignent de nouveau 10 millions de Dollars US. Au début de cette année, l'ac­ tion Millicom avait franchi ce cap des 3 Dollars, ce qui ne lui était plus arrivé depuis ju in 2002, avant de retomber dans des fourchettes proches de 2 Dollars US. Faut-il y voir une relation de cause à effet ? Le 17 février prochain doit avoir lieu une assemblée générale extraordi­ naire qui doit, entre autres, approuver un "reverse sp lit" d ’actions de la société: pour trois actions d ’une valeur nom i­ nale de 2 dollars US sera ainsi proposée une action de 6 dollars US de valeur nom inale. Au total, 71,124 millions d ’actions seront donc conveties en 23,71 millions de titres, pour un capi­ tal social inchangé de 142,25 millions de dollars US. www. millicom. corn

Ministère des TVavaux publics

LT de Marner juste un an de retard

21/01 Figure légendaire de l'athlétisme luxembourgeois, le seul médaillé d'or olympique du pays (en 1952 à Helsinki), Josy Barthel avait déjà donné son nom au stade m unicipal de Luxembourg. Il en sera bientôt de même pour le lycée technique de Marner (sa ville natale), dont les travaux de


construction touchent à leur fin, en vue de la prochaine rentrée de septembre, avec un an de retard sur ce qui avait initiale­ ment été envisagé par le Rapport de la Commission de l'Education nationale, de la Form ation professionnelle et des Sports, publié le 13 juin 2001. Le bâtiment accueillera environ 1.300 élèves, encadrés par une centaine d'enseignants. Signé par l’atelier d ’architectu­ re a+u, le Lycée Josy Barthel séduit non seulement d ’un point de vue pratique et esthétique, mais présente également l’ori­ ginalité de refléter architectura­ lem ent la spécialisation du lycée dans les métiers de la construction. U ne attention particulière a ainsi, d'une part, été accordée au choix des m atériaux de construction et, d'autre part, à leur sublimation. L'emploi de m atériaux de natures d iffé­ rentes comme le béton, le bois, la brique, le carrelage, le métal ou encore la pierre naturelle renforcent le caractère emblé­ matique de cette architecture. Côté finances, le projet de Loi avait fixé à 67,5 millions d'Euro les dépenses relatives à la construction, les frais de fonc­ tionnement annuels ayant été estimés à quelque 10 millions d'Euro, dont 9,5 millions d'Euro dédiés aux seuls frais de per­ sonnel. A noter que le 24 janvier, le conseil de Gouvernement a mis sur les rails un autre chantier: celui d ’un autre lycée technique à Redange/Attert, prévu pour accueillir quelque 1.000 élèves répartis sur 46 classes, avec un internat. www. état. lu/M TP/

P&T Luxembourg, Siemens

UMTS on line ! 22/01 Les opérateurs luxem­ bourgeois de téléphonie mobile fourbissent leurs arm es en m atière d'UM TS. A lors que l'incertitude plane toujours quant aux conditions de déploiem ent du réseau d'an­ tennes, condition sine qua non pour que la technologie fasse sa réelle entrée sur le m arché luxem bourgeois, les P&T Luxembourg ont procédé, le 22 jan v ier dernier, au prem ier appel UMTS officiel de leur histoire.

La communication a été établie entre Marcel Gross, Directeur G énéral des P&T, et Lothar Pauly, membre du directoire de Siemens mobile, le construc­ teur allemand étant le fournis­ seur attitré de P&T Luxembourg en matière de télé­ phonie mobile de 3e génération (voir aussi paperjam 02.2003, page 034). Outre cet appel "vocal", des clips musicaux, des images TV et la bande-annonce d'un film cinématographique ont pu être transm is via les term inaux UMTS utilisés. Un premier pas est donc fran­ chi, m ais ceux qui doivent désorm ais suivre sont loin d'être acquis: que le "réseau" ait pu fonctionner entre deux terminaux est une chose... que la téléphonie mobile de troisiè­ me génération soit, désormais, acquise au Luxembourg en est une autre. Et compte tenu des complica­ tions techniaues et réglemen­ taires, ce n'est sans doute pas encore tout de suite que les P&T (pas plus que Tango et O range, du reste) pourront concrètement proposer à leurs clients des services de données à haut débit comme l'accès rapide à l'Internet, l'envoi et la réception d'E-mails ou encore le téléchargem ent mobile de vidéos et de services d'informa­ tion localisés. www.siemens-mobile.corn et www.ept.1

Comité de conjoncture

Le chômage toujours plus haut

Farvest

Financial One II aux accents internationaux 27/01 Fort du seul soutien "local" de l'Association luxembourgeoise des professionnels du patrimoine (ALPP), Farvest continue de prépa­ rer activement la deuxième édition du salon Financial One (du 13 au 15 mai prochains), avec l'ambition affichée d'en faire la plus grande convention financière européenne pour professionnels. Privés de l'ap­ pui des grandes associations financières comme l'ABBL (qui organise, de son côté, un autre salon, Luxfinance, dont la prochaine édition est programmée pour 2004), les organisateurs se tournent donc vers l'étranger... où ils obtiennent un succès non négligeable. Dernier soutien en date: celui du Wall Street Journal Europe, qui assu­ rera un sponsoring au niveau européen (pour un équivalent de près de 25.000 Euro via deux passages publicitaires) et devrait participer à la mise en place d'une conférence ayant pour thème l'élargissement de l'Europe à 25. un débat auquel Luc Frieden et Yves Mersch, le prési­ dent de la Banque centrale du Luxembourg, ont annoncé leur partici­ pation. Autres thèmes "forts" programmés pour ce salon de mai: l'in­ novation en matière de produits et services financiers, la gestion alter­ native, et, toujours, les conseillers financiers, au nombre de 200.000 en Europe, et qui représentent le secteur de distribution le plus prometteur pour les fonds d'investissement notamment. Début janvier, Der A ctionnâr en Allemagne et la Fifa (deuxième asso­ ciation professionnelle de conseillers financiers allemands à s'inscrire comme partenaire, après la DGF) avaient également signé un accord identique, portant le nombre d'associations partenaires à 10 et de médias à 12. Après avoir investi plus de 350.000 Euro pour la première édition de 2002, Farvest va mettre près de 500.000 Euro sur la table pour 2003, pour une manifestation dont l'entrée est gratuite pour les visiteurs, sous réserve d'être professionnels du secteur financier. "Pour nous, ayant deux ans d'existence, aucun actionnaire extérieur et une moyenne d'âge de 26 ans pour notre équipe, c'est un défi perm anent" résume Fabien Amoretti Directeur général de Farvest, qui part du principe que c'est dans les périodes économiquement délicates qu'il faut se montrer le plus dynamique. "Se recroqueviller handicape l'avenir. Le meilleur moyen de prendre des parts de marché à l'étranger est de montrer au reste de l'Europe ce dont est capable le Luxembourg en matière de b2b, sur des partenariats plus importants, des volumes d'affaires sans équi­ valent, transparents fiscalem ent, stables et mettant en avant l'ingénie­ rie de la place, ses structures, sa main d'oeuvre, sa législation et ses outils". w w w .fairest.com ■

F arvest e n te n d c a p ita lis e r le su cc è s d u F ' sa lo n F in a n cia l O ne e t a ffir m e r c e ren d e z-v o u s a u p la n international.

23/01 A chaque mois sa hausse du chômage au Luxembourg. De 3,3% fin novembre, le taux de chômage communiqué par le Com ité de conjoncture s'est élevé à 3,4% fin décembre, le tion nombre de demandeurs d'em­ ploi étant alors de 6.773 g aran tis (+148). A titre de comparaison, Trusts ... dans le même intervalle de rats temps en 2001, 45 chômeurs de moins avaient été recensés. Par rapport à la situation au 31 décembre 2001, le Luxembourg com pte 1.450 chômeurs de plus, soit une augmentation de 27,2%. Entre 2000 et 2001, cette progression avait été limi­ tée à 7,4%. www. etat.lu/ECO/

LLE

MULTIGESTION £ Les m eilleurs fonds du marché * p ro fessio n n el

* Venez nous rencontrer 34A, Bd Grande-Duchesse Chart

paperjam 03.2003

Actualité 025


P&T Luxembourg, COLT Telecom

Utilisation commune de réseaux 23/01 P&T Luxembourg a signé un accord de partenariat avec l'opérateur altern atif COLT Telecom, en vue d'une utilisation de leurs réseaux res­ pectifs en vue de fournir des services de télécommunications internationaux de bout en bout à leurs clients ‘corporate’ ainsi - tant qu'à faire - que pour leur propre utilisation. C oncrètem ent, les clients im plantés au Luxem bourg auront la possibilité d ’obtenir des connexions directes et en fibre optique avec les 32 réseaux urbains européens de COLT, laquelle assurera la connexion à partir du point d ’interconnexion des 2 réseaux jusq u ’au ‘B-end’. En contrepar­ tie, les clients COLT bénéficie­ ront de connexions directes avec le Luxembourg, les P&T assurant la liaison entre le point d ’interconnexion et le ‘B-end’ au Grand-Duché. "L ’E P T et COLT ont conclu cet accord afin d ’apporter une réponse qualitative à la deman­ de croissante pour de la bande passante depuis -et vers- le Luxembourg" ont commenté les deux partenaires. www. colt, net; www. ept. lu

State Street Corporation

Bénéfice 2002 par action en hausse

24/01 State Street Corporation, premier spécialiste mondial de la gestion de portefeuille et du suivi de placem ents pour le compte d ’investisseurs interna­ tionaux, et dont la centrale européenne se trouve à Luxembourg, a bien négocié la difficile année 2002, puisqu'elle affiche pour l'exercice, un béné­ fice net de 1 milliard de dollars US, pour un chiffre d ’affaires de 4,4 milliards de dollars. Le

026 Actualité paperjam 03.2003

bénéfice par action s'élève à 3,10 dollars US. Ces chiffres incluent notamment un bénéfi­ ce net sur la vente de l’activité Corporate Trust pour un mon­ tant de 296 millions de dollars après impôts. En 2001, le bénéfice net avait été de 628 millions de dollars (pour un chiffre d ’affaires de 3,8 milliards de dollars de chiffre d'affaires), soit un béné­ fice par action de 1,90 dollar. www. statestreet. com

A rc e lo r......................

Luxembourg épargné par les restructurations

double d'emplois indirects, au total. L'activité de laminage à froid, elle, n'est, pour l'heure, pas concernée. 150 salariés belges d'Arcelor étaient présents, ce jo u r là, pour m anifester leur dépit et leur colère. La région w allonne, ainsi que les organisations syn­ dicales, entend faire pression, par la voie juridique, sur Arcelor pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. Guy Dollé, lui, a promis que son groupe "ne partirait p a s comme un voleur", et que des mesures de réhabilitation de tous les sites industriels délaissés. www. arcelor. com

Almathea Consulting

La pub prend la route

24/01 Quartier bouclé et forces de l'ordre en alerte: la réunion du Conseil d'A dm inistration qui s'est tenue au siège d'Arcelor, avenue de la Liberté, le 24 janvier, n'est pas passée inaperçue. Il faut dire qu'à l'ordre du jo u r figuraient les m esures sociales envisagées dans le cadre des projets d ’orientations stratégiques du groupe. Un an d'études ont conduit les dirigeants du géant de la sidé­ rurgie à envisager le sacrifice de quelques-uns de ses sites les plus historiques: les deux hauts-fourneaux de Florange, ceux de Liège (deux égale­ ment), de Eisenhuettenstadt et de Brème sont ainsi condamnés sur l'autel de la compétitivité dans le secteur "Aciers plats", à la fois touché par une surcapa­ cité structurelle et un volume important de carnet de com­ mandes non rentables. Les acti­ vités de ces hauts-fourneaux cesseront par étapes, les pre­ mières fermetures étant pro­ grammées pour 2004 (Brème) puis 2005 et 2006 (Liège et Eisenhuettenstadt) et enfin 2009 et 2010 (Florange). Est concernée toute l'activité "phase à chaud" (transforma­ tion du minerai en fonte, puis en acier, ainsi que le laminage à chaud), soit quelque 3.500 emplois directs, et sans doute le

27/01 Qui a dit que le marché luxembourgeois souffrait d'un manque d'initiatives en matière de communication, de visibilité de produit (ou de marque) et d'originalité? A l'initiative de Jean-François Zimmer, direc­ teur la société A lm athea Consulting, spécialisée dans les domaines de la communication, des ressources humaines et de la création d'entreprises, un concept de publicité m obile vient de voir le jour. Baptisé Publismart, il consiste en un habillage spécifique d'une voiture Sm art (avec chauffeur), équipée d ’une car­ rosserie am ovible et réutili­ sable, ce qui permet de la déco­ rer aux couleurs de l'annonceur. Un moyen jugé facile, efficace et peu coûteux pour renforcer la notoriété d ’une marque, soute­ nir une action promotionnelle ou attirer l’attention sur un évé­ nement. Partout où elle passe, il est impossible de ne pas la voir... L’aspect création et design autour de la Publism art est assuré par Stéphane Ballot, un designer français. Ensuite, selon le souhait du client, le parcours de circulation qui per­ mettra de toucher le plus grand nombre de contacts est mis au point, que ce soit le trajet ou le timing. Les carrosseries, une fois utilisées, sont stockées, de manière à pouvoir être réutili­ sées: en moins de deux heures, le véhicule peut être ré-équipé de la "robe" de son choix. www. almathea. lu

Atis Real A.P.M. Luxembourg

Changement d'appellation officialisé

27/01 C'est le lundi 27 janvier que A.P.M., Experts in Asset & Property Management, un des plus importants gérants indé­ pendants de biens immobiliers en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg, a changé d'ap­ pellation. Désormais, la société opérera sous le nom de Atis Real A .P.M. Belgium(pour la Belgique) et Atis Real A .P.M. Luxembourg (pour le G rand-D uché). Ces deux dénominations couvriront les activités de gérance, project management et company mana­ gement. Il ne s'agit là que d'une suite logique à l'entrée d ’A.P.M. au sein du groupe Atis Real Benelux, annoncée le 6 décembre dernier. D'autre part, le départem ent commercial regroupant les acti­ vités transactionnelles (investis­ sement, vente et location) porte­ ra désormais le nom d ’Atis Real Auguste-Thouard Luxembourg. Ainsi, les services offerts par Atis Real A .P.M. resteront indé­ pendants des activités commer­ ciales prestées par ailleurs, pré­ servant ainsi les principes d ’au­ tonomie et de prévention de conflits d ’intérêts liés à la gérance immobilière. Infos: www.atisreal.be et www. atisrealapm. com

C FL

...

850 millions à investir sur 5 ans 27/01 Le prem ier Conseil d ’Administration de la Société nationale des chemins de fer luxembourgeois (CFL) a permis de peaufiner les modalités de financement du plan d’investis­ sements quinquennal couvrant la période 2003 à 2007: quelque 850 millions d'euro sont prévus d'être investis, mais quelques affinages sont encore néces­


saires, notamment au sujet de l’évolution de l’activité fret, qui fera l'objet d'une analyse appro­ fondie à l'occasion de la pro­ chaine séance du mois de mars. En attendant, quelques déci­ sions ont été entérinées, comme, par exemple, le pro­ gramme pluriannuel d ’acquisi­ tion du matériel voyageur qui perm ettra non seulem ent d ’améliorer les conditions de transport de la clientèle actuelle et future de la société mais qui permettra également d ’accroître substantiellem ent le nom bre total de places assises offertes. A l'acquisition de 12 automo­ trices TER 2N double étage, déjà décidée en juillet 2001, est venue s'ajouter la décision d'acheter 85 nouvelles voitures voyageurs à 2 niveaux et 20 locomotives de ligne. L'étape suivante consistera à finaliser l'acquisition des 15 premiers (sur un total de 40) engins train-tram qui serviront dans la mise en œuvre du projet de raccordement du plateau du Kirchberg et de l’aéroport du Findel au réseau ferré. Enfin, le projet de construction d ’un nouveau Centre de rem isa­ ge et de maintenance pour le m atériel roulant, im planté à B onnevoie, avance bien. Il devrait en coûter quelque 150 millions d'Euro dont 103 m il­ lions pris en charge par les cré­ dits du fonds du rail. www.cfl.lu

SES Astra

Vers une télé interactive plus économique

Le produit, appelé SatMode (pour modem satellite), fournira une liaison retour par satellite permanente en bande Ka, via le satellite ASTRA 1H, entre un décodeur TV numérique, instal­ lé au domicile de l'utilisateur, et les fournisseurs de contenu. L'interactivité générée par cette liaison retour permettra d'amé­ liorer très nettement les futures applications telles que la vidéo à la demande, la messagerie et les jeux, et d'offrir une plus grande interaction du public dans différents types de pro­ grammes de "télé-réalité". On s'en réjouit d'avance... Coût du projet: 49 millions d'Euro, financé, outre par le consortium des partenaires, par l'Agence spatiale européenne dans le cadre de son programme ARTES (Advanced Research in Telecom m unications and Systems), qui soutient le déve­ loppement de technologies de pointe liées aux industries des médias et du satellite. Il est prévu que les premiers tests sur installations pilotes auront lieu avant la fin de l'an­ née 2003, le déploiement com­ mercial étant programmé pour la fin 2004. Notons, pour l'anecdote, que les parlementaires luxembourgeois n'ont toujours pas voté le projet de Loi portant approbation de l'Accord signé le 12 septembre 2000 entre le Gouvernement et l'Agence Spatiale Européenne relatif à la participation du Luxembourg à ce programme ARTES. Le dossier n'a pas avancé depuis l'avis - favorable - émis par le Conseil d'Etat en mai 2001. www. astra. lu; www. esa. int

Europe Online

Réseau étendu sur Eutelsat

27/01 D évelopper une voie retour par satellite à faible coût, pour les décodeurs de télévision numérique par satel­ lite: tel est la teneur d'un projet présenté, le 27 janvier, par SES A stra, en association avec ses p arten aires technologiques C anal Satellite, C anal+ T echnologies, N ew tec, ST M icroelectronics et T h o ­ mson.

30/01 D éjà disponibles sur Atsra, les services haut-débit d ‘Europe Online sont désor­ mais accessibles sur le réseau “concurrent” Eutelsat, faisant de la société le seul opérateur disponible sur les deux sys­ tèmes satellitaires. Du coup, l’offre tarifaire a été u n ifiée pour l’ensemble de l'Europe: 24,90 Euro par mois, pour la fourniture de services interactifs, multimédia, simi­ laires au DSL et câble, tout en profitant de signaux télévision et radio par satellite et câble.

Mazars

Appellation simplifiée 27/01 Ne dites plus M azars & G uérard (Luxem bourg): dites désorm ais, et plus sim ple­ m ent, M azars. Le groupe d ’audit, d ’e xpertises et de conseil, dont l’am bition est de devenir un des leaders euro­ péens du m arché, poursuit par la même le m ouvem ent d ’har­ m onisation de son identité dans le m onde. Présent depuis dix ans au Luxembourg (né en septembre

1996 de l'alliance entre les cabinets D ebelux A udit et Euro-Suisse A udit L uxem ­ bourg - ex-Fiduciaire Suisse Luxem -bourg), M azars emploie aujourd'hui 75 per­ sonnes et affiche 6 millions d'euro de chiffre d'affaires en ingénierie financière, experti­ se comptable, conseil fiscal, secrétariat social et conseil. Au niveau m ondial, M azars est présent dans 50 pays, avec un chiffre d ’affaires de 465 millions d ’Euros et 5000 col­ laborateurs. www. m azars. lu ■

SES Astra

Licenciements évités 23/01 Jean-Claude Juncker avait dit "non" aux licenciements pré­ vus par SES Astra, qui envisageait, en début d'année, un plan social touchant 32 personnes, soit 10% de ses effectifs (voir paperjam 02.2003 page 022). Sans préjuger du poids qu'a représenté, au final, la déclaration du premier ministre luxembourgeois, le message est clairement passé, puisque le 23 janvier, la direction de SES Astra, la délégation du personnel ainsi que le Comité mixte de l’opérateur de satellites luxembourgeois sont tombés d ’accord pour une solution qui devrait, au final, éviter le moindre licenciement. Dans un premier temps, le nombre initial de 32 réductions de posi­ tions a été diminué à 21, par le biais de départs volontaires. 14 transferts externes (avec d'autres entités du groupe, notamment SES Americom) et 4 transferts internes ont, ainsi, notamment été planifiés, auxquelles s'ajoutent 3 mises en pré-retraite. Ferdinand Kayser, Président et chief executive officer de SES Astra, a eu tout le loisir de se réjouir d ’avoir pu préserver l’essen­ tiel, dans la plus pure tradition du modèle social luxembourgeois: “Je suis content d ’annoncer que cette démarche a été fructueuse et q u ’elle permettra d ’effectuer l ’optimisation des structures nécessaire pour atteindre nos objectifs et qui a déclenché les négo­ ciations sur un plan sociaF a-t-il commenté. Il n ’empêche que les soucis de la société n’ont que modérément plu au marché financier. Certes, le climat n’est de toute façon pas à la hausse, mais le titre s’est tout de même déprécié de 25% sup­ plémentaires en janvier... www.astra.lu paperjam 03.2003

Actualité 027


Changement de fonction ou changement d’entreprise? Adressez-nous un CV accompagné du descriptif du poste et d’une photo: par e-mail à press@paperjam.lu ou par courrier: paperjam People BP 728 L-2017 Luxembourg

DANY D E B U DT (H IT A C H I DATA S Y S T E M S ) Dans le cadre du program m e de partenariat TrueN orth, Hitachi Data System s (H D S), filiale d'H itachi Ltd., a nom m é Dany De Budt au poste de C hannel D irector pour la B elgique et le Luxembourg. Il y sera responsable de la création et de l'implém entation d'une stratégie de partenariat de H D S pour la région Belux, ainsi que du développem ent des relations stratégiques avec SUN et HP. Agé de 39 ans, il a travaillé, entre 1990 à 2002, pour Edata Belgium (intégrée en 1992 à StorageTek B elgium ), où il a fini en tant que directeur du 'business developm ent' pour les produits disques, les solutions, les services et la gestion de réseau au niveau EM EA.

E M M A N U E L D E B O U L L E (V IA S O L U T IO N S ) U n nouveau m arketing m anager a été nom m é chez Viasolutions, la filiale de France Telecom spécialisée dans les services de télé­ conférence et de m ultidiffusion p ar fax et e-m ail pour des entre­ prises situées au Benelux: E m m anuel D eboulle, 27 ans, a été nom m é à ce poste, où il aura pour m ission, notam m ent, de ren­ forcer les partenariats existants et de faire évoluer la gam m e de produits. Il était précédem m ent, depuis 1999, A ccount M anager pour l'ensem ble de la gam m e de produits, principalem ent pour la partie francophone du pays, la région bru x ello ise et le Luxembourg.

P H IL IP P E G O N Z E (S A P IE N S T E C H ) Philippe G onze, 45 ans, anciennem ent Internet B anking M anager chez C re d it A gricole Indosuez Luxem bourg, est aujourd'hui à la tête de la société Sapiens Tech, qu'il vient de fonder. La société, basée à Esch-sur-A lzette, développe et com m ercialise des solutions innovantes d'aide à la décision en m atière d'investissem ents, sur la base d'un produit baptisé Vestor, qui a pour but d'industrialiser le processus de gestion privée tout en conservant une forte notion d'individualisation. Philippe Gonze, 45 ans, ingénieur civil en m athém atiques appliquées et licencié en zoologie, a déjà créé, par le passé, d'autres produits spécifiques com m e CAF.03 (portfolio m anagem ent solutions) et TradeView (trading room STP processing).

FR ED M ED ERN A CH (IP L U X E M B O U R G ) A u début du m ois de février, l'ancien journalis­ te Fred M edernach a quitté ses fonctions de Station M anager chez Tango Sunshine et Tango TV, où il était responsable de la coordination des program m es. A 47 ans, il prend un nouveau v irage dans sa carriè re et re jo in t IP Luxem bourg où il devient m anager de IP V ision, un nouveau support de com m unication sur écran plasm a et hologram m e, qui associe l'im age et le son, perm ettant la diffusion de spots publici­ taires déjà existants ou bien spécialem ent créés. Prem ière installa­ tion prévue fin m ars à l'Utopolis.

I

Ils ont fait évoluer leur carrière !

Tnonster.lu Prem ier site d'em ploi au Luxembourg

028 People paperjam 03.2003


F R E D N O O R D A M (FS N E T W O R K S ) Fred N oordam , 39 ans, vient d’être nommé Sales M anager B enelux pourx le com pte de F5 N etw orks B enelux, société leader de la ges­ tion de trafic sur Internet. Il aura en charge les relations directes avec les utilisateurs finaux. M. N oordam était p récédem m ent C arrier & Service Provider chez Extrem e Networks.

A X E L P IE R A R D (U B IZ E N ) A p rès 10 an n ées p a ssé es chez C om paq Com puter, dont les trois dernières années à d irig er la filia le L u x em bourgeoise, A xel Pierard a choisi de poursuivre sa carrière chez Ubizen, le principal fournisseur de solutions de sécurité gérée pour les entreprises globales. Il y prend la fonc­ tion de D irecteur Sales & M arketing pour le m arché luxem bour­ geois, sur lequel la société est présente avec 30 spécialistes dans F im plém entation et le m anagem ent de solutions de Sécurité IT.

JE A N S T R O C K (L IJX A IR ) Suite au départ de Jean-M arc Fandel pour C etrel, Luxair se cherchait un nouveau direc­ teur m arketing & ventes. C'est aujourd'hui chose faite avec la nom ination de Jean S trock 50 ans, qui a pris ses fonctions au 1er février. Il aura en charge en charge du développem ent des relations com ­ m erciales de Luxair, au niveau de la com m unication, du m arke­ ting, de son image de m arque ainsi que du service et de la satis­ faction du client. U n nouveau départ pour l’ancien directeur m ar­ keting de C actus qui avait quitté, en septem bre 2002, le groupe de distribution où il venait de passer 25 ans.

M A X W F.BER (S O U R C E S R O S P O R T S.A.) A près plus de 5 ans passés chez TD K Europe ou il occupait le poste de Responsable du Product M anagem ent Européen, M ax Weber va succéder à G eorges Schaaf au poste de R esponsable M arketing et C om m unication auprès de Sources R osport SA. M. Weber, 33 ans, qui a entam é sa carrière profes­ sionnelle en 1995 chez IBM B elgique, a rejoint TD K Europe en 1997 après un b re f passage chez R ow lands International.

p a rte n a ire I T des sociétés au Luxem bourg w w w .real.lu REAL Solutions sa □ 33 rue d'Eich

L-1461 Luxem bourg

□ Tél: 43 65 22-1 □

Fax: 42 26 38 □

1

Sm L ^ ^ S o lu t io n s

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E-Mail: infb@real.lu

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People 029


I l:

y*a du boulot ! -> Selon Ernst & Young, la préparation des banques luxembourgeoises aux exigences des accords de Bâle II n'est guère avancée TEXÎF J E A N -M IC H E L G A U D R O N

La m ise en œ u v re des d ispositions prévues par les accords de B âle II, qui défin it, p our les b anques, la m ise en adéquation des fonds pro p res avec leur activité économ ique (v o ir au ssi l'éd i­ tion p a p erja m 10.2002, p age 090), ne sem ble pas, p o u r l'heure, avoir g ra n d e ­ m e n t p ré o c c u p é les é ta b lisse m e n ts fin an ciers d e la Place. C 'est ce qu'il resso rt d'une étude m en ée p a r E rn st & Y oung B u sin e ss A d v is o ry S e rv ic e s auprès d e 32 p arm i les 100 principales b a n q u e s é ta b lie s a u L u x e m b o u rg (représentant 38 % du total de b ilan de l'échantillon) e t ren d u e p u b liq u e fin janvier. "La m a jo rité des ba n q u es s'estim e p a s d u tout o u p e u p rép a ré es à B â le I I

C 'est en 1988 que le C om ité de Bâle avait édicté ses prem ières re com m a n­ dations en matière de gestion des risques et d'ad équ ation des fo n d s propres au sein des banques. Dans les grandes lignes, la notion de risque de m arché était particulièrem ent s o p h is ti­ quée, alors que to u t ce qui to u c h a it aux risques de cré dit l'é ta it un peu m oins. Il aura fallu ensuite près de 11 années po ur que 'B âle II' so it initié. Avec po ur principales "n o u v e a u té s ", outre une sop histication accrue du tra item e nt des risques de crédit, l'app arition de la notion de risque opérationnel. Avantage: la prise en c o m p te de cet aspect de risque perm et d 'ê tre plus proche de la réalité éco nom iq ue du "te rra in “ . Inconvénient, majeur, p o u r les

banques: une absence totale de s ta n ­ dards d 'ind ustrie pe rm ettant d 'e n fa c ili­ te r l'évaluation. C ’est d ’ailleurs là que réside une des grandes difficu ltés de la mise en oeuvre de Bâle II. ■

030 Actualité

paperjam 03.2003

e t à p e in e la m oitié a réa lisé une 'ana­ lyse d e g a p ' leur p e rm e tta n t de m ieux c ern e r les d isp o sitio n s à p rév o ir" co n state ainsi B ernard L hoest, p a rt­ ner, A u d it & B u sin e ss A d v is o ry Services ch ez E rnst & Young. C ertes, p a r rap p o rt à bon nom bre d'autres p laces fin an cières, la situ a tio n du Luxem bourg reste atypique, le paysa­ ge étan t constitué quasi exclusive­ m ent de filiales ou succursales d é p en ­ d a n t d 'e n tité s étrangères. D o iventelles, dès lors, attendre que ce soit la m aison m ère qui fasse tout le travail ? "L 'a ctivité d es banques à L u xem b o u rg est sou ven t bien sp éc i­ fiq u e , n o ta m m e n t en m a tiè re d e risq u e opérationnel. E lles n e p e u v e n t c la irem e n t p a s s e p e r m e ttr e d 'a t­ tendre q u e leur g roupe ag isse p o u r elle" tranche C hristophe H aas, p a rtn e r B u sin e ss A d v iso ry S e rv ic e s c h ez E & Y Luxem bourg. C ette sp é c ific ité de l'ac tiv ité luxem bourgeoise se retrouve d ans les sim ulations d'im pact de la m ise en oeuvre de B âle II sur le capital régle­ m en taire d'une banque: Si, au niveau européen, d ’u n e m anière globale, le b esoin en capital p o u rrait croître de 2 % (il serait m oindre en m a tiè re de risque de crédit, m ais plus im portant p o u r le risque opérationnel), la hausse p o u rrait atteindre plus de 20 % pour les b a n q u es lu x e m b o u rg e o ises, no tam m en t soum is à une fo rte p re s­ sion en m atière de risque op ératio n ­ nel. S achant que la m ise en œ u v re de B âle II est prévue p o u r le déb u t de l'année 2007, m ais que c ertaines d is­ positions prévoient, notam m ent, l'éta­ blissem ent de bases de d onnées re p re ­ n an t trois ans d'in form ations sur les

risques et les pertes subies, l'heure ne d e v ra it p lu s ê tre à l'atte n tism e . "C lairem ent, les banquiers à qu i nous a v o n s p ré se n té l'étude o n t indiqué le u r intention d e p la n c h e r d e p lu s en p lu s sérieu sem en t s u r le sujet, e t j e p e n s e q u e c e s o n t s u rto u t te s b a nques de p e tite e t m oyenne tailles q u i a u ront le p lu s d e d ifficul­ tés" n o te L aurent D enayer, m anager, B u sin e s s A d v is o ry S e rv ic e s c h ez E & Y Luxem bourg. U n avis qui n'est p as forcém ent p a rta g é p a r N ic o la s R o llin g er, d ire c te u r de F o rtu n a B a n q u e à L uxem bourg. "B âle I I ne va p a s jo u e r p o u r notre b anque un rô le a u ssi ca p i­ ta l q u 'il p o u r r a it l'ê tre p o u r d es b a n q u e s d e p lu s gra n d e envergure. E ta n t d e p e tite taille, nous p o u v o n s p lu s fa c ile m e n t c o n trô ler les risques e t n o u s d isp o so n s en p e rm a n e n c e d'un systèm e de c ontrôle sévère et p e rfo r m a n t" . A c tu e lle m e n t en p h a se de ré fle x io n "initiale", B an q u e Fortuna ne p ré v o it pas, p o u r autant, d e bo u le­ v ersem en ts fondam entaux, tant po u r ses systèm es inform atiques ("qui sont in form atiques a isém en t adaptables et gérables" précise M . R ollinger) que de l'approche en m atière de contrôle des risques. "D epuis longtem ps, nous e xerçons un contrôle stric t en ce qui c o n ce rn e les risques liés aux crédits, d e p a r notre p o litiq u e sévère dans l'a c co rd d e nos p rêts d ’une p a r t e t du f a i t q u e tous nos crédits so ien t tou­ jo u r s p a rfa ite m en t garantis d'autre pa rt. N éanm oins, le f a i t q u 'il fa ille rep e n ser e t réorganiser le r isk m ana­ g e m e n t d es c rédits d ans s o n ensem ble e st un p o in t p o s itif p o u r le m ilieu fin a n c ie r" . ■


Degroo' a: a tin ae etat ae q -> Début d'année délicat pour un titre longtemps euphorique TDCTI J E A N -M IC H E L G A U D R O N

L 'a ctio n B an q u e D e g ro o f Luxem bourg a bien souvent connu un parcours assez atypique en B ourse de Luxem bourg. Introduite au cours de 218,15 Euro le 29 novem bre 1999, à l'occasion d'une augm entation de capi­ tal de la toute jeu n e banque (fondée en 1987) d'un m ontant de 52,4 m illions d’Euro, elle a, en à p eine treize mois, atteint un niveau double (436 Euro début jan v ier 2001), s'affichant en sur­ p e rfo rm an c e alo rs q u e, p o u r l'en ­ sem ble de l'année 2000, l'Indice LuxX de la B ourse de L uxem bourg connais­ sait une stagnation (-0,69% ). Pourtant, de nom breuses critiques s'étaient élevées, lors de l'annonce de la cotation du titre, reprochant notam ­ m en t à la B anque un pricing particuliè­ rem ent élevé, p o u rtan t réalisé p a r la BIL, dans une optique "conservatrice". En la circonstance, les experts de la B anque Internationale à Luxem bourg avaient établi un P/E R atio m eilleur que d'autres ban q u es ‘éq u iv alen tes’ existant ailleurs en Europe, notam m ent en Suisse. "Il y a toujours une dose de chance dans la fix a tio n d'un p ricin g co m m en te G e ert De B ru y n e, A d m in istra te u r-d é lé g u é d e B an q u e D eg ro o f Luxem bourg depuis le m ois d'octobre dernier. L ors d e l'introduc­ tion du titre en Bourse, il y a va it un contexte b oursier e t u n e dem ande de la p a r t des investisseurs q u i o n tfa it q u e le cours a été fi x é à ce niveau. S i ça se trouve, trois m ois p lu s tard, il aurait été encore p lu s élevé. A cette époque, là, il y avait d e toute fa ç o n très p e u d e p r i­ cings bon marché. N ous étions certains d e notre business p la n ainsi que du c ô té récu rren t d e no s résultats. A ujourd'hui, a p rès trois a n n ées pénibles, j e p e n se qu'un actionnaire, avec un titre qui s e m a in tien t autour de

250 Euro et avec trois dividendes ver­ sés, aura fin a lem en t fa it un placem ent de bon père de fa m ille avec un rende­ m ent a ttra c tif. Il est vrai qu'en 2001 et 2002, alors que l'Indice LuxX perdait 19,60%, respectivem ent 29,21% sur l'ensemble de l'année, le titre Banque D e g ro o f Luxem bourg se m aintenait p lutôt bien, n'abandonnant que 8,6% la prem ière année et 21,95% la seconde. "On a toujours tendance à être m odeste devant l'évolution du cours d ’une action, surtout la notre! M ais on ne p e u t que constater que l'évolution est bonne. On a le sentim ent que notre cours est conform e à notre P /E ratio. C om paré aux autres banques qui ont une activité proche de la nôtre, on reste dans la tendance" rem arque M. D e Bruyne. C om pte tenu des activités propres de Banque D egroof Luxem bourg (ges­ tion privée et a dm inistration des O P C V M ), la visib ilité reste assez im portante. "En tant qu'action bancai­ re, on est relativem ent transparents et

on ne réserve guère de surprise" estime Patrick Keusters, l'autre adm inistrateurdélégué de BDL. ''Nous n'avons aucun risque dus à des activités crédit ou des activités de salles d e marché, com m e d'autres banques p eu ven t en pâtir. N os revenus sont assez récurrents". En ce début d'année 2003, les perfor­ m ances boursières de la banque m ar­ quent pourtant un net retournem ent de tendance: sans doute liée aux résultats présentés à la m i-janvier (voir aussi page 021 ), la valeur du titre a chuté de plus de 20% alors que l'Indice LuxX ne cédait "que" 14%. Entre le départ surprise de Fem and D e Jam blinne, en octobre, et les quelques difficultés ‘internes’ qui ont conduit au désengagem ent de la banque dans certaines de ces participations, l'im age de BD L n'est peut-être plus aussi dorée vue de l'extérieur. Le dém é­ nagem ent program m é pour cet été dans le siège social flam bant n e u f de la C loche d'O r perm ettra-t-il d'y rem é­ dier? ■

C ours de l'action B anque D egroof Luxem bourg en Bourse de Luxem bourg (janvier 2002-janvier 2003)

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Actualité 031


Apple

Cisco _

Moniteur panoramique haute résolution

Des nouveaux commutateurs de contenu

m ique de pages Web et le fil­ trage de contenus. Les 3C om SuperS tack 3 W ebcache 3000 et 3Com SuperStack 3 W ebcache 1000 accroissent la vitesse de navi­ gation de utilisateurs opérant en grand nom bre en téléchar­ geant les pages Web qui font l'objet de consultations fré­ quentes dans une zone m ém oi­ re de proxim ité et en procédant à des rafraîchissem ents régu­ liers. Outre les gains notés en J 1— \_ term es de vitesse, ce processus La marque à la pomme vient permet de traiter en local les de sortir son nouvel Apple consultations répétitives de Cinem a Display 20", un moni­ certaines pages de telle sorte à teur panoramique de qualité m énager la bande passante professionnelle d'une résolu­ WAN. On a ainsi constaté, tion de 1680x1050 pixels. dans la pratique, qu'il était C om plém ent de la nouvelle possible de dim in u er en gam m e Power Mac G4, ce moyenne de 50% la charge à m oniteur plat offre un espace laquelle doit faire face le WAN. de travail supérieur à celui de l'ancien A pple Cinem a W ebcache 1000, le m odèle Display 22". Il est proposé au d'entrée de gamme, supporte entre 50 et m axim um 1.000 prix de 1.399 Euro HTVA. internautes sim ultanés et P arallèlem ent, A pple réduit s'adresse donc plus spéciale­ fortem ent les tarifs de ses ment aux établissem ents sco­ m oniteurs C inem a HD laires de moyenne envergure et D isplay 23" (résolution de - autre exemple - aux sites 1920x1200 pixels) et Studio régionaux d'organism es plus D isplay 17" (1280x1024 im portants. La 3Com pixels), désorm ais accessibles SuperStack 3 W ebcache 3000 aux prix de 2.199 Euro HT (au est particulièrem ent bien adap­ lieu de 4.299 Euro), respecti­ tée aux besoins de grands vement 699 Euro HTVA. groupes scolaires, d'universi­ Les m oniteurs plat Apple intè­ tés et d'entreprises. La cache grent un écran cristaux liquide Web est équipée d'office de à matrice active et une interfa­ deux disques durs (un troisiè­ ce 100 % num érique pour me peut leur être adjoint en offrir une qualité d'affichage option) et supporte plus de supérieure et exempte de toute 1.000 internautes em pruntant distorsion, sans qu'aucun le réseau simultaném ent. réglage ne soit requis. Des modules com plém entaires www. apple, com peuvent égalem ent perm ettre à des u tilisateurs peu ex p éri­ m entés de d é fin ir aisém ent quels contenus et pages web 3C o m _____ doivent être préchargés et renouvelés fréquem m ent, ou bien de bénéficier d'un abon­ nem ent d'un an à la SurfControl Content Database, solution in te rnationalem ent reconnue com m e étant LA Spécialisé dans la fourniture source d 'inform ations en de solutions réseau, polyva­ matière de filtrage de conte­ lentes et conviviales, qui nus. connectent les entreprises avec D isponibilité: les nouvelles leurs collaborateurs, clients et versions des 3Com SuperStack fournisseurs - partout et à tout 3 W ebcache et les m ises à m oment, 3Com vient de pré­ niveau des m odèles existants senter les mises à niveau pour sont im m édiatem ent d isp o ­ ses produits 3Com SuperStack nibles, à partir de 4.962 Euro 3 W ebcache, qui proposent HTVA (W ebcache 1000) notam m ent des fonctions jusque 7.940 Euro (W ebcache déterm inant la m ise en zone de 3000). proxim ité ("caching") dyna­ ww w.3com .lu

Nouvelles fonction de sélection pour les caches Web

032 IT & Télécoms

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C isco S y ste m s a la n c é de nouveaux produits de content sw itching, perm ettant aux u ti­ lisateurs d'augm enter les p e r­ form ances et la disponibilité de leu r réseau et de leurs a p p lic atio n s e-b u sin ess c ri­ tiques. Le C isc o C ontent S erv ices Sw itch C S S 1 1501 est le n ou­ veau m o d èle d 'e n tré e de gam m e de la série C SS, qui m et é g alem e n t le c o n te n t sw itching à la portée des ins­ tallations de taille m oyenne par le biais de m atériel d é d i­ cacé. L es co n te n t sw itches (com m utateurs de contenu en bon français) veillent à ce que les dem andes d'inform ations Internet arrivent chez l'u tili­ sateur à p artir de la source la plus rapidem ent disponible. Pour ce faire, le tra fic et la charge au niveau des serveurs du centre de données sont autom atiquem ent contrôlés. A utre n o u v e au té: le C isc o G lobal Site S e le c to r G SS 4480, qui assure une ré p a rti­ tio n é q u ilib ré e du tra fic Internet entre les centres de do n n é es d istrib u é s des grandes entreprises. De plus en plus d 'e n tre p rise s tra ­ vaillent avec de tels centres de d o n n é es p o u r a c c ro ître leurs tem ps de réponse et p ro ­ té g e r leurs activités critiques en répartissant le risque de panne sur plusieurs sites dif­ férents. Pour en sim p lifie r la d istrib u tio n , le C isc o G SS 4480 fonctionne com m e un systèm e de contrôle central, qui cherche chaque fois la source la plus rapidem ent d is­ ponible. D is p o n ib ilité : le G SS 4480 e st annoncé à 19.995 dollars U S et le CSS11501 à 10.995 dollars US. www.cisco.com


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Imprimante tout-en-un En ce début d'année 2003, Canon lance son SmartBase MPC200 Photo, un tout-en-un capable d'im prim er directem ent les photos en couleur à partir de la carte m ém oire d'un appareil numérique (toutes les cartes com patibles avec les adaptateurs PCM CIA sont acceptées, y com pris C om pactflash, SmartM edia, SD card et Sony M emory Stick), sans passer par un PC. Il s'agit du prem ier m odè­ le du genre, qui se veut aussi bien adapté à une utilisation person­ nelle que professionnelle. Sa résolution élevée (2400x 1200 ppp) garantit des tirages contras­ tés et une large palette de couleurs, même sur papier ordinaire. Il imprime à la vitesse de 14 pages/m inute en monochrome et 10 pages en couleur. Il se distingue, de surcroît, du reste de la gamme par la nouvelle fonction d'im pression et copie sans bordure, dans les formats A4 et 4''x6". L'utilisation d'un éventail de logiciels associés perm et une opti­ misation des photos réalisées, les inform ations stockées par l'ap­ pareil au m om ent de la prise de vue étant autom atiquem ent com ­ muniquées à l’imprimante. Par exem ple, si le photographe a oublié d'utiliser le flash, l'éclairage est corrigé avant l'impression de la photo, ce qui perm et de tirer le m eilleur parti de chaque cliché. Le SmartBase M PC 200 Photo est, en outre, équipé de la techno­ logie Canon Vivid Photo, qui am éliore les images en exploitant le fait que les capacités de l'im prim ante en matière de couleurs dépassent celles de l'écran du PC pour obtenir des résultats plus précis. D ans le rôle du copieur couleur num érique, le Sm artBase M PC200 Photo possède toutes les fonctions norm ales d'une machine spécialisée de haute qualité. La résolution en copie atteint 600x600 ppp en m onochrom e et 1200x1200 en couleur. En mode scanner, il présente un résolution optique de 600x1200 ppp, qui monte jusque 9.600 ppp en mode amélioré. Disponible au prix de 329,99 Euro TTC w w w .canon.be ■

034 IT& Télécom s

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Cisco

Dell

Blades running!

Gammes de postes de travail rafraîchie

A u tre n o u v e au té v e n u e de c h e z C isc o S y s te m s: du n o u v e au m a té rie l in té g ra n t des fo n c tio n s de p ro te c tio n dans des é lé m en ts e x istan ts d u ré s e a u . Il s 'a g it de m o d u le s m a té rie ls (o u b la d e s) qui c h a r g e n t les c o m m u ta te u rs C isc o C ataly st 6000 - le c o m m u ta ­ te u r le p lu s u tilisé au m onde - de d iv e rses tâ c h e s de p ro ­ tectio n . U ne fois in té g ré e , la p ro te c ­ tio n d e v ie n t u n é lé m e n t sy n o p tiq u e et in trin sè q u e du ré sea u , ce qui s im p lifie la g e s tio n e t c o m p rim e les c oûts. D e p lu s, la p ro te c tio n p e u t ê tre a p p liq u é e so u p le ­ m e n t p o u r d 'a u tre s s erv ice s IP, com m e V oice-over-IP, les ré sea u x sans fil, Q u a lity o f S e rv ic e et le c o n te n t sw it­ ch in g , sans que les p e rfo r­ m an ces du ré sea u en p â tis ­ sent. R ésu lta t: une m e ille u re p ro te c tio n de l'en se m b le du réseau. G râ c e d iv e rs nouveaux m o d u le s ou b la d e s , les c lie n ts p e u v e n t in té g re r des fo n c tio n s de p ro te c tio n dans la co u ch e de tra n s p o rt du réseau au lieu de les p ré v o ir aux e x tré m ité s d u ré sea u . Tous les m o d u le s -- firew a lling, IP sec V PN , S S L , a n a ­ lyse de réseau et ID S — so n t c o m p a tib le s avec les a p p a ­ re ils C ataly st e x ista n ts. Ils se fo n d e n t sur les m êm es te c h n o lo g ie s q u e les p ro ­ du its d e fire w a llin g , V P N et ID S b ie n c o n n u s de C isco . D e p lu s , ils p e u v e n t ê tre gé ré s à l'aid e d e s a c tu e ls p ro d u its d e g e s tio n de réseau C isco. Le m o d u le SS L v e ille à ce qu'un site w eb p u isse su p ­ p o rte r d es c o n n e x io n s rap id es e t sûres en c ry p ta n t le tra n s p o rt de d o n n é es. Le m o d u le d 'a n a ly se de ré sea u scan n e le tra fic de d o n n é es e t p e rm e t aux g e stio n n a ire s de ré se a u de v is u a lis e r la ra p id ité d e s a p p lic a tio n s to u t en o p tim isa n t les p e r­ fo rm an c e s à d ista n c e e t to u t en é v ita n t les p annes. www . c isc o . c o m /e n /U S /p r o ­ d u c ts/h w /m o d u le s/p s2 706/pr od_m o d els_ h o m e . h tm l

Dell vient de lancer le poste de travail Dell Precision 450 qui in co rp o re la nouvelle puce Intel 7505 compatible avec la technologie des processeurs Intel dual X eon (avec une vitesse de pointe de 2,8 GHz), perm ettant ainsi un front side bus de 533M H z, des g ra ­ phiques AGP 8X, la technolo­ gie H yper-Threading et une expansion dual PCI intégrant 64-bit PCI-X. Les postes de cette gam m e sont, généralem ent, conçus pour répondre aux besoins de perform ance élevés dans des dom aines tels que le dessin assisté par ordinateur (DAO) ou la création de contenu numérique. Le Precision 450 possède un châssis spécialem ent conçu pour des environnements de travail où l'espace est relative­ m ent lim ité et où le traitem ent dual des données est requis, com m e les bureaux de transac­ tions financières ou les appli­ cations d ’agglomération. Les utilisateurs des postes de travail D ell Precision ont im m édiatem ent accès à trois nouveaux accélérateurs g ra ­ phiques O penG L: le ATI FireGL E l (64 Mb de m ém oi­ re); le ATI FireGL X I (128 Mb de m ém oire, optimisé pour des assem blages importants et des environnem ents en 3D com ­ plexes) et le 3Dlabs W ildcat 7110 (256M B de mémoire). A noter que, parallèlem ent, Dell Com puter an choisi de faire m igrer 14 de ses serveurs internes de Sun M icrosystems vers ses propres systèm es. C eux-ci fonctionnent désor­ mais sur la version Oracle 9i RAC (R eal A pplication C lusters) de la base de don­ nées qui opère sous la version Red Hat de Linux. L e D ell Precision 450 est dispo­ nib le à p a rtir de 1,869 E uro H TVA www.dell.com .


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Native M anager est désormais aussi disponible sous Windows pour perm ettre d'exécuter des tâches NAS avancées par le biais d'une interface simple. D isponible à p artir de 167 Dollars US pour une configu­ ration 1 Tb.

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EMC, num éro un mondial des réseaux de stockage de l'infor­ mation, a lancé Le serveur de réseau EMC C elerra N S600, adapté aux systèm es de stockage CLARiiON d'EM C basés sur le Network Attached Storage (NAS). De ces derniers, le C elerra N S600 a repris la dis­ p o n ib ilité élevée et le prix avantageux. Il constitue ainsi une alternative intéressante au groupage complexe qui caractérise trop souvent les installations NAS de taille m oyenne. D ans le même temps, EMC lance éga­ lement le logiciel OnCourse, qui perm et un partage efficace de l'inform ation au sein d'orga­ nisations m ondiales p a r le biais d'une distribution auto­ m atisée des données. Les perform ances maximales du C elerra N S600 sont deux fois supérieures à celles de systèm es NAS com parables proposés par d 'autres fa b ri­ cants. Réglé pour offrir une disponibilité élevée, le N S600 offre un rapport prix/perform ances supérieur, puisqu'il coûte près de deux fois moins cher que des systèm es NAS comparables. Parmi les autres nouveautés de la fam ille de produits C elerra, citons le Celerra WebManager, un nouvel outil pour exécuter plus rapidem ent des tâches de gestion N A S, com m e des configurations de réseau et de matériel ainsi que la gestion de système de fichier. Le logiciel de gestion existant C elerra

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IT& Télécom s 035


teurs et de réseaux différents. La nouvelle version de RealSecure SiteProtector est la pierre angu­ laire de la plate-forme Dynamic Threat Protection d'ISS, dont l'approche en profondeur de la sécurisation et de la protection sur plusieurs niveaux offre une protection maximale et optimise le TCO. La Dynamic Threat Protection d'ISS avec RealSecure SiteProtector 2.0 comme base, réunit des technologies de sécu­ risation différentes (dont la sécurisation et la protection contre les intrusions, le 'vulne­ rability assessment', les fire­ walls et les possibilités de blo­ cage) en une plate-forme de gestion centralisée. processus de protection est automatisé via une installation, une implémentation, une admi­

nistration de la politique et une analyse centrales des incidents, par lesquelles les temps de réponse sont diminués. En outre, la Dynamic Threat Protection perm et de mieux anticiper les m enaces avant qu'elles ne provoquent des pro­ blèmes. La licence d'ISS RealSecure SiteProtector 2.0 est comprise avec l'achat des agents de pro­ tection RealSecure. RealSecure SiteProtector est disponible depuis janvier 2003. RealSecure Fusion est vendu avec une licen­ ce à part dépendante du réseau du client. RealSecure Fusion 2.0 sera disponible pour le premier trimestre 2003. http://www. iss.net/products_ser vices/enterprise_jprotection/rssi te p ro te c to r /se c ju sio n m odule.php.

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La gestion de contenu globalisée

Gravage express

Toujours chez Epson, la gamme des projecteurs d'entreprise s'enri­ chit de deux nouveaux modèles ultraportables: l'EMP-53, qui prend en charge tous les formats jusqu'au SVGA (véritable résolution SVGA) et l'EMP-73, qui est compatible jusqu'aux formats UXGA (véritable résolution XGA). Ces deux projecteurs se prêtent donc idéalement à une utilisation en entreprise, mais aussi à un usage privé. Ils prennent en charge le signal vidéo venant d'autres péri­ phériques et le signal HDTV de haute résolution pour produire d'ex­ cellentes présentations vidéo. Avec une luminosité annoncée de 1.500 lumens ANSI (EMP-73) et de 1.700 lumens ANSI (EMP-53), ces appareils ils permettent une présentation lumineuse dans n'importe quel environnement. Ils dis­ posent, en outre, d’une nouvelle fonction: le mode High/Low Brightness, qui permet de réduire la luminosité et le niveau sonore lorsqu'on utilise l'appareil comme un projecteur de home cinema. Disponibilité: 2.232,76 Euro HTVA pour l'EMP-53 et 3.267,24 Euro HT Va pour l'EMP-73.

Société nancéienne fondée en novembre 2000 et qui dispose, depuis 2002, d'une agence com m erciale au Luxem bourg, Lucid'i.t. est un éd iteu r de logiciel spécialisé dans la glo­ balisation de contenu électro­ nique. Son dernier-né s'appelle Lucid e-G lobalizer, une plate­ form e perm ettant de produire, stocker, traduire et publier une inform ation m ono ou m ulti­ lingue, grâce à une gestion de workflow intelligente. Le produit s'adapte à tout flux d 'inform ation e t p e u t ainsi gérer le cycle de vie de tout contenu de sa création à sa dif­ fusion et son archivage (procé­ dures qualité, catalogues pro­ duits, m anuels te chniques, docum entations c o m m e r­ ciales, m anuels de fo rm a ­ tion...). La sép aratio n des diverses tâches en m odules autonom es perm et d'envisager des réductions de coûts de l'ordre de 40% : un m odule pour la création, l'acquisition et la rédaction des docum ents; un deuxièm e pour l'aide à la traduction grâce à des bases term inologiques, m ém oires de traduction et traducteurs auto­ m atiques et un troisièm e dédié à la diffusion de l'inform ation via différents m édias (htm l, pdf, V oiceX M L, C D -R O M , PDA, GSM ...). L'interopérabilité avec la plu­ part des bases de données, p ro­ giciels (ERP, C R M ...) et ser­ veurs applicatifs du m om ent, l'accès sim ple aux outils d'aide à la traduction grâce à une interface Web et le développe­ m ent rapide des applications avec l'utilisation des standards X M L et J2EE sont autant mis en avant pour garantir, outre un élargissem ent de l'audien­ ce, un m aintien de la cohéren­ ce de l'inform ation et une aug­ m entation significative de la productivité. D isponibilité: selon les m odules déployés et les outils im plém entés sur chaque m odules, la solution L ucid eG lobalizer est proposée dans une gam m e de prix allant de 80.000 Euro à 130.000 Euro.

w ww.epson.be H

www. lucid-it. corn

Epson

Projecteurs ultra-portables

036 IT & Software

paperjam 03.2003

Iom ega, leader mondial de solutions de stockage amovible, a mis sur le marché son tout nouveau graveur externe CDRW 48x24x48 USB 2.0, qui offre les vitesses de gravure les plus élevées du marché actuel. Avec une vitesse d'extraction automatique numérique (DAE) de 48x, les utilisateurs peuvent extraire ou graver un CD d'une heure en moins de 3 minutes. Si la vitesse de gravure maximale ne peut être atteinte qu'avec les connexions USB à haut débit, ce modèle offre également une compatibilité inverse avec les systèmes, les périphériques et les câbles conformes à la spéci­ fication USB initiale. En outre, l'appareil dispose d'une protection contre les "buffers under-run", grâce à laquelle les utilisateurs peuvent enregistrer leurs CD en toute sécurité, même en mode multi­ tâches. Il fonctionne en mode plug-and play à chaud en envi­ ronnem ents M icrosoft Windows et Mac OS. Prix: 190 Euro www. iom ega-europe. com

Lexmark

Nouveauté dans l'impression photo

Pour ceux qui souhaitent impri­ mer des photos couleurs direc­ tement de chez eux, Lexmark propose sa toute dernière machine: l’imprimante photo à je t d ’encre Z65p. Equipée de lecteurs de cartes mém oire d ’appareils photo numériques, elle permet d'extraire directe­


ment les photos stockées sur un appareil numérique et de les imprimer avec une résolution de 4800x 1200 points par pouce. Sept types de cartes d'appareils photo numériques sont compa­ tibles: Compact Flash I & II, Secure Digital, Smart Media, M em ory Stick, IBM MultiMedia et Microdrive. Un système de double tiroir à papier permet, de surcroît, à l'utilisateur d ’alterner les sup­ ports, par exemple entre papier photo et papier normal, ou de varier les formats papiers, sans devoir changer manuellement le papier. En outre, le système de gestion du papier breveté AccuFeed permet l’utilisation d ’un large éventail de supports d ’im­ pression dont les papiers les plus lourds, m ais aussi des enveloppes, des transparents, du carton, des étiquettes et des papiers transferts pour tissus. La Z65p permet à l’utilisateur d ’obtenir la finesse de détails généralem ent réservée aux labos photo, avec une résolu­ tion maximale de 4800x1200 dpi, soit 5,76 millions de pixels en n&b sur divers types de papier, y compris les papiers photo brillant et couché. La machine projette des goutte­ lettes d ’encre microscopiques de 3 picolitres, ce qui permet un meilleur rendu des couleurs et des textures plus détaillées. Avec ses tableaux de couleurs spéciaux qui s’installent auto­ matiquement en fonction de la région du monde, la Z65p offre un résultat final qui tient comp­ te des différentes préférences chromatiques géographiques. La Lexmark Z65p est dispo­ nible dès à présent au prix de vente conseillé de 199 Euro. www. lexmark. be

Samsung

Moniteur LCD à écran large

Samsung Electronics lance, sur le m arché, le SyncM aster 172W un m oniteur LCD grand form at de 17", qui restitue une image claire de 450 cd/m2 -

com parable à celui des écrans TV LCD de l’actuelle généra­ tion - servie par un niveau de co n traste élevé (400:1). D estiné à des usages profes­ sionnels, privés ou ludiques, ce m o n iteu r offre une foule d ’avantages, parmi lesquels la largeur exceptionnelle d ’affi­ chage qui procure un confort maxim um lorsqu’on travaille avec des tableurs, des présenta­ tions et des assistants. Le SyncM aster 172W supporte la norm e sRGB (Standard RGB), qui synchronise l’affi­ chage couleur du moniteur par rapport à une série de périphé­ riques, tels que imprimante, cam éscope et appareil photo num érique. L’im prim ante im prim e donc les couleurs exactem ent telles q u ’elles ap p araissen t à l ’écran. Le m oniteur à écran large peut en outre accepter des signaux ana­ logiques ou numériques. Il est doté d ’une double interface avec connecteur D-sub à 15 broches pour la réception de signaux analogiques et DVI-D pour les signaux numériques. Disponible depuis fin janvier au prix conseillé de 869 TTC pour la version standard et 899 TTC pour la version multimé­ dia. Le prix de ces deux ver­ sions comprend une fixation m urale permettant d ’accrocher le moniteur. www. Samsung, be

Iomega SA P

Nouvelle plate-forme d'intégration et d'application NetWeaver SAP vient de commercialiser NetWeaver, une nouvelle plate­ form e d'intégration et d'appli­ cation qui perm et aux entre­ prises d'intégrer leur person­ nel, leurs inform ations et leurs processus à travers diverses technologies et organisations. SAP NetW eaver offre en outre une interopérabilité totale avec la technologie .NET de M icrosoft et la technologie J2 E E qui sous-tend IBM WebSphere. Les clients peu­ vent ainsi gérer leur infrastruc­ ture informatique de manière flexible et en réduire la com­ plexité et le TC O (coût de revient total). Toutes les nouvelles applica­ tions de la technologie SAP

peuvent être intégrés dans une ESA. Dans le prolongem ent de mySAP Technology, lancé en 2001, et permettant aux entre­ prises d'être en interaction les unes avec les autres (principe du collaborative business), SAP NetWeaver y ajoute deux nouvelles possibilités: la pre­ mière consiste à permettre le développem ent centralisé de processus d'entreprise automa­ tisés tournant sur plusieurs systèmes et sources d'inform a­ tions, par le biais d'outils, de

peuvent désormais s'effectuer sur la base du blueprint "E nterprise S ervices Architecture" (ESA). Avec les descriptions qui en découlent, les entreprises peuvent déve­ lopper leur environnement IT sur la base d'éléments d'appli­ cations que l'on sélectionne lorsque c'est nécessaire (ser­ vices). De ce fait, une ESA tra­ vaille aussi avec les services web. Tous les utilisateurs, tous les systèm es et toutes les sources d'inform ations d'une entreprise et de ses partenaires

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Trois nouveaux serveurs de 720 Go Autres nouveautés chez Iomega: trois nouveaux serveurs NAS de 720 Go, commercialisés sous la référence Iomega NAS P415. Ces nou­ veaux serveurs sont disponibles en versions Microsoft et UNIX. Conçus pour répondre aux besoins de stockage croissants des groupes de travail et des entreprises de toutes dimensions, ces serveurs se caractérisent par leur simplicité d'installation et la prise en charge transparente de différents environnements réseau et protocoles de fichiers. De plus, les unités Windows Powered permettent aux utilisa­ teurs de choisir entre une sauvegarde SCSI ou Gigabit Ethernet de hautes performances. Le serveur NAS P415 est équipé du nouveau logiciel Automatic Backup de Iomega qui assure la sauvegarde automatique de certains fichiers. Il fonctionne sous Windows 2000 Advanced Server et prend en charge le service DFS (Distributed File System) qui permet d'ajou­ ter sans difficulté de nouveaux serveurs Iomega NAS à un réseau existant. Tous les serveurs Iomega® NAS permettent d'augmenter simplement la capacité de stockage en réseau et de réduire les indisponibilités opérationnelles. Les administrateurs réseaux peuvent ainsi consolider les données provenant de serveurs fonctionnant dans un environne­ ment spécifique au sein d'une plate-forme bénéficiant d'une mainte­ nance aisée. Disponibilité: Le serveur Iomega NAS P415u est disponible au prix de 7.990 Euro 7.990 TTC; le NAS P415m et NAS P415m Gigabit Ethernet sont, pour leur part, disponibles à 8.990 TTC. http://www. iom ega-europe. corn ■

paperjam 03.2003

IT & Software 037


schém as, de règles et de méthodologies. A cela s'ajoute le m aster data m anagem ent (M DM), premier produit stan­ dard qui résout les problèmes qui peuvent se produire lors de l'intégration de données prove­ nant de plusieurs systèm es, sites physiques et fournisseurs et qui garantit ainsi l'intégrité des informations del'entreprise. wm v.sap.com ou mvw.sap. comJbelux

WebMethods

Interopérabilité avec SAP étendue webMethods, principal éditeur de solutions d'intégration, annonce le support d'intégration des utilisateurs de SAP NetWeaver, qui constitue la base de l'architecture ESA (Enterprise Services Archi-

ecture) de SAP, unifiant et pla­ çant au même niveau les indivi­ dus, les informations et les pro­ cessus m étier quelles que soient les structures et les technolo­ gies qui sont im pliquées. webMethods et SAP, qui ont déjà signé quelques réalisations en commun depuis 1999, ont collaboré à l'élargissement de SAP Exchange infrastructure en développant toute une gamme de connecteurs qui relient entre elles un large éven­ tail d'applications métier. SAP revendra les connecteurs de webMethods basés sur des Web services pour supporter l'inté­ gration des solutions SAP ou autres. SAP valorisera ainsi la large gamme de connecteurs de w ebM ethods pour les progi­ ciels, les applications spéci­ fiques et mainframes.

actuellement disponibles aux prix généralement constatés de 999 Euro et 1.299 Euro HTVA. Les clients utilisant déjà XP Professional et disposant de leur propre accès sans fil pourront opter à partir du second tri­ mestre 2003 pour un Smart Display n'intégrant aucune de ces caractéristiques. Présenté pour la première fois en novembre 2000 à la grand messe des technologies informa­ tiques américaines du Comdex, à Las Vegas, le V I50 a été élu Meilleur Produit et récompensé par le 'Best of Comdex Award'. www. viewsonic. com /sm artdisp la ys

Xerox

Prix en chute

w ww .w ebM ethods.com

ViewSonic

Ecrans sans fil pour PC

SuSE Linux

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Microsoft désormais Office sur Linux SuSE Linux, l'un des principaux leaders mondiaux dans le domaine du développement et de la diffusion de solutions logicielles et de systèmes d'exploitation Open Source, annonce la disponibilité d'un logiciel Linux qui offre à l'utilisateur final l'ensemble des fonction­ nalités de la suite Microsoft Office. SuSE Linux Office Desktop est destinée aux petites entreprises qui recherchent un environnement bureautique simple à utiliser et pré­ configuré, ainsi qu'aux utilisateurs privés qui n'ont pas d'expérience de Linux. La nouvelle suite bureautique SuSE offre la stabilité et la souplesse de Linux tout en garantissant les fonctionnalités com­ plètes et l'interopérabilité avec des applications éprouvées. 11 est possible de continuer d'utiliser des fichiers Microsoft sous Linux ou même d'installer des programmes Office et de les utiliser dans l'en­ vironnement bureautique SuSE. L'assistant d'installation SuSE YaST2 (Yet another Setup Tool) reconnaît automatiquement les configurations Windows 95/98/ME et propose de réaffecter de l'espace disque disponible à l'installation du logiciel Linux. Le programme de partitionnement Acronis OS Selector ne nécessite aucune connaissance technique pour migrer avec succès et sans perte de données vers Linux, même lorsque Windows 2000 ou XP sont installés. YaST2 reconnaît et configure automatiquement tous les éléments matériels tels qu'imprimantes, scanneurs, cartes son, adaptateurs RNIS et cartes TV La nouvelle suite SuSE Linux O ffice Desktop est disponible depuis le 21 janvier dans différents points de vente. Le prix de vente conseillé est de 139,90 Euro par ordinateur, en ce compris une docu­ mentation complète et une assistance de 90 jours à l'installation. http://w w w .suse.de/en/officedesktop ■

038 IT & Software

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On connaissait les souris et les claviers sans fil. Voici désormais les écrans sans fil, présentés par ViewSonic Corp., l'un des lea­ ders mondiaux des technologies d'affichage. Les Smart Displays airpanel V 110 (écran de 10") et V I50 (15") perm ettant donc, désormais, de se connecter à un PC depuis n'importe point de la maison, le V 150 pouvant même être utilisé comme le moniteur primaire du PC. Ces écrans tactiles intègrent tous les éléments nécessaires à l'utili­ sateur pour démarrer ses appa­ reils au plus vite : connectique sans fil Wi-FiTM 802.11, solu­ tion d'adaptation USB sans fil et mise à jour vers le système d'ex­ ploitation W indows XP Professional de Microsoft. Ils disposent, en outre, d'un proces­ seur Intel XScale(tm) 400MHz optimisant rapidité, économies d'énergie et efficacité; 32 MB de mémoire Flash et 64 MB de SDRAM. Leurs batteries à longue durée de vie leur confè­ rent jusqu'à 4 heures d'autono­ mie. Les airpanel V I 10 et V I50 sont

Mieux que des soldes ! Xerox a délibérément choisi d'améliorer le rapport prix/performances de ses imprimantes et annonce une série de diminution de prix pour quatre produits majeurs de sa gamme d'im prim antes: les monochromes A4 Phaser 4400, A3 Phaser 5400 et N4525, ainsi que l’imprimante couleur à encre solide A4 Phaser 8200. Concernant cette dernière, le prem ier prix est désorm ais, pour la Phaser 8200B, de 1.810 Euro (HTVA), soit une réduc­ tion de prix de 12%. Le modèle haut de gamme, la Phaser 8200DX, est, lui, disponible au prix de 4.440 Euro. Pour ce qui est de la Phaser 4400, désormais disponible à partir de 1.425 Euro (pour la 4400N), la voilà annoncée à un tarif jusqu’à 20% moins cher que ses plus proches concur­ rentes. Le haut de gamme (la 4400DX) est désormais dispo­ nible au prix de 2.974 Euro. Du côté des imprimantes A3, conçues pour les groupes de tra­ vail, la Phaser 5400N (notre photo) est désormais proposée à partir de 2.526 Euro (-13%) ju s­ qu'à 4;590 Euro pour le haut de gamme (Phaser 5400DX). La Phaser 5400, elle, est disponible à partir de 6.550 Euro (N4525CN). w w w .xerox.com /officeprintin


Le ralentissement de la croissance mondiale menace-t-il voire emploi? -> Sondage Monster - paperjam, commenté par Olivier Orban (Dexia-BIL)

«

50% 26% 17% 5%

C'est possible, je suis assez soucieux Et comment! Je n'en dors plus la nuit Pas vraiment, pas plus qu'avant Non, mon emploi n'est pas du tout menacé

N o m b re to tal de réponses: 212 C e so n d ag e a été réalisé au m ois de ja n v ie r su r le site w w w .m onster.lu fin a n c e m e n t d e s co lle ctivités lo c a le s... D e plus, nous e sti­ m ons que la m ise en œ uvre d 'un p la n so c ia l n 'est p a s la

L a m o n d ia lisatio n , e n n em i d e l'em p lo i au L uxem bourg?

solution. N o u s p réfé ro n s c onstruire p lu tô t que détruire. Il

E n to u t cas, les sala riés le p e n sen t. "La situ a tio n est

fa u t être p r u d e n t en em b a u ch a n t co m m e en fa v o risa n t les

logique, la b u lle In te r n e t a dégonflé, le s créa tio n s d 'em ploi

départs. L e jo u r o ù n ous d écrochons un c ontrat im portant,

d a n s le s s ta rt-u p s s e s o n t tra n sfo rm ées en licenciem ents.

il faudra être capable d e fo u r n ir les services prom is, avec

E t c o m m e l'éco n o m ie, en p lu s d es em p lo is directs, c'est

les ressources nécessaires. C 'est a u ssi da n s c e t éta t d'es­

é g a le m e n t d e s e m p lo is induits, on v o it un effet m u ltip lica ­

p r it que n o u s fa v o r is o n s le d é ve lo p p e m e n t des em plois qui

te u r d a n s le ra len tisse m e n t" , ex p liq u e M . O rban.

a p p o rten t une v éritable v a le u r ajoutée, a vec un haut

Le to u t e st d e sav o ir si le d a n g e r ressen ti est un d an g er réel.

degré d e fo rm a tio n . " ■

Il ne p e u t p a s être c o m p lè te m e n t in ex istan t, co n sid érant les

M. Orban est recruteur au départem ent G lobal H uman Resources,

fa illites e t au tres lic e n cie m e n ts qui o n t eu co u rs ces d e r­

il est égalem ent en charge d e la relation école-entreprise, gérant

n iers m o is: " I l y a en effe t u n e esp è c e d e sp ira le p sy c h o lo ­

les stages chez D exia-BIL. A g é de 37 ans, il est licencié en

g iq u e négative. M a is il f a u t r este r o b je c tif e t g a rd er la tête

Sciences d u Travail d e l'U CL

fro id e ." A u m ilieu d e la to u rm en te , D ex ia B IL a an n oncé ne p as re c o u rir à un p la n so cial p o u r m ettre à niveau sa m ain d 'œ u v re, p ré fé ra n t j o u e r su r les d ép arts naturels, les p a u se s c arriè re s, les m issio n s h u m a n ita ire s ou la m o bilité in tern e: "N o u s a v o n s p lu s ie u r s m é tie rs a u sein du g ro u p e D exia, c erta in s s o n t e n co re en pro g ressio n , c o m m e la b a n q u e co m m ercia le, le s fo n d s d ’in vestissem en ts ou le

ilon

P r o c h a in s s o n d a g e s e n lig n e : J u sq u ’au 17 février: D a n s votre situ a tio n p rofessionnelle, q u 'e st-ce q u i vous a p p o rte le p lu s d e sa tisfaction? D u 17 fé v rie r au 3 m ars: C om bien d'h eu res travaillezvous p a r s e m a in e ? D u 3 m ars au 17 m ars: P en sez-vo u s q u e le s fe m m e s a ie n t la m ê m e p la c e d a n s I ’e n tre p rise que les hom m es?

STAFFING & RECRUITMENT SOLUTION w w w .a jilo n .co m w w w .a le xa n d re tic.lu

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ralentissement. "

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paperjam 03.2003

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Actualité 039


agenda

Vous organisez une conférence, une formation, un événement? Envoyez nous un résumé de la mani­ festation, le lieu de son déroulement, le public cible et les conditions d’inscrip­ tion: par e-mail à press@papeijam.lu ou par courrier: paperjam People BP 728 L-2017 Luxembourg

FORM ATIONS SEM INAIRES

B U R EA U TIQ U E M S -O F F IC E D ates: à p a rtir d u 18/02 P u blic: to u t pu b lic C on ten u : F orm ations A ccess d éb u ta n t (04, 0 6 /0 3 ), in term éd iaires (10, 12/03); c o n firm é s (26, 2 8/02); Excel d ébutants (11, 13/03), in term éd iaires (19, 21/03); Pow erPoint d é b u ta n t (14/03), in ter­ m édiaire (24/01 e t 14/02); W ord d é b u ta n t (10,12/02), in te rm é ­ diaire (21/03); W ord d é b u ta n t (12, 14/03), W ord interm édiaire (18, 2 0 /0 2 et 19, 2 1 /0 3 ); W in d o w s in tro d u c tio n (0 3 /0 3 ) O rgan isation : P H M Softw are T rain in g C enter; 46 02 02; w w w .phm .be L ieu : PH M , 24 ru e Jea n L'A veugle - L -1148 L uxem bourg In scrip tion : de 200 E uro à 5 00 E uro selo n fo r­ m ations

L ES IN D IC A T E U R S DE P E R F O R M A N C E D ates: à p a rtir du 27/02 P u blic: T oute p erso n n e ayant un rôle de pilo tag e, qu 'il s'a g isse de re sp o n sa b le fo n ctionnel, d ire c te u r ou de re sp o n sa b le de projet. C on ten u : C la rific a tio n de la notion d 'in d ica te u rs de p erfo rm an c e , leur co n stitu tio n , leur place à l'in té rie u r d'u n sy stèm e c o h éren t, de l'o p érate u r au d ire c te u r. O r g a n is a tio n : S ite c , 42 59 91 3 50 (G a ë lle B elenchia) s ite c@ sitec .lu L ieu: C R P H enri Tudor, E sch-surA lzette In scrip tion : 325 Euro TR A V A IL LE U R S D É S IG N É S EN M A T IÈ R E DE S É C U ­ R IT É E T D E S A N T É AU TRAVAIL D ates: 04/03 P u b lic: p erso n n es c h arg ées p a r leu r em ployeur de s'o c cu p e r des a ctiv ité s de p ro te c tio n e t de p ré v e n tio n des risques p ro fessio n n els en m a tiè re de sécu rité et santé au tra ­ vail. C ontenu : d o n n e r la co n n aissan c e su ffisa n te de a lé g isla ­ tio n relativ e à la séc u rité e t la santé des travailleurs au travail a p plicable à l'en trep rise , ainsi que les c o n n aissan c e s tech n q u es n écessaires p o u r é v alu er es p ro b lè m e s de sécu rité et de santé d es tra v a ille u rs au tra v a il. O r g a n is a tio n : C h a m b re de C om m erce ; 42 39 39-220; w w w .cc.lu L ieu: C entre de fo rm a ­ tion de la C h am b re de C o m m erce In scrip tion : 500 Euro IN IT IA T IO N À C O M P U T E R A ID E D D E SIG N (C A D ) D ates: 10 séances: 5, 7, 10, 12, 14, 17, 19, 21, 24 et 26/03 Public: D irig e a n ts, d e ssin a te u rs et te c h n icie n s de b u reau x de co n stru ctio n s, d 'a rc h ite c te s e t d ’étu d es. A ucune co n n aissan ce

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p ré a la b le sp é c ifiq u e req u ises. C ontenu : M o n trer de façon c o n crète, à l’ex em p le du lo g iciel A utoC A D , le fo n ctio n n e­ m en t d ’un lo g iciel de d e ssin a ssisté p a r o rd in ateu r, ses p o ssi­ b ilité s, so n u tilisa tio n d an s la p ratiq u e. M éthode: exposés in tro d u ctifs et d é m o n stra tifs. La m ajeu re p a rtie du tem ps du co u rs sera co n sa c ré e à des e x em p les e t e x ercices que les p ar­ tic ip a n ts ré a lisero n t su r les o rd in a te u rs (lo g iciel A utoC A D resp. A u to C A D light). Le n o m b re de p a rtic ip a n ts est re s­ tre in t. Le co u rs sera d o n n é en langue lu x em b o u rg eo ise ou fran ç a ise suivant les b e so in s d es p a rtic ip a n ts. O rganisation : OLAP, O ffic e lu x em b o u rg eo is p o u r l'am é lio ratio n de la p ro ­ d u c tiv ité ; T él: 4 8 98 48 -1 w w w .o la p .lu L ieu : In s titu t S u p é rie u r de T e c h n o lo g ie , L u x e m b o u rg -K irc h b e rg In scrip tio n : 500 E u ro p o u r les 30 heu res de cours F O R M A T IO N " L O I C A D R E ” F O R M A T IO N P R O F E S S IO N N E L L E C O N T IN U E D ates: 05/03 (fra n ça is); 11/03 (allem an d ); 25/03 (lu x em ­ b o u rg e o is avec d o cu m e n tatio n allem an d e); 18/03 (lu x em ­ b o u rg e o is avec d o c u m e n tatio n fran ç a ise ) Public: toute p e r­ so n n e c o n ce rn é e p ar la m ise en œ u v re de la FPC en en trep ri­ se C on ten u : p ré sen ta tio n du co n ten u de la L oi du 22 ju in 1999; u tilisa tio n de cette loi en tan t q u 'o u til stratég iq u e et d 'aid e à la p ro fessio n n alisa tio n des p ra tiq u e s de form ation d ans l'en trep rise; a p p re n tissa g e de saisie des fo rm u laires de d em an d e d 'a p p ro b a tio n , ra p p o rt an n u el et b ilan de form ation. O rg a n isa tio n : IN F P C ; 4 6 96 12-1; w w w .infpc.lu Lieu: IN F P C , 38 ru e de l'A v e n ir - L -1 1 4 7 L u x e m b o u rg In scrip tio n : 100 Euro F O R M A T IO N P O U R C O N S E IL L E R S À L A S É C U R IT É P O U R L E T R A N S P O R T D E M A R C H A N D IS E S D A N G E ­ R E U S E S PA R R O U T E , PA R R A IL E T PA R V O IE NAVI­ GABLE D ates: 0 5 /0 3 P u blic: p erso n n es ay an t un n iveau com parable à c elu i d 'u n in g é n ie u r te c h n ic ie n . C o n ten u : d o n n e r la c o n n aissan c e su ffisa n te d es lé g islatio n s et rég lem en tations affé re n te s ain si que es co n n aissan c e s te c h n iq u es nécessaires p o u r p o u v o ir a c c o m p lir la m is sio n de c o n se ille r. O rg a n isa tio n : C h am b re de C o m m erce ; 42 39 39-220; w w w .cc.lu L ieu: C en tre de fo rm atio n de la C ham bre de C o m m e rc e In scrip tio n : 500 E uro

en c o lla b o ra tio n avec M ich e l m é n é g o z , M M en C o ; w w w .p w c ac a d e m y .lu L ieu : P ric e w a te rh o u se C o o p e rs L u x e m b o u rg , 4 0 0 ro u te d 'E sc h ; L -1471 L u x e m b o u rg . Inscription: 980 E uro

PR O G R A M M A T IO N D EL PH I Dates: du 17 au 20/02 Public: connaissances de base en program ­ mation Contenu: Présentation de Delphi, le langage de 4èm e géné­ ration orienté objet, qui permet de rapidement développer toutes sortes d'applications graphiques. Dans cette formation seront pré­ sentées de manière pratique les fonctionnalités de base de l'outil de développement de Borland: description de l'environnement de déve­ loppement; description et manipulation des objets graphiques simples : TLabel, TBouton, TEdit, TStringGrid et leurs dérivés; des­ cription et manipulation des objets graphiques avancés : TForm, TCanvas, TImage, TPaintbox et leurs dérivés; manipulation des fichiers (texte, image, son, multimedia); interaction avec les bases de données. Organisation: CRP Gabriel Lippmann; 47 02 64; www.crpgl.lu/formations Lieu: CRP Gabriel Lippmann - Centre de formation, 162a avenue de la Faïencerie L -1511 Luxembourg Inscription: 186 Euro (pour une formation); taris dégressifs selon le nombre de formations suivies dans un semestre FO R M A T IO N S IN FO R M A T IQ U E S W IN D O W S NT 4.0 & 2000 Dates: à partir du 17/02 Public: En fonction des formations Contenu: Conception d'un réseau sécurisé (17 au 19/02); Windows N T 4.0 vers 2000: actualisation des compétences de support tech­ nique (24 au 28/02); Conception d'une infrastructure de services réseaux W indows 2000 (24 au 28/02); G estion d'un environnement réseau M icrosoft W indows 2000 (03 au 07/03); Conception d'un réseau Microsoft W indows 2000 sécurisé (10 au 12/03); Réseau et système d'exploitation M icrosoft W indows 2000 : Notions fonda­ mentales (11 au 13/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (MarieChristine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des M ines - L-4244 Esch/A lzette Inscription: De 640 à 1.600 Euro

M A R K E T IN G D E S S E R V IC E S D ates: 10 et 11/03 Pu blic: R esp o n sab les et cad res d ’e n tre­ p rise s de serv ice s ay an t une fo n ctio n m ark etin g ou co m m er­ ciale C on ten u : p ré sen ta tio n des sp é c ific ité s du m arketing ad ap té aux e n tre p rise s d e serv ice s. Il tra ite é g alem en t, dans le cad re de l ’a p p ro c h e s e rv ice -c lie n t et des no u v eau x p a ra ­ d ig m es d an s lesq u els s ’in scrit le p ro cessu s de ré a lisatio n du se rv ic e , du concept de " m a rk e tin g d iffé re n c ié ". O r g a n isa tio n : C h am b re de C o m m erce ; 42 39 39-220; w w w .cc.lu et In stitu t C o m m e rc ial de N an cy - E co le de m ana­ gem ent w w w .ic n -n a n c y .c o m L ieu : H ô tel S o fite l, L u x em b o u rg -K irch b erg I n scrip tio n : 2 3 0 Euro

FO R M A T IO N S IN FO R M A T IQ U E S M IC R O SO F T LA N G A G ES & D E V E L O PM E N T Dates: à partir du 17/02 Public: En fonction des formations Contenu: Programmation M icrosoft Access 2002 XP (du 17/03 au 19/03); M icrosoft Visual Basic .NET pour les Développeurs Visual Basic (du 24 au 28/02); Développement de Solutions Microsoft Office 2000: spécialisation (du 03/03 au 07/03); Développement d'applications M icrosoft .NET pour Windows (Visual basic .NET) (du 10/03 au 12/03); Présentation de language XM L et des techno­ logies .NET (13 et 14/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (M arie-C hristine H enry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des M ines - L4244 Esch/Alzette Inscription: 960 Euro; 1.600 Euro; 1.600 Euro; 960 Euro; 640 Euro

F O R M A T IO N S D E F O R M A T E U R S D ates: 13 et 14/03 P u blic: C ad res a p p elés à d év elo p p er et a n im e r de m an ière ré g u liè re o u p o n c tu e lle des sém in aires ou d es a te liers de fo rm atio n . C o n ten u : d év elo p p er ses capacités à co m m u n iq u e r so n sav o ir et so n ex p érien ce p ro fessio n n elle; te n ir co m p te d es d ifféren ts m é c an ism e s d ’a p p ren tissag e chez l ’a d u lte; c o n ce v o ir u n e actio n de fo rm atio n en fo n ctio n d ’o b ­ je c tifs p éd ag o g iq u es b a sé s su r les b e so in s du p u b lic cible v isé; id e n tifie r les d ifféren tes a p p ro c h es m éth o d o lo g iques p o ssib le s; a p p liq u e r les te c h n iq u es d ’a n im a tio n les plus e ffi­ c aces. O rg a n isa tio n : P w C A cadem y, 49 48 4 8 -4 0 40/40 41

FO R M A T IO N S SP IR A L Dates: à partir du 18/02 Public: en fonction des formations Contenu: Control IT (ITIL) en français (plus examen facultatif: 18, 19, 20/02); A rchitectures et technologies Intranet (25/02); Référentiels Qualité des Systèmes d'information : caractéristiques et complémentarités (26/02); Analyse des risques de la sécurité des systèmes d'information (10/03); Software engineering et sécurité (14/03) Organisation: CRP Henri Tudor, 42 59 91 722 (Corine Barella); spiral@ spiral.lu Lieu: CRP Henri Tudor Technoport Schlassgoart à Esch-sur-Alzette Inscription: Entre 400 et 1.100 Euro (non-membres) et entre 300 et 825 Euro (membres) Euro

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Agenda 041


FO R M A TIO N S IN FO R M A TIQ U ES T É L É C O M S Dates: à partir du 24/02 Public: selon formation Contenu: Sécurité approfondie des systèm es d'inform ation (24 et 25/02); Internetw orking using routers & switches (10 et 11/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette Inscription: 937 et 1.125 Euro FO R M A TIO N S IN FO R M A TIQ U ES M IC R O SO F T BACK O F F IC E Dates: à partir du 24/02 Public: selon formation Contenu: D éploiem ent et gestion de M icrosoft ISA (Internet Security Acceleration) Serveur 2000 (du 24 au 26/02); Implémentation et gestion de M icrosoft Exchange 2000 (du 03/03 au 07/03); SharePoint Portai Serveur : Conception de solutions de gestion de connaissances (du 04/03 au 06/03); Développement d ’Applications avec ADO.NET pour SQL (du 10/03 au 12/03); SQL Server: admi­ nistration (du 10/03 au 14/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (M arie-C hristine H enry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des Mines - L4244 Esch/Alzette Inscription: 937 et 1.125 Euro R EN C O N T R E SPIR A L : SÉ C U R IT É DES SYSTÈM ES D 'IN FO R M A TIO N ET O PE N SO U R CE Dates: 25/02 Public: toute personne concernée par la sécurité infor­ matique Contenu: Vulnérabilités et solutions des applications web: pourquoi les firewalls ne couvrent pas tous les aspects de protection; la valeur probante des documents dématérialisés et en particulier le projet européen Open Evidence, une mise en application Open Source des technologies de certification; Network Security, Comparison o f Security Issues between closed-source (proprietary) and open-source software and future developments; Organisation de la sécurité au sein d'une PME. Organisation: CRP Henri Tudor, Réseau Spiral; 42 59 91 333 (A nne Gaspard, anne.gaspard@ tudor.lu); w w w .citi.tu d o r.lu ;www.spiral.lu Lieu: Hôtel Mercure, 2, pl Bolten L-4044 Esch/Alzette Inscription: 50 Euro pour les non-membres, gratuit pour les membres. FO R M A TIO N S IN FO R M A TIQ U ES IN T ER N ET Dates: à partir du 28/02 Public: selon formation Contenu: Découverte de l'Internet (28/02); HTML : HTML, XHTML, CSS... (Avancé) (du 03/03 au 05/03) ; Les technologies XML : Notions fondamentales (du 10/03 au 13/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des M ines - L-4244 Esch/Alzette Inscription: 250 Euro, 750 Euro et 1.000 Euro N O U V ELL ES T E C H N O L O G IE S DE L ’IN FO R M A TIO N E T C O M M U N IC A TIO N Dates: à partir du 01/03 Public: en fonction du thème du séminaire Contenu: Praktische Anwendungen fîir den PC-Alltag, 1. Session (01, 08, 15, 22/03); Projektm anagem ent m it M S-Project (Grundlagenseminar) (11 et 12/03); Excel Refresh (13 et 14/03). Organisation: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu Lieu: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg Inscription: 250 Euro FO R M A TIO N S IN FO R M A TIQ U ES LOTU S NO TES Dates: à partir du 03/03 Public: selon formation Contenu: Maintenance d’une infrastructure serveur et utilisateurs Domino v. 5 (du 03/03 au 07/03); Architecture des applications Domino v.5 (06 et 07/03); Implémentation et administration de Lotus Domino 6 (du 10 au 14/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette Inscription: 1.750 Euro, 760 Euro et 1.750 Euro FO R M A TIO N S IN FO R M A TIQ U ES C IT R IX Dates: à partir du 10/03 Public: selon formation Contenu: MetaFrame XP Administration Base, Avancé, NFUSE (accélérée) (du 10/03 au 14/03); Metaframe XP: technologies d ’entreprise (17 et 18/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (Marie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des Mines - L-4244 Esch/Alzette Inscription: 1.800 Euro et 1.300 Euro

042 Agenda

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FO R M A T IO N S IN FO R M A T IQ U E S LIN U X Dates: du 10 au 13/03 Public: expérience Red Hat Linux prérequi­ se Contenu: Installer Red Hat Linux sur du matériel X86; créer et maintenir le système de fichiers Linux; adm inistrer les groupes et les utilisateurs; intégrer une station de travail dans un réseau exis­ tant; ... Organisation: Telindus; 53 28 201 (M arie-Christine Henry ou Fabienne François); www.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des M ines - L-4244 Esch/Alzette Inscription: 1.500 Euro

M AN AG EM EN T IN IT IA TIO N À LA G E S T IO N DE P R O JE T S Dates: 24 et 25/02 Public: toute personne intéressée à la profession de Project M anager; les dirigeants d’entreprises et chefs de services. Contenu: Transformer un groupe en une véritable équipe perfor­ mante; 1+1=3 ou développer les synergies; surmonter les obstacles et réticences à un authentique esprit d’équipe; fixer des objectifs ambitieux ... et les atteindre; utiliser l ’équipe comme levier de m oti­ vation, de perfectionnement et d ’émulation; consolider un climat de collaboration positif sans tomber dans les pièges; comment créer, renforcer et faire évoluer ses collaborateurs en une équipe perfor­ m ante; m anager une équipe en stim ulant chaque individu. Organisation: OLAP, O ffice luxembourgeois pour l’amélioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 www.olap.lu Lieu: Luxembourgville Inscription: 320 Euro G E S T IO N DES R E SS O U R C E S H U M A IN ES ET FO R M A TIO N Dates: à partir du 25/02 Public: en fonction du thème du séminaire Contenu: Le management de la formation dans la perspective de la loi de 1999 sur la formation professionnelle continue (25, 26/02); La gestion d’une équipe mixte (26, 27/02); Pratiquer la délégation (05, 06/03); M anager la performance de votre équipe, Ire session (12, 13/03); Les enquêtes concernant le climat social et les conditions de travail en entreprise, Ire session (12, 13/03). Organisation: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu Lieu: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg Inscription: 250 Euro M A N A G EM EN T E T Q U A LITÉ Dates: à partir du 25/02 Public: en fonction du thème du séminaire Contenu: Von der klassischen Organisation zur Projektorganisation: Projektmanagement als moderne U nternehmensfuhrung (25, 26/02); La stratégie environnementale, comment passer de la théorie à la pratique? (28/02); Le m odèle EFQM d’Excellence (05, 06/03); Le "problem solving process" (12/03). Organisation: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu Lieu: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg Inscription: 250 Euro D R O IT DU TRAVAIL E T DE LA SÉ C U R IT É S O C IA L E PA R TIE 1 Dates: 26/02 Public: Toute personne appelée à s’investir dans le cadre de son activité professionnelle dans le dom aine de la gestion du personnel Contenu: D onner une bonne vue d’ensemble sur les règles légales applicables en m atière de droit du travail et de la sécurité sociale. Selon le degré de form ation initiale ou l’objectif personnel du participant, il pourra suivre tout ou partie de la for­ m ation prévue en deux volets. O rganisation: C ham bre de Com m erce ; 42 39 39-220; www.cc.lu Lieu: Centre de formation de la Cham bre de C om m erce Inscription: 150 Euro G E S T E S E T PO S T U R E S EN M IL IE U D E TRAVAIL D ates: 26/02 P u blic: Personnels de tous services en contact avec des clients ou des publics variés C o n te n u : Savoir lire et interpré­ ter les signaux émis par votre interlocuteur, le mettre à l’aise, gérer les situations de stress, tous ces critères contribuent à la fidélisa­


tion de votre client. M éthode: approche interactive avec mise en situation, jeux de rôles, exposés-débats. Organisation: OLAP, O ffice luxembourgeois pour l'am élioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 www.olap.lu Lieu: Luxembourg-ville Inscription: 160 Euro CO M M E N T A M ÉL IO R ER LE CONTACT AVEC SON C L IE N T Dates: 26 et 27/02 Public: Personnel destiné aux travaux de logistique et à la gestion d ’entrepôts. Contenu: Permettre aux p a r tic ip a n te s d ’acquérir les connaissances nécessaires à la m anipulation des charges et de prévenir ainsi des blessures avec toutes les conséquences, q u ’une absence au lieu de travail peut avoir pour l’ouvrier et son entreprise. Organisation: OLAP, O ffice luxem bourgeois p our l'am élioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 w w w .olap.lu Lieu: Luxem bourg-ville Inscription: 160 Euro A M ÉL IO R ER C O N C R ÈT E M E N T L’EFFICACITÉ ET L’E SPR IT D’ÉQUIPE Dates: 26 et 27/02 Public: Toute personne dirigeant des indivi­ dus et souhaitant en faire une équipe perform ante Contenu: Introduction du contexte organisationnel dans lequel des projets peuvent être exécutés. Les qualités et com pétences d'un ch ef de projet sont mises en évidence afin qu'il puisse diriger un projet. Le sém inaire donne un aperçu sur toutes les activités à entre­ prendre dans le cycle d'un projet. La m éthode enseignée est indé­ pendante de la nature du projet. Langue du séminaire: luxem­ bourgeois; supports en anglais. Organisation: OLAP, O ffice luxem bourgeois pour l'am élioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 ww w .olap.lu Lieu: Luxem bourg-ville Inscription: 320 Euro RANDSTAD R ECR U ITM EN T & SELECTION Dates: 27/02 Public tous les responsables de ligne et les profes­ sionnels de la gestion des ressources hum aines, chargés du recru­ tement, de la prom otion et du développem ent du personnel. Contenu: Entam er l’entretien avec assurance et savoir comment gérer chaque type de profil; m ieux structurer l’entretien afin de récolter les inform ations pertinentes et davantage basées sur une analyse de fonction adéquate; renforcer l’image laissée par votre société tout en apprenant à connaître le candidat; éviter les pièges de l’effet subjectif que peut avoir l’inform ation sur chacun; éva­ luer les candidats plus objectivem ent et leur donner un feedback en conséquence. Organisation: R andstad Luxembourg (Sonia R ucquoy ou Ann De Jonghe, 26 19 27 1); www.randstad.lu Lieu: l’Hôtel Sofitel Kirchberg, Luxem bourg Inscription: 250 Euro HTVA C O M M UNICATION ÉC RIT E ET CONNAISSANCE DE SOI Dates: 27, 28/02 et 14/03 Public: Toute personne amenée, par sa fonction, à avoir une m aîtrise particulière de la rédaction de lettres, notes et rapports C ontenu: donner une vision d ’ensemble sur les buts, les moyens, les form es de la communication écrite; préciser son rôle, son im portance, ses pièges, ses limites; expri­ m er clairem ent sa pensée pour informer, prom ouvoir une idée, un projet, affirm er un point de vue afin de s’adapter aux personnes et aux événem ents, de tenir son rôle, d ’exercer une autorité, d ’ob­ tenir l’adhésion et d ’entretenir une relation dynamique avec l’en­ tourage; à travers l’écriture, recueillir des inform ations sur sa

propre personnalité. Organisation: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu et Institut Commercial de Nancy - Ecole de m anagem ent w w w .icn-nancy.com Lieu: H ôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg Inscription: 350 Euro LE SENS DE L’O R G A N ISA T IO N Dates: 06 et 07/03 Public: Responsables d ’entreprise, managers, professions libérales Contenu: Réfléchir, confronter et apprendre quelques idées nouvelles afin d ’utiliser au maximum l’espace et le temps; donner à ses engagem ents une forme cohérente, sereine et imbriquée tout en perm ettant un meilleur contrôle. Organisation: OLAP, O ffice luxem bourgeois pour l'amélioration de la producti­ vité; Tél: 48 98 48-1 www.olap.lu Lieu: Luxembourg-ville Inscription: 320 Euro S E C R É T A IR E S D’A U JO U R D ’HUI Dates: 06, 07 et 14/03 Public: Personnes travaillant dans un secré­ tariat: assistant(e)s, secrétaires de direction, collaboratrices/colla­ borateurs de dirigeants et cadres dirigeants. Contenu: Rôle et fonction de la/du secrétaire; efficacité personnelle de la/du secré­ taire; attitudes et com portem ent de la/du secrétaire dans l’entrepri­ se; la/le secrétaire et les relations extérieures: le séminaire vise les secrétaires confronté(e)s dans leur pratique aux exigences d ’un travail de bureau en évolution rapide et pour lequel la formation continue est devenue une nécessité. Organisation: OLAP, Office luxembourgeois pour l'amélioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 www.olap.lu Lieu: Luxembourg-ville Inscription: 480 Euro C A D R E JU R ID IQ U E E T SO C IA L DE LA G E S T IO N DES R E SS O U R C E S H U M A IN E S - M O D U L E A: L E C O N T R A T DE TRAVAIL Dates: 06 et 11/03 Public: Managers, collaborateurs (trices) du service du personnel et a s s is ta n te s des ressources humaines Contenu: être capable de conclure et de gérer de façon opération­ nelle les contrats de travail. O rganisation: C ham bre de C ommerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu Lieu: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg Inscription: 230 Euro pour le M odule A; 920 Euro pour le cycle complet (4 modules) D É V E L O P P E M E N T PE R S O N N E L ET PR O FE SSIO N N E L Dates: à partir du 06/03 Public: en fonction du thème du séminai­ re Contenu: La prévention du stress en entreprise, Ire session (06/03); M aîtriser son organisation professionnelle (24/02, 10/03); L’entretien téléphonique efficace (26/02); Rédiger aisément des rapports et des notes (04, 05/03); Développer son charisme, Ire ses­ sion (06, 07/03); Motivation und Selbstmotivation, 1. Session (07/03); La méthode d'animation par cartes à idées: un outil effica­ ce pour le travail en groupe (10/03); Chefassistenz, was gehôrt dazu und wie geht das? (11, 12/03); Connaître le Luxembourg: son envi­ ronnement politique, économ ique et social, Ire session (13/03); Développer sa personnalité, Ire session (13, 14/03). Organisation: Chambre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu Lieu: Chambre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg Inscription: respectivement 375 Euro, 315 Euro, 125 Euro, 250 Euro, 250, 80 Euro, 125 Euro, 250 Euro, 125 Euro et 250 Euro A N IM A TIO N ET G E S T IO N D’UNE FO R C E DE V EN TE D ates: 18 et 19/03 Public: Directeurs et responsables commer­ ciaux ayant à m anager des équipes commerciales C ontenu: être

E V E N E M E N T S D E S

I D E E S

F O U L E S , U N E

O R G A N I S A T I O N

S É R I E U S E . TEL: 2 2

17 2 7

A 'V E N U E IN T E R N A T IO N A L E v e n t s

&

T r a v e l

B l e n d e r s

s .a.

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capable d ’animer et de gérer une équipe de vendeurs pour renfor­ cer le succès commercial d ’une entreprise; savoir concevoir un plan de vente; savoir organiser sa force de vente, sélectionner et former les vendeurs, définir leur statut; maîtriser les principales m éthodes d ’anim ation et de contrôle de leurs activités. Organisation: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu Lieu: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg Inscription: 225 Euro CYBERM ARKETING Dates: 18 et 19/03 Public: Responsables marketing et commer­ ciaux Contenu: accomplir pas à pas les six étapes menant à l’opti­ misation d'une présence sur le net: connaître l’environnement du projet; cibler ses futurs visiteurs; choisir le but, les objectifs et les services du site web; construire le site web; communiquer avec les cibles; changer ou comment évaluer et faire évoluer le site web. Organisation: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu et Institut C om m ercial de N ancy - Ecole de m anagem ent www.icn-nancy.com Lieu: Centre National de la Formation Professionnelle Continue (CNFPC), 22, rue Henri Koch, L-4354 Esch/Alzette Inscription: 230 Euro

C O M P TABILITE FINANCE FORMATION TECHNIQUES "FINANCES" INTERENTREPRISES Dates: à partir du 24/02 Public: en fonction de la formation Contenu: TVA sur la circulation des biens/TVA commerciale (25/02); Vie sociale - Module 2 (26/02) ; Aspects opérationnels de la gestion des sociétés holding et de SOPARFI (27, 28/02); La Value at Risk (VaR) comme outil de gestion des risques financiers (28/02); Optimisation de l'organisation des processus RH (11/03), Directive européenne UCITS III: vue d'ensemble et implications pratiques (13/03) Organisation: PwC Academy, 49 48 48 - 40 40/40 41; www.pwcacademy.lu Lieu: PricewaterhouseCoopers Luxembourg, 400 route d'Esch; L-1471 Luxembourg. Inscription: Respectivement 570 Euro, 650 Euro, 1.180 Euro, 650 Euro, 570 Euro et 320 Euro FORMATIONS "FINANCES" Dates: à partir du 26/02 Public: en fonction de la formation Contenu: Contrôle indiciel de la VNI (26/02); Introduction à l'Audit Command Language (ACL for Windows) (06 et 07/03); Introduction à la fiscalité des personnes physiques (07/03); Comment m esurer la création de valeur du capital humain grâce aux tableaux de bord RH? (12/03); N orm es GIPS et mesures de performances (11/03); La comptabilité bancaire - module 2 (13 et 14/03). Organisation: Deloitte & Touche Development Centre, 451 452 556 (Stéphanie Soares) developmentcentre@ deloitte.lu; www.deloitte.lu Lieu: Communiqué cinq jours ouvrables avant le début de la formation. Inscription: 550 Euro (sauf le module 2 "comptabilité bancaire", 1.070 Euro) COM PTABILITÉ ET FISCALITÉ DES SALAIRES ET DES TRAITEM ENTS Dates: 27/02 Public: Chefs d'entreprise, cadres dirigeants, respon­ sables du service du personnel, comptables et autres responsables PME/PMI disposant de connaissances de base en matière de ges­ tion et de calcul des salaires. Contenu: initiation à la pratique comptable luxembourgeoise de la gestion du personnel et aux questions fiscales des rémunérations du travail. Organisation: Chambre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu Lieu: Centre de formation de la Cham bre de Commerce Inscription: 150 Euro ECONOMIE ET FINANCE Dates: à partir du 05/03 Public: en fonction du thème du séminai­

044 Agenda

paperjam 03.2003

re Contenu: L'impôt sur les salaires, lere session (05, 06/03); Les nouveaux instrum ents financiers, le re session (10, 11/03); Elaborer un "business plan" (12/03); Evaluer les entreprises et ses éléments constitutifs, Ire session (12/03); La pratique et les enjeux des com ptes consolidés, Ire session (13/03). O rganisation: Cham bre des Employés Privés, 44 01 91-600; www.cepl.lu Lieu: Cham bre des Employés Privés, 13 rue de Bragance - L-1255 Luxembourg Inscription: respectivement 250 Euro, 250 Euro, 150 Euro, 125 Euro et 150 Euro M S-OFFICE Dates: à partir du 05/03 Public: tout public Contenu: Formations Project 2000, 2002 (05 et 06/03); Outlook 2000, KP (10/03); Edition et form atage en Word 2000, XP (10/03); Tableaux et publi­ postage (M ail merge) en Word 2000, X P (11/03); Styles, longs documents, m odèles (tem plates) en Word 2000, XP (12/03); Excel 2000 les bases (13 et 14/03); Excel XP les bases (13 et 14/03); Excel X (pour Apple) les bases (13 et 14/03). Organisation: Telindus; 53 28 201 (M arie-Christine H enry ou Fabienne François); w ww.formation.telindus.lu Lieu: Telindus, 2, rue des M ines - L4244 Esch/A lzette Inscription: de 250 à 500 Euro GESTION ET C A LC U L DES SALAIRES Dates: 06/03 Public: Responsables et collaborateurs du service des ressources hum aines confrontés à la gestion et au calcul des salaires Contenu: com prendre et m aîtriser la gestion et le calcul des salaires et traitements. Ce cours constitue une préparation optimale à la for­ mation "Comptabilité et fiscalité des salaires et traitements" (ses­ sion de septembre). Organisation: Cham bre de Commerce ; 42 39 39-220; www.cc.lu Lieu: Hôtel Sofitel, Luxembourg-Kirchberg Inscription: 230 Euro pour le M odule A; 920 Euro pour le cycle complet (4 modules)

CO N FER EN CES FORUMS

I DIVERS L’EM ERGENCE DU E-LEARNING DANS LES EN TR E­ PRISES LU XEM BO U RG EO ISES Date: 20/03 Public: professionnels de la formation et décideurs d'entreprises Contenu: dans le Cadre des journées e-learning, l'ob­ je c tif est de favoriser le développem ent du e-learning en apportant des réponses aux questions économ iques, juridiques, organisationnelles et culturelles soulevées par cette thématique. A l'issue de celle-ci, les participants disposeront d'éléments de décision perti­ nents quant à l'intégration d'un dispositif e-learning dans leur stra­ tégie de formation. Organisation: C RP Henri Tudor, 42 59 91 234 (Valérie M uller); w ww .sitec.lu Lieu: Hôtel Novotel, Q uartier Européen N ord - Plateau de Kirchberg Inscription: 375 Euro E - COM M E ÉDUCATION AUX M ÉDIAS Dates: 20 et 21/03 Public: tous publics Contenu: en réunissant tous les acteurs concernés, le CN P veut lancer le débat sur la néces­ sité et l'envergure d'une éducation aux médias dont pourront béné­ ficier enfants et adultes au G rand-Duché. Le forum débutera par une table ronde qui aura lieu le 20 mars 2003 à 19h30, sur le thème "L'impact des médias classiques et interactifs su r l'évolution intel­ lectuelle e t affective des enfants". La journée du vendredi sera consacrée aux aspects pratiques qui se traduiront par la mise en place de groupes de travail et d'une bourse d'idées. Les thèmes sui­ vants seront abordés : la com pétence médiatique chez l'enfant et


l'adulte, l'influence des médias interactifs, le rôle de l'école dans le développem ent des com pétences médiatiques et la promotion de produits de qualité dans les m édias. Organisation: Centre National des Programmes 478 20 66 (Carole Kickert, secrétaire; caro le.k ick ert@ cn p .etat.lu Lieu: B âtim ent Jean M onnet à Luxembourg-Kirchberg Inscription: Entrée libre

C O M P TA B ILITE FINANCE C O N FER ENC E A NNUELLE BE L'ALFI Dates: 11 et 12/03 Public: professionnels des fonds d'investisse­ m ents et des prestataires de services associés Contenu: les com ­ portem ents d'épargne dans un m arché volatil; L'industrie des fonds asiatique; gros plan sur Hong-Kong, la Chine et l'Ile Maurice; opportunités pour les industries des fonds et de l'assurance dans le contexte pan-européen des fonds de pension; Post-conférence UC1TS III (le 12/03), les nouvelles directives européennes et la législation mise en place au Luxembourg. Traductions simultannées en français, allem and et anglais O rganisation: ALFI, Association luxembourgeoise des fonds d'investissement, 22 30 26; info@ alfi.lu Lieu: Hémicycle des conférences; Luxembourg K irchberg Inscription: A partir de 450 Euro.

M AN AG EM EN T A M ELIO R EZ LA PE RFO RM ANCE DE VOTRE ENTRE­ PRISE GRÂ C E À UN CON TRÔ LE DE GESTIO N PROACTIF ! Dates: 25 et 26/02 Public: dirigeants d'entreprise Contenu: M aîtriser toutes les notions pour un m eilleur contrôle des coûts et l'augmentation de la valeur d'une organisation. De plus les ateliers consacrés à l'ABC/ABM /ABB et au Value Base M anagement per­ mettront de mettre en pratique les connaissances développées lors de ce séminaire. Organisation: HR, Institute for International Research. +32 (2) 77 60 425; www.iir.be Lieu: Hôtel Novotel, Luxem bourg-K irchberg Inscription: A partir de 1.100 Euro (conférences seules) jusqu'à 1.795 Euro (conférences + work­ shops) CO N TRÔ LEZ ET L IM ITEZ LES COÛTS AU M AXIM UM GRÂ C E À UNE POLITIQUE EFFICACE ET PER FO RM A N TE DE FACILITY M ANAGEM ENT - SERVICES GÉNÉRAUX Dates: du 25/03 au 27/03 Public: dirigeants d'entreprise, respon­ sables services généraux Contenu: Comment le contrôle des coûts et de la perform ance perm ettent de dim inuer les frais généraux?; Optim isation de l'action des départem ents facilities et services généraux au sein d'une entreprise et de leur interaction avec les autres départements; rationalisation de l'occupation d'un parc immobilier tout en offrant des solutions mobilières flexibles; équi-

libre entre sous-traitance des activités de FM, qualité des presta­ tions sous-traitées et coûts; étude des solutions informatiques; ... Plus deux ateliers pratiques sur les mesures de la performance interne et externe et la mise en place d'un helpdesk pour le FM. Organisation: HR, Institute for International Research. +32 (2) 77 60425 ou www.iir.be Lieu: Hôtel Novotel, Luxembourg-Kirchberg Inscription: A partir de 1.100 Euro (conférences seules) jusqu'à 1.795 Euro (conférences + workshops) CONDUIRE EFFICACEM ENT UNE RÉUNION Dates: 04 et 05/03 Public: Managers, cadres dirigeants, respon­ sables de services, et toute personne amenée à conduire des réunions. Contenu: Permettre aux participant(e)s de développer la valeur ajoutée q u ’ils attendent d ’une réunion: gain de temps, d'ar­ gent; actions précises et concrètes. Maîtriser les techniques de pré­ paration d ’une réunion pour gagner en aisance; expérimenter et évaluer l’incidence qu’ont les outils et techniques sur la tenue d ’une réunion; apprendre à développer et mesurer l’impact de votre inter­ vention en respectant votre personnalité; propulser votre leadership en réunion pour développer l ’implication de vous-même et des par­ ticipants; s ’appuyer sur les tentatives de déstabilisation pour ren­ forcer son message... Organisation: OLAP, Office luxembourgeois pour l'amélioration de la productivité; Tél: 48 98 48-1 www.olap.lu Lieu: Luxembourg-ville Inscription: 320 Euro

SALONS E T FOIRES JARDIREVE 2003 Dates: du 14/03 au 14/03 Public: tout public C ontenu: Architecture, plans et entretien des jardins; jardins témoins et sug­ gestions d'espaces verts; m eubles et accessoires de jardin; plantes, fleurs et arbustes; serres, cabanes et abris de jardin; outils et machines pour le jardinage; bulbes et semences; articles décoratifs pour la m aison et le jardin; étangs et fontaines; protections solaires, jardins d'hiver, pergolas; exposition d'artistes sur le thème "L'art et la nature". O rganisation: De M ethoeve (P.-B., W eerselo); http://www.gartentraeume.com Lieu: Foires Internationales de Luxembourg, Circuite de la Foire, Luxembourg-Kirchberg; 44 99 1; www.fil.lu SALON DE PRINTEM PS Dates: du 15/03 au 18/03 Public: tout public Contenu: Salon de la maison et de l'habitat; Salon du véhicule de Loisirs; Salon Meubles et décorations pratiques. Organisation: Foires Internationales de M etz; 0033 (0)3 87 55 66 00; w w w .fim -m etz.com et Le Républicain Lorrain; 0033 (0)3 87 34 17 89 www.republicain-lorrain.fr Lieu: Foires Internationales de Metz-Grigy ■

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paperjam03.20C5Agenda 045


Les nouveautés du Web luxembourgeois

arüine.lu

nuit, com m e nos cam arades de N ico - réside dans la table de m ixage en ligne qui perm et de s'am user com m e un petit fou ! C onception: O z Design

ART/inel Sïïr-::

Vous venez de lancer un nouveau site Internet ou bien une nouvelle version d’un site existant? Envoyez nous l’URL du nouveau site avec un bref descriptif de son contenu: par e-mail à press@paperjam„lu ou par courrier paperjam People BP 728 L-2017 Luxembourg

tempo.lu L 'agence de pu b licité de Clervaux, présente depuis dix ans dans le nord du pays, vient de se m ettre en ligne ellem êm e. U n site coloré sur lequel, o utre les a ctivités d'agence de publicité et de w ebdesign (dernier site lancé, celui des voyages U nsen: w w w .unsen.lu), est présenté un service m oins courant: celui d'encadrem ent d'affiches et d'œ uvres d'art. Seul petit reproche éventuel: tous les liens renvoient vers une seule et même fenêtre, ce qui oblige à quelques acrobaties pour a ffic h e r p lusieurs in fo rm a ­ tions sim ultaném ent à l'écran.

djionic.com WÊÊBÊÊÊÊÊmmm ............ i

Ce n'est pas franchem ent un site b2b, m ais l'initiative de Oz deZign n'en est pas m oins originale. Ce concepteur gra­ phique luxem bourgeois à qui on doit, dans un tout autre dom aine, la réalisation de CD Rom s pour le com pte de la B anque Privée E dm ond de Rothschild a œ uvré, ici, pour Ionie, un DJ luxem bourgeois. Une fois franchie la prem ière page du site (2,6 M b, c'est long à ch arg er... Internet à haut débit hautem ent recom ­ mandé!), son principal intérêt - pour ceux qui ne sont pas spécialistes du m onde de la

«‘^flüaoimuEifcM'vi..

La régie pub de m ké S.A. dis­ pose désorm ais de son site Internet. D écoupé en quatre parties principales, il propose toute une série d'inform ations pratiques sur les publications en régie (Explorator, paper­ ja m , N ico, G raffiti, Index) ainsi que sur les différents sites In tern et (p aperjam .lu, explorator.lu, m ovies.lu, cas­ tin g .lu, nico.lu, n ig h tlife.lu, nineties.lu, spidergirl.lu). Il y est possible de dem ander, en ligne, à recevoir les tarifs pour l'année 2003, soit sous form e électronique, soit sous form e papier.

treetopJu arianesoftlu luxis.lu comxperts.lu Tree Top (www.treetop.lu)

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Le groupe Tree-Top a redessi­ né les sites Internet de l'en­ sem ble de ses sociétés, afin de les rendre plus conviviaux, plus faciles à bnaviguer et

B ien a ssu rer v o tre n o u v e lle v o itu re n'a ja m a is été aussi s im p le .

L A L U X -A U T O P W / W A v o u s o ffre de m u ltip le s a v a n ta g e s e x c e p tio n n e ls .

046 Business Web Directory

paperjam 03.2003

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c LA LUXEMBOURGEOISE

Votre partenaire de confiance !


p lu s ric h e s en in fo rm a tio n s.

Com Xperts

La m aison m ère, Tree Top (w w w .treetop.lu) est spéciali­ sé dans le m ontage de PCs, la vente de tout m atériel infor­ m atiq u e et l'in stallatio n de réseaux. D escrip tif des ser­ vices et produits sont dispo­ nibles sur le site, ainsi que quelques brèves infos d'actua­ lité, qu'elles soient "corpor­ a te" ou "business", avec un lien vers les sites correspon­ dants.

(www.comxperts.lu)

ArianeSoft (w ww.arianesoft.lu)

■m

C om X perts, enfin est spécia­ liste dans les télécom m unica­ tions et les solutions réseaux avec les produits de la marque Cisco. Le site propose un des­ c rip tif assez com plet des ser­ vices et produits, en attendant une présentation détaillé de la société, qui n’était toujours pas en ligne au 30 ja n v ie r...*

Le site du mois A rianeSoft est prestataire de services Internet et prend en charge le développem ent d’ap­ p lic a tio n s su r-m esu re. La société présente le site le plus com plet avec, notam m ent, la possibilité de s'inscrire à une new sletter d'inform ation sur les n o u v eau tés; une page consacrée aux virus les plus virulents sur le net, et des liens pour les éradiquer; un m odule "chech dom ain" per­ m ettant de v érifier l'existence et les références d'un nom de dom aine Internet et enfin une partie "FTP" qui perm et d'ac­ céder directem ent à un certain nom bre d'applications m ises à disposition par A rianeSoft.

infotechnique.lu F ilia le d u g r o u p e n é e r la n d a is G e tr o n ic s , u n d e s le a d e r s m o n d ia u x d e s s o lu tio n s e t d e s s e r v ic e s d e s tin é s a u x u tilis a ­ te u rs p r o f e s s i o n n e ls d e s T e c h n o lo g ie s d e l'I n f o r m a tio n e t d e la C o m m u n ic a tio n , In f o te c h n iq u e L u x e m b o u r g a m is e n lig n e s o n n o u v e a u s ite I n te rn e t, e n te c h n o lo g ie F la s h . SI le v e r t e s t la c o u le u r d e l'e s p é r a n c e , I n f o te c h n iq u e n e m a n q u e v is ib le m e n t p a s d 'e s p o irs ta n t c e tte c o u le u r e s t u ltr a p r é s e n te s u r to u te s le s p a g e s d u s ite . L e re lo o k a g e d u s ite a p o u r p r in c ip a l o b j e c t i f d e re n d r e l ’a c tiv ité d e la s o c ié té p lu s a b o rd a b le e t a u d ib le : la n a v ig a tio n , b ilin g u e ( f r a n ç a is e t a n g la is ) q u i c o m b in e v id é o ; c h a r m a n te v o ix fé m in in e e t c h a le u r e u s e ; a n im a tio n s e t te x te té lé c h a r g e a b le e n H T M L , p e r m e t d 'y p a rv e n ir . D e s u rc ro ît, le to u t e s t e n f r a n ç a is e t e n

LuxIS

a n g la is . E n p r im e , s u r la p a g e d ’a c c u e il, u n e v id é o ré s u m e

(www.luxis.lu) de

fa ç o n

h u m o ris tiq u e

et

o rig in a le

le s

a c t iv ité s

d ’I n f o te c h n iq u e . L a s o c ié té e s t n o ta m m e n t s p é c ia lis é e d a n s la s a is ie , le tr a i­ te m e n t e t la

s tr u c tu r e

(P a r le m e n t E u ro p é e n ,

d e g r o s v o lu m e s C o m m is s io n

de

d o c u m e n ts

E u r o p é e n n e , L iv r e

F o n c ie r d ’A l s a c e - M o s e l l e ,...) , e t p r é s e n te s o n a c tiv ité p a r LuxIS est une filiale com posé de designers ayant à charge de créer des sites Internet (c'est notam m ent elle qui s'est char­ gé des propres sites du gro u ­ p e ...). U ne fois qu'on a com ­ pris qu'il fallait faire passer la souris sur des petits carrés pour connaître le contenu du site, les inform ations acces­ sibles restent, som m e toute, très basiques.

p r o je ts , d o n t la r é a lis a tio n e s t a s s u r é e p a r q u a tre p ô le s d e p ro d u c tio n , a u L u x e m b o u r g , e n F r a n c e e t e n B e lg iq u e . L e site p e r m e t a in s i d e d é c o u v r ir le p r o je t A R C D O C , d o n t le b u t e s t d e n u m é r is e r e t d ’in d e x e r le s a rc h iv e s d u P a rle m e n t E u r o p é e n , o u e n c o r e le p r o je t F P 6 q u i r e ç o it, in d e x e e t o rg a ­ n is e le s q u e lq u e 6 0 .0 0 0 r é p o n s e s a u x a p p e ls d ’o ff re re ç u s p a r la C o m m is s io n e u r o p é e n n e à B ru x e lle s . R é a lis a t io n : C m i C r e a tiv e C o m m u n ic a tio n ■ paperjam 03,

2003 Business Web Directory 047


mmumcauon

C om m e chaque mois, retrouvez les nouvelles cam pagnes, com m uniquées par les agences, dans paperüam .

Comed

Mikado Puhlicis

Nouvelle Micra: elle embellit la vie... et la ville!

En 2003, ne vous trompez pas, venez chez Optique Moitzheim

Agences, n'hésitez pas à nous les envoyer, accom pagnées de leur fiche technique, à press@ paperjam .lu Client: N issan Support: pres­ se A rt D irector: P ierre Servais. C opyw riter: Lucien G zuga/C arlo D ickes A ccount M anager: C arlo Dickes

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Un Noël blanc? Non merci!

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My Favourite Five: pour assurer avec vos 5 numéros préférés a m " C lient: Prosun Support: A bribus et p resse A rt D irector: D idier L eclerq C opyw riter: F réd éric Thill A ccount M anager: Jean-L uc M ines, A ysen B ilis Ph oto­ graphe: Philippe H urlin Info­ graphiste: O livier D ebuys

Mikado Puhlicis

Pas de bon boulot sans bon bureau

Client: B ureau M oderne Sup­ port: Presse A rt D irector: D idier Leclerq C opyw riter: Frédéric T h ill A ccou n t M anager: Sim one Steinm etz Illu strateu r: P ie rre D alla Palm a

048 Communication

Client: O ptique M oitzheim Support: presse A rt Direc­ tor: Stéphane Joiris C opy­ w riter: S téphane L efebvre A ccount M anager: Sim one Steinm etz Photographe: B ernard Foubert

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C lient: M obilux Su pport: p resse A rt D irector: Stéphane Joiris Copywriter: Stéphane Lefebvre A ccount M anager: Sim one Steinm etz G raphie D esigners: V incent M ertz, A liocha Schaffner


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Bice Ristorante. Juste en face de la Gëlle Fra

Jusqu'au 3 février, les fées se penchent sur nos conditions (abribus)

Client: Bice R istorante Sup­ port: presse A rt Director: D idier Leclerq Copywriter: Frédéric Thill A ccount M a­ nager: D o m in iq u e G odin A ysen B ilis Photographe: Stock, Frank W eber Inforgraphiste: O livier Debuys

£ jusmr.v 1400 «r »Avn.vr.ws

A gence: M ikado Publicis Client: R enault Luxembourg Support: A bribus et presse A rt D irector: Stéphane Joiris C opyw riter: S téphane Le­ febvre A ccou nt M anager: V anessa B uquet G raphie D esigner: M axim e Lorenzini Photographe: Stock Illustra­ teur: David Cantero

paperjam 03.2003

Communication 049


r

-> Le marché de l'immobilier de bureaux à Luxembourg, pour l'heure, ne souffre pas trop du ralentissement économique général Mais les professionnels restent vigilants ENTRETIEN ET TEXTE J E A N -M IC H E L G A U D R O N PHOTOS E R IC C H E N A L (B L ITZ ) ILLUSTRATION H!

050 Coverstory

paperjam 03.2003


Q u a n d l'im m o b ilie r va, to u t va, d it-o n . M ais q u a n d to u t n e v a p lu s b ien , l'im m o b ilie r v a -t-il m al p o u r a u ta n t ? R ie n n 'e s t m o in s sûr. E n d é p it d u ra le n tis se m e n t é c o n o m iq u e d o n t so u ffre le L u x e m b o u rg , l'ac tiv i­ té d u m a rc h é d e l'im m o b ilie r de b u re a u x e s t r e s té e re la tiv e m e n t in ten se au G ra n d -D u c h é au co u rs d e l'an n ée 2002. A in si, au b o u t d e six m o is, le ta k e -u p , c 'e st-à -d ire le b ila n d e s su r­ fa c e s lo u é e s o u v e n d u e s à u sag e p ro p re, a a tte in t 6 0 .0 0 0 m 2 e t les e s ti­

m a tio n s p o u r l ’en sem b le de l’année fo n t é ta t d ’u ne su rface to tale c o m ­ p rise en tre 9 0 .0 0 0 e t 112.000 m 2. A c o m p a re r avec u n take-up de 139.000 m 2 p o u r l'ensem ble d e l'an ­ n é e 2 0 0 1 , qui n 'é ta it p as très lo in du re c o rd de 2 0 0 0 (1 4 1 .0 0 0 m 2). A u to ta l, le sto c k g lo b a l de b u re a u x d a n s la v ille de L u x ­ e m b o u rg e t sa p é riphérie, d é p asse les 2,2 m illio n s d e m 2, plus de la m o itié éta n t lo calisé d ans les q u a r­ tie rs cen tra u x (C e n tra l b u sin ess d is ­ tric t e t g a re ) e t u n b on q u a rt su r le

p la te a u d u K irc h b e rg , qui est, in c o n ­ te stab le m e n t, le q u a rtie r c h arn iè re d u m a rc h é luxem bourgeois. La su rfa c e de b u re a u x e n co re d is­ p o n ib le d a n s le p ays, elle, e st e sti­ m ée, selo n les so u rces, d ans une fo u rch e tte e n tre 100.000 e t 130.000 m 2, soit u n ta u x d e v a can ce global de q u e lq u e 5 à 6% , ce qui peut sem bler B y za n c e q u a n d o n se so u v ien t qu'il é ta it in fé rie u r à 1% il y a d eu x ans de cela. O ù en est donc exactem ent le m ar­ ché de l'im m o b ilier de bureaux

paperjam 03.2003 C O V e r S t O r y

061


-> à L u x e m b o u rg ? Q u e lle s so n t ses p e rsp ec tiv e s à c o u rt e t m o y e n te rm e c o m p te -te n u d e l'év o lu tio n d u clim at é co n o m iq u e e t so cial a ctu e l ? P o u r ré p o n d re à c es in te rro g a ­ tio n s, et à q u e lq u e s a u tre s, nous av o n s invité, d an s n o s lo cau x , un re p ré s e n ta n t d e s tro is p rin c ip a le s so ciétés de co n seil et d e c o u rta g e en im m o b ilie r d 'a ffaire s à L u x em b o u rg (p a r o rd re a lp h a b é tiq u e : M a rtin H ey se, p o u r D T Z , R o m a in M uller, p o u r Jo n e s L a n g L a S a lle e t P itt P ir ro tte , p o u r P ro p e r ty P a rtn e rs H e ale y & B a k er, re p ré sen ta n t 70 % du m a rc h é , v o ir les e n ca d ré s), p o u r un d é b a t et u n é ch a n g e d ’id é e s très ou v erts.

Loyers tirés à la baisse En ce d é b u t d 'a n n é e , la te n d a n c e e s t c la ire m e n t à u n m o u v e m e n t b a is s ie r d e s p rix p ra tiq u é s e n m a tiè ­ re d e loyers. "C e tte p r e s s io n s u r les lo y e rs e s t s a n s d o u te m o in s f o r t au c e n tre -v ille , c a r il n 'y a q u e tr è s p e u d 'im m e u b le s m o d e rn e s s u r le m a r ­ c h é " n o te R o m a in M u lle r (Jo n es L a n g L a salle). "En reva n ch e, en p é rip h é r ie , y c o m p ris a u K irch b erg , o n a d é jà n o té q u e lq u e s b a isse s, q u i p e u v e n t a lle r ju s q u e 2 0 % ". Si le c e n tre -v ille n e sem b le p a s tro p s o u ffrir d e la s itu a tio n a c tu e lle , il n 'e n va p a s d e m ê m e p o u r c e rta in s "n o u ve a u x " q u a rtie rs en p é rip h é rie . "D es z o n e s d 'a c tiv ité s c o m m e c e lle s d e S v rd a ll o u d e B o u r m ic h t s o u f­ f r e n t b e a u c o u p p lu s d u c lim a t

a c tu e l c o n s ta te M a r tin H e y s e (D T Z ). L e ta u x d e c h ô m a g e lo c a tif e s t p lu s éle vé e t on y liv re d e n o u ­ v e a u x b â tim e n ts q u i n e s o n t to u ­ jo u r s p a s loués. Là, e ffe ctive m e n t, on o b se rv e d es c h u te s d e p r ix d e lo y e rs d e l'o rd re d e 3 0 -3 5 % . J e c o n n a is d e s s o c ié té s q u i s o n t p r ê te s à q u itte r S y rd a ll a u p lu s vite, m ê m e s i e lle s d o iv e n t p a y e r p r è s d e 2 0 % en p lu s p a r r a p p o rt à c e q u 'e lle s p a y e n t a c tu e llem e n t. E n ville, c la i­ rem en t, le s n é g o c ia tio n s d e s p r ix n e s o n t p a s a u s si d u res". C es n é g o c ia tio n s, en rè g le g é n é ­ ra le , p o rte n t su r la g ra tu ité d u loyer

Quand les bureaux s'étalent.. C e ta u x de v acan ce glo b al d e 56 % a ffic h é su r le m a rc h é lu x e m ­ b o u rg e o is est é v id e m m e n t à p re n d re en to u te relativ ité. "A in si e stim e Pitt P ir ro tte (P ro p e rty P a rtn e rs ), au centre ville, c e taux d e vacance loca­ tive e s t p e u t-ê tre d e l'ordre d e 1%. ->

Martin Heyse

DTZ Luxembourg

p o u r u n e p é rio d e de p lu s ie u rs m o is, o u b ie n su r la m ise à d is p o sitio n d 'u n b u d g e t d 'a m é n a g e m e n t. "L e b u t est, b ie n sûr, d 'e s s a y e r d e c o n s e r v e r un c e r ta in n iv e a u d e lo yers p ré c ise R o m a in M u lle r. E n p é r io d e d e 'récessio n ’, le s s o c ié té s q u i s o n t en p é r ip h é r ie v e u le n t g é n é ­ r a le m e n t re v e n ir v ers le c e n tre ville. Il n 'y a p a s v ra im e n t d e g ra n d s im m e u b les en v ille q u i s o ie n t vides. C e n 'e s t p a s le c a s en p é r ip h é r ie " . L es b e so in s en tré s o re rie d es e n tre p ris e s s o n t d e p lu s e n p lu s u rg e n ts. D u co u p , c 'e st to u te la p o li­ tiq u e im m o b ilière qui e st s o u v e n t re v u e e t c o rrig é e , au p o in t q u e la g ra n d e tra d itio n lu x e m b o u rg e o is e d 'ê tre p ro p rié ta ire d e ses p ro p re s lo c a u x c o m m e n ce à ê tre m is e à m al p a r la te n d a n c e g é n é ra le q u i v e u t q u 'o n se d é se n g a g e d e p lu s en plus d e so n im m o b ilier, d e m a n iè re à s o rtir les im m e u b le s du b ila n c o m p ­ ta b le e t d e se c o n te n te r d e lo c a ­

DTZ Luxem bourg, issu du groupe

tio n s...

fo n d é en 1902 par A lbert W issinger à B ruxelles

Date de fondation à Luxembourg: 1995

“On s'attendait à ce que le ralentissement économique n'amve que maintenant Pas il y a un an et demi” MARTIN HEYSE, DTZ

Part de marché 2002: 22% Nombre d'employés à Luxembourg: 25

Principales transactions réalisées en 2002: Location de 2.000 m2 p o u r A nglo A m erican rue de Bragance; de 2.000 m 2 p o u r A rchand H olding B d Joseph II; 1.300 m2 du G oldbell I à eBRC; de 1.500 m 2 du H itec à DexiaBIL; pré-loca tion de 2.000 m 22 pour Loyens& Loeff avenue Pasteur, de 2.000

m2 pour H ochtie f et 2.000 m2

p o u r A O N -S inser à Ham m ; so u s -lo c a ­ tio n de 2.000 m 2 po ur Krem er A ssociés & C lifford quartier Gare. ■

052 Coverstory

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T O U T LE M O N D E DE L’ I M M O B I L I E R S O U S UN M Ê I ^ B ^ O I T | D IE W E L T DER I M M O B I L l E N U N TE R EINEM DACH ___________ -—

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D E R I D E A L E T R E F F P U N K T mit Immobilienagenturen und Baupromotoren, Finanzinstitutionen und Versicherungsunternehmen. Aile nützlichen Informationen über Mieten, Vermieten, Kauf oderVerkauf einer Immobilie. Die Messe wird von einem Konferenzenprogramm mit aktuellenThemen wie z.B. Gesetzgebung, Investitionen und Beihilfen begleitet.

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hauts, a lo rs q u e d 'a u tres o n t c o n ti­ n u é à fo n c tio n n e r a u x p r ix d e m a r­ c h é a n aly se M . M u lle r, qui cite v o lo n tie rs l'ex e m p le de la R o u te d 'A rlo n : "C 'était un q u a rtie r très b ien co té p réc é d em m e n t. L o rsq u e le s co n stru c tio n s s 'y s o n t d é v e lo p ­ p é es, le p r ix d e la lo c a tio n y é ta it d e 2 8 E u ro . A u jo u rd 'h u i, p o u r d es im m e u b les neufs, on loue à 2 1 ,5 0 E u ro e t a v ec u n e g r a tu ité de lo y e r d e n e u f m o is... C ela p r o u v e q u e m ê m e p o u r un q u a rtie r très p risé, e t q u i reste très p o rteur, il y a b e a u co u p d e s u rfa c e s en c o n cu rren c e , e t cela in flu e d irec te m e n t s u r le s prix". C o n sé q u e n ce in d irec te d e cette c o n cu rre n ce a ch a rn é e , qu'il convient

Romain Muller

Jones Lang LaSalle Luxembourg

d e ra n g e r d ans la c atég o rie d es d o m ­ m a g e s c o llatéraux: la d isp o n ib ilité d e s te rra in s e st fo rtem en t réduite. "E t le s sec te u rs q u i en so u ffre n t le p lu s , c e s o n t les a c tiv ité s n o n -te r­ tia ires re m a rq u e M . P irrotte. L 'a c c ès à d es terrains p o u r l'a rtisa n a t e st q u a si-im p o ssib le, c a r ces terrains o n t été 'm a n g é s 'p a r les p ro m o teu rs d e bureaux, e t q u e c ela a p ro vo q u é u n e fla m b é e d es p rix. A u jo u rd ’hui, un a rtisa n n e p e u t p a s p a y e r d e l'o rd re d e 2 m illio n s d e fr a n c s l ’are p o u r y m ettre un h a ll". A insi, des z o n in g s qui, à l'o rig in e , sem b len t a v o ir été co n çu s en ta n t q u e p u rs z o n es a rtisa n ale s, co m m e C o n te rn , p a r e x em p le, sont "e n va h ies" p a r d es p ro m o teu rs de b u re a u x ... ->

Jones Lang LaSalle est Issu de la fusion, en 1998, de Jones Lang W ootton - fon dé en 1783 - et de LaSalle Investm ent & Partners

Date d’ouverture du bureau à Luxembourg:1 999 Part de marché 2002: 36% Nombre d'employés: 9 chez JLL et 3 chez JLL Investm ent

Principales transactions réalisées

“Les taux de location du parc immobilier seront grandement influencés par les institutions européennes” ROMAIN MULLER, JONES IO\NG LASALLE

en 2002: location d 'u n im m euble dénom m é le St Louis à G asperich (4.500 m2) à l'E tat Luxem bourgeois; sou s-locatio n de 5.600 m2 de bureaux dans l'im m eu ble Laccolith (locataire: Clearstream ; sous-locataire: Arcelor); pré-location de 3.000 m 2 de bureaux dans l'im m eu ble E -building situé à M unsbach à la société Eurelux et 1.700 autres m2 à à la société Vorsorge Lebensversicherung; pré-location de 4.000 m 2 de bureaux dans l'im m eu ble Kennedy III situé au Kirchberg à la S tate Street Bank; location de 2.000 m 2 de bureaux dans l'im m euble IEK C situé au Kirchberg à O dyssey A sset M anagem ent ■

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Promoteurs: seuls les plus solides demeurent L e s p ro m o te u rs, ju s te m e n t... Q ui s o n t-ils ? H is to riq u e m e n t p a rla n t, le m a rc h é lu x e m b o u rg e o is d e la p ro -

Pîtt Pirrotte

Property Partners Luxembourg_____

Property Partners Luxembourg,

m o tio n im m o b ilière a to u jo u rs é té fo rte m e n t o c cu p é p a r d e s so c ié té s d 'o rig in e b e lg e (C o d ic , A te n o r, B P I, H e rp a in , L e a s in v e s t, B u e le n s , B e r n h e im , C P 1 ...) e t a lle m a n d e (D IC , B a u m e is te rh a u s, D o m b e rg e r, H o c h tie f...). P o u r ce qui e s t d e s p rin c ip a u x a c te u rs lo c a u x , d es so c ié té s c o m m e E n tre p ris e F elix G io rg e tti, S ta tio n Im m o o u le g ro u p e Ik o g e st, o n t la r­ g e m e n t p ro u v é le u r s a v o ir-fa ire et le u r d y n a m ism e d a n s le m é tie r d u d é v e lo p p e m e n t. M a is le s p ro m o ­ te u rs lu x e m b o u rg e o is n ’e n re s te n t p a s m o in s, b ie n so u v en t, a u s e c o n d p la n . " Il y a eu, il y a q u e lq u e s a n n é es, un p h é n o m è n e d e r u é e v ers l 'o r ’ se ra p p e lle P itt P irro tte . L e s p r o m o te u r s v en a n t p o u r l'e s s e n tie l d e c e s d e u x p a y s a v a ie n t e n te n d u q u e le L u x e m b o u rg p o u v a it p r o p o ­ s e r d e s p r ix d o u b le s d e c e q u i s e f a is a it a ille u rs. M a in te n a n t q u e la situ a tio n s 'e s t reto u rn ée, le s n o u ­ v e a u x p r o m o te u r s o n t c la ir e m e n t f r e i n é le u r e n th o u sia sm e v is-à -v is d u G ra n d D u ch é". E st-c e à d ire q u 'il ne se p a ss e p lu s rie n d 'in té re ssa n t, au L u x e m b o u rg n o n p lu s ? " C e r ta in e m e n t p a s, a u c o n tra ire , tra n c h e M a rtin H e y se . M ê m e à d e s p r ix fa ib le s , d e n o tre p o in t d e vue, on s e s itu e to u jo u r s à d e s n iv e a u x la r g e m e n t s u p é r ie u rs de ce qui se p e u t se fa ir e dans d ’a u tr e s p a y s . A B r u x e lle s , p a r e x e m p le , ils s o n t c e r ta in e m e n t c o n te n t d 'o b te n ir d e s lo y e rs a u to u r

d e 2 0 o u 21 Euro. A L u x e m b o u rg , le s b a ille u rs, eux, s e p la ig n e n t lo rsq u ’ils n 'o b tie n n e n t 'q u e '2 1 E u ro de lo y e r " . D 'u n e c e rta in e m a n iè re , d o n c , le m a rc h é s'e st q u e lq u e p e u a s s a in i, le m é n a g e s 'é ta n t fa it, e n q u e lq u e s o rte , d e lu i-m ê m e . C e rta in s p ro ­ m o te u rs , qui n 'a v a ie n t p a s fo rc é ­ m e n t de c o m p é te n c e s su r le s e g ­ m e n t p ré c is d e l'im m o b ilie r d e b u re a u , se so n t b rû lé s les d o ig ts e t so n t re to u rn é s à le u rs p re m iè re s a m o u rs . C e u x q u i n ’é ta ie n t p a s au L u x em b o u rg p ré c éd e m m e n t so n t re to u rn é s c h e z e u x ... E t c e rta in s a u tre s , qu i so n t e n c o re p ré s e n ts su r la p la c e , n 'a p p a ra is s e n t p as tro p en fo rm e ... " L e s p r o m o te u r s 'one s h o t’, q u i v ie n n e n t u n e f o i s d a n s le p a y s p o u r s e u le m e n t tir e r la m a n e tte , ceu x -là , c 'e st clair, n e v ie n n e n t p lu s c o n s ta ­ te R o m a in M uller. L e s autres, c e u x q u i s o n t là d e p u is p lu s ie u r s a n n é es, c o n tin u e n t d e r e g a rd e r le m a rc h é d e p r è s . I l reste d o n c d e s o p p o r tu n ité s d e te rr a in s o ù l'o n p e u t c o n str u ir e d e b e a u x im m e u b le s d e ssu s, a v e c d e b e lle s situ a tio n s. “M ê m e d a n s un c o n te x te é c o n o ­ m iq u e q u i e s t m o in s p o rteu r, il y a e n c o r e b e a u c o u p d 'in té r ê t p o u r çela . M a is il e s t c la ir a u s s i q u e bon n o m b re d e p r o m o te u r s n e s o n t p a s a s s e z s o lid e s fin a n c iè r e m e n t p o u r e n v is a g e r de d é v e lo p p e r et c o n str u ir e d e n o u v e a u x im m e u b le s à r isq u e a u L u x e m b o u r g " . ->

bureau associé de C ushm an & W akefield Healey & Baker à Luxem bourg)

Date de fondation du groupe: 1820 Fondation à Luxembourg: 1999 Part de marché 2002: 11,5% Nombre d'employés: 9 Principales transactions réalisées en 2002: vente de l’Espace Kirchberg (50.000 m2) à Clearstream ; vente de Laccolith à un fon ds im m obilier alle­ mand (13.000 m 2), vente de l’im m euble ING à ING Real Estate; vente du Kansallis House; vente du 35 B d Prince Henri, ... Et locations à Industrial C om m ercial Bank o f China, Bank o f N ew York, O dyssey A sset M anagm ent, W orldC om , GTS, B ritish Telecom, Kneip C om m unications, R edBus Interhouse, C om m ission des Loyers, D eloitte & Touche, ... ■

056 Coverstory

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“A très long terme, je suis prêt à parier que la frontière entre Esch et Luxembourg-ville aura disparu” PITT PIRROTTE, PROPERTY PARTNERS


-» Il fa u t d ire a u ssi q u e l'a rg e n t n e c o u le c e rta in e m e n t p lu s a u ss i fa c i­ le m e n t q u 'il y a q u e lq u e s a n n é e s , e t q u e la frilo sité d e v ie n t g é n é ra le . " B ie n é v id e m m e n t, le s b a n q u e s d e m a n d e n t a u jo u r d ’h u i d e s g a r a n ­ tie s d e p lu s en p lu s im p o r ta n te s, c e q u i f a i t q u e le s fin a n c e m e n ts s o n t d e p lu s en p lu s d iffic ile s à obtenir. L e r o b in e t e s t fe r m é . I l f a u t v r a im e n t d é jà a v o ir u n g r a n d n o m b r e d e g a r a n tie s q u a n t a u x lo c a tio n s fu t u r e s p o u r v r a im e n t e n v is a g e r p o u v o i r s e la n c e r " c o n sta te M . P irro tte . L e p a y s re s te p o u rta n t trè s a ttra c ­ t i f e t le p la c e m e n t d e ty p e im m o b i­ lie r re tro u v e se s le ttre s d e n o b le ss e s p e rd u e s, u n te m p s, à l'é p o q u e d es fla m b é e s " In te rn e t" s u r le s m a rc h é s fin a n c ie rs . " D e p iè tr e s in v e stis s e ­ m e n t, p r e s q u e s a n s a u c u n in térêt, le s p la c e m e n ts c o lle c tifs im m o b i­ liers, q u i a ssu re to u jo u rs, b o n an m a l an, 6 à 7% d e re n d e m e n t, a p p a ­ r a is s e n t a u jo u r d 'h u i com m e q u e lq u e c h o se d e fo r m id a b le m e n t s ta b le e t a p p r é c ia b le ” a jo u te M. P irro tte .

1 5 0 .0 0 0 m ’ q u i se r o n t n é ce ssa ire s p o u r les b e so in s d e s in s titu tio n s e u ro p é e n n e s " . Pitt P irro tte , lui, s'a tte n d m ê m e à ce q u e la s itu a tio n se d é b lo q u e a sse z ra p id e m e n t: " D ’ic i à la p r e ­ m iè re m o itié d e c e tte année, j e p e u x vo u s d ire q u 'il d e v ra it se ré a lise r q u e lq u e s g r a n d e s tr a n s a c tio n s c o n c e r n a n t d e u x o u trois g ra n d s o c cu p a n ts. C ela va a s sa in ir le m a r ­ c h é e t e n le v e r p a s m a l d e m è tre s c a rr é s d 'u n s e u l coup. O n se retro u ­ vera d o n c d a n s u n e situ a tio n b e a u ­

to u t p e u t c h a n g e r d e m a n iè re r a d i­ c a le n o te M a r tin H e y se . A u jo u rd 'h u i, p a r ra p p o rt à il y a q u a tr e ans, la situ a tio n m o n d ia le n 'a p lu s g r a n d c h o se à voir. Or, les im m e u b le s que l'o n r e tr o u v e a u jo u r d 'h u i s u r le m a rc h é s o n t c e u x q u i o n t é té d é c id é s en 1999. C e q u i e s t c erta in , c 'e s t q u e le r a le n tiss e ­ m e n t te l q u e n ous le v iv o n s m a in te ­ n a n t a é té p lu s ra p id e q u e n o u s le p r é v o y io n s. O n s 'a tte n d a it p lu tô t à

c o u p m o in s 'lim ite ' — d u p o in t d e v u e d e s b a ille u rs — q u 'e lle n e l'e st a c tu e llem e n t. O n n e sera p a s e n c o ­ re reven u a u n iv e a u d 'il y a d e u x ans, m a is il y au ra un g ro s m ieux,

un a n e t d em i". " Il f a u t bien a v o ir à l'e sp r it q u e

Vers un assainissement

S o m a c o - O ffic e P a rc , au F in d e l (B â tim e n t L e o n a rd o D a V in c i), a tte n d u s p o u r c e p rin te m p s, to u t c o m m e les 4 .0 0 0 m 2 du b â tim e n t au 551 ro u te de N e u d o rf à K a g elsb rü c k . P lu s tard, d a n s l ’a n n é e , v o ire p o u r le d é b u t 2 0 0 4 , d ’a u tre s g ra n d e s m ise s à d is p o sitio n d e s u r­ fa c e s s o n t a tte n d u es: les 10.000 m 2 d u b â tim e n t G e o s d e l ’E s p a c e K irc h b e rg ; les 19.000 m 2 d u p ro je t

Q u e ls

sont

a c tu e lle m e n t

le s

g ra n d s p ro je ts e n c o u rs d e fin a lis a ­ tio n , e t q u e lle s s o n t le s p rin c ip a le s tra n s a c tio n s q u i o n t é té e n re g istré e s ré c e m m e n t ? L 'u n d e s p rin c ip a u x a c te u rs en la m a tiè re s e ro n t le s in s ­ titu tio n s e u ro p é e n n e s , e n p le in e p h a s e d e r e d é p lo ie m e n t d a n s la p e rs p e c tiv e d e l'é la rg is s e m e n t d e l'U n io n à 25 m e m b re s q u i sera en m a je u re p a rtie c o n c ré tis é e e n m ai 2004. " Il e st é v id e n t q u e le s ta u x d e lo c a tio n d u p a r c im m o b ilie r à L u xem b o u rg sero n t g ra n d em en t in flu e n c é s p a r le s in s titu tio n s e u ro ­ p é e n n e s , m a is a u s s i p a r l'E ta t e t les o r g a n isa tio n p a r a -s ta ta le s " p ré v o it R o m a in M u ller. U n e s itu a tio n q u e M a r tin H e y se te n te d e c h iffre r: " S u r le s te rra in s

c 'e s t évid en t". L e d é b u t d e l’a n n é e 2003 s’a n ­ n o n c e , e n to u s le s c as, p lu tô t b ie n fo u rn ie en m a tiè re de n o u v e a u x e sp a c e s d isp o n ib le s. P a rm i les p lu s im p o r ta n ts d e v a n t ê tre liv ré s , n o to n s , p a r o rd re c h ro n o lo g iq u e , u n e p re m iè re p h a se d e 4 .0 0 0 m 2 d e s 2 4 .0 0 0 m 2 d u W est S id e V illag e de C a p e lle n -M a m e r (p o u r m a rs); les 1 3 .0 0 0 m 2 d u G o ld b e ll II à la C lo c h e d ’O r e t le s 10.000 m 2 d u

D elo itte & T o u c h e à N e u d o rf (d o n t il n e re ste , d isp o n ib le s, q u e 4 .0 0 0 m 2); le s 2 5 .0 0 0 m 2 d u p ro je t E h lin g e r à H am m o u e n c o re les 2 2 .5 0 0 m 2 p o u r l'A triu m B P "E m p o riu m " à B ertra n g e . A u ta n t d e su rfa c e s d is ­ p o n ib le s, p a rm i ta n t d 'a u tre s, q u i n 'o n t p as e n co re tro u v é d é fin itiv e ­ m e n t p re n e u rs. E v id e m m e n t, p o u r to u s c e s n o u ­ v e a u x b â tim e n ts u ltr a - m o d e r n e s liv rés c e s p ro c h a in s m o is, il fa u t se re p la c e r d a n s u n c o n te x te p a ss é ,

'n a tu re ls' q u e s o n t le K irc h b e rg e t la C lo c h e D ’Or, s u r le s q u e ls d es in fr a s tr u c tu r e s e t d e s b â tim e n ts s o n t d é jà en p la c e , j e p e n s e q u e ce

lo in d u m a ra sm e d 'a u jo u rd 'h u i. C a r du p ro je t d e c o n stru c tio n

s o n t,

ans. "D a n s c e t in te r v a lle d e tem ps,

à

te rm e ,

p lu s

ou

m o in s

à la

liv r a is o n c lé e n m a in s , il p e u t s 'é c o u le r tro is an s e t d em i, q u a tre

c e q u 'il s u rv ie n n e f i n 2 0 0 2 -d é b u t 20 0 3 , m a is c e r ta in e m e n t p a s il y a

la c o n str u c tio n d e l'im m e u b le, en e lle -m ê m e , d ure a u m o in s 18 m o is c o m p lè te P itt P irro tte . Or, en c a s d e p r o b lè m e , l'é c o n o m ie r é a g it en g é n é r a ! b ie n p lu s r a p id e m e n t q u 'u n e b é to n n e u se ! U ne f o i s q u 'u n c h a n tie r e st lancé, il e s t d o n c b ie n d iffic ile d e l'a r r ê te r " .

Conseils plus pointus Q u i d it n o u v e lle s c o n d itio n s de m a rc h é d it, é g a le m e n t, n o u v e lle fa ç o n d e tra v a ille r p o u r les a g e n ts et c o n se ils im m o b iliers. F in i le te m p s o ù il s u ffis a it d e p ré s e n te r u n bel im m e u b le à un c lie n t, p o u r que c e lu i c i s o rte so n c h é q u ie r e t a c c e p ­ te la tra n s a c tio n . " D u c o u p , le m é tie r n 'a v a it p r a tiq u e m e n t p lu s a u c u n in té r ê t" iro n is e p re s q u e R o m a in M uller, qu i c o n sta te u n e p lu s g ra n d e p ro fe s sio n n a lisa tio n de la p a rt d e s o c c u p a n ts p o te n tie ls, d a n s le u r a p p ro c h e d 'u n p r o je t im m o b ilier. " A u jo u r d 'h u i, le s e n tr e p r is e s p r e n n e n t le te m p s d e c o m p a re r p lu ­ s ie u r s im m e u b les. A n o tre niveau, n o s in te r lo c u te u r s s o n t p lu tô t d es p r o je c t m a n a g e rs q u i e ffe c tu e n t une a n a ly se a p p ro fo n d ie de l'o c c u p a ­ tio n d e l'im m eu b le, q u i é tu d ie n t d e p r è s le s te c h n iq u es in sta llé es, etc". In c o n te sta b le m e n t, la n é c e ssité d e s u rv e ille r au p lu s p rè s le s frais g é n é ra u x d e s b ila n s in c ite à u n e p lu s g ra n d e p ru d e n c e ... m a is a u ssi à u n e p lu s g ra n d e c o n fia n c e a cc o rd é e a u x p ro fe s s io n n e ls : " L e s p r o m o ­ te u rs o n t b e so in d e n ous, c a r ils o n t d e s im m e u b les à p la c e r e t no u s la is se n t d o n c un m a x im u m d 'in itia ­ tiv e s p o u r tro u v e r e t d é c id e r les ->

paperjam03.2003 Coverstory 057


Les loyers au Luxembourg

- f q u e lq u e s r a re s lo c a ta ir e s à venir. L e s lo c a ta ires, eux, o n t a u s si b e so in d e n o u s p o u r les a id e r à

De 16 à 33,5 euro/mois/m2 (HTVA)

n é g o c ie r d e s c o n d itio n s p lu s in té ­ r e s sa n te s " ré s u m e P itt P irro tte .

Du q u a rtie r d 'H o w a ld , en p é ri­

M a r tin H e y s e , a u s s i, fa it ce m ê m e c o n sta t d 'u n e p ro fe s s io n n a li­ s a tio n a c c r u e d e la c lie n tè le : "C la ire m en t, le c lie n t e s t p lu s a v e r ­

b ie n tô t B anq ue D egroof

phérie su d d e L u xem bo urg -V ille ,

Lu xem bo urg ), la zo n e d is p o s e

ju s q u 'a u K irchbe rg, la g a m m e

d 'u n b o n accès

d e p rix d e loyers p e u t e n re g is tre r

Loyers jusqu'à 25 euro/mois/m2

d e s va ria tio n s allant ju s q u 'à 5 0 % . R evue d e dé ta il (prix in d iq u é s

Lim pertsberg: le q u a rtie r a b rite

HTVA):

e sse n tie lle m e n t d e s im m e u b le s ré sid entie ls re convertis en bureau x

How ald: p rin c ip a le m e n t o c c u p é e

et d e s im m e u b le s neufs. Un g ra n d

pa r de s e n tre p ô ts e t d e s su rfa c e s

p rojet e st en cou rs: le B usiness

"h ig h -te c h ". O n y tro u v e a u ssi un

C enter G lacis (17.000 m 2).

c e n tre c o m m e rc ia l e t q u e lq u e s

Loyers jusqu'à

a u tre s en seigne s co m m e rc ia le s .

26.5 euro/mois/m2

Loyers jusqu'à 18 Euro/mois/m2 Kirchberg: le q u a rtie r m a ître de Ham m : la "P o rte d u L u x e m b o u rg ",

Lu xe m b o u rg , le plus a ttra c tif, le

au c a rre fo u r des ro utes m e n a n t en

plus d y n a m iq u e (co m bien de

ville e t à l'a é ro p o rt, c o n n a ît une

c h a n tie rs au m è tre carré?) e t celui

ac tiv ité en fo rte c ro issa n ce .

qui re g ro u p e dé jà les p rin cip a le s

JP M organ, P rem ie r Life ou la

in s titu tio n s fina ncière s e t e u ro ­

BEI s 'y s o n t installés.

p é enne s d e la Place.

Loyers jusqu'à 20 Euro/mois/m2

Loyers jusqu'à 27.5 Euro/mois/m2

Bourm icht: a situ é à l’arrière d e H o rn b a c h , c e q u a rtie r in itia le m e n t

Findel: la zo n e d e l'a é ro p o rt est

d e s tin é à l’a rtis a n a t a v ite c o n n u un

é v id e m m e n t prisée d e s s o cié té s

d é v e lo p p e m e n t te rtia ire . En c o u rs:

aya nt un e c lientè le inte rnatio nale .

l’A triu m B usiness P ark (5 0.00 0 m z)

B anq ues e t in s titu tio n s fin a n ciè re s

Loyers jusqu'à 22 euro/mois/m2

y s o n t présentes, ainsi q u e bon

Gare: l'A rb e d e t la B C EE y o n t

p le xe s d'a ffa ire s : l'A é ro p o rt

no m b re d 'h ô te ls . P rin cip a u x c o m ­ leurs s iège s h is to riq u e s au P lateau

B usiness C entre, l'E u ro p e a n B ank

B o u rb o n . A la R o ca d e de

and B usiness C e n te r e t le Findel

B onn evoie, q u e lq u e s p ro je ts s o n t

G o lf O ffic e P ark en c o u rs d e

en p réparation .

c o n s tru c tio n .

Loyers ju squ ’à 25 Euro/mois/m2

Loyers jusqu'à 28.5 Euro/mois/m2

Strassen: a u to u r d e la ro ute d 'A rlo n , c e q u a rtie r ré sid e n tie l a

Centre ville (C B D : Centre

a ttiré b o n n o m b re d 'in s titu tio n s

Business District): m é la nge de

fin a n ciè re s e t d e s o c ié té s d e s e r­

b â tim e n ts an cie ns e t plu s ré cents,

vices. Il s o u ffre né a n m o in s de

le q u a rtie r sou ffre d 'u n ta u x d e

c o n d itio n s d e c irc u la tio n diffic ile s .

v a c a n c e p ra tiq u e m e n t nul. Les

Loyers jusqu'à 25 euro/mois/m2

loyers y s o n t trè s v aria bles en fo n c tio n d e l'â g e de s locau x.

Gasperich: articu lé e a u to u r du

5.400 m 2 s u p p lé m e n ta ire s livrés

q u a rtie r d e la C lo c h e D 'Or, où d e

fin 2 0 0 3 (E space M o nterrey)

n o m b re u s e s s o c ié té s y o n t insta llé

Loyers jusqu'à

leur siège (Pw C , C ré d it E uropéen,

33.5 Euro/mois/m2 ■

058 Coverstory

paperjam 03.2003

ti, p lu s p o in tu . I l a p a r e x e m p le d e s c o n n a is s a n c e s b ie n p lu s p o in tu e s d e l'e n v iro n n e m e n t, q u 'il s o it lé g is ­ l a t i f o u fis c a l. C ela a a u s si p o u r p r in c ip a le c o n s é q u e n c e d e ren d re le m a rc h é b e a u c o u p p lu s d y n a ­ m iq u e e t le s é c h a n g e s b ie n p lu s fr u c t u e u x " . C e tte a p p ro c h e p lu s s p é c ia lis é e se re tro u v e é g a le m e n t d a n s la fa ç o n d e tra ite r avec les p ro fe s sio n n e ls de l'im m o b ilie r: "D e p lu s en p lu s s o u ­ vent, o n c o n sta te q u 'il e s t f a i t a p p e l à d e u x a g e n c e s d iffé r e n te s p o u r tr a ite r un m ê m e d o ssie r: u n e p o u r le s lo c a ta ir e s e t u n e p o u r le s b a ille u r s re m a rq u e P itt P ir ro tte . C ela n 'e x ista it p a s il y a q u e lq u e s a n n é e s. L ’in té r ê t e s t q u e les d é c i­ s io n s p r ise s , a u f in a l, n o u s p a r a is ­ s e n t b ie n p lu s lo g iq u e s e t r a tio n ­ n e lle s" C e tte é v o lu tio n e s t é g a le m e n t é tro ite m e n t lié e à la m u ta tio n du p a y sa g e é c o n o m iq u e e t stru c tu re l d e s e n tr e p r is e s à L u x e m b o u rg , n o ta m m e n t d a n s le s e c te u r f in a n ­ c ie r: fin i les in te rlo c u te u rs " lu xo lu x e m b o u r g e o is " des g ra n d e s h e u r e s d e la B IL , la B G L o u l'A r b e d ... A u jo u rd 'h u i, ce s o n t d es g ro u p e s in te rn a tio n a u x qu i in te r­ v ie n n e n t d a n s le s n é g o c ia tio n s , av ec d e s a p p ro c h e s e t d e s te c h ­ n iq u e s q u i n 'o n t p lu s rie n à v o ir a v ec ce q u i se fa it e n "local".

Esch-Belval: pas vraiment une alternative C o m m e n t se p ro file donc l'avenir d u m a rc h é im m o b ilie r à L u x ­ e m b o u rg , p e tit p ays d 'u n e s u p erfic ie re s tre in te d e 2 .5 8 6 k m 2, o ù il sera b ie n d iffic ile de tro u v e r é te rn e lle ­ m e n t d e n o u v e au x e sp a c es à b â tir à m o is d ’en v isa g e r u n e p e u p ro b ab le a n n e x io n de la P ro v in c e du L u x e m b o u rg -B elg e o u d ’u n e p a rtie d e la M o se lle fran ç a ise ? "U n

->


n o u v e a u p r o je t d e 5 4 .0 0 0 m 2 est en train d e d é m a rre r a u K irc h b e rg (su r le terra in d e A E G ), un q u a r tie r q u i d e vra it e n c o r e s e d é v e lo p p e r très f o r t d a n s le s d ix p ro c h a in e s a n n é e s ra p p e lle R o m a in M uller. L e p r o b lè ­ m e e s t q u e d a n s 10 ans, il n 'y a ura p lu s d e te rra in s ! I l fa u d r a s ’é te n d re à n o u v ea u v ers les q u a r tie rs r é s i­ d e n tie ls d u K irc h b e rg et, a u f u r e t à m e su re d e la d em a n d e, tro u v e r d e n o u v e a u x e sp a c e s". U n e d e s s o lu tio n s p o u r r a it ê tre , p o u rq u o i p a s, d e c o n stru ire p lu s en h a u te u r q u e c e q u i se fa it a c tu e lle ­ m en t. L e s d e u x to u rs d e l'E u ro p e , qui c o m m e n c e n t à s 'é rig e r d e p a rt et d 'a u tre d u B o u le v a rd K en n ed y , à l'en trée d u p la te a u cô té v ille , p o u r­ ra ie n t serv ir, e n la m a tiè re , d e lo c o ­ m o tiv e. M a is c e n 'e s t p a s si sim p le. " U r b a n is tiq u e m e n t p a r la n t, il d e vra it e n e ffe t y a v o ir u n e in c ita tio n à le fa ir e . D u m o in s, c ela n e d e vra it p a s être d é fe n d u d e le fa ir e " c o m ­ m e n te P itt P irro tte , fa isan t a llu sio n au x ré g le m e n ta tio n s s tric te s en m a tiè re d 'o c c u p a tio n d es so ls qui ne

p ré v o ie n t en effet pas de stru c tu re d 'im m eu b les en hauteur. D u re ste , de te lle s co n stru ctio n s n e s e raie n t pas n é ce ssa ire m e n t viables. "La g e stio n d es c o û ts d a n s une stru c tu re en h a u te u r est e x trê m e ­ m e n t élevée e t a u cun p r o je t im m o b i­ lie r à L u x e m b o u rg n e ju s tifie de telles d ép en ses" estim e ain si M a rtin H eyse. D u co u p , à d é fa u t d'une flo raiso n de n o u v e au x im m eubles d a n s les a n n ée s à venir, il fau t s'a tte n d re à v o ir le p a rc im m o b ilier " s'e n ric h ir” d e n o m b re u x b â tim e n ts d its "de s e c o n d e m ain", rénovés et re m is sur le m arch é, d o n t l'un des a ttra its su p ­ p lé m e n taire s sera, ég alem en t, la d is­ p e n se d e TV A , ce qui p e u t s'avérer, fin a n c iè re m e n t p arlant, trè s p e sa n t d a n s u n b u dget. E t les friches de B elval ? C ette n o u v e lle "cité" q u i se p ro file d a n s u n h o riz o n p a s si loin tain que ç a , fie rté de la ré h a b ilita tio n ind u trielle d u sud d u pay s? E t les p ersp ec tiv e s des 7 0 0 .0 0 0 h ab itan ts au L u x em b o u rg ? F aut-il y voir, là, des o p p o rtu n ités

p o u r le m a rc h é d e l'im m o b ilie r d 'a f­ fa ire s? C ’est, p o u r l ’h e u re , p e u p ro ­ bable. "M is à p a r t D e xia -B IL q u i a déjà p r é v u d 'y in sta lle r un c en tre a d m i­ n is tra tif, c e s te rr a in s d e B e lv a l se ro n t s u rto u t o c cu p é s p a r d es un i­ v ersité s e t le C R P Tudor, a in si que p a r le s logem ents" ra p p e lle ainsi M a rtin H eyse. P as de quoi, donc, g é n é re r u n e réelle alte rn a tiv e à l'en­ g o rg e m e n t de la s itu a tio n à L u x e m b o u rg si ce n ’est, p e u t-ê tre de so u la g e r le ré sea u a u to ro u tie r en d ire c tio n d e la cap itale , p o u r dép la­ c e r le p ro b lè m e ailleu rs... P itt P irro tte va m ê m e p lu s loin d a n s la réflexion: "A très lo n g term e, j e s u is p r ê t à p a r ie r q u e la fr o n tiè re e n tre E sc h e t L u x e m b o u rg -v ille aura d isp a ru e t que les d e u x v illes sero n t lié e s l ’u n e à l'a u tre e t q u e la transi­ tio n n e sera p lu s percep tib le. On p o u r ra a lo rs en visa g er la cro issa n ce d ’un r é e l p ô le de b u rea u x s u r E sch". L e p ari est p ris ... R endez-vous da n s v in g t-c in q a n s p o u r u n no u v eau débat ? ■

paperjam 03.2003 C O V e f S t O r y

059



paperjam 03.2003

C overstory 061


D

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UNE REALISATION C E S

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PRIME

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s.A.

BUREAUX DIVISIBLES

M™*

j V /E N D R E ■Couard

Tous les projets d'immobilier d'affaires ne vont pas très vite. Témoin, le chantier du quartier de la gare: un trou béant en plein milieu de la ville, ouvert depuis plusieurs années...

062 Coverstory paperjam03.2003


Les projets de la Cloche d'Or sont nombreux, ici ĂŠgalement Les chantiers ne manquent pas...

A ra / 2 0 0 0 m J su rfac es de b u re a u x a lo u er

paperjam03.2003 Coverstory 063


En dépit du ralentissement, certains projets sont livrés et de grandes entreprises en profitent pour redéployer leurs effectifs et optimiser leur gestion immobilière.

i TEMKNOS

LF F O N D S

064 Coverstory

paperJam C

ÄELVAt


Bon nombre de sociétés ont quitté le centre-ville pour s'installer en périphérie. Du coup, de prestigieuses maisons de maître sont vides... no32oo3 Coverstory 065


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paperJam #03.2003

sommaire

b2b only Case study: Logiciels

068 -> Logiciels b an caires:

ap rès l'E u ro , quoi de neuf? L'an 2000 et l'Euro ont constitué deux étapes m ajeures dans les développem ents de logiciels bancaires. M ais l'activité dem eure intense et les nouvelles obligations réglem entaires apportent du pain sur la planche

Case study: Securité C o m m en t v erro u iller v otre systèm e d 'in fo rm a tio n ? 072

A ttaques virales ou m alveillance: les systèmes d'inform ation n'ont jam ais été autant vulnéra­ bles. D'où l'im portance d'une protection proche de la perfection

Supplément Pub & Médias Pour sa 3e édition, le dossier "Pub & M édias" du mensuel paperjam devient un supplém ent à part entière, riche de 132 pages. Galeries thém atiques, guide pratique, portraits de “stars”, descriptif des métiers: un docum ent à conserver, un outil de travail au quotidien...

S u p p lé m e n t P u b & M é d ia s

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B2B Only 067


Logiciels bancaires: après l'Euro, quoi de neuf? -> L'an 2000 et l'Euro ont constitué deux étapes majeures dans les développements de logiciels bancaires. Mais l'activité demeure intense et les nouvelles obligations réglementaires apportent du pain sur la planche. PHOTOS FR É D ÉR IC Dl G IR O LA M O (B L ITZ )

Callataÿ & Wouters Xavier Bontemps, Branch Manager Le passage à l'an 2000 et l'Euro sont 'passés'. Quelles sont les nouvelles pistes de développem ent pour les logiciels ban caires, les nouvelles fonctionnalités? “ E n ta n t q u ’é d ite u r, n o s e ffo rts p o rte n t en p rio rité s u r le s a sp e c ts su iv an ts: les a c c o rd s d e B â le 2 lié s la c o u v e rtu re d e s ris q u e s p a r les fo n d s p ro p re s d e s b a n q u e s , e t le u r a p p lic a tio n à l'h o r iz o n 2 0 0 7 , les n o u v e lle s n o rm e s c o m p ta b le s IA S 3 9 , ain si q u e la d é te c tio n e t la ré p re s s io n du b la n c h im e n t d ’a r ­ g e n t. E n e ffe t, to u s c e s p o in ts a u ro n t u n e in flu e n c e p ro fo n d e su r le s sy stè m e s d ’in fo rm a tio n d a n s les tro is p ro c h a in e s a n n é e s. U n e a u tre

068 B2B Only paperjam 03.2003

é v o lu tio n q u e n o u s s u rv e ille ro n s de p rè s e st la d is tin c tio n c ro is s a n te e n tre le rô le de p ro d u c te u r e t le rô le d e d is trib u te u r d e p ro d u its b a n ­

s ’a g it p a s d ’u n e n o u v e a u té , T h a le r fo n c tio n n a n t en te m p s ré e l: il p e r­ m e t le tra ite m e n t d e to u s le s o rd re s en fu ll STP, e t l ’e x é c u tio n d e s o p é ­

c a ire s. E n ce q u i n o u s c o n c e rn e , la s o u p le s s e d e n o s p ro d u its n o u s p e r ­ m e t d e ré p o n d re d a n s le s d é la is à d e te lle s é v o lu tio n s d u m a rc h é .

ra tio n s in c lu t la m is e à jo u r des d o n n é e s de m a n a g e m e n t (s o ld e s, p o s itio n s d e ris q u e , e tc .).

On parle souvent de l'irruption du 'temps réel' dans le systèm e d'infor­ mation bancaire. Qu'en est-il vérita­ blement? “ L e b e so in d e te m p s ré e l ré s u lte d ’u n e d o u b le e x ig e n c e : d ’u n e p a rt c e lle d u c lie n t q u i s o u h a ite u n tr a i­ te m e n t e t u n e c o n firm a tio n im m é ­ d ia te de ses o p é ra tio n s , e t d ’a u tre p a rt l'a tte n te d u m a n a g e m e n t d e d is p o s e r d e to u s les ta b le a u x d e b o rd n é c e s s a ire s in s ta n ta n é m e n t. P o u r C a lla ta ÿ & W o u te rs il n e

Cap Gemini Emst & Young Gilles Develey, Directeur “ D e u x s u je ts m a je u r s , d o n t l ’é c h é a n c e e st p o s itio n n é e au 1er ja n v ie r 2 0 0 7 , so n t au c e n tre d es p ré o c c u p a tio n s d e to u s le s o rg a ­ n is m e s de c ré d it e t in s titu tio n s b a n ­ c a ire s: IA S e t B âle II. “ B ie n q u e 2 0 0 7 s e m b le é lo ig n é , le s tâ c h e s à ré a lis e r p o u r ré p o n - ->


-> d re d e fa ç o n a d é q u a te a u x o b li­ g a tio n s n o u v e lle s , fo n t a p p a ra ître u n p la n n in g d e m is e e n œ u v re q u i a d é m a rré e n 2 0 0 2 . “ B ien q u e le s a c c o rd s d e B ale II n e s o ie n t p a s to ta le m e n t fin a lis é s , le c a d re e n e s t d é jà la rg e m e n t d é f i­ n i, y rè g le s g u è re te u r s m ie u x

c o m p ris d a n s le d é ta il d e s d e c a lc u l. Il n e s ’a g it p lu s q u e d 'a m é n a g e r le s in d ic a ­ f o r f a ita ir e s a c t u e ls p o u r p re n d re e n c o n s id é ra tio n les

ré a lité s é c o n o m iq u e s . “ B â le II e t IA S o n t e n c o m m u n d e d e v o ir p ro c é d e r à u n e re fo n te en p ro f o n d e u r d e s s y s tè m e s e x is ta n ts e t d e se c o n fo rm e r à d e s o b lig a ­ tio n s s tric te s e n m a tiè re d e r e p o r­ tin g . “ C e s d e u x c o n tra in te s c o n s ti­ tu e n t le s e n je u x p rin c ip a u x d e s

lo g ic ie ls b a n c a ir e s p o u r l ’a n n é e 2 0 0 3 e t p ro b a b le m e n t 2004. B â le II e t IA S o n t d e s im p lic a tio n s , c o m ­ m u n e s o u n o n , p a rm i le sq u e lle s: - la s tru c tu ra tio n d u p o rte fe u ille c ré d it re p ré s e n te la b a se sur la q u e l­ le le s a p p ro c h e s e t m é th o d e s d e c a lc u l r e te n u e s s ’a p p liq u e ro n t. S e lo n les c as, il s ’a g ira d e fa ire u s a g e d e s n o ta tio n s fo rfa ita ire s, o u d u ré s u lta t is su d e s c a lc u ls m e n é s

- le re p o rtin g tel q u e d e m a n d é p a r IA S e t im p o s é p a r B âle II n é c e s s ite la c o n so lid a tio n , d e d o n ­ n é e s p ro v e n a n t d e s y stè m e s d ’in ­ fo rm a tio n e t d e lo c a lisa tio n s d is ­ tin c ts , e t d e p la te fo rm e s in fo rm a ­ tiq u e s h é té ro g è n e s. “ L e s q u a tre a x es d e d é v e lo p p e ­ m e n ts d e s lo g ic ie ls b a n c a ire s sont: e n ric h is s e m e n t d e s é c ra n s d e sa is ie e t s tru c tu ra tio n d e s d o n n é es;

e n in te rn e d e la b a n q u e. - la m a n ip u la tio n d e d o n n é e s

g e s tio n des a p p ro c h e s et m é th o d e s d e c a lc u l (y c o m p ris les

c o m p le x e s e st liée d ’u n e p a rt à la

ta b le s d e n o ta tio n s fo rfa ita ire s) e t in té g ra tio n d ’o u tils d e s im u la tio n ;

g e stio n d e s ris q u e s o p é ra tio n n e ls, e t d 'a u t r e p a r t à l ’o b lig a tio n d ’a g ré g a tio n d e s d o n n é e s p o u r u n

- in te rc o n n e c ta b ilité avec le s o u tils d e re p o rtin g e t d e m a n ip u la tio n de

tra ite m e n t q u o tid ie n . B âle II im p o ­ se q u e to u te s le s in fo rm a tio n s re la ­

d o n n é e s a d ap tés; - in té g ra tio n s ta n d a rd d ’u n E A I

tiv e s a u c o n te x te d ’u n é v é n e m e n t

o ffra n t l ’a c c è s à to u te s le s p la te ­

so ie n t e n re g istré e s.

fo rm e s te c h n iq u e s e t lo g ic ie ls.

paperjam 03.2003

B2B Only (


Real Solutions Anne Thiel, Marketing Manager Le passage à l'an 2000 et l'Euro sont 'passés'. Q uelles sont les nouvelles pistes de développem ent pour les logiciels ban caires, les nouvelles fonctionnalités?

B âle II - n o u v e a u s y stè m e d e c a l­

n o ta m e n t d é v e lo p p é le lo g ic ie l C A F

c u l d es risq u e s, a in si q u e de n o u ­ v e lle s rè g le s de p ro v is io n s d a n s le m ê m e c a le n d rie r q u e l'IA S . C e so n t d o n c d es p ro je ts in d é p e n d a n ts m a is a v ec u n fo r t r e c o u v re m e n t d e

a in s i q u e T r a d e v ie w (T ra d e w a re T e c h n o lo g y ) “ L e lo g ic ie l q u e n o u s p ro p o s o n s, V estor, v is e à in d u s tria lis e r le s p ro ­ c e s s u s d e g e stio n d 'a c tifs , to u t en

c a le n d r ie r e t v r a is e m b la b le m e n t d e s p o in ts d ’ad h éren c e .

p e rm e tta n t u n n iv e a u d e p e rs o n n a li­ s a tio n q u e ne p e u v e n t o ff rir le s

“ L e 1er ja n v ie r 2 0 0 5 , to u te s les e n tre p ris e s c o té e s d e v ro n t a p p li­ quer le s n o rm e s IA S /IF R S ( I n te r n a tio n a l A c c o u n tin g

On parle souvent de l'irruption du 'temps réel' dans le systèm e d'infor­ mation bancaire. Qu'en est-il vérita­ blement?

S ta n d a rd s / In te rn a tio n a l F in a n c ia l R e p o rtin g S ta n d a rd s ) d e p ré s e n ta ­ tio n d es c o m p te s c o n so lid é s . A u d e là d ’u n e ré fo rm e c o m p ta b le , c es n o rm e s c o n s titu e n t u n e v é rita b le ré v o lu tio n en m a tiè re d e c o m m u n i­ c a tio n fin a n c iè re . L e s s tra té g ie s

“ Il n e s 'a g it p lu s d ’irr u p tio n ta n t c e tte a p p ro c h e d u S traig h T h ro u g h P ro c e s sin g e st c o n n u e e t in té g ré e d a n s to u t ce qui e s t n o u v e a u x d é v e ­ lo p p e m e n ts d an s le s sy stè m e s b a n ­

d 'e n tr e p r is e , les o rg a n is a tio n s, les p ro c e s s u s e t é v id e m m e n t le s s y s ­ tè m e s d ’in fo rm a tio n s o n t im p a c té s. R e a l S o lu tio n s , q u i a to u jo u r s a c c o m p a g n é se s c lie n ts d u ra n t les d iffé re n te s g ra n d e s ré fo rm e s r é g le ­ m e n ta ire s, se m o b ilis e d e n o u v e a u p o u r c e s p ro je ts . Il la n c e l ’a d a p ta ­ tio n d e se s o ffre s en C o n se il et in té g ra tio n d e sy stè m e s e t fa it é v o ­ lu e r se s so lu tio n s p ro g ic ie lle s. “ R eal S o lu tio n s tra v a ille a u jo u r­ d ’h u i a c tiv e m e n t s u r la c ré a tio n d ’u n m o d u le p e rm e tta n t d e g é re r c e tte p ro b lé m a tiq u e . C e m o d u le e st d é v e lo p p é e n c o lla b o ra tio n av ec tro is b a n q u e s ain si q u e d e s c o n s u l­ ta n ts e x p e rts en la m a tiè re . C e m o d u le s u p p lé m e n ta ire in c lu t les ro u tin e s d e c a lc u ls re la tiv e s a u x p ro d u its f in a n c ie rs s ta n d a rd s d u m a rc h é lu x e m b o u rg e o is ( o b li g a ­ ta ire s , SW AP, 1RS, ...) . L e m o t d ’o rd re e s t l ’A U T O M A T IS A T IO N d e s p ro c é d u re s d e ré é v a lu a tio n de fin d e p é rio d e d e s p rin c ip a u x é lé ­ m e n ts fin a n c ie rs . “ 11 e st im p o rta n t d e n o te r q u e c e tte so lu tio n p o u rr a ê tre u tilis é e e n c o m p lé m e n t d e l ’e n se m b le d es a p p lic a tifs b a n c a ire s e x is ta n ts su r le m a rc h é . “A fin d e p e rm e ttre le s c o m p a ­ ra is o n s au 1er ja n v ie r 2 0 0 5 , l'in fo r­ m a tio n fin a n c iè re d e v ra ê tre d is p o ­ n ib le au x n o rm e s IA S d è s 2 0 0 4 . C e la c o n stitu e u n v ra i d é fi p o u r les e n tre p ris e s , n o ta m m e n t p o u r les b a n q u e s q u i d o iv e n t m e ttr e en o e u v re s im u lta n é m e n t d 'a u tr e s ré fo rm e s ré g le m e n ta ire s te lle q u e

070 B2B Only

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c a ire s , e t c e d e p u is p lu s ie u r s a n n é e s. A u ssi, la n o u v e lle v e rs io n d e n o tre a p p lic a tio n b a n c a ire IB S Y q u i s o rtira c o u ra n t 2003 a é té to ta ­ le m e n t ré é c rite d a n s ce sen s. “ En p lu s d ’in té g re r d e n o u v e lle s fo n c tio n s , la n o u v e lle v e rs io n a é té a d a p té e et a m é lio ré e d a n s sa to ta li­ té. E lle se ra u n e s o lu tio n fu ll S T P fo n c tio n n a n t e n te m p s ré e l. L a n o u ­ v e lle a p p lic a tio n p e rm e t n o ta m ­ m e n t un tra ite m e n t d es o rd re s en te m p s réel e t le s p o s itio n s c lie n ts so n t m ise s à jo u r e n u n e seu le é ta p e. D e p lu s en p lu s d ’a u tre s é lé ­ m e n ts fo n c tio n n e n t a u jo u rd 'h u i en te m p s ré e l. O n p e u t c ite r le s d o m a in e s d e l ’O u tp u t m a n a g e m e n t, d e l ’a rc h iv a g e , l ’e B a n k in g , ...

Sapiens Tech Philippe Draguet Business Development Manager S a p ie n s T e c h e s t u n e je u n e s o c ié té , in s ta llé e a u T e c h n o p o rt S c h la s s g o a rt. E lle p ro p o s e d e s s o lu tio n s lo g ic ie lle s in n o v a n te s p o u r to u te s in s titu tio n s fin a n c iè re s c o n fro n té e s à la g e stio n d e p o r te ­ fe u ille s d 'a c tio n s p o u r c o m p te de tie rs o u p o u r so n p ro p re c o m p te . Présentez-nous rapidem ent la socié­ té Sapiens Tech. "S i la s o c ié té e s t je u n e , e lle c o m p te p lu s ie u rs d iz a in e s d 'a n n é e s d a n s le d o m a in e d e la fin a n c e e t de la te c h n o lo g ie . L e fo n d a te u r d e la s o c ié té , P h ilip p e G o n z e , a u n e e x p é rie n c e d a n s le lo g ic ie l b a n c a ire qui re m o n te au x a n n é e s 80. Il a

fo n d s c o m m u n d e p la c e m e n t. C e tte in d u s tria lis a tio n n 'e s t p a s un b u t en so i. E lle a p o u r b u t d e m o d if ie r la p ro f ita b ilité d e s m é tie rs d e g e stio n , e n in flu a n t s ig n ific a tiv e m e n t à la fo is le r e tu r n o n a s s e t e t le s e x p e n s e s o n a sse t. “ V e sto r u tilis e la lo g iq u e flo u e p o u r u n e m e ille u re c la s s ific a tio n d e s in s tru m e n ts fin a n c ie rs , e t p ro ­ p o s e u n m o d è le n o u v e a u d e re p ré ­ s e n ta tio n s de l'e x p e rtis e d e g e stio n . C e m o d è le d é b o u c h e su r u n p ro c e s ­ s u s d e d é c is io n fo rte m e n t a u to m a ti­ sé."

Vous ne vous p résen tez donc pas com m e concurrent avec les autres logiciels bancaires? "N o n . N o u s s o m m e s c o m p lé m e n ­ ta ire s . N o u s p o u v o n s n o u s in te rfa c e r av ec n 'im p o rte q u e lle a u tre s o lu ­ tio n d u m a rc h é , q u e lle q u 'e lle soit. N o u s a v o n s d é v e lo p p é le lo g ic ie l en J a v a , s u r d e s s ta n d a r d s o u v e rts , n o u s p a rio n s s u r la c o m p lé m e n ta ri­ té ." Vous êtes une jeun e entreprise. Où en est le produit? "N o u s c o m m e rc ia lis o n s a u jo u r­ d 'h u i u n p ro d u it fin i. Il e s t im p la n ta b le im m é d ia te m e n t, o n p e u t l'a d a p te r a u x s y stè m e s e x is ta n t c h ez le s d iffé re n ts c lie n ts. N o u s a u ro n s c e r ta in e m e n t d e s d é v e lo p p e m e n ts s u p p lé m e n ta ir e s à f a ire c h e z le c lie n t, p o u r lu i p ro p o s e r d e s fo n c ­ tio n n a lité s p ro p re s , m a is é g a le m e n t e n r a jo u ta n t d e s p a ra m è tre s p o u r in flu e n c e r e t m ie u x p e rs o n n a lis e r la d é c isio n ." On dem ande de plus en plus de tem ps réel, dans les systèm es d'inform a­ tio n ... "V e sto r fo n c tio n n e en te m p s ré e l. 11 c o lle c te le s d o n n é e s d u m a rc h é e t le lo g ic ie l ré a g it e n te m p s ré e l a u x é v o lu tio n s d u m a rc h é d e m a n iè re é v é n e m e n tie lle o u b ie n , à un m o m e n t e t avec u n e m a n iè re a d a p ­ té e à c h a q u e c lie n t." *


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-> Attaques virales ou malveillance: les systèmes d'information n'ont jamais été autant vulnérables, D'où l'importance d'une protection proche de la perfection, PHOTOS FR É D ÉR IC Dl G IR O L A M O (B L ITZ )

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Datacenter Xavier Buck, Directeur général S u r q u e lle s b a s e s se c o n s tr u it u n e b o n n e p r o te c tio n d 'u n s y s tè m e d 'in fo r m a tio n ? L a te c h n o lo g ie , la fo r ­ m a tio n , ... ?

“Dans le cadre d'une entreprise ayant un système d'information au cœur de son activité quotidienne, la première des protections est la formation des salariés à une connaissance minimale de la sécurité quotidien­ ne de son ordinateur de travail (virus par fichiers atta­ chés, mots de passe protégés, destruction de docu­ ments confidentiel, etc). “Ensuite viennent les compétences de l'administra­ teur systèmes et réseau (s'il en existe), qui auront la charge de la sécurisation du système d'informations par la mise à jour des OS (systèmes d'exploitation), la mise en place de backup, la maintenance des serveurs.

des firewalls et la mise en place de systèmes de vérifi­ cation d'intégrité des données (HIDS et NIDS). “La technologie n'est qu'un outil à la sécurisation d'un système d'information, la plupart des alertes de sécurité rencontrés sont le fait d'erreur humaine (erreurs de programmation, de configurations, de maintenances et de respect des processus de sécurisa­ tion). “La formation, n'intervient que dans le cas ou l'en­ treprise désire acquérir des nouvelles technologies, qui ne sont pas encore maîtrisées par l'administrateur sys­ tème et réseau, pour acquérir de nouveaux marchés ou de permettre de développer l'activité de l'entreprise. Q u e l ty p e d 'a tta q u e r isq u e -t-o n d e v o ir a p p a r a îtr e ou se d é v e lo p p e r fo r te m e n t au c o u r s d e c e tte a n n ée 200 3 ? P e u t-o n im a g in e r d e 'n o u v elles' fo r m e s de v ir u s ou d 'a tta q u e s in fo r m a tiq u e s ?

“Suivant l'ambiance actuelle du milieu des "Black Hats" et l'émergence de nouveau outils permettant -> paperJam 03.2003

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-> l'amélioration de la communication au sein de l'en­ treprise, les futurs attaques pourraient se porter sur les messageries instantanées, telles que ICQ, MESSEN­ GER, AIM. Au niveau des serveurs, Linux sera sûre­ ment la prochaine proie des virus, comme nous l'avons vu cette année avec l'émergence des premiers "Worms" Linux. Pour ce qui en est des virus et failles de sécurité Windows... l'habitude est prise! En tout cas, vu la radicalisation des positions des gouverne­ ments sur la sécurité informatique (Lois sur la sécuri­ té quotidienne en France, lois américaines sur les peines encourues par les hackers), il faut prendre en compte une radicalisation égale des attaques informa­ tiques.

second factor, assum ing a serious attack w ill only occur from outside. Once you have analyzed and understood these potential threats, it is very im por­ tant to design the appropriate defence strategy (cost vs. benefit) and to im plem ent an escalation and m itigating plan in case you are being com prom ised by an attack or virus. Technology will becom e more and m ore reliable and secure, but the attacks will also becom e m ore com plex. It is crucial to keep agile and vigilant to your security policies and sys­ tem s and review then on a regular basis. W hat is secure today, may not be secure tomorrow.

Real Solutions Philippe Cayphas, Senior Security Engineer, responsable de REAL Protect.

Microsoft Sabine van den Hove Back Office Manager

S u r q u e lle s b a s e s se c o n s t r u it u n e b o n n e p r o t e c ­ S u r q u e lle s b a s e s se c o n s t r u it u n e b o n n e p r o te c ­

tio n d 'u n s y s t è m e d 'in f o r m a t io n ? L a t e c h n o lo ­

tio n d 'u n s y s t è m e d 'in f o r m a t io n ? L a te c h n o lo ­

g ie , la f o r m a t i o n , ... ?

g ie , la f o r m a t i o n , ... ?

“A good security is based on three key pillars: People, processes and Technology. Security is fun­ damentally a m indset that needs to be adopted and adhered to in everything people do, e.g. not leave confidential inform ation at the printer in the office. To help people to operate in this m indset, every company needs a security officer that has received the executive m andate to enforce the security poli­ cy throughout all levels in the company. For your IT systems, you need to adapt the 'defense in-depth strategy, where you build m ultiple layers o f securi­ ty after another to form a cohesive security envi­ ronm ent w ithout a single point o f failure. Your IT S taff needs to be adequately trained on security by design (i.e. when they design an application or net­ work infrastructure), secure deploym ent (when they deploy the application or infrastructure) and secure operations (this is where they review the defence in depth strategy based on new threats).

“Une bonne protection d ’un systèm e d ’inform a­ tion n ’a de sens que si les bases sur lesquelles il est sécurisé sont clairem ent identifiées. Selon nous, il faut avant déterm iner le risque couru en fonction des données qui s ’y trouvent. Une étude de risque est donc incontestablem ent la prem ière étape. Le résultat de cette étude perm ettra de d éfinir la tech­ nologie et les procédures pertinentes pour le systè­ me. Ces techniques et procédures sont diverses. Les m aîtres-m ots en sont : anti-virus, firew alls, détec­ tion d ’intrusion, PKI, authentification, encryption, standards (C ritères EAL, ISO 17799). “Une fois le systèm e sécurisé, il conviendra de le garder à niveau. La gestion et le suivi quotidien des vulnérabilités liées à l ’environnem ent sont donc indispensables. En outre, nous rem arquons que la délégation de la gestion de la sécurité est actuelle­ m ent la voie que choisissent la m ajorité des entre­ prises. Q u e l t y p e d 'a t t a q u e r is q u e - t - o n d e v o ir a p p a ­

Q u e l ty p e d 'a t t a q u e r is q u e -t- o n d e v o ir a p p a ­

r a îtr e o u se d é v e lo p p e r f o r t e m e n t au c o u r s d e

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c e t te a n n é e 2 0 0 3 ?

c e t te a n n é e 2 0 0 3 ? P e u t -o n

v e lle s ' f o r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a ­

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v e lle s ' fo r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a ­

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tiq u e s ?

t iq u e s ?

“As IT system s evolve, so do the security threats they face. I f you are going to protect your environ­ m ent effectively against attack, you need a tho­ rough understanding o f the dangers you are likely to encounter. W hen identifying security threats, you should consider two m ain factors: 1) The types o f attacks you are likely to face, and 2) W here those attacks may occur. M any organizations neglect the

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“La m ajorité des attaques réussies proviennent de quelques vulnérabilités des systèm es d ’exploita­ tions ou des applications. Celles-ci sont souvent connues depuis longtem ps, m ais l ’adm inistrateur du systèm e n ’a pas appliqué les m odifications néces­ saires. N ous ne pensons pas que de nouvelles form es d ’attaques inform atiques verront le jour. Pour 2003, on peut prévoir par contre que les inci­ dents déjà connus tels que le piratage de sites ->


Vous rencontrez des difficultés pour déceler les intrusions et autres problème^ de sécurité? /

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-A am éricains et européens en réaction à leur poli­ tique actuelle ou des attaques m assives en déni de service des sites com m erciaux se m ultiplieront. L’utilisation d 'In tern e t par les clients des banques pourrait aussi conduire à de nouveaux types de "hold up" en ligne.

des faiblesses pas encore exploitées. Aussi para­ doxal que cela puisse paraître, 90% des virus qui sont créés utilisent des faiblesses connues et non traitées!

Sym antec______ S u r q u e lle s b a s e s s e c o n s t r u it u n e b o n n e p r o te c ­ tio n d 'u n s y s tè m e d 'in fo r m a tio n ? L a te c h n o lo g ie ,

Securewave

la f o r m a t i o n , ... ?

Gérard Lopez, CEO S u r q u e lle s b a s e s s e c o n s t r u it u n e b o n n e p r o te c ­ tio n d 'u n s y s t è m e d 'in f o r m a t io n ? L a t e c h n o lo ­ g ie , la f o r m a t i o n , ... ?

“Pendant longtem ps les investissem ents dans le dom aine de la sécurité se sont concentrés sur la périphérie, c'est-à-dire sur la protection des "Digital Assets" contre des attaques venant de l'extérieur. Le résultat est loin d'être satisfaisant par rapport aux investissem ents entrepris. L 'idée de 2002 CSI/FBI qui a eu p our population 500 sociétés a m ontré que celles-ci quoi qu'ayant investi de façon im portante dans la sécurité avaient perdu presque 1,5 m illiards de dollars U S sur 72 m ois du à des problèm es de sécurité inform atique, ce qui en moyenne fait une perte de 150.000 dollars US par m ois et par socié­ té! L'autre statistique révélatrice d'un problèm e est que 70% de ces coûts étaient liés à des risques internes et non pas à des pirates se trouvant en dehors du réseau. “Ainsi pour Securewave, une bonne protection se résum e en deux mots: Intrusion Prevention. Il s'agit de détecter l'utilisation des applications (ex: trojans, virus) non connues ou non autorisées, et de gérer de m êm e façon les périphériques en protégeant de l'ex­ térieur com m e de l'intérieur. Ce changem ent de paradigm e perm et à Securewave d'avoir aujourd'hui plus de 200.000 m achines protégées à travers le monde dans plus de 150 clients allant d'institutions financières aux adm inistrations m ilitaires. Q u e l ty p e d 'a t t a q u e r is q u e - t - o n d e v o ir a p p a ­ r a îtr e o u s e d é v e lo p p e r fo r t e m e n t au c o u r s d e c e t te a n n é e 2 0 0 3 ?

P e u t -o n

im a g in e r d e 'n o u ­

v e lle s ' f o r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a ­

“Une bonne protection d ’un systèm e d ’inform a­ tion se construit sur une com binaison de form ation et de technologie. “Les utilisateurs, tant professionnels que particu­ liers, doivent être conscients du fait que les systèm es d ’inform ation sont soum is à des m enaces crois­ santes et de plus en plus complexes venant de toutes parts. “Pour les sociétés, il est important de protéger le réseau au niveau du gateway, du serveur et des PC des utilisateurs finaux. La m eilleure protection contre les attaques com plexes d ’aujourd’hui consis­ te en l’application de 'best practices', en com binai­ son avec des solutions de protection avancées et intégrées. “ Pour les consom m ateurs, l ’apparition des menaces com binées ( ‘Blended T hreats’) telles que Nimda et Klez, rend l’utilisation d ’un firewall, en complément d ’un antivirus, de plus en plus néces­ saire. Avec les solutions de détection des intrusions, de nom breuses m enaces com binées sont intercep­ tées avant q u ’elles ne puissent causer le moindre dégât. Q u e l ty p e d 'a t t a q u e r is q u e -t- o n d e v o ir a p p a ­ ra îtr e o u se d é v e lo p p e r fo r te m e n t au c o u r s d e c e t te a n n é e 2 0 0 3 ? P e u t -o n im a g in e r d e 'n o u v e lle s ' fo r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a tiq u e s ?

“ Sym antec estim e que les Blended Threats reste­ ront provisoirem ent la première cause de dégâts pour les systèm es d ’information. A plus long terme, il faut s ’attendre à ce que les appareils portables tels que les PDA et les Pocket PC seront de plus en plus attaqués. Ce m arché va continuer à se développer avant de capter, à grande échelle, l ’intérêt des pro­ gram m ateurs néfastes et des hackers.”

tiq u e s ?

“En term e d’attaques ou de risque, la plupart des statistiques oublient les utilisateurs internes d'une société, les em ployés donc, qui représentent 70% des coûts liés à un problèm es de sécurité inform a­ tique. C eux-ci doivent être gérés de façon beaucoup plus efficace. A u-delà de cette problém atique peu traitée les nouveaux risques, seront au niveau des virus, les virus hybrides et surtout ceux qui utilisent

Telindus M. Candi Carrera, Responsable de CF6 Luxembourg S u r q u e lle s b a s e s s e c o n s t r u it u n e b o n n e p r o te c ­ tio n d 'u n s y s t è m e d 'in fo r m a tio n ? L a t e c h n o lo ­ g ie , la f o r m a t i o n , ... ? ->

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-> “ La prem ière chose à régler, c ’est de connaître la valeur de l ’inform ation à protéger car, suivant son niveau de sensibilité, elle nécessitera plus ou m oins de m esures de protection. L’im portance d ’une inform ation se défin it suivant le niveau de confidentialité, le besoin de disponibilité et d ’in­ tégrité souhaité. “Un aspect fondam ental de la sécurité est l ’or­ ganisation et les procédures autour des différentes m esures de sécurité. Très souvent, on néglige les aspects organisationnels, pensant que le firew all q u ’on place devant Internet va protéger la société contre tout type de problèm e. Ce cliché est dû au fait q u ’au jo u rd 'h u i, on parle trop des dangers en relation avec In ternet alors que pour une société, Internet ne représente q u ’une partie du danger. “Le fait de sensibiliser et de responsabiliser tous les utilisateurs et surtout le m anagem ent sur les im pacts q u ’un incident peut avoir, perm et sou­ vent de débloquer les ressources financières et hum aines nécessaires. G râce à cette attribution de ressources spécifiques, les aspects de sécurité peuvent être traités de façon proactive. “ Par ailleurs, a u jo u rd ’hui, beaucoup trop de sociétés d é p en sen t des som m es considérables dans des d isp o sitifs de c ontrôle. C ependant, quelque soit le nom bre de dispositifs installés, ils ne seront d ’aucune utilité s ’ils ne sont pas correc­ tem ent configurés depuis le début (prévention d ’intrusion).” Q u e l ty p e d 'a t t a q u e r is q u e - t - o n d e v o ir a p p a ­ r a îtr e ou s e d é v e lo p p e r f o r t e m e n t a u c o u r s d e c e tte a n n ée 2 0 0 3 ?

P e u t -o n im a g in e r d e 'n o u ­

v e lle s ' f o r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a ­ tiq u e s ?

"D u fait de la prolifération d ’accessoires tel que GSM , PDA et autres dans le m onde professionnel, en 2003 on risque de voir le développem ent d ’at­ taques visant leur fonctionnem ent au sein des réseaux m obiles. A ctuellem ent les différents élé­ m ents pour lancer une attaque à grande envergure ne sont pas encore consolidés. En 2003, un g rou­ pe de personnes arrivera probablem ent à assem ­ bler les pièces du puzzle.”

Ubizen M. Axel Pierard Director Sales & Marketing S u r q u e lle s b a s e s s e c o n s t r u it u n e b o n n e p r o te c ­ tio n d 'u n s y s t è m e d 'in f o r m a t io n ? L a t e c h n o lo ­ g ie , la f o r m a t i o n , ... ?

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“Toute société se doit en prem ier lieu de définir une politique de sécurité à l'échelon de l'entreprise. Cette politique sera définie d'une part en fonction des actifs que la société désire protéger, et d'autre part en fonction de son exposition potentielle, c'està-dire suivant son m ode d'ouverture vers le m onde extérieur et des applications m ises à disposition de ses clients et partenaires. “Cette politique de sécurité se déclinera en une architecture de sécurité. M ais ce n'est qu'une fois la solution de sécurité im plém entée que la tâche la plus critique dém arre: le m onitoring et le m anage­ ment en tem ps réel et continu (24x7x365) de cette solution. A fin d'assurer cette tâche critique, sans m obiliser une équipe de techniciens en interne, Ubizen a im plém enté au Luxem bourg, ses services U bizen O nlineG uardian: un Security O peration Center effectue, à distance, le m onitoring et le m an agem ent de la sécurité de ses clients Luxem bourgeois, en conform ité avec les exigences du CSSF.” Q u e l ty p e d 'a t t a q u e r is q u e - t - o n d e v o ir a p p a ­ r a îtr e o u se d é v e lo p p e r f o r t e m e n t a u c o u r s d e c e t te

an n ée 2003?

P e u t -o n

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v e lle s ' fo r m e s d e v ir u s o u d 'a t t a q u e s in f o r m a ­ tiq u e s ?

“En 2003, les attaques deviennent de plus en plus sophistiquées et donc plus dangereuses. L es virus sont de plus en plus vicieux et se propagent par des canaux différents, afin de contrer les efforts de sécurité m is en place sous form es de firew alls, sys­ tème de détection d'intrusion, anti-virus, ... “Les arm es utilisées par les hackers se propagent efficacem ent sur Internet, dès lors que les solutions traditionnelles de défenses citées ci-dessus devien­ nent insuffisantes. Les firew alls sont insuffisants car ils n'assurent qu'une protection au niveau des protocoles de réseau tels que TCI/IP. De plus, tout comm e les systèm es de détection d'intrusion, les firew alls sont aveugles dans le cas de traffic SSL encryption. A insi de nouvelles form es d'attaque apparaissent à un autre niveau, celui des applica­ tions. Les hackers s'attaquent aux applications web en exploitant leurs lacunes au niveau de leur sécuri­ té afin d'en prendre la main. “Pour répondre à ce nouveau type d’attaque, Ubizen a mis au point une solution dénom m ée U bizen D M Z /Shield E nterprise. C ette solution assure une sécurité au niveau m êm e de l'applica­ tion. U bizen D M Z/Shield E nterprise offre ainsi un niveau supplém entaire de sécurité. Tout com m e les autres systèm es de protection et de détection, U bizen D M Z/Shield peut être m onitoré à distance et en continu, à p artir de Luxem bourg, par les ser­ vices U bizen O nlineG uardian.” ■


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paperjam 03.2003

Time Off 079


index Index des entreprises et institutions citées 186 entreprises, organisations et institutions citées dans cette édition. Les annonceurs sont signalés en gras. Entreprises et institutions

no. de pages

3C o m

33

A ABBL A jilo n A lm a the a C o n su ltin g A n g lo A m e rica n A O N -S in se r A p p le A rb ed A rc e lo r A rch an d H olding A ria n e so ft A rtlin e A stra A tis Real A P M L uxe m b ou rg A tis R eal A u g u ste -T h o u a rd A tris Real A P M B e lg iu m A u d io lu x A 'V e n u e International

25 39 26 52 52 33 57 22, 26, 55 52 47 46 27 26 26 26 22 43

B B an k o f N ew -Y ork 56 B anque D egroo f L uxe m b ou rg 22, 23, 3 2, 57 B anque e u ro p ée n ne d 'in v e s tis s e m e n t 57 B an q ue F ortuna 30 BCEE 1 9 ,5 7 BCL 24 B ertelsm ann 20 B G L Inve stm e nt P artn e rs 22 B ice R istorante 48 B ou rse de L uxe m b ou rg 22, 32 B ritish Telecom 56 B ureau m oderne 48

c C a ctus C a lla ta ÿ & W o u te rs C anal S atellite C a n a l* Te chn o log ie s C a no n C a p G em ini E rn st& Y oung C a ves B e rn a rd -M a ssa rd C egecom C e ge d el

29 6 8 , 83 27 27 34 68 23 33 22

C e ntre de Techn o log ie d e l'E d uca tion 20 CFL 22, 27 C isco 3 3 ,3 4 C itro ë n 84 C le a rstre am C m i C rea tive C o m m u n ica tio n C O LT Telecom

23, 55, 56 47 26

Com ed C o m ité de B âle C o m ité de co n jo n ctu re C o m m ission d e s L o ye rs C o m m ission e u ro p é e n n e 20, C o m m ission n atio na le d e s p ro gra m m es C o m X pe rts C réd it E uropéen C R P Henri T u d o r CSSF

48 30 25 56 21 16 47 57

20, 59 24

D Dal Notaro

81

D a tace nte r D e be lu x A ud it D e ca u x

73 27 66

Dell D e lo itte & Touche D exia D e xia -B IL D G Z -D eka ba n k

083 Index

paperjam 03.2003

34 19, 56, 57 23 3 9, 52, 59 22

D -Link D TZ

35 52

E eBRC E da ta B elgium E le ctrolu x EMC E pson E rn st & Young E ta t lu xem bo u rg eo is E urelux E urope O nline

52 28

22 22, 35 35, 36 23, 30

E uro-S u isse A u d it L u xe m b ou rg E utelsat

55 55 27 27 27

E xtrem e N e tw orks

29

F F5 N etw orks 29 Fa rve st 25 Fidu ciaire S uisse L u xe m b ou rg 27 F o ire s Internationales à L u x e m b o u rg 53

G 15 20 56

G o lf New s G ro up e G B L G TS

H H igh Tech C onsu ltin g H ita chi D ata S yste m s H o chtie f HP HRC HVB

22 21, 28 52 28 14 23

i Industrial C o m m e rcial B an k o f C h in a 56 Info tech niqu e 47 ING R eal E state 56 Inling u a 18 Inte rn atio n al C ity M a g azin e 15 Inte rn atio n al E xecu tive S ea rch G ro up 14 Internet S e cu rity S yste m s 35 Iom eg a 3 6 ,3 7 IP L uxem bourg 28 IT S o lu tio n s 15

j Jo bs.lu Jo ne s Lang LaS a lle JP M organ

14 52 57

K K ne ip C o m m u n ica tio n s K PM G K re die tba n k L u xe m b ou rg K re m e r A ssociés & C liffo rd

56 23 22 52

L La L u x e m b o u rg e o is e Le F oyer Le R elais G o u rm a n d Lexm ark Loye ns& L oe ff Lucid i't' L u x a ir Luxe m b ou rg B usine ss Luxe m b ou rg N e w s L uxe m p art LuxIS

46 22 81 36 52 36 4, 29 15 15 22 47

M M atrix C onsu ltin g M aza rs M e rce d es C afe M ichel L e m o ig n e M icroso ft M ikado P ublicis

5 27 81 76 74 48

M illico m In te rn a tio n a l C e llu la r 22, 24 M in istè re d e s T ra v a u x p u b lics 24 M o b ilu x 48 M o nste r.lu 2 6 , 39 M o vie s 54 M u lti M e d ia B u sin e ss T ra in in g C o u rse 18

N N a s h u a te c

33

N e w tec N issan

27 38

o O d ysse y A sse t M a n a g e m e n t O p tiq u e M o itzh e im O z d e Z ig n

55, 56 48 46

p P & T L uxe m b o u rg p a p e rJa m P ol W irtz & P a rtn e rs P re m ie r Life

22, 25, 26 10 14 57

P ro p e rty P a rtn e rs -H e a le y & B a k e r P rosun Pw C Pw C A c a d e m y

52 48 57 5

R Real S o lu tio n s R e dB u s In te rh o u se R e na u lt R obe d e s C h a m p s

2 7 , 7 0 , 7 1 ,7 4

R o w la n d s In te rn a tio n a l R TL G ro u p

56 48 79 29 20, 22

s S a c re d H eart U n iv e rs ity S am su n g S a p ie n s Tech S e cu re w a ve S ES A stra S E S G lo ba l S ie m e n s S ote g S o u rce s R o sp o rt S ta te S tre e t B an k S ta te S tre e t C o rp o ra tio n S T M ic ro e le c tro n ic s S un S u n M ic ro s y s te m s S U S E L inu x S ym a n te c

54 37 28, 3 7, 3 8, 70 77 27 22 2 2 ,2 5 20 29 55 26 27 28 8, 34 38 77

T Ta ngo T ango S u n sh in e T ango T V T D K In te rn atio n al T ele2

2 1 6 ,2 8 28 29 16

T e lin d u s Te m p o T h o m so n T o y o ta

75, 7 7 46 27 17

T re e Top

46

u U b ize n U to p o lis

2 9 ,7 8 28

V V a illa nt V ia so lu tio n s

20 28

V orso rg e L e b e n sve rsich e ru n g

55

w W all S tre e t J o u rn a l E urop e W e b m e th o d s W o rld C o m

25 38 56


Restaurant La Robe des Champs

Pour les beaux yeux de monalisa L a v é e , b r o s s é e , p a s s é e a u fo u r d a n s so n p lu s s im p le é lé m e n t. A L a R o b e d e s C h a m p s , la v e d e tte e s t u n e p o m m e d e te r r e . D a n s un d é c o r c h a le u r e u x , la m o n a lis a p r o u v e c h a q u e jo u r q u e la c u is i­ n e e s t a v a n t to u t u n e a ffa ir e de s im p lic ité .

Il ne faut pas confondre Mona L isa et m onalisa. L’une est la vedette du Louvre où les specta­ teurs défilent pour adm irer son portrait sous les traits de La Joconde. L’autre est la star du res­ taurant La Robe des Champs où les gourm ets se pressent pour la déguster. Entre la peinture de Vinci et la pom me de terre, Doris M ontornes a vite choisi celle qu’elle préférait. 11 y a dix ans, elle ouvrait à Strasbourg un restaurant dont la pomme de terre cuite en robe des champs serait la vedette. Lille, Metz et Luxembourg (depuis mai 2001) sont nés depuis. A La Robe des Champs, on ne m ange que des m onalisa, cette “patate” à peau et à chair jaunes qui se tient très bien à la cuisson. Dans la monalisa, on mange tout, aussi bien sa peau croquante et si riche en vitam ines que sa chair aussi moelleuse que goûteuse. Un produit à la fois diététique et bio auquel La Robe des Cham ps redonne ses lettres de noblesse. Des recettes de sa grand-mère, Doris Montornes a gardé la sim pli­ cité et l’authenticité. Une seule et belle assiette pour une vingtaine de

recettes où la monalisa fait la belle au milieu des produits du terroir : Ventrèche séchée au poivre, sau­ cisse de Morteau, boudin du Pays basque au pim ent d ’Espelette, anchois de Collioure marinées à l’huile d ’olive... Sans oublier le canard (gésiers confits, magrets fumés, cuisses confites ou foie gras) ou le from age (bleu d ’Auvergne, Camembert, Munster, Reblochon, Maroilles, C om té...)

La monalisa, cuite au four, est la vedette de toutes les assiettes com ­ p o sé es du restaurant La Robe des Champs

Le soleil et la... terre Dans cette cuisine qui rigole et qui régale, parce qu’elle est celle de nos grands-mères, les desserts rap­ pellent les dim anches d ’antan: crème brûlée, crumble aux fruits, tarte Tatin, fromage blanc battu, gâteau noir sur crème anglaise... Idem pour la cave où les petits pro­ ducteurs régionaux sont en vedet­ te. On sert au verre, au pichet (25 ou 50 cl) et à la bouteille des vins de qualité à des prix simples. Trom pe-l’œil aux murs, bou­ gies, miroirs, lustres abondamment décorés..., il faut avoir l ’œil, et le bon, en plus de son coup de four­ chette, pour ne m anquer aucun détail. Dans cette ambiance aussi réjouissante que reposante, La Robe des Champs se met en quatre, y compris pour les sociétés qui voudraient y fêter leur fin d ’année (repas complet autour de la carte pour 30 à 50 euros). « Nous avons envie de faire plaisir », dit sobrement Raphaël Pozzi,

le fils de la maîtresse de maison. La Robe des Champs se veut donc un endroit chaleureux, convivial, familier, familial. « Le jaune et le bleu rappellent le soleil et la terre de la Provence. Comme dans une maison, nous avons une partie salle à manger, mais aussi un petit coin et une terrasse. Nous souhaitons que notre restaurant soit avant tout une maison pour nos clients », explique Raphaël Pozzi. Puisqu’il fait bon se sentir chez soi, en mangeant de bons petits plats, nul doute que La Robe des Champs soit une adresse de choix.

La Robe des Cham ps 140, bou levard de la P étru sse L uxem bourg-G are Tel. (352) 26 48 04 45 H eures d ’ouverture : 111,30-140 et 181,30-231, Jours de ferm etu re : sam edi m idi e t dim an ch e tou te la jo u rn ée


Les prochains paperJam 04/2003

DOSSIER: Solutions IT pour le secteur financier L a finance est un secteur u tilisant au m axim um les capacités des sy s­ tèm es d'inform ation. Q ue ce soit p o u r la personnalisation des offres, l'analyse de données sur une entreprise ou la protection des données, les banques, assurances et autres se doivent d'être à la pointe. Q uels sont les prestataires? Q uelles sont les solutions? Parution: 13.03.2003

-

R éservation s p u blicitaires: 21.02.2003

05/2003

DOSSIER: Télécoms au Luxembourg C om m e les deux dernières années, p ap erjam propose un grand dossier télécom s. Ce dossier est l'occasion de faire le point sur le secteur, les nouvelles pratiques, les nouveaux acteurs, les prom esses tenues et

paperJam pendant 1 an, c'est 1 0 numéros, 1 supplément et 1 hors-série pour 40 Euro l ex em p laire p a r m o is S o it u n e ré d u c tio n de p lu s d e 2 7 %

désillusions. Parution: 17.04.2003 - R éservation s p u blicitaires: 28.03.2003

Pour 80 Euro 3 e x em p laires p a r m o is S o it u n e ré d u c tio n de 50 %

06/2003_____________

DOSSIER: Assurances au Luxembourg

D 'a u tre s o ffers so n t d isp o n ib le s su r sim p le d em an d e. A b o n n e m e n t p a r té lé p h o n e (envoi

Q uelles sont les assurances présentes au L uxem bourg? Le service à une entreprise est-il v éritablem ent différent du service à un particulier? Q uels sont les som m es en je u , les pratiques, les effectifs? Parution: 15.05.2003 - R éservation s p u blicitaires: 25.04.2003

de fa c tu re ) a u 29 6 6 18-1 o u p a r v ire m e n t au c o m p te B C E E IB A N L U 97 0 0 1 9 0038 5827 4 0 0 0 à l'ordre d e m k é S.A .. N 'o u b lie z p as d 'in d iq u e r v o tre a d re sse c o m p lè te

082 Next issue

paperjam 03.2003


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